Les Mémoires très Libertines de Sophie
Mes aventures avec Diane ma coquine
Les récits qui vont suivre concernent ma relation avec une amie libertine, Diane, une relation qui s’est écoulée sur plusieurs années. Nous sommes toujours en contact mais nous ne faisons plus de frasques sexuelles ensemble.
Ma chère Diane,
Nous avons assez bavardé sur la toile à échanger des coquineries qui personnellement me font bien fantasmer. A l’occasion d’un de mes courts séjours à Paris, nous avons rendez vous pour une rencontre chez toi en vue d’un 5 à 7 coquin.
Mais, à ta demande, je t’adresse cette petite lettre où je te confie quelques secrets sur ma vie et surtout dans quelles circonstances j’ai rencontré ma première vraie maitresse.
Après quelques aventures d’une soirée ou un peu plus au cours de mon service militaire, je me suis marié à 21 ans avec une copine d’adolescence. Au lycée, j’avais eu quelques flirts mais c’est avec une cousine très éloignée que j’avais perdu mon pucelage lors d’une fête de famille quelques années avant.
Durant la période de mariage, j’étais resté sage et fidèle à ma compagne. A 40 ans, veuf depuis près de trois ans, j’élevais seul mes enfants déjà grands avec l’aide d’une femme de ménage qui s’occupait de la maison trois fois par semaine.
Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, j’avais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. J’étais en train de ranger tout ce que j’avais acheté lorsque j’ai entendu non loin de moi une voix de femme s’exclamer «Ah non ce n’est pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat?»
Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture n’étaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour qu’elle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je l’ai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je l’ai accompagnée jusqu’à chez elle.
Elle habitait un joli pavillon édifié sur une petite colline qui dominait un peu ce quartier de la ville. Arrivés chez elle, elle m’offrit un pot. Avant j’avais téléphoné à mes enfants (ce n’était pas encore l’époque du portable). Nous avons bavardé un peu pour faire connaissance.
Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de l’Ecosse et elle possédait un institut de beauté assez coté en ville. Sandrine m’avait expliqué au cours de la conversation qu’elle était d’origine franco libanaise mais qu’elle vivait en France depuis son adolescence.
C’est vrai qu’elle était assez typée. Brune de peau avec des cheveux longs noirs de geai coiffés en chignon, à près de quarante ans, elle avait des formes pleines d’une femme mature. Sous son chemisier un peu échancré, je pouvais voir la naissance des deux seins opulents et elle avait des hanches assez larges. Vers vingt heures, nous nous sommes séparés. Elle ferait réparer ses roues le lendemain et je pourrais venir récupérer la mienne dès le lundi soir.
Le lundi soir, j’ai été retardé par un rendez vous qui s’est prolongé aussi, j’ai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer qu’après 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes enfants savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle.
J’ai rapidement mis en place ma roue de secours et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des enfants et de leurs problèmes. Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes.
Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi Sandrine avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusqu’en haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, c’est sa poitrine qui s’offrait à mes regards.
Tout cela ne me laissait pas insensible, c’était une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. J’avais envie d’elle et elle le savait… m’allumant discrètement.
Je me suis dirigé vers elle et je l’ai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui s’est rapidement enflammé. Son bassin collé contre le mien, Sandrine s’est mise à onduler comme une danseuse arabe, tournoyant des hanches. Je n’en pouvais plus.
En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusqu’à ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine m’a entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. D’une main, je tirai son string sur le côté et d’une violente poussée, je m’introduisis dans sa chatte trempée de mouille.
Au début, je la besognais rapidement mais j’ai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir n’arrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance.
Nous n’avions pas eu le temps d’ôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. J’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. L’un et l’autre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis Sandrine m’a guidé vers sa chambre où nous nous sommes déshabillés entièrement.
C’était effectivement une belle femme mature à la peau ambrée, avec une poitrine lourde mais bien ferme dont les tétons saillaient légèrement au centre d’une aréole brun foncé. Son pubis était dépourvu de toute toison mais à la teinte de la peau, on devinait que, laissée libre de repousser, elle aurait été drue. Sandrine m’expliqua que c’était sa mère qui lui avait rasé la première fois la toison la veille du mariage. Depuis, elle avait continué elle-même. Elle se sentait bien ainsi.
Nous sommes montés sur le lit. Elle m’a fait coucher sur le dos et en se penchant vers moi, elle a embouché ma bite pour une fellation savante et goulue. Je n’avais jamais été sucé de la sorte par ma femme. Elle prenait mon sexe le plus loin possible dans sa bouche et le ressortait copieusement enduit de salive puis faisant coulisser sa main droite le long de la hampe, elle n’avait plus que mon gland dans la bouche. Elle le pompait rien qu’en gonflant et dégonflant ses joues. Avec un tel traitement, ma bite n’a pas tardé à se dresser, raide, gorgée de sang et de désir.
Sandrine s’est relevée pour se mettre en levrette, les mains appuyées sur le pied du lit, face à un grand miroir. Elle m’offrait ainsi la vue sur ses fesses, sa taille fine et cambrée avec deux fossettes au bas du dos. J’aime particulièrement cette position où l’homme est totalement libre de ses mouvements pour pénétrer sa partenaire.
J’ai placé mes mains de chaque côté de sa taille et je me suis introduit une nouvelle fois dans sa chatte, chaude et inondée de nos sécrétions. Je nous voyais dans la glace et cela était très excitant pour nous deux. Entre ses bras, je voyais ses beaux seins généreux balancer doucement. Là, j’ai pris tout mon temps et je l’ai baisée longuement, faisant monter sa jouissance puis en la laissant repartir plusieurs fois. Je me retenais et lorsque n’en pouvant plus, j’ai accéléré mes mouvements, nous avons atteint la jouissance en même temps. Une nouvelle fois, j’ai jeté au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme. Waaouuuhhh! Que c’était bon de baiser à nouveau. Nous sommes restés sans nous désunir de longs moments puis quand je suis sorti de sa chatte, elle est venue embrasser ma bite en disant qu’elle lui avait fait du bien.
Nous nous sommes quittés vers minuit et nous avons pris l’habitude de nous retrouver pour baiser tous les lundis. C’était sans complication, une baise hygiénique juste pour le plaisir. Lorsque je suis venu la troisième fois, nous avons fait l’amour comme des fous, changeant plusieurs fois de position et pour finir je suis venu entre ses seins qu’elle a pressés comme un fourreau autour de ma bite et j’ai éjaculé sur le haut de son buste.
Nus tous les deux sur le lit, nous avons mis quelques temps pour récupérer tout en bavardant. Sandrine m’a alors proposé de me raser le pubis en disant que de cette manière, nous serions à égalité. Je n’avais rien contre car j’ai toujours été avide d’expériences nouvelles. Nous sommes passés dans la salle de bain où elle avait tout le nécessaire.
Assis sur le bord de la baignoire les cuisses largement ouvertes, elle a enduit mon bas ventre d’une abondante mousse onctueuse et, avec un rasoir couteau, elle commencé à enlever les poils en partant du haut du pubis pour arriver au pied de ma bite qui était de nouveau raide. Quand elle a eu fini, elle m’a rincé avec la douche. Il ne restait plus que quelques poils au pied de mon sexe. Elle les a enlevés délicatement avec le rasoir. Elle avait la main légère, à aucun moment j’ai eu peur d’une coupure. Elle m’a séché avec une serviette chaude et m’a passé un baume apaisant pour atténuer le feu du rasoir. Cela faisait une impression bizarre mais agréable de me sentir nu à cet endroit.
Nous sommes revenus dans la chambre où Sandrine a de nouveau pris ma bite en bouche pour bien m’exciter. Quand elle a jugé que j’étais à son goût, elle s’est allongée sur le dos, deux oreillers sous le bas des reins pour relever la fourche de ses cuisses. Elle a mis ses mains derrière ses genoux pour maintenir ses jambes en V elle me dit : «Viens, baise moi encore une fois!» Je ne demandais pas mieux. Je me suis approché de son sexe et j’ai à nouveau plongé ma bite dans cette chatte humide et chaude. Je la baisais depuis déjà cinq bonnes minutes quand elle m’a demandé de la sodomiser. Je n’avais jamais eu cette expérience et j’allais bien en profiter puisqu’elle s’offrait à moi !
