Les Mémoires très Libertines de Sophie
Ah ! Ces humains... partie 3
Chapitre V
Ève et Sam, ravies mais fatiguées, yeux brillants et corps apaisé s'allongent à nouveau sur la pelouse l'une contre l’autre, elles fixent Bob avec un grand sourire. Celui-ci les regardent l'air éperdument amoureux, sa queue ne réagit pas beaucoup, il a visiblement encore besoin de repos. Il s'approche des deux femmes et tente de s'allonger entre elles, mais impossible, elles ne veulent pas du tout se séparer. Bon prince il fait contre mauvaise fortune bon cœur et s'assoie sur un transat en face d'elles.
C'est Sam qui prend la parole pour justifier qu'elles ne voulaient pas de lui entre elles deux. Non pas qu'il soit nécessaire de se faire pardonner quoi que ce soit, mais bien plutôt pour faire un aveu à son mari.
« Bob mon amour je crois que Ève et moi sommes amoureuses l'une de l'autre.
- Oh ! Oui dit Ève, c'est un véritable coup de foudre, je ne pourrais plus me passer de Sam tu sais…. »
Bob est très surpris de cet aveu et après un temps de silence pose la seule question qu'il lui fallait poser :
« Et...Et m...moi je deviens quoi dans cette histoire ? Vous me jetez à la rue ?
- Mais non, grand imbécile, tu es mon mari, mon chéri, je t'aime et je veux vivre avec toi. Avec Ève c'est quelque chose de spécial qui nous est tombé dessus. Ève tient une place importante dans ma vie désormais. Nous ferons l'amour très souvent toutes les deux et de temps en temps, elle partagera notre lit si tu veux car je sais qu'elle te plait beaucoup aussi.
- Alors, vu comme ça, je suis d'accord avec vous deux. Ève chérie, bienvenue dans nos bras ! »
Maud et moi avons assisté à ce spectacle étonnant. Pensez donc, ce n'est pas donné à tous les chiens de voir des humains consacrer une union à 3 personnes dans la joie et l'érotisme le plus complet. Quand Maud et moi avons décidé de faire quelque chose pour qu’Eveline fréquente plus souvent d'autres personnes et en particulier Sam et Bob jamais nous n'aurions pensé une réussite aussi insolite. Bon, je sais que vous allez me rappeler que la vrai raison de mes gentilles manigances est mon grand amour pour Maud, mais je pensais aussi à ma chère Ève, mon adorable maîtresse.
Eve se releva et rentra dans la maison. Sam et Bob la regardèrent marcher.
Elle était vraiment très belle ainsi nue, sa démarche souple et féline, le mouvement harmonieux de ses hanches dégageaient un érotisme fabuleux. A ce spectacle leurs yeux brillaient et Bob se mit à bander à nouveau. Sam la héla dune voix joyeuse :
« Ma chérie revient vite, tu fais bander Bob, il a envie de te sauter !
- Je reviens mon amour, je vais chercher de quoi boire pour fêter notre union à trois !!! »
En effet ; elle revient très vite, dans ses mains un plateau sur lequel on peut voir une bouteille de champagne et trois flutes. Un grand sourire éclaire son joli visage. Arrivée à hauteur de ses amis, tournant le dos à Bob, elle se penche très souplement pour poser le plateau à terre, ainsi son cul est à hauteur des yeux de Bob qui siffle d'admiration devant ce spectacle.
Ève prolonge son attitude provocante en restant penchée, ses mains libérées du plateau se portent à ses fesses qu'elle écarte pour lui faire admirer son petit trou. Bob s'approche d'Ève et lèche goulument le sillon qu'on lui offre. Elle frétille et glousse de plaisir. Voyant cela Bob remplace sa langue par ses doigts pour pénétrer dans le ventre de sa presque deuxième épouse.
Eve se laisse faire un moment. Ses mouvements du bassin disent à Bob tout le bien qu'il lui fait. Sam se redresse un peu et embrasse sa chérie à pleine bouche. Mais Ève se dégage et d'une voix enjouée elle dit qu'il faut absolument déguster le champagne tant qu'il est à bonne température. A-t-elle raison? Je l'ignorerai toujours car je ne bois que de l'eau et quelques jus de fruits ou sauces. Mais j'aime ma jolie maîtresse alors je lui fais confiance. D'ailleurs, Sam et Bob ne trouvent rien à redire c'est donc qu'elle a raison.
Les trois amants dégustent leur boisson avec de grands rires et quelques attouchements qui fait monter la température dans leurs corps. Mon nez et celui de Maud sont à la fête car ces drôles d'humains exhalent des odeurs...euh...comment dites-vous déjà ? Ah oui! Aphrodisiaques. Si vous qui me lisez ne me croyez, pas essayez de jouer avec votre chien un jour où vous êtes en chaleur et regardez entre ses jambes, vous verrez que son sexe se met vite à pointer hors de son fourreau. Alors ; faites attention à ce que vous faites, nous avons du mal à résister, nous ne sommes que des chiens après tout.
Eve est plus chaude que ses deux amis, je le sens. Les doigts de Bob l'ont particulièrement excitée. Lui vient alors une idée, elle se couche sur le dos, les fesses bien relevées, elle écarte ses jambes et demande à Sam de remplir sa chatte avec un peu de champagne et de boire. Sam ne se fait pas prier, elle verse du champagne dans cette coupe de chair. Bob et elles se battent presque (et gentiment) pour boire. Les bulles du champagne et les lèvres de ses amis semblent rendre folle Ève qui n'arrête pas de soupirer et de gémir de plus en plus fort. Jusqu'au moment où elle n'en peut plus et hurle presque :
« Ouiiiii !!! vite!!! Oui!! Bob encule moi !!! J'en peux plus là!!! J'ai trop envie. Mets-la-moi à fond !!! »
Bob ne se le fait pas dire deux fois, il se relève un instant et va dans le sac de sa femme prendre un drôle de truc souple et transparent qu'il met sur son sexe. Bizarre cette habitude que vous avez vous les humains de faire ça. Bob la queue grosse, bien droite et revêtue de ce truc bizarre se dirige vers Ève qui s'est mise à quatre pattes comme Maud et Bob entre en elle, sans précaution, il semble ne rencontrer aucune résistance, Eve pousse un grognement de joie. Bob s'agite en elle, moins rapidement que moi avec Maud, il varie ses mouvements, sort complètement du cul d'Ève pour y rentrer à nouveau très vite pour le plus grand plaisir de ma jolie maîtresse. Sam assiste à ce spectacle en les encourageant de la voix avec des mots si orduriers que je n'ose même pas répéter ici.
Puis elle se couche sur le dos sous Ève et lèche sa chatte et les couilles de Bob en même temps. Maud me regarde, je lis dans ses yeux qu'elle envie le plaisir que prennent ainsi nos humains. Je suis comme elle, nous sommes excités nous aussi alors je m'approche d'elle et la pénètre. Il aurait fallu une caméra pour filmer ce show formidable où nous mâles, humains et canins, sommes en train de saillir nos femelles. Sorte d'œcuménisme inter-espèces sans contact entre elles.
Une queue dans ses fesses, une langue qui lui dévore la chatte, Eve est aux anges et le fait savoir haut et fort. Elle crie si fort son plaisir que tous les gens du quartier doivent maintenant savoir que Eveline, cette jolie jeune femme si réservée est en train de s'envoyer en l'air. Et le fait est que les jours que suivirent celui-ci les gens qui la croisaient la saluait et la regardait avec dans les yeux un drôle de sourire et une sorte de bienveillance pour cette femme qui n'hésitait pas à dire au monde qu'elle aimait aimer.
