Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une furieuse envie de baiser !
Hier, une nouvelle fois, une envie féroce de baiser me tenaillait. Mes complices habituels étaient tous absents (vacances obligent) ou en famille, en ce beau dimanche d’été. Bref, personne à me mettre sous la dent, et une grosse frustration, que plusieurs masturbations n’ont pas soulagée. Je voulais une langue, une bite. Point final.
Je me décidais d’aller à la plage, dans un endroit un peu moins fréquenté que d’autres. Quand je dis « plage », en fait c’est un lieu où il y a surtout des rochers. Donc, il est peu fréquenté par des familles, et le plus souvent, ce sont des pêcheurs.
J’arrive, et j’avais vu juste. Cinq ou six hommes sont là, canne en main. Par chance, celui d’un bout de la file me semble plus jeune que les autres, et surtout, son « marcel » laisse voir de belles épaules carrées, et des bras puissants comme j’aime.
Je pose donc ma serviette non loin de lui. Il me jette un regard, mais sans plus. Je vais me baigner, et là, je vois qu’il me suit des yeux. Aurai-je une touche ?
Je décide de forcer le destin. Cet homme est un peu décalé par rapport aux autres, et ils ne me voient pas. Lui seul va profiter du spectacle que je compte lui offrir.
Je m’allonge sur ma serviette, les jambes en crochet, ouvertes vers lui. Je mets mes lunettes de soleil pour le mater à loisir. Je commence à passer une main sur mes seins, je titille l’aréole à travers le tissu du maillot. Il ne faut que quelques secondes pour le mec me regardent bien plus fixement !
J’insiste, passe les doigts sous le tissu, me pince les seins plus franchement. Le gars se tortille un peu sur son siège, regarde sans doute vers les autres, qui ne me voient pas.
Je passe à l’étape suivante. Mon autre main effleure mon ventre nu, je dessine des ronds autour du nombril. L’homme me regarde franchement, cette fois. Sans plus attendre, je glisse mes doigts dans le bas de mo maillot. Je commence à exciter mon clito. Cette fois-ci le mec a quasiment lâché sa canne à pêche. J’espère qu’une autre gaule l’a pris…
Son regard me fait mouiller, je sais que je l’ai ferré. Alors, j’écarte le coté de ma culotte de bain, et lui offre une vue plongeant sur ma petite chatte rouge de désir. Je la fouille sans ménagement. Je suis au bord de l’orgasme, mais je ne veux pas. Pas encore.
J’ai raison, le mec s’approche enfin. Il n’a qu’un marcel et son short. Je vois bien qu’il est très déformé. Il doit avoir un sacré engin !
En quelques pas, il est près de moi, enfin. Il a une tête pas mal, pas le genre que j’aurais dragué en temps normal, mais là, j’ai très très faim !
Il me dit bonjour, et semble un peu gêné. : « Je ne vous dérange pas ? » Je décide de jouer franc jeu, et de ne pas tourner autour du pot.
« Au contraire, j’ai eu envie de vous dès que je vous ai vu. Et là, j’ai une très grosse envie de faire l’amour… »
Il semble malgré tout surpris : « Jamais une créole n’oserait dire ça, j’aime les blanches, elles sont plus franches, et disent ce qu’elles veulent ! »
Bien évidemment, c’est un créole, très noir, d’un noir profond, où éclatent des yeux bleus, perçants. Il ajoute : « J’ai toujours voulu baiser une blanche, mais je n’ai jamais osé en draguer une !
- Ca tombe bien alors, je suis à toi pour un moment. Viens ! »
Il ne se fait pas prier, s’allonge à coté de moi, et entreprend de suite de me pénétrer avec ses gros doigts. Il y va sans ménagement, et je l’incite à peu de ménagement. Il se fait plus doux, et je lui demande d’ôter son short. J’avais vu juste, il sort un bel engin, assez long, et surtout, très large comme j’aime ! Son gland est déjà bien mouillé, il luit de son excitation. Je l’empoigne, et le masse vivement. La peau coulisse sur la colonne de chair, et je ne peux résister à l’envie de a sucer. Mais avant, connaissant bien les blacks, je lui mets le marché en main : « j’ai envie de te sucer, mais si je le fais, tu viendras aussi me lécher ! »
Il hésite, alors, j’approche ma langue de son pieu dur. Et je me retire… Ca le rend fou. « Oui, bien sur, je vais te bouffer la chatte tant que tu veux ! »
J’ai gagné. Je pompe vigoureusement la queue noire charbon, engloutis autant que je peux ce gros chibre qui m’empêche un peu de respirer. Il ahane sous ma caresse, je le sens au bord de l’explosion. Je le sors et lui demande : « Tu veux jouir ? Mais si tu jouis, tu t’occupes de moi quand même ! »
Il acquiesce, les yeux révulsés. Je l’enfourne à nouveau au fond de ma gorge, et en quelques secondes, je sens la queue se raidir encore, et s’agiter de saccades. Je le sors de ma bouche juste à temps pour que son sperme vienne s’écraser sur mes seins. Son jet puissant semble ne jamais s’arrêter. Sa crème coule sur moi. J’en prends sur mon index, et lui pose sur les lèvres. Il a un mouvement de recul.
