Les Mémoires très Libertines de Sophie
L'éducation sentimentale d'une jeune fille
Après de longues années de pratique hétéro, deux mariages ratés, des amants baba cool et d'autres flics ou militaires, j'ai enfin trouvé ma voie. Je ne sais comment, mais Élodie a su me séduire au point que, pour la première fois de ma vie, je m'installe. Nous avons acheté une maison ensemble et nous sommes pacsées. Elle a réveillé chez moi le plaisir de tendres moments que j'avais connus dans mon enfance. Sa douceur et son exhibitionnisme me rappellent cette adorable relation que j'ai entretenue pendant deux ans avec une enseignante qui m'a marquée par son audace et sa gentillesse.
Je voudrais vous la raconter.
Je me sens mal lors de cette rentrée scolaire. En début d'année, j'ai eu mes premiers saignements et personne pour m'expliquer ce qui se passe. Ma belle mère s'est contentée de me remettre un paquet de serviettes périodiques et m'a conseillé la lecture du mode d'emploi. Mon corps se modifie. Mes seins naissants et mes fesses plus rebondies attirent le regard des hommes et cela me met mal à l'aise. Je me sens à l'étroit dans mes vêtements. Mon chemisier se tend sur mes seins. La braguette de mon jean ne se ferme que si je retiens mon souffle et rentre le ventre. Je n'ai plus envie de sortir de la maison et pourtant l'école m'attend !
Dés le premier jour, je supporte mal le regard aimanté des garçons plus grands sur mes formes et celui, envieux, des filles. Je me fais la plus discrète possible et affectionne les vêtements amples qui masquent mes « différences ». Seule, l'attention que me porte la nouvelle institutrice me réjouit. Elle ne cesse de me mettre en valeur pour mon intelligence. Lorsqu'elle effleure ma joue ou ma main, je ressens comme une exaltation. Mon souffle s’accélère et mon corps est réceptif à la caresse. De longues semaines passent entre l'isolement de ma chambre, ou je me réfugie, et ces longs moments passés en compagnie de l'enseignante.
Elle est de plus en plus proche de moi. Sa main s'égare sur mon genou lorsqu'elle m'explique une partie du cours. Elle me demande parfois de rester après la classe. Tout est prétexte à me prendre par l'épaule, glisser un doigt dans mon col ou caresser tendrement ma cuisse. Je la sens émue sans comprendre pourquoi. Elle me croit capable de réussir brillamment le certificat d'études et propose à mes parents de me donner des cours particuliers pendant les vacances de Toussaint.
Dès le premier jour, elle me conseille d'enlever mon manteau et mon pull tant son studio est bien chauffé. Nous sommes assises côte à côte à son bureau. Pendant toute la séance sa main gauche est posée sur ma cuisse tandis que la droite ponctue les encouragements en me caressant la joue, le dos... Au milieu de la semaine, la main gauche remonte sur la cuisse et me caresse l'aine tandis que sa jumelle pelote tendrement mes épaules et glisse souvent vers ma poitrine entre les boutons de mon chemisier trop tendu. A hauteur de mes seins, un d'entre eux cède et laisse entrevoir ma gorge. Je le laisse ainsi, comme pour la remercier de toute cette attention. Elle se trouble et bafouille. J'ai atteint mon but.
Le lendemain, elle m'accueille seulement vêtue d'une nuisette à demi transparente. Je suis émue par le spectacle. Je suis ravie car son anatomie ressemble à la mienne. Elle m'embrasse tendrement. Elle évoque encore le chauffage collectif et me retire ma jupe et mon chemisier « pour être à l'aise ». Je suis le cours uniquement vêtue de ma culotte. A chaque bonne réponse ses mains s'agitent sur mes seins et à mon entrejambe. J'en ressens un plaisir coupable, une exaltation... Je fais tout pour faciliter sa caresse. J'écarte largement les cuisses, je tends mes seins vers elle. Sa voix reste ferme mais ses mains tremblent et son visage se couvre de pourpre. Ma culotte est humide et sa caresse se fait plus précise. Puis soudain elle m'aide à me vêtir et me chasse.
Le dimanche passe avec ses rituels. Pendant l'office, je ne fais que penser à elle. Ma culotte se mouille à nouveau. Je rentre rapidement à la maison et me caresse, mais le plaisir ne vient pas. Je m’ennuie de la retrouver, de sentir ses mains sur mon corps, de la laisser me caresser et de ressentir à nouveau cette intense exaltation.
Son accueil sera à la hauteur de mes attentes. La nuisette du jour est vraiment transparente et elle est nue dessous. Sous ses épaules très droites, ses seins en poire sont légèrement tombants. Son bassin est étonnamment étroit et sa toison pubienne inexistante. Les lèvres de son sexe sont proéminentes. Je la contemple avec émotion. Elle me serre contre elle et guide mes mains sous le vêtement vers ses fesses. Sa peau est douce et je la caresse tendrement. Elle se tortille et notre baiser dérape sur nos bouches. Ses lèvres s'emparent de mes lèvres. Je sens sa langue pénétrer en moi et venir provoquer la mienne. Je résiste avec délice.
