Les Mémoires très Libertines de Sophie
Soirée coquine à Genève
A Genève.
Il y a quelques semaines, j’étais en déplacement professionnel à Genève. Comme je le fais pratiquement chaque fois que je suis ainsi en voyage, j’explore les lieux de libertinage. Renseigné par le portier de mon hôtel, je me suis rendu au Nymphéa Club où justement ce soir là avait lieu une soirée libre.
Situé dans une belle maison de maître au milieu d’un parc, le club me sembla tout de suite très sélect. Après avoir été accueilli par un portier à la carrure impressionnante, je me suis tout d’abord dirigé vers le bar où j’ai commandé un verre. J’ai ensuite déambulé dans les divers salons très bien équipés et confortables où de nombreux couples se trouvaient déjà, plus ou moins dénudés et plus ou moins avancés dans les ébats libertins. Il régnait partout une lumière rougeâtre atténuée dispensée par des spots qui créait une ambiance excitante, propice à ce que les clients venaient chercher là.
Au milieu d’un des salons se trouvait une sorte de podium, en fait un immense lit rond, où deux filles d’environ trente ans étaient en train de se déshabiller mutuellement tout en échangeant des caresses et des baisers très sensuels. L’une était plutôt petite, environ un mètre soixante, des cheveux très brun tombant sur les épaules, avec un visage mince et une jolie poitrine bien ronde. C’était, à n’en pas douter, une latine d’origine espagnole tant sa peau était mate.
La seconde, un peu plus jeune mais aussi nettement plus grande, avait une paire de seins hauts perchés d’un très beau volume et sa taille mince très cambrée. De longs cheveux noirs venaient parfois lui masquer une partie du visage. Toutes les deux étaient encore en soutien gorge et string. Mais elles n’ont pas tardé à les ôter, et elles sont apparues aux yeux des spectateurs dans toute la splendeur de leur nudité généreuse de femmes matures. Toutes les deux avaient le pubis glabre, dépourvues de piercings et de tatouages ce qui est assez rare dans ce milieu du libertinage.
J’ai su plus tard dans la soirée que la première se prénommait Marilyne et la seconde Manuela. Etait-ce leurs vrais prénoms ? Je n’en sais rien mais cela importe peu. Manuela s’est placée derrière Marilyne en collant sa généreuse poitrine contre les omoplates de sa complice et, prenant ses seins dans les mains, elle faisait rouler les tétons dardés entre ses doigts. Cela devait être bon car Marilyne respirait rapidement, creusant son bas ventre et frottant ses fesses contre le pubis de Manuela. Soudain, elles ont basculé sur le côté et se sont mises dans la position du 69, Marilyne sur Manuela. Elles ont commencé à se caresser les fesses et l’entrejambe puis elles ont poursuivi par un cunnilingus.
D’où je me trouvais, je voyais distinctement la chatte de Marilyne nimbée de mouille dans laquelle Manuela faisait coulisser deux doigts, sa raie des fesses ouverte et son anus tout plissé. Je suppose que le même spectacle devait s’offrir aux spectateurs qui se trouvaient en face de moi car les deux brunes étaient devenues le centre d’intérêt du salon, tout le monde, femmes et hommes les regardaient mais personne n’osait les rejoindre sur le podium. Soudain elles ont joui presque en même temps. Elles ont roulé sur le dos toujours tête-bêche, les cuisses ouvertes et les bras en croix, leurs généreuses poitrines offertes aux regards des voyeurs.
Qu’attendaient-elles ? Qu’un beau mâle vienne les saillir ! Cela ne tarda pas. Un grand noir avec une bite de belle taille dressée devant son bas ventre est monté pour les rejoindre. Il dit quelques mots à l’oreille de Manuela et après avoir mis un préservatif il l’embrocha vigoureusement. De son côté Marilyne avait été rejointe par un des voyeurs qui l’a fit se relever et mettre en levrette. Protégé lui aussi, il investit d’une seule poussée jusqu’à la garde la chatte qui s’offrait à lui. Je n’étais pas en reste, une jolie brunette de vingt ans tout au plus, entièrement nue, très typée latino avec des cheveux tombant à hauteur des reins au dessus de la taille très cambrée, s’était mise à genoux devant moi. Après avoir fait glisser la fermeture de mon pantalon Monica avait extrait de mon boxer ma bite déjà bien bandée et l’avait glissée jusqu’au fond de sa gorge. Quelle fellation ! Elle m’aspirait presque sans bouger, travaillant uniquement avec ses joues et sa langue.
Alors que je sentais que j’allais jouir dans sa bouche, je me retirai et je l’emmenai dans un angle du salon où il y avait un divan. Je fis voler rapidement le reste de mes vêtements et je lui demandai de se mettre elle aussi en levrette.
« Oh oui ! Prends-moi comme cela ! J’adore ! Mais ne me prends pas que la chatte ! Sodomise-moi à fond ! »
Je n’en demandais pas tant. Ma première baiseuse de la soirée aimait se faire enculer. Après quelques mouvements dans son vagin qui était chaud et humide, je plaçais mon gland contre son anneau plissé pour lui signifier que j’allais la prendre par derrière. En fait c’est elle-même qui a introduit ma bite dans son cul en le poussant vers moi. J’ai été surpris de la facilité déconcertante avec laquelle j’étais entré. Ses fesses lovées dans le creux de mes hanches, Monica a entrepris un mouvement tournant tout en massant ma queue avec ses muscles intimes.
Waouh ! Douée la fille et chaude comme la braise ! Nous n’avons pas tardé à jouir tous les deux. Je déversai dans le préservatif une bonne dose de sperme et je sortis de son cul. Elle me le retira et le jeta dans le récipient prévu à cet effet. Nous sommes allés prendre un rafraîchissement au bar où nous avons bavardé un peu avant de nous séparer. D’origine brésilienne elle vivait habituellement à Paris où elle était étudiante.
Au cours de la soirée, j’ai croisé Marilyne que j’ai baisée dans la position de la balançoire. Elle aussi m’a tiré quelques bonnes giclées de sperme. Pendant qu’elle me chevauchait, elle faisait une fellation à un autre participant de la soirée. Elle était insatiable. J’étais le troisième à la baiser et elle ne semblait pas vouloir s’arrêter là. Je cédai ma place à ce lui qu’elle avait préparé et je suis allé rejoindre Kay, une jeune métisse asiatique qui semblait un peu esseulée. Effectivement son copain était occupé avec une autre fille. Nous avons échangé quelques mots et je l’ai prise par le cou pour l’entraîner à l’étage où nous serions seuls. De taille moyenne, elle avait de mignons petits seins pointus, des hanches bien galbées et un ticket de métro bien taillé ornait son pubis. Sa bouche étroite aux lèvres ourlées et pulpeuses appelaient le baiser. Nous avons trouvé une chambre vide où un grand lit nous attendait. Je l’ai baisée à deux reprises dans des positions différentes et tous les deux nous avons bien joui.
J’ai quitté le club vers quatre heures du matin, les couilles vides, mais j’avais passé une excellente soirée. Je pensais à cette jeune métisse en quittant le club en direction de la station de taxis voisine quand j'ai entendu des gémissements. J'ai aperçu celle qui peuplait mes pensées du moment. Assise sur la plus haute marche du perron d'un immeuble d'une rue adjacente, sa robe troussée au dessus de ses hanches, son copain lui dégustait le minou à grands coup de langue en la fistant de plusieurs doigts.
Quand je suis passé à leur hauteur, Kay me regardais comme si elle m'appelait. Mes couilles qui s’étaient vidées à plusieurs reprises au cours de la soirée commençaient à se remplir. Elle était si belle, si sensuelle et gourmande. A quelques mètres, je jouais les voyeurs tellement le spectacle était érotique et excitant. Soudain il s'est mis à pleuvoir de plus en plus fort, ce qui n'empêchait pas les deux tourtereaux de continuer leurs ébats. Elle le repoussa pour se mettre à le sucer si fort que je croyais qu'il allait exploser. Puis il la retourna face au mur où elle prit appui pour maintenir son équilibre. Courbée en avant, il saisit les hanches de Kay et l'embrocha violemment. Elle hurlait de plaisir sous cette étreinte sauvage. La jouissance les emporta en même temps.
J'étais toujours là à les observer. Ils se rajustèrent et virent vers moi qui était toujours figé sous la pluie, croyant rêver alors que ce que je venais de voir était bien réel. Quand ils sont passés à ma hauteur ils ont semblés surpris.
