Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée très enrichissante
♥ Préambule ♥
Il y a trois jours, un ami m'a parlé d'une soirée très spéciale, organisée par une de ses connaissances. Cherchant de jeunes et jolies femmes pour y participer, il a tout de suite pensé à moi. Le connaissant, il ne pouvait s'agir que d'une soirée libertine et sans plus d'explication, je m'empressais d'accepter. La seule chose qu'il m'a demandée était de porter quelque chose de très sexy, et il ne me fallait porter aucun sous-vêtement.
♥ Chapitre I : Préparatifs ♥
Me voilà donc aujourd'hui à me préparer. Après qu'il m'a parlé de cette soirée, j'étais allée voir mon esthéticienne pour être parfaitement épilée sans aucune rougeur apparente et faire honneur à mon ami.
Après un bon petit bain pour me détendre et avoir la peau douce et parfumée, j'enfile une petite robe noire, des dim-up, et une paire d'escarpins. Je noue mes cheveux en un petit chignon et attends mon ami. À son arrivée, il me complimente sur ma tenue si bien choisie.
« C'est absolument parfait K., ils vont t'adorer. Je pense que tu vas avoir un succès monstre ce soir. »
Il m'embrasse sur le front et vérifie en même temps que je ne porte rien sous ma robe. Nous échangeons un sourire complice. Après avoir bu un verre, nous prenons la route et au bout de deux bonnes heures, nous arrivons devant une grande maison. Il sort alors d'un sac posé sur la banquette arrière, un collier et une laisse. Je le regarde en écarquillant les yeux.
« Rassure-toi, K., c'est juste un jeu. Je leur ai dit que tu étais ma soumise. Vas-tu jouer le jeu ? Si tu ne veux pas, nous rentrons. Mais je sais que tu aimes sinon je ne te l'aurais pas proposé.
- Ai-je l'air apeurée ? lui dis-je en souriant. J'aurais simplement voulu que tu m'en parles plus tôt, pour me préparer au rôle. Y a t il d'autres surprises ?
- Oui mais je ne peux rien te dire pour le moment, fais moi juste confiance, s'il te plait.
- Il n'y a rien de glauque j'espère ?
- K. tu sais que je connais tes limites et que je ne ferai rien qui te mette en danger ou que tu n'aimes pas. Je vais juste te demander de m'obéir en toute chose, quoi qu'il se passe. Et si tu sens que ça va trop loin, tu n'auras qu'un mot à dire et on arrête. Disons le mot...... papillon, ça te va ?
- papillon ! »
Je lui tends alors mon cou pour lui signifier mon approbation. Il m'embrasse sur le front et sors de la voiture, en fait le tour et m'ouvre la porte. Il prend la laisse en main et de l'autre m'aide à descendre. Il se retourne et avance vers l'entrée. Comme une bonne soumise, je lui emboîte le pas, les mains dans le dos et la tête baissée. Il y a bien longtemps que je n'ai pas vécu cette situation et j'avoue que malgré une certaine excitation, un léger malaise me prend.
Nous arrivons sur le perron de la porte et Marc sonne à la porte, un carillon lugubre raisonne alors. Il me semble avoir fait un bon de trente ans dans le passé à l'écoute de cette sonnette. Ce retour dans le passé se confirme quand la porte s'ouvre.
♥ Chapitre II : M. Serge ♥
En effet, un homme étrange nous accueille. Je me sens comme dans un vieux film sur la mafia. L'homme d'une cinquantaine d'années, quelque peu bedonnant porte un pantalon à pinces noir à ourlet. Sur ce pantalon, une chemise rouge, flanquée d'un foulard jaune noué et rentré dans la chemise. Il porte une sorte de robe de chambre en soie imprimée d'un camaïeu marron et jaune. Ces cheveux sont tirés en arrière par de la gomina. À sa bouche un barreau de chaise fumant finit la caricature parfaite du parrain de film des années 50, voire du mauvais mac. Il salut Marc avec politesse et bonhommie. Après avoir observé l'homme rapidement et rebaissé la tête, je l'entends s'adresser à nouveau à Marc.
« Ainsi voilà votre soumise. Dîtes-moi, elle semble absolument magnifique. Puis-je ?
- Je vous en prie, lui répond Marc. K. approche de Monsieur Serge qu'il voit à quel point tu es belle. Tu peux lui dire bonsoir.
- Oui Maître, avec plaisir. Bonsoir Monsieur Serge.
- Bonsoir K. »
Je sens le regard observateur de M. Serge sur moi. Les yeux baissés, les mains dans le dos je reste immobile. L'homme entame une inspection de ma silhouette. Il tourne autour de moi, comme on le ferait d'un meuble qu'on veut acheter.
« Hummm, cela me paraît tout à fait charmant. Peut-elle lever la tête et mettre ses bras le long du corps ?
- Tu as entendu, K., fais ce que Monsieur. Serge demande.
- Bien Maître. »
Je relève donc mon menton et place mes bras le long de mon corps. Je croise le regard curieux de Monsieur Serge. Une main sous son menton, il m'observe sous toutes les coutures, ponctuant ses manœuvres de quelques « humm » éparses. Une de ses mains s'aventure alors et se pose sur ma fesse droite, fermement mais non sans douceur. Mon petit sursaut ne l'ayant pas gêné, il en éprouve la fermeté. Je sens une sorte de dégoût à son touché, pourtant mêlé d'une certaine excitation. Puis s'adressant à Marc :
« Je vous félicite d'être le propriétaire d'une telle œuvre d'art. Cette soumise est digne des plus beaux chefs d’œuvre de Michel-Ange ou De Vinci. Je pense que les enchères vont monter. »
Marc lui sourit et le remercie de ses remarques. Il ne m'adresse pas la parole ni ne me regarde. Il fait bien à ce moment car, discrètement mon regard se fait noir, il doit même s'en douter.
« Entrez donc, Marc, soyez le bienvenu dans ma demeure, je vous précède.
- Je vous suis. »
Alors qu'il s’apprête à suivre Monsieur Serge, la tension de la laisse l'en empêche puisque je ne bouge pas. Dés qu'il se retourne, il comprend qu'il va avoir le droit à une petite « engueulade ».
« Je vous demande un instant, Serge, je viens de recevoir un message sur mon portable, il serait impoli que j'entre en le lisant. Me permettez-vous ?
- Bien sûr Marc, à tout de suite. »
Balbutiant quelques mots incompréhensibles, il s'approche de moi.
« Bien vu le coup du sms. Tu m'expliques ce que c'est que cette histoire d'enchères ? Tu n'as pas l'impression d'avoir oublié quelques détails ?
- Si K. j'avoue, mais serais tu venue si je t'avais dit que chaque soumise serait mise aux enchères et à disposition du plus offrant ?
- Espèce d'enfoiré !! Et en plus ce type.... Brrr, il me donne des frissons.
- De bons frissons ? demande-t-il en souriant.
- Pas d'humour s'il te plait, tu n'es pas vraiment en bonne position pour ça. Et non, pas de bons frissons.
- Bon, on fait quoi ? On reste ? On repart ?
- Eh bien puisque nous sommes là, nous allons rester mais je te préviens, tu me fais encore une entourloupe de ce genre et je quitte la soirée.
- Promis, il n'y a plus de mauvaise surprise.
- J'espère au moins que je ne suis pas la seule.
- Non, je te l'ai dit, Les soumises seront mises aux enchères. Normalement vous êtes quatre.
- Bon, tu as du terminé de lire ton sms. En avant, allée, nous n'avons pas que ça à faire. Au fait, quel type d'enchères ? De l'argent ? Pour qui ?
- Oui, de l'argent. Après je crois que Serge est assez investi dans des œuvres caritatives. L'argent récolté sera reversé à une association.
- Il fallait me le dire tout de suite. Je suis prête à pas mal d'investissement pour la bonne cause moi », dis-je avec un grand sourire.
Montrant du doigt la porte à mon ami Marc, je l'invite à me précéder d'une tape sur les fesses avant de reprendre ma condition de soumise obéissante.
♥ Chapitre III : Une maison chargée d'histoires ♥
Nous pénétrons dans la maison. Il s'agit d'une vieille maison toutefois bien entretenue. Si la tapisserie est un peu datée, elle révèle son passé glorieux. M. Serge explique à son invité l'histoire de sa famille et de cette maison. Sa famille, issue de la noblesse russe a fui la révolution avant les grands événements pour s'installer en France, les investissements de son grand-père ont permis à toute sa famille de voir l'avenir en bleu. Dés le vestibule, l'ambiance est feutrée. Elle semble toutefois oppressante par la présence de portraits de famille qui à quelque endroit que l'on se trouve semblent nous observer d'un regard inquisiteur. La lumière diffuse qu'envoie les vieux lustres ajoute à l'atmosphère.
Nous entrons alors dans une première pièce, le petit salon. Sur les fauteuils et canapés, un amoncèlement de vestes et autres effets vestimentaires laisse présumer un nombre important d'invités. M. Serge commence le récit des objets de cette pièce, dont certains appartenaient au Tzar Nicolas II. Avec un grand sourire, il nous présente par le menu le fauteuil sur lequel son père aurait été conçu, bien que sa grand-mère ait à ce moment tenté de se refuser à son étalon de mari. Marc lui fait remarquer la présence des bracelets de métal sur le dossier et sur le bord de l'assise.
« Comment croyez vous, mon cher, que mon grand-père a pu maintenir ma grand-mère en place ? dit-il avec un sourire entendu, accompagné d'un clin d’œil. Ce fauteuil a d'ailleurs appartenu à Raspoutine, comme quelques autres que j'aurai peut être l'occasion de vous faire découvrir... ou du moins à votre soumise. »
♥ Chapitre IV : Les hostilités commencent ♥
Nous passons dans la pièce suivante qui est la salle de réception. Une salle immense, remplie de canapés, d'objets d'art et accessoirement d'une vingtaine de personnes, pour la majorité, des hommes. En fait, avec moi, il n'y a que quatre femmes. Toutes en laisse reliées à nos Maîtres. Les hommes vaquent à leurs discussion et mes « consœurs » ; immobiles ou à genoux au pieds de leurs soumises, tiennent, qui un verre, qui une assiette d’amuse-gueules destinés à leur dominant et ses interlocuteurs. Comprenant que ma position serait donc celle-ci, je m'empresse de saisir un verre et de le tendre à Marc. Il faut bien donner le change. Je m'agenouille à côté de lui.
« Je vois qu'elle est parfaitement éduquée. Ça rajoute à sa valeur », lance Monsieur Serge.
Celui là, si je pouvais l’étriper !!!!
Marc me regarde en souriant et me remercie.
« J'avoue qu'elle me rend fier chaque jour un peu plus. »
Petit à petit, les convives arrivent et nous sommes maintenant une petite quarantaine, pour ce que j'ai pu compter. Les regards des hommes se posent sur nous comme pour nous juger, nous jauger. Après une heure de palabres, de bons mots et de discussions sérieuses, M. Serge annonce le clou de la soirée.
« Que les maîtres me rejoignent avec leurs soumises au centre du Salon. Allons allons, messieurs, on se dépêche. Je rappelle les règles. Pendant dix minutes, nous aurons tous le loisir de détailler les quatre soumises qui nous sont si gentiment mises à disposition par leurs Dominants. Je vous rappelle qu'il est interdit de les toucher. Vous pourrez leur demander de se lever, de tourner, de vous montrer leurs atouts, mais en aucun cas vous ne pouvez les toucher. De même, même si ce sont des soumises, je vous demande le plus grand respect, tant dans le ton que dans les mots que vous emploierez.