En quelques minutes, je ne suis plus vêtue que de mes socquettes blanches et sa nuisette est à terre. Elle me fait basculer sur son lit étroit et pelote mes seins dressés. Elle écartèle mes cuisses, caresse mon clitoris et mon cul, et me met en transes. Mon corps se cambre, mon ventre se contracte et le désir monte en moi. Je suis submergée par lui et mon corps ne m'appartient plus. Lorsque je regagne ma chambrette, je m'y enferme sans diner et dors peu, hantée par mille tourments.
Le jour suivant, je me rends à son domicile, nue sous mon manteau, comme elle me l'a suggéré. Tout le trajet n'est qu'une longue torture de bonheur mélangé de honte. J'imagine que tout le monde voit ma nudité couverte et me juge ou me menace. Elle m'accueille totalement nue, offerte, des rubans dans les cheveux. Je ne peux retenir mes mains qui se tendent vers ses appâts, les effleurent et les pétrissent. Mon manteau, une fois déboutonné, tombe à terre. Mes seins sont dressés, ma vulve humide. Elle caresse mon sexe et m'étend sur sa couche. Elle en épile brutalement le léger duvet à la cire froide, qu'elle a préparée tout exprès. La douleur s'ajoute à la volupté.
Elle m'enduit d'un baume calmant puis ses doigts dérapent vers mon clitoris qui se dresse. Je suis en émoi. Elle me demande de la caresser et guide mes gestes tout en étrillant tout mon corps au passage. Mes paumes malaxent ses seins et ses fesses, caressent son dos et ses jambes. Son visage est étreint et embrassé. Elle saisit mes doigts dans sa bouche et les détrempe de salive puis les guide en sa vulve et ses fesses. Elle se tord de plaisir et trempe ses mains de mouille avant de pénétrer mon cul... Honteux extase !
Lorsque l'école reprend, l'enseignante se fait plus distante mais continue à m'encourager. Le mercredi, nous nous donnons rendez-vous en cachette le long du canal. Nous nous caressons à l'abri des roseaux ou à son domicile. Plusieurs fois nous avons failli être découvertes ce qui ajoute beaucoup à l'excitation du moment. Nos cachettes au sein de la roselière furent souvent violées sans succès. Un jour, une de mes condisciples pénétra plus loin dans le bosquet au point que j'aperçus son visage.
Pourtant, elle ne vit rien, ou ne voulut rien voir, ni dire. A cet instant, mon dos se cabra et mon entrejambe devint humide alors que mon souffle devenait court et ma poitrine oppressée. Mes seins se dressèrent et ma compagne entreprit de me faire jouir. Elle finit de me dénuder et caressa mes zones érogènes. L'insécurité de notre abri et le risque d'être découverte totalement nue en une posture indécente me procura un plaisir jamais atteint depuis.
Désormais nous affectionnons les tenues courtes et qui dévoilent largement nos poitrines. Les hommes se retournent sur notre passage. Nous ne portons plus de sous-vêtements les jours où nous nous rencontrons. L'absence de pilosité renforce la sensation de nudité. Nos corps sont excités et en demande de caresses. Je me sens sans voile, exposée au regard de tous et désirable. J'aime à nouveau mon corps. Mon amante l'entoure de soins exclusifs. En classe elle ne cesse de me favoriser et je suis toujours la première. Je le lui rends bien en respectant scrupuleusement toutes ses consignes. Parfois mon cerveau s'embrume et le désir m'envahit. Je soulage discrètement mon sexe. Le plus souvent je m'applique pleine d'affection pour elle. J'ai découvert l'amour.
Ainsi, belle Élodie, tu n'es pas la première ! Sans cette adorable institutrice, je n'aurais sans doute jamais été sensible à tes charmes et connu ce bonheur présent. Je ne t'ai rien raconté. Je préfère que tu penses m'avoir initiée et soustraite au monde, si cruel, des mâles dominants. Je te laisse croire que mon exhibitionnisme est le fruit de ton seul désir.
Quand je te regarde, confortablement installée dans ton fauteuil, je t'imagine uniquement revêtue de sa nuisette transparente, les seins dressés et la chatte épilée, comme elle. Cela te va bien.
Dieu que je te désire !
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Un dépannage inattendu
Ce matin, une mini histoire, vécue hier matin.
Là, j’avoue que j'ai fait fort... Je me suis fait le dépanneur de ma voiture ! Mais là, j’ai fait œuvre de charité humaine : il était vraiment laid ! Mais un bon coup de langue, par contre !!!!
Je suis tombée en rade à six heures du matin, en pleine campagne. J’appelle aussitôt mon assistance, qui m’envoie une dépanneuse. Elle arrive au bout d’une heure. Je me suis endormie dans la voiture. Le dépanneur toque au carreau, je me réveille en sursaut. Je vois le regard de l’homme descendre sur mes cuisses. Dans mon sommeil, ma jupe est remontée très haut et on distingue un bout de mon string blanc. Je rabat le tissu très vte, mais j’ai vu son œil s’allumer d’une lueur lubrique. Je connais trop bien ce regard…
Je sors de la voiture, explique brièvement le problème. Il se couche au sol, et regarde sous le moteur. Mais il me demande de m’approcher pour appuyer sur l’accélérateur. Je ne suis pas dupe, et j’obtempère, m’approchant de lui, et restant les jambes bien écartées…
Il se relève, et me regarde avec de tels yeux exorbités et plein de désir, que je n'ai pas pu me reculer, quand il a passé « par inadvertance » sa main sur mes fesses... Je n'ai pas bougé, il a aussitôt enfoui sa main entre mes cuisses.
