Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un séjour à Cayenne
Louis :
J'arrive par avion en fin de journée. J'ai vingt ans. Je suis déjà bronzé par le soleil d'autres latitudes, mais cette terre exotique me donne faim. Ma chair bandée dans mon pantalon m'a gêné durant tout le voyage. J’hésitais en permanence à caler ma bite à droite ou à gauche tant elle me démangeait, dure et impérieuse, tandis que l'hôtesse de l'air arpentait le couloir de l'avion en remuant un cul impeccablement gros et harmonieux.
Je descends de l'avion vêtu comme il convient ici, avec un pantalon de toile léger et une chemise ouverte. Je me précipite dans un petit hôtel pour abandonner mes affaires et aller prendre un verre.
La nuit bien tombée, je bois encore au comptoir tandis que le bar désemplit. Je sors prendre l'air, histoire pisser un peu pour me désengourdir la queue. Un homme de dos décore déjà le mur de son épais sexe noir. Je m’avance, un peu éméché, observe son sexe. Je lui siffle :
« Belle bête », en titubant à côté pour dégainer mon propre engin et arroser le mur.
Il me sourit en remballant son outil, me retourne le compliment d'un œil complice, puis il passe derrière moi comme pour rentrer au bar… mais je sens brutalement sa main attraper ma bite. Il me murmure :
« Tout doux » à l'oreille.
Je m'immobilise, raidi par la brutalité de son geste. Je sens la paume dure de sa main autour de mon sexe. Il me dirige adroitement la bite pendant que je pisse, puis cela s'interrompt, et il fait aller sa main sur ma peau pour me branler, serrant bien fort au niveau du prépuce avec son pouce.
Je bande immédiatement très dur. Et je devins plus fébrile tandis que je sens son corps me coller et sa bandaison cogner contre le bas de mon dos. Je me retourne et je m'agenouille, ressortant de son short l'épais sexe noir. Je lui suce délicatement le gland, puis je titille le bout de sa bite de ma jeune langue avide, l’aspirant.
Il met sa main sur ma tête et me donne de grands coups de queue pour que je prenne sa bite plus copieusement en bouche, ce que je fais immédiatement, enfournant au fond de ma gorge l'épais sexe. Je bave de plaisir en faisant tourner ma langue pour le pomper.
Ma main attrape ses couilles pour les malaxer tandis qu'il me baise la bouche. Je le suce d'une langue de plus en plus affamée, lapant la moindre goutte de plaisir qui suinte de son gland, salivant par terre de plaisir. Mes mains tiennent désormais ses fesses pour accompagner ses coups de reins. Je l'entends râler et cela décuple mon plaisir. Il gémit alors que je sens dans ma bouche son sexe gonfler. Il répand un liquide amer et épais qui me gicle jusqu’au fond de la gorge…
Je retire ma bouche en donnant un coup de langue au passage. Je reçois le reste de son foutre sur mon visage comblé tandis que la petite porte du côté du bar s'ouvre. Tu arrives.
« Sophie, dit l'homme noir à la fin de son râle qui me zèbre le visage de sperme.
— Regarde ça, j'en tiens un mignon là. Il a l'air docile », ajoute-t-il en plantant de nouveau sa bite dans ma bouche pour que je la lui nettoie sagement.
Ce que ma langue s'applique à faire, tandis que du coin de l'œil je te regarde, souriante sur le perron, belle et grande.
« Regarde sa queue, ajoute l'homme noir. Il bande bien le salaud. »
Il sort sa bite de ma bouche tandis qu'il débande doucement. Je tourne alors mon visage maculé de son sperme vers ton sourire...
Sophie :
Fred et moi étions sortis en ville, dans l’espoir de trouver un bel homme à nous mettre sous la dent. Nous sommes un couple de sex-friends très complices, et Fred étant bi, il aime partager avec moi mes amants d’un soir. Il n’y a rien que j’aime plus que de le voir baiser un autre homme !
Nous sommes allés prendre un verre aux « Palmistes » sur la grande place de Cayenne. Fred, pris d’une envie pressante, me fit signe qu’il sortait. Je savais qu’il aimait aller se soulager dans l’arrière–cour, où d’autres hommes, gays ou bi trainaient aussi parfois.
Le temps passait, et il en prenait bien plus que nécessaire pour un simple « pipi »… Curieuse, je me décidai à jeter un coup d’œil dans la cour. Mon instinct ne m’avait pas trompée : il était debout dans un coin, un jeune blanc à genoux devant lui, tétant vigoureusement le pieu de Fred. L’excitation m’envahit aussitôt, et je devins humide comme une rosée matinale…
« Tu as fait une bonne pêche, on dirait... Il suce bien ?
- Pas mal, il doit avoir l’habitude ! me dit Fred avec un large sourire.
- Comment tu t’appelles ? demandai-je au jeune homme.
- Louis, répondit le jeune suceur.
- Eh bien Louis, je veux tester aussi tes capacités ! »
Il eut l’air interloqué, ne sachant visiblement pas quoi répondre.
Par bonheur, j’avais mis ma grande jupe ample en madras, à la façon des créoles.
Je m’avançais prés des deux hommes, et embrassait fougueusement Fred. Il me rendit mon baiser de façon… vorace, comme j’aime !
Je me tournais vers Louis :
« Viens dans le coin sombre. Tu vas me lécher mon petit minou. Il a très soif de bonne salive de France !
- Vous voulez que je vous lèche là, maintenant ? murmura-t-il, plutôt surpris.
- Oui, et si tu te débrouilles bien, on t’embauche pour des parties de sexe de feu ! »
Il ne répondit pas, mais se releva pour m’entrainer dans l’endroit le plus sombre de la cour. Une touque était posée au sol. Je posais un pied dessus, de façons à bien offrir ma chatte en feu à cet inconnu.
Il se mit à genoux, et je rabattis ma jupe sur lui Fred se colla à nous, afin de nous « cacher » au mieux.. Même si je n’étais pas contre le fait quelques voyeurs nous surprennent…
J’en profitais pour saisir sa bite, et la raidir à nouveau.
Je sursautai en sentant la langue de Louis. Elle était gourmande, avide, créative... il me gobait, me dévorait comme si sa vie en dépendait. Bref, il me léchait divinement bien, malgré la position inconfortable.
