Les Mémoires très Libertines de Sophie
Gang-bang imposé
Attention, histoire très trash !
Tôt en cette belle matinée ensoleillée, Isabelle se rend à son travail.
Isabelle, la trentaine, est secrétaire de direction à la Fiduciaire Simonin.
Monsieur Simonin est bien entendu son amant, en attendant d'être bientôt, du moins l'espère t'elle, son mari...
C'est ainsi qu'elle voit les choses : non seulement elle est une collaboratrice très efficace, mais aussi une maîtresse remarquable, apte à satisfaire l'amant le plus exigent. Par ailleurs, elle connait également beaucoup de choses sur les affaires de Monsieur Simonin, des affaires peu reluisantes. Des affaires qui seraient bien capables de l'envoyer rapidement méditer sur la relativité des choses et la précarité de toute situation malhonnêtement acquise...
Mais actuellement, on n'en est pas là. Nous sommes entre gens du monde. Elle sait, son amant sait qu'elle sait, et dans le monde feutré où ils évoluent l'un et l'autre, bien des choses s'échangent d'un seul regard...
C'est à ce moment qu'un utilitaire Renault se présente dans son allée.
Un jeune homme bien de sa personne en sort en costume de livreur tenant à la main un bordereau de livraison.
Il sonne et se présente fort aimablement :
« Bonjour madame, c’est pour la livraison '.
- Mais quelle livraison, répond Isabelle. Je n'ai rien commandé !
- Ah ! Écoutez madame dit le livreur apparemment fort dépité, sur le bordereau de livraison il y a votre nom, et votre adresse. Tout ce que je sais du colis c'est qu'il est particulièrement encombrant et déclaré « fragile »... Je veux bien admettre que vous en refusiez la livraison, mais il faudra alors apposer votre signature à même le colis. »
Intriguée Isabelle suit le livreur et passe la tête dans le combi.
Brutalement elle se sent poussée à l'intérieur, tandis que dans le combi, deux paires de mains la saisissent immédiatement, l’immobilisent, lui passent des menottes aux poignets et aux chevilles, un bâillon dans la bouche, et une cagoule sur les yeux.
Le tout n'a duré que quelques secondes, et déjà le combi reprend sa route.
Personne ne s'est rendu compte de rien.
Passé les premiers instants de terreur, Isabelle reprend son calme, et comme toujours, surtout dans les moments de grand stress, son cerveau se met à fonctionner à toute allure.
Première constatation : tout c'est passé très rapidement très discrètement, très efficacement et sans aucune violence, ce sont indiscutablement des professionnels.
Deuxième constatation : ses ravisseurs ont pris toutes les précautions pour qu'elle ne puisse les reconnaître, ni reconnaître le trajet entrepris. Il est donc certain qu'ils comptent la relâcher vivante, c’est déjà un bon point ....
Restent en suspens plusieurs questions : qui l'a enlevée, pourquoi a t'elle été enlevée, et que va t'il se passer avant d'être relâchée ?
Sur cette dernière question, elle commence à se faire une sérieuse idée : des mains avides la palpent sans retenue, une main s'insinue sous son chemisier, s’attarde sur la fine dentelle de son soutien gorge, soupèse ses seins et tord le bout des tétons, tandis qu'un autre main remonte sa jupe, suit le gainé de ses bas, s’arrête un instant un peu étonné devant le porte-jarretelles inattendu, remonte encore et tombe visiblement déconcertée sur un pubis rasé.
La salope.... sous ses airs de bourgeoise BCBG, sous son tailleur blanc strict, cette salope n'a pas de slip....
La fouille continue, un doigt ne tarde pas à s'immiscer dans sa chatte pour constater que les parois sont déjà sérieusement humides ,et son clitoris bien turgescent ...
Ces premières constatations étant faites, la main se montre plus indiscrète et part maintenant à la recherche de son anus ...
En quelques manipulations expertes, l’homme se rend vite compte que de ce côté non plus sa cliente n'est pas vierge ....
« La journée risque d'être chaude », se dit-il...
Devant la tournure des évènements, Isabelle s'attendait à être violée là, dans cette camionnette en route vers Dieu sait où.
Et bien non, aussi brutalement que la fouille avait débuté, elle s'arrête net.
La voix du chauffeur retentit :
« Comment ça se présente à l'arrière ?
- Bien, très bien lui répondit la voix de l'homme à côté d'elle.
- Madame est très coopérative et pleine de surprises, enchaîna l'autre plein de sous-entendus....
- Monsieur Del Monte sera très content, et ce sera très certainement un très gros succès commercial... »
Qui est ce Del Monte ? Ce nom disait vaguement quelque chose à Isabelle ...
Brutalement elle se souvient : il y a quelques jours, un homme est venu voir son patron.
Il prétendait représenter les assurances Del Monte, des assurances qui, disait-il, assuraient les employeurs contre des risques d'exploitation non couverts par les autres compagnies Il faisait allusion aux incendies volontaires, défaut de sécurité dans la chaine de fabrication, concurrence déloyale, médisances et faux bruits divers... Bref c'était du racket... Monsieur Simonin ne se laissa pas impressionner, et le courtier fut promptement mais fermement mit à la porte.
Les choses en restèrent là pendant deux semaines. Plus de nouvelles des racketteurs.
Monsieur Simonin en déduisit fort logiquement qu'il avait en fait eu affaire à un escroc qui espérait lui soutirer de l'argent sous la menace d'un faux racket.
Évidement les évènements récents tendaient à infirmer ce raisonnement....
« Mais enfin les choses ne se présentent pas si mal que cela, » se dit Isabelle,
toujours aussi froide et calculatrice. La mafia, c'est la mafia, ce sont des gens sérieux, honnêtes et raisonnables. Ils t'enlèvent, tu les paies, ils te libèrent ...
C'est aussi simple que cela, pas de soucis à se faire : tu payes, t'es libre...
A ce moment, Isabelle ne pouvait penser un seul moment qu'Olivier son amant, ne paye pas. Il en avait largement les moyens. Ce n'était pas tous les jours que l'on tombait sur une femme comme elle ! Intelligente, rigoureuse dans son travail, élégante, toujours tirée à quatre épingles, que ce soit pour ses vêtements ou ses sous-vêtements, trente ans, BCBG, 100D, et maîtresse parfaite...
Isabelle, depuis longtemps, avait perdu toute notion de l'itinéraire suivi. On l'avait laissée tranquille sur son siège, et bercée par les bruits de la route, elle s'était finalement endormie.
Un changement du rythme de la conduite, le bruit de gravier sous les roues la tirent de son sommeil.
« On doit être bientôt arrivé », se dit-elle...
Effectivement le véhicule ne tarde pas à s'immobiliser, et aussitôt la porte coulissante latérale s’ouvre. Une main charitable la tire délicatement de son siège.
Bientôt on lui enlève ses menottes, son bâillon et sa cagoule.
Où est-elle ? Difficile à dire… Très vraisemblablement très loin ...
