Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le chien des Brooks
Les Chiens des Brooks - partie 1
Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée, avaient acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre de leurs Amis de qualité, auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.
La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre « yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables.
C’est que ces chiens n’avaient jamais couverts de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement et c’était là des joutes sans fin laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces biens secrets pratiques et ces rendez-vous –qui avaient lieu une fois par mois- proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » ; mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations !
Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur en un feutré salon par ces endurants et ardents canidés.
Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies de chacune…
Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belle s couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien alors commençait à haleter, se faisant plus pressant et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…
Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter…
Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre, offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir…
Cela agrémentait de belle manière les échanges et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées joutées.
L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey, Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse, recherchant le plaisir sous toutes ses formes.
Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était « son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue. Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.
Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…
Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et d’allure.
Cet après-midi là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire.
Vous souvenez-vous de mon récit « Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien
« Uranus » ? Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles… Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.
Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin, époux de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.
Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…
Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…
Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les contempler, cela m’excitait et je commençais à bander. Mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte…
Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine pécheresse s’employait à écarter généreusement. Le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder…
Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou, langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés… IL JOUIT !!
Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…
Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai, pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue…
Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura :
« Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?! »
Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés, crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !
Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…
Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps…
Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…
Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.
Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…
Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances.
Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’œil brillant (le champagne ?) attendant sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres, la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…
Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…
« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les exécutants…
A suivre...
Le Marquis de Chair
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Réaliser son fantasme.. ou pas ???
FAUT-IL REALISER SES FANTASMES ? OU LA MEILLEURE FACON DE S’EN LIBERER EST D’Y SUCOMBER
Bien que marié et père de famille, je fantasme depuis toujours sur des rencontres avec un homme. J’ai découvert très jeune lors de mes séances de branlettes quotidienne, que mon anus réagissait bien à mes caresses, et que d’y glisser un doigt pouvait se révéler très jouissif. D’abord un doigt, puis deux, ma rosette s’est assouplie et je n’ai pas tardé à détourner des objets de la vie quotidienne pour me goder avec.
Même marié, j’ai continué cette pratique en y prenant toujours du plaisir mais sans jamais avoir d’orgasme proprement anal. J’aimerai pouvoir partager ce plaisir avec mon épouse, mais de toute évidence elle n’est pas prête. J’adorerai qu’elle me prenne avec un gode ceinture, mais si elle me doigtait en me suçant, cela suffirait à mon bonheur.
Je faisais discrètement l’achat d’un gode ventouse que j’utilisais lors des petites séances discrètes dans la salle de bain. Monter et descendre sur cette bite en silicone fixée sur le rebord du lavabo me procurait beaucoup de plaisir, et l’envie d’une vraie queue se faisait de plus en plus pressante. Il ne me fallut pas longtemps avant de passer à l’acte. Voici comment.
J’écumais les sites de petites annonces, mais je m’apercevais bien vite que j’avais envie d’une queue mais pas de ce qui va avec : le corps d’un homme ne m’excite pas et les plans glauque voiture ou nature encore moins. Il me fallait quelqu’un qui puisse me recevoir chez lui en toute discrétion. Je me décidais à faire paraitre une annonce me définissant comme hétéro bi curieux débutant plutôt passif. Les réponses ne tardèrent pas. Je choisissais la réponse la plus rassurante : Daniel, cinquante ans (j’en ai quartante).
Je me revois encore assis sur son canapé devant un café, tandis qu’il passait ses mains sous ma chemise pour me caresser le torse et les tétons (que j’ai très sensibles), alors que je ne le trouvais pas du tout à mon goût. Mais décidé à aller au bout de l’expérience, je le laissais faire. C’était un bien piètre amant et je compris à cet instant ce que doit ressentir une femme dans ce genre de situation : soit rester et subir, soit partir et passer pour une allumeuse immature. Il m’enfonçait sa langue dans la bouche en soufflant comme un bœuf tant il était excité, et avant que je puisse m’en rendre compte, il avait ouvert ma chemise, défait mon pantalon, baissé mon caleçon et commencé à me sucer comme si sa vie en dépendait.
Pour la première fois de ma vie, j’ai éjaculé sans vraiment bander et sans jouir. Mais le fait de le voir se régaler de mon sperme étalé sur mon ventre m’a soudain excité et provoqué une belle érection. Je lui ai alors remis ma queue bien raide dans la bouche et il ne s’est pas fait prier pour me sucer pendant de longues minutes en grognant et s’interrompant juste pour me glisser des « hum elle est trop bonne ta queue » ou « je le régale de ton venin ».
Je finis par lui envoyer encore quelques giclées qu’il s’étala sur le visage en se servant de ma bite. Il était aux anges et voulu m’embrasser, mais je me détournais.
« Oh ! Mon trésor ! J’ai joui dans mon pantalon comme un cochon sans même me toucher ! » me confia-t-il.
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Après la douche la plus rapide de ma vie, je prenais congé sans pouvoir masquer mon malaise et ma déception. Il me rappela bien vite pour me demander de revenir une autre fois. Je déclinai. Il me fit alors une cour assidue et très glauque par SMS (j’ai faim de ta queue, j’ai hâte que tu reviennes dégourdir mon petit cul…).
Encore une fois, je comprenais beaucoup mieux ce que pouvait ressentir la gente féminine dans ces cas là.
Cette expérience m’avait plutôt dégouté, mais quelques jours plus tard, je recevais un mail en réponse à mon annonce accompagné d’une photo d’un caleçon moulant, joliment rempli et d’un portable. Ne voulant pas rester sur un si mauvaise impression, je prenais rendez-vous avec Franck, homo assumé de trente-cinq ans. Une fois chez lui, j’étais à deux doigts de m’enfuir, lorsque sentant mon malaise, il me prit dans ses bras et posa délicatement ses lèvres sur les miennes.
Ce baiser d’une infinie douceur me fit bander immédiatement. Nos langues firent connaissances tandis que nos mains partirent à la découverte de nos corps. Je sentis à travers le tissu de son pantalon une bite bien dure. J’étais ravi de lui faire de l’effet. N’y tenant plus, je m’asseyais sur son lit pour pouvoir confortablement libérer une belle queue de taille respectable, mais pas effrayante, et surtout magnifiquement courbée vers le haut et qui restait naturellement plaquée sur son nombril. La hampe me sembla plus large que la mienne, et elle contrastait avec un gland petit et pointu. Je commençai par embrasser et léchouiller la première chose à ma portée : une belle paire de couilles rasées.
Puis avec de grands coups de langue, je remontais le long de la hampe pour gober et engloutir son gland que je pressais contre mon palais avec ma langue pour mieux le gouter. Quelle douceur et quelle souplesse en bouche ! Quel plaisir d’aspirer lentement cette bite pour enfin la pomper bien à fond ! Bien vite, mon amant se retira de ma bouche pour ne pas y jouir.
Nous nous déshabillâmes et nous allongeâmes. Il me rendit la politesse en engloutissant ma queue qui reprit vite de la vigueur, tandis que son majeur massait délicatement mon anus. Sa bite et son cul étant hors de portée, je me laissai faire me contentant de lui faciliter l’accès à ma rosette. Avec quelques gouttes de gel, il fit glisser son doigt dans mon cul avec un mouvement de va et vient pivotant, rapidement rejoint par son index et son medium qui me dilataient délicieusement. J’étais aux anges.
Quand il pressa tendrement son gland sur ma rosette, je sus que mon dépucelage serait réussi. Pour lui signifier mon accord, je lui demandai d’enfiler une capote. J’ai adoré le voir à genoux entre mes jambes, se dérouler le préservatif sur sa belle queue et ensuite se branler tranquillement avec une bonne dose de gel.
Son gland pointu est entré sans problème mais sa hampe a nécessité de nombreux va et vient et une autre dose de gel. Peu à peu, mon cul s’ouvrait, laissant passer cette bite plus large que mon gode. Il replia mes genoux sur ma poitrine et fini de m’enculer jusqu'à la garde. La sensation de dilatation était déjà intense mais que dire du frottement qui comblait mes chairs lorsqu’il se mit à me besogner lentement mais fermement ? Je gémissais de plaisir. Il se retira me demandant de me mettre en levrette.
Un bref instant, sa queue vint se loger sous mes couilles, puis glissa dans ma raie et sur ma rosette. A cet instant, j’ai eu l’exquise impression d’avoir à la place du cul une chatte ouverte et bien glissante. Une fois sa cible verrouillée, me tenant par les hanches, il me remplit sans hésitation cette fois-ci. A grand renfort de gel, le rythme de ses va et viens s’accéléra. J’entendais le claquement régulier et si caractéristique de ses cuisses sur mes fesses. Je compris alors ce que pouvait ressentir ma femme dans cette position.
Instinctivement, je creusais mes reins et en appui sur ma joue, j’écartais mes fesses avec mes mains pour lui offrir complètement mon cul, pour mieux me faire défoncer. Je me sentais femelle et m’abandonnais totalement à cette queue qui me faisait soupirer de bonheur et à ces coups de reins qui me coupaient la respiration. Ma jouissance cérébrale était intense.
Puis il s’immobilisa pour me relever sans déculer. Il m’embrassa dans le cou, une main pinçant et agaçant mon téton et l’autre me branlant doucement. Je tournai la tête pour trouver sa bouche et sa langue. Peau contre peau Il me roulait une pelle d’enfer sa bite bien plantée au fond de mon cul ! Humm trop bon ! Nous nous rapprochâmes de la tête de lit pour que je puisse m’y appuyer : la courbure naturelle de sa bite convenait parfaitement à cette position.
Cette fois, c’est moi qui descendais pour venir m’empaler lentement sur sa queue : j’ouvrai au maximum en reculant, puis resserrai mon anus en remontant. Il en profita pour remettre du gel. Je voulais profiter au maximum de l’instant et pour mieux sentir cette queue je me déhanchai et m’empalant. Mon amant avait l’air d’apprécier cette caresse, car il se laissa faire un bon moment. Il devait surtout avoir une vue d’enfer sur mon cul qui se déformait pour avaler son chibre.
Puis reprenant la direction des opérations, il me saisit par les hanches et reprit ses coups de boutoirs en reprenant un rythme soutenu. Sentant venir l’apothéose, je commençai à me branler. Puis je le sentis se cabrer et pousser un cri de jouissance presque féminin et très émouvant. Je me souviens encore des palpitations de sa bite lorsqu’il se vidait par saccades. Je ne tardais pas à gicler moi aussi.
Je garde un merveilleux souvenir de cette rencontre. Pendant quelques jours, chaque fois que je contractais mes sphincters, une délicieuse irritation me rappelait mon amant et me faisait bander. A mon grand regret, il déménagea assez loin avant que je ne le recontacte. Il faut dire que qu’une fois assouvies, mes pulsions bi peuvent mettre assez longtemps avant de me reprendre. Quoiqu’il en soit, j’avais passé un cap et je n’aurai plus de scrupules à céder à mes tentations dès qu’elles me reprendraient…
Daniel, mon premier amant, à qui je repense toujours avec un mélange de dégout et d’excitation, continuait de me poursuivre de ses avances sans se décourager. Ses mails et ses sms terminaient invariablement à la poubelle mais sa persévérance fut récompensée quand il me proposa une partie à trois avec sa copine Huguette. J’en avais toujours rêvé. Rendez-vous fut pris un samedi après-midi chez lui.
