Les Mémoires très Libertines de Sophie
Nadine se fait prendre à la chaine à Pigalle
Voilà, je me présente, Nadine, belle femme, enfin, on me le dit, d’une trentaine d’année. Je suis une hypersexuelle, que peu de choses arrêtent…
Il y a quelques semaines, j'étais à Paris pour passer quelques jours de vacances, et mes pulsions sexuelles sont revenues. Il me fallait les assouvir à tout prix. J’ai profité d’être à Paris pour aller à Pigalle...
Shopping en sex-shop, essayages devant les clients vicieux. Puis direction les cabines de projection. Un mec m’a suivie, rapidement caressée, il s’est branlé, a joui sur moi, et a tourné le dos très vite. C’était très frustrant…
J'étais en manque et non satisfaite...
Je suis rentrée à l'hôtel, chaude comme la braise. J'ai remarqué au bar le serveur. Un grand black, bien fait. A sa manière de me regarder, je savais que j’avais là mon premier mec de la soirée. Je suis montée dans ma chambre me doucher, pour être bien propre, si mon instinct ne m’avait pas trompée…. Je me suis habillée d’un haut noir, d’une jupe blanche évasée, et je n’ai pas jugé utile de mettre une culotte…
Je suis retournée au bar m'asseoir, de sorte à être face au barman. A droite, trois hommes d'affaires discutaient à une table autour d'un ordinateur. Ils avaient la cinquantaine quelconque.
Le barman est venu prendre ma commande : une coupe de champagne, comme à mon habitude. J'ai regardé fixement sa braguette, puis ses yeux. Il hésitait à sourire, et il est reparti préparer mon verre.
Je me suis tournée vers les hommes d’affaires, j'ai croisé mes jambes. Ils étaient trop absorbés par leur travail, et ne m’ont pas vue. Je me suis alors dirigée vers eux et je leur ai demandé le journal posé sur leur table. En me le passant, l'un m'a averti que ce journal m'ennuierait. Ce n'était que des finances et la bourse.
Je lui répondais que j'aimais la bourse. Les bourses en général, avec un sourire discret.
De retour à ma place, c'était gagné, ils me regardaient à tour de rôle avec insistance. Je faisais semblant de pas les remarquer.
Assise de travers, j'ai décroisé mes jambes. Le temps nécessaire pour qu'ils voient mon sexe lisse, puis me suis tournée vers le bar. J'ai ensuite fait en sorte que le barman voit mon sexe, écartant sans sourciller les jambes.
Le barman est arrivé avec ma coupe, m'a demandé si je voulais autre chose.
Je l'ai regardé droit dans les yeux, et lui ai demandé ce que lui, voudrait. Gêné, il n’a pas répondu… Comme il repartait vers son bar, je l'ai arrêté pour lui demander s'il assurait le room-service. Il m’a confirmé que c'était envisageable. Jai alors demandé à ce qu'il me serve une bouteille de champagne, juste avant sa pause. Puis je me suis levée, sans même attendre sa réponse.
Quelques minutes plus tard, on frappait à la porte. Le barman, timide et incrédule est entré, son plateau à la main. Il a fermé la porte derrière lui. Le temps de cette manœuvre, je me suis déshabillée, et allongée sur le lit.
Sans plus de précautions, je lui ai dit que je voulais qu'il me défonce. Etre sa putain. Sa blanche putain. Je me suis mise à genoux devant lui, j'ai sorti sa bite, et je l'ai sucée. Il m’a ensuite allongée sur le lit, m’a dévoré la chatte. J’ai joui une première fois, assez vite. Il m’a alors pénétrée violemment, me besognant avec force, sans tendresse. Je jouis encore, en riant très fort dans la chambre feutrée…
Je lui ai demandé de prendre mon appareil photo dans le tiroir et de faire une photo de moi, pour qu'il la garde sur lui. Il pourrait la montrer à qui il voudrait. Je lui ai dit qu'un gars comme lui ne gagnait pas bien sa vie, et que je voulais être sa pute tout ce week-end, qu'il se débrouille comme il voulait. Je resterai dans ma chambre à sa disposition.
Qu'il me loue à qui il voulait et garde l'argent...
Je serai l'esclave de ses « clients. » Puis je lui ai montré le matériel acheté au sexshop : menottes, collier, laisse, etc.
Avant de partir, il m'a dit que ça ne tarderait pas, qu'il commencerait déjà par l'équipe de l'hôtel. Je devais les attendre allongée sur le lit, habillée comme une chienne. Il avait pris très vite à cœur son rôle de mac dominateur !
Très peu de temps après, deux jeunes arrivèrent. Ils m'ont défoncée rapidement, puis giclé dans ma bouche. Pas un mot. Le téléphone sonna, c’était le barman qui m’annonçait mes prochains « clients » : le gérant du soir, puis le vigile. Cela lui permettrait d'avoir les mains libres pour la suite de la nuit.
Le gérant était un jeune, maigre et moche. Il a juste voulu que je lui vide les couilles. Au moment où je lui léchais ses boules, à genoux, écartée devant lui, il a commencé à se lâcher. A m'insulter de tous les noms. Puis il m'a tirée la tête vers le haut et m'a enfoncé sa bite dans ma bouche, puis baisée violemment la bouche. Il a giclé puissamment et s'est rhabillé avant de partir discrètement.
Presque de suite, c'était le vigile. Un arabe, moche. Lui a été direct. il m'a traitée de trainée, m'a fait mettre à quatre pattes. Il a enfoncé ses doigts dans mon cul à sec et il a tourné dedans. Il m'a levée par les cheveux, poussée à plat ventre sur le lit, m'a écartée les jambes. Avec sa ceinture, il m'a liée les bras dans le dos avant d'embrocher mon cul à sec, sans aucune précaution. Il était violent et puissant. Pour me réduire au silence, il m'enfonçait ses doigts dans ma bouche. Un dernier coup de reins, et il s'est répandu en moi. Il a détaché mes mains, il s'est rhabillé, puis me faisant tourner la tête vers lui, il m'a traitée de pauvre putain.
Le cul endolori, écœurée, je me suis à nouveau nettoyée de partout. J’étais mal, mais j’en voulais encore plus ! Trois autres personnes ont suivi, séparément. Plus doux, mais tous silencieux. Le dernier m'a demandé de le doucher et savonner. Puis sous la douche, il m'a uriné dessus.
Douchée, remaquillée, le gérant m'a appelée, pour me donner les consignes du barman. Je devais attendre devant une chambre. Avec mes menottes, collier, godes etc.
Mais je devais être discrète, inutile d’alerter tout l’hôtel.
Un garçon d'étage était devant une chambre, avec un plateau repas. Il me fit signe : je devais faire le service aux clients.
J'ai frappé La porte s'est ouverte. Je me suis trouvée face aux businessmen, un énorme sourire accroché sur leurs visages... Je suis rentrée, poussant le chariot.
Je leur ai fait le service, nue avec mes chaînes et menottes aux poignets et chevilles. Ils me pelotaient, me doigtaient, rigolaient.
Après leur avoir servi le café, ils m'ont fait poser pendant qu'ils prenaient des photos. Ils se sont amusés à m’enfoncer des godes dans le cul.
Ils m’ont fait me fister le cul, puis enfin après m'avoir fait les sucer, assis sur leur canapé, ils m'ont prise par le cul à la chaîne. Tous se sont vidés dans une assiette.
Ils m'ont attachée les mains dans le dos avec les menottes, puis fait mettre à quatre pattes. Ils ont pris maintes photos de mon cul ouvert.
L'un s'est approché avec la bouteille de champagne qu'ils avaient vidée. Le plus jeune a dit, dans un demi-rire, demi-inquiétude, qu'il était fou, qu’il ne fallait pas pousser. Et l'homme à la bouteille lui a répondu que le barman lui avait assuré qu’ils pouvaient disposer de moi comme ils l'entendaient. Et que pour 3 000 euros, ils n'allaient pas se gêner ! Surtout que j'étais déjà bien ouverte... Ils ont ri, puis l'un a posé ses pieds sur mon dos. J'étais plaquée, cul en l'air.
J’ai senti le froid de la bouteille contre mes fesses. Il me l'a enfoncée doucement. Puis il a commencé à forcer. Il m'ouvrait le cul, il me le déchirait presque… Ils étaient extasiés de voir ça... L'un a dit que ça suffisait, mais ils ont commencé des allers retours dans le cul, avec la bouteille. On m'a mis l'assiette de sperme sous le nez et je l'ai lapée, en les regardant. Ils prenaient encore des photos...
Pendant qu'ils appelaient la réception, les autres jouaient à m'enfoncer des doigts dans le cul. Le groom a tapé à la porte, et m'a posé un manteau sur les épaules. il m'a raccompagnée à ma chambre, où je me suis reposée quelques instants. Je regardais mon cul ensuite dans le miroir de la salle de bain. En effet, il était béant...
Le téléphone sonna, on me dit que je devais manger, puis me tenir prête pour être exhibée dans une boite de nuit.
Une heure plus tard, un magrébin est venue me chercher pour me conduire. La boite étais archi comble, avec des clients plutôt zonards, une clientèle jeune, de banlieue.
Nous sommes rentrés, puis allés dans les bureaux. Le patron, un gros gars typé gitan, a sifflé d’admiration en me voyant entrer. Il a baissé sa braguette, et claqué des doigts. J’ai compris son geste, et me suis courbée vers lui. Assis sur son gros fauteuil, je le pompais, lui léchant ses énormes couilles, pendant qu'il discutait avec l'arabe qui m'avait amenée.