Les bâtiments tout autour sont vieux et délabrés, ils font penser à un ancien motel des années 60 qui aurait été laissé à l'abandon. Plusieurs voitures, quelques motos et plusieurs mobylettes sont garées ça et là sans grand souci d’ordre.
La porte du bâtiment principal, le seul qui semble encore habitable, s'ouvre.
C'est bien lui, c’est bien le courtier des assurances Del Monte qui se présente sur le perron.
Il l'accueille d'un air faussement chaleureux :
« Madame Castillo, Madame Isabelle Castillo... Bienvenue chez nous, nous vous attendions ! Vous vous rappelez de moi je crois. Je suis le représentant local des assurances Del Monte. Monsieur Del Monte est désolé que votre employeur n'ait pas souscrit à l'assurance. L'offre était pourtant intéressante, les primes réduites, et la couverture fort étendue... Elle couvrait entre autres, et plus précisément dans votre cas, le rapt et le viol collectif des collaboratrices ....
Je crois que Monsieur Simonin n'est pas suffisamment conscient de la fréquence et de la gravité de tels sinistres... Aussi, allons-nous lui filmer toute la scène et lui faire parvenir la cassette une fois que celle-ci aura été correctement montée... Pour ne pas faire de jaloux, et à fin de rentrer dans nos frais, la vidéo sera également disponible sur notre site payant Internet ...Vous comprendrez que les meilleurs clichés seront disponibles sur des sites gratuits, il faut bien appâter les clients... Mais rassurez vous, les visiteurs sauront sûrement se montrer discrets...
Nous vous demandons la meilleure coopération possible pour faire de cette vidéo un grand succès commercial. D'ailleurs, je crois que vous y avez tout intérêt, car si cela ne s'avérait pas possible, si nous n'avons pas votre pleine collaboration, nous passerions immédiatement à la phase 2, une phase qui ne nécessite strictement aucune collaboration de votre part, comme ces quelques photos le montrent ... »
Isabelle est restée immobile durant cette longue tirade… Mais elle baisse les yeux pour regarder les photos qu’on lui présente. Très rapidement, elle blêmit. Toutes les photos concernent des femmes immobilisées et atrocement torturées....
En essayant de ne rien laisser paraître de son trouble, elle lui retourne les photos en murmurant à voix basse :
« Ca va, j’ai compris, vous pourrez compter sur ma plus parfaite collaboration…
- Je vous remercie dit-il, je n'en attendais pas moins de vous... Je vous confie donc à ces deux messieurs. Ils vont vous guider jusqu'au plateau de tournage. Ne me remerciez pas, c'est tout naturel... Vous êtes en quelque sorte la vedette du jour ! »
Chancelante, ne sentant plus ses jambes, à moitié sonnée, à moitié paniquée, Isabelle suit les deux hommes qui l'escortent fort correctement mais en la dévorant littéralement du regard.
Le petit groupe traverse le bâtiment, et pénètre dans ce qui fut un jardin intérieur.
Au centre, une piscine vide, tout autour une bonne dizaine de jeunes, visiblement des petites frappes de banlieue ; plusieurs beurs, quelques blacks, un ou deux blancs, quelques filles aussi ....
Toutes les conversations s'arrêtent net, tous les regards convergent vers elle, ça va être sa fête, et elle le sait...
Quatre hommes se présentent, ils portent chacun une caméra vidéo.
L'équipe est au complet, la « fête » va pouvoir commencer, sa déchéance va pouvoir commencer, rien ne lui sera épargné, tout sera filmé, tout dans les moindres détails....
Les deux hommes qui lui servent d'escorte l'invitent alors à descendre dans la piscine, et à prendre place sur un petit podium érigé en son centre, tandis que les petites frappes prennent place tout autour, sur le bord de la fosse.
Isabelle est blême, mais elle s'est reprise.
Courageusement, elle monte avec peine les quelques marches du podium : les marches sont hautes, et la jupe de son tailleur est fort étroite, la contraignant à des contorsions que les petites frappes feignent de prendre pour une invite....
Les commentaires salaces commencent à fuser, et les filles ne sont pas les dernières....
Isabelle a bien compris...y passer, elle va y passer...dès lors au plus vite au mieux... plus elle les excitera et au plus vite ce sera fini, du moins c'est ce qu'elle pouvait croire à ce stade, toujours est-il qu'elle va faire de son mieux pour chauffer au maximum la salle...
Isabelle est maintenant sur le podium, les cameramen officiels ont pris position, les hauts parleurs diffusent une musique d'ambiance, les caméras commencent à ronronner, quelques petites frappes ont apportés leurs propres vidéos... c'est parti, et de toute évidence, c'est parti pour de nombreuses heures....
Isabelle se met tout de suite en phase avec la musique ; le rythme, elle a ça dans la peau.
Le public s'en rend vite compte et applaudit avec enthousiasme, la séance s'annonce bien..
Isabelle se met à tourner sur elle même en suivant impeccablement le rythme de la musique. Lentement, délicatement, elle se met à ôter la veste de son tailleur blanc, une veste qu'elle fait tournoyer au dessus de sa tête, avant de finir par la jeter avec dédain à ses pieds. Les approbations fusent, le public applaudit .
Au tour de son chemisier maintenant. Un à un elle en défait chacun des boutons, brusquement, et à l'étonnement général, plutôt que l'ôter, elle se saisit des deux pans de son chemisier pour les tirer vers le bas et dégager d'une façon provocante ses deux épaules.
La salle s'échauffe visiblement, Isabelle se comporte en vraie professionnelle, ça change les petites frappes des bourges coincées et mal fagotées qui leurs sont habituellement jetées en pâture par Monsieur Del Monte...
Le chemisier suit la veste, et Isabelle apparait maintenant en soutien gorge, et en jupe, montée sur de délicats escarpins blancs vernis.
Le contraste entre cette femme visiblement torride et ce blanc est saisissant.
Son soutien contient avec peine sa superbe poitrine, les commentaires approbateurs continuent de fuser...
Au tour de sa jupe maintenant.
Toujours en rythme avec la musique, Isabelle dégrafe sa jupe, puis la fait glisser lentement le long de ses longues jambes, dévoilant au passage et à la stupéfaction générale un porte-jarretelles blanc assorti à son soutien, et un pubis complètement rasé...
Un bref silence se fait, très vite rompu par un tonnerre d’approbation.
Les mâles sont surexcités, certains appellent leurs copains sur leurs portables, une affaire pareille, ça ne se voit pas tous les jours...
Sur la scène, Isabelle ne se rend compte de rien, mais insensiblement le nombre de spectateurs augmente, leur excitation aussi....
Mais elle n'a pas le temps de se lancer dans de grandes considérations; plusieurs gars surexcités ont déjà pris la petite estrade d'assaut, leurs pantalons gonflés ne laissant aucun doute sur leurs intentions ...
