Les Mémoires très Libertines de Sophie
La Lycéenne Perverse - la suite
Certains d'entre vous attendent la suite avec impatience depuis vendredi. Je vous la livre ce soir, toute chaude, pour finir votre dimanche en beauté et en sexe extrême !
Astrid continua de descendre l’escalier, poussée sans ménagement par le gardien. Les voix devenaient plus claires, les soupirs, plus intenses. Elle frémissait de désir, de son orgasme avorté. Elle en voulait encore, elle en voulait le maximum. A ce moment précis, elle était prête à se soumettre à toutes les lubricités possibles. Une vague honte, due à son éducation très stricte, la perturba quelque secondes. Puis elle secoua la tête, se disant : « Je vais être la pire des chiennes que cette cave aura jamais vue. Ce soir, j’accepte tout… »
Pierre poussa la porte qui fermait l’escalier. Elle s’ouvrit brusquement, offrant une vision de rêve à la jeune fille.
Les sept personnes qu’elle avait comptées dehors étaient là. Et en effet, comme l’avait dit Pierre quand il l’avait trouvée dans sa maison, Anne ne pouvait pas lui répondre…
Elle était en levrette, empalée sur Teddy, un des deux jeunes hommes en costume (enfin, sans costume à cette minute…), enculée par Monsieur Robert, nu comme un ver. Elle avait aussi la bouche prise. Elle pompait avec ardeur le proviseur, qui semblait au paroxysme du plaisir.
Colette, la prof d’anglais, était allongée sur l‘autre jeune homme au costume, plongée dans un 69 débridé. Son cul s’agitait sous les assauts de la langue du mec.
Un autre homme, assez âgé, qu’Astrid n’avait pas vu entrer, se tenait dans un coin, sa courte mais large bite à la main. Il s’astiquait vigoureusement, regardant à tour de rôle les participants.
Les deux étudiants, Lila et Tom, se tenaient dans un coin. Il était évident qu’ils découvraient ce genre de situation pour la première fois. Elle avait la poitrine à l’air, il lui tripotait les seins, pendant qu’elle le masturbait d’une main distraite…
Astrid contemplait la scène, envahie par un désir encore plus fou…
Elle se retourna vers Pierre, et lui cria : « Baise-moi ! Je veux que tu me baises, que tous ces types me baisent, me prennent par tous les trous. Je veux bouffer Colette et cette chienne d’Anne. »
En entendant ces paroles, les participants ralentirent leurs actions, et se tournèrent vers les nouveaux arrivants.
« Messieurs, mesdames, voici Astrid, votre nouveau jouet pour la soirée. Elle est à vous, elle vous obéira, sinon, elle aura affaire à moi ! »
Un grognement de satisfaction monta de la salle surchauffée. Au grand regret d’Anne, elle voulait Pierre avant tout, le proviseur sortit aussitôt sa bite de la bouche de la secrétaire, pour se ruer vers la jeune lycéenne
« Toi, ça fait trop longtemps que je veux te baiser. Je savais que tu étais une petite pute, je l’avais deviné. Maintenant, tu vas me sucer le dard, avant que je te bourre à fond. »
Sans attendre la réponse de la jeune fille, il appuya sur sa tête, la forçant à se mettre à genoux. Elle se retrouva avec la bite déjà rouge face à elle. Sans hésiter, elle goba d’un trait ce dard appétissant. Pierre pesait sur sa tête, pour la forcer à accélérer le mouvement. La bouche aspirait de plus en plus vite le membre qui coulissait à grands bruits de succion. L’homme ne résista pas très longtemps à ce traitement de choc, et dans un grand ahanement, déversa son foutre au fond de la gorge d’Astrid. Elle manqua de s’étouffer, sous la force du jet âcre. Le concierge lui tira alors les cheveux en arrière. Le sperme coulait des lèvres de la gamine.
« Va embrasser Anne, va lui donner le jus qu’elle aurait du prendre à ta place. »
Sans se faire prier, elle se leva et approcha de la secrétaire. Celle-ci était toujours prise en double pénétration, criant de plaisir et de douleur. Le pieu qui lui déchirait l’anus, celui de Monsieur Robert, avait des dimensions impressionnantes…
Astrid s’accroupit devant elle, et lui enfourna sa langue chargée dans la bouche. Les lèvres s’ouvrirent sans résistance, et aspirèrent la crème qui venait du proviseur. Leur baiser devint passionné, leurs langues se cherchaient, se poussaient, s’aspiraient sans relâche. Ca semblait ne jamais vouloir finir. Astrid, toujours aussi excitée, se masturbait avec les doigts, les enfonçant dans son con détrempé.
Ses gestes n’avaient pas échappé au voyeur. Il vint vers elle, l’œil lubrique. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas baisé de la chair fraiche, lui qui avait plus de 60 ans. Il était prêt à tout pour ça, à toutes les bassesses, toutes les humiliations.
Il fit se relever la jeune fille, et la bascula sur le matelas posé au sol, encore inoccupé.
Elle chuta lourdement sur le dos, avec une grimace de douleur. Ses jambes s’écartèrent naturellement. L’homme se mit entre ses cuisses, sembla hésiter un instant, et finalement, aplatit son visage sur la chatte juteuse. Astrid se cambra de bonheur. La grosse langue lui fouilla le vagin, aspirait au passage le clito bandé comme jamais.
Pierre la regardait, semblant hésiter lui aussi. Finalement, sans la quitter des yeux, il se dirigeât avec Colette, toujours en 69. Il ôta son slip, et son braquemard en jaillit, tel un diable de sa boite. Il se mit à genoux derrière elle, se pencha en avant, et lui écarta les fesses. Elle eut un mouvement de surprise, regarda par-dessus son épaule qui la touchait ainsi. A la vue du concierge, elle eut un sourire de contentement.
« Tu peux y aller, Pierrot, baise-moi la chatte. Carl va te sucer en même temps. » Un grognement de refus de l’homme se fit entendre. Elle lui cloua le bec : « Suce, et tais-toi. Sinon, je t’encule ensuite.» Il ignorait que ce serait le cas, de toutes façons…
Il obtempéra, et replongea la langue pour aspirer le clito brulant. Pierre ouvrit les fesses, pour bien mettre à jour la chatte pleine de mouille et de salive de la prof. Pas besoin de la lubrifier, il pouvait y aller ! Il se positionna, bien en face du trou accueillant, et jeta son corps lourd en avant. Sous la bascule, la grosse queue entra sans peine dans le con dilaté. Il s’affala sur les deux corps allongés. Il sentait sous lui la langue de Carl lui absorber goulument les couilles.
« Mon salaud, et tu ne voulais pas me sucer ? Tu es une vraie pompe à bites, tu suces bien, continue, j’aime trop ça. » Il accentua ses va-et-vient, s’enfonçant autant que possible dans la chatte de Colette…
Astrid ne perdait pas une miette de ce spectacle. Elle se tordait de plaisir sous les caresses du vieux vicieux. En voyant les deux femmes se faire troncher bestialement à quelques centimètres d’elle, elle se sentit encore plus excitée, si c’était possible. Elle jouit brutalement, et lâcha alors un grand jet de mouille, en pleine figure du vicelard. Elle se lâcha tant et si bien, qu’un autre jet jaillit d’elle.
A sa grande surprise, elle pissait ! Un immense soulagement la prit, elle pissait, dans la bouche ouverte de surprise du vieux. Pourtant, il ne recula pas, s’approchant encore pour boire le liquide odorant. Elle avait en fait très envie de faire pipi depuis un moment, mais elle ne pouvait se soustraire à la bouche experte du lécheur. L’urine coulait des lèvres de l’homme, qui semblait être en extase.
