Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un week-end de folie - suite et fin
Attention, le contenu de cette histoire pourrait heurter la sensibilité de certaines personnes....
Un bruit vaisselle m'ouvrit les yeux. Laurette vêtu d'un somptueux sari, remaquillée, les cheveux humides et Bertrand non moins élégant, discutaient comme deux vieux complices devant un bol de café fumant.
« Tu as passé une bonne nuit, il est neuf heures, » s'informa Laurette souriante en s'asseyant sur le bord du lit.
Je posais ma tête sur son épaule et sentis à travers l'étoffe de soie la chaleur de sa peau, elle me fit une bise sur les lèvres qui avaient un goût de menthe.
« Nous avons beaucoup discuté dans la baignoire jacuzzi Laurette et moi pendant votre sommeil... je sais tout de vous... » déclara Bertrand, visiblement amusé.
- Tout ? » répétais-je l'air surpris.
Laurette tourna la tête pour éviter mon regard.... quelle pie... et en plus je la soupçonne fortement d'avoir épuisé les derniers effets de l'aphrodisiaque pendant le bain avec notre ami.
« Oui tout ! répéta Bertrand comme pour mieux enfoncer le clou... votre rencontre, votre nuit de noce dans un club échangiste, vos multiples expériences... disons curieuses ou hors des sentiers battus... »
Je sautais du lit sans un mot et plongeais sous la douche. L'eau ruisselant sur mon corps me remit rapidement en forme. Laurette était entrée dans la salle de bains à ma suite et à travers la vitre de la douche je pouvais l'apercevoir nue, absolument radieuse. Elle enfila sans autre façon sa petite robe de stretch.
« Bertrand nous a proposé de passer la journée avec lui, j'ai accepté car je n'ai pas voulu te réveiller tout à l'heure, j'ai pensé que tu serais d'accord !
- Bon ben oui ! Puisque tu lui as dit que nous acceptions, c'est bien parce que je t'aime lui dis-je en l'embrassant dans son coup parfumé. Mais tu n'as pas mis de culotte me semble-t-il, lui demandais-je en lui caressant les fesses,
- Je n'en ai pas de rechange, hé ! Mon cher monsieur, je n'avais pas prévu de passer la nuit ici, » me lança-t-elle en me gratifiant d'un baiser sur la joue.
- Je vais aller nous chercher des vêtements propres, Bertrand me prête sa voiture pour allez jusqu'à la maison, je fais l'aller retour rapidement et surtout soit sage. »
Une petite tape sur ses jolies fesses... et me voila parti sur la petite route sinueuse qui borde la mer.
Je choisis dans la valise, quelques sous-vêtements et un petite robe courte en coton imprimée que je trouvais aller à ravir à ma petite femme et la dernière bouteille de Bordeaux que j'avais gardée pour le week-end.
Un peu plus d'une heure et demie plus tard, j'étais de retour. Laurette et Bertrand sirotaient, assis au soleil, un jus de fruits, Crocus le chien couché à leurs pieds, Laurette assise dans un fauteuil profond, la robe étroite largement remontée sur ses cuisses bronzées qui laissaient deviner des trésors cachés, Laurette me fit signe de les rejoindre.
« Bertrand m'a fait faire le tour de sa propriété pendant ton absence et nous t'attendions pour déjeuner… »
La matinée avait passé comme «un coup de fusil, aussi nous passâmes à table pour un repas frugal fait de crudités et de fromage. Nous discutâmes de choses sans importance jusqu'à ce que cette phrase de Bertrand adressée à Laurette me fasse dresser l'oreille.
« Ce n'est pas dangereux, c'est un instant magique pour les partenaires... non je ne dirais pas ce que c'est, tu acceptes ou non et tu me fais confiance...
- Que manigancer-vous demandais-je à Bertrand.
- Comme Laurette me disait tout le plaisir qu'elle avait pris cette nuit avec le vibro à eau, je lui ai dit que cela n'était rien par rapport à disons « une recette » que j'ai découvert il y a quelques temps avec des amis qui étaient venus me rendre visite... Mais je ne veux pas lui dire ce que c'est... il faut que vous soyez d'accord tous les deux... Si vous le souhaitez, nous en reparleront dans l'après-midi...
- J'accepterais bien répondis Laurette tout de go,...le mystère m'a toujours attiré..
- Et moi j'ai peut-être mon mot à dire lui rétorquais-je...!
- Oh ! Mon chéri, laisse-moi voir ce que c'est, de toute façon, tu es là près de moi, dans quinze jours j'ai vingt-huit ans, ce sera en quelque sorte mon cadeau d'anniversaire... Je t'aime et je vais me changer, » dit-elle en m'embrassant sur la joue et en se levant de table.
Elle réapparut quelques instants plus tard sur le pas de la porte, le soleil qui donnait dehors faisait rendre un peu transparente sa robe de toile, et nous devinions à travers, son corps souple et galbé...
La journée tirait sur sa fin, nous bavardions Bertrand et moi dehors sous une tonnelle, lorsque Laurette s'approchant de nous nous demanda
« Quand me ferez-vous mon cadeau d'anniversaire les garçons ? J'attends avec impatience...
- Puisque tu y tiens vraiment, nous allons te l'offrir de suite, mais tu dois t'engager à aller jusqu'au bout de l'expérience, je te l'ai déjà dit ce n'est pas dangereux mais c'est un jeu un peu spécial...
- Waouh ! s'écria Laurette comme une enfant à qui l'on va offrir un jouet... Où allons-nous nous installer ? »
Sans un mot Bertrand, s'approcha de ma compagne et la prit par la main, il la guida vers une petite pièce dans lequel était disposé une sorte de lit muni de poignées pour y poser les pieds, un peu comme chez le gynéco mais en plus confortable, et l'invita à s'y installer.
« Je te mets cette petite cagoule pour que tu ne puisse pas voir et je te passe ces paires de menottes, je les attache à tes poignets et à tes chevilles ainsi qu'aux montants du fauteuil, n'aie pas peur, je ne les serre pas, les surprises doivent rester les surprises... »
Elle était ainsi à demi nue, les cuisses ouvertes, les jambes attachées sur les reposoirs ...
« Déshabille-la, me dit Bertrand, et mets-lui un coussin sous les reins pour lui relever le bassin… »
Je dégrafais un à un les boutons de la robe de Laurette, le petit soutien-gorge pigeonnant fit son apparition, mais comme elle était menottée, je ne pus lui retirer entièrement, aussi je le laissai ouvert et fit glisser le string qui bouchonna en bas de ses pieds.
Ainsi couchée sur le dos, la robe ouverte, en soutien-gorge et sans slip, elle apparut plus excitante que jamais.
Notre hôte, à l'aide de son canif, trancha les bretelles du soutien-gorge et le cordon du string... Laurette était nue....
Bertrand me fit signe de l'imiter, et chacun notre tour, nous taquinions de la langue, qui le petit clitoris, ou le tendre anneau culier, qui la pointe d'un sein ou le lobe de l'oreille, pour revenir au petit bourgeon de chair sans jamais aller plus loin. De petites gouttes commençaient à perler à l'entrée de la grotte d'amour, Bertrand se saisit dans sa boite d'un premier spéculum, le contact froid du métal sur sa chair surchauffée fit sursauter ma compagne. Bertrand tourna la vis, et le spéculum de gynécologie écarta doucement le vagin, puis s'emparant d'un autre plus petit, il l'introduisit dans l'anus et à nouveau tourna la vis.
Laurette nous guidait de la voix :
« Encore un peu...doucement.... doucement... »
Ses mains cherchaient désespérément à se détacher, son bassin tentait de s'avancer, mais seule la dilatation des deux orifices semblait passionner Bertrand. La fine paroi qui séparaient le vagin de l'anus semblait inexistante tant les deux appareils les avaient distendues. Laurette avait cessé de bouger et semblait attendre ce qui allait se passer.
« Laissons-la quelques instants comme ça, » intima Bertrand.
Et il se dirigea vers la pièce attenante toute proche.
Quelques instants après, il ressortit et me demanda de l'aider à porter le seau qu'il avait déposé sur le pas de la porte.
Je ne pus retenir un juron lorsque mon regard plongea dans le récipient. Les trois grosses anguilles qui étaient dans l'aquarium du salon, se trémoussaient et s'entortillaient dans l'eau.
Je compris dans un éclair ce que Bertrand comptait faire des trois serpents.
« T’inquiète pas, me rassura-t-il, c'est inoffensif et je suis sùr de l'effet.... »
Laurette était restée comme nous l'avions laissée...
« Retirez-moi les menottes et la cagoule, minauda-t-elle, ne me laissez pas comme ça... »
Sans un mot, Bertrand s'empara d'une anguille au niveau de la tête, celle-ci s'enroulait autour de son bras, et avec un chiffon, il retira les traces gélatineuses et gluantes qui maculaient la peau de l'animal. Celui-ci faisait bien trente à trente cinq centimètres pour un diamètre de quatre à cinq centimètres...
Laurette largement ouverte, les fesses relevées sur le coussin, ne se doutait pas à quelle nouvelle expérience elle allait être associée.
Brusquement et sans un mot, Bertrand présenta à l'entrée du spéculum la tête de l'anguille qu'il avait préalablement munie d'un préservatif. Celle-ci s'y glissa rapidement en fouettant de la queue.
Un cri d'effroi sortit de la gorge de Laurette, elle venait de comprendre sans le voir ce qu'était ce corps froid qui battait sur ses cuisses et s'insinuait centimètres par centimètre dans son intimité... Elle tenta de se détacher en gesticulant sur la table... Peine perdue, cette gymnastique sembla revigorer le poisson à la peau glissante qui, comme un ressort, se comprimait pour mieux se détendre dans le vagin de ma belle.
Bertrand dévissa et retira délicatement le spéculum en le glissant sur le corps de l'animal. Les lèvres vaginales se refermèrent autour du serpent mais ne l'empêchèrent pas de poursuivre sa progression...
Laurette pleurait doucement à présent, ses seins se soulevaient à chaque sanglot, et son ventre se contractait à chaque vibration de l'anguille. Je lui retirai sa cagoule malgré le refus de Bertrand, je l'embrassais tendrement et séchais les larmes qui coulaient sur ses joues. J'embrassai ses seins son ventre, et la serrai tendrement dans mes bras. Doucement, elle se calma, ses yeux se fermèrent.
Bertrand profita de ce bref instant de calme pour introduire une anguille plus petite dans le speculum anal. Tout aussi rapidement que sa congénère, elle profita de ce trou grand ouvert pour progresser par à-coup. Le corps de Laurette se tendit comme un arc, elle poussa un cri strident, la peur apparut sur son visage qui blêmit.
Bertrand laissa l'anguille s'enfoncer d'une bonne quinzaine de centimètres, et comme il l'avait fait pour la plus grosse, il retira délicatement le spéculum. Le poisson qui avait à présent la tête emprisonnée dans l'anneau culier se débattait et tentait de progresser dans la douce chaleur de ce corps féminin.
Bertrand tranquillisa Laurette de la voix en lui demandant de se calmer, il la rassura en lui affirmant que rien de dangereux ne pouvait arriver, qu'elle se décontracte et se laisse aller.... Les deux anguilles fouettaient de leurs queues les jambes et les cuisses de Laurette qui ne pouvait que subir leurs assauts en gémissant.
Océane apparut sur le pas de la porte avec son chien Crocus sur ses talons, ses grands yeux noirs fixèrent Laurette. Avec grâce, elle fit glisser par dessus sa tête son sari, à mon regard émerveillé apparurent deux petits seins et un petit triangle duveteux d'adolescente. Elle se coucha à côté de ma compagne et l'embrassa sur les lèvres, lui caressa le ventre et les seins, sa langue força la bouche qui peu à peu répondit à son baiser.
Bertrand profita de ce moment de répit pour asperger d'eau tiède les deux anguilles qui reprirent violemment vigueur. Laurette se tordit sous l'assaut, Bertrand saisit les deux serpents marins par la queue et leur imprima un léger mouvement de recul, puis les relâcha afin qu'ils rentrent à nouveau. De nombreuses fois de suite, il reprit ce manège, et pendant ce temps, Océane massait le ventre de Laurette.
Les anguilles semblaient déchainées par ce traitement, leur peau devenue glissante par l'eau, avait lubrifié la grotte de mon amour qui se cambrait. La pâleur de ses joues avait disparu, sa respiration devenait profonde et l'on commençait à deviner le plaisir qui montait à la vue de ses petits seins pointés.
Océane s'était tournée, et à califourchon, offrit à la bouche de Laurette, tout en la massant, le cadeau de son intimité. Laurette y enfouit sa langue, mais retenue par les menottes, elle ne parvenait pas suffisamment à ses fins. Sur un signe de tête de notre hôte, je la détachais... Aussitôt, elle écarta des deux mains les fesses superbes qui lui étaient présentées, et y enfouit son visage.
