Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un week-end chez Manu
Quand je m'installe, comme aujourd'hui pour écrire mes souvenirs de baises, ou une histoire que j'invente, je suis confortablement assis, nu, sur mon siège avec un gode, souvent gonflable, entre les fesses. Le plaisir de me sentir ''garni'' titille mon cerveau et ravive mes souvenirs. En vous révélant ça certaines femmes y trouveront la confirmation de cette blague qui veut que les hommes aient leur cerveau au bout de leur gland et/ou de leur cul. Pas grave cela ne me gâchera pas le plaisir que nous éprouvons dans les jeux du sexe.
Il faut se rendre à l'évidence, ce qu'il y a de vraiment super dans l'amour, c'est la pénétration. Sentir sa bite prisonnière volontaire d'un endroit chaud, doux et dont l'humidité va croissant est un plaisir exceptionnel. Ceux qui meurent puceaux passent à côté de moments paradisiaques.
Bien que j’aie connu cette joie dans maintes chattes et culs féminins, je dois avouer que mes plus belles jouissances furent celles obtenues en me faisant sodomiser par plusieurs personnes à la file. Que ce soit avec des hommes aux belles queues épaisses et chaudes ou avec des femmes avec des godes, ceinture ou non.
Je me souviens d'une fois justement où je passais un weekend chez un collègue de travail d'origine portugaise qui vivait en couple avec un homme très sympa. Il ignorait ma bisexualité ce qui ne nous empêchait pas d'être de bons copains. Il m'avait invité à passer un weekend dans son pavillon. Il devait y avoir également 4 autres gars. Mon copain qui se prénommait Manuel me faisait une cour aussi assidue que discrète. Une cour que d'ailleurs je feignais d'ignorer. Mais je me doutais que derrière cette invitation se cachait l'intention de me faire accepter de baiser avec lui et son copain William.
J'arrive donc chez lui le samedi en milieu d'après midi. Manuel et William étaient en plein préparatif, Manuel était au fourneau préparant des plats typiquement portugais tandis que William préparait les amuse-gueules. Nous étions à la belle saison, ils étaient tous les deux en mini short moulant bien leur petit cul, et sur le torse un marcel. William était un gars athlétique, cette tenue lui donnait belle allure.
Afin de ne pas dépareiller, je me suis mis en teeshirt et short, non moulant, et je leur donnais un coup de mains car leurs amis n'allaient pas tarder venir. Effectivement, nous venions juste de tout préparer quand ils sont arrivés. Parmi eux, un jeune se faisait remarquer par l'exubérance que l'on remarque chez les « folles ». Manuel me présente à ses amis. La folle, un jeune portugais tout droit débarqué de Lisbonne s'appelait José. A peine nous étions-nous présentés que José me donna une grande claque sur les fesses en disant d’une voix rieuse quelque chose que je ne compris pas.
Par contre, je compris parfaitement ce que Manuel lui dit dans leur langue maternelle :
« Laisse tomber, j'ai essayé, il aime pas les hommes ! »
Alors je me suis senti obligé d'intervenir, en français bien sûr, pour lui dire :
« Qu'est-ce t'en sais, Manu C'est pas parce que j'ai pas répondu à tes avances que tu dois dire ça ! »
Manuel fut étonné de ma déclaration et traduisit à José ce que nous venions de nous dire. Son visage s'éclaira aussitôt. Visiblement je lui avais tapé dans l'œil. Manuel quant à lui, me regardait bouche bée. Il n'arrivait pas à se remettre de ma déclaration. Pour qu'il s'en remette je lui ai donc dit :
« Tu sais, ça fait un moment que je te vois me draguer, mais je faisais semblant de ne pas m'en apercevoir. Tu sais bien que dans notre boîte, les histoires entre mecs sont plutôt mal vues ! »
Manuel fut content de savoir qu'enfin, on pourrait baiser ensemble de temps en temps. Moi aussi, dans le fond, car il était très sympa et si on pouvait ajouter la baise à l'amitié, pourquoi s'en priver ?
José, excité comme une puce, n'avait pas assez de ses deux mains pour caresser mon corps, ça m'emmerdait un peu. Cependant, j'avoue qu'il commençait à me chauffer sérieusement. Il faut dire qu'une de ses mains me tripotait le service trois pièces par dessus le short, tandis qu'un doigt de l'autre me caressait la raie. J'ai été obligé de demander à Manu de le calmer un peu, qu'on jouerait après le diner.
Fort de cette promesse José se calma un peu. Nous avons pu prendre notre apéro et notre repas assez copieux, dans la joie et la bonne humeur. Et c'est au moment des pousse-café que tout a très agréablement dégénéré. Les trois autres gars arrivés en même temps que José, c’est à dire, Pierre, Jacques et Fred qui avaient été assez discrets jusque là, ont commencé à s'agiter, sans doute sous l'effet des boissons qu'on avait absorbées.
Fred affalé dans un fauteuil, un café à la main, pose sa tasse et entreprend un strip-tease et finit à poil. Il est légèrement ventru mais ce qui pend entre ses jambes me met l'eau à la bouche. Je ne peux m'empêcher de lui en faire compliment. Il ne se trompe pas en pensant que c'est une invite de ma part, aussi il vient directement devant moi et me regarde en souriant. Je prends sa bite dans ma main et la caresse délicatement, elle est douce et chaude et elle dégage une odeur aphrodisiaque. Faut dire qu'il a le gland tout humide. Alors, je commence à le lui sucer en le mordillant légèrement. Fred apprécie qui gémit doucement. Puis ma langue parcourt sa hampe tandis que je lui caresse ses couilles qui pendent joliment.
Il semble qu'on ait donné le signal de départ, car on voit aussitôt Jacques et Pierre en corps à corps, et William entreprendre Pierre. José se met à poil lui aussi et me débarrasse de mon short. Il pousse un WOUAHHH! de plaisir en voyant que je n'ai pas de slip et que je suis totalement épilé. Il arrête son cri de joie en refermant sa bouche sur ma bite et me suce comme un affamé.
Tout en suçant Fred, je regarde l'entrejambe de José, il bande fort, sa bite est plutôt sympa, à vue d'œil elle doit avoir 5 cm d'épaisseur, il est circoncis, on peut voir son gland, beau champignon qui trône au dessus de sa hampe. Spectacle excitant, j'adore ce genre de gland.
Nous nous arrêtons un instant pour écarter les fauteuils et nous nous allongeons sur le tapis pour que Fred puisse sucer José. Nous formons ainsi une espèce de cercle vicieux. Nos 4 compères ne sont pas en reste. On peut voir Pierre se faire sucer par Manu qui est assis sur la queue de William, Jacques s'est placé derrière José et entre doucement en lui. Une double sodo, voilà ce qu'est en train de subir Manu, et cela a l'air de plutôt lui plaire si j'en juge par les cris de plaisir qu'il pousse. La grosse queue de Fred dans ma bouche la mienne dans la bouche de Fred, je suis si excité que je me dis que tout à l'heure j'essaierai dans prendre deux dans mes fesses, c'est trop bon ce truc.
Nous nous arrêtons tous au bout d'un moment pour débarrasser le salon de ses fauteuils et canapés. Ainsi seulement meublée d'un grand tapis la pièce parait plus grande nous pourrons faire à peu prés tout sans être gênés. Nous serons plus à l'aise pour jouer. Fred est le premier à s’allonger, son énorme bite que ma langue a bien fait durcir est tentante. Mon petit trou passablement excité palpite d'envie et il est tout humide. Je me place au dessus de Fred et m'accroupis en lui faisant face. Il prend sa bite en main et me titille un peu l'anus avec son gland. J'aime beaucoup ça mais j'ai trop envie alors je m'enfonce sa queue complètement jusqu'à ce qu'elle soit entièrement en moi. Nous ne bougeons pas pendant quelques secondes, pour profiter de ce moment où je me sens bien ''garni''.
Puis Fred jette son bassin vers le haut, c'est le signal du départ je commence à le chevaucher doucement pour que le plaisir dure plus longtemps. Pendant ce temps, José est allé offrir son cul à William. Pierre et Jacques sont l'un dans l'autre, hurlant des mots orduriers à chaque mouvement de leurs reins.
Du coup, Manu se retrouve seul sa bite à la main et nous regarde faire. Me souvenant que cela fait longtemps qu'il me drague en vain, je lui fais signe de me rejoindre, il se met face à moi et au dessus de Fred. Je mets mes mains sur ses hanches, et tandis que je chevauche Fred, je suce Manu. Il a une jolie queue toute épilée comme moi, elle n'est pas très longue, mais a une belle épaisseur. Je le suce avec plaisir, il a l'air d'aimer ça car il me prend la tête dans ses mains et rythme lui même la cadence, ça me donne l'impression qu'il me « baise » la bouche. C'est loin d'être désagréable, d'autant plus que Fred es sous moi qui m'encule avec ardeur. Je suis baiser des deux côtés en même temps, quel régal pour un gourmand.
L'atmosphère est très chaude, nous sommes tous très excités. Les quatre autres se séparent et nous rejoignent. Manu se joint à eux pour former cercle autour de Fred et moi tout en se branlant. Tous les 5 nous entourent maintenant tout en se branlant énergiquement. Moi je suis trop bien avec une queue en moi, aussi je continue ma chevauchée. Cela ne semble pas gêner les autres.