Cette coquine lubrique était prête, son œillet plissé et son antre étaient pleins de gel lubrifiant. Bien que ma bite soit d’une taille assez imposante, je suis entré avec une grande facilité dans son pertuis étroit. Dès que je l’ai embrochée jusqu’à la garde, j’ai senti ses muscles intimes commencer un massage. A chaque fois que j’arrivais au fond, j’avais l’impression qu’une bouche avide se refermait sur mon gland. Avec un tel traitement ma jouissance est arrivée, soudaine et violente. Lorsque Sandrine a senti les jets de sperme l’inonder, elle a joui à son tour, bramant haut et fort son plaisir.
Une heure plus tard, je regagnais discrètement mon domicile. Cette liaison a duré près de six mois avec une coupure d’un mois quand son mari est venu en congé en avril et pendant les vacances scolaires d’été. Après, nos rencontres se sont espacées pour diverses raisons puis nous avons cessé de nous voir.
Un jour, je l‘ai croisée à la sortie de son institut, elle était avec un jeune homme d’environ 25 ans. Leur attitude était sans équivoque. C’était son nouvel amant. Quant à moi, j’ai eu plusieurs aventures sans lendemain ou presque et à plusieurs reprises je suis allé dans des camps naturistes sur la côte landaise et au Cap d’Agde. J’ai gardé le pubis rasé plusieurs années jusqu’à ce que je rencontre celle qui allait être ma seconde femme, qui, malheureusement a également été emportée par la maladie.
Voila ma belle Diane, tu sais presque tout.
Je t’embrasse. A la semaine prochaine.
SIgné : Gérard le Matou
- Commentaires textes : Écrire
La découverte zoo de Sylvain
Je m'appelle Sylvain et c'est aujourd'hui mon quarante-septième anniversaire. Je suis dans le train qui me ramène vers les souvenirs de mon enfance et j’ai quelques heures de tranquillité devant moi pour vous raconter mon histoire… Je retourne ainsi dans la ville où j’ai connu mes premiers émois. Voici donc mon histoire.
J’ai commencé à me masturber je devais avoir une dizaine d’années… Très vite, j’ai compris tout le plaisir que je pouvais retirer de ces caresses et c’est ainsi que je suis rapidement devenu « accro ». Quel souvenir mémorable et quelque peu inquiétant de ce « jus » qui sortit de ma bite la première fois ! Ensuite, ce furent des masturbations à répétition avec comme support mon premier livre érotique « emprunté » à l’un de mes frères… « Justine ou les malheurs de la vertu » du Marquis de Sade.
Ainsi donc en allait la vie en ces temps où la féminité avait encore tout du mystère et où je ne comprenais pas tous les mots que découvrais dans cet ouvrage. Néanmoins, une excitation grandiose me portait vers la jouissance. C’est ainsi que je me forgeais ma manière de penser un monde sans tabous, où le plaisir serait non seulement un droit mais aussi un devoir. Libertin je serai donc !
Mes copains de classe n’étaient pas en reste non plus concernant les « choses » du sexe et c’est comme cela qu’un jour, Maxime, avec qui je revenais tous les jours de l’école, sorti de son sac un magazine et quel magazine ! Il me dit :
« Regarde ce que j’ai trouvé dans le bureau de mon père ! et il me tendit la revue.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Eh bien ouvre et regarde ! »
Je prends l’ouvrage et découvre en première page une magnifique créature, blonde, plantureuse qui ne laisse rien voilé de ses charmes. Premiers émois face à cette féminité dévoilée, mais ce n’est qu’un début ! Mon sexe dans mon pantalon s’érige fier et ardant du haut de ses 10 ou 12 ans.
Et je feuillette ma première revue de cul ! Quelle révélation, c’est encore mieux que dans mes fantasmes ! Pénétrations, sodomies, fellations et foutre qui coule à flot, bref… Jus de couille pour tout le monde ! Mais ça ne s’arrête pas là. Au détour d’une page, un beau black est à quatre pattes la fameuse blonde allongée en dessous de lui dans ce qui est la vision de mon premier soixante-neuf. Et derrière lui un magnifique berger allemand est entrain de lui lécher l’anus. Ha bon ! On peut faire ça aussi ? Et je continue de feuilleter… La page suivante présente une scène identique, sauf que le chien est maintenant sur le dos de l’homme et qu’il lui enserre fermement la taille avec ses pattes avant.
Un rictus se dessine sur son visage et je ne saurai dire si c‘est du plaisir ou de la douleur. La femme quant à elle aspire sa pine dans la bouche. Quelle vision, quelle révélation !
Je tourne à nouveau la page et un gros plan me montre la rondelle du mec défoncé par la queue du chien enfoncé jusqu’aux boules. En fait, c’est un peu plus tard que j’appris ce qu’était le « knot » ou nœud du chien. Ces boules grossissent et permettent un verrouillage dans le vagin d’une chienne, lui permettant ainsi de rester enfoncé pendant plusieurs dizaines de minutes, lui permettant ainsi de vider entièrement les couilles, afin de garantir la reproduction.
La photo suivante montre la pine du berger allemand enfoncée au maximum.
Le nœud a passé les sphincters et le black.est maintenant verrouillé.
Le visage de l'homme exprime l'extase. Je crois que c'est là que j'ai lâché mon foutre dans mon pantalon. Écarlate je devais être ! Et j'ai continué à tourner les pages.
Vous devinez probablement l'image suivante.
La bite du chien qui ressort, l'anus écartelé, le foutre qui gicle du cul du mec…
Et l'apothéose, le mec qui jouit dans la bouche de la blonde, le foutre du chien qui se mélange avec celui de l'homme et cette belle jeune femme qui avale le tout.
Une bonne pelle bien goulue sur l'image suivante avec le chien qui lèche le visage des deux et mon destin était scellé.
Ma vie serait vouée à la recherche de ce plaisir si particulier et si tabou : La zoophilie.
De retour chez moi je ne vous raconte pas les jouissances que je me suis octroyé..
Le foutre a encore coulé a flot avec néanmoins quelque question.
Alors comme ça on peut jouir par le cul ? Que de nouveautés !
Que le monde du plaisir est fascinant et sans limite !
A partir de ce moment là, j'ai cherché des partenaires femmes, hommes possédant un compagnon à quatre pattes et friands de ce plaisir. Pourquoi se limiter à un seul sexe ?
Je n'étais probablement pas le seul amateur de ce type de plaisir.
Possédant moi même un chien bâtard de trois ans croisé entre le labrador et le beauceron je me mis en tête de reproduire ce que j'avais vu dans la revue.
Je dus attendre le moment où ma mère se rendit chez une amie un jeudi après-midi en me laissant seul à la maison pour avoir suffisamment de temps devant moi pour m’organiser.
Ayant vu sur les photos comment pouvait gicler un chien je me mis en quête d’une grande serviette à étendre sur le sol de la cuisine. Seul endroit de la maison carrelé, le reste étant de la moquette pouvant laisser apparaître les traces de mon forfait !
J’appelle alors Rex mon chien qui arrive vers moi en remuant la queue et j’entame alors un striptease en dansant devant lui. J’enlève ma chemise et je continue à danser. Le chien croyant que je veux jouer saute après moi et met ses pattes de devant sur mes épaules. J’en profite pour glisser mes mains le long de ses flancs le caressant d‘une main tandis que l’autre descend vers son fourreau.
Visiblement il apprécie et se laisse faire. Je me dis qu’il doit être aussi sensible qu’un humain et que le branler un peu devrait lui faire du bien. Je prends donc fermement en main son fourreau et commence à le faire aller et venir.
Là, je vois que Rex commence à s’exciter et descend de mes épaules pour se lécher la queue et aboyer après moi. Je suis tout excité par le fait d’avoir osé le tripoter. Un acte qui ne m’aurait même pas effleuré l’esprit et même probablement dégouté quelques jours plus tôt !
Je décide donc de passer aux choses sérieuses ayant toujours à l’esprit les images encore gravées aujourd’hui de ce beau black pris par son chien et sucé par sa copine. J’enlève mes baskets, retire mon pantalon et descend mon slip sur les genoux. Rex qui tourne autour de moi depuis un moment approche son museau pour me renifler la bite. Au contact de sa truffe froide je sursaute et le repousse violemment. Mais visiblement j’ai suscité en lui un désir bien plus fort que les ordres de rester tranquille que je lui donne et je dois bien avouer qu’il ne m’obéit plus guère. Il revient à la charge alors que je suis entrain de me pencher pour retirer complètement mon slip et être nu comme un vers devant lui.