« Tu n’as jamais gouté ton sperme ? » Il dit non de la tête. Alors, je force sa bouche, et lui pose d’autorité sur la langue. Il avale avec une grimace.
Je souris et prends un mouchoir pour me nettoyer. « C’est à tour, fais-moi jouir ! »
Je m’allonge sur le dos, les jambes bien écartées. Il s’allonge en face de mois, enserre mes cuisses de ses bras, et attaque franchement la chatte dégoulinante. Je n’en peux plus ! Entre deux léchouilles, il me dit : « Tu sais, je n’ai jamais sucé une femme, et encore moins une blanche ! »
Eh bien, pour un novice, il se débrouille pas mal du tout !
Il se débrouille si bien, qu’en quelques secondes, j’ai un premier orgasme. J’oublie où je suis, et je cris comme une folle, à mon habitude. Il fait mine d’arrêter, mais je plaque son visage sur ma chatte toujours aussi affamée.
« Continue, j’en veux encore ! Après, tu me baiseras bien ! »
Il obtempère, et continue ses caresses buccales. Le salaud, il fait ça bien ! Alors que je me laisse aller au plaisir grandissant, j’entends des voix faibles. J’ouvre les yeux, tourne la tête, et vois les autres pécheurs, alertés par mes cris, qui sont là, à quelques mètres, à nous mater…
Je me demande que faire. Ils sont cinq, quand même. Ca fait un peu beaucoup pour un lieu public. Pendant que mon lécheur continue son travail, je fais signe aux gars d’approcher. Un s’avance, et je lui dis :
« Ca vous dit me nous mater ? Branlez-vous tant que vous voudrez, et je vous promets de faire une partouze avec vous un autre jour, en privé. »
Il semble un peu ahuri, mais remonte faire l’offre à ses copains.
Le mec qui me fait plaisir s’est arrêté, un peu interloqué. Mais je l’incite à continuer : « Vas-y, fais-moi encore jouir comme ça. Et tu feras partie de cette fête… »
Les autres pêcheurs font un cercle autour de nous, et se branlent avec vigueur. De sentir leurs regards vicieux, de voir ces bites de toutes les couleurs, de toutes les tailles qui s’agitent, et bandent pour moi, je jouis à nouveau très fort. Un des gars jouit aussi. Son foutre s’écrase sur la pierre chaude.
Anthony, il m’a dit son nom entre temps, s’arrête, et m’annonce, autoritaire : « Maintenant, je vais te baiser, je bande comme un fou ! »
Et en effet, il a de nouveau une trique d’enfer, son gland rosé touchant son nombril. Je sors rapidement une capote de mon sac, dont j’ignore si elle couvrira l’engin raide.
Il la prend, et l’enfile comme il faut. Bien enveloppé, il se met sur moi, mes jambes relevées sur ses épaules. Les voyeurs s’approchent, pour mieux voir la pénétration. Il m’embroche d’un seul coup de rein. Je pousse un cri de plaisir et douleur mêlés. Il est vraiment très gros. Mais très vite, je ne sens plus que ce montre qui m’envahit, me chauffe le vagin, coulisse entre mes chairs avides. Un des pêcheurs s’enhardit, et tout en se branlant, vient me caresse les seins. Je le laisse faire, c’est trop bon !
Quand je suis bien ouverte, il se retire, et me fait mettre en levrette. Je lui offre ma chatte béante. Il me pénètre à nouveau d’un seul coup de rein, et s’enfonce bien plus profond qu’avant. Je suis remplie au maximum, écartelée par cette bite énorme. Je voulais du sexe brut, de la queue, je u=suis servie. Un autre voyeur, encouragé par le premier qui travaille toujours mes seins, passe sa main sous mon ventre, et branle mon clito. C’est le paradis sur terre ! A hauteur de mes yeux, je vois les autres bites bien astiquées, je sui baisée à merveille. Un nouvel orgasme me déchire, me renverse. Je m’effondre sur les pierres, et les voyeurs crachent leur sauce sur mon dos, en m’insultant : « Prends ça, salope, tu vas voir comme on va te baiser ! Une pute comme toi, ca se défonce de partout !!! »
C’est bizarre comme moi, la femme si bien élevée, dans un milieu aristocratique, j’aime entendre ces paroles-là…
Ils finissent de jouir, je me lève alors pour aller me rincer à l’eau. De retour, ils sont assis, et écoutent Anthony se vanter de ses exploits avec moi.
