Les Mémoires très Libertines de Sophie
La Kiné - suite et fin
En effet, en effet, mon mari arriva dans le quart d'heure qui suivit. Nous sommes allés dans la piscine, et nous avons fait l'amour non à comme des fous, mais avec douceur et tendresse... Il était en position assise dans l'eau et je me suis empalée sur lui. Le fait d'être dans l’eau me permet de ne quasiment plus ressentir de douleur, et ainsi nous avons pu faire l'amour avec beaucoup de plaisir pour mon homme. J'en ressentais un peu moins, car dans l'eau, il me faut d'habitude un peu plus de vigueur. Là ce n'était pas possible... Mais j'avais au moins la satisfaction d'avoir fait jouir mon mari, chose qui devient trop rare depuis quelques semaines...
Le soir même, nous avons mis au point notre plan pour la venue de la kiné deux, jours après. Il cacherait sa voiture pour faire croire qu'il n'était pas là, et resterait en silence à l'étage, le temps qu'elle arrive. Il voulait absolument nous voir ensemble, nous câliner, et éventuellement participer un petit peu…
Vendredi est arrivé, et j’avais bien pris soin de me doucher, et de m'enduire le corps de crème satinée et sentant très bon la vanille... J'hésitai à porter un string, et finalement, je me dis que cela ajouterait un peu à l'érotisme ambiant...
Elle arriva à quatorze heure, ponctuelle, comme à chaque fois. Je l'accueillis comme d'habitude, d'une poignée de main, mais je voyais que son regard n'était pas le même que les autres jours. Sans doute avait-elle été très troublée par ce qu'il s'était passé deux jours auparavant…. Comme d'habitude, elle inclina le dossier du canapé pour que je puisse m'allonger et qu'elle procède aux étirements de mon cou. Elle se saisit de ma tête, et agit comme les autres fois. Je me rendis compte cependant que les étirements ont duré un peu moins longtemps que les autres jours...
Elle me fît m’allonger sur le côté droit, et je sentis que le moment allait arriver... Elle enduit mon épaule de crème et commença son massage, mais au bout de quelques secondes, sans aucune hésitation, elle attrapa mon sein en le triturant fermement. Je me laissais faire un petit moment en soupirant d'aise... Progressivement, je bougeai et allongeai, afin de me retrouver sur le dos. Elle se recula un petit peu, de façon à faciliter ma manœuvre.
Là, si j'avais eu un doute, je savais qu'elle était pleinement consentante. Dans le reflet du miroir sur le mur, je vis que mon mari avait descendu deux marches afin de commencer à nous regarder. Cela fit instantanément monter mon taux d'excitation.
J'étais maintenant allongée sur le dos, le paréo largement ouvert sur mes cuisses. avec son autre main, elle caressa mon ventre en et entama une descente vers ma lingerie. Curieusement, elle ne me regardait pas du tout... Peut-être avait-elle un peur... peut-être était-ce une nouveauté pour elle ? Je ne voulais pas poser de questions et rompre la magie de cet instant.
Elle se pencha un peu plus vers moi, et saisit entre ses lèvres mon téton dressé. Cela faisait très longtemps qu’une femme ne m'avait pas touchée ainsi... J'y ai trouvé une douceur inhabituelle, et j'avoue que j'appréciais ce contact... Je posai ma main sur sa tête afin de l'inciter à m'aspirer un peu plus fort. Elle obéit aussitôt, et accentua sa succion. Dans le même temps, sa main avait atteint mon mont de Vénus, et elle le palpait au travers de la dentelle de mon string. Je bougeai alors légèrement le bassin pour lui faire comprendre mon assentiment.
D'un doigt sûr, elle écarta l'élastique et je sentis son majeur s'insinuer vers mes chairs intimes. Je mouillai de plus en plus fort, en et elle s'en rendit compte, car je la vis sourire de satisfaction.
Elle murmura :
« Eh bien Madame, on dirait que vous appréciez mon nouveau style de massage...
- Oui, c’est très bon, et j'en demande plus, murmurai-je doucement.
- Vraiment ? Vous en voulez plus ? Alors, je ne peux que vous donnez satisfaction... »
Sa bouche délaissa mon sein pour descendras vers mon pubis dans une série de petits baisers légers. Un craquement se fit entendre et elle releva brusquement la tête. Je la rassurais en lui disant que ce genre de vieilles maisons en bois craquait souvent...
En réalité, mon mari était descendu un peu plus bas afin de mieux nous voir. Elle, elle n'avait toujours pas remarqué sa présence, et c'était très bien ainsi. Je le voyais assis sur la marche de l'escalier, le bout de son sexe émergeant entre ses jambes. Le salaud bandé comme un fou.
Amélie, c'était son prénom, se déplaca vers mes jambes, sans doute pour avoir un meilleur accès à mon intimité. De fait, elle entreprit de me retirer ma lingerie avec douceur. Une fois que je fus nue, elle soupira : :
« Humm, quel joli minou tout épilé ! On en mangerait !
- Mais c'est ce vous en prie fait tout ce que vous voulez... »
Elle se positionna entre mes jambes et décalotta délicatement mon clito. Celui-ci n'attendait que ça pour se dresser fièrement hors de son étui. Du bout de la langue, elle ne titillait, tournant autour, sa langue étant à la fois ferme et douce. Elle s'aventurait parfois vers l'entrée de ma grotte.
Avec un doigt, elle pénétra mon intimité, et atteint directement mon point G... Visiblement, la gourgandine avait de l'expérience. Elle était bien trop sûre dans ses gestes pour être une débutante. Dans le miroir, je vis que Fritz était encore descendu de quelques marches, et comme elle lui tournait le dos, elle ne voyait toujours pas qu'il était là. Il se branlait avec énergie et je voyais ses yeux brillants d'excitation... Le spectacle lui plaisait, et il me le montrait de façon très visible...
Amélie continuait ses caresses, s'aventurant au plus profond de mon abricot ouvert, gonflé de désir et d'excitation. Je retrouvai un plaisir intense être ainsi terminé par une femme... Peut-être allais-je changer d'orientation ? Je lui soufflai :
« Faites doucement, vous savez que l'orgasme me fait très mal. Il ne faut pas aller trop fort…
- Ne vous en faites pas, je sais que vous avez mal... Je vais faire attention et vous caresser très doucement.
- Vous savez, je ne vous en ferai pas autant ! Je n'en ai aucune envie !
- Ce n'est pas grave, peut-être une autre fois... »
Je la laissais lécher, me mordiller me caresser un long moment, faisant tout pour retarder la venue de l'orgasme. Je vis Fritz descendre les dernières marches doucement et s'approcher de nous.
Amélie cette ne s'était toujours rendue compte de rien. Je pris l'initiative de l'informer de la présence de mon mari.
« Jeune fille, nous ne sommes pas seulse...
- Ah bon ? dit-elle, surprise.
- Oui, mon mari me regarde depuis un moment. Est-ce que cela vous gêne ?
- Euh oui... Enfin… non... Oui... Je ne sais pas... bégaya-t-elle.
- Cela vous ennuie qu’il s'approche un peu ?
- je ne sais pas trop, ça ne m’est jamais arrivé. Mais bon, je pense que je ne peux pas dire non. Mais je ne veux pas qu'il me touche !
- Pas de problème, il ne vous touchera pas. »
Je m'adresse ensuite à mon homme :
« Viens mon chéri, viens que je t'aide un peu... »
Fritz approcha, et prit la place qu'avait Pascal deux jours auparavant. C'est-à-dire qu'il attrapa le petit banc de bois, le posa au bout du canapé, de façon à être à genoux dessus, pour être à la bonne hauteur afin que je puisse le sucer. Je gobai avec délice sa bite que j’aime tant, et lui se pencha pour me caresser les seins. Il pinçait mes tétons avec ardeur, et je voyais qu'il regardait, les yeux exorbités, la langue et les doigts d'Amélie qui s'agitaient dans ma chatte.
La jeune femme avait pourtant dit qu'elle ne voulait pas qu'il la touche mais elle pivota sur elle-même pour se mettre dans une sorte de 69 de côté, offrant sa croupe aux yeux de mon mari. Il comprit très vite le message, et d'une main, baissa le short qu'elle portait. Surprise, elle n'avait rien sous ce joli short !
Il enfourna sa main entre ses cuisses et sourit :
« Mais dis donc tu es très excitée, petite garce !
- Oui Monsieur, ça m’excite trop cette situation... »
Moi, je n'en pouvais plus, mais je retardai tant que je pouvais le moment de jouir, car j'avais peur de la douleur que je pourrais ressentir... L'excitation était telle que j'avais peur d'avoir vraiment très très mal.
