Les Mémoires très Libertines de Sophie
Judith, la belle serbe - suite et fin
Les rires et les baisers remplacent de temps à autre ce que nous mangeons. Peu habitué à boire plus d'un verre ou deux dans un repas ceux que j'ai déjà bus me montent un peu à la tête. Je n'aime pas ça car pour m'amuser comme nous le faisons là je préfère et de très loin avoir les idées claires, faire mes cochonneries en toute connaissance de cause, sans me cacher hypocritement derrière l'ivresse. Alors je me freine autant que je peux. C'est tout de même bien plus agréable d'avoir pleinement conscience de ce qu'on fait et d'en jouir.
Les cornichons semblent s'ennuyer dans leur ravier, je choisis le plus ferme, Judith ne me voit pas faire, elle se débat avec une peau de saucisson particulièrement récalcitrante. Alors ma main armée du cucurbitacé descend vers l'entrejambe de mon amie qui malgré que nous ayons arrêté de nous exciter semble toujours avoir le feu aux fesses. J'en ai tout de suite confirmation en la baisant avec mon cornichon.
Judith arrête instantanément de lutter avec sa rondelle de cochonnaille, elle serre ses cuisses un très bref instant pour les ouvrir tout grand et me laisser faire. La légère acidité du cornichon la titille agréablement si j'en juge par le soupir qu'elle pousse. Je poursuis mon avantage et la baise avec mon gode improvisé. Décidément Judith est une sacrée cochonne très sensible aux sollicitations. Elle répond au quart de tour comme le moteur d'un bolide admirablement bien réglé en faisant bouger son bassin. Elle est toute trempée, le cornichon est bien imbibé. Je le sors de sa chatte lui en donne un morceau à croquer et prend l'autre. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est bien meilleur, mais le goût acre de la mouille de ma jolie Serbe a le don de ravir le gros cochon que je suis. Elle aussi d'ailleurs semble apprécier. Nous nous embrassons comme des goulus pour encore mieux apprécier le nouveau goût du cornichon.
Nous nous séparons pour reprendre notre souffle, Judith me regarde avec un petit sourire aux lèvres et des étoiles dans les yeux. Elle pose sur la table le verre que j'avais en main, appuie sur mes épaules pour m'allonger sur la banquette et s'installe de manière à avoir sa chatte sur ma bouche et avec son accent serbe un peu plus prononcé qu'à l'accoutumée elle me dit :
« Tu aimes ma mouille hein, dis ? Tu l'aimes hein ? Tu vas en avoir, tiens mon salop, lèche-moi ! »
Ne lui vient pas une seconde à l'idée que je puisse refuser aussi elle imprime à son bassin des mouvements d'avant en arrière pour que sa chatte du clito au petit trou frotte sur mon nez, ma bouche et mon menton. J'ai aussitôt mon visage barbouillé de son jus à la fois acre et doux tellement aphrodisiaque. Mes mains d'abord accrochées aux hanches caressent sa peau si douce. Elles remontent jusqu'à ses seins qui balancent au rythme de son bassin, je caresse, pince les tétons, caresse à nouveau, pince encore, Judith monte en température lentement, elle gémit, de plus en plus fort, parle serbe d'une manière saccadée. Je n'y comprends toujours rien mais je la sens partir de plus en plus fort.
Et soudain elle hurle d'une voix rauque me crie :
« Ca y est ! Ouiiiii ! Je jouiiiiiiis !!!!!! »
Elle se raidit, éjacule abondamment, j'en ai partout dans la bouche dans le nez, sur le visage, le canapé en prend un peu lui aussi. Ma Judith est un peu fontaine. Quel plaisir elle me donne là! Enfin, elle retrouve un calme relatif, change de position et entreprend de faire ma toilette en léchant ce jus qu'elle a généreusement lâché. Tout en faisant ma toilette avec sa langue, elle me jette des regards où on peut lire le plaisir qu'elle a pris et qu'elle continue à prendre et un soupçon de rire à l'idée de la surprise qu'elle vient de me faire.
Un pot de mayonnaise est là qui s'ennuie, j'en prend un peu pour colorer ma queue toute raide et également dans le sillon de mes fesses, je me présente ainsi à Judith qui saute sur l'occasion et me lèche avec gourmandise, en profitant pour mordiller mon gland et ma hampe. Ça me fait bander encore plus fort, puis elle glisse sa langue entre mes fesses, et me fait une toilette consciencieuse. Et elle revient à ma queue et me suce, m'aspire, me lèche, me branle avec une délicatesse et une envie de me faire plaisir et de se faire plaisir car elle n'arrête pas de gémir en le faisant. Elle glisse deux doigts entre mes fesses. Je l'en empêche, je veux que ce qu'elle me fait dure longtemps, c'est si bon.
Judith est un mélange étrange de douceur et de presque violence, en somme le chaud et le froid extraordinairement excitant. Tout ce que je fais avec elle me confirme ce que m'en avait dit un jour un interne de mes amis que je ne voulais pas croire. Je regrette un peu maintenant de n'avoir pas précipité les choses pour jouir plus tôt du corps et de l'art d'aimer de ma Judith.
Entre deux caresses ou léchouilles nous mangeons et buvons. La table basse est pleine de restes et de raviers vides. Nous débarrassons tout ça pour déguster le dessert. Je suis étonné de voir à quoi il ressemble. Judith tient dans ses mains une grande coupe pleine de fraises appétissantes, fière d'elle et léger sourire aux lèvres elle la dépose sur la table, se redresse, se cambre et me dit :
« Et voilà ! C'est beau, non ? Et puis tu vas voirrrr c'est dé-li-cieux ! Brrrruno chérrri, c'est ma chatte que tu vas manger avec ça, elle va te serrrvirr de coupe ! »
Foi d'athée !! Que voilà une proposition... euh... alléchante. Gourmand de dessert, j'accepte donc avec joie et empressement et gourmandise donc. Précaution de femme soucieuse du bon état de son mobilier, Judith met une alaise sur son canapé s'allonge en travers de manière à ce que son dos soit sur le siège et le reste du corps contre le dossier, jambes écartées et me dit :
« Bon appétit mon chérrrrri ! »
Nous avons jusque là bien mangé et bu et pourtant, allez savoir pourquoi, devant ce spectacle je suis quasiment mort de faim.
Imaginez un peu le spectacle. Une femme splendide dans sa nudité, à l'envers sur un canapé jambes écartées, qui m'offre son entrejambe, de sa chatte sortent des fraises. Vous pouvez résister à ça vous? Ben moi non, alors je me jette sur ce dessert, ma bouche descend jusqu'à sa chatte, les premières fraises ne résistent pas et barbouillent mon visage, ma langue est arrivée devant la jolie grotte de Judith. Je lèche, je dévore, ma langue pénètre la chatte, elle va à la pêche aux fruits, qui mouillés de Judith prennent un goût particulier et fort excitant, je me régale, je bande comme un fou.
