Les Mémoires très Libertines de Sophie
De sacrées retrouvailles
Par la fenêtre de son train, Xavier, jeune et séduisant jeune homme de dix6huit ans rentre d'une rude année d'études. Aujourd'hui, il se rend à son ancien lycée, pour assister à la remise du diplôme de son meilleur copain. Lycée qu'il a quitté depuis quatre ans, lorsque Maud, sa professeur d'anglais, l’a fait virer pour le faire mettre en pension. Une vraie peau de vache, dont il garde encore, une petite rancune.
Pour rester éveillé, Xavier s'est acheté au kiosque de la gare des magazines, dont un réservé aux adultes. Il est seul dans le compartiment, plongé dans sa lecture érotique, quand la porte du compartiment coulisse.
Apparait alors, Audrey, une jeune et jolie fille, apparemment du même âge que lui. Surpris, Xavier à quand même la lucidité de glisser sa revue érotique, dans un magazine sportif.-« Bonjour, dit-elle, je vous dérange pas ?
- Heu... mais pas du tout, répond Xavier, je vous en prie. »
La jeune fille se hisse sur la pointe des pieds pour mettre son sac dans le filet à bagage. Ce mouvement a pour effet de faire remonter la jupe sur les cuisses, et de laisser entrevoir une petite culotte blanche, tout comme le large débardeur laisse entrevoir de magnifiques seins dépourvus de soutien gorge. Est-ce de la maladresse, ou les secousses du train ? Toujours est-il qu'elle perd l'équilibre, et se vautre sur les genoux de Xavier.
« Excusez-moi, dit-elle, je suis confuse... Mais, c'est quoi ce livre ? »
Elle remarque sur le plancher, la revue érotique qui vient de tomber, ouverte.
« Ah, ces hommes ! Tous des cochons... pourquoi on ne voit jamais des mâles tout nus
- Mais si vous le souhaitez, je peux vous en montrer un... en vrai.
- Ouais... c'est ça... et puis quoi encore Vicieux ! » répond-t-elle d’un air faussement outragé.
La conversation s'arrête là, mais en douce, les yeux de la Demoiselle lorgnent sur un endroit précis de l'anatomie du jeune homme. Elle commence à être séduite par son arrogance. Après quelques kilomètres, sa décision est prise. Elle veut le voir nu…
« Votre proposition tient toujours demande-t-elle en minaudant un peu.
- C'est un peu tard, répond-il, toujours aussi arrogant. A moins que vous ayez d'autres arguments…. »
Audrey n'hésite pas une seconde, piquée au vif. Elle ôte en un tournemain jupe, débardeur, et petite culotte. Elle est entièrement nue dans le compartiment, semblant ignorer que la porte peut s’ouvrir à tout moment…
« Comme cela », dit-elle en s'approchant de Xavier, malgré tout ébahi par cette audace.
Celui-ci reste ahuri par la beauté de ce jeune corps. Il la fait s'asseoir sur ses genoux, et l'embrasse. Puis ses mains explorent les parties sensibles. Les seins fermes, la chatte recouverte d'un fin duvet, le clitoris, bien au chaud dans son terrier. Audrey ne tarde pas à se trémousser sous les caresses, glousse de plaisir.
« Déshabille-toi, » souffle-t-elle.
Xavier quitte son costume noir, sa chemise et son boxer. Reste qu'à espérer que qu'aucun voyageur n'entre dans le compartiment.
Audrey se met à genoux, caresse les couilles pleines, joue avec la queue qui s'étire de plus en plus. Elle la décalotte, enrobe le gland du bout des lèvres et l'engloutit avec gourmandise.
« Hum...hum... », jubile-t-elle, devant cet objet de plaisir qu’elle convoite...
Xavier ne pensait pas qu'une fille de cet âge soit aussi douée pour tailler les pipes !
Jugeant la bite assez calibrée, elle se lève et s'y empale dessus. Lentement, elle coulisse dans la chatte humide de la jeune d'Audrey.
« Aaaaah.., gémit-elle, ça fait plus d'une semaine que j'ai pas pris un coup de queue... Ca fait du bien de se le faire mettre par une belle bite...
- C'est pour ça que tu mouilles Régale-toi salope... »
Est-ce par manque, toujours est-il qu'Audrey se donne à fond dans cette relation. La respiration haletante, et les violents coups de reins ne trompent pas.
Xavier a sa tête enfouie dans les seins de la jeune fille, qui lui agrippe les cheveux.
« Salaud, gémit-elle. Je jouis...Tu le sens hein... toi aussi tu viens... oh mon dieu...
- On ne s’est même pas protégés... Tans pis... c'est trop bon... le prochain coup... »
Les jeunes amants jouissent dans un ultime coup de reins. Xavier embrasse les seins de sa partenaire, pendant qu’elle lui palpe les couilles.
Quand Xavier arrive au lycée vers dix neuf heures, des groupes de personnes se sont formés. Dans un, Xavier reconnait Maud.
« Tiens, dit-il à son copain, mais c'est la peau de vache. »
En se retournant, Maud croise le regard de son ancien élève.
« Tu as vu ce charmant garçon, dit-elle à sa voisine, amie et livreuse de pizzas, Elodie. Tu le connais ?
- Mais bien sur, c'est Xavier, celui que tu as fait virer il y a quatre ans. Il a bien changé, tu ne trouves pas C'est un beau mec maintenant... hey, réveille toi... pour te faire pardonner, tu ne vas quand même pas t'offrir à lui... »
Maud, trente neuf ans, divorcée, trouve l'idée de sa copine excellente. Surtout que son appartement de fonction est juste au dessus. Elle est tirée de ses pensées par une main qui la tire par le bras.
« Whoua, dit Xavier à son copain, qui est cette bombe avec la peau de vache
- C'est Audrey, sa fille. Si tu voyais le canon en maillot… le corps qu'elle a...
- Je sais, répond Xavier.
- Tu sais Et comment tu le sais
- Heu... j'imagine... à voir comment la mère est gaulée… merde... elle est partie ! »
Une idée traverse l'esprit de Xavier. Et s'il branchait la mère D'autant qu'à voir les sourires qu'elle lui envoie, il n'a pas l'air de lui déplaire. Il faut à tout prix qu'il provoque une rencontre. Il a niqué la fille, il veut la mère pour que sa vengeance soit totale.
« Bonsoir Madame, dit-il, il manque de champagne ici, vous ne trouvez pas
- C'est vrai, répond Maud, mais ça peut s'arranger, j'en ai chez moi, si ça vous dit...
- Pourquoi pas », poursuit Xavier, l’œil pétillant.
Maud invite Xavier à s'asseoir, et apporte deux flutes de champagne. Elle s'assied sur le bras du fauteuil, en prenant soin de faire remonter sa jupe sur ses cuisses. Xavier risque une main sur les jambes fines de son ex prof. Celle-ci, pas farouche pour un sou, ne repousse pas la caresse, écarte légèrement ses jambes. Xavier poursuit plus loin son ascension, et sursaute quand il s'aperçoit que Maud n'a pas de culotte.
« Que t'arrive-t-il, sourit-elle, tu as rencontré le diable ? »
Xavier ne se démonte pas, la regarde en souriant. Un doigts lisse les lèvres, excite le clitoris, ouvre la chatte. Maud se cambre sur les doigts qui la pénètrent.
« Allons au lit, murmure-t-elle, j'ai des choses à me faire pardonner. »
Il la suivit dans la chambre, et se déshabilla entièrement. Maud fixait intensément la bite dressée du jeune homme… Aa point qu’i l lui demanda :
« Tu ne le trouves pas trop petit
- Non ! Je devrais
- J’aurais aimé en avoir un plus long... Plus large aussi...