Je me concentrai sur ma fellation, mais comme je voyais à hauteur de mes yeux la main de mon mari fourrageant la chatte béante d'Amélie, je n'arrivais pas à faire retomber un peu ma pression. Par bonheur, Fritz jouit et déchargea dans ma bouche son foutre blanc que j'aime tant.. Il vint m'embrasser tendrement et aussitôt, il pointa sa langue sur la chatte d'Amélie. Il écartait bien ses fesses afin d'avoir un meilleur accès à son abricot tout aussi excité que le mien.
En voyant cela, je n'en pouvais plus et je me lâchais...
Je jouis en criant très fort, à la fois de plaisir d'une douleur. J’avais eu un peu moins mal que ce que je ne craignais, mais la douleur fut bien intense... Elle n’arrêta pas pour autant, et continua d'enfoncer sa main dans mon intérieur. Elle y avait déjà glissé quatre doigts sans presque que je m'en rende compte. ..
Elle dit à mon mari :
« Allez, venez prendre votre place. »
Fritz ne se fit pas prier et vint se mettre de l'autre côté, laissant la chatte dégoulinante de la jeune fille. Il vint se mettre à genoux entre mes cuisses, mais Amélie attrapa sa queue pour l’enfourner dans sa bouche avec une habileté non dissimulée. Elle voulait finir de le durcir.
J'adore voir une femme sucer mon homme… Cela me fait tellement plaisir de les voir engloutir sa belle grosse queue noire… J'en frémissais à nouveau d'excitation…
Quand il fut bien raide, il me souleva les fesses afin de faciliter la pénétration. Amélie glissa dessous un oreiller, et ainsi elle avait une vue plongeante sur la pénétration qu’il entama en moi…
Il me lima doucement, tendrement pendant qu'elle s'était reculée, et assise sur le fauteuil, les deux jambes posées sur l'accoudoir, elle se caressait furieusement l'entrejambe, enfonçant avec vigueur quatre doigts dans sa rose chatte.
Quel plaisir de me faire ainsi baiser par mon homme, et regarder cette jeune femme se masturber avec intensité !
Ils jouirent presque en même temps, elle dans un soupir relativement discret, et lui dans un cri inhabituel. Il retomba à côté de moi, et nous nous embrassames avec passion.
Amélie alla dans la salle de bains et revint quelques minutes après, elle prit alors la parole :
« Je ne pense pas que je reviendrai, j'ai un peu honte de ce que j'ai fait... Ça va contre toute la déontologie de mon métier.
- Mais tu sais tu peux revenir quand tu veux même en dehors de tes heures de travail, lui dis-je en souriant ;
- Si vraiment vous y tenez, on pourra peut-être en reparler... Je n'ai jamais trompé mon mari et la c'est la première fois que j'ai des relations avec une personne sans le lui dire.
- Mais il faut lui raconter, et revenir avec lui. Nous pourrions bien nous amuser tous les quatre...
- Je vais y penser... Je vous le dirai. Mais là, je dois continuer à travailler.
- Bonne journée à toi et merci de cet intermède si agréable...
- Oui j'ai beaucoup aimé, renchérit fritz.
- Alors, peut-être à bientôt... »
Nous avons continué un gros câlin tous les deux, nous remémorant les détails de cette superbe scène... Finalement, je vais peut-être revenir sur ma position, et avoir plus souvent des relations avec une femme...
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Valy, le retour
Valy, son retour
Cela fait maintenant plus de vingt ans, que Valy, stagiaire dans la boîte d'ambulances où je travaillais et avec qui j'ai eu de multiples soirées ''cul'' mémorables, avait disparu de mon horizon. Et voilà qu'il y a trois semaines, je réponds à un appel téléphonique qui me surprend très agréablement.
« Allo! Bruno? me dit une voix féminine légèrement rauque. C'est moi, Valy ! Tu te rappelles de moi ?'
- Comment aurai-je pu oublier la délicieuse gourgandine que tu étais, ma Valy ? Comment vas-tu, ma chérie ? »
S'en suit une conversation où chacun fait assaut de souvenirs communs, histoire de bien nous mettre à jour. Et nous finissons avec cette heureuse conclusion que nos goûts et jeux n'ont pas changé. Valy, experte dans l'art de retrouver ses amis perdus de vue, m'explique qu'elle est divorcée depuis trois ans maintenant et qu'elle vit en couple avec Sofia, la belle et cochonne sicilienne.
Elle me dit que son ex-mari garde les enfants durant trois semaines pendant lesquelles, avec Sofia, elles prennent des vacances.
« On aimerait passer te voir, si tu veux bien !
- si je veux ? Et comment. Non seulement je le veux, mais je l'exige ma chérie, je vous attends. Quand serez-vous là?
- Euh... tout de suite, si tu veux, nous sommes dans un bistro à l'entrée de la ville, mais on te dérange peut-être ?
- Vous ! Me déranger ? Tu m'insultes, ma chérie, j'ai hâte de vous voir, aller rappliquez en vitesse. Rien n'est préparé, pardonnez moi.
- Pas grave, nous n'avons pas trop envie de dîner, tu sais… »
Je n'en reviens pas de cette surprise, je suis vraiment heureux de revoir Valy de qui j'étais un peu amoureux, impatient de faire l'amour avec elle si elle est d'accord bien entendu. Sa dernière phrase laisse clairement entendre que c'est surtout ça qu'elle veut. Le fait que Sofia, sa vicieuse copine soit avec elle n'est pas fait pour calmer mon impatience. Mais je crains de les décevoir toutes les deux, les vingt ans ans qui viennent de passer ne se sont pas gênés pour attaquer mon physique.
Tant pis, je prends le risque. Je suis entièrement nu, comme toujours chez moi. Valy aimait bien vivre comme ça aussi. Je ne vois pas de raison pour qu'elle ait changé de comportement. C'est donc complètement à poil que je leur ouvre la porte. Juste le temps de fermer la porte et mes deux copines me sautent dessus. Nous nous embrassons, nous étreignons sans un mot, longtemps, comme si nous voulions rattraper ces années perdues.
L'humain est ainsi fait qu'il lui faut respirer, c'est cette seule raison qui nous fait cesser nos effusions, j'en profite pour les faire asseoir sur mon canapé durant que je prépare les boissons de bienvenue. Je leur tourne donc le dos un instant. Quand je me retourne plateau en mains, je peux admirer Valy et Sofia nues et splendides. Les vingt ans passés n'ont eu aucune influence sur Sofia.
Pas pris un seul gramme, son corps naturellement bronzé est toujours aussi sensuel. Valy, par contre, deux maternités aidant, a pris quelques kilos, mais ils sont harmonieusement répartis. Je suis contre ces trop nombreuses femmes qui s'ingénient à paraître faméliques. Rien de vraiment sensuel dans ces corps anguleux. J’ai joué aux osselets durant les dix premières années de ma vie. Cela m'a suffit.
Ses kilos rendent Valy encore bien plus sensuelle et désirable. Ils sont mis en valeur par son visage au sourire si craquant, le quart de sang antillais qui est en elle ajoute encore à sa beauté. Sofia et elle sont, ainsi dévêtues, extrêmement bandantes. Ma bite en érection est là pour le prouver.
Ca déclenche aussitôt des réactions gentilles mais plus que grivoises de mes deux merveilleuses salopes.
Sur mon plateau, des verres de boissons alcoolisées et des assiettes d'amuse-gueule épicées. Mes deux gourgandines prennent leur verre et boudent les petits trucs à grignoter. Elles préfèrent nettement mon bas-ventre. Qui s'en plaindrait ? En tous cas pas moi. La main de Valy se glisse entre mes fesses pour titiller mon ''point de plaisir'', elle se rappelle combien j'aime qu'on s'en occupe. Sofia, quant à elle, me caresse la queue d'une main douce. Je suis obligé de poser mon verre, trop dangereux. Ce qu'elles me font m'excitent bien trop pour que je le garde en main.
vingt ans ont passé sans que nous nous voyions, des gens normaux auraient entamé une longue conversation pour se raconter et combler ce grand vide. Nous ne devons pas être des gens normaux car visiblement nous nous comportons comme si cela faisait une petite semaine que nous nous étions quitté. Je ne m'en formalise pas, bien au contraire. Je trouve cela ''normal''. Nous aurons tout le temps de bavarder une fois que nos corps seront repus.
Sans compter que Valy et Sofia que je retrouve ''quadras'', sont belles ainsi dans leur maturité naissante. Si l'on ajoute à leur gourmandise sexuelle innée, l'expérience acquise toutes ces années, je ne peux que me féliciter qu'elles préfèrent l'amour à la discussion. La main de Valy dans mes fesses et celle de Sofia en pleine parlote avec ma bite vont me faire juter si je n'y prends garde. Tout de même moins performant qu'il y a vingt ans, je ne tiens pas du tout à ce qu'elles me fassent jouir tout de suite.