Heureusement qu'elle ne m'a pas proposé de chantilly, je n'aime pas trop ça. Les fraises, fruits délicieux et fragiles, s'écrasent sur la chatte et entre les fesses de Judith. Son entrejambe sent la femme qui jouit mais l'arôme de fraise s'en mêle et ce mélange me monte à la tête. Je lèche, je dévore, je bois de plus en plus, car ma jolie Serbe mouille et éjacule en râlant. Je suis aux démons. Je ne peux tout de même pas dire ''aux anges'', ces gens-là n'ont pas de sexes, les malheureux !!!
Excité mais aussi heureux des réactions de Judith. Décidément son entrejambe est hypersensible, elle démarre au quart de tour quand on consomme son minou et elle est déchaînée. Elle jouit abondamment m'aspergeant d'un mélange de mouille et de fraise écrasée. Un critique culinaire trouvera à redire mais ne l'écoutez surtout pas et faites comme moi dégustez sans modération de la moule aux fraises, c'est le roi des desserts. Vous n'êtes pas obligés de m'imiter, mais personnellement j'adore quand ce genre de dessert est arrosé au «champagne» personnel de ma partenaire. Judith partage mes goûts, aussi se laisse-t-elle aller à une petite douche dorée du plus bel effet sur ma libido.
Je prends ma jolie Serbe par les hanches et la fait se coucher sur le tapis. Il est plus que temps que nous soyons l'un dans l'autre. Elle lève haut ses jambes formant ainsi le «V» de la victoire .Je ne suis pas superstitieux mais je trouve cela de très bon augure. J'entre dans sa grotte. Elle est chaude, humide d'un mélange de mouille et de fraises écrasées. Je m'y sens si bien que je n'ai pas envie de bouger. Je reste immobile un moment. Judith ne bouge plus elle aussi, elle me regarde dans les yeux et a un étrange sourire. Je n'ai pas le temps de me demander le pourquoi que j'ai la réponse. Elle maîtrise et contrôle parfaitement son muscle vaginal et le contracte sur ma queue en cadence.
C'est plus que délicieux, je savoure un moment ce plaisir puis le feu qui brûle mes reins me pousse encore plus au fond de ma jolie rousse qui se pousse elle aussi en avant, c’est le départ de notre chevauchée. Comme le dirait Richard Wagner, elle est fantastique. Ma Walkirie ne se contente pas comme beaucoup de regarder le mâle s'agiter sur elle, non elle participe par des mouvements du bassin souples et amples. C'est étrange comme sensation j'ai l'impression que je vais jouir tout de suite et dans le même temps que ça pourrait durer des heures.
Je ne suis pas particulièrement soumis mais cela ne m'empêche pas d'apprécier que ma partenaire prenne la direction des opérations, cela met en valeur ses qualités d'amante et il me faut l’avouer, mais ne le répétez pas cela flatte un peu ma paresse méditerranéenne. Trêve de plaisanterie, faire l'amour est une participation des deux partenaires, le plaisir en est bien plus grand. Nous changeons de position, je me mets sur le dos. Judith, ainsi placée est belle à voir. Elle se déchaine au dessus de moi, sa chevelure vole autour d'elle comme une flamme, son corps monte et descend, son bassin ondule. Elle émet des cris rauques ponctués de mots étranges venus du fin fond de la Serbie. Ce spectacle qu'elle me donne, presque du son et lumières, est très excitant. Je fais des efforts surhumains pour ne pas exploser tout de suite.
Nous étions à cette époque bénie de Venus et Eros où le préservatif était inutile et où on pouvait jouir pleinement du plaisir de sentir le jaillissement du bon jus de couilles en soi. Aussi, je voulais que Judith arrive l'orgasme pour jouir en elle et lui donner encore plus de plaisir. Mais je ne suis qu'un homme, et ma queue dominant mon cerveau (les féministes diront que c'est normal parce que nous pensons avec nos bites) je ne pus me retenir et je me suis vidé en elle avec cette agréable sensation que je me vidais pour des années.
Ma Judith toujours très sensible « aux attentions » de ses partenaires poussa un rugissement formidable et se vida à son tour sur moi avant de s'écrouler contre moi. Quelques petits soubresauts puis quelques secondes de silence et d'immobilité complète. Ce sont des instants comme celui là qui font comprendre pour quoi on appelle ce moment-là la « petite mort ». Cet instant de répit après la bataille fut un paradis. Quoi de plus doux que de sentir contre soi le corps chaud et apaisé de la femme que l'on vient d'aimer?
Ces instants de plaisirs calmes durent un long moment au bout duquel il nous fallait absolument nous lever et nous laver. Judith visage et corps apaisé, de la joie et presque de l'amour dans les yeux nous conduisit à la salle d'eau. Sans doute de peur que je me perde en route me tirait derrière elle sa main enveloppant ma queue. Je regrette encore aujourd'hui de n'avoir pu photographier ce geste qui est à la fois tendre, légèrement farceur et assez érotique.
Je dis bien « salle d'eau », car sa salle de bain est spacieuse et le coin douche prend la moitié de la pièce. Visiblement, elle n'a pas été pensée uniquement pour se laver. C'est pourtant ce que nous faisons sans trop jouer. C'est que nous sommes un peu fatigués. Chacun de nous lave l'autre, en effleurant tous ces endroits sensibles que nous avons. Judith frémit bien plus que moi sous les caresses. J'ai une excuse imparable, je ne suis qu'un homme et j'ai déjà joui deux fois, il me faut recharger mes accus.
Rafraichis, propres et tout de même assez émoustillés nous retournons vers la cheminée et sa douce chaleur. Judith sort une bouteille d'eau-de-vie de sa Serbie natale. Elle est forte mais bonne. Nous vidons nos verres d'une gorgée et ma gourmande les remplit à nouveau. Très peu buveur mais poli je vide mon verre en priant Eros que cela ne me rende pas tout mou, ce qui serait une insulte à la beauté et aux gentils vices de Judith. Elle par contre ne paraît pas du tout assommée par sa boisson, ses yeux brillent, je sens dans leur éclat de nouvelles envies de baiser.
J'ai bien deviné car Judith s'absente un bref instant pour revenir harnachée d'un gode-ceinture de belle taille. Je suis assis sur le canapé, Judith se campe devant moi dardant fièrement sa fausse bite mains sur les hanches et torse bombé son visage s'éclaire d'un sourire vicieux irrésistible. Elle reste ainsi un instant puis elle rompt le silence par un :
« Je vais t'enculer mon chérrrri !! Tu as dit que tu aimes ça ? Et bien moi j'adorrrrre enculer les hommes! On va se rrrrégaler, tu vas voirrr ! »
Elle ouvre un pot de lubrifiant, enduit bien son gode puis s'occupe méticuleusement de mon cul, poussant le soin jusqu'à enduire les parois intérieures. Précautions totalement inutile, bien entendu, mais en faisant ça elle nous octroie un petit plaisir supplémentaire, une sorte d'apéritif en quelque sorte. Elle veut me retourner pour me prendre en levrette, je lui dis que non et que j'aime être couché sur le ventre pour me faire prendre.
Elle n'a rien contre, aussi je m'installe, lève mes jambes et les écarte bien, Judith guide sa queue vers mon trou, elle la fait « tourner autour du pot », c'est délicieux comme sensation et me rend impatient. Elle joue ainsi un moment et enfin fait entrer le gland, s'arrête un bref instant, me regarde droit dans les yeux toujours avec ce sourire qui l'embellit et dans lequel on peut lire beaucoup de vices et le plaisir qu'elle a à enculer un homme. Et brusquement elle s'enfonce complètement en moi sans ménagement se retire avec la même force pour entrer à nouveau, elle me fait ça un moment me faisant pousser des gémissements de plaisir.
