Les Mémoires très Libertines de Sophie
L'infirmière
Cette histoire n’est pas réelle mais des éléments du contenu le sont… A vous de faire le tri ! Bonne lecture…
Nous sommes le premier jour de l’été, il est à peine sept heures du matin. Le soleil montre tout juste le bout de son nez. Ah oui ! J’oubliais… je suis hospitalisé au service de rééducation, donc je viens à peine de me réveiller. J’ouvre les yeux je me mis à bailler, je suis en tee-shirt et pantalon de pyjama rouge, tout doux.
Comme tous les matins, j’ai une belle érection matinale. N’étant pas pressé et en abstinence depuis plusieurs mois, je fais sortir ma bite bien veinée, et je la regarde une fraction de seconde. Puis je pose ma main droite à la base, mon petit doigt sur mes boules ben rondes et grosses avec le temps.
Et me voilà parti pour un bon moment de branlette jouissive…Même pas trois minutes après, quelqu'un frappe sèchement à la porte et ouvre directement ; sans attendre ma réponse.
J’ai juste eu le temps de mettre le drap pour cacher ma bite encore en feu par le travail que je lui faisais faire au réveil. Je me mis à rougir…
« Pourvu qu’elle ne voit rien », me dit je.
C’était l infirmière pour la prise de tension et de température. Elle me regarda avec un grand sourire. Je ne savais pas où me mettre, car il était flagrant que je bandais, et qu’elle la verrait sous le drap. J’essayai de rester de marbre.
Elle se mit à ma droite près de la porte. Moi, paralysé, j’avais complètement oublié d’enlever ma main…
En souriant, l’infirmière me demanda :
« Comment ca va aujourd'hui ? Vous avez l’air d avoir un peu chaud… »
Ca, c’était sens doute à cause de la honte que je risquais de me payer ! Mis ça n’empêche que je ne pensais toujours pas a enlever cette main qui restait bloquée à la base de ma bite…
« Bonjour mademoiselle, oui ca va très bien et vous ? Et oui effectivement, j’ai très chaud… Il fait chaud dans les chambres, mademoiselle.
- Tendez-moi votre bras, s’il vous plait… »
Je me sentais gêné. MERDE !
Je réalise dans la même seconde que ma main était encore bien enveloppée. Alors timidement, je l’enlève de ma queue encore toute dure.
Elle me prit ma tension, je regardais le tensiomètre en rougissant, car mon engin était encore debout… Remarque avec la créature que j’avais en face de moi, c’était plus que logique !
J’ai oublié de vous la décrire : c’était une belle brune aux yeux clairs, maquillés d-un léger contour au niveau des sourcils. Elle a des lèvres fines sans rouge à lèvres, un chignon qui laissait penser à une belle chevelure très longue, une peau douce légèrement colorée, avec un sourire qui illumine son visage, et une blouse blanche à pressions qui devait sans doute pas être la sienne car elle lui était légèrement trop grande.
Cette blouse l’était assez pour que j’aperçoive, quand elle se pencha pour me mettre le tensiomètre, une belle poitrine qui, avec la force de la pesanteur descendit de tout son long. Elle avait une magnifique poitrine, protégée d’un soutien-gorge en dentelle rouge.
Je lui donnais donc ma main, très gêné, car elle venait directement de ma bite…
« 14 - 7 ! Dites-moi, vous êtes nerveux des le matin ! Donnez-moi la main, je vais prendre votre pouls…. 142 pulsations par minute !!! (habituellement je suis a 100 110) Effectivement, vous m’avez l’ai bien nerveux ! Je vais arranger ça ! » me dit l’infirmière en souriant sans cesse.
A cet instant, mon cerveau tournait à 360°. Je me disais :
« T’es mort, mec ! »
En me prenant le pouls, elle avait donc ma main dans la sienne et j’ai vu dans son regard comme si elle avait vu l’activité que je venais de m’offrir…
D’une main douce et d’un mouvement délicat, et en même temps joyeuse, elle enleva le drap qui était sur mon tee-shirt. A la vue de mon sexe sorti de mon pantalon, en érection certes fatigué, mais âs encore battu, elle me jeta un rapide coup d’œil qui m’a rassuré.
Elle s’est passée la langue sur les lèvres, et elle lâcha le drap sur mes chevilles. Elle se baissa un peu, et avec sa mina gauche, elle prit ma bite et commença à me branler doucement, tout en me regardant en souriant.
Rassuré, j’ai enfin pu plaquer mon dos sur l’oreiller, pour me relâcher un peu. J’ai juste relevé la tète pour la voir en action.
Son visage rayonnait de plus en plus, comme si c’était pour elle un fantasme de s’occuper d’un patient de cette manière-là….
« C’était pour ca alors que vous étiez si gêné, pauvre patient... »
Et elle continua ses mouvements de va et viens sur ma bite en me titillant le gland. Moi, à la fois surpris et heureux, je tremblais, je ne savais pas où mettre mes mains. Dans un mouvement simultané, elle approcha sa bouche de ma bite qui commençait à reprendre des couleurs, et avec sa main gauche, elle prit ma man droite, la posa sur sa blouse, juste au-dessus des pressions.