Je branlais le chibre de Fred en mesure de ma propre excitation qui ne cessait de monter. Je me sentais couler, je mouillais comme une folle. La situation, d’avoir vu mon ami se faire sucer, l’imagination de ce qui allait se passer avec ce jeune homme, tout contribuait à me faire jouir vite. J’explosais dans un cri silencieux, me cramponnant pour ne pas tomber sous la violence de l’orgasme.
Louis refit surface de dessous ma jupe, le visage maculé de cyrpine, mélangée au sperme de Fred.
« Tu as bien joui, ma chérie ? me souffla Fred.
- Oh oui, peinai-je à répondre. On continue avec lui. Il me semble assez doué et docile. »
Je me tournai vers Louis, qui s’essuyait le visage avec sa chemise.
« Tu es d’ici ?
- Non, je viens d’arriver par l’avion de quinze heures. Je suis en vacances pour trois semaines.
- Ok, ca te dit de devenir notre partenaire sexuel pour la durée de ton séjour ?
- Oh oui, repondit-il, les yeux brillants.
- Alors, on y va de suite. Il nous faut continuer de te tester… »
A suivre !
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Le cleptomane récidive...
Il y a quelques semaines, j’ai invité mes contacts sur Facebook, mais ça vous concerne aussi, à écrire la suite des mes textes. Un lecteur fidèle m’a donc envoyé cette superbe suite, très chaude, à mon histoire « ma femme baisée par les vigiles ».
Les semaines ont passé, et mon besoin de cleptomane s’est fait jour à nouveau, ou peut-être est ce la perversité et l’envie de revoir les vigiles qui nous ont humilié, moi et ma femme.
Je suis allé dans le même magasin, et je ne me suis pas caché quand j’ai planqué deux CD dans ma veste.
Ils étaient là à m’attendre, à la sortie du magasin, et m’ont immédiatement conduit dans leur bureau.
Pas besoin de présentation pour deux d’entre eux, mais ils étaient quatre dans la pièce.
Le gros n’a pas fait dans la délicatesse. A peine la porte du bureau fermée, il a ouvert la braguette de son pantalon et a lancé à l’intention de ses collègues :
« Venez voir comme elle suce bien, cette salope »
Me prenant par les cheveux, il m’a fait mettre à genoux et m’a fourré sa queue encore molle et odorante dans la bouche.
« Allez, fait moi jouir, salope »
Sans sourciller, j’ai ouvert la bouche et avalé sa bite. Je l’ai rapidement sentir grossir et, tenant fermement ma tête entre ses mains, il a entamé un mouvement de va et vient. Il y est allé avec force, m’enfilant sa queue au plus profond de ma gorge, m’arrachant des hauts le cœur. Je sentais son gros ventre cogner sur mon visage, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’ai senti son membre durcir, il s’est enfoncé encore un peu plus dans ma bouche et j’ai senti deux gros jet épais inonder ma gorge.
« Avale, salope ! »
Le souffle court, je me suis exécuté, sous les sarcasmes de ses collègues.
« Bon, on fait comme d’habitude, on passe te voir ce soir en sortant du boulot ! Nous serons quatre, cette fois. N’oublie pas de faire en sorte que ta femme soit habillée en pute, et habille toi comme elle, avec ses sous vêtements, ce sera plus excitant »
« Allez, avale le filet qui coule sur le bord de ta bouche avant de partir. A ce soir »
Quand je suis arrivé à la maison, un peu penaud, j’ai du annoncer à Mathilde que je m’étais à nouveau fait piquer dans un magasin, et que nous aurions de la visite ce soir. Mathilde m’a fait la morale pour la forme, mais elle est allée fouiller dans sa garde robe pour nous habiller en pute. Des basses résilles noires tenus par un porte-jarretelles et un soutien gorges assorti pour elle, une panoplie rouge pour moi. Mathilde est assez excité par l’idée de cette soirée, et elle a poussé le vice jusqu’à me mettre du rouge à lèvre. En me regardant dans la glace, je découvre avec horreur un travesti assez peu reluisant.
Mais déjà la sonnette retenti, et c’est moi qui me charge d’ouvrir la porte. Ils sont là tous les quatre. Le gros et laid qui a joui dans ma bouche ce matin ouvre la marche, le jeune le suit. Ils sont accompagnés d’un beau black, et d’un grand balaise qui ferme la porte. Ce dernier porte un sac de voyage. A peine entré dans la maison, il m’attrape par les cheveux pour me trainer vers le salon, que ses collègues ont déjà investi. Mathilde les attendait dans sa tenue de pute, assise sur le canapé.
Il ne leur faut que quelques minutes pour se mettre à l’aise, et entourer mon épouse, leur braquemart bien en vue. Le black est encore au repos, mais il présente un engin déjà fort impressionnant. La queue du gros est plus épaisse et déjà en érection, excité par les nichons proéminents de Mathilde, alors que le jeune est un peu en retrait, avec ses couilles rasées de près.
Pendant ce temps, le balaise a ouvert son sac de voyage pour en sortir une paire de menottes. Il me prend violemment les mains qu’il m’attache dans le dos, puis me jette à terre.
« Mets-toi à quatre pattes, la tête sur le sol ! Je vais t’apprendre à voler dans les supermarchés ! »
Son ton ne permet aucune discussion, et je me mets en position immédiatement, non sans jeter un coup d’œil à Mathilde. Elle ne peut manifestement pas parler, une queue lui baise sauvagement la bouche, pendant qu’une langue lui excite le clito, ses cuisses étant outrageusement écartées et maintenues ouvertes par un autre.
Ses grognements laissent à penser qu’elle prend du plaisir, un plaisir sauvage, le plaisir d’être offerte et malmenée par une bande de sadiques.
Le balaise vient de se mettre à l’aise, et appuie de son pied ma tête sur le sol. Brusquement, je sens un violent coup sur mes fesses. A coups de cane anglaise, cet enfoiré est en train de strier mon cul. Et il n’y va pas de main morte. Les mains attachées dans le dos, un pied me maintenant la tête, je ne peux m’échapper de cette torture et j’ai les larmes qui commencent à monter. Pour augmenter encore mon humiliation, il change de position, pour mettre son deuxième pied nu à la hauteur de mon visage.
