Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les Incestueuses - le Secret
Les incestueuses : le secret
j’ignorais totalement les relations incestueuses qui unissaient mon épouse et sa mère. Jusqu’à ce jour où, fortuitement, je les surpris dans notre chambre, nues toutes les deux sur notre lit, ne portant que leurs bas et porte-jarretelles. Vous imaginerez ma surprise...
D’abord interloqué, choqué, puis charmé à la vue de leurs deux corps si savamment enlacés. Elles ne me virent pas tout de suite, tant elles étaient occupées à se bien mignoter. Je restai sur le pas de la porte, à la fois surpris, dépité, intrigué et contemplatif.
La vue de ces deux femmes bellement épousées, ayant le même sang et se livrant à des caresses l’on ne peut plus précises, me troubla profondément. J’allais refermer la porte pour m’éloigner et reprendre mes esprits, quand elles sentirent ma présence et se tournèrent vers moi, peu gênées et me firent signe d’approcher et de m’asseoir sur le bord du lit.
Qu’allaient-elles me dire pour essayer d’expliquer leurs mœurs pour le moins libres et encore plus surprenantes, pour le mari comme pour le gendre que j’étais ?!
Elles étaient belles, bien coiffées en dépit de quelques mèches dérangées au cours de leurs ébats, parfumées, la peau douce et satinée, si bcbg, bourgeoises jusqu’au bout des ongles qui étaient d’ailleurs bien, manucurés, comme elles se ressemblaient, le visage, les traits, les yeux, les cheveux, les lèvres, les attitudes, je pensais :
« deux démons de chair en vérité ! »
Ma femme voulut me prendre dans ses bras, je reculai, j’étais à la fois déjà, surpris de tels agissements et surtout de ne pas en avoir été informé par ma femme. Depuis combien de temps cela durait-il ? Je ne me sentais pas trompé, non, mais qu’on ne m’en ait rien dit, m’apparaissait comme une trahison, je me dis qu’il était certes très difficile d’avouer un tel secret à son mari et trouvai une excuse à mon épouse. J’étais inquiet, mais malgré tout intrigué et curieux de ce qu’elles allaient pouvoir m’avouer, maintenant que j’avais tout vu, quelles explications pourraient-elles ou consentiraient-elles à me fournir ?
Mon épouse parla la première :
« eh bien, oui, mon chéri, maman et moi sommes amoureuses et depuis longtemps, c’est notre secret, notre « jardin secret », celui où l’on aime à se promener toutes les deux, main dans la main, cœur à cœur et corps à corps, comme deux amantes, voilà... Cela ne change en rien mon amour pour toi et mes élans, mais je suis très attachée à cette relation que tu jugeras sans doute scandaleuse, mais qui nous lie très intimement ! »
Je regardai ma belle-maman qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa fine poitrine encore ferme, petits seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc terminé par une merveilleuse toison brune fournie, un bel as de pique en vérité! Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :
« oui, mon bon gendre, vous ne l’auriez sans doute jamais su, si vous ne nous aviez pas surprises ainsi dans nos folies que nous entretenons depuis ses dix-huit ans, ma fille et moi, cela n'entravant en rien le bon déroulement de votre couple, vous avez pu le constater, depuis vos vingt ans de mariage... Nous nous aimons, c’est vrai, nous sommes liées, un amour coupable, certes, mais inaliénable, indestructible, dont nous avons besoin l’une comme l’autre... »
J’étais abasourdi et ne savais que dire, elles essayèrent, l’une et l’autre de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elles, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’elle finissait par me troubler, belle-maman reprit :
« mon cher gendre, ne pouvons-nous pas partager avec vous notre amour commun ? Ma fille est ma maîtresse comme elle est votre femme, je suis veuve et ma passion pour elle s’est accrue depuis la mort de son père, je la désire, je l’aime, j’aime faire l’amour avec elle, entre femmes, dans le secret, la complicité, comprenez-vous ? »
Ma femme réfléchissait, silencieuse, une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse, allaient-elles ainsi me troubler au point de me faire comprendre, admettre et accepter l’idée d’un « ménage à trois » dans la licence la plus complète ?
Mon épouse m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Ma belle-mère me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche en murmurant :
« depuis le temps que j’en avais envie, mon gendre ! »
Nous rîmes tous les trois. Elles se levèrent et se rhabillèrent, lentement, en gestes décomposés, érotiques à souhait ! Je sentais tous mes sangs battre dans mes artères. Ce deux femmes étaient en train de m’associer petit à petit à leur duo par leurs attitudes et leurs propos, elles m’attiraient entre leurs bras et voulaient me faire sombrer et me faire partager leurs « vices » intimes, sans que je n’aie pu même dire un seul mot, les silences de la chair sont parfois plus éloquents et convaincants que les mots les plus forts. La chair parle, les désirs aussi, l’autre vibre sans le vouloir et fait preuve de faiblesse contre laquelle au début, silencieux, il se débat et puis, il crie, repousse les envies et cependant, il sombre, je sombrai.
Nous gagnâmes le salon et « mes » deux femmes me servirent du champagne. Pour arroser quoi ? Leur succès ? Ma défaite ? Ma faiblesse qu’elles avaient devinée ? Ne semblaient-elles même pas un peu soulagées de savoir que maintenant, je savais ? !
« voilà ce à quoi nous avons pensé avec maman, dit ma femme d’une voix basse. Si tu ne pouvais admettre cet amour qui me lie à maman, nous serions malheureux, toi et moi et si je voulais rompre ces sentiments et élans charnels avec maman, elle serait malheureuse, alors, pourquoi ne serions-nous pas heureux de temps en temps, à trois, et ne formerions-nous pas un trio de qualité, harmonieux, épanoui, partageant nos désirs dans la plus stricte intimité et le secret le plus absolu ?! Un secret entre nous trois et que nous garderions jusqu’à notre mort ?! Après tout, nous n’aurions que du plaisir, nous donnerions du piment à notre couple, maman serait comblée et toi, mon amour, tu aurais tes deux petites femmes prêtes à t’aimer, partageant tous les plaisirs les plus fous ! Qu’en dis-tu ? »
Elle disait cela avec un tel aplomb que j’en étais désarmé, le sceau du secret coulait ainsi de toute sa cire rouge, ardente sur l’enveloppe de nos vies, la scellant jusqu’à la tombe. C’était ainsi.
« allez, trinquons à notre « ménage à trois », mon chéri et vivons heureux et cachés, bien cachés ! »
Je heurtai ma flûte de champagne à la leur et pris une gorgée fraîche et pétillante qui me fit du bien, ma femme m’embrassa, belle-maman aussi et... Sur la bouche... Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles, mais révélateurs d’une libido qui ne demandait qu’à être libérée... Je me mis à lutiner ma belle-mère qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux insanes en son bougre de gendre, ma femme nous contemplait, visiblement émoustillée et se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent et prolongé. Notre immoralité se scellait. Le pêché, l’envie, le désir, la recherche de l’inavouable, voilà à présent ce qui nous guidait tous les trois.
Nous dinâmes d’un bon appétit et décidâmes, pour notre première nuit à trois, d’être très coquins, voire salaces et débridés dans nos amours secrètes certes, mais au demeurant on ne peut plus libérées.
Nous gagnâmes la chambre et je demandai à mes deux femmes de ne point quitter leurs bas et porte-jarretelles, car cela m’excitait toujours et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elles ne surent point me refuser un tel plaisir : elles revinrent du cabinet de toilette fraîches, parfumées, épanouies, souriantes et plus séduisantes que jamais ; mari et gendre se voyaient ainsi comblés.
Elles aimaient le 69, m’avouèrent-elles en catimini, une pratique qu’elles avaient adopté depuis le tout début de leurs relations incestueuses et s’y adonnaient en cachette souvent et à mon insu... Bien sûr, jusqu’à ce soir,
Comme elles étaient belles ainsi, mère et fille tête-bêche, splendidement disposées, bas tendus et jarretelles tirées ! Ma belle-maman avait l’habitude de porter des bas gris-bleu du plus bel effet, et je découvris des jarretelles blanches qui soulignaient la belle soie bleue de ses bas ; le fin porte-jarretelles enserrait divinement sa mince taille de « jeune fille » encadrant ventre, reins pour descendre érotiquement jusqu’à la lisière brodée des bas, le tout était superbe et très excitant.
La mère, en sens inverse sur ma femme, me laissait voir un joli cul rebondi et ferme en tout point semblable à celui de celle-ci, laquelle par en dessous était bien occupée à gougnotter le beau sexe fourni de sa maman, dont les cuisses légèrement écartées, genoux bien calés sur les draps et le matelas moelleux, voyaient courir les mains de ma femme aux ongles carminés au long des jarretelles bien tendues, je ne pus m’empêcher de branler mon cher vitin et, pour la première fois, profitai de la vue du beau cul de ma belle-mère pour faire monter mon lait en ma trique au comble de l’érection !
C’est qu’elles m’excitaient mes deux tribades, quels partages, quels échanges allions-nous avoir en cette chambre close et feutrée où, en sourdine, jouait mozart, compositeur préféré de ma dive belle-maman…
J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de ma belle-mère ; parfois en jupes courtes ; mais là, j’étais réellement gâté et je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne quittant plus des yeux ces deux disciples de lesbos en pleine parenté.