« Ta pisse est excellente, chérie, donne-la moi à boire quand tu veux ! »
C’était une première pour Astrid, mais elle y trouva un certain contentement. Elle s’était lâchée pour de bon ! Pourtant, elle n’était pas satisfaite. Certes, elle avait joui, mais il lui manquait des bites bien profond en elle.
Le tout se passait sous le regard vicieux du proviseur. Il se massait la queue, impatient de baiser cette chatte brillante de cyprine et de pisse tiède. Il bouscula l’homme, pour prendre sa place. Ce dernier protesta faiblement, il n’avait pas encore joui.
Astrid lui dit : « Viens, je vais bouffer ta bite, pendant que je me fais limer. ». Il se ne fit pas prier, et vint se positionner sur le visage de la lycéenne, en appui sur ses bras, pour ne pas l’écraser. Dans le même temps, le proviseur levait ses jambes bien haut, en appui sur ses épaules. Il se cala bien, et présenta son nœud turgescent à l’entrée du sexe affamé de la petite garce. Il la pénétra d’un coup, sa queue glissant sans problème dans la chatte hyper lubrifiée. Sous la secousse, Astrid avala en entier la courte bite du vieux. Elle se mit à le pomper au rythme des coups de boutoir de son baiseur. Ce dernier avait trop attendu, il jouit très vite, au contact des chairs brulantes de la fille. Astrid se sentit frustrée…
Heureusement, Pierre, qui la regardait avec attention, tout en besognant la vieille fille, vint à son secours… Il ordonna au vieux, dénommé Martial, de venir nettoyer la lycéenne. Ce dernier obéit une novelle fois sans protester, et sortit son chibre de la bouche gourmande. Il se rua sur la chatte maculée de jus. Il aspira tout, se régalant de tout ce sperme. Astrid devenait folle, sous cette caresse. Elle adorait qu’on vienne lui lécher le minou plein du sperme d’un autre !
Pierre lui demanda : « La place est propre ? Je vais venir te baiser, tu mérites ma grosse queue…
- Oh oui, viens me défoncer pour de bon ! Celui qui vient de me baiser avait une trop petite bite, il a joui trop vite. Je veux être possédée pour de bon ! Viens me défoncer le fion !!! »
Ces dernières paroles firent bondir le gardien, qui se retira de Colette. Il dit au jeune mec qui les léchait de venir baiser la prof d’anglais :
« Tiens vas-y, la place est chaude. Elle veut de la bite, cette vieille pute !!! »
Carl ne se fit pas prier, fit rouler Colette sur le dos, et la pénétra sans ménagement. Sa chatte était bien dilatée par le gros sexe sui venait de la ramoner. Comme il se sentait un peu au large, il enserra sa hampe de ses doigts, et rentra le tout dans le con béant de la femme. Inouï : il la baisait et la fistait en même temps !!! La prof adorait ça, et n’en pouvait plus de crier son plaisir.
L’autre jeune homme, Teddy, qui était sous Anne, n’en croyait pas ses yeux !!!
Il continuait de limer furieusement la secrétaire, toujours embrochée sur les deux sexes. Pourtant, elle appela le jeune Tom : « Viens, je veux te sucer ! Il faut que tu voies comment une vraie femelle suce. Lila, prends une leçon, regarde-moi le sucer ! »
Les deux jeunes s’approchèrent timidement. Pourtant, la queue de Tom sembla se raidir et prit du volume. Anne l’empoigna et fourra cette jeune bite dans sa gorge. Là, elle semblait enfin satisfaite, prise par tous les trous !
Pierre arriva près d’Astrid, la fit se relever, tourner à genoux, et la prit en levrette. Il admirait le cul blanc et ferme, qui se trémoussait, avide de sa grosse bite gonflée du désir qui le tenait depuis de longues minutes déjà. Sans hésiter, et sans ménagement, il enfourna son pieu au tréfonds du vagin de la jeune fille. Sous la poussée brutale, elle laissa échapper un cri :
« Aie, tu me fais mal ! Oh non, maintenant vas-y, défonce-moi, éclate ma chatte de pétasse !!! J’aime ta queue, ta putain de grosse queue !!! »
Il la besognait si violemment qu’il devait la retenir par les hanches, pour qu’elle ne tombe pas en avant. La fin ne se fit pas attendre. Astrid sentit tout son corps secoué par un orgasme géant, qui la laissa à demi-inconsciente. Pierre vida ses couilles dans la chatte boursouflée de la fille. De longues saccades la remplirent.
Une fois de plus, il fit appel au « nettoyeur de chattes », Martial. Il arriva au plus vite, et entreprit de manger la crème, alors que le mandrin de Pierre était toujours en place. Ses derniers coups de reins faisaient déborder le jus, dont le vieux semblait se délecter.
Décidemment, il ne reculait devant rien, pour avoir le droit de baiser des jeunes…
Sous la langue experte, Astrid reprit ses esprits. Elle venait de se faire défoncer comme rarement, et pourtant elle en voulait encore !
« Personne n’a m’a encore sodomisée. Je veux être prise par tous les trous… Je veux tout, aujourd’hui, le pire du pire… » pensa-t-elle.
Martial la supplia du regard. Elle comprit, et lui dit : « Ca va, tu me peux me baiser, mais fais-vite, je veux du vrai mâle ! » Il obtempéra et pénétra la moule plus que béante. Il aurait pu y entrer deux bites…
Ce que ne manque pas de remarquer le proviseur… Il revint vers eux :
« Vu comme elle est ouverte, la garce, elle peut bien en prendre deux !!! Il obligea Martial a quitté le fourreau élargi, lui dit de s’allonger au sol. Sans ménagement, il indiqua à Astrid de venir s’empaler sur la vielle queue ridée, mais encore vaillante. Elle obtempéra sans ciller, et vint s’assoir sans problème sur la bite, cul tourné vers le proviseur. Il la fit se pencher en avant, et se positionna derrière. Il agaça un instant l’anus, mais pour le moment, il voulait prendre sa chatte en double. Malgré la place occupée par Martial, il mit sans problème ses doigts dans la chatte, pour en évaluer la largeur. Avec un grognement satisfait, il les retira, et présenta sa belle hampe dure contre l’autre bite. D’un coup, il la pénétra.
Astrid gémit sous la double poussée. Mais elle était aux anges ! Enfin, elle était bien bourrée, bien pleine !!! Cette sensation des deux bites qui allaient et venaient en elle, c’était magique ! Elle leur fit savoir bruyamment :
« C’est bon, vieux cochons, baisez-moi, baisez-moi bien, défoncez ma moule de salope !!! Je veux vous sentir cracher votre foutre bien chaud !!! Baisez-moi à fond, j’adoooooooore !!! »
Très près de là, Tom en train de se faire sucer par Anne, ne perdait pas une miette de ce spectacle. Il avait les yeux hors de la tête. Lila se branlait furieusement. En voyant cela, Pierre, en bon maitre de cérémonie, donna ses ordres :
« Va t’assoir sur la figure de cette salope de Colette, elle va te sucer ! »
Colette, sur le dos, toujours défoncée par Carl, tenta de protester : « Non, je ne veux pas lécher une femme…
- tu lècheras jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ou alors, tu seras punie : plus de baise, plus de queues et de bites pendant un mois… Et tu sais bien que tu ne peux te faire tringler que chez moi ! »
A ces mots, Colette rougit, et se tut. Lila vint positionner sa vulve excitée sur la bouche de la vieille femme. Jamais personne ne lui avait fait cela. Colette explora activement toute l’intimité de la jeune fille. Sous cette nouvelle caresse, elle ne tarda pas à lâcher un flot de cyprine sur le visage de Colette. Elle jouit bruyamment, se tourna vers Tom, et lui lança, à la grande surprise du jeune homme : « Laisse cette garce, vient me baiser, je veux de la jeune bite !!! »
Il ne se fit pas prier, cela faisait des mois qu’il voulait sauter la lycéenne. Elle s’accouda au dossier du canapé, la chatte exhibée à la vue de Tom. Sans attendre, il pointa son nœud à l’entrée de la grotte, et d’un coup de rein rageur, la pénétra brusquement. Il la limait profondément, au plus grand plaisir des deux jeunes amants.