« Allez la chienne, lèche mon le pied ! »
Alors que les coups ne cessent de ma bruler les fesses, je dois lui lécher les pieds, les orteils. Il me fourre son pied dans la bouche à m’en étouffer, alors que j’entends Mathilde couiner de plaisir.
« Je pense que tu vas arrêter de voler maintenant ! Ne bouge pas ! »
La peur que les coups ne reprennent me fait rester immobile, alors que le balaise retourne vers son sac de voyage. Il en a sorti un collier qu’il accroche à mon cou, et une laisse.
« Allez la chienne, viens voir ce qu’on lui met, à ta pute ! »
Il tire brusquement sur la laisse pour me conduire vers le canapé.
Le jeune vigile est assis sur le canapé, ma femme posée sur lui me présente ses fesses, alors qu’elle se fait baiser sauvagement. Elle taille une pipe d’enfer au gros, alors que le black attend son tour à coté. Le balaise vient chercher la longue bite du black et me la fourre illico dans la bouche.
« Fais moi grossir cette queue, il faut qu’elle soit bien dure pour enculer ta salope de femme. »
La black profite de ma bouche, et petit à petit, je la sens grossir, durcir, grandir. J’ai de plus en plus de mal à l’avaler, et alors que le balaise me maintient la tête, il me lime littéralement la bouche. Je sens son gland forcer ma gorge, provoquant des hauts le cœur de plus en plus difficiles à contenir. J’en pleure, j’ai des flots de bave qui s’échappent de ma bouche, mais il ne s’arrête pas, et il va de plus en plus profond dan ma gorge. Je ne peux m’échapper à ce traitement parfaitement humiliant, et je sens brusquement les restes de mon repas remonter à la surface. Sa queue sort prestement de ma bouche quand je vomis. Sa queue est souillée, et il me force à la nettoyer, et reprend ses va et viens dans ma bouche.
Pendant ce temps, le balaise a mouillé ses doigts dans ma bouche, afin de lubrifier le trou du cul de Mathilde. La queue du jeune toujours fichée dans sa chatte, Mathilde ondule sous la pression de ce doigt inquisiteur. Elle aime se faire enculer, et j’entends son plaisir monter.
Le black se sent maintenant prêt, et sans ménagement, il encule Mathilde qui pousse un cri sauvage quand elle reçoit cette énorme queue. Mais ce cri de douleur laisse rapidement la place à des cris de plaisir. Une queue dans la chatte, une dans la bouche, et maintenant une dans le cul, elle est comblée.
Le balaise m’a rejeté à terre sans ménagement. Il retourne dans son sac à malice, et il me fourre dans la bouche un gode.
« Suce -e bien si tu ne veux pas avoir trop mal. »
Je bave sur le gode, et il m’encule sauvagement avec. Il s’agit d’un gode vibrant et gonflable. Il le gonfle au maximum, et je sens mes chairs se distendre inexorablement. La douleur est lancinante, et j’ai l’impression d’avoir le cul qui va exploser. Il met le vibreur au minimum, avant de prendre possession des gros nichons de Mathilde. Il lui pince les tétons sans ménagement, lui torture les seins, et cela semble lui plaire. Il m’ordonne de venir le sucer pendant qu’il brutalise mon épouse. Combien d’orgasmes a-t-elle déjà vécue, elle semble jouir sans discontinuer, alors que les quatre vigiles n’ont toujours pas joui.
Ils la baisent sans ménagement, elle hurle de plaisir. Je n’avais jamais vu ma femme dans cet état second, submergée par les orgasmes à répétition. Elle n’est plus qu’un amas de chair voué au plaisir de ces brutes sauvages, et ils doivent la soutenir pour l’empêcher de s’écrouler.
Pendant de longues minutes, ils vont l’enculer, lui baiser la chatte et la bouche, se branler sur ses nichons, alternant les positions.
Quand ils sentent qu’elle ne tiendra plus longtemps, ils sortent tous de ses orifices rougis par toute cette baise sauvage, et viennent tous autours de moi.
Les mains toujours attachées dans le dos, le cul rougi par la cane, le gode vibrant dans le cul qui commence à me procurer un plaisir nouveau. Je dois me mettre à genoux la bouche ouverte, et le balaise m’aveugle avec un bandeau qu’il vient de sortir de son sac.
Je sens l’odeur de tous ces males en rut, mélangée à l’odeur de jouissance de ma femme, de son trou du cul, de mon vomi. Toutes ces odeurs mélangées commencent à me faire bander. Je sens également l’odeur de transpiration des vigiles qui semblent s’agiter autours du moi.
« Regardez-moi cette chienne qui bande ! Ouvre la bouche, salope !
- Allez Mathilde, viens branler ton cleptomane de mari ! »
Je sens ma femme se poser derrière moi, ses tétons durcis par le plaisir caressent mon dos, sa main gauche tripote mes couilles et la droite astique mon chibre.
Brusquement, je sens comme une violente décharge électrique dans le cul. Le balaise vient de mettre le vibreur du gode gonflable au maximum. Je pousse un hurlement de douleur et de plaisir mélangé. Au même moment, je sens un profond jet inonder ma bouche. Le premier d’entre eux vient d’éjaculer.
« Allez, avale salope ! »
Je m’applique à avaler ce que je peux, avant un second, un troisième, un quatrième. Ma bouche déborde de foutre gluant, j’en ai plein le visage, le menton. Mon cul est en feu, mon visage maculé de sperme, et ma femme qui continue à ma masturber.
Mathilde vient lécher les filets de sperme que je n’ai pas pu avaler, elle me lèche le menton, les joues, le front, et vient me recracher dans la bouche ce qu’elle a récupéré. Cette ultime humiliation me fait bander un peu plus, et je lâche enfin ma purée dans la main de Mathilde.
« Pas de gâchis, nettoie les doigts de ta salope de femme, grosse chienne ! »
Mais ce n’est pas fini. J’ai toujours les mains menottées dans le dos.
« Collez vous l’un à coté de l’autre »
On me retire le bandeau, et je vois le balaise approcher sa queue ramollie dans ma bouche, alors que le black en fait de même avec mon épouse.