Ce qui a le dont de me faire mouiller illico !
Sans plus réfléchir, je me suis accrochée au rétroviseur de la dépanneuse, et j'ai posé un pied sur le marchepied, ouvrant bien ma cuisse à angle droit. Ainsi, il avait un bon angle pour me caresser. Il est passé devant moi, a ouvert ma chatte à deux mains... Et il s'est penché pour y enfoncer sa langue d'une traite. Mhumm… Un pur plaisir à l'état brut. Il m’a fait jouir très vite, trop vite, en me léchant ainsi... Sa langue était vive, experte, douce et puissante à la fois. Un vrai expert ! Je présume qu’il lui faut compenser son physique ingrat par des capacités sexuelles plus importantes…
Puis il s'est reculé, a sorti sa petite bite, et a commencé à se branler sous mes yeux. J'ai basculé mon bassin en avant, pour qu'il me voie mieux me masturber, et je me suis caressée devant lui. Il avait les yeux hors de la tête.
Comme on n'avait pas de capotes, on en est resté là. Il a joui en se branlant à mort, matant ma main qui fouillait ma fente trempée... J’ai joui une nouvelle fois, car j’adore m’exhiber ainsi, et voir l’homme jouir grâce au spectacle que je lui offre.
Le tout a duré moins de dix minutes, mais quel pied !!!
J'en mouille encore en vous le racontant...
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Les tribulations libertines d’un cadre de l’agroalimentaire. - partie 3
3. Soirée de clôture du salon.
Comme c’est d’usage dans certains sports, il y a souvent une troisième mi-temps. C’est aussi l’usage lors des soirées de clôture des salons professionnels qui sont parfois l’occasion de fêtes quelque peu débridées.
Cette année, j’étais chargé avec un collègue de la société agro-alimentaire pour laquelle je travaille d’assurer l’après-midi sur le stand jusqu’à la fermeture des portes. Les collègues du matin se chargeraient du démontage du stand le lendemain avec des manutentionnaires.
Les dernières heures avaient été plutôt calmes et, avec Bruno, nous avions bavardé une bonne partie de l’après midi avec deux hôtesses qui tenaient le stand voisin du notre avec un commercial d’une grande entreprise bien connue. En fait elles n’étaient pas du tout dans la profession. Pardonnez moi l’expression, elles avaient été embauchées spécialement pour la durée du salon pour distribuer des échantillons et dépliants publicitaires, c'est-à-dire jouer les « potiches ».
Agées d’environ vingt-cinq ans, assez grandes l’une et l’autre, leur silhouette élancée était mise en valeur par leur tailleur strict mais élégant, des chaussures à talons et des bas à couture, ce qui est rare à notre époque. C’est certainement leur tenue de travail habituelle car une broche dorée et discrète au revers du col indiquait le nom de leur agence. Les cheveux longs étaient artistement arrangés en chignon assez lâche. L’une était brune, très typée méditerranéenne voire même maghrébine, l’autre avait des cheveux auburn avec un visage constellé d’éphélides.
En plaisantant, nous avions lancé quelques allusions orientées « SEXE » auxquelles elles avaient répondu facilement sur le même ton badin. Peut-être avions nous une chance à tenter ? Lorsque nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le parking des exposants pour reprendre nos voitures respectives, nous les avons invitées à prendre un pot « en toute amitié » dans un des bars-brasseries de l’aéroport de Roissy tout proche. Elles ont accepté sans problème. Personnellement, j’avais tout mon temps, ma copine Anne-Sophie était en voyage pour son travail et Bruno était célibataire.
Nous avions trouvé une table dans un coin discret de la brasserie où nous avons poursuivi notre flirt avec ces deux coquines qui se laissaient draguer aussi facilement. J’avais jeté mon dévolu sur Chaïma la brune et Ludovic était avec la rousse. Assis sur la banquette, ma cuisse gauche pesait sur celle de ma voisine qui se collait à moi. Je sentais la douce pression d’un sein bien ferme contre mon bras ce qui m’a incité à passer mon bras gauche derrière sa tête en laissant négligemment ma main descendre dans l’encolure de sa veste pour empaumer un sein. Elle ne se refusa pas. En face de nous, Bruno et Inès étaient un peu plus avancés. Ils s’embrassaient à bouche que veux-tu et il avait ouvert la veste pour aller caresser un sein par-dessus le corsage.
