Les Mémoires très Libertines de Sophie
Ma belle fille s'est glissée dans mon lit !
AVERTISSEMENT : ce récit raconte une histoire incestueuse, et peut vous choquer.
Continuant de fouiller dans mes souvenirs de libertin, je me remémore une période qui remonte à une quinzaine d’années. Elle me revient en mémoire (je l’avais quelque peu occultée, vous comprendrez pourquoi en lisant la suite) car elle s’est produite à la même époque de l’année.
Veuf depuis quelques années déjà, je n’avais plus que quelques années de travail avant d’arriver à l’âge de la retraite. Les enfants et petits enfants dispersés en divers endroits de France, je m’efforçais de venir chez les uns et les autres pour fêter les anniversaires.
Un weekend prolongé auquel j’avais ajouté quelques jours de congés me permettait cette année-là de passer quelques jours dans la région de Royan chez l’ex d’un de mes fils et ses enfants dont la fille aînée, Stéphanie fêtait ses dix-dix ans. Le séjour se passait dans la bonne humeur et la joie des retrouvailles. J’avais toujours été complice avec Ingrid, l’ex de Louis, mon fils aîné. Et des années plus tard, elle me remerciait encore de n’avoir pas pris parti pour l’un ou l’autre au moment de la séparation.
Ingrid, comme son prénom peut le laisser supposer, a des origines nordiques. Elle est la fille naturelle d’une suédoise qui, jeune étudiante de vingt ans, s’est fait faire un enfant lors d’un voyage en Egypte. Le mélange des gènes a donné un résultat plus que séduisant. De ses origines scandinaves, elle a pris une silhouette longiligne avec une taille étroite, des cheveux blonds très pâles mais des yeux d’un noir profond, ses hanches juste un peu larges et une poitrine opulente mais bien ferme sont indiscutablement d’origine levantine.
Je ne comprenais toujours pas comment mon fils avait pu en arriver à la tromper outrageusement et à se comporter grossièrement avec elle, faisant preuve d’un manque d’éducation (qu’il n’avait pas) en sa présence. Je vous passe les détails.
L’avant dernière soirée du séjour, je l’ai passée à bavarder avec Ingrid alors que les enfants étaient couchés depuis longtemps. La fatigue de la journée de fête autour d’un barbecue avec les membres de la famille et les copains et copines et les cours qui reprenaient dès le lendemain en étaient la cause. Etant d’une manière assez libres dans nos propos, au cours de la conversation, nous avons évoqué notre sexualité : comment je faisais, veuf depuis plusieurs années, pour satisfaire ma libido, comment elle satisfaisait la sienne.
Sans trop entrer dans les détails, je lui ai avoué que depuis bien longtemps, j’étais un libertin convaincu fidèle à mon épouse qui ne partageait pas mes penchants mais qui était suffisamment ardente au lit. Depuis, sans l’oublier, je multipliais les liaisons et aventures plus ou moins longues et fréquentais les clubs échangistes. De son côté elle m’a avoué sans aucune fausse pudeur qu’il lui arrivait de se caresser sous la douche ou dans son lit. Elle n’avait jamais osé acheter des jouets de peur que les enfants les trouvent…
Bref, lorsque vers une heure du matin, nous sommes allés nous coucher, je pense que l’un et l’autre nous étions passablement excités. En moi-même, je me suis dis que dès mon retour chez moi, je me rendrais dans ce club que je fréquente assez régulièrement dans la périphérie de B… et j’en profiterais pour m’offrir une belle partie de baise avec celle qui voudrait bien se laisser faire.
Je dormais profondément lorsque j’ai senti la couette sous laquelle je dormais nu, se soulever et un corps chaud se glisser près de moi. C’était Ingrid qui me rejoignait :
« Je n’arrive pas à dormir ! Prends-moi dans tes bras, cela me calmera. »
Quelle surprise ! Complètement éveillé, je l’ai prise dans mes bras. Au travers de sa nuisette, je sentais les courbes de son corps et soudain, je me suis mis à bander comme un cerf en rut. Je n’avais pas baisé depuis une quinzaine de jours et la conversation que nous avions eue en soirée ont vite fait de m’exciter. Elle l’a senti car presque aussitôt sa main est venue se poser sur mon sexe et une douce masturbation a commencé. Pour ne pas être en reste, j’ai quelque peu changé de position pour pouvoir caresser sa chatte à la toison touffue. Sa fente était chaude et humide. Quelques effleurements plus tard, son clitoris était complètement bandé et les deux doigts que j’avais introduits dans son sexe étaient inondés de cyprine.
« Fais-moi l’amour ! J’ai envie que tu me baises ! Ce sera notre secret !
- OK. Si c’est ce que tu veux, je suis partant !
- Oui baise-moi ! Ne te prive pas, inonde ma chatte de ton jus ! »
Ce bref échange de paroles avait fait son effet ! Ma bite était désormais complètement bandée, dure comme du bois, prête à l’estocade. Ingrid m’a ouvert les bras et les cuisses et je me suis introduit dans sa chatte ! Waouh, qu’elle était humide et chaude ! Aussitôt elle a noué ses jambes dans mon dos en me soufflant : - « Vas-y, baise moi, je suis à toi ! »
Et là, c’est une véritable tornade qui s’est emparée d’Ingrid qui s’est agitée comme une furie sous mes coups de boutoirs qui faisaient claquer nos pubis l’un contre l’autre, essayant tant bien que mal de maitriser ses soupirs et râles de jouissance au fur et à mesure que celle-ci montait en elle. De mon côté, je me retenais d’aller trop vite à la conclusion… Mais c’est Ingrid qui est partie la première, lâchant plusieurs cris de plaisir au moment où je sentais son sexe palpiter autour de ma bite, fichée en elle au plus profond de ce que je pouvais :
« Ouiiii ! Je jouiiiisss ! C’est booon ! »
De mon côté, je n’avais pas encore pris mon plaisir, tout à l’idée de bien faire jouir ma partenaire qui dès que le calme est revenu, m’a désarçonné en me faisant rouler sur le dos. Dans le clair obscur de la chambre aux volets entrouverts, je l’ai vue faire voler sa nuisette par-dessus sa tête puis plonger vers ma queue dressée comme un « I » et l’emboucher pour quelques va-et-vient. Puis Ingrid m’a enjambé pour venir s’empaler sur ma queue, face à moi. D’un même coup d’œil, je voyais sa toison de poils châtains et drus et son opulente poitrine se balancer sous mes yeux. Quel spectacle !
Vous connaissez mon attirance pour les poitrines des femmes. Une main sur chaque sein, le téton au creux de ma paume, j’ai commencé un massage de ses globes doux et souples pour les faire dresser. Dès qu’ils ont été un peu sortis, je les ai fait rouler entre mes doigts :
« Oh oui ! C’est bon ce que tu me fais ! Continue ! »
Pendant ce temps elle remuait de la croupe pour faire aller et venir mon sexe dans sa chatte. Bientôt les tétons ont été sortis et ressemblaient à une petite fraise des bois ! Vision oh combien érotique qui montrait son excitation. J’ai laissé glisser mes mains le long de son corps et les posant de part et d’autre des hanches, Ingrid a ainsi pu faire les mouvements de bas en haut sur me queue, se baisant elle-même de plus en plus vite au fur et à mesure que sa jouissance montait.
Pris dans notre folie sexuelle, nous ne nous étions pas rendu compte qu’en plus des soupirs et cris de jouissance, le lit faisait du bruit… si bien que la porte de la chambre s’est entrouverte, laissant apparaître le minois oh combien étonné de ma petite fille ! Sa mère ne s’est aperçue de rien car elle tournait le dos à la porte, si bien que Stéphanie pouvait nous mater tout à loisir. J’étais bien évidemment excité mais aussi, gêné d’être surpris ainsi !
J’ai laissé Ingrid jouir empalée sur mon sexe qui a lancé quelques beaux jets drus au fond de sa chatte. Stéphanie s’est exclamée :
« Oh Maman ! Comme c’est beau de te voir faire l’amour ! Montrez-moi comment vous faites ! »
Ingrid s’est retournée vers sa fille en disant :
« Ca fait longtemps que tu nous regarde ?
- Oh oui ! Depuis que grand-père a descendu ses mains sur tes hanches. C’est le bruit qui m’a réveillée !
- Veux-tu te sauver ! Nous en reparlerons tout à l’heure !
- Non ! Je veux que tu me montres comment on fait l’amour ! Je ne l’ai jamais fait, tu dois bien t’en douter puisque je n’ai pas de copain ! »
Gêné mais aussi excité par cette situation, j’ai dit alors :
« Maintenant que Stéphanie nous a surpris, pourquoi ne pas lui expliquer ? Çà ne peut pas lui nuire. Elle est assez grande maintenant. A son âge, beaucoup de filles font l‘amour depuis longtemps.
- Oh oui ! Ça je le sais ! Lorsque mes copines de lycée parlent de ça, je me trouve bête car j’ignore l’essentiel.
- Bon ! Puisque vous êtes tous les deux contre moi, approche ! »
Stéphanie est venue nous rejoindre sur le lit et je me trouvais entre deux femmes désirables, l’une dans la maturité de ses quarante-deux ans et l’autre, jeune jouvencelle aux formes déjà bien dessinées, visibles sous sa chemise de nuit qu’elle a ôtée en nous rejoignant. Elle avait des seins pointus comme des demi-citrons, des hanches étroites et une toison à peine développée qui découvrait sa fente plus qu’elle ne la masquait...
