Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les tribulations libertines d’un cadre de l’agroalimentaire. - partie 1
Surprise.
Une fois de plus mon travail pour cette grande société agroalimentaire internationale m’avait conduit en terre étrangère pour trois journées de contrôles sur le terrain et de rencontres avec les responsables locaux.
Le dernier soir de ma tournée d’inspection, mes hôtes espagnols m’ont invité pour une sortie en boîte de nuit. Antonio, le responsable du secteur est venu me chercher à mon hôtel du centre d’Alicante. Il était accompagné de Juanita sa femme et d’une copine de cette dernière, Amalia.
Les deux femmes se ressemblaient beaucoup. Grandes brunes aux cheveux longs relevés artistement en chignon, elles portaient toutes les deux des robes légères qui, dans un décolleté généreux, laissaient voir une poitrine de taille moyenne mais bien galbée maintenue par un soutien gorge qui la relevait. La taille étroite prise dans une large ceinture s’évasait ensuite sur des hanches larges pour Juanita (elle avait deux enfants) et plutôt étroite pour Amalia.
Après avoir bu rapidement un pot au bar de l’hôtel pour faire connaissance, nous nous sommes installés dans le cabriolet d’Antonio et au bout d’une vingtaine de minutes, nous sommes arrivés devant la boîte de nuit située en bord de mer.
Antonio, qui semblait bien connaitre le personnel, a pu nous obtenir une table située sur la mezzanine d’où nous dominions la piste de danse principale. Il y avait beaucoup d’ambiance et les séquences musicales s’enchainaient rapidement, alternant le disco et les danses latines. La plupart du temps, je dansais avec Amalia. C’était un plaisir de la faire danser, de la guider dans les figures diverses. Vers deux heures du matin nous avons quitté la boîte. La nuit serait courte avant la réunion finale du groupe de travail à neuf heures.
Lorsque nous sommes arrivés devant l’hôtel, j’ai pris congé de mes hôtes, mais la surprise a été totale lorsqu’Amalia m’a embrassé amoureusement.
« Viens, je t’accompagne, j’habite aussi cet hôtel. »
Nous sommes entrés, bras dessous, bras dessus, comme n’importe que couple. Nous avions chacun notre pass électronique. Dans l’ascenseur, Amalia s’est collée à moi et elle a continué de m’embrasser. Je sentais contre mon torse ses seins durs, ses hanches dansant d’une manière lubrique contre mon bassin. Jamais au cours de la soirée elle n’avait manifesté une quelconque attirance et de mon côté, même si elle me plaisait beaucoup, je n’avais jamais envisagé que la soirée se terminerait ainsi.
Arrivés dans ma chambre, Amalia a continué de m’embrasser de plus en plus chaudement, mêlant sa langue à la mienne dans des baisers ardents tout en ôtant mes vêtements. Lorsque j’ai été nu, n’ayant plus que mon boxer, elle fit voler sa robe par-dessus la tête et fit sauter l’agrafe de son soutif. J’avais devant moi une femme magnifique à la peau ambrée des filles du soleil. Je la contemplais désormais avec envie.
Ma bite était dressée dans mon boxer et le gland dépassait de la ceinture. Nous étions à égalité. Plus qu’une pièce à enlever pour être intégralement nus. Amalia se mit à genoux sur le tapis et elle fit glisser mon boxer. Prenant ma bite dans une main, elle l’inclina vers ses lèvres et d’un seul coup, je me trouvai au fond de sa gorge. Je caressais ses seins menus en faisant rouler les bouts saillants entre mes doigts. Elle me suçait avec application, alternant les aspirations profondes et les léchouilles le long de la hampe.
J’en voulais plus, une fellation aussi bonne soit-elle ne vaut jamais une bonne baise. Je sortis de sa bouche et je la conduisis vers le lit pour qu’elle s’y allonge. Roulant sur le ventre, elle me présentait une belle chute de reins bien cambrée mais elle ne semblait pas pressée de faire descendre sa culotte. J’étais un peu surpris car elle n’était pas assortie au soutif. En tissus opaque rebrodé, elle moulait étroitement ses fesses. Amalia se retourna enfin avec un grand sourire et un regard coquin. C’est là que j’ai compris en voyant son pubis encore masqué. Il était très proéminent et entre les jambes, je distinguais une grosseur.
« Ça ne te gène pas de me faire l’amour ? Je ne suis pas un travesti mais simplement la nature m’a donné une belle paire de seins et une bite ! »
En disant cela en français avec un accent inimitable, Amalia descendit sa culotte et dévoila une queue pas très grande à moitié bandée.
« Viens, me dit-elle en prenant la position de la levrette sur le lit, tu vas me prendre par derrière. »
Ce n’était certainement pas ma première sodomie, mais là, j’allais baiser un être mi-femme mi-homme. Cela ne m’était pas encore arrivé et rien que d’y penser, j’étais complètement excité.
« Tu peux y aller franchement ! Je suis ouverte, tu entreras facilement ! »
Selon ma bonne habitude (on ne sait jamais quelle bonne fortune nous attend), j’allai chercher son mon oreiller un préservatif que je glissai rapidement sur ma bite désormais bandée à l’extrême. Entre ses jambes, je pouvais voir ses bourses et sa queue qui balançaient doucement et son anus plissé. Je pris sa taille entre mes mains et d’une seule poussée lente mais puissante, je pris son petit trou.
Si j’étais entré facilement, une fois à l’intérieur, j’ai senti les muscles intimes se resserrer autour de ma bite et commencer leur savant massage. Mes va-et-vient arrachaient des soupirs d’aise à Amalia qui me disait combien c’était bon de baiser ainsi. Dans un des grands miroirs de la chambre, je voyais notre accouplement.
Derrière elle, je la besognais avec vigueur. Je voyais ses seins balancer sous son torse pendant que d’une main elle masturbait sa bite qui bandait. Waouh, quel spectacle. Cela a achevé de faire monter mon excitation et je n’ai pas tardé à jouir et à déverser dans la capote quelques bonnes giclées de sperme. Amalia jouit du cul en même temps. Elle avait attendu que je parte pour s’éclater à son tour.
Nous nous sommes désunis et Amalia s’est couchée sur le dos. Sa bite était toujours dressée et elle la masturbait encore si bien qu’un jet de sperme en est sorti pour s’écouler sur ses doigts. Elle s’est levée, est passée par la salle de bains. Lorsqu’elle en est revenue habillée, elle m’a à nouveau embrassé amoureusement en me disant combien elle avait apprécié notre soirée et que je l’avais bien baisée.
Elle quitta ma chambre en me souhaitant bonne nuit. Oui elle a été bonne !
A suivre...
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Voyage de retour
Je suis un adepte de l’autostop. Malgré les aléas de ce moyen de déplacement, j’y trouve mon compte et il m’arrive de belles aventures comme celles vécues lors du trajet pour descendre au camping de Menton où je devais retrouver les copains et copines ou encore lorsque je suis allé voir des parents à Toulon.