Le lieu n’était guère propice aussi, avec la complicité du réceptionniste de l’hôtel Campanile, nous avons pu louer une grande chambre avec deux lits où nous avons emmené nos conquêtes. Tous les quatre nous étions bien chauds, non que nous ayons bu un peu trop, mais les préliminaires avec ces deux belles filles nous avaient bien conditionnés pour la suite. Lorsque nous sommes arrivés dans la chambre, ces deux coquines nous ont dit avec un bel ensemble :
« Laissez nous ! Nous allons vous faire le spectacle ! Après vous pourrez nous baiser ! »
Elles se sont enlacées pour s’embrasser à bouche que veux-tu tout en se caressant par-dessus leurs vêtements. Ensuite, elles se sont déshabillées mutuellement, ne conservant que leur soutien gorge et un string pour Inès et un tanga pour Chaïma. Dans cette tenue très sexy, elles ont continué à se caresser, frôlant doucement un sein ou dessinant la courbe d’une hanche, puis, toujours avec un bel ensemble comme dans un ballet bien réglé, elles se sont débarrassées de ces dernières pièces de lingerie. Toutes les deux avaient le pubis nu.
Inès a fait basculer Chaïma sur un des lits et, à genoux sur le tapis, elle a commencé un cunnilingus très appuyé avec une main à moitié enfouie dans le sexe de la brune. Nous avions la vue sur ces deux beaux corps dans une pose oh combien érotique. Le contraste des deux malgré la lumière réduite, était flagrant.
La peau d’une blancheur laiteuse constellée d’éphélides d’Inès contrastait effectivement avec le teint mat de la belle beurette. Nous avions la vue sur le cul fendu, les hanches un peu larges sous la taille fine et au bas du dos, deux belles fossettes. Ses cheveux masquaient un peu le ventre de Chaïma mais on distinguait un joli tatouage représentant un bouton de rose dont les pétales se perdaient dans le creux du nombril.
Sur le torse pointaient deux seins ronds et fermes avec un téton très légèrement sorti. Au dessus du sein gauche il y avait un grain de beauté. D’un geste de la main, elle avait ramené sur son visage l’imposante masse de cheveux de son chignon défait. Inès savait y faire car le plaisir de Chaïma est arrivé très vite. Quelques minutes plus tard, elles se sont relevées et dirigées vers nous.
J’ai enlacé Chaïma qui tout de suite s’est collée à moi de tout son corps. Elle a noué ses bras derrière ma nuque, pressé ses seins contre ma poitrine et son bassin contre le mien a entrepris cette dans lascive qui faisait tournoyer ses hanches et achevé de faire dresser ma bite dans mon boxer pendant que sa langue fouillait ma bouche.
Puis elle a dégrafé mon pantalon qui a glissé jusqu’à mes chevilles. Elle s’est agenouillée devant moi et elle est allée chercher mon sexe pour l’engloutir jusqu’au fond de sa gorge. Tout en faisant les mouvements de va-et-vient avec sa tête, elle se massait la vulve de la main droite. Le buste nu avec ses jolis petits seins bien ronds et fermes collés contre mes jambes, elle a continué sa fellation. Je me suis déshabillé, faisant voler mes vêtements dans un angle de la chambre alors qu’elle n’avait conservé que ses bas. Waaouuh ! Quelle belle fille et quel talent de suceuse ! Nous avons basculé sur le lit, bras et jambes emmêlés, roulant l’un sur l’autre en nous embrassant.
Bruno et Inès étaient nus eux aussi. Il lui faisait un cunnilingus en même temps qu’il lui pelotait les seins, les bras allongés devant lui. J’avais le sexe bandé à mort. J’ai bloqué Chaïma sur le dos, doucement j’ai ouvert la fourche de ses cuisses et je me suis amusé à titiller l’entrée de sa chatte avec le bout de ma queue. Elle était prête à m’accueillir, mais avant, j’ai rapidement enfilé un préservatif. D’une lente poussée continue, j’ai pénétré sa grotte d’amour.
Qu’elle était chaude et humide, préparée par sa complice. Chaïma a relevé ses jambes en les repliant au niveau des genoux. Elle se livrait totalement. Je prenais mon temps pour bien la baiser. Une belle fille comme elle, on ne la saute pas à la va vite. Chaque fois que j’arrivais au fond de son vagin elle poussait un petit cri ou un soupir. Je sentais son plaisir et le mien monter doucement. Quand je l’ai sentie sur le point de jouir, j’ai accéléré mes mouvements et au moment où elle venait, j’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond du préservatif. Je ne sais pas comment Bruno baisait Inès, toujours est-il que celle-ci avait la jouissance plutôt bruyante. Quand elle a joui, elle l’a bramé haut et fort.
Après un bref temps de repos, Inès s’est écriée :
« Allez ! On change ! »
Elle a quitté le lit sur lequel Bruno l’avait baisée pour venir remplacer Chaïma. Au passage, elles se sont bécotées rapidement. L’une comme l’autre, elles ont entrepris de faire renaître notre bandaison. Quand ma bite a été au gout d’Inès, elle s’est mise en levrette, les bras en appui sur la tête de lit en disant :
« Ton copain m’a pris la chatte, à toi mon cul ! »
J’avais devant moi ses fesses bien fendues et au fond de sa raie, l’œillet plissé qui semblait m’appeler. Joli spectacle ! Je me suis couvert à nouveau (j’ai toujours plusieurs préservatifs avec moi) et après avoir fait quelques mouvements rapides dans sa chatte, j’ai placé le bout de ma bite sur son œillet. Pendant que je poussais, elle en faisait autant si bien que mon bas ventre est rapidement arrivé au contact de ses globes fessiers. Elle était étroite mais son sphincter était bien souple. Ce devait être une adepte de la sodomie.