Bertrand sortit doucement les anguilles de leur tanière pour permettre à Laurette de reprendre ses esprits, trempa les bestioles dans le seau d'eau, et comme les réceptacles qui dégoulinaient de leur viscosité et les lubrifiait à l'extrême restaient dilatés, il les présenta une nouvelle fois à leur entrée.
Océane, les yeux chavirés par le traitement que lui faisait subir ma compagne, massait le petit clitoris de Laurette qui lui rendait au centuple ce bienfait. Comme deux flèches, les anguilles s'insinuèrent rapidement. Laurette gémit et se cabra sous l'assaut, son ventre se contracta et une douce plainte de bonheur emplit nos oreilles. Les anguilles progressaient a chaque contraction du ventre de Laurette...
« Celle-ci est en train de se tasser dans son vagin, et bientôt faute de place, elle va se durcir afin de tenter de trouver une issue. Mais celle-ci, par contre, si je ne la retenais pas par la queue, disparaitrait dans l'anus.. Et comme elle va se trouver prisonnière, elle va se tortiller en tout sens à l'intérieur, » m’expliqua doctement Bertrand.
Notre ami avait raison...
Laurette repoussa les fesses d'Océane afin de reprendre son souffle, et celle-ci de ses mains fines, reprit le massage du ventre de sa partenaire. Laurette haletait, gémissait, sa peur, et sa honte avait disparu et elle vivait comme une fête ce moment magique où, à l'unissons de ses sens, les deux bestioles fourrageaient dans son corps.
D’un coup, son corps se convulsa, et dans un formidable cri, elle explosa dans une jouissance inconnue pour elle à ce jour. Mes oreilles furent percées par l’intensité de son cri, quasi bestial. Elle retomba comme un pantin, vidée, mais pour bien peu de temps…
Océane descendit de la couche et retira les menottes qui retenaient les chevilles de son amie. Laurette se mit sur les coudes, les cuisses écartelées, les yeux fermés, sa poitrine se gonflait à chaque inspiration et un nouveau cri de plaisir montait de sa bouche entrouverte à chaque fois que les anguilles se détendaient à l'intérieur de son corps.
Bertrand laissa ainsi ma compagne plusieurs minutes savourer sa complète jouissance. Tour à tour, nous caressions ce corps parfait et ce ventre plat afin d'exciter au maximum les bestioles...Plusieurs fois, Bertrand sortit les anguilles de leurs grottes et à l'aide d'un chiffon imprégné d'eau les revigoraient, et à chaque fois, comme de flèches, elles retournaient fourrager les chairs de ma Laurette.
Mon attention fut attirée par Océane qui, à genoux près de son chien Crocus, le masturbait. C'était effrayant l'ampleur du désir qu'avait suscité la jeune fille chez l'animal. Un bâton rouge et énorme battait entre ses pattes.
Le petit homme retira avec douceur les poissons-serpents des orifices de Laurette qui sembla avoir à présent des regrets, il lui demanda de se mettre à quatre pattes sur le lit. Celle-ci, les narines pincées de frustration, obéit sans un mot, les yeux dans le vague. Sur un signe discret de sa maitresse, Crocus sauta sur le lit et s'empara du corps gracile de ma femme.
La chatte encore visqueuse des sécrétions des deux poissons reçut sans problème l'énorme mandrin, accroché aux hanches étroites de Laurette. Sans que celle-ci ne manifeste un refus, le chien accéléra l'allure, et lorsque nos deux amis virent que des gouttes commençaient à couler le long des cuisses bronzées, ils tirèrent la jeune bête en arrière et fichèrent l'épieu de chair dans l'anus dilaté de Laurette.
Sous la brutalité de l'assaut, celle-ci poussa un cri et tenta d'échapper à l'emprise, mais déjà la vigueur du chien lui fit comprendre cette impossibilité. Elle répondit en creusant les reins à la bestiale étreinte. Enfoncé jusqu'à la base du nœud, le poitrail collé sur le dos de Laurette, le chien cracha son sperme liquide à l'intérieur de ma belle.
Laurette tenta de le retenir le plus longtemps possible en serrant les fesses pour coincer le mandrin. Aussi rapidement qu'il était rentré, Crocus sortit dans un bruit mou sa bite canine. Laurette restait pantoise de la rapidité de la prise et de son anus grand ouvert s'écoulait vers sa motte le liquide blanchâtre.
« Reste dans cette position, » demanda Bertrand à Laurette.
Zn montant à son tour sur le lit, il présenta sa bite turgescente aux lèvres de ma compagne qui lui délivra la plus belle fellation dont elle fut capable...
Devant cette croupe offerte, mon sang ne fit qu'un tour et à mon tour, je plongeais avec délectation mon gland dans la grotte sacrée. La tension sexuelle qui m'avait noué le bas du ventre lors de tous ses ébats se libéra, et à mon tour je m'épanchai dans ce corps magnifique...
Alors que je saisissais un rouleau de papier pour essuyer le sperme du chien, le mien et les viscosités laissées par les poissons et qui s'écoulaient du corps de Laurette, Océane, me repoussa et se mit en devoir de la bouche et de la langue, d'effectuer cette toilette. Bertrand, à son tour, explosa dans la bouche de ma compagne.
La nuit était déjà bien entamée lorsque Bertrand et moi quittâmes la pièce…
Laurette, couchée sur le dos, se reposait de cette expérience inouïe. Nous nous dirigeâmes vers la salle de bains afin de prendre une douche. Quelques temps plus tard, alors que nous sirotions un whisky dans le salon et que Bertrand me disait tout le bien qu'il pensait de notre couple, Laurette douchée, parfumée et vêtue d'un peignoir, accompagnée d'Océane et de Crocus, fit son entrée parmi nous.
« Je vais me coucher, tu m'accompagnes ? » déclara Laurette en me regardant de ses grands yeux verts et dont les cernes qui les bordaient disaient toute la fatigue qu'elle ressentait.
Nous priment congé de nos hôtes et nous dirigèrent vers notre chambre.
Elle fit glisser son peignoir pendant que je me déshabillai, j'admirai la courbe de ses hanches, quelques griffures dues aux pattes du chien striaient sa peau. Nous nous glissâmes dans les draps frais et la serrait dans mes bras.
« Merci pour ce cadeau d'anniversaire un peu douloureux mais tellement original et excitant, » me dit-elle en m'offrant ses lèvres...
Nous nous endormîmes rapidement serrés l'un contre l'autre.
Les premières lueurs de l'aube pointaient lorsque nous glissâmes hors du lit sans faire de bruit. Laurette laissa un petit mot à Bertrand pour le remercier de son hospitalité sans faire référence aux traitements dont elle avait été le jouet et pour l'avertir que sa voiture se trouverait à disposition à notre petite location...
Nous devions être de retour à Paris dans l'après-midi et nous nous dépêchions de charger la petite Austin lorsque j'aperçus un vélo arriver sur le chemin : c'était Olivier qui venait nous dire au revoir...
« Laisse-moi un moment avec lui, » me sussura Laurette à l'oreille.
Après avoir salué Olivier, je m'éloignai discrètement de la maison, mais je ne pus m'empêcher de revenir à pas de loup, quelques minutes plus tard, espionner par la petite fenêtre ce qui se passait à l'intérieur...
Laurette et notre ami n'avaient pas perdu de temps. Ma belle était assise sur le canapé, la jupe relevée bien haut sur les cuisses, et Olivier, le pantalon bouchonné en bas des pieds, recevait avec délectation une fellation comme seule Laurette savait les faire....
Puis se couchant sur le dos sur le divan, elle invita l'adolescent à prendre place dans le compas de ses longues jambes...D'une main experte, elle écarta sa fine culotte de soie et introduisit le gland au bord de sa fente...D'un coup de rein, Olivier, s'agrippant aux hanches satinées, enfonça jusqu'à la base son gourdin... Laurette, caressait doucement la nuque et les reins de son jeune amant et l'embrassait à plein bouche en tentant de retenir sa fougue...
Mais quelques va-et vient plus tard, ne sachant comment dominer sa pulsion et dans un petit cri de déception, il bénissait de sa fraiche semence le calice de Laurette qui le retint quelques instants en elle, les deux mains plaquées sur ses reins.
Puis celle-ci rajusta le gamin, essuya avec un kleenex les quelques gouttes qui commençaient à perler de sa petite chatte, baissa sa jupe, et comme si rien ne s'était passé, elle raccompagna le jeunot à la porte en lui faisant une grosse bise sur la joue comme à un copain...
Je fis semblant de n'avoir rien vu, et dis au revoir à Olivier qui semblait confus de me voir souriant... Lorsque le gamin eut disparu au loin, Laurette me prit par la main et me dit :
« Je suis sûre que tu as regardé... je t'ai vu à la fenêtre... c'était un petit cadeau pour la location de la maison et le super week-end que nous avons passé... »
Elle rajouta en me souriant :
« enfin que j'ai passé... allez viens vite finir ce qu'Olivier n'a pas su faire… »
M'entraînant sur le canapé tout en se débarrassant de ses quelques vêtements, je fis honneur à ce corps si parfait et pistonnai avec application et envie cette fente huilée par son précédant amant... je l'aimais, je l'aimais comme un fou !
Une heure plus tard nous étions sur la route de retour vers la capitale.
Signé Theo
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Un week-end de folie
Voilà quelques temps déjà que nous envisagions une petite escapade au bord de la mer, et le soleil retrouvé nous décida un peu précipitamment à quitter la capitale en ce week-end du 14 juillet.
Nous avions cherché en vain une chambre d'hôtel pour ces deux nuits, mais impossible, tout était déjà complet. C'est alors un peu forcé et à regret que nous nous décidâmes pour un retour au camping dans notre petite tente, qui avait si souvent au début abrité nos jeunes ébats.
Le chargement fut un peu difficile car le coffre de la petite Austin de Laurette était bien étroit pour le matériel qu'elle souhaitait y mettre. Je dus donc en caser une partie sur le siège passager à côté du conducteur et Laurette devrait prendre place à l'arrière avec une valise. La pensée de faire le trajet au volant jusque dans la baie de Saint Brieuc ne me mettait pas de très bonne humeur, mais Laurette avait décidé de ne pas conduire prétextant je ne sais quelle douleur à une cheville...
Je donnai un bref coup de klaxon afin de prévenir ma compagne que j'étais prêt. J'entendis ses pas rapides descendre l'escalier, et elle apparut plus ravissante que jamais, vêtue d'une courte robe de toile imprimée, fermée par une multitude de boutons sauf au niveau du décolleté, et qui laissait entrevoir une petite dentelle des plus sympathique...
« Elle me va bien ? dit-elle en virevoltant sur le trottoir
- Tu es à croquer » lui dis-je en l'embrassant dans son cou parfumé.
De la voir aussi sexy et enjouée fit disparaître ma mauvaise humeur, elle se glissa comme une liane sur le siège arrière, sans que je ne pus m'empêcher, au passage, de lui caresser ses petites fesses à peine cachées dans une minuscule culotte blanche...
Les périphériques étaient exceptionnellement fluides en ce début de matinée, et le soleil commençait à diffuser sa douce chaleur, je me sentais heureux. Laurette, les pieds nus posés sur le dossier du siège avant et la robe remontée sur ses cuisses bronzées, me laissait deviner le magnifique spectacle qu'elle donnait aux automobilistes qui nous doublaient. A voir la tête de leurs femmes assises à leur côté, je comprenais bien que ce manège n'était du goût de tout le monde...mais j'aimais la voir ainsi désirable, impudique et terriblement sensuelle...
L'entrée de l'autoroute A10 fut bien vite atteint.
Alors que je prenais le ticket à l'automate, Laurette me fit remarquer qu'un adolescent faisait du stop avec une pancarte à la main
« Arrêtes-toi ; me dit-elle, il va à Rennes, on va le prendre. »
- Impossible tu vois bien qu'il n'y a presque plus de place, lui répondis-je un peu agacé.
- Mais il doit rentrer chez lui, il ne doit pas avoir beaucoup de fric ! Je vais me faire toute petite... allez !... prends-le ! »
Devant son insistance, je m'arrêtai, le jeune homme devait avoir dans les dix sept ou dix huit ans, et il sourit lorsqu'il vit le peu de place qu'il lui restait.
«Vous voulez monter avec nous ? lui lança Laurette en se penchant au dessus du siège ; vers le carreau du devant.
Les yeux du lycéen plongèrent dans le décolleté et je vis sur son visage qu'il n'appréhendait plus d'être un peu à l'étroit...