Mes deux charmantes gouses aimées se dévoraient la chatte, appliquées, geignant parfois faiblement selon qu’une lèche se faisait plus appuyée sur les coralliens et fins satins tièdes tout offerts à ces langues effrénées…
J’allais décharger… je m’approchai de ma belle-mère et me collai à son cul, disposant ma verge verticalement, coincée dans le fossé ombreux de ses jolies fesses, mes couilles bien au chaud sur leurs rondeurs abricotières…
Comme elles étaient chaudes et douces ses fesses ! Je succombai. Je me mis à bander sur le cul de ma belle-mère, quiconque nous eut vus, n’eût décidément plus eu aucune illusion ou doute sur la nature de nos relations ! Ma femme, par en dessous, commença à me pelotiner les couilles, tout en continuant à lécher profondément le corail de la chatte de sa maman, écartant les belles lèvres boudeuses et roses pour mieux encore introduire sa langue folâtre et pointue dans le large sexe sous sa si belle et touffue toison, je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans le fossé culin, l'œil dilaté de mon prépuce semblant me faire un clin d'œil complice quant à mes agissements.
L’arc bandé de ma chair frottait délicatement ses soies à celles du cul de belle-maman qui balançait à présent son derrière au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche des magnifiques fesses, les bas crissaient en douceur, faisant une petite musique érotique. Les doigts de mon épouse grattaient délicatement mes bourses, allaient et venaient dans la raie de mes fesses, titillant par instant mon anus d’une effrontée façon que je connaissais bien,
Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce cul superbement rond, douillet, coquin, frotteur, n’attendant que mon bon plaisir, je n’y tins plus et donnai ma bite à sucer et à humecter un peu plus à la bouche de ma femme qui engoula mon prépuce, le couvrit de salive, le pulpina de ses lèvres gourmandes et le pointa d’elle-même en la chatte de sa mère, une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma ver g e, se répandit sur mes couilles que ma femme pelotait toujours.
Je poussai et entrai majestueusement dans le beau con ouvert de ma belle-mère, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de sa fille qu’elle était en train de gouliner de plus belle, langue enfoncée au plus profond de la vulve qu’elle maintenait écartée de ses doigts. Là, je forniquai bellement, avec douceur, prenant mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu qui m’échoyait...
Je fus vite au fond du merveilleux sexe, mes couilles frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ; je sentais la langue pointue et ardente de mon épouse picotant mes couilles et l’arc de mon vit, tout en lutinant les lèvres intimes distendues de sa mère… celle-ci sans doute stimulée accéléra ses coups de langue dans le beau con de mon épouse qui arqua les reins, ouvrit un peu plus les cuisses, se donnant toute à la lesbienne caresse de sa maman.
Je déchargeai abondamment dans le divin con, planté dans son humidité; je sentis la langue de ma femme lécher lentement la cyprine et le foutre qui perlaient entre ma queue et les lèvres intimes de sa mère, elles jouirent toutes les deux, les mains de ma belle-mère glissées sous les fesses de Françoise étreignaient fiévreusement son cul, le pinçant, le faisant se lever, la chatte complètement engoulée par jeanne, ma belle-maman, je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte, je terminai en donnant une vigoureuse et mâle claque sur chacune des belles fesses, lesquelles se cabrèrent, les jarretelles se tendirent, les bas crissèrent, mes deux lesbiennes se séparèrent.
Je me promis de prendre cette jolie femme mature en cul à la première nouvelle occasion ; elle devait avoir un cul profond, chaud, aux abysses qui me feraient connaître une jouissance sans pareil.
Ma belle-mère avait quelques cinquante-cinq ans, bien conservée, toujours impeccablement habillée, soignée de la tête aux pieds, elle faisait bien cinq ans de moins, distinguée, allure noble, port haut, imposant.
Jeanne reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux :
« Alors, mon gendre chéri, comment avez-vous trouvé ma petite « minoune » ? (Françoise me souffla : « ne sois pas surpris, elle appelle son sexe ainsi ! »), je répondis par un baiser sur les lèvres chaudes de ma belle-maman, la serrant contre moi et dis :
« Délicieuse, absolument délicieuse, ma chère jeanne -vous permettez que je vous appelle ainsi- maintenant que nous sommes intimes, n’est-ce pas ?! »
Elle me serra contre elle, je rebandais, elle dit :
« Quel plaisir nous allons avoir tous les trois, mes doux chéris ! » et elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la fella lentement, se gorgeant de mon foutre retenu sous la peau et la veine de mon prépuce, la licha, la branla, la fit danser entre ses doigts, ardente, vicieuse, sensuelle à souhait en faisant tinter joyeusement la gourmette à son poignet dans la branle soutenue qu’elle imprimait à ma queue !
Elle dit :
« Ma chérie, quelle queue il a ton mari, tu ne m’avais pas dit cela, petite cachottière ! Tu voulais la garder pour toi, eh bien, ma chère, maintenant, c’est terminé, nous partageons ! » Et elle rit, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses petits seins…
J’avais encore envie de la baiser… étendu entre mes deux « maîtresses », celles-ci s’employaient à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), s’embrassant sur la bouche, se faisant des « langouillettes » des plus cochonnes et marmonnant des bribes de mots osés :
« Oh, que c’est bon, ma chérie, embrasse-moi encore comme cela, tu m’excites, mets ta langue, ma fille débauchée…. Ouuuuhhhh…. Vvvouiiiiiâ ! » et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre leurs mains…
Je suçai les seins de ma belle-mère, tétant goulument ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée, jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins, tandis que sa fille, elle, c’était le clitoris, à peine un frôlement et le clitounet se dressait, même à travers le slip et la robe ou le pantalon quand nous dansions ou nous enlacions amoureusement…
J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je me devais maintenant de prendre ma femme, dont le désir se faisait sentir, excitée qu’elle était par notre nouvelle relation avec sa mère et voulant en quelque sorte s’exhiber devant celle-ci, lui donner du plaisir par la vue de nos deux corps unis devant elle. Françoise se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés…
Sa mère, à nos côtés se masturbait, ne nous quittant pas des yeux et disant des :
« Oh, mes chéris, ouiiii, c’est bon de vous voir, allez-yyyyy, quelle belle branle je faiiiiisss, vous me rendez folle ! ».
De fait, je déchargeai assez rapidement en Françoise qui criait, haletait, caressant d’une main les petits seins tout agités de sa chère maman, je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond ma compagne, mes mains sur son cul pour mieux la retenir collée contre moi, jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts dans le con, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant, qu’il était bon de contempler cette femme mère, belle, coquine à souhait, là, au creux de notre lit conjugal, se donnant du plaisir sans retenue, sous nos yeux, dépourvue de pudeur, comme il était bon d’être tous les trois à présent réunis, soudés, partageant notre secret, notre grand secret !
Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de ma femme qui recommençait à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis que sa mère ayant joui à plusieurs reprises à nos côtés, se mit sur mes fesses, les épousant pleinement de son con écrasé contre mon fossé; mon anus sentait la chaleur de la vulve poilue, ma belle-mère s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je baisais sa fille, elle murmura en haletant :
« Baisez bien ma petite salope, allez, plus vite, mon gendre chéri, mettez-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis fooollle de votre baaaiiiise, mes amours ! »
Je déchargeai en Françoise qui releva les jambes et nous étreignit tous deux, nous étions soudés, terriblement vicieux, fous de sexe et d’inceste. Je sentis la cyprine de jeanne couler doucement en mon fossé, mon anus imprégné de ce beau jus intime que cette dive femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager, ma belle-maman se dégagea et se pencha sur mon cul pour en licher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, mon anus fut lichée belle façon, mon fossé nettoyé, sa langue insistant perversement, pointue, dansante, chercheuse...comme elle léchait bien, la belle glacière mature !!
Ma belle-mère délaissa mon cul et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de sa fille, laquelle recouvrait peu à peu ses esprits après notre coït, allongée sur le dos, seins dressés aux belles aréoles rose-brun. Elles se tournèrent l’une vers l’autre et s’étreignirent coquinement en s’embrassant tendrement. Je vins tout contre les jolies fesses de jeanne, les épousai étroitement, passant mon bras autour de la taille de mes deux femmes, nous étions délicieusement bien ainsi. Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé culin si doux et chaud, ma belle-mère dit à sa fille :
« Il bande encore ton cher mari, je le sens tout contre mon cul, ma chère, se pourrait-il qu’il ait le dessein de me vouloir bien enculer ? J’en serais ravie… qu’on se le dise ! » ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée…
Françoise répondit en gloussant :
« Chéri, tu sais, maman aime cela, tu devrais accéder à son désir ! »
A quoi sa mère répondit faiblement :
« Oui, mon cher, mon défunt mari avait bien l’habitude de passer par la « porte du jardin » -formule recherchée s’il en est- pour me signifier qu’une jolie queue bien dirigée dans son magnifique popotin, lui ferait grand honneur…
Et elle ajouta :
« Vous êtes à point, mon chéri, puis-je vous recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant….
Ma femme ajouta :
« Tu sais maman chérie, qu’Armand est un sodomite remarquable qui sait me prendre merveilleusement par là et, ma foi, fort souvent pour mon plus grand plaisir! »
Ce à quoi ma belle-mère rétorqua :
« Quelle chance, mon amant de gendre, vous allez donc pouvoir satisfaire mon vice…. Je n’osais vous le demander… faites-donc, à votre guise et prenez moi bien et de forte manière en ce petit endroit que volontiers je vous consens ! »
Quelle vicieuse ! Elle aimait tout décidément, sa fille, son gendre, la sodomie, les plaisirs de lesbos et...vous le verrez plus tard, ceux de la zoophilie, mais patience,
de fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses de â« maman â» m’excitant au plus haut point…
Je suggérai :
« Mes amours, je souhaiterais vous honorer généreusement toutes les deux par cette voie cachée aussi, voici ce que je vous propose : vous allez vous disposer à cheval l’une sur l’autre, étroitement serrées, vos jolis culs bien à portée (sous entendu de vit !) Et ainsi, je pourrai vous servir bien courtoisement et vous bien visiter chacune à tour de rôle ; ainsi, aurez-vous, mes chéries, ma queue en cul d’une régulière façon et profiterez-vous là de mes « hommages » sodomites en même temps ! ».
