Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une nuit de folie
Salut, je m'appelle Didier, j'ai trente-deux ans, et suis marié depuis dix ans, avec Laurie, une jolie blonde âgée de vingt-huit ans. Ce soir, nous devons tenter une nouvelle expérience, une première pour nous... Une soirée libertine.
Il est dix huit heures, je fonce à ma cabine téléphonique, et appelle une amie, qui est en fait ma confidente, pour savoir ce qu'elle en pense. Le tout, c'est de l'avoir.
« Allo mon cœur, ça va ?
- Et toi mon chéri... »
Voilà, « mon chéri », le mot qui tue, tout pour que je m'effondre dans la cabine.
« Je voulais te demander un truc. Je t'explique. Ce soir ma femme et moi, sommes invités à une soirée un peu spéciale. Bref une soirée échangiste, une partouze. Tu me conseilles quoi ? De foncer, de renoncer, je ne sais pas.
- Ta femme en pense quoi ? me demande-t-elle.
- Elle ? Elle est chaude bouillante pour participer, « ça nous changera de la routine », qu'elle me dit. Elle a déjà acheté des toilettes pour la circonstance.
- C'est certainement une belle expérience. Mais dis toi bien que si toi tu vas baiser d'autres femmes, la tienne va se faire baiser aussi. Il te faut prendre sur toi. Si tu es prêt à accepter ça, n'hésite pas, vas-y.
- Merci Mamour...je te raconterai... »
Je n’en n »attendais pas moins. Demi-heure plus tard, je libère avec regret, certainement l'amour manqué de ma vie. J'arrive chez moi vers dix neuf heures. On a rendez-vous à vingt trois heures, ça laisse du temps de se préparer. Je rejoins mon épouse à la chambre où elle est en train d'essayer les toilettes acheter dans l'après midi.
Toutes plus sulfureuses les unes que les autres. Un robe noire, mini, dont le haut est fait de lacets, ne cachant pas grand chose de sa superbe poitrine, une rouge, aussi courte, avec des bas noirs résilles, qui arrivent à mi cuisses.
Elle opte finalement pour la noire et les bas noirs. Je sens la température monter en moi, et m'attend au pire.
Avant de partir, je lui fais quelques recommandations, sur l'alcool, les précautions à prendre, que ses éventuels partenaires se protègent.
« Oh la la, me répond-elle, tu ne vas pas me demander de garder ma culotte ! »
Elle a raison, mais, c'est ma femme et je ne veux pas qu'elle fasse n'importe quoi.
« Tu crois qu'on fera l'amour ensemble ?
Elle éclate de rire.
- Franchement, ça m'étonnerait, je vais être tellement occupée... et toi aussi j'espère ! »
Il est vingt trois heures quand nous nous garons devant la magnifique demeure de nos hôtes. Nous sommes accueillis dans un immense salon recouvert d'une épaisse moquette, meublé de canapés et de fauteuils. Cinq couples sont là, et chacun se présente. Deux jeunes animatrices coréennes, très belles, ont été invitées pour pimenter la soirée.
Les femmes rivalisent de beauté, c'est celle qui sera la plus sexy, qui aura la jupe la plus courte, qui sera l'objet de toutes les convoitises, et dans ce domaine, Laurie est loin d'être ridicule.
Déjà, des groupes se forment, et sans vergogne, des mains glissent sous les jupes des femmes. En toute décontraction, les participants se promènent nus, un verre à la main, alors que moi, j'ai toute les peines du monde pour me déshabiller.
Je vois mon épouse commencer à flirter avec un homme d'une quarantaine d'années, et déjà, certains lacets de la robe sont enroulés à la taille, dévoilant sa magnifique poitrine.
Une jeune coréenne remarque ma gêne, et s'avance vers moi. Elle me prend par la nuque, et frôle mes lèvres :
« Alors mon chéri, ça te plait pas, sois pas complexé, attends, laisse_moi faire. »
Elle glisse lentement le long de mes jambes, déboucle la ceinture de mon pantalon, et le baisse. Sans le moindre effort, en quelques coups de langue, ma bite se met au garde à vous. Je jette un œil autour de moi pour voir si je ne suis pas épié, et m'aperçois que j'ai pris du retard. Tout le monde est à poils, ce qui me permet de voir que, mis à part un black, superbement monté, je suis dans la moyenne. Ma belle coréenne, totalement nue, finit de me déshabiller, me demande de m'allonger et s'empale sur ma queue en érection, non sans l’avoir prestement couverte d’un capuchon de latex.
« Ben dis-donc, sourit-elle, ça va mieux on dirait ! Vas-y... Caresse-moi les seins...
Sers-toi... »
Elle me chevauche pendant de longues minutes, jusqu’à ce que je crache enfin ma sève… elle n’a pas joui, et mais semble heureuse de ce qu’elle vient de vivre… Elle me roule un patin d’enfer, et va se faire empaler ailleurs…
Au bout d'un quart d'heure, le salon ressemble à un champ orgiaque. Une bouche chasse l'autre pour sucer les bites, les mains s'attardent sur les couilles pleines de foutre. Près de moi, sur un canapé, mon épouse se fait tringler sans retenue. Je vois l'énorme bite qui coulisse dans sa chatte, humides, les mains caresser le bout de ses seins durcit par le désir :
« Oh putain... gémit-elle. Chéri… Regarde comme je me fais prendre... comme il est monté ce salaud...
- Et alors ? je lui réponds, ça veut dire quoi ? Que moi ?... »
Les râles de plaisir fusent dans la pièce. Les chattes, pleine de mouille, sont bouffées, léchées, branlées, les clitoris sont doigtés, les bites, décalottées, sucées. Certaines femmes n'avalent pas, la mienne par contre, fait partie des avaleuses de sperme.
La moquette est jonchée de corps qui niquent sans prier dieu. Les femmes sont prises dans toutes les positions, en levrette, assises sur leur partenaire, certaines se caressent entre elles. Je surprends Laurie, allongée sur le dos, tailler une pipe à un mec. Elle se cambre à la force des pieds pour offrir sa chatte à qui veut bien la doigter ou la manger, puis change de position s'attelle par le petit trou à la grosse bite du black, pendant qu'elle plonge sa langue dans le minou de son épouse.
Des moments, j'ai envie d'intervenir, mais je me suis engagé, je dois accepter, même si ça me coute.
Un homme semble comprendre mon désarroi. Il me tape sur l'épaule :
« Allez vieux, on fait une pause, allons prendre un verre. »
Même au bar, des femmes se glissent entre nous pour nous turluter, ou nous gober les couilles. Nous jouissons en sirotant notre whisky.
Après m'être bien fait nettoyer le zob, je décide de visiter les lieux. Je m'engage dans un couloir, et la, je trouve Laurie dans un lit avec une sculpturale brune, que j'avais repérée en arrivant.
Ma femme est assise, légèrement penchée en arrière, genoux repliés, jambes écartées, en train de se faire doigter. Elle en fait autant à la chatte de da belle brune, installée à genoux à côté d'elle, jambes grandement ouvertes. Les deux créatures se gouinent.
« Tu sais ce qu'on a parié, dit la brune. Celle qui jouit en premier, bouffe la chatte de l'autre. Souviens-toi la dernière fois, c'est toi qui avais perdu.
- Ma vengeance va être terrible, promet mon épouse, je vais te chatter comme jamais. »
Le combat semble inégal, on sent chez la brune, plus d'expérience, plus de maitrise.
J’entends le souffle des deux femmes qui s'accélère, surtout celui de Laurie.
« Ah, salope...tu vas m'avoir.... Qu'est-ce-que tu fais à mon clitoris ? soupire mon épouse.
- Tu veux dire, ce petit bouton que je doigte ? Tu aimes hein, petite vicieuse ? Ca ne sert à rien de te retenir... je suis la meilleure à ce jeu... je sais que tu vas bientôt crier.... »
Soudain, ma femme s'écroule sur le lit, vaincue. Son corps est pris de violentes convulsions, elle étouffe ses cris dans les draps. La brune attend que le corps de Laurie s'apaise, puis...
« Il te faut honorer ton gage ma chérie, dit-elle. Regarde comme ma chatte est mouillée... Tu vas te régaler... et moi aussi ! Allez, bouffe-moi la cramouille... »
Je reste scotché devant la scène, ma femme qui se gouine, si je ne l'avais vu, je ne l’aurai jamais cru.