Pendant qu’elle découvrait la chaleur de ma bite sous ses lèvres, elle me lança un clin d’œil complice, comme pur me dire :
« Déshabille-moi ! »
J’ai pris la blouse à la hauteur de la première pression, et je l’ai serrée. Elle a sauté, et avec elle, les deux en-dessous. Je voyais enfin la belle poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge rouge. Je n’en pouvais plus, et aussi vite que possible, je fis sauter les autres pressions de la blouse…
Pendant ce temps, elle avait avalé plus de la moitié de mon sexe bandé. Et elle remonte, avec un sourire satisfait, comme si elle avait bu un verre bien frais. Sirant mon organe de sa bouche, elle me dit :
« Tu en as mis du temps à comprendre !!! Mais on dirait qu’une fois lancé, rien ne t’arrête !!! Continue, j’adore… »
Eh oui, elle m’avait tutoyé… Elle avait à peine fini sa phrase, qu’elle lécha d’un seul trait toute la longueur de ma bite et la rentra directement de moitié. A partir de ce moment, je savais que la cadence allait s’accélérer.
Alors, je pris un de ses seins dans ma main, que je malaxai comme un patient qui fait de la rééducation avec une boule en mousse pour ses mains. Vu qu’il fallait faire vite, je baissai juste son soutien gorge pour que je puisse les voir enfin en chair et en os, enfin surtout bien fermes ! Et je m’en saisis rapidement et commençai à les caresser. Pendant ce temps, elle était toujours en train de me sucer jusqu'au bout, en me la caressant et en me touchant aussi les boules. Après avoir bien pris la mesure de la chaleur et de la taille de ses seins, je voulus les lui lécher.
Mais au moment de me rapprocher d'elle, l’infirmière coquine me rallongea sur le lit, sortit ma bite de sa bouche un instant, et me dit d’un ton sec :
« Tu en as assez profité, maintenant, laisse-moi faire ! »
Aussitôt, elle s’aida du lit pour se pencher, et comme si c' était sa dernière ligne droite, elle accéléra sa main tout le long de ma bite en y mettant des coups de langue de temps en temps.
Moi qui ne boudais pas mon plaisir, je commençais à gémir en soufflant, tellement j’étais excité, et que j’avais peur d’être surpris. Elle fit si bien que je giclais sur sa main et dans sa bouche. Elle avait posé sa main en soucoupe, pour que rien n’aille sur les draps… A petits coup de langue, elle semblait savourer mon sperme…
Puis elle me tend un garrot, et me dit de me le serrer autour du bras. Je ne comprends pas trop pourquoi, mais j’obéis.
Pendant qu’elle finit de out avaler, je noue le garrot autour de mon bras. Elle termine sa fellation par un long coup de langue tout du long de mon sexe, toujours bandé… Elle a toujours les yeux aussi pétillants, et elle repose ma bite sous le drap, se penche pour me dire au creux de l’oreille :
« C’était super jeune homme ! La prochaine fois, ça va être torride... Prépare-toi… »
Et elle remet sa blouse et arrivée à la dernière pression, une de ses collègues passe la tête dans l’encadrement de la porte :
« Alors, t’as réussi à le piquer ?
- Oui oui, du premier coup, ne t’inquiète pas. »
La collègue repart, et me murmure :
« Ouf il était moins une ! A très vite beau jeune homme… »
Et la demoiselle repartit d une manière très féminine qui me fait rêver de la prochaine fois !
Signé : Steven le marseillais
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Une première experience troublante - suite et fin
Pour fêter l’évènement, James déboucha une bouteille de champagne et les convives portèrent un toast à Dany émue, gênée, mais satisfaite d’avoir franchi le pas.
« Et moi, qui s’occupe de moi ? lança Michèle.
- Et qui s’occupe de nous ? » répondit Pierre en enlaçant sa maîtresse.
Il lui fit faire face à James, et plaçant une main sur son ventre et lui poussant la tête de l’autre, il la fit se courber pour la pénétrer en levrette.
James, de nouveau en érection, offrit son sexe à la bouche de la jeune femme qui l’engloutit aussitôt.
Pour ne pas être en reste et participer, Dany se glissa sous Michèle et s’occupa de ses seins magnifiques qui ondulaient sous les assauts des deux hommes, faisant glisser sa bouche d’un téton à l’autre.
Quelques minutes plus tard, Pierre abandonna sa maîtresse et, prenant Dany par la main l’amena près de la table sur laquelle il la fit se pencher. Les fesses de Dany, mises en valeur par le porte-jarretelles et les bas, excitaient l’homme au plus haut point.
Après les avoir longuement caressées et parcourues d’une bouche avide, de sa langue, il humidifia généreusement son plus petit orifice et tenta d’y introduire son sexe. Mais la jeune femme qui n’avait jamais pratiquer cette spécialité, et la taille du membre de Pierre, firent échouer la tentative.
C’est en levrette que l’homme prit alors possession de Dany. Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation ! Elle avait l’impression d’être prise par une bête. L’énorme sexe s’enfonçait en elle en cadence, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. L’homme la tenait par les hanches et accentuait le mouvement en la tirant vers lui à chaque pénétration.
Dany sentait bien que la jouissance de son partenaire était imminente, et que la sienne n’était pas loin non plus. Quand il se vida en elle en poussant un gros gémissement, une telle quantité de liquide chaud inondant son ventre lui arracha, malgré elle, un cri d’une voix rauque :
« Oh oui ! Oui ! Oui ! »
Et elle eue un orgasme dont elle ignorait jusqu’à ce jour qu’il fut possible d’en avoir un d’une telle intensité.
L’autre couple faisait de même, à quatre pattes sur la moquette, quand James décida de tenter la sodomie. Ayant généreusement humecté son index dans sa bouche, il en pénétra délicatement Michèle par ce qu’il appelait « la voie royale ».
