Les Mémoires très Libertines de Sophie
Comment Aline se fait prendre par deux jeunes mâles...
Aline aimait se faire plaisir toute seule, surtout quand elle attendait son amant. Machinalement, elle passa une jambe sur un accoudoir pour pouvoir se caresser doucement l’intérieur de la cuisse, l’effleurant simplement du bout des doigts, là ou la peau est la plus douce.
Elle aimait ces sensations, ces touchers.
Elle se regardait alors faire, comme si elle encourageait ses doigts à être les plus légers possible. Immanquablement, elle passait ensuite la main sur ses seins, très doucement, en les effleurant à peine, puis sur son ventre, entre les poils clairs de son pubis, avec une grande sensualité, en laissant traîner ses longues phalanges, comme pour provoquer le regard d’éventuels spectateurs, s’offrant ainsi à leurs désirs voyeurs les plus gourmands.
Elle savait que sa voisine, une jeune lycéenne très perverse, Astrid, la matait par la fenêtre ouverte.
Aline sentait maintenant les pointes de ses obus durcir sous les attouchements, premiers prémices de la quête du plaisir.
Elle déposa de la salive sur le bout de son index pour l’étaler tout doucement sur l’une des aréoles sensibles, par petits cercles concentriques, en prenant bien soin de ne pas toucher, ni même effleurer la pointe dressée, ceci pour la voir se tendre davantage, bander d’excitation.
Le bout de son index glissait lentement, doucement, appliquant la bave avec onctuosité, avec concentration. Elle aimait voir ses bouts luisants, cela l’excitait grandement.
C’était l’un des privilèges de l’expérience que de mieux connaître son corps, de savoir en solliciter les moindres parties pour accroitre son désir. A 45 ans, elle était tout à fait prête à assouvir la fougue de ses jeunes amants.
Aline soupesait d’une main l’une de ses lourdes mamelles, lui titillait le bout de la paume de l’autre main, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit.
Elle abandonna sa caresse et se leva, non sans omettre d’enjamber sensuellement l’accoudoir, en se cambrant pour s’y frotter l’entrecuisse, écrasant sa vulve gonflée avec délectation, pour assouvir temporairement son impatience.
Arrivée dans le hall d’entrée, elle devina la silhouette de Marc, son jeune amant, à travers le verre dépoli de la porte et se mit légèrement de coté pour lui ouvrir.
« Je suis venu avec mon petit frère. Cela va te faire plaisir, je pense, » annonça le jeune garçon, alors qu’il pénétrait dans la maison, suivi de son cadet.
Marc était serveur dans un des bons restaurants de la ville. C’est ainsi qu’Aline l’avait rencontré la première fois, en lui demandant de lui indiquer les toilettes de l’établissement.
Brun et grand, environ 1m85, d’allure assez bcbg, athlétique, souriant, il avait à peine 20 ans.
Son jeune frère, qu’elle ne connaissait pas, était plus petit, un peu rondouillard pour son âge, avec un visage encore poupon et rieur.
« Entrez vite… », répondit-elle en refermant la porte prestement derrière eux, alors qu’ils se retournaient pour la découvrir presque nue.
« Je suis sure que je vous plais comme ça mes chéris ? » poursuivit Aline en se déhanchant, une main sur le coté, tandis qu’elle rajustait sa coiffure de l’autre, les jarretelles noires tendues de son ventre au haut de ses cuisses.
« Tu le sais bien que tu me plais comme ça… » et, se tournant vers son petit frère : « Tu vois comme elle a l’air bonne… Je suis certain que tu n’en rencontreras jamais une autre comme ça ! » conclut-il avant de s’approcher d’Aline pour lui prendre la taille, et l’embrasser doucement sur la bouche.
Marc sentit les mains de sa maitresse se poser sur ses épaules, sa langue lui remplir la bouche pour chercher la sienne, la titiller, l’exciter !
Leurs bouches glissaient maintenant l’une contre l’autre, le garçon descendaient ses mains sur les fesses, l’arrière des cuisses d’Aline, les remontaient le long de son dos… se collait à elle, lui faisait sentir son érection… Cela se passait sous le regard un peu timide de David, qui ne savait pas quoi faire, embarrassé par la scène, mais très attentif aux moindre détails.
Aline se détacha de son jeune amant pour lui prendre la main, ainsi que celle de son petit frère, et les conduire au salon comme deux enfants.
Une fois le seuil de la pièce franchi, elle abandonna leurs mains pour passer les siennes sur leurs braguettes, pour palper leurs sexes déjà durcis à travers leur jeans et qu’elle sentait encore grossir.
« J’ai l’impression que je vous plais… » dit-elle en les abandonnant debout, alors qu’elle reprenait sa pose dans le fauteuil, une cuisse repliée sur un accoudoir, offerte à leurs envies.
Les deux frères se regardèrent un instant et s’approchèrent pour se positionner face à leur maitresse.
Celle-ci se rassit normalement sur le bord du fauteuil. Doucement, Aline passa la main sur le ventre de Marc, lui enveloppant sensuellement de la main la bosse formée par son sexe gonflé, puis s’occupa ensuite de David, qui, semble-t-il, n’avait rien à envier à son ainé.
« Vous allez me faire du bien avec vos belles queues, mes amours… votre Aline en a grand besoin ! » leur dit-elle en les regardant, droit dans les yeux, chacun leur tour.
Elle leur souriait et se passait la langue sur la lèvre supérieure pour les provoquer.
Les deux garçons continuaient d’être très excités.
Marc et David sentaient leur sexe à l’étroit et attendaient que les doigts agiles de la femme tire sur le zip de leurs braguettes pour libérer leurs membres raides.
Ils regardaient Aline prendre du plaisir à les masser, sentaient ses mains sur eux, ses doigts tantôt presser leurs membres, tantôt les caresser. Elle approchait parfois sa bouche pour les mordre doucement à travers la toile épaisse. Ils lui passaient alors les mains dans les cheveux, sur les joues pour l’encourager. Ils plongeaient leur regard vers Aline, afin d’apercevoir les seins lourds de leur maitresse pendre librement et remuer de façon appétissante à chacun de ses mouvements.
« Elles sont bien dures, je sens bien vos bites. Vous voulez que je les libère ? J’en ai très envie en tous cas… » reprit la femme, alors qu’elle tirait sur la fermeture de Marc qui, en même temps, défaisait sa ceinture et le bouton de son pantalon.
« Tu vois Aline, je n’ai rien mis, comme toi… » lui dit ce dernier, alors qu’Aline voyait le sexe épais du garçon jaillir sous ses yeux, de la braguette grande ouverte.
« Elle me plaît toujours autant tu sais… » répondit-elle alors qu’elle laissait glisser doucement le bout de ses doigts le long de la verge, du ventre vers le gland… Puis elle repartait, jouait avec les poils pubien du jeune homme, revenait le long de la verge, la pressait légèrement entre ses doigts pour la faire encore grossir, se redresser…
Elle se tourna ensuite vers David, très intimidé mais fasciné par la douceur et la perversité de la maitresse de son frère.
« Et toi mon chéri… montre moi tout aussi… j’espère que tu es bien membré, comme ton frère… C’est une belle pièce de jeune homme que tu as là… ! On va se régaler tous les trois » lui dit-elle après avoir ouvert la braguette du jeune garçon, ce dernier ayant baissé son slip pour libérer son sexe.
Assise face aux deux frères, toujours debout et bien campés, elle prit leurs sexes, un dans chaque main, pour commencer à les masturber tous les deux en même temps, les invitant à se décaler légèrement de chaque coté du fauteuil pour être plus à l’aise.
Deux bites à la fois… elle en raffolait depuis que son ex l’avait initiée à l’échangisme, et qu’ils avaient, ensemble, fréquentés les clubs de la région, rencontrant indifféremment hommes et femmes et mêmes des transsexuels.
Le temps de son mariage, Aline avait assouvi son addiction sexuelle avec son mari, jamais sans qu’il ne participe ou ne l’accompagne dans ses expériences, même les plus inavouables, qu’elle raconterait sans doute un jour à qui saurait les apprécier.
Elle tenait maintenant les deux queues épaisses enserrées dans chacune de ses mains et, tournant la tête, ouvrit la bouche pour engloutir celle du plus jeune. Il se raidit alors sur ses jambes, en sentant le souffle chaud d’Aline le long de sa queue. En même temps, elle tenait toujours celle de Marc de l’autre main, maintenant décalottée.
