Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée Démonia
Une petite histoire qui m'est arrivée il y a quelques années : j'avais décidé de participer à la soirée Demonia qui avait lieu aux caves Lechapelais à Paris.... A l’époque, je commençais à m’intéresser au SM et j'avais trouvé très excitant de participer au moins une fois à ce type de soirée..... look obligatoire uniforme, j'avais opté pour un treillis très militaire.
J'arrivai donc vers minuit et descendais le long escalier menant aux deux grands espaces voutés.. C’était une ambiance inimaginable : sur la gauche un espace dance avec DJ et sur la piste, toutes sortes de créatures allant de l’infirmière sexy à la créature transgenre type dragqueen ou travesti, en passant par les gothiques, les punks et les multiples esclaves mâles ou femelles accompagnés de leur maitres et maitresses plus ou moins vêtus ou devrais-je dire dévêtus. Je passais un long moment à scruter cette faune en sirotant mon verre, assis sur les chaises qui entouraient la piste de danse.
Au bout d'un moment, je décidai d'explorer l'espace de droite. Dans la pénombre, il y avait une multitude « d'ateliers », où les maitres et maitresses exhibaient leurs esclaves, bondés et offerts aux désirs des visiteurs.....
Je m’intéressai notamment à un couple dont la femme était debout, quasi nue : ses bras et ses chevilles écartées et attachées à des barres horizontales la mettaient en position de croix de Saint André. A mon approche, son mari lui cravacha les fesses, ce qui lui arracha des gémissements.....
Son sexe entièrement rasé et dont les lèvres étaient entrouvertes attiraient ma main, sous le regard approbateur de son maitre... Mes caresses provoquaient des frissons de plaisir jusqu'au moment où d'un signe de la tête, son maitre m'intima l'ordre d'arrêter : je retirai ma main non sans effleurer son ventre et ses seins qui tressaillirent. Je prenais congé d'eux d'un sourire pour poursuivre ma visite....
Un peu plus tard dans la soirée, je quittai la piste de danse et les remarquas assis sur des chaises dans la pénombre. Mon regard et celui de son maitre se croisèrent et il me fit comprendre de m'approcher. Alors que je me trouvais prés d'eux, il écarte les cuisses de sa soumise et je rentrai à nouveau mes doigts en elle pour la masturber. Je fouillais sa grotte trempée, pour sentir au mieux ses chairs humides et appétissantes.
Etant accroupi devant elle, je ne résistai pas, et je décidai au bout d'un moment de remplacer mes doigts par ma bouche, ce qui la surprit, puis la ravit, si j'en jugeai par sa réaction. Je m’appliquai à la lécher aussi bien que je pouvais, ayant une réelle envie de la faire jouir…
Pendant ce temps, son maitre sortit son sexe de son pantalon de cuir en se masturbant. Sa main se posa sur ma tête et il l'attira sur son chibre dur et épais : je le suçai sans hésiter, mis en appétit par cette belle tige massive. Je l’avalai autant que je pouvais, savourant son gout épicé, ressentant sous ma langue ses tressaillements de plaisir. Je le pompai à fond, tout au plaisir d’avaler un si bel engin. Je le gardai de longues minutes dans ma bouche jusqu'à le faire jouir, pendant que sa soumise se caressait de sa main en haletant…
Soudain de ses mains, il se retira de ma bouche et jouit rapidement sur mon visage. Surpris, je ne me retirai pas pour autant, heureux de sentir le nectar couler sur mon visage. J’attrapai quelques gouttes de son jus pour m’en régaler.
Après avoir repris nos esprits, il me tendit un mouchoir pour m'essuyer et se leva avec sa soumise pour aller plus loin....
Je ne les ai pas revus de la soirée, mais je garde en moi cette expérience unique en son genre….
Du coup, mes envies se sont précisées, et aujourd’hui, je souhaite recommencer, étant définitivement bi...
Si un homme ou un couple souhaite me rencontrer, je suis là pour eux… J’aime être surpris, et dominé cérébralement. Je suis libre pour vous en journée, et en semaine…
texxing@hotmail.com
Texxing
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Le collier de Sabine
Nous roulons depuis plus d'une heure. Je ne sais pas où nous allons. Par contre, je sais ce que l'on va y faire et ce qu'il m'attend. Je n'ose pas trop y penser, je suis terriblement anxieuse depuis le départ de Lyon. Il est presque onze heures du soir, la nuit est claire, nous avons encore pour quinze à vingt minutes de route me dis-tu.
J'ai peur.
Comment ne pas avoir peur la première fois à une telle expérience ? Une expérience qui, à mes yeux, est toute aussi montreuse que sordide. Comment ai-je fait pour l'accepter ? Je me le demande encore. Il a fallu que nous en parlions durant de nombreux mois, pour seulement me faire accepter l'idée de tes fantasmes complètements délirants. Au début, lorsque tu m'as présenté ton désir. J'ai cru à une blague. Que tu te foutais de moi. Que ce n'était pas sérieux, que tu n'étais pas sérieux. Puis petit à petit, j'ai compris que pour toi c'était très sérieux.
A force de persuasions d'explications, d'encouragement sans fin, de photos explicites et de récits j'ai fini par le comprendre et même par imaginer le vivre. Tu as insidieusement installé ton fantasme épouvantable dans mon esprit.
Lorsque j'y repensais seule, j'avais honte d'avoir eu de telles pensées aussi malsaines, aussi sordides. Je me jurais qu'il était impossible d'accepter cela, que j'accepte cela. Même si cela devait-être une question de vie ou de mort. Fantasmer sur ce sujet était déjà pour moi suffisamment monstrueux et honteux. Il y a encore deux jours, le réaliser, le vivre n'était même pas imaginable. Je me sentais protégée par la distance qui nous séparait. Je savais bien-sûr, j'aurais envie de te rencontrer lors d'un de mes séjours dans le centre. Mais ce n'est pas pour cette raison que j'accepterais des désirs aussi pervers que monstrueux. Mais en parler, fantasmer sur le sujet encore une fois, pourquoi pas ?
Au fond de moi, je n'étais pas vraiment persuadée que tu veuilles le faire réellement. Au contraire je pensais que c'était toujours qu'un fantasme. Comment me suis-je laissée convaincre ? Je me le demande encore. Nous arrivons à l'entrée d'un petit village. Tu me dis que nous sommes presque arrivés, et tu me demandes de mettre mon collier. Je me sens rougir dans l'obscurité de la voiture, je me mords les lèvres.
Je tiens le collier dans les mains depuis le départ de Lyon. Tu m'as conseillée de le mettre juste lorsque nous arriverons. Un accident, un contrôle de gendarmerie était toujours possible et, avoir un collier de chien autour du cou n'était pas innocent et courant. Un collier que tu m'as offert lors de notre rencontre il y a deux jours. Un collier que tu as choisi pour moi. Un collier en cuir rouge avec une plaque d'identification gravée à mon prénom « Sabine ».
Un collier qui me va parfaitement, suffisamment long et large, muni d'une laisse en acier chromée. Un joli petit collier de chienne que tu me disais. Je repousse mes cheveux et passe la sangle en cuir autour de mon cou. Je la passe dans la boucle en acier et cherche la bonne position. Légèrement serré autour du cou sans m'étrangler. J'ai un peu de mal à repasser le bout de la sangle dans le passant en cuir. Voilà, je suis prête. Je tiens dans mes mains la laisse en acier. Tu m'as dit qu'ici où nous allions, je n'aurais pas à avoir honte et rougir de porter ce collier.
Il ne devrait pas y avoir plus de dix personnes au total. Certains notables, hommes et femmes ayant au moins la cinquantaine et des situations importantes. Des personnes qui se réunissent en secret de temps en temps pour vivre un fantasme hors du commun. Des gens bien sous tous rapports, à qui on donnerait le bon-Dieu sans confession, certains d'entre eux, pour ne pas dire la plupart, vont à la messe chaque dimanche.
Mais, pour moi à cet instant, ce sont des pervers et des malades. Mais je me garderai bien de leur dire. La voiture ralentit et s'engage dans un petit chemin. Mon cœur commence à s'emballer. A la peur, l'angoisse, se mêle aussi l'excitation. Tu connais l'endroit pour y être venu plusieurs fois. Tu ralentis encore et passes un portail resté ouvert. Les pneus crissent sur les gravillons. Quatre ou cinq voitures sont déjà garées devant une grande maison imposante. La porte s'ouvre un rayon de lumière une ombre, un homme sort.
Il nous salue, il te reconnait et me regarde. Il te dit que nous sommes les derniers et qu'ils nous attendaient pour enfin commencer. Une femme apparait à son tour sur le perron. Elle nous salue, nous demande de rentrer et demande à l'homme d'aller refermer le portail à clés. Tu as pris la laisse de mes mains et m'ordonne à voix basse de rester juste derrière toi, dans ton dos. La dame m'a regardée longuement, m'a dévisagée. Elle s'adresse à toi.
« Comment s'appelle-t-elle ?
– Sabine.
– Elles seront deux ce soir… Avec trois chiens. Elle te sourit.
– L'autre est une habituée… Elle c'est la première fois que je la vois… Elle est très jolie légèrement typée, elle plaira beaucoup… Surtout à Dick. »
J'ai honte de vous entendre parler de moi ainsi. Je voudrais à la fois repartir mais aussi rester, je te regarde, je suis au bord des larmes, tu n'as pas un regard pour moi. Nous suivons la dame, elle nous fait rentrer dans une immense pièce qui doit être le salon.
Plusieurs personnes sont déjà présentes et discutent entre elles, assises sur des fauteuils et des canapés. A notre arrivée, le silence se fait et je sens que tous les regards se portent sur moi. Je suis terriblement gênée, j'ai honte et baisse les yeux, je t'en veux beaucoup. Je m'en veux énormément.
Il y a quatre ou cinq hommes et autant de femmes, des couples certainement qui doivent avoir la cinquantaine ou plus. Deux femmes échangent des commentaires à voix basses en me regardant. Les hommes me déshabillent du regard, certain sourient. Certaines personnes semblent avoir des sourires ironiques. Un des hommes fait une remarque désobligeante sur moi, ce qui fait rire doucement trois ou quatre autre personnes.
« Mais non, soyez gentil et indulgent.
– C'est la toute première fois qu'elle vient… Je vous présente Sabine, à peine vingt-trois ans. C'est la dame qui nous a accueillis qui semble être la maitresse de maison qui parle.