- Selon ma modeste expérience, je crois que ton sexe est de taille moyenne. , lui dit-elle en souriant.
- Tu plaisantes ! Tous mes amis affichent des vingt à vingt-deux centimètres !
- Tu ne les as jamais vus ! Tous les garçons se vantent de la taille monstrueuse de leurs queues. C’est bien connu. C’est quand ils se trouvent dans un lit avec une femme qu’ils affichent péniblement quinze centimètres de chair à peine ferme. ..
- Je ne l’ai jamais mesurée. J’aurais trop peur de lire un chiffre navrant... confessa- t-il.
- L’essentiel est qu’elle soit belle et que tu saches t’en servir correctement. Je t’assure que tu remplis parfaitement la première condition.
- A moi de te démontrer que je mérite une bonne note à la deuxième épreuve, s’ exclama t il en souriant.
- Mais nous allons d’abord passer à l’exercice oral, » déclara-t-elle juste avant que Xavier ne sente des lèvres douces entourer voluptueusement son gland.
Il se sentait perdre pied, et il n’arrivait même plus à se concentrer sur autre chose que cette sensation extraordinaire de douceur. Maud semblait experte en la matière. Xavier ne sentait plus son corps qui semblait s’immerger dans un bain cotonneux. Seule la perception des lèvres qui coulissaient le long de son membre semblait désormais exister. Il vivait un rare moment de bonheur et de ravissement quand Maud s’interrompit :
« Tu ne voudrais pas prendre le portable, chéri, et demander qu’on nous monte livre une pizza ? Ca nous ménagera une petite pause après m'être délectée de ton jus de couilles, » demanda-t- elle d’une voix innocente.
Xavier, bien qu’un peu estomaqué par les propos vulgaires de son amante, décrocha le téléphone et fit le numéro de la pizzeria, enregistré dans la mémoire. Pendant ce temps, Maud le pompait avec vigueur. Il avait du mal à articuler correctement tant était intense son plaisir à cet instant.
Quelques minutes après, Ils entendirent qu’on frappait à la porte. Xavier voulu se lever pour se couvrir mais Maud l’en empêcha et invita la personne à pénétrer dans la pièce. Elodie fit son apparition, la pizza dans les mains. Elle regardait le couple avec une décontraction évidente. Elle décocha un sourire enjôleur à Xavier étendu sur le lit alors que le visage de celui-ci était cramoisi.
« Pose a boite là, Elodie ! commanda Maud sans cesser de branler la verge de son amant. Je trais ce jeune homme et je suis à toi. Assieds-toi ! »
Xavier n’en croyait pas ses oreilles. Son ancienne prof était d’une vulgarité sans pareil et venait bel et bien d’ inviter la livreuse à assister à leurs ébats. Il sentit que la bouche l’aspirait encore plus vigoureusement et ne tarda pas à fermer les yeux pendant que son plaisir s épandait entre les lèvres de Maud. Il demeura quelques instants abasourdi par son plaisir.
Lorsqu’il releva la tête, Elodie était toujours là, sagement assise sur un fauteuil. Elle lui souriait. Maud, quant à elle, léchait les dernières traces de sperme autour de la queue qui reprenait petit à petit, sa taille habituelle. Maud, enfin se leva.
« Je te présente Elodie. Et voici Xavier ! Elodie est une petite vicieuse qui adore me brouter le minou…. »
Pendant que Maud s’adressait à son amant, Elodie s’agenouilla devant elle. Elle plongea son visage entre les cuisses écartées de la jeune femme. On entendait plus que le bruit de clapotis que produisait sa bouche sur le sexe saturé de sécrétions. Xavier n’en croyait pas ses yeux.
« Mais elle te fait un cunnilingus ! s’exclama-t- il, interloqué.
- Oui ! Quand Elodie me bouffe la chatte, c’est un peu comme si je me masturbais avec ma langue. Le problème c’est que je ne suis pas assez souple pratiquer ce genre d’exercice, ajouta-t- elle simplement.
- Ne me dit pas que ce genre de service est compris dans les prestations de livraison de pizza !
- Bien sûr que non ! Elodie est une vieille amie et aussi coquine que moi… Assieds-toi au bord du lit ! » lui demanda-t- elle.
Xavier s’exécuta sans réticence. Maud allongea sa jambe droite jusqu’à ce que son pied atteigne le sexe de son amant du jour. Elle caressait sensuellement la verge qui reprenait déjà de la consistance. Xavier se laissait faire, les yeux fermés, goûtant le plaisir de sentir la peau douce de la plante du pied caresser ses parties génitales.
Il entendait maintenant la respiration de Maud s »accélérer. Il ouvrit les yeux quand il entendit de petits gémissements étouffés qui ne semblaient pas provenir de la bouche de son amante. Il constata que le pied gauche de Maud caressait le sexe d’Elodie qui avait baissé sa culotte. Cette dernière soutenait sa jupe des deux mains, exhibant une paire de fesses joliment rebondie.
« Oh ! Elodie ! Je vais jouir ! » s’écria-t-elle en empoignant la tête de son amie par sa chevelure pour la plaquer contre son sexe.
Maud émit une sorte de feulement pendant que son corps se raidissait, puis ses épaules tombèrent et elle sombra dans une sorte d’apathie. Elodie ne cessait de lécher avidement le sexe glabre pendant qu’elle se branlait avec le pied de son amie qu’elle s’enfonçait dans le vagin.
Le sexe de Xavier avait retrouvé toute sa vigueur à présent. Il se leva et se pencha sur Maud qu’il embrassa avec passion. Cette dernière repoussa la tête d’Elodie qui se cambra en même temps qu’elle déchirait l'air d'un cri strident. Xavier eut juste le temps de remarquer le visage déformé de la fille pendant qu’un orgasme la submergeait.
Dans un spasme final, La livreuse enfonça le pied de Maud jusqu’à la cheville. Xavier était pétrifié de stupeur devant cette scène ahurissante… La jeune fille retira le pied de Maud de son vagin dégoulinant. Elle le porta à sa bouche pour le sucer dévotement. Maud caressait amoureusement le pénis de Xavier pendant qu’ils assistaient à cette scène d’adoration qui les excitait tous les deux.
« Ne te méprends pas sur ma relation avec Elodie ! annonça-t-elle en brisant le silence. Je ne suis pas la maîtresse d’Elodie. Elle est seulement mon amante épisodiquement.
- Elle semble pourtant te porter une dévotion bien au-delà de ce qu’on peut attendre d’une simple amante….
- Elodie voue un véritable culte à ma personne. Elle m’adore au sens le plus stricte du terme. J’en profite un peu, il est vrai.. Mais ces jeux de Lesbos épisodiques me plaisent… »
Sur ces mots, Maud se leva et enlaça Xavier. Leur baiser était tellement passionné que le garçon en tremblait d’émotion. Qui aurait pu dire que son ex prof le mettrait dans un tel état, lui qui ne rêvait que de vengeance ???
Ils rejoignirent Elodie qui les attendait nue sur le grand lit.