La bienséance prévaut messieurs, ne l'oubliez pas. Une fois les évaluations faites, chaque soumise se placera devant une urne. Vous mettrez chacun, pour chacune des quatre, une enveloppe fermée dans l'urne. Sur l'enveloppe, vous noterez l'enchère que vous faites et dans l'enveloppe, votre carte de visite ou votre nom. Si deux enchères sont identiques pour la même soumise, son Maître aura le choix : soit il désignera l'un des deux, soit les deux acquéreurs partagerons la soumise. Pour ceux qui n'ont pas de cartes, vous en trouverez des vierges sur la table avec les enveloppes. Je vous rappelle que les fonds récoltés nous permettrons de faire construire une école au Burkina Faso. N'hésitez donc pas à être généreux. Toutefois, dix pour cent de la somme ira bien évidemment au propriétaire de la soumise pour sa contribution. Que les festivités commencent. Messieurs, que vos soumises fassent leur œuvre. »
Marc m'indique alors que je dois marcher entre les convives afin qu'ils m'observent à nouveau.
« Votre nom, jeune soumise ? me demande un jeune homme d'une vingtaine d'année. Il me semble plutôt puceau que vraiment expérimenté dans l'art du D/s.
- Mon nom est K. Monsieur.
- Tournez sur vous même. Montrez-moi vos seins et ce qui se cache sous votre robe. Me demande-t-il d'un ton sec et dédaigneux.
- Je te rappelle, Arthur, la règle de la bienséance. Il s'agit peut être d'une soumise, mais tu lui dois le respect. Je te prie de changer de ton et de le lui demander poliment, intervient Monsieur Serge.
- Oui mon oncle, je te prie de m'excuser.
- Excuse-toi plutôt auprès d'elle.
- Excusez-moi, K. balbutie Arthur.
- Maintenant reformule ta demande.
- Oui mon oncle. K, auriez vous l'amabilité de tourner sur vous même puis de me montrer les atouts que vous dissimulez sous votre robe ?
- Voilà, c'est bien mieux Arthur. La domination n'exclut en aucun cas le respect.
- Avec plaisir M. Arthur, Merci M. Serge »
Je souris et m'exécute.
M. Serge vient de remonter dans mon estime. De gros dégueulasse adipeux, il m'apparait comme une personne bien élevée et raffinée qui connaît parfaitement les règles du D/s.
« K. vous êtes absolument divine.
- Merci M. Arthur. »
Je passe mon chemin et durant dix minutes, je me plie aux demandes des invités. J'avoue ressentir une certaine satisfaction et une grande excitation aux remarques et attentions que l'on me porte. Je vois Marc, en compagnie des trois autres Maîtres, discutant, souriant, buvant un verre. Il ne me quitte toutefois pas des yeux afin de guetter le moindre soucis ou incident qui pourrait me mettre en péril. Je me dis que décidément ce Marc est plein de surprise et qu'il serait un Maître des plus acceptables.
♥ Chapitre V : Les enchères ♥
Monsieur Serge sonne la fin de la période d'observation et demande à nos Maîtres de nous conduire à nos emplacements. Marc me récupère, et me tenant en laisse me conduit sur le coussin devant l'urne numéro trois.
« Très bien messieurs, maintenant c'est à vous. Soyez généreux, intervient Monsieur Serge. À vos stylos, à vos enveloppes. »
Devant mon urne, à genoux sur mon coussin, je vois passer tous les hommes pour y déposer leur enveloppe. Certains me regardent en souriant, d'autres plein de dédain, certains le regard concupiscent. Il en est même qui me font un peu peur.
Après que tous ont misé, M. Serge reprend la parole :
« Très bien, nous pouvons commencer le dépouillement. Allons-y. »
Il demande à chaque Maître de se mettre devant l'urne et de tirer une première enveloppe. Marc commence par une enchère à cinq mille euros, ce qui provoque un sourire chez lui. L'enchère pour la soumise suivante ne s'élève qu'à trois mille euros, tandis que les deux autres récoltent un joli dix mille euros.
J’avoue que cette première levée me déçoit fortement. Je mérite bien mieux que ces cinq mille euros, nom d'une petite chienne !
Certaines enchères montent encore et j'obtiens très vite un quinze mille euros, tandis que les autres ne peuvent faire mieux que leurs précédentes propositions. Tout à coup, Marc tire une nouvelle enveloppe et dans un grand sourire, sur un ton triomphal, annonce cinquante-trois mille euros.
L'assemblée se gausse et applaudit. Les enchères suivantes ne sont que peccadilles même si les enchères de mes consœurs réussissent à atteindre les dix mille euros. Je m'étonne qu'un homme ait pu proposer ce prix pour me posséder, mais j'avoue que ça me rend très fière, fierté mêlée d'inquiétude sur l'identité de mon acquéreur.
Mon inquiétude se confirme, puisque que l'heureux élu n'est autre que Monsieur Serge qui, dans un éclat de rire, se félicite de son achat.
« Marc, Permettez moi de prendre possession de mon chef d’œuvre ?
- Faites Serge, faites. C'est un plaisir que de vous la mettre à disposition. Dit-il en lui tendant l’anse de la laisse. Je suis certaine qu'elle saura faire honneur à son Maître
- Je n'en espère pas moins mon cher Marc. Par ici Mademoiselle K. »
A suivre...
Marie et Xenos
Chapitre 1
Je me prénomme Marie, j’ai quarante ans, j’habite dans le Nord de la France, je suis mariée. Mon mari, fort heureusement, ne connait pas tous mes fantasmes, ni mes pensées les plus secrètes. J’aime ressentir une certaine liberté dans mes actions extraconjugales, elles sont nombreuses, car je suis insatiable, mon mari malgré ses efforts ne me suffit pas.
L’histoire un peu spéciale que je vais vous conter s’est déroulée au mois de juillet de l’année dernière, Personne n’en a rien su, ni à l’époque ni maintenant d’ailleurs, fort heureusement pour ma réputation.
Un jour de juin de l’an dernier donc, ma meilleure amie, Catherine, me téléphone pour me demander de garder son chien, Xenos. C’est un splendide Golden Retriever de couleur crème. Il est âgé de cinq ans, très gentil, très affectueux, un peu expansif. Elle souhaite me confier son animal durant ses trois semaines de vacances d’été.
Ce n’est pas la première fois que je le lui garde, mais je ne l’ai jamais eu pour une si longue période, seulement quelques jours par-ci par-là, surtout le week-end, toujours en présence de mon mari. Je suis plutôt contente de sa demande. Je la rassure donc. Bien au contraire, je suis ravie de lui rendre ce service. Cela me fera un compagnon pour mes longues journées solitaires de l’été, mon mari ne prenant ses congés qu’en août. Comme je suis femme au foyer, sans enfants, j’ai tout de même un peu de temps libre. Parfois, je me sens un peu seule. Même le surf sur certains sites très cochons ne suffit pas toujours à me distraire et surtout à me combler. Mon mari n’y verra sûrement aucun inconvénient, de toutes les façons, ma décision est déjà prise, j’en ai trop envie.
À la date convenue, Catherine amène donc Xenos à la maison. Nous sommes le vendredi 7 juillet dans l’après-midi. Il est convenu qu’elle couche le soir pour ne prendre la route de ses vacances qu’après le petit déjeuner du lendemain matin. Elle aura ainsi tout loisir de me donner les détails pour que cette cohabitation se passe au mieux, pour nous comme pour son chien. Pendant l’apéritif et le repas du premier soir, un barbecue préparé par mon mari, Xenos est en permanence près de sa maîtresse, souvent sous la table, couché à ses pieds. Il sollicite en permanence des caresses dont elle ne le prive pas. Le chien et sa maîtresse me semblent très proches l’un de l’autre, très complices apparemment.
Je remarque également qu’il vient fréquemment poser son museau sur la cuisse de mon amie, recouverte du fin tissu de sa robe fleurie. À aucun moment elle n’esquisse un geste de refus, ni ne le repousse. Son chien se comporte un peu comme si son instinct canin lui faisait comprendre le prochain petit abandon dont il va faire l’objet. Cette marque de tendresse animale me trouble énormément. J’en éprouve comme un début de jalousie. J’aimerais bien que Xenos me montre à moi aussi qu’il apprécie ma présence en venant poser sa tête sur ma cuisse nue.
J’ai toujours été très attirée par nos amis à quatre pattes, les chiens bien plus que les chats. Cette passion est née à mon adolescence et ne m’a plus quitté depuis. Il est malheureusement difficile dans notre société hypocrite, de faire partager cet engouement un peu excessif. Peu de gens sont aussi sensibles que moi à la sensualité et surtout à la vigueur d’un beau et grand chien.
En attendant, un peu perdue dans mes pensées, je me console en me disant que je vais avoir le chien de mon amie pour moi seule, pendant au moins trois semaines, en dehors de tout témoin. Cette perspective me comble de bonheur. Je sens comme un début d’humidité sur le gousset de ma petite culotte. Lors des allées et venues du chien autour de la table, je ne me prive pas du plaisir secret de lorgner les lourds testicules gonflés qui apparaissent au milieu des poils fauves de son arrière-train. Ses grosses couilles pendantes me font vraiment rêver. Je les imagine pleines d’un chaud et délicieux sperme, cette pensée ajoute à mon trouble.
Si j’avais été seule, à n’en pas douter, Xenos aurait eu droit à une gentille amabilité manuelle de ma part ! J’ai très envie de les presser délicatement dans mes doigts et pourquoi pas, les porter à mes lèvres, humer leur forte odeur… Je suis vraiment une incorrigible cochonne lubrique ! Ah si ce gentil toutou pouvait sentir les doux effluves évocateurs de mon entrecuisse ! Mais pour l’heure, seule Catherine est l’objet de ses attentions. En les regardant tous deux, je me demande si mon amie a la même attirance que moi, si elle s’est déjà livrée sexuellement à son chien... Il faudra que j’en aie le cœur net, que je fasse ma petite enquête.
En toute fin de soirée, nous prenons congé, tous trois un peu fatigués par l’excès de boisson et de nourriture. Après les bises d’usages et les caresses au chien, Catherine et Xenos se dirigent vers la chambre d’ami ou tout a été préparé par mes soins pour eux. La panière du chien est au pied du grand lit qui attend Catherine.
Chapitre 2
La nuit s’écoule calmement. Avant de sombrer dans le sommeil, j’ai beau tendre l’oreille pour déceler des bruits venant de la chambre qui jouxte la nôtre, je ne perçois aucun son suspect. Au matin je constate cependant que la panière n’a pas été utilisée. Xénos a donc dû dormir avec Catherine ! Cette constatation évidemment me ravit, mais je me fais peut-être des idées fausses.
Tout le monde se retrouve au petit déjeuner que nous faisons un peu trainer pour retarder le douloureux moment de la séparation entre Catherine et Xenos.
Vers 10 h 30, bien plus tard qu’elle n’escomptait, elle nous fait un dernier signe de la main avant de passer la grille de notre propriété, au volant de son auto. Le Golden regarde s’éloigner le véhicule en gémissant un peu, mais cependant, il reste à mes pieds, comme le lui a ordonné sa maîtresse. J’apprécie énormément l’obéissance de ce chien, remarquablement bien dressé, voilà qui promet de bons moments.
Le week-end se passe sans histoire. Nous prenons nos marques, faisons mieux connaissance, Xenos et moi. Dès le départ de Catherine, il ne me quitte plus, me suit de partout. Dès que je me lève pour telle ou telle raison, il fait de même et me colle aux talons. Il semble avoir fait un transfert de Catherine vers ma personne. Mon mari lui ne s’en occupe pas le moins du monde, il me laisse l’entière responsabilité de la garde, ce qui ne me contrarie guère, bien au contraire.