Oui, sauf que le chien a tourné autour de moi et qu’il vient me renifler le cul. Je sursaute à nouveau à cause du contact froid de sa truffe mais finalement me décide à le laisser faire par curiosité malsaine.
Voyant que je ne le repousse pas, il devient plus insistant et enfonce encore un peu plus son museau entre mes fesses. Je suis terriblement excité d’une part car j’ai bien conscience que je suis entrain de briser un tabou et d’autre part car il s’agit de mon premier véritable contact sexuel avec un autre partenaire. Je décide d’aller plus loin. J’écarte les jambes, glisse mes mains sur mes fesses et les écarte au maximum pour bien montrer mon accord à Rex. Celui-ci ne se fait pas prier pour sortir sa langue et me faire une magnifique feuille de rose. Je suis électrisé par le contact de sa langue sur mon anus. Contact chaud, humide, à la fois glissant et légèrement râpeux mais surtout caresse donnée du chien à son maître sans arrière pensée. C’est ainsi à ce moment là que j’ai pris conscience que mon ami fidèle était capable de donner du plaisir par pur plaisir et avec passion. Et c’est aussi à ce moment là que nos rôles se sont inversés. Je devenais le chien pour le plaisir de mon Maître Rex.
Mes fesses écartelées s’ouvraient au maximum pour laisser cette langue tenter de me pénétrer. Ma rondelle léchée sous tous les angles s’épanouissait de plaisir. Je me penchais plus en avant pour lui laisser le champ libre et lui offrait ainsi mes boules qu’il s’empressa de lécher. J'essayais de rabattre ma queue entre mes cuisses pour lui proposer mon bout à sucer en angoissant quelque peu qu’il ne me morde mais le désir et la curiosité étant trop grande je désirais plus que tout aller au bout de mon phantasme. Il ne me mordit pas bien au contraire. Sa langue m’enveloppa la bite et il me fit une toilette intime de premier ordre. J’étais aux anges. Ce petit manège dura ainsi une bonne vingtaine de minutes alternant les feuilles de roses très appuyées et les simili-fellations « dévorantes ».
Je me mis en tête de lui rendre la pareil et décidais de m’allonger sur le dos. Le temps de m’allonger sur la serviette, il continuait à tourner autour de moi tout content en aboyant d’excitation par moment. Une fois allongé sur le dos, je saisi l’instant où il se remit à me lécher pour me glisser sous ses pattes et saisir son fourreau. Tout d’abord il se figea, grogna, se retourna pour se lécher puis se remit à me tourner autour. Le manège continua ainsi quelques minutes. Ma pine sur le point d’exploser à tout instant.
Puis il commença à se calmer et sembla commencer à comprendre et à accepter le plaisir que je me proposais de lui offrir. Il devint moins agité, je me glissais à nouveau entre ses pattes pendant qu’in avait repris son léchage de mes parties intimes. J’enserrai délicatement une main autour de son fourreau tandis que je me branlais de l’autre. Et commençais à le masturber gentiment, faisant aller et venir ma main le long de ce bel et tendre étui de fourrure. Descendant par moment sur ses boules que je m’employais à masser délicatement avant de remonter sur l’objet de mes désirs…
Visiblement, Rex appréciait. Plus de grognement, mais une excitation bien réelle que je ressentais au creux de ma main. L’augmentation lente du volume de sa bite ne me laissant aucun doute quant à la suite de nos aventures. Si ma bite coulait d’excitation, Rex laissait poindre le bout rougeoyant de l’arme tant attendue. Encore quelques allés retour et le bout laissait apparaître une jolie et assez fine tige rose dont la finesse de la peau laissait présager une douceur extrême. Au bout de quelques minutes de masturbation, Rex commence à donner des coups de reins faisant ainsi sortir un peu plus sa queue de son fourreau. Quelques gouttes d‘un liquide transparent commence à poindre de ce bout particulièrement pointu que forme son méat.
« Le bout de la pine du chien a la particularité d’être très pointu avant l’érection. C’est le méat par lequel va sortir le bon jus de foutre. Et celui-ci est extrêmement liquide. »
Rex remue maintenant son arrière-train de manière frénétique et je commence à avoir du mal à maintenir son fourreau dans ma main. Sa bite coulisse maintenant librement hors de son fourreau et les quelques gouttes de liquide séminal m’arrose la poitrine. J’ai très envie de poser ma langue sur ce bout tout rouge pour voir quel goût ça a !
Mais vais-je aller jusque là ? J’ai un peu peur de l’odeur que peut avoir sa bite et du goût qu’elle peut avoir. Mais je me suis fais une promesse et je veux aller jusqu’au bout de mon expérience. Je redresse alors la tête et pose avec hésitation d’abord le bout de ma langue sur le bord de sa queue. Juste sur la peau de sa bite pour voir. Je goûte sa peau. Je renifle son odeur.
Surprise. Pas du tout d’odeur désagréable. Pas de goût particulier. Non, c’est simplement chaud et très doux. Je m’enhardi et colle mes lèvres sur le bout de sa bite. Les gouttes de son liquide séminal m’humidifie les lèvres. Je passe ma langue dessus et découvre une saveur légèrement salée mais aucunement désagréable. Mon excitation est à son comble. Je sors ma langue et commence à lécher tout son membre maintenant bien sorti du fourreau. Deux petites boules sont à la racine de ce membre. Ce sont elles qui grossissent lors de la saillie et permettent le verrouillage du chien avec la chienne. Ma langue passe dessus et remonte le long de cette jolie pine jusqu’au méat. Maintenant plus d’hésitation, j’enfourne littéralement son pieu dans ma bouche et l’enfourne jusqu’à la gorge.
Mes lèvres entourent maintenant la racine de son sexe enserrant ainsi ses deux jolies boules.et le retient avec force. Rex ne bouge plus, savourant probablement le traitement que je lui fais subir. Je suis devenu sa chienne ! Je sens couler au fond de ma gorge son jus qui se transforme en jets de plus en plus drus. J’avale ? J’avale pas ?... J’avale ! Oui, légèrement salé bien moins mauvais que j’en avais peur. En fait, la surprise passée je dois dire que j’aime bien ! Son jus s’épaissit un peu et ma bouche est remplie. Le goût a maintenant changé, assez ferreux, j’ai du mal à tout avaler et je laisse filer le trop plein par la commissure de mes lèvres. Je suis aux anges !
Au début j’ai cru que c’était de l’urine e je dois bien avouer que cela me rebutait. Mais en fait il s’agit de liquide séminal servant à lubrifier la pénétration et amener ensuite la jouissance et le sperme du chien. En fait, contrairement à l’homme, le chien n’arrête pas de gicler du début à la fin du coït et c’est ce qui fait une partie du plaisir lorsqu’on le suce ou qu’on se fait pénétrer. Le chien vous imprègne littéralement, vous rempli de sa jouissance et de son plaisir. Et du plaisir, j’en prends ! Mes tabous et préjugés son tombés. J’ai l’impression d’une communion, C’est mystique ! Même à douze ans, je vis un instant grandiose. L’union de la belle et la bête. Je le répète, je suis maintenant sa chose. Le foutre coule à flot, à jets continus.
Son sexe a maintenant doublé voir triplé de volume. D’une petite queue mignonne c’est devenu une matraque impressionnante.
J’en ai plein la bouche. La texture elle aussi a changée. Mes aspirations répétées et l’’afflut de sang dans son sexe tend maintenant la peau au maximum et les veines à la surface de la peau donnent un relief nervuré qui font vibrer mes lèvres allant et venant .le long de ce Priape. Son bout à l’origine très pointu c’est élargi et aplati de manière impressionnante même si le méta reste bien pointu ce qui devrait faciliter la pénétration, mon petit cul ne perd rien pour attendre...
Je n’en peux plus et visiblement Rex non plus ! Je retire ma bouche de son sexe, tête encore quelques instants son méat pour ne rien perdre de ce qui en sort et enfin le libère complètement de mon emprise. Sa grosse matraque ce retrouve suspendue sous son ventre pesant lourdement ente ses pattes et continuant presque de manière grotesque à battre la mesure au rythme de ses pulsations orgiaques. Je me glisse alors hors de ses pattes et me retrouve à quatre pattes, prêt à me relever pour reprendre mon souffle et mes esprits.