Le spectacle était grandiose ! Vous seriez là, vous verriez tout ce petit monde en train de se tringler, troncher, baiser, enculer, défoncer, sucer…
Carl finit par jouir, et pour se nettoyer, vint fourrer sa bite à moitié débandée dans la bouche de Martial, toujours à besogner Astrid, en rythme avec le proviseur. Lui aussi déchargea son foutre au fond de la moule visqueuse. Quand Carl fut propre, il se fit sucer lui aussi par le vieux.
Pierre, toujours l’œil à tout, dit à Astrid de se relever, pour que Martial la nettoie aussi. Une fois encore, il tenta de protester car il n’avait toujours pas joui, mais Pierre lui intima l’ordre de se taire : « Tais-toi, lèche, nettoie, tu jouiras quand je l’aurais décidé ! »
Obéissant, Martial nettoya bien le vagin d’Astrid. A vrai dire, il aimait beaucoup le foutre…
A partir de ce moment-là, tout dégénéra encore, si c’était possible. Tous les acteurs de cette belle partouze se retrouvèrent mêlés dans tous les sens possibles :
Carl suçait Pierre, debout à coté de lui, et enculait Anne. Teddy, s’activait sur la bite molle de Martial, Anne était bien léchée par Astrid, qui elle-même était enfin défoncée, sodomisée à fond par l’énorme bite de Monsieur Robert.
« Ah, si j’avais su qu’il était monté comme un âne, je l’aurais dragué bien avant ! Vivement les prochains cours, je vais le faire chanter ! Il devra me baiser quand et comme je le voudrais, ce cochon vicelard. Je veux que cet énorme pieu me déchire de partout… Le pied serait celle de Pierre en même temps…», pensa-t-elle, encore plus excitée par ses pensées lubriques.
Lila, toujours baisée par Tom, se pencha en avant pour pomper Pierre. Pierre, qui bientôt, ordonna à la gamine de venir s’empaler sur sa grosse hampe, pendant que Tom tenterait sa première sodomie.
Je ne peux pas tout vous raconter : tout le monde est aux prises avec tout le monde, hommes, femmes, tout le monde se baise et se suce. Une orgie phénoménale, qui dura des heures encore… Elle se finit par une apothéose, dont Astrid rêvait depuis le début : se faire prendre par tous.
Pierre la fit allonger sur un matelas, posé sur le sol. Il lui lia les poignets, attacha ses jambes aux chaises restées à proximité. Elle était là, écartelée, offertes à tous. Chacun à tout de rôle vint la baiser bien profond, pendant qu’elle suçait le mandrin de Pierre. Il ordonna aussi aux femmes de venir la lécher : Anne, Colette, Lila.
Astrid jouissait presque sans arrêt, sous ces pénétrations brutales, et les caresses lascives des femmes.
Quand tous se furent soulagés une dernière fois dans ce vrai garage à foutre, Martial vint une dernière fois avaler tous ses spermes mélangés, boire la pisse de la lycéenne, qui en avait encore eu envie.
Et Pierre, royal, arriva près d’elle avec un gode monstrueux, comme Astrid n’en n’avait jamais vu, gros comme un avant bras. Elle eut un hoquet de surprise et d’envie… Il la détacha, la mit en levrette, enfonça sans problème le gode démoniaque dans la chatte béante. Puis il lécha la rosette de la jeune fille, pour la préparer à l’ultime défonce. Quand elle fut bien lubrifiée, il immobilisa la gamine, qui se tortillait sur le gode, prit son élan, et défonça l’anus palpitant. Il enfonça sa grosse bite en entier au fond des jeunes entrailles.
Les autres étaient effarés par cette double pénétration quasi irréelle. Seule Astrid hurlait des mots incompréhensibles.
Elle n’était plus qu’une marionnette dans les mains d’un baiseur de haut-vol. Et elle aimait.
« Ce soir, je suis la pire des putes, la pire des salopes. Je suis une pompe à bites, à foutre. Je suis la chienne en chaleur la plus garce que cette ville ait connu !!! Et j’aime ça ! »
A cette ultime pensée, elle poussa un tel hurlement, qu’il surprit les autres, et eu un orgasme phénoménal… Pierre se déchargea aussi dans son cul, qui déborda, une fois de plus… La fête était finie.
En tout cas, Astrid garda cette journée gravée dans sa mémoire, et n’avait de
cesse que de recommencer ces orgies démentielles, où plus aucun tabou n’existait…
Cette histoire s’est déroulée au début des années 80, en un temps où le mot « Sida » n’existait pas. C’est pourquoi je ne parle pas de capotes… Mais si vous en faites autant, protégez-vous ! On ne joue pas avec sa vie pour quelques instants de baise, même géante !!!
Marvin et sa mère
Avertissement : ce recit, et sa suite, sont particulièrement "trash",
et réservés à des lecteurs avertis.
J’ai découvert ce blog par hasard et grâce à lui je sais aujourd’hui que ce que j ‘ai vécu avec ma mère n’a rien d’extraordinaire ou bien même d’anormal. Je me sentais mal, et je n’osais pas en parler à personne.
Je me présente, je m’appelle Marvin, Je suis togolais et je n’ai jamais vraiment connu mon père, il est parti avant ma naissance, j’ai une demi-sœur de dix ans mon ainée. C’est ma mère qui nous a élevés, seule, elle travaille encore aujourd’hui au centre de mon quartier où elle aide les personnes à rédiger ou remplir les formulaires administratifs. Rien de génial mais elle aime son travail.
Ma mère est une femme de la quarantaine, et elle n’aime pas que l on dise son âge. Elle est assez forte mais pas trop tout de même, je pense que c’est sa forte poitrine qui lui donne cette apparence, je le sais car elle ne se cache pas lorsqu’elle traîne à la maison pour mettre de vieux t-shirt ou de petite nuisette où l’on peut remarquer ses deux énormes protubérances.
Je vis seul avec elle maintenant depuis deux ans, depuis que ma sœur est partie s’installer dans le sud avec son ami. Je continue à vivre avec ma mère car elle habite en plein centre de Metz, à quelques kilomètres de la fac où j’étudie, donc, vu mes maigres revenus, cela ‘arrangeait tout de même.
J’avais emprunté un caméscope à la fac pour préparer un devoir, une vidéo dont le thème serait les jeunes des banlieues. Je branche donc le caméscope sur la télé et décide de me filmer sur le divan pour faire un test, c’est sur l’écran que je remarque que ma mère vient s’installer à coté de moi, vêtue dans son simple t shirt de « traîne maison ».
Elle me dit :
« Qu’est ce que tu fais, tu te filmes maintenant ?
- Non je fais un test c’est pour l’école.
- Ouh lal a regarde ta mère comme elle est grosse, ta vieille mère… » me dit-elle en se regardant à l’écran.
De ses grosses mains elle attrape tout d’abord ses cuisses en les pinçant :
« Mais regarde, regarde les boudins ! »
et enfin, elle agrippe ses deux gros seins et en les secouant de gauche à droite et se met à crier !
« Mais regarde !! d’un ton agacé. Après tout, tu m’étonnes que ton père soit parti !!