Après trois semaines passées sur la Côte, je dois remonter sur Paris car j’ai décroché un job d’été pour tout le mois d’août. J’ai le contrat en poche et il n’est pas question que je laisse passer les 1 500 euros de salaire qui me sont promis.
A l’accueil du camping j’ai mis une affichette : « Jeune homme cherche transport retour sur Paris samedi prochain – participe aux frais de carburant – emplacement N°215 ».
Le vendredi à midi, je n’ai aucune proposition. Je m’apprête donc à me rendre au péage de l’autoroute dès le soir même pour tenter ma chance. Au retour de la plage, je trouve, épinglée sur une des tentes mon affichette m’indiquant d’être à 21 heures 45 à la sortie du camping.
A l’heure dite, sac à dos bouclé, j’attends avec un peu d’impatience pour voir qui va me prendre pour faire la route, quand je vois un van à la peinture rutilante, pleine de décors artistement réalisés, s’arrêter devant moi. Une femme entre 30 et 35 ans est au volant, le siège passager est occupé par un homme du même âge.
« C’est toi qui va à Paris ?
- Oui, je pense que c’est vous qui avez répondu à mon affichette !
- OK ! Fais le tour et monte par la porte latérale. »
Lorsque je découvre l’aménagement intérieur du véhicule, je me dis en moi-même que le voyage va être génial. Derrière une table rabattable, il y a deux fauteuils avec un dossier inclinable très confortables. De part et d’autre de la cabine, il y a des rangements aménagés, et tout à fait à l’arrière, un lit surélevé occupe tout la largeur.
Je m’installe dans un des fauteuils et nous bavardons alors qu’une musique d’ambiance se répand dans l’habitacle, couvrant le bruit du moteur qui ronronne régulièrement sur l’autoroute. Stéphanie et Eric sont deux musiciens qui, après un mois de contrat dans une boite de la côte, remontent sur Paris où d’autres engagements les attendent. L’aménagement de leur véhicule leur permet de voyager confortablement et de n’avoir pas recours systématiquement aux hôtels pour se loger.
Eric et moi nous avons somnolé, car c’est au moment où Stéphanie quitte l’autoroute que nous prenons conscience que nous arrivons sur une aire de service :
« Premier arrêt : Aix en Provence ! s’écrie Stéphanie, pause café et détente ! »
Environ une demi-heure plus tard, nous reprenons la route pour une nouvelle étape. Eric prend le volant et Stéphanie vient près de moi à l’arrière. Aussitôt installée, elle incline les dossiers de sièges et nous recouvre tous les deux d’un vaste plaid en disant qu’ainsi nous serions mieux pour dormir...
Nous roulons depuis quelques temps déjà quand je sens une main venir explorer le devant de mon pantalon. Cette coquine de Stéphanie aurait-elle eu une idée derrière la tête en venant se mettre à l’arrière ? Elle prend ensuite ma main gauche et vient la poser sur le haut de ses cuisses que je trouve nues. Elle a remonté sa jupe au dessus de la taille. Oulla, çà va être chaud !
Devant la tournure des choses, mon sexe se dresse instantanément dans mon slip au point de me faire mal tellement je bande. C’est vrai que Stéphanie a tout pour plaire, grande brune aux cheveux abondants et très longs noués en queue de cheval qui arrive au creux de ses reins, un beau visage à l’ovale parfait éclairé par des yeux noirs et une bouche pulpeuse et des hanches, je vous dis pas !!!
La fourche de ses cuisses est chaude et douce. Au travers du tissu de son string (du moins c’est ce que je crois), je sens l’humidité de sa chatte. Je commence à la caresser ainsi et elle se tourne vers moi pour me faciliter le mouvement de mes doigts mais aussi sortir ma bite de mon slip et de mon pantalon.
Je suis malgré tout inquiet de la situation. Son mari est là, tout près…
« Ne t’en fais pas, il sait ce que je fais, me dit-elle tout bas à l’oreille. A la prochaine pause, nous allons faire l’amour tous les trois. »
Je suis tombé sur un couple de libertins. Décidément, ces vacances sont pleines de belles surprises sexuelles. Nous restons ainsi, Stéphanie sa main droite enroulée autour de mon sexe qu’elle masturbe lentement dès qu’elle sent la raideur faiblir et moi, la main gauche coincée entre ses cuisses à la limite de sa fourche.
Nous nous endormons ainsi, presque comme deux amants qui viennent de prendre du plaisir ensemble. Une fois encore, c’est l’entrée sur une aire de service qui nous réveille. En faisant le plein de carburant, Eric nous dit que nous avons dépassé Lyon. Comme convenu, je donne les 50 euros et nous allons tous les deux à la cafétéria.
Quand nous revenons au van, nous reprenons nos places mais Stéphanie est allongée sur le lit. Elle s’est couverte avec le plaid. Eric dirige le véhicule vers un coin isolé du parking, tire les rideaux à l’avant et vient nous rejoindre dans la partie arrière. En soulevant le plaid il dit :
« Regarde, elle nous attend ! »
Effectivement, Stéphanie est intégralement nue, allongée dans une pose alanguie sur le lit transversal.
« Déshabillons-nous, me dit Eric et rejoignons-la ! »
Malgré l’exiguïté des lieux, en un rien de temps, nous sommes nus tous les deux, la bite dressée devant nous, prêts à rejoindre Stéphanie qui, s’étant redressée, nous attend avec un grand sourire…
« Viens, dit-elle à son mari en tendant la main vers sa bite. Je vais achever de te préparer. Il y a longtemps que je n’ai pas fait de double… Je vais en profiter ! »
Et en se tournant vers moi :
« Tu as une jolie bite, fine et bien longue, tu vas m’enculer pendant que je chevaucherai Eric. »
Le programme que Stéphanie propose me convient tout à fait. Elle commence tout d’abord par une fellation bien baveuse sur son mari puis quand elle juge qu’il bande suffisamment, elle se recule pour qu’il puisse s’allonger sur le dos. Aussitôt elle le chevauche, introduisant d’elle même le sexe d’Eric au plus profond sa chatte.
Après quelques mouvements en amazone, Stéphanie s’allonge sur le buste d’Eric. J’enfile rapidement un préservatif et je vais me placer entre les jambes emmêlées de mes deux complices libertins.
Dans la demi-clarté qui règne dans l’habitacle, je vois les fesses largement fendues et la chute de reins de Stéphanie sur laquelle ses longs cheveux noirs sont répandus. Je m’approche encore et je pose le bout de mon sexe à l’orée de son anneau plissé. Elle vient au devant de moi et c’est sans forcer qu’en une seule poussée, je suis au fond de l’antre interdit.
