Les Mémoires très Libertines de Sophie
Souvenir de jeunesse
Il est bien évident que ce prénom ne vous dit rien, je m'appelle Laurent, jeune représentant de vingt cinq ans, assez beau gosse, toujours célibataire.
Aujourd'hui, je sillonne les routes enneigées du sud de la France, et décide de rendre visite à un ami de longue date, un vrai, un pur, comme on rencontre peu de nos jours.
Rémi, vingt cinq ans lui aussi, plus petit que moi, dégage une virilité hors du commun. Elodie, sa ravissante épouse, infirmière, se plaint parfois de cette débauche d'énergie.
« Il me plombe tous les soirs ce salaud, ironise-t-elle, il me faut lui trouver une maitresse. »
Je sonne à la porte vers dix huit heures. Je suis accueilli par Elodie.
« Mon dieu, s'écrie-t-elle, mais ce n’est pas vrai... Rémi, viens voir qui est là... »
Elle enroule ses bras autour de mon cou, et me prend tendrement les lèvres, sans être vue de son époux.
« Laurent, mon ami, mon frère, quelle surprise, tu bosses dans le coin ? Rentre.
- Oui, je tenais à vous dire bonjour avant de rejoindre mon hôtel.
- Quoi ? sursaute Elodie, tu es fou, tu vas coucher ici, je suis de garde ce soir, ce n’est pas grave, tu tiendras compagnie à ton copain. Et puis, il neige, c’est plus sûr que tu restes ici tranquillement…
- Non, que je réponds, je ne veux pas vous déranger.
- Tu couches ici j'ai dis, ok ? Vous devez avoir des tas de choses à vous dire tous les deux. »
Je croise le regard Rémi, et d'un coup, surgit un souvenir de l'époque ou nous avions dix huit ans.... »
Nous sommes en juillet, sur une plage déserte. On joue comme des gamins de dix ans, et ça finit souvent par une bagarre amicale. On a dépassé l'âge des pâtés de sable.
Grace à ma corpulence, je prends souvent le dessus, mais ce jour-là, il se passe un truc plutôt inattendu. Comme d'habitude, je plaque Rémi sur le sable pour le forcer à abdiquer, quand je sens sa main se glisser entre nos ventres, et se plaquer sur mon sexe. Je le fixe du regard, et là, allez savoir pourquoi, au lieu de le repousser, je soulève mon bassin, pour lui faciliter l'accès. Je suis surpris par son attitude, mais il ne s'arrête pas là.
Il écarte l'élastique de mon maillot, et en extrait mes attributs.
« Hey... mais ça va pas, dis-je, qu'est- ce qu'il t'arrive ? »
Pour seule réponse, il fait rouler mes testicules entre ses doigts, les serre légèrement, pour me faire couiner. Je me surprends à avoir une petite érection, et Rémi s'en aperçoit.
Sa main remonte sur ma bite raidie, fait coulisser le prépuce pour la décalotter. Lentement, il commence à me branler. Cette situation est tellement excitante, que je n'ose l'interrompre.
Rémi, sur de lui, ne dit pas un mot. Il sait d'après mes premiers gémissements, que je suis à sa merci.
« Salaud... tu vas me faire cracher...
- Je sais, répond-il, tu aimes hein ? Vas-y, vide- toi les couilles, on ira à l'eau après. »
Perdant toute retenue, et sans trop réfléchir à cette situation inédite, j’éjacule copieusement en lançant mon bassin en avant. Mais que m'arrive-t-il ?
Pourquoi ai-je pris tant de plaisirs dans cette masturbation imprévue ?
Une fois debout, Rémi se charge de nous ôter nos maillots. Il me prend par la queue toujours en érection, bien décalottée, et me tire sur la plage, comme on promène un chien.
« Marchons un peu », me dit-il.
Les secousses dûes à la marche font coulisser ma bite dans sa main. Je sens une nouvelle fois la sève monter en moi, je n'y tiens plus. Je pose une main sur son épaule. Rémi a compris.
Il s'arrête net. Je me mets alors à donner de violents coups de rein.
« Ah... ah.... enfoiré... tu me fais jouir.... ça fait deux fois... salaud... »
Rémi ne prend même pas la peine de se retourner. Il attend calmement que je me vide les couilles pour la seconde fois, il me les presse, comme pour en extraire les dernières gouttes.
Il me regarde enfin, un large sourire éclaire son visage.
« J'ai toujours rêvé de cet instant, sourit-il, allez, rentrons maintenant... »
Nous sommes rentrés chez nous, et nous n’en n’avons plus jamais reparlé.
Mais comment, à cette époque, ai-je pu accepter une telle relation, moi qui collectionnais les conquêtes féminines ?....
Il est minuit, et il neige toujours. C'est Rémi qui me tire de mes pensées érotiques.
« Eh, me dit-il, tu es où ? Tu rêves ? Fais passer à boire. »
Nous sommes à genoux sur le tapis, devant la cheminée, assis sur nos talons, vêtus d'un peignoir. J'ai les couilles douloureuses, la bite tendue, entièrement décalottée de m'être remémoré tout ça. Je bande si fort, qu'en me retournant pour prendre les verres, ma queue jaillit d'entre les pans du peignoir. Je me retourne confus, et croise le regard de Rémi.
« Tu rêves éveillé ? me demande-t-il. Ou un vieux souvenir peut-être ? »
Il me lance un sourire entendu. Visiblement, lui non plus n’a pas oublié…
En disant ça, et avec un naturel déconcertant, Rémi me prend la bite en main, soupèse mes bourses. Calmement, il dénoue mon peignoir, le fait glisser au sol. Une légère pression sur mon torse, et me voilà cambré en arrière, en appui sur les mains. Ma bite ne peut pas être plus offerte.
Rémi se penche, la prend en bouche, et entame une lente fellation. Je suis tétanisé, et n’ose faire aucun mouvement. Dois-je accepter ou non ? Ma queue a décidé pour moi.
Comme il y a sept ans, je ne me dérobe pas, bien au contraire, je fais des va et vient dans la bouche de mon copain en lui caressant les cheveux. Puis, je lui soulève la tête.
« Déshabille toi, lui dis-je, je veux te donner du plaisir moi aussi. »
Je ne me reconnais plus.
« Tu veux qu'on se turlute ? sourit-il, pourquoi pas ? »
Nous voilà dans une position extrême, en « 69 » en train de nous tailler une pipe. Si je suis novice, maladroit dans ma façon de faire, j'avoue que Rémi suce divinement, bien mieux que certaines de mes conquêtes féminines !
Il me gobe en entier, me fais une gorge profonde. Je me sens à l’étroit dans sa gorge, et j’en suis plus excité que jamais dans ma vie… J’essaie de ne pas être en reste, et je le pompe goulument. Je le lèche, le mordille, le lape avec une passion dont je ne me serai jamais cru capable. Nous arrivons tout les deux au point de non retour, ça se sent. Rémi donne un violent coup de rein pour dégager sa bite de ma bouche, et m'asperge le visage de son foutre visqueux.
Sûr, il a voulu m'épargner le pire….
Je veux en faire autant, mais il me ceinture avec force, pour m'empêcher de me retirer.
Je ne peux me retenir, je largue en abondance ma semence au fond de sa gorge, constate, au va et vient de sa pomme d'Adam, qu'il est en train de tout avaler, et qu'il y prend un réel plaisir. Je suis vraiment surpris de son attitude.
Il se retire lentement, et met son visage à hauteur du mien. Avec délicatesse, il lèche mes joues, mon nez, pour en ôter toute sa semence épaisse. Je suis sidéré par un tel acte, moi qui n’aie jamais osé lécher mon propre sperme sur le corps de mes amantes… Je le laisse me nettoyer comme le ferait un chat…
« Allons au lit, me propose-t-il, je veux que tu m'encules... bien profond.
- Mais Rémi… Tu es fou, je n'ai jamais fait ça... »
Soudain, on sonne à la porte. On enfile notre peignoir.
« Ouf… sauvé par le gong ! » me di-sje en soupirant de soulagement.
