Les Mémoires très Libertines de Sophie
Najia, l'apprentie infidèle - chap 4
4.
La nuit avait été très longue. Mouloud, mon adorable pirate, s’était montré à la hauteur des promesses qu’il m’avait faites la veille au téléphone. C’était vraiment un super coup : vigoureux et infatigable. Il m’avait fait découvrir le monde merveilleux de l’érotisme. Un monde que je n’aurais jamais connu sans lui. Jusque là le sexe ne représentait presque rien pour moi. Je ne me rappelais pas avoir eu auparavant de vrais besoins sexuels : de ces besoins qui vous submergeaient complètement et qui s’imposaient à vous à toutes heures du jour et de la nuit. De ces besoins qui ne pouvaient trouver de satisfaction que dans les bras et sous les coups de boutoir d’un homme, un vrai. Pas d’un mari.
Et la satisfaction des désirs érotiques qui m’obsédaient et m’envahissaient depuis la nuit dernière, ne pouvait provenir que d’une relation adultère. Peut-être parce que je connaissais trop mon mari, je ne pensais pas que je pouvais avoir autant de jouissance et de plaisir avec lui. Même en admettant qu’il soit aussi bien monté que Mouloud et qu’il ait les même capacités et compétences érotiques que mon amant du moment, ce qui est loin d’être le cas! Je crois que c’était aussi parce que j’étais dans une situation de cocufiage de mon mari, acceptée et assumée par lui, que je me sentais transportée dans ce monde merveilleux que je venais de découvrir. Bien entendu, les compétences en matière de sexe de celui qui venait de m’ouvrir les portes de ce nouveau monde, étaient la raison principale de ma nouvelle passion pour l’érotisme. J’avais une vingtaine d’années de plus que Mouloud, mais en matière d’amour, j’étais une vraie novice, comparée à lui qui, à trente ans à peine, avait le comportement d’un maître. Un maître es-érotisme. Et moi, je me découvrais, au cours de cette première nuit passée à me faire tirer dans toutes les positions et à travers tous mes trous, une âme de chienne soumise à la volonté du maître du moment.
Parce que Mouloud, et plus tard Rachid qui, sans me le dire explicitement, m’avait fait comprendre qu’il apprécierait que j’offre mon corps à d’autres hommes, qu’il n’était pas du genre possessif et exclusif. Il m’avait très vite annoncé qu’il allait me partager avec d’autres hommes, des connaissances à lui qui ne vivaient que pour et par le sexe. Il m’avait expliqué qu’il faisait partie d’un groupe, hommes et femmes, qui ne concevaient l’amour que libre et sans tabous et qui ne vivaient leurs relations amoureuses que dans ce cadre presque libertin. Il m’avait promis de me présenter aux membres du groupe et il était convaincu qu’ils allaient m’accueillir les bras ouverts. J’étais, m’avait-il dit, très douée pour l’érotisme débridé.
Pour en revenir à cette première nuit d’adultère, je dois dire que j’en avais eu pour mon argent.
Sans avoir prémédité quoi que ce soit, j’avais fait cette nuit là – et toute la matinée du lendemain – connaissance avec toutes les facettes de l’érotisme. Je suis totalement incapable de décrire toutes les sensations – parfois douloureuses – que je connus au cours de ces heures passées à me faire tirer par l’immense membre de Mouloud.
Après avoir pris une douche rapide pour me débarrasser de tout le sperme dont mon corps était totalement enduit, avoir changé de tenue (la nouvelle était toute aussi coquine que la première) et préparé un en cas pour nous sustenter, nous allâmes directement dans la chambre à coucher pour poursuivre nos ébats.
Mouloud, avait fait preuve d’une vigueur et d’une résistance à vraiment extraordinaires. A ce jour, je n’ai pas encore rencontré –parmi tous les amants qui l’ont suivi– d’hommes aussi résistant que mon pirate. Et je ne parle pas de son immense membre ! Il a tout détruit sur son passage : ma gorge, qui m’a fait mal des journées entières (j’avais du mal à parler, tant il avait pesé sur mes cordes vocales au cours de la fellation passée), ma vulve qu’il avait élargie au-delà de tout ce que je pouvais penser, et surtout, mon anus, qu’il avait inauguré et…dynamité !
C’est, aujourd’hui encore, le souvenir de cette folle nuit qui m’a le plus marqué : ma première sodomisation. Après avoir mangé rapidement dans la cuisine, j’avais préparé en quelques minutes un steak et une salade – nous rejoignîmes la chambre à coucher. Moi devant et lui derrière moi. Je sentais qu’il mâtait mes fesses avec son regard de prédateur. J’avais encore très envie de faire l’amour, malgré que j’avais joui très fort, à peine trois quart d’heure auparavant. J’étais entrain de me découvrir une âme de nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ! J’avais toujours envie de baiser !
Et Mouloud, n’attendait que cela. Il bandait en permanence (il était resté presque nu, vêtu de sa seule chemise, totalement déboutonnée, qui ne cachait rien de son intimité. Et son intimité, c’était cet immense glaive, toujours debout et toujours menaçant.
Arrivé au pied du grand lit, notre lit conjugal à Rachid et à moi – Mouloud qui était derrière moi, m’attrapa par la taille pour me coller contre son corps. Il me susurra à l’oreille :
« Je vais maintenant t’enculer ! Je vais te défoncer le cul ! Je vais te faire mal ! Je vais te faire hurler de douleur, et de plaisir ! »
Les mots crus qu’il prononçait me procuraient d’étranges sensations : des picotements au niveau du bas-ventre et sur le bout de mes seins. Je m’étais remise à couler. Je m’étais arrêtée au bord du lit et je m’étais plaquée contre le corps de Mouloud, qui frottait son pubis contre le bas de mon dos. Il était beaucoup plus grand que moi et je sentais son manche, dressé et dur comme du bois, frémir contre le bas de ma colonne vertébrale. Il enleva une de ses mains de ma taille et l’envoya s’emparer de mon sein droit, qu’il se mit à presser et à caresser. Mon excitation, déjà très forte, commençait à devenir insupportable. J’avais mal au bas ventre.