Sa mère pris la parole :
« Puisque tu veux apprendre, je vais te montrer une caresse qui t’évitera de faire l’amour avec un garçon tout en lui donnant du plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela ! »
Ingrid s’est penchée vers mon bas ventre où ma queue, à moitié bandée paressait doucement. Elle l’a prise entre ses mains et montant et descendant le long de la hampe, elle a commencé à me masturber en donnant de temps à autre des coups de langue sur mon gland :
« Voila, tu peux commencer de cette manière, ensuite tu peux la prendre en bouche pour la sucer, je vais te montrer ! »
Aussitôt Ingrid plonge ma bite dans sa bouche où, après l’avoir copieusement enduite de salive, commence une caresse buccale faite de va-et-vient profonds et d’aspirations plus ou moins fortes qui me rendent rapidement une superbe érection :
« Tu vois Stéphanie, si ta mère continue ainsi, je vais jouir dans sa bouche ou alors, si elle ne veut pas, elle pourra me masturber à la fin pour me faire gicler à l’extérieur, dans le vide ou sur les seins... Pour l’homme, c’est très jouissif et excitant car cela peut se faire rapidement dans une cachette improvisée. En même temps que tu suces, tu peux aussi caresser les bourses pour faire rouler les testicules mais ne serre pas trop car ils sont sensibles. Viens aider ta mère ! »
Stéphanie s’approche encore et d’une main timide commence à caresser mes bourses et suivant mes indications griffe doucement la peau ! Waouh que c’est si bon ! La mère et la fille qui me font une gâterie en même temps, que j’oublie qui sont ces deux femmes… si bien que je dois arrêter Ingrid :
« Arrête Ingrid, tu vas me faire juter. Je pense que Stéphanie a compris le principe. Elle nous a vus baiser en amazone, maintenant on va lui montrer autre chose.
- Oh oui, Maman, montre-moi vraiment comment on fait l’amour.
- Je vais baiser ta mère en levrette et t’expliquer qu’il peut y avoir une variante. »
Ingrid prend aussitôt la position souhaitée, les mains en appui sur la tête de lit, la tête relevée et tournée vers le grand miroir du placard. Qu’elle est belle ! J’ai sous mes yeux un dos à la taille étroite qui s’élargit en montant vers les épaules et s’évase pour former des hanches pleines qui s’offrent, fendues par le sillon fessier où palpite son œillet plissé.
Je glisse aussitôt mon sexe dans le vagin d’Ingrid et je commence à la baiser doucement. Elle m’a tellement bien sucé que si je n’y prends pas garde, je vais jouir rapidement :
« Approche-toi Stéphanie, je vais te montrer autre chose. Tu as certainement entendu parler de sodomie ! Cette position en levrette est la plus facile pour sodomiser une femme. Tu vois le sphincter ? Et bien quand il est préparé correctement, les sensations sont encore meilleures que dans le vagin. Mais quand un garçon veut passer par là, il doit impérativement mettre un préservatif pour des raisons d’hygiène. D’ailleurs, même si tu prends un contraceptif, oblige-toi à utiliser une capote à chaque fois pour me pas être contaminée par une maladie sexuellement transmissible. »
Tout en expliquant cela à Stéphanie, je furetais avec mon index droit dans la raie culière d’Ingrid, frôlant son anus mais il était impossible d’y entrer ne serait-ce que la première phalange. Visiblement, le passage arrière n’avait jamais été ouvert. Cette coquine de Stéphanie se masturbait en nous regardant ! Elle avait au moins deux doigts qui allaient et venaient dans sa chatte et son autre mains caressait ses seins, faisant rouler les tétons entre ses doigts comme elle me l’avait vu faire à sa mère.
Pendant ce temps je continuais d’aller et venir dans le sexe de sa mère qui faisait travailler ses muscles intimes autour de ma queue quand elle était bien au fond. Elle devait avoir une chatte profonde et ma bite plutôt courte mais trapue ne venait jamais frapper sa matrice. Cela ne l’a pas empêchée de prendre une nouvelle fois un pied d’enfer, rugissant de plus belle au moment où le plaisir déferlait en elle. Comme je me retenais, je me suis lâché immédiatement, lâchant quelques giclées dans sa chatte mais surtout, j’ai achevé de me vider sur ses reins. Je crois que Stéphanie n’attendait que cela car elle s’est précipitée sur le dos de sa mère pour lécher ce que j’y avais répandu.
Je dois avouer que cette séance d’initiation à trois nous avait bien échauffé les esprits et les corps. Au lieu de nous séparer comme nous aurions pu les faire, nous nous sommes mis à bavarder tous les trois, parlant de l’amour, des pratiques diverses, minant avec Ingrid certaines positions en disant quels avantages on en retirait, mais à aucun moment je n’ai touché le corps de Stéphanie. Lui montrer ou lui décrire les choses était suffisant. En fait, c’était une demi vierge car son hymen était déjà déchiré : c’était arrivé lors d’une séance d’équitation, le soir en se déshabillant elle avait trouvé des traces de sang dans le fond de sa culotte. Ce sont des choses qui arrivent dans certains sports. Il ne reste plus à Stéphanie qu’à trouver le copain qui fera d’elle une femme à part entière : Désormais, elle sait comment faire.
Chacun a regagné discrètement sa chambre au petit matin et plus jamais nous n’avons reparlé de cette nuit mémorable. Après la route de Royan à chez moi, j’ai rapidement pris un bain relaxant, puis je me suis rendu dans ce club où j’ai mes habitudes. J’étais dans un des jacuzzis quand une métisse sculpturale est venue m’y rejoindre. Nous avons batifolé quelques instants avant qu’elle ne me propose une séance des massages. Très douée, elle a achevé de dénouer tous mes muscles par de savants attouchements, avant qu’elle ne me demande de la sodomiser, aboutée sur la table de massage. J’ai ensuite quitté le club et moins d’un quart d’heure plus tard, j’étais dans mon lit et je sombrais dans un sommeil sans rêve.
Continuant de fouiller dans mes souvenirs de libertin, je me remémore une période qui remonte à une quinzaine d’années. Elle me revient en mémoire (je l’avais quelque peu occultée, vous comprendrez pourquoi en lisant la suite) car elle s’est produite à la même époque de l’année.
Veuf depuis quelques années déjà, je n’avais plus que quelques années de travail avant d’arriver à l’âge de la retraite. Les enfants et petits enfants dispersés en divers endroits de France, je m’efforçais de venir chez les uns et les autres pour fêter les anniversaires.
Un weekend prolongé auquel j’avais ajouté quelques jours de congés me permettait cette année-là de passer quelques jours dans la région de Royan chez l’ex d’un de mes fils et ses enfants dont la fille aînée, Stéphanie fêtait ses dix-dix ans. Le séjour se passait dans la bonne humeur et la joie des retrouvailles. J’avais toujours été complice avec Ingrid, l’ex de Louis, mon fils aîné. Et des années plus tard, elle me remerciait encore de n’avoir pas pris parti pour l’un ou l’autre au moment de la séparation.
Ingrid, comme son prénom peut le laisser supposer, a des origines nordiques. Elle est la fille naturelle d’une suédoise qui, jeune étudiante de vingt ans, s’est fait faire un enfant lors d’un voyage en Egypte. Le mélange des gènes a donné un résultat plus que séduisant. De ses origines scandinaves, elle a pris une silhouette longiligne avec une taille étroite, des cheveux blonds très pâles mais des yeux d’un noir profond, ses hanches juste un peu larges et une poitrine opulente mais bien ferme sont indiscutablement d’origine levantine.
Je ne comprenais toujours pas comment mon fils avait pu en arriver à la tromper outrageusement et à se comporter grossièrement avec elle, faisant preuve d’un manque d’éducation (qu’il n’avait pas) en sa présence. Je vous passe les détails.
L’avant dernière soirée du séjour, je l’ai passée à bavarder avec Ingrid alors que les enfants étaient couchés depuis longtemps. La fatigue de la journée de fête autour d’un barbecue avec les membres de la famille et les copains et copines et les cours qui reprenaient dès le lendemain en étaient la cause. Etant d’une manière assez libres dans nos propos, au cours de la conversation, nous avons évoqué notre sexualité : comment je faisais, veuf depuis plusieurs années, pour satisfaire ma libido, comment elle satisfaisait la sienne.
Sans trop entrer dans les détails, je lui ai avoué que depuis bien longtemps, j’étais un libertin convaincu fidèle à mon épouse qui ne partageait pas mes penchants mais qui était suffisamment ardente au lit. Depuis, sans l’oublier, je multipliais les liaisons et aventures plus ou moins longues et fréquentais les clubs échangistes. De son côté elle m’a avoué sans aucune fausse pudeur qu’il lui arrivait de se caresser sous la douche ou dans son lit. Elle n’avait jamais osé acheter des jouets de peur que les enfants les trouvent…
Bref, lorsque vers une heure du matin, nous sommes allés nous coucher, je pense que l’un et l’autre nous étions passablement excités. En moi-même, je me suis dis que dès mon retour chez moi, je me rendrais dans ce club que je fréquente assez régulièrement dans la périphérie de B… et j’en profiterais pour m’offrir une belle partie de baise avec celle qui voudrait bien se laisser faire.
Je dormais profondément lorsque j’ai senti la couette sous laquelle je dormais nu, se soulever et un corps chaud se glisser près de moi. C’était Ingrid qui me rejoignait :
« Je n’arrive pas à dormir ! Prends-moi dans tes bras, cela me calmera. »
Quelle surprise ! Complètement éveillé, je l’ai prise dans mes bras. Au travers de sa nuisette, je sentais les courbes de son corps et soudain, je me suis mis à bander comme un cerf en rut. Je n’avais pas baisé depuis une quinzaine de jours et la conversation que nous avions eue en soirée ont vite fait de m’exciter. Elle l’a senti car presque aussitôt sa main est venue se poser sur mon sexe et une douce masturbation a commencé. Pour ne pas être en reste, j’ai quelque peu changé de position pour pouvoir caresser sa chatte à la toison touffue. Sa fente était chaude et humide. Quelques effleurements plus tard, son clitoris était complètement bandé et les deux doigts que j’avais introduits dans son sexe étaient inondés de cyprine.
« Fais-moi l’amour ! J’ai envie que tu me baises ! Ce sera notre secret !
- OK. Si c’est ce que tu veux, je suis partant !
