Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les Salines de Guadeloupe
Laure :
Depuis mon arrivée en Guadeloupe, je me sens bizarre, agacée, insatisfaite sans pourtant être capable d’identifier une cause objective. Est-ce soleil des tropiques trop violent pour être vraiment sympa, le bruit incessant des vagues qui me sature la tête, l’abus d’alcool ou le manque de sommeil ? Il faut dire sur ce dernier point, que chacun sait qu’un petit coup même rapide aide à trouver le sommeil, mais là, j’avoue, je reste sur ma faim.
Paul mon pauvre mari, la chaleur doit le ramollir de partout ! Si on réfléchit bien, en fait ça ne date d’hier mais à Paris un câlin une fois par semaine me suffisait, même si cela ne m’a jamais fait hurler au point de lui planter mes ongles dans le dos comme au cinéma. Mais je suis une cérébrale et mes pensées secrètes, mes fantasmes m’ont souvent permis d’accéder au plaisir alors même que je ne ressentais pas grand-chose. Ici, il ne me reste que mes fantasmes, il faut dire qu’il y a de quoi les nourrir, avec ces apollons de bronze qui sillonnent la plage.
C’est la troisième soirée d’une conversation languissante (la même malheureusement) ce qui n’arrange en rien mon alcoolisation. Le serveur trop souvent dérangé a fini par laisser la bouteille sur la table.
Nous avions fait connaissance il y a quelques jours d’un couple sympa, d’une bonne cinquantaine d’années, soit presque le double de notre âge. Il est chirurgien-dentiste (mon mari est orthodontiste) Au troisième jour, je suis incollable sur les combines fiscales, je vais pouvoir, une fois rentrée à Paris, démarrer une activité de conseil ! En dehors de cela, il faut aussi accepter d’entendre sans hurler le discours sur l’assistante aux « trente cinq heures » qui a le culot de réclamer ses RTT, ces salauds de pauvres à la CMU, et les sidaïques qu’il faut soigner quand même !
« Vous savez qu’il y a une plage naturiste ici ? Nous y sommes passés cet après-midi juste le temps de nous rafraichir après le golf, le site est sympa et au moins ce n’est pas bourré d’allemands et de hollandais bedonnants comme dans le midi ! »
Elle aussi, visiblement en avait marre de cette conversation. Elle ne cesse de m’étonner celle-là, avec ses airs de bourge sainte nitouche, bien foutue pour son âge par ailleurs, un peu de chirurgie esthétique a du aider mais quand même, un corps de sportive qui ne lâche rien sur sa ligne. C’est peut-être le moment ou jamais d’intervenir dans la conversation, sans ça on pourrait croire que je fais la gueule, et on ne sait jamais cela pourrait déboucher sur quelque chose d’intéressant.
« Ah oui c’est loin d’ici ?
- Non après le golf vous continuez tout droit vers la Pointe des Châteaux et c’est bien avant sur la gauche à la hauteur de l’anse des salines, de toute façon c’est indiqué.
- Je suppose que des métropolitains qui débarquent sur ce type de plage, doivent constituer une attraction, non ?
- Pas plus qu’ailleurs, il y a toujours un certain pourcentage de gens qui ne sont là que pour satisfaire un voyeurisme latent, mais cela répond en quelque sorte à l’exhibitionnisme d’autres. A l’arrivée, tout le monde y trouve son compte, je crois. Le regard des autres n’est jamais pesant, sur une plage naturiste, le regard sur la nudité c’est celui que vous avez dans un musée sur une statue Grecque. Vous avez déjà fait en France l’expérience de ce type de plage ?
- Non pas vraiment, j’ai parfois enlevé mon soutif quand il n’y avait personne à l’horizon, mais ça s’arrête là.
- Vous ne savez pas ce que vous perdez, et la richesse des sensations que l’on peut avoir en se baignant nue
- Je ne crois pas que quelques centimètres carrés de tissus puisse changer quelque chose à l’affaire… »
Là c’est mon mari qui intervient, il a sans doute imaginé tout à coup sa chère et tendre à poil devant un parterre d’apollons.
« Détrompez-vous mon cher, vos études sont encore récentes vous avez bien quelques souvenir de la représentation du corps proportionnelle à la densité des terminaisons nerveuses sensibles, avec le schéma corporel qui est là pour rétablir l’ordre… Vous souvenez vous des zones les plus riches en terminaisons ?
- Je ne souviens pas vraiment…Le visage…
- Bien avant cela les seins, le clitoris, les grandes et petites lèvres le pénis chez l’homme, toutes zones qui sont bien cachées habituellement sous la toile. Il faut absolument que vous vous convertissiez au naturisme. On vous aurait bien accompagné demain mais nous avons une excursion programmée pour Marie Galante et ensuite après-demain ce sera notre dernière journée, nous l’avons déjà programmée aussi. D’ailleurs ma chérie nous ferions peut être bien de dire bonsoir à nos amis car je te rappelle qu’on prend le premier bateau demain matin
- Aïe ! Ça va être dur ! Alors bonsoir vous deux, rêvez à vos deux corps nus au bord de l’eau.
- Ouf ! Débarrassés, Vous pourriez quand même discuter d’autre chose que de boutique quand vous êtes en vacances !
- Désolé, tu me pardonnes ?
- Uniquement si tu m’emmène sur cette plage demain
- Tu es folle ! J’espère que tu ne parles pas sérieusement !
- Non seulement je suis sérieuse, mais je suis tout à fait capable d’y aller seule si tu es réticent.
- … Ok mais si on constate qu’il n’y a qu’un ramassis de voyeur de tout poil on rentre !
- De tout poil ! Comme tu y vas, certaines seront peut-être rasées qui sait ? »
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Le site était extraordinaire, très sauvage. On traversait pour y accéder une zone de buissons épineux très dense que le sentier pénétrait, on débouchait ensuite sur une sorte de prairie d’herbe rase et maigre qui dominait la côte. De là partaient différents sentiers en direction d’une baie de sable corallien. Au large, de petits ilots semblaient fermer la baie qui l’était en fait par une barrière de corail plus lointaine, qu’on pouvait deviner au ressac des vagues.
« Tu viens, on passe par là ? »
Il se dirigeait vers le sentier le plus à droite qui nous amènerait nécessairement à la limite droite de la plage…Il n’exposerait ainsi que la moitié de sa moitié…C’était de bonne guerre. L’hôtel nous avait fourni une glacière qui contenait notre ravitaillement et de quoi nous rafraichir ce qui serait indispensable car cela cognait déjà fort. Nous nous sommes installés dans une des rares zones qui mêlait au soleil l’ombre d’un raisinier. Nos plus proches voisins étaient à plus de 20m ce qui convenait parfaitement à mon mari. J’étais pour ma part un peu déçue mais bon, c’était un début ! Je me suis mise nue sans plus attendre et sans hésiter, pour tenter de l’amener à penser que la situation était somme toute naturelle…
En fait, il jetait des regards inquiets vers le sentier qui continuait à déverser son lot de vacanciers et d’autochtones. Il faut dire que je m’étais surpassée, et que je devais être tout à fait craquante. Trois jours de bronzage intensif m’avaient doré juste ce qu’il fallait pour que mes seins et mon pubis encore blancs soulignent ma nudité et attirent le regard. J’avais soigneusement épilé mes lèvres et taillé ma toison de façon à prolonger le dessin de ma fente intime…Cra-quante je vous dis !
La situation changeait, c’était un puis deux puis quatre individus mâles bien sûr qui s’étaient allongés à quelques pas de notre serviette, heureusement c’est un couple qui finalement s’était installés au plus près, car un type à deux mètres de sa nana à poil, je pense qu’il aurait crisé grave, mon Paul. Enfin, la black est superbe avec de longues jambes fuselées et un cul à damner un moine. Il n’y a qu’elles pour avoir des culs pareils. Cela va peut-être dérider mon Paul
« On va se baigner ? »
Je m’étais redressée et j’avais l’impression d’assister à cette scène dans les documentaires animaliers, où soudain à l’approche d’un prédateur, toutes les têtes des petits mammifères qui guettaient dressés au seuil de leur terrier se tournent soudain. Putain ! Pas pesant le regard elle avait dit la dame…parle pour elle peut-être. Là-dessus mon Paul m’entraîne vite dans l’eau. Mon dieu que c’est bon, à chaque brasse, je sens la fraicheur de l’eau pénétrer entre mes lèvres intimes, la caresse du flot sur mes seins me comble qu’est-ce que j’ai pu être conne de ne pas essayer ça avant.