Ma réaction semble lui plaire car elle éclate de rire. Visiblement, elle est à son affaire. Et moi aussi, car elle continue sa sodomie en mêlant violence et douceur, allers et retours lents et rapides, et par moments, elle fait danser son bassin pour que son gode câline mes parois. Je suis au paradis, moi. Dans un paradis idéal où les anges auraient des sexes pour des partouses célestes. Le plaisir m'envahit de plus en plus, ma queue est bandée à me faire mal. Judith, qui voit dans quel état je suis, se retire soudain, se verse un verre de son eau-de-vie serbe, me laissant en plan un bref instant puis revient, entre en moi d'un coup, et se met à m'enculer avec des mouvements plus en plus rapides.
Tout à mon plaisir je n'avais pas remarqué que Judith gémissait au moins aussi fort que moi et que ses mouvements n'étaient pas ceux d'une sodomie habituelle. Mon plaisir était tel que sans que je puisse me retenir, j'éjacule à gros jets. Cela semble exciter Judith qui accélère encore les mouvements de son bassin et a un orgasme. Elle s'écroule sur moi en gueulant son plaisir. Nous restons un moment ainsi, l'un dans l'autre et l'un contre l'autre. Puis Judith se retire et se retournant se met sur moi en 69. Je déguste son gode et elle nettoie ma queue avec des gloussements de gourmandises.
Enfin, nous nous séparons et allons nous laver un peu, elle enlève son gode ceinture et là j'ai une grosse surprise. Son gode-ceinture a deux bites dont l'une est tournée vers l'intérieur; Ainsi Judith se baisait en m'enculant. Sacrée jolie salope Serbe que c'était là. Pour un peu je serais tombé amoureux d'elle.
Cette soirée se prolongea jusqu'au matin durant laquelle nous nous sommes baisés de diverses façons. Épuisés et heureux nous avons fait une très grande grasse matinée. A notre réveil nous nous sommes octroyés un petit 69 gentillet avant un déjeuner copieux et sage au cours duquel nous nous sommes promis de recommencer souvent nos jeux. Et c'est une promesse que nous avons tenue.
Bruno Bi
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L'infirmière - la fin...
Nous sommes en plein été, il fait très chaud, j’ai tout ouvert chez moi. Et que voulez-vous faire par une telle chaleur ? Je ne voulais rien faire alors je me mis nu sur le canapé devant la tv et vers 14h et je reçois un sms :
« Coucou, c l infirmière Alexandra c bien le portable de Steven ? »
Je souris et je lis rapidement le message, et lui réponds :
« Oui c est bien Steven comment tu vas ? »
« bien merci dis-moi tu es chez toi aujourd’hui ? »
« oui je reste chez moi pourquoi ? »
« je passe dans 30 min donne moi ton adresse ! »
Mon cerveau ne fit qu’un tour ! Enfin mon infirmière favorite allait venir chez MOI ! Alors, je m’empresse de lui donner mon adresse et une fois le message envoyé, je file a la douche, je m’habille d’un jeans levis et d’une chemise noire, un peu de gel, des chaussures en cuir, et je mis au frais ma plus belle bouteille de champagne !
Au bout de trente-cinq minutes, « toc toc »… J’ouvris la porte, je m’avançai vers elle pour lui faire la bise. Elle me saisit le menton et m’embrassa doucement. Elle était belle, vêtue d’une belle robe noire un peu transparente qui épousait bien sa poitrine, et l’on pouvait apercevoir son soutif rouge, elle portait aussi des talons, et sa chevelure complètement détachée lui arrivait jusqu’à la moitié du dos. Elle arborait aussi un sourire resplendissant…
« Ca va mieux, toi ? »
Je souris et je refermais la porte
« Oui ça va et toi ? Va t’installer sur le canapé, j’arrive ! »
Et j’allais chercher la bouteille, tout en revenant quasiment aussitôt :
« Ouiii ça va ! II me tardait de te revoir... C’est quoi cette bouteille ?
- C’est pour fêter ta venue chez moi… »
Je m’assis à côté d’elle, et je lui servis une coupe de champagne, avant d’en faire autant pour moi.
« Tchin Alex…
- Tchin beau gosse ! »
Et elle m’embrassa, je lui souris en mettant ma main droite autour de sa taille pendant que je tenais mon verre avec ma main gauche. A son tour, elle but deux gorgées assez rapidement, posa son verre, colla son front au mien en m’encerclant avec ses doux bras. Sa peau est douce et chaleureuse, je me mis à frissonner. Elle m’embrassa et en peu de temps elle m’allongea sur le canapé, me mit un doigt sur la bouche :
« On a le temps, là, non ? » me murmura-t-elle, tout en caressant mon sexe par dessus mon jean's.
En lui caressant l’épaule, en essayant de deviner ce qui va se passer, je lui dis d'une voix rauque :
« Oui, il n’y a que toi et moi ici… »
Elle sourit, passa sa langue sur ses lèvres, et enleva le bouton de mon jeans et plongea rapidement sa main dans mon boxer. Elle en sortit très vite ma bite qui commença à se réveiller, puis elle me regarda :
« Tu n’es pas en forme aujourd’hui ! Ne t'en fais pas, je vais régler ça… »
Elle commença à me branler doucement en amplifiant ses gestes et glissa tout son corps sur moi pour m’embrasser. Elle posa son autre main sous ma chemise et fit sauter tous les boutons. Toujours en me branlant, elle me souffla d’une voix rauque :
« Enlève-la, s’il te plait… »
Sans perdre une seconde, je me redressais, je l’enlevai et l’embrassai. Puis, je commençai à lui caresser le dos. Elle me plaqua contre le canapé, ce qui me fit reprendre en positon allongée.
« Laisse-toi faire et ne réponds pas ! » m’intima-t-elle.