– Regardez comme elle est jolie… Intimidée, mais si mignonne.
– De si beaux yeux, il serait dommage de les voir pleurer. »
Certaines personnes échangent entre elles des commentaires à voix basses en souriant. Je suis morte de honte. Je remarque assis à l'écart sur une chaise une jeune femme avec autour du cou un collier de chien, elle aussi. Elle tient la laisse dans sa main. Elle me regarde aussi.
« Admirons sa beauté autant que son courage d'être à cet instant parmi nous… Et remercions Remi de nous avoir apporté un aussi joli petit lot. »
Entre deux fauteuils, un chien berger-allemand de couleur clair est couché, la tête relevé. Il me regarde et ne me quitte pas des yeux.
« Elle semble intéresser très fortement Dick. »
La remarque vient d'une des femmes et fait sourire et rire doucement plusieurs personnes.
« S'il n'en veut pas, je serais très intéressée par contre. »
C'est une autre femme assez forte qui vient de faire cette remarque. Je la regarde, elle me sourit et rajoute… Je suis même prête à la partager avec lui.
Tu me demandes si cela va. Je suis perdue, au bord des larmes, j'ai honte et j'ai très peur. Tu me fais assoir sur une chaise aux cotés de la jeune femme en laisse, elle aussi. Tu rejoins les autres. Je remarque alors deux autres chiens couchés derrière les canapés. Ils semblent encore beaucoup plus imposants que le premier. La maitresse de maison vous sert du champagne dans des coupes. Vous discutez entre vous. De temps en temps, vous nous regardez et faites des commentaires sur l'une ou l'autre de nous. Je n'ose pas m'adresser à ma voisine, tu me l'as interdit plus tôt. Elle est plus âgée que moi et doit avoir trente ou trente-cinq ans. Elle est certainement elle aussi la maitresse d'un des hommes présents. Vous parlez de nous deux.
De temps en temps, la femme un peu forte qui accepterait de me partager avec Dick se retourne et me regarde, me dévisage avec insistance. Je suis terriblement gênée et certainement rouge de confusion. Elle semble s'amuser et jouer de ma gêne. Je vois qu'elle s'adresse à toi plusieurs fois, Remi. Je suppose qu'elle parle de moi, car elle me regarde en te parlant à voix basse. Elle te pose certainement des questions sur moi. La discussion entre vous tous est chaleureuse. Votre discussion porte pour savoir laquelle de nous deux passera la première, et avec lequel des trois chiens. Je semble avoir la préférence pour la majeure partie d'entre vous. Ce qui, dans un sens me soulage un peu. Je ne sais pas si je pourrais attendre mon tour sereinement. Le chien qui m'est désigné est Dick. Expérimenté, plus âgé et plus calme, il convient mieux pour une première fois.
Tu te lèves et t'approches de moi. Deux hommes font sortir de la pièce les deux autres chiens qui étaient couchés derrière le canapé. Tu me dis tout bas que c'est pour éviter qu'ils ne se battent entre eux pour me monter. A ses mots, je suis terrorisée. Des femmes débarrassent entièrement la table basse du salon. L'une d'entre elle étale un drap de bain blanc dessus. La maitresse de maison a éteint plusieurs lampes. Certains se rassoient autour de la table, deux femmes et un homme restent debout et semblent m'attendre. Un des hommes tient la laisse du chien Dick qui s'est levé et me regarde lui aussi. Tu prends ma laisse. Je me lève, les jambes tremblent sous moi. Je suis littéralement tétanisée tant l'émotion me bouleverse. Je ne peux retenir quelques larmes.
Je sens leurs regards sur moi. Nous nous approchons de la table basse. Je suis incapable de faire le moindre geste seule. Je pleure doucement, sans bruit. Ils me regardent et ne disent rien. Ma vue est brouillée par les larmes. Je sens qu'on dégrafe ma robe de soirée noire que tu m'avais offerte aussi pour l'occasion. La robe glisse le long de mon corps de mes jambes. Une personne, une des deux femmes certainement soulève mes jambes une à une pour en dégager la robe. Tu me tiens toujours en laisse. La table basse recouverte du drap de bain est là.
Tout va très vite. On dégrafe mon soutien-gorge. C'est une des femmes qui l'enlève sans qu'un mot ne soit échangé. Ma culotte glisse le long de mes cuisses, et là encore, on me soulève un à un les pieds pour la dégager. Je cache d'une main mon fin pubis et l'autre devant la poitrine. Une personne, un homme demande à voix basse à ce qu'on me laisse les bas et les chaussures.
« Assieds-toi. »
C'est toi qui me parle doucement. On me tourne, je sens le bord de la table contre mes mollets.
« Assieds-toi, n'ai pas peur. »
Je m'assieds sur la table basse. A peine assise, je sens qu'on me force à m'allonger. Je ne veux pas, je crie. Une main se plaque sur ma bouche. J'essaie de me relever. On me tient les bras écartés du corps de chaque cotés. La main plaquée sur ma bouche maintient ma tête sur la table. Je pleure doucement. Une voix de femme me demande de me calmer. Elle me demande et me répète à voix basse de ne pas paniquer, de ne pas avoir peur, de me calmer. Sa voix parait douce et gentille. J'ai peur. On me maintient allongée sur le dos sur la table basse. On tient mes bras écartés, et une personne ou deux tiennent mes jambes. J'essaie plusieurs fois de me dégager.
La femme s'adresse toujours à moi d'une voix calme et apaisante. Elle me demande encore et encore de me calmer, de ne pas avoir peur. Me dit et me répète que personne ne me fera du mal. Me disant aussi que vais vivre une expérience extraordinaire que toutes les femmes présentent ici ont vécues au moins une fois. Je me calme doucement. Je sens qu'elle caresse mon visage. Je la vois au-dessus de moi. Les autres personnes ne parlent pas. Tu ne dis rien. Je crois que c'est elle qui tient ma laisse maintenant. Elle me parle toujours à voix basse répétant qu'il ne faut pas avoir peur. Qu'elle est là pour m'aider et m'initier, personne ne me fera du mal. Je me calme doucement.
Elle me demande si je suis venue de mon plein gré avec toi, si je ne subis aucune menace ou chantage. Je lui confirme doucement. Elle me demande si je sais pourquoi je suis ici. Elle veut entendre de ma voix que je suis ici pour être prise par un chien. C'est horrible. Il me faut quand-même plusieurs minutes pour me calmer vraiment et arriver à répéter correctement la phrase à voix haute pour que chacun la comprenne. Je sens qu'on me tient avec moins de fermeté. Je n'essaie plus de me relever. J'arrive même à lui dire que je m'excusais d'avoir paniqué. Elle me sourit, et me dit comprendre parfaitement mon moment de panique et rajoute, que pour elle aussi la première fois avait été stressante.
On fait venir le chien Dick près de moi que je puisse le voir. L'homme le tient fermement en laisse. Le chien me regarde toujours.
« Je te présente ton amant Sabine. »
C'est toujours la femme qui me parle doucement.
« Il se prénomme Dick, il a huit ans. C'est un amant très expérimenté pour son âge. Il est très gentil et ne te mordra pas. Pour ce genre de dépucelage, c'est l'amant idéal. »
Je regarde Dick qui semble comprendre qu'on parle de lui et de moi.
« Il ne te fera pas de mal, il est très doux, puis je suis et reste à tes cotés s'il y a le moindre problème. Tu n'as rien à craindre avec lui. »
Je regarde toujours le chien dans les yeux. Je le trouve beau.
« Caresse-le… N'aies pas peur de lui. »
Le chien et assis à ma droite à côté de la table. Il est toujours maintenu en laisse par un homme. La personne qui me tenait le bras droit me lâche. J'avance timidement la main sur sa tête.
« N'aies pas peur de lui, me répète d'une voix douce la maitresse de maison accroupie à mes côtés. Caresse-le… Il aime les jolies petites chiennes de ton espèce. Tu vas vivre un moment inoubliable avec lui. Il ne va pas te prendre en force, mais va le faire doucement et longtemps. »
Je touche la tête de Dick, il est doux, il me regarde toujours et pousse de petits gémissements d'impatience. Je sens qu'on m'écarte les genoux, et une main se pose entre mes cuisses. Je me souviens alors de ce que tu me disais.
« Cela ne se fera que lorsque tu seras vraiment excitée et prête. Une personne, homme ou femme, te préparera en te caressant, te masturbant et on t'excitera aussi avec des paroles, des mots. »
Je caresse doucement Dick, son poil est soyeux et doux, il me regarde toujours de ses beaux yeux bruns. De temps en temps il pousse de tous petits gémissements en me regardant.
« Regarde comme il est impatient de te monter. Il va faire de toi sa jolie petite femelle, il va te prendre comme une petite chienne en chaleur. Il va te monter… Tu vas le sentir venir en toi et grossir pour rester collé. Puis il va jouir de ton corps durant de très longues minutes, tu vas ressentir sa semence couler et te remplir; il restera collé à toi un long moment. »
La maitresse de maison, toujours accroupie à côté de moi, continue de me parler doucement. La tension accumulée depuis deux jours atteint son paroxysme avec les moments forts que je suis en train de vivre. Je sais maintenant que je suis prête pour vivre cette expérience.
D'ailleurs, je sais en moi que je suis prête depuis de longs mois. Seul le bon sens, le raisonnement, la monstruosité du geste me retient jusqu'ici. Mais lorsque la maitresse de maison prend ma main et doucement la guide sous le chien vers son sexe, je sais alors que je vais le faire réellement. J'en ai à cet instant vraiment envie.
« Touche-le doucement, il aime que ses petites femelles le branlent. Il bande pour toi tu vois, touche là… Elle est sortie de son fourreau. Branle-le doucement, il aime-ca. Oui comme cela, tu le fais très bien… Ne le serre pas trop fort. Tu sens comme il est dur, comme il te désire il a envie de toi, comme elle est chaude douce et tellement lisse<, »
J'ai la tête tournée vers Dick. Les personnes assises sur les fauteuils et canapés se penchent pour mieux contempler le spectacle que je leur donne. Deux personnes, un homme et une femme sont accroupis devant moi et me maintiennent les jambes écartées en me tenant les genoux, les pieds sur le sol. L'une d'elle me masturbe doucement depuis un moment.