Eric et moi, nous accordons nos mouvements. Pour moi, c’est une première. Je n’avais jamais participé à une double pénétration… Que c’était chaud, d’un érotisme torride de savoir une femme prise ainsi. Au travers de la fine paroi, je sens battre le sexe puissant d’Eric ce qui m’excite au plus haut point.
Notre plaisir commun monte. Stéphanie prononce des mots sans suite et des grognements de satisfaction quand l’un ou l’autre de ses fornicateurs l’éperonne un peu plus sèchement. Puis notre jouissance arrive. Pour moi, c’est violent ! Je me tétanise littéralement quand mon sperme jaillit au fond du préservatif.
Nous restons enlacés l’un sur l’autre de longues minutes, puis je sens mon sexe sortir du cul de Stéphanie. Je retire le préservatif et elle vient gober ma bite en disant, comme si elle s’adressait à elle, combien elle lui a fait du bien. Eric se redresse à son tour et présente son sexe à peine débandé pour que Stéphanie lui fasse sa toilette.
Cette coquine nous fait une fellation en double en introduisant les deux bites dans sa bouche écartelée. Mais elle n’achève pas ! Visiblement elle se contente de sentir les deux sexes qui ont pénétré chacun de ses orifices en même temps dans sa bouche.
Nous nous allongerons ensuite tous les trois sur le lit un peu étroit, Stéphanie prise en sandwich entre nous deux et nous nous endormons quasi instantanément.
Quelques heures plus tard, nous nous réveillons et nous poursuivons notre route vers Paris…
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Mes vacances au Cap d'Agde - suite et fin !
- Une exhibitionniste.
L’été dernier je me trouvais à la terrasse d’un café-brasserie sur le Cours Gambetta à proximité du centre historique de Montpellier. Je prenais un pot avant de diner puis de regagner le bungalow que j’avais loué pour la semaine dans un camping proche du bord de mer. J’avais passé la journée à visiter les ruines des châteaux cathares nombreux dans cette région et je profitais du calme relatif pour rêvasser en pensant aux quelques bonnes fortunes dont j’avais profité au cours de ces brèves vacances. En cette période estivale, à plus de vingt-deux heures, la terrasse était bondée d’une foule bigarrée et bruyante.
Au moment où le garçon m’a apporté mon repas, j’ai aperçu une jeune femme, jolie blonde décolorée au corps légèrement potelé assise non loin de moi. Vêtue d’une jupe courte en toile légère et d’un caraco de couleur vive largement décolleté, elle ne tenait pas en place sur sa chaise. Elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes en faisant remonter sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses ou encore quand elle ouvrait largement le compas de ses jambes je pouvais voir jusqu’au slip.
Savait-elle qu’elle offrait cette vue à plusieurs personnes ? J’en profitais et tout en mangeant, je jetais des coups d’œil discrets dans sa direction. Quelle n’a pas été ma surprise lorsque le garçon est venu pour encaisser sa consommation, elle s’est étirée, en levant les bras de chaque côté de sa tête, elle a fait remonter ses seins jusqu’à ce que les aréoles sortent au dessus du tissu du caraco. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins, assez volumineux et pour autant que je puisse en juger, un peu flasques, étaient à moitié visibles. Elle ne semblait pas gênée de s’exhiber ainsi devant le garçon et ses voisins de table.
Lorsqu’elle a quitté la terrasse, je l’ai suivie quelques temps du regard puis elle a disparu. Dix minutes plus tard, elle est repassée devant la terrasse et avec un regard effronté, elle m’a dévisagé en faisant coulisser la pointe de sa langue entre ses lèvres d’une manière obscène. Là j’ai compris que son manège précédent était destiné attirer mes regards sur elle. Elle m’avait dragué d’une manière ostensible.
Elle s’est éloignée en de dandinant et en faisant rouler ses hanches dans une des petites ruelles qui descendent de la place vers les quartiers plus récents. J’ai quitté la terrasse de la brasserie et je l’ai suivie à une dizaine de mètres derrière. Soudain, elle a disparu sous un porche d’immeuble. Au moment où j’arrivais à sa hauteur, elle m’attendait en souriant et me dit avec un accent du Québec assez prononcé :
« Alors coquin ! Le spectacle t’a plu ? Viens, je vais t’offrir la suite ! Suis-moi ! »
Nous sommes passés sous le porche et nous avons débouché dans un petit jardin public éclairé par quelques lampadaires. Elle s’est retournée vers moi et elle a dénoué les cordons de son caraco qui est tombé à ses pieds dans l’herbe de la pelouse. Âgée d’une vingtaine d’années, pas très grande, elle avait des seins généreux qui tombaient légèrement.
Dans sa carnation de blonde, elle avait des aréoles rose foncé avec des bouts peu saillants. Elle a ensuite fait glisser sa jupe sur ses hanches, découvrant un mini string en dentelle blanche dont le cordon épousait ses hanches rebondies.
« Alors, je te plais ? » Il aurait fallu être un goujat pour dire le contraire.
Avec ses formes rebondies, elle ne correspondait certes pas aux canons de la mode actuelle qui prônent la minceur voire la maigreur pour les jeunes femmes mais elle était agréable à regarder et était désirable au point que ma bite était dressée dans mon boxer et faisait une belle bosse sur le devant de mon pantalon.
Je n’avais pas encore fait un geste dans sa direction, je la regardais en me demandant quelle allait être la suite. M’emmènerait-elle dans sa chambre ou accepterait-elle de venir au camping avec moi ? C’est elle qui a pris l’initiative. Elle a collé sa main droite sur le devant de mon pantalon pour masser mon sexe encore prisonnier. Avec sa main gauche elle a agacé mes tétons en les griffant de ses ongles longs et acérés.
Puis, à genoux devant moi, elle a fait glisser le zip de mon pantalon et le boxer pour prendre mon sexe à deux mains et le glisser entre ses lèvres. Cette coquine savait s’y prendre pour sucer une bite. En quelques mouvements dans sa bouche chaude, ma hampe avait atteint son développement maximum. Elle s’est relevée, m’a tourné le dos et s’est appuyée, les bras sur le socle d’une statue, offrant ainsi la vue de sa croupe large et généreusement fendue. Elle a fait glisser son string en me disant de la baiser vite et fort, qu’elle aimait le risque de se faire surprendre en pleine action.
J’ai rapidement couvert d’un préservatif ma queue sortie par la braguette et me glissant entre ses cuisses, j’ai pénétré sa chatte d’une longue poussée, jusqu’à être au contact de ses fesses. J’avais devant moi la vue de son dos avec au niveau des reins une magnifique arabesque tatouée dont une des pointes se perdait dans la raie, comme pour indiquer l’entrée.