Leurs mains accélèrent leur mouvement sur leurs bites et en râlant de plaisir ils explosent sur le corps de Fred. Les éjaculations sont puissantes, je suis moi aussi copieusement arrosé. J'aime sentir cette crème chaude exploser sur ma peau. Fred, je l'appris après prenait toujours son pied en se faisant juter sur le corps, finit par jouir aussi, me remplissant le cul. Je me relève à regret. Je les vois alors tous se coucher contre le corps de Fred pour nettoyer son corps en le léchant. Et comme j'en ai moi aussi, je suis attaqué par des langues assoiffées. Je trouve cela si bon qu'à mon tour je jouis et José se précipite sur mon gland pour tout boire. Et une langue aussi inconnue que gourmande s'insinue entre mes fesses pour consommer le bon jus de Fred qui suinte lentement. Bon sang de bon sang qu'est-ce que c'est bon tout ça!
Cette petite séance n'est que le début d'une partouze qui s'annonça riche en plaisirs. Elle me fit profondément regretter de n'avoir pas accepté beaucoup plus tôt les invites discrètes de Manu pendant nos journées de boulot. Je compte bien rattraper le temps perdu. Et si tous ses potes sont comme ceux qui sont là aujourd'hui je passerai à l'avenir des soirées très intéressantes.
Et c'est effectivement ce qui se passa pendant une paire d'années durant lesquelles, je me suis fait ramoner copieusement. Et j'ai envie de me les remémorer.
Voulez-vous en profiter ?
Bruno bi...
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Adressé à tous les hommes...
Je t’ai demandé de te rendre dans ta chambre, t’asseoir sur la chaise que j'ai installée et de m’attendre. Tu l’as fait. Je suis allée dans le salon et tu m’entends m’affairer. Tu te demandes ce qu’il se passe quand tout à coup tu me vois dans le chambranle de la porte. Tes yeux s’écarquillent à ma vue. En effet, je porte un short en jean déchiré très très court. Tu peux deviner la ficelle rose d’un string caché sous le peu de tissu qu’il reste du short. Tu parcours mes jambes qui se terminent par une paire de talons hauts. Tu remontes et découvre mon nombril nu.
Mon ventre totalement offert à ton regard. En remontant encore tu aperçois la naissance de mes seins. Ces derniers sont cachés par un t-shirt rose déchiré visiblement trop petit pour les contenir. Le col déchiré en laisse apparaître les rondeurs. Le tissu collant te laisse deviner les tétons pointant déjà d’excitation.
Je m’immobilise dans une position lascive appuyée contre le montant de la porte. Les fesses et les épaules collées contre le bois, cambrée au maximum, je te regarde.
« Que dirais tu d’un petit strip ?
- Humm, avec plaisir bébé. »
Je sens dans cette phrase toute l’excitation que te procure cette idée.
Je m’approche de toi. Mes mains courent sur tes épaules. Je passe derrière toi. Je caresse ton cou, tes cheveux, tes épaules. Ma bouche s’approche de ton oreille. Ma langue joue avec le lob avant de le mordiller doucement. Je te murmure à l’oreille.
« Tu vas te souvenir de ce strip très longtemps. Crois-moi. »
Je t’entends gémir et devine un sourire sur tes lèvres.
Mes mains continuent leur course le long de tes bras. Arrivée à tes poignets, je les rassemble et te lie les mains dans le dos.
« Mais tu fais quoi ? me dis tu, étonné.
- Ne t’inquiète pas tu vas aimer. »
Je reviens lentement devant toi et t’embrasse. Je m’assoie sur tes genoux, ton visage entre mes mains. Mon bassin collé contre le tien.
Je me relève et fais quelques pas n’oubliant pas de bien remuer mes fesses dans ce short en jean bien trop petit pour les contenir.
Doucement et sensuellement, j’entame une petite danse. Mes mains parcourent mon corps. Se posent sur mes hanches que je fais tourner doucement. Je mordille mes doigts langoureusement. Mon regard ne quitte pas le tien. Je te sens déjà excité. Tu me dévore des yeux. Lentement, je déboutonne le short. Laissant apparaître ce string que tu avais deviné. J’attrape les pans et ouvre le short.
Je me retourne, dos à toi et commence à m’extirper de ce carcan. Lentement tu découvres mes fesses. Au fur et à mesure que le short descend, je me penche en avant, les jambes serrées. Totalement penchée en avant, tu peux apercevoir le dessin de mes lèvres, au travers du string. Je me redresse et quitte le short. Je me retourne et te regarde droit dans les yeux.
« Humm bébé, tu es trop bonne. »
Sans un mot, mais le sourire aux lèvres, je m’approche de toi. Je m’assoie sur tes genoux et colle mon bassin contre le tien. Je bouge d’avant en arrière. Les mains appuyées sur tes rotules. Mes seins, pressés dans le t-shirt sont à quelques centimètres de ton visage. Tu fais un petit mouvement vers l’avant pour pouvoir les embrasser mais tu n’y arrives pas, je te refuse ce plaisir.
« Mais euh !!! Donne-les-moi !!!!!
- Pas si vite bébé. »
Je me relève doucement. Et passe derrière toi. Mes mains sur tes épaules, je tourne autour de toi doucement, nous ne nous quittons pas des yeux, tu tournes la tête pour me suivre. Arrivée devant toi, Je me penche à ton oreille. Tes yeux ne peuvent que fixer ce décolleté. Je te demande si tu aimerais que je te détache. Tu me réponds : ''oui détache- moi''.
Je passe derrière toi et commence à descendre le long de tes bras jusqu’au niveau du lien. Là je me ravise et me relève. Je me penche à ton oreille :
-Je crois qu’il est trop tôt », et mordille ton lobe.
Je retourne à ma place et reprends cette petite danse lascive. Pendant quelques instants, tu admires mon corps bouger, onduler, langoureusement. Te tournant le dos, je saisi le t-shirt et le retire. Je pose mes mains sur mes seins et tournant la tête, je te regarde. Tes yeux dans les miens, je commence à me retourner. Puis face à toi, je te laisse admirer ma poitrine. Tu remarques mes tétons dressés. Je m’approche de toi et reviens sur tes genoux. Dans la même position, je me colle à toi. Je sens à travers ton jean que tu es déjà excité et tendu par ce petit manège. Je te souris.
« Tu aimes ?
- Humm oui bébé, mais je préfèrerais toucher !
- Attends, ça viendra. Chaque chose en son temps. »
Je joue sur tes genoux, mes seins à portée de ta bouche. Tu sors d’ailleurs ta langue pour tenter de les goûter, mais bien que suffisamment proche pour sentir leur parfum et leur chaleur, tu ne l’es pas assez pour les atteindre.
Je te sens frustrer et j’adore. Me penchant vers l’arrière, j’ouvre ta chemise, pour découvrir ton torse. Mes mains courent dessus, te caressent.
Je me relève et passe derrière toi. Me penchant sur ton oreille, je te murmure :
« Je crois que tu mérites que je te détache. »
Je m’agenouille, saisit le lien et ………………………….. me ravise.
« Non, finalement tu ne mérites pas. »
Je reviens devant toi et découvre la stupeur et la frustration sur ton visage. Je souris, contente de ce que je provoque en toi. Tu tentes de te détacher en remuant les mains mais rien n’y fait. Reprenant ma place, je recommence à danser. Après quelques volutes de mon corps, je me retourne, dos à toi. Mes doigts passent entre les liens de mon string. Lentement la ficelle coincée entre mes fesses fait ton apparition.
De la même façon que le short, j’accompagne la descente en me penchant en avant. Tu découvres alors mes lèvres déjà gonflée de désir. Cette vulve que tu as déjà prise à plusieurs reprises et qui semble t’appeler à y revenir. Restant penchée, je te regarde et te découvre hébété, bouche ouverte d’envie. Je me retourne et me mets à quatre pattes. J’avance, féline, vers toi, ne te quittant pas des yeux. Arrivée à ta hauteur, je commence à caresser tes jambes. A remonter sous ton jean. Puis lentement, je déboutonne ton pantalon. Je remarque la bosse sous le boxer. Je te regarde dans les yeux et avec un grand sourire passe ma langue sur mes lèvres.
« T’as envie de la sucer hein petite salope ??
- Hummm, peut être, mais elle n’est pas encore assez dure.
- Excite_ moi et tu vas voir… »
Je fais tomber ton jean à tes chevilles et viens me plaquer contre ton sexe encore enfermé. Lentement mais puissamment, j’entame un va et vient de mon bassin. Ton sexe grossit encore.
Je te vois prendre plaisir à ce traitement. Mes seins sont extrêmement proches de tes lèvres, mais je t’en refuse toujours l’accès.
« Veux tu que je te libère ?
- Qu’est ce que t’attends? bien sûr que je veux que tu me libères !!!, j’ai trop envie de te bouffer les seins.
- Hummm, ok, je te libère. »
Ton visage s’illumine et tu me souris tu ne me quittes pas du regard tant que je suis dans ton champ de vision. Je me porte sur le lien…………
« En fait non. Restes comme ça, c’est mieux. »
Je reviens à quelques mètres de toi. Ton étonnement précédent se transforme en furie, tu me foudroies du regard.
« Petite salope ! Si je me libère, tu vas voir ce que tu vas prendre !!!!! »
Tu te débats, tentant de te sortir de ces liens. Moi, je souris et recommence à danser.
Je reviens à toi et passant ma main sous le tissu de ton boxer, te caresse le sexe, gonflé de désir. Tu me regardes dans les yeux, énervé.
« T’as intérêt à me sucer comme une chienne pour te faire pardonner. »
Avec un grand sourire, je descends ton boxer, libérant le monstre.