Le lundi 10 juillet, je me lève vers huit heures, mon mari est déjà parti au boulot. Je trouve Xenos sagement allongé sous la table de la cuisine. Il se lève à mon apparition, remue la queue, viens me faire fête. Je suis en long tee-shirt, sans aucun autre vêtement. Le chien cependant redevient vite calme après cette petite effusion de bienvenue. Pour tester son état d’esprit, je saisis sa tête et dirige sa truffe entre mes cuisses, sous mon tee-shirt. Il me renifle longuement, mais ne semble pas y prendre goût. Ne n’insiste pas, un peu dépitée. Me serais-je fait des idées à propos des relations de Catherine avec son compagnon à quatre pattes ?
Je m’installe pour le petit déjeuner que mon mari m’a gentiment préparé. Xénos s’allonge sagement sous la table, entre mes pieds nus. De temps en temps, je lui caresse de la main le sommet du crâne, il me montre sa satisfaction en me la léchant, ce qui me fait un peu frissonner, mais je résiste. Entre deux biscottes je caresse son ventre de la pointe de mes orteils nus. Il les lèche également, mais sans grande conviction, comme une simple politesse. Je suis de nouveau un peu déçue de ce manque d’enthousiasme. Malgré tout, j’apprécie ses délicieux petits coups de langue de soumission entre mes orteils. Ma collation terminée, je me lève, me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Pendant que l’eau gicle sur mes seins, Xenos assis sur le pas de la porte me regarde faire, sans broncher.
Je me caresse un peu, mais sans insister, j’ai bien mieux à faire.
Je ferme les robinets, me sèche soigneusement. Xénos est toujours aussi attentif, à l’entrée de la salle de bain. Il doit sentir que ce domaine ne lui est pas réservé, il m’attend donc sagement. Toujours nue je m’approche de la porte. Le chien se lève pour me livrer passage. Je me dirige vers la chambre, il me suit. Je m’allonge sur le lit, mais une fois encore, il demeure sur le pas de la porte, comme intimidé. Dès que je l’appelle, il remue la queue et vient au pied du lit.
Je le regarde, il me regarde, essayant de comprendre ce que j’attends de lui. Du plat de la main, je l’invite à monter sur le lit. Il n’ose pas, malgré mon insistance. J’ai beau le solliciter du geste et du verbe, il est encore intimidé ou tout simplement trop bien dressé. Pourtant, je suis sûre qu’il couche avec Catherine, cela ne fait plus aucun doute dans mon esprit.
Je vais devoir l’attirer d’une façon ou d’une autre. Je passe mes doigts sur ma chatte et les lui présente, tout parfumés de mon désir. Il renifle sans enthousiasme, donne un coup de langue rapide, simple politesse et repose son arrière-train sur la moquette.
Il va me falloir utiliser les grands moyens. Je me lève, me dirige vers la cuisine, Xenos me suit. Je fouille les placards et finis par dénicher un pot de beurre de cacahuètes, dans le bas du réfrigérateur. Je le passe quelques secondes au micro-ondes, histoire de le ramollir et de le réchauffer un peu.
Je plonge mon index dans le beurre, l’enduis grassement, le présente à Xenos qui ne se fait plus prier… Ravie de ma bonne idée, je fais un bref détour par la salle de bain, me saisis d’une serviette, retourne dans la chambre où je l’étale sur le lit. Xénos bien plus empressé, la queue battant la mesure ne m’a pas quittée d’une semelle, lorgnant le pot avec intérêt… La gourmandise va être ma meilleure alliée, tant pis pour les recommandations de Catherine au sujet de son régime.
Je m’allonge sur le lit, cuisses ouvertes, je me tartine la chatte de beurre encore tiède, sur le pubis, entre les lèvres, dans le vagin, sur mon anus que j’enduis copieusement, sans oublier la raie des fesses. Cette tartinade consciencieuse me chauffe un peu les sangs. Je présente dans un premier temps mes doigts gras au chien qui se charge de les nettoyer en trois coups de langue… Il est à ma merci !!!
Xénos me regarde pour en avoir encore. Je n’hésite pas, je m’allonge sur la serviette, au bord du lit, j’écarte les jambes au maximum et j’attends le museau de Xenos avec excitation. Mes seins sont tendus, je sens que je coule, ma mouille se mélange au beurre d’arachide. Je caresse mes seins, je pince légèrement mes tétons, tire dessus, les graissant de cacahuète. Xénos lèche timidement, au début. Son museau appuie sur mon sexe, sa langue large et puissante se régale, moi de même. Par moment elle vient frôler mon bouton, me procurant un long frisson de bonheur. J’ouvre mon sexe de mes doigts. Je sens la langue du chien sur mes lèvres coulantes, mon clitoris est bandé comme un arc, je le sens durcir, la truffe de Xenos le titille avec rudesse, ce qui déclenche des spasmes de plaisir dans mon ventre. Je ne veux pas que cela cesse, je donnerai tout pour qu’il poursuive son délicieux festin.
Avec une main j’essaie de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calme mes seins avec l’autre. La langue de Xenos me procure un plaisir extraordinaire, j’ouvre ma raie, la langue du chien lèche entre mes fesses, une nouvelle extase m’envahit lorsqu’il insiste sur mon anus. Xénos se retire, je le prie de continuer :
« Allez, Xenos, sois gentil, lèche-moi bien mon toutou ! »
Il replonge son museau entre mes jambes, je pense que je vais défaillir de bonheur. Je me glisse au pied du lit, la croupe relevée, fesses offertes, fesses ouvertes, à quatre pattes, la joue sur la moquette, comme une chienne en chaleur. Xénos tourne autour de moi sans comprendre ce nouveau jeu, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je l’incite à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.
Il revient, et repart, revient, repart, c’est horripilant. Toujours à quatre pattes, je glisse une main entre mes cuisses, enfonce trois phalanges dans mon vagin et me masturbe pour parer à l’urgence. Xénos cherchant mes doigts encore parfumés se place derrière moi. Je ne le vois plus, je suis absorbée par ma branlette. Soudain je sens de nouveau sa langue, il me lèche l’anus et l’ensemble de l’entrejambe. Je me masturbe plus violemment, sa langue insiste alors sur mon anus qui n’est pourtant plus enduit de beurre. La joue posée sur la moquette, je glisse mon autre main entre mes jambes et titille mon bouton. Une explosion de jouissance me secoue, cela part de mon entrecuisse et remonte à l’intérieur de mon ventre vers mes seins.
Je bave de plaisir, c’est trop bon. Xénos entre deux coups de langue tourne autour de moi, indécis. Je reste dans cette position, à le regarder. Il est beau, avec ses muscles saillants, ses grands beaux yeux tendres. Je reprends mes esprits après un long moment. Mon calme revient peu à peu, il s’allonge près de moi.
Je m’assois à côté de lui, enserre son cou entre mes bras. Il se redresse sur se pattes, me lèche le visage, je mêle ma langue à la sienne et me relève en embrassant sa truffe.
Alors qu’il est près de moi, je profite de son calme pour passer ma main sur son ventre. D’abord près de la base de son poitrail, puis comme il semble n’y trouver rien à redire, de plus en plus bas entre ses pattes arrières. Ma main caresse son ventre à présent. Ses poils se font de plus en plus doux au fur et à mesure de la progression de mes doigts. Ma main passe près de son sexe, le contourne sans le toucher. Elle atteint ses testicules gonflés, je les presse doucement avec une infinie précaution, j’en rêvais depuis hier ! La queue de Xenos qui battait l’air cesse soudain son mouvement de métronome. Le chien s’immobilise, attentif à ce que je lui fais, surpris de cette caresse incongrue. Je pense qu’il a compris que le repas est terminé, que j’attends de lui une prestation bien différente.
Mes doigts malaxent ses boules grosses comme de belles prunes. Elles sont couvertes d’un fin duvet très agréable au toucher. Je les sens vivantes sous mes pressions. Je les imagine pleines d’un bon sperme chaud et épais, abondant. Mes sens chavirent à cette perspective. Les papillons familiers investissent mon bas ventre qui se contracte. Je me sens devenir femelle en chaleur au contact de ce mâle docile qui se laisse tripoter, à l’écoute de ses propres sensations. Il a un peu écarté les pattes arrière. Ma main abandonnant ses couilles, glisse doucement vers son fourreau poilu. Je le saisis, il est d’une incroyable douceur. Je le presse en un lent mouvement de masturbation. Xénos lève un peu la patte gauche en un mouvement saccadé, il a l’air d’aimer ça. Je presse davantage, j’accélère encore, j’ai une furieuse envie de voir sa bite sortir de son étui de peau poilue. Mes efforts sont enfin couronnés de succès lorsque je vois une jolie tétine rose pointer enfin, faisant un magnifique contraste avec ses poils fauves.
Quatre étapes pour un projet
Mon mec et moi avons un petit problème. Un problème qui peut se résoudre, certes, mais qui nous pousse à nous questionner au niveau de l'éthique des entreprises...
Je m'explique. Nous avions un super projet informatique. Nous l'avions créé à deux, nous en avions tous deux les droits dessus, mais nous voulions le diffuser à plus grande échelle. Pour ce faire, nous avions besoin d'investissements. Nous étions les deux propriétaires de notre entreprise, et aussi les deux employés. Tout allait bien. Nous travaillions à la maison sur le même projet et pouvions manger et baiser quand nous en avions envie. C'était parfait.
Sauf que pour la commercialisation de notre projet, nous avions besoin d'investisseurs. Nous avions cogné à plusieurs portes des grandes entreprises qui pouvaient nous donner un coup de main tout en nous permettant de nous laisser propriétaire de notre projet. Tout le monde avait refusé notre proposition, tout le monde voulait mettre la main complète sur le projet. Nous refusions. Nous voulions rester maître de nous-mêmes et de notre entreprise, nous ne voulions travailler pour personne.
La réflexion éthique nous est venue durant le rendez-vous avec monsieur Henri. Il était PDG d'une entreprise qui pouvait investir dans notre projet informatique et s'était montré très ouvert à nos conditions.
Nous sommes donc allés à son bureau, pour le rendez-vous. Carl, mon mec, avec qui je vis depuis plus de quatre ans, et avec qui je jouis et je crée, portait son sac et l'ordinateur portable. Moi, dans mon sac, j'avais les papiers de commercialisation du projet, le contrat que nous voulions faire signer en échange d'argent.
Dans l'ascenseur menant au septième étage, Carl et moi nous sommes souris, et embrassés. Nous nous sommes glissé dans l'oreille un : « Bonne chance! », avons pris un grand respire quand la porte de l'ascenseur s'est ouverte. Monsieur Henri nous attendait derrière son bureau. Il s'est levé, nous a serré la main, il avait l'air très gentil et nous a invité à nous asseoir.
« Alors comme ça, si l'on va directement au sujet qui nous intéresse, vous chercher des
Investisseurs ?
- C'est bien cela, Monsieur Henri », commença Carl.
Et voilà qu'il déroulait son discours de vendeur, et moi je le soutenais et renchérissait en vantant les mérites de notre projet. Monsieur Henri nous écoutait bien, le crayon dans la bouche, en hochant la tête. Carl continuait à parler, mais Henri regardait mon décolleté, Carl et moi nous nous en sommes aperçu, même que le discours de Carl se faisait saccadé, comme s'il était déconcentré par le manque d'attention soudain de Henri. J'ai continué, en me redressant, et en obligeant monsieur Henri à me regarder dans les yeux.
Déjà, je me disais que c'était un pervers, ce PDG, encore un autre ! Je voulais même m'en aller de suite, rester forte et froide face à des investisseurs peu scrupuleux... Puis,
Monsieur Henri de prendre la parole :
« Je suis impressionné, qu'il dit, vraiment! Mais... (il regarda dans des dossiers devant lui) je vois que vous avez demander à plusieurs compagnies, avant la mienne, d'investir dans votre projet... Pourquoi ?
- Sachez, Monsieur Henri, que votre compagnie était en tête de liste. Seulement, nous voulions voir aussi ce que les autres pouvaient offrir...