Rémi va ouvrir.
« Elodie...mais, comment se fait-il...
- Excuse moi chéri, dit-elle, j'ai oublié ma clé... Je ne vous ai pas dérangé au moins ? Vu la météo, on nous a proposé de rentrer plus tôt. Au fait, t'as pensé à mettre le chauffage dans la chambre de Laurent ?
- Oh merde, répond Rémi, j'ai complètement zappé, quel con.
- Ce n’est pas grave, que je dis, je coucherai sur le canapé, près de la cheminée.
- Hors de question, poursuit Elodie, et pourquoi tu ne coucherais pas avec nous... Je me ferai toute petite entre vous deux... ça me dirait assez de me faire niq... heu... réchauffer par deux beaux mâles, qu'est-ce tu en dis chéri ? »
Présenté comme ça, Rémi n'a pas trop le choix.
Quant à moi, je trouve la proposition d'Elodie très intéressante, et son regard coquin.
Ce serait dommage qu'elle attrape froid ! Une nuit pleine de bonnes surprises s’annonce, et je ne vais pas laisser passer une telle occasion !
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Les mémoires d'un moine
Les Mémoires érotiques d’un Moine
Ce récit comporte quatre parties
---Première partie---
L’Initiatrice
Je débutai mon entrée en religion à quatorze ans au Monastère de Saint-Elme, où je fus novice pendant quelques années. Je connus, pendant une très courte période de mon noviciat, les convoitises d’un vieux moine envers mon jeune cul. Mais moi, j’aimais les femmes, les femmes avant tout ! Et ce que je vais vous narrer tout au long de ces Mémoires saura, je crois, vous le prouver, s’il en était besoin. Je devins plus tard le Frère Anselme.
Mon noviciat s’écoula donc partagé entre l’étude, les travaux au Monastère, la prière et la méditation. Je fus désigné pour administrer diverses tâches et essayai de m’en acquitter au mieux de mes possibilités. C’est ainsi que je dus un jour assumer la responsabilité du petit vignoble attenant au Monastère et qui donnait un bon vin que nous devions mettre en bouteilles, étiqueter, et vendre, afin que notre Communauté ait là des revenus supplémentaires, en dehors des autres produits habituels : légumes, fruits, miel, galettes, etc…
C’est sans doute de cette époque que je gardai un goût particulier pour la vigne, les ceps, le raisin et ce Vin, sang du Seigneur, dont je n’abusais point, mais qui me procurait un réel plaisir gustatif en plus de celui que j’avais à déguster les femmes, les deux se complétant fort bien. Mais ceci ne m’empêcha jamais de suivre mes convictions religieuses, de servir Dieu, d’aider, mais avec toutefois à côté un penchant tout épicurien pour les choses terrestres qu’elles fussent alimentaires comme charnelles…
A dix-huit ans, ma maturité se fit jour, j’étais homme et bien homme, mais encore vierge. Je n’avais pas eu encore commerce avec la femme, pourtant ce n’était pas faute de les apercevoir dans les jardins et potagers du Monastère quand elles venaient, ces belles Dames, acheter poireaux et pommes de terre, courgettes, concombres et autres cucurbitacées ; elles étaient parfumées, ces Dames, légères, coquettes, portant de belles toilettes, avec de petits rires, la taille bien prise et l’œil luisant.
Je devins l’Amant de la Mère Supérieure du Couvent qui se trouvait à quelques centaines de longueurs de vits du Monastère ; une femme belle, d’une bonne quarantaine d’années mon aînée et nous nous aimâmes dans le secret le plus parfait, une relation de chair certes, mais aussi spirituelle, intellectuelle, ma jeunesse faisant le reste. Elle fut donc mon initiatrice, ma découverte, mon épanouissement, l’Amour me fut révélé, à moi, le Frère Anselme sensé être voué à la chose religieuse !
Le corps réclamait son dû et les sens aussi, mais l’esprit, lui, restait tout dévoué et sans fausseté à la religion ; seulement, voilà, quand le corps réclame, le faire taire n’a jamais été salutaire pour la santé, je laissai donc parler mes charnelles passions et m’adonnai sans compter à mes forniqueries et n’en fus que plus libre et disponible après pour prêcher, prier et accomplir mes vœux.
La Mère Supérieure se nommait Marie-Anne, elle me venait visiter en catimini, trouvant quelque prétexte pour déchiffrer quelques vieux grimoires, parler de théologie, décider de quelque achat, bref, j’appréciais d’autant plus sa féminine compagnie qu’elle savait se montrer avec le jeune que j’étais, une Maîtresse avisée, une Prêtresse de mes sens, une meneuse ès coquineries… Elle m’a tout appris. Loin d’être triste et renfrognée, pâle et défaite, elle laissait parler en elle ses penchants amoureux, religieuse certes, mais aussi Amante discrète, attachante, caresseuse, charmeuse…
Parfois, lorsqu’elle approchait de ma cellule, je me tenais derrière les barreaux de celle-ci, anatomie en évidence, dressée, en insolence et là, rapidement, elle passait une main entre deux tiges de fer pour venir saisir la mienne, de chair celle-là, bien vivante, juteuse, palpitante, arrogante attendant la caresse furtive de cette longue main… Il s’en suivait une courte branlerie qui me mettait bien aise et puis, elle entrait dans ma cellule, pareille à un courant d’air, se dévêtait, ne gardant que ses bas noirs et ses jarretières et aussi son voile.
Là, je la caressais, la savourais, goûtant à ses muscs intimes de femelle divine et quand elle avait couru un peu ou avait simplement pressé le pas, les odeurs intimes entre ses cuisses me ravissaient, une fine sueur perlait, mouillait à peine les fins poils bruns frisés, parsemés de quelques fils blancs qui paraient son joli con ; alors, je la mangeais toute, gloutonnement, m’en repaissais, gobais littéralement sa moulette, introduisant ma langue fureteuse en son sexe humide au rose corail satiné… elle jouissait à petit cris légers qu’elle étouffait sous son voile et se laissait ainsi fureter par son jeune Amant…
Puis, elle me fellait, bien attentive à mon plaisir, ne me quittant pas des yeux, pelotinant mes couillines rondes et pleines de bon jus, tutoyant mon jeune anus à la corolle fine qui, bien qu’elle fût forcée quelques fois par le vieux Moine débauché, n’en gardait pas moins sa fermeté, son œil plissé rose et ardent… Son long médius alors me pénétrait, allait et venait en mon jeune culin, me sodomisant, mais là de noble et belle façon, celle que j’aimais… Je déjutais dans sa bouche, elle avalait ma gourmandeuse sève – « sa gourmandise préférée », me disait-elle ! – suçait son médius au bon goût de cul jeune et satineux et me prenait aussitôt en bouche pour que l’on partageât pleinement foutre, odeur de phallus et humeurs culines sur son médius parfumé.
Parfois, je me hasardais à la prendre en cul, sur le bord de ma couchette et là, j’étais aux Anges, il me poussait des ailes, je la prenais aux pleins fonds de son escarcelle, elle tanguait, se laissant enviter, jusqu’à ce que je l’inondasse de ma foutrine impétueuse, lave sulfureuse aux blancs remous… Elle essuyait d’une serviette (que je gardais précautionneusement par devers moi, pour la mieux humer pendant des jours avant qu’elle ne revinsse me voir !), son odeur m’excitait et je bandais et devais me satisfaire en solitaire sur ma couche, le soir venu, branlant mon brandon de chair jusqu’à ce que je déchargeasse…J’ai souvent usé de ma main, mon vit aurait-il pu seulement compter le nombre de mes branlis depuis que j’étais tout petit et par le sexe torturé ?! Car, j’aimais la masturbation, la liberté de ma main sur ma chair…
Je lus très tôt des livres interdits avec de belles descriptions qui me faisaient bander, parfois avec de vieilles images érotiques accompagnant les textes ; je tirais mon foutre à grandes branles qui m’épuisaient et me laissaient hagard, haletant, mais satisfait… Ces vieux livres étaient rangés dans une vieille malle dans le grenier de mes parents. Ce furent mes premiers apprentissages du sexe et je découvris ainsi toutes les exigences de ma nature, profondément attirée par l’érotisme, le libertinage et la recherche des plaisirs.