De temps en temps, elle passe sa main imprégnée de mon désir sur ma poitrine, mes seins. Maintenant, elle le fait sur mon visage, ma bouche et mes lèvres. Je me laisse faire. Je sais que Dick sera encore plus excité de sentir que je suis véritablement excitée et en chaleur. Je le branle doucement. Son sexe est entièrement sorti de son fourreau de fourrure. Il est chaud, doux, humide, visqueux de son désir pour moi. Ma main est imprégnée du liquide lubrifiant qu'il laisse échapper depuis un moment. Je regarde ma main autour de son sexe aussi long et aussi large que celui d'un homme. Il est par contre beaucoup plus dur et de couleur rouge sang, des veines blanches et d'autres bleus apparaissent à la surface tout le long du membre qui est aussi extrêmement lisse et brillant. Je touche comme me l'indique la maitresse de maison la base du sexe, le nœud qui gonflera lorsqu'il sera dans mon ventre et qui fera que nous resterons collés le temps qu'il se vide entièrement de sa semence.
« Touche bien le bout maintenant. »
Elle prend ma main et la guide maintenant vers mon visage. On va te présenter à lui. Il va te sentir, te lécher, il faut qu'il sente que toi aussi tu le désires, qu'il sente que tu as envie d'être montée, qu'il reconnaisse en toi une femelle en chaleur.
Je passe comme on me l'ordonne ma main imprégnée de sécrétions lubrifiantes visqueuses et intimes de Dick sur mes lèvres, ma bouche déjà imprégnées de mes propres sécrétions intimes.
« Lèche tes doigts. »
Je le fais en soutenant un court instant le regard de la femme un peu forte assise dans un fauteuil près de la table. Son regard et son sourire sur moi me semblent être un encouragement.
« Regarde Dick, la jolie femelle que tu vas avoir. »
Le chien, à l'appel de son nom, se lève et avance vers moi. Il gémit d'impatience. Je ferme les yeux après un dernier regard vers ceux de la femme assise. La truffe humide de Dick frôle mon sein droit, mon menton. Il me sent.
« Oui Dick c'est une bonne petite femelle que tu vas avoir. Elle est toute à toi. Une jolie petite chienne en chaleur. »
La langue de Dick lape, lèche ma poitrine. J'ouvre un instant les yeux pour voir l'homme aider le chien à me lécher les seins. Depuis un moment déjà, la personne qui tenait mon bras gauche m'a lâchée. Je pose mes mains sur la tête le dos de Dick, encouragée par la maitresse de maison qui parle toujours d'une voix douce et apaisante. Des autres personnes, nul de parle, tous regardent avec attention et en silence le spectacle que nous donnons. De temps en temps, je croise le regard de cette même femme un peu forte qui ne cesse de me sourire doucement.
Dick me lèche la poitrine en y déposant sa salive.
« Embrasse ta petite femelle Dick », murmure la maitresse de maison.
En disant cela, elle porte ses mains de chaque côté de mon visage pour me tenir. L'homme qui retient Dick depuis le début, dirige sa gueule vers mon visage. Je ferme les yeux, j'essaie un court instant d'échapper sans y parvenir à la langue râpeuse de Dick sur mon visage. Elle passe et repasse autour de ma bouche, sur mes lèvres, il recherche nos sécrétions intimes.
« Ouvre la bouche… Ouvre ta bouche, il veut te donner un baiser. »
Depuis un moment sa langue agile et rapide passe et repasse entre mes lèvres pourtant fermées. Je sens que la personne à ma gauche me prend la main qui était sur le cou de Dick et la serre, comme pour m'encourager. J'entrouvre la bouche. Je sers la main dans la mienne. La langue pénètre ma bouche plusieurs fois et touche ma langue.
« Voila Dick embrasse ta petite femelle, sens comme elle est bonne et chaude. »
J'ai les yeux fermés. Le chien au-dessus de mon visage lape toujours mes lèvres ma bouche, sa langue me pénètre à plusieurs reprises. De temps en temps, il gémit, pousse de tous petits jappements. J'ai le bras droit sur son dos. Je sens qu'on guide ma main une nouvelle fois sous le chien. Au toucher, son sexe me semble avoir pris du volume, il est encore plus chaud et plus lisse plus humide. J'ai envie de lui. J'ai tellement envie de faire l'amour, d'être prise par Dick que je suis au bord de l'orgasme. Le fait qu'on continue de me masturber doucement n'est pas la seule raison. J'ai vraiment envie de Dick.
« Tu crois qu'elle est prête, là ? »
Les paroles prononcées à voix basse par la maitresse de maison s'adressent très certainement à une des personnes qui me tiennent toujours les jambes ou celle qui me caresse.
« Ma chérie tu vas vivre un moment exceptionnel, me dit-elle doucement en caressant mon visage.
– Oui présente-le maintenant. »
Dick est retiré de mon visage. Je le lâche, ma main est couverte de ses sécrétions.
« Cela va très bien se passer, me murmure-t-elle en tenant ma tête entre ses mains.
– Je vais rester avec toi… Il faut juste que tu t'avances plus au bord. »
Je regarde autour de moi les gens toujours silencieux qui me regardent. On ne me tient plus, je me soulève et vois Dick à un mètre devant moi, toujours retenu par le même homme. Il me regarde, et tire sur sa laisse pour me rejoindre en gémissant de plus en plus fort, son sexe rouge sang brille de sécrétion. Je m'avance un peu.
« Encore un peu. J'ai les fesses en partie sur le bord de la table.
– Voila tu es bien. »
Je me rallonge.
« Je vais t'expliquer ce qu'il va se passer. Tu es en chaleur et tu as envie que Dick te monte. Il le voit et il le sent. Mais nous devons tout de même te tenir du moins au début pour ne pas que Dick te blesse. Qu'il te fasse mal ou que toi dans une mauvaise position, que tu lui fasses mal. Tu comprends ? »
Je regarde mon interlocutrice penchée au-dessus de mon visage qu'elle tient doucement entre ses mains.
« Il va te pénétrer… Comme le ferait un amant. Sauf que son sexe est beaucoup plus dur que celui d'un amant ordinaire. Puis la base de son sexe ou je t'ai montré, un nœud va se former et grossir dans ton vagin. »
Je sais déjà tout cela car tu me l'as maintes et maintes fois répété Remi, mais je l'écoute avec attention. Je la regarde et regarde la femme assise qui me sourit une nouvelle fois. Je sens que les personnes accroupies devant moi me reprennent les jambes qu'elles écartent en me tenant par les chevilles et les genoux. Celles à mes côtés reprennent mes bras et les écartent de mon corps.
« Lorsque le nœud va grossir, tu risques de ressentir une légère douleur qui ne durera pas. Puis lorsque Dick sera bien dans sa petite femelle, qu'il sera bien collé à toi petite chienne, il va vider longuement sa semence dans ton ventre. Tu vas jouir comme tu n'as jamais jouie jolie petite chienne. »
Je pousse un léger cri lorsque je sens la truffe de Dick, puis sa langue. J'essaie de bouger de me soustraire à la langue râpeuse rapide et mobile qui lape mes sécrétions sur mes lèvres intimes. C'est horrible, la langue me pénètre plusieurs fois, je suis au bord de l'orgasme.
« Oui Dick elle est prête ta petite femelle, tu vois comme elle est en chaleur, elle veut que tu la montes. S'adressant à l'homme qui tient la laisse.
– Attend encore un peu, je crois qu'elle va jouir l'adorable petite chienne. »
Elle ou une autre personne me pétrit la poitrine depuis un moment, je ne sais pas. Je me sens partir je serre les poings, j'ouvre la bouche à la recherche de plus d'air. Je regarde autour de moi, des personnes dont la femme se sont levées pour mieux me regarder. Mon ventre vient au-devant de cette langue chaude humide et si agile et si rapide.
« Regarde Dick, comme elle est en chaleur, ta petite chienne, elle jouit déjà. Régale-toi, Dick, de son nectar avent de la monter. Oui c'est une belle et bonne petite chienne que tu as ce soir mon vieux Dick. Profites-en, elle est à toi pour toute le nuit si tu le désires. »
D'entendre la femme murmurer et répéter des encouragements à Dick me fait chavirer. Je ferme les yeux. Je pars. L'orgasme traverse mon ventre, mon corps, ma tête. Je pousse une longue plainte, j'ouvre les yeux, je suis dans un état second je cherche ton regard, ne le trouve pas. Je vois Dick debout, il est au-dessus de moi. Ils ne me laissent pas le temps de me remettre de mon orgasme.
Je comprends que le moment le plus important est arrivé. Je voudrais pouvoir reprendre mon souffle. Mais les pattes avent de Dick sont posées sur la table basse de part et d'autre de mon corps. Il est au dessus de moi et regarde sa maitresse. Je remarque que comme sur certaines photos que tu m'avais passées, les pattes sont recouvertes de chaussette afin de ne pas me blesser.
Aux mouvements de Dick, je sais qu'il cherche à me pénétrer. Non cela va trop vite. Je te cherche dans la salle, je croise le regard des hommes des femmes qui attendent ce moment eux aussi. Je ne vois pas qu'un homme retient le corps de Dick et qu'un autre le tient toujours en laisse. Tout va très vite. Dick gémit de plus en plus fort, il est de plus en plus impatient. Son sexe chaud et humide me touche. Je sens la pénétration se faire.
Je voudrais regarder, on maintient ma tête sur la table. J'ai l'impression que son sexe est brulant. Il me pénètre, vient en moi sans aucune difficulté. Je me tends. On me retient. Dick pousse toujours des petits gémissements.
Je le regarde, il regarde sa maitresse. Il bouge ses reins avec rapidité. Je le ressens entièrement en moi. Il est contre moi, je sens son corps entre mes cuisses. L'impression est indescriptible. On me maintient toujours fermement sur la table. Mais Dick, lui, est libre de ses mouvements. Sa laisse et maintenant dans les mains de sa maitresse avec la mienne. Il bouge ses reins avec rapidité en appuyant avec force contre moi, comme si il voulait venir encore plus profondément. Ce que je ressens est surréaliste. C'est à la fois extraordinaire et monstrueux. Je ne comprends pas de suite ce qui ce passe. Je suis sur le point de jouir. Cela part de mon sexe, le plaisir est immense, j'ai l'impression d'être ouverte. Je ne peux me retenir, je me lâche, je ferme les yeux, je crie tellement c'est bon. Je crois que je mords la main qui étouffe mon cri.