« Oui c’est ça, bouffe le, suce moi comme une chienne ! »
Mais ma bouche ne descend pas vers ton sexe. Doucement, mes tétons viennent jouer sur le gland, tour à tour. Ton sexe tendu, ressent la caresse de mes tétons, durcis.
Nue devant toi, je viens m’assoir sur toi. Nos bassins reprennent le contact. Mais cette fois si, nous sommes nus. Lentement, ton sexe s’insinue entre mes lèvres. Il glisse le long, sans jamais me pénétrer. Je commence un lent va et vient pour fait coulisser ton sexe dans la gouttière que forment mes lèvres. Mes seins si proches et si loin à la fois de ta bouche augmentent encore ta frustration.
« Putain, mais tu vas me les donner tes seins!!!!!!!!! Je les veux!!!
- Eh bien libère-toi !!!
- Mais je ne peux pas !!! T’es vraiment perverse et salope ! »
Je me lève et passe derrière toi.
« Bon, on arrête de jouer. Je te libère.
- Ah enfin !!! »
Je me penche et finalement me ravise une nouvelle fois. Mais cette fois, je ne reviens pas devant toi. Lentement je me dirige vers la porte.
« Ciao bello, à bientôt !! »
Abasourdi, tu me regardes m’éloigner, le temps de comprendre que je ne reviens pas. Je m’arrête dans l’embrasure de la porte je me retourne et te fais un coucou de la main, avec un sourire entendu.
« Reviens ici salope et libère-moi !!! Espèce de chienne, si je t’attrape, tu vas voir !! »
Tu t’énerves sur les liens et, alors que je tourne le dos et que je m’éloigne, tu parviens à élargir le lien et sortir tes mains.
Je ne me suis pas rendue compte que tu étais enfin libre. Arrivée au canapé, tes mains se posent sur mes épaules.
« Tu t’es bien amusée ma biche ? Eh bien maintenant c’est à mon tour. Tu vas manger bébé !!!!!!!!!
- NOOOOOOOOOOOOOOOOON, ce n’est pas drôle!!!!!
- T’as voulu jouer, t’assumes!! et effectivement ça ne va pas être drôle ! »
Je me débats, tentant de me libérer de ton étreinte. Mais rien n’y fait.
Ayant récupéré le lien, tu me ligotes les mains dans le dos.
A suivre…
Signé Miss K.
Comme nous l’avons déjà fait dans le passé, l’auteur de ce récit vous laisse la suite à écrire ! Vous pouvez m’adresser cette suite via mon adresse mail : sophie.derawensky@yahoo.fr
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La nazillon et le chien
AVERTISSEMENT
Attention ! Ce texte est réellement violent et peut choquer certaines personnes. Il comporte des scènes de sexe non consenti et humiliant, ainsi que des scènes zoo.
Son contenu n’engage que son auteur.
Malgré la beauté du site, la jeune femme se sent inquiète d'être ainsi recluse dans cet univers caussenard, perdu au milieu de nulle part. La route la plus proche est à plusieurs kilomètres d’un étroit chemin qui serpente dans la végétation méridionale. Le village est lointain. Le voisin immédiat gîte à une demi-heure de voiture. Mais la magnificence du site incite au repos.
Lors de son arrivée tardive en compagnie de son nouvel ami, ils n’ont d’autre choix que de se laisser aller à un sommeil réparateur dans l’immense chambre blanchie à la chaux. Elle est située au premier étage de cette ferme typique, à peine entrevue la veille dans le faisceau des phares de la voiture. La chaleur est telle qu’ils s’endorment difficilement après s’être totalement dénudés.
A son réveil, la lumière est intense à travers les volets à claire-voie. Elle est seule dans la chambre blanche. Elle tarde à se lever tout au plaisir sensuel de la fraîcheur matinale. Quand enfin elle se décide, elle s’étonne de ne plus trouver ni valise ni vêtement. Elle quitte la pièce et descend l’escalier à vis jusqu’à l’immense salle de séjour, vaguement gênée par sa nudité. Elle n’aime pas vraiment son corps massif et laiteux, aux seins lourds, son ventre légèrement arrondi. Seuls sa toison et ses cheveux blonds, ses yeux bleus et son visage poupin aux traits réguliers lui conviennent. Elle aime aussi ses fesses rebondies qui aimantent le regard des hommes.
La maison semble vide et la voiture a disparu de la cour. Elle s’imagine que son ami l’a empruntée pour faire quelques courses et suit l’odeur du café et du pain grillé jusqu’à la cuisine où elle se sustente. Le temps passe sans que la demeure ne bruisse de quelque occupant. Elle la visite et n’y trouve aucune trace de ses affaires à l’exception de sa trousse de toilette soigneusement rangée dans la salle de bains. Les armoires et certaines portes sont fermées au moyen de serrures de sécurité. L’inquiétude la gagne au point qu’elle frissonne dans la chaleur du matin. Elle sort et visite les abords sans trouver âme qui vive. Elle imagine mille yeux occupés à contempler l’indécence de son corps totalement dénudé.
Lorsque l’angoisse monte, elle s’engage sur le chemin d’accès dans l’espoir d’y trouver son ami. Ses pieds nus sont blessés par les pierres tranchantes qui le recouvrent, le soleil agresse sa peau nue et elle doit rapidement renoncer à son projet. Elle rentre et s’installe dans un profond divan où elle s’endort à demi en position fœtale. Il est à peu près midi lorsqu'elle est brutalement réveillée par le crissement d'un pas lourd sur le gravier de la cour. Son compagnon est de retour à pied, vêtu d'une étrange tenue paramilitaire, équipé d'un lourd sac à dos rempli de victuailles.
Il la regarde à peine et, lorsqu'elle fait mine de lui adresser la parole, il se rue dans la cuisine pour décharger son sac. Lorsqu'elle lui réclame ses vêtements, il lui assène une claque magistrale qui la fait trébucher et lui intime l'ordre de préparer le repas. Alors qu'elle fait mine de résister, il la plaque brutalement sur la table de la cuisine, baisse son pantalon et la sodomise sans ménagement. Elle grimace et hurle de douleur. Il la bâillonne de sa main et continue son ouvrage en appuyant de tout son poids le buste de sa compagne sur la table.
Dans un premier temps, le corps de celle-ci se révolte contre l'agression. Puis ses sensations changent, ses sens s'échauffement, son cul s’offre et tout son être se soumet au point que son bourreau allège son étreinte. Lorsqu'il place ses mains à l'entrejambe de sa victime et entame une caresse tonique sur son sexe, son ventre se contracte et ses fesses s'écartèlent. Elle jouit bruyamment. Il continue de la besogner jusqu'à libérer son foutre en elle.
Lorsqu'il sort de ses fesses, elle est au comble de la honte. Son étonnante jouissance, dont le masochisme s'explique difficilement, la met terriblement mal à l'aise. Elle n'ose regarder son agresseur et se précipite ainsi, nue et souillée, pour préparer le repas du midi. Au moment de passer à table, il lui lie les mains, la sert dans une assiette qu'il pose au sol comme pour un chien et l'oblige à manger ainsi, genoux à terre, le corps replié dans un équilibre instable. Son visage se souille des aliments qu'elle consomme, ses cheveux gluent de sauce.
Le repas terminé, il l'injurie, la traite de « souillon » et, malgré sa passivité, la bat à nouveau avant de lui imposer un débarbouillage un peu particulier dans la baignoire. En effet, au jet brutal de la douche succèdent mille caresses intrusives au cours desquels ses orifices sont brutalement pénétrés par les doigts et le sexe du garçon. Encore une fois, à la répulsion succède le plaisir et au plaisir la honte. À l'heure de la sieste, il lui lie ensemble mains et chevilles et s'endort du sommeil du juste. Elle somnole, à terre au pied du lit, la tête peuplée d'images cauchemardesques.
Les jours se suivent en apportant leur lot de violences et de honte des plaisirs coupables. Elle ne peut se vêtir et ne connaît de repos que lorsqu'il quitte la maison. À ces moments-là elle est trop fatiguée pour tenter de s'enfuir et s'effondre d'un sommeil tourmenté. Elle ne voit plus de solution à son esclavage. Plus les jours avancent, plus il s'enhardit.
Les tortures deviennent raffinées sans jamais laisser de traces et sont immédiatement suivies d'un de ces étonnants moments de plaisir intense. Désormais il filme leurs ébats dans le but de les vendre à des sites pornographiques. Du coup, son imagination n’a plus de limites et le corps de son amante est martyrisé à l’extrême. Sa gorge est envahie de son phallus, son sexe et son cul fistés en dilatation maximum, les sex-machines, les cordelettes et le bondage font leur apparition.
Et sans relâche elle alterne entre douleur et plaisir, puis s’effondre de honte. Plusieurs fois, en l’absence de son tourmenteur, elle s'éloigne pour fuir cet enfer mais la souffrance de ses pieds nus et l’absence de tout vêtement l'incitent au retour. Par la suite, elle se sentira terriblement coupable et n'osera même plus envisager de quitter la maison et encore moins d'en parler à quiconque. L'angoisse la tenaille et elle pense fréquemment à se donner la mort.