L’idée fut bien reçue et elles se disposèrent aussitôt comme prévu, la mère sur la fille, celle-ci aquatrepattée au bord du lit… quelle belle position, quelle vue, mes amies et amis, j’allais pouvoir accéder alternativement en un cul comme en l’autre, prenant un plaisir fou à les bien enculer à petits ou longs coups selon ma fantaisie... Je me mis donc en place, debout derrière elles, impatientent qu’elles étaient de sentir ce vit les visiter par la « porte de derrière »...
La mère s’agitait un peu sur sa fille, frottant son petit con poilu contre les chaudes fesses qu’elle épousait de tout son ventre, je m’accroupis et donnai de la langue alternativement en chaque anus, le titillant, le salivant, le picotant du pointu de ma chienne charnue qui frétillait en ces séants... Je glissai même profondément la pointe de ma langue en chaque anus qui, en se contractant, semblait vouloir la retenir prisonnière en ses ardents satins. Les culs balancèrent un peu, de petits gémissements se firent entendre, cuisses et fesses superbes à ma vue...
Quand je les eus bien préparées, poussant ici du médius en l’un et de l’autre médius en l’autre, en taquinant aussi plus bas le clitoris, je me frayai un chemin par un doigtage appliqué qui fut récompensé, car les anus se dilatèrent, s’ouvrirent, roses petits bombons plissés, ô combien attirants ! Ma queue fin prête et dardée, je l’humidifiai de salive et le prépuce humide et brillant commença son œuvre en ma femme, laquelle s’ouvrit du cul parfaitement et me reçut à petits coups de fesses jolis...je la pénétrai pleinement, fis aller et venir ma belle queueline ainsi en son petit trou-caca mignon (elle en avait l’habitude, nous aimions cela tous les deux, notre vice...si toutefois, l’on peut l’appeler ainsi)...
Puis, je déculai d’elle et vins prendre à son tour l’anusienne fleur de ma belle-mère qui attendait ; je percevais son souffle, le nez dans les cheveux de sa fille, les seins collés à son dos, l’étreignant fougueusement en attendant d’être prise, elle le fut bien vite, j’écartai ses fesses, l’anus s’ouvrit, petit puits rose magnifique, j’y plongeai mon vit et poussai, il entra sans difficulté, facilité en cela par les belles humeurs culines de sa chère fille ; ma belle-mère geignit (de contentement) et me donna quelques petits et lents coups de cul qui eurent pour effet de l’empaler jusqu’à mes couilles… je raidis ma queue, dard en ses profondeurs et m’activai, que cela était bon, mes chères et chers, quelle délicieuse douceur, une tiédeur absolue, un cul de roi, un fourreau à ma gueuse queueline !!
L’anus de ma belle-maman me serrait fort, anneau de chair sur les rondeurs de mon phallus, me retenant, glissant, se serrant à nouveau puis s’ouvrant...je naviguai ainsi quelques instants, puis je déculai d’elle et vins retrouver sa fille en dessous... Ma queue était rouge vif, tendue à l’extrême, une excitation peu banale, bien que la sodomie à chaque fois provoquât sur mon anatomie une forte, très forte érection ! Je fouillai ma femme en plusieurs coups de bite, m’enfonçai, me retirai, poussai à nouveau….
Elle était folle de jouissance et criait sous sa mère qui la baisait en cou, lui faisant une succion à la racine des cheveux, comme si elle eût pris en gueule un chaton... Je sentais monter mon jus, ma lave, pourrais-je encore la retenir ?
Je sortais, je rentrais, je changeais de couloir culin, quelle ivresse ! Ma queue comme paralysée par l’immense plaisir qui s’en venait faisait ici l’office d’un beau boutillon que j’administrais à ma volonté, à mon rythme, à ma cadence, bien soucieux cependant de donner le plus de plaisir possible à mes deux partenaires, je me retirais d’un cul, celui-ci me cherchait, remontait et je partais vers l’autre cul qui m’attendait, m’aspirait, me serrait, je le quittais à son tour pour retrouver l’autre…. Je partais, je revenais, j’entrais, je sortais dans un galop anal infernal, maintenant par les hanches mes deux coursières aux fesses brûlantes...
Je commençai à jouir en ma belle-mère, un petit flot bouillant projeté profondément dans le rectum, je ressortis de suite, poussai dans le cul de françoise, déchargeai, un autre beau flot brûlant, puis je revins en ma belle-mère, l’enculant à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné, puis, je déculai d’elle et revins vers ma femme où je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… je restai en cul de Françoise toujours dominée par sa mère qui l’étreignait hystériquement.
Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu du bel anus de ma belle-mère, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en cul de ma femme, le foutre ne s’arrêtait plus... Lave gluante débordant du volcan anusien de jeanne, je déculai de Françoise...son petit anus dilaté expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui, de l’anus gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques,
Ma belle-maman encore excitée, était-ce l’odeur de nos culs, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? Je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure, elle descendit des fesses de sa fille, s’accroupit et se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait du beau con de Françoise. Elle lécha, lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue en l’anus rose refermé, comme une petite bouche pincée.
Ma femme, sous cette caresse, fit aller de haut en bas son petit cul et se mit à geindre doucement, la langue licheuse de sa mère et la salive de celle-ci contribuant à apaiser le feu de son cul qui venait d’être pris si joliment, puis, ce fut au tour de ma femme de lécher sa mère, cul levé, fesses écartées, elle lui fit même office, même vice, même caresse linguale appliquée, jeanne jouissait à petits souffles rauques, aquatrepattée, les mains bien à plats, sur le tapis au pied du lit... Bien que la vue fut de bon aloi, je ne me mis point à rebander et filai au cabinet de toilette pour me bien purifier après tant de folies anales…. Mes femmes m’y rejoignirent.
Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous trois enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur….
Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le vercors où nous attendait notre vieil ami le berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée où mon épouse et sa mère pourraient satisfaire en toute discrétion leurs envies zoophiles…
Mais, je vous en reparlerai… patience, mes amies et amis. D’ici là, faites de beaux rêves, à bientôt !
Le Marquis de Chair
--- fin de la première partie ---
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Gang bang au Bois
Il y a quelques années, j’étais marié à une très jolie femme, alors âgée de quarante deux ans, brune cheveux longs, 95 de tour de poitrine, aux pointes rose et extrêmement sensible, 70 90 pour le reste, toujours totalement épilée, bras, jambes, aisselles, sexe, anus, un mètre soixante-cinq, cinquante kilos, tout cela pour vous dépeindre la personne. Elle aimait énormément le sexe, et j’avais parfois du mal à la satisfaire…
Nous avions fait des photos comme beaucoup de couples, je le pense, à notre domicile tout d'abord, dans toutes les positions ce qui nous avait beaucoup excités, séances suivies par des nuits torride.
Plus tard, elle a accepté de faire des photos nue, dans des coins de campagne isolés, parant de la maison uniquement vêtue d'une micro jupe, un petit haut aussi transparent qu'échancré laissant voir pratiquement la totalité de ses seins. Sous la jupe rien, une paire de chaussures à talons de onze centimètres l'obligeant à marcher les fesses très cambrées, la poitrine bien pointée, déjà.
Elle m'avoua que cette tenue l'excitait beaucoup. Ce qui me le confirma, c'est qu'a peine montée, dans la voiture, la jupe déjà si courte remonta encore laissant voir son pubis imberbe et les lèvres déjà mouillées... Mon épouse alors d'un air très coquin me dit en écartant ses jolies jambes :
« Les voyeurs vont en avoir pour leurs envies ! »
Et joignant le geste à la parole, elle défit le dernier bouton du haut. Sur la route, j'ai entretenu son excitation par des caresses sur les lèvres de sa chatte, en titillant sournoisement son clito rose et dur. A toutes occasions du dépassement de camions, je prenais bien soin de ralentir, je vis alors le grand plaisir que prenait ma femme de découvrir complètement sa poitrine, pinçant ses bouts de seins tout en écartant très largement les cuisses. Nous étions souvent remerciés par un concert de coups de klaxon.
J'ai donc un soir proposé a ma femme de l'exhiber en public, elle accepta sans hésiter, je vais même dire avec plaisir, lui proposant une nuit complète pour assouvir tous ses phantasmes. Après une seconde de réflexion, elle me donna son accord.
Ce soir là, elle se maquilla plus que d'habitude, mit une micro robe boutonnée sur le devant et des talons de plus de douze centimètre, et rien sous la robe...
Nous primes la voiture et direction le Bois de Boulogne, une zone voyeurs bien connue des habitués. Après avoir stationné la voiture, ma femme se débarrassa de sa robe et ainsi nue, elle se mit à se caresser les seins, pinçant les pointes, les étirant avec force, les cuisses largement ouvertes.
Sa chatte était maintenant dégoulinante, poussant un soupir d'aise, car elle venait de s'apercevoir qu'une douzaine d'hommes étaient là en train de la mater. Tournant la tète vers moi, elle baissa sa vitre, pratiquement tous les hommes étaient le sexe hors de leur pantalon se branlant bouche ouverte devant le spectacle offert par ma femme. Celle-ci, les deux mains sur sa chatte qu'elle ouvrait au maximum, se frottait le clito avec un pouce.