Je me tus, tout en appréciant ses lèvres sur ma bite qui l’enserrait avec douceur et fermeté. Tout ne me regardant droit dans les yeux, elle la lécha de tout son long, me malaxa les boules avec une main, tandis que de l’autre, elle me branlait toujours… Puis elle a remit dans sa bouche, l’enfonçant au maximum. Je sentais la chaleur de ses lèvres, de son palais, de sa langue sur mon pieu durci par un tel traitement…
Involontairement, je me mis à donner des coups de rein, pour faire aller et venir mon sexe dans sa gorge. Mais elle m’aspira brusquement pour me « recracher » à l’extérieur…
« Mhumm, toujours aussi bonne, ta bite… »
Elle enleva la première bretelle de sa robe, puis la seconde. Elle me regarda d’un air coquin, et s arrêta de me branler. Elle se mit debout et laissa tomber sa robe qui me laissa découvrir seulement son superbe soutien-gorge rouge, qui serre bien ses beaux seins, et un beau string en soie. 0 la vu de cela, je posais ma main droite sur ses fesses rebondies, mais elle me repoussa, car elle voulait tout contrôler, la coquine…
Mais j’étais si excité que j’en avais décidé autrement. Aussi, j’écartais son string avec ma main gauche, qu’elle essaya vainement de repousser une dernière fois, et je lui fis mettre ses mains sur ma tête. Ainsi, je commençais à effleure de ma languie sa si belle vulve, si appétissante…. Elle m’était offerte, nue, provocante, indécente, et je pris possession de ce merveilleux endroit... Au fil de mes explorations, ma langue se faisait plus pressante, plus insistante. Sous cette caresse, elle s’est abandonnée à mes caresses linguales, qu’elle semblait fort apprécier… Elle souffla dans un soupir :
« Mhumm, oui, c’est bon, vas-y, lèche-moi bien… »
Je ralentis mon rythme, surpris malgré tout qu’elle trouve du plaisir à mes caresses de novice. J’étais très excité de sa réaction et pour le lui prouver, je fis frétiller encore plus vite ma langue entre ses lèvres gorgées de désir. Elle mouillait de plus en plus, et je lui claquais les fesses pour l’encourager… Je lui aspirais ses petites lèvres l’une après l’autre, en caressant l’arrière de ses cuisses. Puis je fis revenir mes doigts devant, remontant jusqu’à son triangle moite et appétissant. J’écartais ses chairs intimes, pour la lécher plus profondément. Je massais son clito entre mes deux doigts, et elle se tordait de plus en plus…
« Oh ! Gros cochon, baise-moi ! Fais-moi mal !!! »
Elle me lança une claque sur le dos, et je retirai ma langue pour enfoncer mes phalanges directement au fond de sa chatte. A ma grande surprise, elle mouilla encor plus ! J’ignorais que c’était possible… Je buvais ce nectar tiède à grande lampées. Ma langue finit par atteindre quasiment le fond de son vagin.
Je me retirais, car j’en voulais plus encore. Je lui montrai ma bite raide. Elle s’en saisit, et vint s’assoir dessus. Elle l’enfila en elle, sans aucune douceur ou précaution. Elle criait de plaisir, me chevauchant avec vigueur. Voulant reprendre le dessus, j’attrapai ses hanches, pour lui intimer mon rythme. Elle s’y plia sans rechigner.
« Oh ouiiiii, oh ouiiiiiiiiiiii… continuuuuuuuuuuuuuuuuue…. »
Elle agrippa mes épaules pour pas tomber, et me mit la tète dans ses seins, que je m’empressai de lui bouffer en les tenant dans mes mains pour pas qu’ils bougent trop. Ses belles courbes étaient déchainées devant mes yeux, elle m’embrassa le dessus de la tète tellement elle était grande, pendant que je continuai à la pénétrer.
Mes boules tapaient très fort contre elle, puis elle se redressa, s’est assise sur moi, me caressa le torse toujours en me chevauchant.
Sa chevelure lui cacha le visage, alors elle s’arrêta mais en gardent ma bite en elle. Elle réussit à mettre un chouchou qu’elle extirpa de son sac sans que je sorte d’elle…
Elle recommença ses mouvements de haut en bas doucement, puis sans me prévenir, ré-accéléra rapidement. Dans un nouveau cri, elle jouit en accélérant encore sa cadence.
Je me pinçai les lèvres pour sortir seulement un petit gémissement, et comme si elle en voulait pas m’entendre, elle m’embrassa.
Sentant que j’étais au bord de l’explosion, elle se retira et s’allongea en me branlant tout en mettant son visage très prés de ma queue. Elle était à l’affut du premier jet de sperme…Elle aida la machine en me l’aspirant de tout son long, et en me regardant comme elle sait si bien le faire. Elle me tripota les couilles avec tant de dextérité, que deux minutes plus tard ; j’émis une bonne dose de purée sur son visage, son nez, sa bouche. Alors, elle ouvrit grand sa bouche et avala tout mon sperme avec sa langue. Je sentis sa gorge se déployer à chaque gorgée…
« Super, jeune homme ! C’est trop bon ! »
Elle me l’essuya jusqu’à la dernière goutte et s’allongea sur moi en caressant ma bite encore humide de sperme :
« J’adore quand tu me baises, monsieur mon sex-friend ! »
Elle m’embrassa à nouveau, et tout en restant nue, elle finit son verre, puis se rhabilla très vite. Elle ne me laissa même pas le temps de l’accompagner qu’elle avait déjà franchi la porte…
Fin de l’histoire…
Dites-moi ce que vous en pensez !
SIgné : Steven le marseillais.
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Exhibition sur la nationale
Hier fut une journée faste. En effet, cela fait trois semaines que chaque mardi, en rentrant du travail, à midi, je vois le même homme sur le bord de la nationale entre Kourou et Cayenne. Il est adossé à une Twingo blanche, et semble uriner.
La première fois, j’ai pensé à cela, même si dans un petit coin de ma tête, je me suis dit :
« Pourquoi regarde-t-il les voitures qui arrivent en secouant ostensiblement un sexe très long ?... »
J’y ai repensé, car cette brève vison m’avait «émoustillée.
Mardi il y a deux semaines, rebelote, il est au même endroit. J’ai vu la voiture de loin, et cette fois-ci, j’ai ralenti. En effet, il secouait toujours un long sexe noir, à moitié raide. Là, je commençais à mouiller sérieusement.
Mardi de la semaine dernière, il était là, mais comme je suis passée encre plus lentement, il m’a souri… Et là, il bandait carrément, sa bite semblait toucher son nombril, son tee-shirt étant relevé. J’étais en retard, je ne me suis pas arrêtée…
Mais hier, j’avais pris mes précautions : j’avais prévenu Fritz que je ne rentrai pas déjeuner, car je devais voir ce mec de près. Il a acquiescé en souriant et en me souhaitant beaucoup de plaisir…
Et donc, me voilà partant particulièrement vite de mon bureau, espérant qu’il soit là… Bingo, je vois la Twingo au loin. Déjà, je mouille comme une folle. Je m’arrête derrière sa voiture. Il est là, son grand chibre à la main, dur comme du bois d’ébène. Il sourit et s’approche de la fenêtre passager. Il m’interpelle sans aucune gêne :
« Alors ma belle, elle te plait ma bite ? Ca fait plusieurs fois que je sais que tu me regardes en passant...
- Euh… oui, dis-je, malgré tout un peu surprise par sa demande frontale.
- Tu veux la voir de près ?
- Oui, avec plaisir, elle est impressionnante.
- Oui ma belle, vingt-quatre centimètres de plaisir pour toi… Je fais tout ce que tu veux, tu me fais tout ce que tu veux.
- Ok, je veux voir ça de près, mais je te préviens, pas de pénétration…
- Comme tu veux, surtout si je peux te bouffer la chatte…
- Bien sur, j’en meurs d’envie…
- Suis-moi, on va dans le chemin à côté. »
Après ce dialogue un peu surréaliste entre deux inconnus, je le regarde un peu mieux. Il est de taille moyenne, le crane rasé, et des yeux très rieurs… allure générale sympathique, je dirai qu’il a une petite quarantaine.