Il me fallait une pénétration immédiate pour me calmer. Mais malgré cela, je ne dis rien : j’attendais la suite. Une suite que j’appréhendais, mais que j’attendais avec impatience. L’impatience de découvrir de nouvelles sensations. Je sentais le souffle chaud de mon amant sur mon cou. Et je l’entendais m’annoncer, dans un mélange de kabyle et d’arabe, ce qui m’attendait.
« Akmeqough essdhefir ! En-nikek melour ! Amerzagh akerkour-im ! En-kasserlek gaârek ! Akem felqagh ! En-wedj’aâk ! (Je vais te niquer par derrière ! Je vais te démolir le cul ! Je vais t’éclater! Je vais te faire mal !) »
Il m’annonçait que j’allais passer un mauvais moment et que beaucoup de douleur m’attendait. Mais au lieu d’avoir peur, de me cabrer, de refuser, ce que j’entendais me mettait en émoi ! J’avais hâte que mon pirate me défonce le cul ! J’avais hâte de connaître cette nouvelle sensation d’être dépucelée par derrière et…par un engin monstrueux ! J’étais dans un autre monde : un monde de soumission et d’attente. Soumission à la volonté du maître. Et en attente de la saillie. Comme une jument ! Ou comme une génisse ! Ou, plus justement, comme une chienne ! J’étais une chienne en chaleur, qui attendait impatiemment d’être pénétrée !
Mouloud qui continuait de me susurrer ses mots crus à l’oreille, m’attrapa par la taille pour m’indiquer la position qu’il voulait que je prenne. Il me fit mettre à quatre pattes en travers du lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de son engin. Je tournais la tête pour essayer d’apercevoir ce qu’il était entrain de faire : il était resté debout au bord du lit, le sexe dressé, tel un sabre menaçant. Il voulait me tirer debout ! Je le voyais qui contemplait le spectacle impudique qu’il avait sous les yeux : j’étais là devant lui, le cul en l’air, offert à sa concupiscence. Au bout de quelques secondes, je le vis qui tendit sa main droite vers mes fesses.
Et à partir de là, tout en moi sombra : j’étais tombée dans un autre monde. J’avais enfoncé ma tête profondément dans un oreiller et je m’étais mise à attendre. Attendre, écouter et sentir ce qui allait advenir. Tout mon être était tendu et attendait ! Une attente, en même temps douloureuse et délicieuse !
Je sentis une main calleuse et ferme écarter mes fesses pour dégager la rondelle de mon anus. Une rondelle très serrée, mais que je sentais palpiter (de peur ou de désir, je ne savais pas trop).
Mouloud ne se pressait pas : il admirait le spectacle qu’il avait sous les yeux : il avait une vue imprenable sur les grandes lèvres de ma chatte. Il voyait que je coulais comme une fontaine. Je sentis deux doigts qui écartèrent mes grandes lèvres et qui plongèrent à l’intérieur du vagin. Je me mis à trembler comme une feuille. La sensation que me procurèrent ces doigts à l’intérieur de mon intimité était indescriptible. Je pensais qu’il n’avait pas pu résister à l’envie de me caresser la chatte, et qu’il allait me tirer par là. J’avais tout faux ! Il était seulement entrain de ramasser le plus de cyprine possible pour essayer de lubrifier mon anus.
Je sentis, en effet, ses doigts qui enduisaient l’entrée de mon anus avec le liquide qu’ils venaient de ramasser. Ils s’y reprirent à plusieurs fois, jusqu’à ce que je les sentis qui pénétrèrent, difficilement, à l’intérieur du rectum. Ils allaient et venaient dans le boyau et essayaient d’élargir l’anneau pour faciliter la pénétration du monstre qui attendait impatiemment son tour pour occuper la place.
Mouloud se positionna derrière moi, prit son engin dans une main et plaça le gland au centre de l’anneau. Je sentis immédiatement la dureté du gland et son diamètre trop grand pour pouvoir pénétrer facilement à l’intérieur de mon rectum. Je savais qu’il allait me faire atrocement mal.
Il agrippa mes hanches avec ses deux mains et je sentis qu’il exerçait une poussée – d’abord légère, puis de plus en plus puissante, face à la résistance qu’opposait l’anneau trop étroit. Le bout du gland finit par pénétrer légèrement. Je le sentis ressortir. Je devinais que Mouloud cherchait à le lubrifier encore plus, pour lui permettre une pénétration plus aisée. Je l’entendis qui crachait dans sa main et je devinai qu’il s’enduisait le manche avec sa salive.
Et effectivement moins d’une seconde après, je sentis la menace revenir sur mon anneau, qui était resté dans la même position d’attente. Mouloud refit une deuxième tentative pour faire pénétrer le gland à l’intérieur. La poussée de ses hanches était plus forte. Le gland pénétra presque totalement. Il avait encore du mal à dépasser le sphincter. Je sentis les énormes paluches de mon maître agripper plus fermement mes hanches et tirer brutalement sur ses bras. La douleur que je ressentis en ce moment était la pire des douleurs que j’avais connues dans ma vie. J’avais ressenti mon anneau s’étirer, s’étirer encore, pour atteindre le maximum de son élasticité. Et puis, il lâcha et se déchira, provoquant cette douleur atroce que je ressentis.
« Aie !!! Bellââqel ! Doucement ! Kessartli gaâri ! » (Tu m’as éclaté le cul ! N’oublie pas que je suis vierge de ce côté )
Mouloud fit celui qui n’avait pas entendu. Il ne prêta aucune attention à mes protestations et continuait de pousser très fort, de manière à aller jusqu’au fond de mon boyau. Ce ne fut que quand son pubis vint cogner contre mes fesses qu’il arrêta de pousser sur ses hanches. Mais même à ce moment-là, il ne s’arrêta pas pour permettre à la douleur de se calmer. Il fit refaire à son engin le chemin inverse jusqu’à l’entrée de mon anus, qu’il ne dépassa pourtant pas. Il entreprit un furieux va-et-vient, qui me fit hurler de douleur. Et malgré cela, malgré le mal atroce qu’il provoquait en moi, je ne voulais pas qu’il s’arrêtât. Je voulais qu’il continue. Je ressentais du plaisir à avoir mal !