Mais d'assister à cette scène a revigoré mon sexe, et une jeune femme s'en aperçoit.
« Je ne peux pas te laisser comme ça, me dit-elle, on m'a pas sodomisé encore, prends-moi au petit… »
Comment refuser une telle proposition ? Elle se positionne en levrette, et d'une simple poussée, je l'encule. Au bout de dix minutes, je sens la sève monter en moi, et veux me retirer quand...
« Non, dit ma partenaire, vide tes couilles... Vas-y, fais toi plaisir... »
Je vide mes dernières cartouches, il est quatre heures du matin, et la fatigue se fait sentir. Laurie est couchée sur la moquette, enlacée dans les bras de son étalon noir, et même si leurs mains sont inactives, le baiser qu'ils se donnent est torride, un vrai duel de langues.
Sur le chemin du retour, mon épouse et moi faisons l'inventaire de nôtre folle nuit érotique.
« Oh putain, dit-elle, qu'est-ce que j'ai pu prendre comme coups de queues, j'en ai pris pour la semaine. Et toi mon chéri, tu t'es amusé ?
- Bien sur, je lui réponds. Tu te les bien fait mettre par le beau black.
- T'as raison, poursuit-elle, il m'a ramonée tous les trous ce salaud. Il a tenu à garder mon string en souvenir, je ne pouvais pas lui refuser ça.
- Cependant, il y a un truc qui me chiffonne, dis-je, Je t'ai vu te gouiner avec la belle brune, t'as pas fait le poids, hein ?
- Mais ça fait partie du jeu, mon amour, c'est vrai qu'elle est forte.... vicieuse…
- C'est pas là ou je voulais en venir, ce qui m'a surpris, c'est quand ta partenaire a dit
« La dernière fois, c'est toi qui a perdu », ça veut dire que tu as déjà participé a des partouzes, l'après midi sans doute, quand je suis au bureau. Je me trompe?
- Heu... c'est vrai qu'une fois, j'ai été embarquée malgré moi dans une aventure de ce genre, tu m'en veux ?
- Mais non, ma chérie, c'est bien de savoir ce que sa femme fait en l'absence de son mari. Avant d'aller au lit, j'aimerai te prendre sous la douche, ça te branche ?
- Mais bien sur mon amour, accepte-t-elle, tu veux que je finisse de te vider les couilles ? »
Je prends un réel plaisir à la baiser, et elle me le rend bien, se donne à fond. On a droit à un repos bien mérité. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Mais comment vais-je digérer cette nuit de folie ? Va-t-elle se renouveler, avec ou sans moi ?
Il est dix huit heures, je rejoins ma cabine téléphonique pour appeler qui vous savez. Il faut que le lui raconte cette nuit de folie. J'espère que je l'aurai, auquel cas, je serai déçu.
Ah… ça sonne... messagerie… zut
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Un soir à Cayenne
Passant mes vacances en Guyane, je me promenais un soir dans une rue plutôt tranquille, de Cayenne quand soudain apparut une jolie femme, blanche, que je croisai sur mon chemin. Je la fixais, et elle aussi faisait de même.
Alors, je fis le premier pas, et lui demandai son prénom, et elle me répondit « Sophie » avec une voix si douce que je ne pus m'empêcher de l'inviter à prendre un verre dans un bar qui se trouvait pas très loin de l’endroit où nous nous trouvions.
A mon grand étonnement, elle accepta. Nous buvions deux verres en discutant, quand soudain, elle entama une discussion très excitante sur sa vie sexuelle. Moi étant jeune et sans expérience à ce niveau, j'écoutais attentivement tout ce qu'elle me disait. Elle me parla de son blog érotique et de sa vie libertine.
Tout cela me mit hors de moi, et soudain elle me demanda :
« Parle-moi de ta vie sentimentale et sexuelle ! »
Gêné, j'ai pris du temps à lui répondre. Et là, je pris mon courage à deux mains et lui répondis :
« Je n'ai pas de vie sentimentale, je suis même inexpérimenté dans ce domaine. »
Mais elle me dit que ce n'est pas grave... Je l'interromps et lui apprends que je suis puceau ! A ce moment là, je me suis senti hyper ridicule. Et c'est là qu'elle me dit en affichant un petit sourire :
« Ce n'est pas grave, un jour tu ne seras plus puceau. »
Alors, excité comme je l'étais depuis le début de notre discussion, je lui murmurais tout en retenue :
« Tu ne veux pas qu'on fasse l'amour ce soir ? »
Elle répondit un grand oui !!!
Arrivé chez elle, je me relaxai, car elle me mit à l'aise. Elle m'embrassa et me dit de me déshabiller, ce que je fis immédiatement. Aussitôt, je retirai mon pantalon, mon tee-shirt et mes chaussures. Elle vit que ma timidité m'empêchait d'ôter mon boxer. Aussi,, elle se mit à l'enlever et là, mon érection fut totale !
Elle attrapa mon sexe bien dur et commença à me branler. Puis je la déshabillai et me mis à bouffer sa chatte et à jouer avec son clito. Elle était de plus en plus excitée, et mouillait abondamment. Je me mis debout et lui demandai de me regarder en train de m'astiquer mon sexe, ce qu'elle m'avait dit adoré faire.
Devant son excitation, je me masturbai à vitesse grand V, puis je jouis sans retenue. Et, elle me demanda
« Est-ce-que tu t'es bien amusé ?
- Ce n'est pas fini !! «
Je sais que j'ai la possibilité de jouir plusieurs fois, ce que j'ai déjà fait devant des films pour adultes. Après dix minutes de repos, mon envie revint pendant que je lui bouffais la chatte, la caressais partout et en lui faisant des va-et-vient avec l'index et le majeur.
Mon pénis se remit à gonfler et je ne perdis pas un instant et je la pénétrais avec ce déhanché de zoukeur qu'elle connait si bien. Elle se mit à jouir plusieurs fois, et moi aussi, je sentais que j'allais jouir. Alors j'ôtai mon sexe de sa chatte bien gonflée, retirai le préservatif et elle se mit à me branler jusqu'à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle me surprit encore plus en avalant tout sans y laisser une goutte.
Exténué, je partis avec des souvenirs plein la tête de cette soirée passée avec Sophie, qui est et restera l'un de mes fantasmes.
Kenny - Gwada
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Douceurs des ïles
Après un mois à voyager avec mon ami Sergio à travers cette ile exotique, nous passons une dernière soirée dans la capitale, et décidons de boire un verre en compagnie de Phil, un compagnon de voyage rencontré la veille. Nous arrivons dans le bar qu’on nous a indiqué comme étant le lieu de rendez-vous des français. On s’installe en terrasse, et aussitôt des dizaines d’yeux nous scrutent. Des yeux masculins qui nous jaugent, mais surtout des yeux féminins autochtones qui nous dévisagent de la tête aux pieds. Nous n’avons pas le temps de savourer ce plaisir que deux superbes filles à la peau cuivrée s’assoient à notre table.
L’attrait de la nouveauté sans doute, elles ont devancé les autres et nous ont mis le grappin dessus en moins d’une minute. Des professionnelles, pense-t-on, mais peu importe. Une troisième arrive bientôt, une métisse carrément mignonne et nous sommes à égalité : trois de chaque côté…
La conversation va bon train, on fait connaissance. En discutant, on perçoit qu’on s’ennuie sacrément dans cette ville, et que l’arrivée de quelques inconnus n’est pas pour leur déplaire.
Un « expat » passe vers nous et glisse à l’oreille de ma voisine (mais suffisamment fort pour que j’entende) :
«Tu passeras chez moi demain ? Tu as oublié ton foulard en partant ce matin ».
Cela suffit à effacer tout soupçon de romantisme dans cette relation naissante !
Quand nos verres sont vides, nous décidons rapidement de quitter les lieux. Nous proposons à nos hôtesses de nous emmener dans leur boite préférée pour finir la soirée. Nous nous levons, et spontanément les couples se forment sur le trottoir. Cathy, ma voisine de table s’accroche à mon bras, son amie Claudia se rapproche de Sergio, et Belinda, la jolie métisse se retrouve par défaut avec notre compagnon. Il faut avouer que le pauvre Phil n’a pas tous les atouts pour attirer une jeune fille, je ne m’étendrais pas sur les détails, mais c’est ainsi, et elle fait la moue en le suivant sans grande conviction.