Persuadé qu’Elodie était une lesbienne, Xavier dut réviser son jugement car elle lui roulait une pelle passionnée. Lorsque celle-ci repoussa son visage en arrière, ce fut pour lui demander :
« J’aimerais que tu me lèches la chatte pendant que j’embrasse Maud sur la bouche ! »
La proposition était assez perverse pour que Xavier ne la refuse. La livreuse enjamba le visage de Xavier et plaqua sa vulve suintante sur sa bouche. Ce dernier s’étonna de l’odeur forte que dégageait cette chatte dilatée …
Mais il oublia bien vite ce désagrément en sentant sa queue s’introduire dans une chaleur onctueuse. Pendant que sa langue jouait avec les anneaux qui infibulaient les grandes lèvres d’Elodie la brune, le vagin de Maud la blonde, coulissait suavement le long de son pénis à la sensibilité exacerbée. Il baisait deux femmes magnifiques à la fois ! Le séducteur n’aurait jamais imaginé que ce fantasme pouvait se réaliser un jour…
Les deux amantes se couchèrent sur le côté. Maud se contenta d’écarter les cuisses pour que Xavier comprenne ce qu’elle attendait de lui. Pendant qu’il butinait la blonde, la brune s’était glissée derrière lui et sondait l’anus du mâle avec une langue experte. Alors qu’il n’aurait jamais accepté ce genre de cajolerie auparavant, Xavier ressentait un vif plaisir à se faire prodiguer cette caresse intime par une inconnue. La bouche de la jeune femme glissa jusqu’ à ses bourses pour les gober une à une.
Xavier explorait frénétiquement la vulve de sa prof Les saveurs qui s’en dégageaient produisaient sur lui une intense émotion, inconnue jusque là. Il avait envie de se fondre en elle, en cet instant. Il ne sentait plus la bouche d’Elodie. Il leva les yeux pour découvrir la femme, assise sur le visage de Maud. Elle était en train de se caresser les petites lèvres pendant que la blonde lui butinait l’anus.
Xavier se déplaça de sorte qu’il puisse pénétrer son amante et sucer le clitoris turgescent de la brune. Cette dernière ne tarda pas à gémir puis, elle envoya un flot de foutre féminin dans la face déjà luisante de l’homme. Maud commença à geindre quand Xavier accéléra son rythme. Il envoyait des coups de reins de toutes ses forces sur les adjurations d’Elodie qui connaissait finalement Maud mieux que lui.
Quand le corps de la blonde se tétanisa, Xavier s’enfonça jusqu’ la garde et conserva sa position jusqu’à ce qu’un cri libérateur fasse retomber le corps de la belle. Ils s’allongèrent, essoufflés côte à côte, Maud au centre du lit. Il s’en suivit un long moment de silence. Seules leurs respirations étaient perfectibles.
Le cerveau de Xavier recommençait à fonctionner normalement. Il se demandait de quoi allait être fait l’avenir de sa relation avec la belle Maud… allait-elle seulement continuer ? Maud sortit finalement de sa torpeur passagère. Elle embrassa chastement Elodie du bout des lèvres puis, se retourna vers Xavier. Leurs regards se croisèrent de nouveau. Elle lui signifiait qu’elle était ennuyée à l’idée qu’ils allaient se séparer.
Xavier voulut parler mais Maud l’en empêcha en appliquant son index sur ses lèvres. Il embrassa le doigt de son amante sans la quitter des yeux. Son air désolé lui disait qu’elle ne pouvait pas faire autrement que de se séparer de lui.
Xavier oscillait entre deux hypothèses : ou Maud était une séductrice comme lui, ou elle était une fée venue le sauver de sa médiocrité…
En réalité, Maud n’avait fait que tenter de réparer son erreur envers lui. Xavier ne s’en doutait pas, et souhaitait ardemment la revoir. Son attitude distante lui indiquait qu’il ne devait pas insister…
Il se leva sans quitter des yeux les prunelles de Maud. Il marcha à reculons jusqu’à ses vêtements qu’il enfila sans se détourner du regard de sa prof.
Il quitta la pièce, sans un mot après s’être promis de ne pas en rester là…
Maud se recoucha dans les bras d’Elodie, et s’endormit avec le sentiment du devoir accompli…
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Esclave sexuelle
Il y a un petit temps de ça, et avec mon école de gestion, j'ai eu l'occasion de partir une semaine dans les Alpes. Mes professeurs avaient réservé des chambres dans un centre de vacances et nous nous sommes retrouvés toute la classe avec un couloir pour nous tous seuls.
Durant toute la journée, nous partions skier par groupe de niveau et avec un moniteur (plutôt sexy le moniteur --> de taille moyenne, les yeux bleu, de belle dents blanches, et un corps tout bronzé). La fin d'après-midi et la soirée, quant à eux, étaient réservés aux activités autres (marche raquette, soirée poker, danse country,....
Une amie et moi avions décidé de nous inscrire pour faire la marche raquette du jeudi. Le jour étant arrivé, et après une longue journée de ski et une fatigue intense, je dis à mon amie que je n'étais plus très motivée pour faire cette marche. Après ses arguments assez convaincants, je décide donc d'y aller et nous nous rendons donc au point de rendez-vous fixé par le centre dans lequel nous étions.
Un moniteur appelé Sébastien et surnommé Seb nous attendait au point de rendez-vous. Il nous explique comment mettre les raquettes et nous nous équipons. Sauf moi qui à cause d’un problème de matériel, n’arrive pas à les mettre. Seb vient donc en renfort pour m’aider à régler ce problème et nous nous mettons donc en route avec six autres personnes du centre.
Durant cette marche, je fais plus ample connaissance avec Seb, nous échangeons des blagues, des fous rires, nos expériences au niveau du ski… Au moment où nous rentrons au centre, il me propose de venir le rejoindre le soir au bar et durant une soirée karaoké pour boire un verre avec lui et discuter ; ce que j’accepte de suite.
Après une douche et un repas bien mérité, je vois à ma montre vingt et une heure, je descends au bar pour rejoindre Seb, qui était déjà là. Il me demande ce que je veux boire et je prends une bière avec de la tequila. Nous discutons une bonne partie de la soirée de tout et de rien. Il est désormais une heure du matin, et il me propose de terminer la soirée dans sa chambre pour boire un dernier verre….
Je me doute bien de la raison, même si je suis jeune je ne suis pas innocente ! Nous montons donc ensemble dans sa chambre et nous buvons un whisky. Les esprits s'échauffant avec l’alcool et la chaleur de la chambre, il dépose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser. De mon côté, je me retrouve avec la main sur son pénis après qu’il l’y ait déposée.
Sur le coup, je reste sans voix tellement celui-ci est gros et long. Voyant ça, il se met debout devant moi qui suis assise sur le lit et baisse son pantalon et son boxer. Il prend son énorme sexe et me dit :
« Vas-y suce la moi ! »
Sans hésiter, je commence donc à lui lécher son gros chibre et ses testicules et il gémit et me dit que c’est bon mais qu’il veut que je la mette entièrement en bouche. Elle est si grosse que j’y arrive difficilement. Sans aucune considération pour moi, il saisit l’arrière de la tête, et d’un coup l’enfonce au fond de la gorge !
Je suffoque, et j’ai du mal à respirer. Il commence alors à donner des coups de hanches de plus en plus violents puis me bloque la tête avec son sexe entièrement dans ma bouche.
Il semble satisfait, puisqu’il me dit :
« tu suce comme une vrai salope, tu es douée que c’est bon, oh oui continue comme çà ! Je vais te gicler dans la bouche et je veux que tu avale toute ma semence, ma petite pute ! »
Après quelques coups de bassin supplémentaires, je reçois trois gros traits de sperme au fond de la gorge…
J’avale le tout et il me dit de lui lécher la queue pour la lui nettoyer. Je m’exécute aussitôt comme une brave petite chienne que je suis.
Il me déshabille et me caresse la chatte avant d’y introduire un, deux et puis trois doigts. Voyant que je mouille comme une vraie cochonne, il me dit :
« je vais te prendre comme une pute et tu va aimer ça ! »
Sans que j’aie le temps de répondre, il met son gland contre l’entrée de ma chatte et d’un coup, m’enfonce son sexe jusqu’au fond de ma grotte. Je gémis de douleur et il commence alors de long va et vient brusques en me tirant par les cheveux. Là il me dit : « je veux t’entendre dire que tu aime ça, que tu en redemandes et que tu as tout ce que tu mérites, vas-y dis-le, dépêche-toi !»