Je le suis à deux cents mètres, dans un chemin creux, qui mène à une petite clairière où se dresse un carbet rudimentaire. Je ne connais pas l’endroit, mais ce n’est pas le cas de tout le monde, au vu des nombreuses capotes qui jonchent le sol…
Nous sortons de voiture, et il extirpe de son coffre un hamac, qu’il s’empresse d’accrocher à deux montants du carbet. Il a l’air d’avoir ses habitudes ici.
« Si Madame veut bien se donner la peine… Au fait, je m’appelle Ralph.
- Moi, c’est Sophie.
- Sophie, je vais te dévorer !!
- Mhummm… je t’en prie. »
Ayant prévu la chose, je porte une grande jupe ample, et rien dessous… je la soulève, et m’allonge dans le hamac. Il a déjà baissé son pantalon, et de près cette fois-ci, je vois le pieu dur et luisant.
Il commence à se masturber, faisant monter et descendre sa main sur la barre noire. De l’autre, il masse ses énormes couilles…
Je n’y tiens plus, et j’entame une caresse de ma vulve... Il fixe mon intimité, comme hypnotisé. Il regarde mes doigts masser les petites lèvres, effleurer mon clito… je le vois accélérer la cadence, tandis que j’enfonce deux doigts dans ma grotte en feu.
Je me branle comme une furie, tant je suis excitée par cette situation que j‘aime tant… J’agite comme une folle mes doigts à l’intérieur. Le résultat ne se fait pas attendre, et je jouis une première fois bien trop vite à mon gout…
Ralph sourit d’un air satisfait…
« Tu m’as l’air bien chaude et bien à point….
- Ou… ou… ouiiii… hoquetai-je, encore tremblante de cet orgasme fulgurant… Mais je n’en n’ai pas assez !
- Oh ! Madame est gourmande ? Ca me plait bien… Tu veux ma langue ?
- Ta langue, bien sur, j’en meurs d’envie !!! »
Il ne répond pas, et se met à genoux. Ainsi, sa bouche arrive pile au niveau de mon abricot en furie. Il écarte mes lèves encore égorgées d’excitation, et y plonge sa langue d’un coup, comme s’il me pénétrait avec sa queue. Bon sang, elle est aussi longue que sa bite !!! Il fourrage à l’intérieur, arrivant même à pointer sur mon point G. Je me tords de plaisir sous cette divine caresse, et je gémis de plus en plus fort... Au diable les éventuels voisins…
« Oh ouiiii, vas-y, elle est bonne, ta langue… vas-y, baise-moi à fond… »
Il va et vient, dure et doux à la fois… Il ressort son engin de plaisir, et titille mon clito qui se dresse encore plus sous ca pression. Je sens que je vais jouir… »
« Oh non, pas maintenant, pas déjà… »
Je n’ai pas le temps de finir cette pensée, que je jouis pour la deuxième fois en criant fort, cette fois… Ma tête tourne, je ne sais plus trop où je suis... Quand je reprends bien conscience, il est debout devant moi, plus raide que jamais. Juste à hauteur de mes yeux, je vois cette barre d’ébène qui oscille... il la branle doucement…
Que puis-je faire ??? La question m’effleure à peine l’esprit que j’embouche le gland massif… Il est si gros qu’il me remplit la bouche à lui tout seul. Ce n’est pas aujourd’hui que je ferai une gorge profonde !
Je l’enrobe comme je peux de la langue, le léchant un peu à la façon une boule de glace, mais qui, par bonheur, ne fond pas ! Je l’attrape le pieu de ma main libre, car de l’autre, je caresse mon petit bouton qui a encore faim...
Mes doigts enserrent la chair tiède, et glissent vers la base. Je ne peux m’empêcher de malaxer les couilles remplies. Elles sont pleines et fermes… J’ai soudain hâte de les voir se vider. Lui aussi s’est mis à gémir doucement. Il a fermé les yeux et se balane légèrement d’avant en arrière. Je crains qu’il ne tombe…
J’accélère mes mouvements de main, massant le long bâton de plus en plus dur. Je suce sans relâche le gland, et crache pour mieux faire coulisser ma main… Il se raidit, je sens qu’il va jouir… Je retire ma bouche, je veux voir ça….
En effet, il accélère lui aussi sa masturbation, et dans un cri, un épais jet de foutre très blanc vient s’écraser sur l’autre bord du hamac. Trois autres jets sortiront, dans des râles profonds, expulsant une crème épaisse.
Il tombe comme un pantin assis par terre. J’ai l’impression qu’il a un malaise. Je me redresse, mais il me sourit et murmure :
« Eh bien ma belle, tu as de la ressource ! J’adore les femmes blanches comme toi…. Tu es sure que tu ne veux pas que je te prenne bien à fond ?
- Non, pas aujourd’hui, mais une autre fois…
- Tu es sérieuse, une autre fois ?
- Oui, mais en présence de mon mari. Il vient toujours avec moi si je me fait prendre par un homme.
- Ton mari ??? Mais il va me tuer ! s’étrangle-t-il.
- Mais non, il aime me coir avec un autre. D’ailleurs, il sait que je comptais m’arrêter, si tu étais là ce midi.
- Ah bon, il sait tout ?
- Eh oui, je ne lui cache rien. Et là, tu vois, je vais tout lui raconter !
- Il est bizarre, ton mec, s’étonne-t-il. Il est black ? Car les blacks n’aiment pas partager leur femme !
- Il est l’exception qui confirme la règle…
-Si vraiment je ne crains rien, alors ok, on se verra avec lui. Je te donne mon numéro de portable ; De toutes façons, ej suis là tous les jours de la semaine, entre midi et treize heures. Tu sais, j’ai mes habitués... Même des hommes qui viennent me sucer…
- Vraiment ? Tu acceptes ça ???
- Oui, ils sucent bien, et quelques-uns me font même des gorges profondes !
- Tu sais, voir un mec en sucer un autre m’excite à mort. Si tu veux bien, je viendrai regarder un jour… Tu dis que peu de blacks partagent leurs femmes, mais peu acceptent aussi de se faire sucer par un autre homme ! Tu me plais bien, toi !
- Toi aussi, tu me plais... On va bien s’amuser. Allez, je te lèche un peu, avant de partir ?
- Oh oui, et je vais t’imaginer te faisant pomper par un mec… »
Aussitôt dit, aussitôt fait, il se met à genoux, et plonge sa tête entre mes cuisses. Il me dévore les petites lèvres, insinue sa langue dans ma grotte toujours aussi mouillée… Il me soulève pour aller titiller ma rosette, et repart vers mon clito qui n’attend que cela. Il enfonce trois doigts d’un seul coup dans ma chatte, et les agite vigoureusement. Ce traitement divin fait une fois de plus bien trop vite son effet, et je jouis en hurlant flanchement, cette fois…
Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits, moment pendant lequel il me caresse tendrement les cheveux. Enfin, je m’assieds, et me lève non sans mal du hamac. Mes jambes tremblent de ces orgasmes répétées et violents. Il se penche vers moi, et m’effleure les lèvres d’un bref baiser. Je lui souri et lui souffle :
« Je rentre chez moi, et je t’appelle sans faute dans le week-end…
- Ok, j’attends, tu vas voir, tu ne le regretteras pas ! »
Je tourne les talons, et remonte en voiture, pressée de raconter tout cela à Fritz… Et je sais qu’en lui disant tout, il sera excité et m’honorera de sa langue et de sa belle queue… Déjà, je suis trempée…
Sophie
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L'infidélité de Florence
Cette histoire est véridique et relatée dans ses moindres détails. Elle m'est arrivée au mois de mai 2000. Pourquoi avoir attendu dix ans avant de l'écrire ? Tout simplement par désir de me confier. Personne jusqu'à présent ne connaît cette histoire.