Après plusieurs semaines de ce traitement, il revient accompagné de deux autres nazillons de son acabit. Elle est offerte à eux et, fataliste, se soumet sans résistance. Ils vont toute une nuit abuser d'elle et la torturer sans lui laisser une seconde de repos. Elle va les servir à table totalement nue. Elle doit se tenir debout auprès d’eux pour qu’ils puissent envahir ses seins, son sexe et ses fesses de leurs mains. Ils ne s’en privent pas puis l’enchaînent et la promènent en laisse. Lorsqu’ils papotent autour d’un verre, elle doit se glisser sous la table et sucer leurs queues.
Ils vont la battre, la souiller, lui pénétrer violemment la bouche, se succéder dans son cul écarteler sa vulve, pincer violemment clitoris et tétons, la photographier dans mille positions humiliantes. Elle sera surprise par l'orgasme, le cul et le sexe envahi par leurs deux vits. Sous l'effet de la honte, son désespoir va grandissant. Son « ami » ne cesse de lui dire combien il est dégoûté par elle, combien il trouve son corps servile repoussant et ses moments de plaisir pervers.
Maintenant, lorsqu'il s'absente, il la laisse à la garde d'un impressionnant doberman qu’il vient d'acheter. Ce dernier participe aussi au jeu sexuel. Elle doit se laisser prendre par lui à quatre pattes et lui offrir son cul à lécher aussi souvent qu'il le désire. Dans les premiers temps, elle doit le provoquer en glissant sa croupe sous le ventre du chien.
Mais très vite les choses changent.
La bête est d'une telle énergie qu'elle arrive même à lui faire ressentir des orgasmes multiples. Tantôt elle prend sa vulve, et tantôt son anus. Souvent son désir monte alors qu'elle lui lèche une main, une jambe ou le visage. Progressivement sa langue évolue le long de son corps, écarte doucement ses cuisses et ses fesses jusqu'à pouvoir en respirer l’odeur, puis y pénétrer. Ce puissant organe envahit sans problème sa vulve qui se dilate pour l'accueillir.
Elle sait détremper son cul et en dilater le sphincter. Lorsque la jeune femme tente de le repousser, le chien émet des grognements menaçants et montre son imposante dentition. Immédiatement elle se met à sa hauteur et lui présente sa croupe.
Chaque fois que cela arrive en sa présence, son bourreau l'injurie et la bat, l'humilie en la traitant de « chienne immonde » et invite ses amis pour leur montrer la scène. Malheureusement, dans ce cas aussi, elle ressent un violent plaisir suivi d'une épouvantable honte. Il se refuse désormais à pénétrer autre chose que sa bouche. L'intensité de la souffrance ajoute encore à la dépression de la jeune femme au point qu'elle a envisagé de se jeter dans le puits.
Mais le chien manifeste de la reconnaissance à celle qu’il a soumise et devient progressivement le rival du jeune homme. Lorsqu'un jour ce dernier perd son sang-froid et s'acharne violemment sur elle, le chien, pour la défendre, lui saute à la gorge. Il lui broie violemment le cou dont les tissus éclatent dans une gerbe de sang.
Lorsqu’elle essaie de sauver la vie du jeune homme, le chien s’interpose en montrant ses crocs puissants. Elle hésite et essaie de l’amadouer en lui montrant sa soumission, ventre à terre. Rien n’y fait ! Il ne s'excite pas sur le cadavre mais en interdit l’accès. Bientôt, il exige de sa partenaire, à côté du corps sans vie, un témoignage de reconnaissance qui la laissera épuisée et souillée à l’extrême.
Il faut dire que sa gratitude pour l’avoir soustraite à son calvaire est sans bornes et que sa connaissance des besoins sexuels de la bête s'est considérablement affinée au gré du temps. Pendant des heures, il va lécher chaque centimètre carré de son corps soumis, aplati sur le sol, en insistant sur les recoins les plus intéressants.
A plusieurs reprises, il va posséder son cul et sa vulve qu’elle lui présente à quatre pattes, bras fléchis et fesses en l’air. A chaque fois qu’elle essaie de se relever, il la plaque au sol et glisse à nouveau sa truffe entre ses fesses. Il enduit son corps de son abondante salive. Sa langue s’insinue au-delà de petites lèvres et du sphincter anal. Malgré la proximité immédiate du cadavre, elle n’a plus peur et va d’orgasme en orgasme.
La belle et la bête ne se quitteront plus. Elle lui offrira pendant bien des années son corps nu, sans cesse prêt à tout, sans cesse disponible à ses moindres désirs. La honte l’a quittée et elle aime ces moments amoureux avec son complice poilu. La nuit, il se glisse jusqu’à sa couche et la réveille de sa langue en attendant qu’elle lui offre sa croupe. Lorsqu’elle dort profondément, il peut pénétrer ses orifices dix fois de sa langue. Parfois, elle jouit dans son sommeil. Souvent, elle prend la position et se soumet à son assaut.
Au jardin, il lui saute à la taille et la fait tomber à quatre pattes pour la prendre. Elle écarte les jambes pour régler la hauteur et se rendre plus accessible. Il peut ensuite la pénétrer pendant de longues minutes sans éjaculer trop tôt ni perdre l’équilibre. Quand ils quittent la maison, il n’accepte pas qu’elle revête un pantalon ni même une culotte. Lorsqu’elle a essayé, il a détruit le vêtement de ses crocs. Il veut pouvoir glisser sa truffe sous la robe, flairer son cul longuement et lécher sa peau nue en toute circonstance. En hiver, elle n’est couverte que d’un manteau de laine et d’épais bas qui lui montent à mi-cuisse. Son corps ne connaît point d’entrave et elle se sent aussi nue qu’en été.
A plus d’une occasion, il a soulevé de sa tête en public le vêtement de son amante et dévoilé ses fesses rebondies et son sexe blond, pour affirmer sa dominance sur elle. Les garçons du village se réjouissent de ces moments de grâce. Parfois, lorsqu’ils se déplacent en voiture, le chien mordille sa cuisse pour qu’elle s’arrête et se dénude. Il la pénètre au bord de la route ou du chemin et lèche soigneusement ses souillures avant qu’ils ne repartent. Un agriculteur voisin a même réussi à filmer la scène sur son portable et à la diffuser sur Internet. L’image est étonnante : l’énorme chien sombre y chevauche un corps laiteux orné de blond, tout en contraste. Mais les acteurs sont difficiles à reconnaître.
Les deux nouveaux amants couleront des jours heureux jusqu'au décès du chien. Elle redoublera d’ingéniosité, lors de son grand âge, pour continuer à satisfaire ses sens. Certains disent qu’ils l’ont vue s’aplatir sous lui et aider de sa main à la pénétration de sa vulve. Consciente de ne pouvoir réfréner les désirs de celui-ci, et paradoxalement heureuse de sa soumission à la bête, la jeune femme limitera les contacts avec les autres humains. Quant au cadavre du nazillon, nul ne sait ce qu’il en est advenu...
Signé : Emile
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Le cabinet du gynécologue
C'est une collègue de travail, Linda, qui m'a donné l'adresse de ce nouveau cabinet de gynécologie. Pourtant, on ne peut pas dire que ce soit vraiment une amie. Elle ne supporte pas que je sois bonne copine avec le chef de service. Je la soupçonne d'être un peu jalouse. Elle a entendu que j'étais à la recherche d'un nouveau gynéco puisque le mien part à la retraite et m'a gentiment, je dois l'avouer, conseillé d'aller voir le docteur Ménard de sa part.
J'attends, seule, depuis quelques minutes à peine dans la salle d'attente quand la porte du cabinet s'ouvre. L'assistante du docteur me demande d'entrer. C'est une vraie matrone, pas très agréable. Grande, blonde, stricte dans sa blouse blanche un peu trop serrée pour elle, elle doit avoir environ 40 ou 45 ans. Ses formes généreuses s'épanouissent sous son vêtement de travail. En entrant, j'aperçois tout de suite une deuxième assistante qui me semble plus avenante. C'est une petite brunette d'une vingtaine d'années au sourire agréable, aussi menue que sa collègue est plantureuse.
Elle me lance un franc :
« Bonjour madame Ruiz ! »
Le docteur sort de derrière un paravent. Il s'essuie les mains qu'il vient de laver. C'est un bel homme blond, grand, svelte, tout juste la quarantaine, me semble-t-il. Il vient vers moi d'un pas décidé, un sourire éclatant aux lèvres.
« Bonjour madame, qu'est ce qui vous amène ?
Je lui explique rapidement l'objet de ma visite. Il m'écoute avec attention, me fixant d'un regard enjôleur. Je suis un peu gênée par son insistance à me dévisager. Après m'avoir écoutée, il m'accompagne jusqu'à la table d'examen. Il me laisse me déshabiller et m'invite à monter sur le meuble tendu d'un drap blanc. Je déteste ce moment où je dois déplacer mon corps presque nu et un peu gras de femme déjà mûre devant les yeux d'un étranger. Bien sur, j'ai conservé le haut de mes vêtements, mais quand même, je suis mal à l'aise.
Le docteur Ménard sait y faire. En deux temps et trois mouvements, il a effectué avec une douceur totale les examens qui me paraissaient jusqu'alors très rébarbatifs. Je n'ai presque rien senti.
« Nous allons maintenant examiner vos seins. C'est Louise qui va effectuer la palpation sous mon contrôle. Vous savez sans doute que nous commençons à manquer de médecins dans notre spécialité. Voilà pourquoi le dépistage des tumeurs mammaires sera prochainement confié à des assistantes spécialement formées. Louise, approchez s'il vous plaît et faites comme je vous l'ai appris hier ! »
La jeune assistante brune s'avance vers moi. Elle découvre ma poitrine entièrement et se saisit de mon sein droit. J'ai de gros seins, bien ronds, à la peau laiteuse. Les pointes en sont assez longues quand on les touche et elles surplombent de larges aréoles foncées. J'ai toujours trouvé désagréable la sensation procurée par les mains de mon ancien gynéco sur ma poitrine. Il faisait ça d'une manière totalement déshumanisée, presque mécanique. Le contraste est flagrant avec les manipulations de la jeune femme.