Cette sodomie, première d'une longue série, dura un temps assez long à mes yeux. Moi chien je n'aime pas ma Maud aussi longtemps que Bob le fait avec Eve. Il lui faut plus longtemps que moi pour récupérer bien sûr, mais il donne plaisir à sa femelle plus longtemps que moi. J' dois avouer que, à ma grande honte, je suis un peu jaloux. C'est homme non ? (Vous dites bien c'est bête vous !?!) Eve, que je découvrais plus que coquine après avoir joui tant et plus grâce à Bob et Sam, déclara avec encore de l'orgasme dans la voix :
« Mes chéris, j'ai pris une décision. A partir d'aujourd’hui, ma chatte sera réservée à Sam mon bel amour... Toi Bob, et les autres hommes que je rencontrerai auront droit uniquement de m'enculer. Vous pourrez me lécher et me doigter la chatte mais seule Sam pourra me pénétrer au gode. Je lui offre ma chatte, elle ne sera que pour elle. »
Cette déclaration spontanée surpris Sam et Bob, et principalement Sam qui ne s'attendait pas à une telle déclaration d'amour. Elle s'approcha d'Eve et la serra dans ses bras et d'une voix toute émue elle lui dit :
« Eve ma chérie, je suis toute troublée par ton aveu. Moi aussi je suis tombée amoureuse de toi dés que nous sommes vus. J'aime Bob et ne le quitterai jamais. Mais je suis d'accord pour que nous fassions une sorte de ménage à trois. Tu m'as offert ta chatte. J'essaierai de ne pas trahir ton amour. Je jouis par avance de m'occuper d'elle, elle est si belle et si chaude.
- Je ne trouve pas mes mots pour vous dire ce que je pense de tout ça mes chéries, dit Bob qui, Visiblement, était troublé lui aussi, mais je ne peux qu'approuver votre décision. Vous êtes ravissantes et coquines, tendres et passionnées. Je sens que nous allons être heureux ensemble. »
Et s'arrogeant le rôle de maître de maison, il remplit à nouveau les verres de champagne pour fêter ces noces inhabituelles. Quand on y réfléchit, depuis quelques instants il était devenu le seul mâle d'une petit tribu de 3 humains, on peut donc comprendre son comportement.
Foi de Fellow, je ne comprendrai jamais comment un liquide peut vous mettre vous les humains dans un tel état. Vous qui prenez toujours des airs importants pour nous faire croire que vous nous êtes supérieurs dés que vous avez bu 2 ou 3 verres, vous devenez tout autres. Vos gestes et vos paroles donnent l'impression que ça ne fonctionne pas bien dans vos têtes. Parfois, comme ici avec Sam, Eve et Bob vous devenez un peu obsédés du sexe.
De les voir faire ça, m'amuse je me sens redevenu jeune chiot. Mais j'avoue qu'en même temps je me sens tout drôle et qu'à mon tour je suis grisé par les effluves de femelles en chaleur qui émanent de Sam et Eve. C'est surtout Eve qui m'émeut le plus. C'est ma maîtresse et je l'aime beaucoup. Souvent, je regrette qu'elle soit humaine. J'aimerais tant la saillir, mais hélas ça ne se fait pas. Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi, vous les humains vous n'aimez pas le faire avec nous.
Je vais vous faire une confidence, dans la forêt voisine au cours d'une promenade avec Eve, j'ai rencontré quelques fois un dogue allemand au poil fauve. Nous avons fini par nous lier d'amitié. Il me confia un jour que régulièrement sa maîtresse voulait se faire saillir par lui. Elle raffolait de ça et mon copain était aux anges, comme vous pouvez l'imaginer. Il faut absolument que j’essaye un jour d'entreprendre Eve, en m'y prenant intelligemment peut-être que j'y arriverai. Hmmm ! Mon rêve.
Mais revenons à mes trois humains. Ils venaient de finir leur bouteille et l'ambiance était de plus en plus folle. Eve se leva soudain laissant Sam et Bob s'embrasser à bouche que veux-tu. Elle se dirigea vers sa chambre en marchant d'une manière étrange, je ne l'avais jamais vue comme ça. C'était comme si la maison tremblait tant Eve titubait. Elle réussit enfin à aller où elle le voulait et en revint avec un gros paquet à la main et un étrange et gourmand sourire aux lèvres. Piquée par la curiosité, Sam avec une voix qui semblait patiner un peu aussi lui demanda :
« Mmmais qu'eeest-ccce que que tuu appoorte lllà ?
- Ccc'est uuunnne ssssurprriiiise, mmma ch chérie ! »
Eve s'assoit prés de Sam, déballe son paquet et montre fièrement à sa chérie un étrange objet. Bruno m'a expliqué que cela s'appelait un gode-ceinture et que ça pouvait remplacer le sexe du mâle. Qu'est-ce que vous allez chercher vous les humains !!! Enfin !!
Sam a un grand sourire qui illumine son visage. Visiblement elle est heureuse de ce qu'elle voit. Elle saute sur Eve, l'enlace et lui prend la bouche. Décidément vous aimez faire ça vous les humains. Bizarre ce comportement Maintenant si ça vous fait plaisir...... Les deux femelles roulent sur la pelouse en s'étreignant un moment. Puis elles se calment et Eve qui semble avoir un peu repris s'écrie en criant presque de joie :
« Ma chérie, nous allons ainsi pouvoir nous faire vraiment l’amour. Tu sais !!!
- Oh !!! Ouiiii !! Comme on va être heureuses maintenant, » lui répond Sam qui prend l'objet en main et le caresse amoureusement.
Bob regarde ses deux femelles d'un œil attendri et excité par le spectacle. Eve attache sur elle le gode-ceinture et demande à Sam de se mettre à 4 pattes et la prend comme je le fais avec Maud. Voilà ces deux femelles en chaleur qui se font l'amour comme si leur vie en dépendait. Sam hurle son plaisir tellement fort que je pense que tout le quartier doit l'entendre. Mais cette idée ne lui traverse même pas l'esprit car elle ajoute une série de mots du genre :
« Eve ! C'est bon !!!! Ouiiiiii Baise-moi à fond ma chérie ! Ouiii plus fort ! Encore !! Encore !! »
Je tairais les autres que je ne comprenais d'ailleurs pas et dont Bruno m'a dit qu'ils étaient très grossiers, aussi je ne les répèterai pas. J'ignore si les oreilles de mon lecteur sont ou ne sont pas chastes.
Leur jeu dura bien longtemps. C'est l'épuisement qui les fit cesser. Elles s’affalèrent sur la pelouse visage béat et en sueur. Le souffle court elles se regardaient un sourire tendre aux lèvres.
« Tu sais Eve, mon amour, j'ai le même à la maison et je m'en sers souvent !
- Tu t'en sers? Mais comment ? Avec qui ???? »
Le silence de Sam qui fixait Bob du regard lui fit soudain penser :
« Quoi ? Tu veux dire que.....?
- Oui, ma chérie t'as tout compris !! Comment on va être heureux tous les trois !!! »
Eve et Sam se tenant par la main, escortées de Bob entrèrent dans la maison pour diner d'un bon repas digne de l'avenir commun qui s'annonçait souriant.