Sous un prétexte bidon je me libère et vais remplir nos verres. En revenant vers elles, je leur demande :
« Vous vivez en coloc' ou vraiment en couple ?
- En couple ! me répondent-elles en chœur.
- Ouai !!! J'vous crois pas, prouvez-le moi ! »
Je sais c'est une ruse grossière à laquelle elles n'ont pas été dupes. Mais leur goût pour l'amour, et le fait qu'elles s'aiment, ont suffi pour qu'elles se jettent l'une sur l'autre et s'enlacent. Ouf ! Je pouvais enfin revoir ces chéries s'aimer comme il y a vingt ans. Je m'absente un bref instant pour aller chercher mes godes car je sens qu'elles vont en avoir l'utilité.
Quand je reviens, elles sont emboitées, l'une dans l'autre, au point qu'on pourrait croire qu'elles ne font qu'un. Chacune déguste la chatte de l'autre. Comme elles sont belles et excitantes comme ça! Je les admire un moment, queue complètement tendue. Puis je décide de les aider un peu. Je les sodomise avec deux de mes godes. Des mouvements lents, comme elles aimaient il y a quelques années. Et ça n'a pas changé, elles adorent ça si j'en crois les gloussements qui viennent s'ajouter à ceux que leurs langues leur procurent.
C'est Sofia qui craque la première, elle rugit son orgasme et inonde le visage de Valy. La mouille de Sofia doit être aphrodisiaque car Valy jouit à son touret abondamment qui plus est. L'âge aidant, sans doute, elle éjacule nettement plus qu'autrefois. Elles se séparent pour reprendre leur souffle. J'en profite me coucher sur elles et lécher leur visage. J'aime goûter la jouissance des femmes. Puis je descends et déguste enfin leurs chattes. Ma langue à ce contact me remémore le souvenir de nos baises d'autrefois. Je me régale. C'est à la fois acre et doux sur ma langue, quel délice!
Mes coups de langue les ramènent à la surface, leurs bassins battent la mesure, rythmant mon léchage. Des soupirs et des « Oh ! Oui, bouffe-moi ! Vas-y ! » poussés en alternance, me disent que décidément Sofia et Valy sont toujours les mêmes délicieuses salopes qu'il y a vingt ans. Elles viennent de jouir et en redemandent encore. Je réserve ma bite pour plus tard, pour l'instant je ne veux que les faire jouir et admirer ce merveilleux spectacle qu'est leur orgasme.
Aussi je reprends mes godes, et les fais entrer dans leur cul. Pourquoi les priver de cette sodomie qu’elles adorent ? Un tout petit « Aie » de surprise suivi d'un « Aah ! Ou i!! » qui m'incite à continuer. Les mouvements de mes godes dans leurs ventres les font danser sur le canapé. Elles ont une manière tellement sexe de remuer leur bassin si excitant !! Leurs mots d'encouragements, tous aussi grossiers les uns que les autres, sont entrecoupés par les baisers qu'elles échangent. Leur jouissance croît de plus en plus vite et enfin elles hurlent leur orgasme. Il est plus fort que le précédent. Et moi je n'en peux plus, ma bite me fait mal.
Je m'éloigne de mes chéries et admirent leur prostration, puis leur éveil progressif. Elles sont couchées sur le côté, bouche contre bouche. Qu'elles sont belles ainsi. Comme vous êtes belles mesdames dans l'orgasme !!!
Sofia est la première à refaire surface. Elle se lève et se dirige vers moi pour me rouler une pelle goulue pour
« te remercier de ce que tu viens de nous faire, petit salopard. Tu vas nous le payer, pas plus tard que tout de suite, tu vas voir ça ! »
Elle tourne la tête vers Valy qui s'est assise et nous regarde avec son sourire si craquant. Elle réagit à la phrase de Sofia en disant :
« Tu as raison ma chérie, il va nous le payer et plutôt deux fois qu'une, et pas plus tard que tout de suite… »
Elles se jettent sur moi comme deux lionnes sur leur proie. Elles me couchent sur la moquette et sans un mot, sans même se concerter, comme si elles faisaient ça tout le temps, chacune s'occupe dune partie de mon corps. Pendant que Sofia s'occupe de mes pieds, Valy, elle, se penche sur mon visage, et elles parcourent lentement chaque pouce de ma peau de ses belles lèvres charnues. J'en ai aussitôt la chair de poule. Sofia de ses mains agiles me masse les pieds, sorte de massage tantrique qui fait monter ma température, quitte à passer dans le rouge. Et j'ai très vite, un bel orgasme sans éjaculation, un peu comme avec un massage de la prostate.
Valy, tout en me jetant parfois un regard plus que coquin, continue à butiner ma peau. J'en tremble de plaisir. Arrivée à ma poitrine elle mordille mes tétons, ce qui me fait comme une décharge électrique dans le corps. Ses mains aux longs doigts fins ne sont pas en reste. L'une d'elle titille mon gland du bout d'un ongle, puis me masse les couilles. Sofia m'a fait connaître déjà cet orgasme ''à sec'' et ses mains arrivent à mes cuisses. Valy et elle se sont rejointes hauteur de ma queue.
Elles se regardent et se roulent une pelle gourmande et amoureuse et Sofia écarte mes jambes d'un geste autoritaire et s'agenouille entre elles et pendant que Valy me suce la queue en douceur, comme pour la câliner, Sofia, elle, entreprend de me doigter. Je sens ses doigts s'insinuer entre mes fesses. Elle en rentre deux en moi et pianote en moi tout en faisant des moments de va-et-vient. Tout ça commence à me chauffer sérieusement.
Elles s'en rendent compte. Sofia continue son entrée en moi progressivement jusqu'à, enfin, entrer toute sa main. Elle a fait ça avec une telle douceur que je n'ai ressentie aucune douleur. Valy en profite pour changer sa façon de déguster ma queue. Elle y va plus franchement, et de temps, elle me mordille sèchement puis reprend avec sa douceur habituelle. Voilà un long moment que je me retenais, mais là, les soins conjugués de mes deux salopes chéries me font exploser dans la sublime bouche de Valy. Voyant ça Sofia sort sa main de mon cul et se jette sur Valy.
Et voilà maintenant une lutte joyeuse entre elles deux pour se partager mon sperme. Comme elles sont belles ainsi, nues, chaudes et jouissantes. Je ne connais pas de spectacle plus beau ni plus érotique que deux femmes nues en train de s'aimer.
Voilà à peine 2 heures que nous sommes à nouveau réunis, tous les 3 et, déjà nous avons bien fêté nos retrouvailles. Je décrète une trêve pour diner. Mes deux chéries s'inclinent, d'autant plus volontiers qu'elles meurent de faim. Nous nous attablons donc. Le repas bien arrosé se passe dans la joie, nous profitons de ce moment pour combler par nos souvenirs les vingt passés sans nous voir. C'est ainsi que j'apprends que le mari de Valy ne pouvait supporter que sa femme aime une autre femme.
Pauvre Valy, je comprends d'autant mieux ce qu'elle a pu vivre que, moi-même, j'ai vécu la même mésaventure car ma femme me traitait de tous les noms parce que j'étais bisexuel. Valy donc, en désespoir de cause, se résigna à divorcer et retrouva Sofia, cette belle sicilienne très chaude et vicieuse pour former un couple de lesbiennes qui ne ferma jamais sa porte aux hommes. Cependant Valy en bonne mère soucieuse du bon équilibre de ses enfants ne fit des grosses folies de son corps que lorsqu’ils étaient avec leur père.
Repas fini, mes deux jolies salopes, un peu gaies, acceptèrent un digestif sous la forme d'un très bon cognac offert par un vieil ami. L'occasion était belle pour déboucher cette bouteille et déguster ce nectar. Un peu salop je forçais sur la dose dans les verres de Valy et Sofia. Très vite elles en acceptèrent un second. Je sais qu'elles n'ont nul besoin de se cacher derrière l'alcool pour se laisser aller dans les jeux du sexe. Je voulais juste qu'elles se déchaînent un peu plus.
Je ne me suis pas trompé, l'alcool les a non seulement rendues plus gaies, mais aussi il a accentué leur envies de jouir. Elles me prennent par la main et me conduisent à ma chambre où elles n'étaient pas entrées depuis leur arrivée. Elles sont surprise, agréablement, en voyant trôner sur ma table de nuit mon gode-ceinture, un egin du plus beau noir, qui brille et semble nous appeler. Posé à côté de lui un double gode que j'aime utiliser parfois avec des copines de passage.