Elle dit quelque chose à son copain et, sans vraiment comprendre ce qui m'arrivait, j'étais plaqué contre le mur à me faire sucer par Kay qui était allée chercher ma bite dans mon pantalon pendant que son compagnon, à genoux entre nous deux lui mangeait la chatte. Je croyais rêver mais c'était bien réel. J'ai éjaculé sur son visage.
Nous étions trempés par la pluie mais j'avais passé une de mes plus belles soirées de coquinerie !
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Le train des plaisirs multiples
L’histoire de Clarisse m’a remis en mémoire une aventure qui, elle aussi, s’est déroulée dans un train. Je m’en vais vous la détailler ici...
Il y a quelques années, il me fallait aller à Toulouse en train. Je décidais de prendre le train de nuit, car j’avais du temps devant moi. Et j’aime cette ambiance particulière, propice à toutes les rencontres…
Je devais prendre le train de 22 heures pour me rendre quelques jours chez une copine pendant les vacances. J’avais une heure et demie d'avance, que je voulais mettre à profit pour faire une petite balade dans Paris. J’appelais un taxi et descendis l’attendre au pied de mon immeuble.
Le chauffeur arriva bientôt, et sortit pour mettre mes bagages dans le coffre. Il me demanda :
« Où allez-vous ? Je vous conduis à la gare ? »
- Non merci, pas pour le moment. Emmenez-moi faire un tour dans Paris, les quais, les Champs-Elysées, Pigalle… »
- Pas de problème, je vous emmène où vous voulez. »
J’avais bien vu son œil s’allumer dans le rétroviseur, quand j’ai parlé de Pigalle… Je voulais m’acheter un petit jouet, pour ne pas m’ennuyer dans le train. Après quelques minutes, il entra sur le boulevard Pigalle. Je lui dis de stopper devant un sex-shop qui me paraissait moins glauque que les autres, et lui demandais de m’attendre
Je ne m’attardais pas dans la boutique, jetant mon dévolu sur un beau sexe noir, bien souple au toucher, et vibrant.
Quand je remontais dans la voiture, il me dit : « Mademoiselle, vous avez une jupe bien trop courte, pour faire un voyage en train…
- Ah bon… parce qu’il y a une longueur de jupe homologuée pour les voyages ? Et que diriez-vous si je vous montrais que je ne porte pas grand chose en dessous ? », lui rétorquai-je du tac au tac.
Je soulevai ma jupe sous laquelle, bien entendu, il n’y avait qu’un joli string noir.
Il resta un moment la bouche bée, puis décida de démarrer.
A l’arrière, je relevai exprès ma jupe et commençai à me masturber en lui disant de rester concentré. Il avait toutes les peines du monde à tenir le volant. J’eus pitié de lui, et lui proposais de s’arrêter dans un coin discret.
« Arrêtez-vous, je vais continuer à me branler devant vous, vous me regarderez, et vous en ferez autant. Ensuite, vous m’emmènerez à la gare…. »
Il trouva sans difficulté une impasse déserte, éclairée par un unique lampadaire. Il sortit très vote de la voiture, le pantalon déformé par la trique qu’il avait déjà. Il ouvrit ma porte, je m’assis alors au fond de la banquette, dos appuyé à la porte opposée. J’étais là, les jambes ouvertes, en train de me caresser le clito, et les lèvres gonflées de désir. Il défit prestement son pantalon, sortit une courte queue, mais épaisse et luisante.
Il marmonnait dans sa barbe « : « Putain, t’es bonne, toi ! Ta chatte, elle bave, j’adore… j’ai trop envie de te baiser… » Il se branlait frénétiquement, et j’adore ce jeu d’exhib réciproque. J’avais sorti mon gode tout neuf, et le mis en mode vibro. J’effleurais ma chatte avec, et l’effet attendu ne se fit pas attendre : voir cette homme se branler pour moi, plus les vibrations, je jouis très vite, en criant mon plaisir dans la rue vide. Il jouit lui aussi, lâchant un jet épais de foutre sur sa banquette. Il étouffa un juron, attrapa un mouchoir pour s’essuyer la bite. Il était rouge, essoufflé… « Putain, c’est trop bon, j’en veux comme ça tous les jours, des clientes comme toi !! »
Il était temps de me rendre à la gare. Le reste du trajet se fit dans le silence. Il me glissa son numéro de portable, en me disant à l’oreille : « Pour vous, toutes les courses seront gratuites ! »
J’empoignais ma valise, et me rendis dans mon wagon. Le compartiment était désert. Pour une fois, j’avais pris une réservation en première. Nous ne serions que quatre dans les couchettes, s’il y avait du monde. Six, comme en seconde classe, c’est parfois trop…
Peu après mon installation, un homme d’une quarantaine d’années est entré, il allait partager mon compartiment. Il était plutôt bel homme, un sourire charmeur accroché sur son visage. J’étais assise, les jambes un peu écartées, en feuilletant un magazine. Il me salua poliment et s’installa en face de moi.
Ses yeux gris me dévisageaient sans aucune gêne. Je souris intérieurement, et écartais un peu plus les cuisses.
Il ne mit pas longtemps à comprendre que je ne portais rien sous ma jupe (j’avais oublié de remettre mon string après l’épisode du taxi…)
Il mit sa main sur la bosse qui venait de se former sous son pantalon et se caressa.
Je fis semblant de ne rien voir, et continuait de lire mon journal.
Quand je l’abaissai deux minutes plus tard, l’homme tenait sa bite dans la main droite et se masturbait sans se gêner. Le train venait à peine de prendre son départ. J’étais un peu sidérée ! D’habitude, les choses vont plus lentement... Au moins, lui savait ce qu’il voulait !!!
Je me levai, en le fixant dans les yeux. Voir un homme se branler m’a toujours excitée très vite. Ce soir-là ne faisait pas exception à la règle… J’étais déjà bien mouillée…
Après une seconde d’hésitation, je me plantais devant lui, me retournai et m’assis sur son chibre dur.
Il étouffa un cri et me saisit les hanches.
J’abaissai les bords de ma jupe, afin que les voyageurs qui auraient jeté un regard dans le compartiment ne voient rien. Il ne tenait pas en place, et ondulait des hanches pour me pénétrer le plus profondément possible.
« Du calme, nous avons dix heures de route » lui dis-je.
Le contrôleur arriva dans notre compartiment et demanda nos tickets.
Mon baiseur, que j’appellerai Michel, avait le sien dans la poche de sa chemise. Il le présenta.
Le mien, par contre, était dans mon sac à main resté sur le siège d’en face.
Je voulus demander au contrôleur de me passer le sac, mais ca me semblait bien trop simple.. Autant profiter de la situation au maximum… Je décidai de passer à la vitesse supérieure…
Je me levai pour prendre mon sac, découvrant ainsi le sexe bandé et luisant de Michel.
Le contrôleur sourit en prenant mon ticket, et dit : « Vous venez de vous rencontrer ? C’est toujours comme ça avec les nouveaux couples, ils ne peuvent pas attendre. Faites attention tout de même. »
A mon grand regret, il ne tenta rien, et s’en alla en nous tournant le dos. Un peu déçue, je me rassis sur la bite de Michel qui s’enfonça en moi. Il ne mit même pas trois minutes à jouir : un vrai lapin. Décidemment, ce soir, ce n’était pas le top ! Je me retirais juste avant qu’il n’éjacule. Sa semence s’écrasa en grosses gouttes sur le sol moquetté.
« Tu vois coco, tu es beaucoup trop pressé », lui dis-je, un peu dépitée. Cette nuit, j’avais vraiment envie de bien plus que ça !
Il se rhabilla et s’étira sans mot dire.
Quelques minutes plus tard, le contrôleur revint nous demander si nous avions besoin de quelque chose.
« Non », lui répondis-je. Puis me ravisant, je lui demandai d’approcher sous le fallacieux prétexte de lui montrer une anomalie dans la fenêtre.
Il s’exécuta. Comme j’étais assise, sa braguette se retrouvait juste à hauteur de mon visage. Sans hésiter, je posai la main sur sa fermeture éclair, et la descendis. Il jeta un regard inquiet en direction de Michel.
« Allez-y, je suis prêteur ! » le rassura Michel.
Il avait un membre d’une proportion intéressante. Je commençais à le masturber pour décalotter le gland proéminent. Je le pris dans la bouche et le suçai en caressant ses testicules. Ma langue courait sur la verge zébrée de grosses veines plus sombres. Je l’agaçais de mes dents, provoquant en lui des gémissements sourds.
