Les Mémoires très Libertines de Sophie
Double chantage - 2ème partie
Le travail au cabinet suit son cours normal. Désormais, ce projet est bouclé et il ne me restera plus qu’à le suivre de loin jusqu’à ce que les premiers chalets soient livrés sur site en vue de l’assemblage.
En semaine, je reçois deux SMS de Sophie, le mercredi et vendredi suivant. Elle me rappelle notre nuit de folie. Oui c’était une nuit de folie dans tous les sens du terme. Folie sexuelle mais aussi folie d’avoir été infidèle à mon épouse et aux valeurs que je soutiens depuis toujours où que je croyais soutenir.
Je ne réponds pas tout de suite. D’un coté je pense à ses jambes, à son charme, à sa bouche charnue et coquine, à ses petites fesses rondes, et mon fantasme me ramène plus loin encore, à des ébats sans limites. Je voudrais bien répéter la rencontre, cette inconnue m’excite et je ne peux m’empêcher de penser à elle.
Il n’y a pas que son petit corps, facile à manipuler au lit qui me rend fou, j’ai un faible pour les femmes cultivées et sophistiquées qui se déchaînent en privé et tout semble indiquer que ma nouvelle connaissance remplit toutes ces conditions.
D’autre côté, je me dis que l’idée d’un coup sans lendemain est la bonne. Elle a eu ce qu’elle voulait d’un homme… moi en l’occurrence.
Le samedi, par correction, je lui réponds, mais sans revenir sur cette nuit que je veux à la fois oublier et retenir comme une éternelle source de fantasmes.
Elle me relance immédiatement et, compte tenu que je suis à la maison, je dois me cacher pour lire ses messages. C’est dangereux et excitant en même temps…si ma femme savait.
Le jour-même et le dimanche aussi, la chaleur atteint son paroxysme et je me branle pour la première fois depuis des années, en pensant aux cochonneries qu’elle m’écrit dans ses messages qui se font de plus en plus nombreux, parfois sans que j’aie répondu au précédent.
Quelque chose en moi me confirme que Sophie vient d’ouvrir une porte que je croyais fermée à tout jamais en me mariant. Désormais, tout est différent, ma femme, le sexe avec elle, tout en un mot…
L’échange de textos érotiques ne s’arrête guère en semaine, surtout de sa part car je ne fais que répondre d’une manière laconique et aléatoire à sa pluie de messages cochons. Elle me demande par exemple dans quelle position j’aimerais la baiser, et si j’ai fantasmé sur elle ces jours-ci, ainsi qu’un tsunami de détails torrides.
Dans mes réponses, je lui cache la vérité, poussé par je ne sais quel coup de cœur qui m’empêche d’être trop explicite dans mes SMS. Je reste discret mais je conviens en moi-même que ça me plait…au moins pour l’instant.
A chaque fois, je laisse passer un peu de temps avant de répondre en espérant être tranquille un certain temps… Hélas, rien n’y fait ! J’ai à peine répondu, que je reçois un nouveau message, ça commence à me déranger un peu.
J’aime bien cet échange coquin mais le harcèlement me dérange (il est dangereux aussi et m’oblige à avoir toujours le portable sous les yeux pour qu’il ne tombe pas entre les mains de ma femme) et je décide de fixer un rendez-vous à Sophie le vendredi en début d’après midi pour se voir et mettre les choses au clair : coté messages, il faut ralentir un coup.
Je lui propose de nous voir dans un café discret que je connais bien, en banlieue parisienne après m’être assuré qu’elle sera bien à Paris.
Le mercredi après-midi et le jeudi matin sont à peu près calmes. Je ne reçois que deux messages. Mais le jeudi en fin d’après-midi et le vendredi matin, c’est l’enfer. Je reçois une multitude de messages de Sophie qui me pourrissent la vie au bureau. Je n’arrive pas à me concentrer et faire un travail suivi au point de couper mon téléphone portable pour être tranquille.
Qu’est-ce qu’elle a cette fille ? On dirait qu’elle est complètement obsédée par le sexe. Si elle comprenait au moins le danger qu’elle représente dans ma vie si bien rangée avant notre rencontre. Les envies de la revoir et de lui « mettre un coup » comme elle désire, pour qu’elle ne m’emmerde plus sont grandissantes mais les messages continuent à pleuvoir malgré un appel où je la prie d’arrêter, en lui expliquant que cela n’a aucun sens puisqu’on va se voir dans peu.
Un dernier texto finit par lasser ma patience. Fâché et inquiet à ce sujet, je juge plus prudent d’annuler notre rendez-vous, en invoquant une réunion non prévue du comité directeur où ma présence est requise. Je coupe mon téléphone portable jusqu’au lundi matin.
Ce qui est pire encore, je pense toujours à elle et ça,… çà m’excite ! J’essaye de comprendre ce qui ne va pas chez-moi, mais inutile de s’analyser, quelque chose de très lourd est déjà en marche et je ne peux que réagir aux événements, impossibles à prévoir.
Las ! Le lundi matin, çà reprend de plus belle. Et là, ce ne sont plus simplement des SMS qui arrivent sur mon portable. Je reçois plusieurs courriels dans lesquels Sophie me relance, me fait des reproches pour avoir annulé notre rendez-vous de vendredi. Pour me tenter, elle joint même des photos d’elle nue, montrant sa vulve en gros plan et en me disant qu’elle «a faim de ma bite».
Mais cette fille est complètement dingue ! Je suis surpris qu’une femme aussi distinguée et cultivée emploie de telles méthodes, un vocabulaire si cru que j’ai du mal à croire qu’il s’agit de la même personne. Mais à nouveau, ce double jeu d’érotisme sophistiqué et de pornographie basique et vulgaire me met dans tous mes états.
Après quelques instants fous où j’ai envie de cracher ma colère en cognant le bureau de l’entreprise je finis par m’asseoir commodément pour me laisser envoûter par le charme amateur, quoique vulgaire de ses photos.
C’est marrant, j’ai beaucoup changé ces dernières semaines. Je n’étais pas aussi chaud sexuellement. Amant ardent avec Aline, je n’avais pas besoin d’entendre des mots ou des phrases à connotation sexuelle ou érotique pour nous stimuler. Nous avions su trouver une harmonie sexuelle qui nous satisfaisait pleinement…
Mais ce n’est plus le cas, au moins avec Sophie. Je voudrais en même temps, lui gifler la gueule pour la calmer et la baiser pour la contenter.
Lassé de ce harcèlement, je finis par répondre en lui disant que j’accepte un nouveau rendez-vous mais que ce sera le dernier. J’espère pouvoir la raisonner, la convaincre que notre relation n’a pas d’avenir, qu’il n’est pas question que je continue à tromper Aline. Sophie me renvoie aussitôt un nouveau message :
- D’accord, ce sera la dernière fois où nous nous verrons ! Arrange-toi pour que nous ayons deux jours pour nous. Dis à ta femme que tu es en déplacement professionnel dans la région parisienne. Je passe te chercher à ton bureau dans deux heures.
Comme presque chaque jour, je déjeune à la maison et je préviens Aline de mon absence, au moins jusqu’au lendemain soir et je prends quelques affaires de rechange que je glisse dans un petit sac.
Je suis à peine revenu au bureau que mon téléphone portable sonne, c’est Sophie :
- Je t’attends à la sortie du parking. Ne tarde pas !