Un liquide chaud commence à inonder ma bouche, et je vois un liquide jaune déborder de celle de ma femme.
« Avalez moi tout ça, bande de soumis »
Pendant que nous recueillons ce champagne amer et salé, les deux autres vigiles nous inondent par derrière. De puissants flots de pisse inondent nos cheveux, recouvrent nos visages, coulent sur les nichons de Mathilde, sur mon corps épuisé. Ils ont du boire des litres avant de venir, car cette douche brulante continue pendant de longues minutes. Mathilde et moi sommes inondés et humiliés.
Quand enfin le flot s’arrête, ils nous jettent à terre, nous obligeant à nous rouler dans cette pisse odorante. Pendant ce temps, les quatre vigiles s’habillent.
Ils me laissent les menottes dans le dos, et s’en vont en m’envoyant un « tu ferais bien de changer de magasin pour voler tes Cd, la prochaine fois, cela risquerait d’être bien pire ! »
Mathilde et moi nous retrouvons seuls, écroulés par terre, baignant dans la pisse. Je ne sais pas comment je vais retirer ces menottes, mais Mathilde, épuisée, vient coller son corps humide au mien. Après avoir aspiré un peu de pisse froide par terre, elle vient me rouler une pelle mémorable, me recrachant ce liquide mêlé au sperme des vigiles. Sa langue prend possession de la mienne, et elle me donne une preuve d’amour que je n’oublierai jamais.
Mathilde, je t’aime !
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Les servantes de Sodome
Les Servantes de Sodome
Nos fidèles Amis et complices Nicole et Albin d’Engerrey recevaient en cet après-midi du 15 Janvier 1740 aux belles froidures ensoleillées, tous les grands amateurs de plaisirs inavoués qu’ainsi nous partagions en pleine intimité au long de ces ébats par nous affectionnés. Nous avions grand plaisir à nous bien retrouver, dégustant de bons vins, buvant de nos compagnes les incessants baisers, étanchant là nos soifs de jouir sans plus tarder…
C’est dans le grand salon dit « des deux cheminées » où de grands feux dansaient, pareils à nos flammes (!), que nous nous retrouvâmes avec les autres invités : Chantal de Cyrignac, la douce et brune débauchée et son époux Marcus, la belle et vicieuse Valérie de Versanges, la belle zoophile ne sachant se passer des plaisirs de la chair, Nicole et Albin nos hôtes, le cocher de ces derniers et la domestique de nos Amis, l’ardente complice lesbienne de Nicole.
En cette fin d’après-midi, il fut donc décidé que nos Amours seraient uniquement faites de sodomie, chaque Dame n’ayant pour être ici saluée que l’usage du séant pour chaque cavalier… Il y aurait sans doute aussi quelques joutées, faites de godemichets aux membres ivoirins, ou encore quelque chien – ici deux lévriers – vaillants Amants canins aux belles chevauchées !
Chacun se mit en place, l’on se fit belle cour, connaissant de nos vices les merveilleux atours…
Des bas et jarretelles nos Dames étaient parées, parfumées et si belles et si fort excitées…
Des servantes oignirent nos vits bien dressés, enduisant nos prépuces d’une crème lénifiante, afin qu’ils glissent bien par ces voies détournées aux plaisirs souverains…
Quelles chaudes bandées sous les doigts fort habiles de ces Manon, Ninon, Marion et autres filles qui riaient et gloussaient, car bien émoustillées à la pensée de voir nos Dames ainsi prises… Chantez, riez, mes Belles, attendez nos Amours, peut-être serez-vous de Celles prises à votre tour !
Ainsi donc débutèrent, nos chers accouplements.
Nous glissâmes ainsi voluptueusement d’anus en anus et de fondement en fondement, lovés en des abysses aux bien secrets satins… Ces femmes qui gémissent, qui ondulent et se tendent, sous ces membres qui bandent et les prennent sans fin sont les belles servantes aux privautés câlines de ces dieux olympiens aux mœurs libertines. Ô plaisirs infinis de belles sodomies où ces femmes se donnent, Amantes déchaînées qui sonnent de nos corps gentement les tocsins et nous veulent bien prendre nos semences chauffées aux fourneaux de Vulcain ! Nous vous avons aimées par l’unique chemin où vous nous dirigeâtes en donnant à vos corps ces tangages sans fin nous laissant naufragés de vos charmants culins. Et vos plages de chair tapissées de satins accueillirent les velours de nos dressés vitins qui vous sodomisèrent et vous prirent longuement ; vos houles ont bercé tous nos beaux éclairs blancs aux foutres immaculés qui apaisèrent vos sens …
Et vous voici calmées, caressées par nos chairs restant en vous fichées, le temps que se libèrent nos tendresses et la chaleur de nos baisers qui, en reconnaissance, sur vous s’en viennent se poser, lorsque toute licence, telle une mer calmée, retient encore nos corps restés à vous soudés. Nos lèvres-papillons s’en viennent effleurer vos charmes, vos épaules, vos fesses et vos petits fossés où gardez les ivresses de vos Amants charmés. Ô liqueurs séminales en vos belles fleurs anales, comme autant de rosées répandues en coulées qu’on dit subliminales !
Il vous eût fallu voir ici tous les jolis culins en harmonie danser sous les assauts divins de tels cavaliers, contempler ces beaux vits en troufignons glissés, comme serpents en mue en leurs trous agités ; les belles de Sodome se voyant enfilées par quelque pressant vit d’un nouveau cavalier… Ainsi, à tour de rôle, les partenaires changeaient, là c’était un Amant, ici un mari ou quelque chien ardent qui la prenait en figne, la Dame se trémoussait, ardente et pleine de semence poussée en ses entrailles, jusqu’à ce qu’elle défaille de plaisir et n’éclate en des cris
trahissant ses jouirs…
Bien acalifourchée, ma femme ici se mit sur mon vit dressé qui aussitôt la prit donc ici par derrière, comme il était prévu et bien recommandé au long de cette soirée ; elle chevaucha ainsi sur son arc de chair, son impatient mari, préparant son derrière à d’autres assauts ici… Son anus et ma chair aussitôt se marièrent ; la joute se fit bien et nous nous marièrent avec un bel entrain.