Avec Marie-Anne, nous prenions bien garde d’être vus et gardions notre « relation » bien secrète, ce qui n’en donnait que plus de plaisir, de désir, de frémissements intimes… J’écrivais des poèmes sur nous deux que je gardais bien cachés et lorsque bien apaisés et sevrés de caresses, nous les lisions parfois à deux… cela nous excitait, mes descriptions coquines nous redonnant de l’ardeur… Elle me disait alors :
« Quand je serai seule ce soir au Couvent, je me caresserai, mon jeune Amour… » et ces mots m’enflammaient à l’idée que l’on pût penser à moi, une telle femme…
Je l’aimais.
Je savais cependant qu’elle avait eu une relation plus qu’intime avec une Sœur, elle me confia que les femmes ne lui déplaisaient point et que, de temps en temps, elle aimait à y goûter avec un appétit non dissimulé ; elle me conta même un jour, par le menu, ce qu’elles faisaient toutes les deux, folles d’ivresses saphiques, gourmandes, licheuses, vouées aux démons de Lesbos… Je n’étais point jaloux, au contraire, cela m’excitait et je ne l’en aimais que plus encore, étreignant à travers elle, le corps anonyme de quelque belle religieuse lesbienne…
Je me disais, elle a baissé et sucé ces seins, sa langue a pénétré ce beau vagin, elle se sont engouinées, peut-être même ont-elles consommé leurs vices à l’aide de quelque cierge à la chaude cire qui pénétra leur conin avec délice, ce beau membre blanc entre leurs cuisses s’allant et venant et puis, elles le léchaient, le cachaient ensuite sous leur matelas pour la suite, demain, après-demain, la nuit suivante… Des Religieuses n’en sont pas moins femmes et le manque de sexe, le cloisonnement, la proximité des chairs, la vie en communauté poussaient souvent à se donner du plaisir, soit qu’il fût solitaire, soit qu’on le partageât avec quelque complice féminine ou même avec un jeune…Moine ! L’habit n’ayant rien à voir dans tout cela. Moine j’étais, mais Amoureux, je vivais !
Marianne me confia quelques-unes de leurs folies de femmes seules, sans homme, mais avec des désirs légitimes de fornication qui les hantaient jours et nuits… Elle me conta comment, elles eurent l’occasion de se procurer –je ne sais comment !- un beau godemichet, de belle taille (peut-être par l’entremise à l’extérieur de quelque coquine de leur famille ?), toujours est-il qu’elles en usèrent sans modération, à chaque fois qu’il leur était donné de se retrouver seules, à l’abri de tous regards, en la cellule de l’une ou de l’autre… Alors, elles se montaient, me disaient Marie-Anne, Tribades déchaînées étouffant leurs cris, leurs râles, l’une jouant le rôle du mâle et l’autre soumise recevant l’envitée promise à toutes les joies…
Les murs du couvent étaient épais, sourds, calfeutrés, mais néanmoins parfois, certains bruits sourdaient d’une cellule à l’autre, des petits bruits furtifs, discrets, des gémissements, longs, atténués, retenus certainement : une Sœur seule ou avec une compagne, se donnant du plaisir d’une gente façon… Marie-Anne me confia que sa lesbienne complice à l’époque (elle était partie depuis) était une vaillante monteuse qui l’éreintait de ses assauts répétés, de ses caresses les plus insanes, mais si bonnes à recevoir et ensuite à redonner…
Sœur Marie-Anne aimait aussi à monter une femme, se masculinisant par ce vit intrépide dressé au bas de son ventre et se balançant tout comme le mien, raide, parfaite saillie qui ne demandait qu’à officier… Elles se mariaient alors, le beau membre d’ivoire glissé au fond du sexe de la « femme » qui le recevait, donné par son « monteur » féminin qui claquait ses fesses, la pinçait, lui murmurait des horreurs dans le cou pour l’exciter, et la mieux faire se donner toute entière à sa compagne qui la prenait… Quelles belles baiseries cela devait-il faire et comme j’aurais aimé me joindre à elles, voire même me faire enviter, une fois au moins, par l’une de ces deux Maîtresses… Connaître les ivresses d’un trio déchaîné, partageant sans compter ses caresses, jusqu’à plus soif de la chair !
Plus âgé à présent, je bande encore, mes Ami(e)s, toujours, raide comme un cerf, comme je vous l’ai conté dans le récit « Les Moniales » et que, j’espère, vous avez su apprécier… Quand je repense à Marie-Anne, cette femme de mes premiers vices, cette complice, cette dive Maîtresse de mon corps et de mon âme, je ne puis m’empêcher presque de verser une larme et mon vit dressé la réclame, bourdonne et sonne, tape mes draps, ses tocsins résonnent.
Il attend sa branlée, cyclope démentiel en dépit de son âge, il ne vieillit point, le mâtin, il dirige ma vie, il s’érige et qu’il sente une femme et le voilà sous ma bure qui se gonfle, se tend, soulève en avant ma robe, sous ma cordelière, il n’a point de repos, il est fier, il veut son cul, sa vautrée journalière…serais-je un Moine perdu ?! Marie-Anne où êtes-vous, ma Chère, vous ma Dame de fer, ma dresseuse de vit, mon flot de semence, mes belles émotions de l’adolescence ?!
J’ai eu, par la suite, vous vous en doutez, une belle conduite, le cul m’a guidé et nombre de religieuses ou autres femmes de bonne société, m’ont aimé…leur ai-je même donné des enfants (?), je ne sais, je ne les ai jamais revues pour certaines, dont le seul souci était de « coucher » avec un Moine, ressource de virilité, car privé (en principe) de toute activité charnelle…
Moi, j’ai choisi : « Je veux BAISER ! », baiser icelles, belles oiselles de lignée, celles toutes excitées par ma fricarelle, mon vitin bien élevé qui salue, puis crache en leur bénitier toute sa semencelle…elles aiment ces putines joliment se coucher sous un Moine retroussé qui se glisse en elles et les font crier, démentielles, charnelles crucifiées que je plante de mon clou et dont je me sauve à tire-d’aile, mon office fait…
Oui, j’aime les femmes, je prie après, je redeviens cet homme humble agenouillé, j’applique les recommandations de Dieu, je suis un homme de foi, mais qui aime la queue, la queue à tout va, le foutre, la semence sont là mes eaux bénites à moi, quand ne suis point en prières ou en quelque occupation requérant l’attention, j’aime mon prochain, mais aussi ma prochaine, prochaine séduction, religieuse, noble ou souveraine de quelque petit domaine châtelain où cacher nos passions ?
J’eus par la suite l’occasion d’effectuer mes bandaisons en petit comité entre gens de bonnes Maisons, aux vices à l’unisson et que nous partagions au cours de nos fredaines, dont vous lirez sans doute encore quelques versions… Ma queue est humaine, elle aime le con, le cul aussi ma foi, tout comme les tétons entre lesquels elle flamboie, se démène et larmoie à foison, de son foutre énergumène en de belles bandaisons finissant en une bouche qui la nettoie de ses autans qui demeurent en traînes sur mon gros boutillon…
C’est que je l’aime mon gros boutillon, il demande sa moisson, a ses moussons, d’abord bandant doucement, se redressant peu à peu, ensuite exigeant, dardant, pointant, mât de misaine…Ô folle queue et folles bandaisons, je brûle de mon âme jusqu’à mes…aines ! Bander de déraison !