Les mouvements de Dick s'estompent petit à petit. Je suis hors de temps. Je me sens ouverte comme écartelée. J'ai l'impression d'être pénétrée par un sexe énorme. Je ne comprends pas de suite. Je ne suis plus en mesure d'analyser une telle situation, de la comprendre. Je sens mon corps mon ventre mon sexe être parcouru par de légers tremblements. Puis, je me souviens de tes explications, et je comprends. Comment ai-je pu oublier ? Le nœud de Dick a gonflé dans mon vagin et nous sommes collés l'un à l'autre. Je ne sais pas si cela est fini. Je voudrais pouvoir toucher, mais on me tient toujours les bras.
« Cela va ? »
J'entends comme dans un brouillard les paroles de la maitresse de maison prononcées à voix basse.
« Laisse-toi aller jolie petite chienne. »
J'ouvre les yeux et la vois penchée au-dessus de moi. Sa main ou celle d'une autre personne vient entre Dick et moi.
« Il est bien place, tu n'as pas trop mal ? On me touche pour vérifier.
– Il est bien entré et le nœud c'est formé correctement. »
Puis je sens qu'on masse mon ventre en appuyant assez fort entre le nombril et le pubis. On lâche mes bras, mes mains. Je prends dans mes mains les pattes de mon amant. Je le regarde. Il regarde au-dessus de moi sa maitresse et n'a pas un regard pour moi. Il bouge de temps en temps mais doucement. Je suis bien. On relâche aussi un petit peu mes chevilles et mes genoux. Je peux serrer mes jambes et ressentir entre mes cuisses beaucoup mieux le corps de Dick.
Je suis bien, je suis dans un état second comme ivre. Je réalise maintenant qu'on caresse, qu'on masse et pétrit ma poitrine. Une main caresse mon visage, mes lèvres. Je m'entends gémir. On force doucement mes lèvres. Je suce des doigts imprégnés de sécrétions. Je ne distingue pas les personnes penchées au-dessus de moi. Ce ne sont que des ombres. Je sens un moment que mon amant pousse et force de façon soutenu entre mes cuisses. La poussée dure plusieurs secondes et je prends conscience en le ressentant qu'il libère de sa semence, qu'il jouit dans mon ventre.
La chaleur de son éjaculation est comme une douce brulure. Elle n'est pas puissante mais soutenue. Cela dure que quelques secondes qui deviennent extraordinaires. Je me tends sur la table au-devant. On reprend mes mains que je sers de toutes mes forces. Cette sensation ne dure qu'un moment, elle s'estompe légèrement lorsque Dick relâche sa poussée.
J'essaie de reprendre ma respiration. Je ne sais plus si c'est toi qui me l'avait dit ou les nombreux témoignages que tu m'avais fait lire qui préconisaient de calquer sa respiration le plus possible avec celle de l'amant. J'entends des murmures de voix, je ne comprends pas ce que les personnes disent. Je suis comme dans un brouillard opaque. De nouveau Dick pousse son corps contre moi. Je crie doucement. Je serre les mains qui tiennent les miennes. De nouveau, Dick me donne de nouveau une partie de sa semence. Je ferme les yeux, c'est impossible de tenir tellement c'est bon. Je sais que de nouveau je vais jouir. Je tremble, je sens mon ventre, mes cuisses être parcourus par de légers tremblements que je ne peux maitriser.
Dick me laisse de nouveau quelque secondes de répit. Je respire par saccades comme le ferait une chienne. J'ouvre les yeux. Des visages sont penchés sur moi. Une voix qui doit appartenir à la maitresse de maison, je crois, me demande de ne pas me retenir, de me laisser aller, de me lâcher. Je ne sais pas si je comprends. Je ne sais plus. Je sens qu'on masse mon ventre.
Je serre les mains de toutes mes forces. Une main se plaque sur ma bouche pour étouffer mon cri. De nouveau, Dick force entre mes cuisses, et de nouveau encore, lâche une partie de sa semence. L'orgasme traverse mon bas ventre. C'est presque douloureux. Je ne me sens pas soulagée comme les autres fois.
Au contraire je me sens de nouveau au bord d'un nouvel orgasme comme si je ne venais pas de jouir. J'ai du mal à respirer à faire la chienne. J'ai l'impression qu'il force toujours. Je ne sais plus. Je comprends que ce n'était pas le cas. Je hurle dans la main qui étouffe mon cri. Dick vient de lâcher une autre quantité de semence chaude épaisse et si onctueuse. Je ne perds pas de suite complètement connaissance. Je reste consciente de très longues minutes encore. Mais je suis incapable de comprendre et maitriser mon corps, ce que je ressens.
Le brouillard est de plus en plus opaque dans ma tête. Je ne sens plus mes seins, mes cuisses et mon sexe. Seules les poussées espacées de Dick sont perceptives. Une légère douleur qui a pris naissance au creux de mon ventre s'accentue de plus en plus à chaque poussée de Dick. Une personne masse continuellement mon bas ventre et la rend très supportable, même très agréable.
Je ne sais pas à quel moment j'ai perdu connaissance et combien de temps réellement je suis restée inconsciente. Avant ou après un énième orgasme, je ne pourrais pas le dire. Cela a duré quelques minutes. Lorsque je suis revenue à moi doucement, Dick avait terminé. Il était toujours en moi, entre mes cuisses. Il ne poussait plus à intervalle régulier. Il ne me faisait plus l'amour. Il attendait que son nœud dégonfle pour me libérer. Il gémissait et regardait sa maitresse au-dessus de moi. Elle essuyait doucement la sueur sur mon visage, mon front. Me disait tout bas qu'elle était contente que cela ce soit bien passé.
« C'est bientôt terminé, il va te libérer. »
Je soulevais la tête pour pouvoir voir. Elle m'aidait et me tenait la nuque. J'étais encore dans les vapes. Mais je voulais le voir entre mes cuisses. Jusqu'ici je le savais et le voyais au-dessus de moi. Il avait ses deux pattes de part et d'autre de mon corps et on avait l'impression qu'il me tenait entre ses pattes. Je le sentais vivre en moi. Je reposais ma tête fermais les yeux, j'attendais dans le calme. J'étais morte d'épuisement, j'essayais de ne pas penser à ma position, à ce qui se trouvait encore dans mon ventre.
Dick me libéra de son étreinte en se retirant doucement. On me demandait de ne pas bouger. On me maintenait les cuisses ouvertes. On éloignait Dick de moi. La maitresse de maison toujours accroupie à mes côtés me dit qu'on allait retirer le sperme la semence de Dick de mon ventre. Je la sentais couler de mon vagin. J'ouvrais les yeux pour voir qu'elle était récupérée dans une coupe de champagne tenue par une femme. Une autre s'avança avec dans les mains une sorte de seringue munie d'un tube transparent. Je me raidissais.
« Détends toi c'est juste pour curer, pour enlever tout le sperme, ce n'est absolument pas douloureux.
– Avant tu vois Sabine, avant c'est Dick qui l'aurait fait avec sa langue.
– Depuis quelque temps nous ne faisons plus ainsi. Il t'a donné sa semence ce n'est pas pour qu'il la reprenne. »
Je sentais le tube transparent me pénétrer doucement. Puis à l'aide de la seringue un maximum de sperme fut ainsi récupéré.
La coupe de champagne était presque pleine. Une femme en vida la moitié dans une autre coupe et rajouta du champagne. On m'aida à me relever, à m'assoir sur la table. On me présenta la première coupe, que je devais boire. Elle était remplie pour moitié de champagne et l'autre moitié de semence de Dick, blanche épaisse et onctueuse. Je prenais la coupe et la portais à mes lèvres. Tous me regardaient en silence. A leurs yeux je crois que j'étais devenue une des leurs. Ils ne me regardaient plus avec des sourires tantôt ironiques ou moqueurs.
Cela a était beaucoup plus facile à avaler que je ne l'aurais cru avant. C'était même délicieux à boire. Je finis la première coupe et on me tendait la seconde. Cela me faisait du bien. Puis tu es venu me prendre dans tes bras pour me porter dans une chambre mise à ma disposition. Ma prestation était terminée. Avant de quitter la pièce dans tes bras, je voyais la jeune femme tenue en laisse qui était debout et attendait devant la table. On me remerciait et on me félicitait même pour ce que je venais de faire.
Dans le couloir je croisais un homme qui tenait un des deux autres chiens en laisse. Il était beaucoup plus gros que Dick. Dick lui aussi avait fini sa prestation, il dormait certainement dans une autre pièce. Tu m'allongeais sur un lit et me faisais couler un bain. La maitresse de maison est venue avec mes vêtements. Elle me félicita encore pour mon courage et me répéta que je m'étais bien comportée.
Elle m'aida à enlever mes bas, puis le collier autour de mon cou. Je restais couchée complètement vidée et épuisée. Elle avait mis à ma disposition une poire vaginale ainsi qu'un flacon de « Sistéa » du savon liquide antiseptique utilisé pour la toilette intime. Elle m'avait aussi apporté brosse à dents et dentifrice. Elle nous laissa seuls. J'attendais encore un peu de récupérer avent de m'allonger dans l'eau tiède. J'avais besoin véritablement d'un bon bain. Je me sentais sale.
Tu me demandais si je me souvenais de la femme un peu forte en robe rouge.
Elle désirait m'inviter chez elle le restant du week-end jusqu'à lundi. Elle me ramènerait elle-même à Lyon lundi matin. Je savais que maintenant tu devais retourner chez toi, avec ta femme et tes enfants. Que tu me laisserais à mon hôtel. Tu me précisas qu'elle était la maire d'une petite ville au sud de Lyon.
Veuve, elle aimait les femmes, les jeunes femmes pour être précis. Je me rhabillais en t'écoutant. J'étais crevée, tu le savais. Tu me dis qu'elle avait une résidence secondaire à la sortie du petit village que nous avions traversé juste avent de tourner ici. En partant avec elle je serais dans un lit d'ici dix à quinze minutes. Alors qu'en rentrant avec toi sur Lyon je ne serais pas couchée avent deux bonnes heures.