Elle a les mains terriblement douces et semble déjà avoir appréhendé plus que les bases de son art. D'ailleurs, mes tétons ne s'y trompent pas. Je suis terriblement gênée de les voir pointer d'une façon totalement indécente.
Ca ne semble pas déranger l'assistante qui quitte maintenant mon sein droit pour prodiguer toutes ses attentions à son voisin.
« Oui, c'est très bien Louise ! Vous êtes sur la bonne voie. D'ailleurs, regardez, madame Ruiz semble apprécier ! N'est-ce pas que Louise s'y prend à merveille, madame Ruiz ?
- Euh, oui, oui, c'est ça !
- Dora, c'est à votre tour. Prenez le sein que Louise a lâché pour vous faire la main ! »
La matrone, restée dans son coin jusque là, s'approche de moi d'un pas décidé. Elle se saisit du sein droit sans hésitation. Les deux assistantes sont maintenant penchées sur ma poitrine et lui prodiguent de savantes manipulations qui ne me laissent pas insensible. Le docteur s'en rend compte et ne se prive pas de le faire remarquer à nouveau.
« Mesdemoiselles, je vous trouve très efficaces. Qu'en pensez-vous madame Ruiz ? Non, ne répondez-pas, je vais m'en assurer par moi-même. »
Je ne comprends pas tout de suite ce qu'il entend par là. C'est seulement quand je sens ses doigts se poser à nouveau entre mes jambes placées sur les étriers que je réalise de quoi il parle. J'en ai la confirmation quand il reprend la parole.
« Mais oui, elle est toute mouillée ! J'ai la main pleine de sa mouille. Vous ne seriez pas un peu gouine sur les bords, madame Ruiz ? Mes assistantes vous excitent ? Vos tétons sont tout tendus et votre chatte pisse son jus. Avouez, qu'elles vous font de l'effet ! Vous ne pouvez pas le nier ! »
Je suis horrifiée par ces paroles et tente de protester, de me lever. Les deux femmes m'empêchent de me redresser. Je ne lutte pas à armes égales. Elles sont fortes et pèsent de leurs poids respectifs sur mon torse. Celle qui se prénomme Dora se saisit de mon poignet droit et le passe prestement dans une paire de menottes sortie de je ne sais où. Elle en attache l'autre extrémité en haut de la table. De son côté, Louise a fait de même. Je suis maintenant écartelée sur le meuble et bel et bien à la merci du trio lubrique !
« Ne vous rebellez pas ainsi ma chère ! Si nous vous laissions partir maintenant, vous finiriez par le regretter. C'est pour votre bien que nous vous gardons ici ! Mesdemoiselles, montrez à madame Ruiz qu'elle a tout à gagner à rester parmi nous. Je reviens tout de suite. »
Le médecin pervers s'absente un instant. Durant ce laps de temps, les assistantes lesbiennes ne restent pas inactives. Tandis que la plus jeune commence à me bouffer les seins, sa comparse s'agenouille entre mes jambes ouvertes. Elle vient poser sa bouche goulue sur les lèvres de mon sexe. Elle m'embrasse littéralement la vulve. Je sens sa langue qui part à la recherche de ma mini-tige, là-haut, tout au sommet de ma fente.
Elle écarte mes petites lèvres du bout de son muscle et finit par débusquer le bouton gorgé de désir, bien malgré moi. La forte lubrification de ma chatte facilite considérablement ses manipulations. J'ai toujours beaucoup mouillé, mais là c'est vraiment plus que jamais. J'ai un peu honte de sécréter autant de jus alors que je devrais tout faire pour ne pas succomber aux assauts des deux gouines.
Le docteur Ménard revient. Quand il ouvre la porte, je comprends qu'il n'est pas seul. Une femme l'accompagne et m'adresse la parole :
« Regardez-moi cette cochonne ! Elle fait moins sa mijaurée qu'au boulot ! On dirait même que ça lui plaît d'être prise de la sorte. J'ai bien fait de t'envoyer voir mon copain, non ? Il s'est bien occupé de toi ? Je vois que tu as fait connaissance avec Dora et Louise. Je suis certaine que tu vas les trouver à ton goût. Au fond, tu n'es qu'une sale vicieuse, comme les autres, ni plus, ni moins. »
Je ne sais que répondre. Linda, ma « chère » collègue de travail, m'a fait tomber dans un traquenard. J'aurai du me méfier de son apparente bonté. Il semble qu'elle m'en veuille plus encore que je ne pensais.
Dans mon esprit tout est trouble.
Le plaisir que me procurent les deux assistantes brouille mes pensées. Louise me suce les tétons alternativement en continuant le massage de mes seins. Ses lèvres coulissent sur les bouts turgescents et sa langue en chatouille les pointes. Dora, toujours plus perverse, vient d'introduire deux doigts dans ma chatte velue. Elle les fait aller et venir tout au fond du conduit mais n'en dédaigne pas pour autant mon clitoris bandé. Le feu couve dans mon bas-ventre. Je me surprends à onduler du bassin pour partir à la recherche de la main qui me branle.
« Si tu veux aussi la toucher Linda, profites-en, elle est à toi !
- Non, je crois que tes assistantes font merveille. Regarde-la, elle commence à participer. Ce serait dommage d'interrompre ce trio de gouines. Par contre, il faut que je te remercie pour m'avoir offert ce spectacle. Assieds-toi ici et laisse-moi faire ! »
Linda repousse le docteur Ménard vers son siège de bureau. Il s'assoit dans le fauteuil. Elle le tire face à la table sur laquelle je suis en train de subir mon dépucelage lesbien. Je la vois qui s'agenouille devant lui, ouvre son pantalon et sort du slip une bite congestionnée. Le sexe se déplie instantanément et je peux voir la tige se dresser dans sa main. Linda se penche sur la queue de son amant et l'enfourne sans attendre dans sa bouche vorace. Le gros gland humide passe sans difficulté la barrière de ses lèvres.
Entre mes cuisses, un godemichet de bois a remplacé les doigts de Dora. Je l'ai vue prendre l'engin, une bite factice de bonne taille, toute noire et imitant jusqu'aux moindres veinules la réalité, dans un tiroir situé à côté de la table. Elle l'a passé deux ou trois fois sur toute la longueur de ma fente pour bien le lubrifier puis l'a enfoncé d'un coup dans la vulve. Elle le fait maintenant entrer et sortir violemment de ma chatte, procurant à mon ventre un plaisir intense. Je pousse, à mon corps défendant, de petits gémissements qui encouragent mes maîtresses à poursuivre dans la voie qu'elles se sont tracée.
Louise est grimpée sur mon ventre. Elle lâche un moment mes seins pour venir chercher avec sa langue un baiser que je ne suis pas en état de lui refuser. J'ouvre ma bouche qui accueille pour la première fois une langue de femme. C'est bon, c'est chaud, ça ajoute encore à mon trouble. Elle cesse un instant de fouiller ma bouche, s'approche de mon oreille et me dit, vicieusement :
« J'aime te goûter ! D'autant plus que là, derrière, Dora est en train de me sucer le cul quand je me penche sur toi. Si tu savais comme c'est bon ! Il faudra que tu me le bouffes aussi la prochaine fois. Si tu veux, je te ferai pareil. »
Cette salope me parle comme ça pour me faire jouir, je le sais. D'ailleurs, elle va y arriver. Je ne tiendrai plus très longtemps à ce rythme. Elle revient me manger la bouche. Sa langue tourne et nos salives se mêlent. De temps à autre, elle lâche un léger « oui Dora ! », ou un petit râle qui me confirme que l'autre est bien en train de lui brouter le cul, tout en me défonçant le con. J'entends aussi les gémissements du docteur qui semble apprécier le traitement que lui prodigue Linda. Tout le cabinet résonne de bruits de succion, de soupirs et de petits cris.
C'est Louise, encore elle, qui donne le signal de départ.
« Oh oui ! Dora, c'est trop bon, ta langue sur mon cul. Je jouis ! Oh, c'est fort, trop fort ! »
!
A ces mots, je pars moi aussi. Mon vagin se contracte sèchement autour de la bite artificielle qui le taraude. Il veut la retenir en lui, tout au fond. Je crie mon bonheur dans la petite salle. Je suis surprise par la violence de ma jouissance. Je n'ai jamais rien ressenti de tel avec mon homme. Mon corps tout entier est agité de soubresauts. Les menottes me font mal aux poignets tant je tire dessus. Louise glisse à mes côtés, la tête sur mes seins. Dora jouit à son tour. Je la soupçonne de s'être également enfilé quelque chose dans la chatte pendant qu'elle me branlait. Sa tête pend sur mes cuisses, au pied de la table.
Au fond de la pièce, je peux voir Linda qui me sourit énigmatiquement, s'essuyant le trop plein de sperme qui coule aux commissures de ses lèvres.
Jamais je n’aurai cru vivre ce genre d’expérience dans la vie ! Je ne sais plus si je dois en vouloir à mon ennemie, ou au contraire, la remercier !
Signé : Bidocheworld.