Puis, après quelques pénétrations cadencées, il y présenta son sexe tendu à l’extrême.
Michèle se cambra encore plus, et lentement accepta le membre qui s’engloutit entre ses fesses. Il était évident qu’elle était très loin de pratiquer cette discipline pour la première fois, et il était tout aussi évident qu’elle y prenait du plaisir. Sous les coups de reins de James, sa lourde poitrine ondulait en cadence.
Pierre, son amant, regardait la scène fixement, ne pouvant détacher les yeux de ces seins en mouvement et de James qui semblait prendre un immense plaisir à cette chevauchée.
« Tu aimes ça, salope ! dit-il à sa maîtresse
- Vas-y James, régale-toi, elle adore ça, et ta femme m’a bien fait jouir ! »
Il était de nouveau en érection et se masturbait lentement en regardant le spectacle
Soudain, n’y tenant plus, il rejoignit le couple, se mit sur le dos et se glissant sous sa maîtresse il la pénétra.
Michèle, prise par les deux hommes en même temps, se mit à gémir de plus en plus fort.
Elle regardait Dany qui, excitée, avait passé sa main droite entre ses cuisses pour se caresser lentement.
« Viens, lui dit-elle, viens jouer avec nous !
- Oui viens avec nous ! » lui dit aussi James.
Alors Dany s’approcha du trio, mais ne sachant que faire, elle caressa le dos en sueur de son mari. James, retirant provisoirement sa main droite des hanches de sa partenaire, caressa les fesses rebondies de sa femme. Voyant son regard fixer son sexe qui s’engouffrait en cadence dans l’orifice dilaté de Michèle, il introduit délicatement son majeur dans celui de Dany et, accordant la cadence de son bassin avec celle de son doigt, il sodomisa sa femme manuellement.
Cette caresse précise ne déplut pas à Dany, qui en éprouva un certain plaisir, faisant, elle aussi, onduler son bassin au rythme de son mari. Devant cette réaction, James se dit que le moment était venu de faire découvrir à sa femme les plaisirs de la sodomie, qu’elle avait toujours refusés.
Il abandonna Michèle qui chevauchait son amant, pris sa femme par les épaules, et lui murmura à l’oreille :
« On essaye toi et moi ? »
Dany acquiesça de la tête, timidement. James fit mettre sa femme à quatre pattes sur la moquette, tout à côté de l’autre couple. Il passa sa main plusieurs fois entre les fesses détrempées de Michèle pour en récupérer le suc, et en enduire celles de sa femme, introduisant bien à fond son index dans l’œillet qui s’était légèrement dilaté.
Présentant son sexe tendu face à cette « voie royale », il dit à Dany :
« Pousse, comme pour chasser un gaz… »
Et plaçant son gland au bon endroit, il poussa également. L’introduction fut rapide, mais la suite fut tout de même douloureuse car, pour ne pas hurler, Dany se mordait les lèvres et des larmes coulaient de ses yeux. Elle était en train de se faire enculer pour la première fois de sa vie, à trente cinq ans. Son mari allait et venait entre ses fesses, et petit à petit, la douleur devenait moins intense, plus supportable.
L’autre couple, interrompu par le spectacle qu’il venait de voir, se dit qu’il fallait participer à l’évènement. Pierre se mit à genoux devant Dany et présenta son sexe tendu à sa bouche. Elle accepta de le sucer, ce qui excita encore plus son mari qui continuait à la limer en cadence.
Michèle, elle, se dit que sa copine d’un soir avait déjà bien apprécié la taille et la mobilité de sa langue. Elle se glissa donc sous Dany, mis sa tête entre ses cuisses écartées, et entrepris un cunnilingus dont elle avait le secret.
Assistant par en dessous à la sodomie, elle pouvait voir le sexe de James qui s’introduisait en cadence, et l’idée lui vint de donner encore plus de plaisir à l’homme. De sa main droite, elle écarta légèrement les fesses de ce dernier pour y introduire son majeur et agacer son anus par de petits mouvements circulaires.
L’effet fut immédiat, et James se répandit généreusement dans sa femme en poussant un grognement de plaisir.
L’éjaculation de son mari dans son ventre, et la langue de Michèle, eurent raison de Dany qui explosa à son tour en poussant un cri strident.
Pierre, qui n’avait pas encore atteint son plaisir, se masturba rapidement devant le trio effondré sur la moquette.
Ils mirent de longues minutes à se remettre de leurs émotions, er finirent par se quitter avec de longs et passionnés baisers…
Pourtant, les deux couples ne se sont jamais plus rencontrés.
Harrry Covert
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Ma conseillère Anpe
Je la vois une fois par mois, dans son bureau, à l'ANPE.
Elle se tient droite, et ses cheveux droits, coupés au carré, balancent légèrement sur ses épaules. Ils cachent de petites oreilles, et ses diamants discrets.
Ca fait quelques mois déjà que je retiens mes yeux de chavirer sur le premier bouton de son chemisier, qui est, me semble-t-il, ouvert.
"Sans doute, l'est-il." me dis-je parfois. Et sans bouger les yeux, je tente de me concentrer sur la périphérie basse de mon regard.
Mais alors je me mets à craindre qu'elle ne s'en aperçoive, et je me redresse alors.
Et je regarde alors ses profonds yeux sombres, amandes d'obsidiennes sur sa peau claire.
Elle sourit doucement, parle calmement, pose ses longues mains sur son bureau lentement, et la lueur de ses yeux est nette, limpide.