« Oui, je serais dans un lit, mais je doute qu'elle m'y laisse dormir. Je ne savais pas quelle décision prendre. »
Tu m'accompagnais dehors, tu voulais repartir de suite sur Lyon. Dans le couloir, tu ouvrais la porte du salon pour avertir la maitresse de maison. Je regardais. Il manquait quelques personnes. Il était tard. La dame qui voulait m'inviter n'était pas présente. Ce que je voyais était monstrueux. La jeune femme était entièrement nue. Elle était à genoux devant la petite table basse. Les coudes sur la table, elle était penchée en avant. Elle avait les yeux fermés, la bouche ouverte et semblait souffrir. Le chien était sur elle. Debout sur ses pattes de derrières il la tenait de ses pattes de devants. Aux mouvements lents qu'il faisait, je savais qu'il était très certainement entrain de jouir dans son ventre.
La maitresse de maison me laissa regarder un instant. Puis elle referma la porte en me disant que si je le désirais je pourrais être montée de cette façon la prochaine fois, puis…
« Si tu désires maintenant Sabine… il y a un autre chien disponible pour toi ce soir… Il suffit que tu remettes ton collier et que tu attendes très sagement de nouveau ton tour sur la chaise.
– Non, fut mon cri du cœur. Je prenais la direction de la sortie. Elle souriait. Dehors, la nuit était sombre. Il manquait deux ou trois voitures. Je remarquais la femme qui m'attendait près d'une berline, elle attendait de savoir ma décision.
– Remi je te dis à plus tard, je vais avec elle. Tu ne m'en veux pas ?
– Bien-sûr que non de toute façon tu aurais était seule cette nuit.
– Amuse-toi, prend du plaisir avec elle. »
Je me dirigeais vers la voiture. Sans un mot, elle m'ouvrait la portière côté passager et fit le tour de la voiture pour s'installer au volant.
« Je vais bien m'occuper de toi Sabine. »
Je ne répondais rien. Je te regardais monter dans ta voiture. La nuit était sombre, les phares éclairés le chemin. Je regardais ma conductrice. Elle avait un joli visage et un sourire de satisfaction. Moi j'étais crevée. J'espérais seulement qu'elle me laisse dormir jusqu'à ce matin au moins….
Fin de la première partie.
Il y aura-t-il une deuxième partie ?
Toute personne qui se reconnaitrait de près comme de loin devrait très vite me demander l'adresse de mon propre psy. Sourires. Ceci n'est qu'un récit. Il est sorti tout droit de mon cerveau malade et certainement très dérangé. Il m'a été commandé par un ami aimant ce genre de fantasmes, il voulait un récit plus ou moins cohérant. Je voulais lui faire plaisir. Uniquement
Signé : Sabine
http://www.histoires-hard.com/histoire-1120.html
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Le billard
Voici une petite aventure qui m'est arrivée il y a quelques mois maintenant.
J’avais rencontré dans le cadre de ma profession un homme de 43 ans. C’était un homme plutôt séduisant et prenant soin de lui. Sportif, plutôt intelligent, il était assez drôle, beau parleur, intuitif, l’homme presque idéal en somme. Mais la perfection n’existe pas.
Après plusieurs tentatives, il avait réussi à me convaincre de dîner avec lui.
J’avais très envie de lui mais je ne voulais pas passer pour une affamée de sexe, ni le lui montrer. Il me fallait donc être sexy mais pas trop, suffisamment provocante tout en étant élégante. Je me suis donc habillée et coiffée en conséquence. Après avoir pris un bain à l’essence de rose et de violette, je me suis vêtue d’un ensemble en soie et dentelle noir: un petit soutien gorge à balconnet et son shorty assorti.
Un porte jarretelle et une paire de bas. Une petite robe gris satinée, droite, cintrée, un petit décolleté laissant apparaître la naissance de mes seins, finissant au dessus du genou, et une veste courte assortie. Pour compléter l’ensemble, une paire d’escarpins. Un chignon terminait mon look chic sexy et un peu strict.
Il m’avait donné rendez-vous devant chez moi. Je me l’imaginais en retard, mais il est arrivé une dizaine de minutes en avance. Je l'ai rejoint alors à l’extérieur et découvrais une magnifique voiture, une Jaguar, coupée. Galant, il m’a ouvert la portière, non sans m’avoir complimentée sur ma beauté et mon élégance.
Dans la voiture, il n'a pas cessé de regarder mes jambes et j'avoue que je faisais exprès de les bouger langoureusement pour l’exciter. Lorsque sa main se posait sur le pommeau du levier de vitesse, le hasard amenait mon genou si proche que nos peau se frôlaient.
Arrivés au restaurant, galamment, il m’a ouvert la portière. Je suis sortie de la voiture comme une star, lui tendant la main.
Il m’avait sorti le grand jeu, un restaurant !!! (trois étoiles), repas très fin, service impeccable… un régal et plein de petits jeux de mots servant à nous exciter. Nous sommes pourtant restés très sages. Ce n’est qu’au moment de partir, en m’aidant à enfiler ma veste, qu’il m'a glissé à l’oreille :
« J’ai très envie de vous. Si nous allions prendre un verre chez moi ? »
Je l'ai regardé en souriant et répondu :
« Vous en avez mis du temps à me le proposer !! », le regard coquin.
Le trajet n’a d’intérêt que par les regards coquins et ses doigts qui me caressent timidement les genoux.
En arrivant à proximité de chez lui, il a sorti une télécommande de sous le tableau de bord. Un immense portail s'est ouvert et nous avons pénétré dans une propriété impressionnante. Jardin paysager, bien entretenu, maison cossue, high-tech, piscine couverte, éclairée. Je dois avouer que je me suis sentie impressionnée et intimidée par l’ensemble. Nous sommes entrés, et il s’est empressé de m’embrasser et de me caresser. L’animal semblait vouloir directement me faire passer à la casserole. Ce n’était pas pour me déplaire, mais j’avais envie de jouer un peu avec lui, le faire languir pour mieux en profiter ensuite.
Je le repousse doucement en lui disant : '
« Doucement, vous m’aviez proposer un verre. »
Gêné, il balbutie :
« Excusez-moi, je suis désolé, passons au salon. »
Il m’indique le chemin et je le précède. J’entre dans le salon et découvre un espace impressionnant dans lequel trône un billard immense. Je me retourne, et lui dis :
« Hummm, un billard, j’adore.
- Vous savez jouer ? »
Je lui explique que mon père est un inconditionnel et qu’il m’a initiée au billard français puis de façon ingénue, mais parfaitement calculer, je lâche un :
« Vous savez moi, dés qu’il y a une queue et des boules, je suis fan ! »
Il me répond qu’alors, je dois savoir jouer au billard américain. Il me propose aussitôt un verre autour d’une partie. Me collant à lui, la main jouant du col de sa veste et le regardant dans les yeux, je lui rétorque :
« Mais je ne joue jamais sans enjeu, moi. »
La coquine en moi se réveille.
« Et que proposez vous mademoiselle ? »
Je réfléchis, faisant le tour du billard.
« hummm, voyons voir………. Chaque fois que l’un de nous rentre une boule, l’autre retire un vêtement. Qu’en pensez-vous ? »
Je le vois alors, un large sourire aux lèvres, répliquant :
« Banco, jeune fille ! »
C'est fou à quel point j’aime ce genre de pari et à quel point j’aime les perdre !!!!!!
Nous préparons alors les boules et je casse. Mince, pas une boule ne rentre. Je lui laisse la main et il met une boule dans une poche. Il me regarde, souriant.
« Commençons doucement et enlevez votre veste.
- Bien monsieur… »
Je m’exécute et retire ma veste. Me voici en robe. il retente un bille mais la rate. Je prends la main et, quelle maladroite, la bille ne rentre pas. Je le vois jubiler et je m’en amuse intérieurement. Son tour, une bille.
« Détachez vos cheveux.
- Bien monsieur. »
Lui aussi semble s’amuser de la situation car il fait exprès de louper une boule. Je prends la main et pour ne pas montrer mon but, je mets une bille et lui demande de retirer sa veste, puis manque la suivante. A son tour, il met une bille et m’impose de retirer ma robe. Je feins une gène et retire ma robe. Il découvre alors mes sous-vêtements, et les formes qu’ils cachent. Je lis dans ses yeux, surprise, joie, excitation. Tous ces sentiments mêlés lui font involontairement manquer la suivante. Comme à mon habitude, je manque la bille et lui redonne la main.
« Mademoiselle, ne jouez pas votre vie, vous risqueriez de la perdre !
- Vous avez raison, je suis désolée de mon manque de professionnalisme à ce jeu…
- Ne vous excusez pas, tout le plaisir est pour moi. »
Et vlan, une boule.
« Je crois que j’ai gagné le droit de découvrir votre poitrine. »
Et j'adore le double sens de ce mot « découvrir ».
« Je crois qu’il va falloir que j’use de mes charmes pour éviter de me retrouver dans une situation pour le moins inconfortable. »
Je m’approche de lui et telle Marianne face à Robin des bois ( je parle du film avec K. Kosner), je tente la diversion sensuelle d’un souffle à son oreille. Ce qui a effectivement la conséquence de lui faire manquer son coup. Quelque peu amusé de la situation, il me dispute gentiment et me laisse la main qui n’est volontairement pas plus heureuse. Il se met en place et passant derrière lui, je lui donne un léger coup de rein au moment où il frappe la bille, mais ce mouvement de ma part n’a pas le but escompté (quoique...), puisque la bille visée finit sa course dans une poche. Jubilant, souriant de toutes ses dents, il me dit :
« Diversion inutile jeune fille, retirez ce magnifique shorty !! »
Et me voici en porte jarretelles et escarpins, devant cet homme triomphant, le torse bombé. Je rougis, mime l’embarras mais le but est atteint: me retrouver nue devant lui. Je lui rétorque que le jeu n’est pas fini. Je me place pour jouer mon coup. Il n’est plus dans mon champ de vision. Alors que je suis penchée sur la table, je sens une caresse remonter le long de ma jambe depuis ma cheville. Je reconnais la circularité et la dureté de la flèche de la queue de billard caresser le bas que je porte. Doucement elle monte le long de ma jambe, puis de ma cuisse. Dans ma position, je baisse la tête et le vois assis sur un tabouret. Nos regards se croisent et il me dit :
« Ainsi, vous vouliez me déconcentrer ? A mon tour maintenant. »
Je souris sans qu’il le voit (du moins je le pense) et reprends ma position. La queue parcourt ma cuisse et arrivée presque à mon sexe, elle redescend de quelques cm avant de quitter ce contact si sensuel. Pour peu de temps puisque qu’elle reprend contact quelques secondes plus tard pour se poser sur mon autre cheville et reprendre son chemin. Mais évitant soigneusement mes lèvres, il fait passer l’objet d’une jambe à l’autre. Ne bougeant pas, je le laisse jouer ainsi. N’était-ce pas, après tout, ce que je cherchais ?