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Un voyage en Russie - chap. 4
Nouveaux ébats
Je pris une gorgée de Vodka, ma femme s’en vint m’embrasser, je lui transmis ma gorgée en un baiser chaud qui brûla nos papilles mélangées… Puis Irina dansa, tendrement enlacée avec la jolie blonde, dont le corps élancé se colla à notre rousse et enivrante Hôtesse… Chants et danses se sont là succédés, champagne et vodka à outrance ont entre nous coulés… Et l’on récita des poèmes, d’autres couples sont arrivés, c’était une nuit comme on les aime…
Moscou était tout enneigé, la buée faisait des reflets blêmes sur les carreaux blancs tout glacés… Irina me prit dans ses bras, une autre femme à nos côtés voulut partager nos émois… Françoise fit l’amour mille fois, avec le Comte, avec l’autre homme, avec des femmes et même aussi…un laquais…au vit sorti de sa culotte, tandis qu’il servait et que des Dames affamées de sexe au passage engoulaient, sucinaient, pulpinaient de lèvres ardentes…le sexe du Serviteur était luisant de salives qui coulaient sur ses bourses engluées, chacune pompounant ce vit passant à leur portée, y déposant une gorgée de champagne qu’elles s’empressaient aussitôt de déguster ou bien branlant entre deux doigts gantés le prépuce dilaté, dans l’espoir de le voir à la longue expulser quelque bon jet de foutrin blanc en leur flûte qu’elles présentaient comme un Graal …
Le laquais bandait comme un cerf, le vit sans cesse sollicité par de nouvelles sucées et branlées éphémères qui le surexcitaient… Il finit par décharger au passage en un haut verre que lui tendait une belle et noble débauchée qui but d’un trait le foutre mêlé au champagne… Orgie, ô Orgie, comme tu es belle ouverte à tous les plaisirs consommés !!
Une vieille russe un peu fanée – soixante ans peut-être - vint s’asseoir sur mes genoux, cuisses et fesses malgré tout encore appétissantes, de beaux seins tombant un peu, bien aréolés et encore engageants…Je les suçai avidement, je tétai, enlanguai leurs aréoles, ils se dressèrent ; le sexe, beau triangle brun aux poils partiellement blancs était ouvert, les lèvres écartées…les cuisses étaient gainées de bas mauves tenus par un porte-jarretelles assorti du plus bel effet…
La couleur de ses bas et porte-jarretelles associée à son rouge à lèvres un peu violine, aux traits noirs cernant ses yeux et à son maquillage sombre, me fit soudain penser à quelque Papesse débauchée, dont j’avais vu un jour l’image en un livre désuet et coquin d’une très ancienne collection : en moi-même, je l’appelai :
« Ma Papesse », drôle d’idée, mais cela m’excita…
La femme mûre (ma Papesse) m’enlangua, je lui pris la bouche au goût de vodka, sa langue me visita, elle me tenait le visage, goulue, vorace, avide, un baiser profond… Je palpai les fesses, glissai un doigt dans le figne, elle se tendit, murmura quelque chose en russe et m’enlangua à nouveau… J’avais envie de la foutre, je lui tendis une flûte de champagne, elle la but d’un trait et la jeta par-dessus son épaule qui était dénudée, d’une blancheur satinée qui ne manqua point de me troubler… « Ma Papesse » était bien conservée, la peau ferme et nacrée, elle avait dû être très belle…
Je l’honorai de caresses osées, la cunnilingusai de fort bel appétit, le sexe étant d’un rose pâle, l’anus ferme bien serré, elle avait dû pratiquer la sodomie, mais l’anneau était de belle tenue et fort appétissant… Je la pris de devant, je la pris de derrière, épousai l’aréole large de ses seins d’une bouche gourmande, lui gobinai l’anus (elle aimait), tapotai ce petit insolent, elle jouissait, quémandait, voulait une autre sodomie… m’étant un peu reposé, je la lui fis, elle fut à son goût et me branla du trou de bien gente manière, il est de bien mûrs derrières qui ont souvent leur charme, je vous l’avoue !
Etrange Soirée
Bien étrange soirée, étranges relations, images se superposant, partagées entre plaisirs, réflexion, bonne société et puis, Eros s’en mêlant, les fantasmes venant, tous les vices cachés faisant comme des ronds sur l’ambiance feutrée, équivoque… Imagination ? Perversion des idées, érotisation, désirs inavoués, envies, illusions… Le saurai-je jamais ? Une suite d’images entrecoupées, peut-être griffées, rayées, ayant dû exister, l’espace d’une émotion, fugitive, envolée… Un beau film muet, ne comportant que des cris et des râles.
Je revins à la conversation, j’étais en un tourbillon de voix, de mots, de rires, d’exclamations, étaient-elles de …plaisir ou non ? Avais-je eu quelque vision ? J’avoue que j’étais troublé… Ma flûte de champagne à la main, calé contre des coussins, je souris à Irina…voyons, nous parlions de quoi ?! C’est que j’étais parti si loin en de si charmants ébats (!) que je faillis demeurer coi devant son sourire divin… Mais elle ne m’en voulut pas et nous reprîmes l’air de rien notre étrange conversation…
Mon regard se posa sur un bas que dévoilait sa longue robe, je vis un long escarpin au bout de l’un de ses pieds fins qu’elle balançait en mesure… avec quelque désinvolture qui, je l’avoue, me séduisait… Elle s’approcha ainsi de moi, prit mon visage entre ses mains et sur mes lèvres appliqua un baiser des plus câlins ; la belle russe enveloppée de satins et de dentelles pour écrin, était ce joyau qu’on découvre, qu’on admire et n’ose caresser…
Rêve ou réalité ? Je voguais entre les deux, à la fois subjugué tout autant qu’amoureux, entre sentiments et orgie, désir et recueillement auprès de cette femme… Mon corps, mes sens l’appelaient, m’appelait-elle aussi ? Autour de nous, ces bruits feutrés, étouffés, ces corps pleins de vie et de luxure, ces folles postures, ces vices insensés, les regards de ces femmes énamourées, superbes, offertes et, à mes côtés cette Déesse droite qui me souriait, comme à l’écart en ces salons privés… Elle me tendit son verre…j’y bus…
Ainsi, allait-elle connaître - enfin - mes pensées…mes envies malhonnêtes, mes élans de jouisseur, de libertin satané, mais ses sens à Elle, que disaient-ils ? Je m’infiltrai en son regard, je fus vampirisé, brûlé de toute part et la chair irisée de ces frissons bizarres qui parcourent les Amants qui ne le sont pas encore, si ce n’est par les yeux, le trouble de ces corps qui se cherchent, se voudraient épouser, attendent, profitant d’une jouissance intérieure qui, dans l’instant, les satisfait…
Elle but où j’avais posé mes lèvres, passa sa fine langue sur les siennes en me fixant intensément… La belle russe m’envoûtait… j’étais à Elle, elle le savait, elle me tenait et dans les mots de notre conversation, c’était autant d’aveux que l’on se faisait… J’eus envie de la prendre, là, sur le long canapé, à deux pas de ma femme et du Comte qui la possédait sans discontinuer, corps en liesse, il prenait Françoise qui geignait ouverte à ses plaisirs, à ses caresses perverses…
Irina m’enlaça, nous basculâmes sur le côté, je pris sa bouche, ma main glissa vers ses hanches, se risqua vers ses fesses, elle se tendit, soupira et je connus l’averse d’un baiser d’une intense tiédeur, d’une douce humidité, sa langue me fourragea, je caressai ses bas, montai vers les jarretelles, elle m’attira, chaude, soupirante, langue dardée, AMANTE ! Je bandai, elle cerna de sa paume mon vit au travers de l’étoffe de mon habit, l’empauma rudement, branlina l’étoffe, mon vit se dressa de plus belle, je fis claquer l’une de ses jarretelles, elle geignit…
A nos côtés, la bergère craquait sous les assauts répétés de son mari en ma femme…comme il la prenait et comme elle jouissait…
A mon oreille, je perçus le murmure de la voix d’Irina qui, avec son bel et divin accent russe me susurra :
« Rrrregarrrdez-les, mon Cherrr, comme ils s’aiment sans nous… je veux aimerrrr, je vous veux VOUS… encorrre et encorrre, votrrre chairrr… venez… »
Elle était retroussée jusqu’en haut de ses bas qui gainaient ses cuisses magnifiques, la culotte en dentelle laissait par son ouverture passer quelques fines soies de son épaisse toison… Je m’accroupis, elle s’ouvrit… Je saisis mon verre et arrosai de vodka le beau sexe tapi…je mouillai les dentelles, elle gémit…
La fendelle blonde fut piquée par l’alcool, les lèvres s’entrouvrirent et aussitôt, je me mis à laper cette rose et haute bouche entrouverte aux fins poils mouillés…QUEL DELICE ! Le fin ventre se mit à houler sous les assauts répétés de ma langue qui se fit insistante, pénétrante, orvet dévergondé possédant la charmante beauté aux cuisses ouvertes, aux bas tendus, aux jarretelles tirées, d’une chaleur exquise qui m’empourprait les joues… Je lichai jusqu’à la dernière goutte…elle jouissait, m’embroussaillant les cheveux de ses longs doigts carminés, serrant ma tête entre ses mains longues, sans fin…
Après ce petit cunnilingus improvisé autant que soudain, elle voulut un baiser, je mêlai donc mes lèvres et ma langue à sa bouche, elle ingéra sa propre intimité, m’enlanguant sans compter, ardente, à son tour fouilleuse… Elle sortit mon membre de sa cachette et l’empoigna, le frotta, tournant en sa paume ce haut mâtin de chair en pleine dignité, décoiffa, recoiffa mon prépuce, insista sur sa veine, courut au long de son corps musculeux, gagna les couilles, les prit en sa paume, ne les lâcha plus, chercha mon cul, haletante…
Le Comte venait de jouir pour la troisième fois en mon épouse, il haletait, geignait, la serrait, leurs ventres s’épousaient, lui ferait-il un enfant ? Etait-ce qu’il voulait ? Ce qu’elle voulait aussi ? Le bel Aristocrate nu, ondoyait sur le corps de ma femme, ils m’excitaient… Irina murmura :
« Je veux l’amourrrr, mon Cherrr… prrrenez-moi, je vous prrriee… je n’en puis plus… »
De ma queue, elle se saisit, ouvrit les jambes, fit crisser érotiquement ses longs bas et ouverte déjà à ma queuline, se l’enfila prestement, terrible gourmandine, aussi racée que vicieuse… et dit :
« Ouiiii, c’est cellllaaa… mon Cherrrr Chérrrii, alleez, allez bien…le Comte et votrrre femme m’excitent… l’amourrrr… viiiitte… »
Je la prenais si fort qu’elle gémit tout de suite, folle, débordante d’envie, elle me griffa les reins, me mordit, faisant aller ses hanches en mouvements infinis qui me tiraient le bas-ventre….