La petite Austin reprit la route sans rechigner. Laurette avait dû passer son bras derrière les épaules du stoppeur et mettre ses longues jambes sur le côté pour pouvoir laisser un minimum de place à notre invité. Celui-ci, visiblement intimidé, n'osait la regarder et Laurette s'efforçait d'entretenir un semblant de conversation afin qu'un silence pesant ne se fasse pas dans l'habitacle. Effectivement, il était interne au lycée à Paris, s'appelait Olivier et remontait chez lui à Rennes pour de début de ses vacances. L'autoradio distillait de la musique et les kilomètres s'égrenaient tranquillement. Était-ce le contact de ce corps chaud et parfumé serré contre lui, ou la vue magnifique sur le décolleté de ma compagne ? En tout cas, le lycéen s'était détendu, il discutait et blaguait avec Laurette comme deux vieux amis. De temps en temps, je jetais un œil dans le rétroviseur et il me semblait que le bras gauche de Laurette serrait un peu plus intimement les épaules du jeune lycéen, que ses genoux s'étaient plus fermement collés sur ceux du jeune homme. Mais il m'était difficile de surveiller à la fois la route et le jeu de séduction qui se tramait à l'arrière de la voiture... Pourtant, le jeune stoppeur rougissait lorsque notre regard se croisait par l'intermédiaire de la glace...
« Ça va... vous n'êtes pas trop serrés ? demandais-je à mes deux passagers.
- Non non, pour moi ça va répondit Laurette en riant aux éclats,
- Et pour toi aussi ça va... je pense Olivier ? demandais-je à l'intention du jeune homme et je continuais :
-Tu aurais pu tomber plus mal... elle est mignonne Laurette... elle sent bon... elle est court vêtue... elle est bien foutue et en plus elle est sympa...
- Heu ! Ho!! Oui !! » bégaya-t-il en devenant rouge comme une pivoine.
Mon regard croisa un court instant celui de Laurette ; et je devinai rien qu'à son sourire le fond de sa pensée....
Je mis la radio plus fort et fis semblant de me concentrer sur mon trajet....
Quelques bruissements de tissu et un léger remue-ménage à l'arrière me firent penser que Laurette était en train de faire découvrir à notre jeune invité des jeux subtilement érotiques....
Elle avait passé sa jambe gauche sur la cuisse d'Olivier, qui à présent, ne pouvait plus rien ignorer de ce qui il y avait sous la petite robe, car les boutons s'étaient comme par enchantement ouverts. Au fond des longues cuisses bronzées apparaissait le léger tissu blanc.
D'une main, Laurette écarta le léger voile de dentelle et prit la main du jeune lycéen - il me sembla qu'il résistait un peu, car je pense qu'il avait peur de je ne m'offusque vertement de ce jeu- mais la douceur des longues mains fines de ma compagne eurent tôt fait de faire tomber toute ses réticences...
Laurette, les yeux fermés, guidait la main du jeune autostoppeur vers des découvertes encore inconnues de lui... Voyant la tête posée sur son épaule, la bouche entrouverte, je devinais sa poitrine se gonfler sous l'effet de la caresse.
La main de Laurette accrochée au poignet du jeune homme lui montrait comment écarter la fente, rouler les doigts sur le petit clitoris pour les enfoncer soudain dans la grotte lubrifiée.
Je baissais la radio et annonçais tranquillement à l'adresse d’Olivier.
« T-ilnquiète pas pour moi, vas-y, fait ce qu'elle te demande, ça m'est égal... elle a envie que tu t'occupes un peu d'elle... ne vous souciez pas de moi... ! »
Laurette attira la tête du jeune homme et le gratifia d'un long baiser sur les lèvres. Puis elle se pencha sur lui, je ne voyais dans le rétroviseur que les cheveux courts de sa nuque, mais je devinais à de petits gémissements qu'elle devait pratiquer une de ses merveilleuses fellations...
Je pensais à ces douces lèvres, à sa langue qu'elle savait comme aucune autre enrouler sur le gland, à ses longs doigts si fins qui se cramponnaient sur le membre, descendaient caresser les couilles ou s'insinuer en les fesses pour titiller l'anneau cullier. Le jeune homme inexpérimenté ne put résister longtemps à un tel traitement, les joues pâles, les yeux mi-clos il savourait cette bénédiction tout a fait nouvelle pour lui.
Il répondait par des mouvements de hanches à l'a caresse buccale qui lui était prodiguée avec art. Souhaitant faire durer le plaisir, Laurette tenta de relever la tête, mais trop tard, submergé par une jouissance qu'il ne parvenait plus à contrôler, l'adolescent, dans un râle de plaisir, succomba. Laurette continua doucement la fellation tout en absorbant le divin breuvage. Le jeune gaillard parvenait difficilement à cacher son émotion, avec des grognements de plaisir, il maintenait fermement la nuque de ma compagne afin qu'elle poursuivre la caresse, pour qu'elle lape jusqu'à le dernière goutte sa semence.
Son forfait accompli, Laurette rajusta le gamin qui semblait complètement absent. Cette séance l'avait littéralement vidé au deux sens du terme. Elle se leva du siège et vint m'embrasser dans le cou :
« Je t'aime me dit-elle... »
Je sentais dans son haleine la petite odeur si caractéristique du sperme…
« Je mérite mieux que cette petite bise dans le cou, » dis-je en tournant la tête vers elle.
Elle approcha ses lèvres des miennes et glissa sa langue dans ma bouche, elle savait la petite garce combien ce jeu m'excitait, sa langue s'enroula dans ma bouche et je ne fut pas surpris de m'apercevoir qu'elle avait gardé pour moi quelques gouttes du sperme de son jeune amant... Olivier nous regardait les yeux écarquillés....
« Mais toi aussi tu bandes, mon cochon, me susurra-t-elle à l'oreille, tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce soir ! »
Olivier, la tête posée sur la vitre arrière, semblait encore perdu dans ses pensées, Laurette se pelotonna contre lui
« Tu es vraiment mignon...! Et très agréable à... " Elle ne finit pas sa phrase et lui fit une bise sur la joue.
« Tu ne connais pas un camping sympa et tranquille du côté de Saint Brieuc ? lui demanda-t-elle pour alimenter la conversation.
- Si vous voulez, je vais demander à ma mère de vous prêter une petite maison que nous avons en bord de mer à côté de Binic, et qu'elle loue en Août seulement, elle doit être libre en ce moment.. je dirai que vous êtes la sœur et le beau-frère d'un ami, ça la rassurera...
-Ah oui ce serait sympa et plus confortable que le camping, mais alors tu m'as fait charger tout ça dans la voiture pour rien… répondis-je à Laurette.
Quelques kilomètres après la sortie de Saint Bireuc, Olivier nous fit prendre de petites routes au milieu des étangs et des prés et nous fit arrêter devant une petite maison très fleurie. Une femme d'environ une quarantaine d'année souriante, un peu ronde mais les traits du visage très fins, en sortit.
Les présentations faites, Olivier demanda à sa mère :
« Maman...! Ce sont la soeur et le beau-frère d'un copain de lycée, ils m'ont ramené de Paris, est-ce que tu peux leur prêter la maison de Binic pour le week-end, sinon ils vont devoir faire du camping et la météo annonce des orages... »
- Oh ! si ils veulent, mais il n'y a pas d'électricité, c'est un peu spartiate, mais c'est tranquille, elle donne directement sur le plage. »
Sitôt dit sitôt fait, Olivier courut chercher les clés et nous conduisit à trois kilomètres de là.
Effectivement, le coin est charmant, la maison devait-être une ancienne bergerie et donne directement sur la plage. Elle ne comporte que trois petites pièces dont une transformée en salle d'eau.
La matinée est bien avancée lorsque nous eûmes finit de tout ranger, une rapide collation fut prise sur place.
« Tu viens faire un tour sur la plage avec moi ? me demanda Laurette en me prenant la main, mais avant je mets mon maillot de bain.
- Tu nous accompagne Oliver ? » lança-t-elle au jeune homme, qui n’était pas encore reparti.
Et sans complexe, elle déboutonna sa robe et apparue terriblement excitante en soutien gorge et petite culotte. Mais celle-ci rejoignit bien vite le soutien-gorge sur le dossier du fauteuil. Laurette était à présent entièrement nue dans la pièce et ses fesses fermes, la cambrure des ses reins, ses seins pointés et ses longues jambes qui semblaient ne jamais finir, s'arrêtaient sur le fin triangle pubien qu'elle prenait bien soin de tailler court.
Je m'approchais d'elle et lui prit la taille. Le contact de sa peau nue était toujours pour moi comme un émerveillement. Olivier me regardait avec envie. Du bout de la langue, j'agaçais la pointes des seins déjà durcis et ma main descendit vers le tendre bourgeon génital. Comme une savonnette Laurette s'échappa de mes mains,
« Ha ! Non pas tout de suite, attends ce soir, je veux que tu me désires comme un fou, que tu n'en puisses plus de te retenir ! Regarde comme tout ça est beau ! »dit-elle en prenant ses seins dans ses mains....
Les quelques séances d'UV qu'elle avait fait au printemps avait laissé sa peau couleur de miel, seul l'endroit du string contrastait. C'était superbe...
« Y a-t-il du monde sur cette plage ? demanda Laurette à Olivier.
- Elle est déserte, les dunes arrivent jusque sur la mer et le seul accès, c'est à marée basse ou par le chemin d'où nous sommes venus.
- Hé bien j'y vais habillée comme ça, mais pas touche les gars, on regarde seulement, » dit-elle malicieusement.
Et joignant le geste à la parole, elle passa devant nous totalement nue et franchit la porte vers le soleil. Nous l'admirions marcher légèrement devant nous, elle était radieuse de son effet sur nos libidos. La petite plage était au bout du chemin à environ deux cents mètres de la maison, bordée de dunes sur trois côtés. Laurette courut se tremper les pieds dans l'eau, s'éclaboussant comme une enfant. Elle en ressortit bien vite en criant, la Manche était encore froide. Elle s'approcha de nous en frissonnant et avant que je n’aie pu faire un geste, Olivier s'était débarrassé de son tee-shirt et le lui avait passé. Le vêtement lui arrivait en bas des fesses, ses petits seins dressés par le froid pointaient au travers, de petites perles d'eau s'étaient accrochées dans ses poils pubiens et faisaient comme une rosée.
Le bruit d'un moteur nous fit tourner la tête et nous fit décrocher de nos pensées lubriques, à quelques centaines de mètres par la droite apparut un gros canot en bois.
« C'est Monsieur Bertrand, c'est le voisin, il habite à l'autre bout de cette petite anse, c'est un ami de maman, ne vous étonnez pas lorsque vous l'apercevrez, c'est un petit nain...
- Un nain ? répondîmes tout deux en cœur Laurette et moi, surpris.
-Oui ! il est très petit mais très gentil se crut obligé d'assurer Olivier.
- Je rentre à la maison me dit Laurette, s'il me voit avec vous dans cette tenue... »
Elle disparaissait dans le chemin lorsque la barque racla sur le rivage, un petit homme en short en sauta prestement et s'avança vers nous, un large sourire aux lèvres.
« Bonjour ! Je me présente dit-il en me tendant la main, je suis Bertrand Goulard. »
Il faisait environ un mètre vingt ou trente de haut, sa poignée de main, quoique franche, me fit tout drôle, sa main était petite comme celle d'un jeune enfant, son corps était bien proportionné et seules ses jambes très courtes étaient un peu arquées
« C'est toi que je viens voir Olivier, ta mère s'inquiète de ton absence et m'a téléphoné pour me demander de venir t'avertir qu'elle t'attend !
- Oh ! non ! s'exclama l'adolescent, pas déjà !
- Elle a particulièrement insisté pour que tu rentres vite, martela-t-il.
- Bon j'y vais, répondit tristement Olivier en tournant les talons.
- Vous viendrez bien prendre quelque chose, en tant que voisin, nous ferons un peu connaissance ; demandais-je au petit homme.
-Volontiers ! Les rencontres dans ce coin sont assez rares ! »
Quelques minutes après, nous franchissions le seuil de la petite maison de pierres sèches, Laurette sortait de la douche en peignoir de bain.
« Bonjour ! dit-elle en tendant la main.
« Ha ! Non je serre la main des hommes mais je fais la bise aux femmes, » s'exclama Bertrand.
Laurette dut se baisser pour lui tendre la joue, dans ce geste son peignoir s'entrouvrit, Bertrand n'avait rien perdu du spectacle, Laurette se rajusta en rosissant,
« Je vais me changer, dit-elle.
- N'en faite rien, vous êtes ravissante, et puis je peux vous l'avouer, j'en ai vu plus tout à l'heure, je vous ai aperçue sur la plage, je regardais à la longue vue passer un vol de cigognes qui nichent dans la crique voisine.