Une fois qu'il s'est vidé dans ma bouche sous les insultes, il m'a dit qu'il était temps d'aller danser sur le podium. Je devais garder mon string et les allumer au maximum.
Je monte sur le podium. La musique est à fond. Je danse, me tords, je les allume. Je m'éclate, à vrai dire. Puis on me fait signe de descendre.
On m'amène au bureau à nouveau. Je m'assois et j'attends. Une demi-heure plus tard, on vient me chercher pour aller dans une autre salle de la boîte.
Elle est plus petite, avec un podium central. On m'explique que c'est une salle « spéciale » pour les VIP, ceux qui payent cher…
Je dois me déshabiller, aller sur le podium et danser. J’obtempère, et en fait, je m'amuse. Des gens entrent, et une voie annonce au micro que je suis disponible de partout. La voix me demande de me mettre en levrette, de me trémousser. Puis elle invite l'assemblée à m'observer, me toucher. Si je les intéresse, qu'ils s'adressent au patron pour les modalités. J’aime qu’on me mate, j’aime voir les mecs s’excite sur mon cul. Il est encore ouvert de la pénétration avec la bouteille de champagne.
On me fait descendre, puis on me dirige vers une grande pièce derrière un rideau. Il y a un grand lit, des accessoires. J'ai compris. Résignée, excitée mais un brun écœurée, effrayée, je m'allonge. J’écarte mes cuisses, je me caresse les lèvres intimes. Je suis hyper excitée.
Le rideau s'ouvre. Un gros barbu apparaît. Il me regarde fixement, mais semble attendre quelque chose. J’entends un bruit sourd près de moi. C’est un chien, un labrador. Il prend la laisse et remercie. Mon arabe de chauffeur s'excuse, mais par rapport aux autres clients qui suivront, il devait faire entrer le chien par une autre entrée discrète.
Je n'ai jamais fait ça !!! La simple idée me terrifie et me dégoute.
Le barbu sort sa bite, et me fait signe d'approcher. J'enfourne avec répugnance sa bite dans ma bouche. Heureusement, il a une éjaculation rapide. Puis il me fera sucer son chien. Jamais je n’ai fait ça. Ce soir, je suis tombée plus bas que jamais.
La suite est encore plus humiliante. Il m’a fait lécher et saillir par son chien. Sa grosse langue râpeuse a léché ma chatte en feu, pénétrant partout, et me provoquant un orgasme fou. Humiliant surtout d'avoir joui avec un chien qui me labourait la chatte. Et d'avoir joui à nouveau quand il a lâché son sperme.
Il en avait fini, et il est parti avec son chien. L'arabe est rentré, m'a indiqué les toilettes et les douches en face. Il me fallait me nettoyer rapidement des souillures du chien. Les autres ne devaient pas savoir qu’ils passaient sur moi après un chien… Les hommes attendaient, là, dehors...
Je suis prête. Trois jeunes beurs de banlieue entrent, avec des exclamations vulgaires : « On va lui faire son cul à cette salope... »
Des hommes se succéderont en moi des heures durant. Tous mes orifices seront défoncés, surtout mon cul. Ils déverseront leur sperme par flots dans ma bouche, me bafferont, me fisteront, m'enfonceront des godes énormes.
Puis on me raccompagne dans ma chambre. Pour finir, je suis baisée à fond par l'arabe. Il inondera mon cul de son sperme avant de partir.
Effondrée de sommeil, je ne me réveille qu'en milieu d'après-midi. J'ai honte de mon attitude, de mes excès, j’ai des nausées en y repensant, mais je mouille… Du coup, j’ai encore plus honte de moi ! C’est un cercle infernal !
Je m'endors, en me demandant de quelle maladie je peux bien souffrir pour jouir de ces situations. Pourquoi tant aimer la perversion. Pourquoi cet appétit sexuel ? Pourquoi cette envie de servir d'objet, d’être humiliée comme je l’ai été hier ? J’ai été baisée et enculée par plus ou moins cinquante mecs, et un chien ! Je ne suis pas si fière de moi…
Ca ne servait à rien de me poser la question. C'était la faute à la nature. Un point c'est tout... C'était elle la coupable...
Après le peintre, le plombier...
Après l’épisode du peintre, je m’étais rendu compte à quel point j’aimais voir ma femme se faire prendre par un autre. Je souhaitais de tout cœur que cela arrive, mais sans oser en parler à Melody. Celle-ci finit sans doute par deviner mes envies, ou alors, elle est vraiment devenue une belle salope. Je vais vous raconter pourquoi.
Il y a quelques semaines, j’ai reçu un appel du plombier, qui confirmait sa venue le lendemain. Habituellement, mon épouse m’informe de ce genre de visite. Surtout, elle me laisse les organiser, car elle craint de se faire « avoir » par un artisan. Je me suis alors rappelé qu’un jour, Melody m’avait glissé qu'elle trouvait le plombier assez beau. Par jeu, je l’interroge sur son programme du lendemain. Elle me parle de courses à faire, d’un déjeuner avec une amie. Rien sur cette visite. Je voulais savoir… Elle ne lâche rien, pas un mot. Mes intuitions doivent donc être fondées : ma femme est devenue une garce. Et j’aime ça !
Le lendemain matin, je pars travailler, la laissant, vêtue d’un pull et d’un jean, avalant son petit déjeuner. Je me suis contenté d’aller garer la voiture quelques rues plus loin et, revenu à pieds, j’ai attendu de la voir monter au premier étage pour rentrer discrètement dans la maison et me glisser dans le petit vestiaire, à droite de la porte. Il n’est fermé que par un rideau. Précautionneux, j’y avais placé un tabouret et une bouteille d’eau. Je pouvais attendre et voir tout ce qui pourrait se passer au rez-de-chaussée. Pas très confortable. Mais on y tient debout ou assis et surtout, on peut tout voir de ce qu’il se passe dans le bas de notre maison.
Après une vingtaine de minutes, je commençais à regretter d’être venu là... Je me trouvais dans une situation stupide. Rien n’arrivait et je ne savais comment partir discrètement. C’est là que la sonnerie me fige. J’entends les pas de Melody et la vois apparaître dans l’escalier. Elle a quitté sa tenue du matin et, semblant sortir de sa douche, porte un peignoir et des mules. Elle ouvre la porte et, comme prévu, le plombier entre. Elle lui parle d’une fuite dans la cuisine, disfonctionnement dont j’ignorais l’existence. Vu la tenue dans laquelle elle lui ouvre, il a sur elle un regard intéressé, interrogatif et surtout insistant. Elle rougit légèrement…
Moi, je suis heureux d’être resté. Je savais que j’allais assister à ce dont je rêvais depuis toujours : voir ma femme se faire prendre par un autre !
Il se dirige vers la cuisine, abandonnant sa trousse d’outils. Elle lui propose un café qu’il accepte. Il est déjà prêt. Je la vois remplir la tasse et préparer le sucrier. Derrière elle, l’homme semble s’affairer sur l’évier. Je vis alors très distinctement le geste de Melody, déliant la ceinture qui tenait son peignoir. Elle prend la tasse de café dans la main droite, le sucrier dans la gauche, se tourne vers le plombier en disant : « Voilà ». Au même instant, il se tourne vers elle et la ceinture déliée tombe, le peignoir béant laissant Melody quasi nue face à lui. Elle a les joues vraiment rouges.
Il regarde, semble hésiter un instant puis s’approche et doucement, pose les mains sur les deux délicieux petits seins ainsi offerts. Elle reste complètement immobile alors qu’il les lui caresse longuement, puis glisse une main entre ses cuisses. Il cesse un instant, soulève la tasse de café de la soucoupe qu'Melody tient de sa main droite, attrape un sucre.
« Ne bougez pas ! »
Il boit une gorgée, repose la tasse, s’empare à nouveau des seins, en relâche un pour finir le café. Et lui prenant des mains tasse et sucrier, les pose pour faire glisser le peignoir qui tombe sur le carrelage. Il commence alors à palper, fouiller, caresser son corps, s’insinuer dans ses orifices et cela très longuement. Melody regarde vers le plafond, gémit. Il dégrafe son pantalon, le fait descendre sur ces chaussures et, dressé, se place derrière elle, caressant sa verge entre les fesses de ma femme, tout en lui pinçant les seins.
Je crois ne l’avoir jamais vue si ouverte, offerte. D’une main, il appuie sur son épaule, la forçant à s’accroupir. Je vois son gros sexe à la hauteur du visage de mon épouse. D’un coup, il s’enfonce dans sa bouche, pose ses deux coudes en arrière pour s’appuyer au plan de travail. Melody, ainsi accroupie devant lui, le suce, avalant la presque totalité du membre. Il lui parle, je n’entends pas, je la vois cesser son va-et-vient pour lécher le pénis dans toute sa longueur. Puis elle reprend sa fellation. C’est là, après un temps incertain, que l’homme s’est retiré. Il attrape alors la chevelure de Melody à pleines mains et, de l’autre main, se masturbe. Une première giclée file en l’air et retombe sur le visage de ma femme. Presque simultanément, tirant sur les cheveux, il s’engouffre à nouveau dans sa bouche. Je vois, à ses tremblements, qu’il achève de s’y répandre, laissant filer un léger gémissement. Il se retire, après de longues secondes, flasque, lâchant juste : « Bon début ! » et ouvre le réfrigérateur pour se servir une bière.