- Oui baise-moi ! Ne te prive pas, inonde ma chatte de ton jus ! »
Ce bref échange de paroles avait fait son effet ! Ma bite était désormais complètement bandée, dure comme du bois, prête à l’estocade. Ingrid m’a ouvert les bras et les cuisses et je me suis introduit dans sa chatte ! Waouh, qu’elle était humide et chaude ! Aussitôt elle a noué ses jambes dans mon dos en me soufflant : - « Vas-y, baise moi, je suis à toi ! »
Et là, c’est une véritable tornade qui s’est emparée d’Ingrid qui s’est agitée comme une furie sous mes coups de boutoirs qui faisaient claquer nos pubis l’un contre l’autre, essayant tant bien que mal de maitriser ses soupirs et râles de jouissance au fur et à mesure que celle-ci montait en elle. De mon côté, je me retenais d’aller trop vite à la conclusion… Mais c’est Ingrid qui est partie la première, lâchant plusieurs cris de plaisir au moment où je sentais son sexe palpiter autour de ma bite, fichée en elle au plus profond de ce que je pouvais :
« Ouiiii ! Je jouiiiisss ! C’est booon ! »
De mon côté, je n’avais pas encore pris mon plaisir, tout à l’idée de bien faire jouir ma partenaire qui dès que le calme est revenu, m’a désarçonné en me faisant rouler sur le dos. Dans le clair obscur de la chambre aux volets entrouverts, je l’ai vue faire voler sa nuisette par-dessus sa tête puis plonger vers ma queue dressée comme un « I » et l’emboucher pour quelques va-et-vient. Puis Ingrid m’a enjambé pour venir s’empaler sur ma queue, face à moi. D’un même coup d’œil, je voyais sa toison de poils châtains et drus et son opulente poitrine se balancer sous mes yeux. Quel spectacle !
Vous connaissez mon attirance pour les poitrines des femmes. Une main sur chaque sein, le téton au creux de ma paume, j’ai commencé un massage de ses globes doux et souples pour les faire dresser. Dès qu’ils ont été un peu sortis, je les ai fait rouler entre mes doigts :
« Oh oui ! C’est bon ce que tu me fais ! Continue ! »
Pendant ce temps elle remuait de la croupe pour faire aller et venir mon sexe dans sa chatte. Bientôt les tétons ont été sortis et ressemblaient à une petite fraise des bois ! Vision oh combien érotique qui montrait son excitation. J’ai laissé glisser mes mains le long de son corps et les posant de part et d’autre des hanches, Ingrid a ainsi pu faire les mouvements de bas en haut sur me queue, se baisant elle-même de plus en plus vite au fur et à mesure que sa jouissance montait.
Pris dans notre folie sexuelle, nous ne nous étions pas rendu compte qu’en plus des soupirs et cris de jouissance, le lit faisait du bruit… si bien que la porte de la chambre s’est entrouverte, laissant apparaître le minois oh combien étonné de ma petite fille ! Sa mère ne s’est aperçue de rien car elle tournait le dos à la porte, si bien que Stéphanie pouvait nous mater tout à loisir. J’étais bien évidemment excité mais aussi, gêné d’être surpris ainsi !
J’ai laissé Ingrid jouir empalée sur mon sexe qui a lancé quelques beaux jets drus au fond de sa chatte. Stéphanie s’est exclamée :
« Oh Maman ! Comme c’est beau de te voir faire l’amour ! Montrez-moi comment vous faites ! »
Ingrid s’est retournée vers sa fille en disant :
« Ca fait longtemps que tu nous regarde ?
- Oh oui ! Depuis que grand-père a descendu ses mains sur tes hanches. C’est le bruit qui m’a réveillée !
- Veux-tu te sauver ! Nous en reparlerons tout à l’heure !
- Non ! Je veux que tu me montres comment on fait l’amour ! Je ne l’ai jamais fait, tu dois bien t’en douter puisque je n’ai pas de copain ! »
Gêné mais aussi excité par cette situation, j’ai dit alors :
« Maintenant que Stéphanie nous a surpris, pourquoi ne pas lui expliquer ? Çà ne peut pas lui nuire. Elle est assez grande maintenant. A son âge, beaucoup de filles font l‘amour depuis longtemps.
- Oh oui ! Ça je le sais ! Lorsque mes copines de lycée parlent de ça, je me trouve bête car j’ignore l’essentiel.
- Bon ! Puisque vous êtes tous les deux contre moi, approche ! »
Stéphanie est venue nous rejoindre sur le lit et je me trouvais entre deux femmes désirables, l’une dans la maturité de ses quarante-deux ans et l’autre, jeune jouvencelle aux formes déjà bien dessinées, visibles sous sa chemise de nuit qu’elle a ôtée en nous rejoignant. Elle avait des seins pointus comme des demi-citrons, des hanches étroites et une toison à peine développée qui découvrait sa fente plus qu’elle ne la masquait...
Sa mère pris la parole :
« Puisque tu veux apprendre, je vais te montrer une caresse qui t’évitera de faire l’amour avec un garçon tout en lui donnant du plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela ! »
Ingrid s’est penchée vers mon bas ventre où ma queue, à moitié bandée paressait doucement. Elle l’a prise entre ses mains et montant et descendant le long de la hampe, elle a commencé à me masturber en donnant de temps à autre des coups de langue sur mon gland :
« Voila, tu peux commencer de cette manière, ensuite tu peux la prendre en bouche pour la sucer, je vais te montrer ! »
Aussitôt Ingrid plonge ma bite dans sa bouche où, après l’avoir copieusement enduite de salive, commence une caresse buccale faite de va-et-vient profonds et d’aspirations plus ou moins fortes qui me rendent rapidement une superbe érection :
« Tu vois Stéphanie, si ta mère continue ainsi, je vais jouir dans sa bouche ou alors, si elle ne veut pas, elle pourra me masturber à la fin pour me faire gicler à l’extérieur, dans le vide ou sur les seins... Pour l’homme, c’est très jouissif et excitant car cela peut se faire rapidement dans une cachette improvisée. En même temps que tu suces, tu peux aussi caresser les bourses pour faire rouler les testicules mais ne serre pas trop car ils sont sensibles. Viens aider ta mère ! »
Stéphanie s’approche encore et d’une main timide commence à caresser mes bourses et suivant mes indications griffe doucement la peau ! Waouh que c’est si bon ! La mère et la fille qui me font une gâterie en même temps, que j’oublie qui sont ces deux femmes… si bien que je dois arrêter Ingrid :
« Arrête Ingrid, tu vas me faire juter. Je pense que Stéphanie a compris le principe. Elle nous a vus baiser en amazone, maintenant on va lui montrer autre chose.
- Oh oui, Maman, montre-moi vraiment comment on fait l’amour.
- Je vais baiser ta mère en levrette et t’expliquer qu’il peut y avoir une variante. »
Ingrid prend aussitôt la position souhaitée, les mains en appui sur la tête de lit, la tête relevée et tournée vers le grand miroir du placard. Qu’elle est belle ! J’ai sous mes yeux un dos à la taille étroite qui s’élargit en montant vers les épaules et s’évase pour former des hanches pleines qui s’offrent, fendues par le sillon fessier où palpite son œillet plissé.
Je glisse aussitôt mon sexe dans le vagin d’Ingrid et je commence à la baiser doucement. Elle m’a tellement bien sucé que si je n’y prends pas garde, je vais jouir rapidement :
« Approche-toi Stéphanie, je vais te montrer autre chose. Tu as certainement entendu parler de sodomie ! Cette position en levrette est la plus facile pour sodomiser une femme. Tu vois le sphincter ? Et bien quand il est préparé correctement, les sensations sont encore meilleures que dans le vagin. Mais quand un garçon veut passer par là, il doit impérativement mettre un préservatif pour des raisons d’hygiène. D’ailleurs, même si tu prends un contraceptif, oblige-toi à utiliser une capote à chaque fois pour me pas être contaminée par une maladie sexuellement transmissible. »
Tout en expliquant cela à Stéphanie, je furetais avec mon index droit dans la raie culière d’Ingrid, frôlant son anus mais il était impossible d’y entrer ne serait-ce que la première phalange. Visiblement, le passage arrière n’avait jamais été ouvert. Cette coquine de Stéphanie se masturbait en nous regardant ! Elle avait au moins deux doigts qui allaient et venaient dans sa chatte et son autre mains caressait ses seins, faisant rouler les tétons entre ses doigts comme elle me l’avait vu faire à sa mère.
Pendant ce temps je continuais d’aller et venir dans le sexe de sa mère qui faisait travailler ses muscles intimes autour de ma queue quand elle était bien au fond. Elle devait avoir une chatte profonde et ma bite plutôt courte mais trapue ne venait jamais frapper sa matrice. Cela ne l’a pas empêchée de prendre une nouvelle fois un pied d’enfer, rugissant de plus belle au moment où le plaisir déferlait en elle. Comme je me retenais, je me suis lâché immédiatement, lâchant quelques giclées dans sa chatte mais surtout, j’ai achevé de me vider sur ses reins. Je crois que Stéphanie n’attendait que cela car elle s’est précipitée sur le dos de sa mère pour lécher ce que j’y avais répandu.
Je dois avouer que cette séance d’initiation à trois nous avait bien échauffé les esprits et les corps. Au lieu de nous séparer comme nous aurions pu les faire, nous nous sommes mis à bavarder tous les trois, parlant de l’amour, des pratiques diverses, minant avec Ingrid certaines positions en disant quels avantages on en retirait, mais à aucun moment je n’ai touché le corps de Stéphanie. Lui montrer ou lui décrire les choses était suffisant. En fait, c’était une demi vierge car son hymen était déjà déchiré : c’était arrivé lors d’une séance d’équitation, le soir en se déshabillant elle avait trouvé des traces de sang dans le fond de sa culotte. Ce sont des choses qui arrivent dans certains sports. Il ne reste plus à Stéphanie qu’à trouver le copain qui fera d’elle une femme à part entière : Désormais, elle sait comment faire.
Chacun a regagné discrètement sa chambre au petit matin et plus jamais nous n’avons reparlé de cette nuit mémorable. Après la route de Royan à chez moi, j’ai rapidement pris un bain relaxant, puis je me suis rendu dans ce club où j’ai mes habitudes. J’étais dans un des jacuzzis quand une métisse sculpturale est venue m’y rejoindre. Nous avons batifolé quelques instants avant qu’elle ne me propose une séance des massages. Très douée, elle a achevé de dénouer tous mes muscles par de savants attouchements, avant qu’elle ne me demande de la sodomiser, aboutée sur la table de massage. J’ai ensuite quitté le club et moins d’un quart d’heure plus tard, j’étais dans mon lit et je sombrais dans un sommeil sans rêve.