- Pour une plage déserte, on fait mieux, n'est-ce pas Olivier ? dit Laurette en relevant le menton du gamin, Allez, ne boude pas retourne chez toi tu reviendras demain matin !
- Bon d'accord à demain ! et il s'éclipsa en courant.
- Ce jeunot semble tenir à vous, je crains qu'en pensant à vous, sa nuit ne soit agitée, » répliqua Bertrand en regarda fixement Laurette.
Laurette ne répliqua pas et en femme avisée, elle sortit trois verres et l'excellent Bordeaux que j'avais pris soin de glisser dans le coffre.
« Vous êtes pêcheur ? » demanda Laurette pour changer de conversation.
Et le petit homme nous raconta sa vie, un père médecin, il se tourna donc presque naturellement vers la psycho pour tenter de résoudre ses propres problèmes liés a sa taille, puis il changea de discipline et fit pharmacie à la fac de Marseille, puis s'orienta vers la botanique, il monta un laboratoire avec un ami et parcourut le monde pour y étudier et ramener des échantillons de plantes. Il posa ses valises plus de cinq ans à Madagascar, y connu une jeune femme, en eu une enfant. Rentra en France, le laboratoire avait bien prospéré grâce à ses découvertes et à la bonne gestion de son ami.
Il y a douze ans, il apprit que la mère de sa fille était décédée, il alla la chercher et décida de l'élever. C'est à cette époque, en prospectant des échantillons de plantes sur le littoral de la Baie de Saint Brieuc, qu'il tomba amoureux de ce bout de terre et décida de s'y installer, il revendit ses parts à son ami et le pécule lui permit, à quarante ans, de vivre de ses rentes.
A présent, il s'occupait d'un petit élevage de chiens dont il avait ramené un couple voilà une dizaine d'année d'Argentine.
La bouteille était presque vide et le jour tombait lorsqu'il s'arrêta de parler, c'était un homme cultivé et affable, un personnage attachant...
« vous n'avez pas l'électricité, aussi je vous invite à manger chez moi,
- OK ! répondis-je, nous avons un excellent jambon du Morvan et quelques victuailles, nous les prenons et on vous suit. »
Laurette, pendant ce temps, avait enfilé une petite robe noire en stretch moulante comme une seconde peau, et je vis dans les yeux de Bertrand comme un aveu d'admiration.
« Nous partons en bateau car c'est plus joli et romantique et puis par la route c'est bien trop long, » annonça Bertrand, péremptoire.
La nuit commençait à tomber lorsque nous accostâmes au ponton qui longeait sa maison de briques rouges. Une jeune fille en jeans et pull marin accompagnée d'un gros chien noir, accourut pour accrocher la barque,. Elle avait le teint légèrement basané et les yeux en amandes.
« Je vous présente Océane ma fille, sa mère était Malgache et sa grand-mère réunionnaise, le mélange est bien réussit, » dit-il en rigolant et lui c'est Croquette le chien de la maison.
Il nous précéda dans un grand salon meublé avec beaucoup de goût de meubles hétéroclites qu'il avait du ramené de ses nombreux voyages.
« Assoyez-vous, je vais me changer. Pendant ce temps, Océane va vous servir des rafraîchissements. »
La jeune fille revint avec trois verres de punch :
« Vous êtes très belle, lui dit Laurette, quel âge avez-vous ?
- l'âge que l'on souhaite me donner… »
Je reconnaissais bien là le caractère énigmatique des indiens... Elle avait peut-être dix-huit ans, peut-être moins, tant elle était menue.
Le repas fut des plus sympathique, la matelote d'anguilles que nous avait concoctée Océane était excellente. Elles provenaient d'un petit vivier qui était à quelques mètres de la maison. Bertrand nous enchanta sur ses expériences sur les plantes.
Alors qu'il nous expliquait les vertus aphrodisiaques de certaines d'entre elles, Laurette partit d'un éclat de rire ;
« Nous sommes allés à la Martinique il y a quelques temps ; expliqua-t-elle, Theo a bu du bois bandé... et il a dormi toute la nuit ! Je n'y crois pas du tout à tout cela, c'est un attrape gogo, lança-t-elle ; amusée.
- Libre à vous de croire ou pas… Si vous voulez, je vais vous faire essayer celui de ma composition…. »
Et il se dirigea vers un placard, versa d'une petite fiole dans un verre un peu de liquide brun et me le tendis :
« Buvez-en juste une gorgée, pour un premier essai c'est plus prudent, » me dit-il en souriant.
Le breuvage était fortement amer, et à peine les lèvres trempées, je le tendis à Laurette.
Rapidement avec un grimace elle en avala une longue rasade avant que Bertrand n'est pu la retenir.
« Pouah c'est infect, dit-elle en posant le verre, je ne pense pas qu'un liquide aussi infâme puisse inciter à l'amour !
- J'ai aperçu dans la pièce voisine un très beau billard, si nous allions en faire une partie ? » lança-t-elle à notre adresse.
Un billard trônait dans une immense pièce dont le fond était tapissé d'un grand aquarium. A l'intérieur de celui-ci , quatre grosses anguilles s'enroulaient sur le fond.
Voyant que Laurette s'en approchait, Bertrand lui dit :
« Celles-ci ne finiront pas en court bouillon, elles sont apprivoisées... »
Laurette le regarda avec des grands yeux d'étonnement.... Il y avait à peu près une heure que nous « tapions la boule » lorsque Laurette nous dit :
« Il fait vraiment chaud dans cette pièce, ça me donne un peu mal à la tête… »
Je me tournai vers Bertrand un peu étonné, la température était agréable, même un peu fraîche.
« Ne vous inquiétez pas dit-il, c'est l'effet du breuvage, vous avez un peu trop forcé la dose, et quelques troubles risquent de se produire...Océane va vous faire un massage et ce mal de tête va disparaître… »
Il appela Océane qui apparut dans l'encadrement de la porte vêtue d'un merveilleux sari en soie orangée.
« Couchez-vous sur cette banquette, » dit-elle en basculant le siège clic-clac.
Une fois Laurette couchée sur le ventre, la jeune fille lui fit glisser les bretelles qui retenaient le haut de sa robe et lui roula jusqu'à la taille. Elle s'enduisit les mains d'une huile parfumée et commença à masser avec beaucoup de douceur le dos et la nuque de Laurette.
« Bon, on continue la partie tous les deux, » lança Bertrand.
Tout en jouant, je jetais quelquefois un coup d'œil furtif sur Océane. Les longues mains de celle-ci s'attardaient quelquefois sur la chute de reins de Laurette, puis remontaient aux épaules, se glissaient sous les aisselles et s'attardaient sur les seins de Laurette qui décollait son buste du lit pour mieux profiter de la caresse.
Océane susurra quelques mots à Laurette qui se retourna. La jeune fille fit glisser la robe et le petit slip de Laurette, celle-ci couchée sur le dos, les yeux fermés se laissa dévêtir. Les mains à présent courraient sur le ventre, sur les seins de ma compagne.... Laurette se laissait aller à cette délicieuse sensation... Inconsciemment, ses jambes s'écartaient... ses hanches et son ventre se soulevaient...
Bertrand et moi, nous nous étions arrêtés de jouer pour admirer le spectacle... et il commençait à nous faire de l'effet.
« Je lui avais pourtant bien dit de faire attention, ce n'est pas dangereux, mais le mélange de ces quelques plantes est quelque peu détonnant.... si vous voulez je vous laisse seul, car elle semble avoir besoin de vous... Pourriez vous... si je puis dire être à la hauteur... me dit-il en me regardant d'un air malicieux...
- Je crois qu'il va me falloir beaucoup de résistance, » lui répondis-je, sans savoir d'ailleurs où il voulait en venir.
Il se dirigea vers l'armoire du salon et en sortit une boite de couleur noire en marqueterie, il l'ouvrit et stupéfait, je découvris à l'intérieur toute une panoplie de vibromasseurs de tailles et de formes différents. Des veinés, des noirs, des biscornus pour des double pénétrations, en bois en plastiques...
« Croyez-vous qu'elle ait une préférence ?
- Ma foi je n'en sais rien, prenez celui qui vous semble le mieux adapté à notre situation, » dis-je en riant...
Laurette entrouvrit les yeux et nous sourit en nous voyant près d'elle. Son corps sentait bon, j'approchai mon visage du sien et je l'embrassai sur les lèvres,
« Fais-moi l'amour, baise-moi j'en ai envie.... laisse Bertrand venir aussi, » me dit-elle dans un souffle…
Elle se redressa sur les coudes pour regarder dans la direction de notre hôte. Bertrand s'était approché de la table, le corps de Laurette couchée sur le dos lui arrivait à hauteur des yeux. Il glissa une main entre les cuisses et instinctivement, celles-ci s'ouvrirent.
Il enfouit sa tête dans le compas des jambes, et avec délectation, il lécha le petit bourgeon de chair qui brillait au milieu. Sous la caresse, Laurette souleva son bassin pour qu'il puisse encore enfoncer plus loin sa langue, puis les doigts de Bertrand se frayèrent un passage dans le doux calice, et imprimèrent des mouvements de va-et-vient.
Laurette gémissait, assise sur le rebord de la table, elle agrippait Bertrand par les épaules. Je me dévêtis rapidement, mon sexe me faisait mal tant sa tension était forte et je l'approchais de la bouche de Laurette qui l'absorba jusqu'à la base des couilles.
Appuyée sur le chambranle de la porte Océane nous regardait, ma gêne ne fut que de courte durée, car devant la vision de la petite main de Bertrand, entrée entièrement et fourrageant la chatte de Laurette et sa langue, Laurette sur ma hampe, je ne pus, à mon grand regret, me retenir plus longtemps et la jouissance m'emporta...
« Oh ! Non pas déjà... se désespéra Laurette en continuant à pomper le divin breuvage..
- Vous auriez du, à l'inverse de votre compagne, prendre plus de ma potion, me dit Bertrand en relevant la tête, et en ressortant délicatement ses doigts de la vulve de Laurette.
- Apporte-moi la petite boîte, intima-t-il à l'adresse d'Océane, qui en silence, accourut.
Bertrand, à mon grand étonnement, se saisit dans la boite qu’Océane lui tendait, d'un godemichet, noir, il me sembla énorme bien qu'un peu mou...et comportait une petite poire à son extrémité.
« Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit, et écarte les jambes, » ordonna-t-il à ma femme.
Il tutoyait Laurette d'une voix rude et j'en fus étonné, celle-ci acquiesça sans broncher, le rouge aux joues. Je savais qu'en ces instants, son corps entier était en feu, et qu'elle n'allait être qu'un pantin voué à son plaisir jusqu'à l'épuisement de son désir.
Bertrand, d'une prudente et longue poussée, introduisit dans la fente huilée de cyprine la tête du vibro, Tout en tournant engin, il l'entrait un peu, le ressortait, l'introduisait un peu plus afin de dilater doucement à son maximum les chaires écarlates.
Laurette, la bouche grande ouverte, la respiration profonde, ses petits seins gonflés ballottant sous elle, savourait cette emprise diabolique.
Bertrand se tourna vers moi,
« ça lui fait plus d'effet que ce que vous lui procuriez tout à l'heure !
- Remplis la poire d'eau chaude, Laurette souhaite connaître un grand moment ! lança-t-il à Océane.
- Et toi bouge, bouge, bouge répétait-il à ma compagne tout en la frappant sur les fesses et en imprimant des mouvements de va et vient à l'engin fiché entre ses fesses.
Laurette, les reins creusés, avançait et reculait son bassin pour profiter pleinement de l'introduction.
S'emparant de la grosse poire caoutchoutée que lui tendait sa fille, il envoya dans un petit orifice situé à la base du gode une longue giclée. Laurette sursauta et me tendit une main. Sa paume serrée dans la mienne, ses yeux de vair fixés sur moi, elle me faisait comprendre sans un mot tout le délice que lui procurait cette sensation nouvelle...
Deux ou trois nouvelles poires furent vidées ainsi dans le corps du vibro.
« Cette eau est à environ 39°-40° et ne risque pas de la brûler, le vibromasseur est maintenant gonflé à moitié et tapisse en partie l'intérieur de son vagin, regardez, comme elle apprécie, et il imprima à nouveau un léger mouvement à l'appareil. »
C'était déjà démentiel de la façon dont le gode avait dilaté la petite chatte étroite de Laurette. Celle-ci se mordait les lèvres et sa main serrait encore plus fort la mienne.
« Montez à côté de votre tendre amie et caressez-lui les seins, massez-lui le dos, le ventre, soyez tendre, afin qu'elle arrive au bonheur suprême... »
Je grimpais à mon tour sur la large table, et serrait tendrement Laurette dans mes bras.