« C’est chouette non ? »
Il acquiesce vaguement, je m’approche sournoisement de lui, je me sens si excitée que j’ai envie de le caresser, son sexe est gonflé mais pas vraiment bandé. La situation doit quand même un peu l’émoustiller
« Arrête je vais être dans quel état pour sortir de l’eau ! »
Là il a raison, il est vrai que les femmes sont avantagée à cet égard, je vais sortir de l’eau avec les tétons assez pointus pour laisser une empreinte dans le sable et on mettra ça sur le compte de la fraîcheur de l’eau. Quand à mes petites lèvres que je sens gonflées et débordantes de jus elles sont suffisamment bien cachées pour que personne ne remarque mon état.
Pour calmer Paul je m’allonge sur le ventre et offre le bombé de mes petites fesses au soleil et à mes admirateurs.
Quel cagnard ! Même dans cette mi ombre, le soleil maintenant au zénith est terrible.
« Tu veux boire ? »
Enfin une parole censée. Sans prendre garde, je me suis instinctivement mise en tailleur pour siroter mon soda, je sens mon sexe s’ouvrir largement pour profiter de la faible brise marine. Il y en a un autre qui profite, c’est un jeune ado, beau comme un diable qui passe et repasse dans l’eau à trois pas de moi. Trop occupé à fourrager dans la glacière Paul n’a encore rien vu du manège. J’en rajoute avec insolence en écartant les cuisses un peu plus tout en levant les yeux au ciel comme si j’y attendais un improbable nuage
« Tu pourrais faire gaffe quand même ! »
Je me fends d’un « quoi » pour lequel on me donnerait le bon dieu sans confession
« Le petit jeune qui te mate…
- Tu crois ?
- J’en suis certain même. »
Sur ce, je me rallonge côté pile, ça refroidit mieux. Je sens en sus une chaleur intérieure terrible qui n’a rien à voir avec le soleil. Il me semble qu’il me suffirait d’une petite caresse de rien du tout pour que ma jouissance explose. Il faut que je me calme.
« Je retourne nager, je vais essayer de nager jusqu’à l’ilot là-bas tu viens ?
- Non, je suis bien là. »
Je prends conscience que notre voisine, la superbe black, pour échapper sans doute au regard de notre jeune voyeur, s’est tournée à 90°, offrant l’intérieur de ses cuisses largement ouvertes au regard de Paul. Je distingue nettement le rose de son intimité qui fait très érotiquement contraste avec le noir des petites lèvres entre ouvertes.
« Notre voisine y est pour quelque chose ? »
Je lui ai glissé cela perfidement dans l’oreille avant de plonger, il ne faudrait quand même pas qu’il me prenne pour une idiote! Je souris de ma duplicité tout en offrant mon corps consentant à la mer. Rapidement, je prends conscience que le traversée ne sera pas si facile. Je nage bien, mais je manque d’entrainement et la barrière de corail, tout en cassant le plus gros des vagues, les laisse quand même pénétrer, et cette houle hachée me fait boire plusieurs tasses d’une eau qui est aussi beaucoup plus fraiche qu’en bord de plage. C’est à la limite de mes forces que j’approche de l’ilot rocheux. De la plage, il me semblait facile d’accès, mais étant sur place, il semble en fait difficile de s’y accrocher d’autant qu’une multitude d’oursins m’empêchent de prendre pied.
« Par ici m’dame… »
Tiens, quelqu’un d’autre a eu la même idée, la voix est jeune presque enfantine.
Je contourne l’ilot pour découvrir une dizaine de jeunes entre dix et quinze ans, me semble-t-il. De ce côté, l’accès est facile. Au moment de sortir de l’eau, prenant soudain conscience de ma nudité, j’ai une hésitation.
« Venez-vous réchauffer, vous avez la chair de poule. »
De toute façon ; ce sont des mômes ; ils ne vont pas me manger. Par ailleurs ; je me sens incapable de repartir tout de suite dans l’autre sens.
C’est vrai que la surface du rocher, lissée par l’érosion est chaude, en peu de temps je me sens renaître.
« T’es belle madame ! »
Il a dit cela tout en caressant ma cuisse comme pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Je suis désarmée car le geste spontané, tout en appelant une réaction vive de ma part est aussi touchant d’ingénuité. Je repousse sa main, mais ma réaction différée de quelques secondes a suffit aux autres pour suivre l’initiative, et bientôt mon corps est palpé tripoté de partout. Yeux clos, je me débats comme je peux, mais je suis submergée par le nombre. Il faut peu de temps encore, et je sens des doigts qui s’introduisent en moi. Je me sens mouillée, hérissée à l’intérieur, gonflée par mon désir différé.
Le plus âgé qui a senti mon abandon, m’enjambe et écarte délicatement mes cuisses, me sachant vaincue. Il me fouille le sexe avec sa langue, tournant la tête de côté, ma bouche effleure un sexe, mais la situation doit être si excitante pour ce môme qu’il éjacule sur l’instant, un second prend sa place et me tiens la tête pour m’enfourner sa queue dans la bouche lubrifiée par le foutre du précédent. J’ai à peine le temps d’accepter cette intrusion que je sens mon sexe pénétré sans ménagement par un sexe imposant. Mon dieu comment peut-on avoir un pareil sexe à quinze ans ? Rapidement, je sens une jouissance terrible m’envahir, je m’ouvre et sous moi, c’est comme si c’était le rocher qu’il voulait pénétrer, je me sens épinglée comme un insecte mais comblée, assouvie.
Sans compter ces autres sexes bandés qui me côtoient, ces mains qui me touchent, me baisent me malaxe. Un second entre en moi, puis un troisième, tandis qu’un doigt farfouille mon anus. Je multiplie les orgasmes, je pense qu’avant cela je n’avais jamais vraiment joui. Je ne compte plus, j’ai l’impression de m’évanouir.
« Et si on la retournait pour la prendre par derrière ?
- Moi d’abord !
« Non, je l’ai dit le premier ! »
Les voix me parviennent en écho, je suis sonnée, mais une partie de mon cerveau réalise les dernières phrases du dialogue, la sodomie est pas vraiment mon truc, et j’ai eu ma dose, je crois. J’ouvre les yeux pour découvrir une mêlée de ces jeunes mâles se battant pour moi. Le rebord est à un pas, je plonge l’eau fraîche me réveille définitivement et cette fois pas question de brasse, je sors mon meilleur crawl. J’entends quelques plongeons derrière moi, et la décharge d’adrénaline qui en résulte me fait battre tous mes records. Je les ai distancés et je peux reprendre une brasse plus tranquille.
« u as été vachement longue…
- J’étais crevée en arrivant sur l’ilot, je me suis allongée pour reprendre mes forces et je crois que je me suis assoupie. J’ai faim ! »
En fait je suis affamée, mais j’ai aussi besoin de me calmer, je me sens tremblante de partout. J’ai besoin d’un temps de repos pour tenter de réaliser ce qui m’est arrivé. Je me jette sur la serviette pour profiter de la chaleur accumulée. Comment ai-je pu me laisser faire ? C’est comme si mon corps avait pris son indépendance, et que ma tête avait abdiquée.
« Tu nous prépare les sandwichs ? »
En dévorant, je réalise qu’il y a foule autour de nous. C’est l’inconvénient du joli petit coin d’ombre : A l’heure de midi, toute la population de la plage s’y est concentrée. En tendant un peu le bras, je pourrais facilement saisir le sexe de trois de mes plus proches voisins. Cette seule pensée suffit à ranimer dans mon bas-ventre un incendie que je croyais pourtant avoir tout fait pour étouffer. Mon Paul transpire, et la chaleur n’explique pas tout. Bientôt, on nous offre le café, puis du rhum au fond de la tasse encore chaude. Cela m’achève, je suis vannée je crois que je vais m’endormir pour de bon.
Je suis réveillée par la fraîcheur des alizées qui se sont levés. Le soleil est nettement plus bas. Je me trompe ou c’est mon Paul qui discute comme cul et chemise (si on peut dire dans cette situation) avec la jolie black dont le mari a mystérieusement disparu.