Je les devine échanger quelques mots, puis ils marchent vers le salon où ma femme s’allonge sur la table basse. La bière finie, je le vois approcher le goulot du sexe de Melody. Elle semble hésiter, il la guide, la pénètre lentement avec la bouteille commence un mouvement lent puis la laisse poursuivre seule. Avachi sur le canapé, il regarde. Subitement, il se lève, remonte son pantalon et sort devant la maison juste en tirant la porte derrière lui. Très vite, pourtant, il revient et reprend sa position d’observation, retire chaussures, pantalon et caleçon.
D’un ton négligent je l’entends dire : « Je viens de proposer à deux amis de venir prendre un café. Vous aimerez »
Puis, sans lui laisser le temps de répondre, de réagir, il se lève brusquement la tire vers lui, fait glisser la bouteille vers le sol et retourne Melody. En un instant, elle se retrouve à quatre pattes sur la table basse, lui derrière la pénétrant sans effort. Elle gémit, supplie, crie, jouit. Il continue, puis se plaque entre les fesses de Melody pour éjaculer, une gerbe de sperme arrosant le beau dos nu. Ils sont restés longuement ainsi. Puis, elle s’est relevée, marchant jusqu’à la cuisine et revenant avec un verre d’eau qu’elle boit et une nouvelle bière qu’elle lui tend. Il lui glisse quelques mots insaisissables et s’affale à nouveau sur le canapé, ridicule ainsi vêtu de son seul tee-shirt.
Melody est montée à l’étage. J’entends brièvement la douche couler. Lui, tourne dans la pièce. Il tire les rideaux, allume quelques lampes tamisant ainsi l’atmosphère puis, étale à terre, après avoir bougé la table basse, une nappe qu'Melody lui a donnée juste avant de monter. Comme lors de l’arrivée du plombier, j’entends ses pas avant de la voir apparaître dans l’escalier. Elle redescend, portant uniquement un serre-taille, des bas, des escarpins à talons avec une fine bride autour de la cheville et un collier de perles, cadeau d’un de ses amours de jeunesse. Elle est absolument splendide, sa peau nue, légèrement halée, si parfaitement mise en valeur par le noir de la lingerie et de son pubis. Je crois ne l’avoir jamais trouvée aussi belle, sa chevelure libérée caressant ses épaules, ses fines jambes, sa taille cambrée, ses petits seins aux pointes brunes dressées, jeunes fruits d’amour.
En passant, elle dépose sur la table deux de mes vieilles cravates. Il a sifflé, de toute évidence d’admiration et s’est approché pour la caresser. Elle est restée debout face lui, jambes écartées, mains derrières la nuque. D’une main, il jouait avec les seins et de l’autre, la masturbait, comme guettant ses réactions. Tête relevée, elle respirait bruyamment, par saccades. Ils étaient ainsi quand la sonnette de la porte a retentit à nouveau.
Il a jeté un œil par la fenêtre, et est revenu vers elle. A nouveau, je l’ai vue lui parler sans pouvoir saisir ses mots. Melody s’est dirigée vers le centre de cette nappe rouge tendue sur le sol par le plombier. Elle s’y est agenouillée. Avec l’une de mes vielles cravates, il lui a bandé les yeux, avec l’autre, il lui a lié les poignets dans le dos. Je ne sais plus que penser : avec moi elle avait toujours refusé les jeux de liens. Puis il s’est dirigé vers la porte. En ouvrant, il a laissé filé : « Ah, finalement vous êtes là tous les trois ! ».
Je suis un peu inquiet pour ma femme, mais cette situation m’excite de plus en plus. J’ai entendu ensuite des commentaires admiratifs prononcés par des voix qui se mêlaient. Ils se sont approchés de Melody pour mieux la voir. J’étais si excité et troublé que, les ayant pourtant vus, je serais dans l’incapacité de les décrire, de les reconnaître. Le plombier, jouant au maître de maison, proposa des bières. Ainsi munis, ils se sont installés autour d’elle, deux sur le canapé, les deux autres dans des fauteuils, formant un demi-cercle autour de mon épouse qui restait à genoux, liée, silencieuse, nue et immobile. En quelques mots orduriers, le plombier a raconté le début de la matinée, depuis son arrivée. Le visage de Melody était rouge de confusion et de plaisir mélangés.
Lentement, les trois nouveaux se sont entièrement déshabillés. Un premier s’est avancé vers elle. Il bandait terriblement. Il glissa vers elle sur la pointe des pieds, dans un silence complet. Lorsqu’il est arrivé juste à coté d’elle, il a jeté un œil à ses compagnons et a plaqué son sexe tendu contre la joue de Melody, la faisant sursauter et, profitant de sa surprise, il s’est enfoncé dans sa gorge. Je l’ai vu s’engouffrer profondément dans la bouche de Melody et, probablement terriblement excité, il ne put exercer que quelques rapides mouvements avant de jouir bruyamment, figé au fond d’elle. *
Les deux autres s’étaient approchés. Dès que le premier se recula, ils se placèrent chacun d’un coté et appliquèrent, comme le premier, leur phallus contre ses joues. Utilisant ses cheveux, il la faisait aller d’une bite à l’autre. Melody suçait, léchait : ils se caressaient sur elle, en elle, ainsi pendant d’extraordinairement longues minutes.
Puis, se plaçant tous deux face à elle, ils se sont masturbés jusqu’à ce qu’ils éjaculent. Ils ont arrosé le visage et les seins de Melody de leurs longues rasades de sperme.
Je voyais les gouttes se former sur son nez ou son menton, puis tomber sur ses seins, sur ses genoux, son ventre ou, gâchis, au sol sur la nappe dont je comprenais maintenant l’intérêt.
Le plombier a proposé une « deuxième tournée ». Ils étaient tous partants. Délicatement, il a détaché les mains de Melody, l’a allongée sur le dos, toujours au centre de la nappe, les yeux toujours bandés. Il lui a fait lever les bras pour qu’elle glisse ses mains sous sa nuque et, à nouveau, lia ses poignets, son visage et ses seins toujours maculés. Enfin, il lui écartant les cuisses et, en appui sur ses bras tendus, il l’a pénétrée. J’entendais, je voyais le plaisir de Melody. Je me suis décalé, abandonnant mon tabouret et restant debout pour mieux voir. Et je voyais son visage, couvert d’un sperme gluant, marqué par le plaisir. Le plombier se détacha d’elle pour jouir, arrosant son ventre de taches blanches particulièrement visibles sur la dentelle noire de son serre-taille. Les trois autres se sont succédés en elle de la même façon. Ils ont tous finit par se répandre sur son ventre. Je me souviens avoir été surpris par l’éjaculation du troisième. Il avait maculé le visage de Melody quelques instants avant, et là, d’une incroyable vigueur, il laissait filer une jouissance impressionnante. Le jet abondant est venu s’écraser plusieurs fois sur les seins de Melody, couvrant son ventre, et ses poils pubiens.
Tranquillement, il s’est accroupi au-dessus du visage de Melody. Je l’ai vue lécher le sexe déjà au repos mais certainement couvert de foutre. Elle a très bien nettoyé l’homme…
Les trois visiteurs se sont rhabillés puis, imitant le plombier, installés dans canapés et fauteuils, ont allumé chacun une cigarette. Melody, nue, liée et maculée, constituant le spectacle qu’ils commentaient, admiraient. L’un d’eux a posé un cendrier entre les seins de Melody. Tous ont ri. Ils venaient négligemment agiter leurs cigarettes au-dessus d’elle. La cendre tombait dans le cendrier ou à côté, sur la peau douce de Melody. Ils ont ensuite écrasé leurs mégots et, la laissant seule avec le plombier, sont partis. La voir ainsi humiliée commençait à me faire avoir de sentiments contradictoires…
Le plombier, sa cigarette finie et écrasée avec les autres, a enlevé le cendrier et défait les liens de Melody. L’aidant à se relever, il l’a ensuite essuyée avec un torchon attrapé dans la cuisine. Le mélange de sperme et de cendres laissait sur ses seins de petites traînées grises. En même temps, il lui parlait doucement dans l’oreille et je la voyais dire non de la tête, refusant je ne sais quoi. Puis c’est elle qui a parlé et il a acquiescé. Il s’est assis dans un fauteuil. Melody debout devant lui, s’est caressée puis lentement, s’est agenouillée et enfin, se pliant en deux, elle lui baisa longuement les pieds. Ensuite, elle remonta, léchant ses jambes, ses cuisses, puis son pénis jusqu’à ce qu’il se redresse. Alors, elle l’a sucé avec une vigueur extraordinaire, cherchant visiblement à le prendre le plus profondément au fond de sa gorge.
Dans le même temps, elle se masturbait. Lorsqu’elle s’est immobilisée, j’ai compris qu’il avait à nouveau joui dans sa bouche. Elle a alors joui aussi, lâchant un cri bref. Il l’a attrapée par les cheveux, la ramenant, ou plutôt son visage, entre ses cuisses velues. Je l’ai entendu distinctement dire : « Lèche ma bite ».
Et elle de lécher comme si elle cherchait à nettoyer ce sexe qui, par quatre fois en l’espace d’une matinée, l’avait utilisée comme réceptacle.