Dès que je suis installé à côté d’elle, elle démarre en disant :
- On va chez moi !
Nous n’échangeons que des banalités pendant le trajet qui nous conduit au pied d’un immeuble moderne sur les hauts de Saint Cloud :
- Viens ! suis-moi ! On va discuter autour d’un verre, nous serons plus tranquilles.
- D’accord çà marche. Il faut qu’on parle. Çà me semble indispensable de dissiper un mal entendu.
Dès que nous sommes entrés, Sophie recommence le même manège qu’à l’hôtel de Strasbourg. Elle se colle à moi en passant ses bras autour de ma taille pour me presser contre son bassin et m’embrasser à pleine bouche.
Elle ondule des hanches pour me faire dresser dans mon boxer mais, je lutte mentalement contre cette manigance et parviens à me séparer d’elle, quoique ma bite soit déjà en train de durcir.
- Viens installons nous et parlons !
Sophie ne veut pas parler et revient à l’attaque en sautant sur moi pour m’embrasser. Le poids de son corps me fait basculer et je la repousse avec force, dans une réaction dont je ne me serais jamais cru capable.
- Salaud !
Elle me gifle sèchement et je reconnais mon erreur à l’instant, en lui demandant pardon. L’adrénaline m’a fait bander encore plus. Je m’installe dans un fauteuil et nous commençons à parler un verre d’alcool à la main, car nous en avons besoin pour nous calmer.
Ma compagne se détend peu à peu. Elle est en face de moi à moitié allongée sur le divan, les yeux posés sur moi, me dévorant comme si j’étais son dîner. En se calmant Sophie reprend ses airs de femme fatale en se tordant sur le divan pour mettre en valeur ses courbes pleines. Elle sait comment me mettre l’eau à la bouche.
Je ne suis pas trop à mon aise car cette coquine fait tout pour m’allumer. Son chemisier en soie beige entrouvert laisse apercevoir la naissance de ses seins dont je distingue l’aréole bistre au travers du tissu. Sa jupe un peu courte est remontée et Sophie fait crisser la soie de ses bas en frottant ses cuisses l’une contre l’autre.
Elle m’explique qu’elle me veut entièrement à elle, que je dois quitter ma femme et ma fille pour me consacrer à elle, qu’elle a enfin trouvé l’amant qui sait la combler. Bref, elle veut que je devienne son esclave sexuel, « son étalon » comme elle dit d’une manière vulgaire à un moment de la conversation.
Je n’ai jamais conçu la relation homme femme sur ce plan. Je lui dis que je suis très épris de ma femme, qu’il n’est pas question que je la quitte pour une relation sans amour, basée uniquement sur le sexe.
En même temps, je suis flatté que Sophie, avec ses dix ans de moins s’intéresse à moi, un homme tout à fait ordinaire sur le plan physique. J’ai en face de moi une femme splendide, exceptionnellement belle, élégante et raffinée dans la vie de tous les jours.
Mais c’est vrai aussi qu’elle a un côté sulfureux et tentateur que son obsession sexuelle démontre. C’est surement une croqueuse d’homme, qui prend et qui jette ensuite comme on jette un jouet cassé.
Notre discussion est rude et nos échanges vifs. Mais, j’ai cependant très envie de faire l’amour une dernière fois avec Sophie.
Elle le sent, elle le sait ! Si bien qu’elle profite d’un blanc dans nos échanges pour se lever et venir me rejoindre sur le fauteuil. Elle se met à genoux de chaque côté de mes cuisses et m’embrasse avec fougue, mêlant sa langue à la mienne dans une série de baiser enflammés.
J’oublie tout ce que j’allais dire, quelques instants auparavant je me demandais s’il valait le coup de tout risquer pour une nuit de sexe…
Dans le même temps, je remonte sa jupe et je découvre qu’elle ne porte pas de culotte. En portait t’elle une lorsque je suis monté dans sa voiture, s’en est t’elle débarrassée sans que je m’en rende compte après notre arrivée dans son appartement ? Cela m’importe peu !
Son sexe est accessible… et je m’empresse d’aller y fourrager pour en éprouver la moiteur humide pendant que Sophie part à la recherche de mon sexe en ouvrant le zip de mon pantalon.
Dès qu’elle l’a en main elle change de position et plonge sur ma bite déjà bien bandée pour l’emboucher jusqu’au fond de sa gorge. Tout en me pompant le dard, elle fait voler son chemisier et son léger soutien gorge puis elle entreprend d’achever de me mettre nu.
Dès que mon sexe est bien bandé, elle se dégage :
- Viens dans ma chambre, nous serons mieux.
Je suis quelque peu surpris du changement de ton. Sophie se fait douce et tendre alors que lors de notre nuit à Strasbourg et quelques minutes avant, elle était vive et mordante, dirigiste même. Elle semble totalement soumise, me laissant la totale initiative.
Au cours de la fin de l’après-midi et de la soirée, nous faisons l’amour plusieurs fois. A chaque fois, c’est moi qui ai eu l’initiative de la position, du rythme de la copulation jusqu’à finir par nous endormir dans les bras l’un de l’autre, repus de jouissances et de fatigue.
Au petit matin, nous restons un instant au lit en bavardant. Il faut aller bosser. Sophie ne revient pas sur la conversation de la veille et je me sens si bien que je n’ai pas envie de faire renaitre la polémique en revenant sur le sujet que je pense acquis.
On prend une douche ensemble. Elle se déchaine à nouveau en me disant qu’elle veut tout me prendre, tout me faire cracher, je bande dur malgré la nuit torride qu’on vient de passer ensemble et, au lieu de prendre en bouche ma bite comme je l’aurais voulu, elle se met de dos et frotte ses fesses contre moi, pour me laisser sur ma faim, tout excité…
Après ça je la quitte, en lui redisant que la cause était entendue, qu’il n’était plus question de nous revoir, que tout était terminé.
Mon taxi est pris dans un embouteillage comme il y en a souvent en région parisienne. Aucune échappatoire possible. Je dois prendre patience : il n’y a rien d’autre à faire.
Dès que j’arrive au bureau, j’ouvre ma boite à courriels de mon ordinateur pour voir ce qui est arrivé pendant les vingt quatre heures écoulées et prendre connaissance du suivi intranet de l’entreprise.
Je vois avec stupeur un courriel de Sophie avec des pièces jointes.
Cette salope ! Je ne peux m’empêcher de la qualifier ainsi, a filmé et photographié nos ébats… Je n’ai rien remarqué car elle doit avoir une installation sophistiquée car les vues sont prises sous différents angles.
Cette garce menace d’envoyer un DVD à mon épouse pour lui prouver que je ne suis pas le « si bon mari qu’elle croit ». Je ne réponds pas et comme son message est sans « accusé de réception », elle ne sait pas si je l’ai lu.
Le lendemain jeudi, l’enfer recommence. Sophie n’arrête pas de m’appeler sur mes deux téléphones et de m’envoyer des SMS. Comment a-t’elle eu mon numéro de ligne directe et mon adresse internet. C’est un mystère…
Pour éviter qu’elle ne mette à exécution sa menace, je réponds aussi souvent que je peux, sans cependant entrer dans son jeu.
A suivre....