Huguette est une brune, cheveux court d’une cinquantaine d’année assez grande et fine, avec un visage très ordinaire et des hanches assez larges. Pas vraiment ce qu’on peut appeler une belle femme. Assez timide et réservée au premier abord, elle masquait bien son jeu. Elle nous servit le café au salon. Assis sur le canapé Daniel, égal à lui-même, avait déjà sorti ma queue en semi érection qu’il couvrait de bisou et papouille.
Huguette s’installa sur le fauteuil en face, visiblement très intéressée par ce qu’elle voyait. J’essayai tant bien que mal de boire mon café tandis qu’il m’aspirait la bite maintenant bien dure car la présence de notre voyeuse m’excitait beaucoup.
« Huguette viens gouter comme elle est bonne, » lui dit-il en tirant en même temps sur mon pantalon et mon caleçon.
Elle vint s’agenouiller, et ils se mirent tous les deux à me sucer la bite en même temps leurs lèvres et leurs langues se joignant sur mon gland, se disputant pour m’engloutir. J’étais tellement dépassé par les événements que je n’en ai pas vraiment profité. Le plaisir arrivait bien trop vite, et j’étais sur le point de jouir lorsque le téléphona sonna.
C’était un des fils de Daniel qui l’index sur la bouche nous fit signe d’aller dans sa chambre. Huguette se déshabilla laissant apparaitre des seins qui pendaient en gant de toilette (avec la savonnette au fond !) heureusement garni de deux belles myrtilles en guise de téton. Elle s’allongea sur le lit. Je tétai directement ses myrtilles, puis descendis tranquillement sur son ventre pour aller me livrer à un de mes exercices favoris : le cunni.
Je découvris alors dépassant d’une toison assez fournie, deux belles nymphes bien charnues. Je n’en avais jamais vu d’aussi grandes.
Je jouai à les joindre puis à les écarter comme deux ailes de papillon avant de les sucer, de les aspirer, de les mordiller comme deux petites escalopes. Son clito commençait à pointer. Je le dégageai délicatement de son capuchon pour l’agacer du bout de langue, ce qui fit sursauter ma partenaire avant de le laper consciencieusement. Puis je me décidai enfin à la gouter cette belle chatte en plongeant ma langue dans son vagin. Un parfum puissant et bien affirmé de fruit mûr envahi ma bouche et mes narines. Je me régalais. Je lui bouffais la moule quasiment en transe tandis qu’elle ondulait du bassin. Elle me fit passer sur elle en 69 et engloutit, mon paf.
Je ne tardai pas à sentir sur ma rosette une caresse d’une infinie douceur que je ne connaissais pas : c’était Daniel qui nous avait rejoint et qui me léchait le cul. Sa langue dure comme une petite bite essayait de me pénétrer. Non seulement la sensation est extraordinaire, mais cette caresse a le don de m’ouvrir le cul et de me cambrer comme une chatte en chaleur.
« T’aimes ça, on dirait hein ? » me dit-il en m’enfonçant directement deux doigts dans le cul bientôt suivi d’un troisième.
Oui j’aimais. Et d’ailleurs je m’attendais à ce qu’il remplace ses doigts par sa queue. Je me tournai pour m’assurer qu’il mette une capote et du lubrifiant mais je découvris une toute petite queue.
« Je suis trop petit et trop sensible pour être actif, » se justifia-t-il.
Il continua à me fouiller le cul avec ses doigts jusqu’à ce que lâchant ma queue, Huguette m’ordonne dans un souffle :
« Viens, baise-moi ! »
Elle se positionna en levrette. Ses « grandes »petites lèvres qui pendouillaient m’excitaient beaucoup. Je m’enfonçais difficilement dans son vagin contracté qui m’éplucha littéralement le prépuce. Je fus très surpris de l’entendre jouir après quelques allers et retour à peine. Je voulu continuer, mais elle se laissa tomber sur le lit.
« A mon tour, » s’écria Daniel qui me tendait une capote.
Tandis que je m’équipai, il se mit lui aussi en levrette bougeant son cul de gauche à droite pour bien exhiber la tête doré d’un plug en métal fiché dans son anus. Je fus surpris par son diamètre interne lorsque je lui retirai et je n’eus pas de mal à le pénétrer un anus déjà dilaté et lubrifié. D’emblé il m’encouragea :
« Oui mon trésor vas-y baise prend moi bien fort… »
Je ne me fis pas prier. Huguette avait repris ses esprits et se branlai frénétiquement en nous regardant
« Ah ! c’est bon ! Allez vas-y défonce bien mon p’tit cul ! » continua-t-il.
Je le pilonnai sans ménagement avec un plaisir presque sadique. Puis il appela :
« Huguette ! Vite ! Vite ! »
Je m’écartai pour qu’elle puisse lui gober sa petite bite et recevoir son sperme qu’elle avala d’un trait sans sourciller
« A ton tour, donne-nous ton jus ! » m’ordonna Daniel.
J’enlevai ma capote. Il se mit a genou devant moi, la bouche ouverte prête à recueillir mon jus, rejoint immédiatement par Huguette, la langue tendue et la main toujours sur son clito. Je n’eu pas besoin de me branler longtemps pour gicler tout mon foutre sur leurs visages tant le tableau était excitant. Huguette se tendit et jouit les yeux fermés en silence, tandis que Daniel aspirait directement à la source les dernières gouttes en pressant ma bite entre son pouce et son index de la base de la hampe vers mon gland.
Il répéta plusieurs ce geste pour bien s’assurer qu’il n’en perdait pas une goutte. Puis ils s’embrassèrent à bouche que veux-tu et finirent de se nettoyer mutuellement le visage.
J’eus la présence d’esprit, tandis que Daniel était sous la douche, de prendre le numéro d’Huguette, car j’étais fasciné par sa chatte. Je ne pourrai pas expliquer le plaisir d’ouvrir son sexe et écartant ses magnifiques petites lèvres...
Et c’est au moment de partir que pour la première fois, nous nous embrassâmes et que nos langues se donnèrent un petit aperçu de nos prochains ébats.
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Initiation plurielle
1er épisode
Fin d'après midi dans une brasserie du centre ville, je prends un café avec Eric. Notre dernière rencontre à près de trois mois et on se téléphone peu. Nos relations sont épisodiques et du genre ex collègues devenus copains. On ne s'est jamais racontés nos passés respectifs et vies, c'est beaucoup mieux ainsi.
Aujourd'hui, après quelques échanges rapides sur nos activités professionnelles, on parle cinéma, pop music et romans destroy de Virginie Despentes. Le genre de choses qui comptent réellement dans une relation, celles qui font que l'on a ou pas le feeling avec l'autre.
Eric :
« A 19h, je vais devoir te quitter pour rejoindre Véro à Poitiers... à cette saison et heure, c'est au moins deux heures de route. Véro a pu se libérer que pour cette nuit.
- Pas évident votre liaison, toi depuis six mois à Lyon et elle toujours sur Bordeaux...
- Rien de changé pour Véro, impossible d'avoir une mutation et son compagnon est de plus en plus possessif... Alors qu'elle est totalement accro de moi ! »
A ce moment une interrogation me traverse l'esprit, j'en fait part à Eric :
« Tu as des photos de Véro sur toi ?.... Plus d'un an que tu m'en parles, tu fais des centaines de kilomètres chaque mois pour la rejoindre Elle est super canon ou c'est une mocheté qui fait superbement l'amour ?
- Jamais de photos d'elle sur moi, je ne tiens pas à ce que ma femme découvre son existence ! Peut être pas un top model, mais belle... Grande brune à cheveux longs, peau mate, très mince avec des petits seins très fermes, sensuelle comme pas permis et... aucun tabou ! »
Cette femme doit être un sacré coup, pas conne et sympa. Je connais assez bien les critères d'Eric en matière de femme et plus généralement vis à vis des gens. Il aime bien les femmes, mais ce n'est pas un « hardeur » ni un romantique. Il déteste le paraître et n'entretient des relations suivies que si il a un feeling fort.
Il devine mes pensées, et faussement interrogatif ajoute :
« Tu aimerais bien la connaître ?
- C'est une évidence et tu le sais bien... simple curiosité, sans plus évidemment.. » lui répondis-je
Eric allume une cigarette, fait signe au serveur de renouveler nos cafés, et dans ses yeux apparaît un éclat inhabituel. D'un ton neutre, il prononce :
« Depuis quelques mois, Véro rêve de faire l'amour avec deux hommes en même temps.. Elle n’a jamais vécu cela... »
Un peu surpris, sur la forme et non le fond, je lui réponds :
« Naturellement, tu l'encourages à vivre son fantasme... L’amour au pluriel est toujours un « plu »s très fort... entre gens de bonne compagnie évidemment ! »
Sourire complice d'Eric, puis il complète ma pensée
« Initier à cela une femme, surtout la femme qu'on aime, est géant... Le must de la complicité charnelle ! »
Nous sommes dans le même registre et mon regard l'encourage à poursuivre. Eric :
« Tu serais ok pour être notre complice, initier Véro en ma compagnie ? »
En souriant, je lui rétorque :
« Une évidence... mais elle est prête a passer à l'acte ? Tu lui a parlé de moi pour cela ? – Elle sait seulement qu'on est copain... Véro fantasme beaucoup sur l'amour à trois, mais elle est très timide... Angoisse quand j'évoque les possibles pour concrétiser... »
Aie, aie... En fait, très femme, cette attitude, d’ailleurs beaucoup n'osent jamais vivre leurs fantasmes. Je demande à Eric :
« Tu envisages cette concrétisation comment ? Dans quel contexte ? »
J'ajoute :
« On pourrait diner tous les trois dans le restaurant d'un hôtel et... Un premier flirt intime... et même voir plus... en fonction des réactions de Véro… »
Moue d'Eric :
« Non, cela ne marchera pas... Véro se bloquera, même si tu lui plais et qu'elle a très envie... C'est une grande timide. »
Mais qu'est ce que c'est que cette histoire ?... Il me parle du fantasme de Véro et celui-ci est irréalisable ! Ce n'est pas dans son style..... Ou alors, il a une idée bien précise.
Avec le même air et ton que s’il évoquait une astuce comptable, Eric me dit :
‘Il faudra que tu nous rejoignes dans notre chambre, quand nous ferons ou aurons fait l'amour... Lorsque Véro est dans son plaisir, en plein trip sexe, c'est une autre... là elle acceptera sans problème ! »
Je le regarde un peu surpris et interrogatif :
« Excitante et séduisante, ton idée... Mais... mais, elle risque de se braquer, refuser et voir de crier au viol !