Visiblement, le spectacle excitait Michel. Il se leva, et vint se mettre à coté du contrôleur… Il sortit sa queue de son pantalon, et je me trouvais face à deux belles tiges à sucer et à branler. Ce que je fis avec grand plaisir. Mais très vite, le contrôleur commença à caresser mes seins à travers l’échancrure de mon chemisier.
Enfin, il fit ce que j’attendais depuis longtemps : il se mit à genoux près de moi, souleva et posa me jambe sur la banquette. Il écarta mes cuisses et plongea une langue ferme dans ma chatte toujours aussi trempée et inassouvie. Il me fouillait sans répit, m’arrachant des gémissements rauques. Il fit tant et si bien, qu’il m’arracha un soupir de jouissance, étouffé par la queue qui me replissait la bouche. Sans lâcher le sexe tendu de Michel, je me mis en levrette, et le contrôleur se positionna derrière moi. Il m’avait tant lubrifié la chatte, que son gros sexe remplir mon vagin en un quart de seconde. Il me baisait bien fort, comme j’aime. Je continuais de pomper Michel au rythme des coups de reins de l’autre. L’un et l’autre jouirent assez vite, encore trop vite à mon gout.
Le contrôleur m’aspergea le dos, et Michel, le visage, quasiment en même temps. Je sortis des lingettes pour me nettoyer rapidement.
« Eh les gars, vous êtes bien trop rapides ! ca ne me satisfait pas vraiment… Vous m’excitez et ensuite, vous n’assurez pas ! »
Ils se regardèrent un peu gênés, la tète basse, comme deux écoliers pris en faute. Le train ralentissait, nous arrivions à Tours. Le contrôleur me dit alors : « je dois sortir, deux personnes ont réservé aussi ce compartiment. Mais si vous voulez, nous pourrons nous amuser dans le mien… »
En effet, quelques minutes plus tard, un jeune couple entra dans le compartiment. Je suis très douée pour jauger les gens, et je sus très vite que j’avais à faire à de sacrés coquins. Elle portait une jupe très courte qui cachait mal des jarretelles noires, et le haut des bas qu’elles retenaient... Soit elle ne portait rien, soit elle avait un mini string. Son compagnon passait la main sous sa jupe, en faisant mine de lever les bagages.
Il était tard, ils nous dirent qu’ils voulaient dormir tout de suite. Ils prirent les couchettes du bas, nous, celles du haut. La lumière fut éteinte, seule subsistait la faible lueur d’une pette veilleuse. Cette lumière suffit à me faire voir le bras l’homme qui caressait sa femme. Quelques minutes plus tard, je le vis passer dans sa couchette. Maintenant, j’en étais sure, ils allaient baiser là, sous mes yeux…
Ce qu’ils firent, sans vraiment de discrétion… Leur partie à deux devint très vite notre partie à quatre...
Ce fut une nuit mémorable, de baise intensive, avec parfois la participation du contrôleur.
Nuit que je vous raconterai un autre jour, si vous le souhaitez…
Contribution superbe de Black Karma...
Elle c’est SOPHIE. Elle m’a précisé Sophie de R.
Elle n’aime pas qu’on la compare aux autres. Elle n’est en rien comparable aux autres car elle est maîtresse d’elle-même, de ses choix et de ses désirs.
Elle vit en Guyane, c’est même peut être une guyanaise en tout cas : qu’importe c’est une femme « djok », qui prend ce dont elle a envie. Elle est de ce bois canon là, et elle m’a choisi MOI.
Oh, faut savoir que j’ai rien de plus qu’un autre. Je suis un de ces « ti-Boug sans sens » qui pullulent ici et là. Je suis ce cliché-là : panoplies jamaïcaines DICKIES, le style plus ricains encore que les AMERICAINS, plus RASTA encore que Bob Marley, peut être une sorte de Fifties Cents avec les muscles en moins, l’air faussement méchant en plus.
Je n’ai rien de plus qu’un autre de mes pairs, rien de moins qu’un autre de ces jeunes kamikazes en véhicules motorisés, prêt à tout pour se faire remarquer mais qui en fait ne se démarquent de rien.
C’est vrai ! Tu pourrais te dire ça me voyant. Que tu sois un homme ou une femme. Encore faudrait-il que tu m’ais regardé.
Et pourtant, j’aspire aux mêmes choses que les autres : le bonheur. Je désire les mêmes choses que les autres : jouir de ce bonheur.
Alors oui, je ressemble surement à n’importe quel autre, à la différence que le sexe est pour moi un plaisir aussi épicurien que le bien-manger, le bien-boire, en somme le bien-vivre. En l’occurrence, j’adore aussi le bien et le bon sexe. Pas juste le « koké », que tout le monde connait, non le « bon-koké »
Comme les autres, proches de cette trentaine inéluctable, je n’ai pas nécessairement tous les atouts de la séduction immédiate, j’ai juste le verbe romantique, le désir du fantasme vécu. Comme les autres, j’aime « la » femme, toutes les femmes pour autant qu’elles s’aiment et qu’elles aiment la vie.
Et ce soir, j’allais aimer Sophie, Sophie de R., Sophie mystère, Sophie qui tient un blog.
On a pris rendez vous pour vendredi, vendredi dans l’après-midi, juste au moment où on ne distingue plus le jour du commencement de la nuit. On s’est donné rendez vous dans le parking du stade de Baduel, sur la droite, près de l’herbe. Elle m’a donné la marque de sa voiture, et je lui ai donné celle de la mienne.
A l’heure prévue, on est tous les deux là. L’heure n’est pas guyanaise là, elle est au désir. C’est une heure qui n’attend pas. Chacun au volant de son véhicule, on se voit pour la première fois, on s’appréhende rapidement. C’est le désir qui parle et bien avant cette rencontre, il avait prévu ce qui devait se passer. Le doute n’est pas là, y pas de passagers dans nos voitures. Alors après s’être regardés et souris, on démarre jetant par la portière toutes indécisions et rattrapant au passage l’excitation, le désir, l’envie de jouir de l’inconnu.
J’avais vu des photos de Sophie de R. sur son blog, son intimité luisante, ses récits excitants comme un film érotique, sa vertu vicieuse. Mais je ne connaissais pas son visage. Eh bien, elle est telle que vous l’avez imaginé,e peut être un peu plus charmante, avec l’air du vice en plus.
On se gare devant un immeuble étrange. On est dans un quartier plutôt propre sur lui et agencé de manière à ce que chaque maison entretienne sa propre intimité. Très peu de voisins, et en cet après midi de début de weekend, même pas un mioche qui fait du vélo ou qui tape de manière bruyante sur le portail de ses parents avec une balle de football en cuir véritable.
Juste cette maison en face de moi : plutôt grande. Le jardin broussailleux et presque sauvage entoure ce lieu d’où ne s’échappe aucun bruit. La maison est vide. Dans ma voiture, je m’interroge et me demande à qui elle peut bien appartenir, quand soudain Sophie apparaît à ma fenêtre et me demande de rentrer environ cinq minutes après elle dans la propriété. J’ai à peine répondu qu’elle m’embrasse subitement. Désolée, me dit-elle, elle ne pouvait se retenir. Elle s’éloigne, et en la regardant pénétrer l’endroit, c’est moi et mon imagination que je ne pouvais retenir.
Elle est belle Sophie de R.. Elle n’est ni trop grande, ni trop petite, juste à une taille qui me convient et qui convient aux choses, elle a un sourire qui rivalise avec la beauté elle-même, une robe noire et un corps et des fesses fabriquées par le Diable pour nous faire connaitre à coup sûr, un des 7 péchés capitaux.
Mais je dis ca, je ne dis rien !!! Je compte juste les minutes, je tente de retenir l’excitation qui monte, la boule qui se forme dans mon jeans. Et si je serre les dents, ce n’est pas que j’ai les dents longues, mais que, emprisonné comme il est dans son fourreau, mon pénis me fait mal à vouloir se détendre dans un espace trop petit pour lui et qui ne lui est conseillé qu’au repos.
Je compte. Cela fait cinq minutes. Allez, j’en laisse un peu plus. Un peu plus de temps pour que la surprise soit plus belle. Je me faufile à l’entrée sans toucher le portail rouillé. Je regarde avec admiration comment la nature a repris ses droits sur la demeure, et distingue deux colibris qui se suivent à travers les branches cassés, les feuilles jaunes et rouges du cotonnier et les troncs déjà attaqués par les pouls bois. J’arrive à l’entrée de ce bâtiment sur étages. Il y a un mot scotché sur la vitre de la porte d’entrée : tu entres, tu suis la lumière et les instructions.