Double chantage - 1ère partie
Je me nomme Renan Garit. J’ai fêté mes quarante ans il y a quelques semaines. Globalement, on peut dire que j’ai réussi ma vie professionnelle. Aussitôt après avoir obtenu mon diplôme d’architecte, j’ai été embauché pendant un an comme stagiaire dans un grand cabinet puis, devant les idées innovantes que j’apportais, le directoire du cabinet a décidé de m’embaucher définitivement. Ma femme Aline travaille aussi avec moi dans mon cabinet.
Depuis le début de l’année, je dirige une petite équipe qui met au point un grand projet de construction de chalets en bois destinés à équiper plusieurs campings de grand luxe en divers endroits de France.
C’est un projet qui porte sur plusieurs millions d’euros et pour le mener à bien nous devions importer directement les kits de construction en provenance du Canada mais finalement nous y avons renoncé au profit d’une entreprise française qui vient de se lancer dans ce type de maison en bois. C’est ainsi que je me suis retrouvé à Strasbourg avec les deux avocats du cabinet pour finaliser le projet de contrat avec une entreprise vosgienne mais dont le siège social se trouve dans la capitale alsacienne.
Bien sur, avant d’en arriver là, j’ai fait de nombreuses navettes, seul ou accompagné par le directeur technique du cabinet pour mettre au point les choses. Il était en effet indispensable que l’entreprise retenue soit en mesure, une fois le contrat signé, de fournir dans les délais impartis, les kits de construction conformes au cahier des charges. Elle devait en outre former les personnels devant assembler les chalets sur les dalles de bétons coulées dans les divers lieux retenus.
Le contrat est signé au cours de l’après-midi. Cela prend pas mal de temps car, outre le contrat principal, il y a autant de contrats annexes qu’il y a d’implantations prévues. Là, les promoteurs et responsables de chaque projet participent à la séance de signatures. Cela se termine autour d’un buffet arrosé de champagne.
M. Mittelberger, le patron de l’entreprise vosgienne nous présente alors Sophie Potton, le commissaire d’une exposition qu’il soutient et nous invite à la rejoindre pour participer au vernissage qui doit avoir lieu au cours de la soirée.
Sophie est une jeune femme d’une trentaine d’années. Grande brune aux cheveux noirs de jais coupé en carré court avec une mèche revenant sur le front. Elle a un visage à l’ovale parfait, éclairé par deux grands yeux bleus qui lui font un regard magnétique et une bouche aux lèvres ourlées maquillés de rouge vif.
Le nez étroit est droit ce qui lui fait un profil très agréable. Elle porte une robe assez ajustée sur son corps aux courbes harmonieuses. Le décolleté discret, orné d’un double rang de perles, dégage un cou fin et des seins petits, comme je les aime. C’est une belle femme très agréable à voir, et très féminine aussi.
Verre sur verre de champagne, j’apprends qu’elle habite aussi Paris et qu’elle est à Strasbourg pour lancer l’exposition, c’est-à-dire une quinzaine de jours. Au cours de la soirée, nous bavardons ensemble aussi souvent que nous permettent les hôtes de marque et invités.
Cette coquine déploie tout son charme auprès de ses hôtes dans une conversation agréable, mais chaque fois qu’elle le peut, elle revient vers moi. Elle s’intéresse beaucoup à moi et en quelque sorte, cela me flatte. Elle n’épargne aucun détail sur sa vie quelque peu trépidante.
J’avoue que tout cela ne me laisse pas indifférent tant cette belle femme est séduisante et cultivée. Cela me change des propos techniques de la négociation menée avec les deux avocats… Je suis très attiré par son charisme, son charme et son assurance.
Au milieu de la conversation, quelle n’est pas ma surprise lorsqu’elle passe au tutoiement avec un petit rire et en laissant entrevoir une familiarité qui, loin de me gêner, me plait beaucoup.
Sous l’effet émoustillant du champagne, je voyais ses petites lèvres s’ouvrir et se fermer en imaginant leur saveur délicieuse. À ce moment précis, je suis déjà tombé sous son charme. Sophie n’a d’yeux que pour moi, et avant de considérer autre chose, je pense à ma femme encore une fois… La partie est perdue, d’autant plus que je suis très excité à l’idée d’explorer le corps de ma nouvelle connaissance, à la recherche d’un peu de plaisir. Pour la première fois, je vais sans doute être infidèle à Aline. Je crois que je bande, oui je bande en effet en pensant à Sophie.
Depuis que je suis marié avec Aline, je n’ai jamais fauté malgré les sollicitations sans équivoque des clientes ou des collègues de travail. Mais là, je commence à penser que si je pousse un peu mon avantage, il est certain que je lui plais, je peux envisager une nuit avec Sophie.
Au moment où je prends congé pour regagner mon hôtel, quelle n’est pas ma surprise lorsque Sophie m’invite à rester avec elle le temps de fermer la galerie :
« Inutile de prendre un taxi, je suis au même hôtel que toi ! »
Pendant que les serveurs et les surveillants des tableaux quittent l’endroit, Sophie pousse la conversation jusqu’au bout, en enchaînant des sujets de plus en plus sexy. Elle me raconte qu’elle vient de se séparer de son copain et qu’elle ne s’est jamais mariée. Elle est donc libre !
« Je n’ai pas l’habitude de rencontrer des mecs comme toi, sérieux et charmants en même temps… »
Ce compliment ne manque pas de faire son effet, car je suis très sensible aux flatteries je l’admets. Ce à quoi je réponds :
« Toi, tu sais que tu es plus que charmante,… très belle… »
En me clignant de l’œil en guise de réponse, la commissaire du vernissage part pour donner les derniers ordres au veilleur de nuit de la galerie et revient en se dandinant comme une sirène, son corps se reflétant sur le sol ciré.
On sort ensemble et m’invite à monter dans sa voiture. Une dizaine de minutes plus tard, nous entrons dans le garage souterrain de l’hôtel et après être passés par la réception, nous prenons l’ascenseur pour monter dans nos chambres. Je ne sais pas encore comment agir, car c’est la première fois que je me laisse draguer comme ça par une fille. Marié et fidèle, je ne sais pas trop comment me comporter.
Ma compagne est tellement sure d’elle-même que je n’ose rien dire ou faire, sauf un petit SMS que j’envoie aux avocats pour leur dire que je vais passer la nuit dehors, pas loin de notre hôtel et qu’ils ne croient à rien de mauvais. Nous nous retrouverons à l’aéroport.
Sophie me prend par le bras et m’entraine vers sa chambre. Son petit décolleté dans lequel j’aperçois la naissance de sa poitrine, me rend fou et je bande grave, sans autre idée en tête que de passer aux choses sérieuses, sans plus de préliminaires.
Sitôt la porte refermée, ma compagne se colle littéralement à moi de tout son corps. Avec ses talons hauts, elle est presque aussi grande que moi. Elle presse son bassin contre le mien et entame une danse lascive qui fait dresser encore davantage mon sexe dans mon boxer. Il palpite contre son ventre et puis ressort un petit peu par dessus la ceinture, se profilant comme s’il voulait agir pour son compte.
Nous nous embrassons comme des furieux, mêlant nos langues dans une joute humide à en perdre le souffle. C’est elle qui prend l’initiative. Alors que nous sommes toujours collés l’un à l’autre, elle fait descendre le zip de sa robe et la fait glisser jusqu’au sol.
