Les Mémoires très Libertines de Sophie
Aventures bretonnes - Pouvoirs
Ronan et moi, Gwenaëlle, nous sommes jumeaux et comme tous les jumeaux, nous sommes inséparables. Agés de vingt ans, nous vivons encore chez nos parents à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest de Rennes, où nous poursuivons nos études en faculté.
Notre père est maitre de manège à l’Ecole Militaire de Saint Cyr et notre mère passe le plus clair de ses journées à peindre. Elle a un talent certain et commence à être connue. Ils se sont rencontrés à Paris, au Salon du cheval où notre père, alors à la Garde républicaine, participait à une présentation et ma mère, qui était aux Beaux Arts, croquais sur le vif des scènes qu’elle allait peindre ensuite ou faisait des caricatures au fusain. Malgré une dizaine d’années de différence d’âge, ce fut le coup de foudre.
Alors que nous avions une douzaine d’années, nous avons quitté Paris et nos parents sont venus s’installer dans une ferme à quelques kilomètres de Guer où nous avons pu facilement abriter les chevaux de la famille. De longues chevauchées occupaient notre temps libre. Nous courrions cette forêt bretonne pleine de légendes qu’est la belle et grande forêt de Paimpont, tantôt seuls, tantôt accompagnés de notre mère qui était devenue une écuyère remarquable.
Quand nous étions adolescents, nous nous arrangions pour espionner nos parents lors de leurs étreintes amoureuses. La première fois, nous avions quinze ans, notre attention avait été attirée en pleine nuit par des sortes de gémissements venant du rez de chaussée de la maison.
Ronan et moi nous sommes sortis de nos chambres et, depuis la mezzanine, nous avons découvert nos parents en train de baiser sur la table de la salle de séjour. Notre mère, dans la plénitude de ses quarante ans, était allongée nue sur la table, les jambes relevées en appui sur les épaules de notre père qui la besognait avec vigueur. Nous n’étions pas ignorants des choses du sexe, mais nous n’avions encore jamais vu un couple faire l’amour.
Le spectacle nous a particulièrement excités. Je sentais comme une sorte de chaleur dans ma chatte et en me tournant vers mon frère, je vis qu’il caressait sa bite par-dessus son boxer. Sans bruit, nous sommes retournés dans sa chambre où nous avons continué de nous caresser. Pour être à notre aise, nous nous sommes mis nus tous les deux. Ce n’était pas la première fois que je me caressais ainsi, mais là, devant mon frère jumeau, ma jouissance fut encore plus vive.
Lui, de son côté, se masturbait également avec vigueur jusqu’à ce qu’une giclée de sperme vienne maculer mes pieds. Discrètement nous avons éclaté de rire puis, tout aussi discrètement, j’ai regagné ma chambre.
Après cette nuit mémorable, il nous arrivait encore de surprendre nos parents qui ne se doutaient de rien. Ronan et moi, nous nous retrouvions chaque fois pour des séances de masturbation et de caresses mutuelles.
Nous n’avions plus de secrets l’un pour l’autre, nous connaissions le corps de l’autre comme deux amants se connaissent mais jamais il ne m’a pénétrée, tout juste a-t-il fait, une fois ou l’autre, courir un doigt entre les lèvres de ma chatte pour y cueillir ma cyprine après la jouissance pour la gouter. Puis nous avons eu des flirts. Là encore nous partagions nos impressions mais c’est là que, l’un et l’autre, nous avons fait une découverte pour le moins inattendue.
Nous avons constaté en échangeant nos impressions que lorsque je me trouvais avec une fille ou plus rarement un garçon Ronan le sentait. Lorsque nous nous retrouvions, il me taquinait. Réciproquement, je savais quand il avait fait une conquête.
Nous le sentions au fond de nous et nous ressentions le plaisir que le partenaire éprouvait. Par exemple, le jour de nos 17 ans, lorsque Ronan a baisé pour la première fois, j’ai ressenti la douleur puis le plaisir que j’ai ressenti plus tard lorsque j’ai été déflorée par mon premier copain. Initiée aux plaisirs saphiques par Hermine, une camarade de lycée, jusqu’à ce jour j’avais toujours préféré les filles. Plus le temps a passé, plus cette sensation commune s’est développée et nous en avons bien profité.
C’est ainsi que lors de notre dernière année de lycée et les premières années en Faculté, nous avons multiplié les aventures amoureuses. Avant que mon frère n’ait jeté son dévolu sur une fille, je pressentais celle qu’il allait tenter de conquérir et je faisais tout pour les rapprocher. De son côté il procédait de la même manière.
On aurait dit que nous agissions par télépathie pour savoir qui allait succomber à nos charmes. Mais notre meilleure prise, si on peut dire, nous l’avons réalisée peu de temps après notre entrée à la Faculté. En bavardant avec Mélanie, une étudiante comme nous, j’ai découvert qu’elle aussi avait un frère jumeau et que nous habitions sans le savoir le même village.
