Les Mémoires très Libertines de Sophie
J'espionne mes parents !
Dès que je suis entrée dans l’adolescence, ma libido a commencé à travailler et lorsque j’étais sous la douche mes mains partaient presque chaque fois à la découverte de mon corps. Quand mes seins ont commencé à se développer, je massais les pointes à peine turgescentes et c’est à ce moment que j’ai découvert que ce doux massage me donnait des sensations et que du liquide s’écoulait de ma chatte.
Puis mes premières règles sont apparues au cours de ma quinzième année. Ma mère, consciente des transformations de mon corps, a achevé de me donner les informations voulues sur la sexualité des filles et des garçons. Elle me recommanda la prudence en me disant que lorsque le moment serait venu, elle me conduirait chez le médecin pour qu’il me prescrive une pilule contraceptive. Elle ne voulait pas que comme elle, je me retrouve enceinte à dix-huit ans d’un garçon qui ne voudrait que s’amuser avec moi !
Je n’étais pas trop attirée par les garçons, donc cela ne me posait pas de problème. Je savais que des filles de ma classe avaient entre elles des relations saphiques. Cela ne m’intéressait pas plus que çà. Les caresses que je me prodiguais suffisaient à me satisfaire.
Au lycée, je poursuivais sagement mes études et j’obtenais d’excellents résultats. Nettement plus jeune que mon frère et ma sœur ainés qui avaient déjà quitté le nid familial, je vivais avec mes parents qui, à près de cinquante ans, étaient amoureux comme au premier jour. Cependant, devant moi, ils n’ont jamais eu d’attitude équivoque. Ils échangeaient de légers baisers mais comme cela était habituel, je ne trouvais rien de choquant.
Au printemps dernier, je me trouvais dans ma chambre où je révisais en vue d’un devoir sur table devant avoir lieu le surlendemain, en fait une épreuve du bac blanc. Il devait être un peu plus de 23 heures quand j’ai entendu des bruits inhabituels dans la chambre de mes parents qui est contigüe.
J’ai coupé le son de la radio qui diffusait en sourdine et j’ai prêté l’oreille. J’ai entendu ma mère pousser des soupirs comme ceux que j’étouffe lorsque je me caresse. En même temps j’entendais le sommier grincer en rythme. J’ai tout de suite compris que mes parents étaient en train de faire l’amour, d’autant que j’entendais assez distinctement ma mère encourager mon père :
« Oui ! C’est bon ! Continue comme ça ! Baise-moi bien ! Fort ! »
Jusqu’à présent, je ne les avais jamais entendus ou je n’avais pas fait attention. Le balcon dessert les trois chambres donnant sur la façade de la maison. Je suis sortie par la porte fenêtre et discrètement, je me suis approchée de celle donnant dans la chambre de mes parents. Dans le clair obscur de la pièce uniquement éclairée par la lampe du cabinet de toilette, j’ai découvert ma mère à genoux, le buste allongé devant elle et les bras reposant sur la tête de lit.
Je voyais ses seins se balancer doucement au rythme de la copulation de mon père qui avait ses hanches collées contre les fesses de ma mère. De ses mains puissantes il enserrait sa taille. Je découvrais leurs corps pour la première fois dans leur nudité intégrale.
Je connaissais le torse puissant et musclé de mon père et les seins ronds et généreux de ma mère toujours masqués par le soutien gorge de son maillot de bain lorsque nous étions à la mer. Là je distinguais le sexe de mon père qui pistonnait la chatte de sa femme avec ardeur. Les aréoles des seins de ma mère avaient un téton saillant gros comme une noisette. Il est vrai qu’elle avait nourri ses trois enfants au sein pendant de longs mois. Ce n’était pas extraordinaire.
Il m’était arrivé de regarder des gravures ou des photos licencieuses dans des revues échangées entre camarades, mais jamais je n’avais surpris ou vu un couple de cette manière. J’étais surprise par la taille imposante du sexe de mon père, long et gros. Je sentais une douce chaleur au niveau de mon ventre, les bourgeons de mes seins étaient douloureux tant j’étais excitée.