Je peux admirer sa plastique irréprochable encore voilée par un soutien gorge et un shorty assorti en dentelle immaculée qui tranchent sur sa peau mate. Elle porte des bas auto-fixant fumés. Je ne réponds plus de moi, tellement sa poitrine et son petit cul m’ont mis dans tous mes états. C’est la première fois qu’une femme m’allume à ce point…
En moins de trente secondes, je suis aussi nu que Sophie. Ma queue bandée à l’extrême fait une bosse imposante dans mon boxer que la belle fait glisser le long de mes cuisses en s’agenouillant devant moi. Elle prend ma bite d’une main et l’introduit dans sa bouche pour l’enduire de salive et son autre main descend jusqu’à sa vulve qu’elle caresse doucement tout en me suçant.
Mais l’un comme l’autre, c’est désormais autre chose que nous voulons. Je la relève et je la conduis vers le lit où elle s’allonge en me tendant les bras après s’être débarrassée de sa lingerie :
« Vas-y, baise-moi ! Fort ! »
Je la rejoins et m’allonge entre ses cuisses ouvertes. Ma bite est bandée comme un épieu que j’introduis dans sa gaine humide et chaude. Comme pour mieux me retenir en elle, Sophie croise ses jambes sur mon dos pendant que j’entame le va-et-vient.
Quelle est chaude ! Chaque fois que ma bite entre en elle, Sophie pousse une sorte de feulement de contentement et je sens ses muscles internes masser mon gland quand il arrive au fond.
J’ai tout oublié ! Aline et ma fille Alicia, la fidélité et l’amour que j’ai pour elles, tout çà est passé à la trappe. Je suis entièrement subjugué par Sophie à qui je fais l’amour à grand coups de reins, sortant à chaque fois de sa chatte pour mieux y entrer ensuite jusqu’à ce que la jouissance nous emporte une première fois…
Après quelques instants de repos, Sophie me reprend en bouche pour ma faire raidir. Quelques coups de langue et quelques allers-retours plus tard, je suis à nouveau bandé comme un cerf en rut. Alors que je suis sur le dos, Sophie vient s’empaler en amazone sur mon sexe qui entre dans sa chatte pleine de nos fluides. C’est elle qui me baise, montant et descendant sur ma bite qui va buter au fond sa gaine.
Je ne pense à rien. Je savoure le moment présent. Personne ne saura que j’ai eu une nuit coquine pendant ce voyage d’affaires… et soudain Sophie se tétanise et jouit en exprimant bruyamment son plaisir qui déclenche aussitôt le mien.
Au petit matin, nous nous réveillons dans les bras l’un de l’autre. Au cours de la nuit, nous avons encore baisé une fois. Sophie a voulu que je la prenne en levrette pour achever de « me vider » selon son expression.
Nous échangeons nos numéros de téléphone et je quitte sa chambre discrètement.
Ce n’est qu’après avoir regagné ma chambre que je réalise ce qui s’est passé. Pour la première fois j’ai été réellement infidèle. Ce qui est sûr, c’est que souvent je fantasmais sur certaines femmes rencontrées, imaginant ce que nous ferions si… Mais c’était toujours resté dans le domaine du rêve.
Là, ce n’avait pas été un rêve. J’étais tombé sur une véritable femelle assoiffée de sexe, qui savait ce qu’elle voulait, du sexe pour le sexe, sans s’embarrasser d’une quelconque morale. Bof ! Pour moi, même si je n’oublierais pas de sitôt cette soirée, ce n’était qu’un coup d’une soirée… Il n’y aurait pas de lendemain.
Dans le taxi qui, quelques heures plus tard, m’amène vers l’aéroport où je dois retrouver mes compagnons de voyage, une sonnerie sur mon portable me prévient que j’ai un SMS et en l’ouvrant je peux lire : « Au plaisir de te revoir. Sophie ».
A suivre...
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1 Réveillon, 2 couples et 4 coquins
Je me présente je m’appel Kévin, j’ai trente-cinq ans, je suis un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-cinq, je suis brun, yeux marron, un corps assez sportif, je suis marié depuis deux ans avec Lydie. Ma femme a trente ans, est blonde cheveux longs ondulés, un mètre soixante et onze, une belle poitrine 90b bien ferme, un très beau fessier et un corps fin qu’elle entretient à la salle de gym. Je sais qu’elle ne laisse pas les hommes indifférents. Notre couple fonctionne à merveille, aussi bien dans la vie courante que sur le plan sexuel. Mais ayant peur de la routine, j’ai souvent discuté avec elle de certaines possibilités de varier notre activité sexuelle. J’aimerais bien pratiquer l’échangisme, voir ma femme avec un autre homme, mais elle a toujours été réticente sur ces sujets.
Pour les fêtes de fin d’année, nous avons invité un couple d’amis, Christophe et Karima, à passer deux semaines chez nous. Ce sont de très bons amis que nous voyons assez souvent lors de fêtes, de week-end et lors de certaines vacances que nous avons passées ensemble. Ils habitent à deux cents kilomètres de chez nous, et notre amitié n’a cessé de grandir, mais sans jamais aller plus loin.
Christophe est un homme charmant, trente-cinq ans brun, très beau garçon selon ma femme, et Karima est une très belle marocaine de trente-cinq ans aussi, à la peau mate, de longues jambes, un cul magnifique et une paire de seins à tomber, un superbe 90c. Elle a les cheveux noirs et longs, les yeux marron et un regard ténébreux et envoutant. J’ai pu observer son corps à de nombreuses reprises lors de nos dernières vacances en commun. J’ai souvent fantasmé sur elle mais sans jamais rien laisser paraitre…
La première semaine de leurs vacances chez nous s’est passée à merveille, de nombreuses soirées de rigolade, des activités la journée. Bref,, que de bons moments pour encore resserrer les liens. Pour cette soirée du réveillon, nous nous sommes inscrits à une fête qui se déroule dans notre village. Ceci nous permettait de profiter pleinement de la soirée sans se soucier de qui va conduire, qui va boire.
La journée s’annonçait joyeuse, grâce matinée car la nuit allait être longue, bain et détente pour tout le monde. Arrive le soir, je me prépare dans la chambre, je mets mon plus beau costume afin de me faire très beau pour cette soirée. Ma femme s’habilla également. Pour me faire plaisir elle mit mes sous-vêtements préférés, un magnifique soutien-gorge bleu en fine dentelle, un string en dentelle et légèrement transparent au milieu, un porte-jarretelle assorti, les jambes gainées de noir. Elle enfila une très belle robe noire avec un décolleté laissant apparaitre sa belle poitrine, la robe lui arrivait au-dessus des genoux et une belle paire de chaussures à talon noir.
Je l’observais, elle était magnifique et très attirante, une touche de maquillage et la voila prête. Nous descendons rejoindre nos amis dans le salon, Christophe était aussi sur son 31 et que dire de Karima ? Elle portait une très belle robe rouge à dos nu jusqu’au début de ses fesses. Cette robe était plus que moulante et montrait une absence de soutien-gorge, elle avait aussi la particularité d’être fendue à l’avant, lorsqu’elle marchait on pouvait voir ses belles jambes. Elle avait aussi les jambes gainées de noir et elle portait une paire de cuissardes. Elle était aussi magnifique, et sa tenue était encore plus provocante que celle de ma femme.