Il s’est relevé. En se rhabillant, il a juste dit : « Merci, je suis vraiment crevé, je reviendrais pour la fuite de la cuisine. »
Encore à genoux, Melody finit par avouer qu’il n’y avait aucune fuite. Puis se levant, elle prit un sac, y glissa mes vieilles cravates, les bouteilles vides et lui demanda de jeter le tout dans une poubelle éloignée. Il a demandé s’il pouvait revenir. Elle lui a répondu sans appel : « Jamais ! »
Il est parti, l’air contrarié.
Elle a ramassé la nappe tachée de sperme, a retiré ses bas et son serre-taille, glissant le tout dans la machine à laver. Elle est montée. J’ai entendu l’eau du bain couler. Puis certain qu’elle s’y était plongée, je suis parti discrètement, bouleversé, excité comme jamais. Le soir, je lui demandais comment s'était passée sa journée. Elle s’est lamentée sur son déjeuner annulé au dernier moment et sur le monde qu’il y avait dans les boutiques. Je lui ai dit que je trouvais que le robinet de l’évier fonctionnait mal et que j’allais appeler le plombier. Je l’ai vue un bref instant se troubler.
Puis elle m’a dit : « Tu crois ? Je n’ai rien remarqué. En tout cas, il faudra trouver un autre plombier. La dernière fois, il n’est pas venu sans prévenir et quand je l’ai appelé, il était soit disant sur un chantier et n’avait pas le temps. J’ai du faire venir un dépannage d’urgence. Le type travaille pas mal dans le quartier et m’a semblé beaucoup plus sérieux ! »
Le soir nous avons fait l’amour comme rarement.
J’aime, lorsque nous dînons avec des amis, retrouver sur la table la nappe rouge et penser au contraste entre les mets que nous mangeons et le plat extra ordinaire qu’elle fut pour ces inconnus, et comment ils la consommèrent sans ménagement.
Je sais que je vais rappeler le plombier, le faire venir sans la prévenir. Je me cacherai, mais là, quand ils seront en train de baiser comme je les ai déjà vu faire, je viendrai les rejoindre, pour mieux profiter du spectacle qu’ils m’offriront !!!
- Commentaires textes : Écrire
Judith, la belle serbe
Je travaillais encore. C'était quelques temps après que Valy, dont je vous ai déjà parlé, soit partie vers d'autres aventures. Dans un des hôpitaux de la région parisienne il y avait une infirmière extrêmement sympathique, très agréable à regarder. Enfin, moi en tous cas j'aimais beaucoup sa silhouette. Elle s'appelait Judith. Elle avait cinquante-trois ans, 1,65m environ pour soixante kilos.
Longs cheveux roux et deux splendides yeux noirs brillants. Elle était Yougoslave, Serbe comme on le dit maintenant, et était en France depuis presque vingt ans maintenant. Son délicieux accent revenait parfois et me ravissait. Chaque fois que je venais dans son service, nous ne manquions pas de longuement parler tous les deux. Lâchement, je déléguais à mon collègue la charge de s'occuper des formalités d'admission de notre client pour inviter Judith à prendre un café dans le coin ''bistro'' situé dans le grand hall d'accueil.
Chacun de nous deux faisait une cour effrénée à l'autre, juste comme ça pour le plaisir, sans nous dire qu'il fallait absolument que nous tombions vraiment dans les bras l'un de l'autre. Cela nous permettait de nous faire des petites confidences sur ce que nous aimions en amour. J'ai bien dit ''des petites confidences'', faut bien se garder une part de mystère tout de même, non ?
Ce petit jeu dura de longs mois, au bout desquels nous étions devenus très amis, jusqu'à ce mardi de début février où le froid et la neige que l'on voyait par les grandes vitres régnaient sur le paysage. Est-ce le spectacle de cette nature blanche et froide qui lui rappelait son pays qui influa sur la libido de Judith? Je l'ignore mais toujours est-il qu'elle me proposa de venir chez elle en fin de semaine sous le prétexte de me faire visiter la maison qu'elle venait d'acheter et restaurer en banlieue.
« Il faut absolument que tu la vois, dans le salon il y a une belle cheminée, pour les soirées d'hiver. Ça donne un cachet tout à fait particulier. Je suis sûr que tu vas aimer venir chez moi. Le feu brûlera dans la cheminée quand tu arriveras. »
Je m'empressais d'accepter son invitation et lui proposai le samedi de la fin de semaine suivante, où je ne serais pas d'astreinte. Nous sommes tombés en accord. Nous quittons alors ce bistro sur un petit bisou légèrement coquin, comme à notre habitude. Cela n'a jamais été plus loin entre elle et moi, je ne sais même pas pourquoi, elle non plus d'ailleurs. Ce n'était pas l'envie qui me manquait de la connaître un peu mieux. Je suis heureux que Judith ait fait le premier pas et j'ai hâte d'être à samedi.
Judith est une célibataire qui s'est fait faire volontairement, un enfant par un amant de passage, il y a fort longtemps. Son fils a maintenant vingy-cinq ans, il vit de ses propres ailes à Montréal. Judith peut ainsi mener sa vie de femme comme elle l'entend, et ne s'en prive pas. Elle s'efforce de regrouper ses jours de repos pour aller faire des séjours en bord de mer au Club Med où, tout le monde le sait, il se passe toujours des choses fort agréables. A son retour Judith se fait un plaisir de nous raconter ses aventures.
Le samedi du rendez-vous arrive enfin. J'ai hâte d'y être, je sais d'elle qu'elle ne refuse que très peu de choses en amour. J'arrive chez Judith vers dix-neuf heures, les bras chargés d'un bouquet de fleurs et de deux bouteilles de champagne. Ma belle rousse m'accueille avec un grand sourire qui la rend encore plus désirable. Son sourire est gourmand. Ses lèvres s'écartent largement découvrant des dents blanches qui sentent l'envie de mordre sensuellement. Elle est vêtue d'une ravissante robe noire qui découvre des épaules que j'ai envie d'embrasser. Sa poitrine généreuse donne l'impression de se trouver trop à l'étroit dans cette robe. Je suis de son avis, moi aussi je trouve que ses seins devraient respirer librement.
Judith prend le bouquet grâce auquel j'ai droit à un grand merci et un bisou supplémentaire qui nous fait joindre nos lèvres brièvement. Nos langues se font une petite léchouille amicale. Nous entrons, Judith referme la porte derrière nous. Il fait délicieusement bon dans sa maison. A cette époque de l'année le ciel est presque noir et le salon où elle me fait rentrer n'est éclairé que par le feu de la cheminée. Elle est très grande et des branches de châtaigniers y brulent, répandant une bonne odeur et nous octroyant cette belle musique que sont les craquements de ce bois-là quand il crame. Tout cela éveille mes sens et je me demande si nous allons baiser comme nous en avons envie elle et moi depuis quelques temps.
Judith me conduit à sa cuisine pour mettre mes bouteilles au frais puis me fait visiter sa maison. Elle est agréable à vivre et meublée avec goût. Sa chambre est surprenante. Elle est assez austère, presque monacale. Les murs sont blancs semblant peints à la chaux, aucune décoration, aucun tableau, juste des spots éclairant la pièce a giorno. Le lit est un « 'Futon »' ou similaire, il est vaste, ses dimensions ne sont pas standards. Il fait environ deux mètres cinquante de côté. Un grand carré donc. Elle semble en être très fière et me le montrant elle me dit avec de la coquinerie dans l'œil :
« Il est super mon lit, hein ? Je l'ai fait faire sur mesure. J'adore avoir mes aises quand je suis couché. Et....... On ne sait jamais…............ n'est-ce pas ? »
Et elle part d'un grand éclat de rire. Ce rire de gorge me parle plus que tout un long discours. Le seul commentaire que je trouve à lui faire c'est de la prendre dans mes bras pour l'embrasser, elle n'oppose aucune résistance, au contraire elle se colle à moi et m'étreint. Nous nous embrassons ainsi un long moment. Mes mains voyagent sur son corps de femme mûre.
Ses soixante kilos admirablement répartis, lui donnent des hanches arrondies une poitrine conséquente sans abuser et, je m'en apercevrais plus tard un petit ventre rond. Tout est ferme et doux au toucher. Je meurs d'envie d'aller plus loin là tout de suite, mes mains le lui font comprendre, mais Judith se sépare de moi et m'entraine vers le salon en me déclarant sur un ton enjoué bien que sa voix trahisse une émotion certaine:
« Non, s'il te plait Bruno, sois patient veux-tu ? Allons dans le salon boire un verre devant la cheminée, ce sera plus sympa encore…
- Ok Judith, tu as raison ce sera bien mieux. »
Nous nous dirigeons donc vers le salon main dans la main. Devant la cheminée qui nous câline de sa chaleur, il y a une table basse sur laquelle il y a une multitude de raviers bien garnis et des verres. Judith m'installe sur le canapé et s'en va chercher à boire, elle revient avec whisky et coca. Elle emplit nos verres en me précisant que notre repas est dans ces raviers où nous puiserons à notre guise et à la fin nous boirons le champagne. Voilà qui me convient parfaitement. Mais avant de s'installer à mon tour, Judith se penche vers moi pour me retirer ma veste. Je n'ai plus que ma chemise et mon pantalon pour cacher une pudeur que je n'ai d'ailleurs pas du tout.
Verre en main, nous nous nous regardons un long moment, aucun mot ne sort de nos bouches. Nous nous rendons compte que jusqu'à ce jour nous avons essentiellement parlé boulot. Mais très vite je parle de ce que je vois autour de moi complimentant Judith pour la qualité de sa décoration qui fait de sa maison un petit nid extrêmement agréable.