J’obtempère, et halète :
« J’aime quant tu me prends en force comme ça, que tu me baises comme une grosse pute, j’en veux encore, continue, oh oui c’est bon vas-y continue, traite moi comme une salope comme une chienne, une pute ! »
Il se met à me prendre en levrette et après quelques coups bien placés, je jouis en hurlant. Il continue alors de plus en plus violemment, ça me fait mal mais il continue quand même et me dis que c’est tout ce que je mérite. Malgré moi, je me redns compte que j’aime qu’il me traite ainsi, ça m’excite terriblement…
Sans un mot, me maintenant en levrette, il place alors son gland sur ma rondelle et là, je lui dis que je ne veux pas ! Il me répond que je n’ai rien à dire et qu’il va me prendre quand même.
Au moment où il s’apprête à me pénétrer, mon moniteur qui est aussi son colocataire entre dans la chambre et nous surprend. Il s’excuse de nous déranger et veut ressortir mais Seb l’invite à nous rejoindre. Je proteste faiblement.. jamais je n’ai baisé avec deux hommes… Quelle réputation je vais avoir !
Sans hésiter, il vient et pendant que Seb me bourre le cul je suce mon moniteur. Seb dit à Fred que j’ai un cul bien serré et qu’il devrait essayer, ce qu’il fit sans se faire prier. Je me retrouve à me faire prendre des deux côté par mes moniteurs sans pouvoir rien dire. Pourtant, je jouis comme une folle, mes trous envahis par ces sexes durs et chauds…
Et après quelques heures à m’être fait limer de tous les côté et aspergée de sperme, ils me laissent enfin me reposer. Pendant que je somnole sur le canapé, ils commentent leurs exploits avec moi en riant…
Seb et Fred me donnent rendez-vous le lendemain soir pour remettre ça et j’accepte volontiers. Je sais maintenant que je suis une salope, et j’aime ça.
Le lendemain soir je vais donc à leur chambre, je frappe et ils me disent de rentrer. Je rentre, mais il n’y a pas de lumière. Seb me dit de le rejoindre sur le lit ce que je fais. J’entends alors la porte se fermer à clé et la lumière s’allumer. Je découvre alors dix des moniteurs du centre totalement nus et prêts à me prendre toute la nuit. Je demande à Seb ce qui se passe même si j’ai déjà compris, et il me dit qu’il avait invité quelques amis à notre petite soirée.
J’essaie de refuser, je ne pensais pas faire un gang bang, juste une nouvelle partie à trois.. ca m’effraye un peu, même si je sens que je mouille déjà, à la vue de ces hommes nus, dont certains bandent bien durs !
Et encore une fois il me dit que je n’ai rien à dire. Il précise également que je dois faire tout ce que les moniteurs souhaitent y compris les sucer tous et avaler toute leur semence. Je me mets donc au travail pendant que deux d’entre eux filment pour être sûrs que je fasse tout ce qu’ils demandent sous peine de me retrouver sur internet.
J’ai des mains qui me caressent et me fouillent de partout, puis je sens alors un premier chibre s’enfoncer dans mon vagin. Il est encore plus encore plus gros qu’hier, je gémis de douleur et les garçons rigolent. Au moment où je commence à m’y habituer, un deuxième sexe vient s’enfoncer dans ma chatte et me tire des cris de douleur, ils commencent alors leurs va et vient en cadence et une autre vient se mettre contre mon anus pour me pénétrer. Je suis en triple pénétration ! Une double dans le vagin, une dans le cul Il ne se passe pas une minute avant qu’une quatrième bite vienne prendre place dans ma bouche. Je suis baisée par tous mes trous, écartelée, et malgré moi, je jouis comme une folle…
Toute la nuit, je serai prise, défoncée et étant le jouet de dix moniteurs en furie. Tous me prendront au moins deux fois, dans un de mes orifices. Je suis gluante de sperme, de mouille, de salive… Je suis une salope avide de sexe et de défonce, et j’aime ça !!!
A la fin de leur éclate, Seb me dit que si je ne voulais pas qu’il diffuse la vidéo sur internet, je devrai me présenter dans sa chambre à chaque fois qu’il le voudrait et qu’il m’appellerait. J’étais donc devenue leur esclave sexuelle. Chaque soir des dix jours qui suivirent, je fus convoquée pour des soirées de plus en plus chaudes.. où rien, vraiment rien ne me fut épargné... Même pas le chien d’avalanche….
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Ma femme et mon neveu...
Je vais vous compter une histoire qui m'est arrivée il y a peu.
J'ai cinquante ans et ma compagne, dix de plus, mais elle est restée très désirable et appétissante. Il n'y a qu'à observer le regard des autres hommes, y compris jeunes, pour s'en rendre compte... et elle le sait... en joue parfois. Elle aime le sexe, comme moi, et nous nous comblons mutuellement.
Je dois préciser que je suis commercial et n'ai donc pas d'horaires fixes. C'est ainsi que, la semaine passée, un rendez-vous étant annulé, je rentrai beaucoup plus tôt que prévu.
Arrivé devant chez moi, je vis la voiture de mon neveu de vingt-trois ans, Nicolas, le fils de mon frère. Je ne fus pas vraiment étonné, car il nous rendait souvent visite. Mais ce qui m'a surpris, c'est que la maison n'était pas éclairée, sauf une petite lueur dans notre chambre à l'étage.
Intrigué, je décidai donc d'entrer silencieusement. Il n'y avait aucun bruit dans la maison. Je montai doucement et arrivé sur le palier, je vis la porte de la chambre entrouverte, entendant comme un léger bruit de succion. J’osai un œil discret et ce que je vis me laissa sidéré : ma compagne était accroupie devant mon neveu, lui assis sur le lit, et elle était en train de le sucer comme j'avais l'habitude qu'elle me le fasse…
Il lui tenait la tête et semblait prendre plaisir au traitement qu'elle lui prodiguait. Sa jupe était remontée, je voyais la lisière de ses bas... Elle y allait gaiement... goulûment.
C'est une sacrée suceuse mais je ne pensais pas qu'un autre en profitait.
Je restai là interdit... mais aussi excité, je l'avoue. Que devais-je faire??
Ces quelques secondes d'hésitation eurent raison de moi... ma curiosité était trop forte et je décidai de continuer à jouer le mateur.
Elle continuait sa caresse buccale, le regardant droit dans les yeux. Lui, avait les siens fermés, appréciant visiblement ce qu'elle lui faisait. Tout en continuant à lécher son membre, je la vis déboutonner son chemisier. Elle portait ce soutien-gorge ouvert que je lui avais offert et qu'on nomme un redresse-sein.
Nicolas comprit l'invitation et commença à lui pétrir les seins de façon un peu forte, mais efficace et qui n'était pas pour déplaire à Brigitte.
Moi-même, j'avais appris à lui « torturer » la poitrine et ce, pour son plus grand plaisir.
Je devinai ses tétons durcir sous les caresses de son jeune amant. Ca lui arrachait des gémissements de satisfaction.
Je vis mon neveu se tendre, s'arc-bouter... je devinai qu'il jouissait dans la bouche de ma compagne. Elle se délectait de ce nectar, avalant tout, en léchant son sexe soigneusement.
Elle se redressa, ôta sa jupe et son string qui devait être trempé, ne gardant que ses bas et ses bottes. Elle lui dévoilait sa chatte parfaitement épilée. Elle s'allongea sur le lit et je l'entendis murmurer :
« A toi maintenant… »
En disant cela, elle le dirigea jusqu'à son minou afin qu'il la suce à son tour.