La sensation était vraiment bizarre: douleur et plaisir en même temps ! Mouloud continuait de pilonner mon cul en poussant des han de bûcheron. Il prenait son pied et me le faisait sentir en accélérant ses coups de boutoir et en soliloquant – de manière presque inaudible – avec des bouts de phrases en kabyle, arabe et français, qui indiquaient tout le plaisir qu’il prenait.
« Ach’hal yel‘ha ou khouzzidhim ! Akhouzzidh ajdhidh ! Ach’ha mlih ! En-hab en-nik en-nsa melour ! En-hab en-kessar ! Dhel djeneth ! Dhel djeneth bou bouchiw ! » (Comme ton cul est délicieux ! Un cul tout neuf ! Comme c’est bon ! J’adore niquer les femmes par derrière ! J’adore démolir ! C’est le paradis ! C’est le paradis pour mon zob !)
Et moi je continuais de crier de douleur à chacun de ses assauts. Mais mes cris devenaient de plus en plus faibles et se transformaient progressivement en gémissements, dans lesquels se mêlaient plaisir et douleur. C’est le moment que choisit ce diable d’homme pour me faire connaître une nouvelle sensation. Il lança sa main droite vers ma chatte et, après quelques secondes de réglage, y fit pénétrer deux doigts pour me masturber en même temps qu’il continuait de m’enculer. Quelle sensation !
Je ne pus m’empêcher de hurler un « Ouiii ! » retentissant, pour faire savoir à mon maître que j’aimais ce qu’il me faisait. Je voulais faire durer cette nouvelle sensation de plaisir le plus longtemps possible. Je voulais même en, accroître l’intensité en bougeant mes hanches de manière à accompagner et les coups de boutoir du zob dans mon cul, et le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Je me mis même à lâcher des bribes de phrases crues, qui en fait n’étaient destinées qu’à accroitre l’intensité du plaisir que j’étais entrain de prendre.
« Zid ! Ma tahbesch ! Ach’hal mlih ki et-nikni ‘hakdha melour ou et’hekli saouti ! Ach’hal the sneddh atseqouddh ! Ach’hal yelha oubouchikh ! » (Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Comme tu sais niquer ! Comme ton zob est merveilleux !)
Mouloud était le Diable en personne ! Il était entrain de me faire adorer la sodomisation ! J’étais maintenant sure de ne plus pouvoir m’en passer. Je sentais que j’allais avoir un orgasme vraiment exceptionnel. D’une intensité que je n’avais pas encore atteinte jusque là. Et pourtant, il m’avait semblé que j’avais déjà joui très fort cette nuit. Je sentais aussi que mon homme était sur le point d’éjaculer. Il accélérait encore plus ses va-et-vient dans mon cul et son souffle se faisait de plus en plus haletant. Il cria qu’il n’allait pas tarder à jouir et à m’inonder de sperme. Tout en continuant de soliloquer, Mouloud accélérait les furieux allers-retours de son sabre dans mon boyau et de ses doigts dans mon vagin.
Ce fut lui qui céda le premier. J’entendis un râle d’enfer et je sentis comme une brulure à l’intérieur de mon cul : la brulure d’une première giclée de sperme épais et visqueux. Il continuait de pilonner mon anus pour se vider complètement, en rugissant comme un lion. Je pris la main qui me masturbait et lui fis accélérer le mouvement de manière à ce que l’immense orgasme que je sentais débouler en moi, arrive au moment même où Mouloud aura fini d’éjaculer. Et je tombais en tournoyant
dans un immense puits de jouissance. Je me sentais sortir de mon corps, pourrejoindre le monde merveilleux du plaisir sexuel. Ce que je ressentais dépassait de loin tout ce que j’avais ressenti jusque là. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! (comme si ce n’était pas visible et que cela ne s’entendait pas !) Je criais que je voulais recommencer toute de suite après !
« En-3âwdou en-nikou ! Goul-li ett-3awed et-nik-ni ! ‘hak-dha melour ! Es-dheffir ! Seg khouzzidh ! » (Nous recommencerons de niquer ! Dis-moi que tu recommenceras de me niquer ! Comme cela, par derrière ! Par derrière ! Par le cul !)
Et, vaincue par la fatigue, je m’affalai, fourbue sur le lit, entraînant mon homme avec moi.
Mouloud resta un long moment sur mon dos, son membre toujours en forme, planté dans mon anus. Je sentais qu’il en voulait encore. Plus que moi qui étais vraiment fourbue et qui avait mal partout. Mais je ne voulais pas en rester là : je me disais que le désir de mon homme n’était pas totalement assouvi et que je me devais de rester à sa disposition.
D’ailleurs, c’était exactement ce qu’il pensait. Je restais sa chose – sa kelba (sa chienne), me dit-il. En sortant sa queue, toujours en érection, il se remit debout au bord du lit, me retourna pour que je lui fasse face, et m’ordonna de
venir sucer sa queue, pleine de mes sécrétions anales.
« Lahssi-li zebi ! Ghaslih be-foumek ! » (Lèche-moi le zob ! Lave-le avec ta bouche !)
J’eus une hésitation à obéir à un tel ordre. Il ne me demandait rien de moins que de sucer et avaler mon caca. Mais en voyant son regard qui devenait sombre, je compris qu’il ne plaisantait pas et qu’il me fallait en passer par là. Vaincue et soumise, je me mis à nettoyer la superbe queue de Mouloud avec ma langue. J’avalai,avec un peu de dégout au départ, puis de plus en plus consciencieusement- tout ce que ma langue ramassait sur le mât de mon homme, entre le reste de foutre et les produits de mon cul.
De temps en temps, je levai la tête et jetait un regard inquiet sur le visage de Mouloud pour voir s’il appréciait. Il souriait aux anges ! Il était heureux ! Il adorait ce que j’étais entrain de lui faire ! J’étais sa chienne obéissante et il adorait ça ! Et moi aussi j’aimais cette situation avilissante pour moi ! J’étais vraiment devenue sa chose ! Il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Je crois – mais je ne lui dis jamais – que s’il m’avait demandé d’aboyer, je l’aurais fait sans hésiter.