Nous buvons un verre, puis chacun prend sa femme à son bras, et nous partons vers notre destination, qui se trouvait à dix minutes de marche. A notre arrivée à la salle des fêtes, nous avons immédiatement constaté que toutes les femmes étaient bien habillées, mais nos deux femmes attiraient le regard de nombreux hommes. Nous étions très fiers. Nous nous mettons à notre table, on nous sert l’apéritif, un très bon cocktail assez alcoolisé.
La soirée se passait vraiment bien, le repas était très bon et la musique mettait une ambiance de feu. Nous dansons très souvent, beaucoup d’hommes tentaient leur chance avec nos femmes, mais se voyaient repousser à chaque fois. La situation me plaisait de voir ma femme se faire draguer. J’ai dansé avec ma femme, on s’amusait comme des fous, puis je dansais avec Karima, à chaque danse son corps près du mien me donnait des frissons, son parfum enivrait tous mes sens. Plus la soirée avançait, plus l’alcool coulait à flot et commençait à faire son effet. Ma femme n’avait pas l’habitude de boire et elle devient assez rapidement rouge. Alors, elle commença à se lâcher et à vraiment profiter de la soirée.
Minuit arriva, une explosion de joie, de confettis, tout le monde se fait la bise, Lydie à ma surprise m’embrasse fougueusement, sans gêne devant tout le monde. Ce n’est pas qu’elle soit timide mais en public elle fait souvent attention, mais ce soir l’alcool lui avait ôté toute gêne. Les organisateurs de la soirée sortirent alors le champagne, Christophe nous ramène une bouteille et l’ouvre pour nous servir un verre, nous trinquons à la nouvelle année et il invita ma femme à danser car il adorait danser sur de la salsa et du zouk, et le dj avait mis ce genre de musique.
Karima reste à mes côtés, j’observai mon ami qui dansait avec ma femme, plus la danse avançait et plus je remarquai que leurs corps se rapprochaient. Il la faisait tournoyer, et l’emmena dans une danse endiablée, leurs corps étaient maintenant collés. Je voyais les mains de Christophe caresser le dos de Lydie, puis je vis sa main droite descendre lentement pour se poser sur ses fesses. A un moment, il saisit ses fesses de ses deux mains et la plaqua contre lui tout en se frottant contre elle. Je n’en revenais pas, elle se laissait faire et souriait même !
Karima me demanda alors :
« La situation te gène, de les voir se trémousser comme ça ?
- Je ne sais pas, j’ai un étrange sentiment de jalousie et de curiosité qui se mélangent, répondis-je. Mais toi tu n’es pas jalouse, tu dis rien ?
- non, ça ne me dérange pas, tu sais on est très libres dans notre couple et pour être honnête, on pratique l’échangisme assez souvent…. »
Je fus très surpris de cette révélation, je n’avais jamais rien remarqué et nos amis n’avaient à ce jour rien tenté, ni parlé à aucun moment de cette liberté sexuelle qu’ils avaient.
Je repris, fort étonné :
« Alors là je suis sur le cul, pourtant je n’ai jamais rien vu et vous n’avez jamais rien dit !
- On ne force jamais les choses, on laisse faire le temps. Je peux te dire que Christophe a toujours trouvé Lydie très à son goût, et moi je te trouve très attirant aussi. Vous n’avez jamais pensé à faire ca ? Vous nous trouvez comment ?
- Pour être honnête, si, j’en ai déjà parlé à Lydie, mais elle n’a jamais voulu franchir cette ligne. Elle m’a souvent parlé de Christophe, me disant qu’elle le trouvait charmant et très mignon.
- et moi tu me trouves comment ? Je te plais ?
- toi ? Mais tu es folle, tu es magnifique, un corps de déesse, bien sûr que tu ne me laisses pas indifférent, j’ai souvent pensé à toi, mais jamais j’aurais imaginé quoi que ce soit !
- si tu veux qu’on s’amuse tout les quatre, laisse nous faire, on va passer une très bonne fin de soirée ! » conclua-t-elle, l’air très coquin.
Après ces mots, je ne savais plus quoi penser, la situation et la soirée prenaient une tournure à laquelle je n’aurais jamais pensées. Karima s’approcha de moi et me donna un léger baiser sur la bouche. Elle se leva et parti rejoindre Christophe afin de remplacer ma femme pour danser. Je vis alors que Karima entama une longue discussion avec Christophe tout en dansant. Lydie vient me rejoindre, elle s’assit à mes côtés et se resservit un verre de champagne.
Je me rapprochai d’elle et lui dit à l’oreille :
« Ça va ma chérie ? Tu ne crois pas que tu as déjà trop bu ?
- Mais non, ce soir on est là pour s’amuser, tu as vu, quel dragueur ce Christophe et je te dis pas, il a les mains baladeuses, et je peux même te dire qu’il a une belle érection ! »
Rien que ces mots sortants de la bouche de ma femme, m’excitèrent, ce n’était pas du tout son genre de prononcer ça.
Je repris à voix basse :
« S’il va trop loin, dis-le lui gentiment…
- ça va ce n’est pas méchant, et ça me plaît bien de savoir que je fais encore de l’effet… »
La soirée continuait dans une bonne ambiance, Karima se rapprochait de Lydie, l’invitait à danser, se frottait à elle, la caressait sensuellement et furtivement. Moi de mon côté, je bouillais, mon sexe réagissait rien qu’à les voir.
Vers trois heures du matin, Christophe nous proposa de rentrer et de finir tranquillement la soirée chez nous. Pour le chemin du retour, je marchais avec Christophe, nos femmes nous suivaient derrière, elles avaient un peu plus de mal à marcher, l’alcool n’arrangeant rien. Elles rigolaient, Karima tenait ma femme par la taille et profitait pour caresser les fesses de Lydie qui elle n’arrêtait pas de sourire.
Christophe pris la parole, goguenard :
« je crois bien qu’elles sont bien gaies et bien chaudes. Karima m’a raconté votre conversation, j’espère que ça ne t’a pas choqué ?
- non pas du tout, ça m’a intrigué, et je serais surpris de voir ce qui va se passer après, car avec Lydie ce n’est pas gagné… »
- Fais confiance à Karima, elle a l’habitude de faire changer d’avis nos partenaires, et je dois dire qu’on a bien chauffé ta femme, je crois qu’elle est prête à passer le cap. Tu as de la chance car elle est vraiment très jolie et très désirable. Tu verras, avec Karima, on ne s’ennuie pas non plus »
Ces mots m’excitaient encore plus, et j’étais impatient d’arriver à la maison. Je ne savais pas ce qui m’excitait le plus, voir ma femme prendre du plaisir, la voir avec un autre homme, ou pouvoir profiter de Karima. Nous arrivons devant la maison, mes jambes tremblaient. On entre, on arrive au salon.
Christophe repris l’initiative :
« On est en vacance chez vous, mais ce soir vous êtes nos invités, installez vous on va s’occuper du service… »
Lydie s’installa dans le canapé, moi je me mis dans le fauteuil. Christophe apporta les verres et chercha une bouteille de champagne au frigo que nous avions préparée pour le repas du lendemain. Karima alluma l’allogène et mit une lumière tamisée, puis elle alluma la chaîne et mit un cd d’ambiance. L’atmosphère était sensuelle et très douce. Christophe nous servit, et on trinqua à la nouvelle année. Christophe se mit dans le deuxième fauteuil et Karima s’installa à côté de Lydie dans le canapé.
