Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un week end à trois mecs !
Nous sommes dimanche, début d'été 1985. Je viens de finir mon weekend de garde. Pas trop crevé par le boulot, tout en prenant ma douche je me demande ce que je vais pouvoir faire durant les deux jours à venir, puisque je suis de repos. Durant que je me change pour quitter la boîte, le coup de téléphone d'un client transporté le jeudi précédent pour demander si nous n'aurions pas trouvé son porte documents dans l'ambulance. Effectivement nous l'avons trouvé.
Comme je n'ai donc rien prévu, je me propose pour aller le lui rapporter, bien que ce ne soit pas tout à fait prés de chez moi. Je l'avais reconduit moi-même chez lui, en retour d'un centre de rééducation à la suite d'une fracture. Cet homme, qui s'appelait Victor, était un grand blond athlétique d'une quarantaine d'années. Il était très sympathique. J'avais senti en lui au moins une certaine homosexualité que son attitude et la cour discrète qu'il me fit durant le transport me confirma.
En quittant son domicile, il avait eu une manière de me dire au revoir, ce qui voulait vraiment dire qu'il le souhaitait, qu'on se revoit. L'occasion était bonne pour moi de savoir si je m’étais trompé ou non, et puis cela faisait quelques jours que je ne m'étais pas fait sauté, j'en mourais d'envie. Victor vivait dans une belle villa du côté de Velizy dans la banlieue parisienne.
Lorsque j'arrive chez lui, dans ma voiture personnelle et que je lui remets son porte-documents, il se confond en excuse pour le dérangement, ce à quoi je lui réponds que étant en repos pour deux jours, rien ne peut me déranger.
« Dans cas, Bruno, entrez donc ! Je vous invite à déjeuner, vous voulez bien ? »
J'accepte avec plaisir sa proposition, d'autant plus que des odeurs fort agréables arrivent des cuisines. Il me précède jusque sur sa véranda en s'appuyant sur une canne, sa jambe est encore un peu fragile. Nous installons. Il nous sert un verre de whisky. Nous commençons à le déguster quand arrive un jeune homme brun de 25 à 26 ans, sa démarche fait un peu « grande folle »'. Dés qu'il me voit il rectifie son allure.
« Bruno, je vous présente Gilles, mon filleul. Il vit chez moi durant ses études ! »
C'est fou ce que nombre d'homos ont comme filleuls. Cela m'a beaucoup amusé. Il est vrai qu'à l'époque dont je parle, pas si vieille pourtant, il était très mal vu pour des gays d'avouer vivre en couple. Je salue Gilles, me disant enchanté de le connaître. Il s'installe avec nous et tout en buvant, nous discutons joyeusement. Victor recommence, en moins discret, à me draguer. J'entre dans son jeu me disant que pour me reposer de ma garde une éventuelle partie à trois serait plus que la bienvenue.
A sa question de savoir si je suis marié je lui répond, sorte de cri du cœur:
« A non alors! Beaucoup de femmes apprécient peu mes goûts !
- Ah! Bon? Pourquoi ? Vous êtes gay ?
– Non, juste bisexuel. »
Soudain l'atmosphère change du tout au tout. Gilles redevient « la folle » qu'il a toujours été, et Victor devient moins discret. J'entre totalement dans son jeu. Après un excellent déjeuner, Victor me propose d'utiliser la piscine avec Gilles et lui.
« Mais je n'ai pas de maillot !
– Nous non plus, et alors ? »
Je suis tout de suite ok, après tout, vivre à poil c'est mon truc. Très vite donc, nous voilà en tenue d'Adam. Je suis déshabillé du regard par mes hôtes, et j'ai droit à leur réflexion étonnée en constatant que je suis intégralement épilé. Je leur fais un bref résumé de ma vie et leur fais remarquer que je trouve très agréable ce qui pend entre leurs jambes.
En effet, ils sont très bien montés et, circoncis, je peux apprécier leurs glands, surtout celui de Victor qui est plus large que sa hampe, juste comme j'aime. Il a quelques poils, mais sa blondeur le sauve (à mes yeux). Gilles quant à lui est très peu poilu. Il a un joli petit cul bien rond et bien ferme. Il me rappelle celui d'une copine très friande de sodomie.
Décidément, l'après-midi s'annonce très bien. Nous nous jetons dans la piscine, chacun de nous fait, quelques brasses, puis nous nous accrochons au bord du bassin et continuons à papoter. Soudain, Gilles se laisse couler et remonte en se frottant à mon corps, il s'arrête à hauteur de ma bite et me la suce.
Agréable surprise qui me fait bander aussitôt. Mon suceur s'active un bon moment, refait surface pour respirer, mais une de ses mains me caresse la queue. Je le ceinture avec mes jambes, il comprend aussitôt ce que je veux, son gros gland caresse mon sillon culier puis titille mon trou quelques secondes, de mes mains j'écarte mes fesses pour qu'il entre en moi. Il entre doucement. Bon sang qu'est-ce que c'est bon ça ! Enfin, nous ne faisons qu'un lui et moi. Mes mains prenant appui sur le bord du bassin je commence à aller et venir sur lui, lentement comme j'aime pour mieux ressentir le plaisir de la sodo.
Victor pendant un temps joue les voyeurs en se branlant. Mais il ne tarde pas à se joindre à nous, il se place derrière son chéri, ses mains caressent le corps de Gilles. Celui-ci gémit en m'enculant et soudain, il se raidit et son gémissement s'accroit, Victor entre en lui. Gilles, son cher filleul est pris en sandwich. On baise un moment comme ça, nos gémissements se confondent et soulignent notre plaisir. On ne tarde pas à s'arrêter pour sortir de la piscine, ce sera tellement plus agréable de faire ça sur un transat.
Dés que nous sommes sortis, je m'agenouille devant Gilles et Victor pour sucer leurs belles bites. Mon péché mignon c'est de sucer une queue qui sort d'un cul (ou d'un vagin). Elles ont alors un goût que j'adore et qui m'excite. Je me régale donc avec mes deux sucettes. Au dessus de moi Victor et Gilles, gémissent leur plaisir d'une voix étouffée car ils se roulent une pelle goulue.
Enfin, je les sens se contracter, leurs queues ont des soubresauts, ils vont jouir, j'accentue ma pipe et les fais juter quasiment ensemble dans ma bouche. L'un d'eux, j'ignore lequel pour l'instant, décharge une quantité importante de bonne crème. Je n'en perds pas une goutte. Pour me remercier, Gilles prend ma bite en bouche et me suce d'une manière magistrale. Sa langue et ses lèvres sont partout en même temps.
Je les crois sur mon gland, elles sont sur mes couilles, je les crois sur ma hampe, elles sont autour de mon gland. Avec ce régime je suis plus excité que permis et je ne tarde pas à avoir envie de jouir. Je me retiens le plus que je peux, mais Victor m'embrasse à pleine bouche alors je ne me contrôle plus et explose dans la bouche de Gilles.
Après ces émotions, un verre est la bienvenue. Nous sommes affalés sur des transats, et tout en discutant chacun de nous caresse sa bite pour lui redonner figure... euh.... ... humaine. Je lorgne celle de Victor. Elle est longue et épaisse, je veux absolument qu'il m'encule, la sentir aller et venir en moi, connaître le plaisir de me faire ramoner, et enfin goûter ce plaisir formidable de le sentir jouir en moi.
Enfin, Victor bande, je m'approche de lui, m'agenouille et le suce. Sa bite est toute chaude et douce, je la tète avec délices. Ça y est elle, est bien dure, je me relève et m'empale sur la queue de Victor en lui faisant face. Je prends appui sur les bras du transat et commence à faire ma gymnastique. Je monte et descend sur cette belle grosse bite, le plaisir qu'elle me procure me fait bander comme jamais. Puis nous changeons de position, je vais prendre appui sur le transat de Gilles et Victor m'encule en levrette. Ce n'est pas la façon que je préfère mais c'est vrai qu'en levrette on est pénétré plus profond. C'est très très bon aussi.
Gilles se rehausse en mettant un coussin sous son cul, il bande aussi beaucoup et pendant que ses mains caressent mon corps je le suce. Je me dis que j'ai bien eu raison de me charger de venir rapporter à Victor ce qu'il avait oublié. Mes copains m'avaient traité de couillon de faire cela après une garde au lieu de, rentrer toute de suite chez moi. Je ne pouvais tout de même pas leur dire que si je faisais cela c'était parce que j'avais une petite chance de me faire sauter.
Je suis bien, je me fis enculer tout en suçant une queue, je prends un pied d'enfer, à tel point que alors que personne ne s'occupe de ma queue, j'éjacule sans plus pouvoir me retenir. Le beau torse musclé de Gilles est complètement recouvert de ma crème. Il me fait un grand sourire, et de sa main droite, il se masse le torse tandis que sa main gauche caresse ma queue pour bien la vider, puis il se lèche les mains.
Ma jouissance me fait accompagner Victor dans mon enculade. En effet, je donne des coups de reins, Victor ne peut se retenir plus longtemps et jouit en moi en poussant un grand rugissement. Il semble ne plus pouvoir s'arrêter de juter. J'en ai plein le cul, c'est le cas de le dire. On s'affale tous les trois, épuisés. Surtout moi d'ailleurs, car j'ai bossé plus de vingy quatre heures de suite.
On reprend des forces en mangeant un peu, le tout arrosé de whisky. Ensuite je leur demande de me conduire à la douche. Je me rafraichis et dis à mes deux nouveaux amis que je dois rentrer car je suis sur les rotules. Ils ne veulent rien savoir et insiste pour que je reste dormir et :
« Tu repartiras demain matin, tu seras plus en forme pour rentrer ! »
Je me laisse convaincre en pensant que demain matin, qui sait, je me ferais peut-être mettre une ou deux petites pétées, pour la route.