- Non s’il est parti c’est que ce n’est qu’un idiot, je te trouve toujours très belle maman.
- Ohh c’est gentil mon chéri... mais ne parle pas comme ça de ton père !! Allez, je vais me coucher et ne traîne pas trop même si c’est pour l’école compris ?
- Ok ‘man bonne nuit
- Bonne nuit mon chéri… »
Et comme chaque soir, elle m’embrassa le front, m’offrant toujours son énorme poitrine sous les yeux lesquelles je ne m’empêcher honteusement de mater depuis le temps !
Il était déjà tard, et j’avais cessé de jouer avec le caméscope, mais j’utilisai le magnétoscope pour me mater comme presque chaque soir un joli petit film de fesse, je me mis à l’aise, chemise ouverte et pantalon sur les genoux.
Habituellement, ma mère ne se lève jamais dans la nuit, mais là sans que je me rende compte, j’entends la voix de ma mère à quelques pas de la porte :
« Si tu ne dors pas mon chéri j’avais oublié, ta sœur voudrait que tu fasses une recherche sur internet pour son .... «
Et là, je suis face à ma mère, à moitié nu, la queue dans ma main droite et la télécommande dans l’autre, avec laquelle je presse vite le bouton « stop », du coup l’écran revient sur auxiliaire et je me vois à l‘écran car je n’avais pas débranché le caméscope, j’avais l’air encore plus bête à l’écran !!
- ...et qu’est ce que tu fais ? me dit elle d’un ton d’une maman mécontente. Et qu’est ce que tu regardes sous mon toit comme film ? »
Elle s’approcha de l’écran :
« Ah tu te regardes toi même en plus ! Et c’est pour l’école ça ??? »
Moi je n’avais pas bougé !! Je ne sais pas, j’avais envie de faire passer ce moment comme un moment « normal », comme quand elle se ballade les seins presque à l’air !! D’ailleurs elle portait sa fameuse nuisette noire, deux fois trop large pour elle, du coup on peut dire que ça lui fait un sacrée décolleté !!
« Et tu ne bouges pas ???Tu as des problèmes mon chéri, reprit elle avec une voix douce tout en s‘asseyant près de moi... Tu sais le seigneur et bla bla… »
Malheureusement je ne pourrais continuer son texte tellement son laïus est long et ennuyeux, ma mère et très croyante, elle ne rate jamais une messe et je pense que c’est aussi la raison pour laquelle elle n’a jamais eu d’aventures avec d’autres hommes...
Elle me parlait et je n’avais pas bougé, mais elle par contre, oui au fur et à mesure de son monologue, sa main posée tout d’abord sur mon genou, remontait le long de ma cuisse tout doucement, une main un peu tremblante tout comme la voix de ma mère qui ne se rendait plus compte que ce qu’elle disait n’avait plus aucun sens.
Sa main arrive pratiquement à la hauteur de ma queue, je ne me rend compte de rien je me dis que c’est moi qui me fait des histoires et cette situation est tellement ambiguë que je n ai pas d’érection…
Mais par pour longtemps, ma mère a cessé de parler, sa main sur mon sexe, elle me le caresse doucement, elle a ce regard que je n’avais encore jamais vu avant, un regard de salope...
Elle lève les yeux au ciel et dit :
« Pardonne moi seigneur... mais j’en ai trop envie... j’avais juré de ne plus craquer mais elle est trop belle ! »
Et tout doucement, elle se penche vers mon sexe, l’embrasse et le suce, comme ci elle voulait savourer ce moment. De sa main droite, elle me caressait délicatement mes couilles, et de sa main gauche, décalottait mon sexe à chaque arrivée de sa bouche.
Elle s’est mise à aller de plus en plus vite, sa main droite c’est glissée désormais entre ses jambes, je lève la tête et remarque que sur l’écran de la télé, j’ai droit à toute la scène mais vue d’un autre angle, ça m’excite encore plus. Je ne sais pas comment, mais à ce moment là, j’ai pensé :
« il faut que j’enregistre, il faut que j’enregistre ! »
J’attrape doucement la télécommande du magnétoscope et sans remord, efface ma cassette de cul... De la voir comme ça, sur l’écran, je ne la reconnaissais pas, je commençais à bouger mon bassin et à poser ma main sur sa tête, j’étais en train de lui baiser la bouche. Je l’entendais gémir de plaisir sa main droite frottait frénétiquement sa chatte, elle ôta sa bouche de ma queue et elle commença à me la lécher, je n’existais pas, elle n’en voulait qu’a ma queue qu’elle regardait avec désir.
Elle se releva sur ses genoux et m’enjamba, elle me tournait le dos, elle prit mon sexe en main pour le tenir droit afin de s’asseoir dessus, elle posa ses mains sur mes genoux et commença des va et vient très lents.. Elle allait de plus en plus vite , elle gémissait, elle se pencha vers moi, sa nuque sur mon épaule, j’en profitai pour attraper ses deux énormes mamelons à travers la nuisette ..
« Oh oui ! « cria-t-elle et elle enleva ses bretelles dans un grand geste brusque.
J’enlevai mes mains pour enfin découvrir ses énormes mamelles noires, que j’observais au dessus de son épaules sur l’écran, elles sont énormes avec des tétons encore plus noirs. J’étais surexcité, je commençai à les malaxer, tout en donnant des coups de reins, mais ma mère mouillait tellement que ma bite glissa, je la repris en main pour la remettre en place.
Là, j’entendis sa voix douce et presque suppliante :
« Mets-là moi dans cul... s’il te plait ! »
San me poser de questions, je dirige le bout de ma queue vers son anus, et je ne me rends pas compte qu’avec toute sa mouille, ma queue rentre tout entière d’un coup d’un seul dans son cul... Ma mère pousse un cri, elle se raidit, je sens ses jambes trembler. Quand je regarderai la cassette plu tard, je vis que des jets de mouille sortaient de sa chatte.
Elle était complètement affalée sur moi, ma queue enfoncée dans son cul, sa tête en arrière sur mon épaule cherchant sa respiration !! Je décidais donc de la faire glisser sur le côté afin de me dégager, j’ai pu la mettre de côté mais... de la voir ainsi inerte, ses seins tombant... ma queue encore dans son cul… Je me suis mis à la limer de plus belle, des gémissements se faisaient entendre de nouveau, elle glissa sa main gauche entre ses jambes, je sentais que je venais mais je ne pouvais décemment pas éjaculer dans ma mère !
Je me suis donc retiré et me suis mis à me branler énergiquement... Ma mère se leva d’un bond en répétant en boucle :
« Donne tout, donne tout, donne tout.. » comme une possédée.
Elle s’agenouilla devant moi sur le canapé pour être à ma hauteur, mit sa main sur la mienne pour accélérer mon mouvement, la bouche et les yeux grands ouverts, fixant l’arrivé de mon sperme, qui ne c’est d’ailleurs pas fait attendre. Je n’avais jamais vu (encore aujourd’hui) un regard de salope comme celui de ma mère à ce moment-là...
La première giclée atterrit directement au fond de sa gorge, et la seconde sur son œil, elle eu mal, je pense mais trop excité, je n’avais jamais autant éjaculé auparavant, autant au niveau de la quantité que de la consistance, et du coup, je ne la laissais pas reculer, lui ramenant sa tête vers ma queue. Continuant à me branler avec frénésie, je pensais que je n’allais jamais arrêter, des paquets de sperme avait rempli son visage et ses cheveux (raide grâce à ses brushing quotidiens), on aurait dit une enfant apeurée à chacune de mes giclées.