Pour lui démontrer que j’étais à l’écoute du moindre de ses désirs, j’ouvris très grand ma bouche et y fis pénétrer la queue pour une nouvelle fellation. D’une part je voulais finir de nettoyer complètement l’engin et je ne trouvais pour cela rien de mieux qu’une pipe, et d’autre part, je voulais qu’il jouisse encore une fois. Mouloud accepta le cadeau que je venais de lui faire – sans qu’il n’ait eu à me le demander – et me laissa mener la fellation à mon rythme et à mon goût.
Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour l’entendre rugir et pour recevoir une giclée de sperme à l’intérieur de ma bouche. Le jus n’était plus aussi abondant et épais que les autres fois. Cette fois-ci j’avalais le tout. Je sortis l’engin de ma bouche – il avait complètement ramolli – et, fière comme si je venais d’accomplir un exploit, je levai la tête pour regarder mon homme dans les yeux et lui envoyai un sourire éclatant en lui demandant :
« Et hab-ni ? (Tu m’aimes ?)
- Hemlagh-kem ! En-habek ! » (Je t’aime !)
A suivre !
Signé : Najia
- Commentaires textes : Écrire
Eloge de la putain
Je n'aurais pas osé écrire sous ce titre : on a tellement dit et écrit sur ces filles déchues... Et pourtant, je n'éprouve aucune honte quant à mon métier de prostituée. Apprendre à un mari les techniques de l'érotisme, lui apporter la détente par le plaisir, initier les adolescents, rendre un équilibre aux gens d'église si souvent frustrés, enlever à un timide ses peurs abyssales de la femme, me permettent de bien gagner ma vie tout en faisant un métier utile à la société, alors qu'il est radicalement méprisé, et rarement bien pratiqué.
Et puis, pourquoi le cacher ? J’aime sentir la tendre caresse d'un homme sur mes seins, j'adore voir le regard éperdu d'un mâle au moment où il sent que son plaisir va lui échapper, qu'il n'est plus le maître, qu'il passe, pour un temps, sous ma dépendance. Je fixe ce serpent dressé sous mes yeux, je l'hypnotise. Certes, si je le voulais, certains ne me résisteraient pas. Je me sens capable de leur en offrir toujours plus, je les tiens par le sexe et le plaisir.
Il m'arrive de rêver d'une verge qui enfle dans ma bouche, tandis que ma langue se love tout autour et l'enserre. Elle se tend lentement, ma gorge se serre convulsivement sur ce gland gonflé de sève et le masse doucement. Il est des hommes qui, après un long travail d'apprentissage, peuvent se laisser masser une heure durant, pendant laquelle je sens vibrer cet instrument de musique, dont je connais toutes les harmonies.
Je fantasme souvent de tous ces sexes dont j'ai joué, tous différents par le timbre, le rythme. Une belle symphonie se reconstitue alors dans ma tête. Je ne parle pas des râles de plaisir dont j'entends les échos durant mes rares nuits solitaires. Etreignant un sexe, j'ai valsé, dansé le tango argentin, le slow langoureux. Et que dire de toutes ces liqueurs lapées si avidement, aussi différentes entre elles que la Fine Champagne et le Grand Marnier ! Le goût se forme peu à peu, et j'apprécie les vieux crus classés comme le Beaujolais Nouveau. Je déguste particulièrement la dernière goutte que je soutire en exerçant une tendre pression tout le long de la hampe tandis que ma langue serre doucement le gland sur mon palais.
J'ai vu des hommes, arrivés arrogants ou grossiers, j'ai entendu des expressions comme « viens te faire enculer. » J'ai toujours respecté ces pauvres êtres à qui personne n'avait fait l'amour avec art. Je le leur apprenais et ils repartaient heureux, souriants. Certains viennent me remercier quelques jours plus tard. À plusieurs reprises, j'ai été amenée à initier les épouses ou les maîtresses de mes clients.
Oh ! Si avant d'apprendre aux jeunes filles à cuisiner des petits plats ou à découvrir l’informatique, on leur enseignait l'art de jouer de cet instrument sublime à une main ou à deux mains ! Et aussi avec les seins, les lèvres, la langue, la glotte même, ou avec un vagin bien accordé ! Que de fausses notes pourraient être évitées dans les couples.
Je me souviens encore de ce jeune mari, charmant et bien élevé, qui m'avait raconté sa nuit de noces, une vraie catastrophe : sa femme en était restée frigide. Il était venu se défouler et avait terminé sa petite affaire en dix minutes.
« Maintenant, lui dis-je, je vais pouvoir commencer à t'apprendre à faire l'amour, et je lui fis découvrir tout son corps par de subtiles caresses. »
Puis je lui offris le mien.
Une heure plus tard, alors qu'il avait une bite d'acier, j'entrepris de lui caresser, puis de lui sucer le sexe. Je réussis à lui faire tenir près d'une demi-heure avant qu'il n'explose comme un jeune fauve. Il revint me voir pendant plusieurs semaines, et petit à petit, je fis de ce petit coq, un amant délicieux.
Pendant quelques mois, je n'eus plus de nouvelles, jusqu'au jour où ils débarquèrent à deux : elle tenait à me remercier de les avoir enfin mariés ! Peut-être avais-je rendu leur union indissoluble. Je leur proposai de faire l'amour devant moi afin que je puisse éventuellement leur donner quelques conseils. Ce jour là, j'assistai à l'un des plus beaux festivals d'érotisme, tant par la variété des caresses et des positions que par la violence de leurs orgasmes, qui étaient désormais au même diapason. Je les remerciai de ce spectacle, mais j'étais fière de mon travail, sûre d'avoir sacralisé leur union.
Certes les résultats ne sont pas toujours aussi spectaculaires. Je repense à ce brave curé qui n'en pouvait plus de son célibat et qui crevait de culpabilité. Alors, il venait apprendre tout ce qu'on ne lui avait pas appris au séminaire. En confession ou ailleurs, il entendait parler de fellation, cunnilingus, sodomie, levrette...
« Montre-moi comment », me disait-il.