Sofia se jette sur ce double gode, s'installe sur mon lit et s'ingénie à se pénétrer avec. Il est assez long et souple pour se plier en deux, aussi Sofia se met une extrémité dans la chatte et l'autre dans le cul. Valy, ma salope chérie prend le gode-ceinture, s'approche de moi en minaudant, et de sa belle voix me dit :
« Bruno chéri, pendant que cette salope de Sofia se baise toute seule moi je vais t'enculer avec ce beau gode-ceinture. Ca fait longtemps qu'on l'a pas fait, je meure d'envie de recommencer je vais t'enculer, tu seras ma salope, dis, tu veux bien ?
- Bien sûr, mon amour, pour fêter nos retrouvailles tu peux faire tout ce que tu veux avec moi, je te laisse faire ! »
Elle pousse un cri de joie, s'harnache avec le gode et me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, j'attends le bon vouloir de ma belle. Valy mouille l'extrémité du gode avec sa salive, le pointe face à mon petit trou, et tenant mes jambes aux chevilles pour les écarter, elle s'enfonce en moi, d'un seul coup. Je ne pousse qu'un petit cri de surprise. Aucune douleur, je sus très souple de ce côté là. Sans compter que durant mes vingt ans de vie après Valy, j'ai vécu beaucoup plus de rencontres homos qu'hétéros, cela m'a assouplit encore un peu plus l'entrée.
Valy se déchaine en moi, elle s'enfonce à grand coup de rein, pour ressortir entièrement et entrer à nouveau jusqu'au fond. Elle ponctue ses mouvements de mots orduriers : « Hein ! Ma salope, t'aimes avoir ma bite dans le cul. Tiens ! Prends ça, et encore ça ! Regardez moi ça comme elle aime se faire enculer cette salope ! »
Je n'en reviens pas de voir ma Valy parler et agir comme ça. Je dois avouer que je n'aurais jamais laissé quiconque me traiter de salope, hormis Valy.
Ceci dit, elle a raison, j'aime, j'adore même me faire enculer. Et quand c'est une femme comme Valy qui me le fait, le plaisir est encore plus grand. Ma queue bande comme jamais, j'ai des sortes de frissons de plaisir qui envahissent mon corps. Sofia, du coup, arrête de se faire du bien, se débarrasse de son double gode et s'approche de Valy, l'embrasse à pleine bouche, lui caresse les seins puis la saisit aux hanches et l'aide dans ses gestes pour me sodomiser.
Je gémis de plus en plus, je pense que c'est ma plus jouissive sodomie depuis longtemps. Sofia fait cesser Valy
« Ma petite chatte, arrête, j'ai une idée. Puisque il a l'air d'aimer avoir quelque chose dans le cul, on va lui en donner, tu vas voir… »
Valy se défait du gode-ceinture et regarde avec moi Sofia qui enduit sa main du lubrifiant que j'avais sorti auparavant. Elle s'approche de moi et me fait une feuille de rose d'enfer. Une merveille, à me faire jouir si je n'y prends garde.
Je sens ses doigts qui gratte mon trou, je les sens pénétrer un à un. Enfin sa main aux doigts longs et fins est enfoncée en moi jusqu'au poignet. Et elle joue avec en moi comme le faisait Valy il y a un instant. Celle-ci monte sur le lit et s'accroupit au dessus de mon visage pour que je lui lèche la chatte et le cul. Elle est toute mouillée et l'odeur à la fois acre et douce me rend fou d'elle. Valy bouge son bassin pour mieux guider ma langue là où elle veut du plaisir.
Mais sur un ordre de Sofia, elle s'arrête et la rejoint entre mes jambes. Elles chuchotent et rient en même temps, apparemment heureuse de l'idée qu'elles viennent d'avoir. Je ne tarde pas à comprendre en sentant se qui se passe autour de mon trou du cul. En effet le double gode plié en deux de manière à ce que les deux glands se rejoignent. Elles me font subir une double sodo.
Je n'en ai eu qu'une d'en ma vie et c'était avec deux vraies queues. Mais là être pris en double par ces deux jolies garces est plus que je ne peux supporter et j'explose d'un coup. Mon torse est plein de mon sperme. Je suis exténué, mort de plaisir. Mais elles continuent leur double sodo, plus pour leur plaisir que pour le mien. Mais je les aime ces deux-là, alors je les laisse faire. Et j'avoue que ce n'est pas désagréable du tout.
Elles cessent enfin leur jeu, m'aident à me relever et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Elles m'allongent dans la baignoire, se mettent face à face debout au dessus de moi, les pieds sur les rebords et ensemble lâchent leur pisse sur moi. J'adore les jeux uro, mais avec les femmes seulement. C'est un jeu que Valy et moi pratiquions souvent. Elle dirige son jet vers mon visage et j'ouvre la bouche pour la déguster. Son pipi n'a pas changé, il est toujours aussi sucré. Vessies vides, elles se décident à me laver vraiment, avec de l'eau et du savon.
Enfin nous allons nous coucher tous les trois dans mon grand lit. Je les baiserai demain, ou, qui sait, tard dans la nuit, si ces dames ont une envie pressante. Ce qui ne m'étonnerait pas du tout d'elles. En attendant je m'endors comme un bien heureux, allongé au milieu du lit et une femme nue de chaque côté. Je suis au paradis en somme.
C'est vers quatre heures du matin que je suis réveillé par des gémissements et mon lit remue un peu. J'allume la lumière et je vois mes deux magnifiques copines en train de se goder mutuellement. Elles me font « coucou chéri !! On avait envie de s'aimer ! »
Comment leur en vouloir ? Elles sont si belles et excitantes ainsi. Une furieuse envie de la prendre me prend, mais, je veux les laisser s'amuser encore un peu. Alors, je me rapproche de Sofia. Je me rappelle que ces pieds aux longs doigts bien faits et vernis sont très sensibles aux caresses, et moi qui suis toujours ému par de beaux pieds de femmes. Je lèche ses pieds et ses orteils un à un, je les mordille aussi parfois, Sofia commence à réagir et ses gémissements redoublent. Voyant ça, Ma Valy s'acharne un peu plus sur le cul de sa chérie qu'elle est en train de goder. Le résultat ne se fait pas attendre, Sofia a un super orgasme.
Et pendant qu'elle semble inconsciente, Valy se jette sur moi et nous nous étreignons comme des affamés. Nous nous soixanteneuvons goulument et Valy toute chaude et frémissante me présente son cul pour que je l'enfile. Je me souviens que Valy autrefois, avait des orgasmes en se faisant sodomiser, alors je m'applique à la prendre comme elle aime, à savoir très doucement, en remuant mon bassin, façon lambada. Valy m'accompagne dans cette dans érotique.
Les mouvements de sont bassin complètent bien les miens, comme si nous ne nous étions jamais quittés. Nos gémissements communs font une musique de fond excitante. J'ai envie que cela dure une éternité tant je suis bien en Valy. Sofia refait surface tout doucement. Elle nous regarde un moment, sourires d'encouragement aux lèvres. Puis ds envies de participation semblent l'habite, elle rampe sur le lit, nous caresse, nous embrasse, nous lèche et enfin passe derrière moi, prend un gode et m'encule d'un coup. Aussitôt un feu semble se répandre en moi.
Je ne peux plus continuer comme je le fais, il me faut transmettre mon feu à ma Valy. Aussi j'accélère mes mouvements de plus en plus, Valy chez qui le plaisir monte de plus en plus, me gueule plus qu'elle ne me dit :
« Oui, Bruno chéri, vas-y à fond et jouis en moi. Je veux sentir ton jus dans mon ventre ! »
Comment résister à une telle invite ? Je ne sais pas alors je me laisse aller et me répand en Valy. Sofia, toujours à l'affût, approche son joli bec du cul de Valy, et embouche ma bite dés sa sortie. Elle lui fait une toilette très gourmande, elle ne juge sans doute pas son travail assez bien fait car elle insiste longuement et ma queue commence à me faire mal.
Valy vient involontairement à mon secours en se jetant sur Sofia pour l'embrasser voracement et profiter elle aussi de ce qu'elle a recueilli. Et revoilà mes deux jolies salopes en train de s'aimer comme si c'était la première fois. J'aurais été malheureux de ne pas rencontrer ces deux femmes qui considèrent le vice aussi sainement que s'il s'agissait de vertu. Et c'est pour cela que je les aime beaucoup.