Nos parties de jeux ont duré assez longtemps. Il est autour de vingt heures, j'accepte volontiers leur invitation. Nous dinons, et après une heure ou deux à discuter de choses et d'autres, je me couche et laisse Victor et Gilles faire leur vie.
Je ne tarde pas à m'endormir d'un sommeil de plomb. Mais soudain, un bien-être extraordinaire m'enveloppe. Je me laisse envahir, mais cette impression devient telle que je suis obligé de me réveiller. Je suis extraordinairement reposé. J'ouvre un œil, il fait grand jour et je comprends la raison de mon bien-être. C'est Gilles qui en est la cause. Il est nu, agenouillé sur le sol et il suce ma bite. J'adore qu'on me réveille comme ça, surtout que Gilles me suce comme une reine. Je me laisse aller à ce plaisir, je ne fais aucun brusque.
Maintenant que je suis conscient, l'envie de jouir monte vite, je gémis, Gilles accélère sa sucette, mon jus monte et j'explose dans sa bouche. Il ne s'y attendait visiblement pas car il a un léger sursaut mais s'applique à ne rien perdre de ce que je viens de lui donner.
« Hey ! Gilles ! N'avale pas tout, j'en veux moi aussi un peu de ma crème »
Il me regarde en souriant et me prend la bouche. Nos langues jouent dans ma bouche à celle qui récupérera le plus de sperme. Ce petit jeu l'excite et je constate que sa belle bite est toute dure, prête à servir.
« Gilles, encule-moi, s'il te plait, c'est mon cul qui va sucer ta bite. »
Je m'allonge en travers du lit lève mes jambes et les écarte bien, Gilles me tient les chevilles et regarde mon petit trou qui est tout dilaté par l’excitation, il n'a donc aucune difficulté à me pénétrer. Il entre d'un seule coup en moi son ventre claque contre mes fesses. Je pousse un petit cri de plaisir. Décidément je ne me lasserai jamais de me faire enculer, moi. Gilles se met à aller et venir en moi tout en imprimant un mouvement de rotation de son bassin. C'est proprement génial ce qu'il est en train de me faire.
Nos gémissements attirent Victor qui apparaît dans la chambre. Il est entièrement nu. Il a un corps splendide, il s'approche en claudiquant un peu, sa jambe est encore sensible. Il grimpe sur le lit, met ses jambes de chaque côté de mon corps et s'accroupit en me tournant le dos. Il écarte les fesses, je comprends sa demande, je le prends par la taille et le baisse un peu plus de ma bouche et je lui fais une feuille de rose. Ses soupirs de plaisir sont étouffés, car il roule une pelle à Gilles qui accélère ses mouvements, il va jouir, il sort de mon cul et explose sur mon ventre. Victor se relève, j'en profite pour étaler le sperme de Gilles sur mon ventre. J'adore sentir cette crème chaude gicler sur moi…
Victor, que ma langue a chauffé, se présente entre mes jambes, et sans même prendre la moindre précaution, il m'encule, je sens bien son gros gland pénétrer, c'est bon. Et puis, il me perfore à grands coups de rein. Après « la danse' » de Gilles, les assauts de Victor sont juste ce qu'il me faut pour me faire jouir, ce que je ne tarde pas à faire d'ailleurs, tant je suis bien baisé. Victor me prend un long moment encore avant d'exploser en moi. Qu'est-ce que c'est bon ça !!!
Enfin, après une bonne douche et un p'tit dèj' copieux, je rentre chez moi non sans avoir accepté leur invitation à venir chez eux de temps en temps. Ce que je fis d'ailleurs deux ou trois fois….
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Le sex-store de Fort Pierce
Fin février 2012. Nous sommes sur la route entre Daytona et Miami, en Floride. Il se fait tard, et nous décidons de passer la nuit à Fort Pierce, une petite ville à mi-chemin vers Miami. Sur le net, nous avons trouvé un motel pas trop cher, mais qui semble bien. Les sites nous disent que c’est une ville américaine classique, sans rien pour la distinguer d’une autre…. Peu importe, nous ne voulons qu’y dormir... Et découvrir l’Amérique profonde, c’est bien aussi !
Mais peu avant de prendre la sortie, un immense panneau barre le coté de la route. Au lieu des sempiternelles pubs pour des cabinets d’avocats, celui-ci vante... un sex-shop ! Ici, on les appelle des « sex stores ». Cela nous semble incongru, dans ce pays qui se dit si prude. Et d’un commun accord, nous décidons d’y aller faire un tour après le diner.
Nous trouvons notre motel sans difficulté, un comme tous les autres, grand, propre et pas cher. Après un rapide diner « typically american » avec hamburger et « french fries » énormes, nous prenons la route vers le fameux sex-shop.
Après de longues minutes de route, nous le trouvons, dans une des multiples zones commerciales qui cernent littéralement toue les villes américaines, même les plus petites. Contre une station essence et face à un Mac Do, le voilà : un énorme cube, grand comme un supermarché de chez nous… Impressionnant !
Nous entrons, et sommes salués chaleureusement par une jeune femme, très simplement habillée d’un jean et d’un pull à col roulé...
Première surprise : c’est éclairé en grand, tous néons dehors, sans zone d’ombre. C’est agréable, on n’a pas du tout une sensation de glauque.
Deuxième surprise : pas mal de monde, des gens qui discutent, échangent, comparent les avantages des articles devant les rayons comme on le ferait devant un étalage de perceuse dans un magasin de bricolage…
Nous laissons de coté le rayon des vidéos, absolument immense, pour nous diriger les sex-toys. Il y en a pléthore, et tous plus jolis et originaux les uns que les autres. Pas facile de faire un choix !
Je finis par en sélectionner une dizaine, mais il n’est pas question de tous les acheter ! Fritz me dit en riant :
« Ce serait bien de pouvoir les essayer !
- Chiche ! Peut être que ca se fait ?
- Oh ca m’étonnerait, quand même…
- Je vais demander ! »
Le fait d’être loin, dans un pays étranger, permet peut être des audaces qu’on éviterait près de chez soi… Je me dirige vers la jeune caissière, et lui formule ma demande.
Sans sourciller, elle me répond que j’ai des cabines à disposition au fond du magasin, les grandes portes que je n’avais pas remarquées… Elle me tend un rouleau d’essuie-tout, et un produit désinfectant.
« C’est pour les modèles d’exposition. A nettoyer avant et après ! »
Je suis malgré tout un peu interloquée, mais vais rejoindre mon mari.
« Chéri, c’ets possible d’essayer !!!
-Ah bon, et où ?
- Là regarde, les grandes protes..
- Mais on essaye quoi ?
- Tout ce qu’on veut, à désinfecter avant et après…
- Tu as envie ?
- Oh oui, mais bon, l’hygiène…
- Ne t’en fais pas, on va les couvrir d’une capote. »
Toujours la bonne solution, mon cher mari !
Sans plus hésiter, nous allons vers les portes. On ouvre la première, la cabine est occupée. Un home est train de se masturber avec une fausse bouche… Amusant, on referme la porte, même s’il proteste…
La seconde est tout aussi occupée par un couple de gays, en train d’essayer un énorme gode dans une sodomie sauvage. Je serai bien restée, mais là, c’est Fritz qui ne veut pas. Il me tire par le bras, et m’emmène directement à la dernière cabine.
Elle est grande, sans doute près de 10 mètres carré, et vide. Il y a au centre un grand fauteuil style club… Elle est tout aussi éclairée que le magasin, mais on peut baisser la lumière. Ce que nous faisons d’emblée. Aussi ne vais-je remarque que plus tard les trous qui ornent les cotés de la cabine... certains à hauteur de bassin, d’autres à hauteur de visage… Mon homme me dira plus tard les avoir vues de suite…
Je déroule le non-tissé qui sert à protéger le siège, il y a aussi un lavabo et du savon au fond, et tout est super propre, comme partout dans ce pays. Sans l’ombre d’une hésitation, je m’assieds, les jambes grandes ouvertes, les mollets posés sur les accoudoirs. Nous rions de cette position super indécente, dans un magasin…
Mon chéri nettoie un joli vibro rose, en latex, tout doux et très silencieux. Puis il le recouvre d’une capote. Il se met à genoux devant moi, et entre prend de me masser les lèvres intimes avec… Furtivement, j’entends des bruits à coté, et pense qu’il s’agit d’autres clients faisant la même chose. Je me laisse aller, de plus en plus excitée… Frit m’ouvre les chais en grand, laissant sortir facilement mon petit bouton. Je sens que je vais jouir une première fois...
Mais un bruit plus prononcé que les autres me fait sur sauter. Mon mari est mort de rire... et moi, je finis par suivre son regard, et voir deux belles bites qui sortent de la cloison ! je lève le visage, et deux paires d’yeux me fixent. Je suis surprise, pour le moins... Mais agréablement surprise.
« On continue ? me chuchote Fritz.
- Mais bien sur, tu sais comme j’aime ça !!
- Et s’ils veulent te toucher ?
- Là, mon chéri, c’est toi qui décides ! »
Je tends un bras pour saisir la queue la plus proche. Elle est ferme douce, et se raidit bien dans ma paume. Je le masturbe lentement, et je sens sa respiration s’accélérer. Je me tourne un peu, pour qu’il me voie mieux. Fritz continue de me branler avec le vibro, et moi, de me savoir observée ainsi, impudique et vicieuse, je jouis une première fois, sans trop de discrétion…. L’homme se retire, et je le vois jouir juste devant l’orifice. J’apprécie son savoir-vivre, de ne pas m’imposer une giclée de sperme…
Je suis bien, mais je n’en n’ai pas eu assez. Mon homme prend un autre gode, un genre de pince mauve super douce. Il la couvre aussi d’une capote, et au moment où il allait me lécher copieusement, la porte s’entrouvre. Je reconnais furtivement l’homme qui se branlait dans la fausse bouche, plus deux autres, qui se hissent derrière lui pour m’apercevoir. Fritz leur fait signe d’entrer, et pose ses conditions :
« You can watch, but don’t touch, except if she asks for… »
Les hommes acquiescent d’un signe de tête. Je suis aux anges, et je n’aurais jamais imaginé une telle tournure !