« J'ai trouvé cet engin extraordinaire en Asie, là-bas il est appelé « septième ciel » et il est adaptable. gloussa-t-ill...De petites billes sont à l'intérieur, lorsque qu'il est plein et que l'on actionne le bouton, les billes frappent la paroi et les vibrations se transmettent dans tous le corps.
- Mets-toi couchée sur le dos, les jambes repliés et ouvertes, » demanda-t-il à Laurette d'un ton ferme.
Océane et moi dûmes l'aider à se retourner tant le phallique engin la gênait dans ses mouvements, Elle s'accrochait à moi et ma bouche parcourut ce corps à la peau adorée, de la bouche au cou, du cou à l'épaule, de l'épaule au sein rond, du sein au ventre plat au nombril aguichant, du nombril au secret frisé et parfumé écartelé par l'épieu de plastique.
Bertrand versa à nouveau vivement trois poires d'eau chaude dans l'orifice du dildo. Celui-ci devait maintenant tapisser entièrement le vagin de Laurette et à chaque rasade versée une presque inaudible plainte de bonheur s'échappait de ses lèvres à demi-fermées.
De la voir ainsi grande ouverte et offerte, ma virilité chancelante reprit de la vigueur.
Le petit homme grommela en tapant sur les cuisses de ma compagne :
« Remonte bien les jambes, pliées sur tes épaules, le plus haut possible, je te l'ai déjà dit et toi, caresse-la, » dit-il en s'adressant à moi
Je le vis prestement tourner le bouton du vibromasseur tout en lui donnant un mouvement de va-et vient lent et rythmé. Le diabolique engin fiché dans les chairs intimes de Laurette ne pouvait bouger, et c'est donc tout le corps de ma compagne qui avançait d'avant en arrière sur lit.
Le mouvement s'accéléra, Laurette s'accrochait comme elle pouvait et subissait avec délectation, les yeux mi-clos et le souffle court, le choc intérieur des billes qui claquaient comme un feu d'artifice dans ses entrailles. Plus vite..., plus fort..., encore plus vite...,
Bertrand tirait et poussait de plus en plus rudement, mais sans violence, la base du pieu qui écartelait ma belle. La respiration de Laurette s'accordait avec le rythme que donnait notre hôte, le mouvement lent du début avait fait place à une danse endiablée qui unissait ma compagne et son amant synthétique d'eau et plastique.
Mes lèvres parcouraient son corps, mes mains caressaient ses seins et ses cuisses superbes. La grotte magique où tant de fois j'avais trempé ma verge était ouverte comme celle d’une femme en train d'accoucher. La douce plainte de bonheur qui accompagnait la danse, se transforma en un cri rauque de plaisir intense, et tout son corps s'arquebouta plusieurs fois comme électrisé, elle ne tentait plus de s'accrocher et c'est comme un pantin désarticulé qu'elle suivait les amples mouvements.
La sarabande dura plusieurs minutes et Laurette connu l'extase quatre ou cinq fois en, hurlant. Sa tête dodelinait de droite et de gauche, ses mains agrippaient celles de Bertrand afin qu'il garde la cadence, de fines gouttelettes de transpiration bordaient sa lèvre supérieure, elle ouvrit les yeux et nous sourit. Bertrand ralentit le rythme et coupa la vibration pour permettre à Laurette de reprendre ses esprits,
« Que c'est bon ! Je n'ai jamais senti quelque chose d'aussi fort et d'aussi puissant ! C’est comme une vague chaude qui monte de l'intérieur et vous inonde de jouissance !
- Je vais expulser l'eau du vibro afin de te permettre de te reposer, » annonça Bertrand fier de son expérience.
Il tourna un bouton et appuya d'un coup sec sur la bas du vibro, Laurette poussa un cri de surprise et de bonheur....
« L'eau tiède s'est libérée dans sa chatte m'informa Bertrand, elle l'inonde...! »
L'eau fumante s'écoula depuis le vagin dilaté dans une bassine que maintenait Océane, appuyée sur les coudes. Mon adorée regardait ouvrer son doux tortionnaire. Celui-ci tira doucement sur la base du phallique engin ce qui arracha à Laurette un petit cri de délivrance ou de regret...
La grotte nacrée distendue par le chaud massage restait grande ouverte, les petites lèvres pendantes.
« Viens, approche-toi, demanda Laurette à Bertrand, tu mérites toi aussi une récompense… »
Elle approcha son bassin du bord du lit afin que le petit homme soit bien à hauteur et lui empoigna la verge. Celle-ci noueuse et dressée comme un dard semblait disproportionnée par rapport à sa taille.
Guidé de la main douce de ma compagne, il enfila d'un coup jusqu'à la garde son sabre dans la gaine de velours.
« Ah c'est chaud, c'est bon, » grognait-il tout tressautant sur ses courtes cuisses.
Les mains de Laurette pressaient les petits globes velus des testicules afin de l'amener à l'explosion rapidement, car je voyais à son attitude qu'elle simulait un plaisir qu'elle n'arrivait pas à trouver. Était-ce parce qu'elle venait de connaître quelque chose de très fort, de très puissant ou parce que son vagin distendu ne lui permettait pas de sentir en elle cette queue pourtant de taille fort respectable ?
Bertrand s'en aperçut et accéléra la cadence afin de rapidement se soulager, accroché aux cuisses de Laurette il planta au fond son bâton sexuel, une grimace de bonheur illumina son visage. Je devinais les longues giclée de sperme qui devait fouetter le doux réceptacle.
Tendrement Laurette le maintint serré entre ses longues jambes jusqu'à ce que la lance gorgée de sève ai craché ses dernières gouttes. Notre ami retira sa verge flasque, Laurette d'une main essuya sa chatte trempée et la porta à sa bouche, se tournant vers moi elle me tendit à son habitude ses lèvres afin qu'avec elle je partage cet instant de bonheur.
« Viens toi aussi j'ai envie de te faire ce cadeau, » me dit-elle en me tendant la main.
Je pris position dans le compas de ses jambes, et glissais mon épieu dans le trou largement huilé par Bertrand, la chaleur procuré par l'eau du godemichet était toujours présente et irradiait jusque dans mes couilles. Le sperme de notre ami maculait ma verge, Laurette savait combien j'aimais ces moments où, prise avant par d'autres que moi, elle m'adressait comme une offrande la fin de ses étreintes pour me prouver son amour.
Elle tenta de contracter son vagin dilaté, qui pour toute récompense, expulsa le foutre de son précédent amant. Elle s'assit sur le bord du lit et m'attira au plus profond d'elle, ses mains passées derrière mes fesses cherchaient mon anus, elle me força à basculer sur son corps de liane. Largement ouvert par deux de ses doigts, mon anneau sentit s'introduire l'un deux.
Elle tourna son regard vers Bertrand, ses yeux verts le fixèrent comme une ultime invitation. Celui-ci sans un mot vint se placer derrière moi, je compris vite sa manœuvre et essayais d'esquiver, Laurette me bâillonna la bouche d'un baiser brûlant et me serra fort dans ses bras. Je compris qu'elle tenait à ce que je sois à la fois la proie et le loup.
Le gland noueux de Bertrand força le passage et entra doucement dans mes entrailles... je m'abandonnais. A chaque coup de butoir de Bertrand, mon sexe entrait plus profondément dans la grotte de Laurette. L'emprise dura longtemps me semble-t-il, je sentais que Laurette prenait un plaisir indicible à me voir sodomisé. Elle répondait par des mouvements amples de ses hanches, tout en me serrant dans ses bras, aux frénétiques coups de reins que m'infligeait son partenaire.
Emporté par mon élan, j'arrosais à mon tour le doux fourreau. Bertrand sortit de mon corps, et porta son sexe à hauteur de la bouche de ma compagne, celle-ci sans hésiter s'en saisit et appliqua sur le sabre une caresse vieille comme le monde, elle m'invita à l'imiter et c'est ainsi que nos lèvres mises en commun vidèrent une seconde fois notre hôte.
La fatigue tant physique que nerveuse me laissa pantelant, allongé en travers du lit, je m'endormis d'un profond sommeil.
A suivre…
Signé : Théo
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Une rencontre surprenante
Ciel de plomb, chaleur écrasante ! Voici une après-midi qui commence bien. Il est sérieusement temps de penser à dérouiller mes articulations. L'arrêt de bus est sans ombre. Lorsque l'énorme engin ouvre ses portes la température monte encore de quelques degrés. Les passagers sont accablés, transpirants, inertes. Le lourd véhicule entame son périple cahotant au gré des rues désertes. Au bout de quelques minutes, je n'y tiens plus et décide de changer de direction.
À proximité de la gare, je quitte mon autobus bringuebalant pour rejoindre la modernité. Je sais qu'en changeant de ligne je bénéficierai d'un peu de fraîcheur climatisée. J’y souscris et attends paisiblement l’arrivée de ce nouvel élément de confort. A peine monté à bord, je me plonge dans mon journal et consomme goulûment les nouvelles du jour. La fraîcheur me pénètre peu à peu. Je ressens enfin le doux effleurement du coton de mon jean usagé et du léger T-shirt que je porte, tous deux, à même la peau.
Mon journal terminé, je laisse vagabonder mon regard sur les autres passagers. L'été a fait son œuvre. Les peaux sont découvertes, les décolletés profonds. Peu de traces de sous-vêtements viennent gâcher l'esthétique des fesses masculines et féminines. Grâce à la climatisation, les auréoles de transpiration sont absentes.
Ma voisine d'en face a troussé sa robe jusqu'en haut des cuisses pour mieux profiter de la fraîcheur. Celle d'à côté joue des effets de décolletés au point que son anatomie commence à m'être familière. Les nombrils des filles, les épaules des garçons, cuisses et jambes des deux sexes vivent en liberté.
Valse appétissante de seins et de fesses.
J'apprécie le confort et la légèreté de mes chaussures de marche et du petit sac à dos qui complètent mon équipement. Mon frais carrosse quitte peu à peu le trop dense centre-ville pour des quartiers plus aérés. Je le laisse à son périple près d'un lycée, au carrefour d'une étroite route qui s'enfonce entre les pavillons vers la campagne. Je suis un instant ma voisine, descendue au même arrêt. Je complète mon examen de dos mais n’arrive pas à me faire une opinion sur ses fesses rondes qui semblent sans protection sous sa mini-jupe. La chaleur m'accable à nouveau jusqu'à ce que j'atteigne l'abri des arbres puis un court tunnel piéton franchissant une rocade.
La ville s'éloigne, je traverse plusieurs hameaux espacés pour atteindre un chemin de terre qui s'enfonce entre les champs de blé. Les vestiges d'un bocage permettent de temps à autre quelques courtes stations à l'ombre. Je déboucle ma ceinture pour restreindre la pression de mon jean sur la peau. Ce dernier, transpiration aidant, épouse pleinement les formes de mon corps et s'immisce entre mes fesses. J'aimerais continuer nu mon périple pour profiter de ce petit souffle d'air frais qui se manifeste par instants. Mon esprit bat la campagne autour de ce rapport au corps si présent dans mes promenades solitaires. Le chemin de droite s'enfonce dans la forêt. Je n'hésite pas une seconde à l'emprunter.
Vestiges des pluies torrentielles de l'été, le chemin s'avère de plus en plus défoncé. A un carrefour, je lis avec étonnement une plaque blanche clouée sur un arbre qui prohibe l'utilisation de tout véhicule dans cette zone. Quelques centaines de mètres plus loin, un portail me barre l'accès d'un groupe de trois caravanes harmonieusement disposées sous les frondaisons.
Alors que je m'en vais faire demi-tour, un léger froissement de feuilles mortes m'incite à me retourner. Un énorme chien au pelage noir et blanc me contemple avec bonhommie au-delà de la barrière. À quelques mètres derrière lui, une grosse femme au visage poupin, boudinée dans un ensemble de coton noir, m'adresse un salut amical de la main. Alors que je m'arrête, le lourd portail pivote sous la pression de sa main et le grand chien s'approche de moi.
Je lève vers sa maîtresse un regard troublé lorsqu'il commence à flairer de façon insistante les parties les plus intimes de mon anatomie. Il lèche mon cul délicatement puis, progressivement, avec une de plus en plus force, au point que la couture de mon jean pénètre entre mes fesses. Il soumet ensuite ma braguette au même traitement et, sous la caresse, mon sexe se dresse visiblement.
Sa maitresse sourit de mon embarras. J'essaie de le repousser sans autre résultat qu’un grognement peu amène. Il enserre ma cuisse entre ses pattes avant et commence à se branler sur ma jambe. Son sexe rose vif frotte en cadence la couture de mon pantalon.
Curieusement, je me sens à la fois gêné de m’offrir ainsi en spectacle et excité par son désir. Elle susurre :
« Laisse-toi faire ».