- Et que vous ont-ils offert ? »
Silence. Carl et moi nous sommes jetés un regard, on se disait : « Merde! », je me mordais les lèvres, et Monsieur Henri a continué :
« Je vais vous dire ce qu'ils vous ont offert les autres compagnies... Rien ! Parce que les conditions que vous demandez sont inacceptables ! »
Carl et moi étions muets. Monsieur Henri respira un coup :
« Mais il y a peut-être une solution... votre projet est excellent, et notre compagnie profiterait à coup sûr de sa commercialisation. Et regardez, je vais faire un marché avec vous; je vais dire la solution que je vois, ensuite je vais quitter la pièce, et je vous laisse parler ensemble. Quand je reviendrai, vous me direz si oui ou non vous acceptez ma solution, ça vous va ? »
Carl hocha la tête rapidement, il semblait se dire :
« Enfin, quelqu'un qui peut nous arranger ! »
Quant à moi, j'avais chaud.
« Vous êtes de très belles personnes, de beaux jeunes gens, rempli d'ambition. Je vous donnerai l'investissement que vous espérez, et à vos conditions. Sans problème ça. Mais à une de mes conditions...
- Laquelle? demandai-je, le voyant venir.
- Notre contrat se fera en quatre étapes. C'est seulement à la dernière des étapes, une fois seulement que nous aurons signé tous les papiers, je vous donnerai l'argent escompté...
- Mais quelles conditions, Monsieur Henri ? demanda Carl.
- Faveurs sexuelles...
Je le savais, il n'avait cessé de regarder mon chemisier et de me déshabiller du regard, le salaud! Henri se leva de sa chaise, un petit sourire aux lèvres et se dirigea vers la porte.
-Maintenant, je vous laisse parler ensemble, Réfléchissez bien! Nous sommes la dernière compagnie à pouvoir investir chez vous!
Il quitta la pièce. J'avais le goût de pleurer. Carl mit un bras sur mes épaules :
« Qu'est-ce qu'on fait ?
- C'est du chantage !
-T'as raison, on s'en va !
- Mais Carl ! On a besoin de cet argent, sinon on va couler...
- Je sais, on va faire faillite...
- Mais alors... »
Je respirais difficilement. J'avais les pensées en désordre; il nous fallait cet argent et monsieur Henri le savait très bien. Il savait même que les autres compagnies nous avait fermé la porte au nez.
« Merde, merde, merde! C'est le dernier qui peut investir chez nous ! » criais-je presque.
Carl me regarda dans les yeux...
« Bon, qu'est-ce que ça va changer...? Rien... nous nous aimons, et nous serons maître de notre projet...?
- Mmmm
- Et puis, quoi, tu as déjà sucé quelqu'un d'autre que moi... et en ma présence !
- Ton cousin ?
- Oui, et à l'époque tu as dit que tu aimerais bien recommencer...
- Mais pas... pas... comme ça !
- Oui, je comprends...
- Et Carl, on ne le connait pas, le Monsieur Henri! Et s'il veut t'enculer ? D'accord, tu aimes bien que je te pénètre de mes doigts... mais là, ça ne sera pas la même chose...!
- Mmmmmouais… »
Nous réfléchissions. Étions pris dans un dilemme.
« Il nous faut cet argent ! » jura Carl entre ses dents.
Nous n'avons pas pu discuter plus longuement. Monsieur Henri est revenu dans son bureau, accompagné par une dame de son âge, la cinquantaine, sa secrétaire probablement. Elle tenait des papiers et des crayons dans ses mains.
« Alors, vous avez pris décision ? »
Carl et moi nous sommes regardés. Puis, c'est lui qui a pris la décision, tout seul... Il s'est levé en disant:
« Oui.
- Très bien ! »
Monsieur Henri s'asseyait dans le sofa qu'il y avait dans un coin de la pièce.
« Madame Sonia fera les papiers pendant que... »
Carl était debout, moi toujours assise, les mains entre les cuisses. Carl s'avança vers monsieur Henri, et s'agenouilla devant lui, entre ses jambes. Monsieur Henri lui dit:
« Alors, c'est vous qui prenez les choses en main ? »
Il souriait, Monsieur Henri, en direction de mon amour à moi, qui était à genou entre les jambes de ce vieux porc. Je ne voyais pas le visage de Carl qui lui dit, la tête relevé vers lui :
« Quatre étapes hein ? Nous en avons l'assurance...?
- Mais bien sûr... »
Je vis mon homme dézipper le pantalon de Monsieur Henri. Celui-ci se souleva les fesses pour faire passer le pantalon. Carl lui caressa les cuisses poilues. Il était dos à moi, Carl, et je le sentais respirer fort hésiter. Il tourna la tête vers moi, j'étais comme hypnotisée. Et Monsieur Henri de rajouter :
« Viens là, ma belle... »
Je regardai Madame Sonia qui, sur le bureau, écrivait quelque chose sur les papiers. Elle me fit un petit sourire désintéressé. Je me levai et j'allai soutenir mon homme. Il ne pouvait pas tout assumer tout seul ! Je mis ma main dans ses cheveux, le caressai tendrement, puis m'agenouillai à son côté. Monsieur Henri souriait d'aise:
« C'est bien ça, c'est bien... »
Carl enleva le sous-vêtement blanc de Monsieur Henri, et son pénis sursauta. Il était grand et large. Beaucoup de poils. Il bandait déjà durement. Il était circoncis, Monsieur Henri et son gland était gonflé. Carl regardait l'engin puis tranquillement, avança sa main droite vers ce membre bien dressé. Il enroula ses doigts à la base du pénis de Monsieur Henri, et pressa un peu.
Puis Carl me regarda. Je ne savais pas du tout ce que voulaient dire ses yeux, il me fit un petit sourire de côté, rapidement, fugacement puis revient vers la queue du PDG et avança la tête, ouvrit la bouche, et engloutit le gland de l'investisseur. Il le prit en bouche trois ou quatre secondes, devait jouer avec sa langue sur le gland comme je lui faisais, puis fit sortir le gland d'entre ses lèvres.
Il reprit son souffle, ne me regarda pas et engouffra à nouveau le pénis de Monsieur Henri. Ce vieux respirait fort et regardait mon mec lui faire la fellation. Il se laissait aller, Carl, bougeait sa tête d'avant à l'arrière en aspirant de ses joues.
De sa main, Carl mon amour, branlait la base de la queue de Monsieur Henri en même temps. J'étais fascinée de voir mon homme sucer le financier qui se jouait bien de nous. Puis, Henri me toucha les cheveux, et avança ma tête vers sa queue. Carl me vit de coin de l'œil, sortit le gland de sa bouche, et me tendit le membre du PDG. Je l'engloutis à mon tour, en regardant Carl s'asseoir sur ses talons, et respirer fort, et s'essuyer les lèvres. Il était hypnotisé lui aussi. Mais il revient vers la queue d’Henri, que j'avais toujours en bouche et lui lécha la base, puis les testicules. Henri respirait très fort et tranquillement, il souleva ses jambes, donnant la possibilité à Carl de mieux lui gober les testicules.
Je cessai ma fellation, et Carl remonta le pénis bien dur avec sa langue. Arrivé au gland, il le prit en entier de sa bouche et moi, je me penchai vers les testicules. Et l'anus de Monsieur Henri était là, tout prêt, et je savais bien que les hommes, en cette position (Carl le faisait souvent) aimait se faire lécher... je le fis sans y penser vraiment, j'insérai ma langue dans le cul de Monsieur Henri et je l'entendis gémir de plus belle, il aimait vraiment ça le cochon !
Nous avons continué, Carl et moi, ainsi un bout de temps. J'avoue ignorer combien de temps dura cette fellation orchestrée par deux jeunes entrepreneurs dans le but d'un investissement. Monsieur Henri gémissait, il se laissait aller et se tenait les jambes bien hautes.
« Mais qu'est-ce que vous attendez ? dit-il entre deux râles, mettez moi un doigt dans le cul ! »
J'entendis Sonia glousser, je me relevai et la regardai; elle avait soulevé sa jupe et se masturbait. Carl aussi avait cessé de sucer Henri, et lui et moi nous sommes regardés, estomaqués. Puis, il lécha son majeur, et le descendit vers l'anus ouvert et bien mouillé d’Henri. Il l'enfonça, et je repris la queue dans ma bouche. Et il éjacula aussitôt. Je reçu un premier jet dans ma gorge, je libérai le pénis puis me mit à le masturber. Le sperme jaillit. Carl, un doigt dans le cul de monsieur Henri, était fasciné par la situation. Il faisait un va-et-vient tranquillement puis enleva son doigt visqueux. Henri baissa ses jambes et resta sur le divan, fatigué en râlant encore.
« Wé... vraiment, c'était bon... merci ! Votre projet est prometteur... »
Il nous caressa les cheveux. Je me levai debout. Carl resta un instant à genoux, à reprendre son souffle. Il se rendait compte de ce qu'il venait de faire...
« Venez ici mademoiselle ! »
La voix de Sonia était autoritaire. Elle tourna un dossier vers moi, c'était notre contrat.
« Veuillez signer ici je vous prie. »
Le contrat stipulait qu'il faudrait quatre rencontres avec monsieur Henri et madame Sonia avant que leur boite daigne à nous verser l'argent... Carl vint près de moi et dit, en regardant le dossier :
« C'était ce qu'il avait dit... »
Je me retournai vers monsieur Henri, que nous venions tout juste de pomper et de faire jouir, il était toujours bien assis dans le divan et récupérait ses forces en nous regardant, somnolent.
« Je tiendrai parole. Signez et Sonia vous recontactera... »
Je pris le stylo tendu et posa ma griffe. Carl aussi. Nous venions de franchir une grande étape, et un mur. Sonia nous gratifia d'un sourire, nous remercia, et Carl, gêné par la situation, prit le chemin de la porte. Sonia me demanda de rester un peu, se leva, et me glissa quelques mots à l'oreille. Je hochai la tête, abasourdie, puis sorti, avec un dernier regard vers le PDG somnolent qui avait bien joui d'une superbe fellation fait par un homme et une femme accompagné d'une insertion de doigt dans son cul...
Carl me demanda, curieux :
« Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
– Je t'en parle à la maison...
– Laisse-toi faire... »
Il était nu sur le lit, Carl, et bandait de belle manière. Entre ses jambes, je m'appliquai à le sucer, magistralement, enfonçant son pénis jusqu'à la garde. Je me masturbais en même temps et une fois mes doigts bien huilé, je lui mis un index dans le cul, Carl aimait bien que je le doigte en le suçant, et cette fois-ci, j'y allais rapidement en son anus. Il gémissait vraiment fort, et me donnait des coups de reins en même temps, soit pour m'enfoncer sa queue plus en bouche, ou pour m'encourager à aller plus loin et plus fort entre ses fesses.
Puis, tout seul, sans que je l'invite, Carl se tourna et se mit à quatre pattes, me montrant ses fesses. Je tendis la main pour prendre notre gode-michet, pénétrai Carl de nouveau avec deux doigts, avant de lui enfoncer notre gode. C'est lui qui maintenait le rythme, plus rapide et il s'enfonçait notre objet loin dans le cul. Il couinait, jouissait du cul, et bandait dur. Il aimait se faire enculer, mon amour...
Puis son corps entier se mit à trembler, il s'allongea et enleva lui-même notre gode de son cul. Il avait joui et n'avait pas éjaculé. Je lui caressais les fesses, qui tressaillaient encore.
« C'est ça que Sonia m'a dit avant de partir... de bien te préparer avant ta... rencontre privée... »
Carl me regarda, ébahi. Puis il se recroquevilla et ferma les yeux :
« Oh merde. »
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2.
Madame Sonia nous avait appelés la veille. Monsieur Henri voulait me voir seule, pour la deuxième étape de notre contrat.