Mon homme reprend sa caresse, me dévorant à fond, sous le regard de plus en plus rapproché des hommes. Ils sont déjà tous sortis leurs bâtons de chairs, et se branlent plus ou moins férocement.
L’un tend la main vers mes seins. je le fais sortir du haut que je porte sans soutien- gorge, et il s’en empare comme un affamé. Il me triture, et vient le sucer comme un dieu. L’autre qui est à coté, ne se prive pas de faire la même chose, après m’avoir demandé mon accord. Qu’ils sont bien élevés, ces américains !
Me voilà les jambes écartelées, deux hommes tenant mes tétons, deux autres se branlant à coté de moi… J’aperçois aussi les deux orifices occupés. Ils sont six, six pour moi toute seule... le rêve !
Je ne peu m’empêcher de saisir une bite dans chaque main.. ca me fait trop envie. Et pour ma plus grande joie, l’un des hommes branle une des queues qui sort du trou... Je me demande si son propriétaire sait qui le caresse…
Devant une telle situation, je jouis une deuxième fois, avec encore moins de retenue que la première. Du coup, cela en fait jouir deux, ceux qui me dévoraient les seins. Ils se retirent, et laissent la place à d’autres...
Je saurai plus tard, par la vendeuse, que plus de quinze hommes ont ainsi défilé dans le box, sans que je m’en rende vraiment compte….
Fritz s’test retiré, il me tient la chatte grande ouverte, et un inconnu me dévore à grands coups de langue. Il a une vraie bite à la place de son organe lingual ! Il me pénètre le vagin très loin. Si loin, que je jouis encore. Je commence à avoir la tête qui tourne. Je sens mon homme, vigilant, qui régule les appétits masculins, laissent les uns et les autres me toucher... Je palpe plein de verges, de toutes tailles, de toutes couleurs. Certains jouissent vite, d’autres sont plus longs…
Je me dis furtivement qu’ils sont tous très respectueux, car pas un ne passe les limites fixées. Mon mari continue de me labourer à l’aide des différents godes, et vient me chuchoter à l’oreille :
« Tu ne veux pas te faire prendre pas une belle queue d’ébène ?
- Si tu veux, je commence à avoir envie de chair humaine, plus de latex !
- Il y en a une là, il te plaira surement…. »
De la masse des visages qui me surplombent, je vois au milieu un black au crane rasé, bien bâti. Je baisse les yeux pour regarder son chibre, un bâton très épais mais assez court, comme je les aime.…
Je suis trempée de mouille, de plaisir, d’excitation... Dans un coin, je vois ce que j’adore : un homme en suce un autre à genoux. Celui qui est debout lui baise la bouche sans ménagement. Du coup, je me retourne carrément à quatre pattes sur le fauteuil, pour mieux suivre le spectacle. Décidemment, ce soir, c’est ma fête !!!!
Dans cette positon, je sens des mains qui passent furtivement de mon vagin à ma petit rondelle qui frétille… Je ne retourne pas, toute à attentive à la fellation entre hommes à cinquante centimètres de mes yeux. Des doigts me massent, des langues me lèchent, je ne sais pas qui fait quoi, mais c’est divin ! Je sens le plaisir monter une fois de plus. Je jouis, avec en fond d’image, le sperme qui déborde de la bouche du pompeur, et de deux autres bites qui giclent…
Ca sent fort le sperme partout... Le temps de reprendre mes esprits, Fritz me dit à l’oreille :
« Tu es prête ? Il va te prendre en levrette… »
L’homme entame sa progression dans ma grotte qui n’attendait que ça. D’un coup de rein, je le force à s’enfoncer d’un coup. Mon mari vient devant moi, et m’embrasse amoureusement. Je suis littéralement défoncée par ce pieu large, qui m’écartèle avec bonheur… un doigt fouille ma rosette brune… Mon mari se redresse, et défait son pantalon. Je le gobe sans sourciller, toute heureuse de le faire participer à notre mini orgie. Je suis dans un état second, et je l’aspire au rythme des coups de boutoir de mon amant du moment. Les autres l’encouragent, et je vois des mains branler des bites encore plus vite ; Certains crachent leur jus sur le fauteuil.
Je me ferai la réflexion plus tard que pas un n’a éjaculé sur moi….
En attendant, je suis pilonnée sans ménagement par l’homme, tandis que, j’en suis sure, une langue dévore mon anus qui apprécie follement… je jouis comme une dingue, clouée sur le fauteuil par le black. Fritz jouit dans ma bouche, et j’avale avec plaisir cette crème adorée.
Je sens les saccades de foutre au travers de la capote, et je regrette de ne pas l’avoir senti « en vrai » !
La fureur retombe dans la cabine, ils sont encore cinq dedans. Le black me fait une bise, et me glisse une carte de visite. Il vit à Miami…
Les quatre derniers se branlent en me caressant, je leur laisse libre accès à mes orifice, mais juste manuellement ou avec leurs langues. Je suis épuisée, mais ces caresses sont doucement excitantes. Un à un, ils jouissent, et se rajustent. Nus finissons pas nous retrouver seuls.
Fritz verrouille la porte.
Je me demande si j’ai rêvé ou pas : il me confirme que non…. Il me redresse, et m’embrasse fougueusement. Comme je l’aime, mon Fritz à moi !
« Tu me fais l’amour ? lui murmurai-je.
- Ici ? Où à l’hôtel ? »
J’hésite, et j’opte pour l’hôtel. Je ne recommencerai pas un nouveau marathon !
Nous nous rhabillons, et constatons que pas une trace de sperme ne subsiste. Je n’y avais pas fait attention, mais chaque homme a consciencieusement nettoyé ses propres souillures. La cabine est propre….
Nous sortons, et aux regards que nous recevons, je constate que tout le magasin savait ce qu’il venait de se passer ! La vendeuse encaisse les produits que nous achetons, et nous fait quatre cadeaux, pour nous remercier d’avoir « animé » la soirée ! Elle le fait le plus naturellement du monde, comme si c’était courant... Après tout, peut être que ca se passe comme cela tous les soirs !
Nous sommes rentrés à l’hôtel et avons fait l’amour toute la nuit, tant j’étais excitée….
Le lendemain matin, nous avons eu la surprise de constater que le black était dans la chambre à coté ! Dommage que nous ne l’ayons pas vu la veille ! mais je vous rassure, nous nous sommes rattrapés le lendemain à Miami, avec lui….
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La découverte zoo de Sylvain - chap 2
LES AVENTURES ZOO DE SYLVAIN - CHAPITRE II
C’est maintenant à lui de se retourner tout en me gratifiant d’une bonne léchouille sur le visage. Sans hésitation, tellement excité par la situation, j’ouvre grand la bouche et lui tend ma langue.
Sa réaction ne se fait pas attendre.
Il me lèche ma langue et enfourne la sienne au fond de ma bouche. Il n’arrête pas de me lécher aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Ça semble vraiment l’exciter. Nos salives se mélangent et j’ai maintenant le visage et la bouche tout baveux.
Je trouve cela à la fois dégoûtant et terriblement excitant.
Enfin il cesse, tourne autour de moi. Sa queue a désenflée. Elle est presqu’entièrement retournée dans son fourreau. Rex se place derrière moi, me grimpe sur le dos… Le moment tant attendu semble enfin arrivé ! Au passage les ergots de ses pattes avant me griffent les hanches, je garderai donc un souvenir supplémentaire de cette aventure !
Je me cambre, complètement offert à ses attaques. Je tends mon cul de « pucelle » bien ouvert prêt à la saillie. Ses pattes avant m’enserrent maintenant afin que je ne puisse pas m’échapper. Il a décidé du moment et compte bien que je ne puisse m’y soustraire. Mais telle n’est pas mon intention, j’ai accepté mon sort. Je me donne à lui et je bande come un fou, impatient de connaître ce que j’espère n’être que du plaisir.
Je baisse la tête pour voir. Le bout de sa queue vient frapper sur ma rondelle. Elle est maintenant complètement ressortie du fourreau. Elle vient frapper contre mes couilles puis remonte entre mes fesses, glisse sur mon dos, redescend tout en giclant et ainsi de suite pendant un moment. Visiblement, Rex cherche ses marques. J’écarte un peu plus les genoux pour me mettre mieux à sa hauteur et j’accentue ma cambrure. Son bout revient alors « poker » ma rondelle bien humidifiée. Rex a trouvé le sésame.
Je m’apprête à vouloir le guider avec ma main passée entre les cuisses.
Trop tard, un furieux coup de rein et c’est sa bite toute entière que je prends dans le fondement. Mon petit trou n’a pas eu le temps de dire « ouf » !
Et là, c’est un festival. Rex se déchaine. Dans les premiers instants de sa pénétration je sens sa queue et les petites boules qui forment son nœud entrer et sortir assez librement de mon anus. Cela me fait une sensation bizarre, pas désagréable, pas douloureuse. Je suppose que mon cul ayant été bien préparé au départ plus l’excitation…
Puis le rythme s’accélère. Je commence à me masturber bien décidé à profiter de cette expérience. Et, d’un coup, Rex s’arrête. Il ne bouge plus. Ses pattes m’enserrant encore plus fort si c’est possible. Je ressens à la fois une grande douceur au contact de sa chaleur et de sa fourrure sur mon dos et la sensation d’être possédé par un vrai mâle à être retenu ainsi entre ses pattes. C’est une expérience incroyable. Je lui appartiens.
