Les Mémoires très Libertines de Sophie
Vos papiers !
Isabella s'éveilla tendant une main vers ses lunettes sans lesquelles elle ne voyait rien. La nuit passée au commissariat, finalement, n'avait pas été déplaisante. Elle aimait ça, elle en était de plus en plus consciente; avec n'importe qui... Pourvu que l'action ne s'embarrassât pas de discours, sauf de discours appropriés, bien sûr...
Ils l'avaient interpellée la veille au soir, vers 21 heures, tandis qu'elle rentrait chez elle. Qu'avait-elle fait de répréhensible ? Poliment, on lui avait dit :
« Papiers, madame, s'il vous plaît. »
Elle ne les avait pas.
Ils avaient examiné la voiture. Pneus lisses, plaque d'immatriculation à moitié dévissée. Dur constat ! Et pour le plus grave de tout, elle ressemblait à une suspecte en cavale. On venait de retrouver Léna, la jeune épouse du Sénateur Harald-Schmidt, étranglée nue dans sa villa. Une femme avait été vue sortant précipitamment de la villa, sans doute la meurtrière et Isabella correspondait au portrait robot.
« Garez-vous, et suivez-nous au commissariat ! »
Isabella rangea son automobile sur le côté de la chaussée, puis sortit, inquiète. Sa vision attisa immédiatement la libido des trois policiers. Elle était vêtue d'un tailleur noir, à la veste largement décolletée, laissant s'épanouir sa voluptueuse poitrine, et montrant le dessin de ses auréoles. La jupette se moulait sur ses fesses, et on discernait à la fois la forme de sa petite culotte, et la raie de son alléchant postérieur. La jupe était si courte que la lisière de ses bas couture apparaissait, et le début des voluptueuses courbes de ses fesses laissait envisager aux trois pandores bien autre chose qu'une banale arrestation.
Ajoutons qu'elle était chaussée de noires bottines en cuir, et que sa chevelure noire, tombant en souplesse sur ses épaules, ne pouvait qu'ajouter à l'attrait qu'elle exerçait sur les fonctionnaires. Et elle était si gracieuse... (D’aucuns auraient dit si bandante, mais la grâce féminine implique le désir charnel).
Elle monta dans la voiture des policiers, et se trouva au milieu de la banquette arrière, un flic à sa droite, un flic à sa gauche. Sa jupe était remontée toute seule. Les deux policiers purent contempler à l'envi le haut de ses cuisses, les jarretelles, la petite culotte blanche. Isabella jeta un bref regard vers leurs braguettes, et s'aperçut, non sans satisfaction, de l'effet qu'elle produisait sur eux : de toute évidence, leur sexe était tendu, mû par le désir qu'elle leur inspirait !
Comme elle était plutôt portée à l'exhibition, elle n'eut pas la force d'empêcher sa cyprine d'humidifier sa petite culotte. Elle se retint de lancer un râle de plaisir… Elle aimait tant exciter les hommes ! Elle imaginait ces multitudes de verges, raides grâce à elle. Ces verges, elle eût adoré les prendre dans sa bouche, les sucer goulûment ! Hummm!
Tout à coup, elle sortit de son rêve, et se rendit compte qu'elle était en train de se masturber violemment, avec deux doigts. Sa cyprine avait comme ennoyé la banquette, tant était forte sa jouissance. Son slip bien sûr était trempé. Les policiers, phallus à l'air, la regardaient avec attention. L'un d'eux lui dit :
« Continue à te branler, salope ! »
Ces mots décuplèrent son excitation. Oui! Elle était une salope ! Oui ! Elle aimait se branler devant des hommes, elle aimait que des hommes la matent en train de se masturber, en train de prendre du plaisir, de jouir ! Une salope ! Une vraie salope !
« Ah! Ah ! »
Cette fois, plus question de retenir ses râles ! Elle admirait la roideur des verges, et se masturbait de plus en plus fort ! Qu'est-ce que c'était bon ! Arrivée au commissariat, elle dut se calmer. Ils pénétrèrent à l'intérieur. Elle avait descendu sa jupe, les flics avaient rentré leurs queues. On se dirigea vers un bureau. Un flic s'assit sur une table, après avoir ôté son pantalon et son slip. Sans qu'un échange de mots fût nécessaire, Isabella se pencha vers le membre érigé, et le prit dans sa bouche, cul en bombe.
Pendant qu'elle pompait avec un bel engouement le braquemart turgescent, les mains des deux autres policiers s'attardaient sur sa chatte et sur son cul. On lui enleva sa culotte.
« J'ai envie de l'enculer ! » entendit-elle.
- vas-y, ça lui plaît, à cette pute ! »
Ces mots également l'excitèrent : être traitée de pute au cours d'une partouze, se faire enculer ! Ou i! Elle avait tout de la pute, hormis qu'elle n'était pas vénale. Elle appréciait de se donner à des inconnus, d'offrir son corps à leurs fantasmes, surtout de façon imprévue ! La soirée aurait pu être ennuyeuse, et elle était là, entourée de trois belles queues, de trois belles queues bien dures, bien dures grâce à elle. Elle redouble d'ardeur dans sa fellation ! Elle aime tant sucer !
Surtout quand un autre homme l'encule, et sans timidité! Un chibron dans le cul, un chibron dans la bouche ! Elle vit que le troisième flic s'était assis à côté de son collègue. Elle prit sa verge dans sa bouche, tout en branlant l'autre verge. Puis elle se mit à aller d'une verge à l'autre, suçant alternativement les deux superbes braquemarts ! Enfin, une giclée de sperme vint récompenser son obstination. Les hommes éjaculèrent plusieurs fois dans la nuit, chaque fois sur son visage avant de la mettre en cellule.
Tout en remettant ses lunettes, Isabella pensa à cette nuit torride, du fond de sa cellule, où les policiers l’avaient jetée. Elle en avait presque oublié qu’on l’accusait de meurtre quand la porte du cachot s’ouvrit :
« Vous êtes libre ».
Isabella compris qu’on avait mis un visage sur la meurtrière et que ce n’était pas le sien. Il s’agissait d’une tueuse travaillant pour le compte de la mafia locale que la femme du député avait essayé de doubler sur une sordide affaire de maison close. Bien que le député ne semblait pas au courant des agissements sournois de sa trop belle épouse, il allait sans doute devoir remettre son mandat, la presse s’étant déjà emparée de l’affaire. Isabella sortit par une porte dérobée pour éviter les quelques journalistes qui battaient du pas devant la porte du commissariat en quête de quelques nouvelles sensationnalistes comme de savoir qui était cette inconnue arrêtée par erreur.
Isabella remonta dans sa voiture qu’on lui avait ramenée. Quelques kilomètres plus loin, elle rencontra un barrage et obtempéra au policier qui lui demandait de se mettre sur le coté.
« Vos papiers s’il vous plait », lança le policier, à quoi Isabella ne manqua pas de répondre
« Je ne les ai toujours pas, mais tout le plaisir est pour moi….
Signé : Marie Claire
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Voyage en Tgv
Patrick (mon homme) devait se rendre dans la capitale durant deux jours pour son job. Ayant rendez vous le lundi matin assez tôt, il avait décidé de partir le dimanche après-midi. C’est alors que la semaine précédent son départ, je lui proposais de passer le week-end ensemble à Paris en partant même le vendredi matin, ce qui nous allongerait notre petit séjour. Patrick du s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet.
Malheureusement, nos billets en première classe pris tardivement, nous n’avions pas de place côte à côte. Moi j’avais une place sur un siège isolé face à face, et Patrick avait un siège coté couloir à deux rangées du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Montpellier à neuf heures vint, pour arriver dans la capitale peu après midi trente. Patrick m’avait mis au défi de séduire un homme durant le trajet.
Alors que je m’habille Patrick me dit :
« Florence, pour le soutif blanc en tulle brodé très sexy, le chemisier crème léger et la jupe gris foncé tout juste mi cuisse et un brin translucide, c’est parfait, mais ton collant sans couture marron foncé, même porté sans rien dessous, c’est moins sexy !
- Tu verras mon chéri l’utilité du collant le moment venu… je pense que tu apprécieras ! »
Ma tenue se complète par une paire d’escarpins à talons fins de sept ou huit centimètres de haut et d’un petit blouson court et cintré.
Dès notre arrivée à la gare je décide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple.
Patrick entre en premier dans le train, j’entre à mon tour, juste deux petites minutes avant le départ. Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sort un roman de mon sac à main et je m'assoie face un homme d'une quarantaine d'année bien physiquement, déjà occupé à pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l'écran de son ordi. Le train vient de quitter la gare et prend lentement sa vitesse de croisière, j'ai ouvert mon livre et laissé replié sur le plan central le rabat de la table. Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou féminins sur mes cuisses des quelques personnes passant dans l'allée, que la table ne gêne en rien la vision sur mes cuisses.
Patrick, juste à quelques petits mètres de moi, me fait signe d'ouvrir d'un bouton de plus mon chemisier. Je lui fais un signe négatif de la tête, je trouve mon décolleté suffisamment profond jusqu'au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaître la lisière brodée et le fin tulle des bonnets de mon soutif. Tout en lisant, je remarque le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c'est vrai que la broderie de mon soutif ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantôt en se reculant au plus loin que le permet son siège, je remarque le regard partir sous la tablette.
« Ah enfin ! » Je me dis, je désespérai de le voir attiré par mes atouts.
Ca fait bien à présent presque une petite heure que le TGV file dans la campagne, nous avons attrapé la ligne à grande vitesse qui débute après Nîmes et on plonge vers la vallée du Rhône. Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat à son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j'actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinée, je décroise mes jambes pour les recroiser dans inversement, dans le mouvement, je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son écran de téléphone qu'il venait de prendre, je lui souris et me rend mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de la vitre contempler la paysage qui défile. Puis mon regard fait un tour circulaire du wagon, croise celui de Patrick pour finir vers la fenêtre opposée.