Karima passa sa main sur la joue de ma femme et lui demanda :
« Lydie, tu as déjà embrassé une fille »
- non jamais…
- tu devrais essayer, c’est très agréable, tu devrais prendre ça comme une bonne résolution pour la nouvelle année !
- je ne sais pas, ça pourrait être drôle, allez un baiser ce n’est pas méchant, » rétorqua-t-elle en souriant.
Je ne reconnaissais pas ma femme, je me disais que j’aurais dû la faire boire plus souvent, mais je voulais voir si elle accepterait ce défi et jusqu’où elle pouvait aller. Je crois bien que la fin de soirée allait être torride…
Karima caressa très délicatement la joue de Lydie et déplaça la mèche qui cachait son expression de surprise, de peur et d’innocence en même temps. Elle approcha son visage du sien et caressa ses lèvres très tendrement avec les siennes. Un baiser très tendre et très sensuel qui fit rougir ma femme.
« alors comment c’était ? Ta première sensation ?
-j’ai trouvé ça très agréable, j’ai eu une drôle de sensation qui a parcouru mon corps… »
Elle disait ça avec un ton que je ne connaissais pas d’elle, d’une voix agréable et rassurante, presqu’amoureuse. Je trouvais cette situation très excitante.
Karima reprit :
« Tu es jolie, cool, marante et en plus tu es pleine de sensualité… »
Karima regarda ma femme droit dans les yeux et approcha à nouveau sa bouche de la sienne. Elle lui redonna un baiser, ma femme ferma les yeux comme pour mieux apprécier. Karima appuya un peu plus sur les lèvres de Lydie et commençait à les entrouvrir. Elle bloqua la tête avec sa main gauche et pencha sa tête à droite pour pouvoir offrir un vrai baiser. La langue de Karima pénétrait fougueusement dans la bouche de ma femme c’était en même temps un coup d’effroi et une excitation que je n’ai jamais connue.
Je vis alors leurs langues s’entremêler, jouer ensemble, Lydie passait sa langue ses les lèvres de Karima et vice et versa. C’était un spectacle d’une beauté et d’un érotisme incroyable. Karima m’acheva lorsque je vis ses mains qui commençaient maintenant à monter et à descendre tout le long du corps de Lydie. Puis elle stoppa sur le sein de ma femme et entama une caresse à travers le tissu. Elle enroba de sa main le sein et le caressa de tout son contour, puis passa à l’autre, ma femme se laissa faire totalement enivrée par ce baiser et l’alcool certainement. Christophe et moi-même regardions cette scène avec délectation et envie.
Karima fit lever ma femme, elle se leva à son tour et ouvrit le zip de la robe de Lydie, celle-ci tomba sur le sol. Lydie était devant nous en sous-vêtements, elle était superbe, ses jambes gainées de noir soutenues par son porte-jarretelle, son string et son soutien-gorge mettaient vraiment son corps en valeur. Karima fit à nouveau s’asseoir ma femme à côté d’elle, elles reprirent toutes les deux leur langoureux baiser, Karima reprit également ses caresses mammaires, je pus voir les tétons de ma femme commencer à pointer au travers de son soutif. Karima libéra alors la poitrine de ma femme de sa prison de dentelle, puis elle recommença à les caresser. Elle saisit un sein et le contourna de sa main, puis fit rouler un téton de Lydie entre ses doigts. Il était évident que cette femme savait s’y prendre et qu’elle n’en était pas à sa première expérience, contrairement à ma femme. Puis Karima saisit un sein pour en mettre la pointe dans sa bouche, le sucer et le mordiller. Des sentiments de culpabilité, d’envie et d’excitation se bousculaient en moi, ce qui décuplait encore plus mon plaisir et mon excitation que je ne voulais plus contrôler.
Tout en maintenant de sa main gauche le sein de ma femme en bouche, je vis sa main droite descendre lentement sur le string de Lydie. Elle entama alors une caresse par-dessus le string. Ma femme avait toujours les yeux fermés et se laissait bercer par ces moments de plaisir, de douceur et de chaleur.
Karima se releva et fit à son tour tomber sa robe. Là ce fut le choc pour moi, elle était debout devant moi de dos, elle avait les jambes gainées de noir par des Dim’up, ses cuissardes et une absence totale de sous-vêtement, ses fesses étaient bien rondes et appelaient au désir. Elle se retourna et me sourit, sa poitrine plus grosse que celle de ma femme était impressionnante, son sexe totalement épilé me faisait baver, son corps mat était juste un appel au désir un vrai délice d’orient.
Elle se mit à genoux, et retira le string de ma femme qui se laissait toujours faire. Apparut alors le sexe de ma femme qui lui était légèrement poilu, mais bien entretenu comme à son habitude. Karima écarta les cuisses de ma femme et y glissa sa tête. Je vis alors Karima prendre possession du sexe de ma femme, elle offrit sa langue à son intimité. De fait, cette dernière écarta encore plus les cuisses pour que Karima sache qu’elle avait le feu vert. Je vis sa langue jouer avec le clito de Lydie, puis se fut au tour de ses doigts qui masturbaient le clito. Puis lentement je vis un doigt, puis deux disparaitre à l’intérieur du sexe de Lydie. Lydie commençait à marmonner et à gémir lentement sous les assauts de sa partenaire du soir.
Après un long moment de ce spectacle juste hallucinant et digne d’un film X, Karima s’installa à nouveau sur le canapé et saisit la main de ma femme pour la poser sur sa poitrine. Lydie prit vite la chose en main afin de rendre la pareille à Karima et lui prodiguer à son tour un moment de plaisir. On avait l’impression que ce n’était pas sa première expérience et pourtant ça l’était, mais elle apprenait très vite.
Nos deux femmes se donnaient du plaisir devant nous. Jamais je n’aurais pu un jour penser assister à un tel spectacle ! Je n’en perdai pas une miette, ignorant totalement la présence de Christophe, j’étais juste obnubilé par ce que je pouvais observer devant mes yeux. Mon sexe me faisait mal, tellement je bandais. Voir deux femmes se donner du plaisir, avoir ma femme et surtout Karima, avec ce corps de rêve, devant moi, offertes me faisait presque défaillir.
Je voyais le désir monter en elles, leurs sexes humides, leurs corps onduler de plaisir. Lorsque je me retourne pour observer mon comparse de ce soir, je fus surpris, Christophe était dans le fauteuil et s’était mis nu, il se branlait devant le spectacle. Son sexe était aussi raide et dur que le mien, moins long, mais bien plus gros. Il me sourit et me fit un clin d’œil :
« alors je t’avais pas dit qu’elle savait y faire ? On va passer une bonne fin de soirée et tu verras, ça va être ton plus beau réveillon !
- Je ne pensais pas en arriver là, mais le spectacle et superbe et je ne l’oublierais jamais !
- Ta femme est vraiment très bonne, et tu verras la mienne est une vraie cochonne, elles sont bien chaudes, mon pote ! »
Karima et Lydie nous sourirent, Karima pointa du doigt son mari et lui indiqua de venir. Christophe se leva et se dirigea vers sa femme, le sexe droit et dressé. Karima le saisit entre ses doigts et commença à le masturber. Christophe étant debout face à elle, elle avait son sexe juste face à son visage. Je vis alors le gland disparaitre dans sa bouche, elle commença à le sucer, elle était vraiment une gourmande. Lydie et moi-même ne rations rien de cette scène, Lydie se masturba tout en les observant, ses yeux ne quittaient pas ce sexe aller et venir dans la bouche de Karima.