Il avait une grande faculté d'oubli ; j'ai dû souvent lui faire une démonstration de fellation ou de levrette, pauvre saint homme, il était tellement heureux de prendre un acompte sur le paradis terrestre, et il avait une trique d'enfer. Et ce vieil homme de 90 ans, je crois. Il avait mené joyeuse vie, mais à cause de grand son âge, il ne pouvait plus draguer :
« Donne-moi un peu de douceur et de jouissance; je n'ai plus que toi pour me faire bander comme avant et me faire jouir. Tout seul, je n'y arrive plus. »
Je le suçais longtemps. Il m'aurait fait jouir tellement il mettait de tendresse à me caresser les seins et me les embrasser. Je venais m'enfiler sur son dard bien raide ; il me fallait employer toutes les ressources de mon art pour lui donner ces précieuses secondes de détente. Un jour, il s'est écroulé sur moi avec un large sourire ; il m'avait offert son dernier orgasme. Tenir la main d'un mourant est un geste de tendresse. Un homme, au moment de la mort, a le sexe qui se tend dans un dernier appel. Bien peu sont entendus et perçoivent la dernière caresse, la jouissance de la dernière onction.
Quelle joie pour moi d'accueillir à la fois ce dernier sourire et ce dernier soupir, confondus. Mais cela ne m'empêche pas, bien que cela soit contraire à mon éthique, de jouir à fond lorsqu'un client maîtrise bien toutes les techniques érotiques, lorsqu’il butine ma fleur en artiste. C'est souvent le signal de la fin d'une sexotherapie bien réussie, le certificat de virilité amoureuse.
Ce fut le cas avec ce brave père de famille. Arrivé chez moi, un beau soir, furieux et catastrophé, car il venait de découvrir que sa femme avait un amant depuis deux ans.
« Quand je pense, me répétait-il, que nous prions ensemble tous les soirs... »
Je le laissai parler longtemps, longtemps, puis pour le détendre, je le déshabillai, le caressant tendrement. Lorsque je pris son sceptre entre mes lèvres, il parut hésitant et surpris, avant de se laisser aller et de profiter pleinement du concerto que je jouais sur son superbe luth.
« Tu as eu l'air d'apprécier, lui avais-je dit plus tard. Ta femme ne t'embrasse jamais ainsi ?
- Je n'aurais jamais osé le lui demander. »
Il me regarda, horrifié. J'avais compris le film. Je commençai par lui rappeler que la jalousie était un des sept péchés capitaux, un de ceux avec lequel on peut se blesser grièvement, puis je lui proposai une série de séances de formation qu'il accepta sans hésitation. Quelques semaines plus tard, il est venu m'annoncer que sa femme, surprise de l'évolution sexuelle de son mari, qui avait commencé à la faire jouir régulièrement, lui avait proposé de participer aux ébats avec son amant :
« J'ai accepté, car je sais qu'elle le quittera bientôt. »
Pour le remercier, je lui ai offert sa dernière séance, j'ai joué le grand jeu pendant deux heures au moins, et il m'a fait jouir.
Récemment, j'ai vu arriver chez moi, un homme d'une quarantaine d'années, très distingué. D'emblée, il m'a raconté qu'il se posait des questions sur sa sexualité : homosexuel depuis son adolescence, il vivait avec un ami, mais il avait le sentiment d'arriver dans une impasse. Après de nombreux bavardages sur l'homosexualité dans la littérature, le cinéma, le théâtre, dans la vie, il en vint à me dire que j'étais la première femme qui ne lui fasse pas peur. Il avait envie d'essayer, sans savoir jusqu'où il irait. Je lui laissai le champ libre.
Une heure plus tard, après m'avoir prise en levrette pendant quelques minutes, il s'allongeait sur le dos et me demandait de l'enfourcher. Je sentis vibrer toutes les cordes de son être ; il se mit à ahaner de plus en plus violemment, puis curieusement, il cria 'maman', avant d'exploser en moi avec une violence peu commune. Quelques minutes plus tard, tandis que je caressais délicatement sa tige encore brûlante et sensible, je lui demandai :
« Pourquoi as-tu appelé ta mère, avant de jouir ?
- Je ne sais pas, j'avais besoin d'exorciser quelque chose. Maintenant, je suis un homme ! »
Depuis lors, j'ai appris qu'il vivait encore avec son ami, mais qu'une jeune femme était avec eux. Par contre, il m'est arrivé deux ou trois fois de conseiller à un homme d'oser vivre une homosexualité que je sentais latente et refoulée chez lui tellement je le sentais crispé, même angoissé au moment de jouir. Il n'est pas toujours facile de trouver sa voie et la voix du sexe est souvent un signe. J'ai certainement aidé beaucoup d'hommes et de femmes, de couples aussi, mais c'est à une vieille femme de la campagne que je le dois. ?tait-elle un peu dérangée comme l'affirmait les gens de mon village, lorsqu'elle prétendait que parmi ses ancêtres, elle comptait nombre de sorcières et de prêtresses remontant à la plus haute antiquité.
J'assume cette filiation spirituelle, car elle m'a tout appris. Tout d'abord, le respect de mes clients et la plus grande tolérance vis-à-vis de leurs désirs, mais aussi le respect que j'exige d'eux. Elle m'a appris à découvrir les subtiles sensibilités de l'épiderme d'un être humain et à jouer de cet extraordinaire instrument de musique qu'est un sexe. Elle m'a appris les diverses façons de caresser, de toucher, d'effleurer avec les doigts, les seins, la langue. Elle m'a appris à sentir et partager le désir de l'autre, à communier avec l'autre, le temps d'une rencontre et à y trouver mon propre plaisir. À elle, je dois de me sentir plus femme que beaucoup de femmes et d'épouses, comme une sorte de résurgence des prostituées sacrées de l'antiquité.
- Commentaires textes : Écrire
Le retour...
Et ma robe ! |
Chers amis très coquins
Me voilà de retour, après vous avoir abandonnés quelques jours….
J’ose espérer que vous ne m’en voudrez pas, car bien entendu, c’était Noel, mais surtout, je me mariai ! Eh oui, sous nos latitudes, il est fréquent de se marier le 24 ou le 25 décembre.