Ils retrouvent un peu de respect pour moi, l’excitation retombée : « Euh, madame, on s’excuse, on a été fort dans nos mots ! Mais putain, vous nous avez excités au maximum ! Vous êtes bonne, et vous avez une grosse chatte. »
Je souris, et leur réponds : « Ne vous en faites pas, j’avais envie de ça. Et ma proposition de tout à l’heure est toujours valable. Vous voulez une partouze avec moi la semaine prochaine ? »
Ils sont assez surpris, mais hochent la tête en signe d’assentiment. J’entreprends de relever leurs numéros de portables.
« Je vous attends au motel N. samedi prochain, à 15 heures. Qu’un de vous réserve la chambre et payez-là. On sera plus tranquilles. N’oubliez pas vos capotes. Viens aussi, Anthony, tu baises trop bien ! »
Et je me lève, les laissant dubitatifs. Je présume qu’ils n’en croient pas leurs oreilles, qu’ne femme s’offre ainsi à eux….
Quant à moi, je suis déjà mouillée, malgré mes trois orgasmes, à l’idée de ce mini gang bang. Partouze que je ne manquerai pas de vous raconter la semaine prochaine !!!
Et vous savez quoi, vous raconter cela m’a encore excitée… Alors, je vais appeler Anthony, je veux à nouveau baiser ce soir !
Les jeux libertins de Marc et Sophie
Marc et Sophie sont mariés. Ils s'adorent. Ils ont deux enfants. Ils vivent dans un pays lointain.
Marc est un passionné du corps de sa femme. Elle est mince, fine, fluide, et féline. Dernièrement, Marc l'observait nue sur son lit. Elle a des petits seins mignons. Elle a un ventre "marbruré" et creusé. Elle a des hanches saillantes. Ses cuisses sont invitantes. Elle a un pubis naturellement bombé. Ses lèvres vaginales externes admirablement jointes, dessinent un "cameltoe" parfait.
Spontanément, il s'était mis à bander. Cette vision était trop excitante. Ce jour-là, Sophie ne le laissa pas indifférent. Elle était hyper enivrante. Il se considérait privilégié. Il avait commencé à se caresser. Ils se regardaient. Cela dura dix minutes.
Dix minutes pendant lesquelles Marc passa son temps à dire à Sophie qu'il désirait partager cette vision avec un autre homme. Finalement Sophie acquiesça. Et dès que son épouse accepta, Marc explosa et se soulagea abondamment sur le ventre de sa Sophie adorée.
Quelque temps plus tard, Sophie accepta donc de poser pour un dessein érotique avec un peintre, connaissance locale de Marc.. Sophie était allongée. Ses jambes étaient franchement écartées devant cet inconnu.
Son "cameltoe" toujours aussi remarquable et symétrique se matérialisait par des lèvres vaginales divinement adjointes. C'était la frontière à ne pas franchir par cet étranger.
Même si cet artiste de ce pays du sud et au sang chaud avait le sexe gonflé dans son jeans pendant toute l'heure que dura la séance. Sophie, cuisses ouvertes devant lui et féminité quasiment offerte pour lui, l'avait constaté. Mais elle faisait semblant de rien.
Une fois avec Marc, elle lui a tout raconté. Marc en fut émoustillé.
Il réalisa avec bonheur que dans certaines situations, les autres hommes, tout comme lui, ne pouvaient masquer leur édification devant sa femme. Il voulait désormais s'en assurer personnellement !
En bon complices coquins, ils imaginèrent leur scénario. Sophie fit une sortie exhibitionniste dans un endroit "approprié". Marc joua à l'anonyme. Ce jour-là, trois curieux s'approchèrent de Sophie.
De curieux anodins, ils devinrent vite polissons notables. En effet, ils sortaient de leurs pantalons, leurs sexes en érection et pointaient ostensiblement leurs masculinités rigides.
Devant la volupté licencieuse de Sophie, ils se montrèrent audacieux vis-à-vis d'elle, et lui touchèrent, l'un les seins, le deuxième, les fesses, et le troisième, l'entre-jambes.
Comme Sophie souriait, le premier promeneur, sans être gêné par son corset, enchaina et lui suça ses tétons . Ils se durcirent d'un coup.
Le deuxième voyeur n'hésita alors pas à déplacer le gousset de la culotte noire de Sophie pour introduire un doigt. Puis deux. Puis trois dans la vulve bien accueillante de cette galante. En écartant ses jambes, Sophie se rendit compte qu'elle mouillait déjà.
Le troisième coquin ne s'embarrassa donc pas de la lanière du string pour chatouiller et gratouiller le sillon "entrefessier" de Sophie avec son long majeur. Elle soupirait d'extase. Elle était en train de prendre son pied dans une situation des plus perverses.