Quant à moi, Fellow, chien boxer, heureux d'être ce que je suis et d'être chez Eveline ma belle maîtresse je songeais au succès que j'allais remporter en racontant tout ça aux copains. Et s'ils essayaient eux aussi de faire avec leur maître ce que Maud et moi avons réussi à faire avec les nôtres ? Nous vivrions alors dans le plus beau coin du monde........................
Wouaah ! Wouah ! Wouaaaah ! (°)
(°) Au revoir merci de m'avoir lu.
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Visite au sex-shop
Grand amateur de tout ce qui touche au sexe, j’ai toujours fréquenté les sex-shops pour y découvrir les dernières nouveautés des films X et des divers gadgets pour pimenter les ébats avec les maîtresses que j’avais la chance de ramener chez moi. Dernièrement, je me trouvais dans le magasin le plus proche de chez moi, où j’ai désormais mes habitudes, car il est bien fourni et le personnel très sympa.
Ce soir-là, la vendeuse me décrivait les avantages des pompes pour agrandir le pénis. Je n’en ai pas spécialement besoin car les dimensions de ma bite me conviennent parfaitement. Mais cela m’amusait de la voir faire son baratin comme si c’était elle qui les utilisait.
Elle a été un peu déçue lorsque je lui ai dit que je n’étais pas acheteur car je n’en avais pas besoin. En riant, je lui ai dit que si moi je n’avais pas besoin de développer ma bite, elle, elle devrait penser à faire développer ses seins.
Anna, petite brunette d’environ un mètre soixante avec des cheveux mi-longs tombant sur les épaules, portait une robe courte très échancrée sur le devant qui, lorsqu’elle se baissait, laissait voir sa poitrine menue aux tétons à peine dessinés. Le dos, maintenu par des bandes de tissu, était encore plus ouvert et laissait apercevoir le haut du sillon fessier. Agée d’une quarantaine d’années, elle avait les yeux qui pétillaient de malice et de lubricité quand elle faisait l’article. Ce devait être une gourmande du sexe, et comme vendeuse, elle semblait être tout à fait à sa place dans ce genre de boutique.
Nous étions seuls dans le magasin et l’heure de la fermeture approchait.
« Pouvez-vous me rendre un service ? Je dois aller dans la réserve chercher un carton mais il est rangé trop haut pour moi. »
« Bien sur ! Ce n’est pas un problème. »
« Demain matin je dois mettre en vitrine divers articles qu’il contient. Il est impossible pour moi de l’atteindre. »
Arrivés au sous-sol, elle s’est dressée sur la pointe des pieds en levant les bras pour me montrer le carton en question.
Waouh quelle vue. Dans cette posture sa robe courte découvrait le pli de ses fesses et je voyais la ficelle de son string. Je n’ai pas su résister à l’invitation et, m’approchant encore plus, j’ai pris ses fesses dans mes mains.
Au lieu de protester, elle s’est laissée faire en frottant ses fesses contre moi. J’avais la bite raide dans mon slip. Elle s’est retournée et, passant ses bras autour de mon cou, elle est venue se mettre à cheval à hauteur de mes hanches. Sa bouche a cherché la mienne et nous nous sommes embrassés comme des furieux, à en perdre le souffle. C’était bien parti.
Un divan nous tendait les bras et comme il fallait sonner pour entrer dans le magasin, nous ne serions pas dérangés. Je suis allé déposer Anna sur le divan et pendant que je me déshabillais, elle a fait glisser son string. Sa chatte rose déjà ouverte était surmontée d’une fine bande de poils noirs drus et bien taillés.
Assise, elle avait la bouche à la hauteur de mon sexe dressé. D’un seul trait elle a avalé ma bite jusqu’à la garde dans une délicieuse gorge profonde agissant uniquement avec sa langue et ses joues pour me pomper. Que c’était bon! J’ai glissé mes mains dans le décolleté de sa robe pour venir agacer ses tétons.
Au bout de quelques minutes, elle a sorti de je ne sais où un préservatif dont elle a déchiré l’emballage. Sortant ma bite de sa bouche, elle a placé la capote sur le bout de mon gland et pour la dérouler, elle m’a repris en bouche après s’être débarrassée de sa robe.
La situation était sans équivoque. Elle n’allait pas se contenter de me tailler une plume. Elle voulait que je la baise. Elle s’est mise en levrette pour me présenter ses fesses. Avant de la pénétrer, j’ai fait quelques va-et-vient à l’orée de sa chatte avant de l’investir lentement jusqu’à ce que mon pubis vienne se coller contre son cul.
Sa grotte d’amour était chaude comme la braise et humide. J’ai commencé à la copuler lentement puis de plus en plus vite.
« Oui, baise-moi bien, me dit-elle. Depuis le temps que tu viens à la boutique, j’en ai envie ! »
Après avoir dit cela, elle a sorti un gode de taille moyenne qui se trouvait sous un coussin et elle l’a pris en bouche en faisant des mouvements alternatifs. Quelle lubricité ! Soudain, notre plaisir (que je retenais pour attendre celui de ma partenaire) a éclaté. Waouh! Quelle jouissance!
Je me suis dégagé de sa gaine. D’elle-même, elle m’a débarrassé du préservatif et, reprenant ma bite en bouche elle a entrepris de la nettoyer. Ce fut plus qu’une toilette. Elle m’a si bien pompé que j’étais à nouveau bandé comme un taureau. Elle me fit allonger sur le divan, la bite dressée. Se mettant en amazone, elle s’encula elle-même en me tournant le dos. Après quelques mouvements de bas en haut, elle se coucha sur mon torse et s’introduisit le gode dans sa chatte.
Levant les yeux au plafond, je découvris dans les miroirs qui le garnissaient le spectacle de nos deux corps. Cette belle était chaude comme la braise. Est-ce le fait de travailler dans un tel endroit qui la rendait si chaude ? Surement et j’en profitais bien.
Au travers de la paroi de sa chatte, je sentais aller et venir le gode et les vibrations. Cela m’excitait encore plus et notre jouissance nous emporta une seconde fois. Nous sommes restés l’un dans l’autre de longues minutes avant qu’elle ne se dégage pour venir se blottir contre moi.
«Tu m’as bien fait jouir ! Effectivement tu n’as pas besoin de développeur ! Ta bite est bonne ! »
Après quelques temps, nous nous sommes rhabillés et nous nous sommes quittés sur le trottoir devant la boutique. Pour le moment, je n’y suis pas encore retourné, mais l’aménagement de l’arrière boutique me laisse penser que le divan doit voir passer pas mal de couples de baiseurs... Tout est à portée de mains, les préservatifs, les godes, les mouchoirs en papier.
Bref un véritable baisodrome !
Gérard le Matou
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Le chien des Brooks - partie 2
Partie 2 - L’Orgie canine
Disposées en étoile, jambes écartées, superbement nues et abandonnées, tête contre tête, nos compagnes s’offraient à nos yeux. Leurs superbes ventres offerts à nos regards, nantis de leurs jolis petits touffins bruns, blonds fournis ou moins fournis, leurs fines cuisses gainées de bas noirs, rouges, blancs ou gris-bleus, jarretelles ou jarretières très coquines, les seins hauts dressés, aréoles dilatées par le proximité du plaisir et l’attente des ébats…
Comme elles étaient belles nos compagnes, ainsi livrées, sens et chairs aux aguets, l’émoi jusqu’au bout de leurs tétons, le souffle court, aux abois, telles des biches qui attendaient…
C’est à cet instant que deux servantes entrèrent, tenant en laisse quatre autres magnifiques canidés, Labradors également de couleur « yellow », à l’échine nerveuse, bien pourvus, de beaux mâles canins certainement très performants ! Nous applaudîmes à l’entrée de ces merveilleux spécimens. De nouveaux officiants qui allaient prendre la relève des précédents, car il fallait bien que les bêtes prissent un peu de repos après tant d’ardeurs et de performances !