Tout son corps exprime la finesse, et la délicatesse.
Dès le premier moment, j'ai senti une sensualité douce et parfumée qui émanait d'Aurélie.
Pourtant, rien ne la trahit. Sa voix est calme, nette, rien ne tremble.
Elle a tremblé une première fois, lorsque jl'ai pris sa main dans la mienne.
Elle a dit " Que faites vous ? "
Je n'ai rien répondu, et je l'ai regardé dans les yeux, en caressant ses doigts sous les miens.
Elle a rougi, elle a baissé le menton, et levé les yeux avec un air de petite fille.
A ce moment, j'ai compris que j'étais dans un rêve érotique, alors j'ai pris le parti d'en profiter pleinement.
J'ai ajouté avec un air répprobateur " Vous n'êtes pas une petite fille. "
Son sourire amusé m'a illuminé, et elle m'a trouvé beau, un court instant.
J'ai délicatement posé l'index de ma main gauche sous son menton, et je l'ai embrassé. Elle a fermé les yeux.
Ses lèvres fines avait un parfum d'abricot, frais, raffraichissant. Nos langues se sont touchées, observées, enroulées, mélangeant des goûts subtils.
Je l'ai alors invitée à pivoter sur elle-même, et à avancer vers le mur, sans un autre mot. Les yeux toujours clos, elle a obtempéré gracieusement.
J'ai posé sa main contre le mur, plus haut que son visage. Elle a posé son autre main de la même manière.
J'ai laché sa main pour la poser sur sa ceinture, que j'ai habilement débouclée. Son pantalon a subi le même sort. J'ai fait glisser ensuite mes deux mains sur son corps jusqu'à ses hanches, Et j'ai baissé son pantalon jusqu'à ses chevilles.
Je me suis agenouillé pour lui enlever ses chaussures, puis son pantalon et enfin ses chaussettes.
Elle s'était cambrée lentement, et maintenant ses mains étaient à plat sur le mur, que ses coudes touchaient aussi.
Je me suis redressé sur mes genoux, et j'ai frolé ses fesses de mes deux mains. Le passage de mes paumes faisait naître les picotements de la chair de poule.
J'ai alors déboutonné son chemisier, en commençant par les boutons du bas, Elle a laissé les bras descendre le long de son corps pour que la chemise tombe.
Les paumes ouvertes, j'ai excité la pointe de ses seins, les frolant, les touchant et les accrochant parfois au passage entre deux doigts, jusqu'à les sentir durcis.
J'ai alors pris ses deux seins à pleines mains, les doigts écartés dans toute leur envergure. Et j'ai posé mes lèvres sous sa fesse gauche, embrassant, agaçant de ma langue la naissance de son cul lumineux de blancheur.
Elle a écarté doucement les cuisses, et j'ai pu faufiler ma langue à la recherche d'une source, d'un trésor. J'ai mélé nos rivières de désir, ma langue sur son sexe pulpeux, gonflé de miel. Je mélais des grognements d'ourson à ses gémissements retenus.
Son visage était maintenant lui aussi collé contre le mur.
J'ai sucé ses lèvres, et la chaude petite stalagmite qui jaillissait.
Elle a eu un long orgasme, sans trembler. Elle s'est redressée un peu sur les coudes, en tendant le menton vers le ciel, puis en le reposant sur son autre épaule. Elle a gémi longuement.
Je me suis levé.
Elle a ouvert les yeux en me regardant. Il y avait toutes les couleurs dans ses yeux, et un orage de désir allumait déja des lueurs bleues et orange.
Elle s'est redressée, et sans se retourner, elle m'a débarassé de ma ceinture, puis de mon pantalon qui est tombé sur mes chevilles, délivrant le loup affamé.
Elle s'est cambrée de nouveau, et j'ai posé ma main droite sur la jointure de sa nuque et de son épaule. Chacun des contacts avec sa peau était le début d'un cocktail de sensations électriques, pour elle comme pour moi. Nous gémissions sans plus nous en rendre compte.
J'ai posé ma main gauche sur sa hanche, et j'ai avancé doucement.
Nos deux sexes se sont touchés, trouvés, attirés, embrassés, embrasés en quelques secondes. Je l'ai pénétré très lentement, revenant très légérement en arrière pour ravancer un peu plus. Les stimulations des nervures de sa fleur délivraient les vagues d'une mer chaude dans son corps, suivi de picotements étrangement agréables.
Elle vint chercher elle aussi le sexe pour sentir dans ses entrailles l'agréable pénétration.
Chaque va et vient etait accompagné de soupirs maintenant. Je serrai plus fort sa hanche, et parfois je la griffai légèrement du bout de mes doigts dans le dos et sur les fesses.
Ses mains et son visage étaient sur le mur, et mes assauts faisait rougir sa peau.
Mon sexe a gonflé et gonflé jusqu'à exploser en elle, bombe de sensations, de vagues, d'orage, de chaleur et de glace répandues dans toutes ses cellules.
Elle a joui si fort que ses jambes se sont dérobées, et elle n'a gardé l'équilibre que par la force de mon désir en elle. J'ai porté nos deux corps tout en jouissant en elle, contre le mur de son bureau.
Nous sommes resté plus d'une minute ainsi, sans bouger. Moi, témoignant encore de mon excitation en elle, et elle, palpitante de désir. Tous deux essouflés. Rougis. Merveilleusement beaux de l'accomplissement de l'amour.