Un des hommes me demanda alors si ils pouvaient la toucher et la, suite à mon approbation, la meute devint complètement folle, des mains, encor des mins, cinq, six, huit, plein de mains…
Je ne peux le dire combien entrèrent dans la voiture, les unes palpant les seins en triturant les pointes, les autres fouillant sans ménagement cette chatte baveuse et offerte, roulant le clito sous un pouce puissant, le capuchon étiré méchamment entre deux doigts…
J’étais ébahi et excité par ce spectacle hallucinant de mains sans propriétaires bien définis qui malaxaient ma femme de partout…
Pendant ce temps, ma femme les mains croisées derrière la tète, s'offrant au maximum projette des jets de cyprine sur le sol de la voiture, où j'avais eu la précaution de mettre un vieux plaid.
Un des hommes me demanda alors que par sécurité, je pense la peur de la police, si ma femme accepterait de les suivre à quelques dizaine de mètres à l'intérieur du bois. Je lui signifiai alors la totale liberté de ma femme, elle se pencha vers moi, me fit un baiser sur la bouche, et ouvrit la portière, allant vers la direction indiquée, totalement nue, mis a part ses chaussures. Les hommes la suivaient de très prés comme une meute de chiens affamés, ce qui me permis de les compter... 14.... et 15. Pour surveiller ma femme et être certain qu’elle ne se fasse pas déborder, je sortis moi aussi de ma voiture.
Arrivée dans la clairière bien éclairée par le clair de lune, je pus constater qu'il y avait deux bancs ; l’un avec dossier, l'autre sans, les hommes ne perdaient pas de temps et plusieurs mains courraient sur le joli corps cambré de ma femme, toujours debout.
Ils la guidèrent vers le banc sans dossier et après l'avoir allongée deux hommes, lui bloquèrent les cuisses écartelées. Ils commencèrent à la fouiller de partout, la chatte d'abord avec plusieurs doigts… Un des hommes d'une cinquantaine d'années réussit même à rentrer complètement sa main dans le vagin écartelée, les lèvres tenues ouvertes pas plein de doigts… Ma femme se tordait de douleur et de plaisir à la fois, elle criait sans aucune retenue…
Ses jets de cyprine étaient de plus en plus fréquents et prolongés, accompagnés de gémissements particulièrement bruyants. Un vieil homme se mit a parler aux autres, qui lui laissèrent la place sans protester… Il sortit des poches de sa veste plusieurs pinces a linge en plastique, il en mit une à chaque tétons hypertendus par le plaisir. Après un petit cri de douleur ; ma femme ne fit pourtant aucun geste pour les retirer ; me faisant découvrir que ma gentille épouse aimait les jeux sado-maso…
Ensuite, il lui en mit une directement sur le clito et quatre à chaque lèvre. Ma femme était paralysée par la douleur et le plaisir… La portant à plusieurs, les hommes entreprirent de la mettre à plat ventre, deux vestes et un imper roulés en boule glissés sous le ventre les jambes de chaque cotés du banc.
J’apercevais alors la chatte de ma femme, ornée de ses pinces à linge et ses fesses bien ouvertes, laissant son anus bien découvert.
Un des hommes lui pénétra la chatte pour bien l'humidifier et lui doigtait l'anus sans ménagement. Après plusieurs va et vient, ma femme accompagnait les mouvements du doigt, bientôt rejoint par deux autres. Cette introduction était facilité par l'habitude régulière de la sodomie dans nos ébats intimes…
Je vis alors les hommes se distribuer des préservatifs, et l'ayant bien dilatée, le premier se présenta à l'entrée de son conduit anal et la sodomisa sans ménagement. Ma femme, accrochée au bord du banc, subit l'assaut rn suivant les mouvements de l'homme et lui demandant de bien lui défoncer le cul. Les uns après les autres, ils se sont succédés et cela depuis maintenant deux heures.
Depuis un moment déjà, je me branlais, tant j’étais excité par la vue de ma femme ainsi baisée come une chienne. Je suis candauliste, et ce genre de spectacle me met dans un état second. Sans m’en rendre compte,, tant j’étais absorbé par le divin spectacle, une main vint se poser sur la mienne, et accompagna ma masturbation. Ca ne m’était jamais arrisé, et surpris, je regardais vers le sol. Un homme, accroupi, la bite aussi à l’air, me regardait avec envie. Il me dit dans un souffle :
« Laisse-moi te sucer.. je te demande rien en retour..
-Vas-y, suce, » répondis-je presque malgré moi…
Comme un animal affamé, il se jeta sur ma queue raide et l’aval dans une super gorge profonde… J’étais au septième ciel, sucé divinement bien et regarda&nt ma femme se faire mettre par tous les orifices… Mais j’étais trop en manque, de voir ma femme ainsi baisée come une truie.
Plus loin, le manège infernal du gang-bang se poursuivait : le premier passé se faisant sucer lorsque le dernier se présenta devant l'anus béant et dégoulinant de ma femme, un noir au sexe démesuré à coté duquel le mien devait ressembler à un sexe d'enfant.
Trenet centimètres au bas mot, de chair noire et luisante, le gland rouge gros comme une petite pomme… Son propriétaire approcha son gland de l'anus bien ouvert, il commença doucement à rentrer, ma femme, surprise de la taille monstrueuse de cet engin, voulut se dégager mais le noir la maintenait d'une main ferme sur le dos.
Je ne pouvais pas intervenir, mon suceur me pompant toujours à fond, et j’étais au bord d’exploser... Ce qui se passa quand je vis l’homme continuer sa progression dans les entrailles de mon épouse. Je jouis comme jamais, inondant la gorge et le visage de l’homme. Il s’enfuit sans un mot, me laissant la bite molle, mais rassasiée…
Le black continuait sa progression, par petites poussées. Le gland était déjà rentré, il réussit à tout enfoncer, jusqu’aux testicules grosses comme deux gros kiwi. Ma femme se tordait de plus belle, gémissant et pleurant à la fois. Le noir fit quelques va et vient, éjacula tout en provoquant le dernier orgasme de ma femme.
Les hommes la firent d’assoir, les cuisses grandes ouvertes, et se mirent à tirer sur les pinces afin de lui infliger une dernière humiliation… Puis un à un, ils partirent… Une fois le dernier sortit de la clairière, j'allais chercher mon épouse pantelante, meurtrie et... momentanément rassasiée.
Nous sommes rentrés à la maison, sans un mot, je l’ai baignée, enduite de crème pour apaiser ses irritations anales et vaginales, et l’ai couchée pour sommeil réparateur…
Il faut qu’elle recommence très vite, vu comme son appétit semble s’être révélé…
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Un après-midi orgiaque - suite et fin
L’impensable se produisit. Thierry inséra son pouce, aidé par Matthias. Il écartait, en les pinçant, mes petites lèvres. Pour m’exciter encore, Charles, déjà sur pied, vint lécher mon clito bien ressorti.
Cette position ultime, indécente, vicieuse, me donnait le tournis. Est-ce le soleil ? L’intensité du plaisir ? Je crus vraiment m’évanouir un petit moment… Je revins à moi, Valentine me passant de l’eau fraiche sur le front.
Mais je ne rêvais pas, une énorme chose envahissait toujours mon vagin distendu. Thierry accentua sa poussée, et presque brusquement, força pour passer la partie la plus large, à la base des phalanges. Il fit enfin pénétrer toute sa main en moi.
Je poussais un hurlement dément, tant de surprise que de douleur et plaisir mélangés. Puis doucement, il bougea ses doigts en moi. Et là, ce fut une nouvelle extase, jamais connue à ce jour.
Il m’est impossible de décrire cette sensation inédite, d’être remplie à craquer, et caressée de l’intérieur, comme une bite, aussi douée soit-elle, ne le fera jamais….
J’ouvris les yeux, pour voir les cinq hommes debout, en train de se masturber, et Valentine, se goder avec le manche d’une canne à pêche… La langue de Charles me léchait toujours, provoquant une ultime sensation d’extase. Il régnait un silence extraordinaire, juste rythmé par le bruit des vagues sur les rochers.
Tout, dans cette situation, était magique, hors du temps, hors de la vie, hors de tout ce que j’avais connu. Cette main me fouillait le ventre, je me sentais comme un énorme vagin, juste ça. Je n’étais plus qu’un sexe, un sexe dilaté et rempli.
Je repris mon souffle, inspirant de plus en plus vite. Thierry imprima à sa main un rythme identique. Lentement, je sentais une vague monter en moi, bien plus forte que toutes celles connues auparavant. Je « savais » que j’allais être dévastée.
Valentine, comme si elle le sentait, vint près de moi, caresser mes cheveux, me picorer le visage de tendres baisers…
Thierry bougeait ses doigts de plus en plus vite, Charles aspirait maintenant fortement mon clito. Comme dans une ronde infernale, je voyais les queues des autres d’agiter, prêtes à cracher leur venin blanc.
Et la vague déferla. Immense, infernale, outrancière.
Je rugis, soulevée par un spasme puissant, comme réellement soulevée par une vague.
Un cyclone dévasta mon ventre, ma chatte, mon clito. Je hurlais à mort, ce plaisir inouï.
Et ce fut le néant, le noir. Valentine me dira plus tard que je suis retombée comme une poupée de chiffon, toute molle et inanimée. On m’avait dit que l’orgasme était une « petite mort ». Pour la première fois de ma vie, j’ai compris ce que cela voulait dire…
Il parait que je revins assez vite à moi, avec de l’eau fraiche versée doucement sur tout mon corps. Hélas, je ne me souviens plus du retrait de la main de Thierry.