Tout naturellement une main est remontée sous mon sweet-shirt pour venir masser mes seins, qui avec les années avaient pris de l’ampleur. De l’autre je pénétrais ma chatte de deux doigts en faisant coulisser l’index et l’auriculaire sur mes lèvres intimes. J’étais littéralement inondée de mouille. De ma cachette, je n’entendais plus rien mais quel spectacle !
Soudain, j’ai vu mon père ouvrir la bouche comme s’il criait. Il est sorti de ma mère et son sexe a craché des jets puissants de sperme qui sont allés s’écraser sur les reins de sa partenaire qui a joui en même temps en portant sa main droite au niveau de son entrejambe. Ma jouissance a éclaté quelques secondes plus tard.
Un peu honteuse d’avoir épié ainsi mes parents, je suis rentrée dans ma chambre pour me coucher aussitôt. Mais quelle nuit j’ai passé ! Au petit matin, je me suis réveillée dans un lit aux draps totalement dévastés, chiffonnés dans tous les sens et une folle envie de me masturber me tenaillait. Avant de quitter la chaleur du lit et de me lever, je me suis caressée jusqu’à la jouissance.
Depuis, chaque fois que le soir, j’entends des bruits dans la chambre de mes parents, dès que je sais qu’ils sont annonciateurs d’une partie de jambes en l’air, je me précipite sur le balcon pour les espionner.
C’est ainsi que j’ai découvert différentes positions et pratiques comme le cunnilingus et la fellation. Je les ai même vus faire l’amour assis dans un fauteuil. Mon père avait le dos contre le dossier. Ma mère lui tournait le dos, les pieds en appui sur ses cuisses, elle montait et descendait sur la queue dressée. Je la voyais distinctement entrer et sortir de la vulve de ma mère.
Pour retenir ma mère, mon père avait les mains plaquées sur les seins et pinçait doucement les bourgeons entre ses doigts. Mes parents semblent cependant avoir une certaine prédilection pour la levrette ! Je ne l’ai su que très récemment. Ce soir là, il faisait encore très chaud car l’été approchait. La porte-fenêtre de la chambre de mes parents était entrouverte et j’ai entendu ma mère dire :
« Encule-moi ! Fais-moi jouir du cul ! Tu sais que j’aime ! »
Je ne pouvais pas très bien voir ce qui se passait sur le lit conjugal. J’ai vu mon père se reculer, aller chercher un tube dans la table de nuit, injecter du produit puis prendre sa bite dans la main pour la placer au bon endroit après l’avoir couverte d’un préservatif. D’une seule poussée, il a investi le pertuis étroit de ma mère et tous les deux n’ont pas tardé à jouir.
Bien évidemment, à chaque fois je me caresse jusqu’à la jouissance soit en les regardant soit, une fois dans mon lit entièrement nue, je pénètre ma chatte avec une mini bombe de laque. Au début, j’utilisais le manche d’une brosse à cheveux mais il n’était pas assez gros pour bien me satisfaire.
Les soirées de veille à épier mes parents ne m’ont pas empêchée de décrocher mon bac avec mention. Je me prépare à aller passer trois semaines avec mes parents au bord de mer en Vendée. Pendant que je serai à l’école de voile, je sais qu’ils iront à la Pointe de l’Aiguillon où se trouve une plage naturiste.
Je les regarde désormais avec un autre œil, consciente que la sexualité n’est pas sale comme certaines de mes camarades le prétendent. Et peut-être, si je trouve un garçon plaisant qui le fasse la cour, je perdrai ma virginité toute relative au creux des dunes. J’ai hâte de franchir ce pas ! J’y suis prête !
Une Saint Valentin "multiple"
Pour vous parler un peu de moi, je suis blonde aux yeux bruns, mesure environ un mètre soixante-quinze et possède une poitrine imposante (95D). L'histoire que je vais vous raconter se passe dans mon lycée. À ce moment-là, j'avais dix neuf ans et j’étais en dernière année, celle du bac. Tout a commencé le jour de la Saint-Valentin.