En connaisseurs, ils ont de leur propre initiative décidé d'arrêter là le strip et de se faire faire une belle fellation publique devant l'œil attentif des caméras, qui n'ont pas perdu un détail de la scène ...
Isabelle est brutalement prise par les cheveux, mise à genoux de force, tandis que quatre sexes vigoureux et de bonne taille lui sont mis devant la bouche .
Pas besoin de commentaire, elle sait ce qu'on attend d'elle...elle les suce un à un, puis devant l'excitation générale, en suce deux à la fois, tout en n'oubliant pas de branler les deux autres ...
Soudain, elle en sent venir un, elle saute sur sa bite turgescente, abandonnant temporairement les deux autres .. elle suce le mec à mort..., il ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche
« Un de moins » se dit-elle, tout en avalant le sperme qui lui remplit la bouche...
Tout autour, l’assemblée s'est considérablement étoffée.
C'est maintenant une trentaine de jeunes qui se pressent autour de la piscine, pratiquement toute la bande des « Biscottes »' ...Ah ! il y aura des choses à raconter aux copains demain....
Le public est électrisé, le petit podium est littéralement pris d'assaut et en devient dangereusement instable. Des mains la soulèvent et la descendent, la séance de fellation continuera, mais au sol....
Isabelle est maintenant entourée par une bonne vingtaine de jeunes qui veulent tous se la faire par tous les trous ...
Un black a sorti un appareil photo, et tous veulent se faire photographier avec cette superbe bourge en sous-vêtements fins en train de leurs faire a meilleure pipe de leur vie.
Le flash crépite, chacun aura son tour..., deux bites à la fois maintenant... Photos de groupe maintenant les bites dressées au garde à vous et Isabelle à genoux, au centre, la tète tournée vers l'appareil par une poigne vigoureuse dans les cheveux... Un tableau de chasse, et ce n'est qu'un début !
Des bagarres éclatent, le public s'impatiente, y en aura-t-il pour tout le monde ?
Une main s'insinue dans sa chatte, elle en ressort trempée ...
Le type se redresse aussitôt, montre sa main dégoulinante à l'assistance, et s'écrie :
« Elle est à point les mecs, elle dégouline, j’ai jamais vu ça ! »
Aussitôt on s'empare d'elle, on la jette sur un tas de matelas empilés qui fait un bon mètre de haut.
Elle est mise en travers, ses jambes et sa tête pendent dans le vide. On se saisit de ses jambes, on les écarte. Ainsi placée, sa chatte grande ouverte est juste à hauteur de bite..
Les mecs vont se régaler, les cameramen aussi... C'est vraiment un grand jour !
Morte de honte, Isabelle se met discrètement à pleurer, cela n'échappe pas à l'assistance, c'est encore mieux ainsi ! Un cameraman fait un gros plan de sa vulve trempée, un autre un gros plan des larmes qui commencent à parcourir son visage défait.
« Le montage s'annonce long et fort agréable », se disent-ils ...
Un black se présente, son sexe est tendu à l'extrême, son visage est congestionné, il n'en peut visiblement plus.
D'un violent revers de bras, il écarte les autres, et sans préambule ; il enfonce brutalement sa bite au fond de la chatte.
Surexcité, il éjacule aussitôt sous les quolibets des autres spectateurs. Il se retire dépité en n'ayant qu'une seule parole pour la femme martyrisée :
« Salope ! » dit-il...
Un autre black prend aussitôt sa place, tandis qu'Isabelle se voit forcée de sucer et de branler les spectateurs impatients qui n'hésitent pas à malaxer ses seins, à enfoncer profondément les mains dans sa chatte, et à triturer son clitoris au point de la faire parfois hurler de douleur au plus grand plaisir de l'assistance...
Le suivant est d'une toute autre trempe; il bande comme un taureau, son sexe
est d'une taille réellement impressionnante, et il sait visiblement mesurer ses efforts ...
Il commence par taquiner les lèvres et le clitoris d'Isabelle avec son gland.
Surprise par la douceur de la caresse Isabelle n'en peut plus, et elle hurle une jouissance comme elle n'en a jamais connue ! Les félicitations et les quolibets fusent, on est loin d'avoir fini la séance...
Isabelle est là, offerte aux mâles, sans défense, mais toujours respectable et splendide.
Ses longs cheveux blonds bouclés sont empoignés par les mecs qu'elle suce, certains continuent à faire des photos en gros plan de leur bite dans sa gueule de salope. Une photo qui trônera longtemps dans leur chambre, c'est certain....
Elle a curieusement toujours son soutien, mais les bonnets sont complètements retournés, dévoilant une poitrine opulente copieusement malaxée par tous les participants...
Certains plus vicieux, désirant l'entendre gémir lui pincent méchamment les tétons, mais à ce jeux ce sont les filles avec leurs longs ongles qui se montrent les plus fortes...
Elles en ont marre de cette salope, de cette bourge qui se fait tringler par tous leurs mecs, et elles savent comment faire mal, on apprend beaucoup de chose dans les escaliers d'une cité...
Les cris de douleur d'Isabelle, ses plaintes deviennent plus fréquentes, ce qui excite encore un peu plus si besoin était, les spectateurs ... certains ont même repris des forces et comptent bien remettre ça.
Plus bas, sa taille fine est toujours enserrée par son porte-jarretelles. Le spectacle est un vrai ravissement, les cameramen professionnels et amateurs s'y attardent d'ailleurs bien volontiers : gros plan sur cette bite noire énorme qui lentement et puissamment la défonce en lui imposant son rythme, retour sur son visage maintenant noyé dans les larmes, retour sur le géant noir qui la besogne toujours vigoureusement sous les acclamations de la foule....
Une nouvelle fois, et elle ne sait comment, le noir parvient à lui arracher un foudroyant orgasme. Un tonnerre d'applaudissement accompagne cet orgasme inattendu.
Profitant de l'approbation générale, le noir décide de pimenter le jeu, il se retire et présente son sexe tout contre la rondelle... Isabelle s'y attendait depuis le début, mais maintenant on y est ... Quelques petits coups et le sphincter se laisse forcer sous les applaudissements des spectateurs .
Un caméraman s'approche, il veut absolument prendre un gros plan. Le spectacle est absolument incroyable, ce sexe énorme dans ce cul magnifique, et les lèvres d'Isabelle encore gorgée par le sang de son récent orgasme...
Un spectacle magnifique, inoubliable !
Fier du spectacle qu'il offre, le géant noir s'écarte quelque peu laissant les cameramen et photographes immortaliser la scène. Puis, revenant à ses propres préoccupations, il augmente brutalement la cadence de son pilonnage jusqu'à ce qu'il éjacule loin dans le fond du cul d'Isabelle... Il cède la place au suivant qui commençait à sérieusement s'impatienter !
Le suivant, un beur' monté comme un âne, et sans doute émoustillé par la présence des caméras, décide de se montrer plus télégénique : il décide de changer Isabelle de position.