Chaïma avait enfourché Bruno en lui tournant le dos dans la position de l’amazone. Elle montait et descendait sur sa bite dressée, les mains reposant sur ses genoux. Quand elle montait, je voyais Bruno titiller l’anneau plissé du cul de la belle pour finalement y introduire deux doigts. Excitée par cette caresse Chaïma s’est dégagée et d’elle-même, elle est venue empaler son cul sur la bite toujours dressée. Une fois bien positionnée sur la queue, elle s’est déchainée, se sodomisant elle-même comme une furie et jouissant deux fois avant que Bruno ne se lâche.
Je sodomisais Inès plus calmement, faisant de lents et profonds mouvements de va-et-vient jusqu’au contact de ses fesses qui se moulaient bien dans les creux de mes hanches. Au moment où elle jouissait, je lui donnai un violent coup de reins et je lâchai trois ou quatre belles giclées de sperme dans le préservatif.
Les deux coquines ont à nouveau changé de partenaire pour venir toiletter nos bites. La journée de travail et notre partie de jambes en l’air ont eu raison de nous. Nous nous sommes endormis tous les quatre, Chaïma dans mes bras et Inès dans ceux de Bruno.
Le lendemain vers neuf heures nous avons commandé un solide petit déjeuner au service d’étage, puis nous avons repris nos voitures au parking de l’hôtel. Chacun rentrant chez lui.
Notre troisième mi-temps avait été géniale !
J’aurais des choses à raconter à Anne-Sophie à son retour.
FIN !
- Commentaires textes : Écrire
Les tribulations libertines d’un cadre de l’agroalimentaire. - partie 3
3. Soirée de clôture du salon.
Comme c’est d’usage dans certains sports, il y a souvent une troisième mi-temps. C’est aussi l’usage lors des soirées de clôture des salons professionnels qui sont parfois l’occasion de fêtes quelque peu débridées.
Cette année, j’étais chargé avec un collègue de la société agro-alimentaire pour laquelle je travaille d’assurer l’après-midi sur le stand jusqu’à la fermeture des portes. Les collègues du matin se chargeraient du démontage du stand le lendemain avec des manutentionnaires.
Les dernières heures avaient été plutôt calmes et, avec Bruno, nous avions bavardé une bonne partie de l’après midi avec deux hôtesses qui tenaient le stand voisin du notre avec un commercial d’une grande entreprise bien connue. En fait elles n’étaient pas du tout dans la profession. Pardonnez moi l’expression, elles avaient été embauchées spécialement pour la durée du salon pour distribuer des échantillons et dépliants publicitaires, c'est-à-dire jouer les « potiches ».
Agées d’environ vingt-cinq ans, assez grandes l’une et l’autre, leur silhouette élancée était mise en valeur par leur tailleur strict mais élégant, des chaussures à talons et des bas à couture, ce qui est rare à notre époque. C’est certainement leur tenue de travail habituelle car une broche dorée et discrète au revers du col indiquait le nom de leur agence. Les cheveux longs étaient artistement arrangés en chignon assez lâche. L’une était brune, très typée méditerranéenne voire même maghrébine, l’autre avait des cheveux auburn avec un visage constellé d’éphélides.
En plaisantant, nous avions lancé quelques allusions orientées « SEXE » auxquelles elles avaient répondu facilement sur le même ton badin. Peut-être avions nous une chance à tenter ? Lorsque nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le parking des exposants pour reprendre nos voitures respectives, nous les avons invitées à prendre un pot « en toute amitié » dans un des bars-brasseries de l’aéroport de Roissy tout proche. Elles ont accepté sans problème. Personnellement, j’avais tout mon temps, ma copine Anne-Sophie était en voyage pour son travail et Bruno était célibataire.
Nous avions trouvé une table dans un coin discret de la brasserie où nous avons poursuivi notre flirt avec ces deux coquines qui se laissaient draguer aussi facilement. J’avais jeté mon dévolu sur Chaïma la brune et Ludovic était avec la rousse. Assis sur la banquette, ma cuisse gauche pesait sur celle de ma voisine qui se collait à moi. Je sentais la douce pression d’un sein bien ferme contre mon bras ce qui m’a incité à passer mon bras gauche derrière sa tête en laissant négligemment ma main descendre dans l’encolure de sa veste pour empaumer un sein. Elle ne se refusa pas. En face de nous, Bruno et Inès étaient un peu plus avancés. Ils s’embrassaient à bouche que veux-tu et il avait ouvert la veste pour aller caresser un sein par-dessus le corsage.
Le lieu n’était guère propice aussi, avec la complicité du réceptionniste de l’hôtel Campanile, nous avons pu louer une grande chambre avec deux lits où nous avons emmené nos conquêtes. Tous les quatre nous étions bien chauds, non que nous ayons bu un peu trop, mais les préliminaires avec ces deux belles filles nous avaient bien conditionnés pour la suite. Lorsque nous sommes arrivés dans la chambre, ces deux coquines nous ont dit avec un bel ensemble :
« Laissez nous ! Nous allons vous faire le spectacle ! Après vous pourrez nous baiser ! »
Elles se sont enlacées pour s’embrasser à bouche que veux-tu tout en se caressant par-dessus leurs vêtements. Ensuite, elles se sont déshabillées mutuellement, ne conservant que leur soutien gorge et un string pour Inès et un tanga pour Chaïma. Dans cette tenue très sexy, elles ont continué à se caresser, frôlant doucement un sein ou dessinant la courbe d’une hanche, puis, toujours avec un bel ensemble comme dans un ballet bien réglé, elles se sont débarrassées de ces dernières pièces de lingerie. Toutes les deux avaient le pubis nu.