C’est sans compter l’excitation de Rex qui a maintenant compris que j’étais sous son emprise et qui demande lui aussi la libération totale de ses instincts. Il me saute presque agressivement sur le dos m’enserrant la taille de ses pattes avant, me mordillant la nuque afin que je comprenne maintenant qui est le patron ! Après tout, c’est bien ce que j’étais venu chercher, non ? Son arrière train pompe comme un malade. J’ai voulu l’exciter et bien c’est réussi ! Sa queue vient frapper lourdement contre mes couilles puis remonte, pointe quelques fois sur ma rondelle bien ouverte et lubrifiée pendant de longues minutes par sa langue et maintenant par ses jets de liquide séminal.
Puis elle remonte et glisse entre mes fesses pour frotter ensuite sur mon dos. Il descend alors pour se lécher la bite et me mettre encore quelque coups de langues dans toute ma raie devenue grasse de bave de chien et de foutre. Je regarde entre mes jambes et peux constater que sa queue a légèrement diminuée de volume. Mais je suppose que c’est une stratégie pour mieux "pointer" ma petite rondelle vierge… (à suivre… si vous aimez)
SIgné : Lib Ertyz
- Commentaires textes : Écrire
Mon fantasme préféré
En ce moment, un fantasme hante mes nuits, et mes moments de rêverie... Hélas, je sais que celui-là sera quasiment impossible à réaliser…
Voici comment j’imagine la scène :
Je suis sur un grand fauteuil, semi-allongée. Mes jambes sont grandes ouvertes, voire même, posées sur des supports, comme ceux des gynécologues.
A coté de moi, précisément à ma gauche, se trouve Julien, mon soumis. Il est agenouillé sur un coussin, les fesses en l’air. Avant que tout ne commence, un plug lui dilate bien l’anus. Une corbeille est posée sur une petite table, avec préservatifs et mouchoirs. Ce soir, il sera le vide-couilles de tous les mâles présents.
Mon homme est près de moi, me caressant les cheveux, et m’embrassant parfois à pleine bouche.
Devant moi, une longue file d’hommes, nus, de tous les âges, tous les genres. Leur physique ne m’intéresse guère. La plupart d’entre eux bandent déjà, la bite à la main. Ils se masturbent plus ou moins vite... Je les regarde avec gourmandise, car j’adore voir autant de bites réunies. Pourtant, elles ne seront pas pour moi…
Le premier s’avance, s’agenouille devant moi, et commence à me lécher… il le fait avec application, sachant qu’il doit me donner mon premier orgasme.
Certains se rapprochent un peu, pour mieux voir le spectacle. Il ne m’ne faut pas plus pour avoir un premier orgasme. Modeste, certes, mais orgasme quand même. Il se retire, et fait un pas de coté. Le voilà derrière Julien. Je lui propose :
« Pipe ou enculage ?
- Euh… les deux ? demande-t-il un peu inquiet d’être si aventureux.
- Ok, va pour les deux. Julien, tu le suces, et ensuite, tu le laisses te sodomiser.
- Oui Maitresse », murmure-t-il, tremblant.
L’homme s’approche, et Julien se relève pour le sucer. Il commence à le pomper avec application. Cela ravive immédiatement mon désir. Je fais signe au deuxième homme : il arrive et se penche pour dévorer ma chatte bien excitée. De le voir faire, et d’assister à la gorge profonde à coté de moi me fait jouir bien trop vite ! D’ailleurs, le premier homme n’y résiste pas non plus, et jouit à gros jets dans la gorge de Julien.
Aussitôt il se retire, laissant la place au second. Lui retourne brutalement Julien, et sans aucun ménagement, perfore son anus, pour le sodomiser brutalement. Je me doute que le jeune homme souffre en silence, et bizarrement, ca me procure une onde d’adrénaline.
Je fais signe au troisième de s’approcher à son tour. Il darde une langue pointue au plus profond de mon intimité, déjà prête à exploser. Sous les coups de langue bien fermes, je jouis en même temps que le second se vide en Julien. Il se retire, ôte sa capote, et vicieusement, en donne le contenu à manger à mon soumis.
Il lape consciencieusement le contenu du préservatif, et se remet en levrette. Il est ainsi prêt à recevoir le troisième homme. Il vient le sodomiser brutalement, comme s’il m’en voulait de ne pas me prendre moi…
J’invite le quatrième à venir m’honorer. Docilement, il se met à genoux et commence à dévorer mon abricot, toujours aussi gorgé d’excitation… Je vais jouir une nouvelle fois, pendant que le troisième homme se finit dans la gorge du soumis.
Le rêve va ainsi se poursuivre trois longues heures, où les hommes se succéderont pour me faire jouir avec leur langue, jusqu’à ce que je n’en puisse plus... Certains passeront deux fois, voire trois…
Jamais je n’aurai autant joui de ma vie !!!
Mais tout cela reste, hélas, un fantasme…
- Commentaires textes : Écrire
Une femelle soumise
Depuis peu, je suis l’esclave de plus en plus soumis de Maitresse Martine. C’est venu petit à petit, et maintenant, elle me dresse à être une vraie lope, une femelle chaudasse, moi, qui suis pourtant un bel homme de trente-six ans.
Ce soir-là, elle m’avait entrainé dans un lieu chaud de Marseille, où les hommes viennent pour se faire sucer ou avaler des bites à la chaine.
Un homme que j’avais déjà vu avec elle était là, un dénommé Daniel. Elle me fit mettre à genoux devant lui :
« Toi, défais ton pantalon. Il va te bouffer la petite bite. Et toi, ma petite salope, tu vas le sucer en entier. Je veux une gorge profonde ! »
Je m’exécutais avec bonheur, pour faire plaisir à ma maitresse. Je m’appliquais donc à le pomper à fond, me lèvres touchant son ventre. Heureusement, son sexe était de dimensions modestes.
Ma Maitresse me fit cesser d’un coup sec de Martinet. Elle s’adressa à Daniel :
« Il y a un instant, tu avais l'air d'aimer qu'il bouffe ta bite, alors à ton tour de le sucer là, et ne lui fais pas de cadeaux. Je veux te voir l'astiquer comme un salopard qu'il est. N'oublie pas les couilles. »
Se mettant à genoux, Daniel regardait mon membre énorme, long à n'en plus finir, se disant :
« Putain il va me défoncer la gueule le salaud. »
Mais la tentation de savoir ce que ça faisait de sucer une bite d'homme était plus forte que son appréhension.
Alors, il ouvrit la bouche, s'aventurant à lécher le bout, attentif à ma réaction. J’ai bien sur apprécié ce traitement.
Maitresse Martine se pencha et poussa brusquement la tête de Daniel avec force en avant :
« Suce-le ! Ce salaud adore ça, enfonce sa queue dans ta bouche, je ne veux pas en voir un morceau dépasser. »
Malgré l'inconfort, le pauvre Daniel bandait comme jamais, il aimait ma queue monstrueuse qui labourait sa gorge, il goûtait à ces sécrétions méconnues jusqu'alors, et n'en revenait toujours pas du plaisir qu'il y prenait. Il était fier de lui, de sentir l'effet qu'il pouvait avoir sur cette queue.
Je me tordais, proche de l’éjaculation :
« Je ne vais pas tarder à t'envoyer la purée.
- Tu suces vraiment bien, continue, oui, tu vas l'avoir, ça monte… »
Daniel ayant eu le réflexe de se reculer, la femme lui plaça quelques coups de martinet sur les fesses, l'empêchant de le faire. Il m’entendit alors râler, le traiter de multiples noms, et brusquement il reçut toute ma décharge en pleine poire. Il y en avait tellement que non seulement il en avait la bouche pleine, mais que ça coulait de partout. Je pris ma bite en main, continuait à me branler avec force pour envoyer encore et encore du foutre à n'en plus finir en pleine face de Daniel.
Maitresse Martine lui disait :
« Lèche ! Avale tout ! Tu seras récompensé. »
Ce fut une très bonne soirée !
En rentrant, elle me donna un nouvel ordre : je devais acheter un plug. J'avais senti venir cet ordre, je le craignais. Après une première réaction de révolte, de nombreuses hésitations, je me suis rendu dans un sex-shop de Marseille. Je commençais à me sentir chienne en payant et ça m'excitait. Je me disais que l'homme au comptoir devait penser que c'était pour une amie.