Ces nouveaux arrivants ayant pleines forces, furent donc introduits, jappant, queue battante, prêts à se produire en…l’Arène du Sexe ! Ces quatre nouveaux compagnons quadrupèdes haletaient, langues tirées, impatients, sentant bien ce qu’on attendait d’eux et flairant les belles chairs nues de ces Dames…
L’ambiance était excitante et nous, les époux, étions très attentifs à ce qui allait se dérouler, là, sous nos yeux, nous les libertins-Maistres-queues qui voulions toujours jouir ! Les chiens s’approchèrent, firent connaissance avec les officiantes, les flairèrent, leurs halètements s’accélèrent, leurs flancs battirent un peu plus vite et leurs sexes semblaient traduire déjà leurs envies de beaux mâles, se dressant doucement, balançant, roses ou rouges, tantôt violacés, congestionnés par le désir, respirant les muscs intimes de ces femmes ainsi offertes… Nos épouses caressaient à présent ces quatre frémissants Amants, flattant leurs flancs, enserrant leur col, tendant même leurs bouches à ces langues tirées, leur parlant voluptueusement pour leur donner toute confiance et que les saillies à venir se passent de la meilleure façon pour elles et leurs partenaires-chiens… Elles les caressaient plus intimement, comme elles l’avaient fait envers les précédents jouteurs, afin de les mieux mettre en condition –si tant est qu’ils en eussent besoin, certains montrant déjà toutes leurs…possibilités !
Une caresse de la paume sur un gland dressé, une main caresseuse sur les parties rondes et généreuses, un baiser sur le membre tendu, une petite fellation à peine esquissée…les chiens geignaient, léchaient, se tortillaient, impatients…
Impatients, nous l’étions aussi ! Nous connaissions certes les talents amoureux de nos
Chères Epouses et leurs ardeurs à satisfaire leurs vices tout autant que les nôtres, mais de telles Amours canines n’étaient pas chose courante et l’humeur autant que le bon contact et la bonne approche avec l’animal n’étaient pas à dédaigner.
Les chiens à présent s’employaient à licher profondément les belles touffines, écartant, lissant, humectant les soies brunes ou blondes offertes à leurs convoitises… Françoise se livrait à une savante masturbation de l’animal, tandis qu’il la léchait au plus profond de son sexe. Elle était belle ainsi, recalottant, décalottant le sexe dur du chien dressé au-dessus d’elle ; Nicole, enfouinée par une langue fureteuse geignait doucement en se pinçant les seins ; Chantal de Cyrignac, se livrait elle à une magnifique fellation du membre de son cavalier canin qui, pattes arrières écartées, se laissait sucer jusqu’aux bourses, la Belle engoulant le vit canin jusqu’au fond de sa gorge.
Jennifer prenait des poses fort suggestives, ainsi le chien la léchait-il abondamment, tour à tour en chatte, en cul, sur les seins, la bouche, la belle zoophile murmurant des mots osés à cet ardent canidé, l’encourageant à la bien fouiner de partout… François e maintenant, étendue sur Nicole, ondulait lentement sur son ventre, vulve à vulve, unissant sans doute leurs clitoris en une étreinte des plus excitantes. Un chien vint se placer sur les belles fesses de ma femme et commença à les chevaucher, le vit bien dardé cherchant le sillon fessier… Mon épouse passa ses mains sous le chien, saisit son long sexe et, s’étant écarté les fesses, le guida vers l’anneau convoité par l’animal ; celui-ci hésita, poussa et enfigna le derrière qu’il besogna d’une belle ardeur…
Je voyais l’animal la couvrir, pattes arrières écartées, couilles dansantes sur le sillon, tenant sa taille entre ses pattes avant, exigeant, possessif, le museau entre ses omoplates, bavant déjà de plaisir… Les deux femmes jouissaient, Nicole de sentir la chatte de mon épouse frétiller contre son petit con et Françoise goûtant là une double jouissance, celle de son Amie sous elle et la chaleur du chien sur elle qui possédait son petit cul à longs et répétés coups de bite…
Un autre chien montait ardemment Chantal de Cyrignac qui, cuisses ouvertes, tendue vers l’animal, se donnait entièrement à lui dans un abandon lascif, terriblement sensuel, la truffe entre ses seins, buvant littéralement les halètements de l’animal en train de la posséder profondément ; cris, plaintes, râles montaient de cette couche comme vouée à Satan, des femmes décoiffées, livides, jurantes, aux voix mourantes de jouisseuses qui n’en finissaient plus de se laisser monter, la semence coulant en hiéroglyphes sulfureux et blanchâtres sur les draps blancs, froissés et refroissés par les croupes dansantes et les pattes des animaux au paroxysme de l’excitation… Jennifer et sa Lieutenante partageaient le même chien qui les montait l’une après l’autre, insatiable, le sexe toujours bandé, la bête réclamant sans cesse un peu plus d’amour féminin et de chairs humides qu’il léchait avidement a près chaque saillie…
Deus Servantes qui n’officiaient pas habituellement aux dires de Jennifer avaient été cependant désignées pour assouvir nos désirs à nous les maris, contemplatifs, assistant aux accouplements successifs de leurs épouses avec ces beaux « monteurs » canins… Tour à tour, ces deux jeunes femmes, belles, soumises, expertes, filles de la campagne, rudes, mais caressantes au demeurant, s’employèrent à nous bien feller, s’enivrant de nos foutres qu’elles faisaient jaillir sur leurs lèvres licheuses et leurs langues dansantes…
A l’issue de chacune des fellations, elles recueillirent en une coupe, nos foutres qu’elles mêlèrent ensuite à ce beau champagne blond pétillant qu’elles y versèrent ; puis, elles en intervertirent l’ordre et les tendirent à chacune de nos épouses : aucune d’entre elles ne sut à qui appartenait le foutre absorbé…d’où un grand mystère aphrodisiaque… Et ayant ainsi satisfait pleinement nos sens à tous les quatre, essoufflées, elles nettoyèrent nos sexes, nos bourses, léchant nos poils poisseux et nos fossés anaux, véritables fouilleuses ne nous laissant aucun répit… Un peu plus tard, l’une d’entre elles fut prise en même temps par Albin et moi-même, tandis que Stan et Marcus se partageaient aussi les faveurs de l’autre, de devant comme de derrière en alternance…
De beaux trots qui arrachaient des plaintes lancinantes qui montaient au milieu de notre aréopage, nos ombres s’agitant, démentes, sur les épaisses tentures qui étouffaient les cris de ces filles en rut.
L’orgie ne prit fin que vers les deux heures du matin. Jennifer et Stan donnèrent des ordres, afin que des bains nous soient accordés en deux grandes salles de bains dignes d’un Versailles, nous y purifiâmes nos chairs dans une apaisante atmosphère parfumée, douce et paisible, puis nous nous vêtîmes et, ayant retrouvé une tenue plus aristocratique, nous rejoignîmes le grand salon où champagne et souper nous furent convivialement offerts. Nos épouses, bien que lasses, étaient si belles, le champagne illuminant leurs yeux cernés où se lisait une plénitude entière après autant d’excès, chacune d’entre elles serrant sur son sein une rose rouge comme un cœur refermé sur la nuit : une attention de notre Hôtesse envers nos épouses…
Les beaux étalons canins rejoignirent leurs quartiers après avoir goûté à une pitance du meilleur choix. Caresses, flatteries et baisers pour honorer leurs exploits.