Pendant ce temps, j’embrasse ma conquête du soir, la plaque contre une voiture et commence à la caresser. Mes doigts parcourent le haut de son bustier, flirtant avec la peau de sa poitrine naissante. Sa langue frétille dans ma bouche à chaque caresse un peu appuyée. Je passe ma main sur sa cuisse, recouverte d’un collant, chose surprenante sous cette latitude, mais elle est élégante avec ses talons aiguilles, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Je pose mes mains sur ses fesses fermes et prometteuses ; les choses commencent à se préciser et il serait préférable qu’on quitte cette avenue un peu trop fréquentée. Sergio en est arrivé aux mêmes conclusions que moi, alors que Phil semble plus timide un peu plus loin. Nos trois couples se glissent dans des ruelles en direction de la boite de nuit. Les mains deviennent de plus en plus baladeuses, les baisers un peu plus appuyés. Sergio me prend à part et me dit :
« Mon salaud, tu as vraiment décroché le gros lot. Regarde la mienne, elle a un beau cul mais une sale gueule ! ».
C’est vrai, je n’avais pas spécialement remarqué ça tout à l’heure, et grâce à sa remarque, j’appréciais encore plus la compagnie de Cathy. Mais je ne pouvais m’empêcher de me dire que le plus chanceux était quand même Phil avec sa petite métisse aux yeux verts et au regard coquin. Ses petits seins pointaient sous sa robe légère, sa croupe marquait chacun de ses pas, et même sans collants, ses jambes galbées étaient un plaisir à regarder. Mais pas trop le temps de s’attarder sur elle, j’étais suffisamment occupé de mon côté !
On arrive devant la boite, elles nous présentent aux videurs, un peu comme des trophées. On entre et on va directement au bar, je m’assoie sur un tabouret et elle vient directement sur mes genoux. Elle se rapproche contre moi, se recule doucement jusqu’à ce que mon sexe dressé se coince entre ses fesses. Je meurs d’envie de la caresser un peu plus, mais on en reste là pour l’instant: c’est délicieux d’attendre comme ça, alors que tout le monde nous regarde. On reste immobiles un moment, on boit un verre, puis Belinda s’approche de nous et m’entraine d’autorité vers la piste. Je dois abandonner ma conquête qui apprécie moyennement la situation et va en terrasse fumer une cigarette.
Nous commençons à danser l’un contre l’autre. Elle est tellement légère que je la sens à peine. De temps à autre, je sens la pointe de ses seins contre mon torse, ça me fait frissonner à travers ma chemise. Je glisse une cuisse contre son pubis, et je sens qu’elle se frotte vraiment au rythme de la musique, il n’y a plus de doute ! Comme je suis bien plus grand, j’ai le sexe au niveau de son ventre, et je me colle à elle. Elle non plus cette fois n’a plus de doute sur l’effet qu’elle me fait. Nos corps sont faits l’un pour l’autre, c’est évident. D’ailleurs, alors que je la regarde en souriant elle me dit :
« J’ai envie de toi ! Je vais en parler à Cathy…Attends moi au bar… ».
Je me retrouve seul sur mon tabouret, complètement excité, répondant aux sourires goguenards des clients qui s’étaient rincé l’œil pendant notre danse sexy !
Elle revient déçue :
« Elle ne veut pas aller avec Phil, elle veut rester avec toi ! Elle veut te garder. »
Je lui réponds du tac au tac :
« Me garder pour elle toute seule ? Elle ne voudrait pas partager ? »
Son regard s’illumine, elle passe sa langue sur ses lèvres, me fait un clin d’œil et repart…
Ici ça s’arrête l’histoire véridique….
Le prochain épisode sera le fruit de mon imagination !
La suite:
Elles reviennent au bout de quelques instants, Cathy arrivant la première et me posant directement la main entre les jambes en me regardant droit dans les yeux sans me dire un mot. Belinda la suit et me lance un clin d’œil complice, qui me laisse deviner qu’on va finir la soirée tous les trois. Elle s’approche de moi et me dit qu’il faut juste qu’elle trouve une copine pour Phil, et que ça me coutera quelques sous, puisqu’on sait que le pauvre n’avait pas un rond. Qu’à cela ne tienne !
Pendant ce temps, le barman apporte une clé à Cathy, qui m’entraine vers un couloir au fond du bar. J’ai juste le temps d’apercevoir dans un coin de la salle Sergio et Claudia très occupés sur un fauteuil. Cathy ouvre rapidement la porte, je la suis et elle me saute dessus en me susurrant :
« Alors comme ça, je ne te suffisais pas ? T’inquiètes pas, tu auras ce que tu mérites, on va s’occuper de ton sort… »
Ses menaces ne me font pas peur, je passe illico ma main sous sa jupe et fait glisser son collant. Elle ne porte rien en dessous, et ma paume est directement en contact avec la peau duveteuse de ses fesses. Pendant ce temps, elle m’embrasse dans le cou, puis descend tout en déboutonnant ma chemise.
Elle défait ma ceinture, s’attaque à ma braguette, sort mon chibre qui n’en pouvait plus et l’embrasse sur tout son long. Malgré tout je reste concentré sur ce que je faisais de mes mains, et retire sa jupe et ses collants, découvrant une toison brune. Mes doigts commencent à fourrager son sexe qui devient très humide. Pendant que je caresse sa vulve, j’entends Belinda qui ouvre la porte.
Elle nous regarde en souriant, puis commence à danser en faisant un strip-tease. Sa robe est vite enlevée, et elle se retrouve en chaussures, string et soutien-gorge. Elle s’allonge sur un lit, et continue de se déshabiller en se tordant sur des coussins. Je ne la quitte pas des yeux, tout en continuant à explorer le sexe de Cathy, qui prend bientôt mon sexe en bouche. Je tente de me rapprocher du lit où Belinda est maintenant totalement nue et commence à se masturber.
Cathy suit mes mouvements tout en me gardant dans sa bouche. Arrivé au niveau du lit, je m’allonge sur le dos, Belinda se redresse, retire mon jean et mon slip et me caresse les testicules. Elle me les lèche maintenant tout en me caressant le reste du corps. Elle rapproche lentement ses fesses jusqu’à ce que je puisse les caresser. Ce que j’avais deviné tout à l’heure en dansant s’offre maintenant à moi : deux petites fesses musclées qui épousent parfaitement la forme de ma main.
Il est temps de reprendre un peu mes esprits et de faire un bilan de la situation : je suis allongé sur le dos, Cathy sur ma gauche, en train de me sucer consciencieusement, ma main gauche explorant désormais sa grotte. Belinda est à ma droite, en train de me lécher l’entrejambe, pendant que ma main droite s’attarde sur son fessier. Mes doigts progressent naturellement entre ses fesses, effleurent à peine son anus puis atteignent sa petite chatte déjà bien trempée. Mon index est happé par ses lèvres que j’écarte facilement jusqu’à atteindre son clito que je titille.
C’est vrai que nos corps sont faits l’un pour l’autre, tout se fait naturellement. Quelques pressions un peu plus appuyées sur son bouton avec l’index et elle se cabre d’un seul coup. Elle laisse échapper un cri, et son ventre est pris de spasmes. Je n’oublie pas Cathy, même si ma main gauche est moins habile, et je pince son clito entre le pouce et l’index. Ca déclenche en elle une réaction de surprise suivie d’un un soupir de satisfaction. Elle arrête l’espace d’un instant sa fellation pour reprendre son souffle, passe ses mains dans ses cheveux, et reprend une position adéquate pour m’achever.
Elle s’acharne de plus en plus, et me pompe sans relâche. C’est le moment que choisit Belinda pour venir m’embrasser dans le cou. C’est le coup de grâce, je perds tout contrôle et je me vide dans la bouche de Cathy, pendant que Belinda m’embrasse et étouffe mes râles de plaisir.
Je me relâche un instant, embrasse Belinda, savoure ce que je viens de vivre, et regarde Cathy qui arbore un sourire un peu triste. Je comprends qu’elle s’est donnée à fond pour mon plaisir, mais que je l’ai un peu délaissée en m’occupant de Belinda. Elle semble rester sur sa fin, je me dirige donc entre ses cuisses pour lui offrir un cuni. Je la lèche avec autant de conviction qu’elle en a montrée en me suçant. Ma langue lape ses lèvres, pendant que mon index tourne autour de son clito qui semble sortir un peu plus de son écrin. Je l’entoure de mes lèvres et l’aspire. C
a lui fait rapidement de l’effet et elle me plante les ongles dans les épaules. Au même moment Belinda se glisse entre mes jambes pour me lécher le sexe encore couvert de sperme. C’est absolument délicieux… Ce traitement lui redonne de la vigueur, mais je continue à m’activer sur le clito de Cathy qui m’encourage par des petits cris. Ses lèvres sont gonflées, et je les mordille doucement pendant que je la doigte. Soudain, ses jambes se resserrent sur moi pendant qu’arrive son orgasme, un long orgasme qui la laisse pantelante, les cuisses autour de mon cou.