Métisse originaire de la Martinique, elle possédait un teint mat très foncé, des cheveux longs et noirs légèrement ondulés. Grande et longiligne elle possédait une paire de seins de belle taille haut placés (j’ai immédiatement pensé qu’ils seraient certainement très au gout de Ronan) et de hanches galbées. Je l’ai invitée à venir nous voir à la ferme avec son frère Nicolas le samedi suivant afin de faire plus amplement connaissance.
Mélanie et Nicolas sont arrivés en voiture en début d’après midi. Oulla! Quel beau gosse ce Nicolas! Grand et mince avec des épaules carrées moulées dans un teeshirt très ajusté qui laissait apercevoir ses muscles, avec la même peau mate que sa sœur, les cheveux coupés presque ras, et des mains, larges faites pour caresser.
Nicolas poursuivait ses études dans une école d’ingénieurs à Nantes, ce qui explique que jusqu’à aujourd’hui nous ne l’avions pas vu. En bavardant tous les quatre, nous sommes arrivés près des boxes des chevaux mais Mélanie et Nicolas ont décliné notre invitation pour une ballade à quatre. En revanche, Nicolas nous a indiqué connaitre un endroit si nous voulions profiter de ce bel après midi d’automne encore ensoleillé pour un bain dans la rivière proche. Je suis passée rapidement à la maison chercher des serviettes et enfiler mon maillot de bain.
Après quelques kilomètres de voiture, Nicolas s’est engagé dans un petit chemin forestier. Soudain nous avons débouché dans une petite prairie bordant la rivière. C’est vrai que le coin était charmant et discret au possible. Ronan et Nicolas ont quitté rapidement leurs vêtements, ne conservant que leur boxer.
Mélanie a fait glisser sa mini jupe et ôté son teeshirt et son soutien gorge, ne conservant que son string. Waouh! Quelle poitrine! J’en serais presque jalouse: de beaux seins en pomme avec des aréoles très foncées et des tétons gros comme un pois chiche. Je l’ai rapidement imitée mais en conservant le soutif car mes seins (trop petits à mon gout) me complexaient un peu. Nous avons rejoint les garçons qui s’ébattaient déjà dans l’eau encore tiède pour la saison. Comme des enfants, nous avons commencé à nous éclabousser, à nous poursuivre sur le semblant de plage à l’ombre d’un grand saule. Mélanie et moi, nous sommes sorties de l’eau.
Les garçons nous ont rejoints. Prenant une grande serviette, Nicolas est venu la poser sur mes épaules et il a commencé à m’essuyer:
« Il ne faut pas prendre froid. »
A quelques pas de nous, je voyais Ronan. Il semblait fasciné par Mélanie, le regard fixé sur ses seins. J’ai pensé: « Fais en autant ». A son tour, il a pris une serviette et a essuyé d’abord les cheveux longs de Mélanie, puis ses épaules et le reste de son corps.
Soudain, Nicolas a fait sauter l’agrafe de mon soutif, et posant une main sur mon sein gauche il est venu cueillir le téton en le faisant rouler entre ses doigts. De l’autre en empaumant une de mes fesses, il a glissé une de ses cuisses entre les miennes. Déjà conquise, je me suis ouverte. Il est venu masser mon petit abricot tout lisse par-dessus le string mais il n’a pas tardé à le faire glisser.
A quelques pas de nous, Ronan et Mélanie, nus tous les deux étaient déjà bien en train. A genoux entre les cuisses de Mélanie qui était en levrette, mon frère la besognait avec ardeur. J’ai basculé sur la serviette qui était tombée à terre en entrainant Nicolas qui, d’une longue et puissante poussée a pris possession de ma chatte chaude et humide. Que c’était bon cette séance improvisée qui nous a conduit tous les quatre vers une belle jouissance partagée.
Quelques temps après, de retour à la maison, Mélanie me complimenta sur ma chatte lisse. J’avais vu qu’elle avait une belle touffe de poils bien drus et crépus. Je lui répondis alors que j’aimais bien cette sensation de nudité totale et que dès que j’avais pu le faire, j’avais subi une épilation au laser. Ainsi, j’étais débarrassée définitivement de mes poils. Je lui offris de la raser lorsqu’elle en aurait envie.
Sur le coup, elle ne dit ni oui ni non. Nos parents étant absents pour plusieurs jours, nous improvisâmes un barbecue et nous avons ainsi passé ensemble le reste de la soirée en bavardant. Nous avions chacun nos partenaires pour la nuit. C’était génial, une belle nuit de baise en perspective.
Mélanie m’entraina à l’écart quand nous sommes arrivés devant nos chambres respectives:
« Je suis décidée, veux-tu me raser ce soir ? »
Pas de problème. Nous sommes allés dans la salle de bain attenante aux chambres où je savais trouver ce dont j’avais besoin parmi les affaires de Ronan. Pour être plus à notre aise, nous nous sommes mises nues toutes les deux.