J’étais épuisé, ma mère peinait à ouvrir un œil, elle se leva, le sperme gouttait de son menton pour finir sur ses gros seins, je la voyais nue et debout, et je pensais :
« Qu’est ce qu’elle est belle….é
J’ai attendu cinq à dix minutes seul, nu dans le salon, mais elle n’est jamais revenue, j’ai du revoir la cassette quelques jours plus tard pour me rendre compte que j’avais baisé ma mère.
A suivre...
- Commentaires textes : Écrire
La lycéenne perverse
Nouvelle écrite à 4 mains. Merci à Bertrand.
Astrid est une jeune lycéenne, adepte des pratiques sexuelles quelles qu’elles soient. Elle aime le sexe, et entend en profiter pleinement ! Ce jour-là, elle quitte son studio, pour se rendre au lycée. Elle est dans un état second… Elle venait de voir sa garce de voisine, une belle femme de plus de 40 ans, se faire sauvagement baiser par deux jeunes mâles en rut, âgés d’à peine 20 ans… Elle était fébrile, et très excitée, en y pensant à nouveau.
Après quelques minutes de marche, elle voyait le bâtiment se profiler au loin, quand une petite voix la héla, provenant d’une ruelle perpendiculaire :
« Attends-moi, comme çà, nous serons deux à être en retard » fit Sylvie, sa meilleure amie, qui se dépêchait de traverser la rue pour la rejoindre. Elle avait la même passion qu’Astrid : le sexe sous toutes ses formes, sans limites.
« Tu n’es pas revenue après la récré ? », poursuivit la jeune fille.
« Euh, non. Je suis restée chez le proviseur, et ensuite j’ai passé un moment avec Anne, la secrétaire. » répondit Astrid
« Tu sais que c’est une sacrée salope celle-là ? Pire que nous ! » continua Sylvie.
« Comment ça, une salope ? Vas-y, raconte », encouragea Astrid.
« Il parait qu’il y a des trous dans les murs des toilettes, situé derrière son bureau et que certains profs ou élèves viennent mettre leurs queues pour se les faire sucer sans être vus… Et c’est elle qui suce, bien sur ! » sourirait la jeune étudiante.
« Ce matin, je l’ai vue se faire défoncer par le gardien, en levrette sur son bureau. Il parait que tu le connais. Moi, il me répugne. » continua Astrid
« Le gardien ? Je te jure qu’il a de quoi t’intéresser. C’est un gros vicieux. Mais qu’est-ce qu’il me soulage bien quand je vais lui rendre une petite visite ! » répondit Sylvie.
Et elle reprit : « Et puis je ne suis pas la seule, il a aménagé la cave de la loge en une espèce de pièce à plaisirs. On y rencontre plein de monde, tous les vicieux de la ville connaissent la cave de Pierre !
-Il faudrait que je m’y rende un de ces jours… » relança Astrid, de plus en plus ravie d’avoir croisé sa camarade. Après avoir vu sa voisine se faire troncher comme une truie, elle mourrait d’envie de se faire baiser à fond.
En arrivant au lycée, elle vit Anne, la secrétaire du Proviseur, se diriger vers la loge d’un pas assuré, toujours impeccablement vêtue.
Astrid la suivit des yeux, et se leva à son tour pour lui emboîter le pas dés que celle-ci entrerait dans le pavillon du gardien.
Alors que la lycéenne se rapprochait lentement, elle vit également son professeur de mathématiques, Monsieur Robert y pénétrer, suivi par deux de ses élèves, Lila et Tom
Astrid s’interrogea sur la conduite à tenir : « Après tout, je ne suis pas invitée » pensa-t-elle tout haut.
Elle s’apprêtait à passer son chemin lorsqu’elle aperçu, de l’autre coté de la grille, deux jeunes hommes en costume qui se présentaient également au domicile du concierge, pour y accéder sans plus de formalité.
Le proviseur ne tarda pas à se montrer, entrant prestement dans la loge.
Elle faisait le compte, déjà 7 personnes se trouvaient à l’intérieur. Sans doute prévenus de la présence d’Anne, les « loups » se rassemblaient.
La lycéenne décida d’attendre la sortie générale pour se mêler à la foule des élèves et bifurquer opportunément vers le repère du gardien.
Astrid continuait à surveiller l’entrée du lycée, quand elle vit également son professeur d’anglais, « la vielle aigrie » se présenter à la grille, et rejoindre le groupe, sans aucun doute déjà installé au salon très particulier. Elle avait changé de tenue et paraissait moins coincée.
Enfin, la sonnerie marquant la fin des cours retentit. Quelques instants plus tard, une nuée d’élèves se rua en direction de la porte de sortie.
La lycéenne en profita pour se mêler à cette foule compacte et bifurquer discrètement.
Astrid retrouva l’étroit vestibule, puis poussa la porte donnant sur la cuisine, certaine de n’y trouver personne, tous devant se trouver au sous sol.
Elle ne se trompait pas. Sans distinguer les propos, elle entendait rire et parler de l’autre coté de la porte.
Poussée par la curiosité, elle décida d’explorer le logement de Pierre, et emprunta le couloir sombre, contigu de l’accès à la cave.
Pas un bruit ne venait troubler la tranquillité du logement. Astrid poussa une première porte, c’était la salle de bain. Elle la referma aussitôt, voulant gagner rapidement la chambre du gardien, absolument certaine d’y trouver de quoi rassasier sa curiosité et ses envies lubriques.
Quelques instants plus tard, elle pénétrait dans l’ « Antre » recherchée.
La pénombre ne permettait pas de détailler son ameublement. Cependant, elle pouvait aisément deviner la présence d’un vaste lit en fer forgé orné de quatre boules, sans doute en laiton à chaque coin, celle d’un large miroir au plafond, et d’une imposante armoire au fonds de la pièce. Avec précaution, elle poursuivit sa quête.
Elle gagnait le vestibule, lorsque la porte s’ouvrit d’un coup.
Pierre se tenait en face d’elle, toujours vêtu de son jean, auquel il avait ajouté un polo noir.
« Que faites vous là, mademoiselle Belgarde ? » questionna le concierge.
« Vous ne savez pas qu’il est interdit de pénétrer sans autorisation chez les gens ? Vous n’êtes pas bien élevée, comme beaucoup de vos camarades de classe ! » s’exclama-t-il.
« Pardonnez-moi, fit Astrid un peu inquiète, mais j’ai aperçu la secrétaire de Monsieur le Proviseur entrer ici, et comme je voulais la voir…
-Et vous ne l’avez pas trouvée… » répondit Pierre, amusé.
« Euh, non Monsieur, j’ai du me tromper tout à l’heure, dans la cour » répondit Astrid, embarrassée.
« Suivez-moi, je vais vous mener à elle. Mais peut être sera-t-elle gênée pour répondre à vos questions. » conclu Pierre en empoignant Astrid par le bras, sans lui laisser l’opportunité de refuser de le suivre.
Il traversa la cuisine et ouvrit la porte de la cave.
« Après vous mademoiselle, cela fait bien longtemps que je vous attendais ici, en fait ! »
Une fois la porte ouverte, Astrid fut plongée dans un univers sonore qu’elle appréciait pleinement, ambiance faite de gémissements de plaisirs, de petits cris, de propos parfois grossiers, d’encouragements, d’insultes murmurées…
« Mais, où m’emmenez vous ? » s’affola la lycéenne, faisant mine de ne pas comprendre, simulant la peur
« Vous le savez très bien… » répondit le gardien, en lui passant les mains sur les fesses avant qu’elle ne commence à descendre.
Astrid fit mine de résister. Pierre la poussa alors davantage, presque à la faire tomber à la renverse
« Descend, espèce de pétasse ! » lui glissa-t-il dans l’oreille en se penchant vers elle, non sans continuer à lui masser sans retenue les fesses.