Par contre, en passant les mains sur mon corps, je sentis du sperme. Mes hommes s’étaient lâchés sur moi, jouissant de me voir jouir.
Pendant quelques minutes, nous restâmes tranquilles, à reprendre nos esprits. Je sais que chacun, y compris moi, se demandait si ce qui venait d’arriver était réel, ou s’il avait rêvé…
Valentine rompit le silence la première :
« Thierry, tu es le seul à ne pas voir eu ton compte… J’ai envie de toi ! »
Il ne se fit pas prier, et se positionna derrière la belle brune, déjà en levrette. Il la pénétra très vite, profitant du cul offert pour enfouir un doigt dans son anus étoilé. Vu comme est se tordit sous la double pénétration, elle aimait ça. Les hommes s’en aperçurent très vite.
Christophe m’allongea avec douceur près d’eux, et vint à son tour me caresser de sa langue, calmant de sa salive mes chairs intimes meurtries.
Juste sous mes yeux, je voyais le pieu de Thierry aller et venir, coupant en deux l’abricot blanc de Valentine. Une lame noire qui fendait une pèche blanche… Superbe !
Charles me demanda gentiment :
« J’ai envie de te prendre… tu sais, quand je vois ta fleur aussi ouverte, si dilatée, toute prête pour mon gros mandrin, je ne peux pas résister. »
Et moi non plus. Je voyais le membre impressionnant se découper sur le ciel bleu, marbré de nuages pommelés. Moi qui ne suis pas une fan des gros calibres, là, après ce que je venais de vivre, j’en ai eu envie. Je savais que je pourrais le prendre en entier, dilatée comme je l’étais.
Il se couvrit, lubrifia la capote trop petite pour lui. Il replia avec douceur mes jambes, et posa mes pieds sur ses cuisses, pour les ouvrir le plus possible.
Ceux qui avaient joui bandaient à nouveau. Ils nous diront après n’avoir jamais autant bandé, aussi longtemps, avant dans leur vie !
Charles posa son gros gland, large comme une petite pomme contre les lèvres hyper sensibles. Je frémis assez pour le faire hésiter :
« Doudou, tu es sure que tu veux ?
- Oui, vas-y, doucement. Prends-moi… »
Il accentua sa poussée, le gland entra en moi facilement. Je soulevais ma tête, pour voir les vingt-cinq bons centimètres s’enfouir en moi. Pour la seconde fois, j’étais envahie par un membre hors norme. Mais cette fois-ci, c’était un gros chibre raide, mais doux. Il glissait en moi comme dans du beurre, je m’ouvrais sous la poussée douce, mais ferme. Il s’immobilisa, quand il buta au fond de ma matrice.
Alors, commença un va et vient puissant, qui me faisais souffler profondément. Je serrais autant que je pouvais mes muscles internes, pour enserrer au mieux ce monstre de chair. Je me cambrais pour encore mieux le sentir.
Comme au ralenti, un autre orgasme vint me prendre, parfond, moins intense que le précédent, mais dont j’ai eu la pleine conscience, cette fois-ci ! Je criais ma plaisir, d’un cri rauque qui me déchira la gorge.
Quelques secondes plus tard, Charles jouit, se vidant avec un jet puissant de sperme. Si puissant que je le sentis à travers le latex. Il se retira vite, trop vite à mon gout. Mais il ne voulait pas risquer de « déborder » dans mon intimité.
A coté, Valentine n’avait pas perdu une miette du spectacle, et gémissait sans discontinuer, toujours travaillée au corps par Thierry. Il eut enfon son orgasme, ses couilles frappant violemment les cuisses de sa partenaire. Il cria fort, lui aussi, et retomba sur le coté, épuisé.
Mais mon amie n’en n’avait pas eu encore assez… d’un air gourmand, elle lança :
« Qui pour moi ? Et j’en veux dans tous mes orifices ! »
Au moins, cette invitation avait le mérite d’être claire !
Mathias se leva très vite, et vint s’allonger sur le dos. Il bandait comme un taureau, avec un sexe épais, mais assez court. Valentine s’accroupit sur lui, et s’empala sans la moindre difficulté. Sa croupe oscillait dans la lumière du couchant.
A cette époque, comme nous sommes prêts de l’équateur, el soleil décline dès 17 heures 30. A 18 heures 30, il est couché, même au mois d’aout.
Michel, lui non plus, ne tarda pas. Il s’approcha du cul offert, la belle s’étant couchée sur le torse de Mathias. D’un doigt expert, il pénétra la rondelle plus foncée, qui attirait l’œil, telle une cible perverse. Sans difficulté, il inséra un second doigt. La coquine devait en avoir l’habitude. Alors, sans plus de formalités, il la coucha, et vint l’enculer doucement. Sa queue fine et longue envahit progressivement l’étroit conduit. J’admirais tout cela, fascinée. J’ai rarement vu dans ma vie une double pénétration d’aussi près !
D’une main presque distraite, je branlais Charles, qui reprenait de la vigueur. Bon sang, comment ai-je pu « avaler » un tel calibre ? Il est presque aussi large qu’une canette de soda !
Les trois amants coordonnèrent leurs mouvements sans difficulté. Quand l’un avançait dans le vagin, l’autre sortait du conduit anal. Et inversement.
Provocante, Valentine lança :
« Qui je suce ??? »
Philippe fut rapide comme l’éclair, et se mit à genoux, étouffant quasiment Mathias. Mais comme cela, il avait la queue à portée de la bouche gourmande.
Il s’y enfonça avec un plaisir non dissimulé, et commença à la baiser comme il aurait fait de son vagin.
J’étais bouche bée devant ce tableau irréel. Cette superbe fille, aux cuisses généreuses, à la poitrine opulente, embrochée par tous ses orifices… Le paradis sur terre.
L’excitation montait en moi, de plus en plus forte.
Comme un automate, je me mis aussi à genoux, offrant ma chatte à celui qui voudrait…
Ce fut Thierry, désireux de me gouter ainsi.
Galamment, il me lubrifia avec sa bouche, me produisant de divin frisson. Je retins un nouvel orgasme, désireuse de prolonger ce moment magique.
Ma petite fleur s’était un peu refermée. Il l’ouvrit petit à petit, pour s’introduire d’un seul coup au fond de moi.
Sans que j’aie rien demandé, Charles se coucha, et se glissa sous moi, en travers. Ainsi, il pouvait gober mon clito. Je me doutais, aux frémissements de Thierry, qu’il devait aussi lécher les couilles de ce dernier. Impossible de faire autrement, vu la façon dont il s’y prenait.
Olivier et Christophe, accroupis, se branlaient vigoureusement, regardant alternativement vers nous deux.
Michel jouit le premier, dans un souffle rauque. Il se retira, laissant un orifice béant… Olivier, comme mû par un ressort, bondit, se couvrit rapidement et prit la place laissée libre. Valentine cria plus fort, sous la pénétration plus grosse et plus vigoureuse. Du coup, ce fut Mathias qui jouit dans un spasme fort, faisant hoqueter la jeune femme. Par ricochet, elle laissa ressortir de sa gorge le membre de Philippe, qui la baisait toujours.
Après un bref instant de flottement, elle reprit sa succion qui fit jouir aussi Philippe.
De mon coté, le double traitement infligé m’apporta mon ultime orgasme de la journée. Je n’avis plus de voix pour crier. Je jouis pourtant fort, sous la langue magique de Charles, et le bon pistonnage de Thierry.
Qui ne tarda pas aussi à lâcher tout son foutre dans la réservoir en latex.
Je roulais sur le coté, épuisée. Charles se releva, et vint se branler au-dessus de Valentine. Toujours profondément enculée, elle hululait dans la lumière du soir.
Charles éjacula sur ses cheveux, éclaboussant es cheveux bruns de gouttes phosphorescentes.
Cette vue provoqua la jouissance d’Olivier. Nous nous retrouvâmes tous affalés sur les pierres tièdes, fourbus, comme hébétés par ce que nous venions de vivre…
Enfin, nous avons vraiment fait connaissance. De façon « civilisée » cette fois…
Conversation surréaliste de neuf personnes qui venaient de baiser comme des fous, sans rien savoir les uns des autres… Le monde à l’envers, en somme !
Nous nous sommes séparés à regret... Je sais que je reverrai Valentine, et sans doute Charles et Thierry.
Je voulais une apothéose pour ma dernière journée de vacances, mais jamais je n’aurais pu imaginer une telle chose !
Ce soir, le lendemain soir, je sens encore ma chatte palpitante, encore délicieusement meurtrie du fist de Thierry.
J’ai hâte de le revoir…
Mes vacances au Cap d'Agde - suite
- En club libertin.
En vacances pour une semaine au Cap d’Agde, je voulais aller voir ce que pouvait être un club libertin dans une petite ville. A Paris, j’avais rencontré un couple qui, l’été précédent, avait fréquenté l’Alibi d‘O à Fitou, non loin de mon lieu de villégiature. Je m’étais renseigné sur internet et cela confirmait ce qui m’avait été dit.
Ce club de rencontres libertines était un must. Malheureusement je devais me trouver une compagne de soirée pour y entrer car les hommes seuls n’y étaient pas autorisés. Au camping où je séjournais, tout le monde était en famille, sur les plages naturistes du secteur, tous se livraient le soir venu à des échanges de partenaires et personne n’avait besoin d’aller dans ce genre d’établissement pour assouvir sa soif de libertinage.