Sa réaction m'a bouleversé :
« Enfin ma petite pute, tu t'es décidée. Téléphone-moi je vais t'enculer devant la cam. »
Dans un mélange de peur et d'excitation, j'ai obéis. Quand elle est arrivée chez moi, nous nous sommes mis devant la cam. Elle me fit d'abord lécher le plug, bien l'enduire de salive, le sucer comme j'aime qu'on suce ma bite. Puis je dus me coucher sur le bureau, jambes bien relevées et écartées. Elle me demanda de caresser ma rondelle, de l'assouplir et enfin l'ordre redouté tomba : « Enfiles toi ! »
Je n'avais plus les moyens de reculer et, pour la première fois, j'étais enculé.
Puis elle me demanda de rentrer, sortir, rentrer ce plug, bien visible devant la webcam. Des nombreuses sensations que j'ai ressenties à ce moment, je n'en retiendrais que deux : je me sentais prise par elle et je devenais une vraie salope.
Cette première pénétration anale fut douloureuse. J'étais en même temps honteux et heureux de le faire. J'entends encore ses gémissements quand elle a jouit. Ça a été ma plus belle récompense et ça m'a fait prendre goût à ces jeux.
Un jour, étant absente, elle m'a demandé de me filmer en train de me travestir puis de m'enculer et de m'envoyer en l'air. Dans ma salle de bain, ayant enclenché mon caméscope, je me suis mis nu, j'ai enfilé mes bas puis une nuisette rose et, exhibant bien mon petit cul, je me suis pluggé à fond.
Puis, après avoir joué un peu la femelle, je me suis remis nu et, face au caméscope, je me suis envoyé en l'air, jambes bien écartées. Je n'ai jamais autant giclé que cette fois. Je revis encore et toujours cette première jouissance mon cul plein. Ce passage lui a plu vu le nombre de fois ou elle m'a demandé de lui montrer.
Je devenais une vraie salope chaude. Sur ses ordres, je passais mes bas, et, le plug dans la poche ou dans le cul, je prenais ma voiture pour m'isoler dans la nature. Là, je faisais la chienne sur ces ordres d'abord dans la voiture puis sur le capot et enfin je me rendais dans les sous bois et, me mettant entièrement nue sauf mes bas, je m'envoyais en' l air, léchais mon sperme, re-jouissais en entendant ses gémissements.
Certains soirs, je m'isolais dans le garage, montais dans la voiture de ma femme. Nu, j'appelais maitresse Martine et, mettant les pieds sur le tableau de bord, je m'enfilais et déchargeais comme un fou en l'entendant jouir. J'ai même téléphoné à l'homme qui m'avait sucé, Daniel, pour lui dire que j'avais aimé et que, ma foi…. enregistrant cette conversation pour lui faire écouter. J'étais, je suis devenu une salope chaudasse comme elle le dit, une chaudasse heureuse d'être vicieuse et prête à tout.
C'est à ce moment que je me suis mis à vraiment désirer être enculé par une femme. Je frémis rien que d'imaginer des mains saisir mes hanches et m'amener au gode. Je rêve d'être ensuite enculé puissamment. Je ressens un sentiment de don, de possession. Je veux être possédé moi le mâle macho. Je veux lui offrir ce sentiment de possession que nous ressentons quand nous pénétrons une femme. Je veux sentir cette sensation d'être prise, remplie. Souvent, je fouillais les affaires de ma femme ou de mes filles. Dès que je trouvais des sous vêtements coquins ou de petites robes sexy, vite je m'habillais, prenant des poses coquines que je filmais ou prenais en photo pour satisfaire ma Maitresse Martine.
Pour paraître plus femelle, je remplissais mes soutiens gorges de mouchoirs puis je bombais le torse en m'exhibant devant elle. Petit à petit, je commençais à préférer mon petit cul de salope à cette queue de mâle. Et ma meilleure satisfaction était quand elle me traitait de jolie petite salope, d’allumeuse.
Restant le mâle pour ma femme et mes autres amies, je me sentais devenir femelle dès que je pensais à elle, dès qu'elle apparaissait ou me téléphonait. J'avais de moins en moins de gêne à m'habiller en femelle, je sentais ma raie devenir humide, mon cul se tendait.
Pour Elle, j'étais devenue une femelle chaudasse, prête à obéir à tous ses désirs. J'étais devenue sa petite pute comme elle aime le dire. Follement excité, je commençais à être possédé. Et, enfin, elle accepta.
Je ne peux pas décrire mon inquiétude en lui exhibant un sexe vibrant tellement il était gorgé de désir et ma joie quand elle sembla l’apprécier, acceptant même que je le lui montre lors de nos dialogues suivants. J'avais aussi plaisir à lui montrer les films et les photos que mon ancienne maîtresse et moi avions fait. Elle a semblé apprécier le passage où Nathalie et moi faisions l'amour avec un autre couple, mais j'aurais du me douter des ses désirs à ses réactions quand je lui ai montré celui où je me faisais sucer par un homme devant Nathalie.
Pendant ce temps, nous discutions de nos aventures, et je lui avouais avoir été l'objet d'une dominatrice à Lyon et de l'être d'une autre dominatrice Parisienne. Ces relations étaient uniquement sexuelles sans domination mentale et sans pénétration. Dès cet aveu, son attitude changea. Elle me dit qu'elle attendait plus de son objet. Elle acceptait de me prendre, mais elle voulait, elle exigeait plutôt, une soumission totale, y compris mentale. Je devais devenir sa pute, sa salope.
Progressivement je devais me donner à elle. Tenté, j'acceptais ce que je considérais alors comme un jeu et elle exprima son premier ordre : Je devais lier mon sexe pendant toute une journée et faire une photo toutes les heures de mon état que je devais lui envoyer.
Avec plaisir je m'exécutais d'autant plus que je l'avais déjà fait tant avec les deux dominatrices que j'avais connu qu'avec mon ancienne maîtresse Nathalie.
Nous nous retrouvions de plus en plus souvent sur le net, quittant le chat pour aller sur Msn. J'avais toujours mon pseudo de mâle mais je lui obéissais de plus en plus facilement devant la webcam. Je continuais malgré tout à draguer d'autres femmes, tout et en rencontrant certaines. Nathalie, mon ancienne maîtresse, ayant probablement senti mon trouble, essaya de renouer. Mais Maitresse Martine, n'ayant pas apprécié ce que nous avions fait lors de notre relation ne m'autorisa pas à reprendre cette relation et me détacha petit à petit de Nathalie.
Arriva alors son deuxième ordre.
Du jeu au trouble
Maitresse Martine me demanda d'aller acheter des bas. Je devais lui téléphoner quand je serais dans le rayon. J'ai hésité, fais traîner les choses, je ne me sentais pas prêt. Je me révoltais, j'ai essayé de la satisfaire en mettant un collant de ma femme, me décidais, reculais.
Patiente, elle revenait sur son ordre et, finalement, je me suis retrouvé le cœur battant devant le rayon, le téléphone à la main. Je ne me suis jamais senti aussi troublé, elle l'a senti au son de ma voix. Je n'avais pl us qu'une hâte : les essayer devant elle.
Là encore, je ne peux décrire mes émotions quand j'ai enfilé ces bas devant la webcam. Nous étions en même temps au téléphone, j'obéissais à ses ordres, ma voix commençait à se transformer, je me sentais possédé, le trouble dépassait largement mon sexe. J'étais déjà prêt à son désir suivant.
À ses yeux, j'étais déjà devenu sa pute, sa chienne. Je le sentais, ça me troublait de plus en plus, mais je ne l'acceptais pas encore complètement.
Et bientôt je me retrouvais en nuisette devant elle, puis en robe, puis en bas string et soutien gorge. Gêné au départ, j'y trouvais de plus en plus de plaisir et ses jouissances téléphoniques renforçaient ce plaisir. Je restais malgré tout un homme jouant à s'habiller en femelle. Mes érections étaient folles, mais petit à petit elle m'apprenait à cacher mon sexe et à lui exhiber mes fesses, à les rendre sensuelles, attirantes.
Sans m'en rendre compte, j'essayais de me rendre indécente pour l'exciter et mériter s es jouissances. Je trouvais moi même de plus en plus de plaisir à m'habiller en femelle, à jouer à l'allumeuse, je me mettais à parler de plus en plus au féminin.