Au bout de quelques minutes, tout en le masturbant, Karima saisit la main de ma femme et la posa sur le sexe de Christophe, elle dirigeait la main de ma femme pour lui donner le rythme. Ma femme le branlait, alors que Karima le prenait en bouche. Lydie me regarda et d’un regard me demanda que faire, je lui donnai mon accord d’un geste de la tête, et je vis la bouche de ma femme prendre la place de celle de Karima.
Pour la première fois, je vis un autre sexe que le mien pénétrer la bouche de ma femme… Christophe en profita pour caresser la poitrine de ma femme. Je n’en pouvais plus, ma queue me faisait de plus en plus mal. Karima se leva et s’approcha de moi, elle s’agenouilla entre mes jambes. Elle ouvrit ma ceinture, et lentement, ouvrit les boutons de mon pantalon un à un. Je ne quittai pas la bouche de ma femme qui allait et venait sur ce sexe. Sa joue enflait à chaque mouvement, je voyais la forme du gland se dessiner sur la joue. Karima m’ôta mon pantalon et fit glisser mon boxer, qui libéra enfin mon sexe. D’un coup, il se dressa droit comme un barreau. Elle le prit en main et commença à me masturber.
Lentement elle décalotta mon gland, et passa sa langue dessus. Elle descendit sa bouche sur mes couilles et me les lécha avec passion. Sa main glissait le long de mon sexe, puis elle remonta lentement le long de mon mandrin avec sa langue. De mon gland perlaient quelques gouttes de plaisir, puis elle engloutit mon manche dans sa bouche. Bouche qui était accueillante et chaude.
Sa langue tournait autour de mon gland et elle prit mon sexe le plus possible en bouche. Mon regard alternait entre ma femme en train de sucer, et le regard perçant de Karima qui ne me quittait pas des yeux. Son regard m’envoutait, elle cracha sur mon sexe et reprit sa fellation. C’est sûr c’était une experte en la matière.
Elle se redressa, elle saisit un verre de champagne et en renversa sur ma bite raide, et la coinça entre ses seins. Elle commença une merveilleuse branlette espagnole, à chaque remontée de ma verge, sa langue jouait avec mon gland, le champagne et le goût de ma barre à mine décuplaient son et mon plaisir.
Je ne mis pas longtemps avant de jouir entre ses seins. Sa poitrine était recouverte de mon sperme chaud, elle me branla jusqu’à la dernière goutte. Me retournant vers ma femme, je la vis branler Christophe de plus en plus rapidement, je compris grâce à ses râles qui augmentaient crescendo, que lui aussi allait venir. De longs jets de sperme finirent sur le visage et les cheveux de Lydie, du sperme coulait sur le long de sa joue et sur le bord se ses lèvres.
Karima se leva, prit ma femme par la main et lui roula une pelle, elle lécha les lèvres et la joue de ma femme afin de recueillir le sperme de son mari. Lorsque leurs langues se mélangeaient, je voyais des filets de sperme sur la langue de Karima et de Lydie. Karima nous regarda et dit :
« Et si on allait dans la chambre pour continuer ? Lydie et moi, on en veut encore, hein ma chérie ?
- Oh oui, vous m’avez trop excitée !
- Cette nuit, nous sommes deux chattes en chaleur, on veut du sexe, on va dans la chambre, on vous attend…»
Karima roula une pelle à Christophe, puis vient vers moi pour me rouler également une pelle, Lydie en fit de même. Elles se dirigèrent vers la chambre, main dans la main, leurs fesses roulaient, ondulaient sous leurs talons. Comment résister à cette demande ?
Franckxxx
Mais si, la magie de Noel existe !
Je rentrais du coup avec le festin du soir en marchant assez rapidement. Le quartier était assez glauque et je voulais vite rentrer. La perspective de me faire aborder par une vieille prostituée ne m’attirait pas vraiment.
Ce qui, évidemment, ne manqua pas d’arriver. Je ne sais pas d’où elle sortait, je ne l’avais pas vue venir. Je ne sais pas pourquoi elle bossait ce soir encore, ce n’était pas aujourd’hui qu’elle trouverait des clients, même les bons pères de famille adultérins restent chez eux un soir de réveillon.
« Hé mon biquet ! Joyeux Noël ! »
Je la regardai. Elle était vraiment dégueulasse. Un âge indéfini mais compris entre 45 et 60 ans. Un maquillage outrancier appliqué sur son visage avec un pinceau à colle. Des lèvres, sur lesquelles elle avait mis un violet vulgaire, qui avaient du être charnues à une époque mais sur lesquelles la couleur ne tentait que de dissimuler les croûtes. Ses collants filés devaient être aussi vieux que son métier, et l’espèce de piteuse doudoune qu’elle portait pour se protéger du froid rendait ses formes disgracieuses encore plus épaisses qu’elles ne l’étaient déjà. C’était bien ma veine.
« Joyeux Noël à toi aussi », lui dis-je poliment en interrompant ma marche.
Elle m’avait tellement surpris en apparaissant, que j’avais carrément stationné pour considérer le spectacle de sa silhouette ravagée. Elle s’approcha plus près de moi et sourit. Ses lèvres craquelées s’étirèrent douloureusement pour laisser apparaître une dentition incomplète. Elle avait le regard rieur mais pas moqueur.
« Moi c’est Marie-Jo, fit-elle simplement. Et toi c’est quoi ton p’tit nom?
- Thomas.
- T’as quel âge, Thomas ?
- 20 ans.
- Et tu rentres chez toi pour fêter Noël ?
- C’est ça. »
J’essayais de m’en débarrasser pour pouvoir rentrer chez moi au plus vite. Je n’avais pas envie de tenir la conversation avec une putasse esseulée un soir de réveillon. La vieille me regardait avec insistance. Ses yeux, agrémentés d’un trait noir épais et débordant, respiraient l’envie, mais pas la lubricité.
« T’es beau et bien bâti mon chéri. Avec des beaux bras et un beau visage. Tu sais, je te demanderais bien un service mais il faudrait que tu viennes dans ma piaule. »
Je la regardai comme pour savoir si elle était vraiment sérieuse. Elle l’était. Je lui dis que ce n’était pas une bonne idée. Il était hors de question que je foute les pieds dans la chambre d’une pute, je ne savais pas ce qui allait m’arriver !
Mais elle me lança alors un regard triste et plein de sincérité que je n’aurais pas cru capable de sortir de ses yeux. De la vulgaire harpie qui s’était catapultée sur mon chemin ne restait plus qu’une pauvre vieille abandonnée de tous au milieu de la grande ville. Sa voix se mua en une voix implorante et presque fluette, bien loin de la voix grave et assurée de virago dont elle avait fait preuve en m’abordant. Elle me dit :
« S’il te plaît, viens parler avec moi, juste cinq minutes, tu seras pas en retard. Ca me fera un peu de compagnie pour ce soir, je suis seule. »
J’étais bien emmerdé. Ce n’est pas une proposition que tu peux refuser quand on te la fait sur ce ton là. Cette vieille salope, c’était pas parce qu’elle avait sucé plus de queues dans sa vie qu’il n’y a de secondes en une heure, que c’était pas un être humain. Alors sans trop savoir pourquoi je changeais d’avis aussi facilement, et sans trop savoir où cette expérience délicate allait m’emmener, je la suivis. J’allais parler cinq minutes avec elle, ça serait ma BA de la journée.