Marc, en spectateur anonyme, s'en rendait compte et bandait à mort. Il n'en pouvait plus de voir les queues dures de tous ces hommes excités comme des bêtes par sa Belle. Il continua de jouer l'anonyme.
Il s'approcha d'eux et commença à se masturber. A le vue de ce nouveau personnage en pleine masturbation, les trois autres firent de même sans se départir de leurs activités initiales.
Le "gang touch" se transformait en "gang branle" à l'attention d'une Sophie fort comblée. Marc éjacula le premier. En moins d'une minute seulement. Dans les minutes qui suivirent, Sophie fut aspergée de sperme étranger. Sur son pubis. Sur ses fesses. Et sur ses jambes.
Quelques temps plus tard, Marc et Sophie, toujours à la recherche de sensations et de plaisirs plus grisants, décident de passer à un autre scénario. Sophie adore cette recherche de sensations fortes.
Elle se sait belle. Elle aime être sexy. Elle aime plaire. Elle aime attiser. Elle aime être touchée…
Elle aime faire jouir les hommes. Elle aime les voir jouir. Elle accepte même qu’ils éjaculent sur elle…
Pourvu que ce soit devant son homme…
Ainsi, elle s'imagine bien "draguer" pour la bonne cause du plaisir. Donc racoler pour une telle circonstance de sensualité et de jouissance partagée ne lui fait pas peur…
Quand à Marc, il jubile. Il adore voir les hommes être excités par sa femme. Il adore voir leurs queues. Il aimerait les toucher. Il adore les voir bander. Il adore les voir se branler. Il aimerait les aider à gicler.
Que ce soit pour éclabousser Sophie. Ou que ce soit pour prendre son pied en même temps qu'eux.
C'est bientôt son anniversaire…
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Aiyana, ou les aventures libertines d’une jolie fleur - chap. 2
Pique nique au bord de l’eau.
Moi : Après notre précédente rencontre chez toi et nos multiples échanges sur la toile, j’ai enfin la possibilité de passer quelques jours de repos dans ta région. C’est sciemment que j’ai choisi cette destination afin d’être plus près de toi et te rencontrer dès que tu seras libre.
Nous avons décidé de passer cette belle journée de juin au bord de l’eau pour un pique nique d’amoureux. Cela fait longtemps que nous parlons de cette escapade complice, en toute liberté. Lors de mes randonnées dans la région il y a de nombreuses années, j’avais découvert un site qui devrait nous convenir : Un peu éloigné des sentiers dans un coin discret avec une cascade.
Nous avons laissé ma voiture en bord de route, et, après environ une demi heure de marche, nous arrivons au bord du gave (encore un torrent à cet endroit). Nous avons avec nous tout le nécessaire pour être bien. Le sentier est assez difficile, mais je crois que c’est le prix de notre tranquillité.
Tu es surprise de ce lieu. Nous allons être bien. Au pied de la cascade, il y a un petit bassin où les eaux sont plus calmes. Nous allons pouvoir nous y baigner.
Notre campement est vite installé, un grand plaid étendu au soleil, le sac à dos à l’ombre d’un saule. Personne ne viendra nous déranger. Nus tous les deux, comme deux enfants que nous ne sommes plus, nous nous précipitons dans l’eau et nous commençons à nous ébattre en passant sous la cascade. Nous nous poursuivons dans l’eau et sur la petite plage, en nous éclaboussant à grands coup d’eau fraiche jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de désir refréné et des caresses échangées, nous nous écroulions sur le plaid.
Après quelques minutes où nous reprenons notre souffle, tu viens au dessus de moi en présentant ta chatte au dessus de mon visage.
C’est une invitation. De ton côté, tu engloutis ma bite déjà à moitié bandée au fond de ta bouche étroite et tu me fais une gorge profonde savoureuse. L’un comme l’autre nous sommes bien excités et l’envie de baiser nous tenaille.
Tu te remets en levrette pour bien m’exciter encore plus en frétillant de la croupe. Tu sais combien j’affectionne cette position ! Rapidement couvert, d’une seule poussée je prends possession de ta chatte toute humide d’eau et de ta mouille. De mes mains je viens emprisonner tes petits seins et j’agace tes jolis tétons bien saillants. Que c’est bon de te faire l’amour en entendant les chants d’oiseaux et le bruit de la cascade proche.
Prenant mon temps malgré le désir intense que j’ai de toi, je fais de lents va-et-vient dans ton fourreau bien humide. J’entends tes soupirs et la manifestation de ton contentement. Puis, au bout d’un long moment, ta jouissance éclate, soudaine et violente à la fois. Je n’ai pas encore joui. Tu dégages de ma pénétration pour retirer le préservatif et venir gober ma bite pour gouter nos odeurs mélangées jusqu’à ce que je gicle abondamment sur tes seins que tu caresses pour les enduire de mon sperme.