- Non... non pas du tout, si on organise bien la chose ! Je suis sur qu'elle se lâchera totalement et prendra un plaisir d'enfer, toi aussi !... »
Dans ma tête, j'imagine ce contexte assez inhabituel et j'ai déjà une envie folle de Véro. D'après sa description, c'est le genre de femme qui me fait flasher. Et de plus " l'initier " comme cela, c'est comme faire l'amour à sa jeune cousine encore vierge......
Eric poursuit :
« Dans une quinzaine, Véro me rejoindra à Clermont- Ferrand, elle devrait arriver dès le vendredi soir et repartir dimanche midi. L'idéal serait que tu viennes le samedi soir, comme cela je pourrais la.... préparer... »
Sans hésiter, je lui dis :
« Ok sur le principe, le lieu et date.... mais pour les modalités pratiques ?
- Si aucun imprévu, quelques jours avant je réserverais une chambre dans un hôtel en ZI Est et te téléphonerai. »
Il regarde sa montre et je comprends qu'il doit partir maintenant. Nous nous levons et séparons devant la brasserie.
Le soir même, je bloque sur mon agenda le week-end à quinzaine. Mais dans les dix jours suivants, je m'efforce de ne pas penser à cette future « initiation au pluriel ».
Ma lucidité empreinte de pessimisme, me fait craindre que cela ne soit trop beau pour se réaliser... Le mardi soir avant le week-end décisif, un appel d'Eric.
Il me confirme notre « rencontre » de samedi soir, et m'indique le nom de l'hôtel et numéro de leur chambre.
Eric me précise le timing :
« Vendredi soir vers vingt-deux heures, appelle-moi car je serais avec Véro... Je te la passerai quelques minutes, mais tu fais allusion à rien.... Samedi, soit à l'hôtel dès vingt-et une heures et laisse-moi un message sur ma boite vocale pour m'indiquer ton numéro de chambre... Dans l'heure suivante, je passerais te voir ou t'appellerai’
Le lendemain, je réserve une chambre dans l'hôtel prévu pour ‘nos jeux, et dans les jours suivants, j'ai beaucoup de mal à me concentrer dans mon travail !
Vendredi à vingt-deux heures, j'appelle Eric et lui demande comment il va. Il me répond qu'il est dans une chambre d'hôtel avec Véro et ajoute :
« Depuis le temps que je parle de toi à Véro, elle voudrait connaître au moins le son de ta voix. mais patiente un peu, elle ne peut te parler là... Sa bouche est occupée.... »
La voix d'Eric se fait plus lointaine, j'entends des bruits de succions qui ne trompent pas : Véro est en train de lui faire une fellation !..... Puis une voix féminine hésitante et gênée « Vous êtes le copain d'Eric... oh pardon bonsoir..
- Bonsoir et enchantée Véro, vous allez bien ? Enfin je connais au moins votre voix, » dis-je d’un ton amusé.
Nous échangeons quelques banalités et son trouble me ravie. D'une voix inquiète, elle me demande :
« Mais vous êtes ou ? Ici ?...
Je la rassure :
- Oh non, à environ trois heures de route.... Bonne fin de soirée Véro... Bises »
Samedi dès 16 heures, je prends la route de Clermont - Ferrand. Pendant tout le trajet, je pense à ma " rencontre " avec Véro et envisage tous les possibles : accepte et nuit torride, se donne avec réticence, juste un flirt intime, refuse gentiment, rejet brutal et crie au viol !... En arrivant en ville, je réalise que je n'aie pas de préservatif. On n’a pas évoqué ce sujet avec Eric, alors je préfère en acquérir. Je ne veux pas gâcher ma future nuit, par imprévoyance !
Arrivé à l'hôtel, je prends possession de ma chambre et constate que toutes donnent sur une galerie extérieure. Lors du futur changement de chambre, pas besoin de passer par la réception et subir les regards interrogatifs ou égrillards du personnel. Je laisse un message sur la boite vocale d'Eric, puis vais dîner rapidement. Dès vingt heures, je suis de retour dans ma chambre et prend une douche. Allongé sur le lit, un peu fébrile et taraudé par mon désir, j'attends la suite des événements.
2eme épisode
Un appel d'Eric sur mon portable " Bonsoir..... Je suis devant la porte de ta chambre... ". Je lui ouvre, il entre et m'explique qu'il a peu de temps " Nous venons juste de rentrer.... Pour m'absenter, j'ai prétexté allez chercher à la réception une bouteille d'eau minérale... ".
Un peu surpris, je lui demande :
« Mais alors, Véro est au courant de rien ? »
Eric avec un demi-sourire :
« Je ne lui ai rien dit pour ce soir, mais elle se doute de quelque chose... Hier soir après ton appel, je lui ai seulement indiqué qu'elle aurait une surprise ce week-end. Une forme de cadeau... Elle m'a questionné en plusieurs fois sur la nature de ce cadeau, mais j'ai éludé à chaque fois... Ce soir au restaurant, elle a encore insisté pour savoir ! »
Impatient de la suite des événements à venir, je lui demande :
« En pratique on procède comment ? Je t'accompagne et tu me présentes comme le cadeau ?... Ou j'arrive peu après toi, avec une bouteille de champagne... J’en ai mis une au frais dans le frigo ici. Tu lui dis avant, que suis venu pour lui offrir le champagne... et tout en buvant… »
Eric me coupe :
« Non pas cela... Après mon départ, tu attends trente à quarante-cinq minutes. Le temps que je la mette bien en condition, qu'elle ait joui plusieurs fois... Véro sera alors en plein trip sexe... »
J'enchaîne :
« J'entre dans votre chambre et ?
- Tu entres discrètement, sans faire de bruit, voici le digicode... Et une fois entré on avisera, ou plutôt tu agiras en fonction du contexte... naturellement tout en douceur au début... »
J'approuve avec chaleur ce timing. Son scénario me plaît beaucoup, un fantasme génial... mais un fantasme qui va se muer en réalité !
Eric parti, j'essaye de regarder la télévision pour passer le temps et pas trop penser. Mais ma virilité me rappelle ce futur proche !.... Véro offerte, brûlante et trempée de plaisir.. wouahhhhh... Quelques inquiétudes me rongent quand même : refus total ? Juste un flirt plus ou moins intime ? Accepte à contre cœur et peu coopérative ? Dur de savoir comment une femme va réagir dans pareille situation....
22 h 15, je quitte ma chambre et me dirige vers la leur. Aie... j'ai oublié la bouteille de champagne, mais bon ce n’est pas important. Je pourrais toujours revenir la chercher. Je vérifie que je suis bien devant leur chambre, puis m'efforce de composer calmement le digicode. Surtout ne pas se tromper !....
Mon cœur bat un peu plus fort, je pousse lentement la porte... La chambre est dans la pénombre et juste éclairée par l'écran de la télé. Celle-ci diffuse un live de Dire Straits, idéal comme ambiance et cela masque mon arrivée. Le lit est en travers face à la porte, Véro est allongée sur le coté et me tourne le dos. Nue, son visage blottis sur les cuisses d'Eric. Il est agenouillé face à elle, ses mains dans ses cheveux. Véro est en train de lui faire une fellation ! Vision superbe...
Toute à sa caresse, elle ne semble pas avoir remarqué mon arrivée. Eric lève une main et pose son index verticalement sur sa bouche. J'ai compris, faire aucun bruit et ne pas manifester ma présence. Je marque un temps d'arrêt, mes yeux parcourent lentement Véro : son corps longiligne, sa peau mate, ses longs cheveux noirs... Wouahhh, elle est encore plus belle que j'imaginais... Légers oscillements de sa tête, paumes d'Eric qui la guident et aussi la retiennent bien contre lui... Mon désir est dur, dressé, impatient !
Main d'Eric qui se soulève, me fait un signe discret. Nous nous sommes compris, je m'approche tout près de Véro. Debout contre le lit, à hauteur de ses reins, j'observe les gestes d'Eric. Sa paume caresse la cuisse, la hanche, les reins de Véro en un long va et vient. Puis il soulève sa main, me fixe avec un sourire complice dans ses yeux... Ma paume se pose doucement sur Véro et lui fait la même caresse qu'Eric... Je retire ma main, celle d'Eric prend la suite. Véro ne s'est rendu compte de rien !....
Nos paumes se relaient pour la caresser sur tout le corps.... hummmmm..... Que sa peau est douce...
L'autre main d'Eric est toujours enfouie dans les cheveux de Véro, comme si il tentait de s'enfoncer tout au fond de sa bouche. Avec lenteur et précaution, je m'assieds sur le lit en prenant garde de ne pas frôler Véro !... Cette position est plus confortable et propice pour la suite... Véro n'a toujours pas perçu ma présence et cela est diablement excitant !
Les caresses d'Eric se font plus intimes, ses doigts glissent dans le sillon des fesses, entre les cuisses et les entrebâillent.... Nos paumes alternent.... tiédeur humide de l'intimité de Véro..... Mon désir durcit encore plus, étouffe dans mon pantalon...... Doigts d'Eric qui prennent Véro, la fouillent lentement, puis me passent le relais.... Chair brûlante, trempée, pleine de musc et foutre.... Je la doigte lentement, regarde Eric.... Ses yeux me disent " Continue, elle est à toi maintenant, fait la crier avec tes doigts ".
Mes doigts prennent profondément Véro, ses reins ondulent, son musc coule sur ma paume. Je la fouille plus vite, plus fort, je devine que son plaisir est proche..... Mes doigts se font plus impérieux, contractions brutales de sa chair.... cuisses qui emprisonnent ma main. Coups de reins... Jouissance violente, sans un cri.
Eric est tout dans bouche, mains agrippés dans ses cheveux il se vide en elle. Palpitations qui se prolongent autour de mes doigts... Son plaisir est mon plaisir... Le temps est comme suspendu.
Tressaillements de Véro, sa main qui passe brutalement derrière elle et découvre mon corps !
Murmures d'Eric dans son oreille. Elle semble rassurée, ne bouge plus et d’une voix timide demande :
« Je peux le voir ?... Savoir qui il est ?
- C'est plus fort quand on ne voit pas... »
Tout en lui tenant la tête contre lui, il caresse son visage, s'allonge contre elle et l'embrasse. Je réalise que je suis allongé contre le dos de Véro. Sa main glisse dans mes cheveux, sur mon visage et le parcourt. Elle glisse sur mes épaules, mon bras, vient sur mon torse, s'aventure sous mon pull over... Excité et ému par cette manière de me découvrir, je laisse sa main m'explorer... Ses doigts agiles ouvrent ma chemise, elle fait crisser ses ongles sur mon torse puis mon ventre. Sa main vient palper mon désir à travers mon pantalon, puis tente de le libérer. Je l'aide.... Sa paume caresse tendrement ma virilité dressée.
J'en profite pour me dévêtir en partie. Les doigts de Véro cerclent mon membre... wouahhhh... longs va et viens qui me font durcir et gonfler encore plus... Elle appuie ses fesses contre moi, sa main me guide entre ses cuisses, dans sa fente et m'enfouie à demi dans sa chair. Woahhhhhhhh !!! C'est chaud, trempé, je m'enfonce en elle, tout en elle... Gémissements, cris étouffés de Véro. Je la prends, la fouille en de longs allez et retour. Ses reins m'accompagnent dans mes mouvements, je suis dur, dressé en elle.