A tout hasard, je lançai un ballon d’essai à une des hôtesses de l’accueil de mon camping. En riant elle me dit en me tutoyant d’emblée :
« Tu ne m’étonnes pas ! Je sais ce que tu es venu chercher ! Je sais où ce club se trouve ! C’est bien connu dans la région. »
Alors sur le même ton badin, je lui dis :
« Si tu veux je t’invite !
- D’accord, je suis partante ! Passe me prendre à l’accueil à vingt-deux heures, le bureau sera fermé. »
A l’heure dite, je l’ai vue arriver et se glisser à côté de moi dans ma voiture. Petite rousse d’environ cinquante ans, avec des cheveux tombant sur les épaules, elle portait une mini robe en tissu léger qui descendait à mi cuisse, serrée par un cordon au dessus des seins dont les tétons pointaient. Elle dégageait un parfum épicé qui allait lui bien. Son visage, illuminé par des yeux marron rieurs, était constellé de taches de rousseur. Par l’autoroute nous avons mis à peine plus d’une heure pour faire le trajet. Situé au centre du village dans une grosse maison cossue, le club semblait ce soir là attirer beaucoup de monde car il y avait de nombreuses voitures garées à proximité.
Effectivement il y avait foule. Le bar était plein de monde et sur la piste de danse il y a avait une dizaine de couples. Avec Nadja ma compagne d’un soir nous avons parcouru les divers salons un verre à la main et découvert aussi la nouveauté de l’année, le sauna et le jacuzzi.
La soirée était lancée car dans les « coins câlins » il y avait déjà des couples et trios en pleine action. Nous avions laissé le principal de nos vêtements dans les casiers sécurisés prévus à cet effet à l’entrée du sex-shop et du bar. Je ne portais plus qu’un boxer siglé au nom du club et Nadja n’avait plus sur elle qu’un mini string dont les cordons barraient ses fesses. Au bas de son dos, elle avait un soleil tatoué et ses seins menus avaient des tétons saillants qui, sans doute sous l’effet de l’excitation du moment étaient sortis.
On avait envie de les croquer, ce que je me suis empressé de faire dès que nous avons trouvé un endroit propice pour nous livrer à nos ébats. Je n’allais pas me priver de baiser cette « couguar » qui savait pourquoi elle avait accepté mon invitation. Nous étions allongés sur un podium recouvert de tissu satiné.
D’une main, je massais la chatte de Nadja et de l’autre, j’agaçais le bout des seins et je les suçais et les croquais. Ma belle ronronnait de plaisir et de son vagin s’écoulait une mouille abondante pendant qu’elle massait ma bite à moitié sortie du boxer. Nous étions prêts. Je me plaçai entre ses cuisses à genoux et, remontant son bassin à la bonne hauteur je me glissai dans sa chatte. Oulla qu’elle était chaude et humide!
Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour atteindre la jouissance. Nadja me travaillait la queue avec ses muscles intimes et au moment où la jouissance l’emportait j’ai déversé dans le préservatif quelques jets de sperme violents. Depuis que j’étais en vacances, je baisais plusieurs fois par jour avec des partenaires différentes. A chaque fois l’ambiance de luxure était tellement excitante que cela nourrissait mes réserves. Nous sommes restés enlacés quelques minutes.
Nous étions bien. Nous avons été rejoints par un couple d’une trentaine d’années, l’homme, un beau gosse aux muscles bien dessinés avec un sexe long et fin. Sa compagne, une beurette grande et mince avec des seins menus, un piercing au nombril orné d’un tatouage avait le pubis nu et une chaînette pendant entre les cuisses. Nadja me dit alors :
« J’ai envie d’une double pénétration, sa bite devrait me faire du bien dans mon cul ! »
Je n’étais pas contre et je le dis à nos futurs compagnons de jeux. La beurette m’a gobé immédiatement la bite pendant que Nadja achevait de faire monter la pression en faisant une gorge profonde à son copain. Ce dernier s’allongea sur le dos, prenant Nadja par la taille, il l’a plaça sur lui et introduisit sa queue dans le petit trou plissé. Après quelques mouvements de va-et-vient, il coucha Nadja sur lui, le dos contre son torse et, pour la maintenir dans cette position, il lui prit les seins. Je n’avais plus qu’à investir à nouveau la chatte qui s’offrait à moi.
Nous avons accordé nos mouvements pour que les pénétrations alternent. Je sentais au travers de la paroi le sexe de notre partenaire progresser jusqu’au fond de la gaine étroite de Nadja. J’avais déjà vécu ce genre de situation, c’est très excitant. Nadja exprimait bruyamment son plaisir. Elle avait de l’expérience et j’avais dragué sans le savoir une bonne baiseuse.
La beurette se faisait plaisir toute seule en nous regardant. Au début, elle s’était contentée de caresser sa chatte les cuisses ouvertes, la chaînette partait des grandes lèvres où les extrémités étaient pincées, mais ensuite, elle a pris un gode articulé et l’a introduit au fond de son vagin. Notre jouissance est arrivée soudainement, tous les quatre en même temps. Nous sommes allés au bar prendre un verre tous ensemble puis nous nous sommes séparés.
De retour au Cap d’Agde, Nadja m’a invité à finir la nuit dans son appartement. Après une douche prise ensemble, je l’ai baisée encore une fois, mais là, c’était à mon tour de la sodomiser. Elle aimait çà la coquine et elle jouissait aussi facilement d’être prise devant ou derrière.
- Voyeurs.
L’été dernier, je passais une semaine en camping au Cap d’Agde où j’étais venu faire du naturisme pour me changer un peu des sites que je connais sur l’Océan atlantique. C’était l’avant dernier soir et avant de retourner à mon bungalow sur le terrain de camping, je prenais un dernier verre au bar de la plage. Il n’y avait plus guère de clients car l’heure de la fermeture approchait. Nous étions quatre, deux jeunes femmes, Sergio, le barman, et moi. Les deux filles semblaient bien excitées par les nombreux verres d’alcool qu’elles venaient de boire depuis que je me trouvais là à bavarder avec Sergio avec qui je m’étais lié d’amitié.
Elles avaient environ vingt-cinq ans, bien bronzées, l’une légèrement plus grande que l’autre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu l’heure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave. Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement l’une contre l’autre.
Avant qu’elles ne disparaissent dans l’obscurité nous avons pu voir qu’elles s’enlaçaient et s’embrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors qu’elles allaient certainement vers « la chambre d’amour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il s’agissait. C’était le lieu de retrouvailles des couples d’un moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre d’amour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il n’y avait personne d’autre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de s’embrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés. Nous allions avoir le spectacle d’une baise lesbienne. Nous nous sommes encore approchés. Nous n’étions plus qu’à une dizaine de mètres et, si elles nous avaient vus, elles n’en poursuivaient pas moins leurs échanges. J’étais émoustillé par le spectacle et ce qui allait suivre au point que ma bite était dressée dans mon bermuda et faisait une belle bosse sur le devant.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que l’une d’elle s’allongeait sur le sable, l’autre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte.
Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de l’autre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul. La même chose devait se passer à l’autre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. C’était chaud. Nous observions en silence afin d’éviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusqu’à ce que l’une et l’autre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face.
« Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir. »
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusqu’à elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison. Elles dirent en même temps :
« Approchez encore ! »
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle l’a pris en bouche et englouti d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge. Sergio avait le même traitement. Ma fellatrice savait y faire. Elle n’utilisait que sa langue et l’aspiration des joues pour me pomper. Je me retenais pour retarder ma jouissance tellement la caresse était bonne, mais je n’en pouvais plus. Je me suis retiré de sa bouche et j’ai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt, elle m’a repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi.
Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple s’est séparé. J’ai terminé la nuit avec Céline que j’ai baisée à deux reprises. Au petit matin elle s’est esquivée en me disant qu’elle allait retrouver son mari !
Voila ce que sont les plages naturistes de la région du Cap d’Agde.
A suivre....
- En club libertin.
En vacances pour une semaine au Cap d’Agde, je voulais aller voir ce que pouvait être un club libertin dans une petite ville. A Paris, j’avais rencontré un couple qui, l’été précédent, avait fréquenté l’Alibi d‘O à Fitou, non loin de mon lieu de villégiature. Je m’étais renseigné sur internet et cela confirmait ce qui m’avait été dit.
Ce club de rencontres libertines était un must. Malheureusement je devais me trouver une compagne de soirée pour y entrer car les hommes seuls n’y étaient pas autorisés. Au camping où je séjournais, tout le monde était en famille, sur les plages naturistes du secteur, tous se livraient le soir venu à des échanges de partenaires et personne n’avait besoin d’aller dans ce genre d’établissement pour assouvir sa soif de libertinage.
A tout hasard, je lançai un ballon d’essai à une des hôtesses de l’accueil de mon camping. En riant elle me dit en me tutoyant d’emblée :
« Tu ne m’étonnes pas ! Je sais ce que tu es venu chercher ! Je sais où ce club se trouve ! C’est bien connu dans la région. »
Alors sur le même ton badin, je lui dis :
« Si tu veux je t’invite !
- D’accord, je suis partante ! Passe me prendre à l’accueil à vingt-deux heures, le bureau sera fermé. »
A l’heure dite, je l’ai vue arriver et se glisser à côté de moi dans ma voiture. Petite rousse d’environ cinquante ans, avec des cheveux tombant sur les épaules, elle portait une mini robe en tissu léger qui descendait à mi cuisse, serrée par un cordon au dessus des seins dont les tétons pointaient. Elle dégageait un parfum épicé qui allait lui bien. Son visage, illuminé par des yeux marron rieurs, était constellé de taches de rousseur. Par l’autoroute nous avons mis à peine plus d’une heure pour faire le trajet. Situé au centre du village dans une grosse maison cossue, le club semblait ce soir là attirer beaucoup de monde car il y avait de nombreuses voitures garées à proximité.