Toujours dos à moi, le visage contre le mur, elle a posé sa main droite sur ma joue et la caressé doucement. J'ai fait de même avec ma main gauche
Elle s'est tournée vers moi, et a eu une expression de stupeur, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche.
A suivre... par l'auteur qui le souhaite ! Je vous laisse écrire une suite à cette histoire !
Signé : Pelmel Sensuel
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Une première experience troublante
C’est après une huitaine de jours, et de nuits, de conversation avec son mari James, que Dany, jolie jeune femme de 35 ans, pris la décision d’accepter d’être initiée à l’échangisme.
Elle avait surpris son mari au lit avec une autre femme, lors d’un retour imprévu après quelques jours d’absence. S’en était suivi une violente altercation, puis des explications desquelles il était ressorti que James et Dany n’avaient pas du tout le même appétit sexuel.
James avait eu, bien avant de rencontrer sa femme, de multiples aventures féminines. Il avait aussi souvent fréquenté des clubs échangistes.
Dany, elle, issue d’une famille bourgeoise très catholique, avait été élevée dans les principes, la morale et la rigueur. Elle était arrivée vierge au mariage, et sa nuit de noces fut pour elle un cauchemar.
Plus d’un an de vie conjugale n’avait pas changé grand chose à son éducation sentimentale, malgré toutes les tentatives de son mari. L’acte sexuel restait pour elle un « devoir conjugal », même si parfois elle y prenait du plaisir dont elle avait honte immédiatement après.
Les désirs et les besoins de James lui paraissaient une déviation mentale issue d’habitudes prises dans le célibat. Elle était quasiment certaine que tout çà allait disparaître avec le temps, une vie rangée, et un premier enfant. Mais maintenant, après ce qu’elle avait surpris et les mises au point faites, c’était le divorce immédiat ou l’initiation. Dany rejeta l’idée d’entraîner sa famille dans le scandale d’un divorce, scandale qui aurait provoqué son rejet familial et l’aurait contraint à s’exiler.
Devant le grand miroir de leur chambre, Dany mesurait sa transformation vestimentaire conseillée par James, pour sa première tentative de soirée entre échangistes.
Perchée sur des talons aiguilles, elle ne devait pas être loin des 1m80.
Mince bien que potelée, sa poitrine affiche un 95C encore plus mis en valeur par un très léger balconnet transparent. Un string et un porte-jarretelles qui soutient de jolis bas à couture complètent la parure...
Son ensemble de couleur fumée sur sa peau mate, est recouvert d’un déshabillé jaune-paille arrivant à mi-cuisses. Brune aux cheveux longs, un très léger maquillage met en valeur ses yeux bleus légèrement bridés, et des lèvres charnues.
Tournant et retournant devant le miroir, elle est surprise de se trouver belle et désirable.
La patience de James à lui expliquer et la convaincre, les films érotiques et pornographiques qu’ils ont visionné ensemble, leurs joutes amoureuses de plus en plus libérées, étaient sans aucun doute le résultat de cette transformation mentale.
James, lui, est simplement vêtu d’une sorte de boubou blanc sans manches très léger sous lequel il est nu.
Le carillon de l’entrée annonça l’arrivée du couple que James avait contacté par Internet.
Si la femme prénommée Michèle semblait d’un âge proche de celui de Dany, Pierre, l’homme qui l’accompagnait était nettement plus âgé.
Environ la soixantaine, il était très enveloppé et légèrement bedonnant, bien que d’une distinction parfaite. Par la suite, il s’avéra que Michèle était la secrétaire et la maîtresse de Pierre, médecin hospitalier.
Les présentations d’usage faites, et avant de prendre l’apéritif, James invita ses convives à se mettre à l’aise et invita Michèle à suivre Dany. Dans la salle de bains, les deux femmes poursuivent leur conversation tandis que l’invitée se déshabille sans la moindre pudeur devant Dany, qui légèrement gênée, détourne les yeux.
Complètement nue, Michèle qui s’en est aperçu, viens se camper devant elle en lui prenant les mains
« comment me trouves-tu ? »
Dany, pâle et très gênée, ne sait quoi répondre et manifeste un trouble évident qui semble exciter sa compagne.
« C’est la première fois paraît-il ?
- Oui.
- Tu as peur ?
- Un peu.
- C’est le premier pas qui compte, je vais t’aider à le franchir du mieux possible, regarde moi et caresse-moi… »
Tout en parlant, Michèle pris la main droite de Dany et la porta sur son sein gauche.
Michèle était une superbe jeune femme blonde, pas très grande, plutôt mince, mais doté d’une magnifique poitrine lourde et généreuse. Le reste n’était pas mal non plus et la cambrure de ses fesses rondes et fermes attirait irrésistiblement le regard.
C’était à l’évidence une fille délurée et sans tabou dont les yeux bleus expressifs laissaient transparaître ses sentiments. Sous sa main, Dany sentit aussitôt le téton se réveiller et cela lui provoqua un trouble étrange.
Trouble qui s’accentua quand Michèle qui s’était plaquée contre elle, lui pris l’autre main pour la placer entre ses cuisses, sur sa petite toison dorée parfaitement taillée.
Instinctivement, les doigts de Dany se mirent en mouvement très lentement, ce qui transporta Michèle
« Oui, comme ça, continue… »
Et prenant la bouche de Dany, elle l’embrassa goulûment.
Dany eu un mouvement de recul sous la surprise. Michèle avait introduit dans sa bouche une langue d’une dimension et d’une agilité peu courantes.