Je suis fou de désir, je vais et viens plus vite... Plus fort... Oh que c'est bon de me noyer dans sa chair si chaude et trempée, si accueillante ! Véro plaque ses fesses contre mon ventre, ses doigts caressent doucement mes boules. Ma paume enrobe son sein, le palpe, le presse... Mon désir monte, s'apprête à jaillir, elle le pressent, donnent des coups de reins impérieux. Mes doigts s'agrippent à son corps, je m'abute avec force tout au fond d'elle. Elle crie... Crie son plaisir, son plaisir qui m'enserre de ses spasmes. Le mien gicle violemment en elle, jets brûlants qui inondent, membre turgescent qui bat... Je halète :
« Oh Véro... Véro.... ouiiiiiiiiiiiiiiiii..... ouiiiiiiiiiiiiii...... ahhhhhh !!! »
3eme épisode
Nous savourons les derniers spasmes du plaisir, paume de Véro qui caresse tendrement ma cuisse.
Légère ondulation de ses reins, je glisse progressivement hors d'elle et m'allonge sur le dos. Mes doigts caressent ses cheveux et épaules.
Voix ferme de Véro :
« Maintenant, je veux voir… »
Eric allume les lampes de chevets, Véro se retourne et viens s'allonger sur moi. Appuyer sur les coudes, elle me dévisage et parcourt mon visage avec ses doigts. Son intimité trempée est plaquée sur ma cuisse, son musc mêlé de mon foutre coule sur moi.... hummm.... Elle dépose un baiser tendre sur mes lèvres, se redresse et devine ses interrogations dans son regard.
« Véro, hier tu as eu ma voix et ce soir mon corps… »
Sous l'effet de la surprise son visage se fige un instant, puis s'éclaire d'un grand éclat de rires.
« C'était donc toi hier soir au tél.... et moi qui paniquais à l'idée que tu sois juste derrière la porte de la chambre ! »
Et elle ajoute :
« Eric, ta surprise du week-end... elle est bien, même plus que bien ! »
Tout en prononçant ses mots, Véro colle sa fente trempée sur mon membre et ondule dessus. Elle plaque sa bouche sur la mienne, enfonce sa langue en moi et fouille ma bouche longuement. Je caresse son dos et ses reins. Eric se rapproche de nous, Véro roule sur le coté et s'allonge sur le dos entre nous. Mon bras est sous sa tête, ma paume enrobe son sein et je lui palpe. La main d'Eric est plaquée entre ses cuisses et je devine qu'il l'a doigte lentement.
Véro, d'une voix tendre et complice :
« Merci Eric, autrement je n'aurais jamais osé... Et pourtant, tu le sais, j'en rêvais depuis longtemps ! »
Sa main se pose sur mon membre et le caresse avec douceur. Puis elle tourne son visage vers Eric et l'embrasse goulûment. Je lui murmure dans l'oreille :
« Véro, j'ai adoré te prendre... te violer.. »
Elle éclate de rires :
« Tu m'as violé qu'avec tes doigts.... Car après c'est moi !!! J’avais trop envie de toi... »
Eric se lève, revient avec la bouteille d'eau et nous buvons. Nous allumons des cigarettes et papotons de tout et rien. La main de Véro se fait plus insistante sur ma virilité, je suis de nouveau dur et dressé. Eric vient blottir son visage entre les cuisses de Véro, elle les replie et ouvre largement pour mieux s'offrir à lui. Elle commence à gémir sous sa caresse et tire sur mon membre.
J'ai compris son attente, je m'approche de son visage et le caresse avec mon gland gonflé. Elle tourne la tête sur le coté, me prend entre ses lèvres et ses doigts me cerclent. Tout en haletant, elle enfonce de plus
en plus sa bouche sur moi.... wouahhhhhh... sa langue tiède, aimante. Elle m'aspire en elle, tout en elle, jusqu'au fond de sa gorge ! Elle me suce goulûment, je suis dur et ai une envie folle de jouir là... humm. J'agrippe ses cheveux et gicle violemment... wouahhhhhhhh.... hummmm....
Mon gland brûlant vibre dans sa bouche. Véro boit et aspire tout mon foutre... Vidé, je glisse hors de sa bouche... Elle crie, son visage se contracte sous la jouissance que lui donne Eric avec sa langue et doigts... Mhummmmm...
Nouvelle pause eau et cigarettes, ma paume est blottie sur l'intimité de Véro. Je la palpe, doigte sa chair pleine de foutre et musc. Le temps semble s'être arrêté.....
Je me retrouve le visage entre ses cuisses, mes lèvres posées sur les siennes... Ma langue va et vient dans sa fente chaude et trempée, je l'ouvre et m'enfonce en elle. Recourbe ma langue dedans, Véro gémis et sous souffle s'accélère... Je remonte sur son bourgeon dressé, le prend entre mes lèvres et l'aspire. Il saillit encore plus de son capuchon, ma langue le parcourt à petits coups rapides.
Râles et cris de Véro, ses cuisses enserrent mon visage... Brutalement, j'enfonce entièrement deux de mes doigts dans sa chair trempée... Véro crie son plaisir, sa fente se contracte autour de mes doigts... Mon visage et ma paume sont inondés par son musc... Mhummm..
Repus nous somnolons un peu, blottis tous les deux de chaque coté de Véro...
Je sursaute, réalise ou je suis... La cuisse de Véro frotte sur mon visage, elle est agenouillé et fait une fellation à Eric. Le sourire de sa fente est là au dessus de mes yeux, comme un appel muet.. Mon désir est plus qu'éveillé, je m'agenouille derrière Véro et glisse mon membre entre ses cuisses. Les doigts de Véro viennent l'enserrer et le guide entre ses lèvres d'amour. Elle se caresse avec, puis l'enfonce un peu dans sa chair chaude et mouillée. Je pousse pour m'enfoncer plus en elle, la prendre mais sa main me retiens. Elle m'oblige à ressortir.
Je m'interroge, mais très vite sa main me fait comprendre son désir. Elle pose mon gland plein de son musc sur son œillet secret, le caresse avec et l'enfonce à demi !... Waoahhhhhhhhhhhhh.... Elle veut que je la prenne là, là ou elle est plus étroite... Je pousse, elle gémit quand je la « force » pour entrer.
Lentement mais inexorablement je m'enfonce, au plus profond d'elle je suis..... Mhummm... Je vais et viens dans ses reins, elle ondule et mes paumes s'agrippent à ses hanches. Je suis dur, dressé, gros. Je la possède plus fort et plus vite, elle crie, puis hurle son plaisir... Wouahhhhhhhhhh... le mien gicle en elle... Wouahhhh. !!! Spasmes de mon membre..... hummmm.....
« Oh Véro. Véro... je t'aime moi non plus ! »
Dix heures trente, à la réception de l'hôtel. Tous les trois, nous gagnons la salle des petits déjeuners. Véro en jean et sweat, cheveux tirés et attachés par un lien, fait très jeune femme sage.... Peu loquace, distante, elle semble me fuir. Petit déjeuner bref, dans une ambiance assez froide. Véro a plusieurs apartés à voix basse avec Eric. Des yeux je l'interroge et il me fait signe de patienter. Véro nous quitte rapidement et me serre brièvement la main.
Eric d'une voix neutre :
« Ne t'inquiète pas, elle a plus qu'aimé cette nuit et regrette pas... Mais là ce matin ici, elle a réalisé réellement ce qui s'est passé... Elle avait l'impression que tout l'hôtel était au courant, que tous l'a regardaient avec un air entendu... Tu sais, elle est très timide et surtout en public... »
Je lui suggère :
« Propose-lui de venir avec toi dans ma chambre... Boire le champagne que j'ai oublié d'apporter cette nuit... Ce serait dommage de se quitter comme cela.
- Ok, je pense qu'elle va accepter... je vais tout faire pour cela ! »
Dubitatif, j’attends dans ma chambre et à peine quinze minutes après, Véro et Eric arrivent. Véro se jette dans mes bras, m'enlace et d'une voix gênée :
« Pardon, c'était trop dur la présence de tous ces gens au petit-déjeuner... j'avais l'impression de faire l'amour devant eux... et qu'ils se moquaient de moi. »
Je la rassure gentiment, sors et verse le champagne. Nous trinquons, Véro et Eric s'enlace tendrement.
Je me rapproche, caresse tendrement la joue de Véro et passe une main sur un de seins. Elle se retourne vers moi, caresse ma cuisse, puis sa main remonte plus haut.
De sa voix timide :
« Pour me faire pardonner... »
Sa main ouvre mon pantalon, dégage ma virilité et l’enserre. Tout en la caressant, elle pose sa bouche dessus et la parcourt avec sa langue aimante.....
Mhummm... Je suis tout dur, brûlant et plein de désir. Elle m'abandonne pour prendre, avec un sourire coquin, une gorgée de champagne. Ses doigts cerclent mon membre et le guide entre ses lèvres.....
Waouahhhh... Sa bouche est pleine de champagne ! Froideur et picotements sur mon gland. C'est géant !
Elle m'enfouie à demi dans sa bouche, sa langue s'enrobe autour de mon membre. Chaleur et douceur de sa langue mêlées au champagne. Wouahhhhh... Véro devine que je ne vais pas résister longtemps, elle m'aspire plus vite tout en caressant mes boules. Mon désir monte brutalement et gicle impérieusement dans sa bouche... Wouahhhhhhh.. Elle le déguste lentement et le boit tout. Elle se redresse et m'embrasse avec volupté, langues nouées et lèvres soudées...
Nous connaîtrons bien d'autres hôtels, nuits et jours de plaisirs torrides au pluriel...
PS : " Véro ", si tu jamais tu lis ces lignes elles sont à toi pour toi.... un hommage à notre plaisir complice...
Signé : Trekker
Ah ! Ces humains...
Chapitre I
Wouah !! Wouah !! Wouaaah !! Euh !! Veuillez me pardonner j'oublie facilement que vous ne parlez pas chien. Je traduis donc : Bonjour !! Bonjour !! les Humains !!! Je me présente je m'appelle Fellow. Je suis un chien Boxer, haut sur pattes, bien musclé (de partout) et pour peu que la jolie femme que j'héberge veuille m'inscrire à un concours, je suis certain que je gagnerais le grand prix. Mais elle ne veut pas et c'est bien dommage car j'aurais pu y rencontrer de jolies petites chiennes.
J'ai un ami humain qui se nomme Bruno, je ne sais comment, mais il parle chien couramment. Je lui ai raconté un jour ma vie et il a décidé avec mon accord de vous raconter une de mes aventures les plus intéressantes. Ainsi, vous ne vous poserez pas la question de savoir comment je peux parler humain aussi bien !