Ce jour-là, nous avions l'habitude d'acheter des cartes de Saint-Valentin et de les envoyer à nos copains ou copines. Cette année-là, j'avais reçu trois cartes. Deux de mes copines et une troisième dont je ne connaissais pas l'expéditeur. Celles de mes copines portaient les mots : « Rosalie and I best friends forever. »
Je souris en les remerciant de leur attention. Je pris la troisième et la lus :
« À tous les membres du comité des élèves de terminale, rendez-vous dans le garage deux-roues après les cours.»
En voyant cette carte, je ne sus que penser. Était-ce une blague ? Était-ce réellement important ? Je trouvai tout de même étrange qu'un rendez-vous du comité des élèves soit fait par écrit. D'habitude, Robert, le président du comité faisait une annonce à la classe. Je me dis ensuite que Robert voulait simplement faire preuve d'originalité pour nous communiquer un rendez-vous pendant la période de la Saint-Valentin.
Un évènement sembla me confirmer cette intuition. À quelques bureaux de moi, Estelle avait reçu la même lettre que moi. Ah oui, bien sûr, il faut que je vous présente Estelle ! Estelle est ma pire ennemie et nous ne pouvions pas nous voir en peinture. À quelques pupitres de moi, je vis que mes amies Marina et Manon avaient reçu la même lettre. Plus de doute, Robert voulait que le comité se réunisse et avait trouvé une façon originale de le communiquer.
La journée se poursuivit banalement et, après que la sonnerie annonçant la fin des cours eut retenti, nous nous dirigeâmes vers le garage deux-roues du lycée. Nous étions six filles à être conviées au rendez-vous: moi, Marina, Manon, Estelle et deux filles, Sandra et Rita, avec lesquelles j'entretenais de bonnes relations de camaraderie, mais sans plus.
Nous étions toutes les six membres du comité avec six garçons: Robert, le président. Grand, cheveux bruns coupés courts et assez musclé. Fred, un garçon blond aux yeux bruns comme moi et un torse musclé. Daniel, plus communément appelé Dan, était un garçon aux beaux cheveux noirs et aux yeux d'un noir ténébreux. Il n'était pas trop mal mais un peu trop mince à mon goût. Frank, un garçon brun, baraqué, séduisant mais avec un grand manque de tact. Alain, brun aux yeux bruns, charme moyen mais grand sens de l'humour puis Karim, un garçon tunisien aux cheveux noirs coupés courts et charmant par son physique et son humour.
Nous arrivâmes à l'heure au rendez-vous, mais les garçons n'étaient toujours pas là. Nous décidâmes de les attendre. Dix minutes plus tard, les garçons parurent. Robert commença un petit discours de bienvenue d'ouverture :
« Merci à toutes d'être venues à cette réunion que nous avons organisée à la dernière minute. Bon, entrons dans le vif du sujet. Pour être honnêtes avec vous, nous ne vous avons pas fait venir pour discuter de l'école mais pour un truc très spécial, si j'ose dire ça comme ça. »
Mes copines et moi trouvions cette réunion très étrange… Nous pensâmes qu'il valait mieux nous en aller. Nous étions sur le point de nous retirer discrètement lorsque Robert expliqua ce qu'était le truc très spécial :
« Nous avons pensé, pour fêter la Saint-Valentin et la fin de nos études au lycée, que nous pourrions organiser une petite partouze. Entre amis, bien sûr. Alors, ça vous dit, les filles ? »
Marina et Manon me regardèrent, interloquées, ne sachant quoi répondre. Moi non plus, je ne savais pas quoi répondre tellement j'étais... Surprise. Rita et Sandra semblaient être dans la même situation que nous. Tout à coup, Estelle, mon ennemie jurée, me fit prendre une décision en disant :
« Quoi? ! Vous êtes complètement tarés !!! Si vous croyez qu'on va satisfaire vos libidos de pervers... »
Ces mots me firent l'effet d'un électrochoc. Pour provoquer Estelle, je lui assénai :
« Pourquoi réagir comme ça, Estelle ? Ils ont le mérite d'être honnêtes sur leurs intentions. Et j'aime ça. De plus, ils ont raison. Pourquoi ne pas nous amuser un peu avant de quitter le lycée et d'être tous séparés, hein ? À moins, bien sûr, que tu craignes de ne pas être à la hauteur des attentes de nos camarades...»