Sa proposition recueille immédiatement l'accord de l'assemblée: il s'étend sur le matelas, et force Isabelle de venir s'empaler sur son membre en lui tournant le dos. Il lui écarte les fesses, et glisse sans grande difficultés son sexe dans le cul d'Isabelle encore distendu par l'énorme bite de son prédécesseur....
Le cameraman bondit : une scène comme cela il ne peut pas la rater, sinon il est viré... Isabelle est là, un sexe introduit dans son cul jusqu'aux couilles son porte-jarretelles toujours tendu, ses escarpins toujours aux pieds, et son sexe béant ouvert à tous...un sexe qui ne va pas tarder de toute évidence à accueillir un nouveau partenaire dans un hallucinant sandwich.
Isabelle a bien compris ce qui va lui arriver, elle ne peut s'y soustraire, aussi est-ce presque avec soulagement qu'elle sent le caméraman laisser la place à un nouveau partenaire qui la pénètre et la besogne sans ménagement. Elle est violemment prise en sandwich, tandis que deux mecs qui se sont hissés sur le tas de matelas la forcent à se faire sucer à tour de rôle.
Ils sont maintenant près de trente autour d'elle, et la belle ordonnance du début commence à laisser place à l'improvisation; plusieurs spectateurs sont ivres, la pile de matelas brutalement sollicitée menace de s'effondrer, il y a plus d'une heure que cela dure, et les caméras sont presque toutes en bout de course...
L'agitation est cependant à son comble, les meneurs ont maintenant tous pris leur pied, et il est temps de laisser la place aux autres. On ne saura de toute évidence plus rien tirer de bien de cette salope déjà prise par tous, et par tous les trous...
Aussitôt les leaders partis, l’ambiance change du tout au tout.
Isabelle est descendue sans ménagement de sa pile de matelas pour être tirée à l’écart.
Ses derniers vêtements ne tardent pas à lui être arrachés. Ses pleurs maintenant constants ont fait couler son rimmel, elle est littéralement écartelée par les prétendants surexcités. Certains, ivres ne bandent plus, et veulent lui introduire n'importe quoi dans la chatte, mais on n'en est pas encore là...
Beaucoup n'ont pas encore tiré leur coup et s'interposent. Ce n'est pas encore le moment pour ce genre de gaminerie. Tantôt oui, mais pas maintenant ! Bien vite une évidence ce fait, si on veut encore pouvoir tirer quelque chose de cette salope, il faudra cesser de se chamailler, et organiser un tour de rôle.
Isabelle est plaquée au sol sur un matelas, les bras et les jambes écartelés.
Elle branle, elle suce, elle se fait baiser, elle se fait enculer par l'un, par l'autre, par deux mecs à la fois , parfois même des filles se glissent dans la file et à la grande satisfaction de l'assistance se font elles aussi sucer par Isabelle qui lentement, progressivement commence à perdre conscience ...
Mais elle n'en a pas fini, ils n'ont pas eu tous leur compte, on ne peux pas jouir 'correctement' avec un corps inerte. Les filles l'ont bien compris, elles amènent un seau d'eau glacée avec lequel elles aspergent le visage maintenant inexpressif d'Isabelle...
C'est à leur tour de prendre leur pied, leurs mecs sont repus, elles n'en tireront rien de plus cette nuit, mais il leur reste Isabelle, Isabelle qui va être ranimée et ranimée encore, afin que rien de sa déchéance ne lui échappe...
Ce n’est qu’au petit matin que la jeune femme est jetée dans le combi, et ramenée chez elle. Son amant avait payé, mais trop tard…
- Commentaires textes : Écrire
Najia, l'apprentie infidèle - chap 5
5.
Rassurée, je m’endormis presque immédiatement après cette déclaration d’amour. Je dormis comme une buche pendant quelques heures, avec Mouloud à mes côtés. Je me réveillais très tôt le matin. C’était comme si je sortais d’un épais brouillard. Je mis un long moment pour reprendre complètement mes esprits et me remémorer tout ce que j’avais fait pendant la nuit. Et devinez ce qui m’avait le plus frappé au réveil ! Je venais de me rappeler que Mouloud m’avait baisé de partout, sauf par ma chatte ! Avouez tout de même que c’est assez exceptionnel de penser à ce détail, alors que je venais de passer une nuit complètement folle. Tout ce qui me venait en tête, c’était que mon amant ne m’avait pas encore possédée par devant.
Je venais de faire une nouvelle fixation. Il me fallait absolument réveiller mon amant, qui dormait à poings fermés à mes côtés et l’obliger à me tirer encore une fois. Je voulais sentir son zob me défoncer la chatte. Comme je n’osais pas le réveiller brutalement, je me mis à embrasser doucement sa poitrine velue et nue. Je promenais lentement mes lèvres et ma langue sur ses tétons et entre ses mamelons. Je descendis jusqu’à son nombril que je titillais avec le bout de ma langue.
J’espérais ainsi réveiller son désir et le faire bander à nouveau. Je voulais qu’il bande ferme. Je voulais voir son sabre se dresser vers le plafond. Je voulais m’empaler sur lui. Je ne savais pas s’il en était conscient, ou s’il était entrain de rêver, mais je pus rapidement admirer le résultat de mes caresses labiales et linguales : je vis le monstre se réveiller lentement. Il grandissait et grossissait à vue d’œil. C’était un spectacle divin ! Il fallut moins d’une minute pour qu’il atteigne sa taille normale d’érection. Il était maintenant dressé comme le grand mât d’un bateau.
Je le pris dans ma main pour le caresser doucement. Je ne voulais pas réveiller l’homme. Je voulais le grimper dans son sommeil. C’était comme si j’allais le violer ! Quel délice ! Rien que d’y penser j’étais complètement mouillée. Je me mis à califourchon sur les cuisses de Mouloud, qui avait gardé les yeux fermés. Je positionnais ma chatte au dessus de la bête que je sentais frémir dans ma main et l’introduisis entre mes grandes lèvres qui s’écartèrent pour laisser passer le gland. Je rabaissai brusquement mon bassin et ma chatte vint s’empaler totalement sur le mât.
Cela réveilla totalement Mouloud qui m’envoya son sourire de fauve prédateur. Il envoya ses mains pour m’attraper par la taille et accompagna ainsi le mouvement montant et descendant de ma chatte sur son magnifique zob. Un zob qui remplissait complètement mon vagin. Je me forçais à faire monter très haut mon bassin et à le faire descendre brusquement pour faire pénétrer l’engin le plus loin possible. Je fis ainsi une dizaine d’allers-retours, avant de donner des signes de fatigue.
Mouloud prit tout de suite le relais. Il me força à maintenir mes hanches immobiles, à une quinzaine de centimètres au dessus de son membre et se mit à pilonner furieusement ma chatte. C’était merveilleux ! Je sentais le manche aller et venir dans mon tunnel en limant très fort les parois. Et plus il limait, plus il m’arrachait des cris de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
Inconsciemment, je m’étais mise à soliloquer sur le plaisir que me procurait le zob qui prenait possession de ma chatte.