Carl avait protesté, mais s'était résigné. Nous avions accepté ce pacte sexuel.
J'ai pris le pénis de mon amour dans ma bouche, et je l'ai doigté à nouveau, il s'est laissé aller en me disant que je savais si bien faire. Moi, je me disais que j'aimerais bien avoir une queue, des fois, pour le prendre complètement. Puis Carl s'est relevé, m'a baisé la bouche et m'a éjaculé partout sur le visage. Il s'est excusé ensuite. M'a dit seulement :
« C'est peut-être ça que Henri va te faire... »
J'ai répondu :
« Tu commences à savoir, toi, ce qu'il te fera... »
Nous nous sommes serrés dans les bras.
« Prend soin de toi » m'avait dit Carl à mon départ.
Je lui avais souri, n'avais pas répondu.
Je me suis alors pointée seule au bureau de Monsieur Henri. Sonia et lui travaillaient quand je suis entrée. Sonia s'est levée, m'a caressée le visage puis m'a embrassée en me disant bienvenue. Henri m'a regardée et m'a ordonné :
« Danse !
– Mais... il n'y a pas de musique...
– Je t'ai dit, danse ! »
Je ne savais que faire. Tranquillement, je me suis mise à onduler du corps, du bassin, jouant avec mes cheveux. Je me suis approchée de monsieur Henri qui continuait à travailler, je me suis approchée de lui jusqu'à un mètre environ, de son côté de bureau. Sonia s'est assisse dans le divan où, la fois précédente, Carl et moi avions sucé Henri. Il a relevé la tête, m'a regardé d'un œil pervers.
« Très bien... déshabille-toi maintenant ! Et danse encore ! »
C'est là que je me suis mise à faire la pute. En déboutonnant ma petite chemise tranquillement, en l'enlevant, en me cachant les seins, en me tournant de dos, en dégrafant mon soutien-gorge noire pour qu'il voit bien le geste, puis toujours en dansant lascivement, en dézippant ma jupe de secrétaire.
Je ne l'ai pas vu arriver, Monsieur Henri. Il s'est attaqué à mes fesses, en les pétrissant, puis en enlevant rapidement mon slip. Il m'a pris les bras, les a tirés dans mon dos.
J'avais une petite douleur aux épaules. Il me tenait les deux bras d'une main, et de l'autre, il a enfoncé sa queue dans ma chatte. Puis, il a poussé ma nuque contre le bureau, il me tenait toujours les bras et il m'a baisé. Littéralement. Sans plus de cérémonie.
Et me voilà les seins écrasés sur le bureau de Monsieur Henri, lui me tenant les deux bras dans le dos, à me faire baiser comme une pute du luxe par derrière. La situation aurait pu être plus excitante.
Mais Henri le PDG semblait préoccupé et semblait vouloir se servir de moi que comme un défouloir. Et il me baise rapidement, sans ménagement, en me tenant les deux bras dans le dos. Je me suis abandonnée.
Ce n'est pas un viol, c'est seulement une baise précipitée, et je suis consentante. Il nous faut cet argent, Carl et moi !
Et me voilà, là, en repensant à Carl qui m'a dit : « Prends soin de toi ! », à me dire que nous avions besoin de cet argent, et de voir Madame Sonia s'asseoir dans le fauteuil devant moi.
Elle se masturbe, Sonia, avec un gros gode-michet. Je le vois entrer et sortir de sa vieille chatte, et je suis hypnotisée par Sonia et ses mouvements, tandis qu’Henri me besogne de plus belle en soufflant comme un porc.
Je ne peux pas bouger, et Sonia retire son gode de sa chatte, s'avance vers moi, et me le met en bouche, tout en me maintenant par le cou. Et Henri se retire, me libère les bras. Je m'appuie contre le bureau mais ne peux pas plus bouger, Sonia me tient et m'enfonce son objet élastique dans la bouche. Je sens Henri m'éjaculer dans le dos, c'est chaud et gluant, il râle puis me tape les fesses. C'est fini. Sonia retire son membre artificiel et se rassied dans le fauteuil...
« Rhabille toi, mais ne te lave pas avant d'être rendue chez toi. Je veux que ton « fiancé » voie ce que je t'ai fait... »
Je me redresse et cherche mon slip.
« Au fait, je le garde », me dit Monsieur Henri.
Il s'essuyait déjà le pénis avec mon slip. Je mets ma jupe, mon soutif, reboutonne ma chemise. Sonia me fait signe de la rejoindre. Un papier sur le bureau, à côté du gode.
« Signe ici, la deuxième étape est réalisée », me dit Sonia.
J'ai signé mon nom. Puis Henri vient près de moi :
« Merci, tu as été bien bonne, merci... et... n'oublie pas ce que Sonia t'a dit... à propos de ton fiancé... »
Je hochai la tête, puis sorti. A l'air libre, j'avais envie de pleurer. Le vent entrait sous ma jupe. Je n'avais pas joui, avec monsieur Henri. Si au moins... Je m'étais vraiment fait prendre comme une pute.
Et je sentais son sperme me couler le long des reins, et me tacher la chemise.
Me voilà anxieuse. Carl est parti depuis trois heures.
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3.
Deux jours après ma rencontre privée avec Monsieur Henri, Sonia nous a rappelés. C'était au tour de Carl de rencontrer notre investisseur. Tout seul. Carl a raccroché le téléphone en fermant les yeux, et en serrant les dents.
« Tu crois qu'il va vouloir m'enculer ? «
Je me suis approché de lui, lui ai caressé les cheveux, l'ai embrassé.
« Courage, lui ai-je dit. Après cela, il ne nous reste qu'une séance, et la boite de Monsieur Henri payera ce qu'on demande pour mener notre projet à bien, en toute indépendance. »
Carl a hoché la tête.
« Oui, mais...je ne suis pas gay moi, et j'ai jamais eu une queue dans le cul... je t'aime !
– Moi aussi je t'aime. »
Nous nous sommes embrassé, puis déshabillé. Je l'ai sucé encore, à genoux devant lui. Puis il s'est retourné, et a cambré son cul, en se tenant contre le dossier d'une chaise.
« Prépare-moi... »
Je lui ai léché l'anus, enfonçant ma langue bien profondément. Il aimait ça Carl, se faire lécher et pénétrer. Je l'ai doigté encore, un doigt, puis deux, ça entrait tout seul. Au cours de la dernière semaine, je l'ai enculé à tous les jours. Et il jouissait sans que je ne lui touche le pénis. Son anus était détendu. J'aurais bien aimé être présente lorsque Monsieur Henri prendrait mon mec en levrette... Carl est parti, et me voilà anxieuse. Il n'est toujours pas revenu.
Ah non, le voilà ! Il entre dans notre appartement, referme la porte et se retourne. Me sourit :
« Ça va ?
– Oui, ça va... ça s'est bien passé... »
Il est allé dans la cuisine se prendre une bière qu'il a bu en trois gorgées, puis s'est est repris une avant de me rejoindre.
« Tu veux me raconter ?
– Je dois te dire... ton mec, il est bisexuel !
– Tu veux dire ?
– Je t'aime mon amour... mais comment dire... je te raconte :
« Je suis arrivé de leur bureau. Ils travaillaient sur des papiers. Monsieur Henri m'a demandé de m'avancer. Et de danser. J'ai dit que je ne savais pas danser. Comme toi, il voulait que je me déshabille en dansant, ce que j'ai fait maladroitement. Sonia était là, en jupe de secrétaire et s'est assise dans le divan. Elle a relevé sa jupe et s'est caressé.
Comme je me déshabillais tranquillement, en tentant de danser, monsieur Henri a vu que je ne bandais pas. J'étais nu, Sonia et Henri encore habillé. Sonia a relevé sa jupe, a enlevé son slip et m'a demandé de la lécher. Je me suis donc agenouillé devant elle, et je l'ai lécher. Je lui aie rentré deux doigts aussi, elle a vite joui, la vieille.
C'est là que je me suis mis à bander. Elle m'a dit de me mettre à quatre pattes devant elle et de continuer à la lécher. Entre les jambes de Sonia, j'ai pu voir Henri se déshabiller à son tour. Je masturbais Sonia de deux doigts, ma langue jouait avec son clitoris, elle goûtait bon; elle, elle me caressait les cheveux et Henri a mis ses deux mains sur mes fesses, il les a pétri... Je te remercie mon amour, tu m'as fait adorer ça...
J'ai sorti mes doigts de la chatte de Sonia, et me suis maintenu sur ses cuisses. Je tentais de me concentrer pour la lécher encore, mais Monsieur Henri m'a léché à son tour. Je voulais enfoncer ma langue le plus long possible dans Sonia pour que lui, il enfonce plus la sienne dans mon cul. Quand même ! Ton mec s'est fait lécher le cul par un PDG ! »
Il riait, un petit sourire en coin.
« Et alors ?
– Alors, Henri s'est levé, et a glissé son gland contre mon cul. Il m'a enculé, ça a commencé tout doux, il s'est enfoncé doucement. Je n'ai rien dit, mais j'ai cessé de lécher et de masturber Sonia, je me tenais sur ses cuisses. Elle a pris mon visage, m'a caressé. Je sentais franchement la queue d’Henri me prendre. J'ai soufflé lorsqu'il est sorti de moi, pour mieux me reprendre. J'ai soufflé encore. Sonia m'a embrassé et a dit :
« Mais il aime ça notre entrepreneur, il aime se faire enculer, tu devrais voir son visage, on dirait qu'il rêve ! »
Henri a répondu :
« Très bien » et il a continué, puis a dit : « J'aime bien ses fesse à ce jeune homme, vraiment.. »
Sonia de répondre : « Tu préfères l'enculer lui que moi ? » et Henri de dire : « Je n'ai pas dit ça, mais lui, vraiment... »
Il coulissait en entier dans mon cul, je me suis laissé aller complètement, c'était vraiment la première fois que je me faisais enculer autant, j'aurais voulu arrêter, mais je ne pouvais pas, Henri continuait et j'ai joui, mon amour... si tu pouvais savoir... j'ai tellement joui... et je bandais toujours. J'ai entendu Monsieur Henri gémir, comme s'il allait éjaculer, je me suis masturbé à mon tour, je bandais un peu mollement, mais je bandais quand même. Je me suis senti vide quand Henri est sorti de moi, et il m'a éjaculé dans le dos, à moi aussi...
J'ai soufflé, j'ai attendu, Monsieur Henri était parti. Je me suis levé debout, et me suis masturbé devant madame Sonia.
C'est une vieille salope, elle. Elle a ouvert la bouche, m'a sucé, je lui tenais la nuque à mon tour puis je lui ai éjaculé sur le visage, sur les lunettes, partout ! Faut que je dise, mon amour... j'ai aimé ça.
– Mais pourquoi ça t'a pris tant de temps ?
– On a pris un verre, après. J'ai signé aussi. Mais ils ont rajouté une condition.
– Laquelle ?
– Comme j'ai éjaculé sur le visage de Sonia, elle doit m'enculer à notre prochaine rencontre...
J'étais pensive, nous arrivions à la fin. Je pouvais peut-être montrer mon petit achat à Carl ? Oui, allez ! C'était un gode ceinture. Je comptais bien l'apporter à notre dernière séance, avec Monsieur Henri et Madame Sonia...
Comment nous sommes-nous retrouvés dans cette situation ? Notre ambition, notre désir de liberté, d'indépendance ? Comment nous sommes-nous retrouvé ainsi ?
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4.
Quelques jours plus tard, c’est la quatrième et dernière étape. Je suis assise sur le visage de Carl, il me lèche le clitoris et je lui barbouille le visage de ma mouille. Même mon anus a droit à sa langue. Dans ma main, je tiens sa queue, mi-dure mi-molle, des fois je me penche pour le sucer. Mais le plus souvent, je le masturbe puisque Monsieur Henri, debout, m'oblige à gober la sienne. Il joue avec ma nuque pour m'enfoncer son pénis en bouche.