Aiyana : Cette cascade! Quelle jolie trouvaille. Le calme et la discrétion de ce coin charmant en font un merveilleux nid d’amour. Tes mains puissantes enserrant mes petits seins gonflés de désir… Grrrrrrr que c’est bon mon cœur ! Comme tu sais me combler ! Et cette levrette au soleil mais cachés par les arbres complices La tiédeur de mon corps encastré contre le tien, ton membre raidi serré entre mes fesses rondes, collées contre ton bas-ventre. Mon bassin qui commence à onduler doucement, mon sexe s’humidifiant. Je me cambre pour t’exciter encore plus, pour que tu ne puisses pas résister.
C’est une journée merveilleuse qui commence bien. Merci mon doux amant.
A suivre....
Signé : Gérard le Matou
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Francine, à nouveau piégée par son amant
Il y a quelques jours, vous aviez eu le plaisir de lire l’histoire de Francine, devenue la maitresse du pire ennemi de son mari. Cet homme s’appelle Guy.
Et Guy est marié depuis vingt à Mireille. Ils ont une vie sexuelle bien épanouie, même si, pour cet homme, sa nouvelle maitresse y met un piment nouveau.
Ce matin-là, Guy et Mireille sortent d'une nuit très chaude passée chez des amis. Ils sont tous les deux sous la douche, et Mireille à des idées érotiques. La nuit ne lui a visiblement pas suffi…
« A non, l'arrête Guy, tu t'es fait baiser toute la nuit, çà te suffit pas ? »
Guy a la tête ailleurs. Il pense surtout au rendez-vous avec Francine, sa nouvelle maitresse.
Dépitée, Mireille quitte la salle de bains en premier, et aperçoit sur le bureau le voyant du répondeur qui clignote. Comme à son habitude, elle écoute le message. Ce qu’elle entend la surprend, et la heurte quelque peu :
« Amour, c'est Francine, chez toi à quatorze heure, attends-moi au lit. »
« Tiens, se dit Mireille, quelle surprise, je sens qu'on va bien s'amuser… »
Du coup, elle annule ses rendez-vous de l'après midi, bien décidée à se venger. Elle sait que cette salope ne s’en sortira pas comme ça !
Elle prépare son caméscope, et se cache derrière le grand yucca du salon.
Treize heures quarante cinq, et Guy est là, vêtu d'un peignoir, il regagne la chambre.
Quatorze pétante, Francine arrive, pile à l’heure. En habituée des lieux, elle se déshabille, pour se présenter entièrement nue à son amant. Elle est à deux mètres de Mireille, superbe dans sa nudité. Elle se précipite dans la chambre, saute dans le lit, en laissant la porte légèrement ouverte. Mireille s'avance, et actionne la caméra.
« Oh mon chéri, dit Francine, embrasse moi vite, il me tardait de te voir, j'ai une grosse envie tu sais. Tu es déjà prêt toi, à ce que je vois. Hum... »
Mireille a tout loisir de filmer la scène qui se déroule sous ses yeux.
Francine saisit l'énorme queue, la décalotte du bout des lèvres. Elle se place de telle façon que Guy puisse jouer avec sa chatte. Les doigts l'a pénètrent, le clitoris, sorti de sa capuche, durcit sous les caresses. Francine est trempée comme une soupe. Elle avance son bassin pour mieux se faire doigter. Guy glisse son visage entre ses cuisses pour lui sucer le minou. Francine accélère sa fellation. Leur 69 est intense, et des plus excitants. On voit nettement le gland déformer les joues à l'intérieur de la bouche. Elles se creusent. Pour Mireille, qui connait bien son cher mari adultère, c'est sur, il crache son venin blanc dans la gorge de sa maitresse...
Ils vont jouir. Les premiers jets de sperme affluent dans la gorge de Francine, pendant que la cyprine dégouline sur les lèvres de son amant. Francine monte sur lui, et lui prend les lèvres dans un baiser ravageur, tout en s'empalant sur la grosse bite de son amant.
« Ta moustache est pleine de mouille, vilain. »
Pour Mireille, s’en est trop. A sa grande surprise, sa colère s’est transformée en une excitation intense. Le désir lui ravage le ventre. Elle va se venger autrement, et soumettre cette pute à tous ses désirs !
Elle pose la caméra, se déshabille prestement, et s'avance, nue, vers le lit. Guy l'aperçoit, interloqué, mais fait mine de ne pas la voir.
C’est à ce moment-là qu’ills deviennent complices. Un vieux couple se comprend en seul coup d’œil… Francine ne se rend compte de rien. Mireille se place à genoux derrière elle, et l'a prend par la taille. Francine, surprise, essaie de se dégager.