Cela suffit à la lancer dans une grande tirade au cours de laquelle elle me parle de ses recherches et de ses travaux. Voilà u sujet sans aucun doute passionnant et l'enthousiasme qu'elle met dans ses paroles ajouté aux verres que nous buvons, lui met du rouge aux joues. Cela la rend encore plus désirable. Sa poitrine danse dans sa petite robe et ce qui devait arriver arriva, un de ses seins sort de sa cachette. Judith ne s'en aperçoit pas tout de suite, c'est l'insistance de mon regard qui lui donne l'alerte.
Elle rougit un peu plus et éclate de rire en tentant de remettre l'évadé dans sa cage. Je l'en empêche, il est si beau à voir. Le téton pointe bien, une aréole large et moins claire que la peau lui fait une couronne. J'adore ce spectacle et le lui dis. Ma main qui tenait la sienne pour lui interdire de remettre de l'ordre descend sur ce sein et le caresse doucement. La peau est douce, très, le sein est diablement ferme. Judith est sensible au toucher car quand mes doigts touchent son téton, elle se cambre en gémissant légèrement. Je prolonge mon geste pour sortir l'autre sein de sa prison. Judith me regarde faire, elle sourit en me fixant de ses beaux yeux noirs. Il n'en faut pas plus pour que je bande, je suis à l'étroit dans mon pantalon.
Ce petit incident a provoqué un moment de silence dans la pièce, ponctué par le crépitement des branches de châtaigniers dans la cheminée. Je le romps en lui disant qu'elle a une poitrine superbe, et pour le lui prouver, je me penche vers elle et couvre ses seins de baisers en mordillant de temps en temps ses tétons. Judith se tortille en gémissant. Décidément elle prend plaisir à se faire caresser, et moi qui aime le faire je suis aux anges. Elle est en feu, sa robe la gène, alors elle la retire vite et la jette à travers la pièce. A ma grande surprise je constate qu'elle est nue sous sa robe. Elle est belle ainsi et lui en fait compliment.
Un petit ventre légèrement bombé, tout mignon que je caresse. Bon sang, que sa peau est douce ! Sa chatte vierge de tout poil est une petite œuvre d'art à sa manière. Les lèvres sont charnues et longues elles protègent un capuchon qui recouvre un clito que je sens pointer. Judith est chaude comme la braise, son corps ondule sur le canapé, elle respire fort, ses mains sur ma tête tentent de s'accrocher à mes cheveux mais mon brushing ''à la Kojak'' le lui interdit.
Alors, elle appuie fort sur ma tête pour m'indiquer le chemin à suivre. Je n'ai pas attendu sa permission, car ma langue est déjà arrivée sur la petite queue qui sort de sa cachette. Durant que je la lèche ma main visite sa chatte. Elle est inondée, déjà. J'adore le clapotis que font mes doigts en dansant à l'intérieur.
Judith est une ''chanteuse''. Elle gémit, râle, sort des mots orduriers pas toujours faciles à comprendre car dans l'excitation elle parle dans sa langue maternelle. C'est con, je ne comprends pas cette langue mais ça m'excite. Mon pantalon me fait mal, mais mes mains sont si agréablement occupées qu'elles n'ont pas le temps de me dévêtir. Elles déchainent Judith au point que plus rien ne compte pour elle que son jouir et seulement son jouir. La voir ainsi gémir et onduler sur le canapé est un spectacle si excitant que mon pantalon me fait de plus en plus mal.
Et je dois avouer qu'au moment où j'écris ces lignes l'évocation de cette soirée me fait bander.
Par chance, ma chérie est de passage, il est très tôt ce matin, elle dort encore. Dés que ce chapitre sera terminé, je vais la réveiller en douceur et nous allons nous aimer avec ardeur et passion. Elle ne saura jamais la part importante que Judith a dans ce que nous allons faire. Et je compte sur toi, ami lecteur pour garder le secret. Merci.
Oh ! Et puis non, j'arrête d'écrire et je vais rejoindre ma chérie dans mon lit. A tout à l'heure.......
…......Voilà, avec le plus grand plaisir de ma chérie et le mien, nous avons passé un délicieux moment d'amour débridé bien enrobé de l'amour que nous avons l'un pour l'autre. Elle est restée au lit, elle est belle ainsi, apaisée par l'amour. Quant à moi, j'ai les sens reposés, je me remets à l'écriture pour finir de vous raconter ma soirée avec Judith.
Décidément, ma queue semble ne plus vouloir s'arrêter de grandir, ça en devient douloureux, aussi j'abandonne un instant Judith pour me mettre nu moi aussi. Elle est dans un autre monde, ma Judith. Je me lève et me déshabille rapidement. Elle ne s'est même pas aperçue que je l'avais abandonnée tant elle est dans son délire. Continuant ses râles elle se masturbe à deux mains. Je m'écarte un peu pour assister au spectacle puis je reprends mes caresses sur tout son corps lentement, cela accentue ses gémissements, j'insiste lourdement jusqu'à ce qu'enfin elle atteigne l'orgasme. Tout son corps se raidit elle pousse un grognement de fauve puis se détend d'un coup et sombre dans une sorte de sommeil.
Elle m'a épaté là, vraiment. Rien dans son comportement ordinaire ne laissait soupçonner ça. Je reprends mes caresses mais avec ma bouche, en effleurant toutes les parties de son corps. Je commence par sa bouche, ses lèvres sensuelles acceptent mon baiser, nos langues se mélangent, puis je redescends doucement en évitant soigneusement sa chatte. J'arrive enfin à ses pieds, je mordille un à un ses orteils, ses pieds, cela la réveille car elle me dit:
« Oui ! Oui ! J'adore ça continue, Ouiiii !! »
C'est elle qui fait bouger son pied pour que je mordille là où elle aime. Son excitation reprend le dessus, mais cette fois-ci je veux aussi en profiter, aussi je me couche tête-bêche. Judith serre ma queue avec force tout en me gobant les couilles, elle fait ça avec un mélange de douceur et de frénésie qui me fait grimper au rideau. Enfin je pénètre sa bouche, elle me suce avec une douceur infinie. C'est sublime, je fais des efforts surhumains pour ne pas jouir tout de suite.
Je lèche goulument sa chatte toute humide de sa jouissance. Elle pousse des gémissements, sourds, puisque ma queue lui sert de bâillon. Je sens une de ses mains me caresser les fesses. Elle arrive à mon petit trou, un de ses doigts caresse ma rosette et sans crier gare elle entre son doigt dans mon cul vite suivi d'un second et me sodomise ainsi. Prêt à exploser depuis un bon moment déjà je ne peux plus me retenir et sans avoir le temps de la prévenir j'explose dans sa bouche. Judith avale consciencieusement sans perdre une seule goutte et jouit à son tour.
Nous restons reliés ainsi un long moment pour reprendre nos esprits puis nous changeons de position. Je m'assieds sur le canapé elle s'allonge et pose sa tête sur mes genoux. Elle met ma queue entre ses lèvres comme elle le ferait d'une cigarette. Et pendant que nous parlons, elle ponctue ses phrases d'un léger mordillement de mon gland. J'adore ce jeu. Je ne lui avais jamais dit que j'étais bisexuel et que mon grand plaisir était de me faire sodomiser. Je le lui dis donc et elle comprend alors pourquoi ces doigts m'ont fait jouir si vite.
« Mais tu m'avais caché ça mon salop !! Alors comme ça Mossieur aime se faire enculer ? Aaaaah ! Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux. J'ai tous les jouets qu'il faut ici. Mais d'abord, mangeons un peu, je meurs de faim. Pas toi ?
- Oui, t'as raison, je meurs de faim et puis j'ai soif aussi. Et si tu veux tout en mangeant, on va continuer à jouer, Ok ?
- Je suis toujours d'accord pour jouer, tu sais ! »
J'avais noté que dans les raviers sur la table basse, il y avait tantôt des cornichons, tantôt des petites saucisses, et ça aiguisait la gourmandise un peu cochonne que j'ai en matière de sexe. Nous commençons donc à grignoter les toasts que Judith avait préparés, entrecoupés de verres de vin.
Nos corps nus nous excitaient, et boire ne calmait rien bien au contraire, mais nous n'étions pas là pour autre chose que nous faire l'amour dans la joie. Alors bien vite, ça dégénéra un peu. Judith me demanda de bien m'adosser au canapé avec mes fesses au bord du coussin. Elle écarta mes jambes et se mit à genou devant moi un verre de vin dans la main gauche. Tout en levant les yeux sur moi elle ouvrit la bouche pour faire reposer mon gland entre ses lèvres. Elle leva sa main gauche et fit couler doucement le vin entre mes deux seins.
Le filet de liquide glissa lentement vers le bas. Judith contrôlant la position de ma queue permit au vin de couler le long de ma hampe et d'entrer dans sa bouche. Quelle délicieuse façon de boire, n'est-ce pas?
Bon garçon, je lui prends le verre des mains afin qu'elle puisse mieux boire son vin avec ma queue comme paille. Ravie, elle s'installa un peu mieux et sirota le vin coulant le long de ma bite. Je sentais sa langue qui parfois effleurait mon gland. Ce petit jeu, aussi amusant soit-il, ne put durer bien longtemps car je me suis mis très vite à bander. Judith, ravissante salope allumeuse, avait bu son verre de la manière qu'elle désirait, aussi se releva-t-elle avec un sourire aux lèvres, et dans le regard, du vice à revendre.