- Commentaires textes : Écrire
Ah vous dirais-je Maman...
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène ?
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous les deux.
Il m'emmène dans le bois
Et me dit : « déshabille-toi ».
Quand je suis nue tout entière,
Il me fait coucher par terre,
Et de peur que je n'aie froid
Il vient se coucher sur moi.
Puis il me dit d'un ton doux :
« Écarte bien tes genoux »
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh ! vous conviendrez Maman
Qu'il a des idées vraiment !
Puis il sort, je ne sais d'où
Un petit animal très doux,
Une espèce de rat sans pattes
Qu'il me donne et que je flatte.
Oh ! Le joli petit rat !
D'ailleurs, il vous le montrera.
Et c'est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment.
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu'il a trouvée, le farceur,
Où vous situez mon honneur.
Mais ce petit rat curieux,
Très souvent devient furieux.
Voilà qu'il sort et qu'il rentre
Et qu'il me court dans le ventre.
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal.
Complètement essoufflé,
Il essaye de le rattraper.
Moi je ris à perdre haleine
Devant les efforts d'Eugène.
Si vous étiez là, Maman
Vous ririez pareillement.
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant.
Alors Eugène qui a la tremblote
Le remet dans sa redingote.
Et puis tous deux, nous rentrons
Sagement à la maison.
Mon cousin est merveilleux
Il connait des tas de jeux
Demain soir, sur la carpette
Il doit m'apprendre la levrette
Si vraiment c'est amusant
Je vous l'apprendrai en rentrant.
Voici ma chère Maman
Comment je passe mon temps.
Vous voyez je suis très sage.
Je fuis tous les bavardages
Et j'écoute vos leçons :
Je ne parle pas aux garçons !
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Après le match
Notre équipe de volleyball représente une petite ville d’environ 20 000 habitants. Nous n’avons pas la prétention de jouer au niveau national car nos moyens financiers limités ne permettent pas d’embaucher des stars comme certains le font, en fait nous jouons pour le plaisir d’être ensemble. Cependant nous avons des succès au niveau de notre région et nous sommes suivis par quelques groupes de supporters des deux sexes.
Ce dernier samedi, nous avions joué à domicile et gagné notre match. Avant de faire un peu la fête pour célébrer cette victoire arrachée de haute lutte, nous devions d’abord passer à la douche et entre les mains des trois masseurs qui s’occupent de nous.
Nous avons la chance de posséder des installations d’un bon niveau avec sauna, hammam, jacuzzis attenants aux vestiaires. Avec quelques partenaires, nous étions en train de nous prélasser dans les remous du bain quand nous avons eu la surprise de voir arriver deux nanas que nous savions faire partie de nos fans pour les voir souvent aux premières loges des gradins.
Que venaient-elles faire là ? Comment avaient-elles pu pénétrer dans les vestiaires ? Chacun se posait la question ! Avant que l’un ou l’autre puisse réagir, elles étaient à poil et se glissaient dans l’eau à côté de nous. Visiblement, elles cherchaient l’aventure et je peux dire qu’à la fin de la soirée, elles avaient eu ce qu’elles cherchaient ! Deux jeunettes d’à peine 20 ans, deux corps minces mais avec des formes bien rebondies aux bons endroits, une blonde et une brune : elles étaient appétissantes.
Si deux de nos partenaires sont sortis aussitôt du jacuzzi, nous sommes restés à cinq célibataires et ce n’était pas la première fois qu’à deux ou à trois, il nous arrivait des bonnes fortunes comme celle la ! Sans un mot, les deux filles se sont glissées entre nous. Assises, elles ont commencé à nous prendre la queue en main pour nous masturber et l’une d’elle a attiré vers sa bouche le sexe du cinquième homme ! Des chaudes qui n’avaient pas froid aux yeux.
Malgré la fatigue, il ne nous a pas fallu longtemps pour que nos sexes soient bandés à fond ! Dès qu’elles ont senti que nous étions en bonne forme, elles sont sorties de l’eau et se sont allongées sur la margelle du bassin, présentant leur fessier comme dans un appel au viol ! Mais, ce ne serait pas un viol ! Elles étaient tout à fait consentantes à ce qui allait se passer en nous tendant des préservatifs, elles se sont écriées :
« Allez-y ! Profitez-en bien ! Nous sommes à vous ! Baisez-nous ! Enculez-nous ! C’est votre récompense ! »
Deux de nos compagnons, Ludo et Jérémy, se sont aussitôt positionnés derrière ces belles fesses et saisissant les deux filles au niveau de la taille, ils se sont glissés dans les chattes ouvertes à leur intention d’une seule poussée virile. La blonde, baisée par Ludo, portait une tête de tigre tatouée au creux des reins, l’autre un lézard qui, courant le long de la colonne vertébrale, avait la tête à l’orée de la fente culière.
Les deux baiseurs y allaient avec ardeur ! Les fatigues du match et de la semaine de boulot semblaient oubliées. Ils baisaient les deux filles à grands coups de reins, entrant et sortant de leur partenaire dans un rythme de plus en plus rapide ! On aurait dit que c’était à celui qui jouirait le premier ! Les deux filles les encourageaient à haute voix :
« Allez-y ! Bourrez-nous ! Plus fort ! Encore ! »
Finalement, ce sont elles qui sont parties en premier, jouissant comme des malades, à croire qu’elles s’étaient shootées avant de venir dans les vestiaires. Ludo et Jérémy ont joui aussitôt après et dès qu’ils ont retiré le préservatif, ils se sont à nouveau glissé brièvement dans le jacuzzi avant de nous quitter.
Les deux filles, dont nous ne savions même pas le prénom, se sont alors retournées vers nous trois :
« A qui maintenant ! Qui a envie de se vider les couilles ? »
Ahmed, le beur de l’équipe a empoigné la blonde, il l’a couchée sur la margelle du bain à remous et en lui relevant les jambes le long de son torse, il a commencé à la baiser comme un forcené. Il est monté comme un taureau, sa bite mesure certainement plus de vingt centimètres et elle est large avec un gland circoncis rond comme une tête de champignon. Avec Pascal, il nous restait la brune ! Qu’à cela ne tienne, nous allions nous la partager.
« Mets-toi en levrette, tu vas me pomper le dard pendant que Pascal te baisera ! Je te ferai reluire ensuite ! »
A genou devant elle, j’ai présenté ma queue (pas très longue mais assez trapue) en face de sa bouche. Elle a commencé à lécher le gland avant de m’engloutir au plus profond. J’avais le pubis presque en contact avec son visage. Dès que j’ai été bien enduit de salive, elle a commencé de me pomper avec ardeur, alternant succions profondes et léchage du mat.
« Bravo ma belle ! Suce-moi bien ! J’ai les burnes bien pleines ! »
C’est vrai que c’était une sacrée pipeuse ! Elle savait y faire ! Pendant ce temps, je caressais ses seins bien ronds qui ballotaient sous elle au rythme de coups de queue que Pascal lui mettait :
« Waouh ! Qu’elle est bonne cette brune ! En plus, son cul palpite chaque fois que je sors de sa chatte ! Elle a du souvent se faire prendre le cul !
- Oh oui ! J’aime beaucoup me faire prendre le cul ! Je jouis aussi fort de là que quand on me baise la chatte ! »
Aussitôt après avoir prononcé ces paroles, la brune m’a repris en bouche mais je me suis dégagé rapidement car la sève montait ! Je me suis allongé sur le dos, la queue dressée comme un pal, certes pas très long, mais dur comme du bois tant j’étais excité :
« Venez ! On va te prendre en double !
- Oh oui, je veux ! »
Elle s’est aussitôt agenouillée au dessus de mon bas ventre, a couvert ma bite avec un préservatif et s’est empalée sur mon dard, l’engloutissant lentement mais d’un seul coup dans son sphincter. Waouh ! Quelle était chaude ! A peine étais-je au fond qu’elle a commencé à masser ma queue avec ses muscles internes en faisant des mouvements de bas en haut et en veillant à rester bien empalée…
« Dis donc salope, tu es une aussi bonne baiseuse que pipeuse ! Que ton cul est bon !
- Oh oui, depuis qu’il a gouté à une queue, mon cul ne peut plus s’en passer. D’ailleurs, j’ai toujours avec moi ce qu’il faut pour qu’il reste bien ouvert ! »
A peine avait-elle dit ces paroles qu’elle s’allongeait sur mon buste pour s’offrir à Pascal qui attendait pour la reprendre. Il s’est placé entre ses cuisses et a replongé sa bite dans la connasse de la fille. Moins de trente secondes plus tard, nous avons accordé nos mouvement pour bien prendre cette chienne dans j’avais pris les seins dans mes mains pour maintenir un semblant d’équilibre… Waouh, c’était bon ! Certes, ce n’étais pas la première fois que je baisais une fille en double comme çà… mais cette coquine battait tous les records et il lui en fallait encore plus :
« Prenez-moi le cul à deux, vous verrez c’est merveilleux et vous m’emplirez bien ! »
Pascal s’est dégagé de la chatte et j’ai senti sa bite glisser le long de la mienne dans l’anus de la fille. Je ne pouvais plus bouger et c’est lui qui a commencé à limer le cul de cette garce. Je sentais les va-et-vient de la bite de Pascal contre la mienne et çà me faisait bander encore plus bien que je ne sois pas homo ! Notre plaisir à tous les trois montait, cette enculade, quelle belle idée. Pascal a déchargé le premier en criant :
« Oh que c’est bon ! »
Et je l’ai suivi presque aussitôt au moment ou la fille jouissait également. Heureusement que je la tenais par la poitrine car elle s’est mise à gigoter dans tous les sens sous l’influence de la jouissance si bien que nos sexes se seraient séparés. Tous les trois, imbriqués l’un dans l’autre, nos deux bites entrain de mollir, nous reprenions notre souffle tant cette séance avait été intense.