Aline se remplit la bouche et saliva du plus qu’elle pu pour rendre sa caresse agréable en refermant ses lèvres chaudes sur la verge de David. Elle sentit la main de celui-ci sur sa joue, la lui caresser doucement pour l’encourager.
« Suce bien mon petit frère… après tu t’occuperas de moi ! » lança Marc. Il aimait sentir la main de sa maitresse l’enserrer et le masturber avec application, comme elle s’y employait maintenant, sans le regarder, tout en suçant son petit frère.
Seul le souffle régulier d’Aline résonnait dans la pièce, quelques gargouillis de salive ponctuant parfois la fellation, signe qu’elle s’appliquait davantage encore.
David avait à peine 18 ans. Son physique ne lui avait pas permis de multiplier les expériences, mais il se savait bien membré pour son âge.
Cela ne l’empêchait pas non plus d’être très cochon et accro de porno. Aline le comprit lorsqu’il se comprima la base du sexe pour qu’il soit plus gros encore dans sa bouche, l’obligeant à l’ouvrir plus grande pour pouvoir bien l’entourer de ses lèvres.
« C’est vrai qu’elle suce bien, ta copine » lança David à son frère.
Marc regardait la fellation avec envie. Il voyait Aline plonger sur la verge luisante de son frère, remonter ensuite pour, d’un coup de langue lui astiquer le gland violacé, puis la reprendre d’un coup en descendant lentement dessus. Il caressait sa maîtresse pour l’encourager, se penchant pour pouvoir lui agacer les seins qui ballottaient maintenant au rythme de la fellation.
Du bout de la main, du bout de ses doigts, de son index agile, il agace les pointes durcies pour les rendre plus sensibles et érectiles.
Aline abandonna la queue de David, qu’elle ressortit toute luisante de sa bouche, satisfaite du calibre qu’elle avait obtenue. Elle tourna le visage pour plonger aussitôt sur le gland épais et brillant de désir de Marc, salivant encore dessus pour mieux se l’enfoncer dans la gorge ensuite.
David prit sa queue dans
« Encore ma chérie, suces moi bien… oui… comme ça… suce comme une grosse salope que tu es ma chérie… oui… t’arrêtes pas.. ! » encourageait le garçon, alors qu’Aline, essoufflée, relevant les yeux, cherchait son regard pour le provoquer, malgré les mains de son partenaire qui lui pressait le visage le long de sa verge.
Aline sentait toujours la queue de David lui parcourir le visage, se frotter sur ses joues, tandis qu’il se masturbait lentement devant elle pour l’exciter encore.
Elle ondulait en même temps sur le cuir chaud du fauteuil, calmant ainsi provisoirement la chaleur de sa chatte.
Les garçons la voyait ainsi se frotter sur le fauteuil, imaginant sa mouille luisante laisser des traces sur le cuir, comme une limace ou un escargot !
« Vas-y salope, suce bien mon frère… applique toi… et regarde ma grosse queue que je branle devant toi… regarde-la bien aussi… elle va te défoncer le cul ! » lança le plus jeune, sans retenue et trop excité maintenant par ce qu’il voyait. Il ne maitrisait plus sa pensée.
Aline adorait être traitée de salope, de chienne, dans ces moments la. Cela l’encourageait et lui donnait envie de mériter ces compliments.
Elle aimait sucer Marc, sentir sa belle queue épaisse lui remplir la bouche, recevoir son gland épais pour qu’il s’écrase au fond de son palais, l’enduire de salive pour que la caresse lui apparaisse la plus douce possible. Elle aimait sentir vite le sperme monter le long du membre, et en avoir les premières gouttes en bouche.
D’une main, elle attrapa le sexe tendu de David et rouvrit trés grand la bouche pour le prendre, et sucer les garçons en même temps. Les deux frères se rapprochaient pour faciliter la caresse buccale.
« Salope !!!... que c’est bon… suce-nous à fond, masse nous les couilles ! » cria Marc, alors qu’Aline était maintenant transpirante, et soufflait bruyamment à chaque succion. La salive lui dégoulinait abondamment de la bouche, qu’elle ne pouvait plus refermer, trop remplie par les deux sexes décalottés !
« Encore… encore, sale garce… oui… tu les sens nos belles bites ?elles sont pour toi ! »
Aline était dopée par les encouragements des deux garçons, allait et venait sur les deux sexes qui lui déchirait la bouche, bavant comme une chienne en chaleur car elle ne pouvait plus déglutir.
Elle sentait leurs mains maladroites appuyer sur sa tête, poussant dessus comme si elle allait les avaler encore plus loin…
Marc et David sentait leurs bites chaudes et enduites de bave qui glissaient l’une contre l’autre dans la bouche de cette chienne d’Aline.
Cela les excitait grandement, et ils essayaient de la rentrer chacun leur tour, comme pour baiser leur amante par la bouche, tandis que celle-ci leur malaxait les testicules !
Leur maitresse releva la tête et lâcha les verges gluantes, regarda ses amants en les tenant par les couilles.
Elle entendit un léger bruit, et vit la fenêtre s’ouvrir plus grand. Elle comprit qu’Astrid était là, en train de les regarder. Peut-être même se branlait-elle…
Elle se rejeta en arrière pour se caler dans le fond du fauteuil, assise sur le bas du dos… Elle reposa instantanément ses longues jambes, terminées par ses chaussures à talon sur les accoudoirs. Elle se mit les mains sous les cuisses, et les remonta vers elle en les écartant pour s’offrir, repliée, dévoilant sa chatte duveteuse et ourlée et même son petit trou rosé, aux regards lubriques des deux frères. La verge dressée et luisante devant eux, ils avaient une vision paradisiaque.
« Venez me baiser, mettez moi vos bites de cheval… » les invita Aline, que la double fellation avait stimulée comme rarement. Jamais elle n’avait sucé deux jeunes bites en même temps, elle ne pensait même pas pouvoir ouvrir la bouche suffisamment pour cela.
Pour joindre le geste à la parole elle se passa le plat de la main sur le pubis puis sur la chatte, avec son index, décolla ses longues lèvres en remontant de son anus au capuchon de son clitoris…
« Elle ne vous fait pas envie ma chatte ? Ma grosse et large chatte trempée de grosse pute !!! Venez me baiser, mes chéris… elle n’attend que ça… ! » souriait-elle.
Les deux frères terminèrent de se déshabiller sous le regard de leur impatiente maitresse.
Nu le premier, Marc s’agenouilla, puis se mit à 4 pattes, le visage à la hauteur de la fente d’Aline, bien calée sur le rebord du fauteuil et complètement impudique.
Marc regardait sa maitresse ainsi soumise à ses envies, la vulve ouverte, les lèvres saillantes laissant voir le clitoris tendu et luisant.
« Qu’est ce que t’attends » lança David, nu lui aussi maintenant, « Bouffe-lui la chatte à cette chienne… elle n’attend que ça !!! »
« Viens mon chéri, occupe-toi bien de moi… regarde, je mouille déjà comme une folle… » poursuivit Aline, en repassant les mains sous ses cuisses, pour mieux les remonter en arrière, et être ainsi la plus offerte possible.
Marc fit jaillir sa langue pour la glisser entre les muqueuses écartées, allant de bas en haut, terminant sa caresse en astiquant le bouton rose de la femme offerte. Il aimait la mouille de sa maitresse sur sa langue, sur sa bouche.
Aline sentait la langue de son jeune amant l’écarter encore, s’enfoncer en elle avec envie, comme pour lui nettoyer l’intérieur du vagin puis ressortir pour s’attarder sur chacune de ses lèvres. Elle aimait aussi cette langue gourmande qui lui enroulait son bouton rose pour le masser, le caresser, l’aspirer ensuite.
Elle sentit les doigts de son amant l’écarter et, une fois encore, sa langue s’enfoncer plus loin. Alors, de ses deux mains, elle plaqua brutalement le visage du jeune homme contre sa chatte, en lui maintenant fermement la tète sans qu’il puisse la relever.
De suite, elle commença à se tortiller contre le visage du jeune homme, comme pour le recouvrir de sa mouille chaude, en l’étalant avec frénésie, pour marquer son territoire en l’encourageant.
« Vas-y… Bouffe la moi… comme ça… encore… Bouffe bien… Elle est bonne, ta salope… Dis-le qu’elle a une bonne chatte, ta pute… dis-le….. ! »
Marc, maintenant à genoux, adorait sentir les mains de sa maitresse lui plaquer la figure contre sa vulve béante et l’entendre ainsi s’exciter.