Les garçons applaudirent mes paroles avec ferveur. Mes mots semblaient avoir eu l'effet escompté sur Estelle qui, piquée au vif, commençait déjà à se déshabiller. Je souris à mes copines qui comprirent le message. Nous commençâmes à nous déshabiller lentement. Nous ouvrîmes la fermeture éclair de nos pantalons et les fîmes tomber au sol. Nous retirâmes ensuite nos T-shirts et nous retrouvâmes en sous-vêtements devant nos camarades. Nous continuâmes à enlever nos soutiens-gorge.
À présent, nos seins lourds retombaient fièrement sur nos poitrines et étaient exposés à la vue des garçons qui commençaient déjà à se déshabiller à leur tour. Nous retirâmes ensuite nos petites culottes toutes trempées de mouille et nous fûmes complètement nues et prêtes à baiser. Jamais je ne me serai crue capable d’une telle chose !
Sur ma gauche, je vis Sandra et Rita retirer leurs vêtements à toute vitesse. Une fois que nous fûmes toutes déshabillées, Robert fit une nouvelle annonce :
« Bon, maintenant que tout le monde est prêt, nous allons pouvoir commencer le « jeu ». Les règles sont très simples. Vous allez vous appuyer contre le mur derrière vous et vous resterez droites pendant que nous vous « testerons », si j'ose dire ça comme ça. Des questions ? »
Personne ne posa de questions et nous pûmes commencer le jeu. Nous nous appuyâmes contre le mur tandis que les garçons commencèrent à nous toucher une par une. Robert nous testa le premier. Il passa ses mains sur nos chattes et nos seins ainsi que sur nos culs non sans leur donner une petite claque au passage. Les filles et moi commencions à mouiller de façon importante….
Puis ce fut au tour de Fred, de Daniel, suivi de Frank, puis d'Alain pour finir avec Karim. Après le « test », filles et garçons délibérèrent chacun de leur côté. Le verdict ne tarda pas à tomber. Robert annonça son choix :
« J'ai choisi ma partenaire. Rosalie, acceptes-tu d'être ma partenaire pour notre humble jeu ?
- Oui, j'accepte, » répondis-je de façon arorgante.
Robert et moi nous mîmes donc en place et attendîmes que les autres couples soient formés. Fred annonça son choix :
« Marina, acceptes-tu d'être ma partenaire pour notre humble jeu ?
- Oui, j'accepte. »
Ils se mirent en place et attendirent avec Robert et moi que les couples soient formés. Ce fut ensuite au tour de Daniel d'annoncer son choix, en prononçant la phrase maintenant rituelle :
« Manon, acceptes-tu d'être ma partenaire pour notre humble jeu ?
- Oui, j'accepte. »
Mon amie et son partenaire se mirent en position et attendirent. Frank, Alain et Karim annoncèrent leur choix et obtinrent l'acceptation de leur partenaire. Frank et Estelle se mirent en position, suivis d'Alain et Sandra et du couple Karim-Rita.
Une fois tous les couples prêts, nous commençâmes à baiser avec ardeur. Je pris la queue de Robert dans ma main et entamai une masturbation lente et puissante avant de la mettre en bouche. Le mouvement de mes lèvres sur le sexe long et épais de Robert fit soupirer ce dernier de plaisir. Mon partenaire me mit la main sur la tête afin de guider mes mouvements sur sa magnifique queue. Je le suçai encore durant dix minutes, après lesquelles il m'allongea au sol et commença à me pénétrer.
Les va et vient de la grosse bite de mon partenaire me firent pousser des cris de plaisir. Robert continua de me baiser la chatte durant de longues minutes, tout en me caressant les seins de façon fort peu romantique. Je soupirai afin de lui communiquer mon plaisir et mon envie qu'il continue. Après un bon quart d’heure de ce régime, je tournai la tête vers Marina qui était en train de sucer Fred. Je regardai ensuite Robert, qui comprit le message et alla prévenir Fred.