Debout, face à moi, bien campée sur ses jolies jambes et sa chevelure de feu elle avait tout d'une ravissante sorcière. Quelle silhouette fabuleuse, un vrai violoncelle, taille bien prise et hanches légèrement rebondies. Elle est extrêmement désirable. Avec du rire dans la voix, elle me dit:
« Bruno chéri, moi, j'ai faim, mangeons et je te promets qu'après tu pourras te venger.
- Tu me le promets ? Alors d'accord, mangeons ! »
Elle se rassoit à côté de moi et nous commençons à manger, ou plutôt à grignoter ce qu'il y a dans les raviers le tout arrosé d'un excellent vin rouge assez traitre pour nous monter à la tête sans crier gare. Il me tarde que nous arrivions au dessert car j'ai une furieuse envie de baiser ma si gourmande serbe..................
A suivre...
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Jeux d'eau
Hier midi, comme souvent, mon chéri et moi nous baignons dans la piscine. Notre maison est assez isolée, il y a juste un voisin, loin, au bout du chemin qui borde la piscine. Une haie nous protège des regards des éventuels, mais très rares, piétions.
Nous jouions à un de nos jeux favoris dans l’eau : je fais la planche, une « frite » sous les bras, et une sous le creux des genoux. Fritz, mon homme est entre mes cuisses, le tuyau d’arrosage à la main. Et avec le jet, il me caresse la vulve, le clito, me pénètre avec le flux tiède. Il module le jet, doux, puissant, picotant, bref, d’j’adore, et cela me fait jouir immanquablement
Bref, nous étions en pleine extase, quand un grondement se fit entendre. Nul doute possible, un camion s’avançait dans l’étroit chemin. Peu importe, nous continuons. Du coin de l’œil, je vois le mastodonte ralentir, et le chauffeur, se pencher pour mieux voir…
Ce petit coup d’œil raviva encore mon excitation, mais le camion repartit.
Je dis à Fritz :
« Tu as vu, mon chéri, ce camion… le mec nous a vus…
- Tu crois ?? Et ca te plait, répondit-il en souriant.
- Oh bien sur, tu sais comme j’aime être vue… »
Et nous continuâmes de jouer… Quelques minutes plus tard, nous entendons le camion qui revient. Cette fois-ci, il stoppe carrément à notre hauteur. Je tourne la tête, et je le vois nettement, assis sur son siège, la fenêtre ouverte. Je lui souris, il me fait un clin d’œil. De là où il est, il a une vue plongeante sur nous ! Sa cabine dépasse de beaucoup la haie de ficus qui nous protège d’habitude. Je dis à mon chéri, toujours absorbé par son travail :
« Regarde il est là, il nous mate. On fait quoi ?
- Eh bien, on le laisse, non ? Enfin, si tu en as envie ! »
Quelle question ! Bien sur que j’en ai envie !
Du coup, Fritz me fait pivoter, de façon à monter à notre voyeur du jour ma chatte bien ouverte, coulante sous le soleil de midi… Du coup, il pivote, et s’assied face à nous. Je le vois qui, déjà, masse son entre-jambe par dessus son jean’s.
Il nous interpelle :
« Belle femme, tu aimes le sexe, toi, on dirait ?
- Oui, elle aime être vue, lui répond Fritz. Tu peux nous regarder, si tu veux.
- J’peux me branler ? demande-t-il, l’œil goguenard.
- Bien sur, elle aime aussi voir des bites bien calibrées ! »
Le routier ouvre sa porte, et s’assied sur le coté de son siège, les jambes ballantes, et en tournemain, ouvre son jean’s pour en sortir un bel engin déjà bien raide !
Je le regarde avec envie, même si je sais que nous en resterons à de l’exhib réciproque…
Sans perdre une minute, je le vois qui commence à se masturber, branlant vigoureusement sa bite d’une main, et massant ses grosses couilles de l’autre… Il nous encourage de la voix :
« Allez, vas-y, ouvre bien sa moule, que je mate bien… Oh putain, quelle belle chatte… T’as vu comme tu me fais bander, ma belle garce ? »
Ses interjections me galvanisent, et m’excitent à mort. J’ondule de plus en plus sous le jet d’eau tiède. Fritz le lâche, pour venir me dévorer mon abricot, déjà prêt à éclater.
Quel pied ! Je vois la bite dure s’agiter pas loin, et la langue magique de mon homme... Il ne me faut hélas que quelques très brèves minutes pour exploser dans sa bouche. Je hurle mon plaisir, à tel point que le voyeur nous dit :
« Mais chut, le voisin va venir !!!!... »
Il est inquiet, tout à coup, et ca me fait sourire. Mon homme me propose à vis basse une levrette sur le bord de la piscine, pour en donner plein les yeux au routier.
J’accepte, et il sort de l’eau pour attraper les matelas des chaises longues. Il les pose de façon à ce que notre voyeur du jour voit tout comme il faut. Je sors à mon tour de l’eau, et il siffle... Visiblement, je lui plais !
Sans perdre de temps, je mets à quatre pattes, le cul tourné vers lui, juste un peu en biais. Mon chéri se met derrière moi, et d’une seule poussée, il s’enfonce dans les chairs intimes. Il est raide, puissant, dur comme une barre à mine…
Bon sang, que j’aime sa bite !
Il me pistonne avec vigueur, et je dois user de toute ma force pour ne pas basculer en avant. J’aime quand il est ainsi. Le routier continue de nous apostropher :
« Allez, baise-là à fond, elle aime le cul, la salope ! Moi aussi, je veux y gouter… Tu ne veux pas me sucer juste un peu… ? Ah oui, je viens, je vais juteeeeeeeeeeeeeeerrrr !!! »
Je regarde vers lui, et je vois un jet de sperme clair qui jaillit, et vient s’écraser mollement sur la haie de ficus. Il ne m’en faut pas plus pour jouir à mon tour… presqu’en même temps que mon homme, dont je sens le foutre bien chaud me remplir le ventre…
Je retombe à plat ventre sur le martelas improvisé, et Fritz vient me couvrir de son torse. Il me serre dans ses bras et murmure :
« Ca t’a plu, ma coquine ? Il était un bon voyeur.... »
Je souris sans répondre…. Le routier nous interpelle à nouveau :
« Ben dites donc, si j’avais pu imaginer ça ! Vous faites ca souvent ?
- Euh... non, mais là, l’occasion était trop belle.
- Si vous voulez plus, je suis votre homme ! Voilà mon numéro de portable. Je viens honorer Madame quand elle veut !
- On y pensera, lui répond mon chéri.
- En tout cas ; pas un mot à quiconque... Nous n’aimerions pas être obligé d’informer votre patron de vos « passe-temps » pendant le travail… ajoutai-je, méfiante.
- Oh bien sur que je ne dirai rien ! J’ai trop envie de recommencer…
- Ok, on te fait signe. »
Il remonte dans son camion, non, sans voir glissé une carte sous la haie, et repart dans un nuage de fumée.
Fritz me serre dans ses bras, et nous retournons à l’eau, histoire de recommencer un peu….
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Comment Sophie m'a converti au candaulisme
Fabien, mon amoureux tout neuf, vous raconte notre première rencontre, et nos premiers ébats…
J’avais beaucoup de fantasmes différents, aussi avais-je décidé de me promener sur différents blogs, pour alimenter mes fantasmes. : relations de domination/soumission, échangisme, etc.
Après quelques lectures peu intéressantes, j’arrivais sur le blog de Sophie, Marquise de R.
Dans son blog, elle raconte souvent des histoires de candaulisme. Et là, ce fut le flash : il fallait que je la rencontre, que je partage avec elle cette envie…
Nous échangeâmes quelques mails plein de promesses.
Elle était assez dirigiste, et me semblait avoir un caractère bien trempé.
La rencontre fut planifiée rapidement, dans un restaurant dans lequel nous passâmes une excellente soirée. Elle était arrivée en retard, sans s’excuser, mais était à la hauteur de mes espérances : aussi charmante et sexy que je l’imaginais. Petite, blonde, yeux vert, avec une jolie petite paire de seins dissimulés sous un pull très serré.
Ses yeux étaient très expressifs, ce que j’aime beaucoup, et tout en elle était grâce et sensualité.
La soirée fut placée sous le signe de la détente, de l’humour, avec comme une tension sous-jacente de sexe… Ses regards semblaient me dire qu’elle me voulait, et je la dévorais moi aussi des yeux. Nous nous entendions bien, et c’était très agréable. Après ce plaisant dîner, elle refusa poliment mon invitation à venir prendre un café chez moi.
Pendant que je réglais l’addition, elle s’absenta aux toilettes et revint avec un air coquin que je ne compris pas… Jusqu’à ce que dehors, en nous séparant devant la bouche de métro, elle ne me demande de fermer les yeux et de tendre la main, ce que je fis bien évidemment. Je sentis du tissu se placer dans ma main, tandis que ses lèvres effleuraient les miennes en un doux baiser très sensuel.