Il la sentait se frotter contre lui en ondulant du bassin, sentait les muqueuses gonflées s’écraser contre son visage, s’aplatir sur sa bouche. Elle voulait se pénétrer de son nez, sentir son menton à peine rasé lui agacer les lèvres intimes, sa bouche lui pincer le clitoris pour le mâchonner doucement et accroitre encore son excitation.
Marc aimait étancher sa soif de sexe en aspirant la mouille abondante et suave de sa maitresse, il aimait en être couvert
David regardait la scène avec envie.
Le garçon était stimulé par les bruyants gargouillis de bave et de mouille mêlés, le souffle court de son frère et les gémissements réguliers, parfois rauques, d’Aline qui avait encore les deux mains crispées sur la tète de Marc, les cuisses gainées de noir toujours repliées en arrière et bien assise sur son dos.
Il vint sur le coté du fauteuil et offrit sa queue à la bouche ouverte de la femme qui, tournant la tête, l’ouvrit plus grande pour l’avaler et se refermer sur lui en lui tenant la verge.
Marc, les yeux ouverts, regardait par-dessus le ventre de sa maîtresse pour la voir, de ses lèvres maquillées, épouser parfaitement le diamètre de son frère.
David sentit la bouche chaude se refermer sur lui et plaqua ses deux mains de chaque coté du visage d’Aline, lui maintenant fermement la tête à hauteur de sa queue.
Elle comprit de suite que ce dernier voulait la baiser ainsi et se décala légèrement pour qu’il soit bien à l’aise, sans gêner Marc dont la langue la rendait folle.
Elle ondulait maintenant sans retenue contre le visage de son amant. Ce dernier, à genou devant le fauteuil, les mains plaquées sur l’arrière des cuisses d’Aline pour bien les lui repousser et les tenir grandes ouvertes, était plus à l’aise pour la dévorer.
Aline écrasait ses lèvres contre sa bouche, contre son menton râpeux, ce dernier lui léchant le petit trou dés qu’il en avait l’occasion en laissant de la salive sur l’iris brunâtre de sa partenaire.
David commençait ses allers-et-venues dans la bouche d’Aline, qui soufflait bruyamment d’excitation et d’effort, au fur et à mesure qu’il accélérait la cadence, prenant bien soin de lui enfoncer son membre le plus loin possible.
Le jeune garçon voyait sa queue coulisser sans peine, comme aspirée. Aline soufflait à nouveau comme une bête de somme, le ventre en furie et le petit trou de plus en plus gourmand.
« Vas-y salope… suce… encore… t’aimes la bite, toi !!! », l’encourageait David, tout en lui maintenant la tète toujours fermement. Marc, lui, recevait des coups de reins de plus en plus violent de la part de la cochonne, et sentait sa jouissance monter contre son visage détrempé.
David se servait de la bouche d’Aline comme de sa chatte !
« Oui… Oui… c’est… ça… oui… » criait-il maintenant à l’attention de sa maitresse dont le maquillage coulait légèrement.
Aline reçu le violent jet de sperme au fond de la gorge alors qu’il lui rentrait complètement son membre dans la bouche, collant ses couilles au visage, l’empêchant de respirer un instant.
Elle eut un hoquet, recrachant la semence qui restait accroché à sa bouche et dégoulinait sur son menton.
David sentait son jus jaillir par saccades à l’intérieur de la bouche refermée de la suçeuse, dont il écrasait maintenant le visage contre son ventre. Il se vida totalement, Aline ne perdait plus une goutte de sa jouissance et lui massait en même temps les testicules avec passion pour en extraire la dernière goutte.
Alors que David ressortait de sa bouche, long et assoupli, elle sentit la langue de son amant s’enrouler délicatement autour de son clitoris durci d’envie pour l’aspirer avec plus d’application qu’auparavant.
Aline donna un violent coup de reins en libérant ses jambes des mains de Marc et hurla sa jouissance
Marc reçu la décharge de sa maitresse dans la bouche, une véritable éjaculation, qui aurait pu lui inonder le visage.
Il lui passa les mains sous les fesses pour bien la maintenir, alors qu’elle donnait de violents coups de reins contre lui, qu’elle écartait les jambes comme jamais, les refermaient aussitôt, essayait d’enserrer sa tête et sentir les joues chaudes de son amant contre ses cuisses…
Elle se sentait secouée comme une chienne par cet orgasme, sentait sa mouille jaillir et inonder son amant, cherchant à lui plaquer plus fort encore le visage contre sa chatte béante et brulante, dégoulinante même pour se frotter sans retenue contre lui…
« C’est bon… Encore… encore ! » continuait-elle de crier sans aucune retenue.
Marc savait l’exciter plus encore, en lui caressant, du bout du doigt, son petit trou qui s’ouvrait alors sans difficultés, comme pour aspirer ce qui se présentait à lui.
« Enfonce….. Enfonce…. !!! » râlait autoritairement Aline.
Ne sentant pas son anus s’ouvrir suffisamment, toujours parcourue de spasmes jouissifs, elle se redressa.
Les yeux dans le vague, la bouche grande ouverte toujours maculée de sperme, la poitrine gonflée, elle se retourna et se mit à genoux dans le fauteuil, tournant le dos à son amant pour lui offrir ses fesses.
Les mains crispées sur le dossier en cuir, les cuisses écartées et calées par le bas des accoudoirs, elle se cambrait au maximum, sentant sa chatte béante ouverte dans l’attente d’être ravagée.
David, toujours debout à coté du fauteuil, lui passa la main sur le haut du dos, descendant ensuite sur ses flans puis le long de ses mamelles pendantes, les caressant tendrement, les prenant à pleine main pour les malaxer fermement mais sans brutalité.
Aline tourna la tète vers Marc demeuré derrière elle, le visage luisant de son jus, souriant et le sexe à la main.
« Encule-moi mon chéri… viens-vite me bourrer le cul, mon amour… ! » supplia Aline, encore toute tremblante de son orgasme.
« Vas y frérot… défonce-lui le cul à cette chienne… elle est trop bonne… » renchérit David à l’attention de son frère ainé. Maintenant debout, il commençait à caresser les reins d’Aline de son sexe, lui frappant les fesses pour les faire claquer, les faire remuer.
Aline sentait les coups de bite sur son cul, sentait l’excitation de son amant croitre encore…
Marc se pencha au dessus de la croupe d’Aline et laissa tomber de la salive entre les fesses de sa maitresse. Il regarda ensuite avec délectation le liquide blanchâtre dégouliner dans sa raie, peu profonde et large, glisser doucement jusqu'à son anus… couler encore en s’accrochant aux poils déjà collés par la mouille et la salive de son luisant entrecuisse…
Elle sentait le liquide chaud lui couler entre les fesses, lui caresser doucement le petit trou.
« Encule-moi… encule-moi… » suppliait-elle encore, en criant sans retenue, ayant oublié depuis longtemps que sa voisine était souvent à l’affut de ce qu’il se passait chez elle.
Marc présenta son gland dur et luisant devant le petit orifice de sa maitresse.
Il commença par étaler la salive qui y était resté accroché, remontait son gland, redescendait entre ses petites lèvres elles aussi ressorties… Aline sentait la caresse du bout brulant, de son jeune amant. Elle tendait ses fesses pour essayer de s’entrouvrir avec, Marc prenant alors bien soin de reculer de quelques centimètres pour à peine frôler l’iris anal et accroitre ainsi la gourmandise de sa maitresse, à la rendre folle.
Il voyait son anus s’entrouvrir tout seul… comme s’il le réclamait Il repassait son gland dessus, celle-ci donnant maintenant de violents coups de reins pour s’ouvrir avec.
Il vit alors son jeune frère, à quatre pattes, passer à ses pieds pour venir se caler sur le dos, sous sa maitresse, qui ne bougea pas pour permettre à l’adolescent de se faufiler et de venir bien se positionner.
David se mit à l’aise, bien assis au fond du fauteuil, les cuisses écartées, il se masturbait d’une main pour faire grossir à nouveau son sexe, regardant la peau de sa verge coulisser avec délice, libérant son gland luisant.
Aline comprit ce que celui-ci voulait faire et entrepris de l’exciter en ondulant, laissant libres ses lourdes mamelles pendre sous le regard gourmand du jeune garçon qui cherchait à caresser les pointes dressées.
Marc profita de cet instant pour présenter son gland devant l’anus de sa maitresse et, d’une poussée, lui ouvrit le cul en l’attrapant par les cheveux pour la cambrer davantage encore et rentrer en elle d’un seul coup.