Un étrange ballet érotique très bien réglé se mit en place.
Robert me souleva ensuite de terre et me posa à quatre pattes à côté de Marina. Robert m'ordonna ensuite de caresser le corps de mon amie pendant qu'il me sodomisait. J'obéis à son ordre avec plaisir. Fred avait, quant à lui, prit Marina en levrette et lui dit de ne pas se cambrer. Mon amie hocha la tête en signe de compréhension.
Robert et Fred appelèrent ensuite Frank avec lequel Estelle avait du mal. Frank accourut et les deux autres garçons lui dirent qu'il allait se faire sucer par Marina. Frank sembla ravi par la nouvelle. Il appela ensuite Karim qui était en train de défoncer le cul de Rita.
Karim sortit du cul de sa partenaire et vint nous rejoindre, la queue toujours bien bandée. Robert lui annonça que j'allais le sucer le pendant que je me ferais sodomiser. Karim sembla content de la nouvelle et nous commençâmes notre plan à six.
Fred et Robert enfoncèrent de concert leurs pieux biens durs au fond de nos ventres, et commencèrent à nous sodomiser avec ardeur, nous faisant hurler de plaisir. Puis Frank et Karim nous firent taire en nous donnant leurs bites à sucer. Je m'appliquai à mon ouvrage, tout en caressant le corps de Marina au passage. Derrière Karim, je vis Manon en train de jouir sous les assauts de Daniel. Je détournais le regard de mon ouvrage afin de ne pas être distraite et de ne pas décevoir mes partenaires. Je continuai à pomper Karim tout en caressant Marina sous les coups de queue de Robert.
Je risquai une seconde fois de détourner le regard pour voir ce que faisait Manon. Mon amie s'était fait prendre par la bouche et le cul par Dan et Alain. Manon jouissait sous leurs assauts sous les regards excités de Rita et Sandra qui se caressaient l'une l'autre. Estelle, quant à elle, se caressait en solo. Je revins à mon ouvrage et m'appliquai à pomper Karim.
Bref, la partouze battait son plein, et nous avions toutes nos orifices bien remplis…
Un bon moment plus tard, les quatre garçons retirèrent leurs queues de nos trous béants et éjaculèrent sur nos corps. Je sentais le sperme de Robert couler entre mes globes fessiers et le sperme de Karim me remplissait agréablement la bouche de sa saveur unique.
Marina, quant à elle, avait le cul plein du sperme de Fred et avait du mal à avaler la quantité impressionnante de foutre que Frank lui avait craché dans la bouche. Je pris donc le visage de mon amie dans mes mains et l'embrassai afin de l'aider à finir sa boisson.
Jamais je n’avais imaginé que j’aurai bu un tel cocktail de foutre pour la Saint Valentin
Nous nous levâmes ensuite tous les six pour regarder nos camarades jouir. Dan et Alain baisaient toujours Manon par ses orifices buccaux et anaux. Mon amie jouissait sous leurs assauts sous le regard excité de Sandra et Rita qui se caressaient toujours l'une l'autre. Les deux mâles ne tardèrent pas à venir.
Quelques instants avant de balancer leur jus, ils couchèrent Manon sur le dos. Ils éjaculèrent ensuite sur ses seins et donnèrent leurs bites à nettoyer à Rita et Sandra tandis que Manon étalait la semence des deux mâles sur ses seins sous le regard excité d'Estelle.
Lorsque nous fûmes tous apaisés et bien repus de sexe, les garçons nous donnèrent des serviettes pour que nous puissions nous essuyer avant de nous rhabiller. Lorsque nous fûmes tous rhabillés. Robert nous demanda:
« Alors, vous avez aimé ?
- Oui » répondis-je en chœur avec les filles.
Lorsque nous fûmes tous rhabillés, je m'approchai d'Estelle et lui dis :
« Et toi qui ne voulais pas le faire !
- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ! »
Nous partîmes ensuite chacun de notre côté en riant gaiement et en nous disant au revoir. Visiblement, nous étions devenues amies !