En rythme, je tente de masturber mon amour Carl. Qui se fait enculer par le gode ceinture de Madame Sonia. Elle lui tient les jambes hautes, elle se laisse dériver dans son cul, et semble tellement aimé cette sensation. Le visage de Sonia est jouissif.
La langue de Carl me cherche, et il souffle, il gémit, il se fait baiser par Sonia qui elle, a un sourire dans la voix :
« Que c'est bon ça Henri ! Tes petits protégés sont exquis !
– Oh oui ! »
Et voilà que le PDG me baise la bouche, je ne peux plus le retenir, il va et vient rapidement dans ma gorge, j'en ai un haut-le cœur, puis il ressort et me donne des petits coups de pénis sur les joues. Je reprends mon souffle.
« Oh oui », qu'il dit encore.
Monsieur Henri vient derrière moi. Je vais me faire prendre à mon tour et je l’attends, cambrant mon dos. Il me pénètre, me prend, me baise et je perds la carte.
Pour la suite, je n'ai que des images floues :
Madame Sonia qui me fait sucer son gode, Monsieur Henri qui m'encule, Carl qui caresse les seins de Sonia.
Ou bien : Carl à quatre pattes se faire défoncer par Sonia, et sucer Henri.
Ou bien : complètement enculer par Henri, la tête et les épaules sur le plancher, complètement soumis, passif.
Ou bien : Je suis en train de doigter les culs de Henri et de Carl, madame Sonia sucer Carl.
Dernière image; Carl me faisant l'amour en missionnaire, la queue de monsieur Henri éjaculant entre nos deux bouches tandis que madame Sonia encule Carl encore et encore...
Lendemain. Carl et moi nous nous sourions, à la maison. Nous avons réussi. Nous pourrons mettre à profit notre expertise. Nous avons eu notre investissement. Nous sommes restés indépendants.
C'est parfait. Nous n'avons aucune honte. Un petit souci éthique, peut-être. Mais cet investissement de Monsieur Henri nous a complètement soudés, Carl et moi.
Et Carl me parle de bisexualité, librement.
Signé : Martine
- Commentaires textes : Écrire
L'initiation de Mario - chao. 5
5. Mario et José
Une semaine passe sans rien d'autre que la vie passionnante d'une caserne. Le dimanche arrive, et pour une raison que j'ai oubliée, ma perm est sucrée. Alors je tourne en rond dans cette caserne où beaucoup de gars sont partis. Je vais m'isoler dans une grande pièce inoccupée pour écrire mon courrier, entre autre à Pierre mon premier amour avec qui j'entretiens de bonnes relations.
Je décide de lui raconter la soirée que j'ai passée avec Philippe chez Jean. Nous sommes en Juin, il fait très chaud. Je suis donc torse nu. Absorbé et troublé par les détails de mon fist, je n'ai pas remarqué que quelqu'un était entré dans la pièce. C'est son souffle chaud dans mon cou qui m'alerte et le contact de ses lèvres sur mon épaule. Je me retourne, surpris et je vois un jeune gars brun au visage mignon et assez féminin. Je ne l'avais jamais remarqué jusque là et pourtant j'aurais dû car il est assez maniéré, un peu genre «''folle''.
« Salut, lui dis-je. Tu m'as fait peur. Et qu'est-ce qui te prend de m'embrasser dans le cou comme ça ? J'aurai pu te mettre mon poing dans la gueule !
- Je crois pas que tu l'aurais fait, ça fait un moment que je suis derrière toi et que je lis ce que tu écris à ton ami. Tu m’as excité tellement que je n'ai pas pu m'empêcher de t'embrasser. »
Il se présente. Il s'appelle José et ça fait un an qu'il est là. Il me dit que je lui plaisais beaucoup et que cela faisait un moment qu'il m'observait pour savoir s'il pouvait ou non faire quelque chose avec moi.
Durant qu'il parle, je l'examine des pieds à la tête. Il est vraiment mignon. Il ne ment pas quand il dit qu'il était excité, car il bande. José avait posé ses mains sur mes épaules tout en parlant. Je les saisis et les tire vers moi pour lui prendre les lèvres. Il ne refuse pas ma bouche, bien au contraire. Il a une langue agile qui me fait un plaisir fou en jouant avec la mienne. Je caresse sa queue à travers son pantalon. Il bande vraiment et j'ai envie de lui. Lui aussi a envie de moi qui me dit :
« Je suis de garde ce soir, je serai dans le mirador nord. Viens me voir, s'il te plaît, tu ne le regretteras pas ! J'ai tellement envie de toi !
- Ok, José, à ce soir, j'ai hâte d'y être' moi aussi. »
Nous nous embrassons à nouveau et il quitte la pièce, c'est comme ça que je peux voir que son pantalon ne peut cacher qu'il a un cul d'enfer. Putain, vivement ce soir !
Vers onze du soir, je sors discrètement de la chambrée et me dirige vers le poste de garde, une cigarette au bec. Je justifie ma présence par des difficultés à dormir, avec cette chaleur. Cela me permet de voir que José n'est pas là, il est donc dans son mirador.
Cigarette terminée et écrasée, je salue tout le monde, et après un détour, je vais vers le mirador nord. Je grimpe à l’échelle.
« Qui va là ? me chuchote José d'une voix amusée.
- La bite qui va te faire plaisir !
- Alors viens vite ! »
La France peut dormir tranquille, José va être très peu vigilant pendant quelques minutes. Il pose son fusil contre la paroi du mirador. Et nous nous enlaçons pour nous rouler une pelle annonciatrice d'un plaisir que nous sommes impatients de connaître. José se met à genoux devant moi dégrafe mon pantalon descend mon ''caleçon US'' et sort ma bite déjà toute grosse de désir. Il pose ses lèvres sur mon gland pour une bise puis lui donne quelques coups de langue. On voit qu'il aime sucer et me le prouve. Ses lèvres entoure ma bite et il l'enfonce jusqu'au fond de sa gorge et recommence. Il procède ainsi un long moment. Ses lèvres chaudes effleurent ma tige, ça me colle des frissons partout dans le corps, je n'y tiens plus, j'ai envie de la baiser cette salope et le lui dit.
Sans un mot, il baisse son pantalon se retourne, se penche et me tend son cul. Ma main le caresse, ses fesses sont fermes et arrondies, je glisse un doigt entre ses fesses, je suis surpris agréablement car il mouille du cul. Je me sens moins seul, car moi aussi j'ai le cul tout humide quand j'ai envie de me faire prendre. Je me penche pour lécher sa fente puis je présente ma bite et la fait entrer doucement, par petits coups.
Ça fait gémir José qui se penche un peu plus et s'enfonce complètement sur moi. Je reste un moment sans bouger. Je suis bien en lui. José se trémousse, il a envie de mouvements, alors je l'encule vraiment, en donnant de grands coups de reins, je sors ma queue complètement et la rentre ensuit sans ménagement, José gémit de plus en plus fort. Je souffle comme un phoque, je me retiens autant que je peux pour ne pas exploser tout de suite.
« Mon chéri ne jute pas en moi, je veux te boire, s'il te plaît ! »
Je sors de lui et présente ma bite à sa bouche, il se jette dessus sans aucune douceur, et la suce presque violemment. Il est surexcité, il se débrouille tellement bien que j'explose dans sa queue.
Il se redresse et me fait face, mon sperme coule un peu au coin de ses lèvres. Il est beau et tentant comme ça, alors je lui lèche les lèvres pour les nettoyer, puis je l'embrasse,
une partie de mon jus est encore dans sa bouche, j'en récupère un peu. J'ai toujours aimé son goût. José est une belle salope. J'ai moi aussi envie de sa queue, au moins dans ma bouche. Je me baisse pour être à hauteur de sa queue.
Elle est toute raide et toute mignonne. Pas très longue, elle doit faire à peu près 14 cm. Je la lèche amoureusement comme une sucrerie, je gobe ses couilles vierges de tout poil, je le lèche avec un plaisir gourmand car il sent formidablement bon. Je ne sais ce qu'il utilise comme parfum, mais il se marie bien avec sa peau. José toujours à l’affût d'une queue à consommer se lave et entretient parfaitement la propreté et l'hygiène de son entrejambe. Aussi pour faire durer notre plaisir je prends mon temps pour le faire jouir.
Quand enfin, il explose dans ma bouche, je consomme son jus égoïstement sans même le partager avec lui. Ensuite seulement, je me relève pour l'embrasser à pleine bouche et je le quitte, heureux de ma soirée, et heureux aussi que l'on ne nous ait pas surpris, voilà qui aurait fit scandale dans la caserne. Je ne regrette pas d'être venu le voir pendant sa garde. Dans deux jours, je dois passer la soirée avec Jean, je vais lui parler de José, je suis sûr que tous les trois, on devrait passer de très bons moments.
Je n'en ai rien dit à José, on se sait jamais si Jean sera d'accord. Je suis sûr que oui, car José est un garçon très charmant et attirant qui semble aimer tout ce qui se fait et le reste. Je rentre discrètement dans la chambrée et me couche sans même me laver, comme ça je m'endors avec l'odeur du corps de José sur ma bouche et sur ma queue…
Plus que deux jours avant d'aller chez Jean, il me tarde d'y être et de sentir encore sa main enfoncé en moi jusqu'au poignet. Il ne me l'a fait qu'une fois mais je sens que j'y prends goût.
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Nathalie et Articho - parties 1 et 2
Voici une histoire zoo que j'avais imaginée. Tout est inventé et je suis un homme...
Partie 1
A dix-huit ans, Nathalie était une jeune femme épanouie, jolie et intelligente. Elle venait de rentrer en première année de droit à l'université du Havre.
Nathalie habitait encore chez ses parents, à Sainte Adresse, dans la banlieue résidentielle. La maison de style belle époque donnait sur un joli jardin, vert et bien entretenu. Elle était vaste et décorée avec goût, une véritable maison de famille. Rien ne semblait pouvoir troubler la quiétude familiale, car tout souriait à cette famille. Le frère aîné avait quitté le foyer pour intégrer l'ESCP à Paris et, désormais en stage à la City, faisait la fierté de son père. Nathalie, elle aussi, savait ce qu'elle voulait faire. Du droit, des affaires, et si possible travailler pour un cabinet américain à Paris, "au moins pour l'expérience".
Rien, absolument rien n'avait donc pu troubler cette famille et aucun des deux enfants n'avait réellement fait de crise d'adolescence ou n'avait donné de fil à retordre aux parents. C'était un portrait idéal de famille : parents notables et BCBG, enfants brillants, tous au golf le week-end avec Articho, le labrador beige rien ne manquait au tableau !
Nathalie était une jeune femme tranquille, discrète et que certains pouvaient imaginer prude ou coincée. Elle avait une vie particulièrement réglée : l'université, deux vraies amies, le golf du Havre et depuis peu, une voiture. Si son frère avait une petite amie depuis quelques années, les parents de Nathalie ne lui ont connu aucun amoureux.
Comme tout adulte ou adolescent, Nathalie avait pourtant une vie sexuelle ou plutôt une activité sexuelle fluctuante. Elle était pudique, au point de soutenir à sa meilleure amie qu'elle ne s'était jamais masturbée, et que jamais cela ne lui viendrait à l'esprit ! Nathalie laissait donc transparaître le profil lisse, d'une jeune fille presque ennuyeuse.
Le temps passait, et Nathalie obtint son bac S avec mention. 18 ans : à cette occasion, ses parents lui offrirent une automobile, et étant devenue étudiante, lui posèrent une ligne de téléphone et d'internet à haut débit dans sa chambre. Le vide de sa vie sentimentale commençait à se faire sentir, surtout Nathalie avait remarqué que l'intensité de ses fantasmes et l'impériosité de ses désirs de masturbation n'en étaient que plus forts.