Nous prîmes congé de nos Hôtes, de nos Chers Amis et complices et partîmes en carrosse juste après le souper. Françoise posa sa tête sur mon épaule, me sourit et soupira :
« Comme c’était bon, mon Cher et tendre Ami, c’était si bon…pour vous aussi, n’est-ce pas, à ce que j’ai pu voir… » et elle s’endormit jusqu’à notre arrivée au domaine…
Je la portai jusqu’à notre chambre et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre… Que de rêves, quelle plénitude !
Chères Lectrices et Amis libertins, je vous souhaite la bonne nuit.
Le Marquis de Chair
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Ah ! Ces humains... partie 2
Chapitre III
Dans la semaine un évènement imprévu obligea Samantha à retarder la soirée promise. Elle fut reportée à trois semaines plus tard. Un mois durant lequel plus le temps passa, plus Eveline était sur des charbons ardents, je ne l'avais encore jamais vue ainsi. En effet, dés le lendemain de leur visite chez Elle, Eveline revécut en pensée la conversation avec ses nouveaux amis, et surtout l'audace de Samantha qui voulut qu'Eveline la caressât.
Elle s'en voulait de sa timidité qui lui fit arrêter son geste, d'autant plus que Sam était ravissante. Se dégageait d'elle une sensualité qui avait chauffé plus que permis le sang latin qui coule en elle. Elle se promit que la prochaine fois qu'elle la rencontrerait, elle irait au bout de ses envies, si bien entendu sa foutue timidité n'y mettait pas le holà.
Quinze jours s'étaient passés quand Samantha vint frapper à notre porte.
Il était dix-huit heures, Eveline juste rentrée de son travail prenait une douche, elle n'entendit donc pas que l'on frappait à la porte. Il fallut que je vins dans la salle d'eau la prévenir. N'aboyant jamais pour rien elle comprit qu'il fallait qu'elle me suive. Elle s'enveloppa à la va vite d'une serviette de bain et courut vers l'entrée. Elle ouvrit la porte et vit Samantha toujours aussi belle un ravissant sourire qui lui mangeait le visage. Ses longs cheveux bruns voletaient autour d'elle aidés en cela par une légère brise qui apportait un peu de fraicheur en cette fin de journée où le soleil avait brillé de mille et un feux.
Eveline lui rendit son sourire et l'invita à entrer. Les deux femmes s'enlacèrent joyeusement pour s'embrasser. Les lèvres de l'une étaient fort proches des lèvres de l'autre. Je fus étonné de l'attitude hardie d'Eveline qui en avait oublié sa réserve naturelle. Son penchant très fort pour Sam avait été le plus fort. Puis les deux femmes s'écartèrent un peu l'une de l'autre seules leurs mains les reliaient.
Sam semblait éblouie par Eveline, quasiment nue. L'eau ruisselant de sa chevelure blonde ajoutait à l'érotisme qui émanait d'elle. Elle détailla le corps d'Eveline avec une sorte de délectation, prenant tout son temps pour contempler ses épaules larges, puis sa taille qu'on devinait fine sous le tissu éponge, et ses jambes aux longs muscles fins où aucun poil ne venait déparer le spectacle et enfin ses pieds aux ongles manucurés et vernis terminant des orteils longs et fins.
« Eveline, ma chérie, tu es absolument ravissante. Encore bien plus qu'avant hier soir !'
- Merci Sam, tu es trop gentille, mais sais-tu que tu es splendide toi aussi et que je suis sous le charme depuis que nous nous sommes vues ? Mais excuse-moi il faut que je m'habille, tu es arrivée quand j'étais sous la douche.'
- Tu sais Ève, je suis venue chez toi directement en sortant de mon travail, je n'ai pas eu le temps de passer chez moi me doucher moi aussi !!
- Oh ! J'ai une idée Sam, tu n'as qu'à la prendre ici ta douche pendant que je vais passer un vêtement. Ainsi ce sera fait. »
J'étais vraiment surpris de la hardiesse d’Eveline, jamais encore je ne l'avais vue agir ainsi. Il fallait vraiment qu'elle soit éprise de Sam. Celle-ci répondit à l'invitation de Eveline par un:
« Ce serait avec plaisir, mais je ne voudrais pas te déranger.
- Tu ne me déranges pas du tout, aller viens, suis mo ! »
Prenant Sam par la main, Eveline l'entraina vers la salle d'eau qui était vaste et bien éclairée par la lumière du soleil qui transperçait une grande verrière en verre martelé permettant de deviner très vaguement une silhouette sans pour autant permettre de violer l'intimité. Prenant les initiatives elle aida Sam à se dévêtir. Ses yeux étaient de plus en plus éblouis par le spectacle qui s'offrait à elle. La blancheur de la peau contrastait avec le noir de ses cheveux, l'un valorisant l'autre. Sam au contraire d'Eveline était légèrement enveloppée.
Une sensualité innée se dégageait de son corps, sans qu'elle esquisse le moindre geste, on devinait un érotisme qui ne demandait qu'à exploser. Cette situation échauffait l'esprit de Sam qui sans prendre le temps de la réflexion fit tomber à terre la serviette de bain lui permettant ainsi de constater qu'elle ne s'était pas trompée en disant qu'Eveline était superbe. La peau de satin et naturellement hâlée, héritage de ses parents méditerranéens enveloppait un corps mince à la musculature fine, savamment entretenue par des séances de gym bihebdomadaires. Cela rendit Sam folle de désir. Elle ne put se retenir et enlaça Eveline à l'étouffer. Les deux femmes restèrent ainsi quelques longues secondes enlacées.
Puis leurs lèvres se joignirent en un long baiser passionné où chacune voulait que sa langue rivalisât de virtuosité avec l'autre pour faire monter le désir. Moi j'étais assis dans l'encadrement de la porte. J'étais grisé par les odeurs de ces deux femmes que l'envie d'amour rendait folles de désir. J'avoue que j'étais vraiment excité. Tout en s'embrassant elles entrèrent dans la douche où Eveline fit couler l'eau et c'est le corps ruisselant qu'elles continuèrent à se caresser avec frénésie. Eveline avait perdu sa réserve naturelle et prenait l'initiative de leur jeu. Elle pénétra la chatte de Sam avec trois de ses doigts et la baisa ainsi en des gestes presque brutaux. Cela ne sembla pas gêner Sam, bien au contraire, car elle poussa un grand cri ponctué d'un « Aaaah !! Ouiiii !!! Comme, ça ! »
Ses jambes ne la soutenant plus elle se laissa glisser sur le sol. Eveline l'accompagna tout en continuant à marteler sa chatte de ses doigts. Assis sur le carrelage de la douche, Sam laissa aller son plaisir poussant de grands cris de jouissance.
Eveline était déchainée, ses doigts baisaient Sam de plus en plus vite, elle rythmait son geste de gémissements comme si elle jouissait de ce qu'elle faisait subir à sa nouvelle amie. Cela ne l'empêcha pas d'arrêter l'écoulement de la douche et d'aider Sam à se relever. Celle-ci avait les jambes en coton tant le plaisir avait été grand. Eveline lui dit:
« Viens Sam, mon amour, allons sur la pelouse il fait encore très doux dehors. Nous allons nous aimer sur l'herbe, comme ça Robert saura où tu es en arrivant. Tu veux bien ?