Pendant ce temps, Belinda a fini de me nettoyer, n’en perdant pas une goutte. Elle va en faire profiter son amie en l’embrassant goulûment. Je profite de cette pause pour sortir un préservatif de la poche de mon jean, je le glisse dans la main de Belinda qui le regarde d’un air gourmand. D’une main experte, elle l’enfile sur mon pieu triomphant, désormais prêt pour la deuxième mi-temps…
Suite et fin :
Allongé sur le dos, ma tête est confortablement installée sur le bas-ventre de Cathy, mon cou baignant dans la moiteur de son entrejambe, encore tout chaud du cunilingus que je viens de lui administrer. Je caresse ses longues jambes dorées pendant qu’elle me masse les épaules.
De son côté, Belinda s’agenouille, une jambe de chaque côté des mes hanches, prenant délicatement mon sexe d’une main. Elle abaisse sa vulve jusqu’à ce qu’elle rencontre mon gland qu’elle frotte le long de ses lèvres. Elle imprime à ma bite un mouvement circulaire, tournant autour de sa petite chatte que je ne quitte plus des yeux, me délectant de la vision de cette merveille que je ne connais que du bout de mes doigts. Avec une douceur extrême, elle titille l’entrée de son vagin en y promenant mon gland, puis descend doucement pour le faire pénétrer quelques centimètres.
Elle reste ainsi sans bouger, en caressant longuement mes testicules avec sa main libre, puis remonte légèrement le bassin jusqu’à ce que je sois pratiquement sorti de son orifice. Cette fois c’est en oscillant son bassin qu’elle fait tourner sa vulve autour de mon sexe impatient, préservé dans son écrin de plastique. L’entrée du petit sexe de Belinda s’élargit naturellement et elle redescend pour enfourner cette fois la moitie de mon membre, restant un long moment à l’exciter par des petits mouvements à peine perceptibles, bientôt suivis puis d’allers et retour de quelques centimètres. C’est une douce torture mais difficile à supporter, aussi pour me donner une contenance, je caresse les jambes de Cathy. Le plaisir commence à m’envahir, je me contracte et malgré moi, mes caresses sont de moins en moins douces, la griffant presque par instants.
Ca à l’air de la remettre dans de bonnes dispositions, et je sens qu’elle commence à frotter son pubis derrière mon cou, puis arrête de me masser mes épaules pour se masturber. Agréable sensation que de sentir une femme se donner du plaisir juste derrière moi, c’est une diversion suffisante pour retarder l’éjaculation que je sentais venir avec le traitement que Belinda me réservait.
Percevant que la tension monte, elle remonte encore le bassin ne laissant que l’extrémité de mon gland en contact avec sa chatte. Elle s’incline légèrement son buste pour se rapprocher de moi, me toise du regard, et je vois poindre son désir dans ses jolis yeux verts.
J’en profite pour caresser ses petits seins, titillant les têtons insolents venus me narguer à portée de main. Après quelques instants d’immobilité d’une rare intensité, elle se redresse comme pour prendre son élan, puis avale d’un coup mon sexe jusqu’au fond de sa petit grotte dégoulinante. Parfaitement synchronisés, nous nous activons tous les deux jusqu’à ce qu’arrive son orgasme qui la secoue de spasmes, accompagnés d’un long cri, avant qu’elle ne s’écroule sur mon torse en poussant un long soupir. Comme je le présentais tout à l’heure, nos deux corps s’accordent à merveille et se répondent sans réfléchir !
Cathy a assisté à la jouissance de son amie et se rapproche d’elle pour la caresser tendrement, elle la materne quelques instants entre deux seins imposants, tout en frottant son ventre contre elle. Belinda comprend où elle veut en venir, se dégage et lui abandonne mon sexe qui a encore quelques ressources. Cathy est complètement excitée et son souffle est de plus en plus court. Je la couche sur le dos, relève ses jambes sur mes épaules et la pénètre sans attendre. A chaque coup de boutoir je m’enfonce un peu plus dans son antre et elle me répond en agrippant mes hanches pour donner le rythme. Soudain je sens Belinda derrière moi me prodiguer des caresses sur les fesses, avant de commencer un anulingus. Sous l’effet de la surprise, j’ai failli décharger mon foutre mais je me retiens alors qu’elle me lèche consciencieusement. Je reprends ma besogne, et sa langue s’insinue dans mon trou à chacun de mes mouvements. Je ressors de plus en plus du sexe de Cathy pour aller encore plus à la rencontre de la bouche de Belinda.
Pendant quelques secondes j’en sors pratiquement, arrêtant de labourer Cathy pour profiter du traitement infligé à mon postérieur par ma petite métisse experte. Puis d’un coup, je pénètre brusquement Cathy qui ne s’y attendait pas, ce qui déclenche en elle une longue jouissance qu’elle accompagne de petits cris étouffés. Sans force, elle repose ses jambes sur le lit, et pendant qu’elle reprend ses esprits, je m’allonge sur son corps bouillant. Derrière moi, je sens la main de Belinda qui sort mon sexe de celui de son amie, retire le préservatif et me branle en me léchant gouluement.
Je sens que mes couilles vont rendre grâce, je m’allonge, approche sa bouche de ma bite qui est bientôt engloutie. Mon corps se tord de plaisir pendant qu’elle me pompe, et très vite je gicle dans sa bouche. Elle demande à Cathy de se joindre à elle pour finir de lécher mon sperme, ce qui finit de m’achever, puis elles remontent toutes les deux le long de mon corps épuisé en m’embrassant jusqu’à venir se blottir contre moi.
Je suis là, à réaliser ce qui vient de m’arriver, entouré de ces deux inconnues dont je ne connais que le prénom, quand le barman entre sans frapper dans la pièce. Je compris vite que quelqu’un d’autre veut profiter du lieu, et que nous devons déguerpir fissa. Je comprends également qu’il attend quelques billets, que je sors de ma poche. Il est tard, et nous avons un avion à prendre tôt le lendemain matin. Je propose à Belinda et Cathy de venir dormir à l’hôtel, ce qu’elles acceptent, et nous passons une courte nuit enlacés tous les trois.
Les deux pages précédentes étaient romancées, mais la suite est véridique…
Le réveil sonne, je rassemble mes affaires et je vais voir Sergio qui était dans la chambre d’à coté avec Claudia : ils venaient également de se lever. Nous partons, et le gardien de nuit nous réclame une somme pour les « extras » (c'est-à-dire les chambres pour les filles que nous avons ramenées), que nous lui réglons en maugréant, y compris pour Phil notre ami désargenté qui dort encore puisqu’il ne prend pas d’avion. Nous sautons dans un bus, accompagnés de nos conquêtes d’un soir qui se proposent de nous accompagner à l’aéroport.
C’est plutôt attendrissant, d’autant plus que contrairement à ce qu’on pensait, ce ne sont pas des professionnelles, et elles ne nous réclament pas un centime pour leurs prestations inoubliables. Malheureusement, le bus nous dépose assez loin de l’aéroport et il y a deux bons kilomètres à marcher avec nos bagages. Elles nous aident à les porter, mais curieusement, restent un peu en retrait, alors que nous pressons le pas car il nous reste peu de temps pour prendre l’avion.
Et soudain, nous voyons qu’elles tentent de fuir avec les sacs : le romantisme est vite oublié, et nous récupérons nos sacs illico, en les traitant de tous les noms avant de courir pour sauter de justesse dans l’avion.