De sa force herculéenne, la bête porte tout son poids sur la pliure du genou et me fait tomber à terre les mains en avant. Un peu étourdi par le choc, je me laisse besogner plus avant. Sa truffe s’engage allégrement dans ma braguette au point de finir de la dégrafer. Entre ses crocs puissants, il saisit le pantalon par la ceinture déboutonnée et le baisse violemment sur mes cuisses, puis mes chevilles dénudant ainsi toute mon intimité. Après m'avoir remonté mon T-shirt sous les aisselles, il s'affaire à lécher avec application toute ma peau disponible. Aucun endroit découvert n’est épargné.
Outre mes fesses et mon bas ventre, il s’attarde sur mon visage. Sa longue langue humide finit par forcer le passage de mes lèvres et envahit sans ménagement ma bouche. Lorsqu’il en sort, j’embrasse sa truffe fraiche et l’ourlet de ses babines, comme si je voulais stimuler son désir. Je ressens autant de crainte que d'excitation.
La grosse dame s'est assise par terre à côté de nous et profère ce qui me semble être de rassurants encouragements. Au bout d'un moment, le molosse concentre son activité sur mon anus qu'il détrempe à l'extrême. Petit à petit, sa langue me pénètre et m’enflamme. Je sens la douceur d'une paume humaine qui effleure doucement mon phallus érigé.
C'est presque avec soulagement que je reçois le poids du chien sur mon dos. Il oblige ma tête à toucher le sol alors que mes fesses restent érigées sous son ventre. Sa queue durcie heurte mes cuisses et mes fesses à la recherche d’un trou à fourrer. Je me comporte comme une chienne, écarte mes cuisses et baisse mon séant pour en faciliter l’accès. Je tressaille lorsque son sexe entre en moi avec une facilité qui me déconcerte. Il engage un violent mouvement de va-et-vient, alors que son poids creuse mes reins. Ses pattes avant me labourent les flancs sans que j’en ressente la douleur.
Sa bave coule en abondance sur ma nuque. Par instants, il mordille mon cou et mes épaules. Son souffle trop rauque est à l'unisson de ma respiration haletante. Je sens la violence de son désir. Mes fesses sont en feu, jamais rassasiées de ce qu'elles subissent. Après quelques minutes de cette étonnante union des deux corps, le mouvement s'accélère. Je suis au bord de l’orgasme lorsque sa queue forme une boule au niveau de mon ampoule anale nous verrouillant fermement l’un à l’autre.
Il ne bouge plus tandis que la boule masse en grossissant ma prostate. Je me sens prêt à défaillir tant la dilatation de mon cul est extrême et le massage prostatique efficace. Pourtant je ressens une espèce de plénitude dans le plaisir de lui appartenir sans pouvoir lui échapper. Mon corps n’est plus que le prolongement de son sexe.
Il est tout entier en feu. Mon amant, fiché en moi se retourne péniblement, labourant au passage le bas de mon dos, et nous voici accouplés cul à cul, grotesques. Nous restons un long moment ainsi. Empli de lui, j’ai plaisir à cette totale et interminable soumission. J’aime d’être ainsi abaissé au niveau animal ou plutôt, devrais-je dire, vassal d’un animal. Il me domine et décide pour moi. Il me soumet à son désir. Soudain son vit explose dans mes tripes en de longues et chaudes giclées.
Les spasmes du chien déclenchent les miens et de douloureuses éjaculations trop longtemps retenues qui s’éparpillent sur le sol. A cet instant précis, je serais capable de lui dire « je t’aime ». Nous donnons tous deux de la voix. Lorsque je m'effondre, épuisé et repu, mon amant, enfin libéré de mon corps, lape les abondantes sécrétions qui se sont déposées sur mon anatomie. Ses attentions m’apaisent autant qu’elles m’excitent.
Avec beaucoup d'application et de douceur il m'aide du museau à me retourner et finit son office. Je m'endors dans cette position lascive : pantalon aux chevilles, T-shirt troussé, sexe demi-érigé, attributs offerts au regard de tous.
Des cris de jouissance gutturaux vont me réveiller quelques instants plus tard. Lorsque j'ouvre les yeux, la surprise est totale. La grosse dame est maintenant totalement nue, couchée sur le dos, le bassin surélevé par le talus herbeux, le chien fiché entre ses grosses cuisses. Les pattes avant de l’animal clouent ses épaules au sol. Ses énormes seins sont agités comme deux bateaux à la dérive. Ses mains flattent compulsivement l’occupant de son sexe. Tous deux, après un court moment de calme et de silence, hurlent soudain longuement de plaisir. Je suis un peu jaloux de n’être plus l’unique amant de la bête.
Lorsqu'ils reviennent à la réalité, un sourire de la dame et un regard du chien m’encouragent à les rejoindre. Je m'assois, toujours troussé, à côté d'elle, entièrement nue, presque cuisse contre cuisse. Le chien, fourbu de ses efforts, se couche à nos pieds et s'endort. Nous nous prodiguons quelques caresses. Sa peau est étonnamment douce. Son sexe finement dessiné est quasi dépourvu de pilosité, tout comme ses aisselles. Ses seins sont fermes malgré leur volume. Son visage est d'une agréable rondeur.
Aux caresses succèdent les mots. Je suis invité, quand je veux, à goûter ces plaisirs inédits car « plus que d’autres, je sais vraiment être une chienne, sans pudeur ni retenue». Elle met, assez brutalement, de l'ordre dans ma toilette, remonte le jean collant sur mes fesses, boucle la braguette contre mon pénis redevenu ferme. Je frémis au contact de ses mains. J’aime sa manière de me brutaliser à demi. Je me sens son objet et celui de son chien. Ensuite, elle se rhabille en silence pour ne pas réveiller notre amant. Baiser d'adieu, moelleuse étreinte, départ furtif...
Au but de ma randonnée, après un épuisant parcours en plein soleil, attablé à une terrasse, mon corps se détend et se rappelle. Chaque centimètre carré de ma peau n'est plus qu'un souvenir de cet étonnant contact. Mes reins et mes fesses ressentent encore les éraflures des ergots du chien. Mon cul est resté douloureusement distendu de cet étonnant et sublime écartèlement. Je suis en feu de la tête aux pieds. La prochaine fois, mon cher amant velu, je me dénuderai à l'orée du bois, pour mieux me préparer à savourer tes assauts.
A chaque pas, je préparerai mon cul à te recevoir. J’assouplirai mes organes pour que tu puisses t’y dilater à ton aise. Je laisserai mon désir de toi envahir mon corps tout entier jusqu’à en défaillir. Je t’accueillerai en moi écartelé. Je jouirai de l’indécence de mes gestes jusqu’à ne plus mériter le respect de quiconque. Je me comporterai comme la pire des salopes pour te plaire. Et toi, mon amie si douce, tu pourras tout obtenir de moi. Je t’offrirai les choses les plus folles en remerciement de ces délicieux moments. Je ne rêve que d’être votre esclave sexuel à tous deux sans retenue ni réserve.
Signé Emile
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Séverine, la coiffeuse coquine...
Séverine, jolie blonde de vingt-huit ans, est gérante d'un salon de coiffure dans un quartier huppé de la ville. Elle est mariée à Éric, trente et un ans, très séduisant, cadre dans une société d'import export.
C'est un couple sans histoire, très fidèle, même si depuis quelques temps, Éric a des idées un peu libertines. Il a proposé à sa ravissante épouse, de faire intervenir une femme dans leurs ébats érotiques.
En clair, une partie à trois.
Mais Séverine s'est toujours farouchement opposée à cette proposition, sauf que depuis quelques jours, elle a embauché une stagiaire, Nina, jeune métisse de dix-huit ans, pour qui elle sent une attirance particulière.
En effet, elle est fascinée, comme hypnotisée par cette superbe fille, même si, dans ses rêves les plus fous, jamais elle ne s'est imaginée faisant l'amour avec femme.
C'est aujourd'hui lundi, jour de fermeture du salon, que Séverine doit assister au vernissage d'une de se clientes. Elle sort du bain, se contemple devant la glace. Elle se trouve très belle, et elle l'est. Ses mains parcourent son corps. Les seins, les hanches parfaitement galbées, jusqu'au fin duvet du pubis. Mais les doigts en veulent plus. Le majeur, plus audacieux, court sur la fente, ouvre les lèvres humides. Il est vite rejoins par un autre doigt, qui lui, excite le clitoris.
« Oh bon sang, gémit-elle, ce serait dommage de gâcher mon plaisir maintenant, je peux quand même attendre ce soir pour en faire profiter mon Éric… »
Elle est tirée de ses polissonnes caresses, par la sonnerie de la porte. Elle enfile vite un court peignoir, et va ouvrir.
« Nina, bégaie-t-elle surprise, rentre, que t'arrive-t-il ?
- C'était pour savoir si vous pouviez arranger mes cheveux pour le vernissage.
- Bien sur, accepte Séverine, je prends une chaise, et on passe dans la salle de bains. »
Nina est vêtue d'une jupe ample, qui arrive à mi-cuisses et d'un petit haut décolleté, qui ne cache pas grand chose de sa magnifique poitrine. Séverine se sent mal à l'aise devant l'assurance tranquille de la jeune fille. Une fois installées, le travail peut commencer.
Séverine est obligée d'écarter les jambes pour éviter les genoux de la stagiaire. Du coup, le peignoir s'ouvre, laissant apparaitre la naissance de l'entre cuisses.
Le visage de Nina s'éclaire d'un large sourire. Sans plus de façons, elle pose une main coquine sur la cuisse de sa patronne. Celle-ci a un mouvement de recul, mais ne repousse pas la main.
« Oh ! dit-elle, mais, que fais-tu ?
- N'aies pas peur ma chérie, rassure Nina, j'arrête si tu veux. »
Séverine hésite, mais la chaleur qui monte au creux de son ventre, la trahie. Son corps, curieux, veut savoir, il exige. C'est l'occasion ou jamais de sauter le pas.
Elle se débarrasse du séchoir, et de la brosse à cheveux. Elle ferme les yeux, et appuie ses mains sur les épaules de Nina. La jeune stagiaire comprend la demande implicite, et lui lance un sourire radieux. D'un geste maitrisé, elle dénoue le peignoir, et le fait glisser le long du corps de la coiffeuse, qui se retrouve nue, entièrement offerte au regard gourmand de la jeune stagiaire
D'un geste plein d'assurance, Nina caresse les cuisses, les hanches, remonte jusqu'aux seins, orgueilleusement dressés. Puis, sans hésiter une seule seconde, les doigts fins, plongent sur le triangle blond. Ils ouvrent délicatement les lèvres intimes, et pénètrent doucement, presque tendrement, la chatte perlée d'humidité.
« Hou.. souffle Séverine, que c'est bon ! Mais ce n'est pas bien ce que tu me fais... »
Sans plus s'occuper des timides protestations de Séverine, les doigts de l'autre main s'occupent du clitoris, totalement sorti de sa capuche.
« Détends-toi ma chérie, dit Nina, je vais bien te doigter, te branler... Tu vas voir comme tu vas aimer ! Je vais te faire couler la chatte comme une fontaine de plaisir... Vois comme tu bouges ton cul déjà... Tu caches bien ton jeu ! En fait, tu es une petite salope toi... »
Séverine donne de violents coups de reins, annonciateurs de jouissance. Elle ouvre grand la bouche pour hurler de plaisir dans un puissant orgasme.
« Assez, sors tes doigts... ho, ho... Laisse-moi te caresser...
- Tu y tiens vraiment ma chérie ? sourit Nina. Pousse-toc que je puisse me lever. »
Une fois debout, Nina ôte le petit haut, et libère ses seins qu'elle frotte contre ceux de Séverine. Puis elle saisit le poignet de la coiffeuse, et dirige la main vers son bas ventre. Innocente, Séverine se laisse guider. Sa main remonte lentement sous la jupe, caresse les cuisses, va plus haut.
Et là, surprise.
Sa main rentre en contact avec une paire de couilles, et un membre en érection, dont les mensurations, n'ont rien à envier à celle d'un mâle normalement constitué. Elle retire sa main comme si elle s'était brûlée.
« Oh... mais tu n'es pas une fille ! C'est quoi ça ? bégaie-t-elle, totalement ahurie par sa découverte....
La jeune stagiaire sourit :
« Tu ne t'es doutée de rien ? Je suis en fait une transsexuelle. Je dois être bien faite, alors pour qu'une professionnelle de la beauté comme toi se laisse abuser... »
Séverine, encore sous le choc de ce qu'elle vient d'apprendre, veut retirer complètement son bras. Mais le désir reprend le dessus, elle n'a pas encore eu son compte... Elle veut jouir encore...