« On rentre ?
- Tu as fait un joli somme dis donc !
- Je crois que ma nage de ce matin m’a épuisée. Il va falloir que je m’entraîne ! »
Par bravade j’enfile ma robe en omettant ma culote qui file dans mon sac. Le manège n’a pas échappé à Paul qui me met la main aux fesses plusieurs fois sur le chemin du retour. Je vais feindre d’ignorer dans cet excès soudain de libido la part qui est due au joli trou rosé de la black.
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« On retourne sur notre plage ? Ça a l’air de te réussir on dirait. »
Je ne sens pas chez lui un enthousiasme délirant, mais au moins il n’a pas dit non. Il est vrai que pour une fois cette nuit j’ai pris mon pied sans avoir besoin de faire appel à mes fantasmes, et j’ai senti que lui aussi y trouvait son compte. Je ne suis pas pour autant repue. Maintenant qu’on a éveillé en moi ce désir sexuel, j’ai l’impression d’un besoin permanent aussi puissant que la faim ou la soif. Si Paul savait, en me réveillant je suis partie sous la douche et je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser en pensant au sexe monstrueux de ce jeune ado.
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Paul :
La salope elle est sans doute en train de se caresser sous la douche en pensant aux scènes d’hier. Elle me prend vraiment pour un idiot. J’ai bien vu qu’il y avait des corps qui s’agitaient sur l’ilot et j’ai vite soupçonné le pire. Quand elle est rentrée, j’étais prêt à lui faire une scène mais il y avait au moins cinquante personnes autour de nous, ce n’était pas le moment. Ensuite, elle s’est endormie.
Pour me venger, j’ai bien essayé de séduire Isis, potentiellement consentante, mais elle m’a expliqué que son mari paraissait comme ça très libéral, mais que je devrais surveiller mes arrières jusqu'à mon retour en métropole si jamais on devait s’aventurer derrière les buissons (et donc si je devais m’aventurer derrière le sien…de buisson) Nous en sommes restés là, avec ce désir de l’autre qui montait en nous.
Ensuite ; Laure s’est réveillée, et sur le chemin du retour, j’ai tenté de lui parler, mais la savoir nue sous sa robe, avec ce désir inassouvi en moi, j’ai craqué, et plutôt que de lui faire une scène, j’ai passé la main sous sa jupe légère qui virevoltait comme un papillon.
J’ai eu le temps de sentir sous mes doigts cet abricot gonflé gorgé de jus. Sans la crainte qu’on nous surprenne, je l’aurais prise là, sauvagement sur le chemin, sans même la honte de mêler ma semence à celle des autres, sans plus aucun amour propre. Ensuite la nuit pour boire ma honte jusqu'à la lie, son plaisir comme jamais, pour la première fois avec moi sans doute. Je ne sais pas jusqu’où j’irais, jusqu’où nous irons. Je ne sais même pas si un « nous » sera encore possible.
Comme hier l’anse des salines, il est encore tôt le parking est presque désert. Le chemin qui traverse les buissons, cette plaine avant la mer. Un groupe d’ados est là, le plus grand taillé comme un décathlonien est peut-être majeur, alors que le plus petit doit encore être en primaire. Il l’interpelle :
« Tu viens, il faut qu’on discute ! »
Laure reste là interdite comme si ses jambes soudain refusaient de la porter. Bientôt, il la prend par la main, elle suit comme hypnotisée. Je suis en plein cauchemar, je voudrais crier, mais une énorme boule dans la gorge m’empêche de le faire. Une angoisse terrible me terrasse à la pensée de ce qui va advenir, et que je ne me sens pas capable d’enrayer. Je suis le groupe, on s’éloigne du sentier et de la plage. Ils se dirigent en contrebas vers une terrasse isolée je les laisse et me dirige vers un surplomb qui me permettra d’observer. On pourrait croire à quelque cérémonie secrète : Laure est au centre avec son décathlonien, les enfants disposés en cercle autour d’eux. Il déboutonne délicatement un à un les boutons de sa robe mettant un genou à terre pour les plus bas.
C’est elle qui écartera les bretelles de son épaule faisant tomber la robe à ses pieds comme pour affirmer son consentement. Elle est bientôt devant lui juste parée d’un slip de dentelle blanc qu’il fera bientôt descendre le long de ses jambes. Ensuite, il se relève, la bascule comme une plume entre ses bras musclés, et l’allonge sur le sol. Elle le regarde alors, tandis qu’il se défait difficilement de son short, gêné par une monstrueuse érection. Comment un si petit corps peut-il engloutir un tel sexe ? Je vois Laure se tendre pour l’accueillir, impatiente. Le cercle des enfants s’est resserré autour d’eux, certains se sont déshabillés. Je ne distingue plus Laure, mais je l’entends gémir puis crier d’un cri qui ne saurait être celui de la souffrance…
Curieusement, je sens que je bande, même mon corps me trahi. Je ne suis plus un homme, je ne suis plus rien, la tête entre les mains, je pleure sur ma lâcheté, je pleure sur ma honte, je perds la notion du temps. Un cri, un vrai celui-là monte vers moi et me fait ouvrir les yeux. Le plus grand a repris la main, il a disposé Laure en levrette et… mon Dieu ! Il la sodomise ! Je peux le deviner à l’angle de ce sexe monstrueux par rapport à la croupe. Elle hurle sa douleur, mais dix corps la maintienne, cette fois, je cours vers eux. Le temps d’arriver, et je vois le corps de Laure qui se tend vers l’arrière pour s’empaler plus profondément. Les enfants se sont écartés à mon approche mais arborent un sourire narquois de vainqueurs. Le décathlonien sort enfin du corps de Laure, il me jette un regard dégouté, récupère son short et s’éloigne avec sa bande.
Laure s’est affalée vers l’avant, le visage entre les mains le cul encore levé au ciel dans une dernière provocation, du sperme s’écoule doucement et glisse de son anus entre les lèvres de son sexe. Son corps est encore agité de soubresauts je mets ma main sur sa nuque et lui caresse doucement les cheveux.
Nous passerons la journée sur la plage, mangeant, dormant sans échanger un seul mot. Abasourdi, anéanti par la scène que je viens de vivre, je n’aspire qu’à laisser passer le temps. Mon cerveau est incapable d’analyser ce qui s’était passé et que je m’interdis de revivre en pensée ces scènes.
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Laure :
Mon Dieu pour leur dernière soirée, ils vont remettre ça, ce n’est pas vrai ! S’ils s’étaient contentés de raconter leur virée à Marie Galante, comme cela avait commencé l’alcool aidant, j’aurais tenu le coup, mais hélas, c’est reparti pour la prothèse dentaire ! Pour un peu, je me mettrais bien à raconter ma matinée, mais j’ai peur de casser l’ambiance en leur expliquent que le matin même, j’avais une grosse bite noire plantée dans le cul, et que c’était foutrement mieux qu’un doigt dans la bouche. Je me demande encore quel genre de pantin j’ai épousé pour accepter de voir ce qu’il a vu et ensuite me caresser les cheveux en me disant ;« ca va ma chérie ? » Il ne s’agit pas maintenant de prendre son pied, mais bien de l’humilier jusqu'à ce qu’il rampe devant moi comme le dernier des lâches.
Je m’éloigne de leur conversation, la mer est à trente mètres, c’est suffisant pour que les lumières du bar m’éclairent encore. Loin à ma droite, un groupe de musiciens joue de la guitare. Je me débarrasse de ma robe et de mon slip, et j’entre nue dans l’eau noire. La sensation est divine. En m’apprêtant à sortir de l’eau, je vois que l’un des musiciens est sorti du groupe et s’approche de moi avec une serviette.
On ne peut rien dire devant une telle prévenance, si ce n’est accepter le baiser de cette bouche qui se tend vers vous, en quête de remerciement, sans doute. Bientôt, la serviette est au sol, et sa main me pétrit les fesses. A aucun moment je doute de la scène que nous offrons aux derniers consommateurs du bar. Savoir que mon mari est l’un d’entre eux m’excite d’autant plus qu’il devra affronter cette scène en présence d’autres spectateurs. Je me refuse à me laisser coucher trop vite sur le sable, voulant m’offrir en spectacle le plus longtemps possible.