Alors que nous décollons, avec Sergio nous nous racontons nos exploits de la veille avec ces petites voleuses, mais qui étaient de sacrées coquines. Je m’endors le sourire aux lèvres, en repensant au petit cul de Belinda que je ne suis pas près d’oublier…
Signé Fiftissimo
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Najia, l'apprentie infidèle - chap 3
Mais au lieu de ça, je me laissais faire. Et j’étais heureuse de me laisser faire. Même son doigt, qui se faisait de plus en plus insistant sur l’anneau de mon anus me procurait une merveilleuse sensation d’excitation. La promesse de quelque chose d’inconnu et de nouveau pour moi. La promesse d’une sodomisation que je n’avais encore jamais pratiquée, mais qu’au fond de moi j’avais toujours voulu essayer. Et surtout la promesse d’une sodomisation à la hussarde; brutale et douloureuse. Je me découvrais soudainement une vraie tendance au masochisme. Je voulais connaître – et aimer – la douleur d’une pénétration anale brutale. Mais là encore, ce n’était que le fruit de mon imagination, ou de mes désirs les plus profonds. Dans la réalité de la scène qui se déroulait en ce moment là, c’était Mouloud – et lui seul – qui était le maître du jeu. Qui faisait ce qu’il voulait et qui me l’imposait, sans même dire un mot.
Arrivé devant la porte du salon, Mouloud me prit par la taille et me souleva aussi facilement qu’un fétu de paille. Il me porta vers le grand divan et m’y déposa délicatement. Moi j’attendais à ce qu’il me jette sur le divan, me débarrasse brutalement de mon kimono, relève le bas de ma nuisette et écarte ma culotte pour découvrir mes fesses et mon anus. Je m’attendais à ce qu’il sorte son engin et, sans précaution aucune, m’encule à me faire hurler de douleur.
Au lieu de cela, il n’utilisa que de la douceur. Il m’allongea sur le dos, écarta les pans de mon kimono, resta un moment à regarder – à admirer – le panorama qu’il avait sous les yeux et se mit à me caresser les genoux, puis l’intérieur des cuisses, puis mon entrecuisse – par dessus le tissu de ma culotte.
Ses mains étaient électrisées. Chacune des ses caresses produisait en moi des petites décharges électriques; de toutes petites décharges, qui tétanisaient mes muscles et me faisaient légèrement mal. Un mal qui accroissait l’intensité de mon désir. Le désir qu’il m’arrache la culotte et s’occupe exclusivement de ma chatte, qui dégoulinait de mouille. Je ne voulais plus qu’il m’encule !
Je voulais qu’il me tire par la chatte. Là ! Tout de suite ! Brutalement ! Mais Mouloud poursuivait le fil du scénario qu’il avait tracé. Sa main allait et venait autour de ma chatte, sans insister et sans s’y arrêter plus d’une seconde. Le bougre savait dans quel état j’étais. Car même si je ne disais rien, si je m’efforçais à résister à l’envie que j’avais de gémir, ou de prendre sa main pour la forcer à s’occuper plus franchement de ma chatte, il était évident que je voulais qu’il continue et qu’il aille plus loin.
J’avais envie de hurler. De lui hurler en arabe, ou même en kabyle, d’être un homme et de me baiser. De me tirer ! De me piner ! De pilonner ma chatte ! Je regardais Mouloud qui continuait de me caresser doucement, en plongeant ses yeux dans les miens, avec un rictus de carnassier sur les lèvres.
« Ne te retiens pas ! Laisse-toi aller ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse et je te promets de le faire !
- Nik-ni ! Eqou-yi ! Bghit ett-nik ni ! Dhork ! Thoura ! » (Nique-moi ! Je veux que tu me niques ! Tout de suite !)
C’était la première fois de ma vie de femme que je lâchais de telles paroles crues (en arabe et en kabyle). Jamais avec Rachid, je ne m’étais permise, l’envie ne m’en était même jamais venue, de dire de telles choses. Avec Mouloud, elles venaient naturellement. Et je n’en avais même pas honte.
Au contraire, ces paroles crues ajoutaient à mon excitation et accroissaient le désir que j’avais d’être baisée par cet homme, qui pour le moment se contentait de pousser mon désir vers son paroxysme. Il ne tint pas la promesse qu’il m’avait faite d’obéir à n’importe quel désir que j’aurais exprimé. Il suivait son propre scénario. Il écarta le bord de ma culotte pour mieux avoir accès à ma chatte. Il la regarda un long moment; il avait accentué son sourire de prédateur et je vis ses narines trembloter de désir. Je sus qu’il aimait le spectacle qui se présentait devant ses
yeux.
« Ach-hal thezzienn! Ach-hal thel ‘ha! (Comme elle est belle ! comme elle est bonne!) Fkiyits atsmechagh ! Atsetchagh ! Atssoudnagh ! » (Offre-la moi, je vais la lécher ! Je vais la bouffer ! Je vais l’embrasser !)
Le bougre était lui aussi kabyle ! Comme moi, il utilisait sa langue maternelle pour accroitre son excitation et donner plus d’intensité à son désir. Sans attendre que je l’autorise à quoi que ce soit, il plongea sa tête entre mes cuisses et se mit à embrasser, lécher et sucer ma chatte. C’était divin !
Bien plus excitant que les cunnilingus de Rachid ! Mouloud y allait franchement, faisait pénétrer sa langue profondément dans mon vagin, léchait les parois et ramassait tout le jus qu’il pouvait et qu’il avalait goulument.
Sa bouche se comportait comme une véritable ventouse; elle embrassait, suçait, léchait et aspirait tout le jus qui était à l’intérieur de mon vagin. Parfois même, il mordait doucement mes petites lèvres et mon clitoris, me faisant pousser un tout petit ri de douleur.
Une douleur tellement agréable ! C’était délicieux ! Merveilleux ! J’aimais vraiment le mouvement d’aller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes et petites lèvres et dans mon vagin. Je voulais que sa langue fût plus grande et plus rigide pour qu’elle se comportât comme un vrai zob. Je voulais que toute sa tête pénétrât à l’intérieur de mon vagin. J’attrapais sa nuque avec mes deux mains pour forcer Mouloud à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, jusqu’à l’anus et vice-versa. Il s’appliqua à faire ce que je lui imposais, m’arrachant des petits cris de plaisir.
J’adorais ce qu’il me faisait et je le lui faisais savoir en soulevant très haut mon bassin pour mieux coller ma chatte sur sa bouche et pour que sa langue qui farfouillait à l’intérieur de mon vagin, allât le plus loin possible. J’avais refermé mes cuisses sur sa tête et bougeais maintenant mes hanches au rythme des allées et venues de ses lèvres et de sa langue à l’intérieur de mes grandes et petites lèvres. Il léchait, suçait et buvait le jus que je produisais en quantité. Je n’arrivais plus à retenir les mots et phrases crues qui sortaient de ma bouche (en kabyle et en arabe)
« Etch thahetchountiw ! Koul-li saouti ! Mech-hits ! Echrab ! Essaw ! Ach-hal m’lih!” (Bouffe ma chatte ! Lèche-la ! Bois ! Comme c’est bon !) Ra‘hi djaya ! Ad-tsass ! Thoussad ! Thoussaaaaaad ! (Je vais jouir! Je jouis ! Je jouiiiiis !)
Je relevais un plus mes hanches, écartai mes cuisses, attrapai sa tête à deux mains et appuyai sur elle pour l’obliger à bouger de plus en plus vite sur ma chatte. Puis je poussai un long râle de jouissance, puissant et sonore, en déchargeant des litres de jus dans sa bouche.
« Echrab ! Essaw ! Essaw dhi thalaw ! » (Bois ! Bois ! Bois dans ma source !)
Et je m’affalai, fourbue et heureuse sur le canapé, appuyant toujours sur la nuque de mon homme pour que sa tête ne sorte pas d’entre mes cuisses. Je ne lâchai prise qu’une fois avoir repris presque totalement mon souffle. Mouloud leva la tête pour me regarder. Il avait toujours son sourire de prédateur. Il semblait content de lui.
« Tu apprends vite ! C’est excellent ! Continue comme cela et tu verras, nous allons passer une nuit inoubliable. Une nuit qui sera pour toi le début d’une nouvelle vie amoureuse. Tu ne voudras plus jamais revenir en arrière. Et tu en remercieras toute ta vie Rachid qui a permis cela. »
Pour dire vrai, je n’étais pas très sensible à ce qu’il racontait; ce n’était pour moi que de la philosophie à la petite semaine; et en ce moment là j’étais à mille lieues de m’intéresser à la philosophie; même si celle-ci me concernait au plus haut point. Ce que je voulais pour l’instant, c’est que cette nuit qui avait si bien commencé ne s’arrête pas en si bon chemin. Je voulais continuer de jouir comme une bête, comme une chienne.