L’âge venant, je me fais de plus en plus cochon, mais les Dames aiment cela, elles le veulent, le demandent, l’exigent, elles aiment aussi la tige, la fourbissent, se la glissent que ce soit en cul comme en con, nous sommes leurs hommes-liges, nous les honorons et ma foi, quoi de plus beau ! Marie-Anne avait un fion de belle proportion, pincé au fond du fossé d’un petit cul fripon –ô combien mignon– véritable petit tabernacle qui, à chaque fois me tentait le bougre, son œil s’écarquillant, la Belle s’étirant les fesses pour qu’il fut plus à ma portée et que je le prisse ensuite sévèrement ou au contraire tout doucement, à petite vitée, car elle aimait cela la bougresse, avait bel appétit de ces choses de fesses, ma Belle Religieuse…
Je la voulais licheuse, elle se faisait vicieuse, déchaînant mes averses, elle devenait perverse, elle me pinçait les fesses et devenait honteuse, avec une petite moue sur de si tendres lèvres que j’étais aussitôt en proie à une fièvre nous dévastant tous deux ! Je ne fus point Raspoutine, Marie-Anne n’était point de toutes les Russies quelque Tsarine, mais nous avions tous deux cette entente féline, j’étais le Lion, elle détenait le Con et moi, j’avais la Queue !
Quoi de plus merveilleux, dans une pareille union à l’eau bénite du péché, que de joyeusement forniquer avec cette belle femme mûre, à la fois très religieuse dans ses actes et ses convictions, mais aussi queuteuse, quêteuse d’amours singulières, feutrées et cachées qui donnaient tout leur suc à nos relations de chair… Je vous en parlerai souvent, car cette « première » femme, comme pour tout homme, a profondément marqué ma vie et surtout ma vie de Moine, vous le comprendrez…
A suivre...
Signé : Marquis de Chair
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Les caprices de Jessica
Pascal, richissime industriel de quarante deux ans, commence à se faire du souci.
Il attend avec impatience, comme toutes les nuits du vendredi au samedi, que Jessica, sa belle et jeune épouse brune de vingt quatre ans, rentre de son escapade nocturne.
Il accepte pleinement cette situation, ne pouvant assouvir ses multiples fantasmes.
Pascal entend des pneus crisser sur le gravier, des portières qui claquent. Il se dirige vers la fenêtre entre ouverte, écarte les rideaux. A la lueur du lampadaire, il voit sa femme, sur la pointe des pieds, pendue au cou d'un homme, en train de l'embrasser. Il voit sa main prendre celle de l'inconnu, et la glisser sous sa jupe, certainement pour se faire caresser la chatte. Mais si Pascal voit, il entend aussi.
« Arrête, dit-il, si ton mari nous voit, tu t'es pas assez fait niquer cette nuit ? Tu es ivre en plus.
-Tiens, sourit Jessica, tu ne disais pas ça quand je te suçais, salaud... Je m'ennuie terriblement dans mon couple, tu comprends ? Allez, bisous. On s'appelle... »
Sans bruit, Jessica prend une douche, se glisse dans le lit, et se blottit dans les bras de son mari.
« Alors ma chérie, dit-il, as-tu passé une bonne nuit, tu sais que je suis inquiet. J'ai toujours peur qu'on te drogue, ou que tu prennes un mauvais coup…
- Oh mon amour, mais des coups, j'en prends... ils sont tous bons tu sais. Cette nuit, je suis tombée sur un mec qui m'a amenée dans un club d'échangisme, oh putain qu'est- ce que je me suis fait mettre, si tu savais…. J’en ai pris partout, avec des hommes, de femmes… Presque tous les clients de la boite m’ont baisée !
- Tu as bien pris du plaisir.. J’aimerai tant que ce soit avec moi. Dis, tu m’emmèneras un jour ? J’ai envie de te voir ainsi baisée, léchée, enculée…
- Si tu es sage, on le fera. Mais tu devras regarder sans protester. En auras-tu le courage ?
- Je ne sais pas, je t’aime tant, ma chérie… » soupire-t-il résigné.
Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre, et Pascal ne peut que faire la grimace quand il sent l’odeur prononcée de sperme qui émane de sa chère épouse…
Cette semaine, Jessica a décidé de la jouer calme. Elle passe ses après-midi sur son transat au bord de la piscine, entièrement nue. Mais ce rythme de vie ne correspond pas au tempérament de feu de la jeune femme, créatrices d'activités érotiques. Elle a trop envie de sexe, de baises hard et hors normes.
« Allo...Valérie ? Que fais-tu ma chérie, rien ? Passe me voir... On jouera si tu veux. J'ai prévu des trucs intéressants...Ok, je t’attends... »
Valérie est une superbe blonde de vingt huit ans, bête de sexe, pleine de vitalité. Seule Jessica parvient à la maitriser. Elle arrive, nue sous son paréo. Les deux femmes se donnent un tendre baiser sur les lèvres.
-Quitte moi cette chose horrible, dit Jessica, et allonge-toi… »
Très vite les mains caressent les parties intimes. Les jambes s'ouvrent. Naturellement, elles se couchent en 69, pour mieux dévorer l’intimité de l’autre… C'est à celle qui gémira le plus fort, la chatte qui mouillera le plus. Leurs langues s’activent l’une sur l’autre, elles se lèchent à fond, savourant la cyprine l’une de l’autre…
« Alors, dit Jessica, l’ai mystérieux, il va choisir qui aujourd’hui ?
- La plus salope, répond Valérie, je parie que c'est toi, répond son amie qui a tout à fait compris de qui il s’agissait…
- On va voir, poursuit Jessica, ferme les yeux. 1, 2, 3, Rex...Viens ici mon chéri. »
Surgit alors de derrière une haie, un superbe doberman noir, oreilles dressées. Il s'approche des deux copines, renifle, sa queue fine, longue et rouge sort internement de son fourreau de poils. Il plonge sans hésiter sa tête entre les cuisses de Valérie. Visiblement, c’est un habitué de la chose !
« Oh non, souffle Valérie, c'est encore moi qui vais me le faire mettre ! Il doit préférer les blondes, ce salaud ! »
Le chien lèche la fente humide, ouvre les lèvres, et pénètre la chatte avec son organe si souple et si râpeux à la fois….
« Vas-y mon mâle, sourit Jessica, bouffe la. Après, je vais t'aider à la niquer en levrette ! »
Valérie se tord sous la caresse animale. La langue du chien va jusqu’au fond de son vagin. La sensation est intense, et elle jouit une nouvelle fois sous l’assaut lingual.
Dans la foulée, après ce premier et violent orgasme, Valérie se met à quatre pattes.
Jessica pose une serviette sur le dos de Valérie pour éviter les griffures. Elle saisit la bite de Rex, et la rapproche de la fente de Valérie.
« Hum...quelle bite mon chien... qui c'est qui va se régaler, hein ? »
Le mâle canin, dressé pour se genre d'activité, pénètre lentement l'antre chaud et humide. Même si elle a l'habitude, Valérie ne peut s'empêcher de pousser un cri.
« Ah, le salaud... comme il me nique à fond ! Jessica, ma chérie doigte moi le clito... oh ouiiiiii... »
Soudain, Rex passe une patte par dessus le dos de Valérie, pour se trouver cul à cul avec elle.
Le spectacle est ahurissant. Jessica voit la longue bite rouge coulisser dans la chatte de son amie. Celle-ci râle de plus en plus, le visage dégoulinant de sueur. Jessica doigte son maie, et se branle furieusement le clito, tant elle est excitée par ce spectacle... Elle finit par s’enfourner quatre doigts dans sa chatte avide et trempée. Elle les agite frénétiquement et arrive à jouir en imaginant que e sera elle, la suivante…
Le chien arrête subitement ses va et vient et s'immobilise. Valérie se met à hurler.
« Oh non... l'enfoiré, pas ça... il se vide les couilles ! Enlève-le... s'il te plait... »
Jessica est prise de court. Il est vrai, qu'habituellement, le chien se retire de lui-même.
L'éjaculation parait interminable pour Valérie, qui malgré tout, parvient à avoir un deuxième orgasme. Rex, satisfait, se retire enfin, et se lèche la bite décalottée.
Jessica prend Valérie dans ses bras pour la consoler de cet imprévu.
« C'est fini ma chérie, allons nous baigner, ça te calmera.
-Tu t'es régalée de me voir me faire niquer par ton chien, de me voir jouir... hein... polissonne. Tu as prévu quoi maintenant ?