Elle s'en rendait compte et me disait que je succomberais à la première femme qui voudrait me faire jouer à ces jeux. Je lui prétendais que non, tout en n'en étant pas encore sur car je prenais de plus en plus goût à m'exhiber en femelle. J'en étais même arrivé à me lever la nuit et, alors que ma femme dormait, je me filmais avec une seule hâte : lui montrer. En visionnant ces films, je me rends compte que je devenais de plus en plus salope et que mes érections se transformaient, elles se diffusaient de plus en plus dans mon ventre et dans mon anus.
J’étais enfin devenu la femelle qu’elle attendait…
Il y a quelques mois, j'ai été invitée par mon amie Manu, et par Dominique, qui était devenue aussi une bonne copine. Les deux filles partageaient le même appartement, assez grand, très feutré. Manu avait 23 ans, Dominique 25.
Elles aimaient recevoir régulièrement des hommes désirant être traitées comme un esclave, soumis, humiliés parfois. Ce jour-là, l'homme était un habitué, Manu et
Dominique le connaissaient bien. Dominique, une superbe asiatique, très perverse et sensuelle, était en minijupe cuir jaune, moulante, talons hauts, bas résille, soutien-gorge en résille noire. Manu portait une jupe trapèze, des bottes en cuir, noires, des bas, et un chemisier ajouré. Moi, je portais une robe en cuir que Manu m'avait demandé de mettre, car j'étais venue en pantalon, tenue qui, disait-elle, ne convenait pas pour la circonstance.
J'avais dû mettre des bas noirs, des cuissardes, et pas de soutien-gorge. La robe était plutôt moulante, noire, et m'arrivait à mi-cuisses.
Très vite, l'homme respecta le rituel, ce n'était pas la première fois pour lui.
Manu le reçut dans l'entrée, et encaissa l'argent de la séance. Puis elle le fit entrer dans le salon, en déclarant :
"Esclave, voici tes Maîtresses, obéis-nous !". Puis elle alla rejoindre Dominique.
A peine arrivé, il se mit à genoux devant Manu et Dominique, assises dans le canapé. Il leur embrassa les genoux. Manu lui ordonna de témoigner de la même soumission vis-à-vis de moi. J'étais debout, adossée au mur. Il vint à genoux à mes pieds, et baisa mes genoux à travers mes bottes, puis embrassa mes cuisses.
Il passa sa main sous ma robe, ce qui lui valut un coup de badine. Manu ne lui permettait pas de tels écarts. Il s'excusa auprès de moi.
Elles lui ordonnèrent de se déshabiller entièrement, et Manu lui apporta une bassine, un gant et une serviette. Je compris qu'il devait faire sa toilette intime devant nous. D'ailleurs, Manu lui en intima l'ordre, et il s'exécuta. Il était épilé, mais pas assez bien au goût de ses deux maîtresses. Il fut attaché sur le dos sur une table basse, assez longue, de la hauteur d'un banc, e t spécialement équipée (crochets, sangles, etc). Dominique sortit le martinet, et lui fouetta le sexe, une dizaine de coups, pour le punir, tandis que Manu apportait un rasoir et une bombe de mousse.
Elle lui fit un rasage complet, puis le rinça. Je crois bien que le monsieur avait fait exprès d'être mal épilé, pour être puni. Il bandait. Dominique lui enduisit ensuite le sexe d'une crème blanche, adoucissante, et elle le massa avec sensualité, comme si elle le masturbait. Puis elle essuya le tout.
Elle se mit ensuite à tresser autour de son sexe un fourreau en cordelettes.
Elle commença par la base du pénis, en serrant autour des testicules, puis fit comme une natte autour du pénis, qui ne cessait de grossir. Elle termina à la base du gland qui restait apparent, en faisant un nœud. Les cordelettes étaient humides, et Dominique dit qu'elles allaient vite enserrer en séchant. Cela comprimera un peu plus le sexe et les testicules. L'homme, les mains attachées, ne pouvait même pas se masturber. Manu vint alors et lui saisit le sexe, passa lentement son doigt humecté de salive sur le bout du gland. L'homme avait envie de jouir, mais c'était interdit, et Manu s'arrêtait chaque fois ava nt l'éjaculation. Il était fou de désir.
Pendant ce temps, Dominique se tenait debout, jambes un peu écartées, juste au-dessus de son visage, car la table était vraiment basse. La vue des jambes, des bas, du sexe épilé de Dominique excitait encore plus l'esclave. Elle resta ainsi plusieurs minutes, et l'homme admirait le paysage, en récitant des poèmes à la gloire du corps de sa Maîtresse. Enfin, Dominique fit demi-tour, puis se baissa lentement, pour venir s'asseoir sur le visage de l'homme, qui se mit à savourer et lécher l'anus et le sexe de sa Maîtresse. Manu lui mordillait le gland, gonflé de plaisir. Mais elle ne le laissait toujours pas éjaculer.
"Suce-moi mieux que ça" ordonna Dominique. Et l'homme reprit de plus belle sa dégustation. Au bout de quelques minutes, Dominique cria de plaisir, et joui en
se frottant encore plus fort sur le visage de l'homme. Ensuite, après lui avoir laissé le temps de récupérer un peu, Manu vint prendre la place de Dominique, et l'esclave reprit avec plaisir, assiduité et soumission, son cunnilingus, et son "anulingus". Manu y trouva le même plaisir que Dominique. Pour être franche, ça me faisait envie, et depuis le temps que j'assistais à tout c ela, j'avais des envies... Manu le comprit sans que j'ai à le di re.
"Anita, profites de cet esclave qui est à ta disposition, il va se faire un plaisir de t'obéir et te donner tout ce que tu as envie !".
Je ne me fis pas prier, et je n'eus pas à regretter d'avoir troqué mon jean pour une mini robe.
Je vins donc enfourcher la bouche de l'homme, qui n'eut que le temps de dire
:"A vos ordres, Maîtresse". Je dois avouer qu'il était assez doué, et que ses feuilles de rose et minette me conduisirent bien vite au plaisir. Après cet épisode, Dominique lui ôta les cordelettes autour du pénis, en pleine érection.
Toutes traces de rougeurs dues au rasage avaient disparu.
Manu alla chercher un bas noir, et l'enroula lentement autour du pénis, un seul tour, puis le fit glisser de droite à gauche, et fit ainsi des allers-retours.
L'homme gémissait de plaisir. Pendant ce temps, Dominique enduisait de vaseline un gode en métal, avant de l'introduire dans l'anus de l'esclave. Moi, ça me faisait rire. Cela dura plusieurs minutes, Dominique enfonçait le gode de plus en plus, et le faisait tourner.
Enfin, dernier raffinement, l'homme eu droit au plaisir : ses poignets furent détachés, ce qui lui permit de caresser les deux filles, qui étaient de chaque côté de la table, à genoux. Manu lui tenait fermement le pénis dans sa main droite, bien raide et dressé, décalotté, et sa main gauche tenait le gode enfoncé dans l'anus. Dominique lui passa le bas, bien tendu sur le bout du gland, de droite à gauche et de gauche à droite. A ce petit jeu, l'homme éjacula longuement et abondamment dans le nylon, et les filles ne cessèrent que quand il eut joui totalement. L'homme resta allongé sur la table, pantelant, Manu lui enleva le gode.
C'était l'heure du café. Nous nous installâmes à table, le café était prêt.
L'homme, avant de se rhabiller, demanda la permission de se masturber devant nous. Ce qui fut accordé. Nous étions debout, toutes les trois, et lui était à genoux entre nous, et il regardait nos jambes, caressait et embrassait nos cuisses, nos bas, tout en se masturbant de l'autre main.
Il jouit sur les bottes de Manu, au moment où il passait la tête sous sa jupe trapèze, et léchait ses cuisses (ou peut-être plus haut?) C'est un souvenir un peu fou, mais je comprends qu'on puisse y trouver du plaisir, pour l'esclave comme pour la Maîtresse.
Signé : Anonyme
- Commentaires textes : Écrire
Valy et son frère - la fin !