J’avais pris goût à la jouissance sexuelle : depuis la nuit d’hier, je jouissais avec une intensité de plus en plus grande. Et je voulais
maintenant connaître le paroxysme de la jouissance; celle que me procurera la queue de mon homme. Je ne l’avais pas encore vue, mais j’étais sure qu’elle était énorme.
D’abord, il m’avait dit, la nuit dernière, qu’il avait une superbe queue. Et puis je voyais l’immense bosse qu’elle faisait sur le devant de son pantalon. Je voulais la voir !
« Bright enn-chouf zebek! Emliyi-thid! Werri‘hou li! Kherdjouh! Soufghi-thid ! » (Je veux voir to zob! Montre-le-moi! Sors-le !)
J’essayai maladroitement d’ouvrir sa braguette, sans y parvenir. J’avais les doigts qui tremblaient trop. Il s’occupa lui-même de dégrafer la ceinture, puis le bouton qui tenait le pantalon et d’ouvrir la braguette. Tout cela en moins de temps qu’il me fallu pour le lui demander. Il rabaissa son pantalon sur ses genoux et resta en slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui apparaissait en dessous de l’élastique du slip. Je ne résistai pas à l’envie de tendre la main pour le sortir complètement de sa prison. De ma vie, je n’avais encore jamais vu une bite aussi belle! Aussi longue! Aussi grosse! Je n’avais vu, en vrai, que celle de mon mari, et elle était beaucoup plus petite que celle que j’avais sous les yeux. Mais même dans les photos et vidéos que j’avais pu voir ça et là, j’avais rarement rencontré une queue aussi grande et aussi puissante. Et aussi bien entretenue !
« Wagui dha bouch ! Hadha zeb ! » (Ça c’est un zob !), ne pus-je me retenir de dire.
Elle était vraiment magnifique ! Je me fis la réflexion qu’avec un tel engin, il allait me déchirer la vulve. Et si jamais, il me sodomisait, je ne pourrais plus m’assoir avant au moins un mois. Mais au lieu que cela me fît peur et ne tempérât mon excitation, ce fut le contraire qui se passât : j’avais encore plus envie de me faire tirer. Je le pris dans ma main droite pour le tâter et le caresser; il était chaud et dur; et tellement doux au toucher ! J’eus tout de suite envie de l’embrasser.
« Vghigh ath-soudhnagah ! Bghit en-boussou ! Vghigh ath-mech-hagh ! Bghit en-lahsou ! » (J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de le lécher !)
Il ne me répondit pas. Mais je vis à son sourire satisfait, qu’il n’attendait que ça. Je tombais à genoux devant mon homme et me mis à embrasser l’énorme engin. Et à le titiller avec la langue. Je me comportais comme une femme qui avait fait cela toute sa vie. Pourtant, mis à part les quelques pauvres fellations que j’avais faites à mon mari, je ne m’étais encore jamais comporté de la sorte.
Cela me paraissait tellement naturel de faire ce que j’étais entrain de faire ! Tellement normal ! Je promenais mes lèvres sur toute la longueur de la queue et m’arrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures qu’une pierre. Il devait se raser, parce qu’il n’y avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles.
« Ett-dhith ! » (Tète-le !) fit-il d’une voix qui ne souffrait pas que je lui résiste.
Et pourquoi résister, quant tout mon corps me criait d’obéir ? Je savais que j’allais passer un mauvais quart d’heure avec un tel engin dans ma bouche, mais j’étais prête à tout. J’ouvris la bouche et fis pénétrer l’énorme queue dans ma bouche. Je pensais lui administrer une superbe fellation. Je me disais que j’arriverai à satisfaire mon amant avec ma bouche, ma langue et mes lèvres. Mais lui, ne l’entendait pas de cette oreille : il ne voulait pas se contenter d’une simple fellation ! Il voulait me baiser par la bouche !
Il me le fit comprendre en m’attrapant par la tête et en faisant pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. J’avais un grande bouche; je n’eus donc pas trop de mal à laisser pénétrer le monstre à l’intérieur. Mais lui, il voulait aller plus loin : bien au-delà de ma gorge. Dès que le gland atteignit ma gorge, je me sentis étouffer. L’engin était trop gros et ne me laissait aucun espace pour respirer. Mouloud n’en avait cure. Il poussait avec
son bassin pour forcer le passage. Il me tenait fermement par les cheveux, pour que je n’aie aucune possibilité de fuir. Et il poussait très fort.
J’essayais de le repousser un peu pour pouvoir respirer. Et puis l’idée me vint de prendre la hampe du monstre à sa base pour l’empêcher d’aller trop loin. Je réussis plus ou moins à trouver un équilibre entre nous : lui qui voulait aller le plus loin possible – avec force et brutalité – et moi qui voulait garder un espace pour pouvoir respirer et aussi pour ne pas vomir. Mais même comme cela, son sexe était encore trop long et dépassait la glotte et me donnait à chaque fois envie de vomir. J’entendais mon homme qui ahanait et marmonnait des bouts de phrases en kabyle. Des phrases dont je ne saisissais que des bribes. Il était question de douceur de ma bouche, de ma langue électrifiée, de chaleur et d’humidité de ma cavité buccale; et de la jouissance qu’il allait avoir dans ma bouche. Et pendant qu’il marmonnait, il continuait de me démolir la gorge.
Il faisait sortir complètement l’engin de ma bouche et, après une seconde de répit qu’il me laissait pour respirer, il le faisait repartir aussitôt à l’assaut. J’avais la paroi de la gorge qui me faisait atrocement mal. Mes yeux étaient plein de larmes et coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Et chaque fois que le monstre sortait de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive – et parfois de vomis, que les va-et-vient forcenés qu’il m’appliquait, me faisaient produire en quantité industrielle.
J’entendais, comme s’il était à des kilomètres de moi, Mouloud gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme s’il voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
« Essew ezzel bourguez ! Esswith awk ! Essouw ezzel yahmane ! Ezzel yerghane ! » (Bois le sperme d’un homme ! Bois-le en entier ! Bois du sperme bien chaud ! Du sperme brûlant !)
Je n’avais encore jamais reçu du sperme dans ma bouche. Ni même sur le visage ! C’était la première fois que j’en recevais au fond de ma gorge, et que j’étais obligé de l’avaler. J’avoue que je n’avais aimé ni le goût, ni l’odeur, ni la viscosité du produit, mais je m’efforçais de faire ce que me commandait mon homme. Avaler son sperme ! Et le fait qu’il me l’ordonne dans notre langue maternelle, ajoutait à l’obligation de le faire.
J’essayais donc, sans complètement y réussir, de boire la première giclée. J’avais failli étouffer, je dus donc en recracher une grande partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, Mouloud décida de lâcher le reste de son foutre sur mon visage, en se masturbant. J’avais du sperme partout : sur les yeux, le nez, les joues, les cheveux, le cou, les seins. J’étais heureuse ! Car même si je n’avais pas pris beaucoup de plaisir dans l’opération, j’étais heureuse d’avoir fait jouir mon homme. Je voyais à son visage éclatant de lumière, qu’il avait été heureux.
Il avait le sourire béat de l’homme qui venait d’avoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et qu’il essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :
« Tu es merveilleuse ! Et vaillante ! Et c’est la première fois que tu fais cela ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient accepté un tel traitement. Tu es vraiment magnifique avec tout ce sperme sur le visage et sur le cou ! Mais la prochaine fois, il faudra que tu t’efforces de tout boire. Tu verras que tu finiras par aimer son goût et que ce sera toi qui en redemanderas.
- Tu ne m’as pas encore baisée ! Je veux que tu le fasses par devant et par derrière. Je veux tout essayer cette nuit. Je veux être ta chienne. Avant que je ne retrouve Rachid, je voudrais avoir tout fait. Pour lui raconter. Tu te sens d’attaque ? »
C’était moi qui maintenant devenait exigeante. J’avais goûté à l’adultère et je voulais aller jusqu’au bout. J’étais fatiguée par tout ce qui venait de se passer, mais je ne voulais pas que la nuit finisse sans que mon merveilleux amant ne me donne un avant goût de ce que sera ma nouvelle vie. Une vie de plaisirs érotiques sans limites. Une vie que Rachid, mon mari partagera avec moi – en participant de temps en temps à mes ébats avec Mouloud, puis plus tard avec d’autres homme, mais le plus souvent, en restant à l’écart à me regarder jouir comme une folle.