Hilare, Michèle se recula, et devant sa compagne incrédule fit arriver sa langue bien au-dessus de la pointe de son nez, puis elle imita faiblement le « youyou » des femmes algériennes pour démontrer sa mobilité et sa vivacité.
« Je suis née comme ça, et crois-moi, c’est un avantage dont je sais très bien me servir en faisant l’amour ! »
Et dans un grand éclat de rire, elle s’habilla d’une simple nuisette noire, et prenant Dany par la main, les deux femmes arrivèrent devant les deux hommes.
Assis côte à côte sur le canapé du salon, les hommes applaudirent en sourdine à l’arrivée de leurs compagnes.
James s’écarta de Pierre et attira sa femme entre eux, tandis que Michèle pris place à côté de son amant.
Aussitôt, ce dernier qui n’était plus revêtu que d’un simple boxer, enlaça sa maîtresse pour l’embrasser fougueusement tout en lui caressant la poitrine. Michèle avait passé une main dans le slip de son partenaire et se mit à le masturber lentement. Pour ne pas être en reste, James saisit le déshabillé de sa femme et le retira, puis le léger soutien-gorge, et entreprit de lui sucer le bout des seins tandis que de sa main il écarta la petite barrière du string pour lui prodiguer de précises caresses.
Dany était tendue et livide, elle ne pouvait détacher les yeux du sexe en érection de Pierre, mis à nu par sa maîtresse. Sous son ventre bedonnant, l’homme était vraiment gâté par la nature, non par la longueur qui n’avait rien d’exceptionnelle, mais par le diamètre. Dany n’avait jamais soupçonné qu’un tel appareil pouvait exister.
Les caresses de son mari faisant néanmoins leur effet, elle sentait une sourde chaleur l’envahir et commençait à se détendre, aidée en cela par le spectacle de Michèle qui avait embouché son amant en produisant des bruits de succion. James, qui n’avait lui aussi rien perdu du spectacle, saisit la main de sa voisine et la porta à son sexe pour une lente masturbation.
Quelques instants plus tard, Pierre rectifia sa position, écarta Michèle de son contact, et saisissant la main de Dany, il voulut la porter à son sexe.
Dany, refusant ce contact, se leva brusquement en disant :
« Non, non ! »
Surpris et désorientés, les trois partenaires tentèrent en vain de la raisonner, mais sans résultat.
C’est alors que James émis l’idée de danser pour détendre l’atmosphère.
Après avoir installé un C.D de slows, il enlaça Michèle et Pierre fit de même avec Dany.
Très vite, James ôta son boubou et se retrouva nu contre le corps de Michèle, nue également. Leurs caresses devinrent de plus en plus précises et les deux s’installèrent rapidement sur le canapé. Montrant une superbe érection, James avait placé Michèle à terre, à genoux devant lui, et se délecté d’une savante fellation.
Pierre, tenant Dany contre lui, caressait lentement ses jolies petites fesses cambrées tout en dansant. Il fit un signe de tête à sa partenaire pour l’inviter à regarder l’autre couple. Le spectacle en valait la peine, car Michèle chevauchait maintenant James qui lui avait introduit son majeur entre les fesses. La femme s’agitait en une lente cadence, tout en poussant de petits soupirs.
Ce spectacle eu pour effet de rendre Dany furieuse. Elle décida brutalement, dans une sorte de vengeance instinctive, de bien participer elle aussi à cette soirée.
Tout en continuant à danser, et sans dire un mot, elle saisit le sexe en érection de Pierre et se mit à le masturber.
Agréablement surpris, l’homme l’entraîna aussi sur le canapé, aux cotés de l’autre couple, puis il l’invita à s’asseoir.
A genoux devant elle, il écarta lentement ses longues jambes, ôta délicatement le string, puis, plaçant sa tête devant ce nid douillet, il entreprit de la fouiller de sa langue.
Quelques minutes plus tard, Dany était aux anges, et le baiser de Michèle qui continuait à chevaucher James, augmenta encore plus son plaisir.
C’est alors que son partenaire cessa ses caresses pour s’asseoir à son côté, plaçant Dany entre le couple et lui. Michèle, qui avait compris le manège certainement souvent répété, abandonna son partenaire et, prenant les deux jambes de sa copine d’un soir, en plaça une sur les genoux de James, et l’autre sur ceux de Pierre.
Ainsi largement offerte, Dany masturbait les deux hommes, tandis que Michèle, à genoux devant elle, se servait de sa langue agile.
Très douée dans cet exercice, et favorisée par la nature, Michèle obtint ce qu’elle voulait, faire avoir un bel orgasme bruyant à sa compagne, à la grande surprise et satisfaction de James son mari.
Fin de la première partie. A suivre ...
SIgné : Harry Covert
Jouissance lointaine
Jeanne et Pierre attendent en silence dans leur appartement.
Jeanne est une superbe fille, ou femme, de 29 ans. brune les cheveux brillants, fraîchement shampouinés, effleurent ses épaules. Grande et mince, elle a de très belles jambes, un joli petit cul bombé, et des seins bien ronds. Elle porte une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, ses bas sont longs, noirs fins et électriques en lycra. Elle a passé deux heures dans la salle de bain, à se passer une crème sur les jambes, les fesses, le ventre les épaules et les seins, puis à se caresser en évitant absolument toute sensation de plaisir. Pourtant, elle s’est fait douce à procurer des frissons à ceux ou celles qui la caresseront ou la lècheront.