Rosalie
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La seule différence est la publication de photos, plus facile là-bas, et je peux aussi y mettre de très longs textes. Il y aura donc quelques différences entre les deux blogs, mais qui seront mineures...
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Partouze dans les vestiaires
1.
Aujourd'hui, l'équipe locale joue un match capital pour accéder en division supérieure. Il faut qu'ils gagnent par deux buts d'écart. Laurent, jeune hospitalier, et président du club de foot, ne pourra participer à la rencontre, étant de garde. Il demande à sa belle épouse Lorie, d'assister à la rencontre avec Jacky, et Marc, ses deux meilleurs copains. Il doit ainsi le représenter, et le tenir informé de l'évolution du score.
On est presque à la mi-temps, quand Lorie lui passe son premier coup de fil. Lorie ne laisse pas les copains indifférents. Aucun. Ils bavent ous devant elle, jalousant leur ami d’avoir une si belle femme…
Laurent ne le sait que trop, et il est un peu inquiet de la savoir seule avec eux.
« Allo, ma chérie, çà va ? Mes copains ne t’embêtent pas trop ?
-Oh non, mon chéri, ils sont adorables… Si tu savais comme ils s'occupent bien de moi. Ils sont vicieux tu sais… »
Cette simple phrase l’excite à mort. Laurent est bi depuis quelques temps. Il a découvert cette nouvelle sexualité, et il adore… Il aimerait tant que Lorie soit avec lui un jour où il se ferait enculer bien parfond, par une grosse bite dure à souhait… Et là, de savoir que sa femme va se faire prendre par deux belles queues.. il ne prendrait bien une pour lui !
2.
Lorie se lance dans un long récit détaillé de ses aventures. Elle ne veut rien cacher à son mari chéri…
« Mon amour, tu sais, au premier but, ils ont ôté mon collant, au deuxième, ma culotte. Ma petite chatte est toute découverte. Elle coule aussi… On aurait dit qu’elle pleurait, tant elle avait envie d’une bonne bite…
- Ah bon, dit Laurent, çà m'étonne pas d'eux. Attention que ta mounette attrape froid.
- Elle ne risque pas tu sais, si tu voyais comme ils me la chauffent avec leurs queues. Là c'est ton copain Jacky qui me nique. Il m'a assise sur la main courante et me bourre le cul avec son calibre. Comme il m'encule à fond, le salaud !
- Je sais qu'il aime bien prendre les femmes par là, reconnait Laurent. Et Marco, il est là ? »
3.
« Marco ? Bien sur, mon chéri, il n’allait pas laisser ma petite cramouille vide… Il m'a enfilé deux doigts dans la chatte, et me doigte le clitoris avec son pouce. Ils veulent m'emmener aux vestiaires après, çà ne te fait rien ?
- Si ça te fait plaisir, vas-y. Mais attention, ils sont capables de te baiser sous la douche !
- Oh… mon chéri… que c'est bon ! Si tu voyais mon clitoris comme il me l'a décalotté… Il est tout dur, il bande comme ta petite bite… Ecoute comme je jouis... oh mon amour... tu m'entends... ha, oui... oui... allez-y... salauds... oui... Plus fort, défoncez-moi le cul, la chatte ! Déchirez-m… »
Tut… tut… La conversation est brutalement coupée.
A force de s'agiter, Lorie laisse échapper son portable. Il est dix-huit heures quand Lorie pénètre seule dans les vestiaires. Trois joueurs sont encore là, nus, une serviette nouée à la taille.
4.
Ils savent qu’elle est la femme du président. On se fait la bise, et on commence à plaisanter sur une éventuelle récompense pour le match gagné. Les sous-entendus sexuels fusent… Lorie remarque que Mamadou, un jeune black n'arrête pas de la mater. Elle lui sourit, et se dirige aux toilettes... hommes ! L'attente n'est pas longue, il est de suite derrière elle.
« Qu'est-ce que tu as à me regarder ? demande-t-elle. Tu veux quoi ? »
Le jeune joueur ne se démonte pas. Il s'avance vers elle, et la cloue contre le mur. Il glisse ses mains sous la minijupe, une par derrière qui palpe les fesses, l'autre qui fait rouler les lèvres encore humides du sperme de Jacky. Il s’est vidé les couilles dans son conduit annal, mais la crème coule entre ses jambes, rend la chatte poisseuse….