Inès a fait basculer Chaïma sur un des lits et, à genoux sur le tapis, elle a commencé un cunnilingus très appuyé avec une main à moitié enfouie dans le sexe de la brune. Nous avions la vue sur ces deux beaux corps dans une pose oh combien érotique. Le contraste des deux malgré la lumière réduite, était flagrant.
La peau d’une blancheur laiteuse constellée d’éphélides d’Inès contrastait effectivement avec le teint mat de la belle beurette. Nous avions la vue sur le cul fendu, les hanches un peu larges sous la taille fine et au bas du dos, deux belles fossettes. Ses cheveux masquaient un peu le ventre de Chaïma mais on distinguait un joli tatouage représentant un bouton de rose dont les pétales se perdaient dans le creux du nombril.
Sur le torse pointaient deux seins ronds et fermes avec un téton très légèrement sorti. Au dessus du sein gauche il y avait un grain de beauté. D’un geste de la main, elle avait ramené sur son visage l’imposante masse de cheveux de son chignon défait. Inès savait y faire car le plaisir de Chaïma est arrivé très vite. Quelques minutes plus tard, elles se sont relevées et dirigées vers nous.
J’ai enlacé Chaïma qui tout de suite s’est collée à moi de tout son corps. Elle a noué ses bras derrière ma nuque, pressé ses seins contre ma poitrine et son bassin contre le mien a entrepris cette dans lascive qui faisait tournoyer ses hanches et achevé de faire dresser ma bite dans mon boxer pendant que sa langue fouillait ma bouche.
Puis elle a dégrafé mon pantalon qui a glissé jusqu’à mes chevilles. Elle s’est agenouillée devant moi et elle est allée chercher mon sexe pour l’engloutir jusqu’au fond de sa gorge. Tout en faisant les mouvements de va-et-vient avec sa tête, elle se massait la vulve de la main droite. Le buste nu avec ses jolis petits seins bien ronds et fermes collés contre mes jambes, elle a continué sa fellation. Je me suis déshabillé, faisant voler mes vêtements dans un angle de la chambre alors qu’elle n’avait conservé que ses bas. Waaouuh ! Quelle belle fille et quel talent de suceuse ! Nous avons basculé sur le lit, bras et jambes emmêlés, roulant l’un sur l’autre en nous embrassant.
Bruno et Inès étaient nus eux aussi. Il lui faisait un cunnilingus en même temps qu’il lui pelotait les seins, les bras allongés devant lui. J’avais le sexe bandé à mort. J’ai bloqué Chaïma sur le dos, doucement j’ai ouvert la fourche de ses cuisses et je me suis amusé à titiller l’entrée de sa chatte avec le bout de ma queue. Elle était prête à m’accueillir, mais avant, j’ai rapidement enfilé un préservatif. D’une lente poussée continue, j’ai pénétré sa grotte d’amour.
Qu’elle était chaude et humide, préparée par sa complice. Chaïma a relevé ses jambes en les repliant au niveau des genoux. Elle se livrait totalement. Je prenais mon temps pour bien la baiser. Une belle fille comme elle, on ne la saute pas à la va vite. Chaque fois que j’arrivais au fond de son vagin elle poussait un petit cri ou un soupir. Je sentais son plaisir et le mien monter doucement. Quand je l’ai sentie sur le point de jouir, j’ai accéléré mes mouvements et au moment où elle venait, j’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond du préservatif. Je ne sais pas comment Bruno baisait Inès, toujours est-il que celle-ci avait la jouissance plutôt bruyante. Quand elle a joui, elle l’a bramé haut et fort.
Après un bref temps de repos, Inès s’est écriée :
« Allez ! On change ! »
Elle a quitté le lit sur lequel Bruno l’avait baisée pour venir remplacer Chaïma. Au passage, elles se sont bécotées rapidement. L’une comme l’autre, elles ont entrepris de faire renaître notre bandaison. Quand ma bite a été au gout d’Inès, elle s’est mise en levrette, les bras en appui sur la tête de lit en disant :
« Ton copain m’a pris la chatte, à toi mon cul ! »
J’avais devant moi ses fesses bien fendues et au fond de sa raie, l’œillet plissé qui semblait m’appeler. Joli spectacle ! Je me suis couvert à nouveau (j’ai toujours plusieurs préservatifs avec moi) et après avoir fait quelques mouvements rapides dans sa chatte, j’ai placé le bout de ma bite sur son œillet. Pendant que je poussais, elle en faisait autant si bien que mon bas ventre est rapidement arrivé au contact de ses globes fessiers. Elle était étroite mais son sphincter était bien souple. Ce devait être une adepte de la sodomie.