Debout tendue vers l’arrière, et les seins pointés vers l’avant je laisse mon jeune amant activer sa langue avec adresse dans mon intimité humide et salée. J’ai sa tête entre les mains pour le guider et l’enfoncer au plus profond. Ensuite, couchée sur le sol, secouée par les orgasmes, je me demande encore si mes cris atteignent le bar.
En tout cas, ils ont atteint les autres musiciens du groupe qui se joignent à nous, ou plus exactement à moi. A un moment, l’un d’entre eux me retourne et je vois que le bar est désert. Une déception vite oubliée car l’un de mes amants me serrant vers lui, je sens un second sexe me pénétrer, et je sens bientôt ces deux sexes s’activer en moi, stimulant à l’excès les minces cloisons muqueuses qui les sépare. Encore une heure sur ce rythme, je ne sais combien de fois j’ai pu être prise et reprise. Nous finissons par nous endormir tous, mêlés et épuisés.
Le froid de l’aube me réveille, je suis seule, ma robe est un peu plus loin, mais pas ma culotte devenue trophée sans doute. Je me dirige vers l’hôtel. En entrant à la réception je vois Paul avec nos bagages.
« e ne savais pas si tu allais rentrer à temps. J’ai avancé notre retour, si tu n’étais pas rentrée j’aurais laissé tes bagages et ton billet à la réception.
- Je monte me doucher et me changer.
- Non on n’a pas le temps, tu sais bien qu’il faut être une heure en avance à l’aéroport. »
J’hésite le temps d’un instant, mais je ne vais pas non plus passer ma vie sur la plage à me faire tringler par le premier venu. Je monte donc docilement dans le taxi, non sans remarquer le regard du chauffeur lorsque j’ai accédé au siège un peu haut du 4x4. Finalement, nous seront en retard à l’aéroport et les bagages iront directement à l’enregistrement, exit le change donc. Je me retrouve avec les fesses à nu sur la feutrine des sièges, coincée au centre de la rangée du milieu entre un étudiant à ma droite et mon mari. La clim génère un froid de canard, et je suis obligée de réclamer une couverture supplémentaire à l’hôtesse.
Nous volons depuis plus d’une demie heure lorsque sous les couvertures, réchauffée, je m’assoupie enfin. Pas pour longtemps car je sens sur ma droite une main exploratrice qui frôle ma cuisse, s’y attarde et qui devant mon manque de réaction, se dirige vers ma toison pour découvrir, oh surprise, l’absence de toute barrière ! Un doigt s’insinue bientôt dans mon sexe encore poisseux de mes excès de la nuit, et je ne me surprends même plus à ouvrir plus les jambes pour lui faciliter la tâche. Ce faisant, ma jambe vient cogner celle de mon mari, qui va prendre cela pour une invitation à la réconciliation.
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Paul :
Comment lui résister ? Tout ira bien à Paris, j’ai pris la bonne décision en avançant notre vol de retour. Il fallait la séparer brutalement de ce lieu. C’est fini cette folie, je la sens raisonnable, vulnérable sous ses couvertures. Sa jambe vient heurter la mienne, cela ne peut pas être un hasard. Elle cherche mon pardon sans doute. Ma main se faufile entre le siège et les couvertures à la rencontre de sa cuisse que j’escalade jusqu’au bombé de son pubis. Je redescends pour rencontrer sa main. Elle se masturbait sans doute en douce, et sa jambe contre ma cuisse est sans doute un appel à participer, ce qui m’excite au plus haut point. Nos doigts entremêlés se croisent dans un liquide épais et chaud.
Dans un soupir, elle laisse retomber une des couvertures sur ses genoux et je découvre, horrifié, ses deux mains croisées sur la couverture du dessous…
Signé : JJ
- Commentaires textes : Écrire
La punition
Seize heures, l’heure du goûter, les enfants sont tous alignés le long du mur du réfectoire. La cloche vient de sonner, et la directrice de la colonie de vacances ne va pas tarder à arriver. Un bruit de porte se fit entendre, mais ce fut l’assistante de direction qui fit son entrée, une jolie brunette avec des yeux d’un gris bleu fantastique, un regard et une démarche féline, on dirait une panthère. Elle me regarda et me dit doucement à l’oreille :
« La directrice te demande.
- Que me veut-elle ? répondis-je.
- Je ne sais pas, mais ça va barder : »
Je filai sans plus attendre, et au moment de frapper à la porte, une voix sèche et autoritaire se fit entendre :
« ENTRE ET FERME LA PORTE DERRIERE TOI !!!!!!!!!! »
J’obéis sans discuter.
Je me retrouvai planté devant la plus belle directrice de colonie qu’il m’ait été donné de servir, c’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle je reviens ici tous les étés. Elle me criait dessus, mais je n’entendais rien, subjugué pas sa tenue en cuir de ce jour. Une jupette stricte et droite s’arrêtant au-dessus de la mi-cuisse, qui laissait entrevoir le haut de ses bas noirs et brillants.
Elle se retourna pour passer tirer les volets de sa fenêtre et passa devant son bureau. Son visage était rougi par la colère, elle s’assit sur le coin de son bureau et laissa apparaitre son intimité, fraichement rasé. Son bustier cuir et chrome, lui enserrait la taille et faisait ressortir ses doux seins enserrés dans un soutien-gorge blanc.
Son visage parcouru pas la rage, ses sourcils froncés et son regard noir me rappelèrent qu’elle était en train de me crier dessus.
Tout ce que j’entendis, ce fut :
« A POIL DANS LE SAUNA ET MAINTENANT !!! »
Elle me poussa vers le dit lieu et m’ordonna de me déshabiller. Elle me regarda faire et me poussa à l’intérieur. J’étais nu comme un ver, et son regard se fit intéressé, le cuir de sa tenue se mit à perler comme mon corps perlait de sueur.
En plus de la chaleur de la pièce, je sentis monter une chaleur intérieure, à moins que ce ne soit celle de la directrice qui se mit elle aussi dans le plus simple appareil. La colère avait disparu, et laissait place au désir. Ses mains essuyèrent quelques gouttes sur mon torse, je posai mes mains sur ses épaules, et posa un baiser maladroit sur son cou.
Elle me repoussa violemment sur le banc en bois brulant. Elle posa sa jupe sur le banc en face de moi, et s’assit, releva une jambe. Son regard en dit long. Sortant de ma stupeur, je me mis à genoux devant sa cathédrale de saint-plaisir et posai mes lèvres.
Un sexe doux et parfumé, je le parcourus de ma langue, elle était humide et légèrement salée à cause de la chaleur du sauna. Elle s’allongea et me dit
« Vas-y, c’est ta punition, fais moi jouir !! »
Je pris ses fesses à pleines main, plongeai ma langue en elle, puis ressortis sur son clitoris, elle se raidit, j’avais trouvé là son détonateur à jouissance. Je faisais rouler sa petite bille sous ma langue, la titilla de mon nez. A chaque mouvement de ma tête ma directrice gémissait, soufflait, se tortillait. Ma langue allait et venait entre son anus et son clitoris, son souffle se faisait court, mais ce n’était pas dû à la chaleur du sauna. Elle se mit à hurler :
« NON, NON, ARRETE !!!! »
Elle me serra la tête entre ses cuisses, je sens ses ongles se planter dans mon cuir chevelu, puis se relâcha. Elle était « partie », j’avais réussi.
Se remettant de ses émotions, la directrice de colonie se releva, me regarda. J’étais tout excité, la verge tendue vers le plafond, gorgée de sang, prête à servir. Elle me regarda, et me dit d’un ton sadique :
« C’est moi qui commande, tu es viré ! »
Je ne savais pas ce qui m’était reproché, mais je m’en moquais, j’avais enfin pu gouter au fruit défendu de ma directrice préférée, la patronne de mes fantasmes, la déesse de mes envies. Ma muse s’était rhabillée et sortit de la pièce. Son mari qui l’attendait à la porte me fit un sourire complice et lui emboita le pas.
Je ne sentais plus la chaleur, encore sur mon nuage. Relevant les yeux, je vis une paire de jambes fines et gracieuses, des hanches douces et un regard de fauve. L’assistante était là, me fixant avec envie, mon corps offert lui plaisait-il ? Elle poussa la porte derrière elle et commença à défaire les lacets de son corsage.
A ce moment, je me dis que j’étais un veinard d’être puni deux fois dans la même journée, même si je ne sais toujours pas pourquoi...