Elle en bavait de plaisir sur le visage de David. Ce dernier jouait avec les pointes durcies de cette belle femelle d’Aline, en tirant dessus avec ses doigts, en les faisant rouler entre son pouce et son index
Elle sentait son petit trou bien dilaté, la bouche ouverte, les yeux hagards, concentrée, elle goutait cette délivrance sexuelle et en réclamait encore !
« Vas-y mon chéri… Défonce mon trou du cul… occupes-toi de ta salope !!! »
Aline était agrippée au dossier du fauteuil et, complètement cambrée, encourageait son jeune amant. Elle sentait en même temps les mains de David lui malaxer les seins pendants, et sa queue chercher à s’introduire dans sa chatte ouverte de plaisir.
Marc relâcha quelques instants sa maitresse pour qu’elle puisse s’empaler sur la verge de son frère.
Il ressorti sa bite en se délectant de la vision de cet anus bien rond, épousant parfaitement son diamètre, qui se distendait sous ses mouvements de va-et-vient. Maintenant qu’il ne le remplissait plus, il lui apparaissait comme un bel orifice ouvert et dilaté, prêt à l’accueillir à nouveau ou même quelque chose de plus gros encore.
Il vit la queue de son frère pénétrer d’un coup la chatte de sa maitresse.
« Ouiii… Bien au fond de ma chatte… »
Celle-ci chercha la bouche de l’adolescent pour l’embrasser goulûment avant de se coucher sur lui pour mieux le sentir en elle, écrasant alors ses gros seins sur le jeune garçon. Aline sentit les mains de David se plaquer sur ses fesses pour mieux les écarter, sous le regard de plus en plus lubrique de Marc qui prit cela pour une nouvelle invitation à la sodomiser.
Aline releva la tète et la tourna légèrement pour tenter d’apercevoir Marc, pour l’encourager du regard.
Le jeune homme vint se coller à sa maitresse en s’agrippant à ses deux bourrelets formés au dessus des hanches et lui enfonça d’un coup son membre jusqu’aux couilles, fermant les yeux de bonheur tant le trou d’Aline était bon.
Il sentit la queue de son frère dans la chatte d’Aline. David commençait déjà son va-et-vient, Marc essayant de se synchroniser.
Elle soufflait de bonheur, bavait comme une femelle lubrique.
Marc, maintenant sans bouger, lui caressait le dos, les fesses, les flans avec douceur pour bien la détendre, la mettre en confiance pour qu’elle puisse donner tout ce qu’elle a au bon moment.
David recommençait à aller et venir en elle, Marc sentant la tige de son frère coulisser à nouveau contre la sienne !
« Oui, allez-y les garçons, profitez de moi, j’en bave de plaisir…» souffla Aline, bien prise entre les deux garçons.
David accélérait la cadence alors que Marc commençait maintenant à aller et venir.
« Ah… dans le cul oui… comme ça… encore ! » criait Aline complètement dominée par les deux frères, dont les queues la remplissait chacun leur tour, en cadence, ne la laissant pas respirer.
« C’est bon ça… encore, oui… la chatte oui… comme ça… bourre-moi bien….» continuait Aline qui reprenait maintenant sa concentration, pour faire monter son plaisir et exciter ses partenaires.
« T’aimes ça, ma salope…. t’aimes ça hein !!!... dis-le que t’aimes ma bite…. Dis-le !!! » ordonna Marc, agrippé aux hanches d’Aline, qu’il pilonnait sans retenue, sans s’occuper de ce que faisait même son frère, tant il voulait se libérer.
« Oui… mon chéri… j’adore ta grosse bite… mets-là moi bien… !!! explose-moi le cul…. Fais-moi jouir comme ta truie… vas-y encore » répondit Aline en criant de bonheur, cambrée et recevant les assauts de David, qui n’arrivait pas à lui remplir sa large chatte de femme mature, top dilatée maintenant.
L’adolescent la pénétrait pourtant à fond, la sentait mouiller de partout. Son jus lui dégoulinait de la vulve. Le rythme de son frère s’accélérait encore.
Elle sentit les doigts de Marc lui caresser l’arrière des cuisses, tirer sur ses bas, s’agripper à ses jarretelles, puis passer sous ses fesses pour chercher aussi sa chatte.
Marc, la main toute enduite de mouille, sentit la queue de son frère et glissa deux doigts dans la chatte d’Aline pour mieux la remplir, comprenant qu’elle ne jouissait pas car David ne la satisfaisait pas.
« Oui mon chéri, ta main… mets-la moi… viens branler ma chatte !!! » lança Aline, qui n’en pouvait plus d’être au bord de l’orgasme, sans parvenir à décharger.
Elle voulait sentir le sperme de son jeune amant gicler en elle, l’inonder comme à chaque fois.
David se retira, un peu dépité et, toujours sous elle, entrepris de la caresser comme Marc l’avait fait plus tôt.
Aline sentit les trois premiers doigts de son amant s’introduire en elle, puis le quatrième. Marc se caressait déjà le gland à travers elle.
Marc était collé à Aline. Il se caressait maintenant en elle, et sentit le sperme monter, l’éjaculation survenir.
« Prends tout… Encore… ouiii » cria-t-il alors que de ses doigts, il venait de se faire jouir dans le petit trou dilaté de sa maitresse.
Aline reçu le jet de sperme au fond de son anus. Elle ouvrit la bouche et cria son plaisir
« Crache-moi tout….. Donne tout mon chéri…. Remplis-moi le cul…. encore….. je veux que tu m’inondes le fion !!!!! »
Aline cherchait en même temps la bouche de David, ses caresses, elle voulait qu’il lui malaxe les seins à fond, qu’il tire sur ses bouts douloureux pendant son orgasme comme pour la traire !
Aline éjacula de plaisir sous elle, sur l’adolescent qui n’avait jamais vu pareille jouissance, plusieurs petits jets de gouttelettes éparses. Elle ne maîtrisait plus ses mouvements, écartant les cuisses bloquées par les accoudoirs, cherchant de l’air, se tenant d’une main au dossier et de l’autre voulant enfoncer complètement celles de Marc qui achevait de se vider les couilles, pour ressortir du trou du cul béant de sa maîtresse.
La queue pendante et longue devant lui, Marc se laissa faire et senti sa main entière comme aspirée par la large chatte d’Aline.
Il s’agenouilla derrière elle, le visage à la hauteur de son trou dilaté et de l’arrière de la moule ouverte, il vit son pouce, collé aux quatre doigts, entrer dans la vulve béante et déchirée de la salope, qui adorait se faire fister pendant l’orgasme.
Sa main s’enfonça d’un coup, faisant hurler Aline de douleur et de plaisir
« Haa… Bourre-moi comme une salope… »
Marc ne se retint pas, et enfonça la main au plus loin qu’il put, refermant les doigts pour être plus puissant et la défoncer comme jamais, puis les ouvrant dans son vagin comme pour la caresser partout à l’intérieur !
Aline sentait le poing de son amant la défoncer, la ravager puis ses doigts la fouiller comme jamais.
Elle se laissait faire pour éteindre son orgasme… elle avait éjaculé partout, épuisée de bonheur, les seins douloureux, le trou du cul ouvert…
Marc ressorti la main non sans se régaler de voir cette vulve aux larges et longues lèvres épouser avec difficulté le diamètre de sa main. Il donna quelques coups de langue dessus pour les agacer et rendre le retrait plus facile.
Aline cria de douleur lorsqu’il fit repasser son pouce, pour ensuite s’affaler sur David qui, gentiment la caressait en lui passant les mains dans les cheveux, cherchant sa bouche pour échanger quelques coups de langues sensuels.
Marc se redressa, la verge souple devant lui. Il se pencha sur sa maitresse pour lui enserrer les épaules et la redresser.
Aline se laissa faire et se mit debout. Grace à ses talons, elle était suffisamment grande pour sentir le sexe de son amant contre ses fesses et regarder le cadet encore à moitié couché dans le fauteuil.
Elle sentit les mains de Marc lui emprisonner délicatement les seins, les soupeser avec douceur, ses doigts effleurer ses pointes encore endolories.
Aline se retourna pour déposer un baiser sur sa bouche.
Elle se détacha de lui, se passa rapidement les mains dans les cheveux pour les remettre en place, tira sur ses bas pour bien les remonter en posant une jambe puis l’autre sur la table basse, se penchant légèrement, sentant ses lourdes mamelles pendre sensuellement sous elle.