Je comprends à cet instant toute la signification de ce que signifie l’expression de la femelle qui se fait couvrir par le mâle…
Au bout de quelques instants, je sens une grosseur qui me rempli l’anus. Oui, quelque chose grossi, vite, très vite. J’ai mal. Il me fait mal ce con !
J’essaye de me libérer. Je passe ma main entre mes cuisses et attrape le sexe de Rex pour le retirer de mon cul. Il me serre encore plus fort entre ses pattes. Impossible de le retirer ! Une grosse boule me verrouille à lui. Impossible de dilater assez ma rondelle pour le retirer et ça continue à enfler, je suis possédé par ce membre qui à la fois s’allonge et vient pousser sur les parois dans mon intestin. J’ai l’impression qu’on m’a enfoncé une orange dans le cul !
Pour une première sodomie, c’est réussi ! Les larmes me montent aux yeux. Cela va-t-il continuer longtemps ? L’extase du départ fait place à l’angoisse. J’écrase ma tête sur le sol et tends mon cul au maximum afin que le sexe de Rex me pénètre le plus loin possible, pensant ainsi que ce serait moins douloureux.
Puis, au bout de quelques minutes qui me paraissent interminables, la douleur devient plus sourde, j’ai l’impression que mon corps commence à s’habituer à ce corps étranger. Petit à petit mon corps accepte cette présence, la douleur s’estompe et commence à faire place à d’autres sensations et sentiments. La sensation de possession bien-sûr mais pleine, acceptée et épanouissante et le sentiment d’envahissement jusqu’au cerveau de chaleur et de plaisir sans limite. Je sens Rex maintenant recommencer à s’agiter et là, c’est un feu d’artifice de plaisir et de jouissance. La communion entre l’être et la bête.
Son nœud vient me masser la prostate déclenchant un premier orgasme monstrueux. Au point d’en voir des étoiles !
Il me rempli de son foutre, il pompe toute sa gourme dans mon cul. Ah, c’est trop sale, mais tellement bon !!! Ses va-et-vient me rendent fou et je jouis comme jamais. J’en mets partout. J’éjacule sans même me toucher !
Je ne débande même pas ! Il gicle le salaud à n’en plus finir. Le temps passe, je flotte dans une sorte de brouillard, enivré par tant de sensations. Je sens que le nœud commence doucement à dégonfler. La libération est maintenant proche.
Déjà, Rex essaye de se retourner comme il le ferait avec n’importe quelle chienne. C’est d’ailleurs ce que je suis pour lui. Pour éviter qu’il ne me fasse encore mal en se retirant, j’essaye de retenir son sexe à l’intérieur de moi d’une main. Il parvient à descendre ses pattes avant et à se retourner. Curieuse sensation que de se retrouver sodomisé, cul à cul avec son chien domestique !
Son nœud semble maintenant suffisamment dégonflé pour que je puisse maintenant m’en libérer. Je tire donc sur la racine de sa bite et sens ma rondelle s’élargir. Du jus s’en échappe au moment où je relâche la tension venant ainsi maculer mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Heureusement que je suis sur du carrelage…Sa queue retourne encore au fond de mon cul envoyant encore quelques signaux de plaisir à mon cerveau. Attendons encore un peu.
Cela fait déjà près d’un quart d’heure que ce salopard me défonce l’anus. Nouvelle tentative, nouvel échec en quelque sorte car je ne suis maintenant pas contre si l’expérience se prolonge encore un peu.
Une dernière tentative permet d’extraire sa matraque un peu souillée qui est encore de bien belle taille. Je n’aurai jamais pensé pouvoir prendre un tel morceau dans mon cul d’ado! Au moment où la verge termine sa sortie et retombe lourdement entre les pattes de Rex, mon anus dilaté laisse sortir un jet de foutre, je devrais dire un torrent de foutre ! Il m’a fait un vrai lavement, l’enfoiré.
J’attrape à nouveau sa queue et me la réenfonce dans le cul maintenant bien décidé à me ramoner l’anus tout en me masturbant. Les va-et-vient de ce beau membre se font de manière très libre mon anus étant maintenant totalement dilaté, je pourrai y enfoncer sans souci mon poing ! Je jouis ainsi encore deux fois usant et abusant de son bel outil. Enfin, fatigué, comblé, je laisse aller son bâton de plaisir tout en conservant ma position et mon cul en l’air le temps de reprendre mon souffle toujours dans un état second...
Rex en profite pour revenir encore une fois me bouffer la rondelle. Je suis sa chienne vous dis-je et il me considère comme telle. Il me fait une vraie toilette. Le cul, les couilles les cuisses, même ma bite y passe. Il ne recule devant rien et vient même lécher mon sperme mélangé au sien qui est tombé par terre. Voilà encore des sensations que je ne suis pas prêt d’oublier.
Je bascule alors sur le côté, m’allonge dans ce stupre, le temps de retrouver mes esprits. Je suis dans un état ! Rex s’allonge enfin à proximité, il se lèche la bite, me regarde et retourne à son nettoyage. Je suis aux anges ! Quelles sensations ! Quel stress de vouloir le faire et quel bonheur de l’avoir fait.
A suivre si ça vous plait...
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Mes aventures avec Diane ma coquine - Chap 3
Week-end à Deauville.
LUI : Nous nous sommes déjà rencontrés à deux reprises, une première fois pour un 5 à 7 chez toi et ensuite pour une nuit à l’hôtel pour plus de discrétion. A ta demande, j’ai réservé une chambre pour le week-end à l’hôtel Ibis de Deauville. D’après le plan il semble bien situé. Je fais confiance à ton choix.
Vendredi en début d’après midi alors que je viens de faire les 350 km de route qui me séparent de toi, je te prends au bas de ton immeuble dans le quartier Montmartre. Après les effusions de nos retrouvailles, nous quittons assez facilement Paris car il est encore tôt dans l’après midi et, devisant gaiement nous faisons la route vers la côte normande.
Nous ne sommes pas particulièrement pressés sur la route et nous arrivons vers 19 heures. Après avoir pris la clé magnétique de notre chambre nous montons nous installer. Nos bagages sont assez légers ce qui facilite notre installation mais un peu ralentie car la moindre occasion, je t’arrête pour t’enlacer et t’embrasser en laissant courir mes mains sur ton corps.
Au travers de ton chemisier et de ton soutien gorge je sens que Tic et Tac, tes deux beaux seins, ne sont pas insensibles à mes caresses. Les tétons sont dardés. Je suis sur qu’ils font au moins un bon centimètre. Tu te frottes à moi comme une chatte en chaleur mais l’un comme l’autre, nous résistons à l’appel des sens. Tu remets un peu d’ordre dans ta coiffure (artistement coiffée ou décoiffée) et nous gagnons le restaurant où nous dînons légèrement.
Malgré notre impatience à nous retrouver dans l’intimité de notre chambre, nous marchons un peu au hasard dans la ville que tu me fais découvrir. C’est vrai que l’avant saison en ce début de printemps est propice à la flânerie. Vers 23 heures nous nous retrouvons comme par miracle devant notre hôtel. Coquine ! Sans que je m’en doute, tu as guidé nos pas pour revenir au point de départ. Nous gagnons rapidement notre chambre, heureusement située au dernier étage et dont la grande baie vitrée donne sur un bassin du port.
Sitôt la porte refermée, je te prends dans mes bras et je te porte sur le lit. Je commence à te déshabiller et dès que ta poitrine est nue, je vais honorer Tic et Tac de mes baisers. Nous achevons de nous dévêtir mutuellement en échangeant de nombreuses caresses. Mon sceptre est dressé, prêt à partir à l’assaut.
DIANE : Mes tétons sont déjà durs, ta queue, elle, déjà dressée comme prête à une inquisition, nos langues se mêlent en un ballet sensuel. Mais j’ai mon idée. En effet, et je te l’avouerai plus tard, je me suis permise de rappeler l’hôtel après ta réservation, pour m’assurer d’un détail concernant la chambre réservée.
Je veux un GRAND bain. Alors, sans dire mot, je me lève et t’entraîne doucement vers la salle de bain. En chemin je n’y résiste pas, je me retourne et, m’agenouillant face à toi, je lèche tendrement ce gland rouge de désir mais je ne m’y attarde pas. Je repars aussitôt vers le bain. J’entre dedans, tu restes un instant devant à me regarder alors que, me saisissant du tuyau de douche, je fais couler l’eau sur ma gorge, un filet se concentre entre mes seins puis s’évase sur mes hanches, et se réunit enfin pour inonder ma chatte déjà très gonflée.
Je me retourne alors, et laisse l’eau désormais ruisseler dans mon dos, s’écraser dans le creux de mes reins et se concentrer en un filet serré entre mes fesses. Je cambre pour satisfaire à ta vue et te permettre de deviner, sous l’eau, mon sexe qui gonfle encore. Je suis excitée à mort ! C’est alors que tu t’approches et entre dans la baignoire, me prends doucement la pomme de douche des mains et entreprends de la dévisser. Le jet est maintenant plus concentré mais moins violent.
Je me cambre encore un peu, alors que flattant ma fesse de ta main gauche, tu diriges le jet sur ma chatte que je t’offre volontiers. Comme c’est bon, je ne peux plus désormais quitter ton bâton d’amour des yeux ! Je le sens prêt à l’action. Doucement et fermement, tu t’approches de moi et présentes ton sexe motivé à l’entrée de ma chatte. Je me cambre un peu plus encore, comme c’est bon de m’offrir à toi !