J'attends d'une oreille discrète les bips du téléphone de mon voisin quand il touche son écran tactile, je ferme les yeux me laissant bercer par le doux roulis du train. J'entrouvre les paupières, je vois mon voisin qui manipule toujours son téléphone, parfois l'inclinant, il a du trouver comment désactiver les bips car je ne les entends plus. Mon regard repart par ma fenêtre avant de se baisser sur mes cuisses, je constate que ma jupe au fur et à mesure de mes mouvements, a fini par reculer assez haut sur mes cuisses n'en couvrant que le début. Et je comprends le fait que je n'entende plus le bip bip du téléphone quand mon voisin touche son écran, il doit me prendre en photo !
Loin de me révolter par le fait d'être prise en photo à mon issu, cela me rassure enfin que mon voisin s'intéresse à moi, je commençai à désespérer. Je décide de franchir une étape. Je décroise mes jambes, au passage j'effleure à nouveau son tibia en contournant ses jambes... sourire de ma part valant d'excuse auquel il répond, et je lui dis :
« Ca ne vous dérange pas si je place mon pied contre la cloison ? Je commençai à avoir des crampes dans cette position.
- mais absolument pas, je vous en prie ! »
Mon pied repose à présent sur le petit rebord qui se trouve en bas de la carrosserie et le plancher des TGV, l'autre jambe étant restée presque parallèle juste un peu de biais vers le couloir, créant ainsi une certaine ouverture de mes cuisses. Mon voisin reprend son manège avec son téléphone, je referme les yeux (enfin presque), le coude sur l’accoudoir et le menton reposant dans la paume de ma main. Je laisse passer quelques minutes durant lesquelles me croyant dans les bras de Morphée, mon voisin, continue à me photographier, surtout mes cuisses n'hésitant pas à abaisser son téléphone jusque sous la table. Quelques minutes plus tard, je décide d'intervenir, sans modifier ma position je lui dis :
« La luminosité est elle assez suffisante ? »
Il fait celui qui ne comprend pas, mais je vois bien son trouble, il me répond pour le moins hésitant :
« De quelle luminosité vous parlez ?
- Et bien pour les photos ! »
Là, je le vois se décomposer, du genre enfant pris sur le fait, en train de faire une bêtise. Il bredouille sans qu'un seul mot ne sorte. Je m'amuse de la situation, mais je ne souhaite pas le ridiculiser et j'ajoute.
« j'ai vu que vous preniez mes jambes en photo, elles vous plaisent vraiment ! »
Voyant que je n'ai pas trop l'air de m'offusquer, il reprend timidement confiance pour me dire:
« Je peux vous assurer que vous avez de fort belles jambes, et pas que les jambes d'ailleurs, vous êtes adorable !
- Merci, c'est très gentil. Je peux même vous retourner le compliment. Mais pour en revenir aux photos je suppose que vous allez les faire voir à vos copains, si ce n'est pas déjà fait par texto, en lui disant : regarde avec ce que je voyage. »
A nouveau je vois son trouble.
« Pas du tout, c'était juste pour avoir un souvenir personnel.
- J'ai du mal à vous croire, mais ce n'est pas grave, en fait j'en suis flattée même si j'aurai préféré que vous me le demandiez. Je peux voir les photos comme elles rendent ? »
Devant mon sourire, il ne met pas longtemps à me tendre son téléphone, je fais défiler les poses une à une, pour m'apercevoir qu'en effet peu de photo du haut de mon corps et que les trois quart des vues étaient de mes jambes avec les dernières cuisses plus ouvertes laissaient visible mon intimité. Tout en visionnant les photos le téléphone se mit à vibrer et affiche un message reçu, sans en demander la permission j'ouvre le message pour lire « Toi t’es verni, putain quel lot ! J’attends la suite » !
« Ben voila j'avais raison, les photos ne sont pas que pour votre souvenir, pour les copains aussi ! »
Et je lui tends le téléphone ouvert sur le message. Et je dis tous défaisant un bouton de mon décolleté :
« cette situation commence bien à m'exciter ! »
Comprenant que je suis consentante, il fait une photo de mon visage avec le buste. Ensuite lentement j'écarte bien plus la cuisse coté couloir en disant :
« je pense que celle là, vos copains apprécieront, ne la loupez pas ! »
La photo prise qui a du être doublée ou triplée, tout en discutant quelques minutes nous échangeons nos prénom, lui c'est Pierre. Puis le regardant dans les yeux et de ma voix la plus suave je lui dis :
« est ce que vous êtes à l'étroit dans votre pantalon ? »
Tout en disant cela je déchausse mon pied de son escarpin, et au moment où il me répond par l'affirmative je pose mon pied sur son entrejambe en lui massant doucement sa virilité tendue, et j'ajoute façon très chatte :
« j'ai très envie de toi !!! Viens suis moi aux toilettes. »
Je me lève en lui précisant de ne pas oublier son téléphone, et je me dirige vers les toilettes, il me suit, je le sais. Au passage j'échange un regard complice avec Patrick.
Par chance les toilettes sont libres. J'ouvre la porte et je me retrouve propulsée à l'intérieur par Pierre pressé de refermer derrière nous. Comme dans toutes les toilettes de train, celle ci ne fait pas exception à la maladresse de ces messieurs, les abords de la cuvette sont constellés de petites flaques et n'ayant même pas pris soin de relever la lunette avant de pouvoir se soulager ! Mais je ne suis pas là pour faire un constat des lieux, j'ai juste le temps de poser mon sac à coté du lavabo, et Pierre m'enlace soudant sa bouche à la mienne. Nos langues s'enroulent et entame une danse grisante. Une main presse mon sein, l'autre pelote plus qu'elle ne caresse mes fesses. Je passe un bras derrière sa nuque que je caresse tendrement, mon autre main agrippe ses fesses que presse contre moi, contre mon ventre je sens sa virilité tendue, cela me donne des frissons de plaisir.
« Tu sens comme tu me fais bander !
- Oui je sens bien et j'aime ça. »
A nouveau nos bouches se soudent, je vois Pierre tenant son téléphone à bout de bras et prendre notre baiser en photo. Puis il commence à déboutonner mon chemisier, j'en profite pour enlever ma jupe le tout va rejoindre mon sac à main sur le lavabo. Pierre se recule autant que le permet l'étroit espace, il me demande de reculer tout contre le wc, il prend plusieurs photos le tulle brodé de mon soutif ne cachant pour ainsi dire rien de mes seins, comme le collant qui laisse bien voir le petit triangle brun de ma toison. Tout le temps qu'il met à prendre ses photos, je me caresse les seins et ma fente qui suinte de plus en plus !
Il s'avance vers moi, tout en ouvrant le zip de son pantalon, en me disant d'un ton qui ne supporte pas la contestation :
« suce-moi ! »
Je sors non sans mal son sexe tendu, alors que de ses mains, il exerce une forte pression sur mes épaules tout en me poussant en arrière. Je me retrouve assise sur la lunette de la cuvette, je sens les mailles de mon collant et ma peau se mouiller, mais je n'ai pas le temps de réfléchir que Pierre m’attrape par les cheveux, pour coller ma bouche contre son pieu dressé.
Doucement, j’entrouvre ma bouche, ma langue entoure et contourne le gland tourne autour tandis que ma main glisse sur le long de la hampe que je sens frémir entre mes lèvres. Puis ma bouche descend le long du membre pour remonter et redescendre tout en accélérant les va et viens. Maintenant c'est Pierre de sa main qui m'impose la cadence, tandis qu'il me filme de son autre main.
Puis me tenant ma tête fixe fermement de sa main, il se met à me baiser la bouche à grand coups de bassin, s'enfonçant dans ma gorge autant qu'il le peut, mes lèvres finissant par s'écraser contre son pubis, de la bave s'échappe de ma bouche, dégouline sur mon menton pour finir par tomber sur le sol, filmant toujours et m'encourageant avec des « allez suce salope » ou des « tu pompes comme une reine, une vrai pute ! ».
Au bout de trois bonnes minutes, je le sens pas loin de jouir, le sentant aussi il se retire de ma bouche, se recule d'un pas, s'accroupi en me disant :
« Ecarte bien tes cuisses que je prenne ta chatte en photo. »
Après deux ou trois clichés, je me lève et lui dit :
« Baise-moi maintenant, j'ai trop envie de sentir ta queue en moi !
- Je n'ai pas de préservatif, en as tu ?
- J'en ai pas, mais je te rassure je n'ai aucun problème de santé, si pour toi il en est de même, on peut fort bien s'en passer.
- Dans ce cas pas de problème, je te fais confiance comme tu peux le faire aussi. »
Je me tourne face à la cloison, je baisse mon collant à mi cuisses et je me penche en avant au dessus du wc tout en me cambrant.
Me tenant d'une main à la hanche, je sens Pierre qui promène son gland tout le long de ma vallée intime, glissant le bout de son gland entre mes lèvres, puis sur mon clito. Ma respiration s'accélère, je gémi doucement. Je le sens à nouveau se déplacer vers l'entrée de ma grotte plus qu'humide, il avance, écarte lentement mes chairs, je m'ouvre sur son passage, il avance encore et encore, quel délicieux supplice de le sentir s'enfoncer au plus profond de moi. Je sens mon ventre se liquéfier, je dois inonder son pieu de mes sécrétions. Une fois bien en moi, il savoure sa possession. Me tenant fermement aux hanches, il commence les vas et viens, d'abord doucement puis plus rapidement, je l'accompagne en ondulant de la croupe... oh que c'est bon !!
Ses mains glissent sur mes fesses jusqu'à ce que les pouces se rejoignent au creux de ma raie, puis il lentement il écarte mes globes jumeaux pour découvrir mon petit œillet. Un de ses pouces vient le caresser tendrement avant d'en forcer l'entrée qui cède sous la pression. Je ne peux pas étouffer le soupir de plaisir qui sort de ma gorge et le dis :
« Si mon cul te fais envie surtout ne te gêne pas !