Maxx
La punition
Seize heures, l’heure du goûter, les enfants sont tous alignés le long du mur du réfectoire. La cloche vient de sonner, et la directrice de la colonie de vacances ne va pas tarder à arriver. Un bruit de porte se fit entendre, mais ce fut l’assistante de direction qui fit son entrée, une jolie brunette avec des yeux d’un gris bleu fantastique, un regard et une démarche féline, on dirait une panthère. Elle me regarda et me dit doucement à l’oreille :
« La directrice te demande.
- Que me veut-elle ? répondis-je.
- Je ne sais pas, mais ça va barder : »
Je filai sans plus attendre, et au moment de frapper à la porte, une voix sèche et autoritaire se fit entendre :
« ENTRE ET FERME LA PORTE DERRIERE TOI !!!!!!!!!! »
J’obéis sans discuter.
Je me retrouvai planté devant la plus belle directrice de colonie qu’il m’ait été donné de servir, c’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle je reviens ici tous les étés. Elle me criait dessus, mais je n’entendais rien, subjugué pas sa tenue en cuir de ce jour. Une jupette stricte et droite s’arrêtant au-dessus de la mi-cuisse, qui laissait entrevoir le haut de ses bas noirs et brillants.
Elle se retourna pour passer tirer les volets de sa fenêtre et passa devant son bureau. Son visage était rougi par la colère, elle s’assit sur le coin de son bureau et laissa apparaitre son intimité, fraichement rasé. Son bustier cuir et chrome, lui enserrait la taille et faisait ressortir ses doux seins enserrés dans un soutien-gorge blanc.
Son visage parcouru pas la rage, ses sourcils froncés et son regard noir me rappelèrent qu’elle était en train de me crier dessus.
Tout ce que j’entendis, ce fut :
« A POIL DANS LE SAUNA ET MAINTENANT !!! »
Elle me poussa vers le dit lieu et m’ordonna de me déshabiller. Elle me regarda faire et me poussa à l’intérieur. J’étais nu comme un ver, et son regard se fit intéressé, le cuir de sa tenue se mit à perler comme mon corps perlait de sueur.
En plus de la chaleur de la pièce, je sentis monter une chaleur intérieure, à moins que ce ne soit celle de la directrice qui se mit elle aussi dans le plus simple appareil. La colère avait disparu, et laissait place au désir. Ses mains essuyèrent quelques gouttes sur mon torse, je posai mes mains sur ses épaules, et posa un baiser maladroit sur son cou.
Elle me repoussa violemment sur le banc en bois brulant. Elle posa sa jupe sur le banc en face de moi, et s’assit, releva une jambe. Son regard en dit long. Sortant de ma stupeur, je me mis à genoux devant sa cathédrale de saint-plaisir et posai mes lèvres.
Un sexe doux et parfumé, je le parcourus de ma langue, elle était humide et légèrement salée à cause de la chaleur du sauna. Elle s’allongea et me dit
« Vas-y, c’est ta punition, fais moi jouir !! »
Je pris ses fesses à pleines main, plongeai ma langue en elle, puis ressortis sur son clitoris, elle se raidit, j’avais trouvé là son détonateur à jouissance. Je faisais rouler sa petite bille sous ma langue, la titilla de mon nez. A chaque mouvement de ma tête ma directrice gémissait, soufflait, se tortillait. Ma langue allait et venait entre son anus et son clitoris, son souffle se faisait court, mais ce n’était pas dû à la chaleur du sauna. Elle se mit à hurler :
« NON, NON, ARRETE !!!! »
Elle me serra la tête entre ses cuisses, je sens ses ongles se planter dans mon cuir chevelu, puis se relâcha. Elle était « partie », j’avais réussi.
Se remettant de ses émotions, la directrice de colonie se releva, me regarda. J’étais tout excité, la verge tendue vers le plafond, gorgée de sang, prête à servir. Elle me regarda, et me dit d’un ton sadique :
« C’est moi qui commande, tu es viré ! »
Je ne savais pas ce qui m’était reproché, mais je m’en moquais, j’avais enfin pu gouter au fruit défendu de ma directrice préférée, la patronne de mes fantasmes, la déesse de mes envies. Ma muse s’était rhabillée et sortit de la pièce. Son mari qui l’attendait à la porte me fit un sourire complice et lui emboita le pas.
Je ne sentais plus la chaleur, encore sur mon nuage. Relevant les yeux, je vis une paire de jambes fines et gracieuses, des hanches douces et un regard de fauve. L’assistante était là, me fixant avec envie, mon corps offert lui plaisait-il ? Elle poussa la porte derrière elle et commença à défaire les lacets de son corsage.
A ce moment, je me dis que j’étais un veinard d’être puni deux fois dans la même journée, même si je ne sais toujours pas pourquoi...
Firtz
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Quand une épouse bien sage se laisse aller...
... Voici le genre de soirée que cela peut donner !!
En arrivant chez nous, ce soir, je découvre Pierre, mon mari, au salon avec un autre homme qu'il me présente comme Alain, un vieux collègue de lycée.
À l'invitation de mon chéri, je trinque avec eux avant de filer prendre une douche. Après quelques minutes, mon chéri entre dans la salle d'eau, entrouvre la cabine et me dit :
« Fais-toi belle, Alain nous invite au restau ! »
Moi qui pensais passer une soirée calme après cette semaine de boulot éprouvante, j'en suis pour mes frais ! Enfin, je ne tiens pas à jouer les rabat-joie. Je me prépare donc, me maquille très légèrement et m'habille. Nous somme en plein mois d'août et mon choix se porte sur une robe légère avec, en-dessous, une parure claire elle aussi très légère.
De retour au salon, Alain lance un regard perçant dans ma direction tout en s'exclamant :
« Chère Catherine, vous êtes magnifique ! »
Je ne peux m'empêcher de trouver sa façon de me regarder troublante. J'ai l'impression d'être littéralement déshabillée et cela me met quelque peu mal à l'aise. Je ne laisse rien transparaitre, ne voulant pas gâcher le plaisir de ces retrouvailles à mon mari.
Alain, après s'être assuré que nous aimions la nourriture asiatique, nous amène dans un établissement dans lequel il semble avoir ses habitudes.
Le repas se passe très agréablement et, peu à peu, mon malaise se dissipe, Alain se révélant un convive fort agréable, plein d'humour et très cultivé.
Nous quittons le restaurant et Alain propose de poursuivre la soirée dans un endroit « tranquille et discret » qu'il connaît bien. Bien qu'un peu fatiguée, et toujours pour faire plaisir à Pierre, j'accepte et, après une dizaine de minutes, nous sommes installés dans ce qui semble être un petit salon privé, dans une espèce de pub, il est vrai très discret. Nos dégustons un café puis, pour remercier son ami, Pierre offre le digestif.
Ce nouveau verre, après un apéritif et les trois verres de vin en mangeant, me met dans un état presque second, doucement euphorique. Aussi, quand mon chéri pose une main sur ma cuisse et qu'il remonte doucement le tissu de ma robe, dévoilant ma chair, je ne proteste pour ainsi dire pas, me contentant d'un « Mais que fais-tu ? » qui l'encourage plus à poursuivre qu'il ne l'en dissuade !
Alain a bien entendu les yeux rivés sur moi et cette sensation d'être déshabillée du regard revient, plus forte encore que tout à l'heure.
Étrangement pourtant, cela ne me met plus mal à l'aise mais me procure plutôt une certaine excitation.
Quand Pierre, profitant qu'Alain se soit absenté, me propose de l'inviter à terminer la soirée chez nous, avec une bouteille de Champagne, je lui souris largement, toute fatigue envolée.
Nous voici donc chez nous, Pierre et moi dans le canapé, notre invité face à nous dans le fauteuil. Bien sûr, à peine assis, mon mari a reposé sa main sur moi et repris ses caresses, parvenant à remonter très haut ma robe, dévoilant mon sous-vêtement, sans que je lui oppose une quelconque résistance. Notre conversation est entrecoupée de longs blancs, comme si chacun de nous trois attendait que la situation évolue sans vouloir en prendre l'initiative. Pierre se lève pour aller aux toilettes et à peine a t-il quitté la pièce qu'Alain me dit, m'ordonne devrais-je même dire :
« Écarte un peu plus les jambes que je vois ton slip ! »
Il y a trois heures, cette phrase lui aurait valu une vigoureuse paire de baffes ! Pourtant, maintenant, je le regarde, souris et lentement, écarte les cuisses, lui dévoilant mon léger slip blanc. Cette vision semble lui plaire si j'en juge la bosse qui déforme son pantalon.