Et immédiatement je sens ton gland envahir ma chatte gourmande ! Une salve de plaisir parcourt mon corps, la mouille mêlée à l’eau rend la pénétration immédiatement profonde. J’entends un doux râle sortir de ta gorge. Comme c’est bon ! Mais tu te ravises et ressors, laissant ma chatte gonflée se tendre encore plus vers ton sexe, comme pour le tenter ! Reviens mon amour, j’ai besoin de toi ! Je reste là haletante, cambrée au maximum, j’attends ta décision. Viens mon amour, je t’en supplie, reviens !
LUI : « Ne t’inquiète pas ! Je reviens tout de suite ! » Je prends rapidement dans mon bagage le petit cadeau acheté à ton intention et je te rejoins dans la salle de bain où l’eau continue de ruisseler sur ton corps. Tu te présentes de dos et l’eau suit les creux de tes reins avant de se perdre entre Boule et Bill, tes globes fessiers et jaillir comme une source entre tes cuisses. Quel spectacle !
« Ne bouge pas ! Tu vas voir çà va être divin !» Je pose ma main gauche au creux de tes épaules et je t’incite à te courber vers l’avant pour ouvrir la fente de tes fesses. Sachant combien tu es ouverte, je glisse sans peine dans ton petit trou un œuf vibrant dont je garde la télécommande en main. J’arrête l’eau et je te rejoins dans l’immense baignoire et je t’enlace à nouveau, pressant ma bite contre ta chatte. D’un mouvement de hanches en te dressant un peu sur les pieds tu viens t’empaler sur mon sceptre de chair et je commence à te besogner en douceur. Je sais que tu apprécies aussi bien la douceur que les assauts plus virils.
Là, il faut faire attention car le fond de la baignoire est glissant mais je te tiens fermement, un bras passé autour de ta taille, ma main folâtrant sur tes fesses tout en tenant la télécommande que je viens de mettre en route. « Oh ! Que c’est bon cette sensation, cette vibration dans mon cul !» me dis-tu. Je la ressens aussi au travers des parois de ton sexe. J’ai eu une bonne idée en faisant cette emplette. Elle va compléter ta collection de jouets qui, je l’ai découvert lors de notre première rencontre, est assez fournie. Excités par cette expérience, notre jouissance ne tarde pas à nous envahir et je déverse un flot de sperme en toi. Tu ronronnes comme une belle chatte amoureuse et satisfaite.
Nous sortons de la baignoire et, revêtus des peignoirs mis à notre disposition par l’hôtel, nous allons continuer nos ébats sur le grand lit. Tu as toujours l’œuf vibrant dans ton petit trou mais il est arrêté.
Nous nous embrassons et nous nous caressons longuement. Mon gout pour tes beaux globes fait que ce sont eux qui bénéficient le plus de mes caresses. Les tiennes vont aussi bien vers ma bitte que vers mes tétons dont tu as deviné qu’ils étaient sensibles eux aussi. Heureusement que la chambre est correctement chauffée car nous sommes déjà nus depuis longtemps. Soudain, tu te retournes et tu viens gober mon gland.
Tes cuisses sont de part et d’autre de ma tête et j’ai la vision de ta chatte toute dépourvue de poils (j’aime), de tes grandes lèvres entrouvertes qui laissent apercevoir les petites et ton clitoris qui est sorti de son capuchon. Comme un gros chat que je suis, je lape ton sexe, tantôt ma langue à plat, tantôt enroulée pour la faire pénétrer dans ton conin.
J’ai remis la télécommande en route. Je l’avais programmée avec des cycles de vibrations fortes et d’autres plus douces que tu as déjà éprouvées dans la salle de bain. Là, tu ne tardes pas à manifester à nouveau ton plaisir et tu le laisses éclater, inondant ma bouche de ta cyprine (à peine fontaine ? tu serais-tu retenue ? oui je pense car le lit aurait été souillé !) Je n’ai pas encore joui mais tu sens que ce n’est pas loin ! Tu te retournes et comme lors de notre rencontre à l’hôtel à Paris, tu viens me chevaucher en amazone.
Ma bite dressée va se perdre dans ta grotte d’amour et tu commences à me travailler par un lent mouvement de va-et-vient doublé de l’action de tes muscles intimes. Je ne peux m’empêcher d’aller titiller les tétons de Tic et Tac. Tu apprécies et moi j’adore tes beaux seins ronds et généreux. Je ne sais combien de temps dure cette étreinte mais mon sperme s’écoule en toi une nouvelle fois et là c’est ensemble que nous jouissons, mon sexe fiché au fond du tien et l’œuf vibrant dans ton cul. Tu es prise de partout!
En peu de temps, je t’ai fait l’amour deux fois ! Et je n’en suis pas encore rassasié. Mais nous nous glissons dans les draps et tu viens te blottir contre moi : « Je suis bien avec toi ! » me dis-tu. Je te réponds que moi aussi, je suis bien avec toi. J’aime notre complicité sans complication. Nous savons ce que nous recherchons : uniquement la satisfaction d’un irresistible besoin sexuel.
Tant que nous en aurons envie, nous profiterons de notre temps libre et des opportunités diverses pour de belles escapades amoureuses. La fatigue de la route, nos joutes amoureuses, l’heure tardive ont raison de nous. C’est dans le bras l’un de l’autre que nous nous endormons.
Le matin, le soleil est déjà haut quand nous sortons de la torpeur de la nuit. Nous ne nous sommes pas désunis dans notre sommeil. Tu es encore dans mes bras dans une position quasi inchangée, Tic et Tac pressés contre mon torse, tes longs cheveux blonds masquant une partie de ton visage, nos jambes mêlées. Tous les deux nous avons faim ! Mais de quoi avons-nous faim ? D’un petit déjeuner bien reconstituant ou de nouvelles caresses, prélude à une nouvelle joute amoureuse ?
Tout d’abord reconstituer nos forces : Je commande un solide petit déjeuner car à quelle heure allons-nous déjeuner ? Nous sommes encore dans le lit quand la serveuse nous apporte la table roulante sur laquelle trônent diverses bonnes choses. Nous prenons notre temps et tout en bavardant, en nous confiant les petits secrets de notre vie, nous arrivons aux alentours de 11 heures du matin. L’un comme l’autre nous avons besoin d’une bonne douche. Elle va nous rendre du tonus et éliminer les traces de nos ébats de la veille.
Mais j’ai une idée folle en tête ! Hier soir la douche était là pour nous mettre en condition. Là, c’est moi qui prends les choses en main (si je puis dire). Tu as relevé tes cheveux pour éviter de trop les mouiller. Alors que tu te glisses sous la douche, je t’y rejoins et je commence à te laver, faisant ruisseler sur ton corps magnifique des flots de mousse parfumée.
Et tu en fais autant avec moi ! Cette douche mutuelle est de nouveau l’occasion d’échanger de multiples caresses. J’ai encore envie de toi ! Mon sceptre de chair en témoigne : il est dressé vers toi comme un I. Nous nous séchons rapidement et une fois encore le lit nous accueille…
DIANE : Humm ! Ma peau est douce et délicatement parfumée de cette mousse soyeuse dont tu as couvert mon corps avec cette tendresse que désormais je te connais bien. J’ai envie de m’abandonner totalement au service de ton plaisir. Je sais déjà que tu me le rendras bien !
Je commence à adorer que tu prennes les choses en mains lors de nos ébats et tu fais ça avec grand art. Je m’étends sur le lit et ondule en offrant à ta vue tantôt mes fesses, tantôt mes seins. Je roule sur le dos comme une chatte, m’étire, me cambre. Je vois dans ton regard une envie qui se retransmet presque aussitôt sur ton bâton d’amour.
Je me sens mouiller rien qu’à te voir approcher de moi. Tu t’assoies au bord du lit, saisis mes chevilles et les écartes d’un mouvement précis et puissant ! De toute manière je n’ai aucune envie de te résister. Une goutte de mouille perle même déjà de ma chatte, ce que tu as très bien vu. De ta voix calme, douce et sereine, tu m’ordonnes alors de ne pas bouger.
J’obtempère et reste là, allongée sur le dos, les jambes écartées. De ton index expert, tu viens écraser cette goutte de mouille sur mon clitoris. J’écarte au maximum les cuisses pour que ton accès y soit plus facile: l’effet immédiat est que ton doigt entier est gluant de mon désir !
Avec une infinie tendresse, tu décides d’enfoncer ce doigt doucement dans mon vagin. J’en ronronne et je perds je contrôle de mes hanches.et c’est toi désormais, qui, du bout de ton doigt, en diriges tous les effets. Je me soumets !
Saisissant les ceintures de nos peignoirs tu enlaces alors mes poignets et les attaches aux appliques murales. Je me retrouve attachée sur le dos et toujours les jambes écartées en grand.
Oh mon dieu ! Je sens ma chatte dégouliner à présent. Rien ne t’échappe, je le sais, tu me regardes et vois rien qu’a mes yeux ce que je ressens, puis tu te lèves, et reviens aussitôt avec cet œuf vibrant qui m’a fait tant de bien déjà. Tu le frottes sur mon sexe gonflé et voilà que tu le mets en marche. Il vibre sur mon bourgeon d’amour… wouaaahhhh …. Sublime, puis tu le promènes sur mon corps jusqu’aux tétons. Humm ! Ils sont désormais archi durs et tu ne résistes pas à les taquiner de ta langue, à les mordiller. Je n’y tiens plus, je m’entends te dire alors : « Mon amour …. J’ai envie de toi » comme dans un souffle. Me remontant alors énergiquement les jambes en l’air, tu plonges l’œuf vibrant encore dans mon cul qui appelle, déjà tout dilaté et mouillé… wouaaahhhh … c’est délicieux … et le laissant là, tu enfonces d’un coup tout ton sexe hyper bandé dans ma chatte détrempée …. raaaaa !!!