Ahmed et la blonde étaient encore en tain de baiser mais ils avaient changé de position. La blonde, cramponnée après le tuyau d’une douche se faisait prendre debout par derrière et je dois dire qu’elle s’en prenait plein également. Je ne sais pas quelle entrée était utilisée, mais chaque fois que notre copain arrivait contre ses fesses, son pubis claquait sèchement. Puis ils ont joui à leur tour. Au moment où nous nous désunissions tous, la blonde s’est écriée :
« Pas dans le bain ! Nous allons vous nettoyer les queues ! »
Toutes les deux, elles se sont agenouillées devant nous, ont retiré les préservatifs en souriant et en appréciant leur contenu :
« Bravo les mecs, vous êtes généreux ! »
Puis elles se sont partagé nos bites, tantôt léchant la hampe ou les bourses, tantôt aspirant et jouant avec le glande de l’un ou l’autre entre leurs lèvres. Bref de fieffées coquines qui devaient avoir l’habitude de s’amuser ensemble avec des mecs…
Nous n’étions plus qu’à cinq. Les deux premiers garçons qui avaient profité des filles au début s’étaient éclipsés discrètement. Les deux filles alternaient les caresses sur nos sexes qui n’ont pas tardé à se redresser ! Nous avions encore des réserves et ces deux coquines étaient de si bonnes pipeuses que rapidement nous avons trouvé une vigueur suffisante pour pouvoir les baiser à nouveau.
« Non les mecs, vous n’allez pas nous baiser encore ! Nous voulons voir gicler votre jus et nous en délecter. »
Face aux deux filles, nous masturbons doucement nos sexes turgescents pendant qu’elles se mettaient à genoux devant nous. Aussitôt c’est un ballet de bouches suceuses ou de langues agiles qui ont agacé nos pieux bandés. Elles passaient de l’un à l’autre, changeant de place et de bout tout en triturant doucement nos bourses qui, ayant déjà giclé abondamment, elles parviennent à nous soutirer quelques belles giclées qui vont s’étaler entre leurs seins.
Finalement, nous passons tous les cinq sous la douche et là encore, ce sont des échanges de caresses et de baisers bien chauds. Puis, rhabillés, nous quittons le complexe sportif bras dessus, bras dessous pour aller prendre un pot dans un troquet encore ouvert.
Ce dernier samedi, nous avions joué à domicile et gagné notre match. Avant de faire un peu la fête pour célébrer cette victoire arrachée de haute lutte, nous devions d’abord passer à la douche et entre les mains des trois masseurs qui s’occupent de nous.
Nous avons la chance de posséder des installations d’un bon niveau avec sauna, hammam, jacuzzis attenants aux vestiaires. Avec quelques partenaires, nous étions en train de nous prélasser dans les remous du bain quand nous avons eu la surprise de voir arriver deux nanas que nous savions faire partie de nos fans pour les voir souvent aux premières loges des gradins.
Que venaient-elles faire là ? Comment avaient-elles pu pénétrer dans les vestiaires ? Chacun se posait la question ! Avant que l’un ou l’autre puisse réagir, elles étaient à poil et se glissaient dans l’eau à côté de nous. Visiblement, elles cherchaient l’aventure et je peux dire qu’à la fin de la soirée, elles avaient eu ce qu’elles cherchaient ! Deux jeunettes d’à peine 20 ans, deux corps minces mais avec des formes bien rebondies aux bons endroits, une blonde et une brune : elles étaient appétissantes.
Si deux de nos partenaires sont sortis aussitôt du jacuzzi, nous sommes restés à cinq célibataires et ce n’était pas la première fois qu’à deux ou à trois, il nous arrivait des bonnes fortunes comme celle la ! Sans un mot, les deux filles se sont glissées entre nous. Assises, elles ont commencé à nous prendre la queue en main pour nous masturber et l’une d’elle a attiré vers sa bouche le sexe du cinquième homme ! Des chaudes qui n’avaient pas froid aux yeux.
Malgré la fatigue, il ne nous a pas fallu longtemps pour que nos sexes soient bandés à fond ! Dès qu’elles ont senti que nous étions en bonne forme, elles sont sorties de l’eau et se sont allongées sur la margelle du bassin, présentant leur fessier comme dans un appel au viol ! Mais, ce ne serait pas un viol ! Elles étaient tout à fait consentantes à ce qui allait se passer en nous tendant des préservatifs, elles se sont écriées :
« Allez-y ! Profitez-en bien ! Nous sommes à vous ! Baisez-nous ! Enculez-nous ! C’est votre récompense ! »
Deux de nos compagnons, Ludo et Jérémy, se sont aussitôt positionnés derrière ces belles fesses et saisissant les deux filles au niveau de la taille, ils se sont glissés dans les chattes ouvertes à leur intention d’une seule poussée virile. La blonde, baisée par Ludo, portait une tête de tigre tatouée au creux des reins, l’autre un lézard qui, courant le long de la colonne vertébrale, avait la tête à l’orée de la fente culière.
Les deux baiseurs y allaient avec ardeur ! Les fatigues du match et de la semaine de boulot semblaient oubliées. Ils baisaient les deux filles à grands coups de reins, entrant et sortant de leur partenaire dans un rythme de plus en plus rapide ! On aurait dit que c’était à celui qui jouirait le premier ! Les deux filles les encourageaient à haute voix :
« Allez-y ! Bourrez-nous ! Plus fort ! Encore ! »
Finalement, ce sont elles qui sont parties en premier, jouissant comme des malades, à croire qu’elles s’étaient shootées avant de venir dans les vestiaires. Ludo et Jérémy ont joui aussitôt après et dès qu’ils ont retiré le préservatif, ils se sont à nouveau glissé brièvement dans le jacuzzi avant de nous quitter.
Les deux filles, dont nous ne savions même pas le prénom, se sont alors retournées vers nous trois :
« A qui maintenant ! Qui a envie de se vider les couilles ? »
Ahmed, le beur de l’équipe a empoigné la blonde, il l’a couchée sur la margelle du bain à remous et en lui relevant les jambes le long de son torse, il a commencé à la baiser comme un forcené. Il est monté comme un taureau, sa bite mesure certainement plus de vingt centimètres et elle est large avec un gland circoncis rond comme une tête de champignon. Avec Pascal, il nous restait la brune ! Qu’à cela ne tienne, nous allions nous la partager.
« Mets-toi en levrette, tu vas me pomper le dard pendant que Pascal te baisera ! Je te ferai reluire ensuite ! »
A genou devant elle, j’ai présenté ma queue (pas très longue mais assez trapue) en face de sa bouche. Elle a commencé à lécher le gland avant de m’engloutir au plus profond. J’avais le pubis presque en contact avec son visage. Dès que j’ai été bien enduit de salive, elle a commencé de me pomper avec ardeur, alternant succions profondes et léchage du mat.
« Bravo ma belle ! Suce-moi bien ! J’ai les burnes bien pleines ! »
C’est vrai que c’était une sacrée pipeuse ! Elle savait y faire ! Pendant ce temps, je caressais ses seins bien ronds qui ballotaient sous elle au rythme de coups de queue que Pascal lui mettait :
« Waouh ! Qu’elle est bonne cette brune ! En plus, son cul palpite chaque fois que je sors de sa chatte ! Elle a du souvent se faire prendre le cul !
- Oh oui ! J’aime beaucoup me faire prendre le cul ! Je jouis aussi fort de là que quand on me baise la chatte ! »
Aussitôt après avoir prononcé ces paroles, la brune m’a repris en bouche mais je me suis dégagé rapidement car la sève montait ! Je me suis allongé sur le dos, la queue dressée comme un pal, certes pas très long, mais dur comme du bois tant j’étais excité :
« Venez ! On va te prendre en double !
- Oh oui, je veux ! »
Elle s’est aussitôt agenouillée au dessus de mon bas ventre, a couvert ma bite avec un préservatif et s’est empalée sur mon dard, l’engloutissant lentement mais d’un seul coup dans son sphincter. Waouh ! Quelle était chaude ! A peine étais-je au fond qu’elle a commencé à masser ma queue avec ses muscles internes en faisant des mouvements de bas en haut et en veillant à rester bien empalée…
« Dis donc salope, tu es une aussi bonne baiseuse que pipeuse ! Que ton cul est bon !
- Oh oui, depuis qu’il a gouté à une queue, mon cul ne peut plus s’en passer. D’ailleurs, j’ai toujours avec moi ce qu’il faut pour qu’il reste bien ouvert ! »
A peine avait-elle dit ces paroles qu’elle s’allongeait sur mon buste pour s’offrir à Pascal qui attendait pour la reprendre. Il s’est placé entre ses cuisses et a replongé sa bite dans la connasse de la fille. Moins de trente secondes plus tard, nous avons accordé nos mouvement pour bien prendre cette chienne dans j’avais pris les seins dans mes mains pour maintenir un semblant d’équilibre… Waouh, c’était bon ! Certes, ce n’étais pas la première fois que je baisais une fille en double comme çà… mais cette coquine battait tous les records et il lui en fallait encore plus :
« Prenez-moi le cul à deux, vous verrez c’est merveilleux et vous m’emplirez bien ! »
Pascal s’est dégagé de la chatte et j’ai senti sa bite glisser le long de la mienne dans l’anus de la fille. Je ne pouvais plus bouger et c’est lui qui a commencé à limer le cul de cette garce. Je sentais les va-et-vient de la bite de Pascal contre la mienne et çà me faisait bander encore plus bien que je ne sois pas homo ! Notre plaisir à tous les trois montait, cette enculade, quelle belle idée. Pascal a déchargé le premier en criant :
« Oh que c’est bon ! »
Et je l’ai suivi presque aussitôt au moment ou la fille jouissait également. Heureusement que je la tenais par la poitrine car elle s’est mise à gigoter dans tous les sens sous l’influence de la jouissance si bien que nos sexes se seraient séparés. Tous les trois, imbriqués l’un dans l’autre, nos deux bites entrain de mollir, nous reprenions notre souffle tant cette séance avait été intense.