« Mon ami en a de la chance d'avoir une coquine comme toi. Je suis sûr que ça t'excite de te montrer ainsi, je me trompe ?
- Non.
- Viens ici ! »
Comme un automate, je le rejoins. Il me prend le bras, me fait asseoir, sans douceur, sur ses genoux et sa main remplace celle de Pierre sur ma cuisse. Mon chéri revient et nous découvre ainsi, moi la robe largement retroussée, la main de son ami presque sur mon sexe. Il nous regarde, un sourire aux lèvres, puis s'installe dans le canapé et dit :
« Je vois que le courant passe entre vous deux !
- Ne m'en veux pas mon chéri... je ne sais pas ce qui m'a pris... j'ai du boire un peu trop... »
Je tente de me relever mais Alain me maintient fermement.
« Ne bouge pas ! Ton mari et moi allons te donner tout le plaisir que mérite une jolie femme comme toi. »
Serait-ce un piège ? Mon mari en serait-il complice ? Un instant, le doute s'insinue en moi. Je me rappelle quelques discussions pendant lesquelles Pierre évoquait ce genre de rapport à trois. Mais non ! Il n'aurait pas osé ? Sans m'en parler auparavant ?
Pendant que je me faisais des nœuds au cerveau, Alain n'a pas perdu de temps et ses doigts flattent maintenant ma fente dont je dois bien reconnaitre l'état d'humidité avancé. Et après tout ? Puisque mon mari est consentant, pourquoi de pas en profiter ?
J'écarte donc largement les jambes, offrant sans retenue ma chatte aux doigts curieux de son ami qui, sentant toutes les barrières levées, se faufile sous mon sous-vêtement pour me caresser à même la peau, d'une façon fort agréable d'ailleurs. Mon chéri ne nous quitte pas des yeux et son pantalon présente la même déformation que celui d'Alain. D'un signe, je l'invite à s'approcher et fais rapidement glisser vêtement et caleçon, dévoilant son sexe fièrement dressé. Je le caresse un peu puis, me penchant, embrasse le gland, flatte la hampe, tirant de légers soupirs d'aise à mon chéri.
« Oh, elle a l'air d'aimer ça, pomper un dard ! Une vraie bouffeuse de queues ! »
D'ordinaire, ce genre de langage m'insupporte. Ce soir, pourtant, entendre un quasi inconnu parler de moi comme ça m'excite. Alain semble s'en rendre compte d'ailleurs car ses doigts s'enfoncent un peu plus loin encore en moi.
« Putain, elle est trempée ! T'aimes ça qu'on te traite comme une pute, pas vrai ?
- Hum... parviens-je à murmurer.
- Lâche ton homme et dis-moi qu't'aimes ça !
- Oui j'aime... comme j'aime que tu me fouilles la chatte ! »
Je ne me reconnais plus ! Moi, l'épouse si sage, pas oie blanche, certes, mais plutôt réservée, peu expansive quand je fais l'amour avec mon mari. Me voici me conduisant comme une fille des rues, employant des mots que je n'ai jamais osé prononcer !
Je reprends la queue de Pierre entre les lèvres mais Alain après quelques minutes, m'oblige à la lâcher une nouvelle fois. Il me fait mettre debout et me débarrasse rapidement de mes vêtements. Pour la première fois depuis mon mariage, je suis nue, offerte aux yeux plus que gourmands d'un autre que mon époux.
Ses mains parcourent mon corps, soupèsent mes seins, caressent mon ventre.
« T'es vraiment canon toi ! Tourne-toi que j'admire ton popotin ! »
Docile, je m'exécute. Ses mains se posent sur mes fesses, les caressent, les malaxent sans ménagement.
« Super ton cul ! On en mangerait ! Penche-toi ! »
Il dépose deux baisers bien sonores puis d'un doigt, parcourt ma raie, s'attarde sur mon petit œillet, en teste la résistance en appuyant légèrement.
« T'aime te faire enculer ?
- Non pas trop...
- Tu ne sais pas ce qui est bon... je suis sûr que tu vas adorer ! »
Ben tiens donc ! Monsieur a l'intention de me prendre le cul sans que j'y consente ! Je devrais me fâcher, me rebeller, pourtant, rien de tout ça et, sous les yeux de mon mari, je laisse Alain poursuivre son exploration de mon intimité la plus secrète. Pire encore ! Quand son doigt force la passage et s'enfonce en moi, je ne retiens pas un gémissement, léger certes mais suffisant pour lui indiquer que je ne déteste pas cette initiative. Ce macho ne laisse pas passer cette occasion !
« Hé hé... je savais que t'apprécierais un doigt dans le cul ! «
Il le fait aller et venir quelques instants puis cesse toute caresse, se lève et je devine, au bruit, qu'il se met à son tour nu. Il se rassied et dit :
« À mon tour de goûter tes talents de suceuse ! »
Je m'agenouille entre ses cuisses et caresse son sexe. Il ressemble à celui de Pierre ; peut-être juste un peu plus long. Je donne de petits coups de langue sur le gland, la hampe, descend embrasser les couilles puis remonte en le léchant comme s'il s'agissait d'un bâtonnet de glace. Enfin, j'ouvre les lèvres et, le plus lentement possible, le fait coulisser, me faisant un devoir de le prendre le plus loin possible, ce qu'il semble apprécier.
« Oh la vache ! Qu'est-ce que t'es bonne ! Vas-y ma belle ! Avale-la bien ! Ouiii... comme ça ! »
Je m'emploie à lui offrir la plus gourmande des fellations, je veux qu'il se souvienne de moi longtemps, qu'il bande rien qu'en y repensant !
Mais qu'est-ce qui me prend d'avoir de telles pensées ? Faut-il que je sois ivre... ou excitée !! Peu importe ! Pour l'instant, seul compte le plaisir que je prends à déguster cette barre de chair et il est loin d'être négligeable ! D'autant plus fort quand mon petit mari chéri se met en tête de caresser mon petit coquillage. Il me fait écarter les jambes, et me doigte allègrement, s'enfonçant entre mes chairs, agaçant mon bouton. Jamais encore je n'ai été dans un tel état d'excitation !
Je le suce ainsi que longues minutes puis ose une caresse en direction de ses fesses. Il ne se dérobe pas, bien au contraire, et avertit mon mari de mon initiative :
« Oh la garce, elle me doigte le cul ! Vas-y ma cochonne ! »
Il relève les cuisses, m'offrant son cul puis me lance :
« Allez ! Goûte mon cul ! Lèche mon trou de balle ! »
Jamais je ne me serais crue capable de ça et pourtant ! Je lâche sa bitte et pose ma bouche sur son œillet que j'embrasse sans dégoût. J'en force même l'entrée avec le bout de ma langue, lui tirant des gémissements qui m'indiquent combien il apprécie la chose !
« Oh petite cochonne, comme c'est bon ! Hum... oui... enfonce bien ta langue... »
Tout en lui bouffant le cul, je le branle et lui masse les couilles. Je sens, aux frémissements de sa tige, qu'il n'est pas loin de rendre les armes. Ce qu'il me confirme dans son langage toujours aussi poétique :
« Ah, oui ! Oh salope ! Tu vas me faire juter ! Reprends ma bitte que je t'arrose les amygdales ! Hum... putain ! T'es trop bonne ! Tu vas voir la rincée que je vais t'offrir ! Ah ! Oui ! Ça vient ! »
Effectivement, contre mon palais, sa queue est agitée de soubresauts annonciateurs de son plaisir imminent. Un premier jet jaillit, puissant, suivi de quelques autres. Son éjaculation est importante et je dois faire un effort pour tout avaler. Moi qui, d'ordinaire, n'apprécie que fort peu de recevoir le plaisir de Pierre dans ma bouche, je me surprends à apprécier ce foutre qui tapisse ma bouche et, tant par bravade que par plaisir, je me fais fort de ne pas en laisser échapper la moindre goutte.