Maladroitement, il commença à lui donner des coups de langue, ce qui lui arracha de petits cris de plaisir. Elle lui appuyait sur la tête afin qu'il lèche plus fort, plus loin.... Elle jouissait sous ces caresses... je connaissais trop bien l'état dans lequel ça la mettait.
Puis elle attira Nico à elle afin qu'il la pénètre.
Tout en se donnant de fougueux baisers, elle prit son sexe et le positionna à l'entrée de sa petite chatte. Il s'enfonça en elle, commençant à la pilonner de son gourdin bien dur, tout en lui bouffant la pointe se de ses seins. Elle releva les jambes afin qu'il s'enfonce encore plus. Elle commençait à crier de plaisir, de plus en plus fort.
Ma salope jouissait avec une autre queue que la mienne !
Je n’y tenais plus, et je sortis ma queue de mon pantalon, pour me branler le plus fort possible. Cela faisait longtemps que je n’avais pas bandé aussi dur ! Je découvrais que voir ma femme se faire baiser par un autre était une excitation folle pour moi…
Je le voyais aller et venir en elle, s'appliquant à lui donner le maximum de plaisir.
Il était très doué pour un si jeune homme, parvenant à faire jouir une femme mûre qui aurait largement pu être sa mère…
Puis, elle le repoussa et se mit à quatre pattes. Je compris très vite ce qu'elle souhaitait. Nico aussi d'ailleurs. Il lui caressa l'anus avec sa mouille et approcha sa verge près de son trou. Là aussi, elle le prit et le guida dans son cul. Habituée à cet exercice, elle l'enfonça en elle d'un seul coup, ce qui lui arracha un râle de plaisir…
C'était elle qui menait la danse. Sans doute que Nico n'était guère habitué à enculer une femme et je soupçonne même que c’était, la première fois.
Je n’y tenais plus, tant j’avais envie de la défoncer ! J’ouvrai la prote, qui grinça faiblement. Nicolas n’y prêta pas attention, mais mon épouse se tourna quand elle entendit de bruît familier. Elle exprime un intense étonnement, mais je lui intimais de se taire, un doigt sur mes lèvres. Je retirai mes vêtements en un tourne main, et entrai à pas de loup dans al chambre.
Je me glissai sous elle. Elle comprit et me sourit comme pour me remercier.
S’apercevant de ma présence, surpris et honteux, son jeune amant se retira le temps que j'empale Brigitte sur ma verge. La courbant au maximum sur moi, elle tendit son cul vers Nicolas qui, voyant que je n’étais pas en colère, l'encula de nouveau d'un coup, lui arrachant un nouveau cri de plaisir.
Sans nous concerter, nous sommes arrivés à coordonner nos coups de bites dans ma femme... Elle criait de plaisir, montant sans cesse ver s l’orgasme. La sarabande infernale dura de longues minutes, et tous trois jouîmes très fort et il était bien malin celui qui aurait pu dire qui de chacun des partenaires était le plus en extase tant l'intensité de l'acte allait grandissant...
J’avais joui, mais pas débandé... Je sortis du vagin de ma chérie, et j’allais lui présenter ma bire raide devant sa bouche. Sans hésiter, elle avala mon membre trempé de ses sécrétions, et me pompa avidement.
Nicolas s’était assis au bout du lit, et continuait de se branler devant nous…
Je me laissai aller dans sa bouche. Et tout en avalant avec gourmandise, elle me souriait.
Nicolas se branlait des plus en plus fort, et il jouit en expulsant un fort jet de foutre blanc… Ma femme le ramassa sur le drap pour l’avaler, tout en continuant à me sucer divinement… Je jouis enfin une seconde fois, inondant sa gorge de ma crème épaisse.
Epuisés, nous nous laissions tous tomber sur le lit.
Nicolas fut le premier à sortir de cette extase, alla se doucher et partit sans un mot, ne sachant sans doute pas quelle attitude adopter…
Brigitte et moi restâmes à nous câliner, nous caresser... Bien vite, l'envie remonta en moi.
Je la pénétrai et nous fîmes l'amour calmement, tout en lui disant à quel point j'aimais qu'elle soit aussi salope. Elle jouit de nouveau au moins deux fois avant que je ne me vide dans son vagin si accueillant.
Elle m'avoua par la suite que ce n'était pas la première fois qu'elle et Nicolas s'envoyaient en l'air. J'ai toujours su qu'elle était très attirée par les jeunes hommes mais jamais je n'aurais imaginé ce qui venait de se passer.
Elle m'a assuré qu'elle lui avait dit que dès qu'il aurait une amie régulière, elle cesserait de le voir ainsi.
Quant à nous trois, allons-nous recommencer?? A ce jour, je n'en sais rien.
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Céline : le retour du zoo
C'est toute retournée que Céline monte dans la navette qui la ramène chez elle, à une dizaine de kilomètres. Elle est encore toute troublée par la scène à laquelle elle a assisté au zoo : l'accouplement torride de deux gorilles.
Elle revoit la guenon se retourner, montrer les dents à son partenaire, comme pour se rebiffer, tandis qu'imperturbable, le mâle dominant continue à honorer sa femelle, balayant d'un revers de main, les jeunes gorilles qui gravitent autour d'eux.
Céline, belle étudiante de dix neuf ans, vêtue d'une jupette de tennis, d'un haut tendu par sa jeune poitrine libre de soutien-gorge, vient de vivre là, un épisode hallucinant. A tel point, qu'elle ressent une douce chaleur au creux de son ventre, et une légère humidité qui mouille sa culotte.
De peur de tacher sa jupe, elle la quitte, la met dans son sac, et s'essuie la chatte avec un kleenex. Elle est seule dans le bus.
Perdue dans ses pensées, elle ne remarque pas les trois jeunes, environ vingt-cinq ans, qui prennent place dans la navette. Trois jeunes qui, vu leurs états, fêtent quelque chose.
L'un d'eux prend la liberté de la rejoindre au fond du bus, et s'assied à côté d'elle.
« Bonjour, bégaie-t-il, je m'appelle Mathieu, le roi de la queue, hihihi... Et vous ? »
Céline fait mine de l'ignorer, mais devant l'insistance du jeune garçon, décide de lui répondre.
« Céline, dit-elle, je m'appelle Céline.
- La reine de la pine, répond-il, hihihi... oh, excusez moi... Je plaisantais.»
La jeune fille sourit, elle pense qu’elle aimerait bien l’être ce soir, la reine de la pine… Elle mouille de plus en plus à cette idée…
Mathieu se risque à passer un bras autour de son épaule. Céline n'est pas farouche, et n'oppose aucune résistance. Il se penche sur elle, jusqu'à frôler ses lèvres. Il pose une main à l'intérieur des cuisses, et remonte vers l'entre jambes. Vaguement honteuse, elle essaie de bloquer l'intruse, mais sans plus.
L'agréable flamme qui se consume entre ses cuisses, est de plus en plus vive. Tant et si bien qu'elle ne repousse pas les deux doigts qui rentrent en contact avec le fin duvet de son pubis. Mathieu en est tout surpris.
La scène du zoo défile dans la tête de Céline. Instinctivement, elle passe une jambe sur le genou du jeune homme, et écarte les cuisses à l'équerre, pour faciliter l'accès à son intimité. La fente est là, ouvert, humide. Elle prend Mathieu par la nuque pour appuyer le baiser. Les langues se nouent, se défient.
« Vas-y… chatte moi... C'est ça que tu veux ? » murmure-t-elle.
Sans attendre sa réponse, Céline tend son bassin vers les doigts vicieux, tout en caressant les attributs du jeune garçon, par-dessus le tissu du pantalon. Mathieu perd de sa superbe, surpris par l'aplomb de la jeune fille. Il reprend vite ses esprits, pour ne pas passer pour un con.