Nathalie sous ses allures si sages aimait à se caresser dans des lieux insolites, ce qui décuplait le plaisir. Par exemple, elle parvenait à se masturber en cours sans que personne ne le remarquât, en croisant les jambes et en contractant ses cuisses à intervalles réguliers. Elle allait rarement jusqu'à l'orgasme au lycée, en revanche dans l'environnement anonyme de la fac, elle poussait les limites plus loin. Elle le faisait aussi dans les transports en commun, en particulier dans le corail qui l'emmenait voir ses amies à Paris.
Elle avait aussi réussi à se porter à l'orgasme dans un bus du Havre en glissant un de ses doigts sous sa jupe courte, et sous sa petite culotte (l'excitation provoquée par cette audace fit que la jouissance vint particulièrement vite, 1-2 minutes.) Bref, un manque commençait à s'installer. Il était grand temps de tomber amoureuse.
Une série d'événements devait contrarier les plans de Nathalie, et lui faire prendre une tangente qu'elle n'aurait jamais imaginée un seul instant.
Début juillet, Nathalie traînait à la maison, désœuvrée mais satisfaite, majeure, son bac en poche et avec mention ! En août, toute la famille devait partir en Corse. Aujourd'hui, elle devait être seule toute la journée, elle se leva tard et paressa assez longuement en peignoir dans la maison : petit déjeuner devant la télé, musique à fond puis elle passa tout de même une robe d'été, légère. Passé treize heures, Nathalie se mit à regarder Eyes Wide Shot en DVD, et le film l'excitant un peu, elle se mit à se caresser de temps à autres. Étant affalée sur le divan, elle sentit soudain la truffe froide d'Articho passer sous sa robe, et effleurer longuement sa cuisse pour buter sur sa petite culotte ! Surprise, elle se redressa vivement et éloigna ce paisible toutou.
Il faudra seulement ne pas oublier de le nourrir, et c'est sûrement ce que demandait Articho. Nathalie se replongeait dans le film et continuait de se caresser, pas trop activement, pour étaler le plaisir sur des dizaines de minutes. Mais son excitation montait, et elle ne pouvait s'empêcher de penser à Articho. Plus précisément, elle se remémorait une scène dont elle avait été témoin dans la rue à Paris. Alors qu'elle marchait Rue du Commerce, elle remarquait un gros chien qui attendait son maître dans la rue. Le chien avait un début d'érection et une partie de son sexe était apparent. Simultanément, elle croisa le regard d'une femme rivé sur le sexe du chien. Ca l'avait frappée : pour elle qui a un chien, et bien le sexe canin n'a strictement aucune signification sexuelle.
Mais cette femme qu'elle a croisée, elle, avait été troublée. De toute évidence, elle avait envisagé, même inconsciemment, la « possibilité » d'un rapport entre le chien et elle. C'est cela qui revenait à la mémoire de Nathalie et qui par ricochet la troublait à son tour. Et si oui, elle aussi se mettait à imaginer les possibilités de rapport sexuel entre un chien et une femme. Elle tentait de se l'interdire intellectuellement, elle repoussait ces pensées mais dans le même temps sa masturbation s'accélérait. Un moment de doute l'assaillait. Elle se lançait, et appelait Articho qui vint presque aussitôt nonchalamment. Pas très assurée, elle souleva sa robe et attendit : rien.
Articho était là, la tête entre les genoux de Nathalie, mais il ne réagissait pas. Décidément, le contact de tout à l'heure était bien fortuit. Du coup, Nathalie attrapa la tête du chien et la colla contre sa culotte. Rien ne se produisit non plus. Frustrée, et convaincue que rien ne se passerait, elle alla chercher un peu de son miel pour le faire sentir au chien. Il lécha son doigt mais ne fit aucun rapport entre ce doigt et l'origine de ce miel ! Nathalie arrêta là l'expérience.
Cet incident allait néanmoins agir sur Nathalie comme cette dernière partie de touche pipi avec son frère a pu stimuler ses fantasmes pendant des années. En fait, elle était bien décidée à réessayer. Pour autant lorsqu'elle se masturbait, elle n'imaginait encore aucune scène contre-nature avec Articho.
Dix jours plus tard, le moment était à nouveau venu de relancer l'expérience. A nouveau seule, elle était nue sous la même robe. Nathalie était dans un état d'excitation permanent depuis la veille. Elle se coucha sur son lit sur le dos, laissant à l'extérieur ses jambes entre ouvertes si bien que son minou était à hauteur pour Articho, qu'elle avait fait venir. Elle s'était à peine touchée mais déjà, elle mouillait abondamment et le chien avait l'air plus intéressé. Elle était sur le dos, les jambes largement ouverte, tremblante de désir.
Et d'emblée, Articho colla sa truffe froide à l'entrée de son vagin ce qui fit instantanément frémir Nathalie. Frémir de plaisir bien sûr, mais surtout frémir d'excitation, frémir de briser un tabou. Cependant, Articho se retira bien vite, certes intrigué, mais visiblement il ne comprenait pas la finalité de la manœuvre ! Cette fois, Nathalie était déterminée à aller jusqu'au bout. Elle descendit toute nue les 2 étages, dévalant les marches 4 à 4, et se précipita vers la cuisine. Elle ouvrit les placards : miel, confiture, Nutella. Elle prit le grand pot de miel et remonta chancelante d'excitation. Nathalie étendit en toute hâte une serviette de bain sur son lit et s'enduisit seulement le pubis d'un peu de miel et rappela Articho.
Son excitation était à son comble. Aussitôt, le chien se mit à lécher son mont de vénus, ce qui failli la faire chavirer. Cela marchait ! Nathalie était tellement excitée que tout aurait pu s'effondrer autour d'elle sans que cela puisse la faire dévier de sa route. Très vite le chien avait absorbé le miel et en redemandait. Le cœur battant à 1000, Nathalie se décida à briser un nouvel interdit. Elle s'enduisit alors toute la vulve de miel, et les petites lèvres et le clitoris. Articho léchait sans relâche, à rythme régulier, sans être très rapide. De sa langue il aplatissait les grandes et les petites lèvres, les écartait, relevait le repli de son clitoris.
La langue râpeuse du chien provoqua chez Nathalie un puissant orgasme, le plus puissant qu'elle n'ait jamais connu. Toujours sous le coup de l'excitation, elle en voulait encore, elle remit du miel, mais désormais à l'intérieur son vagin et peu à l'extérieur. La langue d'Articho rentrait littéralement à l'intérieur de son minou, ressortait, et pénétrait à nouveau le plus loin possible, provoquant un plaisir indescriptible, une extase totale. Nathalie se retirait un peu sur le lit, se redressait, mais le chien suivait, imperturbable. Elle cherchait la position optimale pour capter au maximum cette onde de plaisir, pour jouir, et enfin l'orgasme explosa en elle, tel une déflagration. Pour la toute première fois, Nathalie poussa un cri en jouissant. Un cri rauque, animal, que tout le monde dans la maison aurait pu entendre. Un cri rauque, animal
Nathalie comprit bien la portée de son acte. Un chien, cela s'appelait d'un nom qu'elle n'osait pas prononcer et qui commençait par un Z ! Cela dit, elle n'était pas perturbée. Ce qu'elle a fait n'était pas si grave à ses yeux. Il ne s'agissait que de miel, de coups de langue en fait elle s'était masturbée au moyen de son chien, mais sans considérer qu'elle avait eu un rapport avec lui. C'est ce qu'elle voulait croire, en tous cas, elle recommença plusieurs fois mais au fur et à mesure, c'était l'engrenage, il lui en fallait plus. Et puis elle avait noté un bout d'érection chez Articho : le bout de son sexe, pointu, rose et gluant pointait en dehors de son fourreau et exerçait sur elle une attraction croissante.
A part cela, elle vivait normalement, voyait ses amis et jouait régulièrement au golf avec eux comme si de rien n'était.
Ce dimanche, ses parents étaient partis, et Nathalie était bien décidée à tenter une autre expérience: faire jouir Articho. Le masturber. Excitée depuis plusieurs jours à l'idée de passer à l'acte, de franchir une nouvelle barrière, elle mit Articho sur le dos et commença à le cajoler, à le caresser en insistant lourdement sur ses parties génitales. Au bout d'un moment, le sexe du chien apparu en entier. C'était étrange, cela ne ressemblait absolument pas à ce qu'elle imaginait : pointu, mais épais et rose-rouge, avec une multitude de petits vaisseaux sanguins à la surface de la peau. Passée la surprise,
Nathalie masturba le chien qui secrétait en permanence une sorte de liquide translucide ce qui lubrifiait parfaitement les mouvements de sa main. Elle avait le bas-ventre en feu, elle se sentait mouiller abondamment. Nathalie était nue sous sa jupe et pour la première fois de sa vie il lui semblait que son miel coulait franchement le long de ses cuisses, ou était-ce de la transpiration ? Mais pas question d'aller au-delà de la masturbation du chien, surtout ne pas aller au-delà. Au bout d'un moment, Articho éjacula puissamment et longtemps. Nathalie fut surprise par la quantité impressionnante de sperme qui sortait par saccades de l'animal.
Elle imaginait pourtant qu'il en était de même pour les hommes (n'oublions pas qu'elle n'avait fait l'amour que quatre fois, et qu'à chaque fois son partenaire jouissait en elle.) L'essentiel du sperme arriva sur la poitrine du chien, et au comble de son excitation, Nathalie n'y résista pas et s'assit à califourchon sur lui, frottant son minou contre le sperme, et se masturba ainsi jusqu'à l'orgasme, s'enduisant le sexe, ses lèvres, son pubis, son clitoris de sa semence chaude et visqueuse tandis que la pointe gluante du pénis glissait désormais le long de son anus et arrivait parfois jusqu'à l'entrée de sa grotte. Juste avant de jouir Nathalie avait même pu sentir le pénis d'Articho reprendre du volume et s'introduire légèrement dans son vagin ! Mais l'orgasme vint très vite et tout s'arrêta alors à ce stade.
En allant se doucher, toute groggy, ses jambes la tenant à peine, Nathalie comprit que cela ne s'arrêterait probablement plus là. Il y avait un mouvement irrésistible en elle. Même si elle rejetait cette idée avec force, Nathalie savait qu'elle essaierait de fait de s'accoupler avec le chien. De se sentir dominée par cette puissance animale. Et cela lui faisait franchement peur, elle se sentait salie, perverse, oui pervertie. Elle qui, il y a deux semaines encore était si sage, comment avait-elle pu en arriver là ? Elle ne put s'empêcher de faire le parallèle avec son fantasme d'adolescente avec son frère: mais le cap de la masturbation mutuelle, encore un peu innocent, était désormais atteint, et elle franchirait l'ultime tabou de se faire prendre par un animal. La dégradation absolue. Comment en était-elle arrivée là ? Était-elle soudainement devenue perverse ?
Elle se mit à considérer le chien comme le démon, le diable, et elle, jeune fille quasiment vierge, elle allait forniquer avec le diable. C'était une question de jours.
Voilà, mais lorsqu'il est question de diable et de démons, les anges ne sauraient être loin. Alors que Nathalie pensait de plus en plus à franchir l'ultime limite qui sépare les hommes des animaux et attendait le moment propice où elle serait seule pour plusieurs jours dans la maison, elle tomba tout simplement amoureuse d'un charmant jeune homme ! Ayant de bons amis en commun, ils sortirent rapidement ensemble, et cette relation allait non seulement épanouir Nathalie, mais révéler à son entourage quelle jeune fille délicieuse elle était. Surtout, cette relation sauva en fait Nathalie de son huis clos étouffant et malfaisant de ses désirs. Bien sûr, personne ne saura jamais rien de ses expériences canines mais d'ailleurs s'est-elle déjà masturbée ?