La source se tarit et le membre, lentement, perd de sa raideur. je le relâche et, avec une moue coquine, vient offrir un baiser à mon amant.
« Il y a des lustres qu'on ne m'avait pas sucé ainsi ! Tu es la reine des suceuses !!
- Avec un chibre comme le tien, je n'ai pas eu à forcer mon talent, tu sais !
- Pendant que je reprends des forces, occupe-toi donc de Pierre ! Je suis sûr que tu as encore soif de jute ! »
Comme s'il n'attendait que cela, mon chéri se présente face à moi et je m'empresse de l'avaler pour lui donner sa dose de plaisir.
« Caresse-lui le cul aussi ! Pierre, mon cher, ta femme t'as déjà bouffé le petit trou ?
- Non... je m'en souviendrais !
- Allez Catherine ! Mange-lui le fion ! »
Mon mari se tourne, prend appui sur le canapé et se penche, m'offrant sa raie que je lèche à grands coups de langue avant de m'attarder sur son petit œillet sombre. Comme son ami tout à l'heure, il reçoit cette caresse avec un plaisir non feint et, dans les mêmes termes qu'Alain, me le fait savoir :
« Oui ma chérie... continue ! J'adore quand tu me fouilles le trou ! Vas-y salope ! Baise-moi bien ! »
Ils font un concours de poésie ce soir !!
Après quelques minutes, mon amour me dit de reprendre son sexe en bouche afin, déclare t-il "de me rincer la gueule !". Il est temps car ma mâchoire commence à me faire souffrir ! je n'ai que le temps de le faire coulisser entre mes lèvres que, dans une longue plainte, il m'abreuve de ses jets. Je le garde en moi jusqu'à ce qu'il soit débandé, avalant sans rechigner le sperme conjugal.
Après cette petite séance, Pierre sert une tournée et nous dégustons une nouvelle coupe de Champagne. Je regarde mes deux hommes, visiblement ravis de la soirée et leur dis :
« C'est pas tout ça mais j'aimerais bien avoir ma dose de plaisir moi aussi !
- Allonge-toi sur le canapé, je vais te manger la chatte ! »
Je m'installe donc et Alain se penche pour me rouler une pelle tout en caressant mes seins et mon ventre, ce qui suffit à me faire gémir.
« Putain ! T’es chaude comme la braise ! »
Il lèche ensuite mes deux nibards, passe de l'un à l'autre, caresse celui que sa bouche a lâché. Mes tétons sont durs comme jamais et mon ventre se noue sous ses caresses. Il poursuit en embrassant mon ventre, stoppant juste à l'orée de ma courte toison. Délaissant ma chatoune, il poursuit ses baisers et ses caresses sur mes cuisses.
« Viens me bouffer la moule ! Allez ! Vite ! J'ai envie de ta bouche sur ma fente ! »
Il relève la tête, me regarde en souriant tout en enfonçant deux doigts dans ma chatte trempée. Il les fait aller et venir avant de les ressortir, trempés, et les présenter à ma bouche :
« Goûte ton jus petite cochonne ! »
J'ouvre les lèvres et lèches ses doigts couverts de ma mouille sans le quitter des yeux. Il plonge alors le visage vers mon entrejambe et, dans un long gémissement, j'accueille sa langue sur ma fente. Il me lèche la fente avec passion, aspire mes lèvres, mon bouton. Je gémis sans discontinuer sous ces caresses et quand il enfonce sa langue dans ma grotte, je ne retiens pas un long râle de plaisir. Il me déguste ainsi de longues minutes, ralentissant quand il me sent sur le point de succomber avant de reprendre de plus belle. Mon cul n'est pas oublié et deux doigts y vont et viennent aussi régulièrement que profondément. Mon chéri, nous regarde, tout en caressant, en pétrissant même parfois, mes seins.
« C'est bon, hein ? Tu aimes te faire bouffer la chatte par Alain, pas vrai ?
- Oh oui... Mon chéri... je vais jouir... c'est trop ... ahhhh !!! »
Dans un long cri, je me lâche et succombe à un orgasme d'une rare intensité. J'ai l'impression que mon sexe s'est transformé en fontaine tant je coule, pour le plus grand plaisir de mon partenaire qui, la bouche rivée à ma fente, s'abreuve de mon jus intime. Je le repousse quand il veut embrasser mon bouton, tant celui-ci est sensible, à la limite de la douleur. Il se relève, le menton luisant du fruit de mon plaisir et, me regarde en souriant, me dit :
« Jamais je n'avais dégusté un aussi délicieux coquillage. »
Mon cœur bat la chamade. Il y a bien longtemps que je n'avais joui aussi intensément. Le fait de la faire avec un autre que mon chéri et devant lui n'est pas étranger, j'en suis sûre à ce plaisir démultiplié.
Je ferme les yeux et savoure cet orgasme. Le premier d'une longue série, je n'en ai aucun doute !
Signé : Chris
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Initiation au candaulisme
Ça a commencé la nuit, dans notre voiture, sur une aire de repos d'autoroute. J'étais complètement nue et mon mari me léchait avidement la chatte quand j'ai surpris un voyeur le nez collé au pare brise. J'ai eu une montée d’adrénaline et n'ai rien dit à Paul qui continuait à me gramahucher. Nous avons fait l'amour et je me positionnais pour que mon voyeur ne perde rien de mon anatomie. Plus tard sur la route Paul me dit :
« T'étais chaude ce soir, je t'ai rarement vu jouir aussi fort ! »
Avec le temps, l'idée a fait son chemin et Paul a accepté que je fasse l'amour avec un autre homme devant lu i: il se cocufierai volontairement. Il a commencé par publier des photos de moi sur Internet afin de chauffer les hommes susceptible de le cocufier ensuite. On s'est pris au jeu jusqu'à dévoiler mon visage sur les photos. Je n’avais plus de secret pour les futurs cocufieurs qui nous inondaient de mails bien graveleux, j'ai même vu une photo de ma croupe inondée de semence.
Puis nous sommes tombés sur un forum de « candaulistes » c'est à dire un forum de cocus volontaires ! Paul était de plus en plus excité par l'idée d'être cocu.
À 43 ans, je me suis choisi un petit jeune de 21 ans dont la photo promettait un étalon expert. Il m'a tuée. Un sexe magnifique en érection permanente qui m'a labouré les entrailles comme jamais on ne me l'avait fait. Cela s’est passé, devant Paul, nu sur sa chaise dans un coin de la chambre, qui se masturbait lentement, mais qui a joui avant le jeunot, qui m'a gardé au bout de sa queue un bon quart d'heure après.
Épuisée, un peu dégoutée d'avoir joui comme une chienne, on a été forcé de le mettre à la porte pour s'en débarrasser, estimant que pour un premier cocufiage, c'était suffisant. Paul était un peu gêné aussi, et nous en avons débattu toute la soirée avant de faire l'amour. Il pensait que j'avais pris trop de plaisir avec mon amant, et il voulait me punir de l'avoir cocufié. Il me sodomisa, chose qu'il pratiquait rarement. Son petit sexe ne me fit pas mal ; mais malgré tout je criais de douleur simulée.
Il n'était pas dupe, mais satisfait, il me retourna et jouit dans ma bouche, me forçant à avaler son sperme sachant que je n'aimais vraiment pas ça.
On a réfléchi, et certains de notre amour, on a décidé de continuer l'aventure, Paul ayant ressenti cette humiliation très jouissive. Nous sommes devenus des accros du forum mais limitions nos rencontres à une par mois, afin de faire monter la pression. Je rencontrais le deuxième homme sans la présence de Paul qui me téléphona pendant que je faisais l'amour avec mon amant :
« Il est en train de te faire l'amour ?
- Ouiiii…
- Il a un gros sexe ?
- Oh oui !!!
- Tu as joui ?
- Oui, plus que d’habitude !
- Il te prend encore ?
- Oh que oui, et comment !!!
-Tu vas rejouir alors ?
- Oui, Oui, Ouiiiiiiii…. »
Ça a déclenché en moi une excitation telle que je suis mise à gémir que c'était bon, que j'en voulais encore… Mon amant jouant le jeu me répondait ;
« Tu vas jouir salope, elle est bonne ma queue ! C'est pas ton cocu de mari qui te donnerais du plaisir comme ça ! »
A chaque orgasme qui me secouait, je perdais la tête et me réveillais quelques secondes plus tard, vide, honteuse de m'être laissée aller.