« Faites-moi un enfant… un Frrrrançais… un petit qui vivrrra en Russie…notrrre enfant…celui de cette orrrgie, celui de notrrre Amour… Arrrmand… »
Je la pris de plus belle, j’étais à fond en elle, elle se soulevait, montait, descendait, comme une balancelle, superbement arquée, jouisseuse démesurée, j’étais en Elle, elle allait recevoir ma becquée, ma jutelle et nous aurions, peut-être, un héritier de nos Amours si belles et si fortes à la fois !
A présent, des couples s’étaient à nouveau formés : deux femmes s’occupaient de Françoise, deux belles et longues lesbiennes qui s’employaient à lui donner du plaisir, étroitement serrées contre elle, leurs bouches allaient et venaient en chaque partie de son corps… Françoise, les hanches relevées, cuisses ouvertes laissait boire à sa chatte une superbe blonde aux petits seins bien dessinés, à la croupe ondulante, au ventre plat, aux joues creusées, une belle prêtresse de Sappho… Le chignon bien tiré, un profil de Déesse, elle officiait avec adresse, ses mains courant sur mon épouse, buvant à la fente sans discontinuer, tandis que l’autre prêtresse la baisait en bouche, buvant son souffle et Françoise était folle de plaisir, geignant, se tordant, se tendant, prête à mourir de se laisser ainsi aimer…
Je jouis en Irina qui se redressa, arquant les reins, nos poils mêlés, mon vit aux tréfonds de son joli con si bien enfoutré… Elle mordit ma langue, je pris la sienne, la croquinai, nos langues s’entrelacèrent, bataillèrent joyeusement, je bus toute son haleine… Elle voulut du champagne…je lui en servis… Son mari vint vers nous, se pencha, la baisa et dit :
« Êtes-vous heurrreuse, ma Mie ? »
Elle ouvrit les yeux, prit sa bouche et dit :
« Tout comme vous, mon Ami, Arrrmand est un Amant de grrrande qualité… ».
Un peu plus loin, sur une bergère recouverte de velours vert et brodée de fils d’or, un trio s’agitait : un religieux et un valet prenaient à tour de rôle une belle femme-chienne les cuisses écartées ; le religieux sous elle faisait aller et venir sa grosse queue en son cul, tandis qu’un valet au-dessus la fouinait prestement en con, en maintenant ses jambes haut levées, enserrant ses mollets. La femme jouissait, se trémoussait, mise à fond par les deux jouteurs qui se démenaient comme forcenés, ahanant et soufflant… Il n’était point d’usage normalement qu’un serviteur se joignit à la fête, mais le délire et les débordements des sens entraînaient parfois des exceptions que les pulsions commandaient. Et puis, quelque mâle de plus, n’était point à dédaigner, tant les exigences charnelles se faisaient là sentir…
Je savais qu’Irina n’était point insensible au(x) charme(s) de ma femme, des regards appuyés le prouvaient. Nous aimons ces plaisirs si souvent partagés et lorsque je la vis gentement enlacer ma femme, la bien baiser en bouche et risquer des caresses que certains trouveraient osées entre deux Dames ( !), j’en fus ma foi flatté et tout émoustillé…Il est vrai que Françoise est une femme délicieuse et qui plaît, aux hommes comme aux femmes, elle aime aussi séduire et sans doute exciter, là quoi de plus normal quand on aime l’Amour et veut le partager !
Ma femme était en cour, ma foi bien engagée, gouinée avec amour par la belle Irina, à l’inquiétante beauté… Elles firent donc l’amour, ici, devant mes yeux et j’en fus fort troublé et devant d’autres gentes Dames et Seigneurs, de caresses appuyées en baisers prolongés, en des poses coquines, nanties d’une autre femme pour les bien dorloter…
Entre elles, je me pressai, de fait fus comblé, passant de Dame en Dame, pour de nouveaux effets… Aaaahh, comme étaient belles, toutes trois enlacées, leurs bas et jarretelles finement emmêlés !! Les langues de ces Belles sur ma chair agitées, firent des étincelles aux longs flots chauds nacrés… dont les chaudes Oiselles surent ici goûter…Et de se pourlécher comme de belles chattes, lichant la dernière goutte sur mon vit dressé…
Je vis des arcs en ciel aux chatoyants effets, tête entre des jarretelles et des bas qui crissaient, mettant feu à mes joues et tant de petits trous où ma langue rebelle s’amusa tant et prou ! Et je les vis chanter, je fus griffé par elles, à mon tour j’entonnai de belles romancelles sur un lit de péchés aux fossés pour venelles… Aaaahhh, femmes, femmes belles, vous m’avez tant donné !! Et puis, elles ont goûté à d’autres ritournelles, faisant ici appel à des… « coursiers » aux courses ma foi belles et qui les ont comblées… L’Homme n’est point le seul à les savoir aimer.
Les Destriers d’Amour
Des valets servirent vodka et champagne, des pâtisseries… Des chiens furent introduits… superbes Dalmatiens, des femmes furent aussitôt séduites, les caressèrent, leurs firent mille invites, s’étendirent, et les chiens les léchèrent, élégants, élancés, robes aux couleurs claires, de fort beaux destriers, fins, mais musclés, museaux renifleurs, fouineurs, de nouveaux Amants pour les plus enflammées…
Irina en fit venir un à ses côtés, un Dalmatien blanc de noir tacheté, le caressa amoureusement, langoureusement, voluptueusement, était-elle une habituée de ce genre d’accouplements ? Elle croisa mon regard, n’étais-je pas déjà excité de voir une telle femme recherchant d’autres plaisirs ?
De l’une de ses fines mains blanches, elle frottait doucement déjà le fin sexe bandé de l’animal qui se laissait faire, langue sortie… Elle pinçait délicatement le sexe, le préparait à quelque joute que je devinai, caressait gentement les couilles belles et fermes, devant être bien pleines et donner ainsi toute satisfaction… Le Dalmatien bandait, haletant légèrement, langue sortie, vit cramoisi, long, superbement long, élastique, souple, une vraie petite dague de chair tressautante…
Irina se mit à le feller, mouillant bien de salive le sexe dardé, belle, vicieuse, surprenante ; elle paraissait gourmande, lichait, picotait de sa langue pointue le long sexe tendu, allait d’un bout à l’autre, se hasardait sur les couillines, se laissait baiser en bouche par le bel animal qui, de temps en temps se retournait vers son visage… Je bandais… Irina s’étendit sur le canapé où nous nous étions aimés, je vis son beau conillon encore tout humide de mes jutées, se tendre vers l’animal qui, lové entre ses cuisses, la reptilisait et pointait déjà son sexe vers la fente adorée qui m’avait donné tant d’ivresses…
Allais-je être jaloux de ce nouvel Amant ? Point non… et ma curiosité, bien que j’eusse déjà vu bon nombre de ces fornications en nos salons ou en ceux de nos Amies adeptes de ces accouplements, ma curiosité disais-je était malgré tout titillée et j’attendais de voir cette union entre cette belle Aristocrate et son Amant quadrupède distingué…
D’autres femmes là-bas, des plus belles, se faisaient monter par deux ou trois coursiers, passant de l’une à l’autre, faisant leurs assauts bels, éreintant là ces Dames qui se voyaient comblées, de fins et délicats Amants aux serments beaux et muets, une fois les quittant…Chevauchées des plus belles, ébats des plus charmants pour Dames et Demoiselles aux sens en tourments… De cachées foutreries en bien secrète société…
J’étais abasourdi, je n’aurais jamais prêté de tels vices à Irina… Femme superbe, racée, intelligente, cultivée, elle se donnait, épanouissait ses sens, pareille à ces roses accueillant leurs bourdons…
La chose ne se fit point attendre : Irina fut aussitôt montée et de belle façon ! Le Dalmatien, jeune et déchaîné, s’employa à la pénétrer de bien gente manière, il la prit prestement, flancs creusés, arrière-train arqué, fine échine, queue repliée sur son derrière, ses fines pattes avant bien rivées à ses hanches, le vit allait venait d’une franche cadence et je voyais la chatte, cette chatte adorée, prise, enfouinée, les bords des lèvres roses intimes sans cesse fourragés, étirés, la dague rose s’enfonçant profondément entre les soies blondes humides ; mon foutre devait certainement être pour quelque chose dans une aussi rapide envitée…
La queue de l’animal y glissait à merveille…je décidai de me branler aux côtés de ma belle russe qui apprécia ma présence, tenant le chien entre ses bras, pressant son étroit poitrail contre ses seins et se laissant de temps en temps baiser en bouche par une langue longue et rose qui s’infiltrait entre ses lèvres… Ma masturbation me satisfaisait, mon vit était de bonne tenue… Ma femme plus loin se faisait monter par un autre Dalmatien de toute beauté, aérien, souple, beau coursier sachant bien monter les Dames à une cadence effrénée…
Ma femme jouissait, aux Anges, variant ainsi ses plaisirs : hommes, femmes et chiens… Irina jouissait :
« Aaaahhh, mon Ami, me dit-elle, quel plaisirrrr ! », les yeux renversés, souffle court, elle se tendait, se donnait, les couilles du chien reposant sur son conillet tout rempli de foutrin canin qui débordait des lèvres de sa fente…
Ma belle Amante était aussi zoophile –et je n’en savais rien !– C’était décidément la nuit de toutes les découvertes !