Mais d'abord laissez-moi me présenter. Je m'appelle Florence, j'ai quarante-cinq ans, je mesure 1,65 mètre, je suis blonde, un petit peu enrobée avec de très jolis petits seins.
Je suis mariée à Philippe depuis plus de vingt ans, nous avons deux enfants.
Jusqu'à ce fameux mois de mai 2000, les 7,8 et 9 mai, précisément, je n'avais jamais trompé mon mari. Philippe est un homme plein d'humour qui travaille dans une banque et qui gagne très bien sa vie.
Moi, je suis cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés. Je considérais notre vie sexuelle normale, mais après chaque rapport avec mon mari je ressentais comme un goût d'inachevé, d'incomplet. Nous abordions et continuons à aborder toutes les facettes du sexe, j'adore sucer, me faire pénétrer la chatte et je ne refuse pas la sodomie bien que ce ne soit pas ce que je préférais jusqu'à ce fameux mois de mai. En résumé, une vie banale.
Bien voilà mon décor personnel planté. Je vous explique maintenant le décor professionnel. Je suis je l'ai déjà écrit plus haut cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés située à Bordeaux. En janvier 2000, est entré dans notre entreprise un employé de bureau qui avait répondu à une offre d'emploi. Il s'appelle Yann il est âgé de quarante ans ans.
Grand, mince, cheveux châtain légèrement dégarni mais charmant. C'est moi qui lui ai fait visiter l'entreprise l'ai instruit sur le travail qui l'attendait et lui ai précisé après l'avoir installé dans son bureau, qu'il pouvait venir me demander tous les renseignements dont il aurait besoin. Et pendant plus d'un an il venait souvent me demander des renseignements. Je sentais qu'il n’était pas insensible à mon charme, et je dois l'avouer j'en étais troublée.
Mais jamais il ne m'a proposé quoi que ce soit ni même d'aller boire un café en sa compagnie. J'en étais un peu frustrée mais je l'ai dit jamais je n'avais trompé mon mari et même, sentant l'attirance que je représentais pour Yann, je n'envisageais pas du tout de le faire, c'est une idée qui ne me venait même pas à l'esprit.
Début mai, notre directeur de l'époque m'appela au téléphone et me demanda d'aller le voir dans son bureau en me précisant de dire à Yann de venir aussi. Je passe donc par le bureau de Yann et lui dit que nous sommes attendus tous les deux dans le bureau du patron. L'entrevue à trois fut brève mais le patron nous apprit que l'entreprise allait se doter d'un nouveau logiciel informatique de gestion acquis auprès d'une société parisienne et que pour cela deux personnes devaient se rendre à Paris en quelque sorte en éclaireurs afin de s'initier aux rudiments de ce nouvel outil informatique. Les deux personnes choisies étaient moi Florence, et Yann, et les billets de train étaient déjà retenus pour le 7 mai.
Nous voilà donc ce fameux jour, dans le train. Tout le voyage se déroula normalement. Yann était extrêmement gentil et galant il voulu absolument me laisser la place à la fenêtre pour que je puisse profiter du paysage. Nous avons longuement bavardé de tout, loisirs, cuisine, sport, culture. Arrivés à destination nous avons pris le métro pour nous rendre jusqu'à notre hôtel.
Là nous avons convenu de nous retrouver dans le hall de l'hôtel une heure plus tard dans le but de trouver un petit resto. Nous nous retrouvons et je propose à Yann de nous rendre sur les Champs-Élysées car je connais là-bas un resto sympa.
Voilà toute la scène est plantée, car c'est maintenant que commence vraiment mon infidélité conjugale. Après un petit apéritif nous entamons le repas, à vrai dire je ne me souviens plus de quoi il était composé, mais à ce moment, je me suis aperçue que j'avais oublié d'appeler une amie (en fait il s'agit de ma grande confidente à qui je n'avais rien caché de ma vie y compris mon espèce d'insatisfaction sexuelle) que j'avais invitée à déjeuner chez moi le lendemain, et je ne pourrai pas pour cause de déplacement. Je prie donc Yann de m'excuser et saisis mon portable pour appeler mon amie.
« Allo Christine, c'est Florence. Je t'appelle pour te dire que le déjeuner de demain est annulé je suis en déplacement dans la capitale.
- C'est pas grave on remettra ça pour une autre fois. Tout va bien pour toi ?
- Oui merci.
- Et ton problème d'insatisfaction ? »
Il faut dire que Christine croyait que j'étais seule pendant cet appel et puis lorsque je discute avec elle je suis tellement détendue que je perds parfois toute notion d'intimité.
« Toujours pareil, on fait l'amour et je reste sur ma faim pour ainsi dire. J'aurai presque envie de recommencer de suite mais Philippe est un rapide et il s'endort de suite après. »
Et puis après de nombreux bla bla.
« Au fait Christine je ne t'ais pas donné mon nouveau numéro de téléphone.
- Tu as changé ?
- Oui prends un papier et un crayon et note le c'est le 06 07
- Merci on se rappelle à bientôt ma chérie »
Je m'excuse auprès de Yann pour ce petit intermède, puis nous reprenons notre repas au cours duquel je trouve Yann encore plus prévenant, je sens son pied qui touche parfois le mien et quelquefois sa main vient jusqu’à frôler la mienne. Enfin notre repas se termine et nous rentrons bien sagement à l'hôtel. Arrivés devant l'hôtel Yann me souhaite bonne nuit et me dit qu'il va rester quelques minutes en bas pour fumer un cigarette. C'est vrai qu'il fume mais peu. Je retrouve donc ma chambre je me déshabille, prend une douche, et garde comme seuls habits pour dormir, une chemise de nuit et une culotte.
C'est au moment où j'allais entrer dans le lit que mon portable se met à sonner. Je décroche.
« Allo.
- Allo bonjour Madame. »
J'ai immédiatement reconnu la voix de Yann et j'ai cru qu'il voulait un renseignement professionnel c'est pourquoi j'ai répondu tout normalement comme sur un ton de plaisanterie. « Bonjour monsieur.
- Madame j'ai déjeuné ce soir à une table voisine de la votre, j'ai entendu que vous communiquiez votre numéro à votre correspondant et je n'ai pu m'empêcher de le noter, car je vous ai observé tout le repas et vous êtes absolument charmante je tenais à vous le dire. »
A ce moment tout m'est revenu en mémoire en un éclair, et j'ai compris qu'il ne voulait pas qu'un simple renseignement. J'en fus troublée et flattée et je ne pus que répondre avec un chevrotement dans la voix mais en continuant et en entrant dans cette sorte de jeu.
« Et bien monsieur c'est très gentil de votre part et je suis très flattée mais vous avez aussi certainement compris que je suis une femme mariée.