- N’heb zebek fi saouti ! N’heb zebek ! N’heb zboub ! Abouche ! Abouche boughioul ! Abouche iqarihan ! (J’adore ton zob dans ma chatte ! J’adore ton zob ! j’adore les zobs ! Zob ! Un zob d’âne ! Un zob qui fait mal !)
Je le voyais, en dessous de moi, qui regardait son zob entrer et sortir de mon vagin. Il avait les yeux qui brillaient de plaisir. Il aimait le spectacle qu’il voyait. Il en bavait même. Et il souriait aux mots qu’il entendait et qui sortaient presque inconsciemment de ma bouche. J’eus un immense orgasme.
Je sentais que je ne contrôlais plus rien, ma tête partait dans tous les sens, de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient s’étaler sur la poitrine velue de mon maître. Ma respiration était devenue tellement rapide que je me sentais étouffer. Le plaisir était tellement intense ! C’était tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme depuis l’intérieur de mon vagin, jusqu’à ma colonne vertébrale en passant par mon bas-ventre, en me faisant la réflexion que j’allais mourir de plaisir !
Mouloud, lui ahanait comme un bucheron. Je voyais son visage qui commençait à se figer et ses lèvres qui s’étiraient et qui blanchissaient à vue d’œil. Il était lui-même au bord de l’apoplexie. Il allait jouir. Nous allions jouir ensemble. Et effectivement nous poussâmes tous les deux en même temps, un long râle de mourants. Je déchargeai en criant des insanités et en m’effondrant sur mon homme.
Lui continuait à maintenir mes hanches à la bonne hauteur et pilonnait ma chatte jusqu’à ce qu’il termine de tout éjaculer. Je sentais le sperme chaud ressortir de ma chatte et aller s’étaler sur le pubis de mon amant. Quand il se vida complètement, il relâcha brusquement mes hanches et je retombais sur lui, la chatte toujours empalée sur son mât qui avait perdu un peu de sa rigidité.
Nous passâmes le reste de la matinée au lit. Je m’étais levée un moment pour me doucher et préparer un petit déjeuner gargantuesque que nous prîmes au lit. Nous continuâmes de flirter jusque vers midi. Nous refîmes même l’amour une dernière fois, plus sagement cette fois-ci. Enfin, c’est une manière de parler : parce que le diable d’homme m’avait tirée en levrette et à la hussarde. Il déchargea ce qui lui restait de sperme dans mon vagin. Je décidais – je ne savais pas encore pourquoi je faisais ça – de ne pas me laver et de garder le sperme en moi, y compris celui qui
ressortit et s’était étalé entre mes cuisses.
C’était le moment de me lever et de me préparer pour aller chercher Rachid, mon mari, de l’aéroport. Je le dis à Mouloud, qui accepta de se lever, se laver, se rhabiller et quitter l’appartement. Il me donna rendez-vous pour le surlendemain, mais cette fois-ci, chez un de ses amis. J’acceptais avec empressement, tout en me posant la question sur la réaction de mon mari quand je lui raconterai ce que je venais de faire et ce que je projetais de faire le surlendemain.
Je me disais que rien, absolument rien – pas même le refus catégorique de mon mari – ne pouvait m’empêcher de continuer mes nouvelles expériences érotiques. Je venais de découvrir le monde merveilleux du plaisir sexuel sans bornes et il n’était pas question que je le quitte comme cela. Je voulais revoir Mouloud – et faire la connaissance de ses amis – et connaître d’autres expériences sexuelles, qui m’emmèneront au septième ciel.
Je retrouvais Rachid, juste à l’heure, dans l’aérogare. Il m’envoya de loin un sourire rayonnant – le sourire qu’il avait toujours quand il était heureux – et m’embrassa tendrement sur les deux joues, dès qu’il arriva devant moi. J’étais un peu gênée, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il ne m’avait jamais réellement dit qu’il voulait que je le fasse cocu (sauf au téléphone la pendant la journée précédente) et maintenant qu’il l’est vraiment devenu, comment allait-il prendre la chose ?
« Tu as passé une bonne nuit ?
- Excellente !
- Avec Mouloud ?
- Oui !
- Ça a été bien ?
- Oui !
- Tu me raconteras ?
- Plus tard. »
Nous n’en dîmes pas plus, tout au long du trajet. Mais je sentais que Rachid me regardait d’un air bizarre. Non pas que je sentais un quelconque mécontentement chez lui – il me semblait bien que c’était le contraire qu’il montrait – mais il y avait quelque chose de changé dans son comportement.
Un peu comme s’il était curieux de voir ce qui avait changé en moi. Mais il ne me demanda rien jusqu’au moment où nous rejoignîmes la maison. Il déposa son sac de voyage devant la porte d’entrée et me prit la main pour m’emmener vers le canapé du salon. Il s’assit le premier et me fit assoir à côté de lui.
« Tu as aimé te faire tirer par un autre homme ? Tu en as éprouvé beaucoup de plaisir ?
- …
- N’aie pas peur, je ne suis pas du tout mécontent, ni jaloux. Je veux seulement savoir si tu as été heureuse de me faire porter des cornes ? Si tu as pris beaucoup de plaisir à te faire tirer par un homme exceptionnellement membré. Si tu as aimé sa manière de te tirer. Si tu es devenue accro au sexe. Si tu comptes continuer sur cette voie. Si tu te sens l’âme d’une pute.
- Pourquoi tu veux que je devienne une pute ? Un qahba ? Une femme qui cherchera à se faire tirer par tous les hommes qu’elle rencontrera ?
- Oui ! Je voudrais que chaque jour tu aies un amant, ou même plusieurs, que tu prennes ton pied avec lui – ou avec eux – et que tu me reviennes le soir me raconter et m’offrir à mon tour un peu de bonheur. Tu veux ? Dis-moi oui !
- Oui ! D’ailleurs après-demain, j’ai encore rendez-vous avec Mouloud, qui doit me présenter à son groupe. Il parait qu’ils ne vivent que pour, et par, l’amour libre. »
Bizarrement, je venais de faire connaissance du nouveau Rachid. Un Rachid, complètement différent de celui qui avait été mon mari pendant vingt-cinq ans. Un mari qui se découvrait une vocation de cocu et qui adorait cette situation. D’ailleurs ce jour là, il me démontra à quel point il était content de moi. Il me fit l’amour, comme jamais il ne me l’avait fait auparavant. Il me fit même jouir ! Une vraie jouissance d’amant et de maîtresse ! Pas de mari et de femme ! Je crois que ce qui avait déclenché l’excitation paroxysmique de Rachid, c’était l’odeur de sperme que j’avais encore sur moi.
C’était du moins comme cela qu’avaient commencé nos ébats ce jour-là.
« Il y a en toi comme une odeur bizarre de sperme, me dit-il en m’embrassant.