Sophie est très mystérieuse et joueuse. J’adore Sophie. La nuit tombe surement maintenant et j’aperçois à l’intérieur de cette maison vide, une lumière près de l’escalier. C’est une bougie. Mais je vois autre chose en me rapprochant : la robe que portait Sophie de R. tantôt. Le vêtement est sur la marche de l’escalier et il y a un mot sur une feuille : enlève le Haut ! Je souris à la vue du spectacle d’inanimés et m’exécute et j’enlève mon tee-shirt. J’ai les tétons qui trahissent mon calme apparent.
Je monte, une autre bougie, accompagnée d’un soutien gorge. Et d’un mot : enlève le bas…. Déjà ? Tout ! Alors avec ce qui me reste de pudeur, le cœur battant de plus en plus fort, l’envie de monter les marches 4 à 4, je décide de garder le caleçon. En même temps, mon sexe faisait déjà tout pour être à l’extérieur à l’air libre, on aurait dit qu’il voulait percer le sous vêtement.
Je continue et j’aperçois la fin des marches et sur la dernière une autre bougie, pas de vêtements, juste un mot : enlève ce qui reste ! Je regarde mon caleçon et le tissu fin est déjà un peu mouillé par endroit. J’ai le désir qui me fait fondre et qui coule déjà dans mon « calimbé ». Je l’enlève et rejoins la chambre qui est éclairée.
La maison est donc une maison vide. Aucun meuble, aucune activité électrique. Visiblement, juste celle de notre envie, celle qui va rapprocher nos corps.
Je suis maintenant devant la chambre. Sophie est couchée sur le ventre, elle n’est pas totalement nue, elle a gardé son string. Elle est couchée sur un matelas à même le sol, recouvert d’un drap pour éviter les acariens. Elle regarde vers le mur du fond. Pas moi. Et pourtant, elle sait que je suis là. Les bougies qui l’éclairent donne à l’atmosphère quelque chose d’irréel mais la tension est palpable, le désir sent déjà et se répand dans la pièce, dont je referme la porte.
Elle ne bouge pas et moi non plus. Je suis debout et je regarde le spectacle de son corps là, étendu, les jambes légèrement écartées, son intimité pas tout à fait cachée par un bout de tissu en dentelle.
Je le répète : elle a de superbes fesses Sophie de R.
Je ne détermine pas son origine ethnique, mais ce sont des fesses rebondies, une forme ovale que l’on ne peut dessiner à main nue, une sorte de géométrie de la rondeur incalculable. Je me mords les lèvres. J’avale ma salive. J’ai déjà faim. Mon sexe est tendu, je ne le regarde même pas, je sais qu’il voudrait agir de son propre chef.
Pénis tendu, gland gonflé. Cette turgescence me rassure et je voudrais qu’elle la voie.
Surement m’a-t-elle entendu puisque elle se retourne maintenant : elle me fait découvrir sa poitrine, ronde, grosse et belle comme les papayes de Man Henriac sur le marché de Cayenne.
Elle me regarde et sourit. Ce sourire qu’elle ne quitte jamais, et qui ne peut que me convaincre à poursuivre mon élan du désir. Elle a la peau claire et les ombres des flammes des bougies dansent sur celle-ci.
« Viens, me dit-elle ! Viens près de moi ! »
Je me rapproche et Sophie enlève son dernier apparat. Elle a le sexe rasé. Elle aime avoir le sexe épilé. Elle trouve ça hygiénique et sensuel. Je trouve ça hygiénique et ouvert sur un champ des possibles beaucoup plus agréables. Alors sans réfléchir, je me baisse et me mets à quatre pattes sur ce sol que je ne connais même pas, mon sexe gonflé ressemble à une queue, à une troisième jambe, une drôle de béquille.
Des gouttes perlent encore, je ne peux contrôler ce mécanisme organique du plaisir anticipée. J’en ai pas envie, je suis un animal à quatre pattes et ma proie est devant moi : c’est une SOPHIE, un animal protégé en voie d’excitation.
Le string est posé délicatement sur un coin du matelas, pendant que j’arrive à la hauteur de ses pieds. Ma bête a les pieds humains, fins et sensibles. Quand j’en approche ma bouche, ils se tortillent. Quand je leur souffle dessus, ils palpitent. Je suis près d’ongles french-manucurés qui brillent. Je choisis alors d’explorer entre ces doigts là et du bout de la langue, je dessine son pied et m’attarde avec une succion timide sur ces petits appendices. Je voyage sur la plante de son autre pied et l’énerve la partageant entre frétillements et agacements.
« Arrête, c’est une torture !! » rit–elle en enlevant son pied.
J’arrête, mais je continue à avancer à quatre pattes. Je suis un jaguar maintenant, et je renifle le corps de ma proie. De la cheville aux genoux, du genou à la cuisse, ici et là, je passe doucement ma langue pour m’assurer du relief et des replis de sa peau. Ma proie est docile, elle me regarde, mais ne bouge pas. Elle veut profiter du moment et d’une certaine passivité. Son souffle devient court et sa respiration profonde. Sophie continue de sourire, ne s’arrête jamais. Et moi, à mesure que je remonte ses cuisses, je me régale de l’odeur de sa peau, qui se mêle bientôt à l’odeur plus forte de son sexe.
Soudain, elle pose la main sur sa vulve. « Embrasse-moi ! », me dit-elle.
Alors quoi qu’étant le prédateur, je lui accorde sa dernière volonté. Je me rapproche de son visage, elle a le regard qui ne sautille pas, l’air sûr et pourtant tendre.
Je colle mes lèvres aux siennes et insère ma langue. La sienne
m’accueille et m’entraine dans un accord parfait dans un mélange de gouts et de mouvements. Hum Discovery-langues ! On s’applique, se pince, se cherche se taquine. Ce n’est plus juste un baiser, c’est un jeu qui envahit le corps entier, ma cuisse croise son entrecuisse et se frottent, sa main veut saisir à la fois mon visage et mon sexe. Je me retire !
Un temps, je la regarde et me rappelle que depuis son blog, je m’étais fait déjà milles scénarios.
Sophie de R. n’est plus un mythe. Mais encore un mystère profond. Avec l’agilité d’une panthère, je me débarrasse de ses mains, libère mon sexe et presque brutalement je plonge vers son sexe que j’ai senti humide sur ma jambe.
Sauvagement, mais sans lui faire mal, je me place entre ces cuisses, mon nez est presque collé à son sexe imberbe et j’hume déjà les odeurs appétissantes d’un sexe aux lèvres gonflés. C’est un spectacle que je connais, et pourtant un sexe de femme qui s’ouvre est toujours émouvant. Je souffle sur les lèvres, autour, au milieu, j’isole son clitoris entre mes doigts et le taquine des lèvres doucement. Je veux la taquiner, Sophie de R. Je sais que ça marche.
Car elle bouge du bassin et cherche à se rapprocher. « Vas-y ! Vas-y ! N’hésite plus », me dit–elle !!!
Alors je colle brutalement ma bouche sur son clitoris, et avec ma langue le balance rapidement de haut en bas et de bas en gauche etc.… et aussi vite que j’ai commencé je m’arrête, et la regarde.
« Pourquoi tu t’arrêtes ? » dit-elle les sourcils froncés.
Sophie avait anticipé le plaisir et j’avais tout fait pour. Je me rapproche alors de son ventre, sans dire mot, m’attarde sur son nombril, effleure ses côtes et me dirige vers ses pointus tétons.
A cette station, il faut faire le tour des petits pylônes, dans un sens, puis dans l’autre… Mordiller au passage mais doucement, sucer et encore faire des tours et mordiller et sucer, chaque petit pylône ! Car ces bouts colorés et sensibles sont deux et il ne faut pas faire de jaloux ! Sophie973 ne parle pas. Elle s’exprime en onomatopées de râles et de plaisirs. Elle regarde beaucoup, son plaisir est visuel, et sourit toujours, quelque soit ce qu’elle veut exprimer.
Encore une fois, je change de rythme et passe d’un coup de ses tétons à son vagin. Juste un « annnnh ! » perdu de sa part et j’y suis déjà ! Et cette fois ci, je dois me délecter de la saveur d’un fruit qui devient de plus en plus juteux. Il coule de plaisir et je goute alors à la quintessence de son intimité. Je veux boire à la fontaine de ses entrailles, alors je me colle à son sexe, je suis un chat qui lape tout.