Hier, son esthéticienne Agnès lui a épilé les jambes, les aisselles et le pubis. Elle arbore un joli cœur de poils au-dessus de la naissance de ses lèvres, elles, totalement épilées. A chaque fois, c’est un peu douloureux, mais aussi très excitant, et puis toujours Agnès lui propose un massage relaxant…
En fait, elle la masturbe avec un jouet adorable, un gode recourbé qui vient procurer de délicieuses vibrations au niveau du point G. Et à chaque fois, Agnès ne résiste pas à la lécher et à pincer son clitoris entre ses lèvres… Ah quelle esthéticienne !
Mais Jeanne, malgré ses supplications, n’a jamais pu ne serait-ce que lui caresser les fesses.
Jeanne et Pierre sont fin prêts, chacun est assis dans un fauteuil confortable, et semble rêvasser. Maud leur a dit que quelqu’un passerait les prendre à sept heures dix précises, et que s’ils ne descendaient pas au quatrième coup de sonnette, il partirait sans eux. Les coups de sonnette seront longs et espacés de vingt secondes.
Ils se sont assurés d’avoir l’heure exacte, « 19.08 » est inscrit à la pendule posée sur la table. Leurs manteaux sont accrochés près de la porte, les clefs au crochet, c’est Pierre qui fermera, Jeanne descendra d’abord.
Deux minutes ce n’est rien, ça peut aussi être une éternité de délices ou de supplices.
19.10 enfin. A peine l’affichage a-t-il changé que Pierre et Jeanne se sont levés d’un même élan, comme si ça avait sonné. Ils n’attendent même pas le signal et passent leurs manteaux, mais restent plantés devant la porte qu’ils n’osent pas ouvrir.
Attente.
19.11, rien, c’est long. Déjà. 19.12.
Les suppositions naissent : et si… et si…...
19.13 Jeanne compte mentalement, à 30 elle va s’asseoir.
Coup de sonnette, ils se regardent se sourient, Pierre ouvre la porte, Jeanne sort en premier s’engage dans l’escalier, ils ne vont pas prendre le risque d’attendre l’ascenseur, et elle adore entendre le bruit de ses bottines à talons fins résonner dans la cage d’escalier, troisième, second, premier et le hall. Un bel homme est derrière la porte vitrée, il est élégamment habillé, d’un jean Levis à belle coupe, une chemise de marque d’un gris beige très clair, une veste légère en lin grise plus foncée. Il est blond, le visage doux. Pourtant il ne sourit pas. Elle ouvre la porte et le salue, « Bonjour ».
Elle se demande si elle doit lui faire la bise ou lui tendre la main/ Lui ne répond même pas, mais s’avance vers un Toyota garé à dix mètres en double file. Elle le suit, Pierre arrive.
L’homme ouvre la portière passager : « Jeanne ».
Plus qu’une invite, c’est un ordre, elle s’assied. Il claque la porte et fait le tour du véhicule pour prendre la place du driver. Pierre sait qu’on ne s’occupera pas de lui, il monte à l’arrière. Contact, et nous roulons. Cinq minutes sans un mot, enfin le driver prend un CD sans pochette dans un étui glissé derrière le pare-soleil et le met dans le lecteur.
Play
« Bonjour. C’est Maud qui vous parle. J’espère que vous êtes bien installés, Mario a pour consigne de vous amener à la villa, il vous paraît austère, car je lui ai intimé l’ordre de ne pas vous adresser la parole, mais plus tard dans la nuit, vous aurez sûrement l’occasion de vous rapprocher…
Comme vous êtes dix couples, que trois garçons, performants à tous points de vue, doivent conduire à la soirée, je ne vous appellerai pas par vos prénoms -puisque ce CD est utilisé dans trois voitures avec des passagers qui changent- vous serez donc Lui et Elle.
Elle, tu vas poser ta main gauche sur la braguette de Mario. Attention, je ne veux pas que tu la bouges beaucoup, ni que tu le débraguettes. Allez ! »
Mario écarte les cuisses et prend le volant plus haut, de manière à bien offrir son pubis avec son renflement prometteur. Jeanne, elle aussi écarte les cuisses, sa jupe remonte au-dessus de ses genoux, elle lève lentement sa main gauche qui était posée sur sa cuisse gauche et la dirige vers la braguette de leur chauffeur. Elle la pose, et enrobe les parties génitales, faisant coque autour de la queue et des bourses qui lui semblent être encore au repos. Elle ne peut résister au plaisir de les serrer un peu, la toile fine du pantalon lui permet d’imaginer parfaitement la qualité de ce qu’elle a en main.
Pierre s’est avancé sur sa banquette arrière, il s’appuie sur les dossiers des sièges de sa femme et de Mario.
« C’est Jean-Jacques qui vous parle maintenant. Lui, tu dois aimer voir Elle mettre sa main sur le sexe de votre guide, attends, je vais te donner l’occasion de bander fort sans avoir à te caresser. Si ce n’est déjà fait, assieds-toi bien au milieu et pose tes mains sur les dossiers devant toi. Voilà. Maintenant, Elle tu vas répéter après moi en appelant Lui par son prénom. « Lui, mon chéri, j’ai une belle queue sous la main ».
A toi, Elle. »
Jeanne sent le sexe de Mario gonfler sous les pressions de ses doigts. Elle prend sa voix la plus douce la plus sensuelle, elle a croisé le regard de Pierre dans le rétroviseur, ses yeux pétillaient… Qu’est-ce qu’ils avaient pu jouir tous les deux en imaginant cette soirée.