« J'ai envie de te mettre un bon coup de queue, répond-il, ça t'intéresse ? »
5.
Lorie n’attendait que cela. La partie dans les tribunes ne l’a pas rassasiée, bien au contraire !!!
Elle passe ses bras autour du coup du jeune homme, et s'approche de son oreille :
« Tu le sais salaud, murmure-t-elle, tu sens pas comme je mouille ? Vas-y, prends-moi.»
Elle se met entièrement nue, et fait glisser la serviette. Ils n’en ont rien à faire de se faire surprendre. Bien au contraire. Lorie a une faim démesurée, ce soir. La chute de la serviette fait apparaitre une hampe monstrueuse, comme Lorie n’en n’a jamais vu avant. Elle doit bien frôler les 25 cms. Elle est presqu’aussi épaisse qu’une cannette de bière !
Lorie branle l'énorme bite, jusqu'à ce qu'elle atteigne des mensurations dantesques. Sans effort apparent, le jeune joueur la soulève par les hanches, et la fait coulisser sur son pieu dressé vers le plafond. Elle enfouit son visage au creux de son épaule pour étouffer ses cris.
6.
« Putain… gémit-elle. Pourquoi mon mec est pas monté comme çà ? Et ma petite chatte qui a tout avalé... Vas-y beau black… défonce-moi… amuse-toi… ha… tu me maques là... oui... oui… ouiiii.
- Je viens moi aussi, râle Mamadou, je peux cracher dans ta chatte ?
- Hum… gros vilain... Mais bien sur, mon chéri… elle est faite pour çà ! »
La décharge est puissante. Elle sent les jets de sperme frapper au fond de son vagin, a tel point, que la semence du jeune joueur déborde su ses lèvres intimes. Lorie lui prend la bouche à pleines dents.
« Si on allait rejoindre les autres ? demande le black. Il ne faudrait pas qu’ils s’impatientent.
- Comme ça, enfourchée sur ta bite ? répond-elle. Tourne-moi alors, qu’ils puissent bien me voir. »
7.
Mamadou la soulève légèrement, lui fait faire un demi-tour, et enfonce sa hampe dans le petit trou cette fois, dans les gémissements de plaisir qu'on devine. Et c’est ainsi, qu’il fait son entrée, la jeune femme profondément enculée sur son chibre dur.
« Regardez ce que j'ai au bout de la queue, dit-il. La prime du match ! »
Le frère de Mamadou, Issa, est allongé sur la table de massage, entièrement nu, la queue en érection. Les cris venant des vestiaires l’ont excité à mort. Il compte bien profiter de cette salope tombée du ciel !!!
En attendant, pour ne pas faire retomber la pression, il est en train de se faire sucer par Alphonse, âgé d'une vingtaine d'années. Au même moment, celui-ci se fait caresser les couilles et la bite par Brice, le cadet de l'équipe. Le trio en profite, les oreilles grandes ouvertes. Ils rêvent tous de baiser la cochonne qui est en train de se faire défoncer par leur copain black. Ils se retournent d'un bloc en entendant Mamadou annoncer son « prix ». Ils découvrent un spectacle hallucinant. Dans cette position, Lorie est idéalement placée pour leur offrir une vue magique sur sa chatte trempée.
8.
Ses petits seins sont parfaits, sa chatte largement ouverte, le clitoris bien sorti de sa capuche… Elle est une vraie bombe de sexe pur. Elle est clouée sur l’énorme queue. On dirait qu’elle seule soutient tout le poids de la jeune femme. Un clito aussi avenant ne reste pas seul… Issa est le plus entreprenant, il s'avance de Lorie, fini de lui sortir le bouton, puis enfonce deux doigts dans la chatte. Avec le majeur de l'autre main, il excite le petit organe. Lorie ferme les yeux, se mord les lèvres.