Je découvre son clitoris et le suce, le lape, l’envoie à gauche puis a droite. La langue en pointe, je descends suivant un chemin imaginaire jusqu’au trou merveilleux et j’y pénètre. Sophie apprécie et m’encourage. Elle empoigne parfois le drap. Je le vois du coin de l’œil.
Elle se dérobe du bassin parfois, je le sens : alors avec mes mains je m’agrippe à cette partie de son corps et lui fait comprendre que c’est moi dorénavant qui imprimera le mouvement.
Et j’entame une danse, ma langue son vagin et moi ! Elle me caresse le haut de la tête, avec une main puis deux. En réalité, elle essaie elle aussi de contrôler le mouvement, subtilement. Je le sens. Alors j’abandonne son bassin, remonte à l’aveugle mes mains sur sa poitrine et engage un jeu entre mes doigts et la pointe de ses mamelons. C’est une autre phase, je suce son bouton, l’aspire sans lui laisser de répit et lui pince, lui titille et triture la poitrine. C’est intense ! Si relever brutalement le bassin à une hauteur inimaginable, fermer et ouvrir ses cuisses sans contrôle, se tendre et inspirer en même temps veut dire que Sophie a pris du plaisir ce soir, alors on peut dire qu’elle a pris du plaisir. Car elle se relâche maintenant, elle vit encore. Elle s’est même remise à respirer. J’arrête mes soins à celle qui fut morte. Elle me sourit et me fait signe de venir.
Alors je me rapproche d’elle. J’arrive à hauteur de visage.
« Continue…. » dit-elle.
Alors, je la dépasse et son visage est à la hauteur de mon thorax. Elle m’embrasse, saisit mon sexe et me suce les tétons. Très vite, elle me demande de continuer d’avancer et je m’exécute, sachant maintenant à quoi m’attendre. Je ne regarde pas. Je sens et ressens sa bouche près de mon sexe. Je ne regarde pas. Je sens juste sa bouche sur le bout de mon sexe, sur le gland, sur mon ventre et à nouveau sur mon sexe. Soudain, elle le prend en bouche. Et arrête aussitôt de me sucer. « Mets-toi à l’aise, me dit elle. Couche-toi et je vais m’occuper de toi ! »
C’est à mon tour d’être sans défense. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir. Je veux juste ressentir. Elle m’embrasse un peu partout sur le torse, explore chaque forme de ma poitrine et la bonne santé de ses bouts, le dénivelé de mes abdominaux, qu’elle embrasse chacun à leur tour comme un rituel sacré et s’attarde autour du « bâton ». C’est elle l’animal maintenant, celui qui lèche, tantôt le gland, tantôt la tige, parfois les deux, quelquefois un peu plus bas même étonnement plus bas que les bourses. C’est un animal sans limites, qui veut tout connaitre, tout sentir tout gouter. Ses mains branlent mon pénis, tandis que sa langue s’essaye à mon petit trou. Quelle coquine !! Elle a osé.
« Tu n’avais pas le droit ! »
Elle me regarde et continue ce qu’elle fait en me disant : « je le prends le droit et tu aurais dû, toi aussi, le prendre !! » Je me relève alors soudainement. Je dois lui demander de continuer mais de venir à moi et de me laisser la lécher en même temps. Sopjie973 me regarde, et me poussant de sa main libre, elle me force à me recoucher. Elle vient placer intimité au dessus de mon visage.
« Explore ce que tu dois ! Et ne te prive de rien stp !!! », dit-elle en se remettant à me sucer, et jouant maintenant à me mordiller le gland !!
Hum, cette chatte offerte !! Je m’en délecte un peu… puis en abaissant ces fesses avec mes mains je me rapproche de l’œil de son petit trou. Un petit coup de langue, deux, et bientôt délicatement je peux pénétrer.
Alors je m’insère, je vérifie les alentours, je rentre à nouveau et retourne à au point de départ : le clitoris gonflé, bandé, gros et dur. Cette fois, je mets le doigt à l’intérieur. Sophie m’indique à sa manière que ca lui plait. Elle gémit. Alors je continue, me concentrant sur son clitoris, et mon doigt dans sa entre ses lèvres qui laissent tout passer. Elle insère sa langue dans la fente de mon sexe. Et se remet à me sucer, descendant loin sur mon pénis. C’est très bon, alors faut que je lui fasse savoir. Il me reste une main. Un doigt qui s’approche de sa rosette. Il lui tourne autour, palpe avertit de ses intentions, s’humidifie et pénètre doucement très doucement. Elle ne bouge presque plus, elle est électrique. Je me concentre car si une femme peut faire deux choses en même temps, je dois savoir en faire trois à ce moment-là.
Je dois sucer, insérer et pénétrer. Elle ressent, frissonne suce. Jusqu’à la garde.
« Ca monte, ca monte », dit elle….
Alors je me calme. « Non encore ! Encore ! Encore ! », rajoute-t-elle. Alors je m’applique, encore, encore et encore, mais je pourrais me retenir longtemps, mon plaisir monte moi aussi. Elle tremble, je ne me retiens plus, je continue de sucer, d’aspirer de titiller, c’est le plus important… Elle se relève, et appuie sur mon visage, je vais jouir…. son clito gonfle encore, je le suce encore et son corps se tord. Se tord encore dans tous les sens qui existent.
Des spasmes !!! Une explosion !!!!! Je ne contrôle pas, je ne vois plus rien…..je ne sais plus ce qui se passe.
Tu crois que c’est fini… mais avec Sophie de R., ce n’est jamais fini !!
Black Karma
" Défonce-moi ! "
Samedi dernier j’ai emmené ma copine du moment dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes.
Nous nous sommes fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à l’angle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie, car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je veux lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.
Agés de vingt-quatre ans l’un et l’autre, nous sommes quelque peu libertins, et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant toutes sortes de scénarios plus ou moins osés. Mélissa na savait rien de mes intentions mais lorsqu’elle me rejoint avec près d’une demi-heure de retard, je m’aperçois qu’elle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointent les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité ! Bref une véritable allure de pute !
Elle ne s’excuse même pas de son retard tant c’est habituel chez elle. Nous entrons dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car je viens de temps à autre mater une des filles qui s’exhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Mélissa.
Une vendeuse assez court vêtue elle aussi, nous présente une série de tenues que Mélissa part essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment, je l’accompagne pour l’aider à choisir. Son choix se porte sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses. Mais ce n’est pas trop ce que je souhaitais. Avec la complicité de la vendeuse (que j’ai baisée une fois avant de rencontrer Mélissa), je fais essayer à ma copine un serre-taille qui, s’évasant juste au dessus des hanches, monte jusqu’à la poitrine qu’elle présente plus qu’elle ne la soutient… dans des demis bonnets.
Le laçage dorsal permet de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissent plus volumineuses. C’est un peu un carcan de torture mais j’aime et Mélissa aussi. Je lui dis que c’est son cadeau d’anniversaire qu’elle peut garder sur elle pour le moment. Elle peut y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne peut pas me rejoindre.
Lorsqu’elle sort de la cabine après avoir remis sa jupette et son string, l’effet est formidable et bon nombre de mecs se retournent pour l’admirer. Certains manifestent aussi par des sifflements. C’est vrai que dans cette tenue, elle est canon mais elle a un look de salope…
Je lui ordonne de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui sont là. Quand elle s’arrête devant le rayon des DVD, elle se baisse pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Quelle n’est pas ma stupeur quand je découvre que Mélissa n’a pas remis son string ! Elle a le cul nu ! Décidément ce soir, elle a décidé de la jouer « SALOPE », et ça me plait au point que j’ai la bite dressée dans mon boxer à m’en faire mal tant j’ai envie de la sauter comme une chienne dans un coin du magasin.
Nous lisons ensemble le résumé du film, je suis collé dans son dos et je regarde par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bande… et cela augmente encore quand je découvre que je peux voir ses tétons sortis dans le soutif et que Mélissa répond en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui dis à l’oreille :
« Salope ! Tu me fais bander avec ton cul nu ! Viens à l’étage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es !
- Oh oui ! Je coule tellement j’en ai envie ! »
Je prends Mélissa par le coude et je la guide vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir s’ébattre pour une dizaine d’euro de péage. Je sais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.