Ahmed et la blonde étaient encore en tain de baiser mais ils avaient changé de position. La blonde, cramponnée après le tuyau d’une douche se faisait prendre debout par derrière et je dois dire qu’elle s’en prenait plein également. Je ne sais pas quelle entrée était utilisée, mais chaque fois que notre copain arrivait contre ses fesses, son pubis claquait sèchement. Puis ils ont joui à leur tour. Au moment où nous nous désunissions tous, la blonde s’est écriée :
« Pas dans le bain ! Nous allons vous nettoyer les queues ! »
Toutes les deux, elles se sont agenouillées devant nous, ont retiré les préservatifs en souriant et en appréciant leur contenu :
« Bravo les mecs, vous êtes généreux ! »
Puis elles se sont partagé nos bites, tantôt léchant la hampe ou les bourses, tantôt aspirant et jouant avec le glande de l’un ou l’autre entre leurs lèvres. Bref de fieffées coquines qui devaient avoir l’habitude de s’amuser ensemble avec des mecs…
Nous n’étions plus qu’à cinq. Les deux premiers garçons qui avaient profité des filles au début s’étaient éclipsés discrètement. Les deux filles alternaient les caresses sur nos sexes qui n’ont pas tardé à se redresser ! Nous avions encore des réserves et ces deux coquines étaient de si bonnes pipeuses que rapidement nous avons trouvé une vigueur suffisante pour pouvoir les baiser à nouveau.
« Non les mecs, vous n’allez pas nous baiser encore ! Nous voulons voir gicler votre jus et nous en délecter. »
Face aux deux filles, nous masturbons doucement nos sexes turgescents pendant qu’elles se mettaient à genoux devant nous. Aussitôt c’est un ballet de bouches suceuses ou de langues agiles qui ont agacé nos pieux bandés. Elles passaient de l’un à l’autre, changeant de place et de bout tout en triturant doucement nos bourses qui, ayant déjà giclé abondamment, elles parviennent à nous soutirer quelques belles giclées qui vont s’étaler entre leurs seins.
Finalement, nous passons tous les cinq sous la douche et là encore, ce sont des échanges de caresses et de baisers bien chauds. Puis, rhabillés, nous quittons le complexe sportif bras dessus, bras dessous pour aller prendre un pot dans un troquet encore ouvert.
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Comment ma femme est devenue une salope - 3ème partie
Nous voici début septembre... L’automne. Une fois de plus, j’ai attendu patiemment ma femme... Tout le week-end. Elle est rentrée à vingt-trois heures trente. Elle n’était pas comme d’habitude, je le remarquais aussitôt. Elle se mit à pleurer...
« Que se passe-t-il, chérie ?
- Rien, rien... ça va passer...
- Mais enfin, tu pleures... explique moi, je suis inquiet !
- C’est pas grave... mais je suis dépassée.
- Comment cela ?
- Tout ce qui s’est passé pendant ce week-end, j’ai honte de te le dire.
- Ah bon ?
- Oui et jusqu’à ce soir, si tu veux savoir.
- Oui... j’aimerais bien savoir !
- Mais il est tard et demain nous travaillons, et toi surtout, c’est ton premier jour dans ton nouveau travail.
- Le sommeil est moins important que toi, que tes pleurs et que nous…
-Tu sais… »
Laly était hésitante.
« Parle, dis moi tout !
- Ok, vendredi soir, je suis arrivée chez Jacques. Tout s’est passé formidablement bien, il m’a baisée deux fois en me faisant très bien l’amour et nous avons bien dormi. Puis le samedi matin, vers neuf heures, je me suis réveillée et quand j’ai ouvert les yeux, dans la pénombre de la chambre, j’ai vu deux hommes. J’ai eu peur, mais j’ai alors entendu la voix de Jacques qui me disait de ne pas avoir peur, qu’il était là. Puis mes yeux se sont habitués et j’ai reconnu les deux hommes. Il y avait, notre boucher et l’autre... (Laly hésitait) c’était... mon patron. Tu te rends compte, notre boucher et mon patron !
- Mince, ça alors, il exagère, et alors ???
- Alors, j’ai dit non... J’ai supplié Jacques de les faire sortir, mais il à dit que je devais obéir, sinon il ne voudrait plus de moi. Tu comprends, je ne peux plus me passer de lui, maintenant. Alors, mon patron s’est avancé et il m’a caressé la cuisse, le boucher lui est venu me caresser les seins... Et j’ai sombré dans le désir. Puis ils m’ont fait sucer leur bite, puis ils m’ont prise chacun leur tour. Jacques prenait des photos. Ils m’ont fait jouir, les deux salauds. Puis ils sont partis.
- Tu as dû être blessée dans ton amour propre, ma chérie…
- Avant oui, mais après, j’étais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posée beaucoup de questions, mais nous en reparlerons... à la fin de mon histoire du week-end.
- Ok chérie, continue.
- J’en ai parlé avec Jacques, et il m’a rappelé qu’il m’avait prévenue qu’il allait me pervertir et que ce matin, c’était seulement un avant-goût. Alors, il m’a allongée à plat ventre sur la table de la salle à manger et il m’a enculée longtemps et j’ai encore jouis. Le soir, il m’a dit que nous attendions de la visite, et vers vingt-deux heures, on sonnait au portail. Jacques m’a dit d’aller ouvrir, nue. J’ai traversé je jardin de devant et j’ai ouvert le portillon. Je me suis retrouvée en face de plusieurs hommes. J’ai immédiatement reconnu le premier et je me suis cachée derrière le portillon. Ils sont entrés. J’ai fermé le portillon et tous me regardaient, l’air vicieux.
Il y avait, tiens toi bien... Jean, le fils de carrossier, Robert... oui, Robert l’employé de Mairie, Albert, le garde chasse, Romain... le comptable de ma boite, Xavier le pompier et surtout et aussi... notre banquier, le salopard !
- C’est pas possible... tous ???
- Oui ils étaient là tous les six, et Jacques les a fait passer dans le jardin de derrière et leur a dit de se foutre à poil, que la salope était impatiente de les satisfaire. Jusqu’au petit matin ça a duré. Je ne te raconte pas, car j’en suis incapable, qui m’a fait quoi et comment, mais je suis certaine qu’ils m’ont tous baisée et enculée chacun leur tour, et que tous ont éjaculé dans ma bouche. Jacques a pris d’autres photos et a même filmé. Je peux te dire aussi qu’ils riaient et parlaient de nous et de toi.
- Ils disaient quoi ? demandai-je, tremblant de savoir la réalité.
-Tu veux vraiment savoir ?
- Ma foi, oui…
- Bon. Je ne sais pas qui exactement, mais j’entendais :
- A la salope, je n’aurais jamais espéré me faire Laly, cette belle petite de dix-neuf ans
- Putain qu’elle est belle !
- Je ne savais pas que c’était une pute, la femme d’Alain !
- Alain, merde alors, il est cocu grave !
- Eh les mecs, j’encule la femme d’Alain !
- Eh les cops, elle avale mon sperme, la femme d’Alain !
- Je jouis dans la chatte du cocu Alain !
Et j’en passe et des meilleures... J’étais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormie sur la balancelle... et je me suis réveillée vers treize heures. Jacques était aux petits soins et m’avait préparé un déjeuner copieux.
- J’en suis tout catastrophé, soupirai-je, accablé. Donc, presque toutes nos connaissances savent…
- Oui, mais attend la suite, me répondit-elle, narquoise.
- Quoi... encore ?
- Tu sais d’où je sors là, il y a trente minutes ?
- Ben, non !
- J’étais à cent mètres de la maison, chez Marcel R.
- Chez Marcel ‘ Mais pourquoi ??
- Jacques m’y a amenée vers dix-huit heures. Marcel avait préparé un buffet campagnard. Mais curieusement, nous n’étions que tous les trois. Marcel m’a détaillée des pieds à la tête et m’a dit que depuis longtemps, il rêvait de moi et que de savoir que j’étais une salope, il n’en revenait pas. Jamais il n’aurait pensé que la femme d’Alain était une pute. Puis il m’a touché les seins en disant que j’avais la paire de nichons la plus belle qu’il n’ait jamais vu. Jacques a enlevé ma robe et j’étais à nouveau nue. Marcel bavait... Tu le connais cet obsédé sexuel, ce vieux pervers...
Il m’a fait mettre à genoux, il a sorti sa queue de dessous son gros ventre et il me la collée dans la bouche. Il a éjaculé en trente secondes en me maintenant la tête pour que j’avale son sperme, ce vieux dégoûtant.
-‘ Donc, même Marcel…
-‘ Marcel, oui... Marcel et les autres...
- Quels autres ?
- Je continue.... Et Jacques à téléphoné, il a dit à son interlocuteur qu’il pouvait envoyer les suivants.... Alors, il m’a dit d’aller m’allonger sur la table basse du salon, sur laquelle il y avait un tapis d’ailleurs. Puis Marcel est venu, m’a écarté les cuisses et il m’a sucé la chatte pendant cinq minutes Je commençais à jouir quand il s’est arrêté et a rejoint Jacques.
Moins de deux minutes après, quelqu’un est entré. J’ai entendu Marcel lui dire de se foutre à poil, que j’étais disponible pour lui dans le salon. Je n’étais même plus inquiète, mais curieuse de savoir qui c’était. Il est entré et j’ai reconnu Daniel B... Lui aussi a semblé surpris, mais il a dit que Jacques n’avait pas menti, que c’était bien Laly, la belle Laly qui se trouvait là devant lui, offerte. Il ne cessait de répéter : « ce n’est pas possible, Laly »...
Il s’est jeté entre mes cuisses et il m’a pénétrée d’un seul coup. Il m’a baisée à sa guise et il a joui. Il s’est relevé et il est venu m’embrasser à pleine bouche puis il est sorti du salon.
- Daniel B... Merde !
- Je n’ai même pas joui, tant il a été rapide, ce con !
- Et après ?
- Après il y a eu le défilé, Jacques a choisi toutes nos connaissances, dont je me souviens parfaitement ... Je commence, dans l’ordre :
- Kamel, le jardinier arabe, lui il m’a baisé la bouche et il a joui, planté au fond de ma gorge.
- Jean, notre voisin de la maison en face, lui il m’a baisée normalement.
- René, notre voisin, le mari de Laure, il m’a baisée aussi et j’ai joui une première fois.
- Jacques, l’autre, le patron du café tabac, qui m’a baisée avec sa petite queue.