Effectivement il y avait foule. Le bar était plein de monde et sur la piste de danse il y a avait une dizaine de couples. Avec Nadja ma compagne d’un soir nous avons parcouru les divers salons un verre à la main et découvert aussi la nouveauté de l’année, le sauna et le jacuzzi.
La soirée était lancée car dans les « coins câlins » il y avait déjà des couples et trios en pleine action. Nous avions laissé le principal de nos vêtements dans les casiers sécurisés prévus à cet effet à l’entrée du sex-shop et du bar. Je ne portais plus qu’un boxer siglé au nom du club et Nadja n’avait plus sur elle qu’un mini string dont les cordons barraient ses fesses. Au bas de son dos, elle avait un soleil tatoué et ses seins menus avaient des tétons saillants qui, sans doute sous l’effet de l’excitation du moment étaient sortis.
On avait envie de les croquer, ce que je me suis empressé de faire dès que nous avons trouvé un endroit propice pour nous livrer à nos ébats. Je n’allais pas me priver de baiser cette « couguar » qui savait pourquoi elle avait accepté mon invitation. Nous étions allongés sur un podium recouvert de tissu satiné.
D’une main, je massais la chatte de Nadja et de l’autre, j’agaçais le bout des seins et je les suçais et les croquais. Ma belle ronronnait de plaisir et de son vagin s’écoulait une mouille abondante pendant qu’elle massait ma bite à moitié sortie du boxer. Nous étions prêts. Je me plaçai entre ses cuisses à genoux et, remontant son bassin à la bonne hauteur je me glissai dans sa chatte. Oulla qu’elle était chaude et humide!
Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour atteindre la jouissance. Nadja me travaillait la queue avec ses muscles intimes et au moment où la jouissance l’emportait j’ai déversé dans le préservatif quelques jets de sperme violents. Depuis que j’étais en vacances, je baisais plusieurs fois par jour avec des partenaires différentes. A chaque fois l’ambiance de luxure était tellement excitante que cela nourrissait mes réserves. Nous sommes restés enlacés quelques minutes.
Nous étions bien. Nous avons été rejoints par un couple d’une trentaine d’années, l’homme, un beau gosse aux muscles bien dessinés avec un sexe long et fin. Sa compagne, une beurette grande et mince avec des seins menus, un piercing au nombril orné d’un tatouage avait le pubis nu et une chaînette pendant entre les cuisses. Nadja me dit alors :
« J’ai envie d’une double pénétration, sa bite devrait me faire du bien dans mon cul ! »
Je n’étais pas contre et je le dis à nos futurs compagnons de jeux. La beurette m’a gobé immédiatement la bite pendant que Nadja achevait de faire monter la pression en faisant une gorge profonde à son copain. Ce dernier s’allongea sur le dos, prenant Nadja par la taille, il l’a plaça sur lui et introduisit sa queue dans le petit trou plissé. Après quelques mouvements de va-et-vient, il coucha Nadja sur lui, le dos contre son torse et, pour la maintenir dans cette position, il lui prit les seins. Je n’avais plus qu’à investir à nouveau la chatte qui s’offrait à moi.
Nous avons accordé nos mouvements pour que les pénétrations alternent. Je sentais au travers de la paroi le sexe de notre partenaire progresser jusqu’au fond de la gaine étroite de Nadja. J’avais déjà vécu ce genre de situation, c’est très excitant. Nadja exprimait bruyamment son plaisir. Elle avait de l’expérience et j’avais dragué sans le savoir une bonne baiseuse.
La beurette se faisait plaisir toute seule en nous regardant. Au début, elle s’était contentée de caresser sa chatte les cuisses ouvertes, la chaînette partait des grandes lèvres où les extrémités étaient pincées, mais ensuite, elle a pris un gode articulé et l’a introduit au fond de son vagin. Notre jouissance est arrivée soudainement, tous les quatre en même temps. Nous sommes allés au bar prendre un verre tous ensemble puis nous nous sommes séparés.
De retour au Cap d’Agde, Nadja m’a invité à finir la nuit dans son appartement. Après une douche prise ensemble, je l’ai baisée encore une fois, mais là, c’était à mon tour de la sodomiser. Elle aimait çà la coquine et elle jouissait aussi facilement d’être prise devant ou derrière.
- Voyeurs.
L’été dernier, je passais une semaine en camping au Cap d’Agde où j’étais venu faire du naturisme pour me changer un peu des sites que je connais sur l’Océan atlantique. C’était l’avant dernier soir et avant de retourner à mon bungalow sur le terrain de camping, je prenais un dernier verre au bar de la plage. Il n’y avait plus guère de clients car l’heure de la fermeture approchait. Nous étions quatre, deux jeunes femmes, Sergio, le barman, et moi. Les deux filles semblaient bien excitées par les nombreux verres d’alcool qu’elles venaient de boire depuis que je me trouvais là à bavarder avec Sergio avec qui je m’étais lié d’amitié.
Elles avaient environ vingt-cinq ans, bien bronzées, l’une légèrement plus grande que l’autre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu l’heure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave. Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement l’une contre l’autre.
Avant qu’elles ne disparaissent dans l’obscurité nous avons pu voir qu’elles s’enlaçaient et s’embrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors qu’elles allaient certainement vers « la chambre d’amour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il s’agissait. C’était le lieu de retrouvailles des couples d’un moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre d’amour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il n’y avait personne d’autre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de s’embrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés. Nous allions avoir le spectacle d’une baise lesbienne. Nous nous sommes encore approchés. Nous n’étions plus qu’à une dizaine de mètres et, si elles nous avaient vus, elles n’en poursuivaient pas moins leurs échanges. J’étais émoustillé par le spectacle et ce qui allait suivre au point que ma bite était dressée dans mon bermuda et faisait une belle bosse sur le devant.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que l’une d’elle s’allongeait sur le sable, l’autre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte.
Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de l’autre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul. La même chose devait se passer à l’autre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. C’était chaud. Nous observions en silence afin d’éviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusqu’à ce que l’une et l’autre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face.
« Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir. »
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusqu’à elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison. Elles dirent en même temps :
« Approchez encore ! »
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle l’a pris en bouche et englouti d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge. Sergio avait le même traitement. Ma fellatrice savait y faire. Elle n’utilisait que sa langue et l’aspiration des joues pour me pomper. Je me retenais pour retarder ma jouissance tellement la caresse était bonne, mais je n’en pouvais plus. Je me suis retiré de sa bouche et j’ai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt, elle m’a repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi.
Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple s’est séparé. J’ai terminé la nuit avec Céline que j’ai baisée à deux reprises. Au petit matin elle s’est esquivée en me disant qu’elle allait retrouver son mari !
Voila ce que sont les plages naturistes de la région du Cap d’Agde.
A suivre...
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Mes vacances au Cap d'Agde
- Au hasard de la route.
L’été dernier j’ai passé une semaine au Cap d’Agde dans un camp naturiste. Ces quelques jours ont été très chauds dans tous les sens du terme. C’était la première fois que je passais du temps dans ce camp car habituellement, je vais plutôt sur la côte landaise. Je raconterai cela une autre fois.
J’avais déjà fait pas mal de route et, pour faire une pause, je me suis arrêté du côté de Nevers pour récupérer un peu plus bas l’autoroute Méridienne. Après un repas frugal fait essentiellement de fruits et d’une boisson fraîche, je me reposais avant de reprendre la route. Je devais sommeiller un peu car j’ai été réveillé par des coups frappés contre la vitre du côté passager qui était légèrement ouverte.
Que vois-je paraître ? Une jolie minette d’environ vingt-cinq ans, brune qui me demande : « Tout va bien ? »
Je réponds par l’affirmative en disant que je me reposais car j’avais déjà fait plus de trois cents kilomètres, et que j’en avais encore pas mal à faire. De fil en aiguille, nous engageons la conversation. J’apprends que ma belle inconnue, qui fait du stop, descend vers Nîmes où elle doit retrouver des amis, et elle me demande si je peux la prendre pour la rapprocher.
Cela me fera une compagne de route, et j’acquiesce bien volontiers. J’ai tout loisir de l’observer quand elle s’éloigne pour aller chercher son sac à dos qui est au pied d’un arbre à peu de distance. En plus d’un joli minois, elle a aussi un corps très agréable à regarder, des hanches et des cuisses pleines serrées dans un jean et le dos légèrement cambré. De face, c’est tout aussi charmant. Son buste aux seins bien bombés est moulé dans un T-shirt qui couvre un soutien gorge visible sous le tissu. Un joli brin de fille.
De retour près de la voiture, je mets son bagage dans le coffre. Je m’appelle Sylvie me dit-t elle en s’installant près de moi. Sa compagnie est agréable, son bavardage n’a rien des mièvreries qu’on entend souvent dans la bouche des jeunes de son âge. A tel point que nous arrivons à Millau presque sans nous en rendre compte. Il faut que je fasse une nouvelle pause et surtout donner à boire à la voiture et aussi acheter de quoi manger en cours de route. Nous quittons l’autoroute pour gagner la ville.