Marie-Jo, ravie, me conduisit par une ruelle adjacente à une petite cour. Elle poussa une porte et monta un petit escalier très étroit. Arrivé à l’étage, elle me fit entrer dans son antre. Ca ressemblait à une loge de comédienne. Il y avait contre un mur un grand miroir entouré d’ampoules qui attirait l’attention. La pièce était sommairement meublée : il y avait un lit dans un angle, une petite table avec une chaise contre le mur du miroir. Les draps et les rideaux de la pièce étaient couleur rose sale, comme s’ils n’avaient plus vu une eau savonneuse depuis des années. Régnait à l’intérieur de sa piaule un mélange d’odeurs de sueur, de sexe et d’encens froid. J’étais écœuré par ces effluves et regrettais déjà d’avoir cédé à ses supplications.
« Tu sais, dit-elle après que je m’étais assis sur la chaise, la plupart de mes clients, ce sont des vieux porcs qui fantasment sur les vieilles. C’est franchement pas très excitant mais faut bien gagner sa vie hein ? Ca fait des années que j’ai pas baisé avec un jeune.
- Ca ne doit pas être facile tous les jours, répondis-je sans trop savoir quoi dire. »
J’avais accepté de venir là mais j’avais envie de déguerpir. Je ne sais pas pourquoi j’avais dit oui. Alors je me contentais de laisser la vieille parler, de me raconter ses malheurs, les petites expériences de sa vie professionnelle. Cette femme avait simplement besoin d’engager la conversation un moment et d’être regardée avec plus de considération. N’empêche qu’elle ne s’aidait pas. Elle était vraiment laide et habillée comme un sac. Son maquillage grossier montrait bien son métier. Sans lui, on l’aurait prise pour une clocharde.
« Thomas, dit-elle au bout d’un moment, j’aimerais te demander un petit plaisir.
- Un petit plaisir… fis-je circonspect. J’avais peur de comprendre.
- Tu sais, j’ai pas vu des hommes aussi beaux que toi depuis bien longtemps, et c’est pas donné d’en voir par ici.
- …
- Tu crois que tu pourrais me montrer ton torse ? »
Je la toisai dans les yeux, incrédule. Je me fous pas à poil devant une radasse moi, je ne veux pas qu’elle me saute dessus. La charité ça a des limites, d’ailleurs, faut que j’y aille ! T’as perdu la boule ma vieille !
« Non, d’ailleurs ma famille doit m’attendre et je dois y aller. Tu, euh… Vous… je pars, dis-je en me levant brusquement.
- Oh s’il te plaît, ne te sauve pas ! Je vais pas te toucher ou te forcer à faire des trucs que tu ne veux pas, je ne suis pas comme ça. Je voudrais juste regarder tu sais, et juste ton torse, je te demande pas de me montrer ton oiseau. Je veux juste admirer ton corps quelques secondes… »
Elle avait de nouveau des trémolos dans la voix et le regard qu’elle me lança à ce moment-là était à vous fendre le cœur. Elle paraissait tout à fait inoffensive et je ne pus me résoudre à la planter. Je me dis qu’après tout, si elle ne me touchait pas, je pouvais bien lui faire plaisir en lui montrant le fruit d’années de travail à la piscine. Je ne savais pas du tout ce qui était en train de me passer par la tête. J’hésitai encore un moment et je retirai mon haut pour lui faire contempler mes pectoraux finement sculptés et mes abdominaux subtilement dessinés. On peut bien être fier de son corps !
Elle contempla avidement ma physionomie et un sourire se dessina sur ses lèvres violettes et fissurées. Elle était heureuse comme une petite fille qui vient de voir que ses parents lui ont offert pour Noël la poupée qu’elle convoitait par dessus tout. D’abord, elle me dévora du regard pendant plusieurs secondes. Puis elle s’approcha.
Moi, je n’en revenais pas d’avoir osé faire ça, mais au vu de son attention, elle paraissait absolument enchantée, revenue aux années les plus palpitantes de sa vie où elle pouvait donner et recevoir de l’amour de la part d’hommes séduisants. Un passé aujourd’hui définitivement révolu, mais dont elle gardait la nostalgie, consciente qu’elle était de ce qu’elle était devenue. Et ce plaisir de la voir retrouver sa jeunesse par le regard, je ne pouvais me résoudre à le lui retirer.
Elle était de plus en plus proche de moi. Elle approchait lentement, comme hypnotisée. Je l’étais aussi de la voir faire : son regard était posé sur mon torse, mais il était vide, comme si soudain la vioque était partie dans un monde parallèle. Je la regardais venir de plus en plus près de moi. Elle leva sa main droite en tendant son index vers le centre de mon thorax. Son doigt était aussi tout ridé, son ongle un peu de travers comme le sont les ongles des femmes âgées, usés par les vicissitudes de la vie et les tâches ménagères.
Elle pose l’empreinte froide de son index sur moi. Ce contact me fit frissonner. Elle regardait toujours mon torse, je la regardais faire. Elle dessina un « N » avec son doigt qui contourna mon pectoral gauche.
Puis, de retour à la réalité, elle retira brusquement son doigt comme si elle avait été prise en flagrant délit, et se recula.
« Merci Thomas. Tu ne peux pas savoir à quel point ta gentillesse m’aura fait du bien, dit-elle d’une voix rauque et étrange. Tu es quelqu’un de bien et tu seras récompensé pour ces quelques instants où tu as cédé au caprice d’une femme comme moi. Va retrouver ta famille maintenant. Joyeux Noël ! »
Sans trop savoir quoi lui dire, je me rhabillai, lui souhaitai rapidement de joyeuses fêtes, récupérai mon sac et me hâtai vers la maison.
En arrivant chez moi, je fus bien en peine au moment d’expliquer à mes parents où j’avais bien pu trouver l’argent pour acheter une superbe dinde de dix kilos, du foie gras, des marrons, un riche assortiment de pommes de terres, d’oranges et autres légumes, du poisson. Ma mère me demanda d’un air lourd de reproches si j’avais volé tout ça, mais je lui assurai que non. Je me posais moi-même la question de ne pas avoir remarqué que mon sac était devenu beaucoup plus lourd et beaucoup plus large….
Nous passâmes malgré tout un réveillon magnifique avec mes parents et mes frères et sœurs, en profitant de ce que nous avions reçu comme un cadeau du ciel. Après les fêtes, mon père retrouva du travail et ma mère eut une augmentation, ce qui nous rendit la vie plus facile pour la nouvelle année.
Je retournai quelques temps après rue Saint-Denis pour savoir ce qu’était devenue Marie-Jo. Mais si je retrouvai la chambre où elle m’avait emmené, je ne trouvai à la place qu’une pièce abandonnée. On me dit qu’elle n’avait pas été rénovée depuis des années et que personne n’y allait jamais. Du reste, personne ne semblait connaître Marie-Jo. Elle avait disparu, ou n’avait simplement, jamais existé.
Maintenant, je le sais : la nuit de Noël, tout est possible !
Mappy 61
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