En moins d’une minute, nous sommes à genoux sur le lit. Mélissa, à ma demande ne s’est pas déshabillée alors que je suis complètement nu ! Elle plonge sur ma bite bandée comme un arc et l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge pour l’enduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais je freine ses ardeurs car je ne veux pas inonder sa bouche ! C’est son cul que je veux !
Comme je fais face à la porte, je la vois s’entrouvrir et un black apparait dans l’entrebâillement. D’un geste il me fait comprendre qu’il apprécie notre baise et je lui fais signe de s’approcher en silence. Il ouvre son pantalon et sort un vit déjà bandé comme je n’en ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approche celui d’une canette de boisson et au moins vingt-cinq centimètres de longueur.
Doucement et silencieusement, il s’approche et relève la jupette de Mélissa qui, passée la surprise accepte de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle redouble d’ardeur dans sa fellation au point que je m’arrache de sa bouche pour ne pas gicler… Le black prend ma place et Mélissa (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) a bien du mal à le faire entrer. Elle se contente de sucer le gland et de lécher la hampe qui est de plus en plus dure quand soudain ma copine s’écrie en lui tendant un préservatif :
« Défonce-moi salaud, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs ! »
Je n’ai rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi ! Le black revient derrière elle qui est toujours à genoux. Il la fait mettre en levrette pendant qu’il se couvre, repasse une main dans la fente et d’un seul mouvement il embroche Mélissa sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma copine.
Cette dernière semble brusquement manquer d’air et en ouvrant grand la bouche elle dit :
« Waouh quelle bite ! Vas-y défonce moi, je suis ta pute blanche ! »
Et là, le black avec qui nous n’avons pas échangé plus de dix mots, entreprend de baiser Mélissa à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine sont sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui met à chaque fois qu’il arrive contre ses fesses. Ce claquement est excitant !
Mélissa part une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, retourne Mélissa sur le dos, lui remonte les jambes en appui sur ses épaules et reprendre la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF ! »
D’un geste elle me fait comprendre qu’elle veut encore me sucer. Je ne me fais pas prier et je m’engage une fois encore dans cette bouche vorace qui en a vu passer plus d’une bite.
Quand Mélissa jouit pour la seconde fois, le black se lâche au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vide dans la bouche de Mélissa qui avale tout ce que je lui ai servi :
« Oulla ! Qu’est-ce qu’il m’a mis ! »
C’est vrai que quand il sort et retire le préservatif, nous ne pouvons que constater l’ampleur de son éjaculat : au moins la valeur d’un apéritif servi dans un bistrot !
« Merci les potes ! C’était génial ! Quelle baiseuse ta meuf ! »
Nous nous essuyons avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous séparons. Je passe à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous rentrons dans mon sixième étage sous les toits où nous baisons encore une fois.
A mon tour de gicler dans la chatte de Mélissa et là, pas de capote, direct au fond !
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Une soirée très enrichissante - la suite
♥ Chapitre VI : Une nuit pleine de surprises ♥
Je me retrouve alors au bout de la laisse tenue par cet homme qui me rebute. Mon regard apeuré se transforme en rage quand je croise celui de mon « maître d'un soir ». Il ne perd vraiment rien pour attendre. Quelle n'est pas ma surprise quand, au lieu de lire du dépit ou une certaine gêne dans ces yeux, il me répond d'un sourire narquois du genre : « j'ai réussi mon coup ».
Et voici que le gros monsieur m'emmène avec lui. Sentant une certaine réticence de ma part à le suivre, il tente, comme pour m'amadouer :
« Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal, ma belle, je n'abîme jamais mes investissements. »
Pensait-il vraiment que cela me calmerait ? Son sourire me laisse croire le contraire. Il m'entraîne derrière lui et nous montons l'escalier.
« Tu es vraiment très belle K., ton maître a beaucoup de chance.''
- Merci Monsieur. »
Mon cœur bat la chamade et je ne sais ce qui m'attend. Il s'arrête devant une porte.
« Nous voici arrivés », dit-il en ouvrant la porte.
Il me fait entrer dans une chambre à la décoration tout aussi surannée que le reste de la maison. Les lais de papier peint pourpre alternent avec les lais noirs. Un lit à baldaquin circulaire trône au centre de la pièce. Il s'assoie sur un fauteuil et me demande de me mettre au centre du tapis. Croisant les jambes, tenant toujours la laisse, il me toise du regard, jaugeant la jeune femme qui se dresse devant lui. Il me demande de retirer le haut de ma robe.
Lentement, je fais glisser la bretelle de mon épaule, puis la seconde, découvrant ma poitrine nue. Son regard se fixe alors sur mes deux petites pommes dressées par la peur et je dois bien l'avouer, par l'excitation que la situation provoque en moi.
« Caresse-les. me dit-il, tout à coup plus directif. Je vois bien qu'ils durcissent mais ce n'est pas suffisant. »
Je pose alors mes mains sur mes seins, les soupesant doucement. En enserrant un, les doigts de mon autre main, viennent lentement tourner autour de l'aréole. La sensation de sentir la pointe durcir irrémédiablement sous ma caresse m'arrache un gémissement que je tente de contenir en me mordant la lèvre inférieure. Puis, je fais glisser les pointes tendues entre mes index et majeurs. Je joue sensuellement de mes seins, ondulant mon corps, caressant mes lèvres avec ma langue, le regardant dans les yeux. Il se délecte de ce spectacle. Son cigare presque fini passe de ses lèvres à ses doigts, il sourit, commente de petits « humm, quelle poitrine », « 'c'est bien ma belle ».
« Retire ta robe maintenant.
- A vos ordres Monsieur. »
Je m'exécute et doucement fais glisser ma robe à mes chevilles. Il sursaute et se tortille sur son siège :
« Mon Dieu mais quelle œuvre d'art !!! tu es vraiment sublime Mademoiselle K. J'ai eu raison de mettre autant pour avoir le plaisir de te contempler.
- Au prix que vous avez payé, je suppose que vous n'allez pas faire que me contempler, Monsieur.
- Ma pauvre mademoiselle K., je suis désolé pour toi, et pour moi aussi d'ailleurs, mais un malheureux accident m'a privé de ma virilité. Je ne pourrais rien te faire de plus que te contempler et te caresser. Ce qui fait que j'ai développé d'autres jeux, n'aies crainte, tu prendras du plaisir ma belle, et moi aussi par la même occasion. Allée, continues de te caresser, mets-toi à genoux et caresse-toi. »
La révélation qu'il ne peut pas me baiser me rassure, je dois bien l'avouer. Ce vieux porc ne me touchera pas et je ne sentirai pas son corps adipeux suinter sur le mien. Ce nouvel élément me rassure, me libérant de toute peur. Je m'agenouille donc sur le tapis et recommence à parcourir mon corps de plus belle. Mes mains courent sur mes seins, les malaxant, je porte un sein jusqu'à mes lèvres et je joue de langue sur l'aréole tendue. Il exulte de plaisir. Je porte deux doigts à ma bouche pour les mouiller puis viens jouer sur mes tétons. Je tire doucement dessus, les relâche, en éprouve l'érection. Puis mes doigts entament un voyage de mes seins jusqu'entre mes cuisses.
Doucement, je caresse mes lèvres déjà gorgées de désirs et de plaisir. Mes doigts se couvrent de mouille que je porte à ma bouche en souriant. Me voici, nue, cuisses ouvertes, légèrement cambrée en arrière, une main tirant un sein, et les doigts sensuellement enserrés entre mes dents à goûter mon plaisir, plus provocante que jamais. De toute façon, il ne peut rien me faire et la situation m'excite de plus en plus. Son regard ayant changé, je subodore qu'il a compris mon soulagement.
« Couche-toi sur le tapis et écarte tes cuisses.
- Oui, Monsieur. »
Je me couche face à lui sur le tapis, relève et écarte mes jambes. Il a une vue imprenable sur ma vulve ouverte. Mon clito durci me brûle. J'ai une irrésistible envie de le toucher, de le caresser. Il le sait et me l'interdit.
« Non, ne touche pas ta chatte belle demoiselle, laisse-moi l'admirer encore. Joue avec tes seins et bouge ton bassin. »
Je me cambre et reprends le jeu sur me seins, le laissant jouir du spectacle de mon intimité. Au bout de quelques minutes, je suis totalement excitée et je sens ma cyprine couler doucement entre mes cuisses et la naissance de mes fesses. J'ai toujours adoré cette sensation.