Cela faisait quinze jours que Valy, ma belle et très gourmande stagiaire ambulancière avait réussi à faire succomber François à la tentation et qu'elle avait pu goûter à sa belle et grosse bite. Il avait beau avoir beaucoup joui du corps sublime de cette jolie fille, cela avait été traumatisant pour lui au point qu'il était parti, qu'il s'était enfui plutôt de chez moi tant cela l'avait gêné.
C'est que François et Valy étaient frère et sœur. ¾ de sang européen et ¼ de sang antillais. Ce mélange avait donné deux êtres beaux et très sensuels. Très tôt ils avaient senti qu'ils étaient bisexuels. Très proches , très fusionnels, ils échangeaient depuis toujours des caresses et des baisers qui ne se pratiquent pas entre frères et sœurs. Très tôt, Valy avait sucé son frère qui lui rendait la politesse. Mais jamais ils n'avaient baisé ensemble.
Valy, complètement dénuée d'apriori sur la sexualité, se moquait plus que royalement de savoir si François était ou non son frère. Elle ne voyait en lui qu'un bel homme dont elle était folle de désir chaque fois qu'elle le voyait. Lui par contre, bien qu'ayant envie de Valy au corps splendide, n'arrivait pas à franchir cette barrière invisible qu'est le fait qu'ils étaient frangin et frangine. On ne pouvait lui reprocher d'être arrêté par ce grand tabou qu'est l'inceste
Valy l'avait invité chez moi, bien décidée, avec ma complicité à faire flancher François. Nous nous étions mis à deux pour le tenter, l'exciter, troubler son bon sens et ses sens. Valy cuisses ouvertes se masturbait la chatte en gémissant tandis que j'embouchais la superbe bite de François. J'y avais mi tout mon amour pour les bites pour l'exciter au maximum. Nous sommes arrivés à nos fins puisqu'enfin ma Valy avait réalisé son grand fantasme se faire baiser par son frère. Celui-ci, une fois ses sens apaisés mais profondément troublé par ce qui venait de se passer, était parti de chez moi sans un mot. Valy, connaissant bien son frangin m'avait dit de ne pas m'inquiéter, que François allait ruminer un temps mais qu'il referait surface plus ou moins vite.
C'est ainsi que 15 jours plus tard environ, Valy me dit un matin, visage illuminé d'un sourire gourmand, que François voulait nous revoir, et qu'elle lui avait dit de venir le samedi suivant, où, pour une fois, nous avions le weekend complet pour nous. Cela nous laissait le temps de tout préparer. Il fallait absolument que l'ambiance soit propice à la tentation pour que jamais François ne se pose de questions.
Tout le samedi matin se passa en achat de tout ce qu'il fallait pour nous nourrir et désaltérer tout en nous excitant. Une fois de retour chez moi, Valy se mit à la cuisine pour nous faire quelques petits plats légers mais bien épicés, à la mode antillaise bien entendu. Quant à moi, je préparais les boissons et les amuse-gueule qui vont avec. Ensuite, nous nous sommes fait une toilette mutuelle. Tout frais, tout propre, dedans et dehors, très beaux et tentants, du moins l'espérions nous. Vêtus de rien, notre tenue favorite, c'est donc seulement habillés de tongs que nous accueillîmes François quand il sonna. Il ne fut pas du tout surpris qui savait notre goût du naturisme et le partageait. Il est 18 heures 30.
Avec le naturel qui était sa signature, Aly fit entrer son frère, se jeta dans ses bras et lui prit la bouche en un baiser qui n'avait rien de fraternel et qu'il partagea avec la même passion. Quand elle consentit à se séparer de lui, François et moi nous sommes salués d'une manière plus virile. Nous le conduisons au salon et nous asseyons tous trois, Valy et moi sur des fauteuils, François seul en face de nous sur le canapé.
Ainsi, il se sentit très vite mal à l'aise. Valy et moi nous nous conduisions d'une manière naturelle sans rien lui dire de sa tenue qui tranchait outrageusement. Ce n'est qu'après le premier verre, que détendu, il se leva et sans mot dire se débarrassa de tous ses vêtements. Valy, réflexe très féminin prit les vêtements de son frère pour les déposer ailleurs et proprement puis vint nous rejoindre. Elle s'installa à côté de lui, tout contre devrais-je dire, le regarda un long temps dans les yeux, sans mot dire puis ouvrit enfin la bouche :
« François chéri, tu sais que tu nous a manqué tous ces jours-ci? J'avais peur de ne plus te revoir, je t'aime tant tu sais mon ti frère !! »
Et joignant le geste à la parole, elle caressa le radis noir qui décorait joliment le bas-ventre de son frère. Son geste fut malgré tout assez bref, elle ne voulait pas engager le combat aussi tôt dans la soirée. Mais allez résister à la caresse d'une Valy sans réagir. François se mit à bander franchement et dit :
« Tu sais ma Valy, je me suis rendu compte ces jours-ci que je t'aime plus que comme ma sœur et que je veux que nous continuions ainsi. Seul Bruno sera dans le secret, s'il veut bien. Tu es si belle et j'ai tant envie de toi ma chérie. Alors quelle que soit la durée de notre vie continuons comme ça. D'accord ? »
Pour toute réponse, elle se jeta sur lui, parcourut tout son corps de ses mains et de sa bouche, François frémissait de la tête au pied. Valy prit enfin sa bite dans la bouche et se mit à le sucer presque violemment. D'habitude, elle agit avec une douceur et une lenteur presque insupportables, c'est dire le bonheur qui était en elle. Moi assis dans mon fauteuil, j'étais heureux de voir que ces deux-là s'aimaient et allaient continuer à s'aimer. J'étais excité comme un pou de voir ce spectacle.
Valy mit tout en œuvre pour faire jouir son frère et y parvint assez facilement. Il déchargea en elle. La bouche de Valy semblait pleine, elle me fit un signe pour savoir si je voulais partager le sperme avec elle. Je refusais en lui disant que cette fois-là, tout était pour elle, que je ne voulais pas du tout m'immiscer dans quelque chose qui ne me regardait pas. Elle me remercia des yeux et avala tout consciencieusement. Mais ma gourmandise n'ayant pas les mêmes freins que moi me fit me lever et j'entrepris de faire la toilette de la superbe bite de François.
Propre et heureux, le visage resplendissant d'amour pour Valy, il nous fit assoir prés de lui et remplit à nouveau nos verres et porta un toast:
« A nous mes chéris. Que ce jour soit le premier d'une grande complicité entre nous !!!! »
- A nous 3 et à nos amours !! » avons-nous répondu Valy et moi.
Verres bus d'un trait, nous avons emmêlés nos langues goulument, pleines d'envie d'amour et parfumées au cocktail avalé, nous nous sommes retrouvés allongés sur la moquette corps emmêlés. Nos 6 mains faisaient un ballet érotique du plus bel effet. Cet intense instant de folie cessa enfin, nous nous sommes assis et avons éclaté d'un grand rire et nous nous sommes relevés pour passer à table. Le repas fut gai, animé et bien arrosé, souvent entrecoupé de baisers et caresses coquines. Ce jeu était si agréable que nous avons mangé et bu sans même nous rendre compte de ce que nous absorbions. Pourtant Eros sait si ma Valy avait prit grand soin de nous concocter quelque chose d'agréable et de propice à l'érotisme.
Nous nous sommes éternisés à table tant nos jeux étaient excitants, si excitants que nous mangions en nous léchant, nous suçant, nous caressant. Un dernier verre alcoolisé pour clore le repas, et nous avons changé de lieu de jeu. Valy, décidément chez elle dans mon appartement, nous conduisit dans la chambre où un grand lit nous tendait sa couette. Elle s'y allongea, prenant des poses plus que lascives pour nous tenter. Elle nous regarda d'un œil égrillard, leva ses jambes au dessus de sa tête formant le V de la victoire et de ses jolis doigts se masturba allègrement.
Bon sang quel beau spectacle. François et moi bandions à en avoir mal. En bons camarades chacun de nous deux tenait la queue de l'autre pour le branler tout doucement, non pas pour nous faire jouir mais plutôt comme une caresse amoureuse.