Avec des ciseaux, j’ai d’abord enlevé un maximum de poils puis j’ai enduit la toison restante d’une mousse abondante. Avec de petits gestes précis, j’ai éliminé d’abords les poils de l’entrejambe puis ceux bordant les lèvres. Je voulais terminer par les zones les plus délicates.
Après un premier rinçage il ne restait plus que quelques poils qui avaient échappé au rasoir. Je les ai enlevés à leur tour avant d’enduire la zone d’une pommade apaisante et de la poudrer pour éliminer le feu du rasoir.
Pendant toute l’opération, les deux garçons nous avaient observées, la bite dressée dans le boxer et moi j’avais la chatte en émoi. J’étais mouillée comme jamais mais c’est vers Mélanie que je suis allée, j’ai pris ses seins dans mes mains pour les masser et je lui ai embrassé la chatte, faisant courir ma langue entre ses lèvres intimes. Elle ne m’a pas repoussée. Elle aussi avait la chatte baveuse de cyprine.
Ce jour là, nous ne sommes pas allées plus loin. Je ne voulais pas l’effaroucher en précipitant les choses. Mais le fait qu’elle ne me repousse pas ouvrait des horizons…
J’ai entrainé Nicolas dans ma chambre et Ronan a conduit Mélanie dans la sienne. Les uns et les autres, nous avons baisé plusieurs fois au cours de la nuit.
Nicolas et Mélanie nous ont quittés après le petit déjeuner. Quelques semaines plus tard, Mélanie m’a téléphoné un soir car elle voulait que je la rase à nouveau. Elle avait acheté le nécessaire et elle voulait que je passe chez elle.
Cette nouvelle séance de rasage s’est terminée par une belle partie saphique. Nous étions bi toutes les deux. Nous avons passé la nuit à faire l’amour, nous contentant tantôt de caresses buccales ou manuelles tantôt en usant de gadgets divers. Au matin, nous étions ivres de jouissance. Cela m’ouvrait des perspectives intéressantes....
SIgné : Gerard le Matou
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Aiyana, ou les aventures libertines d’une jolie fleur (histoire en 4 épisodes).
Un 5 à 7 qui se prolonge.
Aiyana : Après nos rencontres virtuelles et nos multiples échanges sur internet, nous nous voyons pour la première fois en chair et en os. C’est si troublant de t’accueillir ainsi à l’aéroport…
Sans mot, nous nous serrons l'un contre l'autre comme deux amants qui se retrouvent après une séparation trop longue. Je mets mes mains autour de ton cou, caresse ta belle barbe. Et je t'embrasse. Nos langues s'entremêlent, enivrant nos corps d'une sensation excitante et légère. Tes mains glissent le long de ma taille.
« Enfin tu es là ! Depuis trois semaines bientôt, je ne tiens plus en place depuis que nous avons prévu de nous retrouver cet après midi ! »
Non ce n'est pas un rêve, tu es bien là ! Je lis dans tes yeux la même excitation que la mienne. Sur la route qui nous conduit à mon appartement, je sens que tu m'observes et que tu n’es pas insensible à la petite robe légère et courte qui laisse apparaitre mes jambes et le haut de mes cuisses. Tu as envie de laisser glisser tes mains sur ma peau et de remonter doucement vers mon trésor intime ! N’est-ce pas grand coquin ? Tu me regardes, tu souris et je me sens alors si bien !
Nous arrivons chez moi où je suis seule pour deux semaines encore, car mon copain est sur un chantier à l’autre bout de la France. Je craque dans l'ascenseur qui nous monte dans mon appartement. Je me colle contre toi et tu m'embrasses à nouveau. Tu glisses tes mains derrière mes cuisses, remontes, caresses doucement mes fesses. Mumm… C’est bon que tu sois enfin près de moi.
L'ascenseur s'ouvre, et je te fais entrer chez moi. La porte à peine claquée tant je suis surexcitée, nous reprenons notre étreinte.
« Viens vite, j’ai soif de toi ! Tes coquineries sur la toile et tes histoires coquines m’ont bien chauffée ! »
Tu arraches ma culotte humide et fais glisser les bretelles de ma robe qui tombe sur la moquette. Mes petits seins libres sous la robe sont tendus de désir. Tu les embrasses et lèches délicatement les tétons. Je les sens durcir sous ta langue experte. Tu me portes et me déposes sur le canapé...
La tête entre mes cuisses, tu embrasses mon intimité :
« Oui ! C’est bon ! Continue, je sens bien ta langue dans ma fente ! »
J'ondule de plaisir et laisse échapper des gémissements. Tu te relèves, tu te couvres et me pénètres enfin. Ton sexe entre en moi si facilement, je suis si mouillée ! Cette sensation chaude, douce et humide me transporte.