- oh que oui je vais t'enculer, ma salope ! »
A peine a-t-il fini de parler, qu'il se met à cracher sur ma rosette, sors de ma chatte et positionne son gland contre mon œillet, pousse un peu, je sens que je cède et m'ouvre sous la poussée, il pénètre puis se retire en disant :
« Je vais d'abord prendre ton cul en photo avec ma bite à quelques centimètres de ton trou entrouvert ! »
De ses mains, il écarta mes fesses, avança son gland contre mon étroit conduit qu'il força à s'ouvrir libérant le passage à toute la hampe. Je lâche un cri plaintif sous la surprise de cette pénétration rapide qui m'occasionne une douleur comme si on me vrillait mes entrailles. Il ne me laisse pas le temps de récupérer que déjà il me lime à grands coups de bassin. La douleur s'estompe et laisse place à une vague de plaisir qui déferle au travers de mon corps, je sens ma chatte s'inonder et ma cyprine s'écouler hors de moi. Pierre me laboure l'anus à une cadence effrénée durant trois bonnes minutes, sans crier gare il sort en disant :
« Faut que je prenne une photo de ton cul béant, tu es trop bandante ainsi ouverte !
- Prends toutes les photos que tu veux, mais je veux que tu me baise de nouveau et que tu te vides au fond de ma chatte.
- Tes désirs sont des ordres ma salope ! »
Pierre réinvestit ma chatte trempée et se met en devoir de limer rapidement, ses couilles viennent taper contre mon clito hyper sensibilisé, je ne tarde pas à jouir emportée par la vague de plaisir, mes jambes me portent juste. J’espère que personne ne se tient dans le couloir car je n'ai pu être discrète. Pierre me suit de prés et lâche son flot de sperme en de puissants jets successifs se mêlant à mes sécrétions internes. Une autre vague m'emporte dans le bonheur jouissif.
Dès que Pierre ressort de mon ventre je réajuste mon collant à la taille, comme Pierre demeure là planté comme une statue, je m'assoie sur la cuvette et prend son sexe encore gonflé en main, j'approche ma bouche du gland qui disparaît petit à petit entre mes lèvres. Je goûte la saveur de son sperme, puis je le suce tout en nettoyant la moindre trace de son plaisir pour le mien.
« oh que c'était bon Florence, j'ai pris un putain de pied comme jamais, tu es divine ! »
Tout rajustant mon collant correctement, et en finissant de rhabiller je réponds :
« moi aussi j'ai bien aimé, bon retournons à nos places, si quelqu'un attend que les wc se libèrent il doit trouver le temps long. »
Et tout les deux de partir dans un fou rire incontrôlé. Je fini de boutonner mon chemisier que je laisse bien décolleté laissant apparaître le début du tulle brodé de mon soutif, nous sortons, le couloir est désert et nous marchons vers nos places. Je sens venir s'imprégner dans les mailles du collant le mélange de nos fluides qui s'écoulent de ma grotte. Une fois assise, je demande à Pierre s’il veut bien aller nous chercher un café à la voiture bar. Ce qu'il fait bien volontiers.
Je croise le regard de Patrick, je lui souris, personne ne semble regarder dans ma direction, alors j'ouvre mes cuisses dans la Direction de mon chéri pour lui montrer mon entrejambe et le collant qui le voiles barbouillé du sperme de mon amant. Patrick me sourit en me faisant un clin d'œil, qui me fait son effet au creux de mon ventre. Je referme mes cuisses et je reprends la lecture de mon bouquin en attendant le retour de Pierre.
Je le vois entrer dans le wagon, je desserre un peu mes cuisses tout en posant mon livre, en s'asseyant je ne loupe pas son regard qui s'en va vers mes cuisses. Tout en buvant le café, je déchausse un pied de son escarpin et je le pose sur l'entrejambe de Pierre qui me dit :
« Tu sais rien qu'en te regardant je bande, alors avec ton pied là, je crains de me laisser aller dans mon boxer ! »
Je lui souris. Il rajoute qu'il aimerait qu'on se voit sur Paris. Je lui explique que j'habite Montpellier et que je ne passe que quatre jours sur la capitale. Devant son insistance et sa mine de cocker battu, j'accepte d'échanger nos numéros de téléphone et je lui dis que si je sors ce weekend end sur Paris je l’appellerai. Les minutes passent il est presque midi, nous ne sommes plus loin de Paris, quand Pierre me dit:
« Flo j'ai encore très envie de ton cul !
- Mhhumm oui, j'en ai aussi envie de te sentir entre mes fesses, mais avons nous assez de temps ?
- Mais oui nous avons plus d'une grosse demi heure, viens suis moi, pour faire plus discret, allons vers la voiture bar. »
Il se lève, et j’emboîte ses pas. Manque de chance le lieu est occupé et nous devons attendre, au bout de cinq petites minutes Pierre me dit qu'on va aller à celles de la voiture suivante, nous devons traverser le wagon bar, quelques regards me déshabillent sur mon passage. Pierre ouvre la porte et j'entre à sa suite sans me soucier si les personnes du bar nous ont observés. Je constate que le wc est encore plus sale que le précédent, le sol est trempé et l'odeur qui y règne ne trompe pas sur la teneur du liquide qui couvre le sol. Je me dis que la voiture bar toute proche ne doit pas être étrangère à l'état des lieux….
Pierre ouvre mon chemisier caresse mes seins en sort un de son enveloppe de tulle brodé et se met à sucer et téter le téton le mordillant parfois. Je me tourne retrousse ma jupe sur mes hanches baisse le collant à mi cuisses et je me penche en avant tout en me cabrant.
Pierre pénètre dans ma grotte à nouveau trempée, tout en faisant quelques aller retours, de son pouce il masse ma rosette puis crache dessus et fait entrer dans mon anneau son pouce plusieurs fois. Il sort de mon ventre se positionne contre mon œillet qu'il force doucement. La tête de son mandrin passée, il ressort crache abondamment sur ma rosette replace son pieux et cette fois investit mon anus d'un seul coup lent mais régulier jusqu'à ce que son pubis butte contre mes fesses.
Une longue plainte empreinte de plaisir s’échappe de ma gorge, j'adore cet instant où cette brûlure douloureuse se mêle à l'onde de plaisir qui m'envahit de me sentir possédée, remplie. Pierre commence ses va et viens tout en me tenant fermement d'une main à la hanche, l'autre triturant malaxant et caressant un sein, me pinçant le téton et me dit qu'il va me casser le cul et en suite me l’inonder de son foutre, je soupire et feule de plaisir sous ses assauts, je l'encourage de la voix.
« oh oui ! C’est bon continue plus fort, encule moi comme une chienne ! »
Un premier orgasme me traverse au moment ou il me répond :
« J'aime ton cul ! Tu es une salope bonne à enculer ! Dis le moi ce que tu es ! »
Il m'est impossible de sortir un quelconque mot pour l'instant.
« Allez petite pute dis le je t'entendre ! »
Une claque s'abat sur ma fesse, puis une seconde et encore deux autres. Ce sont des paroles mêlées de râles jouissifs que je prononce :
« Oui, je suis une salope bonne à enculer !
- Et quoi d'autres ? »
Entre ce pieux qui me pourfend si merveilleusement les reins, le doux supplice des doigts sur mon sein et ces mots crus qui m'excitent et font grimper mon plaisir, juste avant qu'un autre orgasme me terrasse je souffle :
« Je suis une chienne de pute qui aime se faire défoncer le cul ! »
Et je jouis bruyamment !
Il n'en faut pas plus pour que Pierre dans une vois rauque dise :
« Ah oui ça y est salope j'envoie mon foutre dans ton cul ! »
Il s'immobilise tout au fond de moi, je sens les spasmes de sa colonne de chair et d'un coup, la libération déferlante de son plaisir me remplir et me procurer un tourbillon de plaisir. Je jouis une fois de plus.
Nous reprenons nos esprits, Pierre se retire, je remonte et réajuste mon collant referme mon chemisier, je tire sur ma jupe le temps que Pierre rectifie sa tenue. Nous pouvons sortir, dans le couloir un homme attendait son tour, il nous regarde d'un œil sévère, qui quelques pas plus loin nous fait sourire.
Nous regagnons nos places, par les fenêtres j’aperçois les premiers immeubles parisiens, dans quelques minutes nous serons arrivés. Entre deux wagons, nous nous embrassons, lèvres soudées le baiser est ardent, je promets à Pierre de lui téléphoner si je sors durant mon séjour. Je récupère mon petit blouson, le bouquin, je récupère mon bagage et je vais vers la sortie obligée de rester debout, car je sens le sperme de Pierre s'écouler doucement entre mes fesses.
Le TGV s'immobilise le long du quai, me voila sur le quai un peu à l'écart du flot de voyageur qui descende du ventre ce ver de fer, Patrick vient me rejoindre, je vois qu'il est impatient que je lui raconte, le trajet en métro jusqu'à l'hôtel va lui paraître bien long, mais ô combien excitant !
Signé : Nadette
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Comment signer un gros contrat...
Après une nuit agitée, au cours de laquelle je n’ai trouvé qu’un semblant de sommeil vers quatre heures du matin. Au cours de cette nuit, je revoyais les images de ce que j’avais osé faire la veille. Mon esprit somnolait, divaguait, je m’imaginais prise par plusieurs hommes dans un sex-shop. Je fus réveillée par le réveil à six heures trente. J’avais, inconsciemment sans doute, posé ma main droite sur mon sexe et je constatais que toutes ces pensées de la nuit ne me le laissaient pas indifférente. Mon sexe avait une moiteur que je connaissais bien.