Cette femme s'appelle Eveline, longs cheveux blonds. Je la trouve très jolie et gentille. Elle me caresse souvent, j'adore ça, elle a des mains très douces quand elle les pose sur moi. Pour lui montrer que j'aime ça, je me couche sur le dos et elle me caresse le ventre. Mais est-elle ingénue ou y a-t-il un soupçon de perversité dans ses gestes ? Je l'ignore mais à chaque fois sa main tourne autour de mon sexe et ça m'excite beaucoup. Très souvent, je commence à bander. Cela la fait sourire et lui fait me dire d'une voix faussement en colère :
« Ben alors, mon Fellow, vilain toutou que tu es! T'as pas honte, dis ? »
Elle est marrante et si je lui en faisant autant moi ? Et si j'allais coller ma truffe toute fraiche sur sa chatoune toute lisse ? Ce ne serait pas difficile d'ailleurs car elle est souvent nue à la maison. Ça ne la gêne vraiment pas. Moi ça me rend tout chose, elle dégage de ces odeurs à certains moments, qui me rendent tout frémissant.
Elle me reproche de bander, mais elle continue quand même à me prodiguer des caresses accompagnées de mots idiots, comme si j'étais un chiot. J'ai cinq ans. Je suis adulte. Et souvent, elle insiste tant que ma queue sort de plus en plus de son fourreau. Une fois même, elle était complètement sortie, et j'étais tellement excité que je commençais à éjaculer. Du coup, Eveline s'est arrêtée de me caresser pour regarder ça. Elle avait l'air toute surprise et même presque admirative. Je m'en souviens comme si c'était ce matin. Même qu'elle m'a dit :
« Ah !! Mon Fellow !! Si mes amants pouvaient juter autant que toi et aussi longtemps, qu'est-ce que je serais heureuse ! »
Il y avait comme du regret dans sa voix, mais je ne peux pas vous le jurer, je ne vous comprends pas toujours, vous les humains. Vous avez l'air de bien vous compliquer l'existence.
Nos voisins de droite vivent chez une superbe levrette afghane. Elle a une longue crinière blonde, haute sur patte et corps élancé. Elle a une allure extraordinaire. Je suis fou amoureux d'elle et elle me le rend bien. Hélas pour nous, Eveline boude un peu ses voisins. Malgré ses airs de femme délurée, elle est timide. Je vais m'occuper de ça, je vais tout faire pour que mes voisins et Eveline se rencontrent et aient des relations de bon voisinage, sinon je ne pourrai jamais concrétiser avec Maud, ma levrette chérie. Nous vivons elle et moi dans des belles villas séparées par une haie. Il est très rare que nous nous rencontrions à l'extérieur, car sous prétexte que nous avons un grand jardin, il était très rare que nous allions nous promener, mais à travers la haie nous nous parlons très souvent.
Maud et moi nous nous aimons, aussi nous avons mis un plan au point pour obliger « nos » humains à parler entre eux, enfin. Comme elle est rapide à la course, et qu'avec de l'élan, elle peut franchir la haie et me rejoindre chez moi, pour que nos humains nous surprennent tous les deux dans mon jardin. Pour ce faire, nous attendons le bon moment, à savoir le jour où tous les trois, « ils » seront absents pour la journée. Les quelques jours qui se déroulent avant que cela se fasse nous semblent longs, si longs que nous désespérons qu'il arrive. Enfin après dix jours interminables, le moment est là... Alors ; aussitôt que les portes claquent ; nous laissant seuls ; et que le bruit des voitures cesse au coin de la rue, Maud va au fond de son jardin, prend son élan et fonce vers la haie et saute par dessus. Je vois son corps arriver chez moi. Sa crinière vole au vent. Bon sang qu'est-ce qu'elle est belle! De la voir ainsi voler, légère et sexy, je suis fou de désir pour elle.
Mais je ne lui saute pas dessus comme ça, brutalement. Nous ne sommes pas des humains, non mais!! Nous nous reniflons, avec gourmandise. Hmmm ! Qu'est-ce qu'elle sent bon ! Son parfum est « Je te veux », il me rend fou. Maud me hume elle aussi puis me regarde. Nous sommes sur la même longueur d'onde. Pourquoi ne faites-vous pas comme nous hein vous les Humains ? C'est très convivial, cela renseigne sur l'autre, immédiatement et sans risque d'erreur. Oui! je sais bien que vous le faites vous aussi, mais contrairement à nous, pour que vous mettiez le nez dans les affaires de l'autre, il faut que vous vous connaissiez. C'est idiot ça, mais bon ça vous regarde, n'est-ce pas ?
Maud et moi sommes tout à fait prêts à nous faire l'amour. Je me place derrière elle et la renifle avec gourmandise. Elle est toute humide de désir, aussi je la lèche à grands coups de langue. C'est si bon que je fais durer le plaisir, mais je n'y tiens plus, je monte sur elle et la pénètre, et après quelques coups de reins, je sens que je suis bien ancré en elle. Nous ne faisons plus qu'un. Je m'arrête un bref instant et reprend ma saillie de plus belle.
Je me vide de ma semence à un point que je crois que la source sera tarie à jamais, tant j'ai envie de cette belle levrette. L'amour fait, nous restons collés l'un à l'autre quelques minutes. Prolongeant ainsi un peu le plaisir que nous nous sommes donnés. Quand enfin nous nous séparons, nous nous allongeons sur la pelouse, pour reprendre notre souffle. Puis nous passons notre temps à jouer ensemble.
Enfin, j'invite Maud à partager mon repas. Je sais qu'elle va se régaler car Eveline est une excellente cuisinière. Après ce festin, nous retournons dans le jardin. J'y ai un coin à moi où j'aime à me prélasser quand le temps est doux. J'y invite Maud. Nous faisons une longue sieste. Au bout d'une petite heure, le désir me reprend encore, et j'entreprends ma Maud, gentiment. Elle est très réceptive et nous refaisons l'amour. Mais alors que nous venions de finir et que nous étions encore unis, j'entends Eveline qui rentre.
Étonnée de ne pas me voir l'accueillir et lui faire fête comme de coutume, elle m'appelle avec comme une angoisse dans la voix...
« Fellow ! Fellow !! Où es-tu mon toutou !! » crie-t-elle tout en parcourant la maison.
Qu'est-ce qu'elle peut m'agacer avec ces « mon toutou ! » Je n'suis plus un chiot, nom d'un humain !
Elle arrive dans le jardin et nous voit, Maud et moi, encore collés l'un à l'autre. Je vous passe les commentaires moqueurs qu'elle fit à notre adresse. Pour me défendre, je lui ai fait deux Wouah ! Wouah ! Mais ils manquaient sans doute de conviction car Eveline se mit à rire à gorge déployée. Pendant ce temps, nos émotions s'étant calmées, Maud et moi avons pu nous désunir. Je me suis alors approché d'Eveline pour lui faire la fête. Elle m'a caressé tout en me parlant gentiment et me demandant comment Maud pouvait être dans notre jardin. Comment voulez-vous que je lui réponde ? Elle ne comprend pas un mot de ma langue.
Mais pour moi cela n'avait aucune importance. Le but recherché était atteint. Maud et moi nous nous sommes fait un clin d'œil car le dénouement n'allait pas tarder à arriver. En effet, par dessus la haie plus d'une heure après l'arrivée d'Eveline on a pu entendre Samantha et Robert, nos voisins, courir partout en appelant Maud d'une voix affolée. Ma chérie me regarda en souriant et après avoir fait durer le plaisir un moment aboya pour prévenir qu'elle était avec nous. Eveline héla nos voisins par dessus la haie pour leur dire que Maud était là.
Elle alla ouvrir la porte, mais elle le fit alors que Samantha, main en l'air allait actionner la sonnette. Derrière elle se tenait Robert, qui la dépassait d'une bonne tête. Eveline leur fit un grand sourire. J'ai senti un grand trouble chez Eveline quand elle vit Samantha. Celle-ci et son mari sourirent eux-aussi, mais Sam elle aussi sembla un peu troublée, Bob, lui se comportait naturellement. S'en suivit une brève conversation où chacun se présenta. Samantha était à peu de chose prés de la même taille qu'Eveline, elle était brune et semblait très jolie à mes yeux de boxer, en tous cas elle dégageait une odeur qui me grisait. Son mari Robert était un grand gaillard aux cheveux grisonnants qui sembla lui aussi troubler un peu Eveline car son odeur changea d'un seul coup, un peu comme ma Maud quand elle s'approche de moi.
Une fois entrés dans le salon, tous les 3 en vinrent à se poser la question de savoir comment Maud avait pu arriver chez nous. Ils supposèrent plusieurs éventualités sauf la bonne bien entendu. J'eus alors une idée. Il fallait que ma chérie retourne chez elle de la même manière que tout à l'heure pour me rejoindre. C'est ce qu'elle fit et une fois franchie la haie elle aboya jusqu'à ce que nos trois humains me rejoignent dans le jardin. Un peu inquiète, Samantha appela :
« Maud ! Ma louloutte ! Qu'as-tu ? Hein ? Dis-moi ? »
Ma Louloutte ! J'te d'mande un peu !! Décidément ces humains, ils sont tous un peu nunuches. Quand je pense qu'ils se prennent pour la race supérieure !!! Enfin...... Samantha réalisa enfin que Maud était retournée chez eux.
« Mais comment as-tu fait ? Dis-moi ! »
Alors, j'adresse des Wouah ! Wouah ! Wouah ! à Maud pour lui dire de revenir en sautant. Nos trois humains en voyant Maud sauter par dessus la haie poussent des Ho! Ho! Et des « Ah ! Ah ! » admiratifs qui me paraissent un tantinet idiots. Puis ils éclatent de rire.
Chapitre II
Maud et moi, nous avons célébré notre victoire comme des gamins. Nous nous poursuivions dans le jardin en jappant de joie. Nous étions pleinement heureux, nous allions pouvoir nous rencontrer très souvent maintenant car je comptais sur la beauté d'Eveline pour plaire à nos voisins. D'après Maud, ils étaient sympathiques et très liants. Ces trois-là étaient faits pour s'entendre. Et ci cela tardait à éclore ma chérie et moi étions prêts à réitérer notre petit jeu de cet après-midi. Oh ! Nous n'avions pas besoin de ce prétexte pour nous câliner, je sais bien, mais nous faut bien justifier nos actes. C'est comme ça que vous procédez vous, non ?
Eveline détendue et surmontant inconsciemment sa réserve, proposa à Samantha et Robert de prendre un verre. Ces deux-là sont deux personnes très conviviales qui acceptent volontiers cette offre. Comme nous sommes à la belle saison, Eveline les installe sur la terrasse puis va chercher bouteilles et amuse-gueule.
Pendant qu'elle prépare tout ce qu'il faut, Samantha et Robert parlent d'elle. Ils la trouvent très sympathique. Samantha ajoute même :
« Je la trouve très belle, qu'en dis-tu mon chéri ? »
Robert lui répond :
« Oui, moi aussi, et très sexy aussi, elle me plait beaucoup ! »
Samantha rajoute alors : « Il faut qu'on essaie de savoir si elle aimerait passer une petite soirée avec nous. J'aimerais beaucoup qu'elle accepte, je la trouve tout à fait à mon goût !