« Pierre, mon chéri, j’ai une belle queue sous la main. »
La voix de Jean-Jacques reprend, elle s’était tue dix secondes.
« Vas-y maintenant Elle, tu peux libérer ton trésor, sors-la de son pantalon. »
Jeanne s’aide de ses deux mains, elle déboucle la ceinture fine de cuir noir, puis déboutonne les cinq boutons qui ferment le pantalon et la braguette.
« Répète après moi, toi, Lui, profite bien du spectacle, et Mario concentre-toi aussi sur la conduite, je vous veux entiers tous les trois : Oh quelle belle surprise se cache derrière la braguette ».
Un silence, Jeanne réalise que c’est à elle.
« Oh quelle belle surprise se cache derrière la braguette ! »
Jeanne a sorti le long pénis de Mario, belle taille, joliment veinée, très ferme et douce sous les doigts.
« Lui, regarde ce bel engin, regarde comme il est beau entre mes mains. »
Jeanne sert la queue entre ses paumes.
« Pierre, regarde ce bel engin, regarde comme il est beau entre mes mains. »
« Lui, j’aimerais que tu la suces avec moi. »
Jeanne la serre dans sa main gauche, elle a la bouche entrouverte, quand pourra-t-elle la sucer… ?
« Pierre, j’aimerais que tu la suces avec moi. »
« Elle, lèche-la un peu et pense à répéter ce que je dis après mon « Tchoup ».
Jeanne se penche sur les cuisses de Mario, qui conduit un peu plus lentement, ils sont sur une route tranquille à deux voies, Pierre a reconnu la route d’Arles.
« Lui, regarde-moi bien le lécher, comme ma langue glisse bien sur sa queue si douce si ferme. Tchoup »
« Pierre, regarde-moi bien le lécher, comme ma langue glisse bien sur sa queue si douce si ferme. »
« Imagine que je vienne sur toi, que je te prenne dans mon sexe et que Mario me sodomise, tu sentirais son sexe à travers moi. Tchoup »
« Imagine que je vienne sur toi, que je te prenne dans mon sexe et que Mario me sodomise, tu sentirais son sexe à travers moi. »
« Peut-être que j’aimerais aussi qu’il te prenne. Tchoup »
« Peut-être que j’aimerais aussi qu’il te prenne. »
« J’aimerais au moins que tu le branles devant moi. Tchoup »
« J’aimerais au moins que tu le branles devant moi. »
« Suce-le maintenant ! »
Jeanne était impatiente de gober le sexe de Mario, elle se l’enfouit jusqu’aux bourses, atteignant presque à la magie d’un avaleur de sabre. Elle manque s’étouffer la ressort et tousse. Pierre est hyper excité, il aimerait prendre sa bite dans sa main, il résiste.
La voix de Maud revient.
« Je pense que Lui est très excité maintenant. Mario, vous ne devez pas être loin maintenant, dis leur.
- Trois ou quatre minutes. »
La voix de Mario est très chaude un peu rauque, extrêmement mâle.
« Je vous conseille de vous calmer, je ne veux pas d’éjaculation. Elle, laisse Mario, et Lui, je t’autorise à sortir ta queue et à maintenir une belle érection. Quand Mario vous aura arrêtés devant la villa, il viendra ouvrir la portière de Elle, qui ouvrira alors celle de Lui. Elle le prendra alors par la queue et ira ainsi jusqu’à la porte cognera trois fois avec le heurtoir. On vous ouvrira, je veux que Elle entre en tenant toujours Lui par la queue. Elle, as-tu rentré sa queue à Mario ? Bon, a tout de suite. »
La musique de Pulp fiction succède à la voix de Maud.
Jeanne ne peut résister à un dernier coup de langue sur le pénis de son chauffeur, et réussit à la remettre dans son étui en vinyle noir et à reboutonner la braguette, le pantalon et fermer la ceinture. Pierre lui, a sorti sa bite bien raide aussi, sa taille paraît ridicule par rapport à celle du hardeur, mais Jeanne sait qu’on en tire beaucoup de plaisir aussi.
Pierre se caresse très lentement, de temps en temps, il humecte le bout de ses doigts et les fait glisser le long de la hampe. Jeanne le regarde et sourit. Enfin la voiture empreinte une petite rue à l’entrée de Maillane, et s’arrête devant une villa. Il y a un petit jardin, une autre villa à droite séparée par une haie à hauteur d’épaules de femmes, et une autre encore de l’autre côté de la rue. Iil fait encore jour en ce mois de mai, il doit être huit heures moins le quart, il va falloir être un peu exhibitionniste…
Mario sort de la voiture, la contourne par l’arrière, vient ouvrir la portière à Jeanne, qui sort et ouvre celle de Pierre. Son sexe est très tendu, superbe ! Elle l’attrape de la main gauche, la lui serre très fort, et le conduit dans la courte allée jusqu’à la porte en bois peint en bleu nuit. Elle saisit le heurtoir de la main gauche et cogne trois fois.
Une attente se présente, ils auraient pu compter lentement jusqu’à trente avant que la porte ne s’ouvre. Un homme est-ce Jean-Jacques ?– apparaît.
« Bonsoir, Jeanne et Pierre, je pense. »
C’est bien la voix qu’ils ont écouté dans l’auto.
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Bjr
Magnifique récit, nous pratiquons ce type d'expérience. Vivement la suite
Toujours aussi bien écrit... j'attend la suite avec impatience...