« Tu peux te caresser maintenant, joues avec tes lèvres. »
Je ne me fais pas prier et mes mains fondent entre mes cuisses dans un lascif « Merci Monsieur ». Les doigts d'une de mes mains écartent mes lèvres, dégageant ma chair intime et mon clitoris. Le majeur de mon autre main prend alors la place ouverte pour jouer en moi et sur mon clito. La pulpe de mon majeur tourne sur mon petit bouton tendu d'envie. Je me cambre plus encore et gémis de plaisir. Je m'abandonne à mon plaisir devant cet homme qui n'était qu'un inconnu repoussant il y a encore une heure. Au bout de quelques minutes, il m'ordonne d'arrêter.
« Ça suffit jeune chienne. Arrête de te rouler par terre et redresse-toi. »
Je me remets à genoux comme une bonne petite soumise.
« Derrière toi, dans le tiroir de la commode, il y a une boîte à cigares, va m'en chercher un.
- A vos ordres Monsieur. »
Je me retourne et me mets à quatre pattes. Je me dirige vers la commode, tortillant mes fesses à la vue de mon ''propriétaire'' d'un soir.
« C'est bien, tu as tout compris. Tu as un cul magnifique ma belle. »
Me redressant, j'ouvre le tiroir de la commode et en extrais la boîte de cigares.
« Prends-en un et apportes-le moi. Mais attention, il ne doit pas toucher le sol. »
Je réfléchis un instant à une manière de lui amener sans qu'il touche le sol. Si j'ai bien compris, je ne dois pas le tenir en main, et il n'y a qu'un seul type de cigare qui puisse se trouver entre mes lèvres, et il n'est pas constitué de feuilles de tabac, roulées sous les aisselles de mamas cubaines. Je le cale alors entre mes seins et avance à genoux.
« Non non non, une chienne est toujours à quatre pattes petite futée. Me dit Monsieur Serge en souriant. Et puis tu sais, Mademoiselle K. un cigare doit être bien humide pour pouvoir l'apprécier en bouche. »
Je souris, sachant pertinemment ce qu'il attend. Je me retourne et, à quatre pattes, caresse mes lèvres intimes de cet objet oblong. Il est vrai que ce barreau de chaise a des allures de godemiché. Je le fais aller et venir entre mes lèvres, sur mon clito.
« Oui c'est ça ma belle, branle-toi avec mon cigare, je veux qu'il soit plein de ta mouille. »
Je dois bien me rendre à l'évidence, J'adore ce jeu et je commence à oublié la présence de Monsieur Serge.
« Je crois t'avoir demandé de me l'apporter non ?
- Oui, pardon Monsieur.
- Ne t'excuse pas, j'adore te voir prendre du plaisir, mais approche, viens jusqu'ici, tu es trop loin. »
J’enchâsse alors le cigare dans mon intimité et reviens jusqu'à lui à quatre pattes, lui lançant mon regard le plus lubrique.
« Humm, j'adore ton regard de chienne. Si seulement j'avais toujours mes capacités, je te défoncerais comme la petite putain que tu es !
« Heureusement pour moi que tu ne bandes plus, vieux dégueulasse », ne puis-je m'empêcher de penser.
Une fois en place sur le tapis, je lui tends le cigare. Il le porte à son nez et à ses lèvres.
« Il n'est pas assez humecté, recommence.
- Bien Monsieur. »
Je reprends ma place sur le tapis et mon jeu avec le cigare.
« Tu es trop loin, approche encore. Viens poser tes pieds sur mon fauteuil. »
A contre-cœur, je m'exécute et viens me placer selon sa demande. Sur le dos, je pose mes pieds en appui sur les accoudoirs du fauteuil. Il me regarde d'en haut. Je me surprends à penser que plus jeune il ne devait être mal. Son regard posé sur moi, envieux, cupide, lubrique m'excite et je m'en donne à cœur joie avec ce gode improvisé. Ses doigts se posent sur mes jambes et il commence à me caresser de la pulpe. Ces mains sont douces, agréables, elles m'électrisent. Mais je le sens hésitant, peut être attendant mon approbation. Il ne fait que me frôler. Alors que le cigare entre en moi, interprétant le fait que je l'ai laissé me caresser comme un oui, il prend mes jambes et les ramène sur ses genoux.
« Retire tes mains d'entre tes cuisses, chienne, caresse tes seins. »
Je m'exécute et les poses sur mes seins. Le cigare fiché dans ma chatte, il caresse mes jambes. Puis lentement il me fait monter et redescendre. Le cigare frotte en moi comme un sexe et l'orgasme ne tarde pas à me submerger, inondant par là même le cigare. Je ne peux m'empêcher de jouir bruyamment.
« Voilà, il est parfait maintenant. Comme je sais que tu ne voulais pas que je te touche, me permets tu de le récupérer moi même ? »
Je le regarde étonnée. Comment a-t- il su ?
« Eh oui, Mademoiselle K. il ne faut pas sortir de Saint Cyr pour savoir que je te révulse. Me dit-il en souriant.
- Bien sûr Monsieur, vous pouvez. »
Il ne se fait pas prier et en profite pour enfoncer deux doigts dans ma chatte en récupérant son bien.
« Humm, cette chatte a du en voir des bites. Réponds petite chienne, dis-moi qu'elle en a vues.
- Oui Monsieur, elle en a vu beaucoup.
- C'est bienn dit-il en portant le cigare à sa bouche. Humm quel goût tu as petite chienne, un vrai délice. Ce cigare est parfait. »
Puis il l'allume. Je m'apprête à quitter ma position.
« Qui t'a dit de bouger petite putain ? Reste là. »
Son regard c'est fait plus dur.
« Pardon Monsieur. »
Je reste ainsi posée pendant plusieurs minutes, le laissant déguster son cigare.
« Tu es vraiment sublime Mademoiselle K., vraiment sublime. J'aurais adoré pouvoir te posséder. J'aurais été fier d'exhiber à mon bras un tel chef d’œuvre. M’autoriserais-tu à te caresser ma belle ? J'en ai très envie. »
Sans même comprendre comment j'ai pu, je lui réponds oui. Il attrape alors ma jambe et porte ma cheville à sa bouche. Il la caresse de ses lèvres, de sa langue. Mes doigts de pieds se retrouvent rapidement dans sa bouche et il commence à les sucer fortement. Il change de pied et lui administre le même traitement. Tout à coup il s'arrête.
« Viens t’asseoir sur mes genoux petite chienne, vite. »
J'obéis et me mets à cheval sur ses genoux. Il ne lui faut pas plus de temps pour saisir mes seins. Il tente de m'embrasser mais je le lui refuse en tournant la tête. Ses lèvres se retrouvent au contact de mon cou. Je peux en éprouver la chaleur et la douceur. Il m'embrasse le cou, pressant mes seins l'un contre l'autre. Sa langue sort et il lèche mon cou en descendant sur mes seins. Ses mains, dont l'une est encombrée du cigare enserrent tendrement mes seins comme pour en projeter les tétons tendus d'excitation.
Sans plus attendre, sa bouche se saisit d'une aréole. Il commence à l'aspirer, la mordiller doucement comme pour en éprouver la dureté. Sa langue tourne lentement dessus, me provocant des râles de plaisir. Je me cambre sous ses traitements. De son autre main, il caresse le téton à l'aide de son cigare. Je peux sentir l'humidité de sa bouche sur le cigare qui tourne sur mon téton. Je me colle à lui pour caresser mon intimité sur son pantalon.
« Tu mouilles bien petite salope, » grommelle-t-il entre deux succions.
Je me cambre doucement en arrière, les mains posées sur ses genoux et joue de mon bassin. J'en arrive même à regrette qu'il ne puisse pas bander. Comme s'il lisait dans mes pensées, une de ses mains se pose sur mon ventre et le caresse doucement, remontant entre mes seins, mon cou, mon menton puis ma bouche.
« Ouvre », me dit-il.
Je ne me fais pas prier et accepte l'introduction de son index et son majeur dans ma bouche. Très vite mes lèvres se referment et je commence à sucer ses doigts. Ma langue tourne autour de ses phalanges retenues par mes dents. J'aspire ses doigts comme s'il s'agissait de son sexe.