- Oui, moi aussi, mais il faut y aller doucement, la brusquer risquerait de la choquer et ce serait dommage. Quand elle va nous rejoindre, il faut qu'elle nous trouve en train de nous embrasser comme si nous étions seuls. Ok ?
- Oh !! Oui mon chéri !! »
Ils tombent d'accord pour s'y prendre avec douceur et patience. Maud et moi allongés prés d'eux les écoutons en souriant, heureux que notre stratagème soit couronné de succès. Nous rions bien en écoutant ces humains parler. Ils n'ont pas conscience que nous comprenons tout ce qu'ils disent et plus la vie passe, plus je me dis que je suis fier d'être chien, notre vie à nous est tellement plus intéressante. Vous avez l'air vraiment bien compliqués. Franchement vous y gagneriez beaucoup à observer ce que nous faisons, nous vos compagnons à quatre pattes comme vous nous appelez.
Eveline arrive de la cuisine, aussitôt Samantha et Robert, presque couchés sur le canapé s'enlacent et s'embrassent à pleine bouche. Leurs mains se baladent sur leurs corps. Eveline, un instant surprise se reprend très vite, pose le plateau sur la table et hèle ses invités sur un ton enjoué dans lequel on sent un trouble certain.
« Voilà mes amis, je vais vous servir ! »
Rien en elle ne semble montrer qu'elle a été le moins du monde choquée. Oui, mais moi qui la connais bien, je peux vous dire que ce spectacle l'a particulièrement émoustillée. Nous autres chiens sommes sensibles aux odeurs. Sachez que ce qu'elle vient de voir l'a excitée car elle...euh... comment dites-vous déjà ?... Ah ! Oui ! « Elle mouille beaucoup », oui, c'est ça. Elle mouille beaucoup. Je ne peux m'empêcher de m'approcher d'elle pour régaler ma truffe de plus prés encore. Bon sang qu'est-ce qu'elle peut être enivrante cette Eveline !! Il faudra qu'un jour je m'approche encore plus pour mieux humer ce nectar divin.
Nos invités se redressent. Samantha a son chemisier froissé et un bouton a sauté, laissant poindre un sein. Elle ne fait rien pour rectifier sa tenue. Robert, lui, a les cheveux en bataille. Tous deux ont les joues roses et ne prennent même pas la peine d'avoir l'air gêné. Elle se borne à dire à Eveline:
« Tu sais, nous nous sentons si bien ici que nous avons fait comme si nous étions à la maison !
- J't'en prie Sam, tu as eu raison. Des gens qui s'aiment c'est beau à voir et assez émoustillant, je dois dire ! » lui répond Eveline tout en remplissant les verres de son whisky préféré.
Comme elle est d'origine pied-noir, elle a préparé la sacro-sainte « kémia », mélange de charcuteries diverses, d'olives pimentées et autres « mendiants » disposés dans des soucoupes. Cela donne soif et donc incite à boire un peu plus. Et si j'en juge par des apéritifs précédents, cela a le don de mettre Eveline dans un état euphorique et primesautier, qui lui fait faire des choses que je trouve étranges. Un peu comme ma Maud quand elle est en chaleur, et qu'elle me fait des avances au cours desquelles elle sort complètement de cette réserve qui fait tout le charme qui m'a fait craquer.
J'attends donc avec impatience de voir quel va être son comportement après deux ou trois verres. Peut-être va-t-elle hâter le moment où elle va réaliser le rêve de Samantha et Robert plus tôt qu'ils ne l'espéraient ? Je suis pressé de voir ça et en même temps, j'aimerais que cela n'arrive pas trop vite car, ainsi Maud et moi pouvons rester ensemble plus longtemps. Quand je pense qu'il n'y a même pas une semaine que Maud et moi avons mis au point notre stratagème pour qu’Eveline fasse amie avec Robert et Samantha pour que nous soyons ensemble plus souvent, s'il aboutit ce soir, nous serons les plus heureux chiens amoureux du monde.
Les verres sont vides, Robert s'octroie le titre de chef de meute. Oh ! Voulez-vous bien me pardonner ce terme, j'oubliai que je dois parler humain. Robert donc s'octroie le titre de maître de cérémonie et remplit à nouveau les verres. Eveline, en grande conversation avec Samantha, n'a pas réalisé le geste de Robert et s'empare de son verre pour absorber une gorgée. Après la troisième, son comportement change légèrement. Ses rires se font plus fréquents et plus sonores et pas toujours justifiés. De plus elle semble souffrir de la chaleur car elle déboutonne son chemisier ce qui permet à ses invités de pouvoir admirer sa poitrine.
Samantha et Robert se regardent et se font un sourire entendu. Eveline ne remarque rien, elle commence à être grise. Sa demi-conscience lui permet de se retenir, car quand elle est dans cet état elle se caresse la poitrine avec insistance. Tout en parlant avec ses invités elle déshabille Samantha du regard. Cette femme est très jolie et Eveline la trouve à son goût au point que ses yeux la fixent sans cesse et Samantha s'en rend compte, le rose lui monte aux joues. Je sais que cela l'émeut plus qu'elle ne veut le laisser paraître, car je sens une odeur épicée qui émane d'elle, différente de celle d'Eveline mais toute aussi excitante.
J'ai dû être humain dans une vie antérieure pour être aussi sensible aux effluves de vos femelles. Maud me regarde d'un œil coquin pour me faire comprendre qu'elle a bien deviné elle aussi ce qui se passe en moi.
Eveline est assise entre Samantha et Robert et chaque fois qu'elle se penche pour saisir le ravier d'amuse-gueule, elle pose sa main sur la cuisse de Samantha. Celle-ci au bout de quelques gestes de cette sorte, retient la main d'Eveline gentiment, les deux femmes se regardent un instant, les yeux dans les yeux, sans mot dire, puis alors que ses lèvres esquissent un sourire coquin, Samantha fait remonter la main de son amie lentement, très lentement jusqu'à ce qu'elle disparaisse sous sa jupe, puis elle relâche sa prise laissant à Eveline le soin de faire ce qu'elle veut. Les vapeurs du whisky effacent un instant sa timidité, elle laisse sa main remonter discrètement un peu plus haut pour atteindre l'entrejambe de Samantha.
Mais un reste de lucidité ajouté à sa réserve naturelle permet à Eveline de retenir son geste et, reculant un peu, rectifie sa position et tire un peu sur sa jupe qu'elle trouve trop remontée. Samantha est légèrement déçue mais n'y laisse rien paraître, elle sait qu'en insistant un peu, elle réussira à créer une brèche dans cette muraille derrière laquelle se réfugie Eveline. Celle-ci, pour se donner une contenance, tend les raviers d'amuse-gueule à ses hôtes. Robert accepte volontiers et prend une poignée de cacahuètes, sa femme, elle, prend délicatement deux noix de cajou, et déguste le champagne qui emplit sa flute. Et la conversation reprend sur un mode banal. Ces trois humains semblent avoir quelques atomes crochus et mon puissant odorat de chien d'élite (et je vous interdis de vous gausser) vous le confirme car émanent de leurs corps des odeurs de rut assez intenses.
Quand je pense que vous vous prenez pour la race animale supérieure sous prétexte que vous vous déplacez sur vos pattes arrières. Franchement, pôv' zumains que vous êtes !!! La station debout devrait vous permettre de voir loin alors qu’une fois passé le bout de votre truffe, pardon, de votre nez voulais-je dire, il semble que ce soit le grand vide. Pourquoi vous embarrassez-vous de contingences idiotes. Vous n'avez aucune idée du calvaire que nous les chiens mâles subissons. C'est que comme vous nous avons toujours envie de faire l'amour alors que nos femelles n'ont leurs chaleurs que quelques jours par an. Alors, croyez-moi, profitez de cet avantage énorme qui vous permet de faire des câlins quand vous le voulez.
La soirée se passa ainsi avec des rires de plus en plus forts et qui se déclenchaient pour trois fois rien, conséquences de l'alcool absorbé. Décidément, vous allez dire que c'est une obsession chez moi, mais je n'arriverai jamais à comprendre pourquoi il vous faut absolument le secours d'éléments extérieurs pour que vous éprouviez de la joie ou du plaisir. Mais bon puisque cela fait partie de vous, il faudra bien que je m'y fasse, n'est-ce pas? La nuit est bien avancée quand Samantha et Robert décident de prendre congé. Ils ont l'air un peu éméché.
Eveline n'est pas en reste qui chancelle légèrement en raccompagnant ses nouveaux amis à la porte. Avant que la porte se referme sur elle Samantha dit à Eveline après l'avoir embrassée
« Eveline, ma chérie, il faut absolument que tu viennes passer une soirée chez nous. N'est-ce pas Bob chéri ? »
Celui-ci enchérit en ajoutant :
« Ah! Oui, j'y tiens beaucoup. Disons Vendredi prochain, entendu ? Nous comptons sur toi, nous te trouvons plus que très charmante et nous aimerions beaucoup que cette soirée soit TA soirée !! »
Eveline accepte avec joie cette invitation spontanée, car elle a beaucoup apprécié ses voisins elle aussi, et le leur dit. Elle referme la porte et revient vers le salon. Elle n'est toujours pas très stable sur ses jambes et demande de l'aide aux murs et aux meubles pour se rendre jusqu'au canapé où elle s'affale avec gourmandise. Il a encore l'empreinte et l'odeur de Samantha et Robert. Elle se débarrasse de son chemisier et caresse sa poitrine en chantonnant. Elle tourne sa tête vers moi et me fait signe de la main. Je me hâte de lui obéir car je l'aime beaucoup et je vais avoir droit à quelques caresses.
Il faut que vous sachiez que je suis pour Eveline une sorte d'exutoire. Elle aime caresser mon poil ras et soyeux. C'est pour elle un remède miracle. Il lui sert à apaiser ses tristesses quand elle en a et à calmer ses envies de câlins quand elle est seule. La douceur de mon pelage semble la panacée pour elle. Je dois vous avouer aussi que j'adore quand elle me caresse. Ses mains sont longues et fines et elles parcourent mon corps avec douceur et presque de la sensualité. C'est bien simple, si j'étais chat, je ronronnerais de plaisir.
Nous sommes restés ainsi un très long moment à nous régaler de câlins gentillets puis dégrisée et somnolente Eveline s'est levée pour gagner sa chambre où pour une fois faisant fi de sa manie du rangement, elle se dévêtit et éparpilla string, minijupe et escarpins à travers la pièce et se jeta sur son grand lit pour s'endormir d'un seul coup d'un sommeil de plomb. Elle en oublia même de fermer portes et fenêtres. Heureusement que je suis là pour veiller au grain moi. Je vais dormir d'un œil en pensant à ma Maud et à nos amours, cela m'aidera dans ma garde.
A suivre !
- Commentaires textes : Écrire
Mes aventures avec Diane ma coquine
Pour une brève rencontre.