- Oui madame je l'ai aussi entendu et je dois vous dire que je suis moi aussi marié. J'ai aussi entendu que vous connaissez quelques difficultés sexuelles avec votre mari.
- C'est vrai mais il est mon mari, et je ne l'ai jamais trompé.
- Moi aussi madame, je n'ai jamais trompé ma femme, et je connais aussi avec elle des problèmes du même genre que les vôtres.
- C'est à dire ?
- Que je ne suis pas entièrement satisfait sur le plan sexuel.
- Et comment se manifeste cette insatisfaction ? »
La situation commençait à m'exciter. Ma voix devenait de plus en plus chevrotante, mes seins pointaient sous ma chemise de nuit une douce chaleur envahissait mon ventre et je sentais ma chatte devenir humide.
« Et bien mon épouse n'accepte pas toutes les caresses. C’est pour moi comme une frustration. »
Moi qui, bien qu'en préférant certaines caresses à d'autres, n'en refuse pour autant aucune, devenais toute tremblante. Je ne pensais plus à mon mari, j'étais collée sur mon téléphone à écouter la douce voix de Yann qui elle aussi chevrotait maintenant.
« Et pourquoi me dire tout cela maintenant à cette heure ?
- Parce que je vous ai suivi depuis le restaurant, parce que je suis devant votre hôtel, parce que je discute avec vous en ce moment merveilleux, parce que vous êtes absolument charmante et terriblement sensuelle et.. ».
Oh mon dieu que tout cela était bon à entendre. Je voulais en entendre encore plus, je lui dis.
« Et ? N’ayez pas peur ni honte de dire ce que vous voulez dire. On ne rougit pas au téléphone.
- Et que j'aimerai que vous m'ouvriez votre porte pour…….
- Pour ?
- Pour passez une nuit ensemble. »
J'ai ressenti une énorme poussée d'adrénaline j'ai hésité 2 ou 3 secondes qui pour Yann ont certainement été une éternité mais sans me reconnaître moi-même je me suis entendu répondre.
« Et bien monsieur je suis en chambre 969. »
Quelques minutes plus tard, j'ai entendu un petit tapement à la porte de ma chambre. J'étais dans un état effervescent je tremblais et vêtue seulement d'une culotte et chemise de nuit. J'ai ouvert, Yann m'a souri il est entré. Sitôt la porte refermée et avant que je ne me retourne vers lui, il s'est plaquée derrière moi sa tête contre mon oreille, ses mains sont venues se positionner sur mes hanches et continuant à jouer son jeu il m'a dit : « Je m'appelle Yann, et vous ?
- Florence », ai-je répondu sans même m'en rendre compte, comme dans un nuage sensuel.
Ses mains son remontées vers mes petits seins déjà durs et il a murmuré.
« Madame, je suis fou de vos jolis seins, je vais les dévorer toute la nuit, je vais les sucer comme je vais vous sucer la chatte à vous en faire crier.
Après ces paroles j'ai compris ce qui me manquait avec mon mari. Tout simplement ces paroles un peu crues que jamais mon mari conventionnel n'oserait prononcer. Elles résonnaient dans ma tête comme un appel au sexe à deux, délivré des ses derniers tabous, reliées par le vouvoiement de cet homme que je côtoyais chaque jour, et par cette scène de jeu. Elles me faisaient plaisir à entendre j'avais envie d'en entendre encore plus et d'en prononcer moi aussi des plus sales encore, et comme si Yann avait deviné mes pensées il poursuivit en disant.
« Cela ne vous gêne pas si je vous parle ainsi. »
En guise d'acquiescement je répondis :
« Oh, sucez mes petits seins, sucez ma chatte !
- Madame, je vais vous sucer toute la nuit et vous baiser toute la nuit !
- Baisez-moi, enfilez-moi, bourrez-moi, par tous les trous.
- Par tous les trous vous en avez envie ? »
Et là j'ai oublié le vouvoiement.
« Oui j'ai envie que tu baises ma chatte que tu baises ma bouche que tu m'encules jusqu'à m'élargir le trou cul. »
J'étais folle et complètement libérée. Ces paroles sales, je les connaissais mais c'était la première fois que je les prononçais pendant l'amour et j'y prenais un énorme plaisir. Yann m'a alors guidée vers le lit je me suis allongée sur le dos il à commencé à m'embrasser puis ses mains on fait glisser les bretelles de ma chemise de nuit, dans la pénombre il a découvert mes petits seins dont il m'a répété qu'il en était fou, il les a sucé un bon quart d'heure ils me faisaient mal tellement les pointes étaient dures.
Ensuite, il a ôté ma chemise de nuit complètement et à travers ma culotte il à commencé à me sucer la chatte il a recommencé à me sucer les seins et a passé sa main dans l'échancrure de ma culotte. Il me masturbait tellement bien titillant mon bourgeon qui était dur je sentais ses doigts glisser dans ma grotte complètement noyée, à ce moment il a enlevé ma culotte et s'est jeté sur ma chatte j'ai écarté les cuisses le plus largement possible sa langue entrait au plus profond de moi ensuite il a écarté mes lèvres d'une main tandis qu'il entrait un puis deux doigt dans un lent puis rapide va et vient. Le clapotis de ses doigts et de ma chatte était tellement excitant que je lui ai demandé
« Baise-moi, baise-moi fort maintenant ! Je veux sentir ta queue au fond de moi...
- Non tu ne connais pas encore ma queue tu vas d'abord me sucer. Je suis sûr que tu aimes avoir une queue dans la bouche. Elle est belle ta bouche ! Tu vas bien me pomper je veux jouir dans chacun de tes trous et sur ton corps. »
Et joignant le geste à la parole il s'est relevé à baissé son pantalon, je me suis assise sur le lit n'y tenant plus j'ai baissé son slip et la j'ai découvert ce que n'osait espérer une queue large, longue d'au moins vingt centimètres. Celle de mon mari ne fait que quinze centimètres en pleine érection qui ne dure pas longtemps, et de plus il n'est pas large.
Elle est dure comme une barre d'acier. Sa queue dans ma bouche, je l'ai pris par les fesses et l'ai attiré sur le lit. Allongée sur le dos lui au dessus de moi, j'avais son énorme mandrin dans la bouche, et il s'employait à le faire coulisser pour me baiser la bouche comme il m'avait dit plus tôt.
Comme je l'ai dit plus haut j'adore sucer, mais j'ai horreur que l'on jouisse dans ma bouche. Chaque fois que je fais une pipe à mon mari je lui demande de me prévenir et lui enrobe la queue dans une serviette lorsqu'il joui. Mais ce jour- là, je n'avais même plus conscience que la grosse bite de Yann pouvait décharger à tout moment dans ma bouche.