Mais, pour l’instant, ma première nuit adultère n’est pas encore terminée.
A suivre...
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L'apprentie infidèle - Suite
« Je suis ton cadeau d’anniversaire ! Et je te promets que tu en seras très contente ! Je suis un vrai bon coup ! D’abord je suis bien monté ! Tu comprends ? J’ai un sexe de bonne taille ! Tu n’as encore jamais été tirée par une queue comme la mienne ! Une fois que tu y auras goutté, tu ne pourras plus t’en passer ! Ensuite, je suis quelqu’un de résistant. Je peux passer une nuit entière à baiser sans me fatiguer. Ma queue est en acier ! Elle n’est jamais au repos !
- Arrête de te vanter ! Je ne crois pas un mot de tout ce que tu racontes ! Rachid ne peut pas t’avoir raconté tout ce que tu dis. Et surtout, il ne peut pas avoir pensé une seule seconde à m’offrir à un autre homme ! Il m’aime trop pour cela !
- C’est bien parce qu’il t’aime qu’il veut pour toi ce qu’il y a de mieux ! C’est-à-dire moi ! Il ne me l’a pas dit comme cela, mais je crois que ton mari fait partie de ces hommes qui prennent du plaisir à porter des cornes ! Je suis sûr que son bonheur serait de te regarder te faire tirer par un autre homme ! Et jouir comme une folle devant lui ! Mais pour le moment, il se contentera de t’imaginer subir les assauts de son ami Moussa et y prendre un immense plaisir ! Quand est-ce que je viens ?
- Tu es fou ! Il n’est pas question que tu viennes ! Ni qu’il se passe quoi que ce soit entre nous ! D’abord qu’est-ce qui te dit que tu es mon genre d’homme ? Que j’ai envie de faire l’amour avec toi ?
- Je sais que tu en as très envie ! Je sais qu’en ce moment même tu es entrain de te caresser ! J’entends presque le bruit que font tes doigts à l’intérieur de ta chatte qui coule de désir! J’entends le clapotis ! Ose me dire que ce n’est pas vrai ! Je voudrais que tu te lâches et que tu te mettes à gémir ! Je sais que tu as envie de gémir ! De crier ! Laisse-toi aller ! »
Ce diable d’homme avait deviné juste. Après les petites caresses presque inconscientes sur mes seins et mes tétons, j’étais passée, tout aussi inconsciemment, à mon entrecuisse. D’abord je me caressais discrètement par-dessus la culotte (comme si j’avais peur que l’homme me voit entrain de me masturber) puis plus franchement en faisant pénétrer trois doigts à l’intérieur de mon vagin et en m’y prenant avec vigueur. Comme il l’avait deviné, je m’efforçais de me retenir de gémir.
Alors que l’envie de le faire se faisait de plus en plus pressante. Ma chatte était pleine de jus et mes doigts faisaient effectivement un bruit de clapotis à l’intérieur. Je voulais m’arrêter de me masturber -j’avais honte de ce que je faisais- mais une force supérieure m’empêchait de le faire.
Je continuais de plus belle, en écoutant la voix envoutante de Moussa.
« Ne te retiens surtout pas ! Laisse-toi aller ! Continue de faire aller tes doigts à l’intérieur de ton vagin ! Combien as-tu mis de doigts ?
- Trois ! »
J’avais répondu instinctivement, sans réfléchir. J’étais maintenant prise au piège. Je ne pouvais plus reculer. Et puis je n’avais absolument pas envie de reculer. Je voulais jouir très fort! Et rien ne pouvait plus m’en empêcher. Et Moussa n’avait certainement pas envie de m’en empêcher.
« C’est bien ! Continue ! Dis-moi à quoi, ou à qui, tu penses en te caressant. A moi ? A ma grande queue ?
- Oui ! A une grosse queue qui me remplit complètement le vagin et qui me pilonne comme une brute ! Je veux une queue que je sente bien en moi ! Une queue qui me fait très mal en me possédant ! Une queue qui devient mon seigneur et maître ! Un vrai zob d’homme !
- Comme le mien ! Un vrai zob d’homme ! Ferme les yeux et imagine-moi entre tes cuisses. Imagine un immense zob à l’entrée de tes grandes lèvres qui s’ouvre la voie royale entre elle et qui s’apprête à entrer dans le tunnel. Imagine la poussée brutale de mes hanches et la douleur quand mon zob prend possession de ton tunnel. Tu sens toute sa force ? Tu sens comme il lime la paroi de ton vagin ? Tu sens comme il est heureux à l’intérieur ?
- Oui ! Il me fait atrocement mal ! Mais quel plaisir et quel bonheur que cette douleur ! Encore ! Continue d’aller et venir comme cela ! Comme une brute ! J’aime être niquée comme ça : en force ! Continue, nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi ! Je vais jouir ! Je jouiiis ! »
Et effectivement, j’avais joui comme jamais je n’avais joui auparavant. Une jouissance qui dévala des tréfonds de mon corps, qui se positionna un moment sur tout mon bas-ventre puis qui irradia vers ma poitrine et mon cœur, qui faillit s’arrêter, tant il battait trop vite. J’avais vaguement conscience qu’il venait de se passer quelque chose d’exceptionnel et d’anormal. Mais au fond de moi, je n’en avais cure. J’étais encore toute à mon bonheur d’avoir joui. D’avoir vraiment joui ! Rien qu’en me caressant et en écoutant un homme me parler.
Puis petit à petit je sortis du brouillard dans lequel j’étais et je pris conscience de la situation. J’eus un peu honte de mon comportement. Mais je me retenais bien de le dire à mon partenaire. Ce fut lui qui parla le premier. Non pas pour se vanter ou se féliciter, ou me reprocher quoi que ce soit, mais pour me répéter que j’étais une femme exceptionnelle et que mon mari Rachid avait raison de dire que je méritais de connaître le vrai bonheur; le bonheur qui provient de relations sexuelles débridées et d’une vie érotique libérée.
« J’aurais bien voulu te rejoindre cette nuit, mais il est trop tard. Je le ferai demain soir, après le travail, vers dix-neuf heures. Je veux que tu sois prête à accueillir ton cadeau d’anniversaire. Tu verras, tu n’y trouveras que du bonheur ! »
Et il raccrocha subitement; sans me laisser le temps de refuser sa proposition. Ma première réaction était en effet de lui dire non. Il n’était pas question pour moi de l’accueillir chez moi -chez nous- sous notre toit conjugal, dans notre chambre conjugale, sur notre lit conjugal ! Mais cet état d’esprit ne dura que quelques secondes (quelques minutes au plus !)
Rapidement le souvenir de la jouissance de tout à l’heure vint s’imposer à moi et m’empêcha de penser à toute autre chose qui ne soit pas le plaisir qui m’attendait la nuit prochaine. J’y pensais tellement que j’avais du mal à trouver le sommeil. Je m’étais même remise à me masturber pour calmer le désir qui continuait de m’étreindre. Je n’eus pas un orgasme identique à celui que je vécus quelque temps auparavant, mais cela suffit à calmer mes nerfs. Je pus enfin plonger dans un profond sommeil. Un sommeil plein de gros zobs qui me prenaient de toutes parts.
En me réveillant le matin, le souvenir de Moussa revint brutalement occuper ma pensée. Il ne me quittera plus de toute la journée. Au travail – je suis professeur de français dans un lycée d’Alger – je vaquais comme un zombie, l’esprit occupé par les évènements de la nuit passée et ceux qui allaient advenir la nuit prochaine. Vers midi, comme à son habitude, Rachid m’appela pour s’enquérir de mon état de santé et pour me demander, sans avoir l’air d’y toucher, s’il n’y avait rien eu d’exceptionnel la nuit précédente.
« Si j’ai reçu un appel, tard dans la nuit, d’un homme qui se prétend ton ami et qui m’a dit des choses étonnantes sur notre couple.
- Tu as apprécié ? Moussa est un gars vraiment bien ! Un homme totalement différent de ceux que nous connaissons et fréquentons. Je crois que tu aimeras sa compagnie.
- Y compris qu’il soit mon cadeau d’anniversaire ?
- Oui ! Je sais qu’il te plait déjà. Il m’a appelé pour me raconter votre discussion et le rendez-vous pris pour cette nuit. Cela me fait plaisir. J’espère que tu vivras des instants merveilleux.