« Oui ! Baise-moi fort ! »
Et je ne me faisais pas prier. Avec de longs mouvements du bassin, j’entrais et je sortais de sa chatte pour mieux la reprendre avec vigueur à chaque fois elle émettait un feulement de jeune fauve. Je me suis penché pour saisir un de ses seins dans ma main droite tout en maintenant mon équilibre avec la gauche posée entre ses épaules. Sa poitrine ballotait doucement à chaque poussée que je donnais. Les seins un peu mous pendaient et j’ai réussi à prendre un téton entre deux doigts pour le pincer doucement. Je ne sais pas si elle était sensible de la poitrine mais elle est partie peu après, criant sa jouissance et en s’agitant vivement sur la queue fichée dans sa chatte.
Je n’avais pas encore joui quand d’un mouvement de la croupe, elle m’a fait sortir. En se retournant elle s’est agenouillée devant moi, a retiré le préservatif et embouché à nouveau mon sexe prêt à éclater tellement sa fellation était bonne. C’est ce qu’elle cherchait. Au moment où j’ai senti que j’allais cracher mon sperme, j’ai voulu me retirer mais elle m’a retenu pour que je me vide dans sa bouche.
J’aurais cru qu’elle allait recracher ce que je venais de lui donner mais non ! Elle a tiré la langue pour bien me le montrer puis elle a tout dégluti :
« C’est bon ! Il m’en faut une rasade comme cela avant de dormir ! Bonne nuit ! »
Elle a ramassé ses vêtements et pendant que je me demandais si j’avais rêvé, elle s’est esquivée. D’elle, je ne connais que son prénom : Viviane.
J’ai retrouvé ma voiture garée à quelques rues de là et je suis rentré au camping.
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- Retour de vacances.
Après avoir passé une semaine en camping au Cap d'Agde, ce samedi matin, je passais saluer une dernière fois Nadja, l'hôtesse du camping avec laquelle j'avais passé une nuit de folie en club libertin à Fitou.
En même temps, je venais régler les restes de ma facture de séjour. J'avais bien profité de cette semaine naturiste. Je repartais intégralement bronzé. En effet, si le premier jour je me baladais encore avec le triangle minimum sur la plage, je l'avais rapidement oublié. La majorité des femmes et des hommes ne portait rien du tout.
Au moment de prendre congé Nadja m'a demandé si je repassais par Paris pour le retour. Ce n'était pas prévu mais lorsque j'ai su pourquoi elle me posait la question, je lui ai dit que cela pouvait s'arranger. Une campeuse devait regagner la banlieue parisienne rapidement car une boîte d'intérim lui proposait un emploi dans une grande entreprise internationale dès le lundi. Mais, en ce week-end de chassé-croisé de fin juillet, elle n'avait pas trouvé de place dans les trains ou les avions. Nadja a alors passé un appel sur la sonorisation du camping pour l'appeler en disant qu'elle avait la solution à son problème.
Moins de cinq minutes plus tard, je voyais arriver une grande et belle fille aux cheveux roux foncé coupés en carré assez long. Elle portait un grand sac à dos et une vaste besace. « Roxane, se présenta t'elle, merci d'accepter de me prendre en charge. Je ne sais pas comment j'aurais fait. En plus je ne dois pas laisser passer ce job! »
Longue silhouette mince aux formes menues, Roxane avait d'immenses yeux verts ombragés pas des cils très longs et recourbés. Son nez légèrement retroussé au dessus de lèvres minces et à peine maquillées lui faisait un visage agréable plein de taches de rousseur. Je lui donnais 30 ans au maximum. Elle était vêtue d'un sweet-shirt un peu large et d'un jean moulant.
Nous nous sommes installés dans la voiture. Aujourd'hui, il n'était pas question de passer par la vallée du Rhône pour remonter vers Paris. Le trajet par l'autoroute méridienne serait un peu plus long en distance mais bien plus agréable surtout avec cette charmante compagne de voyage.
Vers quinze heures nous avions déjà fait pas mal de route et nous approchions de Clermont-Ferrand. Il était temps de se restaurer un peu et de refaire le plein de la voiture. Roxanne a insisté pour payer le tout. Sympa de sa part mais je refusai le paiement du carburant en lui disant qu'elle avait certainement plus besoin d'argent que moi qui vivait seul mais très confortablement.
Roxanne vivait seule également. Après quelques années de mariage et un divorce difficile, elle profitait désormais de sa liberté retrouvée depuis deux ans pour vivre au gré de ses envies. De temps à autre, elle avait de brèves aventures « hygiéniques » selon elle. Là, elle venait de passer deux semaines en camping avec un groupe d'amis filles et garçons, mais elle était restée très sage ...
Je ne les avais pas remarqués dans mon camping. Il est vrai que j'y passais assez peu de temps. J'avais eu une semaine bien remplie en conquêtes féminines sur la plage naturiste. Quand elle demanda comment Nadja semblait aussi bien me connaître pour me solliciter ainsi, je lui racontai ma nuit à l'Alibi d'O et ce qui s'y était passé.
Elle a soudain me sembler un peu rêveuse. « Je n'ai jamais eu ce genre d'expérience, mon mari était bien trop jaloux et conventionnel pour me conduire dans un pareil endroit ! Au fil des années, je me suis découvert un certain penchant pour la bisexualité et cela fait bien longtemps que je n'ai pas fait l'amour avec une femme. »
Peu à peu, Roxanne se découvrait. Elle aimait la vie et les plaisirs qui font qu'elle est belle. Nous avons continué à bavarder ainsi. Parfois de longs silences régnaient dans la voiture. C'est au cours de l'un d'eux que cette idée m'est venue. Puis que je passais par Paris, j'appelai une amie pour savoir si elle était chez elle pour le week-end.
Le téléphone était sur répondeur mais moins d'une heure plus tard alors que nous approchions du sud de l'Ile de France, Diane m'appelé brièvement en disant « OK sur tous les plans! Je suis partante ! »
En entendant notre brève conversation, Roxanne me dit qu'elle m'aurait bien hébergé aussi. Elle avait un grand lit et un divan confortable dans son petit appartement.
« Ne t'inquiète pas ! Je vais te faire connaître une amie très chère. Tu ne le regretteras pas. Je te conduirai chez toi après avoir déposé mes affaires. »
Vers vingt-trois heures, je sonnai à l'interphone de l'immeuble où habite Diane. L'ouvre porte se déclencha aussitôt alors que l'interphone nous disait :
« Montez, je vous attends ! »
Après un bref trajet en ascenseur, nous arrivons au quantième étage où Diane nous attend sur le pas de sa porte. Grande blonde aux formes généreuses que j'apprécie beaucoup, elle porte un déshabillé en dentelle noire qui fait ressortir sa carnation laiteuse légèrement halée. Ses beaux yeux marron sont ourlés de khôl. Elle nous accueille avec un grand sourire :
« Entrez vite ! Nous allons prendre un pot et je ferai connaissance avec ton amie » dit-elle en me tendant ses lèvres. « Alors coquin, encore une conquête ? »
Je lui rétorque que j'ai tout simplement rendu service à Roxanne mais qu'il n'y a rien eu de sexuel entre nous.