Après une bonne douche, vint l’épreuve de l’habillage. Patrick, mon boss, avait dit :
« Fais-toi belle », à présent je savais ce que ces mots voulait dire dans sa bouche.
Je commençais par un string ficelle blanc, le plus miniature que j’avais dans mon tiroir. Autant dire que je n’avais rien, mais c’est là justement que tout réside. Je décidais de le porter suffisamment haut afin qu’il dépasse de ma jupe et que ceux à qui je l’autorise puisse voir ce que je porte. J’optais ensuite pour une guêpière porte-jarretelles blanche, des bas blancs, une jupe au-dessus du genoux, un peu fluide, et un petit haut avec des volants. La couleur dominante était le blanc avec quelques motifs sur le haut. Des talons aiguilles, avec des talons de sept centimètres, et me voilà « belle » d’après Patrick.
J’arrivais dans le bureau de Patrick à huit heures trente, on ne se fait pas la bise, pour ne pas paraître trop intime. J’ai des papiers qu’il doit signer dans un parapheur.
« Messieurs Fahad et Abdullah arriveront par l’avion de dix heures, tu iras les accueillir
- Quelles sont les consignes ?
- Professionnelles… mais si au détour d’un croisement de jambes, ils peuvent entrevoir innocemment la lisière de tes bas, ce n’est pas interdit.
- Je verrai suivant la situation.
- Tu as bien des bas n’est ce pas ?
- J’ai suivi les consignes…
- Ah j’ai oublié de te dire hier, mais tu sais peut-être que les arabes ne supportent pas les poils pubiens chez la femme, c’est une insulte dans leur culture. Je t’ai pris rendez-vous à neuf heures dans un salon à Paris. Voilà l’adresse, Stéphanie s’occupera de toi, c’est payé d’avance. Paul mon chauffeur t’y emmène, et après vous filez à l’aéroport pour les accueillir.
- Bien d’accord. »
J’ai bien compris que je n’avais pas le choix à propos de mes poils, et qu’il fallait y passer. Tant pis. Paul m'attendait au rez de chaussée, la quarantaine, plutôt beau mec un peu trop baraqué, mais je comprends qu’à ce poste on fait également un peu garde du corps. je monte devant avec lui et lui dis que j’ai rendez-vous au salon de beauté, il n’a pas l’air surpris. Direction le salon de beauté, Paul me dépose devant. Le salon est plutôt huppé, dans le 17ème. A l'accueil je précise avoir rendez-vous avec Stéphanie et une femme brune s’approche.
« Bonjour, c’est moi, veuillez me suivre s’il vous plaît. »
Nous pénétrons dans une cabine. Elle referme la porte.
« C’est pour une épilation pubienne totale, n’est-ce pas ?
- Oui, je viens de la part de Patrick Bron.
- Oui je sais, monsieur Bron, vient souvent ici se faire des piqûres de Brontox. C’est lui qui m’a appelé… donc vous êtes sa nouvelle secrétaire.
- Oui, depuis hier.
- Ah c’est tout frais. Et bien si vous restez, nous aurons l’occasion de nous revoir. M. Bron est très généreux et paie ce genre de soins ainsi que d’autres à ses secrétaires, environ une fois par semaine.
- Oui, il sait amadouer son personnel.
- Bien si nous nous attaquions à ces poils rebelles, car M. Bron m’a dit que vous étiez pressés. Enlevez votre jupe, et votre haut également, ça vous évitera de tout froisser. »
J’étais un peu gênée d’enlever mon haut, dévoilant ainsi ma guêpière, mais après tout cette femme allait bien avoir une vue imprenable sur mon sexe, alors je pouvais bien faire ça.
« C’est sûr qu’avec un string comme ça, il ne faut pas beaucoup de poils. Et cette guêpière vous va très bien.
- Merci.
- Enlevez votre string, et installez-vous. Comme dans d’autres domaines, la première fois est un peu douloureuse, mais vous verrez avec le temps ça ira mieux. »
Je m’installais sur la banquette. L’opération était effectivement un peu douloureuse, mais Stéphanie y mettait beaucoup d’attention et cela ne fut pas si pénible que ça, et surtout le résultat était à la hauteur. Elle me passa une crème apaisante avec beaucoup d’application, tandis que les yeux fermés, je savourais ces délicates mains sur mon sexe rasé. Stéphanie semblait également savourer ces instants car certaines pressions de ses doigts furent plus appuyées au niveau, notamment de mon clitoris et de mes lèvres.
Mais le temps pressait et on ne plaisantait pas avec ça. Je remerciais Stéphanie, passait à la caisse, où l’on me dit qu’effectivement c’était réglé, et sortis du salon. Dès qu’il me vit, Paul me sourit et amena la voiture à ma hauteur, dans laquelle je m’engouffrais.
« Ca y est. Prête ?
- Euh… oui, on peut y aller.
- OK alors direction Charles De Gaulle, c’est le Terminal 1, n’est-ce pas ?
- Oui c’est ça. »
Sur la route, je me suis dis que ce ne devait pas être la première fois que Paul conduisait des secrétaires dans ce salon et qu’il devait savoir ce qu’il s’y passait. Je pense que ça devait l’exciter de savoir qu’à côté de lui se trouvait une fille pourvue d’un sexe glabre. Et visiblement j’avais raison au vu des coups d’œil, qu’il ne cessait de jeter sur mes jambes. Je fis comme si de rien n’était, mais j’en profitais pour m’installer différemment dans le siège confortable de la 607, croiser mes jambes, et petit à petit soulever un peu plus mon genoux qui se trouvait au-dessus de l’autre.
Il avait dû voir la lisière de mes bas, et de ce fait mon objectif était atteint, il avait une belle bosse dans son pantalon. Je me calmais et repris une position moins provocante, mais au moins j’avais réussis à attiser ses désirs. Je n’aurais sans doute jamais réalisé cet acte de provocation auparavant, mais depuis ma rencontre avec Patrick, je me trouvais profondément transformé, pour ne pas dire intimement.
Nous arrivâmes à l’aéroport. Après un petit quart d’heure d’attente, j’accueillis MM Suleiman et Abdullah me présenta en leur souhaitant la bienvenue. Ils ne furent pas très bavards, ils connaissaient déjà apparemment bien la France. Je les accompagnais jusqu’au bureau de Patrick, qui me demanda si tout c’était bien déroulé à l’aéroport et avant. Je lui répondis que oui, professionnelle, puis il me congédia afin que je puisse reprendre mes autres activités.
Vers treize heures, nous allâmes déjeuner dans le club de l’entreprise, réservé aux clients. Je sentis toutefois que l’ambiance était tendue, et que les deux parties semblaient en désaccord sur les termes du marché que nous devions conclure. Cela fait partie du jeu, dans lequel il ne faut jamais sembler satisfait trop tôt, donc je ne m’inquiétais pas trop. Le déjeuner fut tout de même agréable, mais nos deux invités ne semblaient pas faire grand cas de ma présence. Il faut dire que je n’avais pas été spécialement provocante et que ces messieurs pouvaient me prendre pour une secrétaire comme les autres.
Le déjeuner terminé, nous retournâmes dans nos bureaux climatisés. M. Bron paya, nous sortîmes du restaurant, et au moment de pénétrer dans la voiture il m'annonça en catimini que l’affaire était mal en point et qu’il fallait que je me mette en avant car le marché était loin d’être conclut. J’acquiesçais en enlevant deux boutons de mon haut, avant de prendre place à l’arrière du véhicule entre nos deux clients. M. Bron se plaça à l’avant. Les Qataris ne sont pas minces, et j’étais un peu coincée entre ces deux messieurs. J’ai voulu me faire un peu de place, ce qui eu pour effet de lever un peu ma jupe et de dévoiler la lisière de mes bas. Je sentis leur regard fondre sur cette partie de mon anatomie. Je fis mine de ne pas m’en apercevoir, et laissa ma jupe sans la réajuster.
Je glissais également ma main droite au niveau de mon épaule gauche pour faire mine de rajuster la bretelle de mon soutien-gorge, mais je fis tout le contraire pour la laisser tomber et écarter franchement les pans de mon haut. Mon voisin de droite s’en aperçut et en profita pour se tourner vers la gauche, parler en arabe à son collègue, et avoir un regard insistant sur mon décolleté. Il devait parler de moi, car son collègue également commença à me regarder, et indiqua la lisière de mes bas.
Leur conversation terminée, Patrick en profita pour se tourner vers eux, remarqua lui aussi les lisières de mes bas, et leur dit que nous irions au Lido ce soir, en ma compagnie, avant de lancer un petit clin d’œil complice qui ne laissait rien présager de bon pour mes fesses. Ils en furent apparemment ravis, et je sentis la main de mon voisin de droite tapoter mon genou d’un air entendu. Heureusement nous arrivions dans les parkings nos locaux.
Dans l’ascenseur, je laissais passer nos deux invités en premier, j’entrais et je leur tournais le dos. Arrivée au rez de chaussée, deux personnes supplémentaires me firent reculer d’un demi-pas, et mes fesses rencontrèrent une main ouverte qui ne semblait attendre que cela, et qui n’avait pas l’intention de rompre le contact. Cette main commença un mouvement de caresses, puis descendit pour s’immiscer entre mes jambes.
L’ascenseur s’arrêta au 6ème avec un léger soubresaut qui eut pour effet que cette main gagne encore un peu plus de terrain et caresse d’un doigt le tissu de mon string. Trois étages plus haut, le doigt se faisait plus insistant et cherchait à dépasser ma ficelle. L’ascenseur s’arrêta, Patrick et l’un des deux invités sortirent, j’attendis, et à ce moment Suleiman me glissa dans l’oreille :
« A suivre ce soir..
- D’accord, je suis aux ordres de M.Bron. Tout ce qu’il me dit de faire, je le fais de façon professionnelle. »
Je les laisse repartir en réunion, mais avant de rentrer Patrick me fait un petit sourire approbateur.