« Humm, je regrette vraiment de n'avoir que ça à te donner à sucer, chérie. Tu m'as l'air d'être une sacrée bonne suceuse. »
J'avale ses doigts comme si ma vie était en jeu, saoulée d'excitation, sans aucun contrôle sur mon comportement. Au bout de quelques minutes, il extrait ses doigts de ma bouche et suivant le chemin inverse, les dirige vers mon intimité. Sans aucune précaution, il me pénètre violemment, m'arrachant un gémissement.
« Oui, t'aimes ça petite pute, réponds !
- HUMMMM OUI MONSIEUR !!!! »
Sans douceur, il entame une sauvage pénétration de ses doigts. Il me force à me pencher en arrière pour me retrouver couchée sur ses genoux, cuisses parfaitement ouvertes, ma chatte offerte à ses désirs. Je gémis, crie mon plaisir. Il exulte, me traitant de chienne, de salope. Il commence à se lâcher. Son autre main, qu'il a libéré du cigare en le portant à sa bouche, caresse mon ventre, mes seins, mon cou. Ses doigts viennent à ma bouche et je les suce. La violence de ses doigts me fait balloter sur ses genoux. Dire qu'il y a peu de temps ce type me dégoûtait, maintenant il provoque en moi une excitation incontrôlée. Il s'arrête.
« Couche-toi sur le lit, j'ai envie de te lécher la chatte. »
Il me relève et me repousse sans tendresse. Je me dirige vers le lit.
« Oh tu fais quoi ? À quatre pattes, chienne.
- Oui, pardon Monsieur. »
J'obéis et me dirige vers le lit à quatre pattes.
« Attends. »
Je m'arrête, il saisit la laisse :
« Tu peux y aller. »
Arrivée au lit, je grippe dessus et me couche au bord sur le dos, cuisses écartées, les pieds sur le lit. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il est à genoux devant moi et sa bouche fond sur mes lèvres. Il les aspire, en prend une entre ses dents, joue à lécher ma chair intime en remontant sur mon clito. Ses mains, tenant le cigare, il reprend ses caresses sur mes seins. Je me tortille de plaisir sous sa langue, gémis comme une vraie petite chienne. Il sait qu'il me tient à sa merci et accentue son cunnilingus.
Il fait maintenant descendre une de ses mains qui rejoint sa bouche sur mes lèvres. Il écarte mes lèvres pour mieux me lécher. Ces coups de langue sont si puissants que je ne peux m'empêcher de saisir ses cheveux gominés. La sensation désagréable de gras n’entame en rien mon excitation. Il sait dés lors qu'il a partie gagnée et qu'il pourra faire de moi ce qu'il veut.
« Tu es vraiment une sacrée belle chienne K. Tu vas prendre du plaisir, crois moi. »
Il introduit son index et son majeur en moi, tout au fond et fait tourner ces doigts, les écarte, les resserre. Je n'en peux plus et porte mes doigts à ma bouche pour les sucer. Au bout de quelques minutes, il se redresse, m'attrape par les hanches et me retourne violemment sur le lit. À plat ventre, il tire mes chevilles pour que je me retrouve à genoux, au bord du lit. Il m'oblige à me pencher pour poser mon buste sur le lit en me tenant la nuque.
« Penche-toi salope. »
Sa main droite claque sur ma fesse comme pour me signifier que je lui appartenais. Puis il me force à écarter les jambes. Du plat de sa main, il frotte énergiquement ma vulve, joue sur mon clitoris. Il insère son majeur en moi et entame un va et vient violent. Je gémis doucement.
« On dirait qu'un seul doigt ne te suffit pas jeune chienne, on va en rajouter alors. »
Il ajoute son index et reprend de plus belle. Je gémis plus fort mais ça ne semble pas le satisfaire puisqu'il ajoute deux autres doigts et accélère encore le mouvement. Je m'agrippe aux draps et enfonce ma tête dans le matelas pour ne pas hurler. C'est sans compter sur sa main gauche qui saisit alors mes cheveux pour tirer ma tête en arrière.
« Je veux t'entendre hurler Mademoiselle K. »
Son pouce tourne alors sur mon petit œillet alors qu'il me pénètre sauvagement de ses autres doigts. Les hurlements qu'il m'arrache semble lui plaire. Je sens sa salive tomber entre mes fesses sur mon anus et son doigt forcer l'entrée.
« Humm, mais lui aussi on dirait qu'il n'est plus vierge. C'est bien ! Allée, ouvre-toi bien. »
Son doigt entre doucement dans mon cul. Je crie de douleur mêlée de plaisir. Très vite sa main gauche quitte ma chevelure et son majeur remplace le pouce. Il me pénètre maintenant des deux côtés, sauvagement, sans précaution, sans tendresse. Mes deux orifices me brûlent et cette sensation me procure un plaisir que je ne peux dissimuler plus longtemps. L'action de sa main droite dans ma chatte provoque un orgasme qui inonde ses doigts, facilitant sa pénétration.
« C'est bien petite chienne, jouis fort. Tu aimes ça. »
Ce n'est pas pour autant qu'il arrête ce doigtage en règle et pendant quelques minutes encore, il continue son entreprise. Je suis presque sans réaction quand il arrête et me couche doucement sur le lit. Je suis nue, repue de plaisir alors que ses mains se font tendres sur mon corps, le caressant comme un sculpteur modèle son œuvre. C'est sous la douceur de ses caresses que je finis par m'endormir, oubliant même que Marc devait certainement m'attendre.
♥ Chapitre VII : Rien n'est fini ♥
À mon réveil le lendemain, il me faut quelques instants pour me remémorer la situation et l'endroit où je me trouve. La nuit passée me reviens en mémoire et mon corps ressent encore les effets des plaisirs vécus. J'ai envie de prendre une douche mais je ne sais pas où est la salle de bain et si j'en ai le droit. La porte s'ouvre. M. Serge entre portant un plateau avec café, thé, lait et tartines.
« Bonjour Mademoiselle K. bien dormi ?
- Oui Monsieur, très bien, merci. Quelle heure est-il ?
- Presque dix heures et demie.
- Déjà ? Je vais devoir vous laisser Monsieur, Monsieur Marc doit m'attendre. Je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité. Et puis j'ai des choses à faire.
- K., je vais être franc. Il n'est pas question que tu partes. Je sais que tu n'es pas du tout la soumise de Marc.
- Pardon ? Mais si je vous assure…
- Le mensonge est un vilain défaut, K. Tout ceci était parfaitement préparé. Je vais t'expliquer. En fait, les cinquante trois mille euros correspondent à la somme que ton ami me devait. N'ayant pas la somme pour me rembourser, il m'a proposé de le faire d'une autre manière. Je ne sais pas pourquoi il a pensé à toi, enfin maintenant je le sais », dit-il en souriant.
« Mais un jour il m'a conduit devant chez toi. Quand je t'ai vue sortir, j'ai accepté son mode de remboursement.
- L'enfoiré !!!! Je vais le tuer
- Eh oui, K. les hommes sont comme ça.
- Mais ne me dites pas que toute la cérémonie d'hier soir était bidon ?
- Ah non, du moins pour ce qui était des autres. Disons que pour toi l'arrangement était déjà passé. Mais tu te doutes bien que pour cinquante trois mille euros, la nuit que nous avons passé ne suffira pas.
- Et si je ne veux pas ?
- Penses-tu réellement avoir le choix, jeune femme ? Vois-tu ta robe dans la pièce ? Ne te souviens tu pas que tu es venue dans la voiture de ton ami ? Sais-tu où se trouve cette maison ? Et surtout n'as tu pas remarqué à quoi est relié ton collier ? »
Je réalise soudain qu'il a raison sur tous les points et me rends compte qu'effectivement le collier est relié à une chaine dont le dernier anneau coulisse dans un réseau de barres fixé dans le plafond. Je suis prise au piège. Ce salopard de Marc m'a bien roulée dans la farine.
« Thé ou café ? »
Le ton neutre et presque amoureux de Monsieur Serge me désarçonne, et je réponds presque machinalement :
« Un thé merci.
- Mais ne t'inquiète pas K. je ne te ferai aucun mal. Ce n'est pas mon genre. Même si tu es attachée, je ne t'obligerai à rien de dégradant. Je souhaite juste que nous nous amusions ensemble.
- Oui enfin, je crois que je n'ai pas trop le choix non plus.
- Ce n'est pas faux effectivement. »
A suivre…
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Pourquoi lors de tous mes voyages je n'ai jamais rencontrer une nana comme toi?? Pourtant j'ai du succées avec les demoiselles!
Chère Sophie, j'espère que vous nous raconterez la suite biento, le début de cette aventure étant déjà très excitante.