Nous nous installons tous les trois autour d'une table basse abondamment garnie de boissons diverses et de petits en-cas solides. Diane et Roxanne sont assises côte-à-côte sur le vaste divan et je leur fais face installé dans un profond fauteuil. Au bout d'une petite demi heure de bavardage léger et badin, Diane se penche vers Roxanne, l'enlace et l'embrasse amoureusement. Un peu surprise Roxanne a un léger mouvement de recul puis elle se laisse faire. Diane a bien compris mon message ! Ces deux jolies femmes vont faire l'amour devant moi. Je vais me régaler. Mon penchant de voyeur coquin va être comblé.
Diane passe ses mains sous le sweet-shirt de Roxanne et va cueillir ses seins qu'elle masse doucement tout en continuant à échanger des baisers accompagnés de mots tendres. Quelques minutes plus tard, elle fait passer le vêtement par dessus la tête de Roxanne.
Deux beaux petits seins intégralement bronzés apparaissent : menus comme des seins d'adolescente avec des aréoles très foncées. Diane se lève soudain et vient s'agenouiller devant Roxanne dont elle fait glisser le jean et le string. Elle écarte doucement mais fermement les longues cuisses de Roxanne et va câliner et sucer son clitoris. Roxanne se pâme, son souffle s'accélère et elle rejette la tête en arrière. En appui sur ses coudes, elle plaque la tête de Diane sur sa vulve presque nue : seule une petite touffe de poils roux presque ras s'étale au dessus du capuchon du clitoris.
Je sais que la langue agile de mon amie doit faire merveille dans la chatte de Roxanne dont les cuisses sont prises de mouvements saccadés : elle est en train de jouir ! Diane se relève et embrase à nouveau Roxanne qui la remercie :
« C'était bon ! »
Maintenant c'est elle qui se montre entreprenante. D'un geste preste elle dénoue les cordons du déshabillé et fait apparaître les beaux seins ronds et généreux de Diane, tout juste soutenus par un soutien gorge à demi bonnet. Bientôt, ces deux coquines sont aussi nues l'une que l'autre. Après avoir embrassé les seins de Diane et agacé les tétons entre ses dents, Roxanne descend doucement jusqu'à la fourche de ses cuisses et commence un savant cunnilingus très appuyé accompagné par des incursions de plusieurs doigts qui vont et viennent dans l'antre humide et chaud.
Depuis quelques temps, je suis très à l'étroit dans mon pantalon. Le spectacle de ces deux belles coquines ne me laisse pas insensible même si la semaine écoulée a été riche en aventures sexuelles.
Diane bascule soudain en arrière en entrainant Roxanne qui reste imbriquée entre ses cuisses. Devant moi j'ai les longues jambes fines de Roxanne avec ses cuisses fuselées et ses fesses à peine bombée et sa chute de reins étroite. Au delà de sa tête, je vois le visage de Diane avec un sourire d'extase sur les lèvres et ses seins voluptueux qu'elle masse doucement.
Après quelques temps, Diane l'attire sur elle et se glisse de façon à se mettre tête-bêche. Ces deux coquines lubriques vont m'offrir le même spectacle que celui vu la veille au soir à la chambre d'amour du Cap d'Agde. Il ne leur faut pas longtemps pour arriver à la jouissance. De mon côté et pour être plus à l'aise, j'ai baissé mon pantalon et mon boxer. J'ai le sexe à l'air, dressé comme un I. Je ne me caresse pas mais je suis très excité !
Diane et Roxanne se désunissent et en riant s'adressent à moi :
« Alors coquin, le spectacle t'a plu ? »
Bien sur, j'ai apprécié :
« Oh oui ! Regarde dans quel état je suis ! »
Roxanne dit alors :
« Ote tes frusques et viens nous rejoindre, nous allons nous occuper de toi maintenant ! »
Trente secondes plus tard, je suis nu, allongé sur le dos entre les deux coquines. Diane se place à genoux au niveau de ma tête. J'ai la vue directe sur sa chatte humide et rose et son œillet plissé. Je relève la tête et je vais embrasser cette vulve chaude qui suinte légèrement la jouissance éprouvée quelques minutes plus tôt.
Roxanne s'est agenouillée entre mes cuisses et a pris ma bite en bouche. Elle enduit mon sexe de salive et alterne les succions profondes et les léchouilles sur le gland et le long de la hampe. Si elle continue ainsi sa fellation, je vais lui inonder la bouche de mon sperme.
Elle doit le sentir car elle cesse sa fellation et se place en levrette en appui sur le dossier du divan. Aussitôt Diane en fait autant. Deux belles croupes s'offrent à mes yeux, celle de Roxanne, étroite et bronzée et celle de Diane opulente et laiteuse : une rousse authentique et une blonde ! Merveilleuse vision.
« Viens, me dit la rousse en me tendant un préservatif que Diane lui a glissé discrètement, tu vas me baiser, j'en ai envie ! »
Je me couvre rapidement et lentement je la pénètre. Qu'elle est étroite ! Je suis serré comme si je baisais une jeune vierge. Heureusement que je suis allé doucement et que Roxanne était bien lubrifiée, préparée par les caresses de Diane.
Cette dernière me tend un de ses godes. J'ai compris le message. Elle veut que je me consacre entièrement à Roxanne pendant que je la baiserai avec le gode. Pleine de ressources et d'imagination me belle complice. Je ne suis pas surpris.
Je pose ma main gauche sur le haut des fesses de Roxanne et lentement je commence les mouvements de va-et-vient qui vont nous conduire à la jouissance. De la main droite je fais aller et venir le gode tantôt dans la chatte de Diane, tantôt dans son petit trou qui s'ouvre facilement. Deux aller-retour et sa jouissance éclate.
Pratiquement dans le même moment Roxanne jouit également et je lance de puissants jets de sperme au fond du préservatif. Je me dégage et les deux coquines viennent s'agenouiller devant moi. Elles se partagent ma bite et la sucent à deux bouches pour recueillir les derniers jets après avoir retiré rapidement la capote.
Repus de jouissance et de fatigue, nous nous allongeons tous les trois dans le divan de Diane. Une femme de chaque côté, je suis comme un pacha. Sur le dos, je pose une main dans chaque fourche qui se trouve à ma portée. Nous nous endormons ainsi rapidement. C'est le petit jour qui nous réveille. Je me lève rapidement pour aller chercher du pain frais et des viennoiseries pour le petit déjeuner.