« Passez nous voir dans deux heures.
- Très bien. »
Je vaque à mes autres occupations, puis au bout de deux heures, je toque à la porte de la salle de réunion.
« Ah vous voilà, nous sommes proche d’un accord, néanmoins nos clients demandent des garanties, et c’est là que vous intervenez.
- Des garanties bancaires ?
- Non. Votre string suffira. Pour le moment. »
Je retirai donc mon bout de ficelle, et alla le remettre à Patrick. Il regarda nos clients, et leur demanda si c’était bon. Ils répondirent que oui, mais qu’ils voulaient voir la marchandise. Patrick m’indiqua d’aller leur apporter mon string en main propre. Je le repris et me plaça entre les deux hommes. L’un des deux prit le string, le présenta en l’air d'une main, tandis que l’autre commençait à remonter le long de l’intérieur de ma jambe. Il fut rapidement rejoint par son collègue et les deux mains arrivèrent en même temps aux lèvres de mon sexe. L’un pris le parti d’aller de l’avant, l’autre de l’arrière. Ils commencèrent à me pénétrer et à faire des allers-retours.
Au bout de quelques instant,s Patrick leur indiqua que cela suffisait pour « voir », et que nous aurions tout le loisir de mettre cela en application ce soir. Ils retirèrent leur doigt à regret, et je dois bien l’avouer au mien aussi. La réunion était close et rendez-vous fut pris à leur hôtel à vingt heures.
Nos clients partis, Patrick me félicita, et me dit de continuer sur cette voie pour ce soir, de faire tout ce qu’ils me diront de faire. Cela m’inquiétait un peu, mais vu que je commençais à y trouver du plaisir et vu la rémunération, je ne pouvais pas refuser. Patrick me demanda de téléphoner à l’hôtel pour faire une réservation à mon nom. Il m’indiqua que je pouvais d’ores et déjà y aller et profiter de la chambre.
Je ne me le fis pas dire deux fois. Connaissant de nom le 5 étoiles dans lequel j’allais aller, je mis les bouchées doubles, ce qui d’ailleurs allait sans doute m’arriver, ou plutôt une double bouchée.
A vingt heures, je descendis retrouver Patrick qui était au bar en compagnie de nos clients. N’ayant pas de vêtements de rechange, je me vis contrainte de remettre mes vêtements, ou plutôt ce qu’il me restait de vêtements. Installée au fond d’un confortable canapé, je croisais mes jambes plus haut que normalement nécessaire, ce qui eut pour résultat de rendre visibles mes lisières de bas. Je pris une coupe de champagne, ce qui a toujours pour effet de me libérer, et au fur et à mesure de la discussion je défis des boutons de mon haut pour dévoiler une partie non négligeable de ma poitrine.
« Passe aux toilettes et enlève ton soutien gorge, qu’on ne cesse de voir, me dit Patrick
- Très bien, chef ! »
Arrivée aux toilettes mon soutien gorge trouva rapidement sa place dans mon sac à main. Sur le chemin du retour, je sentais mes seins libres et je sentais également que cela se voyait. Nos compères n’en perdaient pas une miette. Une fois assise, je me penchais souvent en avant pour prendre mon verre, afin de laisser bailler mon haut, ce qui attirait les regards indiscrets. Après une demi-heure, Patrick donna le signal de départ, et Paul nous attendait dans la voiture.
Comme après le déjeuner, je me plaçais à l’arrière entre nos deux imposants clients. Cette fois-ci, plus de « timide » caresse, je sentais les bonshommes excités et ils ne se contenteraient pas de caresses. Le premier glissa sa main dans mon haut, le second m’écarta les cuisses et caressa mon sexe. De mon côté, mes mains caressèrent les sexes de ces messieurs, qui semblaient nerveux.
Après quelques instants de ce doux traitement, je me penchais vers mon voisin de droite afin de lui sucer son sexe et présentai mes fesses et mon sexe à son compère, qui baissa son pantalon pour me pénétrer. Ce dernier était tellement excité que quelques allers retours suffirent à le faire cracher sa semence.
A ce moment, je me retournai, pour sucer ce sexe humide, et pour que l’autre partenaire m’enfourche également. Par contre, ce nouveau membre ne souhaitait apparemment pas suivre le chemin tout tracé et décida de prendre des chemins détournés pour m’empaler sauvagement. Là encore, l’excitation fut trop importante pour que le plaisir dure bien longtemps, et à peine après avoir terminé le nettoyage du premier sexe, je dû m’attaquer au nettoyage du deuxième. J’avais le sexe et l’anus dégoulinant de foutre et je demandai si je pouvais récupérer mon string afin de limiter les coulées de sperme le long de mes jambes.
Bizarrement, ils acceptèrent, mais il est vrai que ce mince tissu n’empêcherait pas grand chose. Patrick avait suivi la scène depuis le rétroviseur de Paul pour profiter du spectacle. Je remis en place mon string et m’arrangeait à nouveau pour paraître un peu moins échevelée.
Nous arrivons finalement au Lido, à une table très bien placée. Après une demi-heure le spectacle commence, les décors sont magnifiques, les filles sont belles, le champagne coule a flot. Au dessert, Patrick pose sur la table les boules de geisha achetée la veille, et je les enlève du dessus de la table pour les placer entre mes jambes, sous le regard attentif de nos deux clients.
Je les fis pénétrer dans mon sexe, et remis les mains sur la table. Patrick me demanda d’aller aux toilettes pour hommes, me masturber, puis de revenir. Dans n’importe quel autre restaurant, je pense que je n’aurais pas accepté, mais je me suis dit que dans ce genre d’endroit la chose devait être fréquente, et surtout tolérée. Le trajet fut délicat, ces boules du diable faisant leur effet, et j’avais à nouveau le sexe en feu.
Heureusement, il n’y avait personne dans les toilettes pour hommes. Je décidai de me placer devant les lavabos, face au miroir et de me masturber. Tant pis si quelqu’un rentrait, je me ferais prendre, je commençais à avoir l’habitude, et je me demande si ce n’est pas ce que je voulais. Je sortais une première boule, que je m’amusais à frotter sur mon clitoris dans un premier temps, puis je décidai de la rentrer dans mon anus.
C’était bon, mais c’est à ce moment là que mes deux amis sont entrés. Je me penchai en avant sur le lavabo, leur exposant mon anus. Abdullah, joua doucement avec la ficelle reliant les deux boules, puis les retira d’un coup brusque. Ce fut comme un coup de tonnerre dans mon corps. Il profita de l’ouverture de mon anus pour sortir son engin et l’enfoncer dans mes entrailles tandis que son compère présenta son sexe en début d’érection devant ma bouche.
Je l’engloutis jusqu’à la garde avant de commençer un mouvement de va-et-vient piloté par la personne qui se trouvait derrière mes fesses. Au bout de deux minutes, Abdullah m’agrippa, se coucha tout en me gardant rivée sur son sexe, et m’écarta les jambes. Fahad avait la voie toute tracée pour venir me prendre en double pénétration. La place était limitée, mais malgré leur corpulence, ils avaient une certaine agilité lorsqu’il s’agissait de sexe.
Ils réussirent à m’enfourcher des deux côtés, et j’eus l’agréable sensation d’être remplie de chaque côté. Divin ! Il ne fallut pas longtemps de ce type de chevauchée pour que mes deux assaillants n’explosent en moi. Le sexe et l’anus dégoulinant de sperme, je commençai à remettre les pieds sur terre, lorsque j’aperçus Patrick se tenant dos à la porte avec un sourire en coin. Je n’avais pas remarqué sa présence, mais il avait tout vu. Intérieurement, je fus assez fière de moi.
De retour dans la salle nous avons terminé notre dîner-spectacle, et je crois avoir réussi à crever nos invités car ils nous ont demandés de les ramener à l’hôtel. Nous les avons quittés à l'entrée de leur chambre, et vu que Patrick m’avait réservé une chambre à l’hôtel, il fallait bien que j’en profite. Je proposai un dernier verre à Patrick, qu'il accepta avec un sourire.
« Bon, alors un dernier verre ?
- Oui je commande le room service.
- OK, tu commandes du champagne, je crois que tu l’as bien mérité. Quand le serveur arrivera avec le champagne, je serai dans la salle de bains. Je veux que tu le provoques et que tu arrives à te le faire. »
Bien, après tout j’étais encore « payée pour ça », et ces situations commençaient vraiment à m’exciter. Je pris le téléphone pour commander le précieux élixir et en attendant le serveur, je me mis en peignoir, fournis par l’hôtel, sans rien en dessous.
Trois petits coups frappèrent à la porte et j'ouvris avec les pans du peignoir juste rabattu de la main.
« Bonsoir, voilà votre champagne
- Merci, posez cela sur la table… Je vous propose de trinquer un verre avec moi. J’ai gagné une grosse affaire ce soir mais je n’ai personne avec qui la célébrer…
- C’est que… normalement nous n’avons pas le droit…
- Mais il est tard. Je vous promets de ne rien dire et d’être gentille. »
Et après ces mots, j’enlevais ma main qui retenait le pan du peignoir, qui naturellement s’ouvrit légèrement, dévoilant un brin de mon axe de symétrie, mais suffisamment pour faire perdre la tête de ce pauvre malheureux.
« …Hum, bon, si vous insistez, dit le serveur avec un air entendu
- Une seule coupe pour moi, vous, vous pourrez boire à la source, amenez la bouteille ! »
Je m’installai sur le lit en écartant complètement les pans du peignoir. Je pris la bouteille des mains du serveur, et lui dit de se mettre à genoux. Je commençai à verser le champagne sur mon nombril, qui coula vers mon sexe. Les lèvres du serveur étaient collées sur ma chatte en feu, et récupéraient le champagne, tout en ne négligeant pas mon clitoris. Le mélange de fraîcheur du champagne, et de succion des lèvres du serveur, était divin. Je reversais plusieurs rasades, le serveur en avait perdu son pantalon et son caleçon dévoilant un membre honorable. Ce n’est qu'une fois le serveur en moi, après plusieurs allers-retours, que Patrick décida d’entrer en scène.