Comme nous ne sommes pas encore partis en voyage de noces, cela me permet de vous retrouver aujourd’hui, car mon mari tout neuf est déjà parti travailler… L
D’ici une heure ou deux, je vais publier une nouvelle partie d’une histoire que vous êtes nombreux à suivre !
Je souhaite que vous ayez passés de bonnes fêtes de noël, avec une pensée particulière pour ceux qui étaient seuls.
A très vite, en vous remerciant encore de votre fidélité et de votre soutien !
Je vous envoie une tonne de baisers câlins-coquins….
Sophie
- Commentaires textes : Écrire
Quand trois amis se retrouvent à la campagne...
Je m'appelle Céline, j'ai vingt trois ans, et suis mariée depuis deux ans, avec Alain, âgé de vingt sept ans.
Nous avons acheté depuis peu une petite maison de campagne, que nous retapons petit à petit.
Mais les travaux trainent en longueur. Aussi avons-nous demandé à Neal, un copain d'enfance d'Alain, de nous donner un coup de main pour le week-end.
« Pas de problème, nous dit-il, vous pouvez compter sur moi ! »
Le samedi, les deux copains s'affairent aux différentes tâches, pendant que je m'occupe des courses. Depuis longtemps, j’ai le fantasme de me faire prendre par deux hommes en même temps, et mon cher mari semble être d’accord. Et si la présence de Neal me permettait de satisfaire enfin cette envie profonde ??? D’ailleurs deus son arrivée, il ne cesse de me faire de l’œil. Je sais qu’il a envie de moi.
Quand je rentre, Alain pose les bordures, je monte à l'étage où Neal termine la mise en place des plinthes. Je m'appuie à la fenêtre, pour demander à mon époux s'il n'a pas soif.
« Non, merci mon amour, çà va. »
Neal est dans l’encadrement de la porte, il me regarde en souriant. Je lui rends son sourire, et me retourne vers mon mari. Soudain, je sens Neal qui s'approche de moi, en rampant sur la moquette. Je sais que je l'ai toujours attiré, mais quand même, il ne prendrait pas un tel risque ! Mais si…
Il pose sa main sur un mollet, me caresse doucement, la laisse remonter vers ma cuisse. Son contact m’électrise. Jamais encore un autre homme ne m’a touchée depuis que je connais Alain. Par réflexe, j'écarte mes jambes, tout en restant accoudée à la fenêtre.
Il place sa tête directement entre mes cuisses.
Neal engage deux doigts entre l'élastique de mon string, et remonte sur mes lèvres intimes, jusqu'au clitoris, qu'il extrait de son capuchon. Je ne le repousse pas.
« Mais il est fou…
- Tu parles seule ma chérie ? me demande Alain.
- J'ai un petit coup de pompe, répondis-je
- Arrête-toi un peu », me conseille-t-il gentiment.
Si seulement il se doutait de ce qu’il se passe de ce coté de la fenêtre…
Neal a ôté mon string, et enroulé ma jupe autour de ma taille.
Les jambes légèrement écartées, j'offre totalement ma chatte aux mains habiles, mais aussi à la langue de Neal. Je ferme les yeux en pinçant les lèvres.
Il enfonce ses doigts dans ma grotte trempée, boit mon liquide clair, me lèche les lèvres sans me laisser prendre mon souffle…
« Mon dieu, comme il me chatte, comme il me suce, que c'est bon… »
Je passe une main entre mes cuisses, pour maintenir la tête de Neal contre ma fente
« Ha, quel salaud... Il me fait jouir !!! »
Je jouis avec des gros spasmes silencieux, pour ne pas alerter mon mari. Mes jambes tremblent, je suis au bord de l’implosion.
Neal a sorti ses attributs de son short. Sa queue, imposante, est au garde à vous. Il me tire par les hanches, jusqu'à ce que je disparaisse de la fenêtre. Je me maintiens sur la pointe des pieds, jambes largement ouvertes, à cent quatre vingt degrés. Il pose son gros gland contre ma fente ouverte, et s’enfonce d’un grand coup de reins. Il coulisse lentement sur sa bite en érection. Je pousse un râle de plaisir, et passe mes bras autour de son cou.
« Qu'est-ce que tu me fais, salaud ? Tu me niques trop bien ! Tu sais que tu me régales ? Putain, tu me maques, là… On m'a jamais écartée comme çà ! Ha, vicieux...
- Tu penses à ton mari, là, petite pute ? Il bosse à quelques mètres de nous, et toi, tu préfères te le faire mettre par une grosse queue, hein ? Et dans quelle position, entièrement offerte, salope. Moi aussi je me régale...Tu es tellement bonne... Et ton bouton..comme il est gros ce salaud..
- Vas-y.. Parle-moi comme çà, tu m'excites... Tu sais, mon coco, on n’a pas fini tout les deux ! Tu veux que je te taille une pipe ? J'ai envie te vider les couilles...te les mettre minables... Une fois que j'en aurai fini avec Alain ce soir, je veux que tu me baises… D’accord ? »
Après le repas, et après avoir pris une bonne douche, je regagne ma chambre, vite rejoint par mon mari. Neal, lui, finit de se laver.
Je suis allongée sur le lit, jambes écartées au maximum, la queue de mon mari enfoncée bien profond dans ma chatte pleine de mouille. Depuis mon aventure de l'après midi, j'avais besoin d'un bon coup de queue, même s'il ne venait pas de celui que j'espérais.
Soudain, je sens la masse d'Alain devenir plus pesante. En fait, je m'aperçois que Neal est vautré sur le dos de mon époux, prêt à le chevaucher.
« Mais qu’est-ce que tu fais là ?? tu ne vois pas que je fais l’amour à ma femme ???
- Ta femme ? C’est un trou à bites. Et je veux ma part !
-Ne parle pas comme ça d’elle, c’est MA femme.
- Tu parles, je l’ai déjà bien doigtée cet après-midi, et elle m’a pompé le dard comme une déesse !