- Oh ! Oui, allons y, ça lui fera une belle surprise car il a flashé sur toi l'autre jour tu sais, et il a très envie de toi !
- Moi aussi j'ai envie qu'il me prenne, je le trouve très attirant ! »
Qu'est-ce que je suis heureux moi ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point je le suis. Tout se déroule encore bien mieux que je ne l'espérais. Foi de Fellow! Mon amour avec Maud ne rencontrera plus d'embuches maintenant. J'imagine ce qui va désormais se passer entre Eveline, Sam et Robert et je ne regrette qu'une chose c'est que Maud ne soit pas comme vos femelles. Elles, au moins, elles ont autant envie d'amour que vos mâles. Chez nous les chiens, il n'en est pas de même. Mais je sais qu'Eveline avec sa manie de me caresser me fera jouir encore quelque fois, même si c'est involontaire de sa part.
Chapitre IV
Eveline prend une grande serviette de bain et se dirige vers le jardin tenant Sam par la main. Les deux femmes rient et s'embrassent à bouche-que-veux-tu. Le chemin n'est pas long, elles ont tôt fait d'arriver à la pelouse où Eveline étend la grande serviette puis elle se couche dessus et tend les bras vers Sam qui la rejoint en s'asseyant sur le torse de sa nouvelle amie. Elle se penche pour lui prendre la bouche avec gourmandise et beaucoup de passion.
Eveline est aux anges car la langue de Sam est experte à souhait. Elle saisit Sam par les hanches et l'attire vers elle de manière à avoir sa chatte sur sa bouche. Sam suit le mouvement en s'installant de manière à ce que sa chatte soit dévorée par la bouche d'Eveline qui brûle d'impatience de déguster ce joli fruit aux lèvres charnues gonflées par le désir au dessus desquelles on voit pointer un mignon petit bouton hypersensible. Puis soudain elle s'arrête de dévorer la chatte de Samantha, relève la tête ver elle et lui avec comme un chat dans la gorge :
« Sam ma chérie. Je t'aime ! Ça m'est tombé dessus l'autre jour quand Bobo et toi êtes venus. Je t'aime.
- Ma si belle Eve, je t'aime moi aussi, j'aime Bob mais je ne pourrais plus me passer de toi. Nous en parlerons à Bob tout à l'heure. »
Ma jolie maîtresse depuis que je vis avec elle a surtout eu des amies femelles. Parfois des mâles sont venus la voir mais plus rarement. Là je ne sais pas quoi en dire parce que chez nous les chiens nous avons beaucoup de copains mais pour l'amour nous n'avons que des copines. Vous êtes vraiment bizarre vous les humains. Mais dans le fond, tout bien réfléchi, peut-être que c'est vous qui avez raison d'avoir des amis de tous les sexes. Si oui, vous avez une sacré chance, savez-vous.
Pendant que je fais une tentative de....heu.... comment dites-vous déjà ?... Ah ! Oui... philosophie, les deux jolies femelles humaines rendues folles de désirs par leur aveu commun se déchainent sur la pelouse. Sam assise au-dessus d'Eveline fait danser son bassin d'avant en arrière et de droite à gauche ses mains sont sur sa tête levée vers le ciel et elle pousse des gémissements assez sonores. Alertée par ce bruit et aussi par l'odeur dégagée par ces deux femelles, Maud se trouve bien seule chez elle et me prévient qu'elle saute par dessus la haie pour nous rejoindre. En effet, je la vois soudain franchir cette maudite végétation qui nous sépare. Comme elle est belle ainsi, elle semble voler. Elle ne tarde pas à venir prés de moi, nous nous frottons et léchons un moment pour nous dire bonjour. Puis blottis l'un contre l'autre nous admirons ces deux femelles et les envions de pouvoir faire tout ce qu'elles font là que nous autres chiens nous ne pouvons faire. Maud et moi nous poussons un grand soupir de regret.
Sam est de plus en plus agitée, de plus en plus déchainée, de plus en plus hors d'elle. Elle prévient Eveline qu'elle va jouir en une phrase entrecoupée de gémissements:
« Ah!!.....Ah!!..... Je....viens.... Je....vais... jou... jouir, Ouiiiii !!! »
Et effectivement, Sam a un superbe orgasme. Ses cris se transforment en un rugissement rauque et elle inonde le visage d'Eveline d'un liquide qui sort d'elle en abondance. Eve n'a pas l'air fâchée du tout de ce qui arrive, au contraire elle lèche avidement la chatte de Sam qui n'arrête pas de fuir. Elle a du mal à retrouver ses esprits. Elle se calme peu à peu, recule de manière à se coucher sur Eveline qui à son tour semble dans un autre monde tant elle prend plaisir à lécher ce que Samantha à laisser sortir d'elle.
« Eveline chérie j'ai oublié de te prévenir que je suis femme-fontaine ! Ça ne te dérange pas j'espère !
- Au contraire, mon amour, j'adore ça. J'adore te boire, ta mouille est délicieuse. Merci ma chérie! Et je dois t'avouer que j'adore tout boire qui sort d'un corps humain. Ça te dégoutte pas ce que je dis là, j'espère, mon amour ?
-Oh pas du tout, Robert et moi adorons ce jeu là et nous le pratiquons souvent. »
Mais soudain Maud s'agite, se redresse et aboie légèrement en direction de sa maison, je sais pourquoi, j'ai moi aussi senti que Robert venait de rentrer chez lui. Samantha et Eveline, trop occupées à leur plaisir ne se rendent compte de rien. Robert, lui, a reconnu la voix de sa chérie en train de jouir. Surpris et heureux à la fois, il sort de chez lui et vient nous rejoindre. Eveline n'avait pas fermé la porte, comptant sur moi bien sûr pour surveiller la maison, comme si je n'avais que ça à faire, moi.
Maud se précipite vers lui pour fêter son arrivée. Robert la caresse un moment, puis nous demande de retourner jouer, ce que nous faisons bien volontiers. Il s'approche sans bruit de la porte donnant sur le jardin et contemple ce beau spectacle que donnent les deux femmes. Aussitôt, les yeux brillants, il se déshabille entièrement et sans bruit se rapproche du couple. Sa queue pend entre ses jambes, elle m'impressionne un peu par sa longueur.
Il s'arrête à la hauteur des deux femmes, il n'est pas dans leur angle de vision, et comme tous les humains elles n'ont pas notre flair elles ne se rendent pas compte de la présence de Bob. Il reste immobile au dessus d'elles. Une odeur se dégage de lui de plus en plus forte. Il est visiblement excité. Il enjambe les deux corps enlacés et les surplombant ainsi, il prend sa queue en main et se laisse aller à pisser. Après un effet de surprise bien normal, Sam se rend compte que c'est son mari le coupable, elle insite Ève à changer de position.
Alors, tels deux oisillons qui piaillent leur faim, Ève et Sam ouvrent grand leurs bouches en gloussant. Bob, visage éclairé d'un large sourire, guide son jet d'urine d'une bouche à l'autre et se vide en de longs jeux interminables. Cette douche dorée semble plaire aux deux femmes qui se disputent gentiment le droit d'en avoir plus que l'autre. Leurs visages et leurs torses sont inondés et la peau brille d'un beau reflet. Bob finit enfin, se baisse et tend sa queue à Eve à qui il octroie l'honneur d'avoir la dernière goutte.