« Eh bien, on ne se gène pas par ici ! »
Très surpris, le serveur tenta de balbutier quelques mots en vain, Patrick enchaîna :
« Bon et bien maintenant que vous avez bien profité de ma femme, vous allez me sucer également.
- Mais enfin non !
- Ah vous préférez avec du champagne… ou vous préférez que j’appelle la direction ? »
Le serveur, contraint, ne dit mot. Après un instant de silence, Patrick, baissa lui aussi son pantalon, dévoilant un sexe bien raide, signe d’une excitation intense, et démontrant qu’il avait dû regarder par l’entrebâillement de la porte. Le serveur eut encore un moment d’hésitation, puis il se décida à s’agenouiller, et prit le sexe de Patrick en bouche pour entamer un mouvement de va et vient. C’était la première fois que je voyais un homme en sucer un autre. Afin de continuer sur la lancée du serveur, je me mis à me caresser en regardant le serveur sucer Patrick.
« Bien, tu as bien chauffé ma jument, tu as bien chauffé également l’étalon que je suis. Chérie, à quatre pattes sur le bord du lit, que je te monte, et pendant ce temps, tu suceras notre ami, qui l’a bien mérité. »
Patrick se plaça derrière mes fesses pour me pénétrer, et le serveur plaça sa bite, qui avait perdu de sa rigidité, devant ma bouche. Je m’empressai de redonner à ce dernier la vigueur que je lui avais connue. Patrick me pilonnait par l’arrière, pendant que je suçai le serveur qui avait retrouvé sa fougue et qui ne devait pas en croire ses yeux. Proche de l’éjaculation, Patrick vint présenter son sexe aux côtés de celui du serveur, et je compris que je devais avaler ces deux beaux engins. J’ouvris ma bouche au maximum en avalant ces deux bites. Patrick fut le premier à éjaculer, suivit de près par le serveur. Pour les remercier de ce traitement, je ne perdis pas une goutte de leurs spermes respectifs.
Après avoir repris quelques peu ses esprits, le serveur retourna à son service. Seule avec Patrick, il me félicita pour ma prestation de ce soir, me confirma que le Marché était conclu, mais que pour me remercier nos invités lui avaient confié qu’ils désiraient que je vienne passer une semaine chez eux, tout frais payés. Je lui répondis qu’a priori, je n’y voyais pas d’inconvénient, mais que j’aurai préféré qu'il m’accompagne. Il me rassura en me disant qu’il ferait le début du séjour avec moi, mais qu’évidemment il ne pourrait pas rester la totalité. …
Cutefrog95
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Un voyage en Russie - chap. 3
Nouvelles ivresses
Je refis donc une cour empressée à Irina qui se laissa embrasser, caresser, lutiner avec un évident plaisir lui tirant de petits soupirs éloquents… Françoise embrassait le Comte tendrement, lui tenant la nuque de sa main droite ; sa robe retroussée, laissait voir l’amorce d’un porte-jarretelles et l’orée de ses bas bien tirés…cela m’excita, je me mis à rebander… Le couple en la bergère voisine se livrait déjà à des ébats très érotiques, la belle femme blonde à genoux sur le bord de la bergère, cul haut levé, troussée jusqu’à la taille, se laissait butiner par des lèvres goulues et une langue hardie vaquant allègrement au fond de son sillon fessier, dont la culotte écartée laissait deviner un anus cerné de poils blonds-roux du plus bel effet…
La Comtesse s’était remise à me sucer, me pelotinant les couilles, je passais ma main dans ses cheveux et accompagnais sa tête dans les mouvements de fellation qu’elle imprimait sur mon vit…c’était délicieux, je bandais, me durcissais, avalé par cette bouche petite et pincée, mais terriblement efficace dans les allées et venues de ses fines lèvres si chaudes et retroussées… Ma femme avait débraguetté le Comte et frottait vivement un haut vit poilu, nerveux, noueux, veiné, avalant littéralement le gros prépuce congestionné que l’on apercevait par instant, lorsque la bouche remontait sur le membre pour en pulpiner l‘écarlate tête…
Le Comte renversé contre le dossier, se laissait pompiner, soupirant, accompagnant de sa main celle de ma femme pour la guider plus au moins au rythme de sa jouissance qui montait… Irina était une belle et noble suceuse et ma queue gonflée s’allait bien jusqu’en gorge, menaçant à chaque instant de lâcher ses éclairs blancs dans le palais de cette belle pompineuse… Je passai ma main fiévreuse sur l’une de ses cuisses, sentis la soie du bas sous ma paume, pinçai une jarretelle et gagnai le beau sexe ombreux aux frisées futaies… Elle écarta les cuisses et puis emprisonna ma main…mes doigts trouvèrent son humidité, je m’y installai et pinçai un peu les lèvres de cette charmante et intime bouche d’amour… elle geignit sur ma queue tout en poursuivant sa branle buccale joliment menée…
Le Comte venait de jouir dans la bouche de ma femme qui se délectait de son nectar blanc poisseux, passant une fine langue de dégustatrice connaisseuse…il l’embrassa sur la bouche et burent ensemble leur cocktail d’amour… Je déchargeai presque aussitôt entre les lèvres d’Irina qui fut littéralement aspergée par mon foutre, bustier, seins et leur sillon, ainsi que sur ses doigts blancs, longs et si fins…
Une belle jutée, que ma suceuse fut ravie d’avoir menée à sa fin… Le plaisir était grand, essoufflé, rouge, mais apaisé, je réagis et la baisais en bouche, buvant mon sperme sur ses lèvres moelleuses enluminées de mes sèves… Je voulus son sexe… elle se mit cuisses écartées, prit ma bite encore raide et mouillée de semence et l’enfila très vite dans son beau con au corail entrouvert…je glissai, glissai, la prenant doucement, à petits coups de reins et passai mes mains sous ses fesses pour la mieux remonter contre mon ventre…
Ainsi, bien enfilée, je la pénétrai toute, elle geignit et prise jusqu’aux couilles, dansa des hanches, monta, descendit, tournoya du con sur ma queue, se déchaîna, faisant crisser ses bas et je sentis contre mes cuisses le grattis éloquent et régulier de ses jarretelles qui montaient et descendaient en cadence sous mes coups de vitin… elle déchaîna ses reins, je jutai à nouveau, un beau jet franc et chaud inondant ses satins… Sa langue me chercha, je la croquinai, l’entourlougnai, la courbai, la suçai bellement, salives mélangées… Elle croisait à présent ses jambes sur mes reins et me retenait fermement en elle… allais-je la mettre enceinte ? Un fils, oui, un fils français ? Vivrait-il en Russie…viendrait-il à Paris, à Versailles ?
Françoise par le Comte montée, cuisses ouvertes, bas tirés, jarretelles tendues, donnait des coups de reins sous l’homme qui s’agitait en elle, la fouissant de sa belle queue charnue toute veineuse et la faisant crier, jambes en l’air, seins dardés contre la poitrine poilue du Comte qui la besognait sans discontinuer…il jouit dans un rugissement rauque, la foutant jusqu’au fond, couilles au ras de son con d’où s’écoulait du foutre tout mêlé de cyprine…
Allait-il lui faire un enfant ? Ils restèrent ainsi un instant et puis, ma femme voulut sucer cette queue divine, le Comte se releva, lui tendit son vit qu’elle engoula immédiatement, vite, très vite, endiablée suceuse se délectant de la crémeuse foutrine…branlant la queue en sa bouche, la ressortant, la langouillant voluptueusement, en grappillant les couilles malicieusement… Le Comte se tendait, les mains sur les hanches, la tête relevée, les yeux au ciel, elle l’avalait littéralement…
L’homme de l’autre couple enculait sa femme après l’avoir prise en chatte et en levrette, ayant joui, il pointa aussitôt dans le trou rose plus haut son vit qui prit son trot et disparut à fond de cul, faisant se distendre l’anus, dont les fins bords rosés suivaient l’arc de la bite qui s’allait et venait dans le beau trou coquin… Il claqua plusieurs fois les superbes fesses, pressa les hanches, les actionnant, les retenant, bloquant sa fornication pour la reprendre un peu plus fort dans le séant… La vue du cul, des bas et jarretelles m’excita superbement, je rebandai…
Subitement, j’eus grande envie des fesses de la Comtesse, entre mes bras dénudée, la tête sur mon épaule… Et mon regard allait de ses jambes dénudées au cul et jarretelles de la belle blonde enculée donnant du cul de plus belle dans sa si belle envitée !