- Viens voir, dit Jessica, je vais te montrer un truc. »
Elles plongent dans la piscine, se rafraichir le corps et les esprits. Mais elles ne peuvent se retenir, et s’embrassent, se caressent mutuellement leur clitos hyper bandés… Jessica n’en peut plus, et se hisse sur le bord du bassin, dans un angle. Elle ouvre grand ses jambes… Valérie, restée dans la piscine, s’avance et se jette sur la fleur dévastée par le quasi fist. Elle dévore avec appétit ces lèvres dégoulinantes qu’elle aime tant… Jessica jouit enfin sous les caresses intenses de son amante…
Après un bref rinçage, les deux femmes, nues, courent vers une haie, se jettent à plat ventre sur le gazon. Jessica sait très bien ce qu’il s passe, tous les après-midi, chez son voisin… Devant elles, se déroule un spectacle hallucinant.
Deux ados, nus, un rouquin et un blond jouent sur le gazon en riant aux éclats. Ils ont le corps complètement imberbe. Même leurs attributs sont dépourvus de pilosité. Il est évident qu'ils cherchent à attraper le point sensible qui paralysera l'autre.
A ce jeu, le rouquin semble supérieur, plus vicieux, et immobilise son adversaire, en lui prenant les testicules.
« Tu connais la règle, sourit-il. Allez, tu dois me tailler une pipe maintenant ! »
Le jeune rouquin se met debout, le blondinet à genoux devant lui. Il saisit la bite en érection, décalottée, l'avale et commence à la sucer. Au bout de dix minutes, le rouquin enfonce sa bite au fond de la gorge de son copain.
« Ah ah.... suce salaud... tu me fais cracher... ah ah,.... vas-y... avale ! »
Le jeune blondinet se retire enfin, essuie le sperme qui coule de ses lèvres. Le jeune rouquin passe derrière lui, s'accroupit. Il passe ses mains autour de la taille, caresse les mamelons, le torse, les couilles puis la queue tendue qu'il commence à branler.
Le jeune ado blond se tord le cou pour recevoir un baiser. Là aussi, il ne faut pas attendre longtemps pour voir les jets de sperme jaillir de la bite du jeune blond.
Les deux ados se donnent un fougueux baiser, et s'en vont, sans se douter que deux belles jeunes femmes très excitées les regardaient…
Elles ne peuvent pas en rester là….
La main de Valérie caresse le dos de Jessica, parcours l'échine jusqu'aux creux des reins. Celle-ci se cambre, se soulève en prenant appuie sur ses genoux pour mieux tendre sa croupe. Le pouce de Valérie parcours la fente, ouvre les lèvres, excite le clitoris.
« Mhum... salope... qu'est-ce que tu fais à ma petite chatte ? Tu la branles... c'est bon, ma chérie.
-Tu aimes, sourit Valérie. Tiens, on a de la visite, Rex, approche mon chien, viens voir ta maitresse comme elle est belle... Tu vois comme je lui gratte la chatte, je vais bien la faire mouiller... Tu pourras bien la niquer après…. »
Jessica se tourne, et se met en levrette, dans la position de la femelle soumise… C'est au tour de Valérie de saisir la bite du chien et la guider vers la chatte trempée son amie.
« Tu es trop haut mon chien, dit Valérie, descend un peu... Mais non, tu es trop haut, je te dis... Ah d'accord, tu veux lui prendre le petit trou ! Comme tu veux, pourquoi pas ?
- Oh oui, laisse-le m’enculer… J’ai trop envie de ça ! »
Sans difficulté apparente, le doberman pénètre le petit trou de Jessica.
« Aaaaah, gémit-elle, tu es fou mon chien...Tu m'encules àfond, salaud... tu encules ta maitresse ! »
Valérie, tenant à participer, viens s'asseoir, jambes écartées, devant le visage de Jessica. Elle lui maintient la tête entre ses cuisses, écarte ses lèvres intimes. Jessica se fait labourer les reins, et mange avec application la chatte baveuse de sa maitresse du jour…
Pendant dix minutes, le doberman lime le cul de sa maitresse, avant de vider son abondante semence au fond de ses entrailles.
« Tu vas me le payer, bafouille-t-elle, cash petite garce, tu vas t'en rappeler...
- C'est ça, sourit Valérie, en attendant, tu te calmes, allez bouffe moi la cramouille ! »
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Le suédois et moi
Mon papa chéri a fêté son anniversaire, je tairai son âge pour ne pas le froisser, ni moi d’ailleurs. Nous avons donc organisé une fête, pas grandiose mais à la hauteur de l’événement, dans la maison familiale avec une cinquantaine d’invités sur le week-end.
Parmi ces amis venus participer à cette fête, un couple d’amis de Suède a fait le déplacement. Même si mes parents étaient restés en contact avec ces scandinaves, je ne les avais pas revus depuis une dizaine d’années. Nous avions l’habitude à une époque de nous rendre là-bas, ou qu’ils viennent en France, mais depuis dix ans, je n’avais pas eu l’occasion d’accompagner mes parents.
Ce couple avait un fils de six ans mon cadet. J’avais dix-sept ans la dernière fois que je l’ai vu et lui en avait onze. Il m’indifférait un peu à l’époque. Mignon petit garçon, j’avoue que je ne lui portais que peu d'intérêt. Profitant de l’occasion pour visiter un peu la France, il avait fait le voyage avec ses parents. Je me souvenais d’un petit garçon un peu chétif, voire frêle qui me regardait avec de grand yeux et me collait aux baskets lorsque nous étions réunis. Je le considérais un peu comme un petit frère pot de colle.
A leur arrivée, je salue donc les parents et reste bouche bée à la vue de ce jeune homme que je découvrais. Le petit garçon maigrichon de mes souvenirs s'était métamorphosé en une espèce de bombe sexuelle, un apollon des temps modernes, blond aux yeux bleus, d’un mètre quatre-vingt dix, les épaules larges, engoncé dans une chemise qu’il avait dû garder du temps de son enfance et qui révélait une musculature impressionnante. Je remarque alors que lui non plus n’ose pas bouger en me regardant. Allons nous nous sauter dessus de suite, nous embrasser……….. Je dois avouer que je ressens alors un certain émoi, que je m’efforce de cacher. Mais je ne suis pas certaine qu’il n'en a pas senti les signes. Je l’embrasse alors en lui disant qu’il avait bien changé.
L’apéritif dînatoire battant son plein, je m’approche de lui pour entamer la conversation. Dans un mélange d’anglais et de français, je comprends qu’il avait pratiqué pas mal de sport pendant ces années, devenant un bon jouer de hockey et un nageur visiblement émérite. Je ne peux pas m’empêcher de le complimenter sur son physique impressionnant, compliments qu’il s’empresse de me retourner. Tout au long de l’après midi, entre les danses, les jeux organisés, les discutions familiales, nous nous observons et je ne peux m’empêcher de penser à lui dans des positions plus qu’équivoques et dignes d’un film visible uniquement le premier samedi du mois à partir de minuit sur une chaîne cryptée.
Le soir pointe son nez et nous continuons les festivités. Nous discutons à nouveau et après l’avoir quitté, je me consacre à mes parents.
Au bout d’une grosse demi-heure, l’envie me prend de me retrouver un peu seule, saoulée de cette cohue, et je décide d’aller m’isoler près de la piscine. La maison implantée dans un grand jardin, est agrémentée d’une piscine couverte. Cette couverture amovible permet d’isoler la piscine des regards et intrusions extérieures. Une série de stores obstrue les espaces vitrés et une sorte de sas, comme un vestiaire, peut être fermé à clé. Je décide de m’y rendre, accompagnée d'un jouet utile à mes jeux solitaires.
J’ai envie de m’amuser un peu, les pieds dans l’eau. Dans ce petit vestiaire, je me mets nue. Je me saisissant de mon gode, je passe le muret séparatif. Je m’avance alors pour me rendre au bord de la piscine, en tenue d’Ève. C’est alors qu’un corps sculptural sort de l’eau. Je reconnais ce jeune homme de 21 ans aujourd’hui avec qui j’avais discuté pendant quelques heures dans la journée. Le voilà tel Poséidon, Dieu marin, devant moi, dans le plus simple appareil.