« Je sais que cela va te plaire. Comme je te l’ai dit, tes copines font moins les effarouchées et elles ne le regrettent pas ! »
Instinctivement, Astrid, qui sentait le souffle chaud de Pierre sur sa joue, passa la main derrière elle et rencontra la bosse formée par le sexe du gardien sous son jean, l’enveloppant sans équivoque de ses doigts pour bien la masser.
« Hummm… il est gros… » soupira-t-elle sans tourner la tête.
« Tu veux le goûter maintenant ? Rien que pour toi ? » demanda le concierge.
« Ou, là, dans cet escalier » répondit Astrid qui, à reculons, remontait les quelques marches descendues pour laisser passer son hôte, afin qu’il puisse être derrière elle, à la bonne hauteur lorsqu’elle se retournerait.
La porte de la cave encore ouverte, elle balança son sac dans la cuisine avant de remonter sa jupe sur les hanches. Elle se mit à quatre pattes dans l’escalier, les mains posées sur le seuil de la cuisine. Elle écarta bien les cuisses, à genoux, deux marches plus bas, pour inviter le concierge à la prendre comme ça, en levrette, bien cambrée. Il n’avait plus qu’à se mettre debout derrière elle, un peu plus bas, pour se soulager.
De voir cette belle paire de fesses, rondes, épanouies, simplement séparées par la fine dentelle du string blanc que portait la lycéenne, fit monter le taux d’adrénaline du concierge. Depuis le temps qu’il rêvait de s’occuper du cul de cette petite salope, sans doute le plus beau de l’établissement… Il n’allait certainement pas le rater !
Alors qu’il baissait fiévreusement le zip de son jean, il ne put s’empêcher de la fesser de l’autre main, la faisant claquer sur les chairs souples de la jeune femme.
« Encore… ! Vas y, frappe moi mon salaud. Tu en meurs d’envie ! Occupe-toi de mes fesses, elles en ont besoin, elles aiment quand un homme comme toi les malaxe, les pétrit de ses mains. Je suis une vilaine fille, je rentre comme ça chez les gens… Frappe-moi… Punis-moi ! » fit Astrid, toujours sans se retourner, souriante, goutant pleinement la provocation. Elle imaginait sans peine l’effet produit par ses encouragements sur le mental du concierge, qu’elle savait être dominateur.
La main de Pierre s’abattit une nouvelle fois sur les fesses de la lycéenne, plus fortement, les faisant remuer à sa guise.
« C’est bon, Ca claque bien, c’est bon ça, hein que c’est bon ? Sale petite garce ! » lança le concierge, dont le jean était maintenant sur les chevilles, le slip baissé et la queue longue et souple pendante devant lui.
« Occupe-toi de mon cul, je sais que tu en as une grosse. On me l’a dit. Remplis-moi la chatte, vite… Ca coule déjà entre mes cuisses. » continuait Astrid très excitée, le visage tournée vers l’arrière, se passant la langue sur la lèvre supérieure.
Le concierge n’y tenait plus. De ses doigts, il écarta violement la dentelle, faisant craquer le tissu, et présenta sa verge devant la chatte d’Astrid.
De son gland à peine décalotté, tenant sa verge de l’autre main, il caressait les lèvres frémissantes de la jeune femme, l’une, puis l’autre, effleurant son calice duveteux. La lycéenne senti la queue remonter lentement dans sa raie, puis s’arrêter un court instant sur son petit trou.
Pierre se délectait de cette caresse, toujours fasciné par l’épaisseur de son gland et l’étroitesse initiale de chaque petit trou qu’il forçait ensuite violemment, avec un plaisir sadique.
Il prit les fesses de sa jeune partenaire, à pleines mains, pour les presser contre sa verge et se décalotter davantage, certain que la jeune salope qu’il tenait aimait le sentir gros et brûlant.
La lycéenne aimait qu’un homme fasse bien coulisser sa queue entre ses fesses avant de la prendre, cela l’excitait.
Le gland du gardien se présenta devant sa vulve échauffée, et Astrid sentit une légère pression.
« Enfonce-le dans ma chatte… Oui, comme ça !!! » cria la jeune lycéenne lorsque le pieu la pénétra d’un coup, l’ouvrant en deux comme elle l’espérait depuis le début de l’après midi, pour satisfaire ses envies.
Pierre la tenait maintenant par les épaules, la tirant en arrière pour mieux la remplir. Malgré la taille de son pénis, il le sentait comme aspiré par sa jeune partenaire.
Astrid se sentait possédée par le membre épais et puissant de son amant. Il grossissait encore en elle, tant la chaleur de son vagin semblait l’exciter. Elle adorait cette sensation.
Le gardien se pencha en avant sur le dos de la jeune femme pour lui remplir la bouche de ses doigts. Astrid salivant, les lui lécha, les aspirant du mieux qu’elle put.
« Serais-tu une bonne suceuse aussi ? » lui chuchota-t-il à l’oreille.
Les mains de Pierre glissèrent sous elle, à la recherche de ses gros seins encore comprimés par son bustier de lin. Les doigts agiles du concierge défirent rapidement les trois boutons, libérant ses deux belles mamelles. Il emprisonna sans retenue les globes, tout en commençant son va et vient entre ses cuisses.
« Elle est bonne ta bite, bien grosse comme je les aime, remplis-moi bien… » continuait Astrid, heureuse d’avoir ce sexe pour elle seule, goûtant chaque secousse avec délectation.
« Vas-y… Vas-y… Ramone-moi bien, encore plus fort. Ne te retiens pas, défonce-moi ! » encourageait la lycéenne, bien accrochée au seuil de l’escalier.
Elle recevait chaque coup de queue comme un soulagement, même si le diamètre du membre l’écartelait à lui faire mal.
Le concierge abandonna les seins durs d’Astrid pour se redresser. Debout derrière elle, il lui attrapa fermement les hanches.
« Tu aimes ça hein, tu aimes ça ! Qu’est ce que vous avez toutes, à être folle de ma bite ? » murmurait le gardien en accélérant le rythme, enserrant de plus en plus fort la taille de sa jeune partenaire.
Il lui passa la main sous le gilet, lui caressa le dos en sueur, descendit lentement des omoplates pour atteindre sa chute de reins, ses doigts glissant aussitôt sur ses fesses épanouies. Il cracha dans la raie pour voir glisser lentement la salive jusqu'à sa queue enfouie, imaginant les sensations procurées à sa jeune soumise quand sa bave allait glisser sur son petit trou.
Pierre ressorti son membre raidit, satisfait de voir Astrid en redemander.
« T’arrêtes pas là, salaud !!! Encore, reprends-moi, m’abandonne pas comme ça… » supplia la lycéenne. Elle se passait fiévreusement la main entre les cuisses pour attraper le sexe de l’homme qu’elle sentait à quelques centimètres de ses doigts.
Pierre la regardait faire, reculant suffisamment pour ne rien perdre de ce spectacle. Il entendait le gargouillis de la mouille, lorsque pour se satisfaire, elle s’enfonçait les doigts au fond de son vagin pour le remplacer.
Il descendit quelques marches et se mit à son tour à quatre pattes, les mains posées entre les genoux écartés d’Astrid, le visage à la hauteur de sa croupe.
Le gardien ouvrait la bouche, soufflant de l’air chaud contre le vagin luisant, de bas en haut, de haut en bas, et sortait par instant sa langue pour lui agacer les muqueuses rougies de plaisir.