Irina comprit mes intentions, se retourna et me présenta son superbe cul ; délicatement, je lui redressai les fesses, les écartai, je vis le merveilleux petit œil rose-brun qui s’ouvrait, se rétractait, divinement coquin ; je mis un peu de salive sur la pulpe de mon médius et frottinai son bel œillet qui se dilata, bouton magnifique attendant qu’on le cueillit… Je dirigeai mon vit vers cette fleur secrète et lui donnai gentement de la tige, enfignant doucement ses velours consacrés… Alors, lentement, je m’infiltrai, Irina gémissait doucement se sentant prise, reins cambrés, elle goûtait cette sodomie qui l’excitait…elle se mit à respirer un peu plus fort, son souffle s’accéléra, elle geignit et se laissa prendre par son Marquis d’Amant…
La conversation s’engagea sur les peintres russes du XVIIIème siècle et sur la préciosité et la finesse des icônes, ce qu’elles représentaient vraiment pour tout croyant… J’émergeai de mon rêve… Nous parlâmes de l’Académie des Beaux Arts de Saint-Petersbourg depuis sa fondation en 1754 par la Grande Catherine, affichant surtout des peintres étrangers…
« Les peintrrres rrrusses, reprit la belle Irina, sont des peintrrres à porrrtrrraits et nous avons le plus grrrand qui fut, notrrre grrrand Levitski qui fut le pèrrre de l’Ecole Rrrusse, comme vous savez…L’on peut parrrler aussi de Borovikovski, élève de Levitski et qui a étudié auprrrès des Maîtrrres italiens ou frrrançais, mon Cherrr à Saint-Petrrrsbourrrg même »
La conversation roula sur la sculpture et bien sûr Carlo Rostrelli qui fit la statue équestre de Pierre Le Grand à Saint-Petersbourg. En effet, nous l’avions vue dès notre arrivée, grandiose et imposante. Irina se tut, but un peu de vin, me regarda…une femme paisible, gracieuse, racée, n’affichant point sa culture, mais aimant toujours l’associer à celle de la France ou de l’Italie et ce avec bonheur, en des phrases courtes et d’une façon passionnante… Irina qui était cultivée, n’en était cependant pas moins femme et aimait aussi goûter aux plaisirs de la bonne chère, comme à ceux de la bonne…chair ! Un semblant de calme mais, sous cette apparence sommeillaient des feux aux braises surprenantes… Une femme passionnée brûlant de tous ses sens.
Nous voguions ainsi entre plaisirs, relations courtoises, imagination, désirs, incitations et espiègles clins d’œil… La conversation se poursuivit… La culture planait ainsi entre nous et nos échanges ne se contentaient point d’être charnels, mais avaient aussi ces beaux emballements, la Comtesse ne pouvant s’empêcher de comparer nos deux Cours, leur culture, leur esprit, leurs lumières et leurs grands élans culturels, le français étant bien entendu le grand lien qui les unissait, en dehors bien sûr des considérations purement politiques et diplomatiques.
Voyage en Sodome
J’aime la sodomie, ma femme et mes Amantes aussi. Donc point là ne m’en prive pourvu que Dames m’en prient et m’apprécient entre leurs rives aux culines fantaisies… Les plaisirs florentins étant des plus jolis.
J’eus donc à nouveau envie des petites fesses blanches et galbées d’Irina et, ma foi, ma précédente sodomie lui ayant particulièrement plu, elle montra un nouvel élan vers cette forme d’accouplement ne manquant point de charme, ni de volupté, bien au contraire et qui satisfaisait ses désirs cachés et comblaient là ses sens… Des sens d’une Dame l’on doit bien satisfaire toutes les exigences de son mieux, ma foi autant que faire…se peut…
Je fis donc disposer la Comtesse agenouillée sur le bord de la bergère, lui relevai les fesses plaisamment, d’elle-même elle les écarta offrant à ma contemplation ce fin sillon culin aux petites soies blondes qui entouraient le merveilleux petit anneau de chair brune-rosée, petite bouche pincée, faisant comme la moue…
Puis m’accroupis et entrepris un long lèchis de ce divin petit endroit béni des queues, ce lieu sanctifié qu’il me fallait dignement honorer ; ma langue courut gentement du haut en bas du sillon, laissant un petit filet de salive tiède qui vint humidifier la belle fleur anale qui s’ouvrit, se ferma, livrant son intimité, comme un beau Cœur d’Amour… Je m’y prosternai, y fis jouer ma languine, reptilienne, rampant lentement, enserrant le trou béni, le lichant, le pénétrant, l’agaçant de petits picotis savants qui firent qu’Irina se mit à gémir doucement, ondulant du derrière sous mon regard réjoui…
Comme il était doux, satiné ce petit œillet, sanctuaire du Sodomite que j’allais être dans quelques instants ! Irina, la belle et languide Comtesse jouait ici des fesses, j’y enfouis mon nez, les rondeurs culines frôlaient délicieusement mes joues, diffusant leur chaleur aphrodisiaque, paradisiaque…
Je sucinai, je troulinai, je troufignai, je savourai cette fleur analienne, la humai, l’aspirai même, ma langue se fit chienne, la butinant, pompinant son pollen, s’en grisant, s’en nourrissant dans sa folie charnelle… Le beau cul là dansait, décrivant des cercles animés, tantôt lents ou plus rapides, selon la jouissance que mon ophidienne déclenchait…
Je me relevai, pris mon vit au paroxysme de l’érection, dur, cramoisi, prépuce démesuré et gorgé de sang, ma grosse veine sur l’arc de ma queue battait, il était temps, il était temps, plus n’en pouvais… Je pris de la salive et en enduisis mon prépuce qui apprécia ces préparatifs, se lissa, se tendit, je remis encore un peu de salive, il était prêt, mon beau chauve et je le présentai à la fleur en frisson ; l’anus et le prépuce firent connaissance, frétillants, de longs frissons partirent de l’œil de mon cyclope pour gagner prestement la racine de mes couilles, je poussai légèrement, le cul se releva, Irina écartait toujours ses fesses, indécente, prête, vibrante du désir de se faire prendre ainsi et devant ses Amis excités, en attente… La fleur anale lentement s’ouvrit, l’œil de mon vit s’y enfouit un peu, mon prépuce frémissait, se tendait, je rajoutai un filet de salive, il glissa, l’anus s’entrouvrit, porte de Carthage, j’y étais…
Je pénétrai un peu plus, la Comtesse remua du cul, je tenais ses cuisses, mes paumes sur ses bas, elle respirait plus fort, attendant la sodomie…je pénétrai l’anal sanctuaire jusqu’à la collerette gonflée de mon prépuce, le chapeau disparut dans l’anus, je commençai à glisser lentement par la mince bouche qui à présent m’aspirait, le gland disparut, l’anneau maintenant courait au long de l’arc charnu de ma queue et le beau derrière commença à lentement descendre et monter, harmonieusement, avec finesse, une sodomie de qualité, une fine Comtesse aimant le plaisir raffiné…
Je la pénétrai toute, mes poils frottant ses fesses, mes couilles au ras du fossé, je sentais la chaleur de ses fesses, une douce paralysie, une sublime volupté courut sur ma verge toute entière enfichée dans cette belle russe qu’à présent j’enculais… Je fermai les yeux, m’activai gentement, en toute raideur, le cul balançait joliment, mes couillines faisant un bruit mat quand elles atteignaient le rempart des fesses, j’étais au fond, dans un océan de tendresse, d’ivresse, aux tréfonds des satins fessiers, de ces palais où la quête se fait, centre du plaisir en l’interdit passage, cette voie dérobée libérant ses mystères…
Je sentis venir ma lave vulcanienne, elle bouillonnait depuis si longtemps et…me déversai en ondes ophidiennes, rampantes, bouillantes en ce joli creuset aux abysses culins, profonds à souhait, jusqu’au bout de la FEMME, la chaude et tendre LIBERTINE ! Elle me donna un haut et long puis grand coup de cul, me dégrappa la pine, je déjutai encore en laves couleuvrines jusqu’au fond de son corps…elle se tortilla, remonta, me pinça de l’anus, je sentis mon prépuce aux tréfonds de Cythère, sodomite comblé atteignant ses Gomorrhe !
Je restai en elle, je fis claquer ses jarretelles, m’enivrai de la peau de son dos, la croquai en cou, la marquai de mes dents, le nez dans ses cheveux blonds en grappes de blé, affalé sur son dos, donnant encore quelque hallali, comme un son du cor(ps) au fond de son cul, elle griffait le velours de la bergère de ses doigts longs sans fin, joua du cul, vint coller ses fesses à mon ventre, ne voulant point mettre un terme à notre sodomie…avais-je encore du sperme pour sa plante fleurie ?
Je m’agitai, tendis mon vit, elle réagit et parvint à me faire durcir, ma queue à nouveau allait et venait, son cul montait et descendait, je dégorgeai du vit, une ultime bordée et mon restant de foutre dans son trou s’égailla, je lui pinçai les cuisses, elle cria et je plongeai en ses abysses une nouvelle et dernière fois…
Je déculai, elle me baisa et s’en fut faire une toilette…
Ma femme et le Comte forniquaient, mêlés à l’autre couple, Françoise caressait les fesses nerveuses de l’autre homme qui prenait sa femme en cul, sans doute inspiré par notre chevauchée fantastique avec Irina… Ils m’excitaient, je me branlai un peu, ma raideur revenait, ma femme et le Comte s’étant retournés, le Comte se trouvait à présent sous elle et décula de son figne pour la prendre aussitôt en chatte, il s’y engouffra et commença à aller et venir dans le beau con ouvert, tout humide, caressant ses jarretelles, la prenant fermement par en dessous…
Je vins me poster à cheval sur les fesses de mon épouse, logeai mon vit déjà fier dans son beau sillon fessier et fis aller et venir ma bite en ce beau défilé à la bien chaude chair… « En cul, mon Cher, en cul ! » me dit ma femme d’une voix mourante par-dessus son épaule… Allais-je l’enculer ? Je n’y résistai point, elle connaissait mon vice, je lui écartai les fesses, trouvai le trou carmin d’où quelque foutre encore s’échappait, le Comte l’ayant prise et bien lestée en semence crémeuse, épaisse qui engluait ses fins poils autour de l’anus.