Alors, d'un geste ferme et sur, elle saisit l'énorme bite à pleine main. Elle fait même des va-et-vient sur la colonne de chair, qu'elle décalotte en entier avec une douceur infinie. Elle prend un plaisir trouble à caresser ce pieu de chair, et en regardant l'opulente poitrine de sa stagiaire. Ce trouble l'excite encore plus qu'avant...
Nina lui prend le menton, se penche, et lui embrasse tendrement les lèvres.
L'expérience est nouvelle pour Séverine, excitante, elle est pourtant irrésistiblement attirée par « elle » ? Ou « il » ?
Du coup, elle n'hésite pas une seconde. Elle se penche et absorbe presque d'un coupe la grosse queue de la jeune stagiaire, commence à lui tailler une pipe, parce que ça, elle sait faire. Même si d'habitude, elle rechigne à en faire une à son mari...
De l'autre main, elle froisse les couilles gonflées entre ses doigts, comme du papier journal. Nina gémit sous la langue qui se démène, et appuie sur la tête de sa patronne pour la forcer à l'avaler toujours plus loin. Séverine réussit à gober les vingt-deux centimètres de chair épaisse. Elle étouffe presque, mais ne voudrait pour rien au monde laisser partir cette colonne de chair si bonne à sucer.
La trans se tord et crie de plus en plus fort, emboitée jusqu'au pubis dans la gorge de sa patronne.
Au bout de longues minutes de cette gorge profonde, Nina prend la tête de Séverine, et la force à se lever. Elle lui donne un sulfureux baiser, où la salive se melange avec le liquide clair de son excitation.
« Appuie-toi contre le lavabo, lui dit-elle, je vais te niquer à fond maintenant. Je veux te emplir de mon jus d'amour...»
C'est une proposition qui ne se refuse pas. Séverine se cambre au maximum pour offrir sa croupe. Elle agrippe au rebord du lavabo, poussant le plus possible son bassin vers le haut. Elle se veut impudique, offerte, ouverte à ce qui l'attend...
Nina s'avance, taquine la chatte avec son gland imbibé de salive, le frotte contre le clito bien dur... Cette caresse arrache à Séverine des miaulements de plaisir. La jeune trans frotte même la rosette entr'ouverte, qui frémit sous la brève poussée.. On dirait que cette fleur ne demande qu'à s'ouvrir... Mais Nina décide de commencer par lui remplir le vagin.
Alors, elle pose son gland massif contre les lèvres gorgées d'excitation, et pénètre l'orifice accueillant sans aucune difficulté.
« Eh bien, ma belle salope, tu es trempée comme une chienne ! »
Pour toute réponse, Séverine lâche un petit « hum » de plaisir.
Elle envoie sa main entre ses cuisses et saisit les énormes testicules de Nina.
« Oh putain ! C'est pas vrai ! Quelle paire de couilles ! Et cette bite qui m'ouvre en deux... Vas-y ma chérie, défonce-moi la chatte bien profond ! Oh oui, bourre-moi ! C'est pas mon mari qui me baise comme ça ! Oh ouiiiiiiiiiiiii !!! »
Nina la ramone à fond, la levrette permet au gros pieu de buter contre la matrice de la coiffeuse. Elle est baisée avec tant de force, qu'elle a peine à ne pas tomber. Elle accompagne les coups de boutoir pour mieux sentir le mandrin ramoner sa chatte en feu. Sous le rythme effréné de cette pénétration hors-normes, Séverine a un deuxième orgasme, aussi fort que le premier.
Nina se retire, excite le petit trou si accueillant quelques minutes plus tôt avec le bout de son membre. Séverine n'aime pas que son mari la sodomise, elle a mal, elle se sent « sale ». Mais là, une force inouïe la pousse à tout accepter de la shemale...
Elle murmure :
« Allons à la chambre, j'en veux encore... Tu pourras m'enculer plus facilement, si tu veux.
- Mais mon, trésor, répond Nina, on va être en retard pour le vernissage.
- J'en ai rien à foutre du vernissage de cette vielle peau. Je veux de la queue, bien calibrée comme la tienne ! Ce n'est pas tous les jours qu'on peut se le faire mettre par une trans aussi belle que toi... »
Séverine découvre des plaisirs jusque là inconnus, comme caresser la grosse bite et les couilles d'une femme, tout en suçant les magnifiques seins d'un homme, elle ne sait plus... Ou encore faire crier la jeune fille en lui taillant une pipe... Et pour ne rien gâcher, la stagiaire s'avère être un super coup au lit. Elle est excitée comme jamais, prête à tout pour assouvir la faim de sexe qui la dévore subitement.
Dans la chambre, elle se couche sur le dos, et relève haut ses cuisses sur son torse. Elle ne veut pas de levrette, elle veut voir Nina, ses gros seins et sa belle bite en même temps.
Cette dernière se penche, passe sa langue sur la chatte dévastée et brulante.
Puis elle descend cracher sa salive sur le cercle anal... D'un doigt précis, elle s'introduit dans le conduit, et entame un mouvement circulaire pour élargir l'orifice. Il faut que ses six centimètres de diamètre puissent entrer dans ce qui n'est encore qu'une toute petite ouverture bien fermée.
Lentement, avec tendresse, elle masse le cercle brun, qui s'ouvre petit à petit, sous la douce poussée de son majeur. Elle le ressort, l'enduit de la mouille de Séverine qui coule comme une fontaine. Et elle réintroduit le doigt dans le fondement de sa patronne. La jeune femme se tord sous cette caresse, et n'en pouvant plus, se branle furieusement le clito dardé.
Nina, toujours excitée par ce qu'elle prodigue à sa patronne, se masturbe de l'autre main. La grosse bite se raidit encore plus, et semble doubler de volume. Séverine suit de ses yeux hallucinés la progression de la main sur qui coulisse sur ce gros pieu. Elle accentue sa propre branlette, et jouit une nouvelle fois, expulsant un flot de liquide que Nina se presse de recueillir, en lâchant son membre hors-normes. Celui-ci touche le nombril si féminin de la jeune apprentie.
Et brusquement Nina change sa façon de faire. Elle enfonce presque brutalement deux, puis trois doigts plein de cyprine dans l'anus. Séverine pousse un petit cri de douleur, mais se calme sous le regard soudain dur de son employée. Cette dernière ramone Séverine à fond, et elle ouvre à deux mains le conduit, pour finir de l'élargir. Puis elle sourit, comme satisfaite de ce qu'elle a fait.
« Prête ma chérie ? Tu vas en prendre plein ton joli cul !
- Oui, » ne peut que murmurer Séverine, impressionnée par l'assurance et la lueur presque carnassière qu'elle décèle dans le regard de la trans.
Hypnotisée, elle voit le mandrin se poser sur son anus bien dilaté. Et il s'enfonce dans ses chairs, inexorablement. Elle se cambre sous la pénétration, comme pour l'accentuer. Nina, pousse sa queue d'une main, et se pince les tétons de l'autre. Elle masse ses grosses mamelles comme de la pâte à modeler. A mi-chemin, elle s'arrête, puis se retire doucement.
« Prête cette fois-ci ?
- Prête, mais fais att... »
Le mot s'étrangle dans sa gorge, remplacé par un formidable cri : Nina s'est enfoncée d'une seule poussée dans le conduit anal, enfournant en moins de deux secondes ses vingt-deux centimètres au plus profond du corps offert.
Nina continue de crier de douleur et pleure, trempant l'oreiller. Petit à petit, sous le va-et-vient plus doux, elle cesse de se plaindre, et ondule son bassin, comme pour en prendre plus.
« Oh comme tu me défonces ! Ta bite est bonne. Penche-toi, je veux toucher ses gros seins. Allez vas-y, baise-moi à fond !
- Tu es une belle garce, toi ! Tu te vois, enculée par ton employée, en train de lui masser les mamelles ? Non, tu n'es pas une garce, tu es une chienne qui se fait trouer !
- Oh ouiiiiiiiiiiii, je suis ta chienne, bourre-moi à fond ! » miaule la jeune coiffeuse.
Nina devient de plus en plus vulgaire. Elle se redresse, faisant lâcher prise à Séverine. En promenant son regard dans la chambre, elle avise un gros tube de crème pour le corps près du lit. Sortant un peu de son nid douillet, Nina se penche et attrape le tube. Elle plonge ses doigts dans la chatte béante qui s'offre à elle, en retire le liquide lubrifiant, et en enduite le tube.
« Non pas ça, gémit Nina, comprenant soudain l'utilisation de son gros tube.
- Oh que si ! Tu vas en prendre plein la chatte, ma belle. Tu as déjà eu une double pénétration ?
- Noooooon, hoquète Séverine, ca me fait un peu peur...
- T'en fais pas, tu vas aimer, comme la grosse salope que tu es ! »
Et sans plus de précaution, elle enfourne le tube par le bouchon dans le vagin trempé. Elle commence alors un va-et-vient de plus en plus rapide, coordonnant les mouvements de sa bite et ceux du tube. Ce dernier entre presqu'en entier dans la chatte ouverte.
« Oh oui, vas-y, Nina, défonce-moi le cul, baise-moi ! A fonnnnnnnnnnnnnnd !!!» hurle Séverine.
Puis ses paroles se muent en cris rauques, désordonnés. Elle bouge de plus en plus sur les deux monstres qui lui envahissent les chairs dilatées par tant de grosseur... Nina accélère encore, et la patronne, pousse un cri ultime, qui déchire le silence de la maison. Elle jouit dans un soubresaut qui la fait se cambre à fond. Elle serre tant son vagin que le tube manque d'en être expulsé.
Ses cris diminuent, jusqu'à ce qu'elle retombe, tel un pantin désarticulé, cloué sur le lit par un pieu de chair et un tube de plastique.
Nina retire ce dernier, laissant devant elle la vision d'un vagin béant et palpitant. Puis elle se penche, saisit à deux mains les hanches rondes, et force sa poussée sodomite. Elle la pilonne de plus en plus, redonnant de la vigueur à Séverine. Mais Nina finit par crier elle aussi son plaisir, lâchant dans les entrailles de la jeune femme un purée épaisse et gluante. Elle se laisse tomber sur elle, toujours emboitée dans son conduit anal.
Les deux jeunes femmes se caressent, se sourient, s'embrassent à peine bouche.
« Putain, Nina, tu m'as fait jouir comme jamais avant dans ma vie. Cette double, mhummmmm...
- Tu vois, tu es réellement une belle chienne ! Ton mari le sait ?
- Non, avec lui, je suis plutôt sage, il ne m'excite plus beaucoup... Mais là, j'avoue que tu m'as donné envie d'une vraie double pénétration..
- Il rentre quand, ton homme ?
- Dans pas longtemps. D'ailleurs, je ne sais pas si c'est bien que...
- Tu veux qu'on te prenne à deux ? l'interrompt Nina
- Euh... oui... murmure-t-elle, étonnée de sa propre audace.
- Ok, quand il arrive, tu lui en parles. Et tu vas passer une nuit dont tu te souviendras toute ta vie...
- D'accord, ma chérie, je ferai tout ce que tu veux... »
Elles s'endorment l'un sur l'autre, la dernière sensation de Séverine avant de sombrer est la coulée du sperme tiède entre ses cuisses...
Il est vingt heures quand Éric rentre du bureau. Les deux jeunes femmes sortent de la salle de bains en riant, vêtues d'un maillot, et d'une serviette nouée autour de la taille.
« Bonsoir mon chéri, tu es deja rentré ? Je te présente Nina, ma nouvelle stagiaire, elle est belle n'est-ce pas ? Je l'ai invitée à passer la nuit ici, ça ne te dérange pas ? On va piquer une tête dans la piscine pendant que tu nous sers l'apéritif, ok ? »
Éric hallucine. Il dévore, les yeux grands ouvert, les deux superbes créatures qui sont devant lui.
« Heu...mais... Bien sur mon amour... ¨Pas de problème, je m'occupe de ça... »
Il ne peut détacher son regard des deux bombes qui quittent le salon. Mille pensées érotiques traversent son esprit. Petit à petit, il refait surface, et réalise l'opportunité qui s'offre à lui.
Son épouse aurait-elle adhérer à sa requête, à savoir faire une partie de cul à trois ? Il n'ose l'espérer, mais cette simple pensée le fait bander illico.
Il va prendre une douche pour se calmer, et revient en caleçon de bain, dans l'intention évidente de rejoindre les deux femmes dans la piscine. Trop tard, elles sont assises sur le canapé, un verre à la main, se jetant des regards complices, coquins, vicieux.
« Santé mon chéri, dit Séverine, prend ton verre, viens t'asseoir avec nous. C'est pas souvent que tu as l'occasion de trinquer avec deux jolies filles. Si tu voyais comme elle est belle toute nue ! »
Éric sent le rouge monter aux joues. Puis, très vite, il se sent redevenir l'étalon qu'il était dans sa jeunesse, une époque où aucune fille ne lui résistait, tant il était séduisant, et bon amant.