- C’est vrai, je n’ai pas eu le temps de me doucher ce matin. J’ai gardé ma chatte avec le sperme qu’avait éjaculé Mouloud. Je vais me doucher tout de suite.
- Ah non ! Certainement pas ! Je veux voir ! Je veux toucher ! Je veux lécher ! »
Et c’est comme cela que mon mari me fit un super cunnilingus qui me transporta au paradis. Il me fit jouir comme une folle, en me suçant la chatte encore pleine du sperme de mon amant de la nuit. Il se permit même de m’enculer – et de réveiller la douleur du brutal dépucelage de la veille – et de jouir dans mon cul en criant qu’il m’adorait et qu’il adorait me baiser à la suite de mes amants.
Et c’est comme cela qu’aujourd’hui encore, je me comporte en vraie pute, en offrant mon corps à toutes sortes d’amants, qui me donnent chaque fois un plaisir sexuel toujours renouvelé. Et que chaque fois, en rentrant le soir, j’offre à mon mari mon corps «sali» par mes amants et dont il tire un maximum de plaisir érotique.
A suivre !
Résolutions pour l'année qui commence !
En ce premier jour de l'année, je vous renouvelle mes plus sincères voeux de bonheur, de santé, de prosperité, et surtout, de sexualité épanouie ! Pour bien commencer l'année, quelques phrases pour ne pas oublier l'essentiel !
Les 10 ennemis du couple
Pour que votre couple marche, inutile de chercher des recettes miracles. En revanche, vous pouvez éviter certains pièges qui risquent à la longue d’affaiblir les liens qui vous unissent. Petit guide des mauvaises habitudes à fuir absolument ! Ainsi, vous saurez quelles « bonnes résolutions » vous devez prendre pour l’année qui arrive !
Portrait robot de quelques-uns des ennemis du couple…
La télévision
La télévision est un tue-l’amour, il n’y a aucun doute la dessus ! A proscrire : le dîner devant le 20 heures. Prendre son repas tous les soirs avec Claire Chazal entre vous, ne facilite pas la complicité… Et puis, à force de regarder le film puis d’aller vous coucher, vous ne prenez même plus le temps de vous parler et de vous préoccuper de l’autre. Une seule solution : jeter cet ennemi de la vie amoureuse ! Moins radical, vous pouvez convenir de l’éteindre 4 soirs par semaine.
Les pantoufles
Conséquence ou non de la présence de la télé, vous ne sortez plus ! Et ce petit resto que vous aimiez tant, aurait-il fermé ses portes ? Et les soirées ciné qui se prolongeaient en débats passionnés ? Maintenant, vous ne sortez qu’une fois par mois, et encore uniquement pour aller chez des amis ou éventuellement recevoir. Fini les sorties en couple et les soirées en amoureux ! Il faut retrouver cette magie des escapades complices ! Puisque-vous venez de jeter votre télé, profitez de l’argent économisé sur la redevance !
Les heures sup’
Arrêtez de rentrer tard du boulot ! Non seulement vous n’avez plus de temps pour vous, mais en plus vous êtes fatigué et irascible, ce qui n’est pas franchement une sinécure pour votre partenaire ! Pour peu que le travail ait complètement envahi votre vie, cela devient vite votre seul sujet de conversation… Stop ! Commencez par passer aux 35 heures (et pas une de plus) ! Essayez de rentrer suffisamment tôt pour avoir un peu de temps avant le dîner… Sans en profiter pour vous affaler devant la télé ! Et surtout, oubliez le travail de temps en temps, pour accorder plus d’attention à l’autre.
La porte des WC
Ce n’est pas parce qu’on est en couple et qu’on se connaît depuis des années qu’il faut se laisser aller ! Arrêtez de vous balader en jogging, les cheveux en bataille… et de laisser traîner vos affaires dans toute la maison prenez soin de vous ! Certes, votre conjoint(e) vous aime tel que vous êtes, mais pourquoi ne pas faire des efforts pour vous montrer sous votre meilleur jour ? Vous lui montrez ainsi que vous attachez de l’importance à sa présence et à l’impression que vous lui laissez !
L’inattention
Un des autres grands ennemis du couple, c’est le manque d’attention. Et il ne s’agit pas ici d’offrir des fleurs ou des petits cadeaux, mais simplement de le (la) regarder. De remarquer quand il (elle) a été chez le coiffeur ou a acheté une nouvelle veste. Surtout n’hésitez pas à lui dire quand vous le(la) trouvez élégant(e) ou qu’il (elle) vous impressionne par ses remarques pertinentes. Car les compliments sont toujours agréables… Mais uniquement s’ils sont pensés !
La jalousie excessive
Arrêtez de le(la) surveiller ou de lui poser des questions à tout bout de champ. Car la base d’un couple, c’est la confiance réciproque. A force de le (la) soupçonner, vous aller finir par lasser votre partenaire et le (la) pousser dans les bras d’un(e) autre !
L’abstinence !
La vie sexuelle est importante dans un couple. S’il est normal de s’assagir avec le temps, ce ne doit pas devenir la règle ! Car il faut garder de la fantaisie et de l’imagination ! Réservez-vous des périodes d’intimité, variez les lieux et les positions… Pour renouer avec le désir ou découvrir les conseils du Kama-Sutra, n’hésitez pas à lire et relire les histoires de ce blog !
La belle-famille
Non, bien sûr, toutes les belles-familles ne sont pas celles que l’on se plait à décrier au cinéma. Et l’entente est souvent cordiale entre le partenaire et les beaux-parents. Mais le tout est de savoir ne pas insister ou reconnaître quand l’autre en a un peu assez. Ne lui imposez pas le déjeuner du dimanche midi chaque semaine si vous sentez qu’il commence à "saturer". Et bien sûr, cette règle vaut aussi pour vos soirées entre collègues, réunions d’anciens de la fac…
L’absence de projets
Former un couple, ce n’est pas seulement affronter le quotidien sans penser au lendemain. Vous devez construire ensemble. Des projets à court terme (lieux des vacances, achat d’une voiture…) à des projets plus ambitieux (enfants, partir en province…) n’hésitez pas à réfléchir sur votre avenir et comment vous l’envisagez. Cela vous apportera la cohésion et l’envie d’aller de l’avant…ensemble !
Le silence
Le manque de dialogue est bien sûr néfaste pour le couple. Certes, il découle souvent d’un manque de temps ou d’attention lié aux diverses causes déjà citées. Cependant il est fréquent que le dialogue existe, mais que personne n’écoute l’avis de l’autre… Dans ce cas, à vous de faire ensemble un travail de dialogue posé, en faisant des efforts pour réellement chercher à comprendre ce que l’autre veut dire. Au besoin n’hésitez pas à vous faire aider par un thérapeute.