Je déculai d’icelle et jutai sur l’anus qui fut auréolé d’un pâle et blanc jutin. Etait fait le chemin, Marcus époux de la dive Chantal, vint s’accroupir ici sur le cul de ma femme et aussitôt la prit, en ce facilité par mon foutre tout frais qui maculait son trou…il entra d’un seul coup dans le cul de Françoise qui salua d’un cri, ce bien rapide assaut et ce furent des tressauts qui n’en finirent point, tant notre Ami au trot prit le joli culin… Je chevauchais déjà depuis quelques instants, notre dive Chantal en son beau fondement…celle–ci se cabrait et me tendait ses reins, de jolies fesses fermes qui appelaient le sperme de ce vieux libertin qu’elle savait que j’étais…
Elle serrait son anus, petit anneau divin étranglant mon prépuce en ses sauts de coquin, donnait des coups de reins à m’arracher le vit, déchaînant ma poursuite en son fin popotin ! Ses longues mèches frisées et bouclées voguaient sur ses épaules, une belle brune enfilée qui appréciait son… « drôle » qui la sodomisait ; par-dessus son épaule ainsi elle me donnait des baisers et des langues qui me faisaient dresser, je remuais dans sa geôle presque à me déqueuter.
Je jouis comme un forban au bout de ses entrailles, elle releva la tête, comme une fière cavale, son œil brun brillant, la langue sur les lèvres, elle mordit à ma bouche, donna un coup de reins, me tira mon jutin et resta envitée, retenant mon vérin…
J’adorais la baiser quand nous nous retrouvions, elle avait un beau fion que j’aimais tout après, déguster sans façon, la langue en troulinet, suçant son trou mignon, ô combien parfumé !
Nicole d’Engerrey était, elle, prise en mains par son vaillant cocher et homme de membrin qui, malgré son vieil âge, la savait enculer à fond de cul sans fin ! Je la voyais danser, tendre son popotin, ses fesses qui glissaient au long du gros membrin aux poils ébouriffés ; il la maintenait bien, Maîtresse dominée qui lui donnait son fion ; ainsi donc le cocher faisait claquer ses mains sur les fesses agitées, comme il eût fait d’un fouet… elle gémissait, se tordait, remontait le culin, s’éloignait, revenait s’enviter, impudique, rageuse, Marquise un peu catin s’encoquinant avec un cocher libertin, sodomite et fripon aimant le cul tout autant que le con de sa belle Maîtresse…
Je quittai les fesses de Chantal – et pris le temps, comme à mon habitude, de licher ma semence en l’orifice anal aux bien rosés tréfonds - tout prêt à rebander dans le fossé anal de quelque charmant cul à portée de membrin ! Valérie de Versanges me fit signe de la main, venant d’être enculée par notre Ami Albin, le mari de Nicole, elle me voulait en figne… Elle ne changea point de position et je la mis en fion, m’enfonçant bel et bien en son joli troulin tout humide d’Albin ayant joui comme un étalon…
Je la poussai bien et je fus vite au fond, gardai mon trot, elle cria, se tortilla, me retins de la main pour que je la prisse bien et restasse en son trou au plus loin… Valérie de Versanges qui pratiquait l’Amour d’une belle expérience, coquine, vicieuse, gourmandine queuteuse, aimant tous des plaisirs, savourant de son chien le lévrier Phébus, les beaux assauts sans fin… Je la mettais bien, la sentais, fesses au ras de mon ventre, serrant bien son anus sur mon vit dodu…une belle enfilée, dont jouissais pleinement au fins fonds de son cul . Nicole avait joui, poussant un long cri quand son coquin de cocher lui donna l’hallali au fond du culbutin…
Chantal était à présent prise par le lévrier « Uranus » de Nicole et Albin ; ce chien avait la ruse – je dirais même l’astuce - de s’introduire en nos plaisirs libertins, choisissant là la femme qu’il enfilerait bien, humant, léchant un anus, un prépuce puis, se mettant en position, faisant jouer ses reins dans le vide, sa mince et fine échine mimant le trot coquin sur quelque Muscadine attendant qu’on la prît avec un bel entrain…
Le cul de Chantal ondulait sous le chien, dont le plaisir anal semblait lui convenir ; il prenait à loisir ce petit cul divin, les pattes sur ses reins enserrant la jolie, la retenant sous lui, impérieux à la fois, mais bien aussi câlin… Son vit glissait bien, long, rose, élastique, dur, l’anus lui rendait ici ses va et vient, courant au long du vit en un trot là divin ; Chantal gémissait et courbée sous le chien, toute à lui se donnait en jolis coups de reins… Elle me regarda, ferma les yeux, les rouvrit, elle jouissait sous lui, par lui et ahanait de plaisir, le souffle court, les cheveux sur les yeux, déhanchée, prise, comblée, assouvie, poignardée, empalée jusqu’au fond de son être… Une belle baisade aux beaux canins effets ! Cet Amant canidé était donc remarquable.