- Ce n’est pas vrai, dis, ma chérie ? »
Il m’implore du regard, mais mes yeux en disent long…
« Mon chéri, tu sais que j’ai toujours eu envie de deux hommes en même temps, tu n’y étais pas opposé. Alors, je me suis dit que l’occasion était bonne ; Neal est ton ami, on est presqu’en famille... »
Il acquiesce, et recommence à me pistonner, malgré le poids de son ami sur lui.
Soudai, il sursaute :
« Le salaud, il m'a mis un doigt dans le cul...ha… deux maintenant...aie... il les fait tourner… aie ! »
Je vois des gouttes de sueur se former sur le front de mon mari. Je lui caresse la joue, les cheveux, le fixe dans les yeux en souriant. Un rictus de douleur apparait au commissure de ses lèvres.
« Qu'est- ce- qu'il t'arrive mon chéri, ce n’est pas bon ce qu'il te fait ?
- Ha..Céline..mais il...non...pas çà..il...il...
- Il t'encule, c'est çà ? Je lui ai demandé, tout à l’hure, quand je lui suçais sa bonne queue. Mets ta tête au creux de mon épaule mon amour, je vais te soutenir. Raconte à l'oreille de ta petite femme, ce qu'il te fait, tu veux bien ? Et t'arrête pas, baise-moi encore à fond. »
En dessus, je vois le visage souriant de Neal, satisfait d'être arrivé à ses fins. Au signe affirmatif de sa tête, je comprends que sa queue est entièrement plantée dans le petit trou de mon mari. Les va et vient peuvent commencer.
« Aie...aie..couine Alain..il va me déchirer..il est trop gros...hou....hou....je t'ai jamais fais çà moi..hou...
- Je sais mon chéri, j'ai jamais voulu avec toi. Mais t'inquiète pas, c'est le début qui est douloureux. C'est vrai qu'il est mieux monté que toi, mais tu verras, une fois que sa grosse bite sera bien en place, tu vas te régaler. Après, c'est toi qui va réclamer ta dose. Il te faudra le turlutter aussi.
Je sens les coups de boutoirs de l'énorme queue entre les reins de mon mari. Son front, toujours appuyée contre mon épaule, est en nage. Progressivement, les petits cris de douleur s'estompent. Soudain, il dresse sur ses mains, se cambre pour offrir
sa croupe.
« Ha le salaud, grommelle-t-il, il se vide les couilles...je les sens qui frappe contre mes bourses...putain, quelles sont grosses...ha..ha.. mais assez... »
Neal pousse des "han" de bucheron au rythme des jets qui giclent dans le petit trou d'Alain. Mon mari s'agite, essaie d'échapper à cette énorme bite qui lui bourre le cul.
« Calme toi mon amour, lui dis-je, Il se fait plaisir, laisse le finir tranquille. On va te libérer après !
- Mais toi ma chérie, me dit Alain, tu n'as pas joui… tu as pas envie. ?
- Oh que si. Avec Neal, on a décidé de passer la nuit ensemble. Tu prendras la chambre d'ami, tu veux bien ? Et t'inquiète pas si tu m'entends crier, je me suis trop retenue cette après midi, là je vais me lâcher. Allez mon amour, embrasse nous, et bonne nuit.
Alain m'embrasse puis se tourne vers Neal. Celui-ci le prend par la nuque, lui prend la bouche pour un baiser sulfureux.
Soumis Julien
Bonjour Maitresse Sophie,
Je vais vous raconter ma soumission que j’ai subie il y a quelques années
Comme je vous le disais dans un autre message, un couple m’a surpris en train de sucer un homme et en train d’être sodomisé. Voyant que je suçais comme une salope, et que je prenais du plaisir à être enculé, ils vinrent me voir quand je faisais ma toilette.
L’homme me demanda si je voulais être leur soumis tout un week-end, voire, toutes les vacances. Moi partante et très chaude, je dis oui de suite à cette nouvelle expérience très cool.
La première rencontre se fit chez eux. Ils me donnèrent leurs ordres. La première règle était que je n’étais rien, mis à part une chienne, une soumise.
Bien entendu, j’acquiesçais.
Ensuite, je devais porter une ceinture de chasteté, et un collier en permanence.
Je pouvais voir la bite de mon maitre, une très belle tige de vingt centimètres au moins, sur cinq centimètres de diamètre… Je dus enfin la sucer, pendant de longs moments. Pendant ce temps, Madame examinait mon anus pour voir ce que je pouvais recevoir : doigts, bite, main… Bref, elle testait mes limites anales.
Un soir, des invités sont venus, moi toujours nu avec le collier et la ceinture et très souvent un plug enfoncé dans mon anus.
Je devais faire le service nu, j’étais fouetté, je recevais des fessées, je devais sucer les hommes présents, je mangeais dans ma gamelle les restes.
Ensuite venait la partouze. J’ai été enculé par cinq mecs à la suite, les femmes prenaient leurs plaisirs de voir une salope d’homme qui se faisait défoncer.
Puis vint le tour des femmes. Elles me sodomisaient avec un énorme gode-ceinture, et j’avais en même temps toujours une bite dans la bouche. Ensuite venait la douche de sperme sur mon corps, puis j’allais sur mon matelas et je devais dormis comme j étais.
Un jour, maitresse et son mari m’emmènent à la plage naturiste de Pen Bron. C’est joli de voir tout ces corps nus. Là, plus de ceinture... mais dans la forêt des hommes, des femmes, venaient me voir pour que je fasse cunni, pipes, sodo à la chaine...
J’étais un jouet. Ma maitresse me voyant salope et prenant mon pied, a décidé de recommencer mais avec plus de matos, et que je sois plus humilié.
Alors, elle me mit un coller, une laisse pour me balader nue. Là, des couples nous regardent avec un air bizarre. Ensuite, un homme me caresse les fesses, et prenait ma bite pour me la sucer.
Ce couple bizarre regardait, et ça m’a fait rire de les voir quand je recevais ma sodomie. Là, je voyais plein d hommes et de couples arriver près de moi. Normal ! Un jeune avec collier et laisse, attaché par des menottes, bouche offerte et anus et bite à disposition... Que demander de mieux ?