« Alors ma chérie, on est venue prendre son coup de queue ? Ton mari ne te donne pas assez ? »
Mireille saisit les seins gonflés par le désir, tire sur les bouts qui ont doublé de volume.
« Arrête, rugit Francine. C'est un coup monté, bande de salauds, lâche-moi !
- Tu es mal placée pour poser des conditions, fait remarquer Mireille, c'est quand même toi qui est emmanchée sur la queue de mon mari. Il est mieux monté que le tien, il baise mieux ? Guy, vas-y, j’ai posé la caméra sur la table. »
Quand Guy revient, il reconnait les éclats de rires de sa femme, et les cris désespérés de Francine.
« Mais qu'est-ce qu'elle lui fait, se demande-t-il, elle est folle ! »
Il prend la caméra et décide d'intervenir, mais s'arrête net en voyant le superbe spectacle. Mireille s'amuse avec Francine. Elle lui mord le lobe de l'oreille, le bout des seins, lui pince le bouton. C’est ce qui explique les petits cris de douleur poussés par Francine. Celle-ci se tord comme un vers sur le lit, ses pieds glissent sur les draps. Son corps, cambré, est pendu aux doigts de Mireille, qui la mène par le clitoris. Deux autres doigts sont enfoncés au fond de la chatte. La tête de Francine bascule d'un côté à l'autre.
« Ah… arrête salope... tu vas encore me faire jouir... assez… regarde comme je suis pleine de mouille... oui... » Francine, happée par le désir et son envie folel de sexe, ne re retient plus du tout.
En effet, sur le drap, au niveau des cuisses, on peut voir une énorme tâche d’humidité.
« Woua, tu le remues, ton cul ? Tu sais qu’on n’a pas fini toute les deux, sourit Mireille. Tu vas voir dans quel état je vais mettre ton clitoris, salope. Après, c'est Guy qui va te pousser un autre bout, au petit celui là.
- Tu n’as pas répondu à sa question; intervient Guy. Michel, il te baise mieux que moi, il est aussi bien monté ?
- Est-ce qu'il t'encule lui ?
- Non… tu le sais... salaud... tu veux me l'entendre dire...c 'est çà, gémit Francine. »
Mireille s'allonge sur le dos, jambes largement écartées. Elle saisit Francine par les cheveux, et lui place sa tête entre ses jambes.
« Allez, sale catin, bouffe-moi la chatte, et bien sur mon clito. Après, tu me nettoieras le cul, salope. Vas-y Guy, encule cette pute, fais-la gueuler, puisque son mari en est pas capable !! »
Guy ne se le fait pas dire deux fois. Il se met derrière la croupe offerte de sa maitresse. Il lubrifie rapidement l’anus entrebâillé par la position indécente. Francine sursaute, mais Guy lui appuie que la tête pour qu’elle continue son cunni sur sa femme. Il pose son gourdin sur le petit trou humide, et sans aucune précaution, s’enfonce dans les entrailles de Francine. Elle hurle, manque de mordre le clito de Mireille. Mais cette dernière lui maintient ferment la te sur sa chatte en feu. Francien, les reins labourés par la grosse queue, suce à nouveau, lèche, aspire, donne du plaisir à sa tortionnaire.
Pendant tout l’après-midi, Francine va être humiliée, soumise à ces deux tortionnaires. Ils ne lui épargneront rien. Elle va être pénétrée, branlée, enculée sans répit. Elle va devoir sucer tout à tous Guy et sa femme, aider Le mari à bien enculer sa femme. Elle lèchera sans répit l’anus des deux amants. Et malgré l’humiliation d’être traitée en esclave sexuelle, elle va jouir tant et plus, comme jamais dans sa vie. Son cul, sa chatte en redemandent. Jamais elle ne s’est sentie aussi salope, et aussi bien…
Mireille lui donne même une fessée, puis l'entraine jusqu'à la salle de bains, pour la laver entièrement, sans oublier ses deux orifices éclatés.
Francine quitte la maison du couple maudit presqu’à regret, et rentre chez elle vers dix sept heures, épuisée, lessivée.
Deux jours plus tard, un coursier se présente chez elle, et lui remet un colis. Elle l'ouvre, un CD. La pochette est faite de photos entremêlées, la représentant en train de se faire prendre dans toutes les positions. Au dos, un petit mot.
« Regarde, çà vaut le coup. Autre chose, dès que tu es seule, je veux te voir à la maison. Des amis veulent absolument te connaitre. Et puis, il faudra que tu décides Michel à participer. Sinon, il recevra ce cd, lui aussi. Allez, petite pute chérie, bisous. »
Francine, en larmes, prend son visage entre ses mains. Elle murmure pour elle-même :
« Mon dieu, pardon chéri. Quelle bêtise j'ai fait… Comment vais-je m'en sortir ??? »
Signé : Fran.