Nous restons figés l’un en face de l’autre, notre nudité nous éclatant au visage. Mes yeux se fixent alors sur son anatomie que je vois irrésistiblement se dresser et plus il se raidit, plus il me semble d’une taille plus que respectable. Mon regard quitte cette vision de rêve pour me fixer sur ses yeux et je découvre qu’ils étaient eux mêmes fixés sur cet objet que je serrais inconsciemment dans ma main. Saisissant l’embarras de la situation, je couvre de mes mains mes parties intimes. Une main sur ''l’origine du monde'', la seconde sur mes seins. Le jouet se retrouve alors juste au niveau de mes lèvres. Réalisant le symbole, je lâche l’objet. Lui, réalisant aussi sa nudité cache ses attributs et prend le large en courant pour plonger là où la piscine se faisait plus profonde. Je plonge pour me cacher aussi.
Se confondant d’excuses de cette présence dans la piscine de ses hôtes dans le plus simple appareil, il m’explique en balbutiant qu’il avait eu envie de nager mais qu’ayant oublier de s’équiper de ses accessoires de baignade, il pensait que l’isolement du lieu et la relative fraîcheur de la soirée le préserverait d’une éventuelle surprise. C’était sans compter sur la petite Miss K, qui, sans le vouloir se retrouve toujours là où il ne faut pas (ou justement là où il le faut!!!!!!). Je le rassure alors, lui disant que ce n’était pas grave et que c’était à moi de m’excuser. Irrésistiblement, nous nous rapprochons. Je joue les ingénues.
Gênée au départ de la situation, j’entrevois maintenant tous les avantages que je peux en tirer. Tout proches l’un de l’autre, nos regards se croisent. Nos mots se font plus légers et il m’avoue avoir toujours eu des sentiments pour moi et avoir souvent rêvé de nous deux dans des positions inavouables. Je le remercie d’un air gêné de l’intérêt porté à ma personne. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes épaules et m’embrasse. Je le repousse, lui disant que ce n’est pas bien et me retourne dos à lui. Mon attitude est suffisamment ferme pour lui faire comprendre que je ne suis pas une fille facile mais pas trop non plus pour lui faire comprendre que je ne suis pas fermée à ce qu’il continue.
Il se colle alors derrière moi, m’enlaçant, son sexe tendu caresse mon dos. Ses mains courent sur mon corps, mes seins, mon intimité. Ses mains douces commencent à m'électriser. Mes seins se tendent rapidement.
Me retournant face à lui, il me prend alors par les hanches pour me poser sur la margelle de la piscine, assise les pieds dans l’eau, et commence à me prodiguer un cunnilingus des plus réussis. Je rends alors compte que le petit garçon était devenu un jeune homme visiblement plein d’expérience en la matière. Ses lèvres, sa langue, ses doigts se succèdent alors sur mes lèvres, mon clito, ma chair intime. Je sens sa langue me pénétrer comme un sexe. Ses doigts qui me fouillent me cambrent de plaisir. C’est un véritable délice.
Cambrée an arrière, je pose mes pieds sur ses épaules larges et je m'abandonne à ces traitements. Il est si doué que ma jouissance ne tarde pas à trahir le plaisir qu'il me procure. Il s'enhardit alors et me dévore de plus belle, récoltant ma cyprine si convoitée. Au bout d'un moment, il me redresse, pose ses mains sur mes fesses et me soulève littéralement, sans difficulté. Je me retrouve à 1m90 du sol, les jambes sur ses épaules et sa tête entre mes cuisses. Il me lèche encore, ses mains agrippées à mes fesses. Je suis dans ses mains comme une plume dans le vent. Tout à coup, l’équilibre me quitte et je me retrouve au fond de la piscine.
Au sortir de l’eau, je vois mon Jonas s’asseoir sur le rebord de la piscine. Une fois en place, il me montre du doigt son sexe bandé pour me signifier en souriant que c’était à mon tour de m’occuper de lui. Je ne me fais pas prier et m’engage dans une fellation dont j’ai le secret. Je l’entends gémir, me disant en anglais que je suis une sacrée suceuse, m’encourageant à continuer. D’autres mots que je ne connaissais pas, certainement dans sa langue natale, ne me semblant pas être des noms de fleurs.
Ma langue tourne avidement autour de son gland de bonne taille. Je m'amuse à le tapoter sur ma langue en le regardant dans les yeux, souriant de le voir apprécier. Je lis dans son regard qu'il réalise les rêves qu'il faisait dans son adolescence et qu'il y prend autant de plaisir. Je ne laisse pas ses testicules en reste et commence à passer ma langue dessus, laissant son sexe posé sur mon visage. Je les gobe, les aspire, les relâche. Elles sont douces et bien dures. Il saisit son sexe et le caresse, le tapote sur mon visage. Il me demande en anglais de lécher son anus. Peu adepte de ce genre de chose, l'excitation me pousse pourtant à m'exécuter et lui faire ce plaisir. Il semble au paroxysme du plaisir.
Au bout de quelques instants, décidant qu’il était temps qu’il me prenne, il me fait comprendre que je dois m’arrêter. Il descend de son perchoir et me colle virilement à lui. Je sens sa main se poser sur mes fesses. Elle s'insinue entre mes deux lobes et me soulève. De cette main, il me suspend dans l’eau et de l’autre, saisissant son sexe, il m’empale sans ménagement. S’engage alors une série de va et vient sauvages. Il me baise alors comme un fou, semblant vouloir rattraper toutes ces années où je n’étais pour lui qu’un fantasme.
Oubliant son anglais et son français, il se lance alors dans des borborygmes dans la langue d’IKEA, dont je soupçonne la vulgarité. Je sens son sexe, devenu plus dur et plus gros qu'il ne m'avait semblé dans ma bouche, profaner mon intimité avec vigueur. Je le sens m'écarter mon vagin sans management. Je jouis une seconde fois. Il me sent me contracter et convulser sur son sexe. Souriant il redouble alors de vigueur, m'arrachant des hurlements de jouissance extrêmes. Mes bras autour de son cou, je m'affale sur lui. Mais il continue à me pilonner comme si sa vie en dépendait.
Ne me rendant pas compte que nous nous déplacions dans la piscine, je ne prends conscience du mouvement que lorsque je sens quelque chose se poser et titiller doucement mon petit trou. Pensant d'abord à son doigt, je reconnais la forme phallique de mon jouet. Je le regarde surprise, lui me sourit. Je m'appuie alors un peu plus sur ses épaules et enserre son bassin de mes cuisses, ouvrant un peu plus ma petite rose.
Avec douceur il joue de la pointe de mon gode pour la dilater lentement. Petit à petit le gode me pénètre. La brûlure se transforme en plaisir et me laissant profaner, le gode se retrouve bientôt entièrement enchâssé tout au fond de son fourreau. Une fois l’objet en place, il se concentre sur son mouvement de piston, accélérant au fur et à mesure. Ses mains accrochées à mes fesses empêchent le gode de ressortir d'un millimètre de mon petit cul.
La friction de son sexe contre le gode au travers de la paroi me procure une jouissance énorme. Provocant une troisième vague de jouissance. Il me pistonne de plus belle et, en anglais, il me dit alors que je suis vraiment une petite pute en jouissant en moi. Je sens sa verge se contracter et propulser au fond de mon vagin des jets puissants. Il râle de plaisir. Il me semble ne plus pouvoir s'arrêter. Nous restons quelques instants dans cette position en s'embrassant.
Son sexe se ramollit lentement sans quitter ma petite grotte, et il nous emmène près du bord. Il quitte alors mon corps, laissant le gode en place. Alors que je pose ma main sur le gode pour me le retirer, il me l'interdit avec véhémence mais en souriant.
Après quelques minutes de petites caresses, il pose sa main sur le gode et tout doucement me le retire. Il le présente à mes lèvres et me demande de le lécher. Je m'exécute.