Chaïma avait enfourché Bruno en lui tournant le dos dans la position de l’amazone. Elle montait et descendait sur sa bite dressée, les mains reposant sur ses genoux. Quand elle montait, je voyais Bruno titiller l’anneau plissé du cul de la belle pour finalement y introduire deux doigts. Excitée par cette caresse Chaïma s’est dégagée et d’elle-même, elle est venue empaler son cul sur la bite toujours dressée. Une fois bien positionnée sur la queue, elle s’est déchainée, se sodomisant elle-même comme une furie et jouissant deux fois avant que Bruno ne se lâche.
Je sodomisais Inès plus calmement, faisant de lents et profonds mouvements de va-et-vient jusqu’au contact de ses fesses qui se moulaient bien dans les creux de mes hanches. Au moment où elle jouissait, je lui donnai un violent coup de reins et je lâchai trois ou quatre belles giclées de sperme dans le préservatif.
Les deux coquines ont à nouveau changé de partenaire pour venir toiletter nos bites. La journée de travail et notre partie de jambes en l’air ont eu raison de nous. Nous nous sommes endormis tous les quatre, Chaïma dans mes bras et Inès dans ceux de Bruno.
Le lendemain vers neuf heures nous avons commandé un solide petit déjeuner au service d’étage, puis nous avons repris nos voitures au parking de l’hôtel. Chacun rentrant chez lui.
Notre troisième mi-temps avait été géniale !
J’aurais des choses à raconter à Anne-Sophie à son retour.
FIN !
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Les tribulations libertines d’un cadre de l’agroalimentaire. - partie 2
2. L’effeuilleuse.
Dans le cadre de mon travail, je recevais ce vendredi là Antonio, mon correspondant espagnol d’Alicante. Il était accompagné par sa femme Juanita. La réunion se déroulait sur toute la journée, aussi a-t’elle profité de son temps libre pour faire les boutiques parisiennes.
Le soir, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le hall de leur hôtel puis nous sommes allés diner dans le Quartier des Halles. Après le repas assez vite expédié, nous avons pris un taxi qui nous a conduit Place Clichy. Je voulais leur faire connaitre un cabaret qui venait d’ouvrir dans le secteur et dont on disait beaucoup de bien.
L’enseigne « Humour et délices » clignotait au dessus d’une porte cochère d’un immeuble ancien mais en bon état. De part et d’autre, il y avait des petites vitrines éclairées donnant des vues de la salle et annonçant les spectacles présentés.
Nous sommes entrés dans le hall brillamment éclairé et, après avoir traversé un salon ovale, nous sommes descendus profondément au sous-sol par un large escalier de marbre recouvert d’une épaisse moquette rouge.
Nous avons débouché dans la salle proprement-dite, une immense cave dont la voute était soutenue par de gros piliers de pierre brute. Nous nous trouvions dans une ancienne carrière comme il en existe bon nombre dans le sous sol de Paris. L’architecte avait su tirer parti de ce dont il disposait pour y créer un lieu de spectacle insolite mais particulièrement réussi.
A gauche des marches, il y avait le vestiaire puis le bar avec ses traditionnels tabourets hauts, au fond une petite scène masquée par un rideau rouge était ménagée dans l’amorce d’une vaste galerie. Au centre se trouvait une petite piste de danse animée par un D.J. Tout autour, il y avait deux rangées de tables pour deux ou quatre personnes.
A notre arrivé se déroulait le spectacle d’un jeune humoriste à la renommée montante. Puis la salle a été plongée dans l’obscurité presque totale. Des projecteurs se sont braqués sur deux alvéoles fermées par une grille de part et d’autre de la scène. Deux filles y dansaient au son de la musique, une danse lascive, invitation érotique propre à faire naitre des fantasmes chez les hommes présents.
L’une était une noire sculpturale aux cheveux très courts, grande, avec des seins en obus dressés sur son buste, des hanches galbées et des fesses rondes sous une taille très cambrée. Son faciès n’était pas particulièrement attrayant avec son nez épaté et ses lèvres lippues mais il s’en dégageait, tout comme du reste de son corps un magnétisme érotique très puissant.
L’autre était une européenne, grande également, aux longs cheveux châtain clair légèrement ondulés, avec des formes moins généreuses mais tout aussi attrayantes. Tous les regards se sont dirigés vers elles jusqu’à l’ouverture du rideau pour le clou de la soirée, un spectacle de striptease en couple.
Tout en dansant, la femme et l’homme retiraient mutuellement leurs vêtements ou d’en débarrassaient sur un roulement de tambour. Leurs corps semblaient être enduits d’une huile mêlée de paillettes dorées qui luisaient sous les projecteurs. Lorsqu’ils furent nus, n’ayant plus qu’un minuscule cache sexe, ils continuèrent leur danse lascive pour finir par mimer l’acte d’amour. La femme était de profil par rapport à la salle, le buste légèrement incliné en appui sur le dossier d’une chaise de bois doré avec les seins pendants et les jambes écartées. L’homme était collé contre ses fesses. Etait-il en train de la baiser réellement ? Etait-ce simulé ? Le final fut salué par un tonnerre d’applaudissements, lorsqu’ils firent semblant de prendre leur pied. Peut-être le prirent-ils vraiment car cela avait été assez long ?