A mon retour, personne dans la pièce principale mais j'entends des éclats de rire qui fusent depuis la salle de bains. Ces deux coquines doivent prendre leur douche ensemble! Elles ont vite sympathisé. Après une toilette rapide, je conduis Roxanne jusqu'à chez elle en banlieue est. Elle me remercie chaleureusement à la fois de l'avoir ramenée vers Paris mais aussi de lui avoir fait rencontrer Diane.
Je crois que ces deux là vont devenir de belles complices. Ensuite, je rejoins Diane et achève le week-end en sa compagnie….
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Un drôle de poisson pour les pêcheurs...
Chaude après-midi de vacances... un coin tranquille au bord d'un lac dans une région désertée par les touristes...
Coralyne décide de tâter l'eau sans se douter que deux pêcheurs l'observent.
« Dis-donc t'as vu la bonne femme là... elle ne sait pas que c'est un coin de pêche ici et pas une plage ou quoi...
- Ouais... note que moi, je dois dire que comme poisson, je la ferais bien passer à la casserole ha ha ha... Vise un peu les nibards ! Puis vu le décolleté, elle doit pas être contre de les mettre à l'air de temps en temps !
- T'as raison... puis regarde sa main... Elle va bientôt se caresser la chatte c'te salope. Je peux l'aider si elle veut, la cuisse à l'air bonne et elle aussi... J'crois qu'elle nous a remarquées ! On lui offre une mousse ?
- Ouais... moi c'est aussi autre chose que je lui offrirais bien ! héhéhé ! »
Et tandis que Coralyne remet son petit sac et sa veste sur ses épaules pour rejoindre l'hôtel, les deux mecs se manifestent bruyamment !
« Eh oh la p'tite dame... ce n’est pas que vous soyez désagréable à regarder, mais le poisson là on risque de l'attendre ! »
Toute désolée et toute timide, elle s'approche des deux types pour s'excuser, mais le plus jeune des deux mecs l'interrompt bien vite : « Bon... Vous frappez pas ! Asseyez-vous plutôt avec nous pour prendre un verre.
- Oui, ça nous fera patienter puisque nos lignes risquent pas de bouger... enfin nos lignes... je voix ce que je veux dire, » ajoute avec malice le plus vieux.
Et c'est ainsi qu'elle s'assied sur une grosse pierre à côté du plus âgé des types. L'autre se lève, va vers le bord de l'eau et en ressort un panier avec quelques bières bien fraiches. Il en décapsule une qu'il passe à Coralyne avant de s'asseoir à côté d'elle lui aussi.
« C'est vrai que c'est pas gentil ça d'effrayer notre poisson, continue le vieux.
- Oui, et pourtant nous, on est sympa ,regarde on t'offre une bière, et même on te la tient »,ajoute le jeune en approchant la bouteille de la bouche de Coralyne comme pour lui faire têter.
La garce se prête au jeu et boit à la bouteille que lui tient le mec. Elle est assise, cuisses écartées en plein soleil et un peu de bière lui mouille le décolleté et le tee-shirt.
Voyant qu'elle n'a pas l'air farouche, le vieux se lève pour lui toucher les nichons qui pointent sous la fraicheur du liquide.
« Mmmm... ça fait tee-shirt mouillé... ça vous va bien ! Y'a de quoi faire...."
Comme elle se laisse faire, l'autre , pendant ce temps, avance sa main vers ses cuisses qu'il remonte en collant sa grosse main sur sa chatte à travers le fin tissu de son short.
Coralyne s'abandonne maintenant tout à fait. Le vieux lui pétrit ses grosses mamelles tandis qu'elle écarte encore plus les cuisses pour que le jeune puisse passer sa main par la jambe du short.
Le vieux lui a maintenant carrément sorti les seins du décolleté. Il lui tord les tétons et écrase ses grosses loches de ses deux mains. Et le jeune s'y met aussi, malaxant des seins comme il n'en a sans doute jamais touché avant.
La salope mouille de plus en plus. Très vite elle est quasiment complètement à poil en pleine nature, ses grosses mamelles à l'air, à se faire tripoter par les deux types.
Elle est assise, la tête relevée, avec un mec qui l'embrasse goulument et lui bouffe la langue en malaxant ses seins, et l'autre qui lui a enlevé son short et lui a déjà fourré trois doigts dans la chatte trempée.
Elle est à la merci de ces deux vicelards et ils le savent. Ils l'emmènent un peu plus loin, à l'abri de gros rochers. Le vieux la tient par la taille tandis que son copain tripote ses gros seins qui se balancent.
Arrivés dans un coin retiré, ils la mettent à genoux devant eux. Le jeune se lève et baisse son froc pour en sortir une queue longue et bien raide. Coralyne s'empresse d'engloutir cette belle bite pendant que le vieux lui parle comme à une grosse pute.
« Vise moi ça la grosse salope !!! Ah ! T’aime ça, hein salope, avoir deux bonnes queues pour toi toute seule ! T'as envie de te faire défoncer comme une chienne en pleine nature hein ! Ben tu vas en avoir pour ton argent ma grosse cochonne. On va te ramoner la gueule et la chatte à tour de rôle. »
Pendant ce temps, le jeune passe la main droite dans le dos de Coralyne, glisse jusqu'à son cul et s'accroche à sa chatte comme à une poignée pour la faire se mettre à quatre pattes. Elle est là, comme une chienne en chaleur, le cul en l’air et offert, qui n'attend qu'une chose. Le vieux s'approche de sa figure en continuant à lui parler crûment :
« Tu la vois ma bite ? Tu vas la bouffer ma belle salope !!! »
Et il lui enfonce violemment son sexe dans la bouche pendant que son acolyte s'accroche à ses hanches pour commencer des allers-retours dans sa chatte détrempée.
A chaque coup de bite, ses grosses mamelles se secouent dans le vide, et elle gémit autant qu'elle peut avec cette bite poilue en bouche. En se faisant sucer, le vieux saisit un sein et puis l'autre, les presse et les malaxe en tirant sur ses tétons. Elle adore ça et mouille de plus en plus.
« On change, je veux tâter de sa chatte à cette grosse pute », commande alors le vieux.
Il s'assied et guide Coralyne qui s'assied sur sa bite pour monter et descendre tout en aspirant toute la queue du jeune. Ses seins se balancent et le vieux n'en manque pas une pour les pétrir.
Une fois rassasié de ce traitement, il fait coucher la garce sur le dos, lui relève et lui écarte ses cuisses de ses bras puissants et l'enfile d'un coup sec, tandis que le jeune mec termine de se branler entre ses gros seins. Le vieux la tringle maintenant en pétrissant ses cuisses rougies par le feu du plaisir. Il aime tâter de la cuisse comme du nichon, et là, il est servi.
Lorsqu'ils sentent tous deux qu'ils sont prêts à cracher tout leur jus, la grosse salope, rassasiée de sexe et la chatte en feu, se remet à genou et leur présente ses deux gros seins en attente pour qu'ils l'inondent de leur foutre, qu'elle étale ensuite soigneusement sur ses nichons.