Tu me prends ainsi, de plus en plus vite, et de plus en plus fort alors que je suis à moitié allongée sur le canapé. Ta bouche enfouie dans la chair tiède de mon cou, tes mains explorent les recoins les plus intimes de mon corps, me secouent de délicieux frissons. Tu me fais gémir, haleter, retardant au maximum ma jouissance pour qu'elle soit divine. Je sens ta bite qui sort de mon petit abricot fendu pour y entrer à nouveau.
Puis, n’y tenant plus, tu t’enfonces d’un seul coup de reins dans ma chatte inondée. Tu plies légèrement les genoux pour te redresser, et, d’un élan violent, bestial, ton sexe triomphant s’introduit jusqu'à la garde. Tu prends possession de moi mon amour et je me mords les lèvres pour ne pas exploser de plaisir. Jusqu'à ce moment magique où, te sentant jouir entre mes cuisses désarmées, je ne peux plus me retenir, submergée, inondée de plaisir...
« Oh mon trésor que c’est bon ! »
Moi : Oh oui que c'était bon ! Je suis ravi de ton accueil. J'avais deviné quand tu m'as ouvert les bras à l'aéroport de Biarritz que tes seins coquins étaient libres de toute entrave sous ta robe légère.
C’est vrai aussi qu’ils n’ont guère besoin de soutien ! Lorsque nous sommes arrivés dans ton grand studio, j'ai ainsi eu vite fait de te dénuder entièrement ! Tu étais à ma merci mais consentante à tout ce qui allait se dérouler. L'un comme l'autre, nous savions ce que nous attentions de cette rencontre : prendre beaucoup de plaisir ensemble…
Après avoir récupéré un peu de nos émotions en buvant un verre de jus de fruits, tu quittes le canapé pour débarrasser les verres. A ton retour, je te vois avec surprise te mettre à genoux devant moi. Tu écartes mes cuisses et de ta jolie bouche tu viens gober ma bite qui est au repos. Quelques léchouilles et aspirations plus tard, elle commence à se redresser et reprenant uniquement mon gland entre tes lèvres, tu continues cette divine fellation.
Je sens ta langue jouer avec le bout, caresser le méat. Humm ! Que c’est bon ! De ta main droite tu caresses mes couilles pour accentuer la nouvelle montée de sève et ta main gauche est entre tes cuisses pour caresser ta chatte.
Le spectacle vaut son pesant d'or ! Lorsque tu sens que je suis prêt pour une nouvelle joute, tu te places à genoux sur le canapé en te mettant en levrette. Nos conversations antérieures avaient évoqué notre goût respectif pour cette position dans laquelle toute l'animalité de l'Homme se révèle. J'ai compris le message !
Je viens me placer derrière toi, j'enserre ta taille de mes mains et après avoir enfilé un préservatif, d'un coup, j'enfonce mon sexe jusqu'à la garde dans ta chatte en faisant claquer mes cuisses contre tes fesses.
Après avoir savouré cette intrusion, je commence un va-et-vient lent et profond. Tu ne tardes pas à exprimer ta satisfaction ! Tes soupirs et gémissements se font de plus en plus forts et je sens notre excitation monter à nouveau vers le paroxysme. Ma jouissance est assez longue à venir car mon âge est là (j’ai presque le double du tien) et je la retarde aussi pour que la tienne soit aussi complète que possible.
Tu jouis une première fois alors que je ne me suis pas encore libéré !
« Encore ! »
Oui, je reprends le va-et-vient dans ta chatte qui est trempée de mouille. Je glisse sans effort dans ta gaine et je sens tes muscles internes me travailler le sexe. Nous jouissons ensemble au moment où je me répands au fond du préservatif. Tu te retires d'un mouvement souple et mes dernières giclées de sperme finissent entre tes fesses et au bas de ton dos ! J’ai enlevé prestement cet accessoire barbare mais nécessaire.
Restant dans cette position tu viens recueillir mon sperme qui a maculé tes reins et tu suces ensuite tes doigts pour en apprécier la saveur en mélangeant aussi ta mouille qui est abondante.
« Humm ! Que c'est bon ! »
Je ne sais si c'est le goût ou les sensations retirées de notre étreinte. L'un et l'autre nous avons besoin de souffler un peu et nous nous allongeons sur ton divan collés l'un à l'autre dans la position de la cuillère.
Je suis le dos contre le dossier et tu es collée à moi. Après quelques mouvements tu trouves ta position : tu t'es arrangée pour que tes fesses viennent au contact de mon bas ventre pour sentir ma bite dans ton sillon fessier. De mon côté, je viens cueillir ton sein droit et je triture le téton qui est bien dressé. Tu ronronnes comme une chatte satisfaite des caresses de son maître.