« Je me marie samedi prochain, dit-il. Un petit coup de queue pour enterrer ma vie de garçon, ce serait bien….
- Ben vas-y, dit-elle, tu ne sens pas comme je mouille ? Allez, quitte ça. Je suis à toi, baise-moi comme tu veux ! »
Mathieu trouve que la fille se donne un peu trop facilement, mais il ne se fait pas prier. Bientôt, il devra fidélité à sa jeune épouse… Céline, elle, n'y va pas par quatre chemins.
Sans se préoccuper des deux autres hommes dans le bus, elle se met toute nue, et se rassoie, jambes bien écartées.
« Vas-y, continue à me caresser... Bien sur mon bouton... Oui, là... Oh la, la belle queue, bien raide ! »
La main de Céline fait l'inventaire, d'abord les couilles, bien pleines, puis la queue qu'elle décalotte.
N'y tenant plus, Céline se tourne et se met à genoux sur le siège, la croupe bien cambrée. Une invitation pour se faire prendre en levrette. Mathieu se met en place, le gland contre la fente de la jeune étudiante.
C'est elle qui donne le dernier coup de reins, et se fait pénétrer dans un "hou" de plaisir. Mathieu peut commencer ses va et vient dans la chatte ainsi offerte.
« Ha, salaud... Tu me niques bien ! Branle-moi le clito...Et ta fiancée, tu y penses ? »
Céline sent la main qui glisse sous son ventre, entre ses cuisses, et qui doigte le bouton bien gonflé. Elle se cambre d'avantage pour recevoir la caresse, tout en serrant la bite qui la fouille à fond. Elle enfonce sa tête dans le haut du fauteuil pour étouffer ses cris de plaisir. Elle sent la queue qui se tend dans sa chatte, prête à éjaculer.
Elle se tourne, la saisit, et continue de la branler à deux centimètres de ses lèvres. Les jets de sperme déferlent dans sa gorge. Elle avale la bite, et la garde de longues secondes, pour que celle-ci ait tout le temps de se vider. Elle se retire la langue chargée de foutre. Elle parcourt la hampe avec ses lèvres, et gobe les testicules, l’un après l'autre.
« Terminus, dit le chauffeur, qui ne semble rien avoir vu…
Céline sursaute, et s'habille en vitesse.
- Mais.. On n’est pas à Saint Jean, s'inquiète-t-elle.
- Ah non, Mademoiselle, ce n’est pas la bonne ligne.
- Ben, répond Saïd, un jeune beur ami de Mathieu. C'est la dernière station. On est garé sur le parking. Un petit quart d’heure de repos, et on vous ramène si vous voulez, n'est-ce pas Sylvain ?
- Pas de problème, répond le troisième larron, si la demoiselle est d'accord. »
Céline n'a pas le choix. Elle accepte volontiers la proposition des trois fêtards. Elle les suit jusqu'à un magnifique van noir, à l'intérieur cossu, au sol jonché d'épais tapis, et de poufs. Une vraie garçonnière. Elle se demande si elle n’est pas tombée dans un traquenard. Les deux autres compères ont du les mater dans le bus…
Mais la baise express dans le bus n’a pas calmé ses ardeurs. Elle a encore envie d’être prise à fond, par tous ses orifices… Sylvain passe derrière elle, et fait passer le petit haut par dessus la tête, mettant à nu les superbes seins de l'étudiante. Saïd, lui, fait glisser
la jupette. En voyant le décor, Céline se doutait bien qu'il allait se passer quelque chose, mieux, elle l'espérait.
En moins d'une minute, les trois copains sont en tenue d'Adam. Céline est vite excitée par cette vue des hommes nus, la bite bien dure, et dressée vers le plafond. En un tournemain, elle se déshabille, et se retrouve nue au milieu des trois mâles affamés. Ils glissent tout les quatre sur le sol. Céline se retrouve écartelée par les jeunes garçons avides de sexe. Elle est allongée sur les tapis, les cuisses ouvertes, laissant apparaitre un vagin rouge de désir. Elle met se mains au-dessus de sa tête. Ainsi, elle est totalement offerte aux délires des hommes. Mathieu récupère la mouille dans la chatte de Céline, qui pousse des gémissements de plaisir. Il en barbouille le petit trou, mais aussi le gland entièrement décalotté de Saïd. Celui-ci s'avance, et d’un coup de main autoritaire, la fait se retourner, les fesses en l’air, la rosette ouverte, prête à l’assaut qu’elle attend depuis un moment déjà. Il la pénètre d’un élan puissant, allant cogner le fond de ses entrailles.
« Ha, il m'encule le beur ! Le salaud, comme il est monté... Ha !!! »
Mathieu fait la même opération avec le pieu en érection de Sylvain. Bite qui se trouve contre les lèvres de la jeune fille. Il imbibe son chibre de mouille.
« Fais-la lui gouter, sourit Mathieu. On le fait bien, nous. »
Céline ouvre grand la bouche, et engloutit la queue de Sylvain.
« Hum, hum… Tu veux que je te taille une pipe, c'est çà ? »
Mathieu ne reste pas inactif. Il s'occupe personnellement de la chatte de Céline. Il excite le clitoris entièrement sorti du capuchon, et le doigte. Quelle ingénieuse idée la nature a eu de doter la femme de trois orifices ! Les quatre partouzeurs ne s’en plaignent pas.
Mathieu se couche sous la jeune enculée, et gobe le clito dur. Il en profite pour lécher la bonne queue qui la défonce allègrement.
Sylvain accélère ses va et vient de branle dans la bouche de Céline, tout comme Saïd accélère les siens entre ses reins.
Le corps de la jeune étudiante se cambre, se tord comme un ver. Les mots qu'elle arrive à sortir sont inaudibles.
Elle se lâche dans un puissant orgasme. Les cris de plaisir résonnent dans la van. Céline reçoit les coups de queues des trois garçons, bien décidés à se vider les couilles. Céline revoie la guenon se faire prendre sur le rocher, mais elle fait pire, elle s'offre corps et âme à des inconnus. Elle n’est plus qu’un vulgaire trou à bites, où le sperme coule de partout…
En fait, le quart d'heure de repos dure toute la nuit. Céline en redemande. Et elle ne va pas être déçue. Elle va hurler de plaisir, se faire niquer, enculer, elle va tailler des pipes, bref, faire le plein du foutre qu’elle aime tant…
Après plusieurs heures de luxure intensive, Sylvain sort une bombonne d'eau du coffre, pour que tout ce petit monde puisse se rincer. Puis, ils s'assoupissent, leurs corps repus de sexe emmêlés.
Deux heures plus tard, Sylvain et Mathieu sont réveillés par une respiration haletante. C'est Céline qui est empalée sur l'énorme bite de Saïd. Il lui caresse les seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts.
« Salaud, quel amant ! Tu es increvable toi ! Ca fait combien de fois que tu me tronches depuis hier soir ? Mais c’est tellement bon ! Vas-y, défonce moi la chatte !!! »
Il est neuf heures du matin quand les trois copains déposent Céline devant son studio.
Aujourd'hui, c'est le mariage de Mathieu.
« Tout les invités sont là ? demande Mathieu à sa future épouse.
- Il ne manque plus que mon frère, répond-elle. Il va enfin nous présenter sa copine. Tiens, justement, les voilà. »
Mathieu se retourne, et reste scotché.
« Non...c'est pas vrai...ce n’est pas elle !!! »
Les nouveaux venus s'avancent vers les mariés. La jeune fille arbore un large sourire, et lance un clin d'œil à Mathieu.
« Je vous présente Céline… »
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Samedi soir à la plage
Samedi soir, vingt-trois heures, rues de Cayenne.