Louis Asana sur doctissimo.fr
Ps : et mon conseil perso, qui est le meilleur ami du couple : essayez de lui faire au moins une fois par mois une petite surprise à caractère coquin…. Un texto où vous dites son envie de lui ou d’elle, un post-it glissé dans la brosse à cheveux pour lui dire que ce soir, il n’y aura pas télé… ou une paire de draps neufs et parfumé à son parfum préféré…
N’oubliez pas de lui faire livrer des fleurs à son travail que ce soit un homme ou une femme. Ou encore, de lui faire lire une histoire de ce blog que vous aurez joliment imprimée et décorée…
Bref, soyez imaginatif(ve), retombez amoureux(se) de votre moitié, rejouez le jeu de la séduction… Vous verrez, ca fait des miracles !
- Commentaires textes : Écrire
En cette veille d'année 2012....
En cette veille de l'année 2012,
Je vous souhaite plein de bonnes choses, que le passé reste derrière vous, pour vous ouvrir à de nouvelles expereiences,
à de nouvelles richesses.. pas forcément matérielles...
J'ai une pensée particulière pour ceux qui sont seuls, et je leur souhaite malgré tout de passer
une soirée aussi agréable que possible...
Tendres baisers,
Votre Sophie
- Commentaires textes : Écrire
La fête médiévale
Audrey et Simon, vingt deux ans, ont fait l'amour tout le matin. Il est inconcevable pour Audrey, de commencer la journée sans tailler une pipe, ou prendre sa dose de coups de queues. D'autant que Simon s'avère être un amant merveilleux. Pourtant, la jeune femme est insatiable, et elle est souvent en manque de sexe bien hard…
Ils s'aiment depuis longtemps, d'un amour indestructible. Audrey, secrétaire de direction, et Simon, étudiant en chirurgie au CHU, ont tout pour réussir dans la vie.
Aujourd'hui est leur dernier samedi de célibataires. Effectivement, leur mariage est prévu samedi prochain. En promenant pour faire des achats, ils découvrent sur une vitrine, une affiche qui annonce la traditionnelle fête médiévale du vieux village, en costumes d'époque.
En parcourant le programme, le jeune couple se lance un regard complice.
« Whoua… Chérie, dit Simon, on n’y a jamais participé, ça peut être sympa pour enterrer notre vie de célibat. Une soirée, chacun de son côté, mais dans la même fête….
- Chiche, sourit Audrey, surtout qu'on a toute la vie devant nous ! »
Ils entrent dans une boutique de farces et attrapes qui, pour la circonstance, loue des fringues de déguisements en tout genres. Elle choisit de s'habiller en gitane, Esméralda. Bustier fixé avec des lacets, robe longue, elle est craquante et super sexy…. Lui se déguise en Prince. Ils décident aussi de se faire un petit cadeau. Ils sont attirés par une chaine en argent avec un petit médaillon en forme de parchemin, représentant leur signe du zodiaque. Ils en achètent un chacun, taureau pour lui, gémeaux pour elle.
Vingt-trois heures pétantes, ils sont devant l'église où ils se marieront samedi. Ils se donnent rendez-vous au même endroit, vers quatre heures du matin, maxi, sinon, ils se retrouvent dans leur douillet deux pièces sous les toits. Ils s'embrassent longuement, se donnent les recommandations d'usages.
« Sois prudente ma chérie, sois sage ! »
Elle lui donne un tendre baiser, glisse sa main dans ses cheveux.
« Promis mon amour, sourit-elle, toi aussi. »
C'est avec un pincement au cœur qu'il voit sa prétendante s'enfoncer dans la ruelle. Elle se retourne, lui envoie un baiser, puis disparait, happée par foule de villageois.
Un peu dépaysé, Simon s'engouffre dans la ruelle opposé. Ils ne doivent pas se rencontrer ce soir. Par chance, il tombe sur un groupe d'étudiants et de jeunes internes des deux sexes, et se joint à eux. Fidèle, Simon repousse une à une les propositions alléchantes de jeunes étudiantes, mais ne résiste pas aux avances d'une superbe créature brune, déguisée en courtisane, qui lui promet une nuit torride. Il l’aura, et se mordra les doigts de ne pas avoir suivi sa promise… La chair est faible, il le comprendra cette nuit…
De son côté, Audrey est littéralement transportée par une meute de participants. Elle débouche sur une place où s'organise une gigantesque farandole, pleine de débauche toute moyenâgeuse, le tout, sur une musique jouée par quatre ou cinq troubadours. Sur des immenses tables de bois, des femmes, à demi nues, se font caresser par des mâles avides de chair fraiche. Elle n’en croit pas ses yeux, et ne pensait pas assister un jour à une telle scène dans se petite ville si sage… Déjà bien émoustillée parce qu’elle vient de voir, Audrey est carrément entrainée à l'intérieur d'une taverne où le vin coule à flots. Elle est surprise de découvrir les scènes d'orgies qui se déroulent devant ses yeux.
Dans un coin, un moine, vrai ou faux, est prostré à genoux, la robe enroulée sur la taille. Il se fait copieusement enculer par un colosse déguisé en bourreau, qui lui ouvre le cul de son énorme gourdin. Le pauvre curé sent les couilles frapper contre ses fesses, telles les cloches de la cathédrale.
Un peu partout, les couples s'adonnent à des jeux érotiques. Les femmes, nues pour la plus part sont empalées sur les bites d'hommes de tout âge. Sodomies, double pénétration, fellations, tout y passe. D'autres se gouinent à même le sol, se bouffent l'abricot gorgé de jus, là, ce sont deux femmes qui maitrisent un jeune paysan, en le tenant par les couilles. L’orgie est totale, et Audrey sent monter une ébullition torride en elle.. Elle est au cœur de ce dont elle a toujours rêvé : une partouze monstrueuse, sans tabou ni retenue…
Les cris de plaisirs raisonnent sous les voutes de la taverne. Au centre de la pièce, une jeune et jolie fille, entièrement nue, est écartelée sur la table. Un barbu verse un pichet de vin sur ses magnifiques seins. Le liquide ravine sur son corps. A l'autre bout de la table, un villageois s'abreuve à la raie de la jeune fille prise de spasmes. Plusieurs hommes la malaxent, la pétrissent de partout.. Des doigts courent sur son corps, s’enfouissent dans ses orifices... Elle suce au hasard les bites qui se présentent à elle… D’autres pieux la ramonent à tour de rôle... Elle semble jouir en continu, les yeux révulsés.
Audrey, figée devant ce spectacle, sent d'agréables frissons parcourir son corps, une douce chaleur qui monte de son ventre jusqu'à ses seins durcit par le désir. Elle « sait » qu’elle devrait fuir cet endroit de luxure, pour tenir sa promesse d’être sage… Mais c’est plus fort qu’elle, elle reste figée, son désir grandissant encore dans tout son corps.
Soudain, des mains lui prennent la taille. Elle sent un souffle chaud dans son cou, pendant que des doigts s'insinuent entre les lacets de son bustier.
« Alors, belle Esméralda, lâche-toi, c'est la fête ce soir. »
Ces quelques mots font tomber ses dernières résistances, et elle oublie tout : Simon, le mariage, la promesse de fidélité… Audrey se retourne, et se trouve face à un homme d'une beauté fascinante. Elle est attirée physiquement, quasi de façon animale. Sans hésiter, elle lui prend la nuque, et lui dévore la bouche.