Quelques temps plus tard, en fait nous nous sommes endormis, il fait nuit. Dans la pénombre, je te vois te diriger, entièrement nue, vers ta cuisine et, alors que je n'ai pas bougé, savourant mon bonheur, tu reviens avec un en-cas que nous dégustons à la lumière de quelques bougies que tu as allumées. Nous bavardons ensuite quelques temps et au moment où je veux te quitter pour regagner la chambre d'hôtel réservée à l'avance, tu me dis :
« Reste ! J’ai envie que nous passions la nuit ensemble ! Cela fait quelques temps que je n'ai pas eu cette opportunité ! Mon copain est absent depuis trop longtemps ! »
La nuit, après un sommeil réparateur, nous apporte de nouvelles forces. Au réveil, tu es blottie entre mes bras et ta main droite part en exploration vers ma bite qui, comme presque tous les matins, est déjà bien bandée.
Ta caresse achève de rendre mon sexe turgescent. Tu enjambes mon corps et te mettant accroupie, tu viens t'empaler sur mon sexe dressé. Je n’ai pas eu le temps de me couvrir. C'est toi qui effectue le va-et-vient alors que je me contente de te maintenir par la taille.
Je sens ma sève monter et comme hier soir tes muscles intimes travaillent pour augmenter mes sensations. Je vois tes seins qui se tendent vers moi. Sans que je les caresse, les tétons pointent au point que l'on croirait que deux bouches invisibles les sucent pour les faire se dresser.
Quel spectacle tu m'offres ! Bientôt nous jouissons ensemble et sans nous désunir, tu t'allonges sur moi en me gardant prisonnier de ta chatte. Quelle douce sensation de rester dans ton fourreau brûlant où nos jouissances se sont mêlées.
Après quelques temps nous nous séparons et tu pars vers ta salle de bains nue comme au premier jour ! Tu en ressors habillée d'un petit tailleur avec une jupe courte qui dévoile la moitié de tes cuisses. Pendant que tu nous prépares un petit déjeuner reconstituant, je passe également dans la salle de bains où tu as tout prévu pour moi : rasoir jetable, lotion, etc. Oh quelle coquine tu fais ! Tu avais tout manigancé pour me retenir jusqu'au matin.
Malheureusement nous sommes obligés de nous séparer : J’ai rendez vous à Bordeaux en début d’après midi et toi, tu en as un pour ton boulot vers onze heures. Nous nous promettons de renouveler cette excellente expérience dans quelques temps mais tu me poses de conditions ! Nous conservons notre entière liberté, pas question d'aller au delà d'une amitié complice. Cela me convient ! Je commande un taxi pour aller à la gare et je prends congé de toi non sans un dernier échange de baisers fous.
A suivre...
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Aventures Bretonnes - L'Initiatrice
Edwige mon initiatrice.
Pour nos dix-sept ans, Gwenaëlle, ma sœur jumelle s’était arrangée avec la mère d’Armelle, une copine de lycée pour que nous allions tous faire la fête dans leur résidence secondaire située à quelques centaines de mètres de la plage. Pour ce pont du mois de mai, nous nous sommes retrouvés à une douzaine de garçons et de filles.
Divorcée, la mère d’Armelle était là aussi. Nous étions tous mineurs et nos parents respectifs avaient incité à la présence d’au moins un adulte dans la maison. Notre mère nous avait conduit et amené tous ce qu’il fallait pour bien nous amuser le vendredi et le samedi. Elle était repartie à Guer et devait venir nous rechercher le samedi. A l’approche des examens, il ne fallait pas plaisanter avec les révisions.
La fête a commencé par un barbecue préparé par Edwige et notre mère. L’après-midi, comme il faisait beau et chaud, nous sommes allés jusqu’à la plage où les plus courageux se sont baignés. Les autres se sont contentés de lézarder au soleil tout en flirtant tranquillement.
Edwige nous avait préparé le goûter dans la salle de séjour décorée pour la circonstance. La surprise était totale. Après nous être restaurés, nous avons commencé à danser. J’avais invité une copine et ma sœur était avec sa complice habituelle des plaisirs de Lesbos. Ce n’était un secret pour personne dans notre petite bande de copains.
Chacun avait sa partenaire et les flirts allaient bon train. Au cours de la soirée, j’ai peut être eu tort de vouloir pousser trop loin avec Odile car nous nous sommes disputés et, fâchée, elle nous a quittés pour rentrer chez elle en scooter. Pour une soirée d’anniversaire c’était réussi. Je me retrouvais seul. Je me suis donc occupé de la musique et du ravitaillement en boissons diverses et sans alcool.
Vers minuit, Edwige est arrivée avec deux magnifiques gâteaux et deux bouteilles de cidre. Nous étions en Bretagne que diable ! Ma mère avait du lui confier que nous étions nés peu après minuit. C’était là le moment idéal pour souffler les bougies. Nous avons encore dansé un peu et, pour que je ne sois pas seul, Edwige m’a demandé si elle pouvait me tenir lieu de cavalière pour cette fin de soirée. Cela m’était déjà arrivé de danser avec une femme plus âgée, mais qu’Edwige me fasse cet honneur, j’en étais fier.