Valérie de Versanges me tira mon foutrin de ce long coup de reins dont elle avait le secret, le Cher Ange débauché ! Je me vidai…pourrais-je encore bander ? Ma foi, je n’en savais rien, ces assauts répétés appelaient du repos… Je déculai de ma Belle et m’en fus faire une toilette minutieuse en un privé Cabinet… Je jetai un regard sur nos superbes vicieuses qui se déchaînaient, insatiables par les hommes montées tout autant que par les chiens qui appréciaient ces Dames sachant là leur donner des caresses infâmes, mais combien appréciées par ces Amants quidams préférant à leurs chiennes… nos Dames…
Les couples, qu’ils soient humains ou canins (!) se séparèrent pour procéder à une toilette bienvenue, tout comme je le fis et prisèrent fort quelque bon vin et gourmandises qui les remirent en forme pour les suivants desseins…
Au Salon, quatre Servantes nanties de magnifiques godemichets attachés à leur taille par de fines lanières de cuir arborèrent leur « virilité » dont les détails, finement reproduits, à nos vits de chair en tous points ressemblaient! Elles avaient auparavant pris grand soin de bien garnir les grosses bourses de quelque bon liquide chaud et sucré, lait, miel, sirops superbement concocté par nos charmantes « gouines » qui allaient pouvoir exercer leurs talents… Elles ne manquèrent point de oindre savamment leurs beaux vits galants d’un bel onguent crémeux, adoucissant, qui faciliterait l’intromission en de si délicats endroits…
Nicole, Françoise ma Mie, la douce Valérie, la belle Chantal de Cyrignac se mirent donc en position pour recevoir l’envitée de ces Muscadines – nous, Messieurs, ne devant en aucun cas intervenir au cours de ces « montées » entre femmes – la vue était des plus excitantes et nous n’en perdions aucun détail. Les quatre officiantes, dont la Servante et Maîtresse de chair de Nicole, prirent donc place et se postèrent chacune sur un cul bien relevé, chacune de nos femmes ayant reçu un épais coussin glissé sous son ventre ; les fesses ainsi relevées donnaient un aperçu intégral de la sodomie par les charmantes « godemicheuses » bellement armées…
Les fesses furent délicatement écartées, les vitins d’ivoire furent lentement glissés dans l’anal conduit de chacune qui le reçut avec empressement, les avalant gentement et nos Dames commencèrent à jouer des fesses, à se tortiller, prises fermement par les hanches par chacune des « monteuses » ; des bribes de phrases venaient à nos oreilles : « Allez, beau croupin, avalez bien ce vit, comme il est doux, comme il est bon ! » ou : « A fond, ma Belle Dame, laissez-vous bien enviter, il glisse, vous le sentez ? » ou encore : « Ah, le beau cul, Ma Dame, comme il se fait bien enfigner ! Regardez, je le pousse ce vitin que vous aimez, sentez-le…Il va, il vient, il encule si bien ! ».
Et ce n’était que « Aaaahhh, ouiiii, alleeez, plus loiiiin, montez bien mon cul, ma Chèèèère, à fond, presseeeez le jutin… » et de fait, les belles Cavalières d’accélérer le train, de bien presser les couilles arrondies de liquide ; les culs avides buvaient, s’exhaussant joliment, les Servantes déchaînées montant à fond leurs montures, Tribades libérées qui forçaient leur allure, véritables « enfileurs » aux masculins attributs luisants et patinés qui allaient par les culs, comme des chevaux emballés… Ces enviteuses bien membrées ici se faisaient hommes, fières, elles n’étaient plus servantes, mais bien dominatrices, enculant joliment, satisfaisant les vices, pinçant ici les cuisses, faisant claquer les jarretelles, donnant des claques vives sur le cul de nos Oiselles, tout en les chevauchant comme des Walkyries aux débridées folies, aux grands écarts sensuels…
Nous nous branlions, les yeux écarquillés, dévorés de désir, admirant nos Amours se faisant enfiler, là, sous nos yeux, ivres de luxure, dévergondées, prosternées sous leurs lesbiennes dominatrices effrénées… Chacun a joui, vidant tout son plein de foutre entre ses pieds, sur ses doigts, sur ses cuisses, en de fortes branlées qui semblaient ne pas pouvoir s’arrêter… Une ou deux Servantes s’agenouillèrent et vinrent prendre leur offrande, accroupies, retroussées, bas tirés, jarretelles tendues, lichant, s’abreuvant de nos foutres mêlés, chiennes en chaleur ne se contenant plus… Allions-nous résister à quelque désir de promptement les enviter ?
Nos épouses ne pouvaient être prises que par le cul – souvenez-vous du thème de la soirée -, alors que les deux Servantes qui s’occupaient de nous avaient, elles, là toute liberté, de se voir prises en cul, mais aussi bien en con et nous n’allions point hésiter à les bien honorer en la situation…
Albin s’étendit dos au sol, la première Servante s’en vint sur lui, guida son vit en son con, Marcus s’accroupit derrière elle et pointa ferme en cul, un vit cramoisi, poussa et le trot à trois se fit…la Belle joliment envitée se mit à danser en même temps sur les deux verges bien poussées…et apprécia le trot de cette double envitée !l
A mon tour, je m’étendis, la seconde Servante sur moi se mit et se fit prendre en con, tandis que le Cocher de Nicole et Albin, derrière elle posté, introduisit son large membrin en son joli troulin qui le reçut fort bien et coulissa sans tarder ; ainsi, chacun de nous avait-il son plaisir, tout en satisfaisant ces deux charmantes Oiselles en bas et porte-jarretelles ayant pitié de nous et voulant nous combler… Nos sodomies durèrent quelques bonnes minutes, nos positions changèrent, partageant nos culbutes, ceux du dessous passèrent derrière, découvrant l’autre trou et nos chevauchées singulières continuèrent, tandis que là-bas, nos Compagnes poursuivaient leurs godemichées, montées sans désemparer par les déchaînées Tribades qui les envitaient.
Et ce n’était que cris et plaintes, qu’injonctions à plus loin pénétrer, les culs étaient en feux, les belles enculades durèrent encore un peu… Et puis, les trots s’atténuèrent, les belles Femmes en sueurs aux suints révélateurs enfin se séparèrent, retombant anéanties dans les fauteuils et les bergères, pâles, défaites… les Belles Godemichettes descendirent de leurs montures, le vit en ivoire balançant, humide, gluant, les bourses flasques…Le silence ne fut troublé que par de faibles gémissements encore, des bruits de baisers, des froissis de bas et jarretelles ou jarretières, corps abandonnés, aux poses alanguies… des roses brisées d’Amour sous le vent des plaisirs…
De longues toilettes s’en suivirent et puis, un souper fut servi : vins capiteux et mets choisis, car Nicole et Albin savaient là recevoir et combler leurs Amis, après d’aussi intensifs festins… de chair… Vers deux heures du matin, nous quittâmes leur Gentilhommière et montâmes en carrosse pour rejoindre céans l’un de nos pied-à-terre niché en bords de Loire…
Françoise s’endormit tout contre moi serrée, ma divine Marquise aux si beaux yeux cernés souriait à la nuit sous un rais de ménure dans ses cheveux dorés…
Lectrices et lecteurs, mes fidèles Amis, je vous souhaite la bonne nuit…sachez bien vous aimer tout au long de vos nuits… et surtout me lisez, l’Amitié, c’est la VIE !