- Yann, le jeune qui travaille à la station. Lui il m’a enculée.
- Roland G... qui m’a aussi enculée.
- David, le frère de Jany, il s’est branlé et il m’a arrosée de son sperme.
- Franck, le chef de la bande de jeune qui sont souvent sur la place, qui m’a enculée.
- Et enfin le meilleur pour la fin, mon oncle... Jean Yves... Il a simplement dit que jamais il n’avait osé espérer baiser sa nièce. Il m’a baisée à fond.
Je ne parlais plus, je ne savais pas quoi dire après cette longue tirade de cauchemar.
Alors, Laly enleva sa robe et je vis son corps si beau, je vis les traces de sperme sur elle et celui qui coulait entre ses cuisses.
Elle comprit mon désir. Elle vint sur moi, enjamba mon visage et plaqua sa chatte sur ma bouche.
« Bois le sperme bien chaud de mes amants qui viennent de se vider dans moi, bois cocu ! »
Je me jetai sur elle, et la léchai goulument. J’avais la bouche remplie du foutre qui coulait et je m’en régalais.
Elle se leva, je voulu l’attraper ...
« Ah non... pas toi. Jacques ne veut pas. Il me pervertit pour lui, pas pour toi. Je lui appartiens et je fais ce qu’il me dit de faire avec qui il veut. Je vais être gentille avec toi, je vais branler ta petite queue… »
Elle prit mon sexe dans sa main et me masturba et je jouis en une minute, tant j’étais plein d’excitation.
« C’était bon chéri d’amour ? me demanda-t-elle, souriante.
- Oui, surtout après ce que tu viens de me raconter, presque tous ceux qui te regardaient en te désirant t’ont eue. Tous ceux qui me jalousaient ma merveilleuse épouse l’ont baisée ou enculée.
- Et ça te plait d’être cocu à ce point ?
- C’est excitant, très excitant de savoir que sa femme est une salope, la pute du village, la femme publique, en quelque sorte, mais au fait, pourquoi pleurais-tu ?
-Je me fais beaucoup de soucis, je me suis avilie avec tous ces hommes, et maintenant je ne sais pas ce qui va se passer, et en plus, il y a mon patron et mon oncle. Et il y a Jacques... Dont je ne peux plus me passer, il me rend folle, je crois.. que je l’aime.... Différemment de toi, mais je l’aime. Je suis désolé de te l’avouer, Alain. Tu vois, même en ce moment, je voudrais être avec lui, dans ses bras. Voilà pourquoi je pleurais. ‘
- Je comprends, chérie, je comprends.
- Tu comprends quoi ?
- Je comprends pourquoi tu pleurais.
- Ah... et est-ce que tu comprends que nous sommes allés très loin, que nous avons dépassé le point de non retour, que nous ignorons, toi et moi, ce qui va se passer demain, après demain, avec tous ceux qui m’ont prise ? Ils vont se parler entre eux et en parler aux autres, ça ne va qu’empirer. J’espère que Jacques dominera la situation. »
Lâchement, je ne répondis pas.
Le matin, nous nous sommes très peu parlés, nous somme partis chacun de notre coté à notre travail respectif.
Le soir, je suis rentré avant elle à dix-neuf heures. Elle est rentrée à vingt heures trente. En dînant ; elle m’a expliqué son arrivée tardive. Jacques lui a téléphoné et lui a demandé de passer chez lui au sortir du bureau. Il lui a dit qu’elle n’avait rien à craindre de son patron, ni du comptable, ni d’aucun de ceux qui m’avaient prise, qu’il gérait la situation.
Il l’a informée que c’est lui qui provoquerait les situations qu’il voudrait et que je saurais que ça vient de lui. Je fus un peu rassuré.
Le mois passa très vite... chaque jour Laly avait une nouveauté à me raconter.
Un jour s’était untel qui l’appelait sur son portable en disant que Jacques lui avait donné son numéro de téléphone et lui disait de venir à tel endroit. Et bien sur il la prenait. Elle se faisait baiser et/ou enculer ou elle devait sucer et avaler le sperme. Elle rentrait souvent après vingt-deux heures.
Un autre jour, c’était son patron ou le comptable qui après l’avoir convoquée la prenait dans leur bureau. Elle me dit aussi qu’un soir, Kamel l’avait emmenée dans les bois. Il l’enculait lorsque trois de ses copains arabes sont apparus et elle a dû les sucer et boire leur sperme à tour de rôle.
Mais la chose la plus terrible pour elle, c’est que tous les week-ends, elle ne les passait plus avec Jacques, mais avec son oncle qui ne se lassait plus de la prendre plusieurs fois par jour. Enfin ses règles arrivèrent et elle pu souffler un peu.
Pour moi, ce fut dramatique, tant j’aime ma femme. Mais pour elle, ce fut le bonheur.
Le dernier jour de ses règles, elle m’annonça que son patron lui accordait un mois de congés supplémentaires. Qu’elle partait demain pour aller vivre un mois complet avec Jacques dans sa maison de Montpellier.
J’en fus tout chagrin... mais je me devais d’aller jusqu’au bout de ce que j’avais accepté de vivre : Laly était bien la femme de Jacques.
Je n’eu plus de nouvelle... j’étais triste et malheureux et pourtant j’étais heureux de ma condition de cocu. Je me branlais tous les soirs et pensant à Laly et à Jacques.
Et un jour, le mois d’octobre était bien entamé, elle me téléphona :
« Alain, mon chéri, nous sommes revenus, je suis chez Jacques, je vais encore rester avec lui quelques jours, je prolonge mes congés.
- Tu me manques Laly... Je t’aime... combien de jours ?
- Ah ça je ne sais pas, c’est lui qui décide !
- Tu vas bien mon amour ?
- Très bien, en pleine forme.
- Et...
- Bon je te laisse, à bientôt. »
Elle raccrocha, sans me laisser terminer ma phrase.
Un soir, rentrant de mon bureau, je la trouvais à la maison. Bien installée dans un fauteuil.
« Chérie, tu es enfin de retour, mais pourquoi, pourquoi si longtemps, oh mon amour tu m’as tant manqué !
- Oui mon chéri, je sais, je te comprends mais c’était nécessaire.
- Nécessaire ?
- Oui évidemment, je n’ai pas eu mes règles et il a bien fallu attendre quinze jours pour faire le test et ensuite attendre une semaine pour le confirmer ‘
- Le test ?
- Oui le test de grossesse, mon chéri.
-Tu veux dire que…
- Oui, mon chéri, je t’annonce que je suis enceinte de Jacques !
- Enceinte ??
- Oui, c’est bien ce que nous avions prévu, non ?
- Oui, mais bon, je suis tout retourné.
- Je m’en doute…
- Tu m’apprends que tu es enceinte d’un autre, fût-il Jacques, je suis tout bizarre…
-‘ Je suis enceinte de Jacques et j’en suis heureuse pour moi et pour toi.
- Pour moi ?
- Mon chéri, Jacques te fais cocu depuis longtemps, toi et moi nous sommes mariés, soit, mais je suis sa femme à lui aussi ne l’oublie pas, c’est à lui que j’appartiens désormais, maintenant il m’a fait un enfant, c’est normal, c’est avec lui que je couche et que je baise, plus avec toi et je suis heureuse que tu sois un bon petit mari bien cocu et content de l’être !
- Vu comme ça, je suis d’accord avec toi, c’est vrai que je me sens vraiment cocu …
- Et quand mon ventre va grossir tu le constateras encore plus et tiens-toi bien, tous le village sait que je suis avec Jacques, ils savent tous que je vis avec lui depuis presque deux mois, car il ne se cache plus tu sais, et il a aussi invité des copains chez lui et comme tu le sais aussi, je suis toujours nue même devant tout le monde, il est si fier de sa jeune femme... Si tu savais comme je l’aime... Il me baise, il me baise, sans arrêt, j’en suis même fatiguée et je ne compte pas qu’il m’encule et me fait boire son sperme.
- Bon ceci dit, tu as faim, tu veux dîner avant de te coucher ou tu préfère regarder un bon film ?
- Rien, je repars chez Jacques, il m’attend, il m’a juste dit de venir t’annoncer la nouvelle
- Oh non !
- Si je repars et dorénavant jusqu’à l’accouchement, il inverse tout. J’ai arrêté de travailler. Il a d’autres vues pour moi. Maintenant, la semaine du lundi au vendredi je serais chez lui. Le samedi et le dimanche, je serais avec toi... enfin, je t’expliquerai mieux samedi matin. »
Elle est donc repartie chez Jacques, sans que je puisse rein dire, impuissant mais consentant...
Samedi matin, elle est revenue à neuf heures. Radieuse et rieuse.
« Alors voilà je suis là avec toi, mais les règles sont toujours les mêmes et en plus, je ne dois pas dormir avec toi. Tu seras dans la chambre d’amis. Mon oncle viendra un week-end par mois dormir avec moi, mon patron aussi, et les deux autres week-ends seront à la convenance de Jacques. »
Je savais n’avoir pas droit à la parole, j’avais accepté de vivre cette longue et terrible expérience et maintenant, seule Laly pouvait y mettre fin quand elle le voudrait.
Elle s’approcha de moi, tendrement, posa un baiser sur mes lèvres :
« Ne t’inquiète de rien, Alain, je sais ce qui est bon pour nous, fais moi confiance.
- Je te… »
La sonnerie de la porte d’entrée retentit..
« Ah ce doit être mon oncle Roger.
- Déjà ! ‘
- Il est impatient... mon tonton, zut, j’ai oublié, il faut que j’aille lui ouvrir étant nue, vite je me déshabille... »
Il entra et embrassa, sa nièce sur la bouche comme pour bien me montrer qu’il était son amant.
« Bonjour Alain, tu vas bien, il y a longtemps que nous ne nous sommes vus, n’est-ce pas ?
- Oui, et pourtant nous ne sommes pas loin...
- Il aura fallu que tu sois le cocu du village et que ta femme en devienne la pute pour que nous soyons réunis !
- Hummm….