De son coté, Paul avait du jouir aussi, et avait raccroché le téléphone.
À mon retour, nos retrouvailles étaient réglées comme du papier à musique.
C'était baisers amoureux, caresses, récit détaillé de ma rencontre, puis ensuite punition gentille avec sodomie quelques fois agrémentée d'une fessée qui me laissait le cul bien rouge. Suivait bien sur gobage de sperme d'une petite éjaculation, celle ci venant après sa masturbation.
Paul restait le maitre de mes plaisirs, et comme j'avais des amants plus jeunes que moi, un jour, il me choisit un homme âgé de 65 ans, un peu bedonnant qui avoua avoir pris du viagra avant de venir à notre rendez vous.
Nu, il était effectivement décrépi avec des seins comme une femme, des poignées d'amour et la fesse flasque. Mais le principal était gaillardement dressé d'une taille plus que honnête, et surtout volumineux ce qui pour moi est le plus jouissif. Un gros diamètre, ça fait fantasmer toutes les femmes plus qu'une longue bite qui peut faire mal en touchant le fond du vagin.
Sans aucun poil sur le corps, le sexe épilé avec soin, le crane rasé, il faisait un peu extra terrestre. Il s'est agenouillé entre mes cuisses, et je sentais sa langue explorer mes lèvres, sucer mon clito, pour aller se perdre dans les profondeurs de mon anus qui n'attendait que ça....
Mais seulement la langue, mon petit trou est exclusivement réservé à mon cocu. Quand il s'est relevé ; et m'a présenté sa grosse bite ; j'ai été encore plus étonnée par ses couilles qui paraissaient se détacher et pendaient dix centimètres en dessous. Je n'avais jamais pris autant de plaisir à gober des testicules, les étirant chacune leur tour avec une envie de croquer dedans.
La fellation fut difficile, vue la grosseur du membre, et je m’efforçais de masquer mes dents au maximum. Il n’était pas du genre préliminaires interminables et il frotta son gros gland sur ma chatte, m’écartant laborieusement avant de me pénétrer.
Alors là, j'ai grimpé aux rideaux. Je jouissais à répétition, juste le temps de reprendre ma respiration entre deux orgasmes. Il ne s’arrêtait pas comme un marteau piqueur, il me labourait la chatte, accélérant ses mouvements quand il sentait ma jouissance arriver. A chaque coup, ses testicules venaient me claquer l'anus ce qui m'excitait encore plus.
Paul, qui avait voulu assister et auquel j'avais interdit toute masturbation, me regardait fasciné devant l'exploit. Quand mon amant voulu me jouir dessus en ôtant sa capote, je lui proposais mes seins. Je n'ai jamais pu faire une cravate de notaire à Paul, qui a une petite bite, mais avec lui je pouvais réaliser un vieux fantasme.
Il me cracha un jus épais et jaunâtre à forte odeur, et je pensais qu'heureusement le sperme de Paul est plus agréable, car pour avaler une pâte pareille, je ne pourrai jamais !
On l'a invité à manger le soir, et après le repas, on a remis ça. On lui a offert un de ses fantasmes : Paul m'a fait l'amour et a éjaculé en moi, ensuite mon amant est venu « souper », c'est à dire me lécher la chatte et se régaler du mélange de mes secrétions et du sperme de Paul, qu'il a trouvé « gouteux ».
Il nous a raconté que dans sa jeunesse, il pouvait « souper » plus facilement car on utilisait rarement les capotes. Tous les samedis soirs au bois de Boulogne, il payait les prostituées pour leurs lécher la chatte après un rapport avec un client. Vraiment dégueulasse, mais pour lui s’était un bon souvenir et il en avait la larme à l’œil.
Depuis cinq ans que nous « candaulismons » notre couple est aux anges. Nous avons sélectionné les amants à notre convenance en éliminant surtout les éjaculateurs précoces, car rien n'est plus frustrant que de voir un homme jouir alors que je n'ai encore rien ressenti.
Certains sont des amis et d'autres ont été cocufiés par Paul qui a pris sa revanche. Jamais de gang-bang ou autres parties fines, ni d'échangisme en boite, quelque fois deux amants en même temps (alors là c'est apothéose mais j'ai trop peur de devenir addicte).
Notre album photos s'étoffe, car nous gardons un souvenir de toutes mes rencontres et même quand je vais seule à un rendez vous je prends des photos du sexe de mes amants très heureux de se faire photographier leurs partie génitales (tout sauf le visage les coquins).
En fin de compte c'est bien Paul que j'aime et sa petite queue me donne aussi beaucoup de plaisir.
http://experiences.centerblog.net/6166284-cocu-volontaire#c10353419
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Halte !
C’est au détour d’un couloir gris que je suis entré dans ce petit bureau. Une chaise vide était là, à un bureau. Dans la pièce flottait un doux parfum de cannelle et de chocolat. La douceur était la maîtresse des lieux. Plutôt que de continuer à errer dans les couloirs froids de ces services des douanes, je décidai d’attendre ici. Je m’y sentais bien, à mon aise. Mon uniforme bien repassé, m’interdisait de m’asseoir sous peine de créer des plis disgracieux. J’entendis des pas à l’extérieur, et tu entras, toute gaie et souriante, soulevas le plan de travail, et vint t’asseoir sans me voir sur ce fauteuil qui t’attendait lui aussi. Je te regardais, ton sourire angélique laissait entrevoir que tu étais rêveuse. Mais quelle rencontre venais-tu de faire ?
C’est au moment où je me rapprochai du comptoir que tu me remarquas. Sans bouger la tête, tu levais les yeux vers moi, à travers de fines lunettes. Sous cet angle, tu avais un air coquin, un regard qui m’invita aux pensées les plus obscènes. Je fis alors le tour de ce rempart dressé entre nous par l’administration. Ce jour là, tu portais une jolie robe noire boutonnée sur le devant, et un pull sombre couvrait tes épaules, mais rien de tout ça ne dissimulait la générosité de tes formes. Tu suivais chacun de mes mouvements sans bouger. Je me figeai derrière toi, posais mes mains sur tes épaules, et te caressai la nuque.
Comme hypnotisée, tu penchas la tête et posas ta joue sur ma main, comme une invitation à d’autres caresses. Mes mains glissèrent sous ton pull et découvrirent à travers ta robe, une poitrine généreuse et opulente, douce et tiède, j’en profitai pour poser un baiser sur ton cou, ta nuque puis ton oreille. Mes mains cachées au chaud sous tes seins, je me mis à te mordiller le lobe de ton oreille, tu haussas les épaules en souriant et laissant échapper un gloussement de plaisir.
J’écartai la chaise de ton bureau, me mis à genoux entre ton poste de travail et toi, relevai le bas de ta robe, tout en te caressant les cuisses, que tu écartais innocemment. Tu inclinas tout ton corps en arrière pour mieux me présenter ton antre secret. Du bout de mon nez, je me mis à caresser ton minou fraichement rasé, ton corps se mit à trembler. Que je présentai ma langue contre ton clitoris humide et rougis, tu ne pu retenir un gémissement de soulagement « enfin ! » semblait dire tout ton corps.
Maintenant que je suçais chaque recoins de ta cathédrale du bonheur, tu serrais les cuisses et me pris la tête entre tes mains, me pressant plus encore contre ton sexe à la recherche de la moindre seconde de plaisir, de la moindre sensation inavouée. Puis tu te raidis, en apnée immobile, paralysée par le grand spasme de l’orgasme, les ongles plantés dans le tissu de mes épaulettes. Puis tu te décrispas, lâchant un râle de soulagement qui laissa échapper toute la chaleur du désir qui était en toi.
Tu regardais le plafond avec un sourire béat, ton esprit était encore à mille lieues de là, parmi les anges et les démons de la luxure. C’est en me relevant que je remarquai que la caméra de ton pc était allumée et dans une petite fenêtre je reconnu ton renard qui lui aussi avait profité du spectacle, le sourire sur son visage affichait lui aussi la satisfaction...
J’ôtai la poussière de mon uniforme et repris ma route à travers les couloirs du bâtiment ne sachant plus le motif de ma visite en ces lieux, mais heureux d’avoir fait planer une sémillante femme, généreuse et douce…
SIgné Maxx
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