Signé : le Marquis de Chair
Ma femme m'a appris à me faire saillir par des hommes, par Philémon
Je suis marié avec mon épouse Sophie (pas moi... -ndlr) depuis quinze ans. Un après-midi, j’ai surpris ma femme au lit avec une de ses amies. Je n’ai pas fait d’esclandre et je suis sorti de la maison. Le soir je suis rentré chez moi. Elle m’a avoué qu’elle était bisexuelle. Étant très amoureux d’elle, j’ai accepté qu’elle continue à entretenir des relations sexuelles avec des femmes.
Suite à cela, elle m’a parlé de son phantasme. Elle souhaitait que j’aie des relations sexuelles avec des hommes. Voyant que je ne voulais pas donner suite à sa demande, elle a commencé à acheter des vidéos homosexuelles masculines.
Le soir, quand nous étions couchés, elle allumait le téléviseur de notre chambre pour regarder les cassettes mettant en scène des hommes entre eux. Allongée nue sur le lit, elle écartait les cuisses et se caressait le sexe jusqu’à l’orgasme en visionnant les vidéos. Constatant que je ne cédais toujours pas à sa demande, elle décida de se refuser à moi tant que je ne me masturberais pas plusieurs fois devant elle en regardant ces films.
J’ai tenu trois ou quatre semaines, puis j’ai commencé à regarder ces vidéos avec elle. Je devais me masturber, toujours en sa présence, jusqu’à l’éjaculation. Elle me regardait et me demandait de faire certaines choses comme me caresser l’entre cuisses, les fesses, les seins, de m’introduire divers objets phalliques dans l’anus pour que je me baise avec. Bizarrement, je faisais ce qu’elle me demandait et cela commençait m’exciter. .
En fin de semaine, elle faisait les comptes. J’avais le droit de la toucher seulement si je m’étais masturber cinq fois jusqu’à l’éjaculation en regardant les films homos. Si le quota était atteint, je pouvais faire l’amour avec elle. Durant nos rapports intimes, elle ne manquait pas de me saillir longuement avec un gode ceinture.
Je passais plus de temps à avoir des orgasmes en me masturbant sur des vidéos d’hommes qui couchent ensemble que faire l’amour avec ma femme.
A partir de cette période, à chaque fois que j’éjaculais dans son sexe ou ses fesses, durant nos relations sexuelles, je devais lécher et avaler mon sperme qui s’en écoulait. Elle insistait pour que je le fasse afin que je m’habitue au goût, à l’odeur et à la consistance du sperme.
Quand elle me faisait une fellation, elle n’avalait pas mon foutre. Dès que j’avais éjaculé elle me donnait un baiser pour faire couler dans ma bouche mon sperme que je devais bien entendu avaler.
Puis, elle m’a acheté des plugs de différents diamètres que je devais mettre le soir en rentrant à la maison et les garder jusqu’au coucher. Quand nous faisions l’amour ensemble, je devais toujours me mettre un plug dans l’anus pour m’habituer à être pénétrer.
Ma femme ne se cachait plus. Ses amantes venaient chez nous même quand j’étais là. Elles savaient toutes ce que mon épouse me faisait faire. Quand l’une d’elles venait pour baiser avec mon épouse, je devais l’accueillir entièrement nu, un plug dans le cul.
Si je souhaitais regarder leurs ébats, mon épouse m’imposait la règle suivante : je devais être debout, jambes écartées, un plug ou un gode dans l’anus. Si j’avais le droit de me masturbé, il m’était interdit d’éjaculé. Bien entendu, je ne devais pas les toucher.
Au bout de presque deux années de ce petit jeu, je commençais à prendre un réel plaisir à me sodomiser en regardant des vidéos homos et voir ma femme baiser avec ses amies..
Un jour en rentrant chez nous, mon épouse m’a surpris nu en train de m’empaler sur un gode tandis que je me masturbais en même temps. Elle fut ravie et m’a demandé de continuer à me baiser. Elle a estimé que le moment était venu de choisir pour moi des hommes qui me baiseraient devant elle.
Pour débuter, elle me proposa de sucer le mari de l’une de ses amies. Le jour convenu, nous nous sommes rendus chez eux. Ce couple avait invité un autre couple et ils étaient prévenus de nos attentions.
En arrivant, ma femme me présenta. Elle me demanda de baiser mon pantalon et mon slip pour que l’on voit le plug que je portais dans le cul ainsi que mon sexe au repos et de me mettre à genoux.
L’un des deux hommes se mit debout devant moi et sorti sa bitte de son pantalon pour me la mettre dans la bouche. Comme je l’avais vu faire dans les films homos, j’ai léché son sexe et ses couilles. Puis je me suis mis à lui faire une fellation
Au bout de quelques instants, ma femme fit remarquer à ses amies que je bandais et que mes fesses se contractaient par moments sur le plug que j’avais dans l’anus. Elles se roulèrent des patins avec la langue et glissèrent chacune une main sous la jupe de l’autre pour se caresser mutuellement le sexe.
L’homme a éjaculé dans ma bouche. J’ai avalé son sperme. En guise de récompense, ma femme me demanda d’éjaculer à mon tour dans le verre qu’elle me tendait et d’en boire le contenu, ce que je fis.
Puis mon épouse se déshabilla et se mit en position de levrette sur le tapis. Je me suis allongé sur le dos ente ses cuisses, mon visage juste en dessous de sa chatte. Le deuxième homme se glissa derrière elle et la pénétra. Par moments, il retirait son sexe de la chatte de ma femme pour le glisser dans ma bouche. Je le suçais, puis il reprenait mon épouse. Il a fini par éjaculer dans son sexe. Ma femme se redressa, plaça sa chatte au dessus de ma bouche pour que j’avale le sperme de son amant qui coulait de son sexe.
Quelques jours plus tard, en rentrant à mon domicile, je trouvais cinq hommes nus avec mon épouse. L’un deux fortement membré la baisait par devant tandis qu’un autre la prenait par derrière.
Une amie de Sophie présente m’accueillit. « Ils sont là pour toi, mais Sophie voulait les essayer avant qu’ils te baisent. »
Deux hommes se dirigeaient vers moi. L’un me plaqua contre son torse poilu et me roula une pelle avec la langue, tandis que l’autre, derrière moi, me déculotta et écarta mes fesses pour me sodomiser. Ma femme me livra à eux en leur disant que j’étais là pour apprendre la pluralité masculine. Elle leur demanda de me considérer comme une femelle qu’ils devaient remplir de sperme par derrière. J’en avais très envie et je me suis laissé faire. Ils me passèrent tous dessus, certains à plusieurs reprises. J’ai joui plusieurs fois.