Je pointai et glissai, le cul s’enfigna sur ma bite, et le Comte en dessous reprit vite son trot, nous réglâmes notre rythme, chevauchant de concert tous trois comme des fous… Et mon épouse ainsi, prise par les deux trous fourbissait là nos queues de fougueuse façon. L’autre homme se branlait, sans doute attendait-il que j’eus fini mon enculée et entretenait-il sa belle bandaison…De fait, je jouis très vite et remplis le culin de ma divine épouse qui, en même temps jouissait de la belle déchargée du Comte à son endroit…
Je quittai le beau cul conjugal et laissai à l’autre homme le culin convoité…Il se mit sur les fesses de Françoise et vite l’enfigna, glissant avec ivresse dans son beau trou-caca tout rempli de mon foutre et de celui du Comte, lesquels coulaient à tout va sur le velours de la bergère qui craqua sous les coups de queue et de derrières des deux hommes l’envitant…
Ils déchargèrent en mesure, leurs couilles s’agitant et de leurs vits durs toujours là pistonnant, tout mouillés de cyprine et de foutre gluant, l’on voyait les mouvements poursuivre leurs effets qui tiraient à ma femme de longs gémissements, con et cul dévoyés étaient pris bellement achevant de tanguer peu à peu doucement…
Irina était revenue, fraîche, belle, les yeux un peu cernés… Elle s’en vint caresser son époux et ma femme et l’homme qui la sodomisait…s’agenouillant pour s’aller languiner le fossé du cul de l’homme qui s’agitait au-dessus de ma femme, tout en se masturbant, les cuisses écartées, jarretelles et bas tendus… L’homme jouit, donna des coups de vits désordonnés, Françoise, ma Mie, cria, bellement empalée par deux vits à la fois joliment enfournés… Irina jouit comme une possédée, martyrisant son clitoris entre ses doigts pincé…elle cria, souffla, retomba sur les fesses de l’homme, qu’entre ses cuisses elle serra… et puis, elle resta là, pâle et reprit un frottis-frotta, collant sa chatte aux fesses du monteur, le clitoris sorti, le sexe tout écarté , elle jouit une seconde fois onanienne clitoridienne…sa cyprine coula dans le fossé de l’homme qui poursuivait sa sodomie en ma femme à petits coups ponctuels aux spasmes espacés…
La blonde épouse de l’homme s’en vint gouiner Irina qui lui tendit ses lèvres, leurs cuisses se mêlèrent, bas contre bas, jarretelles contre jarretelles, vulve à vulve, seins contre seins, bouches unies…deux vraies lesbiennes soufflantes, cherchant leur plaisir, s’épousant, entremêlant leurs toisons, clitoris dardés, petites bites qui se cherchaient en ce beau duel de chattes en folie… Le Comte quitta le con de Françoise, lâchant son foutre dans les poils…l’Aristocrate qui avait sodomisé ma femme décula de celle-ci et se vida généreusement entre ses fesses ; l’odeur des foutres, des cyprines et des suints, mêlée à celle des parfums des femmes chargeaient l’atmosphère feutrée de ce salon privé…
Un laquais s’en vint servir de la Vodka, du champagne bien frais… A notre tour, nous allâmes faire une toilette et puis revînmes trinquer… Un « en cas » serait encore servi et puis…la Fête continuerait…
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Vice Présidentielle 2012 - 3 avril
Mardi 3 avril 10 heures.
Jean-Luc file vers Vierzon, pour son meeting du soir. Ce sera la folie, plus de six mille personnes sont attendues dans une salle de quatre mille personnes ; il y pense dans le train qui l’emporte avec son équipe de campagne. Mais il ne peut s’empêcher de penser à son amante… Marine ! Il l’aime tant qu’il en est obsédé !
Il est perdu dans ses pensées :
« Ce jeu que nous devons jouer, mimant une haine féroce entre nous, ça devient de plus en plus pénible Mais ce soir, nous nous retrouverons à Orléans…. Elle intervient à Paris auprès du Medef, et va demain en Haute-Normandie. Il faut jongler, mais on arrive à se croiser quand même ! »
Son cœur bat à cette pensée, son sexe se durcit au souvenir de la nuit de Sainte Maxime. Vite, un dossier pour cacher cela à Benoit, qui est toujours assis près de lui.
Ce soir, ils prennent un risque... ils vont dans un hôtel, mais ils n’ont trouvé personne de confiance pour abriter leurs amours interdites… Il a trouvé « La Tonnellerie », un hôtel trois étoiles à Beaugency. Il a l’avantage d’être dans un endroit discret, où les photographes n’auront pas l’idée de le chercher !
Benoit toujours aussi efficace, a réservé au nom de jeune fille de sa mère. Il a dit que les clients arriveraient tard, et que moyennant un supplément, la clé doit être sur le comptoir. Et la discrétion du personne l absolue. Tout a été payé en espèces. Que dirait-on si l’on savait que lui, le chantre de la gauche pure et dure, va dormir dans une suite à plus de deux cents cinquante euros ? Sans parler du pourboire pour la discrétion…
Son portable vibre. Il le saisit vivement et voit s’afficher « meeting », le nom de code de Marine. Son cœur bondit dans sa poitrine.
« Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
- Mon amour, tu me manques !!! lui répond Marine.
- C’est aussi le cas pour moi. Nous pourrons en discuter plus tard ?
- Oh oui, tout ce que tu veux ! Tu sais comment je suis là ?
- Non, mais vous allez m’expliquer… » lui répond Jean-Luc, de façon autoritaire.
A l’autre bout du fil, Marine frissonne. Elle aime ce ton qui la met dans un fort état d’excitation. Elle sait aussi qu’il ne peut pas parler.
« Mon amour, je suis juste en boxer en dentelle, et le petit haut façon nuisette. J’allais m’habiller pour aller rencontrer la mère Parisot, et j’ai pensé à toi. Alors, je t’appelle…
- Vous avez bien fait. Si vous permettez, je vous rappelle dans quelques secondes. Laissez-moi consulter mon dossier !
- Oh oui, mon amour, fais-vite, je veux t’entendre me dire plein de cochonneries… »
Il raccroche, très fébrile. Il se lève, et fonce vers les toilettes du Tgv. Il s’enferme, et compose fébrilement le rappel de Marine. Elle décroche à la première sonnerie.
« Ma beauté ! Comme je suis heureux de t’entendre ! je ne m’y attendais pas !
- Et moi donc, tu me manques trop. J’ai hâte d’être à ce soir… Mais j’ai besoin d’un moyen de patienter.. ;
- Petite coquine, tu es une grosse vicieuse !
- Oh oui, mais tu es largement à ma hauteur sur ce plan, mon amour !
- Alors, tu es quasi nue ? »
En disant ces mots, il sent sa bite durcir encre dans son pantalon.
« Ma beauté, attend une seconde, je mets mon oreillette, je dois me mettre à l’aise, tu comprends.. ?
- Mais oui mon amour, je suppose que tu es dur comme j’aime..
- Oh oui, je vais exploser si je ne déshabille pas !
Il pose le téléphone sur la tablette, dégrafe son pantalon et active le Bluetooth de son oreillette. Il s’assied sur le couvercle des toilettes. C’est un peu glauque, mais pas moyen de faire autrement !
« Je suis à toi, ma beauté !
- Je le sais, et moi aussi, je suis à toi…. répond-elle en soufflant dans le combiné. Et j’ai très envie de toi. Je suis toute mouillée…
- Si tu voyais comme je suis raide ! Tu sais, j’ai commencé à me caresser...
- Mhummm et dire que je ne peux même pas te voir faire. J’ai glissé ma main sous la dentelle, et je titille mon petit bouton…
- Salope ! Ce soir, c’est moi qui te ferais ça ! lui dit-il de façon affectueuse. Je te dévorerai en entier !
- Oh mon amour, j’ai si envie de ta bouche sur moi... Et de ton pieu EN moi ! »
Marine, allongée sur son lit, se crasse son entre-jambes en feu. Sa main va de plus en plus vite sur cette zone si sensible…. De son coté, Jean-Luc n’est pas en reste ! Il se branle rapidement, son poignet fait de brefs mais intenses va et vient. Il sait qu’il a peu de temps. Il prend la parole, très essoufflé :
« Ma beauté, dis-moi ce que tu te fais ?
-Je me caresse comme une folle. Je viens de prendre le gros vibro noir que tu m’as offert. Il entre en entier dans ma chatte… Putain, j’ai envie de toiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
- Ma beauté, on se voit ce soir, j’ai aussi une envie de toi bien dure ! je vais gicler !!!
- Vas-y mon amour, jouis pour moi ! »
Elle accentue la force de vibration de son gode, et se ramone avec violence son antre dilaté.
Son amant accentue encore ses mouvements, et en entendant le ronronnement du gode, combiné aux râles de plaisirs de Marine, il explose. Il jouit dans sa main, tentant d’endiguer le flot laiteux. Il déchire quelques feuilles de papier toilette et s’essuie, tout en écoutant sa maitresse.
« Mon amour, je vais jouir, j’imagine que tu me baises comme une bête !... ca vient, ca vie… »
Le reste des mots est englouti par son cri de jouissance. Pour une fois qu’elle peut se lâcher vocalement, elle en profite !
Elle retombe, épuisée, mais à peine assouvie de son envie de lui. Elle lui murmure dans le téléphone :
« Mon amour, je e laisse, on m’attend pour le Medef… je t’aime ! A minuit à Beaugency ? Je serai en voiture de location.
-Oui ma beauté, je viens avec Benoit, et on sera tranquille.
- Tu es sur de l’hôtel ?
- Oui pas de soucis, on les a payés pour ça aussi.
- Merci mon amour, tu penses à tout !
- Je dois sortir des toilettes, ca cogne à la porte !
- A tout à l’heure, mon chéri... je t’aimmmmmmmmmmmmmmmmmmme !
- Moi aussi je t’aime, je pense à toi ! »
Jean-Luc finit de se rajuster, il se lave les mains, et sort, tentant d’afficher un visage neutre. Un sympathisant le regarde bizarrement :
« Ca va, Monsieur Mélenchon ?
- Oui pas de soucis, juste un petit vertige dû à la fatigue !
- Allez, vous êtes fort, on va gagner !
- Oui, on gagnera ! On va en remontrer au capitaine de pédalo ! »
Il regagne son siège sans un mot de plus, et se cale contre la fenêtre, faisant semblant de dormir. Il veut penser encore un moment à sa blonde chérie….
A suivre !
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