« C’était bien mes chéris… vous m’avez bien fait jouir. Regardez mon petit trou… il est encore tout ouvert !!! » leur dit-elle alors qu’elle entendit en même temps la fenêtre du salon se refermer discrètement.
Les deux garçons n’avaient rien perçu et, tandis que Marc enfilait son jean, David se relevait enfin du fauteuil, un peu endormi.
Aline su alors qu’Astrid, sa vicieuse voisine n’avait sans doute rien perdu de son accouplement bestial. Cela lui procura une certaine satisfaction. Elle espérait même que la jeune fille ait maintenant son string bien trempé pour l’après midi.
Le vestiaire en furie
Le lundi, pour bien entamer une semaine de travail acharnée, je pratique l’un de mes sports favoris, la pelote basque.
Sur l’un des terrains, mes camarades et moi avons la bonne surprise de découvrir deux équipes de filles s’affrontant avec pugnacité. Activité habituellement réservée aux hommes en mal d’efforts physiques violents, la présence de quatre jeunes et jolies filles nous met allègrement en joie.
Après deux heures d’affrontement sans relâche, nous quittons notre terrain de jeux favori pour retrouver les vestiaires. Nos alter-ego féminins font de même au même moment. Nos mines épuisées retrouvent miraculeusement un large sourire !
J’échange un regard insistant avec l’une d’entre elles. Blonde, fine, regard bleu océan, lumineuse, souriante, je suis emporté par l’aura de cette jeune sportive. Mon sang ne fait qu’un tour… Il est temps que j’aille faire un tour sous la douche pour récupérer mes esprits.
Mes amis prennent un temps minimum pour se changer et se retrouver le plus rapidement autour d’une bonne bière fraîche. Et comme d’habitude, je suis le dernier dans le vestiaire. Je n’y peux rien, la douche et moi, c’est une grande histoire d’amour, j’y resterais des heures.
Mes partenaires de jeux le savent et ne manquent jamais de me le rappeler au travers de moqueries convenues.
Enfin frais, propre, ragaillardi, mon boxer à peine enfilé, une paire de bras se saisit de mon torse. Deux mains fines et douces s’emparent de mon buste. Je me dresse, me raidit, surpris.
Un bref doute.
Me revient à l’esprit cet incroyable regard, tentant de percer mes désirs.
Je me retourne, elle est là, belle, désirable, désireuse. Elle ne dit mot, mais nous comprenons bien tous les deux qu’il ne sera pas nécessaire de parler.
J’approche ses lèvres délicatement, timidement, puis le contact est foudroyant, le doute disparaît, et le baiser devient langoureux, savoureux, fougueux.
Nous nous dévorons, nos mains avides de se découvrir, elles vont et viennent le long de nos corps respectifs, les muscles encore bandés par l’effort. Je la déshabille au fur et à mesure que je la parcours. Ces courbes sont une merveille, elle s’empare de mes fesses rebondies. Je saisis sa poitrine parfaite, ronde, ferme, dressée, sa main passe sur mon caleçon trop étroit.
Je ne sais pourquoi, mais mon impulsion soudaine me pousse à me détacher d’elle, je lui saisis le bras droit, la regarde droit dans les yeux, elle me fixe, je lis dans son regard toute sa confiance. Un tee-shirt sur le banc, un premier lien pour l’attacher au crochet servant à suspendre nos vêtements. Un pantalon de survêtement, un second lien. Elle est ainsi, devant moi, offerte, liée au mobilier du vestiaire, ses deux jambes écartées en appui sur le banc.
Nous sommes seuls, mais pour combien de temps ? Elle est là, abandonnée à mes désirs, je suis presque transi tant la situation me paraît irréelle.
Je m’assieds entre ses jambes et décide de ne pas me servir de mes mains, ma langue commence à déguster ses pieds. Je suce, j’aspire ces orteils. J’adore ça. J’adore la voir se tordre sous mes coups de langue. Je lèche ses mollets avec un plaisir non dissimulé. Sa peau frissonne, sa sensibilité s’affirme dès que j’arrive sur l’intérieur de ses cuisses. J’évite malicieusement ses lèvres intimes. Mon visage remonte le long de son bassin, je respire son parfum charnel avec délectation, je baise son joli ventre plat et musclé, ses hanches sont parfaitement marquées. Fine mais galbée, ma jeune sportive m’offre un joli cadeau.
Ses seins sont une ode à la volupté, ma langue pointe, joue avec ses tétons dressés, je la sens frissonner, je continue d’autant plus. Elle aimerait certainement que je sois plus franc, plus vorace. Elle remue pour que je la bouffe, mais je me contente de la faire souffrir en la titillant, l’effleurant, je veux la rendre folle, je veux qu’elle me supplie de la prendre à pleine bouche, que je veux qu’elle me supplie de la baiser.
Son regard me fusille, elle veut être prise. Je presse alors le pas. Mon visage vient faire face à son abricot si délicat, lisse, humide, charnu… si appétissant. Mon nez s’approche de sa vulve, je m’enivre de ses effluves aphrodisiaques. Mon appendice écarte ses lèvres, et, en un mouvement, je déploie ma langue pour m’abreuver de sa cyprine.
Pas de tanin, salé mais doux, une saveur équilibrée, un bouquet merveilleux, son jus est harmonieux, un grand cru, mes sensations sont fortes, puissantes. Sa petite chatte est si douce, si ouverte, j’y rentre et sors, la lèche, la suce. Son bouton de rose se dévoile, me réclame, je ne résiste pas. Je joue avec, mes lèvres le pressent, l’aspirent.
Mes doigts ne peuvent plus se retenir. Ils viennent vibrer sur le mont vénus de ma muse. Puis, ils se font curieux. Humides, agiles, ils l’a pénètrent, un puis deux. Curieux, ils fouillent l’antre chaleureuse de la belle. Agiles, ils ressortent pour stimuler son petit trou voisin. Celui-ci s’ouvre un peu plus à chaque passage. Ma compagne se relâche de plus en plus, son abandon s’intensifie. C’est un signe.
Ma proie ainsi prisonnière va recevoir mes assauts. Glissé entre ses jambes, ma verge déployée, je me frotte à l’intimité de ma future hôte sans pour autant la pénétrer. Je la sens tenter d’agiter son bassin pour que je la fourre, mais je veux jouer. Ma dard s’agite entre ses lèvres, et vient frotter son clitoris bien gonflé. Je vais et viens entres ses cuisses, et d’un coup sans la prévenir, mes yeux plantés dans les siens, je m’enfonce enfin dans ses entrailles.
Je ne joue plus, je rentre dans la belle comme un boxeur assène ses coups à son sac d’entraînement. Plus de ménagement, je la veux, entière, physiquement, mes assauts sont puissants, vifs, profonds, percutants. Je me retire quelques secondes pour mieux la regarder. Rougie, essoufflée, je la vois, magnifique. Elle me réclame, encore. Je bascule légèrement son bassin, je devine son petit cul dilaté. Mon gland vient relever l’affront de cet orifice caché. Il résiste, je force, il succombe. Je fête cette victoire en limant ma déesse amplement, le rythme est régulier, mais toute en longueur.
Je m’enfonce jusqu’à la garde. Je ressors, et j’y retourne, j’y retourne, je ressors…une main sur ses hanches, une mains agrippée à ses seins, je m’active dans un dernier élan de générosité. Je n’en peux plus, son anneau m’enserre, ses cris m’excitent, je râle, je la percute, son corps la lâche dans un cri de jouissance ultime, j’explose sur elle de mes jets puissants, chauds, saccadés.
Quel bonheur.
Je la détache… une bière m’attend.
Signé : un ami qui vous veut du bien…
- Commentaires textes : Écrire
L'apprentie infidèle
Je m’appelle Najia (un prénom un peu spécial qui doit être une contraction, ou une manière de prononcer, le prénom plus usité de Nadjia). Je viens d’avoir cinquante ans. Je suis mariée depuis vingt-cinq ans à un homme que je n’ai pas peur de qualifier de « parfait ». Il a cinq ans de plus que moi, bien de sa personne, sans être ni trop beau, ni trop grand, ni trop musclé, ni… Un homme normal en somme. Sauf qu’il est trop gentil, trop brave, trop calme, trop intelligent, trop… !