Au bout de quelques temps, les danseurs se sont éclipsés pour aller dormir ou faire autre chose... Je me suis retrouvé seul avec ma cavalière qui, devant mon air morose, cherchait à me faire oublier ma déconvenue en bavardant quelques instants.
« Il sera temps de mettre de l’ordre demain matin », me dit-elle soudain en se levant pour me prendre dans ses bras.
Collée contre moi en cherchant mes lèvres pour un baiser ardent, elle ondulait du bassin, faisant naître dans mon jean une belle érection. Remontant mon polo, elle a agacé mes tétons d’une main et de l’autre, elle est partie explorer mon slip, massant ma bite de bas en haut et pelotant les bourses :
« Je vais t’offrir un cadeau d’anniversaire original, m’a-t-elle dit, viens, ne fais pas de bruit ! »
Alors que tous étaient montés à l’étage, Edwige m’a conduit dans sa chambre située dans un petit bâtiment relié à l’habitation principale par une galerie vitrée.
« Là, nous serons tranquilles ! »
Avec des chaussures à talons, elle était presque aussi grande que moi, sportive accomplie, elle avait su garder une silhouette longiligne malgré deux grossesses, une taille très fine au dessus de hanches évasée et une poitrine haut perchée d’un volume important.
Elle a ôté tous mes vêtements. Nu devant elle, j’étais un peu intimidé mais elle m’a encouragé en disant de la déshabiller à mon tour. Cela fut vite fait car elle ne portait qu’une robe un peu vague que je fis passer par-dessus ses épaules, dévoilant des dessous de dentelle blanche qui tranchaient sur sa peau mate. D’un geste rapide, elle dégrafa son soutien gorge et je vis apparaître deux seins laiteux avec des veinules bleues et des tétons peu saillants. De même elle fit glisser sa culotte découvrant sa chatte lisse et nue. Waouh ! Quelle belle femme dans toute la maturité de la quarantaine !
Ma bite, déjà fort bien bandée, se redressa encore plus. Edwige se mit à genoux devant moi, embrassant légèrement mes tétons au passage, et emboucha mon sexe jusqu’à la garde. Je connaissais cette caresse, mais là, d’emblée faite par une femme qui allait m’initier, quel plaisir. Je passais ma main dans ses cheveux, descendant sur sa nuque, ses épaules puis, je cueillis ses deux seins. Elle cessa de sucer ma bite pour aller s’allonger sur le lit où elle m’attira.
Je ne cherchai pas mon chemin pour la pénétrer. Ma bite trouva comme par enchantement l’entrée de sa vulve et c’est avec délices que je m’introduisis dans ce fourreau chaud et humide.
« Prends ton temps, ne précipite pas les choses, me dit t-elle en posant ses mains de chaque côté de mes hanches, laisse moi te guider ! »
C’est vrai que j’allais un peu vite en besogne, si Edwige n’avait pas freiné mon ardeur, j’aurais certainement pris mon plaisir égoïstement sans penser à elle. Ses gémissements étaient de plus en plus forts et elle s’agitait sous moi.
« Viens, c’est le moment ! »
Elle imprimait les mouvements de va et viens à mon bassin pour finir par le plaquer contre le sien au moment où notre jouissance éclatait.
Pour la première fois, je déversais mon sperme dans le sexe d’une femme. C’était bien meilleur que la masturbation à laquelle je me livrais assez souvent. Nous fîmes l’amour une seconde fois au cours de cette nuit merveilleuse. Après quelques caresses, Edwige me fit mettre sur le dos pour venir s’empaler sur mon sexe dressé. Je me laissais faire, je sentais mon gland pressé par des muscles intimes au fond du fourreau. Le plaisir nous entraîna à nouveau et Edwige s’écroula sur moi, ma bite restant fichée en elle.
Au petit matin, elle me fit regagner ma chambre discrètement. Je la remerciai de son cadeau si original. Quand nous nous rencontrons incidemment, nous échangeons un clin d’œil complice mais nous n’avons plus jamais couché ensemble.
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Accident...
Chers amis, chers visiteurs
Mercredi, 9 mai, j'ai été victime d'un accident de voiture assez grave, qui m'empèche d'être sur le net comme je voudrais....
Je ne pourai plus publier aussi souvent qu'avant, pendant quelques temps.
Aussi je vous invite à explorer le blog, et les 480 histoires qui le composent...
Tendres baisers calins à vous...
Votre Sophie
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Chaude Stéphanie
Alain, beau jeune homme de vingt-cinq ans, et sa copine Stéphanie, pulpeuse blonde de vingt-deux ans, décident de passer le week-end à la mer, afin d'y préparer leur appartement pour les vacances d'été. Il fait une chaleur torride en cette fin de printemps. Une fois le nettoyage terminé, ils estiment avoir le mérite de profiter de la plage avant de rentrer à Tarbes. Stéphanie est magnifique, campée sur ses talons compensés, qui font ressortir ses seins voluptueux. Elle attire pas mal de regards masculins….