Il se penche sur Séverine, et lui murmure à l'oreille :
« Décidément, tu es une femme pleine de surprises.. Oui, je veux la voir nue !
- Tu y tiens vraiment ? répond-elle, et jusqu'où es-tu prêt à aller pour assouvir ton fantasme ??? »
Il est si excité qu'il ne perçoit pas l'ironie et la menace qui passent sous cette question...
« Deux filles, ça ne va pas te faire trop, est-ce que tu vas assurer ? Et Nina, va-telle accepter ?
- Demande-le lui, répond-il, sûr de lui. Quant à mes performances, tu les connais, à vous de me tester...
- Vous parlez doucement, mais je vous entends tous les deux, sourit Nina. Bien sur que je suis partante pour une partie de baise à trois. »
Un large sourire éclaire le visage d'Éric...
A suivre...
Exhib à Verrière
Juste pour info, ceci est le 450ème publié ici ! Et il s'agit d'une expérience vécue il y a plus de dix ans...
Merci à vous de votre confiance et de toutes vos contributions...
Comme je l'ai relaté il y a peu de temps, au début des années 90, j'allais souvent le soir avec mon amant du moment, m’exhiber aux yeux des voyeurs très présents dans ce bois situé dans la banlieue de Paris.
J'y prenais un plaisir intense, et j'ai vécu là-bas de sacré bon moment...
Mais quelques mois plus tard, je rencontrais l'homme qui devint mon mari. Celui-ci était tout sauf un libertin. Je dus donc mettre un frein à mes activités sexuelles un peu hors-normes. D'ailleurs, notre mariage fut un échec...
Bref, ces épisodes d’exhibition n'avaient jamais quitté ma mémoire, et à la fin des années 90, de passage à Paris, je me décidais à y retourner faire un petit tour. Le seul hic, c'est que j'étais seule... Du coup, je préférais m'abstenir d'y aller le soir, et décidai de m'y rendre en plein après-midi.
Nous étions au début du printemps, et je m'habillais donc assez légèrement, vêtue d'une guêpière, d'un porte-jarretelles, de bas et d'un imperméable pour paraître décente dans la voiture. Je mis également dans un petit sac de sex-toys un petit vibromasseur et un gode de bonne longueur, ainsi qu'un paquet de mouchoirs et une bouteille lotion nettoyante.
Fébrile, je pris le volant et me dirigeais vers le bois. J’entrai, et allai vers le fond, afin de trouver un endroit fréquenté uniquement par des hommes. Çà et là, il y avait quelques familles. Je me devais à tout prix de les éviter. Mais en allant bien au bout du bois, je ne voyais plus que de rares véhicules éparpillés, et quelques hommes seuls qui rôdaient.
Je finis par me décider à prendre une petite allée sur ma droite. Comme beaucoup d'autres, elle était en cul-de-sac. Je garai mon véhicule tout au bout, non sans avoir fait demi-tour auparavant afin d'avoir l'avant vers la route principale, pour pouvoir partir vite si le besoin s'en faisait sentir.
Dans un petit coin de ma tête, je me disais que j'étais totalement inconsciente de venir seule dans cet endroit...
Mes pulsions prenaient le dessus sur ma raison, et j'avais un besoin absolu de sexe pur et brut. Il faut dire que j'étais dans ma pleine période d'hyper sexualité, et il me fallait des doses de sexe d'importantes chaque jour, comme d'autres ont besoin de leur dose de drogue ou d'alcool.
Une fois bien garée, je reculais mon siège au maximum, et l’inclinait un peu. J’ouvrais mon imperméable, et commençai à regarder autour de moi. Mon arrivée n'était pas passée inaperçue, car j'avais à peine fini de m'installer, que deux hommes étaient devant ma voiture. Je leur fais un sourire, et il ne leur en aura fallu pas plus pour s'approcher près de la fenêtre. Ils me firent signe d'ouvrir ma vite, mais je refusai. Je voulais encore garder un minimum de sécurité...
En les regardant à tour de rôle, d'une main je me caressais les seins, et de l'autre je massai mon entre jambes. Quasi immédiatement, les deux hommes portèrent leur main sur le la fermeture de leur jean. Je continuai de leur sourire, afin de les encourager à aller plus loin. Je sortis mes seins des bonnets de la guêpière, et je me pinçai un téton. Le premier des hommes très bruns, dézippa son pantalon immédiatement, et sortit une jolie bite courbe, mais bien durcie.
Il ne m'en fallait guère plus pour que mon excitation bien, non pas d'un cran, mais de dix ! Je lâchai mes tétons pour écarter mon string, et offrir à leurs vues ma chatte déjà bien mouillée. J'écartai au maximum mes lèvres intimes, afin de leur montrer le plus possible de ma chatte. De l'autre doigt, je titillai le clito qui n'attendait que ça.
L'autre homme, un petit Black rablé, imita alors son voisin, et sorti de son pantalon un chibre d'ébène vraiment long, surtout par rapport à la petite taille de son propriétaire. Tous les deux se branlaient frénétiquement, et je regardais, fascinée, leur main aller et venir sur leur que bien raide.
Je pris dans mon sac mon plus long gode, et sans effort tant j’étais trempée, je l'enfonçai au plus profond de ma grotte.
Un coup de toué sur la vitre de la voiture me tira brusquement de ma rêverie éveillée. J'étais tellement absorbée par la vision de mes deux premiers voyeurs, je n'avais pas réalisé que trois autres étaient arrivés de l'autre côté de la voiture. Ils étaient tous les trois aussi, la bite à la main en train de s'astiquer furieusement.
J'étais aux anges, en train de m'exhiber à la vue de ces trois voyeurs, qui à leur tour m'offraient le spectacle de leur masturbation intense. … j'avais là tout ce que j'aimais... Je continuai à me baiser moi-même avec le gode, me l'enfonçant aussi profondément que possible, écartant de l'autre main ma chatte, afin que tous profitent de la vue indécente que je leur offrais.
Le premier des voyeurs jouit sur le carreau, éclaboussant la vitre de quelques gouttes de sperme gluant. Le voir jouir ainsi déclencha mon propre orgasme, et je criais à gorge déployée mon plaisir, tant mon il était intense. Presqu’aussitôt, l'un des voyeurs arrivés plus tard a joui aussi, suivi quelques instants plus tard par un quatrième. Ces quatre là se rajustèrent, et me firent un petit signe de la main en m’envoyant un baiser, et firent demi-tour.
Il ne restait plus que le Black, et celui qui était à ma droite, qui du coup se déplaça et vint se positionner à côté de du premier. Le dernier arrivé était un blond vénitien... Personnellement, je n'aime pas trop les roux. Mais un simple regard sur sa queue me fit changer tous mes préjugés... Il n'était pas très long, sans doute pas plus de douze ou treize centimètres, mais très épais. Pas autant qu'une canette, mais pas loin...
Bref, tout ce que j'aime : j'avais à ma disposition une belle queue noire bien longue et une belle queue blanche courte mais très épaisse. Comment pouvais-je laisser passer une telle occasion !
Faisant fi de tout danger potentiel, je baissai la vitre de ma voiture. Je leur adressai en premier la parole :
« Alors, je vous plais ?
- Oh oui, dit le Black. T'as vu comme tu me fais bander ?
- Et moi donc... renchérit le roux, regarde comme je suis dur.
- Ça vous dirait qu'on en fasse un peu plus tous les trois ? Au fait, moi c'est Sophie.
- Enchanté, moi c'est Marko dit le Black.
- Et moi c'est Bastien, ajouta le roux.
- O.K., alors, on fait comment ? On ne peut pas rester ici, car ce n'est pas très confortable, et on risquerait d'être surpris par des personnes qui n'ont pas à nous voir...
- Oui tu as raison, répondit Marko. Je n'habite pas très loin, si tu veux, on peut aller chez moi.
- Je ne préfère pas. Après tout je ne vous connais pas... On va à mon hôtel. Prenez vos voitures, et suivez-moi. Mon hôtel est à Seaux. »
Je leur griffonnai l'adresse de l'hôtel sur un bout de papier, et je leur tendis. À l'époque, les téléphones portables n'étaient pas aussi répandus qu'aujourd'hui, et il était fort possible que nous ne nous retrouvions pas. ..
« Attendez, je veux juste avoir quelque chose... Approchez-vous ! »
Ils obtempérèrent, et se rapprochèrent de mon véhicule.
« Montrez-moi à nouveau vos queues. Je voulais goûter... »
En quelques secondes, ils avaient à nouveau sorti leurs engins, toujours aussi durs. J’ouvris la portière, en pris un dans chaque main. Je les gobai alternativement, afin d'apprécier leurs goûts et leurs textures.
Bastien en profita pour glisser sa main entre mes cuisses, où le gode était toujours planté. Il le retira et enfilade de droit dans mon abricot. Il devait avoir l'habitude, car il atteint presque directement mon point G.
Marko, pour ne pas être en reste, attrapa un de mes seins, et le tritura assez fortement. Sous un tel assaut, et la bouche ainsi occupée, je ne pu que jouir à nouveau... La fin de l'après-midi allait être torride...
Je lâchai leurs bites, et leur dis d'aller chercher leur voiture. Je me rajustai, encore tremblante de ces deux orgasmes si intenses. Je démarrais ma voiture, me demandant si je ne faisais pas la plus belle connerie de ma vie. Après tout, je ne savais rien d’eux, et il pouvait m'arriver n'importe quoi dans ma chambre d'hôtel...
Par bonheur, Bastien va se mettre devant moi, et je notais rapidement sa plaque d'immatriculation. Marko était derrière et je me retournais pour en faire de même. Ainsi, je tentais de me rassurer en me disant que s'il m'arrivait quelque chose, je pourrai au moins les retrouver grâce à leurs plaques.
Quand j'écris cela, je me rends compte à quel point j'étais inconsciente... Mais mes envies de sexe prenaient largement le dessus, et faisaient taire toutes mes réticences, toute ma prudence.
Une demi-heure plus tard, en nous nous retrouvions tous les trois garés côte à côte sur le parking du Campanile.
Sans un mot, ils me suivirent dans ma chambre, à l'étage. Elle était tout au bout du bâtiment, ce qui limitait le nombre de voisins. Mais il est vrai qu'à cette heure-là de l'après-midi, il y avait peu de clients présents. Au moins je savais que je pourrais me lâcher comme je voudrai...
Une fois entrés dans la chambre, je leur demandais d'aller se laver, car j'avoue que dans le bois, il émanait deux une odeur un peu forte, un peu trop fort à mon goût… De mon côté, j'ôtai rapidement mon imperméable, et sortis de ma valise une boîte de préservatifs et un tube de lubrifiant. Ces accessoires ne me quittaient jamais. J'ai toujours eu pour principe de profiter de la moindre occasion pour satisfaire mes envies... Cela implique d'avoir toujours et capote sur soi !
(Pour la fluidité du récit, je ne préciserai pas à chaque fois que les hommes enfilaient des capotes... Mais il est évident qu'ils en ont toujours mis, à tout moment de ce trio improvisé.)
Nous étions arrivés depuis une bonne dizaine de minutes déjà, et ces messieurs n'étainet toujours pas sortis de la salle de bains. Impatiente, je les interpellas :
« Eh bien Messieurs, vous en prenez du temps !
- On... me répondit une voix hésitante, nous sommes un peu occupés...
- Comment ça « occupés » ? dis-je en sautant du lit.
- Viens voir, tu sauras... »
J’ouvrai la porte de la salle de bains, et je vis Marko debout dans la baignoire, entièrement nu, et Bastien, agenouillé devant lui, tout aussi nu, ui le pompait avec vigueur ! J'avais une chance incroyable ! Voilà que j'avais au moins un des deux qui étaient bi... Tout ce que j'aime !
Marko avait l'air gêné :
« Tu sais Sophie, je n'ai jamais fait ça de ma vie, il m'a pris par surprise. Et en fait, ce n'est pas si désagréable...
- Mais ne t'en fais pas, j'adore ça !
- Ah bon ? Tu aimes ça ? Mais tu sais je ne suis pas pédé !
- Mais je le sais bien que tu n'es pas homo…. Ce n'est pas parce que tu vas aimer te faire sucer que tu deviens gay ! Mais bon, moi j'ai besoin de vous à côté ! »
Comme à regret, Bastien retira l'engin de sa bouche, et se releva. Ils se séchèrent rapidement, et vinrent me rejoindre sur le lit.
Enfin les choses sérieuses allaient commencer...
A suivre…
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Super histoires!
Je b. comme un âne...
il faut que j'aille me calmer!
ah une trans... le fantasme (rarement avoué) de beaucoup d'hommes et de femmes. non?
Pim