Jusque là, nous avions vécu une vie de couple que je qualifierai de normale. Vingt-cinq ans de vie commune, avec à la clé deux magnifiques enfants (un garçon et une fille) et une relation de couple dans laquelle le sentiment de tendresse -qui avait été le socle de notre couple- a pu venir à bout des nombreux problèmes qui avaient parsemé notre vie de famille. Nous avions toujours vécus seuls -loin de nos parents respectifs (nos belles familles) qui auraient pu nous empoisonner la vie et avions fait absolument tout ce que nous voulions. Nous avions élevés nos enfants comme nous le voulions. Ils ont tous les deux fait de brillantes études supérieures et ont émigré au Canada, où ils semblent se plaire.
Nous sommes depuis restés seuls, tel un vieux couple. Du moins, c’était ce que je croyais au moment où Lila, notre fille avait pris l’avion à destination de Montréal, pour y retrouver son frère, installé depuis deux ans. J’avoue que j’appréhendais beaucoup ce moment où Rachid et moi allions rester seuls, sans les enfants, qui avaient complètement occupé notre vie de parents. Qu’allions-nous faire de nos journées ? Comment allions-nous faire pour trouver d’autres occupations, et compenser l’absence des enfants ?
Je n’ai pas encore parlé de notre vie amoureuse, de Rachid et moi. C’était un vrai long fleuve tranquille ! Rien de vraiment extraordinaire ! Nous faisions l’amour assez régulièrement, mais je ne crois pas que ni lui, ni moi avions une seule fois atteint le nirvana en faisant l’amour ! Nous avions des jouissances « normales » ?
Aujourd’hui -l’expérience d’autre chose aidant- je peux dire que c’étaient de toutes petites jouissances, je ne sais même pas si je peux parler d’orgasmes pour qualifier ces petits plaisirs que nous prenions Rachid et moi au cours de nos étreintes.
Mais ni lui, ni moi n’avions conscience d’un manque quelconque ! La tendresse que nous avions l’un pour l’autre, suffisait amplement à notre bonheur. Et nous avions conscience que nous étions heureux. Il avait fallu que nous nous retrouvassions seuls, après le départ de nos enfants, pour que les choses changeassent et prissent une direction insoupçonnée.
Pour moi tout avait commencé par un coup de fil, vers vingt-trois heures. J’étais seule dans mon lit –Rachid était parti pour une mission de quelques jours à Hassi Messaoud et ne devait revenir que le surlendemain– et somnolais en essayant de m’intéresser à un épisode de je ne sais quelle stupide série américaine. Je pensais que c’était Rachid qui me rappelait, parce que lui aussi ne parvenait pas à dormir.
« Allo, Rachid ! Que se passe-t-il ?
- Ah non ce n’est pas Rachid ! C’est Moussa !
- ….
- Oui je sais que tu ne me connais pas ! Mais moi je te connais très bien ! Je suis un collègue de Rachid ! Un ami ! »
J’avais remarqué le tutoiement. Je me disais que le Moussa en question ne manquait pas de toupet : non seulement, il m’appelait au milieu de la nuit, mais en plus, il me tutoyait comme si j’étais sa petite amie ! J’allais répliquer méchamment avant de raccrocher…
Mais quelque chose de plus fort que moi me retenait de le faire. Peut-être la curiosité de connaître les tenants et aboutissants du coup de fil. Ou sa voix ! Cette voix particulière, grave et chaude, qui susurrait les mots. Une voix vraiment sensuelle. Je sentais quelque chose en moi qui se réveillait. Quelque chose de totalement enfoui dans mes tréfonds. Quelque chose que je n’avais encore jamais ressenti. Je prêtais donc une oreille plus attentive à cette voix.
« Tu sais Rachid n’arrête pas de me parler de toi. Pour ne dire que du bien : que tu es la plus belle femme qu’il connaisse ! Que tu es la plus gentille ! Que tu mérite de nager dans le bonheur !
- Arrête tes salades ! Rachid ne parle pas de sa femme avec des inconnus ! C’est un homme discret et pudique !
- C’est vrai, mais moi je ne suis pas un inconnu ! Je pense même être devenu son ami ! Nous nous connaissons depuis quelques mois et entre nous le courant passe très bien. Nous travaillons ensemble et nous nous voyons quotidiennement. Et je te jure que depuis quelques jours, il ne me parle que de toi ! Il m’a même montré une photo de toi. Une photo prise au cours d’une fête où tu étais en robe de soirée qui met en valeur toute ta plastique. Et je dois dire que tu es canon !
- Arrête ! Je vais raccrocher !
- Non ne raccroche pas ! Cela ne fera pas plaisir à Rachid ! Il sait que je t’appelle (c’est même lui qui m’a refilé ton numéro de portable) ! Et tu sais pourquoi, il voulait que je t’appelle ?
- Non ! Et cela ne m’intéresse pas ! Tu ne racontes que des bêtises ! Rachid n’est pas comme ça ! Il ne donne pas le numéro de téléphone de sa femme à un étranger ! Et il ne peut pas lui avoir demandé de l’appeler en pleine nuit ! Et pourquoi l’aurait-il fait ?
- Parce que c’est ton anniversaire vendredi et qu’il veut te faire un superbe cadeau ! Un cadeau qui va changer tout le cours de votre vie de couple !
- … »
Je tombais des nues. C’était vrai que mon anniversaire –mes cinquante ans– tombait le vendredi suivant. Rachid m’avait toujours offert des cadeaux de valeur pour chacun de mes anniversaires; mais de là à m’offrir quelque chose qui allait changer le cours de notre vie de couple, par l’intermédiaire d’un étranger… Je n’arrivais pas à comprendre. D’ailleurs que signifiait le fait de vouloir changer notre vie de couple ? J’étais très bien comme ça et je n’avais jamais fait la moindre remarque qui pouvait montrer que j’avais envie de changer quoi que ce soit dans ma vie.
Qu’est-ce qui n’allait pas dans notre vie de couple pour vouloir la changer ?
« Je ne comprends absolument rien à ce que tu racontes. Il n’y a rien à changer dans notre vie de couple ! Nous sommes très heureux comme cela !
- Bien sûr que vous êtes heureux ! C’est ce qu’il n’arrête pas de me dire ! Mais il vous manque quelque chose de fondamental et lui s’en est rendu compte depuis quelque temps !
- Quoi ?
- Une vie sexuelle vraiment à la hauteur ! A la hauteur de vos désirs ! De vos fantasmes ! Rachid pense qu’il ne t’a encore jamais donné tout le plaisir auquel tu avais droit. Il pense qu’il a manqué à son devoir de mari : il n’a pas pu – ou su – être un amant à la hauteur. Il pense avoir manqué de courage pour te mener sur la voie de l’érotisme. Il avait toujours eu peur de te scandaliser en te proposant certaines choses que tu aurais prises pour des perversions ou des déviations contraires à la morale. Il a toujours pensé que ton éducation kabyle traditionnelle t’empêchait de t’ouvrir sur le vrai plaisir du sexe. »
J’écoutais ce que disait Mouloud, sans trop comprendre ce qui se passait. C’était comme si le ciel me tombait sur la tête ! Je n’avais encore jamais imaginé Rachid pensant de telles choses, et surtout les avouer à un autre homme ! J’avais bien remarqué que mon mari était tenté de faire, de temps en temps, certaines choses avec moi pendant nos ébats. Il n’avait jamais trop insisté, peut-être parce qu’il me voyait me cabrer et croyait que j’étais foncièrement opposée à ces choses là.
J’avais, par exemple, souvent remarqué qu’il aurait bien voulu me sodomiser -certaines approches pendant nos ébats me le suggéraient fortement– mais il n’allait jamais trop loin en voyant que je me crispais, ce qu’il interprétait comme un refus de ma part d’aller sur ce terrain.
Les seules incartades qu’il se permettait –et qui me mettaient en joie quand elles se produisaient– c’était des moments de cunnilingus torrides qui me procuraient un plaisir intense que je n’osais pourtant pas trop montrer, de peur d’être mal jugée.
Je me permettais moi aussi, de temps en temps, de tenter une petite fellation, pensant que Rachid allait aimer (et il aimait, mais sans oser me le dire) mais qui s’arrêtait toujours à mi-chemin : il n’osait pas aller trop loin dans ma gorge et surtout, il se retenait de jouir dans ma bouche (ou sur mon visage) pensant certainement que je n’aurais pas aimé.
Je venais de découvrir, en écoutant Moussa parler du couple que nous formions depuis plus de vingt-cinq ans Rachid et moi, que nous sommes passé à côté de beaucoup de choses. Et, à mon grand étonnement je sentais mon corps qui se réveillait. C’était comme s’il sortait d’un long, très long, sommeil.