« Prends-moi, dit-elle, j'ai envie de me faire mettre, là, contre le mur, droite. »
Le jeune garçon, déguisé en tailleur de pierres, ne se fait pas prier une seule seconde, et pousse Audrey contre le mur de la taverne. Le jeune bâtisseur fait coulisser le lacet dans les œillets du corsage et lui attache les mains à un anneau fixé sur le mur, juste au dessus sa tête.
Privé du lacet, le bustier s'ouvre, libérant deux superbes seins aux bouts saillants. La respiration de la jeune femme s'accélère. Le jeune homme lui caresse la joue, approche sa bouche près de la sienne, et l'embrasse.
« Ma belle Esméralda, dit-il, ma prisonnière.
- Oui... répond Audrey. Mon corps t'appartient... tu peux en faire ce que tu veux... »
Elle ne se rend pas compte qu’elle vient de sceller son destin…
Le jeune villageois se recule, toise la poitrine, pince les bouts douloureux.
« Bouffe-les... Ils en meurent d'envie... Qu'est-ce-que t'attends Ils te plaisent pas ? » implore la future mariée.
Le tailleur de pierres plonge sa tête entre les deux globes de chair, les mord, les suce, puis fait glisser la robe rouge sur le sol. Pas de string. Audrey est totalement nue, exposée aux vices des nombreux villageois à moitié ivre. D’ailleurs, certains s’approchent, contempler le spectacle qui s’offre à eux…
Audrey sent deux doigts lui ouvrir ses lèvres intimes enflées de désir, pénétrer la chatte, ce qui lui arrache un râle de plaisir.
« Je t'en supplie, nique moi ! Tu ne vois pas que je suis prête ? Ne me fais plus attendre ! »
Le jeune homme se déshabille, glisse sa bite en érection entre les cuisses de sa belle gitane, et lui soulève les jambes. Audrey est impuissante, les mains liées à l'anneau, et les pieds décollés du sol. Pour se maintenir, elle est obligée de nouer ses jambes dans le dos de son partenaire. Celui-ci frotte sa queue contre la fente de la jeune femme, jusqu'au clitoris.
« Ne me fais pas râler... gémit-elle. Possède-moi ! Vas-y, nique la gitane... »
Soudain, le gland décalotté du tailleur de pierres ouvre les lèvres, et pénètre bien profond dans la chatte pleine de mouille. Le cri de plaisir que pousse Audrey, se confond parmi les bruits de la taverne. Le garçon accélère ses va et viens jusqu'au point de non retour.
« Hou...hou...oui... Je jouiiiiiiiis !!! Vas-y salaud, défonce moi... Bourre-moi... »
Le jeune homme sent la sève qui monte en lui. Il pose la gitane au sol, lui délie les poignets, et l'oblige à se mettre à genoux, pour que sa bite soit à la hauteur de sa bouche. Par jets saccadés, la semence gicle dans la gorge d'Esméralda. Comme une morte de faim, elle avale tout, garde un moment la bite en bouche.
« Que c'était bon, murmure-t-elle, quel étalon tu es...J'en veux encore...
- La table est libre, sourit-il, ça te dit ? »
Audrey regarde vers la grande table, occupée plus tôt par la jeune fille écartelée, et passe sa langue sur ses lèvres. Encore plus excitée, elle accepte l'indécente proposition. Elle se retrouve sur la table, maintenue jambes et bras écartés, prête à subir les caresses perverses des villageois en manquent de chair tendre.
Il ne faut pas plus de trente secondes pour qu’une dizaine d’hommes se groupent autour de la table. Deux archers, pantalons aux chevilles, se placent de chaque côté d’elle, leur énorme bite tendue contre les lèvres d'Audrey. Pendant qu'elle taille une pipe alternativement aux deux hommes, le barbu vide un pichet de vin qui s'écoule sur le superbe corps de la gitane, jusqu'à la source de plaisir.
A l'autre bout de la table, un nain, la tête enfouie entre ses cuisses, récupère le nectar mélangé de mouille, de cyprine, et de reste de sperme du jeune bâtisseur. Il la dévore d’une bouche avide, et finit par enfoncer sa petite main dans un fist inimaginable. Audrey jouit comme une folle... Elle est au paradis du sexe, enfin à se faire baiser comme elle l’a toujours rêvé !
Audrey devient hystérique, hurle de plaisir sous les rires sarcastiques des mâles en furies. Le nain a tout bu. Il monte sur un billot de bois, pour que son membre arrive à la hauteur du petit trou, et pénètre violemment la jeune secrétaire.
« Ah...le salaud...il m'encule. Simon… Simon...mon Prince... Où es-tu ? Viens me sauver ! »
Mais les mots passent inaperçus dans le tumulte ambiant. Pendant qu’elle se fait sodomiser, deux hommes écartent sa chatte, et un troisième y enfouit le cul d’une bouteille de bière. Ecartelée de partout, elle se sent salope et jouit à n’en plus finir !
La scène se termine dans un orgasme et des cris indescriptibles. Vers quatre heures du matin, Audrey, épuisée, à peine vêtue, est chargée dans une charrette en partance vers le château. Elle est accompagnée du tailleur de pierres. Elle sait qu’elle devrait rentrer chez elle, retrouver son Simon. Mais le désir est plus fort, et elle a trop honte de se retrouver face à son futur mari si fidèle…
Au petit matin, ils ne se sont pas retrouvés.
« Je ne la reverrai plus », se dit Simon, qui s’ »roule sur le pavé humide.
C'est un camion de la voirie qui le réveille, il est six heures du matin. Dans la ruelle déserte, il appelle une dernière fois sa bien-aimée, puis rentre chez lui, et s'effondre sur le lit, en pleurs.
Aujourd'hui, Simon à trente cinq ans, toujours célibataire. Il est chirurgien au CHU. Il est accoudé à son bureau, le visage dans les mains. Il n'a jamais oublié Audrey, dont la photo trône sur son bureau.
« Professeur...professeur... Monsieur... vite...
- Heu oui, sursaute Simon, excusez-moi, j'étais perdu dans mes pensées... Qu’y a-t-il ?
- Un grave accident, quatre ou cinq blessés graves, il faut que vous veniez. »
Simon regagne les urgences, découvre l'ampleur de la catastrophe. Il passe les patients un par un, puis arrive à une jeune femme, plus atteinte, le visage et le corps en sang. Elle respire avec difficulté..
« Vite, ordonne-t-il...une trachéo.. »
Il déchire lui même le haut du chemisier, et là, il a un mouvement de recul. Au cou de la femme accidentée, la même chaine, le même médaillon que lui.
Sauf que c'est le signe du gémeaux.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
bonjour suit a votre histoire je me permis a le dire ca m avait vraiment exite bisoooo a+