Nous décidons de rejoindre la fête et de faire comme si de rien était.
Miss K.
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Gangbang et mariage SM - 2ème partie
La nuit a été courte quand sonne brutalement le réveil de ma Maitresse. Nous avons dormi deux paires d’heures après une soirée riche, bien que le thème du gang bang n’ait pas été respecté. J’en ai raconté les grandes lignes dans un récit intitulé « Gang bang chez Maitresse Olivia ».
Ma Maitresse doit aller travailler. Elle m’a autorisé à rester au lit afin de récupérer de ma soirée, et je ne tarde pas à me rendormir.
Quand je me réveille, il est déjà 10 heures. Je me précipite sous la douche et remets la maison en état. Je mets mes tous nouveaux bas rouges, mes portes jarretelles et mon string.
A la demande de ma Maitresse, je prends la direction de la galerie marchande située sur la route pour y trouver une paire de chaussures rouges. Evidemment, je vais devoir les essayer, et je me dis un peu tard que j’aurais peut-être pu éviter de mettre mes bas tout de suite.
Dès la première boutique, je tombe sur les chaussures adéquates, rouges vernies, les talons ne sont pas trop hauts. Je fais tout de même un tour de la galerie pour m’assurer qu’il n’y a pas des modèles plus sexy, et je dois me résoudre à pénétrer dans ce premier magasin.
Le problème, c’est que le magasin est quasiment vide, à l’exception de trois vendeurs et vendeuses, en train de discuter, je vous le donne en mille, à coté des chaussures en questions, et des sièges destinées à faire les essayages. Personne ne s’occupant de moi, je prends les chaussures en questions, et j’essaye la taille 39, en prenant soin de m’assoir d’un coté où les vendeurs ne me verront pas. Je trouve les chaussures un peu grandes, et je retourne au rayon chercher un 38. Mes allées et venues attirent l’attention d’une vendeuse qui vient auprès de moi me proposer ses conseils et de l’aide. Je dois alors lui montrer les chaussures de femme que je suis en train d’essayer, exposant mes pieds gainées du nylon rouge. Très professionnelle, elle n’esquissera pas un sourire, et restera parfaitement naturelle pendant cet essayage. Je n’ose imaginer les discussions qui s’en suivront, dès lors que j’aurai quitté la boutique.
Enfin bref, mission accomplie, j’ai des chaussures rouges à ma taille !
Je peux maintenant me rendre tranquillement aux caves Lechapelais, où se déroulera la cérémonie de marquage de la soumise de Maitre Caïman, suivie d’une grande soirée.
La cérémonie consiste à marquer la fesse de la soumise avec un fer rouge, dessiné en forme de Caïman. Cela se déroulera selon le rite de la rose. De plus, afin de rendre ce moment encore plus grandiose, les invités seront vêtus en costumes du 17 ou 18ème siècle, ce qui promet un joli spectacle.
J’arrive comme promis vers midi, et force est de constater que rien n’est vraiment finalisé. Il faut finir de monter la croix de Saint André, organiser les tables pour le buffet, installer le vestiaire et préparer les tickets d’entrée pour la soirée qui sera ouverte au public. Quelques amis de Maitre Caïman et de sa soumise sont déjà à pied d’œuvre, et je suis rapidement employé à diverses taches. Je vais notamment passer beaucoup de temps à préparer les tickets d’entrée, qui serviront finalement assez peu.
Les invités commencent à arriver, et pour ma part, je commence à m’inquiéter de ne pas voir Madame Isis. C’est en effet elle qui apporte mon costume de soubrette, fabriqué sur mesure pour moi. C’est ma Maitresse qui en a eu l’idée à la signature de mon contrat, elle a souhaité me voir habillé en soubrette, mais en rouge, car c’est ma couleur.
Je saute au bras de Madame Isis quand enfin je la trouve, et elle m’aide à m’habiller. Me voilà maintenant prêt à faire le service, avec deux autres soubrettes, et quelques soumis du cercle noir.
La cérémonie tarde à débuter, et j’avoue me sentir un peu seul. Tous les gens présents se connaissent et discutent entre eux. Ils ne prêtent aucune attention à une soubrette rouge et barbue, qui a certes son collier, mais pas encore de laisse. Ma Maitresse ne doit arriver que vers 21 heures. Je peux cependant admirer la beauté des convives, les femmes habillées en marquises sont resplendissantes, alors que les hommes sont tout à fait élégants dans leur costume.
La cérémonie débute enfin, et nous sommes conviés à passer dans la seconde salle, dans laquelle des bancs ont été disposés, ainsi qu’un autel placé sur une estrade. Maitre Philippe est le maitre de cérémonie, et place les hommes à gauche et les femmes à droites. Je m’installe instinctivement avec les femmes, rejoint d’ailleurs par les deux autres soubrettes travesties, qui ne se sont pas plus que moi posé la question.
Un cardinal nous explique ce qui va se passer, avec force discours plutôt humoristiques.
Les deux acteurs arrivent enfin, la soumise est superbe dans sa robe pourpre, et semble très émue.
Après la cérémonie de la rose, au cours de laquelle Maitre Caïman et sa soumise se piquent mutuellement le doigt avec une épine de rose, la soumise est intégralement déshabillée. Elle est ensuite bondagée et allongée sur l’autel à plat ventre. Elle sera ainsi totalement immobilisée, et son Maitre pourra alors la marquer au fer rouge, sans risquer une quelconque dérobade.
Le marquage est très rapide, et la soumise est chaudement félicitée par une salve d’applaudissements.
Chacun y va de son commentaire, la soumise est emmenée pour être réconfortée, et les invités sont maintenant priés d’aller se restaurer au buffet.
J’aurais voulu aider au service, mais les soumis du cercle noir ont trusté le buffet, et il n’y a guère de place pour moi. J’attends donc que tous les invités soient servis, et me décide enfin à manger un peu, afin d’être en forme quand ma Maitresse arrivera enfin.
Je suis brusquement contraint d’aller mettre un pantalon et une chemise sous ma tenue de soubrette, afin d’obéir aux ordres de Madame Isis, qui craint que je n’attrape froid dans ces caves non chauffées.
Le temps me parait interminable, ma Maitresse ma manque et je m’ennuie.
Je passe un peu de temps à admirer le Squale, qui est un Maitre incontesté du maniement des doubles fouets. J’admire son style et sa dextérité, j’admire les soumises qui subissent ses coups, avec une certaine envie. J’ai besoin qu’on s’occupe de moi, j’ai besoin qu’on me réchauffe, mais je n’ose demander à ces dominants de grande classe que je ne connais pas, d’autant plus que ma Maitresse n’est pas présente.
Je harcèle Madame Isis pour savoir à quelle heure arrivera ma Maitresse, quand soudain, elle me fait signe de la suivre dans la salle prévue pour se changer. Maitresse Olivia vient d’arriver, et je me précipite à ces pieds pour les lui baiser avec dévotion. Elle n’est pas encore dans le jeu, manifestement d’assez mauvaise humeur, et je crains le pire pour la suite. Je l’aide à s’habiller et à se maquiller, et quand elle est enfin prête, qu’elle à accroché mon collier à la laisse, je la sens parfaitement détendue. Et moi donc !
Nous descendons à la salle où discutent et jouent les invités, et je suis fier d’être trainé ainsi par Maitresse Olivia. D’ailleurs, moi qui étais transparent pendant toute la journée, je deviens visible. Ma Maitresse est manifestement connue de la majorité des invités, avec qui elle discute volontiers.
Nous croisons une dominatrice qui nous explique être assez novice dans cette pratique, et qui prend des conseils auprès de ma Maitresse. Elles discutent de mon éducation, comme si je n’étais pas là, en utilisant la plupart du temps des termes peu élogieux. Elles prennent un malin plaisir à m’humilier, mais pour l’instant, rien ne peut atteindre mon moral, car j’ai enfin retrouvé ma Maitresse, et elle me tient en laisse. Je suis sa chose, et c’est tout ce qui compte pour moi.