Le Dalmatien ayant quitté le beau conin, je vins présenter mon vit tressautant à la splendide fente entrebâillée, humide, dégoulinante d’un beau sirop visqueux autant qu’épais qui se perdait plus bas dans le fossé culin, mouillant l’anus généreusement… Je poussai en cette belle caverne tapissée de soies roses et prit gaillardement la place du chien, sans même laisser le temps de souffler à la belle zoophile encore haletante de la saillie ardente reçue… Elle gémit, m’accueillit, leva les jambes, s’ouvrit, quelle douceur, quelle chaude conine où je glissai avec délice, m’enfonçant jusqu’aux bourses, ma queue cernée du foutre doux juteux du chien…
Je bandais, mes Ami(e)s, je pris tout mon plaisir et en donnai le plus possible à ma partenaire, tant je sentais qu’elle aimait à être ainsi fouillée par mon vit, se sentant toute humide de cyprine et de foutre de l’animal qui l’avait si bien montée quelques instants plus tôt ; elle jouissait, yeux bleus grands ouverts, me fixant, poignardant mon âme d’Amant, puis refermait les paupières, les fines narines de son nez se pinçant ou se dilatant au rythme de son souffle…
Elle me mordit les lèvres et je poussai plus loin en elle, pénétrant toute sa chatte au comble de la jouissance, ses lèvres intimes se dilatant, s’ouvrant au long de ma queue, orchidée rose douce et chaude m’avalant, carnivore bouche aux spasmes latents qui faisaient s’iriser ma bite…Je glissai mes mains sous ses jolies fesses, l’attirai un peu plus à moi, j’étais planté en elle comme un pieu de chair aux raides insistances… Nous jouîmes en même temps, feu d’artifice éblouissant qui me brouilla les yeux, je ne quittai pas sa bouche, ma langue la fouillant, je la buvais toute, assoiffé dans ma quête d’Amour toujours plus exigeante…
Françoise équipée d’un gigantesque godemichet, prenait comme une démente, le conin écarté d’une belle femme mûre, d’un blond-roux qui donnait bien du con sur le vit artificiel qui fort la besognait ; un Dalmatien monté sur les fesses de ma Mie, forniquait, coups de vit dans le vide, au-dessus du fossé et bandé à l’extrême par les frôlements de cul de ma Mie à chaque fois qu’elle soulevait les hanches pour mieux enfiler sa lesbienne comparse, il raidissait un peu plus à chaque contact avec les belles fesses ; l’animal bandait, un vit long et rouge, suprêmement dilaté, une bite de choix…Il parvint au bout de quelques instants, à planter dans le fossé culin son boutejoie, faisant danser ses couilles entre les deux fesses…
Le chien geignait demandant à ce qu’on le guidât, ma foi, sans tarder, l’excitation de la bête étant à son paroxysme… Françoise s’arrêta d’enfouiner sa belle gouine, glissa une main entre ses fesses et le ventre du chien, se saisit de sa bite, la tâta de ses doigts et de l’autre main, s’écarta le fion, pointa le vit dans l’anus… le chien poussa, comme un forcené, geignant, heureux de parvenir à enfiler cette femme qui l’avait mis en de si belles dispositions… Il forniqua en cul…
Ma femme reprit ses envitements dans sa lesbienne et le trot fut mené, godemichet en conin et le chien qui enserrait ses hanches, et je voyais le cul de ma divine épouse, bellement balancer au rythme des envitées de l’animal puissant qui la dominait toute, excité par les muscs intimes de ces deux femmes en train de se baiser, là, sous son museau… Ma Chère Mie avait décidément bien donné du séant tout au long de ces ébats.
Je déconnai du beau sexe d’Irina, la retournai doucement et lui dis à l’oreille :
« Amante chérie, je vous voudrais sodomiser, goûter une fois de plus à votre si joli cul, ce paradis satiné… », tout ceci assorti d’un essoufflement et d’une émotion sensuelle des plus vifs…
Elle souffla :
« Prrrenez mon cul, mon bon Seigneur, crrrevez la fleur que vous aimez tant… je veux vous donner du plaisirrr…allez…vite chérrriii… »
Je m’installai sur ses fesses, les écartai, l’œil était là, rose, épanoui, bouche pincée, anale cavité aux trésors enfouis… Je la pris…délice et volupté…je m’enfouis…poignardant cet œil rose où déjà mon prépuce glissait, sa grosse veine distendant les si délicats tissus qui s’écartaient peu à peu sous ma poussée souveraine…
Elle gémit, se colla plus étroitement au lit, je venais à elle, ses fesses me recevaient, calmes, ouvertes, tièdes à souhait…ses longs bas et jarretelles crissaient délicieusement sous les mouvements de mes cuisses et de mon corps qui la couvrait… J’étais collé à elle, plus rien autour de nous ne nous importait, les râles, les cris, les mots osés, je l’enculais, divine et belle…
Mon jet bouillant inonda son culin qui se redressa soudain sous l’ondée, elle serra l’anus, me retint, montant son figne sur mon vit, gagna mes couilles, les rondeurs de ses fesses venant les emprisonner… Je la foutais, raidissant ma queue, la bandant bien qu’ayant déchargé, mon prépuce fouillant ses entrailles, l’on ne savait plus qui prenait l’autre… Je la baisai en cou, la mordillai, lui fit un suçon des plus fort qui subsista au creux du cou et de l’épaule… je la retins entre mes dents… comme un Lion à sa Lionne… Nous ne bougeâmes plus, nous étions soudés, elle mit la tête de côté sur le drap, yeux fermés, soupira, serra encore les fesses, mon arc se tendit, expulsant encore un peu de foutre en son fondement…
Je déculai d’elle et m’étendis sur ses fesses finissant de bander sur elles, mon vit pareil à un animal mouillé, repliant sa détresse… Il resta blotti sur son fossé…Nous restâmes ainsi, étrangers à TOUT… ELLE m’avait tout donné, je n’étais pas près d’oublier cette Femme !
Les couples se séparaient… Deux heures du matin… Chacun faisait une abondante toilette en de privés cabinets où eau, parfums et serviettes, assortis de canules pour des clystères en des endroits retirés très souvent visités au long de ces ébats et salutaires à leur hygiène…
Peu à peu, les invités réapparurent, habillés, ayant noble figure en habit d’apparat, un peu fatigués peut-être… mais joyeux et apaisés, affichant un bienêtre, heureux de vivre de tels instants privilégiés… Les Dames aux yeux cernés étaient encore plus belles…
Et puis, ce fut le Grand Souper, l’Apothéose ! Chacun soupa de fort bon appétit, l’on but, l’on rit, l’on devisa, les chiens prenant part au festin…
Les carrosses et traîneaux furent amenés, les invités prirent congé, l’on se congratula, assauts de civilités, l’on se baisa, l’on s’étreignit et puis…fouette cocher…
Nous dormions au palais. Le lendemain matin, nous partîmes aux aurores… collation… tristesse…tendresse… larmes dans les beaux yeux de ces Dames… jurant de nous retrouver… J’étreignis avec flamme ma belle Irina qui me baisa à tout cœur, sa langue faisant un serment en ma bouche, je sentis sa chaleur et l’une de ses larmes sur ma joue coula… Irina murmura :
« Aurrrai-je, mon Aimé, un bel enfant de toi ? »
C’était la première fois, par émotion sans doute, que l’on se tutoyait… Mais je sus par la suite, de la bouche de Françoise, que le Comte lui avait murmuré :
« Frrrançoise… prrrends garde à notrrre enfant… »
Que dire après de si émouvants instants ? Nous emportions l’AMOUR en nos bagages.
Nous montâmes en carrosse. Irina me tendit un billet qui venait d’arriver, dépêché par l’un de leurs Amis vénitiens… un nommé… Giacomo (?) nous priant à le venir visiter en faisant un détour par Venezia… Il y comptait. Nous allions rencontrer le grand Casanova…
Quelques flocons de neige dans les cheveux blonds d’Irina… la fièvre me gagnait… Françoise d’une petite voix au Comte murmura :
« Au revoir, mon Aimé… »
Et Moscou s’éloigna tout écriné de neige…
(A suivre)
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