Il s'était maintenant allongé sur le dos et me tenait par l'arrière de la tête et je suçait parfois lentement, parfois rapidement en enfonçant son engin le plus profondément et je sentais mes joues se gonfler par cet énorme pieu qui parfois venait buter au fond de ma gorge soudain Yann m'a demandé :
« Plus vite mon amour, plus vite, je vais décharger dans ton gosier. »
Et bien que je n'aime pas cela je lui ai dit :
« Tu veux jouir dans ma bouche ? Tu veux que j'avale tout ton foutre ? Oui, j'ai envie de te boire, j'ai envie que tu me gaves de ta crème ! Tu vas me remplir la bouche et l'estomac avec tout le jus de ton énorme bite ! Mais garde des forces, je veux absolument que tu me défonces par tous les trous ! »
Tout en disant cela, je continuais à le masturber lentement pour qu'il garde toute sa vigueur. Puis j'ai repris sa queue en bouche. J'ai recommencé à le manger lentement, ensuite plus vite. Soudain, j'ai senti tout son corps se raidir sa queue prendre une dimension encore plus grosse et tressaillir dans ma bouche. Un long jet chaud et crémeux me couvrit la gorge, puis un deuxième, et un troisième. Pendant qu'il jouissait, je continuais à le sucer comme une folle, et j'avalais en essayant de ne pas perdre une seule goutte de sa liqueur. J'ai tout avalé avec délectation… Ensuite, Yann m'a embrassée goulûment en essuyant mes lèvres de sa langue. Il semblait prendre beaucoup de plaisir à goûter les restes de son sperme sur ma bouche.
« Ta bouche et tes lèvres sont salées.
- Cela te plait ?
- Oui. »
Nous sommes restés enlacés un long moment à nous bécoter nous caresser. C'est durant ces caresses que j'ai senti à nouveau le sexe de Yann grossir je me suis alors jetée dessus fiévreusement pour le reprendre en bouche. Il était aussi gros qu'auparavant j'ai demandé à mon amant :
« S'il te plait prends moi, prends-moi par derrière, j'ai trop envie de te sentir en moi. J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte en feu.
- Viens, mets-toi à genoux, je vais te défoncer ma Florence chérie. »
Je me suis mise à genoux par terre les bras et le torse appuyés sur le lit. Yann s'est positionné derrière moi mais alors que je m'attendais à recevoir son énorme pieu dans ma grotte inondée de mes sécrétions. J'ai entendu Yann qui salivait dans sa main et qu'il passait celle-ci sur mon petit trou. Je n'ai pas eu le temps de lui dire que je voulais d'abord le recevoir dans la chatte. Sa queue est venue se loger directement entre mes fesses. Je l'ai senti appuyer sur ma rondelle et d'une poussée vigoureuse qui m'a écrasé sur le lit son gland énorme est venue me déchirer le cul et m'a arraché un cri de douleur.
« Salaud ! Tu me casses le cul ! Tu es une ordure ! Je te voulais dans ma grotte d'abord ! »
Il m'a proposé de ressortir pour la forme, car il ne l'a pas fait. En fait, j'avais vraiment envie qu'il m'encule bien à fond.
« Tu me traites de salaud alors que tu en veux comme une pute. Jamais je t'aurais cru aussi chienne dans le plumard tu en veux encore plus ?
- Oui, enfonce-la bien au fond, défonce-moi le trou, ramone-moi, élargis-moi l'œillet, casse-moi le cul !!!
- Espèce de salope ! Tu ne vas pas le regretter ! Tiens, prends-la toute entière ! »
Toujours son énorme vit dans mon cul, il réussi tà se mettre sur ses jambes, et à grands coups de boutoir, il fit coulisser son membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de seconde en seconde. Et oui, jusqu'à présent, seul mon mari m'avait enculée, et peu membré comme il l'est, jamais mon trou ne s'était évasé !
il y allait tellement fort que son bassin faisait des "clacs" énormes lorsqu'il buttait dans mes fesses.
« Oh oui ! Défonce-moi encore plus fort ! Encule-moi toute la nuit ! C'est bon, je sens tes couilles frapper ma chatte… Je veux que tu me casses le cul toute la nuit, tu ne me troncheras que demain au réveil, après que je t'ai sucé !
- Ha ! Tu en veux au fond de ton boyaux ? Prends ça, pute, que tu es !
- Oui je suis une pute, ce soir je suis ta pute, et ramone mon cul. »
Il m'a ramoné le cul cassé la rondelle il a élargi mon trou et dans un râle s'est déversé dans mon boyau. Lorsque j'ai senti sa bite se détendre un peu, il s'est retiré et m'a dit :
« Je vais me nettoyer.
- Non laisse je vais le faire avec ma bouche… »
J'ai pris sa queue molle dans ma bouche, elle sentait fort, elle avait un goût d'excréments, car dans la pénombre je ne pouvais deviner s'il y en avait dessus. Mais qu'importe, j'avais envie de ça. Il m'avait comblée le cul, je voulais l'épuiser, le vider complètement. Je l'ai donc consciencieusement nettoyé et j'ai senti qu'il recommençait à prendre vigueur.
« La salope, tu me fais encore bander, tu en veux encore ? Je vais t'en donner. »
Et entre deux mouvements de pompes : « Oui, donne m'en encore dans le cul, la chatte c'est pour demain !
- Tu veux encore te faire défoncer ton joli petit cul rose. Tu es une vraie pute déchaînée ! Tu fais pareil avec ton cocu de mari ?
- Non, avec mon mari ça dure cinq minutes lorsqu'il me baise la chatte ou que je le suce, et encore moins longtemps quand il m'encule…
- Mets-toi en position sur le dos. C'est comme ça que je vais t'élargir encore ton petit trou… »
Je me suis mise sur le dos. Il a pris mes jambes, les a relevées, coincées dans ses épaules et a présenté sa bite devant mon cul.
Cette fois-ci, il est rentré d'une seule poussée. Je ne peux pas dire que je n'ai rien senti, mais la douleur n'a pas été la même. La première fois, c'était une douleur de déchirement. Quant à celle-ci, c'était une douleur due à l'irritation après une sodomie puissante et prolongée.
Mais j'ai quand même apprécié une nouvelle fois. Il m'a limé le cul pendant vingt bonnes minutes encore avant de décharger une nouvelle fois dans mon boyau. Moins puissamment que la fois précédente…
Après quoi, je l'ai encore sucé pour le nettoyer et bien qu'il se mît à rebander nos ébats se sont arrêtés là. Quelques bisous après nous dormions comme des bienheureux.
Le lendemain matin au réveil, j'ai laissé glisser ma main vers sa queue et après quelques caresses, il s'est mis à bander comme un taureau. Cette fois, il m'a baisé la chatte et j'ai éprouvé un immense bonheur lorsque j'ai senti sa liqueur inonder mon ventre.
Les deux jours suivants, nous avons continué nos ébats tant et si bien que le 9, lorsque il a fallu se résoudre à rentrer, j'étais toute triste. Nous avons pris le train et pendant le trajet, je n'ai pu m'empêcher de prendre sa main, de la passer sous ma jupe, et de l'aider à enfoncer un doigt au fond de ma grotte toute humide.
Depuis, nous poursuivons notre relation.
Nous laissons libre cours à tout nos fantasmes, quels qu’ils soient : tous les deux, à trois, quatre, et j’ai même expérimenté le gang bang, comme une vraie affamée de sexe que je suis…
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super recit ,, j'ai aime quand elle le suce avec sa queue un peu souillée ,, cela me rapelle des souvenirs avec une amie
On veut, on vous en supplis, livrez nous les détails de la suite de votre découverte du monde du sexe!!