« À très bientôt, la prochaine fois on se voit chez toi… En attendant, tu as de quoi jouer… »
Elle me laissa ainsi assez surpris, avec, vous l’aviez compris, son string dans la main gauche… Personne autour, j’inspectai immédiatement l’intérieur, pour découvrir avec délice qu’il était légèrement humide…
De retour chez moi, je pense que j’eus la réaction classique de tout homme en pareille situation : je reniflai ce string orange adorable, en humai l’intérieur, et saisis l’énorme érection qu’il provoquait pour commencer à me branler. Et éjaculer rapidement dedans, en m’imaginant en train de jouir dans la chatte de Sophie…
Ce fut sa première question lors de la discussion sur MSN qui suivit le lendemain :
« Alors, tu t’es branlé en pensant à moi ? »
Ma réponse étant affirmative, elle me dit que ça l’excitait beaucoup, puis elle me demanda comment j’avais procédé… Description faite, elle me troubla en me disant :
« C’est bien, mais la prochaine fois, enfile le string pour te branler dedans, je veux que tu le portes, et que tu sentes ce string te séparer les fesses, tu verras, c’est très agréable… Et puis moi, ça m’excite. D’ailleurs, tu le porteras quand je viendrai chez toi, ce soir. »
Ce ton qui ne me laissait pas le choix me plaisait bien. Et j’avais déjà porté la petite culotte d’une ex, à sa demande, ça ne m’avait pas dérangé plus que ça.
La journée fut interminable évidemment, me laissant en demi-érection quasi tout le temps, pas du tout l’esprit à mon travail…
Le soir arriva, et Sophie vint en retard, pour changer… Et sans s’excuser, bien évidemment. Sa première phrase fut :
« M’as-tu obéi ? »
Évidemment. J’avais enfilé le string juste avant son arrivée, et le portais sous mon pantalon de ville. Elle m’embrassa fougueusement une bonne minute, je pensais qu’elle allait vouloir voir le string tout de suite mais elle fit durer l’attente. Nous prîmes un apéritif en continuant les discussions anodines du restaurant. J’allais commencer à faire la cuisine (du moins, faire réchauffer des plats du traiteur…) quand elle me dit lentement :
« Fabien, j’ai envie de te voir, maintenant… Retire tout sauf le string, et fais la cuisine comme ça, ça m’excite beaucoup… Et tu ne seras pas déçu de m’obéir, crois-moi…
- Ok Sophie, comme tu veux… Mais si des choses sortent du string ce n’est pas ma faute, il est un peu trop étroit…
- J’aime ça, ça me fait mouiller. »
Et je me retrouvai illico en string, debout devant elle, qui me regardait de haut en bas comme si j’étais un morceau de viande… D’ailleurs, je passai très vite à la cuisine pour préparer le dîner. Cela ne servit à rien : avant même de commencer, elle me suivit et vint s’agenouiller devant moi. Pour me palper à travers le string, puis pour le faire basculer sur le côté, révélant ma bite et mes couilles à son regard.
Après m’avoir souri, elle se passa la langue sur les lèvres, et commença à me branler doucement. Puis elle m’embrassa longuement, elle aimait embrasser et était très douée, et ses baisers étaient toujours très excitants. Elle revint vers ma bite, je me laissai faire, tout à cette branlette divine, quand elle posa ses lèvres sur ma queue et commença à me sucer. Elle était très douée, j’avais rarement été sucé avec autant d’expertise. Au bout de quelques minutes, je lui en fis part :
« Hmmm Sophie… Tu es une experte de la pipe, hmmmm…
- Merci, mais je n’ai pas de mérite : j’aime beaucoup le faire… »
Là, c’en était trop : j’éjaculai immédiatement, de copieuses quantités de sperme, qui vinrent éclabousser son visage. Elle avait senti mon éjaculation arriver et avait retiré sa bouche pour que je décharge sur elle.
« J’aime trop ça, voir de belles bites jouir de ma bouche, et de mes autres trous, quand je le décide. Mais pour ce soir, c’est fini, je dois y aller… À demain soir, ici, mais tu mettras en plus des bas et un porte-jarretelles !
- Pardon ? Écoute, le string c’est marrant mais là…
- Fabien… Mon chéri… Tu voudrais ne jamais profiter de ma chatte, peut-être de mon cul ? Je te garantis qu’ils sont tout aussi doués que ma bouche…
- Non bien sûr, j’ai envie de toi…
- Eh bien moi, j’ai envie de toi comme ça. Ne fais pas l’enfant, tu es adulte, sois un homme. »
Sur ces mots, elle partit, me laissant seul, en string mais apaisé sexuellement, et heureux de l’entendre m’appeler « chéri »…
Le lendemain, je dus quitter le travail plus tôt… pour aller acheter des bas et un porte-jarretelles dans un magasin de lingerie. Je les pris noirs, sans penser que cela n’irait pas trop avec le fameux string orange…
Un retard de Sophie plus tard, après de longues embrassades, j’étais devant elle, chez moi, en string orange, bas noirs, porte-jarretelles noir… Elle était très excitée. Elle me fit me retourner plusieurs fois sur moi-même, palpant mes fesses qu’elle jugeait très désirables, mes couilles, ma bite…
Elle retira alors ses vêtements, et j’eus enfin loisir de constater qu’elle était aussi bien roulée que ce que je pensais. Elle me faisait bander très fort, et après s’être mise totalement nue, elle me fit la suivre pour aller dans la chambre. Elle s’allongea au bord du lit, sa belle chatte épilée invitant au regard.
« Viens là, mon chéri, mets-toi à genoux, viens me lécher les seins… Et si tu le fais bien, tu auras le droit de lécher ma petite chatte… »
Aussitôt dit aussitôt fait : je lui léchai délicatement les seins, ses tétons fièrement dressés, et me régalai en prenant mon temps, attentif à faire monter le désir en elle progressivement.
« Hmm, c’est bon, descends maintenant, bouffe-moi la chatte. »
J’aimais cette vulgarité. J’aimais décidément tout en elle. Je passai l’heure suivante à la lécher, la déguster, à jouer de la langue et des doigts avec ses lèvres, son clitoris, mais essuyai un refus lorsqu’un doigt inquisiteur se posa sur sa rosette.
« Juste la langue pour ce trou-là, ce soir, juste la langue, mon ange, hmmm… »
Je lui léchai donc la fente, alternant entre son anus et son sexe. Elle jouit plusieurs fois, mais lorsque je me redressai pour venir la prendre, elle me dit qu’elle devait y aller, qu’il était tard, qu’elle avait bien joui et que la prochaine fois ce serait encore meilleur.
Elle m’acheva quand même avec une de ses pipes mémorables avant de repartir :
« À demain… Et reste toujours en bas/string/porte-jarretelles quand tu me reçois, j’aime tellement ça, mon chéri ! »
Lendemain, même scénario : accueil chez moi, déshabillage, excitation buccale… Elle se lâchait de plus en plus, devenant plus vulgaire dans ses propos, ce qui m’excitait encore plus, bien évidemment. Je pus enfin accéder virilement à sa petite chatte, ce soir-là, en levrette, pendant qu’elle me traitait de salaud et me suppliait de bien la bourrer, de lui en mettre plein la chatte… Nous jouîmes puissamment, avant de faire une pause, pendant laquelle elle me fit un petit massage.
Très vite, ses mains restèrent sur mes fesses, à les caresser, les palper, puis elle me glissa un doigt qu’elle avait bien humidifié dans le fondement, et me branla tout en me doigtant le cul. Elle me fit me lever, me mettre debout devant elle, qui était assise sur le lit, pour mieux me doigter l’anus tout en me suçant. Je ne résistai pas longtemps…
« Hmmmm, tu es une suceuse, une salope, tu me pompes trop bien la bite…
- Oui chéri, je suis une suceuse, j’aime ça, je passe rarement plus d’une journée sans avoir une bite en bouche, et je suis sérieuse, tu sais… »
Elle me fit jouir ainsi, et me quitta, cette fois-ci en me disant que nous allions nous revoir le week-end. Donc dans deux jours.
« Ah bon ? Eh ben alors ma coquine, ça veut dire pas de bite en bouche demain, ça ? Toi qui ne peux pas passer une journée sans…
- Non, ça ne veut pas dire ça, chéri… Je te laisse méditer, à après-demain. »
Se pouvait-il ? Et maintenant j’y repensais : évidemment, nous ne nous étions pas fixés de règles du genre « exclusivité sexuelle », etc. Je la voyais maintenant sous un aspect différent : je l’imaginais en train de sucer une autre bite que la mienne, peut-être plus grosse, éjaculant plus, et que sais-je…
Ce fut long et je me branlais beaucoup en attendant la rencontre suivante avec Sophie.
Lorsqu’elle arriva chez moi, ce samedi soir, après un baiser passionné je pris le taureau par les cornes (si vous me permettez ce jeu de mot) :
« Alors Sophie… Tu as sucé une bite, hier soir ?
- Oui Fabien, évidemment… Tu ne croyais quand même pas que je t’étais réservée ?
- Euuuuuh… Tu n’en restes pas à des pipes ? Tu te fais aussi baiser par d’autres ?
- Oui. D’ailleurs, c’est amusant, certains hommes le remarquent mais pas toi : tu n’as jamais remarqué que quand j’arrive chez toi, je t’embrasse tout de suite, de façon très passionnée ? Pourquoi, à ton avis ?
- Euh… parce que tu aimes ça ?
- Oui bien sûr, chéri, mais aussi… pour te faire sentir que j’ai sucé une grosse bite juste avant de venir te voir. »
Elle avait cet air sévère qui n’admet pas la réplique, et je ne savais pas quoi penser. En même temps, cela m’excitait beaucoup de l’imaginer sucer et se faire baiser par d’autres. Et puis bon, son blog est assez explicite, je ne peux pas jouer la surprise…
« Alors, comment tu vois la suite pour nous ?
- Je pensais que c’était clair : nous vivons une belle relation qui devient sérieuse, et je crois même que je suis en train de tomber amoureuse de toi. Mais même si je décidais de vivre avec toi un jour, je n’arrêterais pas mes petites coquineries avec d’autres.