Nous faisons une balade en voiture, avec mon chéri, Fritz, après un diner romantique au restaurant. Nous passons devant quelques bars, et là, je lui dis :
« stoooooooooooop ! »
Il stoppe aussitôt et m’interroge du regard.
« Tu n’as pas vu le mec, sur la terrasse ? Il est comme j’aime !
- Non, mais si tu veux, on va prendre un verre…
- Oui, avec plaisir. Tu iras le chercher pour moi ?
- Tout ce que tu veux, ma chérie… »
D’un seul coup, la soirée vient de prendre une tournure nouvelle.
Nous nous garons, et nous installons à la terrasse, à deux tables du jeune homme. Décidément, il me plait : un beau black, crane rasé, des bras fermes et musclés comme je les aime. Il est uniquement avec des amis masculins. C’est bon signe, pas de petite amie jalouse pour l’empêcher de venir… A moins qu’il ne soit gay. Ce qui n’arrangerait pas mes affaires ! Mais je vais être vite fixée.
Firtz se lève et se dirige vers lui. Je n‘entends pas leur conversation, à cause du bruit de la rue. Mais je la devine aisément. Le jeune homme a l’air tout à fait incrédule, mais me regarde avec un sourire. Un nouveau bon point !
Et il avance vers moi :
« Bonsoir Madame, est-ce que votre mari dit vrai ?
- C’est à dire, repondis-je, voulant faire durer le plaisir…
- Ben, il me dit que... enfin, que vous... bon vous voyez ce que je veux dire ?
-Oui… lui souriai-je, amusée de son embarras. Je voudrais bien te connaitre de façon plus intime !
- Ah bon, mais pourquoi ? On ne se connait pas !
- Justement, c’est l’occasion. Je t’ai vu, tu m’as plu, on vient te parler !
- Ok, mais vous attendez quoi de moi ?
- Je voudrai que tu me fasses l’amour devant mon mari. Rassure-toi, il ne te touchera pas !
- ….
- Tu ne dis rien ? »
Il est vraiment interloqué, ne sachant si je suis sérieuse, ou si je me moque de lui. Il regarde Fritz, qui approuve :
« Oui, je veux que tu baises ma femme devant moi. Elle adore ça, et moi aussi. Nous sommes très très sérieux. Et si tu es d’accord, on y va dès maintenant.
- En fait, je ne sais pas, je ne suis pas habitué à ça. Vous êtes une belle femme. J’aimerai prendre une blanche…
- Eh bien, allons-y ! Tu n’as rien à perdre !
- Ok, je vous suis, ma voiture est là-bas. Au fait, moi, c’est Driss.
- Enchantée. Moi c’est Sophie et mon mari, Fritz. »
Nous finissons nos verres en vitesse, le temps qu’il parle à ses amis. Ils ont l’air aussi stupéfaits que lui quelques minutes avant. Ils lui donnent une grande claque sur le dos comme pour l’encourager. Cela me fait sourire…
Nous remontons en voiture, et l’attendons. Il nous fait un appel de phares. Nous démarrons en direction de la plage. L’endroit idéal est près des Salines, même s’il y a souvent des homos qui cherchent l’aventure.
Après quinze minutes de route, où nous discutons des détails de ce qu’il va se passer, nous arrivons enfin.
Fritz sort du coffre une grande couverture, et je le vois glisser un paquet de capotes dans sa poche.
Driss s’approche de nous, un peu intimidé :
« Vous savez, on ne m’a jamais fait une telle offre ! Il n’y a pas de piège ?
- Mais non, lui répondis-je, amusée. Je veux juste que tu me fasses l’amour devant mon mari. Il aime me voir jouir, et j’aime voir ses yeux me dévorer de désir quand je suis avec un autre. Tu dois juste faire comme s’il n’était pas là !
-Ok, mais je ne sais pas si… »
Je lui cloue le bec avec un baiser. Je l’attrape par la main, et me dirige vers le sable. Fritz étend la couverture sous des palétuviers, un peu à l’abri des éventuels regards. Nous nous laissons tomber dessus, Mon chéri un peu en retrait. Je continue d’embrasser ma proie de ce soir, en ne lâchant pas mon homme des yeux.
Il s’enhardit, et commence à me caresser les seins. Je frémis sous sa grande main puissante. Il me malaxe comme si j’étais de la terre glaise. J’adooooooooooore !
Sans perdre de temps, il descend une main vers mon bas-ventre, se glissant dans l’élastique de ma jupe ample.
D’un geste expert, il écarte le coté de mon string, et pousse un petit soupir :
« Mhumm C’est bien humide tout ça… J’en boirais bien un peu…
-Mais vas-y, je ne demande que ça…
-Je vais te boire jusqu’à la dernière goutte. Enfin, si ton homme veut toujours… »
Il a un regard encore u peu inquiet vers Fritz.
Celui-ci l’encourage :
« T’en fais pas, je monte la garde ! Fais tout ce qu’elle veut ! »
Je m’allonge sur la couverture, admirant au passage un ciel superbe, avec une lune qui nous éclaire comme en plein jour…
Driss retrousse ma jupe, et se penche, pour me faire retirer mon string. Il se recule, et m voilà allongée sur le sable, éclairée par cette lune, les jambes écartées, offerte aux regards des deux hommes, visiblement « en forme ». Une belle bosse fort prometteuse déforme le Jean de Driss... Je suis de plus en plus excitée…
Enfin, il se couche entre mes cuisses, et pointe une langue ferme sur le coté de mon clito. Je sursaute, tant la décharge électrique qui me parcourt est puissante… il continue sa caresse, commence à passer sa langue dans tous mes recoins intimes..
« Nooooooooooon, je ne veux pas jouir tout de suite », me dis-je, déjà au bord de l’explosion…
Dans ce genre de situation, il m’arrive de jouir une première fois très vite, bien trop vite à mon gout !!!
Mon chéri s’approche de nous, s’assoit près de moi. Il m’embrasse fougueusement, les yeux rivés sur la bouche qui me fouille. Il encourage le jeune homme :
« Vas-y mon vieux, mange-là partout, ouvre-là pour aller bien profond… »
Pour l’aider, il glisse deux doigts dans ma chatte, et écarte les petites lèvres bien grand. Driss en profite pour enfourner sa langue encore plus loin. De son autre main Frit commence à me branler le clito. Il ne m’en faut pas plus pour hurler de plaisir. J’explose en criant… Peu importe s’il y a du monde !!!
Driss semble surpris par l’ampleur de mon orgasme… Fritz lui fait signe de continuer, et le jeune homme fourrage de plus belle dans ma grotte détrempée. Il lape ma mouille comme un chiot son lait. Il ne m’en faut pas plus pour jouir encore. Je sens mes deux hommes stopper net, l’oreille aux aguets. En effet, des bruissements de feuilles se font entendre… Et deux silhouettes masculines se découpent sur le ciel clair.
« Eh ben, on s’ennuie pas ici !!!
- Si vous voulez mater, vous pouvez rester. Sinon dégagez, leur intime Fritz.
-Vrai, on peut mater la cochonne ?
- Un peu de respect, s’il te plait, gronde mon chéri. Vous pouvez rester, mais pas touche, et pas d’insultes !
- Ok, on, on regarde… » murmure l’autre.
Ils se reprochent un peu. Je vois un qui déjà masse sa braguette. Décidément, ce soir, c’est ma fête !! Deux hommes pour moi, plus deux voyeurs !!! Je suis comblée !
Je m’adresse à Driss :
« Eh, viens-donc un peu par là… je veux voir cette belle bite que tu caches…
- Tout ce que ut veux, ma belle. Tu as envie de me sucer ?
- Ca dépendra de ce que je verrai ! lui repondis-je en riant.