Quand ils partirent, mon épouse glissa une de ses jambes entre les miennes et me dit qu’elle était très heureuse et excitée de voir mon anus largement ouvert et dégoulinant de foutre. Elle m’enlaça et me donna un profond baiser tout en frottant le haut de sa jambe contre mon sexe. Je suis entré en érection et sans même me toucher j’ai éjaculé longuement sur sa cuisse.
Ces rencontres se sont reproduites huit ou neuf fois. A chaque fois, plusieurs hommes me prenaient.
Aujourd’hui, j’ai toujours des relations sexuelles avec des hommes et mon épouse avec des femmes. Nous assistons aux ébats de l’un et de l’autre. Nous faisons l’amour ensemble une fois par semaine environ. Quand je veux la baiser, je dois me mettre un plug dans l’anus pour pouvoir entrer en érection. Je dois dire qu’elle a réussi mon éducation de ce côté là et elle en est fière.
Philémon.
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Brèves coquines
Rêves et désirs
Il est deux heures du matin et tu m’obsèdes, j’ai peur de m’endormir au risque de t’oublier. Tu es offerte à moi sans retenue. Tu m’as offert ton corps souple et gracieux. Je me suis vu en toi, imaginé allongé sur toi.
Chaque souffle, chaque gémissement était pour moi. Je t’ai imaginée criant mon nom entre deux respirations. Tu serrais mes hanches entre tes cuisses. Tes ongles lacérant mon dos tant ton plaisir était fort. Je me sentais fort et puissant, te dominant tout en étant à la disposition de ton plaisir. J’ai imaginé tes parfums et senteurs m'excitant plus encore. Mon nez contre ton clitoris et ma langue en toi te faisant te cambrer de jouissance… Ton corps gigotant dans tous les sens comme pour se libérer d’un raz de marée de sensations fortes.
J’étais cet ogre dévorant ton corps avec délectation, ce démon tentant de te damner et de te posséder. Je te voyais assise sur moi me chevauchant comme au rodéo faisant des ruades d’avant en arrière pour maintenir le plaisir en toi. Je sentais la chaleur de ton corps sur toute la longueur de mon sexe, tu m’enserrais la tête contre tes seins pour m’empêcher de m’en aller, tu te secouais sur moi de plus en plus fort comme si tu dansais sur une musique endiablée pour que je te pénètre plus profondément, plus loin encore, tes hanches se balançaient de gauche à droite pour aller chercher les moindre centimètre carré de jouissance pour que l’orgasme soit complet.
Je t’ai sentie vibrer comme une corde à piano puis te contracter de l’intérieur. Je sentis ton vagin vibrer et battre au rythme de ton cœur. Foudroyée par un orgasme cataclysmique, tu es restée immobile comme suspendue dans le temps, les yeux clos et la respiration coupée, les bras serrés autour de mon cou, et je sentis ton jus de jouissance couler sur mes cuisses.
Tu entrouvris les yeux, tu me souris et repris un lent mouvement. Ton vagin serré me fit autant d’effet qu’a toi, cette nouvelle sensation provoqua une seconde vague orgasmique que je ne pus que suivre alors que ton mouvement se faisait de plus en plus puissant et appuyé et je me répandis en toi, comme un geyser. Nous sommes ensuite restés là l’un en l’autre, blottis pour suspendre l’envol du temps, essoufflés de tant de plaisirs.
Signé : Fritz the Minou
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!! Souvenirs !!
Hep ! Patrice mon bel ami
Te rappelles-tu ce jour
Où tu me l'as mis ?
J'étais chaud comme un four.
Dans cette boîte de nuit
C'est une danse de l'amour
Qu'autour de moi tu fis,
Avec beaucoup d'humour.
J'y étais venu draguer les nanas.
Et c'est moi, un mec, qui le fus.
Tu usas de ton charme sympa
Pour louer et vanter mon cul.
Que voulais-tu que je fasse ?
La bosse de ton pantalon
Était joli mot de passe
Pour faire de mon cul un con.
Notre nuit fut un grand feu.
En moi longtemps et souvent
Ton beau et si gros nœud
Fit de toi mon meilleur amant…
Signé : Bruno le libertin
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Click
"Click" est le dernier son que j'ai entendu avant de te voir pour la première fois. Une fenêtre s'est ouverte dans le coin de mon moniteur, et quand je t'ai vue, j'ai su à ce moment là que ma vie avait changé.
Toi au teint clair et au sourire envoutant, toi que je vois mais qui ne me regarde pas encore.
C’est légèrement vêtu que tu t'offres à ma vue, toute parée de transparence, la magie a posée un voile sur tes épaules. Tu es belle comme un jour de printemps, douce comme un soleil d'automne, belle comme la neige en hiver et chaude comme une nuit d'été.
Je caresse ton visage à travers mon moniteur et tu me regardes. Aurais-tu senti mon doigt sur ta joue ? Oui, par delà les mers, tu me vois, tu me souris.
La musique se fait entendre et toi tu danses sur ta chaise, tes seins lourds se balancent en rythme. Tu es belle.
Tu te lèves et me fait découvrir ton corps à travers ta nuisette, tu es magique !
Tu enlèves doucement tes bretelles et laisse tomber cette armure de tissus et te voilà nue, tu es magnifique.
Une chaleur m'envahit, je n’entends plus la musique, je ne vois que toi évoluant comme un nuage dans mon écran. À chaque fois que je ferme les yeux, tu es déjà un fantôme dans ma mémoire. Tu es entrée dans mon placard à fantasmes.
Que ne suis-je devenu libertin plus tôt pour te connaitre ?
Que ne suis-je plus près de toi pour te toucher, te parler, faire ta connaissance ?
Quel est cet homme nu qui danse avec toi ?
Peu m'importe nous sommes libertins, seul notre plaisir compte.
Libertin je suis aujourd'hui, libertin je mourrais, mais pas sans t'avoir connu.
Signé : Fritz the Minou
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Tres beau texte, superbe........
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