L'initiation de Mario
Je m'appelle Mario et j'ai soixante-cinq ans. Je suis gay depuis toujours si on exclut une ou deux filles que j'ai embrassées et caressées quand j'avais dix ans. J'étais vite ému par ceux de mes petits camarades que je trouvais beaux. Mais sans qu'on m'est prévenu, je prenais garde de ne pas montrer ma préférence.
C'est que je suis né dans un pays méditerranéen où une des grandes injures utilisées pour insulter quelqu'un était de le traiter de « culo » (prononcer coulo). Ce terme désignait les homos, mais servait aussi pour dire dans quel manque d'estime on tenait la personne. C'est dire comment on considérait les gays.
Comme beaucoup de gamins, j'ai eu des câlins et des baisers avec des copains et seulement cela jusque vers mes quinze ans où pour la première fois nous nous sommes sucés la queue avec un copain. Je me suis régalé, j'ai trouvé ça tellement bon que j'avais envie de le dire à tout le monde. C'était impossible hélas, alors je rongeais mon frein.
L'année de mes seize ans, au lycée, il y avait un garçon de dix-huit ans qui était en terminale. Il s'appelait Pierre, je le trouvais très beau. J'étais le seul à ne pas me moquer de lui, le seul à ne pas le traiter de « culo » cela nous avait un peu rapproché, si bien que nous parlions souvent ensemble. Jusqu'à ce jeudi, jour de congé à l'époque, où nous sommes donnés rendez-vous dans ce que l'on appelle dans le Midi la garrigue.
Mon comportement « normal » m'évitait d'être moi aussi l'objet des railleries et insultes des autres, mais Pierre avait senti que j'étais comme lui. Peut-être le lui avais-je laissé entendre, mais je ne m'en souviens plus. Toujours est-il que ce jeudi de début mai, seulement vêtu d'un short et d'une chemisette, Pierre marchait sans hésiter, visiblement il connaissait bien le coin. Je lui demandai où nous allions, il m’a répondu :
« Ne t'inquiète pas, je connais un coin tranquille où personne ne nous dérangera, tu verras, on y sera bien. »
Je n'étais pas inquiet du tout, juste un peu impatient d'être arrivé et de savoir si on allait pouvoir s'embrasser. J'en avais tellement envie. J'étais amoureux de sa bouche, je mourrais d'envie de sentir ses lèvres sur les miennes. Il était bien plus grand que moi et ses mains étaient longues et fines. Tandis que nous marchions je les imaginer sur mon corps et me caressant.
Ça me faisait bander. Soudain Pierre s'arrête, et me prenant par la main s'écarte du chemin et au bout de quelques mètres il me montre l'endroit. C'est un grand buisson derrière lequel nous serons à l'abri des regards.
« C'est là que je viens avec mes copains, personne ne nous dérangera' », me dit Pierre en s'allongeant sur un tapis d'herbe sèche.
Je fais comme lui. Nous restons un long moment silencieux. Mon excitation de tout à l'heure augmente avec la tension du moment. Mon short n'est pas assez large pour cacher que je bande. Pierre qui me déshabillait du regard ce rend compte de mon état.
Il se met à caresser mes jambes nues en remontant doucement vers le haut de ma cuisse. Je tremble un peu car je suis amoureux de ce garçon. Et puis je sens ses longs doigts qui glissent sous mon short et qui passent sous mon slip. Ils me caressent les couilles et grattouillent ma tige de plus en plus grosse. Sans prononcé un seul mot et comme si c'était tout à fait normal que je le laisse faire, il me retire mon short et mon slip, et tout en caressant ma queue il me prend la bouche. Enfin....
Nous nous embrassons à pleine bouche. Comme je suis content, depuis le temps, que je rêvais de sa bouche. Ses lèvres sont douces et chaudes, elles me donnent des frissons sur tout le corps. C'est la première fois que je ressens ça. Bon, c'est vrai que je n'ai que 16 ans mais quand même. C'est sans doute parce que je l'aime et qu'il m'excite beaucoup.
Depuis le premier jour où je l'ai aperçu au lycée, il m'a attirait. Une sorte de coup de foudre quoi. Sans oublier qu'en même temps, une question m'obsédait, savoir ce qui se cachait dans son slip. En voyant ses mains longues et fines de pianiste je m'imaginais que sa queue devait leur ressemblait.
Alors durant que sa bouche parcourt mon torse, je glisse ma main dans son short. Victoire, je tiens enfin l'objet de mon désir. Elle est toute chaude, la peau est douce. Sa queue ne semble pas épaisse, mes mains pas expertes en mesurage à l'aveugle ne me donne pas une idée précise de sa longueur. Alors, je penche pour le déshabiller complètement et La voir, enfin. Hmmm !!