Valy continua à se faire plaisir, son corps était maculé de crème, tout comme les nôtres d'ailleurs, alors nous nous sommes allongés prés d'elle et nous nous sommes fait une toilette à coup de langue. La tension montait de plus en plus. J'incitais François à s'occuper de la chatte de sa frangine. Il avait beau être tout chaud, il fallut tout de même le pousser encore, il a toujours le mot «sœur» pour le freiner un peu. Mais le fendu de Valy est si beau et si tentant, si humide qu'il ne pensa plus qu'à consommer. Pour cela, il se mit à quatre pattes, ainsi il avait les fesses en l'air. Le spectacle était vraiment tentant, alors je lui ai fait une feuille de rose, j'adore ça, lui aussi qui gloussa de plaisir. Sa belle bite pendait, bien grosse, je la pris en main et tout en le léchant je la branlais.
Nous modifions un peu notre position de manière à offrir ma bite à la bouche de Valy. Nous continuons ainsi à nous manger en prenant tout notre temps pour que le plaisir dure. Nous avons un point commun tous les trois, nous adorons les préliminaires bien plus que la pénétration.
Mais nous sommes ainsi faits qu'il arrive un moment où on en veut plus. Nous cessons de nous grignoter. Valy demande à son frère de se coucher sur le lit, elle s'assied sur sa queue qui lui emplit aussitôt la chatte. Un moment elle danse dessus avec frénésie puis s'arrête se penche vers François lui prend la bouche avidement, puis tourne la tête vers moi et me dit :
« Bruno chéri encule-moi, je veux sentir mes deux amours en moi en même temps, j'ai trop envie de vous. »
Les désirs de Valy étant mes désordres j'obtempère et présente mon gland à son petit trou, son délicieux petit trou qui n'a aucune ride, il est presque rose, il tranche ainsi avec sa peau qui est couleur pain d'épice pas assez cuit. Le petit trou semble trouver mon gland à son goût et se met à clignoter un peu m'invitant gentiment à entrer, ce que je fais, avec précaution quand même car la bite de son frère assez épaisse pour la remplir me fait un peu obstacle. Ma queue trouve enfin sa place en Valy, nous restons un instant immobile pour jouir de cette sensation. Je sens son muscle anal qui enveloppe ma bite, je sens aussi celle de François qui frotte contre la mienne à travers la membrane. Valy est aux anges, elle geint doucement et nous demande de la laisser faire à sa guise et de ne bouger que quand elle nous le dira.
Alors Valy, tête rejetée en arrière, reins cambrés, ses mains prenant appui sur les épaules de son frère se met à faire onduler son corps lentement pour parcourir nos bites sur toutes leurs longueurs, pour varier, elle roule des hanches. Elle prend un pied fou à faire ça. Elle gémit, elle grogne, elle feule même. Cette belle salope est à son affaire, François et moi sommes bien ainsi, bien qu'il nous faille serrer les dents pour ne pas jouir tout de suite. Enfin, Valy semble avoir pitié de nous et nous hurle presque :
« Allez-y baisez moi, fort et vite, j'peux plus me retenir, faites- moi jouir, mes chéris !! »
Aussitôt, François et moi nous mettons en mouvement. Quelques secondes, où on patine un peu, le temps de trouver le bon rythme, c’est à dire alterner nos mouvements, quand l'un avance, l'autre recule. C'est l'idéal ainsi, tous les trois avons du plaisir. Sentir sa queue frotter contre une autre dans un corps de femme est un plaisir qu'il ne faut pas rater tant il est super bon.
Sans nous consulter nous bougeons lentement pour faire durer ce bonheur et pour rendre encore plus importante cette lente montée du plaisir qui nous envahit. Il devient vite délicieusement insupportable. Nous faisons un drôle de trio que les mélomanes n'aimeraient pas car nous gémissons, soupirons, crions parfois, en chœur aucune harmonie musicale mais bon sang quel p.......de pied nous prenons là !
Et soudain, Valy se raidit, pousse un rugissement et s'écroule sur son frère en gémissant, elle jouit. François et moi continuons à bouger un moment en elle, pour prolonger son plaisir mais nous ne pouvons pas résister beaucoup, nous nous retirons de Valy qui s'affale sur le lit, presque inconsciente. François et moi retirons nos capotes et nous mettons en 69 pour nous boire.
Quel régal de se vider dans une bouche qui aime ça ! Nous prenons garde de ne pas tout avaler pour en faire profiter notre Valy. Celle-ci refait surface lentement, nous regarde en souriant, repue, satisfaite, heureuse. François et moi lui prenons la bouche chacun notre tour pour lui offrir ce qu'il reste du bonheur qu'elle vient de nous donner.
Épuisés, nous nous levons pour grignoter et boire quelque chose et revenons à la chambre. Nous nous allongeons, Valy entre nous deux. Nous échangeons des câlins, presque en silence et nous nous endormons. Blottis les uns contre les autres. Tard, très tard dans la nuit, une sensation sublime me réveille tout doucement. Que se passe-t-il ? J'allume la lumière et je vois ma Valy à genoux entre François et moi qui s'occupe de nos bites, de la main et de la bouche, avec douceur et délicatesse. Valy est à son affaire, elle roucoule de plaisir en nous faisant ça. Jolie vicieuse qui prend plaisir à donner du plaisir. Tout ceux et celles qui ont été réveillés par la bouche de leur partenaire savent quel plaisir inégalable on éprouve.
Impossible d'imaginer plus agréable réveil que de subir les délices distribués par las mains et la bouche de Valy sublime vicieuse. François et moi sommes au paradis. Mes yeux se jettent sur la bite de François. Superbe radis noir qui me fait frémir d'envie. Je préviens tout de suite Valy, avant qu'elle ne réagisse :
« Valy chérie je veux que ton frère m'encule, ça fait quelques temps qu'elle me manque sa queue !
- Ok, mon Bruno mais tu me prends en même temps… »
François et moi nous nous levons. Valy s'allonge sur le bord du lit et je la pénètre d'un seul coup comme elle aime. Elle est déjà toute mouillée. On se sent bien en elle. Je ne bouge pas, j'attends que François me pénètre. Il présente sa queue devant mon entrée, elle est humide d'envie. Son gland caresse un instant mon anus puis il entre, doucement jusqu'à que son ventre c laque sur mes fesses. Je pousse un gros soupir de plaisir.
Quelques secondes d'immobilité pour apprécier notre position, puis je donne un rapide coup de rein qui fait crier Valy. Son frangin ne bouge pas, il me laisse faire un moment. C'est moi donc qui donne le rythme. On joue au p'tit train en poussant des grognements de plaisir. C'est un pur bonheur de sentir cette bite longue et épaisse aller et venir en moi. Je suis bien rempli, Valy aussi est pleine, elle gémit de plus en plus fort à chaque fois que mon gland frappe au fond d'elle. Je suis en général silencieux, mais là je ne peux m'empêcher d'imiter ma copine tant son frère me fait du bien.
Je remue mon bassin pour bien exciter le gros pieu de François qui ne tarde pas à jouir. Je le sens exploser en moi, il m'inonde le ventre, dans notre excitation et notre envie de baiser, on n'avait pas enfilé de capotes. Faut dire que le Sida commençait juste à montrer le bout de son nez, on n’avait pas encore le réflexe automatique. Par chance, nous n'avons jamais eu de problème. Sentir les jets de sperme gicler en moi m'a fait jouir à mon tour en Valy. Sentir ma crème gicler en elle lui provoqua un orgasme formidable. Et comme nous sommes tous les trois d'affreux cochons gourmands, nous nous sommes léchés l'entrejambe pour profiter de ce qui sortait de nous.
Voilà de quoi nous conforter dans l'idée que l'amour avec toutes les fantaisies qui tournent autour est une sacrée belle invention. Nous étions presque à l'aube, aussi avons-nous continué à nous aimer, un peu partout dans la maison. Un temps de repos pour le repas de midi qui fut occupé seulement à manger, ensuite une sieste très crapuleuse où je rendis à François sa politesse en l'enculant à mon tour. Puis il repartit chez lui nous laissant seuls Valy et moi. Pendant très longtemps il revint chez moi abriter ses amours avec sa sœur jusqu'à ce qu'il cesse définitivement de baiser avec elle car il rencontra l'amour. Ce qui ne l'empêcha pas de venir de temps me voir pour me donner un de mes plaisirs préférés: Être sodomisé.
Valy, quant à elle, quitta la société où je bossais, ce qui ne nous empêcha jamais de nous rencontrer et nous faire l'amour jusqu'à ce qu'elle aussi, habitude familiale rencontre l'amour, se marie et devienne une trop sage mère de famille.
- Commentaires textes : Écrire