Chacun fait ses emplettes et après une heure de repos, nous reprenons la route pour retrouver l’itinéraire initial sur le plateau du Larzac. Le voyage se poursuit dans la bonne humeur. La nuit approche, nous allons terminer notre route bien après minuit.
Sylvie a vraiment eu une bonne idée de s’enquérir de moi en croyant que je ne me sentais pas bien. De ses propos, je découvre que c’est une amoureuse de la vie, libre de toute attache sentimentale, elle papillonne au gré de ses envies et des occasions qui s’offrent tout en poursuivant des études supérieures de langues orientales. Depuis que nous avons repris la route, ma compagne de route est assez agitée. Elle croise et décroise ses jambes, elle a le souffle court au point que je lui demande ce qui ne va pas. Elle me demande alors de trouver un coin discret pour s’arrêter prétextant un besoin pressant.
Au bout de quelques kilomètres, je m’arrête sur un petit parking bordé de bosquets d’arbres. Cela me semble le lieu idéal pour que Sylvie puisse s’isoler. Au bout de quelques temps, ne la voyant pas revenir, je l’appelle en lui disant que si elle ne veut pas arriver à Nîmes tard dans la nuit, il serait temps de reprendre la route. Elle me répond alors que ce n’est pas un souci et me demande de la rejoindre derrière les arbres car elle a besoin d’aide. Là, quelle n’est pas ma surprise!
La belle m’attend n’ayant plus sur elle qu’un string minuscule et un soutien gorge effectivement bien rempli. C’est vraiment une belle fille, les hanches bien galbées, les seins ronds en pomme et haut perchés, des cheveux bruns mi longs qui encadrent un visage charmant. Elle sourit en voyant ma surprise.
« Viens, me dit-elle en se collant à moi, je vais te dire MERCI à ma façon ! »
Je sens ses seins se presser contre mon torse, son bassin qui ondule contre le mien et ses lèvres qui cherchent les miennes. Nous échangeons des baisers passionnés. Sa main droite s’est glissée entre nous et entreprend de masser ma bite qui est déjà à moitié bandée. Elle sait y faire la coquine. Mes légers vêtements ont eux aussi vite fait de voler à quelques mètres. Se mettant à genoux devant moi, Sylvie prend mon sexe en bouche et commence une fellation digne d’une professionnelle du sexe. Je ne peux rien faire d’autre que savourer la caresse tout en passant ma main dans ses cheveux.
Je lui dis « Attention, je vais partir ! » pour la prévenir. Elle se dégage et s’allonge sur l’herbe rase en me tendant les bras.
« Viens ! » me dit-elle.
Elle saisit les dessous de ses cuisses et relève ses jambes écartées dans une pose d’une totale impudeur. Je mets mes bras en appui de chaque côté de son torse, j’embrasse et je suce un peu les tétons pendant que ma bite cherche l’entrée de sa grotte d’amour. Je l’investis d’une poussée lente et continue de façon à ce que Sylvie apprécie la pénétration. Sa chatte est trempée de mouille et chaude à souhait.
Quand elle sent que mon bassin est bien incrusté dans la fourche de ses cuisses, Sylvie rabat ses jambes sur mon dos et commence à onduler du bassin. Que c’est bon. Je ne sais s’il elle s’est fait un trip en cours de route car elle jouit rapidement au moment où je me déverse en elle. L’étreinte a été brève mais totale, nous procurant une belle jouissance partagée. Nous restons ainsi quelque temps, emboîtés l’un dans l’autre avant de nous rhabiller et de reprendre la route. Mes vacances au Cap d’Agde commençaient bien !
- Sur la plage du Cap d’Agde.
Sans compagne avec qui passer les vacances d’été, j’avais décidé de changer mes habitudes. Au lieu de la côte landaise, je voulais aller reconnaître les camps et plages naturistes de la côte languedocienne. Quelques semaines auparavant, à la suite d’un désistement, j’avais eu la chance de pouvoir trouver à louer un bungalow dans un camping (non naturiste hélas) du Cap d’Agde.
En cours de route, j’avais pris en charge une autostoppeuse qui, à sa façon, m’avait remerciée…
Arrivé au petit matin après avoir traversé toute la France, j’avais attendu l’ouverture de l’accueil pour prendre possession des lieux et profiter d’un repos bien mérité jusqu’aux environs de midi.
Après un rapide déjeuné à la terrasse d’une pizzéria du centre, je me dirigeai vers la mer. Short, cache sexe, teeshirt, serviette de plage, crème solaire et, indispensables préservatifs, voila tout mon équipement. Dès mon arrivée sur la plage, je me suis débarrassé des vêtements inutiles. Le sexe dissimulé par un « minimum », je me suis mêlé aux groupes de la foule qui, étendus à l’abri de parasols ou dissimulés derrière des paravents prenait le soleil. Presque tous étaient entièrement nus.
Soudain mon attention a été attirée par un groupe d’hommes et de femmes qui faisaient un cercle autour d’un grand parasol couché, leur attention fixée vers le centre. Je m’approchai. Quel spectacle ! Une belle blonde aux cheveux mi-longs, au teint hâlé et à la silhouette longiligne, avec une poitrine menue faisait une fellation à un homme d’une trentaine d’année, allongé sur le sable, le torse relevé en appui sur les coudes, les cuisses largement ouvertes. Bâti en athlète, bronzé, doté d’un sexe d’une taille plus que respectable, il appréciait visiblement la caresse. Bon nombre d’hommes du cercle se masturbaient allégrement en observant ou se faisaient sucer. Des femmes avaient des doigts dans leur chatte ou se caressaient le clitoris ou un sein.
La blonde a quitté sa position à genoux pour s’allonger sur le sable. L’homme se releva, le sexe à la main il vint se placer au dessus de son visage, se masturba quelques secondes et éjacula une importante quantité de sperme, maculant sa face et les cheveux. Certains des hommes qui se paluchaient s’approchèrent et se vidèrent aussi sur le visage ou le torse de la femme qui étendait le sperme sur ses seins en les massant.
Oulla ! Le séjour commençait bien.
Pour apprécier le spectacle, je m’étais approché au maximum du cercle. Je m’étais placé derrière une jeune brunette (vingt ans au grand maximum) aux cheveux noirs descendant presque au creux des reins, très bronzée, le bas du dos cambré comme un africaine, avec une mignonne paire de seins avec des tétons très saillants de la taille d’un gland. Ce que je voyais et le contact qu’elle avait cherché en me sentant derrière elle avaient mis mes sens en émoi.
Ma bite était dressée et se trouvait dans le haut de la raie du cul de la belle. Elle ne disait rien, au contraire, elle bougeait des hanches et faisait rouler mes couilles entre ses globes. Lorsque le cercle se dispersa, elle m’invita à la suivre à l’abri d’un immense parasol. Elle se colla à moi, pressant ses tétons durcis contre mon torse, ondulant des hanches, ma bite pressée contre son ventre. Elle était beaucoup plus petite que moi, environ 1m60, et 45 kg tout mouillés, bref un mignon petit tanagra.
Nous étions bien échauffés. Dénouant le cordon de mon cache sexe, elle tomba à genoux devant moi et emboucha ma bite pour une gorge profonde, une vraie pompe à bite. Elle a avalé mon sexe d’un seul coup jusqu’à la garde. Puis elle a entrepris les lents mouvements d’aspiration et de va-et-vient.
Je me retenais d’éjaculer dans sa bouche. Je voulais autre chose, et, tirant de la poche de mon short roulé en boule sur le sol un préservatif, je le lui tendis. Des ses doigts fins et agiles elle en couvrit mon sexe et s’allongeant sur le dos, elle ouvrit ses cuisses. Sa chatte très foncée était dépourvue de toute toison, les lèvres intimes bien dessinées et gorgées de sang. Le spectacle était d’une indécence totale mais oh combien excitant avec ses petits seins ronds et haut perchés et son visage perdu dans ses longs cheveux noirs.
A genoux entre ses cuisses, je relevai son bassin en l’approchant de mon sexe. Je me plaçai à l’entrée de sa vulve et d’une seule poussée, je me glissai dans son fourreau jusqu’à la garde dans une estocade brutale. Elle était tellement mouillée que j’entrai sans effort dans cette chatte serrée.
Oula ! Chaude comme la braise la mignonne ! Je continuai à l’éperonner pendant quelques minutes, puis, me dégageant de sa chatte, je fis mettre ma belle en levrette. Mes deux mains de chaque côté de sa taille cambrée, je présentai ma bite entre ses fesses pour reprendre notre séance de baise. Je ne connaissais même pas son prénom et nous n’avions échangé que de rares paroles.
Après de brefs instants de cette étreinte improvisée mais délicieuse, arriva notre jouissance commune. Je déversai dans la capote une bonne quantité de sperme. Restant en elle quelques minutes sous le regard d’un couple de voyeurs, je savourais ces instants de bonheur. Puis nous désunissant, nous sommes allés nager intégralement nus dans les vagues toutes proches.
Ma semaine au Cap d’Agde commençait bien...
A suivre...
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Bonjour
J'ai l'impression de connaitre cette scène,étant moi même libertin,je suis en train d'écrire un livre sur le libertinage tiré de faits réels et fictifs. Les yeux d'un homme par rapport à ceux d'une femme donnent une autre dimension au sexe et au plaisir,je vous tiendrai au courant à l'évolution de l'écriture.
Bises coquines
Stéphane le "libertin libéré déchu" titre du livre.
Merci de ta remarque judicieuse. Mais dans la première partie du texte (publiée il y a quelques jours), j'avais mentionné qu'ils en tous mis, mais que je ne le dirais pas à chaque fois pour faciliter la fluidité du récit...