- Tu veux dire que tu veux vraiment que je couche avec lui ? Que tu n’es pas jaloux ? Que tu ne m’en voudras pas de te tromper ? Tu m’aimes donc si peu ?
- Au contraire, je t’aime beaucoup plus ! C’est pour cela que je veux que tu vives complètement ces instants d’érotisme intense ! Il n’y a pas eu jusqu’ici beaucoup de moments érotiques entre nous. Et je sais que c’est un vrai manque dans notre vie. Je veux que cela change et que notre vie prenne une nouvelle direction : celle du sexe libre, du sexe débridé. Cela ne veut pas dire que nous n’avions pas été heureux auparavant. Nous avons eu beaucoup de bonheur. Mais aujourd’hui, il nous faut aller plus loin, il nous faut atteindre le Paradis.
- Et tu penses qu’en couchant avec ton ami, nous atteindrons le Paradis ? Je peux imaginer que moi je sois heureuse (en admettant que ton ami soit vraiment un super coup), mais toi, où sera ton plaisir ?
- Dans le tien ! Je serais très heureux de savoir que tu as atteint des sommets de plaisir sexuel avec Moussa (ou même avec un autre homme). Ton bonheur sera le mien. Surtout, si après tu me racontes tout ce que tu as ressenti ! Je te dégoute ? »
Je n’ai pas su quoi répondre à sa dernière question. J’ai marmonné quelque chose d’inaudible et j’ai raccroché. Je ne voulais pas lui dire que j’étais impatiente de rencontrer Moussa. Que j’étais vraiment sur des charbons ardents. Que plus l’heure approchait et plus mon cœur battait plus vite et plus fort. Et plus l’émotion qui m’avait étreinte la nuit dernière revenait à grand pas et mettait mon corps en émoi.
Je quittai le lycée vers quinze heures et rentrai directement à la maison. Je passais tout le reste du temps à me préparer à recevoir Moussa, comme si j’étais une nouvelle mariée. Non seulement je pris un bain très chaud et m’épilai avec soin partout –y compris mon intimité que je débarrassai de tous les poils qui pouvaient s’y trouver– mais encore, je choisis la tenue la plus affriolante que j’avais dans ma garde-robe : une petite nuisette super coquine et un ensemble culotte/soutien-gorge en soie noire qui mettait en évidence la blancheur laiteuse de ma peau.
Par-dessus, je mis un kimono en soie bleue qui moulait mon corps et mettait en valeur mes rondeurs. Et j’attendis avec impatience que la sonnette de la porte d’entrée tintât. Je n’arrêtais pas de me regarder –et de m’admirer- dans la grande glace du salon. Sans forfanterie je me trouvais belle. C’est vrai que je n’avais plus la fraicheur de mes vingt ans, ni la fermeté des chairs que j’avais à cet âge. Mais je trouvais que j’étais toujours une superbe plante.
Pour me décrire rapidement, je dirais que je suis une femme plantureuse, avec toutes les rondeurs –encore fermes– qu’il faut, là où il faut. J’ai surtout un superbe fessier qui faisait fantasmer tous les hommes que je croisais dans la rue. Je suis très blanche de peau, une Kabyle du Djurdjura, avec un visage long se terminant par un menton volontaire. J’ai un nez droit, un peu trop grand à mon goût, des yeux marron-clairs et une grande bouche gourmande.
Mes dents, sans être celle d’une publicité pour un dentifrice, sont blanches, bien plantées et régulières.
En somme, un physique plutôt agréable, que même les garçons du Lycée trouvent bandant (c’est du moins ce que mes collègues femmes, n’arrêtent pas de me répéter depuis des lustres que j’enseigne dans cet établissement).
Pendant tout le temps que j’attendais son arrivée, je me posais des tas de questions sur Moussa : surtout sur son physique et son âge. Si je devais me fier à sa voix, il ne devait pas avoir plus de trente-cinq ans. Sa voix était celle d’un homme mûr, d’un homme avec un vécu avéré, mais pas encore blasé.
« Au maximum, me dis-je comme pour me rassurer, il devait avoir quarante ans. Pour la beauté, je ne savais pas trop, la voix ne donne aucune indication. Mais j’avais l’espoir que c’était un bel homme, même si ce n’était pas un Apollon. »
J’en étais là dans mes réflexions quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Mon cœur se mit à battre la chamade. J’avais l’impression qu’il allait exploser. Je m’efforçai de me calmer un peu, avant d’aller ouvrir. Je n’y arrivai pas totalement et ce fut en tremblant un peu que j’ouvris la porte et me trouvai en face de Moussa.
La première réflexion qui me vint en tête à ce moment précis est que je venais d’ouvrir à un pirate, les pirates que l’on voit dans les films hollywoodiens. Il en avait la prestance et la dégaine.
D’abord, il était très grand et mince, presque maigre, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et des jambes qui n’en finissaient pas. Il avait cette fameuse barbe de trois jours, dont je me demande aujourd’hui encore comment il faisait pour la maintenir en l’état – des cheveux noirs, raides et longs, qui lui tombaient sur la nuque, et un visage basané, anguleux, comme taillé par une serpe. Son long nez droit et son menton volontaire accentuait encore plus cette impression de plus en plus présente que j’avais affaire à un pirate.
Sans parler de ses petits yeux noirs au regard brillant et du sourire moqueur qu’il avait – en permanence – sur les lèvres. Je ne parle pas non plus de son immense bouche gourmande et des canines de prédateur qui apparaissaient sous ses fines lèvres, constamment ouvertes. Et pour confirmer cette apparence, il portait un costume en toile légère de couleur grise, dont la veste déboutonnée laissait apparaître une chemise à petits carreaux bleus, négligemment ouverte sur un poitrail velu.
« Bonsoir ma grande ! fit-il avec un sourire de carnassier qui présageait d’une suite des plus torrides. Je vois que tu m’attendais ! Tu es super mignonne ! Mieux que dans la photo !
- Bonsoir ! » répondis-je d’une toute petite voix.
J’étais vraiment intimidée. D’abord l’homme était à l’aise. Trop à l’aise par rapport à moi qui me sentais comme un petit lapin prise au piège. En plus, il était beau. De cette beauté virile qui n’avait rien avoir avec la régularité ou la finesse des traits. La beauté du Diable ! Il donnait l’air d’avoir environ trente-cinq ans, mais j’étais sure qu’il se vieillissait volontairement par sa manière de se tenir et de s’habiller. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Un enfant ! Du moins comparé à moi, qui allais avoir cinquante ans, le lendemain.
J’étais encore plus intimidée. Je lui fis signe gauchement de me suivre vers le grand salon qui se trouvait au fond du couloir. Je le devançais pour lui indiquer le chemin. Mais avant d’avoir fait un mètre, je sentis sa main qui venait de se poser sur mes fesses. J’eus une crispation involontaire, comme pour réagir à un geste incongru, mais me repris très vite, en me disant que c’était normal qu’il se comporte ainsi : s’il était là, si je l’avais laissé entrer, si je le précédais vers le grand fauteuil du salon, c’était uniquement pour cela : pour me tirer ! Et je ne pouvais être que consentante.
« Rachid a vraiment raison : tu as un cul superbe ! Il ne faut pas te scandaliser, c’est de ma part un vrai compliment !
- … »
Je ne répondis rien. D’ailleurs qu’aurais-je pu répondre qui aurait pu changer le cours des choses. Et puis avais-je vraiment envie que le cours des choses changeât ? Non ! Mille fois non ! Au contraire je voulais, j’espérais, que les choses s’accélèrent et que mon pirate me saute dessus.
Je voulais qu’il exerce sa force sur moi et me soulève du sol pour me jeter sur le divan. Je voulais qu’il déchire mon kimono et ma nuisette et mes dessous. Je voulais… Mais Mouloud continuait de me caresser les fesses, sans se presser, tout en marchant derrière moi. Je sentais son énorme paluche qui malaxait une fesse et puis l’autre; en insérant de temps en temps un doigt entre elles, pour aller à la recherche de mon anus.
Il m’est aujourd’hui encore très difficile de décrire les sentiments qui me traversaient en ce moment précis. C’était un mélange d’excitation – excitation provoquée surtout par la situation bizarre dans laquelle je me trouvais, seule chez moi avec un homme que je ne connaissais pas encore et qui était là pour me tirer – et de gêne. Le reste de mon éducation puritaine me commandait de résister à tout ce qui se passait en moi et de chasser l’homme de ma maison.
Signé Najia
A suivre...
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