« Bande de salauds, soupire-t-elle. Vous avez envie de vous amusez avec moi, hein ? Vous savez que j'ai un mari ? »
Cela ne semble leur poser aucun problème ! Après tout, c’est elle qui est venue s’offrir à eux !
« Ma petite salope, dit Mamadou, amène ton mari, on va bien s’occuper de lui aussi !!! dit –il en riant. »
Mamadou s'allonge sur la table de massage, sur le dos, toujours encré dans le cul de Lorie. Issa monte sur la table, et dans une position de gymnaste, pénètre le trou resté libre avec sa grosse bite. Certes, elle ne mesure que 22 cms, moins que son copain, mais c’est quand même un sacré morceau… Lorie pousse un cri de douleur, prise par ces deux gourdins de chair dure. Pourtant, une fois les deux bites bien en place, elle accepte avec plaisir cette double pénétration. Alphonse et Brice se regardent, et viennent se placer chacun d'un côté de la table, leurs membres placés à hauteur de bouche de Lorie.
9.
Leurs sexes sont tendus. Lorie tend ses bras, leur saisit les bourses, et les tire à elle, jusqu'à ce que leurs queues entièrement décalottées soient en contact avec ses lèvres. Puis, doucement, elle en avale une, puis alterne avec l'autre.
Chacun saisit un sein, joue avec le bout dressé au plafond. Tout le monde y trouve son compte. Lorie a tous ses trous bien comblés. Elle a rarement été à pareille fête… Une telle partouze, c’est mieux que ce qu’elle espérait !
Au bout d'un quart d'heure, les corps s'agitent sur, et autour de la table de massages. Les premières giclées de sperme sont pour la chatte de Lorie. Puis c'est au tour de Mamadou de remplir le petit trou. Lorie a saisi la queue des deux autres, et suce les deux glands en même temps. Les deux jeunes joueurs se cambrent, et vide leurs couilles dans la gorge de la jeune femme.
Tout ce beau monde se retire, au moment où Lorie a un orgasme terrible. Des jets de liquide giclent de sa chatte, une vraie fontaine… Les hurlements de plaisir parcourent les vestiaires. Tout le stade doit les entendre !
10.
Les jeunes joueurs sont surpris, sidérés, ne connaissant certainement pas le fonctionnement du corps féminin. Ils sont inquiets, se demandant s’ils n’ont pas percé un organe quelconque… Lorie, le corps souillé de sperme, ondule sur la table de massage en gémissant. Ils sont vite rassurés.
« Oh mes chéris… comme vous m'avez fait jouir… vous m'avez vidée... sales mâles… vous n’avez pas honte ? »
Les jeunes reprennent leurs esprits.
« Bon, on va se doucher ? propose Mamadou. Tu viens avec nous Lorie ?
- Si c'est pour nettoyer vos grosses bites, d'accord. »
Il est vingt-deux heures quand le gardien fait sa ronde. Il est attiré par la lumière, et des râles de plaisirs qui proviennent du vestiaire. Il s’avance, ouvre la porte, et voit la femme du président, pliée en deux, une bite dans le cul, en train de pomper un autre jeune. Le troisième se branle sur son visage…
Sans un mot, il lâche la poignée, et dégrafe rapidement son pantalon. Lui aussi, il veut sa dose !
Il s’approche de Lorie et gronde :
« Espèce de salope, si tu ne veux pas que ton mari sache que tu partouzes dans le vestiaire, suce-moi ! »
Lorie ne se fait pas prier, et suce la queue odorante du gardien avec ardeur. Il est comme pétrifié, et regarde l’énorme queue qui lime sans arrêt le petit cul blanc la jeune femme. Cette vue, ainsi que la pire d’ enfer le fait jouir très vite. Il projette un jet de foutre âcre au fond de la gorge de Lorie.
Quand elle a fini d’avaler la purée épaisse, elle le regarde en souriant :
« Tu sais, tu peux tout dire à mon mari, il sait que je fais ça. Mais une bite de plus, ca ne se refuse pas !!! »
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Super histoire érotique
Tiens Sophie, je retrouve là un de mes textes....
Vous avez un véritable talent d'écriture érotique ! Félicitation et bonne continuation.