Mon cœur commençait à battre très fort, le bout de mes seins durcissait, mon bas-ventre me titillait.. Et, à mon grand étonnement, je sentais que ma chatte se mettait à couler et à mouiller ma culotte. Une douce chaleur s’emparait de moi et irradiait sur tout mon corps. Je n’avais encore jamais ressenti cette sensation de désir irrépressible s’emparer ainsi de tout mon corps. Ou bien c’était il y a tellement longtemps, quand j’étais encore une jeune fille en fleurs et avant que ne commençât ma vie de couple.
La voix grave et sensuelle de Moussa ne faisait qu’accentuer cette sensation de désir qui m’étreignait et ce besoin de me toucher. Inconsciemment ma main droite se promenait sur mes seins : tout en écoutant les paroles qui me parvenaient du téléphone portable, j’étais entrain de me caresser. Mes doigts palpaient doucement un téton puis l’autre en les enroulant comme s’ils étaient deux billes faites de chair ferme. Mais au lieu de me calmer, cela ne faisait qu’accroitre mon envie de faire l’amour. Une envie dont je commençais à me rendre compte et qui me mettait mal à l’aise.
Mais rien n’y faisait : j’avais de plus en plus envie.
A cette époque, je n’osais pas encore mettre les mots qu’il fallait sur mes sensations. Je n’osais pas m’avouer que je voulais être tirée, baisée, niquée... Je me disais seulement que j’avais envie !
J’avais envie que l’homme qui était à l’autre bout du fil apparaisse soudain devant moi et me fasse l’amour. J’avais envie qu’il me dise que je lui plaisais et qu’il voulait venir me rejoindre dans mon lit. J’avais envie qu’il me fasse tout ce que lui avait envie de me faire, même les choses inavouables pour une femme éduquée de manière aussi traditionnelle que moi. Moussa lui continuait de me parler sans élever la voix, comme s’il voulait que je me concentre sur elle pour saisir tout ce qu’il était entrain de dire.
« Rachid pense que vous avez trop perdu de temps avec la morale ambiante. Qu’il est temps que lui et toi passiez aux choses sérieuses. Que vos corps et vos âmes exultent ! L’un avec l’autre ! L’un grâce à l’autre ! Et même avec d’autres ! Je vais te dire quelque chose qui va t’étonner -et peut-être même te choquer- Rachid désirerait te faire vivre une vraie expérience sexuelle avec un autre homme : moi !
- … »
Je ne disais toujours rien. J’allais de surprise en surprise. Mon mari voulait m’offrir à un autre homme ! A Moussa ! Afin que je vive une expérience érotique torride et inoubliable ! Que j’apprenne ce qu’est réellement le sexe ! Que j’en devienne accro ! Et Moussa était ce cadeau d’anniversaire exceptionnel que voulait me faire mon mari pour mes cinquante ans. J’étais très partagée : d’un côté j’en voulais à Rachid de se comporter ainsi. Je me disais que pour en arriver là, il fallait qu’il n’y ait plus chez lui un seul gramme d’amour envers moi. S’il m’aimait toujours, il ne pouvait pas penser une seule seconde à m’offrir à un autre homme. S’il m’aimait, il ne pouvait qu’être jaloux et chercherait à me garder pour lui tout seul.
D’un autre côté, tout ce que disait Moussa me remplissait d’un sentiment bizarre : le sentiment d’être importante et de plaire. Le sentiment de susciter du désir chez les hommes. Le sentiment d’être devenu un objet sexuel. Et c’était loin de me déplaire. Je voulais plaire aux hommes. Je voulais qu’ils me désirent ! Je voulais qu’ils bandent pour moi ! Je voulais être celle qui les empêcherait de dormir ! Celle sur qui ils se branleraient la nuit ! Et Moussa continuait de parler.
A suivre....
- Commentaires textes : Écrire
L'infirmière - la suite
Quinze jours se sont passés. Entre temps y a 2 semaines elle était de l âpre midi et la semaine suivante elle était en vacance. On est le lundi 6 juin de cette année, le soleil se montre timide, il fait un peu froid. J'ouvre les yeux, je tourne ma tète vers la porte entre ouverte, et j’entends une belle voix féminine qui mettait pas inconnue, oh non pas inconnue du tout ! Cette voix pleine de chaleur dit sur un ton sur d’elle à ses collègues :
« Je vais m’occuper de la chambre 310 ! »
Je me mis à sourire légèrement, je fis semblant de dormir jusqu'à entendre un léger mais joyeux frappement à la porte. Mais vu qu’elle était ouverte ; elle rentra directement dans la chambre.
Toujours en fermant les yeux, j’essaye de deviner ses faits et gestes. J’entendis la porte se refermer assez vite, puis un bruit de roulette ? j’ai immédiatement compris qu’elle venait pour me prendre la tension. Elle s’approcha de moi, et posa délicatement ses lèvres sur les miennes :
« Coucou, ca va ? bien dormi ?
- Coucou mademoiselle, ca va et toi ?
- Tu m’as manqué…
- Merci, c’est gentil. Le réveil de l’autre jour n’a fait que hanter mes esprits… »
Et en m’accrochant le brassard autour du bras droit, elle me dit au creux de l oreille :
« Ah oui ? Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. Tu es le seul patient à m’avoir fait craquer comme ça… »
En me regardant, elle mit sa main droite sur ma cuisse.
« C’est moi qui m'occupe de toi aujourd'hui, on a le temps ! Non ? »
Je souris légèrement je me redresse un peu au dessus du lit et je n avez qu’une hâte : qu’elle enlève le brassard pour pouvoir articuler mon bras dans tout les endroits que je voulais visiter… Et croyez-moi, à partir de cette instant, je savais que mon exploration allait être longue !
« 13.2 Pour un réveil, c’est déjà pas mal… »
Avec sa main gauche, elle posa mon traitement sur la table et avec la droite, elle écarta ses doigts, tendit sa main et me la mit au panier. En la posant ainsi, elle me sourit en me caressant tout le matos par dessus le boxer. Alors une fois le brassard enlevé, je m’empressai de mettre la mienne sur son beau cul bombé. Je le lui caressais, et lui murmurais d’une voix gourmande :
« Ma main bouge toute seule, je la contrôle pas..
- Humm... C’est la prise en charge médicale qui fait son effet, dis donc ! »
Elle glissa sa main sous mon boxer, sortit ma bite de mon boxer et en retroussant légèrement le drap du coté droit jusqu'à l’avoir sous les yeux. En passant ma main à l’intérieur de son pantalon élastique (sa tenue de travail avec la blouse), me voilà parti à jouer avec la ficelle de son string…
Elle soupira :
« Mhum je la sens grossir de plus en plus… J’adore ta bite ! »
Je m’assieds sur le lit je la rapproche vers moi, toujours en jouant avec son string.
Je lui soufflais dans l’oreille :
« Aujourd’hui, c’est mon tour….
- Ah oui ? Et tu vas me faire quoi ? »
Sans répondre par des morts, ma main gauche attrapa le côté droit de sa blouse, je me mis face à elle. Attentive, elle avait arrêté de me branler. Ma queue était sortie de tout son long, droite de mon excitation.
Je fis sauter toutes les pressions d’un coup, et d’un léger mouvement de poignet sur ses fesses.
Elle se colla à moi, et me voila parti à lui manger sa belle poitrine, que je n’avais pas encore vue d’aussi. Elle avait une belle poitrine bien ferme, avec des tétons de plus en plus durs.
Je les léchais rapidement en la regardent droit dan les yeux, tellement j’étais excité. Je commençai à me branler, lui ôtant ma bite de es mains, tout en continuant à lui lécher le sein droit et le sein gauche tour à tour.
Je lui lançai un regard noir, car elle reprit ma queue pour me branler. Je ne voulais pas ça !
Pourtant, je lui pris la main, sachant que j’allai diriger les choses. Je me levai, m’installai dans mon fauteuil, et lui demandais de me conduire dans la salle de bains. Elle obtempéra, et ferma la porte derrière nous.