- Je vois… C’est un peu soudain pour moi ! Mais moi je suis déjà amoureux de toi… »
Elle m’embrassa passionnément, et cette fois-ci, je saisis tout ce que ce baiser voulait dire : « Je t’aime mais… cette langue qui joue avec la tienne, elle jouait avec un gland il y a une demi-heure, elle a fait jouir une bite, la bite d’un autre… »
Finalement, nous passâmes une soirée calme, pour que j’ingurgite ces nouvelles données… En fin de soirée, je pris ma décision :
« Sophie, ça m’excite beaucoup tout ça… Je veux essayer de construire quelque chose avec toi, et te laisser vivre tes aventures… Mais à une condition : tu me racontes tout.
- Petit coquin… Tu veux m’entendre te parler des bites que je suce, et qui me baisent comme une chienne, pendant que tu m’attends ici ?
- Oui… Tu me racontes tout, sans rien omettre…
- Pas de problème, mon petit cochon… On va bien s’amuser… Je suis si heureuse que tu le prennes comme ça ! »
Elle m’embrassa encore, visiblement heureuse d’avoir conclu un genre de pacte amoureux et sexuel. Elle me fit jouir ce soir-là en me chevauchant, et son vocabulaire changea pendant qu’elle allait et venait sur moi :
« Hmmm c’est bon… Hmmmmm… Tu me prends bien… J’aime ta bite… J’aime toutes les bites, je suis une salope oooooooh… Fais bien glisser ta queue là où tellement d’autres l’ont mise… Fourre bien mon garage à bites, mon cocu… Aaaaaaahhhh ! »*
Elle jouit ainsi, et moi aussi. J’étais si excité de jouir avec elle, dans cette chatte qui n’était pas totalement mienne. Et de l’entendre m’appeler son cocu.
Nous passâmes la nuit ensemble, cette fois-ci, et le lendemain matin, alors qu’elle me suçait, elle stoppa pour sortir un jouet inattendu de son sac à main : un gode ceinture. Elle avait prévu son coup, apparemment.
« Mon chéri, tu aimes bien avoir un doigt dans le cul, et moi, ça m’excite et j’ai envie de te baiser…
- Non ma douce, je ne le sens pas, ce plan-là.
- Fabien, tu sais bien que j’aurai toujours tout ce que je veux avec toi. Tu veux vraiment que j’aille me faire prendre ailleurs ce matin, alors que tu es là et que nous pouvons passer un moment agréable ?
- Non… mais… fais attention alors… »
Elle s’occupa de mes fesses pendant quelques minutes, massages et caresses, lubrification de mon anus en passant de grandes doses d’une crème lubrifiante sur ma petite rondelle. Elle faisait aller et venir son doigt dans mon petit trou, et j’aimais ça.
« Mon chéri, allez, mets-toi en levrette, comme une salope, fais ça pour moi… »
Je m’exécutai, et elle plaça le bout du gode contre mon anus. Elle s’introduisit en moi lentement, en m’encourageant :
« Tu vas aimer, tu vas voir, tu vas adorer être pris comme une chienne, tu es ma petite salope, mon petit cocu qui se fait baiser la rondelle ! »
Elle me baisa copieusement. Après la douleur initiale, c’était supportable. Je ne pris pas vraiment de plaisir mais finalement, je prenais du plaisir cérébral : je me faisais baiser comme une salope par Sophie. Cela dura quelques minutes, avant qu’elle ne décide d’arrêter, et de m’achever avec une bonne pipe.
Le ton changea encore au cours des jours suivants. Elle arrivait, et systématiquement elle avait une histoire à raconter :
« Aujourd’hui, j’ai croisé Jean, et comme je ne l’avais pas vu depuis quelques mois, nous sommes allés à l’hôtel à côté de son boulot. Il a une bite énoooorme, si tu la voyais tu aurais honte… J’ai du mal à le sucer, mais je le fais quand même… Par contre, quand il me ramone, qu’est-ce qu’il me met ! J’ai la chatte encore tout endolorie, tu vas me la lécher pour que je me remette de cette bite monstrueuse, hein, mon petit cocu chéri… »
Ou encore :
« Juste avant de venir, j’avais envie d’une belle bite, tu sais, mon chéri, une grosse bite bien large pour m’écarter la chatte et me remplir complètement… Si tu avais vu cet énorme membre s’enfoncer dans ma petite chatte, on aurait dit qu’il ne rentrerait jamais… »
Elle me prenait systématiquement avec le gode ceinture, mais me laissait aussi la baiser. J’avais de plus en plus l’impression que c’était un privilège, et elle m’humiliait de plus en plus. J’aimais secrètement ça, et elle le savait : elle en rajoutait dès que possible. Elle commença aussi à me faire sucer le gode ceinture avant de me prendre.
« Allez salope, suce, suce bien cette bite qui va te prendre le cul ! Utilise bien ta bouche de suceuse… Tu es une suceuse, comme moi, tu aimes ça, hmmm… »
Ça l’excitait terriblement. Elle m’obligeait parfois à dire des choses, sinon elle arrêtait tout. Ainsi, je devais parfois répéter que j’étais une suceuse de bites, un trou à bites, une salope. Je le faisais avec plaisir.
Un soir, elle m’annonça une surprise pour le lendemain. Curieux, je passai la journée à attendre le soir, et elle arriva… accompagnée !
« Fabien, je te présente Victor, Victor, voici Fabien, mon chéri que j’aime… »
Un sourire entendu entre eux deux m’apprit qu’elle avait dû lui parler de notre relation si particulière. Je repris contenance en allant à la cuisine chercher du vin, et en revenant je vis que Sophie et Victor étaient déjà occupés : Sophie avait sorti la bite de Victor, assis sur le divan, et elle était à genoux devant lui, en train de le sucer.
Passer de l’imagination au réel me fit bander de façon surprenante : voir la bite de Victor (qui était un peu plus petite que la mienne, notai-je au passage) dans la bouche de Sophie, et la voir sucer en me regardant m’excitait carrément. Elle suçait cette bite, mais n’avait d’yeux que pour moi. Son regard était sur moi en permanence pendant qu’elle avalait cette queue et qu’elle la faisait coulisser sur ses lèvres.
« Tu te rinces bien l’œil ? Approche, viens à côté de moi, mon chéri… »
Je m’approchai, et me mis à genoux à côté d’elle, n’osant regarder Victor, mais fasciné par sa bite et la bouche de ma chérie. Elle arrêta de le sucer, pour le branler doucement en se penchant vers moi pour m’embrasser. Nous nous roulâmes un patin enflammé, je bandais de ce baiser avec Sophie qui venait de sucer une queue quelques secondes auparavant. Elle prit doucement ma main pendant que nous nous embrassions, et je n’y faisais pas trop attention jusqu’à ce que je sente… une bite !
Sophie avait placé ma main sur la bite de Victor et me regardait sévèrement.
« Branle-le, mon chéri, branle cette bite ! »
Et finalement, je ne trouvais pas ça dégoûtant comme je l’aurais pensé. Le contact de cette bite était agréable, et je commençais à la branler. Sensation très spéciale que de branler une bite qui n’est pas la sienne, mais j’adorais ça… Sophie était aux anges : son homme branlait la bite d’un de ses amants.
Je sentis la main de Sophie se poser à l’arrière de ma tête et exercer une pression que je compris tout de suite. Je la laissai faire, rapprochant ma bouche de cette bite. Je la regardai avec envie, et sans hésitation commençai à la lécher. Je démarrai en léchant cette bite des couilles au gland, puis après quelque temps passé à lécher le gland, je la pris totalement en bouche, la suçant comme Sophie aimait me le faire. Et elle m’encourageait :
« Oh chéri, tu suces une bite, tu te rends compte… Tu es une vraie salope, tu aimes ça, sucer des bites ! Tu as une bite en bouche… »
Elle n’arrêtait pas, répétant "bite" toutes les deux secondes. Et Victor confirmait. Il bandait très dur…
Et soudain je sentis les prémices de l’éjaculation. Je retirai ma bouche et continuai à le branler, plus rapidement. Il jouit en force, salissant mon pull…
Sophie était aux anges :
« Maintenant que tu es devenue une vraie suceuse de bites, on va vraiment s’amuser à l’avenir… Oh, comme je t’aime… »
Et pour la première fois, lorsque nous nous embrassâmes, nous avions tous les deux en bouche le goût d’une bite… qui n’était pas la mienne.
Je savais que ce ne serait pas la dernière, et que je serai souvent condamné à regarder ma Sophie se faire prendre par d’autres...
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Vraiment très bon, ton texte!
Mon cher Dark, que je ne désespère pas de rencontrer un jour... Il y a des histoires qui sont les miennes, comme "le diner chez la comtesse", le récit de Franck, mon ex mari "Franck, ex-mari candauliste de Sophie". Là, en fait, c'est moi qui l'ai ecrit à sa place, j'aime bien me mettre à la place de l'homme qui ecrit. C'était aussi le cas dans "ma rencontre avec Sophie, de Nicolas"
Mais dans dans les récits imaginés, il y a aussi très souvent de mes propres expériences...
Je pense que Nadine devrait consulter avant d'aller trop loin dans la dérive ...
sophie quand nous remettras tu un recit te concernant, un recit comme tu sais si bien les faires ?
bisouxxx
Super excitant ce récit.
Quelle pied