Puis il décide de passer à des choses plus sérieuses. Après quelques secondes de manque de contact, je sens alors le bois verni, se poser, froid, sur mes lèvres déjà chaudes de désir. Ce contact m’arrache un gémissement et provoque un soubresaut de tout mon corps. Alors, ce phallus improvisé glisse le long de mon sexe, écartant mes lèvres palpitantes d’envie. C’est si doux, si sensuel que mes gémissements se font plus sonores. Il le comprend et accentue ce va et vient en appuyant sur mes lèvres. Je lâche la queue de billard que je tiens en main.
Sans qu’il le voit, ma langue parcourt mes lèvres, que de temps en temps, je mordille doucement pour ne pas hurler mon plaisir trop vite. Je me sens à sa merci et j’aime ça. Puis d’un coup, le contact se rompt. Esquissant un mouvement pour me relever et tourner la tête, je l’entends m’ordonner de ne pas bouger. Je m’exécute. Je ne vois rien et entends un léger bruissement que je ne peux identifier.
Au bout que quelques secondes, je sursaute au contact d’un surface, tout aussi ronde, dure et boisée que précédemment, mais bien plus grosse. Je comprends alors qu’après la flèche, c’est le fût de la queue qui goûte aux joies de mon intimité. Elle reprend ce lent et pressant mouvement contre les lèvres. Sa main se pose alors sur ma fesse et remonte le long de mon dos, dessinant ma colonne vertébrale.
Cette main douce m’électrise, provoque une chair de poule. Je me cambre pour lui donner plus de facilité. Ce morceau de bois écartant mes lèvres, vient caresser mon clitoris. Ce contact m’arrache un gémissement et un spasme trahissant mon plaisir. Cette main parcourt tout mon corps, s’attarde sur mes seins qu’il ne presse pas mais caresse. La douceur de ce contact décuple mon plaisir. Il augmente encore lorsqu’il me dit à l’oreille :
« Mais on dirait que t’aime ça, ma belle ! Je ne te pensais pas aussi chienne. Et j’adore les chiennes ! »
Le fût percute alors doucement mes lèvres. L’homme s’enhardit et devient plus sauvage. Chaque petit coup, me procure un plaisir, que j’exprime par un gémissement sonore.
« Hummm, oui bébé, gémis, je vais te baiser comme une chienne. »
Je pose alors le genou sur le bord du billard. Il laisse tomber son instrument et ses doigts prennent alors sa place. Mon humidité l’étonne et il me le fait savoir :
« Hummm j’aime comme tu mouilles ! »
Ses doigts s’insinuent en moi puis sa langue les rejoint. Il me saisit et me couche sur le billard. Une bille traînant à sa portée finit par parcourir mon corps dans tous ses recoins. Je la sens rouler sur mes seins, mon ventre…
Très vite, son éducation laisse place à son animalité. Et il devient fougueux. Après quelques instants, il se redresse et prend possession de mon corps.
Signé : Miss K.
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Les gondoles d'Eros
--Correspondances de Venise--
Après un voyage de cinq jours, je suis enfin arrivée à Venise où je me repose, mon Ami, des fatigues de la route, vous vous en doutez, autant que des assauts répétés de notre cocher, tant au long de la route où nous étions sensés nous reposer, qu’en les auberges d’étape où ce bougre m’a copieusement honorée de bien variées façons… Je dois dire que j’ai eu tout mon comptant pour me bien apaiser et comme j’ai pensé à vous, mon Cher Epoux, au cours de ces élans un peu frustres, mais terriblement efficaces qui m’ont laissée brisée ; aussi, dormais-je encore tout mon soûl quand l’on me réveillait à l’aurore, pour le départ…
Le bougre de fouteur aux satanés assauts m’a prise et reprise, au trot comme au galop et bien avant d’avoir atteint même Venise, je me trouvais sans vie, hagarde et toujours prise par ce mûr rustaud qui m’avait là conquise, me donnant tous plaisirs au long de notre route… Et bien qu’il se voulut malgré tout prévenant, le bougre me besognant avait tout argument pour me bien circonvenir, allant me séduisant par moultes attentions, là quérant quelques fleurs en quelque champ, puis s’allant me troussant aussitôt en vainqueur, le bougre bien monté et toujours en raideur quand montrais un mollet ou retendais un bas, l’oeil toujours à l’affût, le vit loin d’être bas recherchant mes ardeurs… Bref, je fus honorée des plus folles façons, votre femme là fut l’objet de ces passions en carrosse, en un champ ou au fond d’une auberge, je goutai de la verge de notre grand polisson !
Cet homme déjà mûr a là mille façons de bien ici satisfaire les vices d’une Dame, pourvu qu’on sut lui plaire et souffler sur ses flammes… Je n’y avais point songé avant, mais je crois que le bougre pourrait en quelque affaire de fesses en nos salons faire belle impression à Marquises diablesses relevant cotillons… Il faut que l’on y songe, mon bel Amant d’époux et qu’on invite un jour en nos chères réunions, ce beau monteur d’amour qui baisa votre Dame… Nous en reparlerons quand serai dans vos bras.
A présent, ce « Casanova » me laisse un peu en paix et fait plutôt sa cour auprès des accortes servantes de mon couple d’Amis ; les plaisirs que partage avec ces Amants passionnés suffisent amplement à me bien satisfaire et si ici devais faire face également aux appétits gloutons de notre mûr et vert galant cocher, je serais épuisée, je vous le dis, mon Cher, avant votre arrivée…
Mon Cher, Venise est toujours des plus attrayantes et, le palais où je suis descendue, très accueillant ; l’on y fait bonne chère, les plaisirs sont nombreux et l’on y côtoie grands personnages de qualité où le jeu, l’amour et les aventures ne manquent point…
En outre, d’accortes et belles servantes, des plus appétissantes, sont là pour satisfaire tous les penchants et vices d’hommes et de femmes… Et si, comme je l’espère de tout mon cœur, vous venez m’y rejoindre, ce sera un séjour fertile en émotions, plaisirs variés, spectacles, musique, bals masqués et autres faridondaines de bon aloi…qui sauront, je gage, vous plaire et vous combler…
Je me détends donc, me promène, suis les arcades de la Place Saint-Marc, prend un chocolat au Café Florian, écoute des musiciens… C’est au cours de l’une de mes promenades et flâneries que j’ai fait la connaissance d’une Dame charmante de haute société, la Marquise Elena di Sorenno, belle femme mûre, la cinquantaine peut-être et nous nous retrouvons presque chaque jour au Grand Café ; j’y trouve grand plaisir et elle aussi, à échanger nos opinions, goûts, confidences et autres conversations de femmes… J’ai soupé hier soir avec elle ; elle s’est avérée très empressée, courtoise, charmeuse et attentionnée à mon égard ; une grande et réciproque sympathie s’est donc installée. Au bout de quelques jours, elle se révéla être une…lesbienne très entreprenante, dont j’ai pu apprécier les attentions toutes particulières, les frôlements, les œillades et les sous-entendus plus que prometteurs, mon Cher. Vous me connaissez, mon Ami, j’ai partiellement déjà succombé à ce charme transformé peu à peu en tendresse que je n’aurais su repousser… Son comportement toutefois en public était des plus discrets, bien que chevaleresque - si l’on peut employer cette expression entre deux Dames se faisant la cour - et ce ne fut qu’en privé, que je découvris réellement l’amour qu’elle me portait…
Vous connaissez mes penchants pour les caresses féminines et j’ai donc succombé. Je vous conterai donc par le menu, mon bon Ami, au fil de ce très long courrier, tous les émois et débordements érotiques, autant que sensuels que j’ai pu savourer… C’est votre faute aussi, pourquoi ne venez-vous pas me retrouver – nous retrouver – vous y prendriez plaisir !!
Un pâle soleil trônait sur la nappe ; après les agapes s’installait l’Amour… Un verre de vin à la main, le Marquis Ottavio di Sorenno contemplait la Marquise, son épouse, en entretien amoureux avec votre Aimée qui, déjà, s’abandonnait en ce feutré salon entre les bras de la dive Marchessa… Elles semblaient très éprises et gentement, se gouinouchaient sur une longue bergère au velours rouge…et vous savez, Mon très Cher, combien je puis être sensible également au(x) charme(s) féminins ( !!). Je ne puis m’empêcher de vous retranscrire ici, sous forme de poème, un texte relatant vos émotions face à deux Dames en caresses et que vous m’aviez écrit à l’issue de mes amours avec une autre de ces « pécheresses », relations qui vous troublaient tant, Armand, mon Bel Amour… Voici :
De l'émotion de voir deux Dames en caresses...
Je ne sais point de plus
Charmante et douce vue
Que celle de deux déesses
Se couvrant de caresses,
Se livrant ingénues
Aux plus folles ivresses !
Qu'elles soient nues ou vêtues -
Si le désir les presse ! -
Elles vous habituent
A bien les contempler;
Ici, ce sont deux seins
Et là encor deux fesses,
Par deux multipliés,
Si bien qu'on ne sait plus
A telle ou telle caresse,
Il nous faut nous livrer...
L'on voit deux bas tirés,
Des jarretelles tendues,
Sous des angles divers -
Je devrais dire rondeurs ! -
L'on voit là de perverses
Et douces caresseuses;
Pourrait-on dire "vicieuses" ?
Jusqu'à ce que l'averse
De nos sens en rosée
Se plaise à déverser
Son trop plein de tendresse,
Jusqu'à bien arroser
Ici les deux diablesses !
Je ne sais pas de plus
Charmantes et douces ivresses
Que de voir là deux Dames,
Deux Dames en caresses !
Et si l'on n'en puis plus
Et que chaleur nous berce,
L'on épuisera sa vue
Et même tout le reste (!)
A les bien contempler,
Ne sachant trop ma foi
A quel sein nous vouer
Ou bien à quelle fesse !!
Féminines à souhait
Et belles pécheresses,
Elles dépassent nos voeux,
Nous jouons les "branlequeux"
Et plus qu'il ne paraisse,
Que l'on soit jeune ou vieux,
L'on va et se redresse
Au long de quelque épieu
Que ces Dames en tendresse
Nous poussent à cajoler...