Les deux mecs lui roulent alors chacun une pelle en malaxant une dernière fois ses seins et son cul. Le vieux lui donne une grande claque sur les fesses.
En souvenir, elle leur laissera son soutif…
Aziz
Les belles-soeurs
Cela fait maintenant deux ans que Jennifer et Cristal entretiennent une relation lesbienne. Dès leur rencontre, les deux femmes ont eu une attirance physique intense et quasi magnétique. Un vrai coup de foudre.
Elles se sont connues lors du mariage de Cristal avec Lucas, frère de Dan, mari de Jennifer. Les deux femmes ne se sont pas lâchées de la soirée. C'est tout juste si Jennifer n'a pas participé à la nuit de noces… Elle en a crevé de désir, de les imaginer en train de faire l’amour…
Les absences répétées de leurs époux leur permettent de passer des après-midi entiers à se doigter ou se lécher la chatte, avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Le début de leur relation s'est pourtant fait timidement. Un resto, puis une séance de cinéma. Là, dans l’obscurité rassurante, elles se sont prises tendrement la main, et ont ressenti une forte envie de se rapprocher. C'est Jennifer, la plus entreprenante, qui tire à elle la tête de Cristal, et lui prend les lèvres. Celle-ci n'attendait que ça, et répond au baiser sans hésiter, dévirant goulument les lèves de sa belle-sœur. Jennifer glisse une main entre les cuisses de sa belle sœur, mais avec l'épaisseur du jean, ce n'est pas évident. Juré, le jean va être banni de la garde robe !
Durant la fin de la séance, elles se contenteront de s’embrasser, de se caresser les seins au travers de leurs hauts légers. Leurs tétons durcis ne laissent aucune équivoque sur leur désir mutuel…
Elles retournent souvent au cinéma, mais vêtues différemment. Mini jupe, chemise.
C'est vrai que dans un lit, c'est mieux, mais elles recherchent le côté aventurier, et tant pis si la salle s'allume. Les seins sortent carrément de la chemise, les chattes sont fouillées sans ménagement. Jennifer, plus vicieuse, excite le clitoris de Cristal.
« Sors’le », gémit-elle sans se soucier de leurs éventuels voisins.. .
Elles savent que certains hommes seuls, les ayant remarqués, viennent près d’elles, et passent la séance à se branler en les regardant s’explorer dans la pénombre.. Finalement, cela les excite encore plus, de savoir ces mâles en chaleur qui les observent…
Seuls leurs baisers atténuent leurs râles de plaisir...
Petit à petit, Jennifer prend le dessus sur Cristal, et s'impose en dominatrice. Comme ce soir, par exemple, où Jennifer passe son temps à discuter avec d'autres femmes, ignorant totalement sa belle sœur, prenant un réel plaisir à la rendre jalouse. Cristal est triste, elle a peur de perdre son amante.
« Jennifer, s'il te plait, pourquoi tu me fais ça ?
- Je cherche une femme un peu plus soumise, tout simplement. »
Jennifer tourne les talons, et suit une jeune femme qui se dirige vers les toilettes.
« Non... attend, supplie Cristal, je ferai ce que tu voudras, mais s'il te plait, ne me laisse pas... je t'aime...Tu le sais ça... »
Mais Jennifer est sourde aux appels déchirant de Cristal. Celle-ci préfère partir silencieusement satisfaite de voir son emprise sur la jeune femme qui se renforce, et qui sera bientôt sa vraie femelle soumise…
Cristal prend une douche, quand son portable sonne. Elle décroche, c’est Jennifer :
« Ah... si tu savais Cristal... ce qu'on me fait... comme je jouis...oui… oui... que c'est bon de se faire doigter... Oh mon dieu... encore jeune fille... oui... bien sur le clito... »
La garce est en train de se gouiner avec un autre….
Cristal tombe à genoux, coupe son téléphone, et se met à pleurer.
C'est maintenant à la porte qu'on sonne. Chancelante, elle se lève pour aller ouvrir. Sur le pas de la porte, Jennifer, toujours au téléphone.
« Oh oui... c'est bon... si tu savais comme tu me fais du bien... vas-y...oui... »
Cristal a à peine le temps de comprendre la mise en scène, que Jennifer se jette sur elle, la plaque au sol, la couvre de baisers.
« Tu n’as pas compris que c'était pour me faire mousser ? Tu sais bien que ne pourrai jamais me passer de toi. Enfin, si tu m’obéis bien gentiment… Allez viens, on a toute la nuit pour faire l'amour.
- Mais pourquoi tu m'as fais ça ? sanglote Cristal, j'avais mal tu sais...
- J'avoue être allée un peu loin, allons au lit ma chérie... On va bien se chatter... »
A ce moment-là, il n'y a pas de dominatrice, pas de soumise, juste deux amantes qui s'aiment.
La nuit s'annonce féroce et ultra chaude…
Jennifer et Cristal sont entièrement nues sur le lit en train de s'embrasser du bout des lèvres. Les petites culottes et les soutiens gorge sont illico jetés au sol. Les deux femmes s'enroulent entre elles dans de torrides baisers. Les doigts partent à l'aventure, caressent les seins, les doigts pénètrent les chattes, martyrisent le clitoris. Les cris de plaisir fusent dans la chambre. Les orgasmes se suivent en chaine et sans répit... Jamais elles n’ont autant joui avec leurs maris respectifs…
Un vrai combat, à tel point, que les deux femmes tombent du lit... Pas grave, la moquette est moelleuse.
Les deux belles sœurs font des tonneaux, toujours enlacées, puis Jennifer s'encastre entre les jambes de Cristal, frotte sa chatte contre la sienne, les clitoris, décalottés au maximum se défient. C'est Cristal qui hurle la première, suivi de Jennifer qui libère un flot de mouille et de cyprine. Les deux femmes, épuisées s'assoupissent à même la moquette.
Le lendemain soir, les maris rentrent de leur déplacement.
« Vous rentrez déjà, dit Jennifer, on avait prévue une soirée resto et cinéma avec Cristal.
- Ah bon, et le film, c'est quoi ? demande Lucas.
- Une chatte sur un toit brulant.
- Très peu pour moi », reprend Dan.
Dans la salle de bain, les deux complices se préparent à sortir. Jennifer prend Cristal par la taille, l'embrasse dans le cou, lui soulève la jupe.
« Toi aussi, t'as pas mis de culotte, tu es très attirante comme ça… Allons-y. »
Le repas terminé, les deux amantes vont à la dernière séance, il est minuit.
« Mais ce n’est pas le titre que tu as dis. Là c'est « une chatte sur des doigts brulant » !
- T'as rien compris ma chérie, sourit Jennifer, c'est pour que nos époux ne nous suivent pas. Regarde ce que j'ai acheté.