Depuis quelques temps, pendant mes heures d’insomnies, je draguais sur la toile à la recherche d’une bonne fortune, partenaire pour un soir ou plus, rien que pour des jeux sexuels.
Cette nuit-là, j’ai découvert une belle femme d’environ 33 ans, blonde comme les blés murs, avec une jolie poitrine que son chemisier en soie et son soutien gorge avaient bien du mal à dissimuler, une taille fine s’évasant sur des hanches larges : Toi ma belle Diane. J’ai tout de suite été conquis par tes yeux rieurs, ton nez mutin et tes lèvres pulpeuses bien dessinées.
Après avoir conversé à de nombreuses reprises par cet intermédiaire et échangé des photos et une lettre dans laquelle je te parle de ma première maitresse, aujourd’hui nous avons rendez vous pour un 5 à 7 coquin.
Je frappe à ta porte et tu viens m’ouvrir dans ton déshabillé rouge avec les petits nœuds noirs que tu portes sur une des photos que tu m’as fait parvenir. Je te prends dans mes bras et je baise tes belles lèvres et nos langues se mélangent. Rapidement tu me fais entrer et tu refermes la porte. Tu me guides vers ta chambre où le lit nous tend les bras. Tu sais ce que je suis venu chercher ! Nous en avons parlé souvent.
Tu commences à me dévêtir et tout en te caressant j’en fais autant avec tes vêtements : c’est plus rapide car j’ai vite fait de t’enlever ton body et découvrir TIC et TAC (tes deux beaux seins comme tu les as nommés) dont j’agace les bouts en les suçant et en les mordillant.
Ensuite je fais glisser ton string et découvre BOULE et BILL (tes deux globes fessiers) que je flatte à leur tour. Pendant ce temps mon sexe a commencé à se dresser et tu le caresses d’abord de tes mains et en t’allongeant sur le lit tu m’attires sur toi et enserres ma bite entre tes deux beaux seins. Le va-et-vient que tu fais subir à ma bite a vite fait de la durcir et lorsqu’elle est à ton goût tu me guides pour pénétrer ta chatte. Tu es bien excitée et ta mouille abondante facilite ma pénétration.
Au bout de quelques temps, tu me repousses pour te mettre en levrette et m’offrir la vue de ta croupe cambrée pour que je te prenne la chatte comme une chienne dans cette position. Nous sommes très excités tous les deux et je te baise avec force. Tu gémis de plaisir et tu me demandes de te sodomiser !
Je n’en attendais pas tant! Tu devais savoir ce que tu allais m’offrir car ton petit anus était plein de gel lubrifiant ! « Oh ma belle coquine ! Tu aimes te faire sodomiser ! » Après t’avoir fait jouir très fort et fait jaillir ta fontaine c’est à mon tour d’inonder ton dos de mon sperme. Tu viens en chercher une partie entre tes doigts et tu le goûtes ! Nous nous écroulons côte à côte pour reprendre nos esprits et souffler un peu car l’assaut a été rude !
Après quelques temps de repos, je repars à l’assaut en te caressant à nouveau et là c’est une étreinte pleine de douceur qui nous unit jusqu’à la jouissance finale qui pour moi est assez longue à venir tellement je t’ai donné la première fois.
Nous rhabillons et nous bavardons un peu. Cela est agréable de pouvoir échanger ainsi de vve voix. Malheureusement nous sommes obligés de nous quitter car tu as un rendez-vous imprévu à honorer en soirée. Nous convenons de nous retrouver à l’hôtel lors de mon prochain passage à Paris pour plus de discrétion.
Nuit de folie à l'hôtel.
ELLE : Cette escapade à l’hôtel tombe à pic. Mon copain Hervé est absent pour plusieurs jours. Je suis arrivée en avance et, après être passée par la chambre que tu as réservée, je t’attends au bar où tu m’as donné rendez-vous.
J’ai mis, pour cette occasion que tu m’offres, cette robe fourreau moulante et fendue sur les cotés que j’aime porter lorsque je vais à un rendez-vous galant. Je suis excitée à l’idée de ce qui m’attend, et le simple frottement de mes cuisses gainées de mes bas de soie révolutionne ma libido. J’ai envie de toi, mon cœur.
Le souvenir me revient de ta queue gonflée dans mon cul bien offert lors de notre dernière rencontre chez moi. Te rappelles-tu ? Je t’ai préparé une surprise aujourd’hui, apprêtée, parfumée, féminine au possible, bien sur. Mais aussi, pour être prête quand tu soulèveras ma robe et caresseras mes fesses rebondies, j’ai introduit un Plug dans mon derrière, de manière à préparer mon petit trou à une intrusion directe. Humm ! Rien qu’en roulant du cul, je mouille déjà.
LUI : Nous quittons le bar et nous nous dirigeons vers les ascenseurs. Hélas, trois fois hélas, nous ne sommes pas seuls dans cet ascenseur qui nous emmène au 6ème étage de cet hôtel du 13ème arrondissement que tu sembles bien connaître aussi !
Tu me précèdes dans le couloir qui conduit à la chambre qui va nous accueillir pour une escapade amoureuse. Coquine, tu roules de hanches pour m’exciter par leur mouvement lascif. Nous entrons dans la chambre et je découvre avec délices le lit immense, pas très haut, qui, d’une certaine manière nous tend les bras.
Nous pouvons enfin nous enlacer et rien que de repenser aux derniers ébats dans ta chambre il y a bientôt quinze jours, j’ai déjà la bite qui se manifeste dans mon slip. J’ôte ton boléro de fourrure qui cache tes épaules et tes bras. Je découvre le profond décolleté que j’imaginais en voyant la partie basse de ta robe noire fendue jusqu’à mi-cuisse. Je salue TIC et TAC comme il se doit en les caressant de mes mains, en les pétrissant comme tu sais si bien le faire lorsque je te vois à l’écran pour me les présenter et m’exciter. Au travers du tissu, je sens les pointes qui durcissent. Je fais glisser les bretelles de ta robe et je vais poser mes lèvres sur tes tétons qui sont bandés très fort.
Pendant ce temps, ta main droite agile part en reconnaissance à la hauteur de ma ceinture que tu défais et ouvrant ma braguette, tu commences à masser ma bite et mes couilles par dessus le slip.
LA TENSION MONTE ! Pour te faciliter la tâche, je me défais de mes chaussures et de mon pantalon et, n’ayant plus sur moi que ma chemise et mon slip, je fais glisser ta robe en la passant par dessus tes épaules. Au passage, je continue de caresser TIC et TAC. Nos vêtements sont jetés n’importe où dans la chambre et tu ne portes plus qu’un mini string noir en dentelle sur le devant mais se réduisant à un simple cordon ensuite.
Mes derniers vêtements volent à leur tour et, c’est entièrement nu et le sexe dressé que je te conduis vers le lit sur lequel nous continuons de nous caresser pour achever de nous exciter et de nous placer dans la meilleure situation pour faire l’amour. Je fais glisser ton string ou plutôt je te l’arrache pour pouvoir t’enfourcher mais, d’un mouvement de tout ton corps, tu te mets sur le ventre et me présente ta face arrière où une fois encore, j’admire la courbure de tes hanches et la cambrure de tes reins avec ces deux belles petites fossettes.
Je flatte ta croupe de mes mains et je ne tarde pas à découvrir la surprise qui m’attend entre tes jolies fesses ! UN PLUG en latex transparent ! Humm avec quels délices je le fais aller et venir dans ton petit trou. Je découvre ainsi la surprise que tu m’as réservée et là, je comprends mieux ces mouvements des hanches dans le couloir de l’hôtel étaient destinés à bien t’exciter aussi avec la présence de ce Plug dans ton petit trou !
Tu ronronnes comme une chatte et au bout de quelques minutes tu te relèves pour te mettre en levrette. Que j’aime cette position dans laquelle toute l’animalité de l’Homme se révèle ! Derrière toi je sors une dernière fois le Plug et j’introduis mon sexe prêt à exploser dans ton joli derrière.
Que tu es ouverte et mouillée ! J’imagine que tout comme moi, tu t’étais fait un scénario avant de nous retrouver au bar de l’hôtel. Te tenant par la taille, je vais et viens dans ce fourreau brûlant et accueillant. Tu aimes çà ma jolie Diane et j’en profite.
Notre excitation est si vive que pour l’un et l’autre la jouissance ne tarde pas. Pendant que tu exprimes ton bonheur un spasme me traverse les reins et je déverse mon sperme dans ton fourreau. Je suis quelque peu essoufflé de cet assaut et restant fiché en toi nous basculons sur le côté pour récupérer un peu !
QUE CET ASSAUT A ÉTÉ RUDE ! Après quelques minutes tu te dégages et nous nous mettons en 69. Tout en massant mes couilles tu prends mon sexe dans ta bouche et commences une lente et savante caresse alors que de mon côté, je pars explorer de mes doigts ta jolie fente bien lisse et légèrement parfumée où je déguste ta mouille qui ruisselle.
J’introduis quatre doigts et je te fiste un peu. J’ai les doigts pleins de ton sirop d’amour. Tu ne cherches pas à me faire éjaculer dans ta bouche mais après quelques temps tu te dégages et, alors que je suis toujours sur le dos, tu viens t’empaler sur ma bite dressée. Tu me fais face et je peux tout à loisir pétrir tes jolis globes et en titiller les bouts.
De ton côté tu roules des hanches pour bien me sentir en toi ! Quelle sensation divine ! Avec tes muscles intimes tu exerces des petites pressions sur ma bite fichée au plus profond de toi et je sens à nouveau la sève d’amour monter vers toi! La jouissance ne vient pas tout de suite car je la retarde le plus possible pour que l’un et l’autre nous profitions bien de ces heures de folie amoureuse que nous nous offrons.
Alors qu’après t’avoir donné une première jouissance dans cette position, tout en étant encore empalée tu te retournes et tu me présentes une nouvelle fois ton dos. Je te prends par la taille et tu commences un lent mouvement de bas en haut en veillant à ne pas faire sortir ma bite de ta chatte. La vision de tes reins, de tes fesses fendues qui s’écrasent sur moi, ton œillet qui apparaît quelques fois ont vite fait d’achever de m’exciter et pour la seconde fois en cet après midi je me vide en toi.
ELLE : Oh mon amour ! Comme j’ai aimé te chevaucher en te montrant mon cul ! J’ai vraiment senti ta queue au fond de moi. Humm ta giclée alors à déclenché chez moi une jouissance extrême, profonde, puissante. Nous sommes tombés sur le coté, emboîtes comme des Lego et pour un instant, nous sommes restés là, haletants !