L’effet est immédiat … un premier jet de cyprine arrive instantanément, et, se heurtant à ton sexe dur, le contourne et dégouline sur mes cuisses et entre mes fesses …. Mon amour ….. Tu te retires alors, me détachant, tu me retournes de manière à ce que je me retrouve le cul bien en l’air et la tête sur le lit … Je m’offre à toi chéri …. Que feras tu de moi ??? Je suis à toi !
LUI : Oui ! Tu es à moi ! La position dans laquelle je t’ai mise est une invitation ! Tu sais ce qui t’attends ! Prestement je retire l’œuf vibrant de ta gaine étroite et d’une seule poussée (tu es tellement ouverte et mouillée) j’investis ce pertuis chaud qui m’attire.
Oh ! Que c’est bon ! C’est chaud et doux ! Pour la seconde fois depuis que nous nous sommes rencontrés, je te sodomise. Longuement je vais et viens dans ton fourreau qui est de plus en plus ouvert et humide. Mon plaisir monte, monte, monte ! Le tien aussi ! Entre mes bras, je te sens vibrer, tu ronronnes, manifestant ainsi ton contentement de cette saillie bestiale, je te tiens par les hanches et tes seins aux tétons érigés frottent sur le drap, augmentant ainsi leur réceptivité. Humm ! Que c’est bon ! Soudain, je me tétanise ! Cela part du creux de mes reins jusqu’à la pointe de mon gland. Ooooh !
Je me retire jusqu’à l’orée de ton sphincter et j’y déverse mon sperme que je repousse dans ton cul pendant que tu jouis une nouvelle fois. Cela bave tout autour ! Tu t’affales sur le ventre, ma bite fichée entre tes fesses. Je pèse de tout mon poids sur toi. Tu ondules des hanches pour bien sentir la pénétration. Oui ! Je suis encore raide en toi mais nous finissons par basculer sur le côté. Nous sommes dans la position de la cuillère, tes globes fessiers moulés contre mon ventre, mon sexe logé entre tes fesses (hélas il est sorti quand nous avons basculé). De ma main gauche je viens me saisir d’un de tes seins que j’englobe, le téton pincé entre deux doigts. Nous restons ainsi de longues minutes, retrouvant progressivement notre calme. Avons-nous sommeillé ?
Nous réalisons qu’il est bientôt 14 heures et que si nous voulons manger au restaurant de l’hôtel, il nous faut nous presser un peu. Nous passons vite fait dans la salle de bain et nous nous habillons. Tu es magnifique, tu portes un ensemble aux teintes mordorées rappelant les couleurs de l’automne mais qui va très bien avec tes yeux verts. La jupe arrive un peu au dessus du genou ce qui laisse apparaître une belle longueur de tes jambes. Aux pieds, tu portes des bottines en daim avec des talons hauts qui font ressortir le galbe de tes mollets et la cambrure de ton dos.
Quelle n’est pas ma fierté lorsque nous entrons dans la salle de restaurant, ton bras droit amoureusement passé sous mon bras gauche. Tu es si attirante que nombre de regards se tournent vers toi, certains admiratifs, d’autres avec une lueur d’envie ou de jalousie. Je ne sais !
DIANE : Bien sur, tu me connais ! Oui, moi qui ai dansé toute ma vie, j’aime attirer les regards. Mais il est une dimension supplémentaire aujourd’hui. J’aime être accrochée à ton bras, j’aime laisser deviner à qui le veut bien la reconnaissance que j’ai pour toi de ce plaisir que tu viens de me donner. J’aime savoir que tout le monde peut lire sur mon visage la tendresse et la force avec laquelle tu viens de me faire l’amour. Et j’aime ça, parce que tout simplement j’en suis fière ! J’aime aussi ton élégance alors que tu tires ma chaise pour me permettre de m’y asseoir. J’aime ton sourire serein alors que tu t’installes en face de moi. J’aime l’empressement du garçon de salle à venir nous saluer. J’aime ta réponse distinguée. Je me contenterai moi de sourire en baissant le menton ! Oui c’est certain, je suis à toi.
LUI : Que t’arrive-t-il ? Toi que je commence à bien connaître, tu baisses les yeux. Toi, l’amante ardente, tu deviens timide ? C’est vrai qu’en y regardant d’un peu plus près, on distingue dans le regard des hommes qui nous entourent une lueur d’envie. De te posséder ou de jalousie à mon encontre ? Moi, je ne vois que toi et sans cesse, je pense au bonheur que tu me donnes. Le repas, rien que de mets succulents et reconstituants, est assez vite expédié. Tu me proposes de me faire découvrir la région.
Nous prenons la route côtière et sans nous presser nous admirons le paysage. C’est vrai que la région est belle sous le soleil printanier. Sur tes indications, nous laissons la voiture en bord de route et nous descendons vers la plage par un beau sentier bien large. Bras dessus, bras dessous, nous marchons lentement en savourant ces merveilleux instants que la vie nous offre. Contre mon bras, je sens la douce chaleur pesante de ton sein droit. Que je suis bien ! Quel sort m’as-tu jeté ? Quel filtre aphrodisiaque m’as-tu fait boire ?
Nous arrivons au bord de l’eau. La mer est étale et les vagues légères viennent se briser sur les galets. Une fois encore, nous profitons de la solitude pour nous enlacer.
Tu te presses contre moi, je sens tes seins contre mon torse. Mes bras autour de toi, les mains à hauteur de tes reins, je colle ton corps contre le mien. Tu ondules des hanches et je sens ton pubis contre le mien qui entreprend un savant massage. Tu te loves contre moi. Tu ronronnes déjà. Tes mains glissent sur mon torse par ma chemise entrouverte. Tu es excitée et ta langue à son tour parcourt ma poitrine, s’attarde sur mes tétons. Tu les lèches d’abord puis les saisis délicatement entre tes dents. Je tressaille sous cette caresse. Je bande. Alors, sans lâcher les tétons sur lesquels tu fais une obsession, tu défais ma ceinture et tu glisses ta main droite sur mon sexe déjà gonflé. Tu le caresses furtivement d’abord … Tu promènes tes doigts agiles de mon gland qui durcit à mes couilles rebondies. Je laisse descendre mes mains jusque sur tes fesses et je te plaque contre moi encore plus fort.
Mon désir de toi se manifeste à nouveau. Insidieusement, je remonte ta jupe et bientôt tu te retrouves le cul à l’air, seul le cordon de ton string le couvre. Coquine, comme d’habitude tu ne portes pas grand-chose pour couvrir cet endroit. Est-ce une invitation. J’ai faim de toi. Je ne suis pas encore rassasié. Je te guide vers un endroit où nous serons un peu plus à l’abri des regards indiscrets (cependant je ne pense pas que nous serions gênés d’être surpris ou observés).
Rapidement tu défais le zipper de mon pantalon et tu libères mon sexe de mon boxer. Tu gobes le gland pour achever ma bandaison. Lorsque je suis à ton goût, tu t’appuies sur un rocher en me tournant le dos. Ta jupe remontée sur tes reins, je ne prends pas le temps de baisser ton string. J’écarte le cordon et, d’une longue poussée lente, je te prends la chatte. Mon ventre collé contre tes fesses, je reste ainsi quelques instants, savourant la douce chaleur de ton fourreau humide. Nous sommes bien ainsi.
Je commence le mouvement alternatif qui progressivement va nous amener au point de non retour. Je sens ma bite de plus en plus dure et longue. Le spasme ne va pas tarder mais je veux encore savourer ces moments. De ton côté, tu exprimes ta satisfaction par des soupirs de plus en plus forts. Pour mieux me sentir, tu roules de la croupe et tu masses mon gland de tes muscles intimes. Ça y est ! Je pars ! Tu le sens et à ton tour, tu exhales ta jouissance. Je déverse un jet de sperme dans ton fourreau en te disant combien c’était bon de te baiser ainsi.
Remettant un peu d’ordre dans nos vêtements, nous nous allongeons au soleil pour bien profiter de ce temps béni qui succède à une belle étreinte amoureuse. Bercés par le bruit des vagues et les chants (pas très mélodieux) des goélands et autres oiseaux de mer, nous savourons ces instants de bonheur. Je me plais à rêver. Et si cela n’était qu’un prélude à quelque chose de plus intense encore et non un intermède de deux personnes avides de sexe ? Non, ce n’est qu’une illusion et nous le savons ! C’est à la nuit tombante que nous regagnons notre hôtel.
LUI : Comme nos vêtements sont quelque peu fripés et pleins de sable, nous passons rapidement sous la douche, qu’une fois encore, nous prenons ensemble. Quelle bonne idée tu as eue de demander une chambre avec une telle salle de bains.
Coquine, tu devais savoir que cela existait dans cet hôtel. Y serais-tu déjà venue? Si oui, je n’en suis pas jaloux, je profite sans vergogne de ta connaissance de lieux et je t’en remercie. Nous n’avons pas envie de redescendre au restaurant. Alors, je commande un en-cas – huîtres, saumon fumé et vin d’Alsace (Gewurztraminer vendanges tardives), cela te conviens? – en attendant, nous plaisantons tout en chahutant un peu! Je te lutine, allant cueillir un téton dans le décolleté de ta robe légère, flattant ta croupe d’une main insistante descendant jusqu’entre tes fesses. Cela présage une nouvelle soirée bien chaude.