Pendant ce spectacle, les deux filles des cages étaient descendues dans la salle pour aguicher les hommes présents. C’est la grande blonde qui est venue à notre table. Elle avait du repérer que j’étais seul en compagnie d’un couple. Elle s’est assise sur mes genoux en frottant ses seins nus contre moi. Puis elle s’est mise à cheval sur mes cuisses et a passé ses bras autour de mon cou. Je sentais son parfum enivrant et dans le même temps ma bite se dressait dans mon boxer.
Elle dut s’en rendre compte ou même le sentir car elle me dit à l’oreille :
« Je te fais envie ? Alors attends-moi dans une demi-heure à la sortie de la boîte ! Tu ne le regretteras pas ! »!
Comme c’était l’heure de la danse et que le lendemain la journée commençait assez tôt, j’ai payé nos consommations et nous avons regagné la sortie de la boite. Julia, notre gogo-girl, nous attendait déjà. Elle nous proposa de l’accompagner jusqu’à son studio tout proche pour une partie à quatre. Antonio et Juanita acceptèrent mais pour eux, ils n’étaient pas question d’échangisme.
Après cinq minutes de marche, nous sommes arrivés devant son immeuble. Son appartement se trouvait au second étage. Elle nous fit entrer dans une pièce immense ou trônait un grand lit éclairé par des projecteurs. Dans un angle de la pièce, il y avait une barre allant du sol au plafond et à quelque distance on pouvait voir deux caméras vidéo sur leur trépied et un ordinateur. Devant notre étonnement elle expliqua qu’elle était sur un réseau de caméras où des animatrices proposaient des petits spectacles érotiques. C’était son lieu de travail une grande partie de la journée.
J’enlaçai Julia et je lui ôtai ses vêtements. C’était vraiment une belle femme, vingt-cinq ans environ, des hanches étroites et de longues jambes de danseuse, une belle poitrine aux seins ronds et haut placés agréables à regarder et à caresser. Lorsqu’elle a été nue, elle me déshabilla à son tour et lorsque ma bite apparut, elle se baissa pour venir gober le gland. J’étais déjà bandé comme un taureau.
De leur côté Antonio et Juanita n’avaient pas perdu de temps. Certainement excités par l’érotisme du spectacle de la soirée, ils étaient déjà nus, en position de 69 sur le grand lit. Nous avions la vue magnifique du cul haut levé de la belle Juanita avec ses hanches un peu larges de latine. Elle avait un cul magnifique. Je ne l’avais jamais vu et j’étais surpris de la beauté des deux beaux globes charnus avec une fente profonde dans laquelle quelques poils folâtraient autour du petit trou plissé. Je me surpris à envier Antonio mais j’étais bien loti aussi avec ma copine Anne-Sophie.
J’inversai les rôles. Je fis mettre Julia sur le dos et je me mis tête-bêche au dessus d’elle pour lui manger la chatte. De son côté, au début, elle avait avalé ma bite jusqu’au fond de la gorge et maintenant elle se contentait de chatouiller le gland avec sa langue.
Je voulais la baiser réellement aussi, je la fis basculer pour qu’elle vienne s’empaler sur ma bite dressée dans la position du cheval renversé mais avant, elle couvrit mon sexe d’un préservatif. Lorsqu’il fut dans sa chatte, je relevai les jambes pour que Julia se mette en appui sur elles. Ainsi elle avait plus facile pour faire les mouvements de haut en bas, telle une cavalière sur sa monture lancée au trot ou au galop.
Chaque fois que ma bite arrivait au fond de sa chatte, elle s’inclinait légèrement pour m’offrir la vision de son anus plissé. Soudain nous entendîmes Antonio et Juanita bramer leur plaisir haut et fort. Cela nous fit partir à notre tour et je lâchai au fond de la capote quelques belles giclées de sperme.
En se dégageant de mon étreinte, Julia s’est tournée vers Juanita et l’a embrassée amoureusement. Cette dernière n’a pas protesté, bien au contraire, elle a entraîné Julia vers le sexe d’Antonio et elles en ont fait la toilette à deux. De les voir ainsi, cela nous a fait bander à nouveau et nous avons retrouvé nos partenaires respectives pour les baiser à nouveau. J’ai opté pour la levrette, position que j’affectionne particulièrement car elle permet de changer facilement d’orifice en cours de route. Mais là, je me suis contenté de prendre à nouveau la chatte de Julia. Antonio avait opté pour le bateau ivre. Il maintenait les jambes de Juanita de chaque côté de son buste et il la besognait avec ardeur. Et la jouissance finale nous a emportés une fois encore.
Julia nous a offert une boisson désaltérante. Nous en avions besoin après cette dépense d’énergie. J’ai appelé un taxi puis nous avons quitté notre belle effeuilleuse. En me quittant, Antonio et Juanita me dirent :
« Serge, tu nous as fait découvrir les nuits de Paris. Merci ! C’était très chaud comme nous l’imaginions. »
Après avoir déposé mes amis à leur hôtel, le taxi ma ramené chez moi. Quand ma copine Anne-Sophie va rentrer de son voyage d’affaires au Mexique, j’aurai des choses à lui raconter. C’est l’accord que nous avons passé quand il nous arrive de telles aventures.
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A suivre !
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