« De toute façon, j’ai ma douche à prendre non ? »
Je ne lui laissai pas le temps de répondre, et je dégrafai son soutien-gorge, que je n’avais pas pris le soin d’enlever tout à l’heure. Me revoilà parti avec de grands coups de langue qui parcouraient tout le diamètre de ses seins et le bout de ses tétons. Elle me caressa les cheveux :
Monsieur sait s’y prendre ! Mhumm, ouiiiiiiiiii, c’est bon… Continue… »
Je baissai son pantalon par derrière, il glissa très facilement le long de ses chevilles. Je vis pour la première fois mon infirmière en petite tenue ; toute gênée et déboussolée de voir que les rôles avaient changé. Elle me regarde timidement avec un de ses doigts dans sa bouche.
Je parcourrai tout son corps avec deux doigts, en touchant ses belles lèvres humides de son excitation, de son cou tout lisse, le contour de ses seins, de ses tétons que je pince. Avec ma main droite, je lui baissai le menton pour qu'elle rapprocha son visage de moi, car j’étais bien plus bas qu’elle, du fait de ma position assise.
Elle m’embrassa langoureusement, je lui enlevai son string. Une fois su ses chevilles, elle le retira complètement. En se baissant pour le ramasser, je saisis ses mains pour lui mettre le long de son corps, et je la pivotai. Elle m’offrit son beau petit cul que je commençai à bouffer et à masser comme un mort de faim.
Je lui écartai les fesses et je pris ma bite en main. Elle était bien bandée, et je fis descendre ma belle infirmière dessus. Mon gland s’enfonça entre les fesses douces et fermes. Ce mouvement commença à la faire gémir doucement, jusqu'à lui rentrer l’intégralité de mon gros sexe dans le vagin. Ca y était, elle était assise sur moi…
« Oh oui !!! C’est bon, continue, j’adore ! Oh ouiii !!!
- Chut on va se faire repérer !!! »
Je posais ma main sur le clito pour le masser, et l’autre main, sur sa bouche, pour qu’elle crie moins fort/
« Oh ouiiiii !!!
- Tais-toi, bordel ! »
Son bassin faisait des va et viens sur moi. Elle s’agrippa aux accoudoirs du fauteuil, et avec la cadence de ses mouvements, mes boules résonnaient sur ses petites fesses. Je lui mordillais l’oreille
« T’aime ça, hein ? C’est moi qui vais te soigner…. »
Devant son excitation qui montait, elle se retira en prenant les devants :
« Tais-toi, je veux pas t’entendre. Elle ouvrit la porte, me poussa jusqu’au lit, me porta (je fais 45kg tout mouillé, alors ça vite)
Elle s’allongea à coté de moi :
« Prends-moi encore la chatte ; fais-moi voir de quoi tu es capable… »
Sans attendre la réponse, elle me chevaucha, prit ma bite, et l’introduisit directement en elle. Elle dosa elle-même la cadence des allers et retours, leva un peu la tète et prit appui sur la potence.
Elle se souleva afin de sentir tout le long de ma bite frotter sur son clito tout mouillé et ses lèvres qui frottent au contact de mon sexe... Sa respiration s'accélère, ses mains se mettent à trembler, son corps se réchauffe encore plus, et un bruit aussi rapide que jouissif sortit de sa bouche.
Pour ne pas crier, elle s’agrippa au drap qu’elle enleva par la puissance de ses poignets. Je serrai les dents car j étais au bord de l’explosion. Elle se colla à moi, ses seins sur mes pecs, et me glissa d’une voix presque fatiguée, mais toujours aussi douce et avec autant d’envie :
« Je vais bientôt devoir y allez, mais avant je ne repars pas sans... »
Elle retire mon sexe de son vagin, me lèche les tétons et les abdos, et en me regardent me prend le sexe avec sa main droite, elle se met à me le lécher de tout son long< ;
Elle l’introduit en entier dans sa bouche, et me suça à une vitesse hallucinante en me massant les boules avec une dextérité des plus excitantes. Elle faisait valser ses mains le long de ma bite.
Ses lèvres caressaient avec intensité mon pieu dressé, en salivant dessus et en frétillant sa langue sur mon gland. Avec ce traitement, je ne pus me retenir, et au même moment où ses lèvres retouchaient mon gland, tout mon jus chaud lui dégoulina sur les lèvres.
Alors, elle ouvrit la bouche en grand, et la plus grande part de mon éjaculation trouva refuge dans sa bouche. Elle avale tout avec gourmandise. Mais vu les saccades de mon jet, elle en reçut sur le visage. Elle essuya ma verge avec ses mains, et les porta à sa bouche pour les lécher…
Comme pour bien achever le travail, elle donna des derniers coups de langue en appuyant ses lèvres dessus. Une fois fini, elle rangea délicatement ma bite dans mon boxer- alla a la salle de bain prendre du papier au-dessus des toilettes pour s-essuyer et remit ses sous-vêtements et sa blouse. Enfin, elle sortit du niflugel de sa poche et me dit :
« Je venais pour ça, à la base. Mais tu dois savoir t’en mettre sur les jambes non ?
- Oui oui ne t’inquiète pas, ça, je me débrouille file, tu vas être en retard… »
Elle m embrasse une dernière fois :
« Au revoir beau jeune homme, tu pars demain non ?
- Oui, c’est ça, je pars demain. C est dommage je me plaisais bien ici finalement… »
Avant de partir, elle prit un stylo, saisit la paume de ma main et inscrit son numéro de téléphone. Elle me dit :
« Ce sera mieux chez moi… »
Avec un sourire et un léger en revoir de la main elle repartit. Je ne la revis pas dans l’hôpital…
Voulez vous voir une suite ? A vous de me dire !
Steven le marseillais
- Commentaires textes : Écrire
Un après-midi très chaud à la plage
Un jour, en vacances sur la Costa Brava, je repère une crique fréquentée par des naturistes.
Mon cœur se met à battre, et après quelques instants d'hésitation, je me lance, et descends l'escalier de pierre qui mène à la plage. Arrivé en bas, je commence à me mettre torse nu, car je transpire très fort. Puis je longe le rivage, où quelques hommes, plus rarement des femmes, sont assis ou étendus, nus, en me regardant passer, ce qui me met en très vite en émoi.
Arrivé près du petit coin de rocher qui me convient, je me décide à finir de me déshabiller, jetant un bref coup d'œil aux environs. Nul doute que l'on m'a vu, mais après tout ça fait partie du jeu...et de l'expérience excitante qui va s'offrir à moi sans tarder.
Car bientôt, alors que je ne puis réprimer une érection sans doute due à mon peu d'habitude dans le domaine du naturisme, ayant été élevé selon les canons de la morale chrétienne, je sens que quelqu'un m'observe, et en levant les yeux j'aperçois un homme, nu, la cinquantaine, qui me regarde en caressant sa verge de façon troublante et sans ambiguïté.
Ma poitrine se soulève, je sens que je rougis, et transpire abondamment. Risquant le tout pour le tout, je fixe mon homme droit dans les yeux en commençant à onduler du bassin, passant ma langue sur mes lèvres...
Il a compris, moi aussi. Dans ces moments intenses de désir mutuel, pas besoin de mots.
Mon homme me montre un petit îlot à une vingtaine de mètres du rivage, et se dirige vers l'eau. Je me lève alors, très excité, et entre à mon tour dans l'eau, puis à la nage, nous nous rejoignons sur notre île déserte... face au reste de la plage tout de même....
Le plaisir n'en sera que plus intense...hmmm...se sentir observé, et qui sait, susciter quelques envies...
Nous voilà assis côte à côte, nous caressant mutuellement la verge, sans mot dire, le regard perdu dans le lointain.
Je regarde ce gland, durci par le plaisir, gonflé de volupté, et je ne peux plus me retenir. La tentation est trop forte ! Pourquoi pas ?
Doucement, je me penche vers lui, et commence à goûter au plaisir d'une première fellation. Trop fort, trop bon...
Je ne sais pas combien de temps ça a duré.
Pendant ce temps, j'ai senti ses doigts, doux et fermes à la fois, me caresser les bourses, me peloter les fesses. Instinctivement, je me suis allongé sur le côté, et il m'a introduit un doigt dans l'anus, entamant un langoureux va-et-vient qui m'a arraché des gémissements.
Puis j'ai joui, et lui aussi.
Toujours sans dire un mot, nous avons nagé à nouveau, vers le rivage, vers cette plage où j'ai connu une première expérience du genre, que je renouvellerai en d'autres lieux et circonstances.
Noël
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
aline est une grosse coquine!!
Cool ces textes...j'espere que de nombreux visiteurs prendront plaisir en les parcourant.
Merci à toi Sophie
Super sympa quel plaisir a lire cela hum
Encore Encore oui
Et au plaisir du reel