Tout l’après-midi, des gens me sont passés dessus. J’étais épuisé, mon anus était défoncé, je me souviens, quand je suçais, j’ai vu deux mecs arriver, Ils ont mis leur bite dans la bouche et là, je me suis dit :
« Nooooooooon, pas ça dans mon cul !!! »
Leurs bites étaient monstrueuses, je n’avais jamais vu ça. Le gland était énorme ! J’entendis une femme dire :
« Cool ! Encule-le à fond, comme ça, tu ne me feras plus braire pour que j’accepte que tu me sodomises ! »
Je compris que j’allais en prendre plein le cul, au sens propre du terme ! Bien sur, une fois qu’ils m’ont eu bien limé la gorge à ‘en étouffer, l’un après l’autre sont venus me défoncer la rondelle comme des fous.
En riant, ils m’ont ensuite dit que l’un faisait vingt-deux centimètres par huit, et l’autre, vingt centimètres par six... De vraies canettes ! Pour la première fois depuis longtemps, j’ai vraiment eu très mal….
Pourtant, le fait de savoir que cela plaisait aux femmes présentes me consolait. Elles aimaient visiblement voir un homme se faire enculer sans ménagement…
Cependant, lorsque vraiment je n’en pouvais plus, je me mis à pleure comme une gamine, J’avais mal à la bouche, à la gorge… Mon anus était tellement dilaté que j’avais très mal.
En plus, je me rendis compte de ma déchéance quand je constatais à quel point j’étais couvert de sperme. Une majorité d’hommes s’était vidée sur moi et non dans les capotes. Une humiliation de plus…. Certains n’avaient pas hésité non plus à m’asperger de pisse, pour me montrer tout leur mépris envers moi.
Pour mon malheur, un chien est venu me renfiler, sans doute attiré par l’odeur de l’urine. Et là, un des hommes m’ordonna :
« Allez, petites salope, fais-toi saillir comme la chienne que tu es !!! »
Tous les autres ont explosé de rire. Je vis des jambes autour de moi, et je sentais l’odeur forte du chien :
« Non, pas çaaaaaaaaa !!!! »
Ma maitresse guida la bite du chien dans mon anus démesurément ouvert. Il me sodomisa avec une facilité déconcertante. Je pleurais de me voir ainsi réduit à l’état de chienne. Mais curieusement, je bandais comme un fou….
Enfin, quand le chien se retira, je vis ma maitresse enfiler un gant de latex, et dire à la cantonade :
« Regardez cette pute soumise, je vais la fister sans problème ! »
Et elle joignit le geste à la parole. Sa main entière vint s’agiter dans mon cul, sous les cris de joie des voyeurs. Son fist m’excita tellement, que je jouis lamentablement sur le sable de la dune.
Voilà, je n’étais plus un homme, mais une salope de chienne, baisable par tout le monde, y compris les animaux. Pendant encore une heure, des homes vinrent me soulager dans mes entrailles, des femmes venaient se faire lécher… J’ai reçu une humiliation énorme, car après, elle me laissa attaché, pour que tout le monde voit quelle était ma déchéance. Ma maitresse souriait, elle commentait aux passants. J’étais heureux de la voir heureuse…
Puis ma maitresse siffla la fin de la partie, elle me détacha. Dernière humiliation, elle mit une bâche dans la voiture pour que je ne la salisse pas... Comme pour un vrai chien, en somme.
Je savais que ca recommencerait bientôt, car ma maitresse adore me voir dans une foret, nue, pour que les couples me voient, me baisent, que je suce autant que je peux, tout ce qui se présente à moi… Elle adore que je sois enculé à la chaine par de grosses bites qui me défoncent littéralement.
Un jour, je suis allé seul à la Pointe Beaulieu, à Nantes. Là, je je suçai une belle bite et un autre m’enculait à fond. Un jeune couple me regarde, caché par des feuilles et me vois en train de gémir quand le mec donne des coups de rein. Ils semblent un peu surpris, mais restent à me mater.
Un moment plus tard, ce sont deux jeunes filles qui me regardent, et je me souviens que lorsque les mecs ont joui sur moi, les filles se sont approchées et ont vu que j’étais plein de sperme. Elles m’ont parlé :
« Alors, tu as aimé ? Tu as pris ton pied ? Tu aimes être sodomisé ?
-Oh oui, ca me plait, regardez comme je bande dur ! »
Je m’essuyais ma peau avec les mains, et suçais le sperme récolé, pour montrer à quel point j’étais salope. Elles s’éloignèrent en riant. Dommage, j’aurais bien aimé en lécher une, pendant que l’autre m’aurait sodomisé avec un gode !
Pendant les semaines qui suivirent, ma maitresse m’emmena de plus en plus souvent en foret, pour que je me fasse défoncer par tous et toutes. Elle incitait particulièrement les femmes à m’enculer avec un gode. Elle leur disait :
« Allez, mesdames, si vous voulez vous venger d’un homme, défoncez-le ! »
Certaines obtempéraient, et mettaient le gode-ceinture. C’étaient les sodos les plus douloureuses, car elles les faisaient à sec, et de façon violente. Logique, elles étaient en train de se venger…
Quelques-unes ensuite me pissaient dessus ; en riant de plaisir. Je devais les nettoyer avec ma langue. Si je ne les faisais pas jouir, j’étais puni par un enculage avec un plug très très gros. C’était dur, mais je continuais de bander comme un fou.
Des hommes aussi, une fois qu’ils avaient joui dans ma bouche, me forçaient à avaler leur urine. J’étais vraiment devenu une lopette, une moins que rien, une chienne juste bonne à enculer et à recevoir de la pisse.
C’était dur, mais ma maitresse aimait cela, et j’aimais qu’elle aime…
Voila Maitresse Sophie, dur dur de reparler de ça.. Mais maintenant, vous savez tout, et vous saurez si je peux devenir votre chienne à vous.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Voila une situation que j'adorerai vivre. Sentir une bonne queu dans son cul pendant qu'on baise quelqu'un, cela doit friser le nirvana.
Et prendre un e bonne giclée dans le cul, cela doit également etre vraiment jouissif. Malheureusement, avec le sida, ce n'est plus possible