« Oui... Oui… bouffe-moi, broutes-moi ma chatte de salope, encore… t’arrêtes pas de faire ça. Lèche-là encore » supplia Astrid, tendant un bras derrière elle, en se contorsionnant pour tenter de plaquer le visage du gardien contre sa chatte, entre ses fesses !
« C’est trop bon…. !!! Viens me bouffer le cul !!! » criait-elle à l’attention du concierge, sentant sa langue lui lécher une lèvre, puis l’autre, s’introduire, lui pincer délicatement son intimité entre les dents, tirer dessus comme pour les allonger tout en les mastiquant délicatement, puis lui gober la chatte pour la goutter.
Pierre, la langue sortie, avait le visage collé aux fesses de la jeune fille. La lycéenne se déhanchait de plaisir sous les caresses, feulant comme une bête en quête de jouissance, lorsqu’elle sentait le nez de son partenaire effleurer son petit trou, et sa langue lui écarter la chatte.
Il abandonna la vulve liquéfiée pour, de sa langue agile, remonter lentement lui titiller l’anus, prenant bien soin, au passage, de lécher abondamment la raie profonde de sa partenaire.
Il saliva beaucoup sur le petit orifice avant d’y introduire le bout de son organe et l’entrouvrir davantage. Ses mains étaient crispées sur les fesses rougies de la jeune femme, écartées au maximum pour l’occasion.
Astrid, folle de cuni anal, grognait véritablement de plaisir, soupirait de bonheur et encourageait son amant pour qu’il la fasse jouir, comme ça, comme la truie qu’elle assumait d’être en ces moments-là !
Pierre savait par expérience qu’il lui faudrait bientôt abandonner cette jeune femelle au bord de la jouissance. Elle serait alors prête à faire n’importe quoi pour se satisfaire, pour le plus grand plaisir de ses convives. Cette femelle en rut allait être la surprise du chef, pour ses invités, toujours affamés de sexe de plus en plus extrême.
Après un dernier coup de langue appliqué, il se détacha lentement de la jeune femme, toujours offerte, les fesses relevées, les cuisses écartées.
Debout derrière elle, le sexe long et pendant, il la fessa une nouvelle fois et l’apostropha.
« Redresse-toi salope, j’en ai fini avec toi ! »
« Non, non… pourquoi ? Mon cul ne te plaît pas ? J’ai trop envie… » suppliait Astrid qui se cambrait encore comme pour appeler l’imposante verge de Pierre. Elle se redressa sur ses genoux, pour lui ouvrir grand ses fesses de ses deux mains, en tentant une nouvelle fois de se frotter contre le membre imposant. Il recula pour l’éviter. Il remballa son gros mandrin dans son slip. Puis il se débarrassa de son jean et de son polo, les laissant tomber sur les marches.
En slip, sa grosse queue moulée par le tissu, il attrapa rudement Astrid par les cheveux pour la forcer à se mettre debout, tout en lui glissant l’autre main dans l’entrecuisse saillant.
« Passe devant… descend jusqu’en bas… » ordonna-t-il à la lycéenne obéissante. Un instant il l’arrêta devant lui pour descendre le zip de sa jupe de lin, toute froissée.
Elle tomba sur les marches, tandis qu’Astrid, simplement vêtue de son string et de son haut déboutonné, les seins libres et ballotant à l’air, descendait les dernières marches menant au salon particulier.
« Tu veux de la bite ? Tu veux être traitée comme une grosse chienne ? Eh bien, tu vas être servie… »
La suite très bientôt, du moins, si vous le souhaitez... j'attends vos suggestions...
Une soirée très enrichissante - 3ème partie
♥ Chapitre VII : Rien n'est fini ♥
À mon réveil le lendemain, il me faut quelques instants pour me remémorer la situation et l'endroit où je me trouve. La nuit passée me reviens en mémoire et mon corps ressent encore les effets des plaisirs vécus. J'ai envie de prendre une douche mais je ne sais pas où est la salle de bain et si j'en ai le droit. La porte s'ouvre. M. Serge entre portant un plateau avec café, thé, lait et tartines.
« Bonjour Mademoiselle K. bien dormi ?
- Oui Monsieur, très bien, merci. Quelle heure est-il ?
- Presque dix heures et demie.
- Déjà ? Je vais devoir vous laisser Monsieur, Monsieur Marc doit m'attendre. Je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité. Et puis j'ai des choses à faire.
- K., je vais être franc. Il n'est pas question que tu partes. Je sais que tu n'es pas du tout la soumise de Marc.
- Pardon ? Mais si je vous assure…
- Le mensonge est un vilain défaut, K. Tout ceci était parfaitement préparé. Je vais t'expliquer. En fait, les cinquante trois mille euros correspondent à la somme que ton ami me devait. N'ayant pas la somme pour me rembourser, il m'a proposé de le faire d'une autre manière. Je ne sais pas pourquoi il a pensé à toi, enfin maintenant je le sais », dit-il en souriant.
« Mais un jour il m'a conduit devant chez toi. Quand je t'ai vue sortir, j'ai accepté son mode de remboursement.
- L'enfoiré !!!! Je vais le tuer
- Eh oui, K. les hommes sont comme ça.
- Mais ne me dites pas que toute la cérémonie d'hier soir était bidon ?
- Ah non, du moins pour ce qui était des autres. Disons que pour toi l'arrangement était déjà passé. Mais tu te doutes bien que pour cinquante trois mille euros, la nuit que nous avons passé ne suffira pas.
- Et si je ne veux pas ?
- Penses-tu réellement avoir le choix, jeune femme ? Vois-tu ta robe dans la pièce ? Ne te souviens tu pas que tu es venue dans la voiture de ton ami ? Sais-tu où se trouve cette maison ? Et surtout n'as tu pas remarqué à quoi est relié ton collier ? »
Je réalise soudain qu'il a raison sur tous les points et me rends compte qu'effectivement le collier est relié à une chaine dont le dernier anneau coulisse dans un réseau de barres fixé dans le plafond. Je suis prise au piège. Ce salopard de Marc m'a bien roulée dans la farine.
« Thé ou café ? »
Le ton neutre et presque amoureux de Monsieur Serge me désarçonne, et je réponds presque machinalement :
« Un thé merci.
- Mais ne t'inquiète pas K. je ne te ferai aucun mal. Ce n'est pas mon genre. Même si tu es attachée, je ne t'obligerai à rien de dégradant. Je souhaite juste que nous nous amusions ensemble.
- Oui enfin, je crois que je n'ai pas trop le choix non plus.
- Ce n'est pas faux effectivement. Des tartines ? Beurre ? Confiture ?
- Non, merci Monsieur, juste un thé.
- Je te conseille tout de même de manger quelque chose, tu risques d'avoir besoin d'énergie pendant ces quelques jours.
- Quelques jours ? fis-je, interloquée. Comment ça quelques jours ? Vous allez me garder combien de temps ?
- Eh bien en fait, autant qu'il me plaira. »
Après m'avoir servi du thé et beurré deux tartines, il m'observe déjeuner.
« Quelle sublime créature, vraiment. Je suis vraiment honoré de t'avoir dans cette maison. Cet écrin ne sera jamais à la mesure du joyau que tu es.
- N'avez vous pas l'impression d'en faire un peu trop tout de même ? Vous n'avez pas vraiment besoin de me flatter pour obtenir ce que vous voulez puisque je ne n'ai pas vraiment le choix.
- Détrompe-toi, jeune fille, il n'est pas dans mes habitudes de manquer de respect aux femmes. En dehors d'un lit, s'entend. Bien au contraire.
- Pardon. Je ne voulais pas être désagréable mais comprenez que je sois légèrement agacée de la situation dans laquelle je me retrouve.
- J'entends bien. Mais je t'avoue que ça ne me concerne pas. Tu règleras ça avec Marc.