Celle-ci (Ève, pas la goutte) en profite pour sucer cette bite qui aussitôt grossit pour prendre une dimension avantageuse. Ève apprécie ce changement et tout en continuant sa sucette gémit et glousse de plaisir. Sam ravie de cette situation, se redresse et se place derrière son mari. Elle lui écarte les fesses et lèche son petit trou, Bob trouve cela, si agréable qu'il s'accroupit et tout en laissant sa queue aux très bons soins de la gourmande et affamée Ève, tient écartées ses fesses avec ses mains, Sam qui connait bien son chéri cesse de le lécher pour le pénétrer avec deux doigts qu'elle fait aller et venir sans aucun ménagement dans le cul de Bob. Il ne fallut pas bien longtemps pour que ce traitement ne lui fasse de l'effet.
En effet, Bob jette sa tête en arrière et pousse un rugissement bref mais puissant et se vide dans la bouche de ma belle maîtresse. Samantha abandonne le cul de son mari et se jette sur Ève pour partager avec elle la semence abondante et crémeuse. C'est aussitôt prétexte à des ébats furieux entre les deux femmes qui se roulent l'une sur l'autre en se caressant, s'embrassant et se léchant comme si elles voulaient se dévorer. Bob assiste à ce spectacle qui lui fait un effet immédiat car sa queue rebande à nouveau.
Décidément il y a des moments comme ça où je regrette de n'être qu'un boxer. Certes je suis un très beau boxer, il n'y a qu'à voir l'effet que je fais aux femelles qui nous croisent, Ève et moi, quand nous nous promenons. Il n'en reste pas moins que cela ne me donne pas la possibilité de faire autant de choses que vous les humains quand vous jouez ensemble avec vos corps. C'est cela et pas autre chose que l'on appelle une vie de chien. Et voir faire ces trois humains m'a chauffé les sangs je m'approche de ma chère Maud qui je le sens est elle aussi assez émoustillée.
Réaction toute féminine, elle joue les indifférentes, alors je tend mon museau vers son trésor et le lèche avec gourmandise. Maud commence à réagir elle aussi car elle donne des mouvements d'avant en arrière à son bassin. Je fais durer le plaisir un moment et n'y tenant plus je la pénètre pour la baiser furieusement.
Nos trois humains ne nous intéressent plus, mais alors vraiment plus du tout. Une seule chose compte pour moi jouir du corps de ma Maud chérie et lui donner un maximum de plaisir. Oubliée d'un coup cette petite jalousie que j'avais de vous les humains, il y a encore quelques minutes, car je sais que jamais vous ne pourrez faire ce que nous faisons nous, vos meilleurs amis comme vous aimez à le répéter.
Tout à mon euphorie jouissive, je perds ma gentillesse naturelle et me permets de vous dire que jamais vous, les mâles humains, ne serez capables de faire ce que nous faisons : baiser plusieurs fois de suite avec des arrêts très brefs. Wouahhhhh ! Wouahhhhh ! Wouahhhhh !
Maud et moi avons joui plusieurs fois alors que Sam et Ève sont affalées sur la pelouse, ils parlent et rient et attendent avec un peu d'impatience que Bob soit à nouveau opérationnel. C'est Ève, ma jolie maîtresse qui trouvant le temps un peu long se love contre Sam et l'embrasse à pleine bouche tandis qu'une de ses mains fouille l'entrejambe de sa toute récente chérie. Sam n'est pas en reste qui fait la même chose avec Ève. Elles espèrent ainsi accélérer la montée en température de leur étalon.
Ève se relève, change de position et s'installe de manière à être accroupie au dessus du visage de Sam. Celle-ci comprend ce que va faire Ève. Effectivement, elle écarte de ses doigts les lèvres de sa chatte et se laisse aller à pisser. Sam ouvre grand la bouche pour ne rien perdre de ce bon champagne doré, elle l'avale à grandes gorgées en poussant de temps à autres un gloussement de plaisir.
A suivre...
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Un séduisant directeur
Ce soir, au bureau, a lieu le pot de départ d'un cadre qui prend sa retraite. Laurent et Marie-Claire, sa ravissante épouse, et une vingtaine de collaborateurs sont invités. Il y a également Frank, le directeur de la société, la cinquantaine, très séduisant, à qui on attribue de nombreuses conquêtes féminines.
Marie-Claire ne connait personne. Laurent fait les présentations, et remarque que
Frank garde un peu plus qu'il ne faut la main de sa femme au creux de la sienne.
Même le regard ne trompe pas, il dénonce presque une profonde attirance.
« Madame, dit Frank, Laurent n'a jamais dit qu'il avait une épouse aussi ravissante. »
Marie-Claire se sent rougir.
« Je vous remercie Monsieur.
- Oh là, sourit Laurent, il va falloir que je surveille tout ça ... »
Laurent, malgré tout reste en confiance, s'éclipse pour rejoindre d'autres collègues de travail.
Marie-Claire se confie à Frank, parle de ses activités, ses séances d'aquagym, tous les vendredis, avec ses copines, sa solitude quand son mari s'absente trop longtemps, ses manques de contacts. Elle avoue même qu'elle est sure que son mari la trompe.
« Voulez-vous travaillez pour moi... chez vous ? propose Frank. Rien de bien méchant.
Réfléchissez, tiens, je vais m'inscrire à l'aquagym. On en reparle vendredi, d'accord ?
- Pourquoi pas ? » répond Marie-Claire, avec un petit sourire enjôleur.
Sur le chemin du retour, Laurent mitraille sa femme de questions, sur sa discussion avec Frank. Celle-ci reste évasive, ne donne pas de détails, sauf sur la proposition de travail. C'est donc par hasard qu'il apprend que son patron s'est inscrit à l'aquagym.
Pire, il apprend que le repas de fin de saison de l’association sportive tombe le dernier vendredi de juin, jour où le couple avait prévu de passer le week-end aux Saintes Marie de la Mer. Il espère quand même que son épouse va le suivre. Le couperet tombe en début de semaine.
« Oh mon chéri, j'avais complètement zappé le repas de l'association, c'est vendredi !
Ça ne te dérange pas si je ne t'accompagne pas aux Saintes ?
- Je pense que tu as déjà pris ta décision, répond Laurent. Et il y aura qui?
- Ben... ceux qui sont inscrits... essentiellement mes copines...
- Et Frank bien sur, reprend Laurent.
- Je pense, oui, poursuit Marie-Claire, mais il y a d'autres hommes aussi. »
Le vendredi vingt quatre juin, Laurent est prêt à partir, quand Marie-Claire rentre de la piscine pour se changer.
« J'y vais vite mon chéri, Monique m'attend...Tu rentres dimanche? Embrasse tout la famille pour moi. Allez... Bisous... »
Laurent a un mauvais pressentiment, il regarde tristement son épouse passer la porte.
Il sait que quelque chose se trame pour avoir vu à plusieurs reprises son directeur chez lui en rentrant du bureau, pour soit disant porter des dossiers. Ils étaient souvent assis au salon en train de prendre l'apéritif, riant aux éclats. Et femme qui rit...
Déçu, il prend son sac et quitte la villa.
Sans se douter des interrogations de son mari, Marie-Claire se rend à sa soirée, toute heureuse de la passer en compagnie de ce séduisant patron… Son repas se termine vers vingt deux heures, et le groupe décide d'aller prendre un dernier verre en boite. Après une série de danses ou il est très difficile de draguer sa partenaire, je DJ se décide enfin à passer un slow. Frank en profite pour inviter Marie-Claire. Elle accepte immédiatement, heureuse de se retrouver dans se sbras…
De suite, leurs corps ne font qu'un. Pendant que Frank la prend par la taille et la plaque contre lui, Marie-Claire passe ses bras autour du cou de son cavalier. Par maladresse, ou pas, leurs lèvres sont à deux doigts de se toucher.