Arrivé sur la plage, le couple s'allonge sur leurs serviettes, pour se faire dorer au soleil… Au bout de dix minutes, Alain se lève pour aller se baigner. Stéphanie, elle, s'assoupit.
Alain revient et éclabousse sa copine.
« Tu vas te régaler ma chérie, dit-il, l'eau est comme ta chatte aime : chaude comme une bite !
- Salaud, tu dis ça pour m'exciter ! Allez, je vais faire plaisir à ma chatte », soupire-t-elle d’aise en se levant avec une souplesse toute féline.
Stéphanie fait une queue de cheval avec ses longs cheveux blonds, et s'éloigne en lui lançant un sourire. Il est vrai que l'eau est à une température idéale. Elle nage au large, là où c'est plus calme. La fraicheur de l'eau fait dresser ses seins, ce qui la fait imaginer de suite une scène très coquine… Perdue dans ses pensées, elle ne prête pas attention à la main qui effleure ses fesses. Un geste involontaire, pense-t-elle, comme il y en a souvent quand il y beaucoup de monde.
Par contre, la deuxième fois, la main a tendance à s'éterniser sur le galbe de ses hanches. Elle e= ne peut ignorer sans réagir un tel mouvement, même s’il ne fait qu’accentuer son excitation naissante.
Elle se retourne, et stupéfaite, se trouve face à face avec un mec d'une exceptionnelle beauté. Cheveux noirs, yeux bleus impénétrable. Un vrai mannequin.
« Ben... vous vous croyez où ? dit-elle sèchement, faut pas vous gênez...
- Mais Mademoiselle, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir, sourit-il.
- Mon copain est sur la plage, répond-elle, vous voulez que je l'appelle ?...
- Que cet homme doit être heureux... Mario, se présente-t-il, je suis maitre nageur. »
Stéphanie est fascinée par le jeune homme. Prise dans ses pensées érotiques qui s’amplifient, elle ne voit pas arriver la troisième tentative. Mario la saisit carrément par la taille, la tire à lui. Elle appuie ses mains sur son torse pour se dégager, mais leurs bas-ventres sont déjà en contact. Elle ne peut que sentir le sexe déjà raide de Mario contre son pubis.
Son côté moral sur la fidélité lui dit de le repousser définitivement, mais son corps de femme toujours avide de plaisirs charnels, l'incite à poursuivre. Elle décide de faire ce que son corps lui ordonne…
L'imposante queue, en érection, est sortie du maillot. Elle se sent attirée par la virilité qu'elle dégage. Elle écarte son maillot, prend l'inconnu par le cou et noue ses jambes dans son dos. Elle se laisse glisser lentement, jusqu'à s'empaler sur la bite.
« Salaud, souffle-t-elle, nique-moi maintenant. »
La queue pénètre sans difficulté la chatte humide de Stéphanie. Ses seins, à fleur de l'eau, sautent au rythme des coups de reins de Mario. Les lèvres se rejoignent dans un baiser charnel.
« Et ton copain, dit Mario, ironique. Tu ne l’appelles pas, tu attends d'avoir pris ton coup de queue ???
- Tais-toi idiot... tu ne vois pas que je vais jouir là... ça fait si longtemps que je me le suis pas fait mettre comme ça... Oh putain... ça y est !!!! Et toi salaud... tu viens aussi... »
Elle se cambre sous l’assaut de l’orgasme, et manque de hurler son plaisir… Pour que ses cris n'alertent pas les baigneurs, Stéphanie prend Mario à pleine bouche pour un baiser de feu.
Son intermède érotique terminé, Stéphanie rejoint Alain, comme si de rien n'était. Elle est vaguement honteuse, mais aussi le corps rassasié…
« On ne va pas tarder ma chérie, dit-il, il est déjà seize heures. Le temps de se doucher, il faut qu’on prenne la route…
- Comme tu veux mon amour, c'est vrai qu'une douche avant de prendre la route nous fera le plus grand bien… »
Une fois dans la salle de bains, Stéphanie se pend au cou de son copain, comme si elle avait quelque chose à se faire pardonner, à tel point qu'elle se penche pour lui tailler une pipe sans lui laisser le temps de respirer… Elle le pompe avec une ardeur inhabituelle, mais qui ravit le jeune homme… Il gicle dans la gorge de Stéphanie en bien trop peu de temps... L'eau de la douche chasse le sperme qui coule de sa bouche. Sans plus attendre, elle sort de la douche et commence à s’habiller.
« Vite, si on ne veut pas rentrer trop tard ce soir, on doit partir ! dit-elle à son ami.
- J'ai réfléchi à un truc ma chérie, lui répond Alain, pourquoi tu ne resterais pas ici ? Après tout, je suis là dans une semaine. Ce soir, il y a la fête sur la place avec feux d'artifices. Il y a même un petit bal, qui sait, on peut t'inviter à danser. »
Stéphanie avait envisagé cette éventualité, mais ne pensait que ce soit son mari qui la propose.