Je ne sais pas de plus
Fréquente et douce ivresse
Qu'ici de contempler
Deux Dames en caresses...
« A Dame Françoise de Coubressac »,
Armand, son Marquis de Chair…
Plus tard, nous nous retrouvâmes en trio, le Marquis Ottavio nous ayant rejointes et nous avons ainsi passé notre première nuit ensemble : un trio des plus coquin, je vous l’assure… Que ne venez-vous donc, Bel Ami, nous rejoindre !! L’on vous attend… Nous avons parlé de vous, mon Cher et la Marquise et le Marquis brûlent d’envie de vous connaître…
Je leur ai dit que vous alliez très vraisemblablement nous rejoindre, sans doute pour le Carnaval et ai fait même allusion à nos goûts communs en Amour pour les partages sensuels et échanges de qualité. Ils m’ont dit être ravis et nous vous attendons donc, mon très Cher pour le Carnaval et ses folies. Entretemps, je les aime, ils m’aiment et m’épuisent de bien gente façon ! Mais quand vous viendrez nous rejoindre, ce sera avec grand plaisir, vous vous en doutez, que je retrouverai vos étreintes et votre bien douce queue en mes petits nids d’amour, bien que je n’aie point à me plaindre des charmantes ardeurs de mon cher couple d’Amants, je suis comblée en vérité, mais le serai encore plus, mon Ami, lorsque vous partagerez avec moi ces folies et que je vous verrai heureux entre les bras de la dive Marquise italienne qui saura, elle aussi, vous aimer…
Je prendrai mon plaisir devant vous avec le Marquis et vous m’en donnerez en retour par vos accouplements avec cette belle et mûre Dame ; nous partagerons tout, mon bel Ami d’époux, ah, comme je vous veux ici, très vite ! Vous le verrez, Elena est une lesbienne délicieuse, encore très belle, des yeux bruns magnifiques cernés de ses plaisirs, une chevelure de jais, une taille bien prise et des jambes bellement jarretées de noirs ou de rouges bas… Ses baisers ont un goût de soleil, elle est douce et vicieuse, inventive, une merveille d’Amante avec l’homme comme avec la Dame…Tout ceci nous réserve de bien belles surprises et de bien doux et chauds émois. A chaque nouvelle union et rencontre dans notre vie de couple, je découvre des passions différentes et vous savez, mon Cher Armand, combien nous avons déjà tous deux d’expérience en ce domaine, n’est-il pas vrai ?!
J’aime cette femme délicieuse et vous n’ignorez pas combien j’aime aussi à être gouinée par une telle tribade assumant là son beau rôle d’Amant(e), masculine ce qu’il faut, mais féminine aussi envers l’Homme, vous le verrez si, comme je l’espère de tout cœur et de toute ma chair, vous nous rejoignez.
Laissez-moi à présent vous narrer une petite aventure qui ne manque point de piquant, jugez-en plutôt :
Le jeune neveu de mes Amis, un beau gentilhomme et de belle tenue, s’est attaché à me faire la cour – oui, mon Cher ! – et de façon pressante puisque, profitant que nous étions seuls à converser, il me serra de si près, que j’en eus des bouffées et me laissai aborder sans grande résistance…
Il fut entreprenant, si bien qu’au bout d’un court instant, je fus troussée, culotte ici forcée et qu’un pâle et long médius me troulina l’anus de bien gente manière, ce qui, vous le savez, Armand n’est pas pour me déplaire, me procurant de bien douces sensations ; à la fin donc, il m’excita et appela d’autres effets… C’était un « bel enfant » de dix-sept ans à peine, dont je sentais l’haleine s’activer dans mon dos, ce neveu de mes hôtes, efféminé et fin de traits, cherchant quelque plaisir à troubler une Dame… Le jeune vénitien à demi-dénudé s’allait bien de la main en mon petit culet, branlant de l’autre main un vit de bonne taille pour un jeune enfantin ! Je me laissai aller et tendis le derrière à ce jeune impudent ayant ainsi osé de telles privautés sur la noble invitée de ses oncle et tante ; sans doute avait-il dû gentement espionner les jours auparavant notre beau triolet en belles positions…
Je n’en sus rien, mon Cher, comme vous vous en douterez. Le doigt profondément en petite tanière, s’agitait, se cabrait, menait un train d’enfer, comme si l’on m’eût sodomisée ! J’agitai le fessier, gémissant doucement, allant même encourageant ces bien osées manières et le jeune bougre s’enhardissant, là bientôt de me faire, languines en le séant de la pointe de vipère d’une langue fluette, mais combien efficace ! Si l’on nous eût surpris en tels agissements, l’on nous eût vite rejoints, je le crois bien, mon Cher… Le branle de sa main effleurait mon derrière, tandis que l’autre main, du médius et de l’index, se livrait sans complexe à culine bataille… J’étais là possédée, l’on empoigna ma taille et plutôt bien troussée, l’on glissa par la faille de ma culotte brodée un vit de bonne taille, trépident à souhait, gros, gonflé qu’on tenta d’infiltrer en mon petit fossé…
Le jeune Aristocrate avait bien du toupet, mais dans l’état où j’étais et où le « jeune drôle » m’avait mise, autant là qu’il me mette sa belle bite hardie ; de fait, il la mouilla d’un filet de salive et vite m’enfourcha, sa queue fut bien active, longuement elle glissa en mon petit conduit où elle s’agita, lâchant sa lave chaude, ma foi, presque aussitôt (il n’avait su se retenir « mon jeunot » !). Il poussa dans mes reins, il devait être long, il prit mes intestins, jutant une seconde fois en votre épouse aimée ! Il murmura soudain d’une voix étranglée : « Valentino, Valentino ! », puis, plus rien… Je sus là par la suite que ce Valentino était un bon Ami de mon « petit jeunot » et cela confirma les goûts particuliers de ce bel Adonis aux penchants singuliers…
Quoi qu’il en fut, je fus gentement prise en cul (et uniquement !) par mon jeune et occasionnel Amant, dont je n’eus point raison de me plaindre, puisque moi-même goûte fort ces plaisirs, comme vous le savez… Ainsi donc, il donna, par deux fois, de son long goupillon en mon cul, défoutant sans retenue en mon petit envers qui en fut tout mouillé et garda de sa jeune chair la visqueuse rosée… Et ce beau florentin repartit en carrosse dès le lendemain pour Florence où quelque affaire ou « petit ami » l’appelaient sans tarder. J’en garde néanmoins un bien vibrant souvenir.
Nos bonnes relations avec ses oncle et tante furent toujours surprenantes et je me fis l’Amante, ma foi, ici, des deux, répondant à leurs attentes de mon mieux… Un couple de grands Amoureux aux joutes ardentes qui me laissent à chaque fois pantelante, frémissante, toute prête à recommencer ! Mes Amis ont, je crois, prévu à votre attention quelque orgie masquée en leurs salons à votre attention, voulant ainsi déjà vous gâter, mon bel Armand…et cela devrait être là de beaux partages en prévision… Je suis toute imprégnée de la Dame de ce dive Ami, autant que de lui et les sens font le reste… Nous ne cessons de caresses et de plaisirs les plus fols !
Les hautes fenêtres donnant sur le Grand Canal voyaient peu à peu le jour s’étirer ; une pâle brume déjà s’en venait au ras de la lagune… Sur une large couche aux longs draps de satin, votre épouse, mon Cher, s’adonnait au plaisir se laissant pénétrer d’une ardente façon par le vit impétueux d’un Ottavio bandant de toutes sa rouge et belle chair ; quelle mise en cul, mon Cher, quelle sodomie singulière à laquelle se livrait là le noble enculeur ! Il était bon faiseur, me frottinant tantôt l’anus d’une caressante manière, tantôt m’enfilouchant de façon cavalière et prise jusqu’aux couilles, je hurlais de plaisir recevant les assauts de cette trique fière qui besognait mon petit cul…
Tout aussitôt, mon Cher, quand il eut déchargé, la Marquise de me faire quelque clystère bien mené, d’une longue canule à l’ivoire patiné, reprenant du service en mon petit culinet ; et, chevauchée sans discontinuer par ma belle cavalière, je me retrouvais ainsi à nouveau enculée, recevant prestement quelque foutre de miel et de lait qui apaisaient mes intestins… Le Marquis, sans perdre un instant, me donnant à sucer sa longue et bandante chair encore maculée de son foutre et de mes humeurs culières !
Quel festin, mon Ami ! Quels parfums ! Vous me savez gourmande de ces intimes sèves et je ne m’en privai point, goulichant, lichant, sucinant de langue et de lèvres ce beau vit décalotté, Cyclope convulsé… En mon derrière, la Marquise menait grand tapage, m’enculant davantage à chaque poussée, une démente chevauchée pendant laquelle, elle me pinçait les fesses, hagarde, haletante, aux propos bien osés… Elle me claquait les hanches, forniquant de plus belle, un vrai chevaucheur masculin, donnant des coups de reins, le souffle rauque et je sentais sur mon dos, ses petits seins dressés, contre moi écrasés, elle me mordait le cou, me foutant sans arrêt en déchaînée lesbienne me tenant sous sa coupe… Un nouveau jet de liquide chaud inonda mes entrailles, elle avait appuyé sur les couilles rebondies de l’appareil qui libérait ainsi son foutre…je fus un peu apaisée, lubrifiée et lui donnai un ultime coup de cul, ce qui eut pour effet de m’enviter un peu plus sur sa bite de belle enfouteuse !