Nous continuons notre repas ainsi, te donnant à manger des morceaux de saumon sur des petits blinis avec de la crème, bref, des jeux d’amants complices, amoureux ardents, qui profitent de la vie. Le vin, frais à point, nous a échauffé les esprits et les sens. Bientôt nous voilà de nouveau nus sur le grand lit.
Tu es en pleine forme. L’air de la mer (et peut-être le vin) a rosi tes pommettes donnant encore plus de luminosité à tes yeux verts. Qu’ils sont beaux ainsi, ourlés de noir, ton visage encadré par tes longs cheveux blonds. Tu te fais chatte, venant te blottir contre moi, frottant lascivement ton corps contre le mien. Tu cherches à faire naître ma vigueur… difficile ce soir. J’ai déjà trop donné?
Non, je ne pense pas, mais un petit coup de fatigue m’empêche d’arriver à une bandaison satisfaisante. Qu’à cela ne tienne. Il y a d’autres moyens de te satisfaire. Je te demande si tu as tes jouets avec toi. « Oui, me réponds tu, je ne voyage jamais sans.» et tu sorts de ton sac de voyage deux beaux godes souples de belle taille, un mauve foncé et un translucide. Waaouuhhhh! Génial, tout ce qu’il me faut! Tu te mets sur le dos, écartant les jambes, offrant à ma vue ta vulve déjà suintante de mouille.
Avec le gode translucide, je commence à agacer ton bouton d’amour, je le fais glisser entre tes lèvres roses, le fais pénétrer de quelques centimètres pour le ressortir aussitôt avant de l’enfoncer jusqu’à la garde. Quel spectacle plein de lubricité.
Je te quitte quelques secondes, je cours à la salle de bains et je reviens avec une grande serviette que je plie et glisse sous tes fesses. J’ai une idée qui a germé pendant que je te caressais: je vais faire jaillir la fontaine que tu as retenue à chaque fois.
Une fois installée, tu relèves tes jambes, ouvrant grand le V de tes cuisses en les rabattant le long de ton torse, ouvrant ainsi l’entrée de ton anus déjà déplissé. J’y introduis avec précautions le gros gode mauve mais tu es tellement ouverte et mouillée qu’il entre avec une facilité quelque peu déconcertante.
Tantôt à une main, tantôt à deux pour varier le rythme et la pénétration, je fais aller et venir les bites factices dans tes orifices d’amour. Tu ronronnes de plus en plus fort, tu te tords sous les assauts de ces godes qui occupent très profondément ta chatte et ton cul. Pendant ce temps ma bite a achevé de se relever. C’est de nouveau une flamberge triomphante. Mais je poursuis mon œuvre. Soudain, c’est le jaillissement de ta fontaine. Quel beau spectacle! Tu portes tes mains sur ta chatte pour freiner le jet et te caresser en même temps.
Je n’en peux plus, je tire vivement la serviette qui est trempée, je la jette sur le sol et d’une poussée violente, je glisse mon sexe dans le tien. Il ne faut pas plus de quelques allers-retours pour que ma jouissance éclate en même temps qu’un second orgasme te tétanise. Tu m’emprisonnes en nouant tes jambes sur mon dos et je reste ainsi de longues minutes en toi en te disant des mots doux et fous à l’oreille. Et nous sombrons dans le sommeil, étroitement imbriqués l’un dans l’autre, éperdus de bonheur et de sensations oh combien merveilleuses.
Hélas! Tout a une fin! Le lendemain en milieu de matinée nous quittons l’hôtel pour reprendre la route de Paris par le chemin des écoliers. Mais je le sais il y aura d’autres rencontres.
A suivre...
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Un voyage en Russie
Ce récit se situe en Février 1780 et les faits se déroulent à Moskva (Moscou).
C’est au cours de notre voyage en Russie que nous reçûmes la chaleureuse invitation de la Comtesse Irina et du Comte Vladimir Zarowska. Nous nous trouvions alors à Saint-Petersbourg. Nous fûmes ravis de répondre à cette invitation et de rencontrer ce beau couple d’Aristocrates.
Rêve ou réalité ? L’Orgie
Ce soir-là dans les vapeurs embrumées de la vodka et du champagne de Crimée, autant que de la fumée des cigares, les corps à la recherche de plaisirs insensés, se donnaient pleinement en ces salons privés aux tapis bien épais, aux tentures lourdes et brodées, sur des lits de plaisir entourés de chandelles…Et les violons jouaient des airs nostalgiques, leurs pathétiques cordes invitaient à pleurer et sur ces corps tordus par des plaisirs extrêmes se glissaient des frissons sur des peaux irisées et sur des sexes blonds aux pâleurs sublimées, de fines soies bouclées ressemblaient à ces blés des plaines de l’Ukraine… Les corps longs et blancs, comme des chevaux fougueux gambadaient de plaisir, galopaient de luxure, enveloppés de ménure en ce russe début de printemps encore tout enneigé…
Fallait-il boire encore et encore pour trouver le plaisir et voir ces peaux courir en galops syncopés, défaisant de ces femmes les chignons ouvragés en défrisant leur âme sous des sexes-stylets ? Et l’odeur de ces peaux à celle des alcools mêlée se glissait sous les brumes aux bleutées envolées des cigares à l’œil rouge sur lesquels des bouches s’escrimaient à tirer… Des rires de femmes chatouillées montaient et finissaient en cris désordonnés qui peu à peu mouraient et puis ressuscitaient bien plus vifs qu’avant… L’orgie se poursuivait, tous les plaisirs permis au fond de ce palais.
Des couples se goûtaient, hommes et femmes mêlés, des couples de lesbiennes, même des zoophiles qui se donnaient sans pudeur à des chiens ardents aux statures imposantes et aux belles encolures, ajoutant à la démesure et dans le brouhaha sourd autant que feutré, les corps là se fêlaient comme un fin verre brisé, magmas de chairs accouplées grouillant sur des tapis aux contes des Mille et une Nuits…
La Comtesse était ivre et se laissait aimer tour à tour par l’homme, puis la femme, ensuite l’homme et la femme et encore par les hommes et les femmes, terminant sous l’étreinte de quelque chien dominateur qui chevauchait ses reins, haletant et vainqueur… Et le foutre coulait à la fontaine d’Eros, les bas noirs étaient griffés, tachés par les gouttes de bougie des cierges de chair aux cyclopes déprépucés ; cela sentait la semence, toutes les sèves étaient mêlées, des langues lapaient la cyprine sortie de fruits-abricotins aux fins poils tout poissés…
Les chiens léchaient les sexes ouverts comme autant de bénitiers, attendant que quelque chair les vienne à nouveau honorer…et cela ne tardait guère… Que ce fut par les hommes, les femmes ou les chiens, sans trêve l’on jouissait sous les très hauts plafonds de ce très vieux palais ; les râles se perdaient en murmures confus tout de suite étouffés par d’épaisses tentures aux vieux velours brodés.
L’on voyait s’agiter des corps sur des sofas, chacun cherchant à satisfaire ses vices, guettant l’instant propice, caressant sans compter, s’évertuant à donner les plus folles caresses en des poses dantesques qu’on n’aurait jamais pu imaginer avant que d’entrer en pareils salons… Parfois, des cris profonds, comme venus des enfers montaient, s’étiraient, de longs cris de ces chairs qui ici se donnaient, des corps qui s’agitaient, puis retombaient, blancs, comme vidés de sang aux images floues au fond de psychés embrumés dans l’atmosphère surchauffée…
Et la vodka coulait sur des seins, en des sexes piqués par cet alcool venu les exciter, alors, des bouches goulues aussitôt s’imprimaient sur les tétons dressés et les cons entrouverts aux lèvres suppliantes ouvertes comme des fleurs attendant leurs ondées… Et des langues-vipères s’agitaient, s’agitaient, pointues comme des dagues sur de beaux clitoris, petits vits dressés que l’on martyrisait d’incessantes caresses… Des phallus engoulés, comme de longs vaisseaux se dressent, navires en détresse, s’agitant en des bouches les avalant sans cesse… des couilles sont frottées, l’on chauffe leur semence, l’on inventorie des culins, l’on fouille des anus, l’on croque des prépuces, l’on se donne si bien dans la complice obscurité cachant là de chacun l’identité…
Et des femmes masquées se croyant en Venise, décostumées, aux formes longues exquises se promènent toutes nues caressant là un chien au sexe tout tendu, qu’elles excitent et laissent en attente, haletants, demi-fous, l’animal les suit, elles s’en vont vers un lit et se donnent à grands cris parmi d’autres complices appréciant là le vice de la zoophilie… Alors, les cuisses ouvertes ou les culs relevés, elles sont prises et hurlent comme des folles, bien ardentes prêtresses, tant le plaisir est grand, enchattées, enculées par des Dalmatiens fous qui les foutent jusqu’au bout de leur secrète intimité…
Et puis, hagardes, décoiffées, traits tirés, joues blafardes, le plaisir passé, elles se lèvent et musardent tout au long d’autres couches, cherchant là une bouche, une verge, un beau sexe de femme, gourmandes à souhait, la langue sur les lèvres, impatientes de jouir à nouveau, de déchaîner leurs fièvres incontrôlées…de superbes Tribades, élancées, distinguées, les sens en promenade, Aristocrates débauchées, hautaines, russes depuis la tête jusques aux pieds, mais avant tout FEMMES dans l’aubade de leurs corps !
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Nous étions donc arrivés dans l’après-midi, venant de Saint-Petersbourg ; il neigeait et la distance à parcourir en traîneau, pour rejoindre le palais fut éprouvante. Le Comte Vladimir et la princesse nous attendaient, chaleureux (nous en avions besoin), empressés, l’hospitalité russe point ne se démentait. Nous prîmes un chocolat chaud et conversâmes avec nos hôtes en français, décrivîmes notre séjour à Saint-Petersbourg ; ils nous écoutèrent avec un grand intérêt. Nous fûmes présentés à quelques couples et femmes seules à la noble allure, invités cultivés et racés, cherchant ici le plaisir, la chaleur des chairs, le délire des sens, le partage absolu.