Et alors que je ne suis pas capable encore de décrire l’état d’abandon total dans lequel je me trouve, je sens tes bras autour de moi, comme une protection délicieuse. Je sens ton souffle, encore court, dans mon cou, et je déguste cette tendresse attentionnée avec volupté. Je me sens si décontractée que je ne dis mot, alors même que je sens ton corps contre le mien, je voudrais que cet instant dure éternellement. Je t’entends alors me chuchoter quelques mots dans l’oreille : « Humm coquine, tu m’as bien fait jouir. Merci mon amour. »
Incapable de sortir un mot, je ne peux que ronronner comme une chatte comblée. Je crois que nous avons dormi ensuite. Parce que là je me réveille. Nous sommes toujours en cuillère. Étroitement enlacés, emboités tant et si bien qu’une raideur entre mes fesses me fait penser que tu es réveillé toi aussi. Je ne bouge pas, juste je goûte cette délicieuse tension de ton sexe contre mes fesses.
Au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus, et commence une douce ondulation de mon corps pour bien caler cette raideur entre mes fesses et puis aussi apporter quelque chose à cette action délicieuse ! Je t’appelle « Mon amour ? » pas de réponse. Mon dieu tu dors encore ! Et pourtant tu bandes déjà comme un taureau. Doucement je me dégage de tes bras et me retourne face à toi. Je coule sous les draps et saisis dans ma bouche ce gland déjà dur. Je le caresse de ma langue, je le vois réagir, se durcir encore, rosir. Humm. Tu bouges un peu alors comme pour m’offrir un meilleur angle. Je retiens mon souffle et ne dis mot.
Mais heureusement, tu dors encore. Cette situation m’excite à fond… Je commence alors doucement à enfourner ce gland dans ma bouche baveuse et, ce faisant, je relève les yeux une seconde pour voir ton visage. Oh tu avais, je crois bien, les yeux ouverts ! Coquin de toi ! Je crois que tu faisais semblant de dormir ! Humm ta coquinerie m’excite encore d’avantage, d’autant que tu bandes à fond désormais !
LUI : Oui je dormais encore à moitié lorsque tu t’es glissée sous le drap pour entamer cette douce fellation, mais ta caresse a achevé de me réveiller et pour mieux la savourer, j’ai gardé les yeux fermés. Quand ta tête toute ébouriffée a émergé de sous le drap, je t’ai souri et esquissant un baiser de mes lèvres entrouvertes.
Quelle douceur et quel bonheur ! Tu remontes vers moi. Au passage, tu t’arranges pour que TIC et TAC viennent se placer de chaque côté de ma bite et tu entreprends un rapide va-et-vient qui achève de me faire bander. Puis ton visage arrive à hauteur du mien. Nous échangeons de doux baisers.
Blottie contre moi, je caresse ta nuque, mes doigts fourragent dans ta longue chevelure blonde et caressent aussi le creux entre tes épaules. Je laisse ma main droite courir le long de ton dos et je sens que tu frissonnes et tressailles de bonheur sous cette douce caresse. Tu ondules sur moi. Je sens mon sexe prisonnier entre tes cuisses, tu l’enserres et par un mouvement savant tu continues de me masturber. Je sens ta mouille qui s’écoule lentement de ta grotte d’amour. Nous savourons tous les deux ces doux moments qui suivent une bonne séance de baise mais qui en annoncent une autre.
J’ai très envie de toi mais je ne sais pas si je tiendrai la distance ! Oulla ! Que tu es gourmande ! Tu en veux encore ! Je ne sais si je pourrai te satisfaire une troisième fois en si peu d temps!
Mais oui ! Basculant sur le côté tu te mets de dos face à moi ! J’ai compris ! Tu veux une cuillère ! Une étreinte douce et lente ! D’accord, cela me convient tout à fait. Je me colle à toi. Tu ouvres légèrement le ciseau de tes cuisses pour que je puisse te posséder ainsi. Je sens les globes de tes fesses se loger contre mon bas ventre de part et d’autre de mon sexe qui pénètre en toi pour la troisième fois au cours de cet après midi déjà bien avancé puisque l’obscurité à gagné le ciel. Pendant mon va-et-vient, je peux d’une main caresser TIC et TAC, ces généreuses merveilles qui ornent ta poitrine ou aussi la passer dans tes cheveux. Nous échangeons de mots tendres. Que je suis bien, toute mon attention tournée vers un seul but : te rendre le bonheur que tu me donnes. Et tu apprécies…
Comme je m’y attendais ma jouissance est longue à venir mais la chaleur torride de ta grotte d’amour maintient mon érection au plus haut et une première fois tu exhales ton bonheur. Je continue mes mouvements, je sens tes muscles intimes exercer des douces pressions autour de mon sexe. Tu ondules de la taille. Brusquement, je sens que je vais venir. Tu dois le sentir aussi et c’est dans une jouissance partagée que ma sève s’écoule en toi.
C’est à ce moment que je réalise que nous n’avons pris aucune précaution ni parlé de quoique ce soit dans ce domaine ! Je te le dis au creux de l’oreille ! « Ne t’inquiète pas ! Tu dois bien te douter qu’avec la vie de libertine qui est la mienne, je fais ce qu’il faut. De plus j’ai confiance en toi ! ». Et nous sombrons dans un sommeil réparateur.
Vers vingt-deux heures, nous nous réveillons !
« J’ai faim ! » me dis-tu.
Je commande un en-cas au service d’étage et après l’avoir dégusté en bavardant, nous nous glissons dans les draps. Il n’est plus question de bagatelle. Nous devons nous reposer. Demain est un autre jour mais hélas, nous ne le partagerons pas. Nous avons nos occupations.
LUI : La nuit a été paisible et lorsque nous nous réveillons nous sommes dans la même position que la veille. Tu es lovée entre mes bras, tes fesses contre mon bas ventre et mon sexe logé entre tes globes fessiers. Que c’est bon et merveilleux d’avoir passé cette nuit ensemble, d’avoir partagé ce doux moment d’intimité d’un sommeil commun.
Cela ne m’étais pas arrivé depuis longtemps car depuis quelques années, je n’ai connu que de brèves étreintes avec des partenaires d’un après midi et nous nous séparions sans nous engager avec un rendez-vous ou même un échange de téléphone. Là nous en sommes à notre seconde rencontre et je te dis au creux de l’oreille « Diane ma douce, que c’est bon d’être avec toi ! J’aime te faire l’amour à la fois pour mon plaisir mais aussi pour t’en donner beaucoup. »
Tu me remercies en te tournant vers moi. Je peux voir dans tes yeux que ce bonheur est partagé. Je ne sais comment est mon visage mais Oulla ! Que tes yeux sont cernés ! Familièrement je t’en fais la remarque.
Face à moi dans le lit dévasté par nos étreintes de la veille tu entreprends un lent mouvement de tout ton corps. Tic et Tac sont écrasés contre mon torse alors que ton bassin ondule contre le mien et tes jambes se mêlent aux miennes. Cette savante caresse réveille ma libido et mon sexe commence à se redresser. Une fois encore tu descends vers lui. Au passage tu loges encore une fois ma bite entre Tic et Tac et après quelques va-et-vient, tu finis par gober mon gland avec tes lèvres. Lorsque mon sexe est à ton goût tu te mets en levrette en me disant : «Viens, baise moi une dernière fois ».
C’est vrai que lors de notre première rencontre je t’avais déjà prise dans cette position mais après quelques secondes tu m’avais demandé de te prendre ton petit trou (comme tu dis). Je me place derrière toi. J’admire encore une fois la courbe de tes hanches et la cambrure de tes reins. Je m’enfonce dans ta grotte d’amour humide à souhait.
Nous accordons nos mouvements. Chaque fois que j’arrive au fond de ta chatte, je sens tes muscles intimes qui pressent mon gland. Que c’est bon ! Tellement bon que je sens ma jouissance arriver. Tu dois le sentir aussi car encore une fois nous sommes emportés en même temps par le plaisir. Je suis un peu essoufflé ! Oh que c’est bon ! Nous nous désunissons.
Pendant que tu pars vers la salle de bains, je commande un copieux petit déjeuner au service d’étage. Il arrive au moment où, resplendissante tu sors de la salle de bain. Coquine ! Tu avais prévu une tenue de rechange ! Là tu ressemble à une femme d’affaires : tailleur strict, chemisier opaque, etc. Tu n’as plus rien de la « femme fatale » qui m’attendait au bar hier en milieu d’après midi.
Nous prenons notre petit déjeuner assez rapidement car tu as un rendez vous en fin de matinée pour ton boulot. De mon côté, je dois récupérer ma voiture dans un parking proche afin de regagner ma lointaine province. Tu me quittes dans le hall de l’hôtel pour prendre un taxi. Après avoir réglé la note, je pars à pieds vers le parking. Tout en marchant, je savoure les sensations qui sont encore très présentes (un peu de fatigue aussi ?).
Quel bonheur d’avoir pu échanger nos coordonnées et mis sur pied notre première rencontre il y a quelques semaines à l’insu d’Hervé. L’hôtel est plus discret pour toi. Tes voisins curieux ne peuvent pas savoir que tu as un coquin en ce moment.
A bientôt ma belle Diane !
ELLE (Diane) : Je t’ai quitté l’esprit encore tout occupé par le souvenir de nos ébats. Humm ! Mais il me faut absolument revenir à la réalité du moment : j’ai ce matin un rendez vous professionnel important et je dois me concentrer pour ne pas rater l’affaire.
A vrai dire, j’ai bien du mal. Mon esprit se disperse et j’ai sans arrêt des images très excitantes de nos corps unis dans l’émotion qui me reviennent à l’esprit.
Mon dieu ! Diane, concentre-toi un peu ! C’est donc un peu inquiète et fébrile que j’arrive à mon rendez vous. Je vérifie rapidement dans l’ascenseur mon rouge et la mèche de mon chignon. J’ai l’impression que mon plaisir se voit encore sur mon visage. Allez, Diane, concentre-toi !
Je suis accueillie par la secrétaire qui m’annonce et me voilà dans le bureau de mon interlocuteur. Une bonne inspiration, et je me lance ! Je guette discrètement ses réactions au fil de l’exposé de mon projet. Je le vois sourire, écouter, acquiescer de façon régulière. Plutôt bon signe, je prends confiance et termine mon laïus avec plus d’assurance que je ne l’ai commencé. Bref, mon projet est accepté, et il me fait même ce petit commentaire qui me trouble encore … « Comment refuser quoi que ce soit à une femme si brillamment épanouie ? »
En tout cas je comprends bien le message. Loin d’être un problème, la trace indélébile de nos plaisirs charnels est juste un avantage pour moi dans ces moments importants. Je garde ça en tête, c’est promis !
En m’éloignant de la société, je laisse mon esprit réinvestir totalement le souvenir de notre nuit délicieuse. Je souris sans même m’en rendre compte. J’attrape mon téléphone. Je veux te laisser un message : « À quand notre prochain rendez vous ? »
Voyons … je veux trouver un endroit chaud, délicat, sensuel, qui sera digne de nos ébats. Humm. Je vais trouver ça ! Peut être à la mer ? Oh oui, une escapade à Deauville. Ce n’est pas l’été encore, mais la mer est belle en cette période et la ville calme, j’aime bien Deauville hors saison. Je vais préparer un petit week-end, qui, je l’espère te tentera…
A suivre...
Gérard le Matou
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D'après vos écrits j'en conclue que l'échangisme vous a plus