Sens apaisés, tout à fait provisoirement, nous jouissons, blottis les uins contre les autres, du bonheur du contact de nos peaux nues, de l'odeur de nos corps qui viennent de jouir et de cette sorte d'amour que nous éprouvons. Nous nous endormons comme ça, jusqu'à ce que Valy, étrange idée vraiment saute du lit et nous dise à trop haute voix :
« Mes petits chéris, vous n’avez pas faim, vous ? Moi si, alors allons manger
- Ben vas donc préparer le p'ti'dèj, tiens ,et tu nous appelleras' ! »
Valy, bonne fille s'exécute, et se dirige vers la cuisine. Nous l'entendons chantonner joyeusement. Sofia et moi, sommes maintenant seuls, tous les deux dans mon lit. Nous sommes collés l'un contre l'autre. Son corps est doux et chaud. Une odeur forte et aphrodisiaque, fruit de notre baise d'il y a deux heures environ, envahit mon cerveau. Et comme c'est lui qui commande, fatalement je me mets à bander à nouveau. Sofia qui le sent se met à onduler contre moi, pour frotter sa chatte contre ma queue. Elle ronronne et me sourit. Ses mains parcourent mon corps avec une grande douceur, ses lèvres me baisent le visage et la bouche. Je suis bien, je ne fais aucun mouvement, je profite au maximum de ce moment béni.
Sofia s'écarte un peu de moi, me fait m'allonger sur le dos et me dit d'une voix rauque :
« Ne bouge pas, laisse moi te faire plaisir comme j'aime. »
Moi lui désobéir ? Moi refuser sa proposition quand celle-ci est prometteuse de plaisir ? Vous rêvez ! Me v'là donc, allongé sur mon lit, bras et jambes écartés, yeux fermés qui attends l'assaut de ma chaude sicilienne. Celle-ci, à quatre pattes, sourire aux lèvres et œil brillant entreprend de me dévorer érotiquement.
Ses jolies mains parcourent mon corps en le frôlant, s'arrêtant parfois en des endroits dits « stratégiques ». Ca me colle des frissons partout... Ensuite ces lèvres prennent le relai. On dirait le cratère de l'Etna, le chaud volcan de son île, tant elles dégagent de chaleur. Je bande comme une harde de cerf. Sofia feint de l'ignorer, tourne autour, l'évite soigneusement. Voilà un beau supplice de tantale. Elle ne me juge pas encore assez à point car elle change de façon d'agir. Après sa bouche et ses lèvres, c'est sa chatte qui entre en œuvre. Mais là, c'est aussi pour se faire plaisir.
Elle s'accroupit au dessus de mon visage, frotte son clito sur mon nez assez longtemps pour bien mouiller et m'inonder de son parfum intime. Elle s'allonge ensuite sur moi et caresse mon corps avec le sien, en remuant, souple comme une liane. Et enfin, enfin, elle daigne s'occuper d'une partie de moi qui est toute congestionnée. Ma bite. Sofia se penche vers elle et ne s'aidant que de ses lèvres et de sa langue, elle flatte et lèche ma queue et mes couilles qu'elle gobe avec dans les yeux l'air d'aimer ce qu'elle fait. Tout en câlinant mon sexe, elle entre deux doigts dans mes fesses et me masse la prostate, un longtemps au point qu'elle me procure un super orgasme sans éjaculation qui me fait hurler de plaisir.
A-t-elle soudain pitié de moi ? A moins que, égoïstement, elle est simplement envie de jouir ? J'ignore, mais ce que je sais c'est, c'est qu'elle s'installe à califourchon sur moi, enfonce sa chatte sur ma queue et s'emballe aussitôt, montant et descendant sur moi en soupirant et gémissant de plus en plus fort. Avantage de mon âge, je sais que ma jouissance n'arrivera pas trop vite et que ma jolie salope aura le temps de bien se faire plaisir.
Sofia est de plus en plus bruyante, au point que Valy l'entend et se précipite dans la chambre.
« Ah ! Bande de salopards, vous attendez que j’aie le dos tourné pour vous envoyer en l'air ! Et puis, regardez moi cette salope comme elle s'agite sur une bite !! » dit-elle sur un ton qui est loin d'être de reproche.
Et comme elle n'est jamais à cours d'idées, elle s'empare d'un gode de dimension « intéressante », nous rejoint et se plaçant derrière Sofia, lui enjoint de s'arrêter un moment, la couche sur moi et entre le gode dans son cul.
Sofia pousse un cri qui de douleur se change aussi vite en un grand soupir d'aise. Alors Valy et moi la baisons et l'enculons longtemps. Enfin n'en pouvant plus, et criant de plus en plus fort, Sofia s'écroule sur moi et jouit tant et plus. Etant un peu fontaine, elle m'inonde de son plaisir. Valy continue un moment à l'enculer avec le gode puis, laissant le gode dans le cul de Sofia, elle se hâte de boire la jouissance de son amante. Je n'ai pas encore joui, moi, et Valy se précipite sur ma queue et me suce avec une gourmandise qui n'appartient qu'à elle et avale le jus que sa bouche experte a bien su faire venir.
Une bonne douche sage, un petit déjeuner aussi copieux que long et voilà mes deux gourgandines prêtes à reprendre la route, non sans m'avoir promis qu'elles reviendraient vite me voir…
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La Kiné
Il y a quelques semaines, j'ai eu un accident de voiture qui a eu pour principale conséquence de me briser trois cotes. Depuis ce funeste jour, je suis contrainte de rester allongée sans pouvoir faire grand-chose. Et surtout pas l’amour, car l’orgasme me procure une douleur insupportable.
Mais depuis trois semaines, une jeune kiné d'une vingtaine d'années vient me prodiguer ses massages à domicile, afin que les contusions de mon épaule se résorbent plus vite. À la fin des étirements de mon cou et de mon épaule, elle me fait allonger sur le côté droit et commence à me masser l'épaule.
Les premiers jours, son massage était assez « rude ». Mais depuis une semaine, son massage fut beaucoup plus longtemps et bien plus doux...
En fait, je n'ai avais pas vraiment fait attention. C'est mon mari qui assistait à une de nos séances, qui me le fit remarquer après son départ.
« Ma chérie tu as vu comment elle te regarde quand elle te masse ?
- Non je ne peux pas l'avoir vue, puisque je lui tourne le dos !
- Si tu voyais comment elle te regarde ! On dirait qu'elle va te dévorer tout cru !
- Vraiment ? Eh bien je vais plus attentive à son prochain massage », répondis-je en souriant.
Deux jours après, elle revint et commença la séance normalement. Nous étions seules, Fritz était déjà parti travailler. Puis comme d'habitude, je me couchai sur le côté droit et elle vint s'asseoir contre moi, ses genoux tournés en direction de ma tête. Elle posa son bras gauche sur mon bras gauche, et avec sa main droite entama son long massage de mon épaule meurtrie. Imaginant le regard qu'elle portait sur moi, j'ai eu la chair de poule.
Visiblement, elle s’en rendit compte, car je sentis son massage s'accentuer et sa main gauche commencer à caresser mon bras, ce qu'elle n'avait jamais fait jusqu'à présent. Pour l’encourager, j'entamai une série de soupirs profonds mais relativement discrets. Immédiatement, sa main gauche entama une lente descente vers mon sein.
Nous n'échangions pas un mot. Je la sentis se pencher un peu plus vers ma tête, car son souffle effleurait mon cou. Très doucement, je mette il n'est un peu vers elle a, lui rendant l'accès à mon paréo plus facile. Comme vous le savez, je vis dans un pays chaud, et ma tenue d'intérieur est uniquement un paréo, que je noue au dessus des seins. De plus, avec mon accident, je ne peux pas m'habiller normalement. Je la reçois donc dans cette même tenue avec juste un string dessous...
Elle semble comprendre le message, et glisse la main dans l'ouverture du tissu qui me couvre à peine… D'une main aussi ferme que celle qui me massait, elle saisit ma poitrine et commence à la malaxer avec une certaine tendresse. Moi qui ne suis pas vraiment bis, je suis très troublé par cette caresse qui érotique... Imperceptiblement, je sens que je mouille de plus en plus. Si ça continue, je vais tacher le canapé sur lequel je suis allongée...
Brutalement, je suis tirée de cet état d'excitation par la sonnette qui me vrille les oreilles. Je sursaute autant qu'elle. Elle m'aide à m’allonger sur le dos et me regarde avec un petit sourire gêné. Pas le temps de lui répondre, la personne qui avait sonné au portail est déjà dans l'encadrement de la porte. Il s'agit de mon voisin Pascal, qui vient me rendre une petite visite de courtoisie.
Elle se relève, me salue et me dit qu'elle reviendra le surlendemain comme d'habitude. Pascal semble s'être rendu compte ton de quelque chose en car il me dit :
« Eh bien ma cocotte en on dirait que je t'ai dérangée ?
- Mais pourquoi me dis-tu cela ?
- Mais tu sais que je te connais très bien ! Et je sais très bien reconnaître quand tu es excitée, ma belle !
- Vraiment, je ne peux rien te cacher ! Tu as raison sous ses airs de jeune fille sage, je crois que c'est une grosse coquine ! Tu sais quoi ! Elle était en train de me masser autant le sein que les épaules... Et j'ai adoré cela !