Il restait une semaine avant le départ en vacances, et Nathalie voulait absolument rester seule à la maison avec Articho. Elle ne pensait plus qu'à ça, elle était littéralement obsédée par cette décision radicale. Son état était indescriptible : une boule de désir et d'angoisse permanente dans son ventre, des caresses incessantes, son minou était constamment humide. Nathalie réduisait sa vie sociale au maximum, et lors de quelques parties de golf, elle se révélait totalement absente. Sans la moindre motivation, elle qui aime tant ce sport
Il lui fallait la maison à elle seule, pour toute la journée : pas question de prendre le moindre risque d'être découverte. Tant que ses parents étaient là rien n'était possible, mais cela ne l'empêchait pas de préparer soigneusement l'événement. Elle avait choisi l'endroit. Sa salle de bain était parfaite, car pas de moquette, ou alors le cellier ? Non, la salle de bain lui semblait être plus sure. Sur Internet, elle comprit qu'il fallait se protéger de deux choses : de l'étreinte du chien en passant des chaussettes épaisses sur les griffes des pattes avant, et du nœud qui gonflait à la base du pénis et venait se bloquer à l'intérieur du vagin. Cela elle ne le voulait pas. D'une part, étant presque vierge, elle avait peur de souffrir, et d'autre part, elle ne voulait pas rester liée au chien.
Tout était prêt, elle aussi était psychologiquement prête et décidée, et elle n'y tenait plus. Mais sa mère ne semblait pas vouloir s'éloigner suffisamment de la maison pour qu'elle se lance, et les jours passaient inexorablement avant le départ pour la Corse. Quand enfin sa mère lui annonça la nouvelle qu'elle attendait tant: mercredi, elle rejoindrait l'équipe féminine senior du club au golf de Deauville où se tiendrait un entraînement en vue d'une compétition.
La veille, Nathalie ne put tout simplement pas fermer l'il de la nuit. Elle était fébrile, et ses doigts tremblaient sur le clavier de son ordinateur. Elle venait de trouver un site Internet de récits érotiques dans lesquels étaient relatées les expériences les plus folles
Le lendemain matin, sa mère semblait s'éterniser à partir ! Enfin elle entendit le claquement des clubs de golf, du sac que l'on charge dans le coffre de la voiture. Elle était seule. Seule face à elle, face à ce désir fou, brûlant et destructeur. Face à sa conscience elle se remémorait les pénis luisant de sperme qui venait glisser le long de ses fesses, qui venait chatouiller ses petites lèvres, qui s'introduisit même brièvement dans son minou, sa chatte plutôt. L'excitation était telle que ses pensées se faisaient plus violentes. Elle ne pensait plus à son minou ou sa foufoune, termes bien trop innocents désormais. Elle voulait sentir sa chatte emplie de ce sexe massif, inhumain, remplie de ce flot fantastique de semence. Elle était comme enfiévrée, ses membres étaient faibles, tremblants, son esprit était confus. Bon, allons-y !
Nathalie avait préparé la veille la salle de bain: elle enleva le tapis et déplaça la petite étagère afin d'avoir toute la place nécessaire. Elle fit tomber sa chemise de nuit pour être totalement nue. Elle se regarda dans sa glace, et se rendit compte de sa beauté, de la finesse de sa silhouette. Nathalie était vraiment une jeune fille gracieuse.
Elle descendit les deux étages langoureusement, nue, potentiellement exposée à la vue de ses voisins. Elle trouva Articho dans la cuisine qui l'accueillit de quelques lèches sur sa main, et l'amena dans sa chambre par le collier. Son coeur s'emballait soudainement, sa grotte était submergée d'humidité, mais était-elle si sure ? Elle passa un doigt sur son petit bouton de plaisir, et sentit comme de l'électricité en elle ! Le moment était venu.
Elle se dit qu'il fallait d'abord exciter le chien et elle le coucha à nouveau sur le dos. Il se laissa faire. Elle passa sa main sur son torse, et descendit sur son sexe. Elle pétrissait son pénis encore rentré et fin, elle caressa ses testicules mais remonta à nouveau vers le pénis qui commençait à gonfler. Bientôt il sortit enfin de son antre, Nathalie commença des mouvements masturbatoires pour l'amener à sa taille maximum. Et quelle taille ! Il était plus long que celui de son jeune ami, et beaucoup plus épais. En revanche, l'extrémité était plus fine plus pointue que le gland d'un homme ce qui l'assurait d'une pénétration progressive
Le chien commençait à suinter ce liquide translucide, et Nathalie en enduisit son pénis. Ne se maîtrisant désormais plus, elle ne put s'empêcher d'en appliquer sur son clitoris et sur son visage. Le mécanisme satanique était en marche, la roue tournait, inexorablement, vers la luxure. Elle entraîna alors le chien vers la salle de bain, de son museau il exigeait que les caresses continuent. Nathalie passa alors les chaussettes sur les pattes avant, tout était prêt...
Partie 2
Tout était effectivement prêt pour l'expérience ultime. Expérience de l'abandon total de soi, être possédée par un animal, voyager à rebours de l'histoire et ressentir ses pulsions les plus archaïques, régresser, perdre ce qui fait que l'homme est homme. Mais au demeurant, comment une jeune fille de 18 ans a-t-elle pu en arriver là ? Elle, Nathalie, cette jeune fille de bonne famille élevée dans un environnement profondément sain ? Ce sont les hasards du destin, peut-être aussi et surtout l'ennui et la solitude ?
Nathalie était dans un état d'excitation indescriptible, à la frontière de la nausée et de l'orgasme immédiat. Un peu effrayée par le geste, elle décidait de temporiser et de laisser le chien aller et venir entre ses fesses vers le bas du dos. Ainsi pas de risque de pénétration. Articho baisait littéralement la raie de ses fesses et suintait abondamment de son sperme... ce dernier coulait sur la rondelle vierge de Nathalie et venait se mêler à sa cyprine. Puis une goute de sperme se forma sur son bouton et perla sur le sol, puis une autre et encore une autre.
Inondée de son jus et de celui d'Articho, Nathalie se sentait néanmoins frustrée... elle guida donc le sexe d'Articho sur sa chatte et son clitoris. Les mouvements d'Articho, bien qu'erratiques, stimulaient totalement sa vulve. Son pénis allait et venait sur ses lèvres, grandes et petites, et stimulaient son clitoris. Le nœud du chien venait lui frapper l'anus de Nathalie.
Elle jouit violement, ce fut presque une catharsis, quelque chose d'animal, de diabolique, qui fut expulsé d'elle. A quatre pattes, elle tomba sur ses coudes, d'épuisement nerveux, et le chien s'en alla se lécher ailleurs. Entre ses jambes, une petite flaque de sperme, de jus. Un élixir de lubricité, désenchanté. Encombrant.
Nathalie se saisit vite de l'éponge et fit disparaitre ces traces inacceptables de sa déviation. Angoisse ultime, la porte de la voiture qui claque. Sa mère. Nathalie bondit littéralement hors de la salle de bain pour se rhabiller. Air confus devant sa mère, qui si elle le remarquait, ne pouvait en rien imaginer ce qui venait de se passer.
Toujours est-il que Nathalie avait reculé. Elle savait néanmoins qu'il n'y avait pas de retour. Mais elle devait vivre dans l'attente du moment où elle aurait la certitude de pouvoir le faire sans être surprise. Les jours passèrent et elle ne pensait qu'à ça et se repliait sur elle même. Rien ne l'intéressait plus. Dans le même temps, son sentiment de solitude devenait toujours plus grand, car ce qu'elle vivait, personne dans son entourage ne pouvait le comprendre ni-même l'imaginer.
Ses amies avaient 17-18 ans, pour la plupart vierges et prudes. De ça, Nathalie n'en n'avait plus que l'apparence parfaite. Elle se sentait à part, exclue. Et plus ce malaise s'installait, plus son désir augmentait. Dans ses masturbations, elle ne pensait plus qu'à des chiens. Les garçons ne peuplaient plus ses rêveries. Elle s'imaginait promener Articho en forêt, et se faire prendre dans une clairière. Elle imaginait d'autres chiens venir tourner autour d'eux. Une orgie zoophile, et sa chatte totalement inondée de foutre canin; son pubis intégralement souillé, collant, les poils plaqués contre sa peau.
Près de 2 semaines passèrent, sans que sa mère, ou son père, ou encore son frère ne la laissent totalement seule avec Articho. Le dimanche, toute la famille va à la messe. Nathalie prétexta un peu de fièvre pour ne pas y aller. Elle savait qu'elle aurait peu de temps.
Sitôt le reste de la famille partie, elle fit venir Articho dans sa chambre. D'un geste brusque et ample, elle écarta sa couette, laissant apparaitre son corps à la vue du chien. Elle était simplement magnifique. Sa peau était laiteuse, ses jambes, ses extrémités si longues, si fines. Sa poitrine était peu volumineuse mais ferme, son minou était lui délicatement frisé et clairsemé. Sentant son ventre se nouer, elle écarta ses jambes, présentant sa vulve déjà humide au chien. Il vint laper sa chatte excité et déjà, elle se tortillait, décollait ses fesses du lit pour accentuer la pression de la langue sur son anatomie.
Elle repoussa brusquement Articho. Sa famille devait rentrer dans moins de 30 minutes. Elle descendit vers le bas du lit, ses fesses à moitié dans le vide, puis elle saisit les pattes avant du chien. Elle décida que ce serait maintenant, dans l'urgence. En position du missionnaire. Nathalie fit venir le chien à elle. Son sexe était déjà bien sorti de son fourreau, rouge et luisant. Elle le prit à pleine main, le chien ne pompait pas encore, elle le guida fébrilement vers l'entrée de sa grotte totalement dégoulinante de cyprine... Nathalie tremblait de partout...
Le pénis du chien venait jouer avec ses petites lèvres, tapait à côté, il commençait à aller et venir de plus en plus vite et d'un coup, il trouva l'entrée. Nathalie accueillit cette intrusion d'un cri rauque, surpris... d'un coup de rein brutal, le pénis s'enfonça profondément en elle... Elle cru se liquéfier. Articho se mit alors à la défoncer frénétiquement, chacun de ses coups de boutoir était accueilli d'un cri sauvage de Nathalie qui hurlait littéralement de plaisir et d'extase. 90% de ce plaisir provenait de la nature même de cet acte, mais Articho ne déméritait pas pour autant. Ainsi en missionnaire, son pénis l'emplissait et stimulait son point G.
Le chien bavait aussi abondamment sur ses seins ce qui l'excitait encore davantage. Elle explosa littéralement de jouissance, poussa un cri comme si on l'éventrait... Le chien déchargea tout son foutre dans Nathalie, puis se retira presque aussitôt laissant le sperme s'écouler hors d'elle, sur le lit et le parquet de sa chambre. Elle était là, pantelante.... Nathalie resta quelques instants sans réaction.
Elle l'avait fait. Mais elle en voulait plus. Elle voulait être prise à 4 pattes. Et puis elle voulait emmener Articho la prendre en forêt, à la tombée du jour...
A suivre…
Pseudo : tres_curieux
Mail : vidadelavida@gmail.com
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Bonjour Sophie, ici Sophya ...
Vous comptez publier vos mémoires ?
Je suis dessinatrice humoristique, mes oeuvres étant pour l'instant conscarées au BDSM et au libertinage (avec évidemment une bonne dose de sexe associé).
Pourrions-nous échanger nos liens vers nos blogs respectifs ?
Le mien est : http://sophya.canalblog.com et son titre : "Sophya est Transgenre Artiste Dessinatrice amatrice de transgressions et d'humour"
Au plaisir de vous lire,
Sophya.