- Voilà… »
Le temps de se rapprocher de mon visage, il a sorti son engin de son jean. Une belle queue noire, brillante de son excitation… il bande comme un turc, le gland touchant son nombril.
« Whoua, le mec, quelle bite ! s’exclame un des voyeurs. Dis, tu veux aussi voir la mienne ?
- Vas-y, sors-là, j’aime voir des grosses queues de blacks. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, je vois jaillir deux pieux massifs, l’un plus court que l’autre, mais plus large. Je me pince les seins tant je suis excitée par cette vue. Mon homme ne veut pas être en reste, et sort la sienne. Me voilà cernée par quatre superbes organes virils, dressés et dur comme l’acier... Quel régal !
Les deux voyeurs entament une lente masturbation à un mètre de moi, pendant que je me saisis du pieu massif de Driss. Il doit bien faire dans les vingt-deux ou vingt-trois centimètres. J’en fais à peine le tour avec mes doigts !
Je le branle avec douceur, puis de plus en plus fort. Il s’approche plus de moi, et je peux enfin gouter ce gland rose foncé et massif... Ma petite bouche ne peut qu’avaler cette grosse partie. Il est trop gros pour moi !!!
Du coup, je fais aller et venir ma langue le long de la hampe raide, gobant les couilles massives au passage… je tourne ma langue tout autour de ce dard de légende.
Les mateurs m’encouragent de la voix, et je vois du coin de l’œil qu’ils s’astiquent de plus en plus vite. Mon homme se glisse entre mes cuisses, et me dévore sauvagement. Je jouis encore, sous sa langue experte, une belle bite dans la bouche, et deux autres tout près de moi…
Ce soir, le paradis existe !
Je me laisse aller, pantelante, mais pas encore rassasiée. Il me manque ce bel engin tout au fond de moi…
Fritz a compris, et sort de sa poche quelques capotes. Driss s’est retiré doucement, il est assis à coté de moi, jouant avec mes tétions... Cela suffit à m’électriser encore plus. Je le vois saisir le capuchon offert, et l’enfiler prestement. Visiblement, il a m’habitude, le bougre !
Les voyeurs s’agitent :
« Baise là en levrette, cette garce, qu’on voit bien son cul !
- Arrêtez de parler comme ça de ma femme, s’insurge mon homme.
- Laisse-les, tu sais que ca m’excite, dis-je doucement à mon chéri.
- Driss, ouvre ton chemin en missionnaire, demandai-je à mon amant du soir. Gros comme tu es, il vaut mieux que tu me dilates en douceur… »
Il obéit, et vient se positionner entre me jambes ; Je les relève pour les accrocher à sa taille. Il avance et me tire vers lui. Je sens son gland massif à l’entrée de mon abricot trempé. Le temps est suspendu, même les mateurs se sont tus, comme avant un assaut généralisé…
Et lentement, comme dans un film au ralenti, il pousse, force l’entrée de mon intimé… Je sens ce formidable engin qui prend possession de moi. Sans heurts, avec délicatesse, il s’insinue en moi, me remplit, m’habite totalement. Il continue de pousser, et mon vagin se dilate sans fin pour absorber ce pieu massif.
Il bute au fond, enfonçant ma matrice. Ca y est, je suis pleine…
Il me dit en souriant :
« Ca va ma belle ? Tu sais qu’il en reste pas mal dehors ?
- Ah bon ? Pourtant, je suis bien remplie, là...
- Donne ta main, tu vas voir… »
Je redresse un peu mon bute, pour attraper sa bite. En effet, avec quatre doigts, j’entoure le braquemart. Il dit vrai, il reste presque dix centimètres dehors !
Alors, il entame de longs va et viens, lents et forts, pour s’enfoncer davantage dans mes chairs intimes… Rarement, j’ai été aussi dilatée, envahie, par un sexe mâle ! J’ai l’impression d’être fistée…
Je souffle de plus en plus fort, j’halète en rythme. Quand vraiment il ne peut aller plus loin, il se retire, et me fait mettre en levrette. Je suis bien comme ça, le cul en l’air, offert, impudique, la chatte hyper dilatée, indécente au possible…. Les deux mecs s’en mettent plein les yeux. Ils ont repris leurs branlettes avec ardeur.
Fritz vient se mettre plus près de nous, et commence à caresser mon clito. J’adore ! Il va me caresser pendant la pénétration… !
Driss et à genoux derrière moi. A nouveau, son gland est bien posé sur mes lèvres gonflées de désir.. Et il pousse, plus fort que tout à l’heure, à tel point qu’il manque de me faire tomber an avant. Je me redresse bien sur mes bras, me cambre au maximum.
Fritz continue de me caresser mon clito en feu.
Et la « guerre » commence. Driss amorce des allers et retours de plus en plus puissants, de plus en plus loin. Je sens ce mandrin envahir tout mon ventre. Je ne suis plus qu’un sexe, avalant un autre sexe. Il me possède, au sens propre du terme.
Driss va de plus en plus vite, ses cuisses claquent contre les miennes, ses énormes couilles frottent contre mon clito, quand mon homme reitre un peu sa main… Je lutte, je bouge mon bassin pour avaler ce pieu hors-normes, pour le faire pénétrer encore plus loin….
Un cri déchire la nuit. Un des deux voyeurs s’’exclame :
« Whouaaaaaaaaaa !!! La salope, elle a pris la bite en entier ! »
Mon mari se penche ver mon oreille, et me murmure :
« Mon amour, tu es bien, tu la sens, cette grosse bite ? Si tu savais comme tu es belle ainsi…
-Ou… ouiii, je le sens, hoquetai-je entre deux assauts. Il me remplit comme rarement je l’ai été…
-Vas-y ma chérie, fais-toi plaisir, jouis et moi, je te regarde jouir…
- BAISE-MOI ! » criai-je à Driss.
Surpris par mon cri, il accentue se mouvements, et me besogne à fond. Je sens cet engin quasiment m’ouvrir en deux.
Les deux voyeurs nous encouragent de la voix. Et l’un deux, se lâche, jouissant en râlant. Je vois le sperme blanc nacré s’étaler mollement sur le sable. Ca m’excite encore plus, je veux voir l’autre cracher son jus.
« Giiiiiicle, je veux te voir gicler, lui dis-je en criant.
- Ca va venir, ma belle, tu vas me voir juter ! »
Il a à peine fini ses mots qu’il crache un giclée juste à coté de moi. Son foutre est rapidement absorbé par le sable tiède.
Du coup, j’accompagne avec encore plus de vigueur les mouvements de mon baiseur. Et je le sens qui vient, qui approche : l’Orgasme…
Une grande vague me secoue, m’agite, me tord, et du plus profond de mes tripes, il arrive, et me dévaste. Je hurle comme une damnée, je ne retiens pas mes cris, mon plaisir immense. Driss semble être surpris et marque un temps d’arrêt. Fritz lui fait signe de continuer. Alors, il reprend, et accélère, me secouant comme une bouteille d’Orangina. Je le sens durcir encore, et les spasmes de sa bite m’indiquent qu’il va jouir aussi sous peu.
En effet, il crie lui aussi, à gorge déployée, en même temps que je sens au travers du latex un flux tiède qui gonfle, gonfle... Il se retire vivement, juste assez vite pour que je vois son foutre déborder de la capote…
Il tombe assis, visiblement aussi épuisé que moi. Après quelques secondes, il me dit doucement :
« Eh bien, t’es sacrement bonne, toi… on recommence quand tu veux !
- On verra, mais là, c’est tout pour ce soir… »
Pendant quelques minutes, nous échangeons des banalités, avant de repartir chacun de notre coté.
En rentrant, mon homme m’a fait l’amour avec une intensité décuplée…
Bon sang, que c’est bon d’avoir un mari candauliste !!!
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Magnifique histoire très excitante