- Et dans quel état es-tu maintenant ma belle ! me demanda-t-il, l'air ironique.
- Tu veux vraiment le savoir ? Je suis trempée...
- Mais je ne peux pas te laisser dans un tel état… Il va falloir que je me dévoue...
- Tu sais, depuis mon accident, j'ai essayé d'avoir à des relations sexuelles avec mon homme, mais la survenue de l'orgasme me provoque une douleur insupportable dans les côtes. Je ne sais pas si je dois te laisser faire...
- Tu peux toujours essayer, et dès que tu me dis « stop », je te promets, j'arrête ! Tu sais que j'adore faire ça ! Cela me fera autant plaisir qu'à toi de te dévorer ton joli minou que j'aime tant...
- Alors, je ne peux qu'accepter ! »
Joignant le geste de à la parole, je m'allongeai de nouveau sur le canapé, laissant s'ouvrir en grand mon paréo. Pascal vint se mettre à genoux sur le sol, et enfouit sa tête entre mes cuisses.
Sa langue familière vint fourrager dans mon intimité totalement détrempée. Avec ses deux mains, il ouvrit en grand mes lèvres intimes, comme j'aime tant qu’on me le fasse...
Je sentais l'air frais du ventilateur venir effleurer l'intérieur de mes chairs. Sa langue habile a titillé mon clito dressé hors de son étui. J'étais tellement excitée et en manque de sexe, que j'ai ressenti venir l'orgasme très très vite. Je le stoppai net, voulant encore profiter de ses caresses magiques.
Comme il me l'avait promis, il arrêta immédiatement. Je lui fis un sourire et lui demandai de s'approcher. Il comprit très vite, et comme nous n'en étions pas à notre première fois sur ce canapé, il attrapa un petit banc de bois, le positionna au bout du canapé, et vint s'agenouiller dessus.
Il défit rapidement son pantalon, et sorti sa bite bien dressée. J'ai incliné ma tête en arrière, et ainsi, il put introduire son gland entre mes lèvres gourmandes. j'adorais sucer ce bâton d'amour épais et long comme. Cependant, mes côtes m'empêchaient de m'incliner autant que je voulais pour lui faire une gorge profonde. Pourtant, je parvins à engloutir à la moitié de cette queue odorante, et la léchai avec application et appétit.
Et visiblement la situation devait l'exciter, car il ne lui fallu que quelques minutes pour décharger au fond de ma gorge. Je reçu le jet épais et un peu amer avec délice, et j’ai avalé tout jusqu'à la dernière goutte.
« Eh ma belle, tu aurais pu en garder un peu dans ta bouche...
- Vraiment ! Mais pourquoi donc ?
- Mon sperme soit dans ta bouche en soi sur table belle chatte...
-, Je sais bien, mais là tu étais trop profond et je ne peux pas bouger beaucoup tu le sais bien.
- Allait, je vais recommencer à te dévorer car vraiment une en a pas eu assez...
- Mais je t'en prie chez très très très ses envies de ta langue au plus profond de moi... »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il n'y glissa à nouveau sa tête entre mes cuisses un, écarta presse que violemment élèvera, et il planta sa longueur d'un seul coup. Soit il m'avait ouvert vraiment au grand, soit sa langue avais pris de la longueur, car j'eus l'impression qu'il arrivait directement sur mon. J'ai. Il me dévorait avec passion glissant sa langue partout, mordillant au passage de mon lit au décalotter, grognant presque un de l'envie de me faire plaisir. Je gémissais de plus en plus forts en, faisant mon maximum pour ne pas jouir... Je savais que la douleur serait fulgurante et je ne voulais pas gâcher ce moment par écrit de souffrance.
Je senti les premières contractions de mon vagin, et à contrecœur, en je lui demandais dans un souffle de s'arrêter. En fait, il ne fait que ralentir le rythme un, laissant retomber la pression qui m'envahissait. Puis il reprit une lente caresse du lit au, très doucement, très tendrement... Je le laisser-faire, temps était frustré de ne pas avoir joui. La caresse la gloire Alain contribua à apaiser ma frustration.
Et je senti venir le nouvel orgasme, étonnant, léger comme une plume, et du coup, je laissais m'envahir doucement j'ai ressenti une chose nouvelle, loin du déferlement des orgasmes que je peux ressentir d'habitude. Il m'envahit comme une vague lente en et profondeur, mais au entraîner une contraction de tout le corps comme d'habitude. Je ressenti un apaisement et satisfaction profonde dans devant mon plaisir enfin rassasié. Cela faisait il la cinq semaines que je n'avais pas eues de plaisir à. Pascal vint s'asseoir à côté de moi et m'embrassa tendrement.
« Tu vois ma belle, nous y sommes arrivés... C'est la plus qu'à en parler ce soir avec ton mari, et vous n'aurez plus qu'à recommencer !
- Oui, tu as raison... Il est sûr que nous recommencerons ce soir !
- Et si j'ai bien compris, après-demain, ta jolie kiné revient ! Je pense que cette fois-ci, tu ne t'en sortiras pas avec seulement une caresse sur le sein...
- Tu as raison, je le pense aussi. J'aime la façon dont elle me touche, et je ne pensai pas être aussi émoustillée... Et si jamais tu passes par là à la même heure, et bien cette fois-ci, tu ne sonnes pas, et tu rentres très doucement...
- Je vais y penser... Je reconnais que te regarder de faire gouiner par une femme m'excite au plus haut point.
- J'avoue qu'elle m'a particulièrement excitée... Je ne m'y attendais pas... Rien que de penser et à sa jolie bouche en sur ma chatte, regarde je mouille de nouveau... -
- Allez, appelle ton mari, il va s'arrangerça très très très très bien, je le sais.
- Tu as raison, je vais le faire tout de suite ! »
Il m'embrassa à nouveau et se releva pour partir. Je saisis mon téléphone et appelai aussitôt mon cher mari. Je lui racontai tout en détail, et avant que j'ai fini de parler, il m'interrompait en me disant :
« J’arrive ma chérie, je t'assure je vais te baiser comme un fou... »
À suivre...
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Le visiteur du soir
Il est vingt et une heures quand on sonne à la porte de Solange. C'est elle même qui va ouvrir. Un homme, très séduisant, la cinquantaine, cheveux grisonnant, se tient sur le pas de la porte. Solange, belle femme de trente-cinq ans, est vêtue d'une robe boutonnée sur le devant.
« Bonsoir Monsieur, dit-elle, entrez, on vous attendez, mon mari est sur le canapé. »
Les deux hommes se serrent la main, se parlent à voix basse, pendant que Solange sert le café.
« Viens t'asseoir ma chérie », dit Paul, l'époux de Solange.
La jeune femme envoie une musique ambiante, s'installe sur le canapé, entre l'invité prénommé Rémi, et son mari. Elle prend soin d'ouvrir deux boutons de sa robe, pour laisser entrevoir sa magnifique poitrine, et croise haut les jambes.
Rémi sait pourquoi il est là, c'est pour assouvir un vieux fantasme sexuel de Paul, qui a toujours voulu voir son épouse se faire prendre par un autre homme devant lui.
Solange est assez réticente à ce genre de relations, aussi, laisse-t-elle Paul prendre l'initiative des opérations. Celui-ci passe un bras autour de son cou, la tire pour qu'elle appuie sa tête contre son épaule. La main glisse sur la poitrine, et ouvre deux autres boutons.
Rémi décide d'intervenir. Il prend la jambe de la jeune femme, et la pose sur sa cuisse.
Puis, d'un geste précis, fini de déboutonner la robe, en écarte les pans. Solange est entièrement nue. Elle fait pivoter sa tête vers son mari, lui frôle les lèvres.
« Caresse-moi les seins, souffle-t-elle, s'il te plait, soutiens-moi. »
Elle ne sait pas si elle a raison, de satisfaire ainsi le caprice de son mari : l’offrir à un inconnu.
Solange décide de faire le vide dans sa tête, et se concentre sur les deux hommes.
Pendant que Paul caresse les seins de sa femme, Rémi en profite pour ôter ses habits.
Il glisse une main entre les cuisses écartées de Solange, et fait courir un doigt sur la fente légèrement humide
« Ca t'excite de me voir dans cet état ? glousse-t-elle. Tu vois ce qu'il me fait. Il sait où il faut gratter les femmes ce salaud... Hum... tu sais qu'il commence à me faire mouiller ? »
D’une certaine façon, elle se venge de ce q’uil lui fait faire, en utilisant ce langage cru. Et il est vrai aussi qu’elle se sent de plus en plus excitée…
Effectivement, le doigt pénètre avec une grande facilité dans la chatte détrempée, excite le clitoris. Solange se cambre pour mieux s'offrir, tandis que sa main saisit le pieu dressé entre les jambes de Rémi.