- Alors, comme ça, tu es un vrai cocu volontaire... Je n’y aurais jamais cru, tu sais... j’ai connu tes parents lors de votre mariage, et je ne sais pas si ton père apprécierait cette situation, mais enfin, à chacun sa vie... Quant à ma nièce, ça c’est une aubaine que je savoure depuis quelques temps. J’envisage avec la complicité de Jacques de le faire savoir à son père... Je suis certain qu’il ne dirait pas non lui aussi pour baiser sa propre fille !
- Tonton, tout de même, pas ça... protesta Laly.
- On verra, on verra ... Mais maintenant viens me sucer devant ton cocu ! »
Il enleva son pantalon et sortit son sexe qui était très gros.
Il était débout, Laly s’agenouilla devant lui et le goba. Elle le suçait avec application.
« Suce ma petite, suce bien la bite de ton oncle, suce ma pute adorée, oui, oui vas-y ! »
Il tenait Laly par la nuque et baisait sa bouche, il s’en servait comme de sa chatte. Il s’y enfonçait profondément, à grands coups de bite. Il dura longtemps... et explosa sa jouissance.
« Avale ma chérie, avale le sperme familial, tiens salope, je jute dans ta gorge ! »
Il avait joui et Laly avait bu.
Il se déshabilla complètement et nu aussi, il me dit :
« Alain, sers nous un café. »
J’allais dans la cuisine pour faire ce que l’oncle demandait. Quand je revins, il était attablé et Laly était assise sur un de ses genoux. Il caressait ses seins.
« Assois-toi Alain…
- Merci.
- Alors, dis moi un peu... ça te plait que je baise ta femme ?
- C’est complexe et compliqué à expliquez, tu sais.
- Oui je comprends, mais tu sais que Laly est la pute du village... et que d’autres la baisent souvent, mais surtout que Jacques la garde avec lui et qu’elle porte son enfant !
- Oui je sais tout ça ...
- Tonton, je ne crois pas que ce soit un sujet de conversation auquel Alain souhaite répondre, dit Laly.
- Alors, répond à sa place.
- Alain et moi, avons pris ce chemin par hasard, et je me suis rendu compte qu’il était ce qu’on appelle un cocu consentent ... et moi, je me suis révélée être une vraie salope ... donc nous avons continué dans cette voie et nous en sommes heureux tous les deux, voilà tout.
- L’essentiel est que je profite de cette situation et que je puisse te baiser, baiser ma nièce si belle, et que tu sois ma jeune petite pute…. »
La journée passa simplement... en famille.
Le soir, Roger et Laly allèrent dans notre chambre et j’entendis leurs ébats... L’oncle fit l’amour à sa nièce et je reconnus les cris de jouissance...
Je compris également qu’il l’enculait quand elle dit :
« Oh tu es aussi gros que Jacques, heureusement qu’il me prend par là souvent ! »
Ils firent l’amour une bonne partie de la nuit. Le dimanche, il la prit encore le matin et la nuit. Lundi je quittais la maison à six heures trente, ils dormaient.
Le soir.... Quand je rentrais, Laly avait déjà rejoint Jacques pour la semaine.
Les vacances très spéciales de Coline
AVERTISSEMENT : ce récit a pour thème la zoo, et peut choquer certaines personnnes.
L'histoire se passe dans un petit village cévenol, au mois de juillet. Il fait une chaleur caniculaire. Coline, belle blonde de dix huit ans, et venue passer une semaine de vacances chez sa tante Lise.Lise est une femme de quarante ans, assez jolie, divorcée depuis cinq.
Ce matin, accompagnée de sa nièce, Lise va promener Dick, son chien âgé de six ans. Dick est un superbe chien, au museau très pointu, toujours humide. Coline est vêtue d'une jupette de tennis, et d'un petit haut sans manche, fermé par deux boutons. Lise, elle, est en short et tee short.
A l'entrée du sous-bois, Coline trébuche sur une racine, et s'affale, se retrouvant sur le dos, jupe relevée jusqu'à la taille. Elle reste un petit moment dans cette position.
« Dis, petite vicieuse, remarque Lise, tu n'as pas de culotte, et ton minou est tout épilé. Fais voir si tu n'as rien de cassé. »
Lise se penche sur sa nièce, et parcours son corps d'une main experte. Elle insiste sur l'entre jambe de Coline. Celle-ci serre les cuisses.
« Mais non, tata, ça va, répond Coline, gênée, laisse moi me lever.
-Tu sais, poursuit Lise, on n’est jamais assez prudent. »
Et Lise insiste, forçant Coline à écarter ses jambes. Petit à petit, elle cède à la pression de sa tante. Elle écarte légèrement les cuisses.
« C'est un peu mouillé, constate Lise, mais rien de bien méchant. »
Lise fait rouler un doigt sur le clitoris de Coline, ce qui provoque un agréable frisson.
« Ha… ha.., tata, qu'est-ce-que tu me fais, c'est bon. »
D'elle même, Coline écarte ses jambes, et soulève légèrement ses cuisses.
« Voilà, ma chérie, dit Lise, ce sera mieux pour jouer comme ça. Quel joli minou appétissant ! »
Lise caresse la chatte, frottant les lèvres les unes contre les autres, les ouvrant pour glisser un doigt, puis revient sur le clitoris. Elle attend que sa nièce soit en surchauffe.
Elle veut que Coline la supplie. Après, elle sera à elle.
« Tatie, soupire Coline, tu me branleras après, s'il te plait, j'ai envie.
- Mais bien sur, ma chérie, mais il y a mieux si tu veux.
- Ce que tu veux, répond Coline, mais occupe toi de moi.
- Dick, appelle Lise, viens voir maman. »
Le chien, obéissant, rejoint sa maitresse.
« Viens mon chien, ta cousine a envie de se faire lécher la fente.
- Non tante, s'il te plait, pas ça, tu es folle !
- Calme-toi, ma chérie, dit Lise. Après, tu pourras plus t'en passer. Allez Dick, avance. »
Impuissante et déjà très excitée, Coline n'a d'autre choix que d'accepter. D’un coup, le museau du chien est en contact avec sa jeune chatte. Il renifle, entre légèrement le museau dans le sexe de Coline, ce qui provoque des gémissements de plaisir.
Le bout du nez, humide, frotte contre le petit bouton d'amour de la nièce. Elle cambre son bassin. Lise se met a genoux derrière Coline, assise sur ses talons.
Elle lui soulève le tête, et la pose sur ses cuisses.
Calmement, elle défait les deux boutons, et écarte le gilet.
Coline est maintenant entièrement offerte. Et à la tante, et au chien.
« Oh ma nièce, sourit Lise, quel jolis petit seins ! »
Avec le pouce et l'index de chaque main, elle saisit les bouts, les fait rouler, les étire, arrachant de petits cris a Coline.
« Ma tante, que fais-tu de moi ? »
La truffe de Dick continue sa progression. Elle est largement entrée dans la chatte de Coline. Il fouille le vagin de sa langue râpeuse. De temps en temps, il la sort pour lécher le clitoris, puis reprend possession du corps de Coline. Elle sanglote de plaisir.
« Tatie, tatie, je vais jouir, ha.. ha.. ha.. dis à ton chien de continuer, s'il te plait tata. Ma petite chatte est toute mouillée, oui.. oui.., merci tatie, oui… ouiiiii…
-Tu vois bien, répond Lise, tu t'es régalé, hein? Tu veux qu'on recommence ? »
Coline se redresse et regarde le chien finir de lécher sa mouille. Elle entrevoit entre ses pattes, le sexe de Dick, tout rouge, décalotté sur quatre ou cinq centimètres.
« Mais, tante Lise, il ne va pas me pénétrer ? s'affole Coline.
- Mais non, ma chérie, pas aujourd'hui. »
Lise se penche et embrasse sa nièce. Elle la relève.
« Allez, on va prendre une bonne douche, ta chatte doit en avoir besoin. Et toi, Dick, qu'est-ce-que tu as fais à ta cousine, polisson. Et ta queue, regarde dans quel état elle est ! »
Lise sort de la douche la première. Elle est vêtue d'un peignoir blanc. Elle prépare le déjeuner. Coline la rejoint, dans une ravissante veste peignoir blanche, qui arrive à mi cuisses. Les deux femmes passent à table. Dick est couché sous la table.
« Tu sais qu'il y a mon fils qui vient ce soir.
- Jérémy ? demande Coline. Depuis le temps que je ne l’ai pas vu. Cà lui fait quel âge maintenant ? Qu'est-ce- qu'on s'amusait avant.
- Il va avoir quinze ans, répond Lise, Il est encore jeune. »
Elles arrivent aux desserts.
« Jee languiis dee le voiir, bafouille Coline.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie, c'est pas bon ? demande Lise.
- Oh mon dieu, Dick, murmure Coline. Ce salaud, il me lape ! »
Lise se penche sous la table.
« Encore ? dit-elle, pourtant tu as bien lavé ta chatte. Il doit sentir ta mouille. Attend, je vais le mettre à la buanderie.
- Non, tata, laisse-le me finir, c'est trop bon ! J’aime trop sa grosse langue qui me fouille... Pas un homme n’est capable de ça ! »
Dick lèche la chatte et le clitoris de Coline sans relâche. Elle est totalement soumise au chien qui lui procure tant de plaisir…
Elle ouvre son peignoir, et se caresse les seins, insistant sur les bouts. Elle glisse sur la chaise, avançant son bassin pour mieux se faire pénétrer par le fin museau de Dick.
« Hou… hou.., tante Lise, je crache, comme il me lèche ce salaud, quelle langue il a ! »
Coline prend la tête du chien à pleines mains, et la maintient contre sa mounette.
« Je viens encore, tata, oui, ouiiii, il me maque comme une pute que je suis. Ha… ha.. .ouiiii, je jouiiiis !!!
- Mais non, ma chérie, tu as passé un bon moment, c'est tout. On a encore toute la semaine pour te faire vraiment jouir ! »
Une fois fini, le chien sort de dessous la table en se léchant les babines et va se coucher.
« C'est bien mon chien, caresse Lise, tu as rempli ton contrat. »
Coline, elle, retourne se laver.
A suivre…
Lire les commentaires textes
je trouve ce récit grotesque. Pourquoi y ajouter l'oncle?