La Comtesse Zarowska, une femme superbe à la fine poitrine haute, bien dessinée sous la soie légère de sa robe brodée. Un violoniste jouait d’une bien romantique façon, pinçant les nerfs voluptueusement ; les yeux bleus de la Comtesse vous fixaient intensément, scrutant votre âme, semblant deviner vos pensées, vos désirs, vos attentes et tandis qu’elle me faisait resservir un chocolat crémeux et parfumé, je sentis la lame de son regard lentement m’inciser le cœur ; un frisson alors me parcourut, elle prit la main de ma femme, la retint serrée entre les siennes et, la fixant intensément, lui sourit, je dirais presque amoureusement…
Le Comte parlait de sa collection d’armes et de tableaux et de ses livres rares, éditions érotiques de grande valeur qu’il ne montrait d’ailleurs que dans les grandes occasions et à des hôtes de qualité ; nous fûmes charmés de constater que nous en faisions partie et il nous honora de quelques gravures pour le moins hardies qui purent quelque peu attiser nos sens…
Une manière de nous mettre tous deux en appétit. L’on nous servit des pâtisseries et la conversation courut sur la chasse, l’Amour et les…femmes… Deux ou trois très jolies femmes aux chignons bruns ou blonds haut montés, laissaient contempler une peau blanche, parfois pailletée de rousseurs légères pour les blondes ou rousses créatures et des cous très fins, cols de cygnes au port altier, enrubannés de perles fines. Des bustiers présentaient des poitrines hautes et fermes – des seins qui devaient être magnifiques - pourvu qu’on les libérât de la contrainte des tissus brodés qui les emprisonnaient…
Les tailles étaient bien prises, les pieds fins embottinés de cuir et parfois, par chance, un bas blanc ou noir pouvait s’apercevoir sous quelque robe légèrement retroussée sur la cheville… Les mains étaient longues, doigts fins, pâles qui devaient être caressants. Certaines Dames fumaient de longues cigarettes que leurs lèvres finement maquillées pinçaient d’une façon hautaine d’une petite moue qui aurait pu laisser deviner quelque baiser érotique à peine esquissé…
La Comtesse aux yeux bleus en amande, avait les pommettes légèrement saillantes, une bouche menue sachant sûrement embrasser quelque Amant bien choisi ; de fines boucles d’oreilles ornées de diamants pendaient dans son cou, qu’elle avait fin et délié, où l’on aurait certainement bien aimé lover ses lèvres… J’en étais là de mes pensées, quand la Comtesse, me prenant à mon tour la main, me déclara qu’elle était très heureuse de nous avoir au nombre de ses invités et que je serais placé à sa droite au dîner… Le Comte fit sans doute la même remarque à mon épouse, puisque plus tard, je la vis à ses côtés. Je finis mon chocolat.
La Comtesse nous parla de Versailles et de notre Bon Roy, s’adressant à nous dans un français pur qu’on avait l’habitude de parler en Russie, signe de culture. Dehors, il neigeait et des flocons aventureux venaient s’écraser de temps en temps sur les carreaux embués où dansaient les folles lueurs des chandeliers du grand salon. Le Comte, tourné vers mon épouse semblait très empressé et celle-ci, sans doute sous le charme, l’écoutait avec attention, un fin sourire dans les yeux et aux coins de ses fines lèvres et ce sourire signifiait qu’elle était séduite… Qu’allait-il advenir après les mets, les vins, les digestifs, vodka et champagne ?!
Mon regard revint vers la belle Irina, la lumière des chandelles semblait danser dans ses cheveux blonds, elle s’éventait, la grande cheminée diffusant quelque chaleur intense, d’énormes bûches ayant été poussées dans le foyer par quelque valet en livrée, pour entretenir une agréable atmosphère.
Une bague finement travaillée ornait l’annulaire gauche de la main de notre Hôtesse et suivait les mouvements de cette main dans les explications qu’elle ponctuait, main aussi légère qu’une hirondelle, doigts que j’aurais volontiers rebaisés s’il m’eût encore été donné de le faire, au cours d’un baisemain peut-être…appuyé… Les yeux d’Irina me scrutèrent, plongèrent dans les miens, me troublèrent, s’assurèrent encore qu’ils me troublaient, puis ses yeux se mirent à rire avec de très fines rides à leur coin, ce qui la rendait malicieuse, coquine, séduisante à souhait. Etais-je épris ? Elle contempla ma femme, la fixa au fond des yeux, lui sourit…Françoise en fut troublée, un Amour était né ou bien n’était-ce qu’une folie ?
Plus tard, je vis la Comtesse en petits bas de satin blanc finement jarretés ; elle portait une fine culotte de dentelle blanche et de petits rubans presque fanfreluchés serrés au-dessus du genou, une culotte ouverte de devant, de derrière, laissant voir une chair aussi blanche que neige. Arpèges, arpèges de l’Amour, quelque violon russe comme venu de nulle part dansait dans l’atmosphère et dans les lueurs bizarres des chandeliers dorés.
Les seins de la Comtesse qu’elle avait dénudés faisaient comme deux petites collines à la chair enneigée, surmontées des deux roses des rondes aréoles ; ses cheveux blonds épais retombaient sur ses reins, elle avait défait son chignon et ses boucles dansaient coulant sur ses épaules, gagnant le sillon vertébral pour terminer juste au ras du début du sillon que l’on devinait à la naissance de l’ouverture arrière de la fine culotte… Un délice, mes Chères et Chers, qu’il me fut là donné de contempler à la fin du souper, presque en avant-première… Le Comte courtisait ardemment là dirais-je, ma femme qui loin d’être insensible à son charme, lui souriait, les yeux rieurs, j’y discernai comme une flamme à la pointe de la nuit… Il lui baisait la main et la retenait serrée dans les siennes.
Premier Souper
Mais, en l’instant, nous n’étions point encore aussi intimes et la conversation évoquait là Voltaire, ce bon Monsieur de Voltaire, dont un ouvrage d’ailleurs trônait sur un guéridon, les poètes russes nous visitèrent et puis, la musique, les violons, mélancolie, ô mélancolie, comme tu es russe et coule dans les artères de ces femmes et de ces hommes prêts à s’aimer ! Et puis, nous soupâmes ; j’étais à la droite de la Comtesse, à un moment, je frôlai sa main, elle ne la retira point, nous restâmes ainsi un court instant unis par un petit morceau de peau et passèrent en moi des courants qui là tout doucement firent s’ériger ma chair ; je la sentis soudain prisonnière, se révoltant, cognant sa tête en ma braguette se gonflant…une petite rougeur m’envahit…
Je me repris et parlai de théâtre, nos regards se mêlèrent, elle était de trois quarts, une moue singulière me fit ici comprendre qu’elle n’était point indifférente à ma cour polie…Je sentis sous la table son pied fin chercher le mien, un faible bruissement d’étoffe entre sa robe longue et mon habit et puis, la pression chaude de son mollet, il s’en suivit chez moi, tout l’émoi que vous pouvez imaginer…elle poursuivait sa conversation, comme si de rien n’était…une autre pression du mollet, nos pieds se soudèrent pour ne se plus lâcher…
Ma chair se cabra, cette femme m’envoûtait, me charmait, faisant déjà l’amour avec moi par ses regards appuyés, longs, bien que discrets, elle passait toute en moi…je la possédais…déjà…par je ne sais quel fluide, impalpable passion… Je vis son gorgeton vivement se soulever, le trouble la gagnait, le fin sillon de ses seins ronds et blancs semblait être un abysse où mon regard se perdait, puis à ses yeux revenait, pour mieux là se noyer au fond d’un lac bleu aux longs reflets d’acier…
Je bandais, mes Ami(e)s, je bandais, je dois bien vous l’avouer…le regard de ma Mie, en face de moi, me scrutait, Françoise devinant bien sûr le trouble qui me gagnait - nous avions eu suffisamment d’aventures amoureuses partagées, pour qu’elle relevât aussitôt mon émoi et devinât ce qui allait se passer – elle me fixa, me sourit et porta ses fines lèvres à son verre, un signe de connivence entre nous, lorsqu’une « affaire » de coeur ou de chair était en train de voir le jour…ou la nuit (!) avec quelque future Maîtresse que nous ne manquerions point d’ailleurs de partager… car tel était notre pacte amoureux…
La Comtesse était à mon goût certes, mais je voyais bien qu’elle était aussi au goût de ma femme qui ne la quittait pas des yeux, tout en conversant avec le Comte ; elle saurait certainement se faire aimer des deux, nous connaîtrions ainsi des instants de plaisir partagés et heureux…
La pression du mollet s’affirma, sa chaleur passait en moi, la Comtesse déjà me possédait, son fin bas parfois crissait légèrement, se frottant à ma jambe et son pied ne quitta plus ma cheville…donnant de petites pressions à celle-ci qui se répercutaient en une suite de petites érections simultanées, comme s’il se fût agi de décharges électriques…je bandais et ma trique cherchait la liberté…
Je remuai sur ma chaise, discrètement, le pied appuya un peu plus sur ma cheville, se mettant en vrille autour de ma jambe, montant vers le mollet…la conversation se poursuivait…la Comtesse a les yeux qui brillent, elle boit un peu de vin, passe sa fine langue sur ses lèvres…comme j’aurais voulu l’embrasser, goûter dans ce baiser ce vin sur ces lèvres, en éprouver la fièvre… Qu’allait-il se passer ?!
A suivre...
Signé : le Marquis de Chair
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