Nous changeons de salle, et ma Maitresse imagine comment elle va pouvoir s’amuser avec moi. Elle trouve un carcan dans lequel elle pourra emprisonner mes mains et ma tête, pendant que j’aurai les fesses totalement à sa merci.
Elle se lance dans une démonstration de cravache, fessées et martinets. Les coups pleuvent, les instruments changent, mes fesses rougissent. J’adore les moments où les lanières des martinets caressent mon dos et mes fesses et je trouve cet instrument très sensuel quand il est utilisé ainsi.
J’aime moins quand les mêmes martinets s’abattent violemment en séries de 5 coups, portés à pleine puissance par ma Maitresse, mais j’arrive tant bien que mal à étouffer mes cris. Pour les cravaches, la douleur est plus vive, et j’ai plus de mal à ne pas crier, mais je veux me montrer digne de ma Maitresse.
La séance va durer de longues minutes, et il m’est absolument impossible de vous en donner le décompte. Je me suis enfermé dans ma bulle, j’ai eu l’impression que cela a duré une éternité. Quand ma Maitresse me détache, j’ai du mal à tenir debout sur mes jambes, et je mets un peu de temps à atterrir. Mais il serait difficile de masquer le plaisir que j’ai pris, tant mon sourire est éloquent.
Après une pause au bar, ma Maitresse trouve une place auprès d’un masseur. Moi qui suis parfaitement nul en massage, je vais tenter d’observer ses gestes, afin d’apprendre. Mais il s’agit d’un spécialiste, et ceux-ci seront difficiles à reproduire. En tout état de cause, il fait beaucoup de bien à Maitresse Olivia, qui s’abandonne à ces massages. Je suis un peu jaloux de la voir si heureuse entre les mains d’un autre, alors que je devrais simplement être content pour elle.
Après ce moment de détente pour elle, nous retournons au bar, où ma Maitresse discute à nouveau avec quelques invités. Elle a admiré la dextérité de Maitre Patrick, un grand spécialiste du bondage et de la suspension, et elle me propose, s’il accepte, qu’il exerce son art sur moi. Je suis totalement ravi de tenter cette nouvelle expérience, et je peux vous assurer, cher lecteur, que ce moment restera gravé à jamais dans ma mémoire, et m’aura permis d’oublier tous les moments de solitude que j’ai vécu aujourd’hui.
Maitre Patrick avait rangé ses cordes, mais il accepte de ressortir son attirail pour moi. Ma Maitresse lui demande de me suspendre dans une position où elle pourra jouer avec moi, où je serai à sa disposition.
Je me déshabille, ne conservant que mes sous-vêtements et me présente devant lui. Je me sens en confiance devant ce Maitre, qui fait tout pour diminuer mon stress. Je le vois réfléchir longuement à la manière dont il va me suspendre, étant entendu qu’il ne pratique jamais sur les hommes, et qu’il ne fait jamais le même ouvrage.
Il commence par entourer mon torse de cordes, s’arrangeant à laisser libres mes tétons, ma Maitresse ayant la ferme intention d’y accrocher les pinces à seins qui me font si mal. Un de ses amis arrive sur ces entrefaites avec un bambou, qui va servir à me suspendre. Il l’attache dernière mes épaules, et me montre que je pourrais m’en servir pour reposer mes bras. Le bambou est maintenant accroché au portique, et Maitre Patrick me pousse en arrière afin de me faire sentir que je suis déjà à moitié suspendu. Je peux totalement me relâcher et me détendre, je ne pourrai plus tomber.
Il enroule maintenant des cordes autours de mes cuisses, qu’il accroche au portique. Je me retrouve dorénavant accroché à quelques centimètres du sol, les jambes écartées de manière obscène.
Il va continuer à tirer sur les cordes, les unes après les autres, et brusquement, il me bascule vers l’avant. Je ne sais pas bien comment décrire cette position, que je vis de l’intérieur, et dont je ne peux voir le résultat. J’ai les fesses qui sont maintenant plus haut que la tête, les jambes outrageusement écartées, les bras accrochés au bambou.
Cette sensation nouvelle est tout à fait indescriptible, et me procure un grand bien être. Je ne sens plus mon poids, j’ai l’impression d’être en apesanteur, de voler, sans ressentir la moindre douleur. Quel bonheur !
Maitre Patrick, qui a été très proche de moi pendant tout le travail de suspension, afin de vérifier que les cordes étaient bien positionnées et ne risquaient pas de me couper la circulation, me laisse entre les mains de ma Maitresse.
Maitresse Olivia commence par se pencher vers moi pour m’embrasser langoureusement, se qui augmente encore mon plaisir. Elle accroche ensuite les pinces sur mes tétons encore sensibles de la veille. Elle me montre maintenant ses mains, me demandant de choisir l’une ou l’autre. Quand je lui propose la gauche, je sens bien que cela ne lui convient pas, elle me demande donc si je parle de la sienne ou de la mienne. Mauvaise réponse, je choisis la main qui contenait le poids le plus lourd. Heureusement, elle ne retrouvera pas son petit frère, et ce sont finalement les petits poids qu’elle accroche au bout des pinces.
J’ai maintenant les yeux fermés, je m’enferme dans ma bulle, totalement à l’écoute de mon corps, de mes sensations.
Quelques coups de cravache ou de martinet pour réveiller mes sens, et je l’entends jouer du briquet. Je ne suis donc pas surpris lorsque je sens les premières coulures de cire chaude bruler mon dos et mes fesses. Je donnerais cher pour admirer les dessins que ma Maitresse effectue sur mon corps immobilisé. Quelques gouttes de cire sur mes fesses rougies par le martinet m’arrachent un souffle de douleur, mais globalement, je commence à perdre pied mentalement, à vivre un moment du plaisir indescriptible.
Ma Maitresse semble contente de son ouvrage, et je l’entends à nouveau fouiller dans son sac de Mary Poppins.
Maintenant, c’est le froid qui m’assaille entre les fesses. De sa main gantée, Maitresse Olivia est en train de m’enduire l’anus de gel. Je sens ses doigts s’introduire un à un dans mon cul, deux, puis trois, et commence à gémir de plaisir.
C’est le moment que choisit une marquise soumise pour me questionner pour tenter d’en savoir plus au cas où elle se retrouverait un jour à cette même place. Je tente de lui décrire mes sensations, et en mettant des mots sur celles-ci, j’apprécie encore plus le plaisir que je ressens. Je lui explique à quel point je me sens léger, que je ne subis aucune douleur, que je ne sens même plus la douleur des pinces qui me font tant souffrir habituellement. Cette élévation me procure un bien être proche du nirvana.
Maitresse Olivia introduit ses doigts un à un dans mon cul. Elle doit s’arrêter à quatre, et elle entreprend de me baiser littéralement le cul avec sa main. Suspendu comme je le suis, mon corps entame un mouvement de balancier qui accentue le plaisir de cette sodomie. Je commence à gémir de plaisir, sous le regard de la marquise. Mon cul est totalement écartelé, mon dos balafré des coups de martinets et des coulures de cire, mes seins torturés par les pinces. Je m’abandonne totalement, je deviens le jouet de ma Maitresse et mon corps est devenu un immense réceptacle de plaisir.
Je suis au nirvana, merci ma Maitresse.
Finalement, la suspension commence à tirer sur mes bras, et Maitre Patrick préfère me descendre en douceur. Quand mon corps touche le plancher, j’ai du mal à tenir sur mes jambes, sous le poids de l’apesanteur retrouvée.
Une fois totalement libéré de mes liens, je me précipite dans les bras de ma Maitresse, pour la serrer fort dans mes bras, les yeux embués de larmes, tant l’émotion fut intense.
Je sais que je viens de vivre un grand moment dans ma vie de soumis !
La fin de soirée approche, et nous rentrons chez ma Maitresse.
Je vais passer une nouvelle nuit dans les bras de Maitresse Olivia, pour mon plus grand bonheur.
Merci Maitresse, milles mercis pour ce week-end inoubliable.
2010-02-20
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