Elle est mince et assez longue. Je la trouve belle, je me jette dessus pour la sucer, pour enfin la déguster. Je le fais doucement, amoureusement pour que mon plaisir dure longtemps. Jeune fou débutant, je ne savais pas, à l'époque, que l'on trouve son plaisir dans celui que l'on donne à l'autre.
Toujours est-il que Pierre apprécie de plus en plus ce que je lui fais.!Il me le dit en gémissant. Une de ses mains caresse ma queue tandis que l'autre se glisse entre mes fesses et me tille l'anus. Ça m'électrise. Plus qu'une seule envie, le sentir en moi, en même temps j'ai un peu peur d'avoir mal. Bah ! On verra bien.
« Pierre, mon chéri, encule-moi, j'en ai très envie. Mais fais doucement, c'est la première fois !
- Ne t'en fais pas, mon chou, je vais faire attention et tu n'auras que du plaisir, tu vas voir… Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette, tu vas voir, comme ça je vais rentrer bien au fond et tu vas bien jouir ! »
Craintif, mais très envie qu'il me prenne, je fais comme Pierre me dit. Il se place derrière moi et je sens sa langue que me lèche le creux entre les fesses et le trou, avec ses doigts, il écarte bien mes fesses et je sens sa langue qui m'encule. Bon sang comme c'est bon ce qu'il me fait. Ça s'appelle une feuille de rose, m'a-t-il dit. J'ai aussitôt senti des frissons envahir mon corps et j’ai poussé des gémissements de plaisir. Puis Pierre s'est redressé et j'ai senti son gland caresser mon petit trou. Ça y était, j'allais enfin me faire enculer. Putain, pourvu qu'il ne me fasse pas mal !
Et puis avec de petits coups, je l'ai senti entrer en moi. Entre 2 coups de reins, il marque des temps d'arrêt. Chaque centimètre parcouru me donne la sensation d'être plein de lui. Je suis aux anges tellement je me régale. Enfin, il est tout entier en moi. Je sens son ventre contre mes fesses. Délicieuse sensation. Pierre reste immobile quelques secondes puis commence à aller et venir en moi. Il fait ça doucement, presque. C'est tellement bon que moi aussi je remue pour aller à sa rencontre.
Une grosse chaleur m'envahit, avec elle une envie que ça dure longtemps. J'ai l'impression d'être transporté dans un autre monde. Je ne suis pas un gros parleur en général, mais là j'ai presque envie de crier tout fort ce que je ressens. Mais seuls des gémissements sortent de ma bouche. Ma queue, raide comme jamais, balance sous moi. Pierre enlève une main de mes hanches pour me prendre le sexe et le branler en mesure. Je suis tellement sur un nuage que je pars tout de suite, inondant le sol de ma crème.
Pierre en a sur les doigts, il les porte à sa bouche pour les lécher.
« Hmmm! Comme il est bon ton jus mon chéri « me dit-il en haletant.
Puis il explose à son tour en moi. Je me souviendrai toujours de cette sensation extraordinaire et délicieuse qu'est son éjaculation dans mon ventre. C'était la première fois aussi j'avais la sensation qu'il ne s'arrêtait pas d'exploser. Nous sommes restés un long moment ainsi l'un dans l'autre, jusqu'à ce que la bite de Pierre sorte de moi toute seule. J'ai changé de position et nos corps nus se sont unis pour nous caresser et nous embrasser avec passion.
Et nous nous sommes mis en 69pour faire «notre toilette». J'ai beaucoup aimé ça aussi depuis je le fais après chaque rapport le plus souvent possible. Nous avons ensuite longtemps discuté, de nous, de ce que nous venions de faire. Les vacances de Pâques approchaient et Pierre me demanda si j'aimerais les passer avec lui. Ses parents possédaient une maison de campagne où ils vivaient à chaque congé. Bien sûr, à 16 ans on n'est pas maître de ses décisions aussi fallait-il que je demande à mes parents.
Je leur en parlai le jour même et ils prirent contacts avec ceux de Pierre, «pour voir et savoir si c'était des gens bien». Pierre et moi avons fini par regagner la ville tout en nous promettant de nous revoir souvent. Pierre malgré ses 18 ans, avait un déjà long parcours et me dit :
« Tu verras, mon Mario, je te ferai rencontrer des gars sympas avec qui on pourra bien s'amuser. »
Il tint sa promesse car durant les quatre ans « d'amitié s» que nous vécûmes, il me fit participer à quelques parties intéressantes. Que je vous raconterai peut-être, si...........
Signé : Mario
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Encore un excitant récit.
Tous ce sperme perdu, quel gachis. Il faut vraiment que je participe à tes orgies, pour récupérer tout ce foutre inutilement perdu
Wahou tu prend beaucoup de plaisir
Amuse toi et profite de la vie