« Whoua, murmure-t-elle, il a ce qu'il faut le mâle, ça peut être intéressant. Lève ta main, je vais jouer avec lui maintenant. Ouvre bien les yeux mon chéri. »
Paul est surpris de l’initiative de sa femme, elle qui était si réticente… Solange se lève, et fait glisser sa robe sur la moquette. Elle se met à genoux, décalotte la bite du bout des lèvres, et l'avale jusqu'aux couilles. L'invité pousse un râle de plaisir.
« Ah, une pipe. D’entrée, sourit Rémi, j'ai l'impression que la soirée s'annonce sulfureuse.
- Et elle va l'être, répond Solange, vous n'allez pas être déçu, Monsieur. »
Jugeant les mensurations du calibre respectable, Solange enfourche Rémi, saisit l'énorme bite, et la fait coulisser dans son antre plein de mouille, en poussant un cri de plaisir.
« Enfin, gémit-elle, depuis que j'avais envie d'un bon coup de queue ! »
Solange se paie même la fantaisie de faire demi-tour, toujours embrochée sur Rémi, pour inviter son époux à mieux voir le pieu qui lui laboure les entrailles. Il voit aussi les mains masser les seins, et le clitoris entièrement sorti de son capuchon.
« Oh putain...dit-elle. Ca c'est de la bite... »
Solange entoure ses bras autour du cou de Rémi, tout en ondulant des hanches. Le bout des seins, provocateur, se plaque sur le visage du quinquagénaire.
« Allez-y, soupire-t-elle, sucez-les, ils sont à vous ce soir... »
Les respirations s'accélèrent, au rythme des coups de rein. Solange ouvre grand la bouche.
« Le salaud, gémit-elle, il me maque, là.. Allez-y, bourrez moi le trou... Oh oui...oui... Je jouis… Ouiiiiiiiii.. Montrez à ce pervers comme vous faites bouger le cul de sa femme...
- Ah, moi aussi, ça vient grommelle Rémi. Sens comme ma bite vibre dans ta chatte... whoua... ha... »
Soudain, Solange se retire, prend la queue de Rémi en bouche et l'aspire. L'homme ne peut pas se retenir, et largue sa semence chaude au fond de la gorge de Solange, qui avale tout.
Paul, surpris et furieux, se dresse d'un bond.
« Hey...c'était pas prévu, dit-il.
- Oh mon chéri, dit la jeune femme, j'avais tellement envie d'une bonne gorgée de sperme, tu vas ne pas me le plaindre. Viens que je t'embrasse... »
Son mari tente de se dérober. Gouter le sperme de son rival n’est pas dans ses intentions. Mais sa femme se fait si enjôleuse qu’il craque, et dévore ses lèvres, et le sperme, avec passion… Le baiser est tendre, mais laisse des traces blanchâtres sur les lèvres de Paul. Solange lui sourit et lui murmure à l'oreille :
« Tu m'autorises à aller au lit avec lui ? Je veux me dévergonder ce soir, pour toi mon amour.
- Mais enfin Solange, ce n’était pas convenu d'aller jusque-là !!
- S'il te plait supplie-t-elle. Accepte... je ferai ce que tu voudras après...
- Bon, dit Paul un peu à contre cœur, si tu y tiens... Mais rappelle-toi. TOUT ce que je voudrais.
- Merci. Tu es un amour. Je vais laisser la porte de la chambre ouverte. Tout à l'heure, je t'ai dit d'ouvrir les yeux, maintenant, ouvre tes oreilles. Et quoiqu'il arrive, je te demande de ne pas intervenir. »
Résigné, Paul acquiesce. Après tout, c’est lui qui a mis sa femme dans cette situation. Il avait juste oublié de prévoir qu’elle pourrait y trouver autant de plaisir…
Solange se lève, prend la main de Rémi, l'entraine à la chambre, pendant que Paul s'installe confortablement sur un fauteuil près de la porte de la chambre. Si près qu'il peut entendre le crissement des draps.
Le corps des deux amants d'un soir roulent sur le lit, enlacés, soudés par un féroce baiser. Les plaintes, les éclats de rire fusent dans la pièce.
« On peut se tutoyer, propose Solange.
- Mais bien sur, accepte Rémi.
- Je veux toute la panoplie du sexe cette nuit, glousse Solange, que tu me le mettes jusqu'à ce que tu n'aies plus de foutre dans tes couilles.
- Chut, chuchote Rémi, ça pourrait ennuyer ton mari, lui faire du mal...
- Attends, répond-elle, Tu sais, c'est lui qui a voulu cette soirée, à lui d'assumer maintenant. Vas-y ... »
Paul entend les premiers râles de plaisir de son épouse, les premiers mots aussi, ceux qu'on dit dans ce genre de situation, et qu'on les pense ou qu'on les pense pas, font mal.
« Hou...hou, gémit Solange, quel étalon tu es... Mais c'est toi qui va craquer le premier... »
Paul entend tout. Les mots sont crus, les comparaisons sont déchirantes.
« Aie ! crie Solange. Mais tu m'encules ! Tu aurais pu me prévenir salaud... Vas-y... bourre-moi le petit trou... Il a très peu servi, tu sais... Autant que ce soit une grosse bite qui en profite...
- Et qu'est-ce que tu vas dire quand je vais te remplir le trou, hein ? Petite vicieuse...
- Enfoiré... je viens, soupire Solange, branle-moi la chatte... Oui, oui... crache, toi aussi ! »
Les deux amants font un demi-tour, pour se placer en soixante-neuf. Les lèvres de Solange s’enroulent autour du gland décalotté de Rémi, pendant que celui-ci lui affole le clitoris.
« Comme tu me bouffes la chatte salaud... Hou.. hou... Doigte-moi le cul aussi ! Hou.... oui... oui... Continue comme ça !
- Et toi, petite salope... tiens. Prends une autre gorgée... avale !!! Han... han... »
Paul a bouché ses oreilles pour ne pas entendre le premier orgasme de son épouse, et jusqu'à une heure avancée de la nuit, il va les boucher à trois reprises.
« Embrasse-moi, sale mâle, ordonne Solange, on a bien joué tous les deux, je ne suis pas déçue.
- Moi non plus », répond Rémi en rendant le baiser.
Après une bonne douche, Solange raccompagne Rémi. Le baiser est torride.
« Tu crois qu'on pourra remettre ça ? demande Rémi.
- Je ne sais pas, répond Solange, c'est Paul qui décide, mais pourquoi pas ? »
Sans un mot, elle retourne dans sa chambre, et entraine son mari au passage :
« Viens, on va dormir. Demain, je serai ton esclave sexuelle... Et celle de tous ceux qui le voudront bien ! »
Stupéfait, Rémi ne trouve rien à redire, et va se coucher avec elle, dans le lit souillé par son amant.
Le matin, Solange et Paul se réveillent dans les bras l'un de l'autre. Paul questionne du regard.
« Oui, je sais ce que tu veux m'entendre dire, dit Solange. Ben oui, c'est un super coup au lit.
- Je m'en doute, poursuit Paul, comme il t’a fait crier ce salaud. Et par rapport à moi ?
- Ne rentrons dans des comparaisons stupides mon chéri. C'est nouveau pour moi, différent. Nous c'est devenu routinier, mais c'est toi que j'aime. Et toi, es-tu prêt à poursuivre ton fantasme ?
-Si tu es d'accord, oui. Je t'ai senti féline hier soir, heureuse.
-Je suis d'accord, reprend Solange, mais j'aimerai changer de partenaire, connaitre d'autres expériences. Allez, mon gros nounours, viens ici que je te fasse une petite gâterie. »
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Les aventures de Diane, ma coquine - chap. 6
Mon Matou chéri !
En écrivant ma précédente lettre, je me suis souvenue d’une aventure survenue au temps où j’étais danseuse érotique. Je m’empresse de te la conter. Je crois qu’elle te fera plaisir (chose promise, chose due).
Nous voilà, ma copine Marie et moi en partance pour la Guyane où nous sommes attendues pour un spectacle en duo. Nous sommes d'excellentes amies, très proches mais pas bisexuelles, nous préférons les hommes.
Depuis un an déjà, au hasard de nos contrats, nous faisons les 400 coups ensemble ! Installées dans l'avion, nous sommes prêtes à tout comme d'habitude ! Hélas au bout d'un moment, une voix nous annonce au micro qu'un problème technique interdit le décollage de notre avion. Nous sommes invitées, comme tous les autres passagers, à rejoindre le guichet d'embarquement où des solutions de remplacement nous serons proposées... pfft !!! Bref notre voyage commence par une galère !