Elle baisa ma nuque, me mordit une oreille, je jouis encore… Le Marquis en l’instant défouta en ma bouche et je bus sa semence qui glissa dans ma gorge… Vous m’auriez vue ainsi, mon bel Armand, que vous auriez eu envie, j’en suis certaine, de me foutre à votre tour en cul et bien profondément… Venez, venez, mon Cher, mon bel époux d’Amant, que l’on goûte à votre jus que l’on sait bien brûlant et visqueux à souhait !! Je vous veux, m’entendez, je désire votre queue, elle me manque, en con comme en cul, je la veux, je délire, je suis folle de plaisirs, de luxure, je vous mange, vous aspire, vous décalotte l’épieu, vous boursine les couilles de mes longs doigts fiévreux, n’en pouvant plus de vous attendre…
Vous avez là, mon Cher et tendre, un aperçu de ce que votre Françoise vit entre les bras de ses Amis…Venez, venez, je vous en prie, le Carnaval nous attend et ses douces folies vous pressent déjà sur mon sein, je vous sens, ma plume se raidit, crache son foutre encré sur le papier que vous lirez, juste un peu de ma cyprine dont je vais signer cette lettrine enflammée… Je vous la fais porter de suite…qu’elle court vite vers vous…et la lisez…
Nous avons ce soir quelque souper galant peut-être en compagnie de quelques autres femmes, amies de la Marquise…je ne sais…ce sera la surprise…la chair se libérant dans les bras d’inconnues…
Je vous embrasse, mon Cher et vous tiens enlacé, les plaisirs de la chair sont mes seuls péchés, je vais m’y adonner et vous les conterai… A très bientôt peut-être… je le veux, je le souhaite, vous trouverez, sur cette lettre, de Venise le cachet…
Votre épouse adorée,
Françoise de Coubressac
Signé : le Marquisde Chair
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Un séjour à Cayenne - Partie 2
Louis :
« Bien volontiers. J'ai une chambre ici-même si vous désirez...
— Hum oui, allons-y. »
Tu traverses le Palmiste et entreprends de monter les escaliers. Je t'emboîte le pas, Fred derrière moi. Je passe ma langue sur mes lèvres en me régalant discrètement du goût de vous deux, le sperme âcre de Fred et ta cyprine qui m'a si délicieusement inondé la bouche. J'observe ta jupe envolée par les ventilateurs et je me mets à rêver à ton cul, dessous, au petit trou qui attire ma jeune langue gourmande. Je bande doucement en montant les marches, et lorsque nous arrivons dans le couloir, je bande tout à fait.
Je reconnais alors l'hôtesse de l'air sortir de la chambre voisine à la mienne. Je me rappelle immédiatement son gros cul harmonieux, ce qui accentue ma bandaison jusqu'à la rendre plus qu’apparente. L'hôtesse de l'air me regarde d'un air amusé, après vous avoir dévisagé. Je peine à faire tourner la clef dans la serrure pour entrer.
L’hôtesse s’avance et s’adresse à Fred et toi :
« Bonsoir. Connaissez-vous ce garnement ? »
Tu réponds en lui souriant :
« A peine, nous venons de le rencontrer.
— Je vous préviens alors, fait l’hôtesse d’un air malicieux, ce jeune homme est un cochon. Il n’a pas arrêté de mater mon cul pendant le trajet.
— Nous avons remarqué, réponds-tu alors en posant ta main sur la bosse de mon entrejambe. Imaginez-vous… je l’ai rencontré, il était à genoux et il suçait mon homme.
— Oui… et ce cochon il a une bonne langue. Je lui ai craché ma semence au visage, c’était un régal.... »
Gêné, je rougis et me met à balbutier quelque chose, mais ta main serre plus fermement la bosse de ma bite et je me tais. Tu ajoutes, d’un air joueur, à l’hôtesse de l’air qui me regarde avec envie :
« S’il matait votre cul, c’est qu’il le veut… vous voulez rentrer avec nous ? »
L’hôtesse sourit de surprise mais accepte avec plaisir. Nous entrons dans la chambre. Tu me tiens perversement par le pantalon… Fred s’installe derrière moi et il retire ma chemise. Tu m’embrasses le torse tout en défaisant habilement mon pantalon, saisissant mon chibre libéré d’une main ferme.
Une fois nu, tu m’intimes de me coucher. Je m’exécute immédiatement. L’hôtesse de l’air, Françoise, me regarde avec gourmandise. Tu lui proposes de t’asseoir sur mon visage, et Françoise ravie relève sa jupe pour me monter dessus. Elle s’accroupie au-dessus de mon visage. Elle ne porte rien sous sa jupe. Je distingue admirablement une fente soignée et un anus délicat. Fred nous regarde debout, et toi tu t’assois dans un fauteuil, écartant doucement tes cuisses pour te caresser distraitement. « — Lèche-lui le cul surtout », que tu m’ordonnes.
Ma jeune langue, qui était montée aspirer son clitoris et laper sa chatte, passe au petit trou. Je le titille habilement du bout humide de ma langue et je le sens se dilater, sous les gémissements de l’hôtesse. Elle remue son bassin sur moi, pour que ma langue passe plus lentement le long de sa raie.
Je m’applique en saisissant ses fesses à enfoncer ma langue dans son cul, et je sens mon sexe raide pris en main. C’est Fred qui se saisit de mon chibre et exerce une pression soutenue sous mon gland bombé suintant de plaisir, tandis que ma langue se régale du cul impeccable de l’hôtesse…
Sophie :
J’étais ravie, je sentais que la soirée allait être chaude. Ce jeune homme semblait très prometteur. Quelle ne fut pas ma surprise d’être abordée par une jolie jeune femme, très avenante. Je compris rapidement qu’ils se connaissaient. A peine eut-elle donné de brèves explications que j’avais décidé de l’inviter. Je sais reconnaitre au premier coup d’œil une chatte en chaleur. Et celle-là promettait aussi !
Je m’installai dans le fauteuil et donnais mes ordres. Docile, Louis obéissait à chacun de mes ordres. J’avis sous les yeux ce superbe spectacle de voir un abricot et une rosette dévorés avidement. Il me tardait que ce soit mon tour…
D’un coup d’œil entendu, je fis comprendre à Fred de le branler. Il avait un peu ramolli. Mon homme se saisit de la jeune bite, et commença à la branler avec art. Le résultat ne se fait pas attendre, et le pieu se durcit, tendu vers le plafond.
Il avança vers l’hôtesse, sans lâcher la bite, et Françoise comprit très vite. Prestement, elle ouvrit le pantalon de Fred, et en tira sa queue encore bien raide. Sans hésiter une seule seconde, elle se pencha pour aspirer le membre qui n’attendait que ça ! Quel beau spectacle ! Mes doigts s’enfonçaient plus profondément dans ma grotte bien trempée.
Nous restâmes ainsi, dans cette configuration une bonne dizaine de minutes ; nous en parlions pas… Seuls les souffles courts emplissaient la pièce, les soupirs appuyés, les râles de plaisir de Louis..
Au bord de l’orgasme, je murmurais :
« Stop »
Même si j’avais parlé à voix basse, la scène se figea. Tous les trois regardèrent vers moi, l’air interrogatif.
« Nous allons nous organiser autrement... pour tous nous manger en chœur… »
Je distribuais les rôles autoritairement. Françoise avait finalement l’air d’être assez obéissante…
« Fred, tu t’allonges sur le lit, là, sur le bord. Je vais venir m’assoir sur ton visage, pour que tu me lèches comme il faut. Louis, tu vas te mettre à genoux entre ses jambes et le sucer bien à fond. Françoise, allonge-toi sur le lit, en biais, pour que tu puisses pomper Louis. Tu viens déjà de te faire copieusement dévorer, à toi d’attendre un peu… »
Chacun acquiesça sans un mot, et tous se mirent en place… Immédiatement, Louis enfourna la queue dur de mon homme, et il ne fallu que quelques secondes à Françoise pour avaler la bite fine de Louis. De sa main restée libre, elle entreprise de se masser vigoureusement la chatte.
« Celle-là, elle aura droit à un fist », me dis-je en la voyant introduire trois doigts avec une facilité déconcertante.
Je me déshabillai à mon tour, pour m’installer à genoux, sur le visage de mon chéri. Habitué de la chose, il trouva naturellement l’entrée de mes lèvres intimes avec sa langue. Je commençais à onduler des hanches, hyper excitée de voir Louis aspirer la queue de mon Fred, comme si sa vie en dépendait. Françoise pompait aussi fébrilement le bâton qui lui limait la gorge sans ménagement.
A tel point que Louis cracha sa semence le premier. Françoise avala le tout sans broncher.
« Bonne petite », souriais-je intérieurement.
Moi-même, emportée par la vue de mon homme si bien sucé, je jouis comme une fontaine dans sa bouche, me tordant de plaisir. Je basculais sur lit avant de l’étouffer…
Louis accentua sa fellation, et j’ordonnais à l’hôtesse de l’air :
« Ma belle, va l’aider ! »
Elle ne se fit pas prier, et se mit aussitôt à genoux pour aider Louis dans son œuvre. Fred me jeta un coup d’œil fort reconnaissant. Je ne résistais pas à ce cul offert. Je passais derrière elle, et écartait ses globes arrondis. La rosette s’épanouit sous mes yeux, puis la fente rouge d’excitation.
Je l’écartais à deux mains, pour ouvrir sa chatte déjà bien dilatée… J’enfonçais mes quatre doigts tout aussi facilement qu’elle. Elle sursauta, mais accentua ses mouvements de hanches, en grognant doucement. Je pris cela pour un accord.
Alors, j’entrepris d’enfoncer mon pouce à coté de mon index. Elle s’immobilisa, comme pour refuser, puis je la sentis se détendre. J’insistais, et finis par passer ma dernière articulation ? Ca y était, la partie la plus large de ma in était en train de passer…
Je sentais l’humidité de cette grotte en feu. C’était chaud, doux, trempé… J’agitais mes doigts, et elle cria, en me serrant comme un étau. Elle jouit en se tordant encore plus sur ma main. Ce qui eut pour effet de l’introduire en entier. Ca y était, je la fistais !
En entendant son cri, Louis s’était arrêté de sucer a la bite de Fred, qui se souleva pour voir ce qu’il se passait. Interloqués, ils me regardèrent, la main enfoncée jusqu’au poignet dans le ventre de Françoise. Elle soufflait fort, et avait lâché la bite de mon homme.
Je continuais de bouger ma main dans son vagin hyper dilaté. Elle jouit à nouveau en criant grâce.
« Tu es une vraie garce, tu sais ça ? Allez, je te laisse reprendre tes esprits... Mais nous n’en n’avons pas fini…
- Oui, tout ce que tu veux, chuchota-t-elle, visiblement exténuée.
- Ok, repose-toi un peu. Louis, tu vas venir me prendre, pendant que Fred va te sodomiser. Tu n’es pas contre, j’espère ?
- Euh, souffla-t-il, l’air un peu inquiet. C’est que je n’ai jamais…
- -Pfffft, il faut un début à tout ! On a des capotes. Laisse-toi faire !
- Bien Maitresse. »
Tiens, il avait enfin compris.
A suivre...
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