- Des godes, sursaute Cristal, mais tu es folle
- De toi, oui... on va pouvoir se le mettre... bien profond. »
A cette idée, le désir les submergea à nouveau, et elles se retrouvent à nouveau nues sur le lit... La sortie attendra encore un peu… Elles oublient que leurs maris ne sont pas loin….
Cristal était toute nue et étendue sur le lit. Jennifer se mit à genoux au-dessus de sa tête. Cristal léchait la chatte de Jennifer doucement tandis que Jennifer caressait les seins de sa belle-sœur. Jennifer avait une très grosse poitrine. Elle devait bien avoir un bonnet 95D ou 95E. De temps en temps, elle se prenait les seins pour se les caresser. Tout en se faisant lécher par Cristal, elle bougeait son sexe sur le visage de son amante ce qui faisait osciller ses seins de haut en bas. Cristal, se masturbait de la main gauche pendant que sa main droite caressait sa poitrine et les fesses de Jennifer en alternance.
Assez vite, Jennifer se pencha plus en avant et se mit à lécher à son tour la chatte de sa compagne. Elles se caressaient mutuellement les fesses alors qu'elles se léchaient. Les seins de Jennifer s'écrasaient contre le ventre de son amie.
Toute à leurs jeux, elles ne virent pas la porte s’ouvrir, et leurs maris les contempler avec stupéfaction…
Malgré tout, ils étaient très excités de voir les deux femmes se gouiner sur le lit…
Ils se regardèrent avec un sourire entendu, et Lucas lança :
« Je vois que la douche vous a bien plu ! J'espère que nous ne vous dérangeons pas trop dans notre chambre... »
Jennifer se décolla rapidement du sexe de Cristal et se roula près de sa belle sœur avant qu'elles ne se lèvent toutes les deux du lit. Cristal pris la parole rapidement et dit :
« Oh, chéri, je suis désolée… La douche nous a un peu excitées et nous n'avons pas pu résister. Nous sommes désolées, nous allons au cinéma de ce pas ! »
Lucas répliqua d'une voix autoritaire :
« Quitter l'appart ? Et encore quoi ? Vous croyez peut être que nous allons vous excuser aussi vite ? Nous vous excuserons si nous le désirons et avant cela vous allez devoir faire ce que nous vous dirons de faire ! Sinon, ce sera un motif de divorce ! »
Cristal ne reconnait plus son mari... Mais la situation l’excite, et elle attend de voir la suite… Lucas était très beau dans cette position dominante...
Elle lui demanda :
« Et que doit-on faire pour éviter cela ? »
Lucas répondit :
« Tout d'abord, couchez vous sur le lit et fermez les yeux. »
Les deux filles s'exécutèrent. Lucas se dirigea au-dessus de Jennifer, mit son sexe sur le visage de celle-ci et se retourna juste un moment vers Cristal en lui disant :
« Allez, occupe toi de Dan ! Elles vont devoir payer pour se faire pardonner... »
L’attitude de Lucas surprenait Cristal, mais cela l’amusait beaucoup en plus de l'exciter...
Dan rejoignit Lucas sur le lit au-dessus de Cristal et cria :
« Allez, maintenant, sucez-nous ! »
Jennifer et Cristal s'exécutèrent tout de suite. Cristal se jeta sur la bite de Dan, heureuse de sucer un autre chibre que celui de son mari... Sans que celui-ci y trouve à redire !
Jennifer ne fut pas en reste, et commença à pomper vigoureusement son beau-frère.
Pendant de longues minutes, on n’entendait plus que les bruits de succion dans la chambre. Les deux frères se regardaient en souriant, excités à mort de se retrouver dans cette situation inédite…
Après quelques minutes de fellations intenses, ils décidèrent de changer de positon. Ils demandèrent aux filles de se mettre en 69. Ils les matèrent en se branlant vigoureusement, toujours aussi heureux de leur bonne fortune…
Les deux belles-sœurs obtempérèrent, et Jennifer se coucha sur le dos, pendant que Cristal venait se coucher sur elle. Presqu’en même temps, elles croquèrent la vulve de l’autre, passant leurs langues dans tous les recoins intimes de l’autre. Cristal ne résista pas longtemps, et jouit bruyamment, inondant le visage de sa camarade de jeux… Leurs maris décidèrent de les rejoindre…
Les deux femmes continuaient de se gouiner avec passion, semblant y prendre un plaisir intense. Dan vint se mettre derrière Cristal, et saisit les fesses offertes. Elle était trempée de sa jouissance, et il la pénétra d’un seul coup de queue, entrant au plus profond de son vagin. Jennifer avait ainsi une vue de très père de la bite de son mari besognant sa belle-sœur. Elle accompagnait les va et vint de coups de langue, qui arrachaient de nouveaux cris à Cristal.
Après avoir observé un peu cette scène magique, Lucas passa aussi à l’acte. Il souleva un peu la tète de sa femme, pour pouvoir embrocher de son chibre dur comme de l’acier, la chatte appétissante de Jennifer. Cette dernière tentait de lécher le petit bouton bien dressé de sa coquine, pour qu’elle éprouve le même plaisir qu’elle.
Le tableau était des plus excitants : les deux frères baisaient la femme de l’autre, pensant qu’elles continuaient tant bien que mal à se lécher leurs abricots en feu…
Le chevauchée sauvage continua de longues minutes, Jennifer jouit à son tour, se cambrant sous les assauts de son beau-frère. Cristal but avec délice sa cyprine empreinte de l’odeur de son Dan.
A quelques secondes d’écart, les deux hommes jouirent en longues secousses, engorgeant de leurs semences les grottes enflammées de leurs épouses. Ils se couchèrent sur le coté, épuisés, pendant que leurs femmes entreprenaient de « nettoyer » consciencieusement avec leurs langues le sperme dont l’autre était remplie
Puis, avec un clin d’œil complice, elles se redressèrent et allèrent embrasser chacune son mari. Les hommes surpris, eurent une grimace de dégout…
« Eh mes mecs, ca reste en famille !!! Vous êtes frères, lança Cristal, amusée.
- Oui, mais bon, on n’est pas fan non plus ! »
Et ils éclatèrent de rire tous les quatre.
La nuit se poursuivit ainsi, en partie carrée. Les quatre amants semblaient inépuisables…
Et les jours qui suivirent se défoulèrent ainsi.. Pendant de longues soirées, ils baisent tous les quatre, essayant tous ce qui physiquement possible entre deux hommes et deux femmes très coquins… Ce qui n’empêchaient pas les belles sœurs de se retrouver à deux, pour leurs plaisirs lesbiens bien à elles…
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C'est un récit envoyé par un visiteur. Peut-être l'avait-il déjà fait publier ailleurs... Désolée de te décevoir...
c'est du déjà lu.dommage