« Hé... tu ne serais pas sur un coup toi ? Tu veux rentrer seul ironise-t-elle. Et si on me drague... je fais quoi ?...
- Mais je te fais confiance ma chérie... tu sais bien que tu es tout pour moi !
- Je plaisante mon chéri... toi aussi tu es l'amour de ma vie. Je vais y réfléchir. »
Mais dans sa tête, sa décision est déjà prise. Elle le lui confirme pendant leur rapide dîner.
Il est vingt et une heures quand Stéphanie accompagne Alain à la voiture. Ils se donnent un langoureux baiser, se font un signe de la main.
Dès qu’elle rentre, Stéphanie s'installe sur le canapé, dans sa tenue favorite, à savoir, toute nue, ce qui lui permet de se procurer des plaisirs solitaire. Elle ferme les yeux sous ses vicieuses caresses, sa respiration s'accélère. Elle se revoit dans l'eau en train de se faire prendre par Mario. Elle retire ses doigts plein de mouille et de cyprine. Elle vient de se doigter, de se faire jouir comme une garce, et elle aime ça… Elle va à la salle de bains, admire son corps dans la glace.
« T'es canon, se dit-elle, ce serait dommage que personne profite de ça... j'y vais. »
Elle enfile une courte jupe, un petit bustier, et des chaussures à talons.
Arrivé sur la place, Stéphanie en fait le tour, se dirige vers la buvette en jetant un regard circulaire.
« Deux babys, s'il vous plait, dit Mario, bonsoir vous. »
Stéphanie reconnait la voix. Elle se retourne et ne peut s'empêcher de lui sourire.
« Bonsoir, répond-elle d’une voix aussi neutre que possible.
- Alors, et ton homme, il est où ? il te laisse sortir toute seule, coquine comme tu es ?
- Il est rentré cz nous, je m’ocroie une petite semaine de vacances en célibataire…
- Mhumm, intéressant tout ça », murmure Mario.
Deux gorgées plus tard, il emmène Stéphanie sur la piste de danse. D'emblée, elle passe ses bras autour de son cou. Il lui murmure tendrement à l'oreille des propositions très très cochonnes.
« Mais ça va pas, balbutie-t-elle, enfin... vous êtes fou...
- N'ayez pas peur, personne ne nous verra... allez... c'est bien de vivre dangereusement. »
Mario parvient à la convaincre. Elle lui sourit, et hoche la tête d'un signe affirmatif. Il entraine derrière la scène, et la cloue contre un platane. Il lui prend les lèvres, lui donne un sulfureux baiser.
Lentement, Mario descend le long du corps de Stéphanie, caressant au passage les seins sous le bustier. Son visage arrive entre les cuisses, contre la culotte qu'il fait glisser au sol. La chatte est là, offerte. Avec deux doigts, le clitoris est extrait de sa capuche. Les premiers gémissements de plaisir se font entendre, quand la langue de Mario, force les lèvres humides, suce le bouton déjà bien érigé.
Stéphanie lui maintient la nuque, caresse les cheveux bruns de ce mâle qui lui procure tant de plaisir. Elle sent le bout de ses seins durcir. Pour mieux s'offrir, elle pose un pied sur un caisson de bouteilles. Elle se cambre dans un terrible orgasme. Ses cris sont heureusement couverts par le bruit de l'orchestre.
« Allons chez moi, souffle-t-elle, j'habite à côté.
- Tu déconnes Stéphanie, et ton copain, tu y penses ?
- Fais-moi voir si tu es capable de me le faire oublier une nuit… »
Dans le lit, c'est un combat de titans. C'est à celui qui anéantira l'autre.
« Je vais tellement te vider les couilles, que demain, tu vas partir avec un sac vide !
- Hum... sure d'elle... indomptable... j'aime ce genre de femelle... »
Tout y passe. De la levrette au missionnaire, de la pipe au cuni, du grand au petit trou. Stéphanie s'aperçoit vite qu'elle a sous estimé son partenaire. Petit à petit, elle succombe sous les performances de son increvable amant. Les orgasmes se suivent a un rythme qu'elle n'a jamais connu.
« Ah... ah... tu m'encules salaud... mais d'où tiens-tu cette force... sauvage ??? Assez… s'il te plait... va t'en... j'en peux plus... »
Mario s'écroule sur elle, lui mord le cou, comme un chat mord sa chatte.
« C'est vraiment ce que tu veux ? » demande Mario.
Stéphanie ne répond pas. Elle git, épuisée, les bras en croix, en travers du lit. Elle est seule quand elle se réveille vers dix heures du matin. Sur la table de chevet, un simple mot.
« Merci pour cette merveilleuse nuit, qui restera gravée à jamais. »
Stéphanie sait qu'elle ne le reverra plus. Elle se lève et va prendre une douche, épuisée mais comblée.
Il va juste falloir qu’elle s’arrange avec sa conscience…
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