La danse terminée, ses copines, qui ont vu le manège, l'attendent au bord de la piste.
« Il est minuit, dit Monique, on rentre, tu viens ?
- Non, pas encore, mais ne vous inquiétez pas, Frank me ramènera.
- J'espère que tu sais ce que tu fais, poursuit sa copine. Je te rappelle que tu es mari à un homme charmant et amoureux de toi…
- Oui oui, je sais, ne t’en fais pas pour moi, je sais ce que je fais... »
Toute la bande se retire, laissant seul le couple accoudé au bar. Soudain, Frank saisit
Marie-Claire par l'épaule, lui fait faire un demi-tour, et l'appuie contre un pilier. Là, il se colle à elle, et lui prend les lèvres. A demi-surprise, Marie-Claire passe ses bras autour de son cou, et répond fougueusement au baiser.
« Tu veux qu'on aille chez moi ? lui murmure-t-il à l'oreille.
- Est-ce bien raisonnable ? répond-elle. Et puis... pourquoi pas ? »
Elle fait taire la petite voix qui lui dit qu’elle a tort, qu’elle va faire une grave erreur.
Arrivée à la villa de Frank, Marie-Claire refuse le verre qu'il lui offre, car elle veut rester lucide. Il invite à s'asseoir sur le canapé, et la prend dans ses bras. Pendant qu'il l'embrasse, ses mains parcourent le corps de Marie-Claire, une va même se loger entre les cuisses, qui s'ouvrent sous la pression. La caresse se précise. Un doigt, plus curieux que les autres, écarte la petite culotte, et court sur la fente. Marie-Claire lâche son premier gémissement.
« Allons au lit », propose-t-il, pressé de conclure avec sa conquête du soir.
A peine arrivé dans la chambre, le couple se déshabille. Marie-Claire s'allonge sans hésiter sur le dos, entièrement nue. Frank pose un genou sur le lit, et commence à caresser les seins, puis, lentement descend vers la source d'amour. Les doigts pénètrent la chatte humide, mène ce corps splendide par le bout du clitoris. Marie-Claire s'agite sur le lit.
« Arrête... Tu vas me faire jouir ! Prends-moi s'il te plait.
- Calme-toi ma chérie, on a toute la nuit.
- Mais j'ai envie...donne-moi ton nœud au moins que je le suce. »
Frank se recule. Sa bite se tend comme un ressort, quand elle passe l'élastique du caleçon.
« Ben dis donc, s'écrie Marie-Claire, tu voulais me cacher ça ! Vite, fais-moi gouter ! »
Pendant que la jeune femme engloutit le sexe au plus profond de sa bouche, les doigts de Frank reprennent leur travail de sape dans la chatte maintenant pleine de mouille.
Il pousse un râle de plaisir quand Marie-Claire entame sa fellation.
« Houa...attend... je vais te boire moi aussi. »
Et il plonge sa tête entre les cuisses de sa conquête. Celle-ci se cambre sous les coups de langue experts de son amant. Le cuni est féroce.
« Hum...hum...parvient à dire Marie-Claire la bouche pleine... tu me maques salaud ! Hou, que c'est bon ! »
Visiblement, elle a oublié tout de sa vie de famille, et de femme mariée…
Avec un plaisir non dissimulé, elle sent la bite de Frank se tendre dans sa bouche, sent qu'il va cracher son venin. Elle le ceinture pour l'empêcher de se retirer, et sentir le sperme gicler au fond de sa gorge, au moment ou, elle aussi a un terrible orgasme.
« Oh mon dieu... gémit-elle. On a joui ensemble ! Mhum... Nique-moi maintenant, vite... »
Frank se met sur le dos, et demande à Marie-Claire de se mettre sur lui. Ils s'embrassent, puis elle glisse une main entre leur cops, saisit la hampe en érection, et la fait coulisser dans sa chatte. Elle se redresse orgueilleuse, poitrine tendu en avant, empalée sur l'énorme bite, se caresse les seins. La bouche ouverte et les yeux fermés, elle donne de violents coups de reins.
« Que c'est bon d'être une femme... de bien se le faire mettre... Vas-y... tu me défonceras le cul après... Il y si longtemps que...hou...hou... Je vais jouir encore... oui... Oui...
- Déjà, dit Frank surpris, mais tu viens à peine de... Toi ; tu es en manque de coups de bite ! Je vais combler ce vide. »
Pendant toute la nuit, tous les trous de Marie-Claire vont être honorés. C'est sous la douche matinale que Marie-Claire va se faire saillir une dernière fois. Comme elle l'avait demandé, Frank va l'enculer bien profond.
Dans la matinée, Frank ramène Marie-Claire. Ils s'embrassent, mais elle ne promet pas de le revoir, jugeant cette relation sans lendemain.
Le dimanche soir, Laurent débarque à la villa. Marie-Claire est sagement assise devant la télé.
« Alors mon chéri, dit-elle en l'embrassant innocemment, ton week-end s'est bien passé ?
- Impec, répond-il, et toi, ta soirée au restau... tu t'es bien amusée ?
- Bof.. .rien de spécial, on est rentré vers minuit. »
Il veut la croire mais son instinct lui souffle qu’elle ment…
En fait, c'est quelques jours plus tard que Laurent va en savoir d'avantage. D'abord par Monique, qui involontairement, dit être bien rentrée vers minuit, mais que Marie-Claire, est resté avec Frank.
Mieux, c'est un copain du club de foot, n'étant au courant de rien, va confirmer ses dires.
« Putain, je t'ai vu coincer ta femme contre le pilier en boite, c'était chaud ! »
Dans la lumière tamisée de la boite, son copain l'a confondu avec Frank. Laurent a bien l'intention d'emmener sa femme à lui avouer la vérité. Le dimanche d'après, Laurent est réveillé par une agréable sensation au bout de sa queue.
C'est tout simplement Marie-Claire, qui est en train de lui tailler une pipe.
« Hum...mon épouse aurai-t-elle des envies ? demande-t-il
- Et toi, t'as pas envie...viens ici... »
Il n'a pas le temps de répondre que s'abat sur lui une vrai tornade. Il a l'impression qu'un ouragan traverse le lit, et ne souvient pas avoir vécu une telle relation. Au bout d'une heure, le couple git sur le lit, épuisé.
« Je vais préparer le petit déjeuner », dit Laurent.
Dix minutes plus tard, Marie-Claire le rejoint après être passé par la salle de bains. Elle lui donne un tendre baiser sur les lèvres.
« Tu as aimé mon chéri ? demande-t-elle.
-Oh putain...vraiment super...mais j'ai le sentiment bizarre que tu as quelque chose à me dire, de faire pardonner d'un truc...je ne sais pas... »
Un long silence s'installe, puis Marie-Claire craque, et passe à table.
« Tu as raison, dit-elle d'un air triste, je t'ai trompé avec Frank. J'avoue m'être laissée séduire. Mais toi même, ne m'as-tu jamais trompée ?
- Si, je l’admets, mais ce n'est pas que tu me trompes que je te reproche, mais c'est avec qui. Tu sais que ce sont des hommes qui ne m’aiment pas, et réciproquement. C'est la deuxième fois que tu me fais le coup, tu te souviens, il y a bientôt trente ans ? J'ai besoin de réfléchir à notre avenir…. »
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