Nous sommes tellement enthousiasmées par notre nouveau voyage, que ce contretemps ne suffit pas à entacher notre bonne humeur d'autant que nous disposons encore de 48 h avant notre premier show. Pas de panique donc ! Nos chambres sont retenues pour la durée du contrat, elles nous attendront. Nous apprenons rapidement que la solution de remplacement proposée est un vol dans six heures. Nous avons donc six heures à tuer à l'aéroport ! Ok !, nous décidons donc d'aller nous restaurer, il est treize heures, et nous n'avons pas déjeuné.
Nous voilà installées au restaurant. Tout à coup un homme s'approche de notre table :
« Marie ? »
Le visage de ma copine s'éclaire aussitôt. Waaouuuh ! Je la connais bien et devine aussitôt à son visage légèrement empourpré qu'il s'agit d'un de ses amants (passé ou présent ?).
Humm intéressant. D’autant que l'homme en question se trouve être un beau mec, de haute taille, le visage halé sous des cheveux blonds et des yeux d’un bleu foncé ! Après de courtes présentations polies, je m'éclipse discrètement aux toilettes afin de les laisser converser librement. Je traine un peu pour leur laisser le temps.
Et un coup de fil surprise me retient encore un peu d'avantage. Quand je retourne à la table, ils ne sont plus là ! Petit moment d’inquiétude, mais aussitôt le serveur s'approche de moi : « Votre amie a du partir, mais elle vous a laissé un message ! »
Je prends ce papier qu'il me tend, assez surprise tout de même. Je te le donne en mille : le message dit :
« Ma belle, rejoins nous au Mercure, chambre 244. Je compte sur toi ! »
Waaouuuh ! J’ai beau la connaitre (et me connaitre aussi d'ailleurs !) je suis un peu soufflée... Je demande rapidement au serveur ou se trouve le Mercure. Son demi-sourire lors de la réponse m'agace un tantinet, mais tant pis!
J’arrive au Mercure, le temps de me demander à qui je vais m'adresser pour trouver la fameuse chambre, et le visage souriant du copain de mon amie apparait. Très poliment, il me salue à nouveau et me dit :
« Je vous attendais. Marie est sous la douche et m'envoie vous accueillir. »
Nous arrivons à la chambre 244. Humm l'ambiance est chaude et je me sens y adhérer progressivement. D’autant que j’entends la voix de ma copine m'encourager à me mettre à l’aise, et le regard de ce monsieur décidément sexy s'attarder sur mes tétons qui pointent au travers de mon chemisier en lin. C’est sûr ! Çà va être chaud !
Je suis quand même un peu intimidée. Je n’envisageais pas une partie à trois lorsque nous l’avons rencontré au restaurant. Thomas semble lui de plus en plus excité sous les caresses de Marie qui lui a déjà ôté sa chemise et dégrafé le pantalon. La vue de ces deux corps qui se frôlent et s'excitent est d'une sensualité !
Je sens ma culotte s'humidifier et je ne résiste pas à caresser au travers du tissu mes tétons qui sont déjà bien durs et dardés. Le couple s'est rapproché de moi et tandis que Marie s'intéresse de plus en plus près au barreau qui déforme le caleçon de Thomas, celui ci, avec une douceur délicieuse, entreprend de caresser mes seins à travers mon chemisier puis glisse une main en dessous et finalement me l’enlève.
Je m'empresse de défaire mon pantalon de toile souple qui descend tout de suite sur mes chevilles. Oh, cette vue sur ce sexe raide! Thomas glisse une main à mon entrejambe qui mouille déjà bien. Marie pendant ce temps, lèche goulument, avale, relêche, caresse ce bâton d'amour et je peux constater l'efficacité de ma copine au souffle de Thomas et à ses yeux qui par moment se ferment quelques secondes alors que sa bouche s'entrouvre et laisse échapper un râle sourd.
J'ai moi aussi un instant fermé les yeux. Humm voilà que je sens sa langue lécher délicatement mes lèvres entrouvertes puis envahir ma bouche avec une générosité douce. Waaouuuh quel délice! J'adooore ! Marie est remontée et viens se mêler à nous pour une série de léchouilles gourmandes et baveuses.
Abandonnant ses lèvres, je vais explorer de ma bouche gourmande ce corps magnifique. Je glisse sur les épaules, m'attarde sur des tétons bien durs, traine sur ses abdos musclés et descend progressivement vers son sexe tellement dur que je suis obligée de l'écarter de la main pour lécher son bas ventre.
Humm, et puis je n'y tiens plus, une lèche discrète d'abord sur ce gland archi gonflé gorgé de sang. Humm, j'en veux plus encore, j'enfourne cette superbe statue de chair dans ma bouche, avec une gourmandise que je ne peux plus contenir et l'enfonce au fond de ma gorge. J'entends à nouveau ce râle sourd. Je suis de plus en plus excitée, et ma timidité première n'est plus qu'un lointain souvenir.
Quand je relève la tête, je vois que Marie s'est éloignée de nous et s'est installée sur le lit immense. Elle ondule et se caresse la chatte en nous regardant ! Humm quelle coquine, ses jambes écartées laissent voir son sexe et je vois qu'il est bien gonflé. Alors je me relève et en gardant son bâton bien dur dans ma main, j'emmène Thomas vers le lit. Je crois qu'il est très excité de se faire promener comme ça par la queue et pour dire vrai, moi aussi ça m'excite. Je m'arrête, il s'arrête. Mon dieu ! Il bande comme un cheval. J’arrive à peine à faire le tour de sa bite. Humm je repars, il se laisse guider. Et là, je ne sais ce qui me prend, j'ai envie de les diriger tous deux !
« Marie ma belle, mets-toi en levrette stp ! »
Elle sourit, adresse une langue gourmande à Thomas et s'exécute ! Je lui caresse les fesses d'une main sans lâcher la queue de monsieur dont je branle délicatement le gland. Son sexe appelle à la caresse de façon insolente. Je lèche un de mes doigts et le promène sur sa chatte. J’agace son bourgeon d’amour qui est sorti de son capuchon et se dresse comme une bite minuscule. Du coin de l’œil, je surveille l’effet de mon manège sur Thomas.
Waaouuuh il garde les yeux fixés sur mes doigts qui s'introduisent maintenant délicatement entre les lèvres humides de cette chatte inondée de cyprine. Humm ! Je crois qu'il n'en peut plus, il crève d'envie de la pénétrer. Alors, je retire mes doigts, crache abondamment sur le gland survolté et le frotte moi-même contre la chatte de Marie qui se cambre en gémissant. Thomas craque et enfourne d'un coup toute la longueur de sa bite (et elle est longue !) dans le vagin de mon amie.
Waaouuuh ! Je suis moi-même hyper excitée de ce spectacle. Marie gémit de plus en plus fort, au rythme des coups de boutoir que lui assène Thomas. Je m'assoie sur le lit et me caresse. La mouille dégouline entre mes fesses. J'essaie de contrôler, (tu sais mon angoisse par rapport aux jets de cyprine quand je ne connais pas les gens !) mais l'excitation est intense. Thomas ne perd rien de mon manège tout en pénétrant Marie avec une vigueur qui m'impressionne.
Je ne vois pas le visage de Marie, mais aux sons qu'elle fait, je crois qu'elle est aux anges. Puis Thomas m'attrape une jambe, me tire plus près d'eux et me fait mettre également en levrette (que j’aime cette position).
Je suis encore surprise par la douceur de sa force quand il introduit ses doigts dans ma chatte déjà trempée puis dans mon cul tout dilaté de désir et qui appelle la pénétration. Au diable les angoisses, je sens que je vais jouir et je ne suis plus en mesure d'y résister. Je m'abandonne avec volupté au plaisir, laissant partir un jet de cyprine qui inonde tout l'avant bras de Thomas.
Comme une réaction en chaine, Thomas râle et enfonce son sexe tellement profondément en Marie qu'elle même jouit instantanément. Tout les trois nous gémissons de plaisir ! Waaouuuh ! Incroyable, je n'aurai pas cru cette jouissance en cascade parfaite possible comme ça !!! Le tout s'est déroulé comme si nous avions un scénario. Incroyable !
Revenant doucement tous les trois à la réalité je me demande comment Thomas n'a pas été visiblement surpris par ma fontaine (je sais que ça surprend). Cette coquine de Marie connait ce détail par rapport à ma sexualité. Je suis sure qu'elle lui en a parlé, probable même qu'elle lui ait dit comment faire. Marie est une sacrée coquine, mais grâce à ses manigances, nous venons tous trois de prendre un pied d'enfer !
Merci Marie !!!
Voila, cela remonte déjà à pas mal d’années mais c’est un excellent souvenir.
Mon Matou chéri, je t’embrasse partout où tu aimes. A quand une nouvelle rencontre ? Diane.
Ta Diane coquine.
A suivre...
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