- Bon, puisque je n'ai pas le choix, j'accepte donc de rester et de vous servir, mais attention, rien de dégradant. Maintenant, ce collier et cette chaine sont ils vraiment nécessaires ?
- Hummm, oui, question de folklore, dit il en souriant. Puisque tu viens d'accepter de rester, après tout tu deviens ma propriété, je fais donc comme bon me semble et il me plait de te voir ainsi enchaînée. Rassures toi, le réseau te permettra de te déplacer sans contrainte dans toute la maison. Il se lève. La salle de bain est derrière ce panneau, prends une douche et rejoins moi en bas dans un quart d'heure. »
Il se dirige vers la porte.
« Au fait, Mademoiselle K., si tu m'avais dit que tu voulais partir, je t'aurais reconduite chez toi. Maintenant il est trop tard... bonne douche. »
Je reste un instant interdite sur ce lit. Sonnée qu'il m'ait dit ça en sortant. Mais je ne peux m'empêcher d'en sourire.
« Le salaud !!! L'enfoiré !!! L'adorable enfoiré !!!! Ah je règle une dette. Ils ont manigancé ça dans mon dos. Je dois servir de compensation... eh bien soit ! Quitte à servir, autant que j'y prenne du plaisir. Il veut une chienne il va l'avoir. »
Je me dirige sous la douche et après une bonne demie heure de caresses sous l'eau chaude, me voilà prête à rejoindre mon hôte. J'enfile ma paire de talons, noue mes cheveux en un chignon bien tiré et, seulement revêtue de mon collier, je prends une grande inspiration avant d'ouvrir la porte de la chambre. Je traverse le couloir pour arriver à l'escalier. Encore une petite pause pour prendre du courage et me voici descendant l'escalier, drapée de toute la dignité qu'il me reste.
Ayant entendu le bruit de mes talons dans le couloir, Monsieur Serge m'attend au pied de l'escalier.
« Enfin la voici. Tu es vraiment divine mademoiselle K. ! Quelle apparition, » me dit-il en me tendant la main.
Je la saisis.
« Merci Monsieur, ce doit être ce magnifique collier qui me met en valeur.
- Et en plus elle a de l'humour, j'adore. Belle et drôle, décidément, mademoiselle K. vous êtes pleine de surprise.
- Vous n'imaginez pas, monsieur. Quel est donc le programme que vous m'avez concocté ?
- Ne sois pas si impatiente, jeune femme, tu gâcherais presque mon plaisir. Surtout que pour le moment rien n'est vraiment prévu
- Pardon, c'est que j'aime savoir ce qui m'attend.
- Il est onze heures, nous déjeunons à douze heures trente. Nous avons donc une heure et demie à tuer. Laisse-moi réfléchir. Tu vas danser pour moi. Suis-moi, je vais te montrer une salle très sympathique. »
Il me précède et ouvre une porte sous l'escalier que je n'avais même pas devinée. Nous descendons quelques marches et entrons dans une salle voûtée à la décoration baroque. Contre un mur, un aquarium éclaire la pièce d'une opalescente lumière. À côté un terrarium renferme visiblement deux ou trois reptiles. Quelques causeuses sont disposées en cercles, autour d'une petite estrade. Un imposant fauteuil se dresse face à moi dans le cercle des causeuses. Les accoudoirs, l'assise et le dossier sont recouverts de velours carmin, les parties boisées de feuille d'or.
« Héritage du passé, me dit Monsieur. Serge. Raspoutine y siégeait, disait-on.
- Heureuse de le savoir. Et je suppose que vous aussi n'est ce pas. Quel est donc cet endroit ?
- Ma cave privée. Où seules quelques personnes sont autorisées à venir. Une telle pièce ne serait pas bien vue si elle était à la vue de tous. J'ai une réputation à tenir tout de même.
- Je comprends, moi même je ne peux me permettre certaines folies en public.
- Allez, installe-toi sur l'estrade. Il s'assied sur son trône. Je veux que tu danse pour moi.
- Avez-vous de la musique ?
- Bien sûr. »
S'élève alors une musique suave, sensuelle qui effectivement me donne envie d’onduler mon corps nu, toujours enchaîné par cette laisse reliée au savant réseau de tringles suspendues au plafond. La situation je dois bien l'avouer commence à me plaire. Je n'avais jamais osé jouer les gogo-danseuses alors qu'on me l'avais proposé plusieurs fois.
Après tout, voilà une bonne occasion de m'y essayer devant un public des plus restreints. Oh bien sûr il n'était arrivé de danser nue pour un ou deux de mes ex mais juste pour rigoler et les exciter avant une belle chevauchée, mais ça n'avait rien à voir. Cet homme, même s'il a pu profaner mon corps toute la nuit, n'est qu'un inconnu qui, bien que j'ai décidé de rester, m'impose ce que bon lui semble.
J'entame donc une danse sensuelle, sans le quitter des yeux. Ondulant le bassin, mes mains jouent sur mes seins, caressent mon ventre. Mes doigts courent sur ma peau, sur mes lèvres, mon cou. Je m'agenouille en simulant un rapport avec un homme invisible que je chevauche, caressant mes seins, mon autre main entre mes cuisses. Je m'abandonne littéralement. Il semble apprécier le spectacle que je lui offre. Je me couche ensuite sur le dos et cambrée au maximum, j'ondule, me trémousse.
J'aime ce que je suis en train de faire et j'en éprouve un grand plaisir si bien que je n'ai pas vu Monsieur Serge quitter son siège. Je sens alors sur ma peau quelque chose de froid qui bien que légèrement gluant ne me semble pas désagréable. Que se passe-t-il ? J'ouvre les yeux et sursaute en voyant à mes côtés une forme longue d'un mètre cinquante, qui ondule. Le marbré noir et marron de sa peau me fait penser qu'il s'agit d'un python.
« Je crois que Boris, mon python, a très envie de danser avec toi. J'espère qu'il ne te fait pas peur.
- Euh... non, j'ai juste été surprise de sa présence. Je ne vous ai pas entendu bouger.
- Alors prends-le et danses avec lui. »
Je me saisis de l'animal non sans une certaine appréhension. Mais ça n'est pas désagréable, soyeux même. Maladroitement je le mets sur mes épaules et reprends ma petite danse debout. Même si je ne suis pas rassurée, ce contact m'électrise petit à petit. L'animal s'agrippe, sa queue s'enroule autour de mon bras tandis que je tiens sa tête dans ma main. Je commence à jouer délicatement avec comme je le ferais d'un boa de plûmes. Je n'ai qu'une crainte, c'est qu'il décide de faire de moi son repas et m'étrangle. Mais le serpent semble être plutôt docile et habitué à être manipulé. Sa queue desserre mon bras et se met à pendre sur ma poitrine. Contre toute attente, la sensation sur mon sein provoque une réaction inattendue. Je sens mon téton poindre ostensiblement à la caresse de la peau du serpent. Je décide d'explorer plus avant cette sensation nouvelle.
Effectivement, au contact de cet animal, mon sein semble se gorger de plaisir. La chair de poule me rend encore plus sensible au toucher soyeux de sa peau. Je m'agenouille, retire le serpent de mon cou et me couche sur l'estrade pour ensuite poser l'animal sur mon corps. Son ventre caresse le mien de ses légères ondulations.
Mon corps chauffe à se contact. Sa tête posée entre mes seins, son autre extrémité se retrouve entre mes cuisses ouvertes. Les méandres de l'animal, son poids, la caresse de sa queue sur mon sexe me procure un plaisir que je n'aurais pu soupçonner. La bête remonte doucement sur mon corps, mais j'essaie de le maintenir sur mon ventre. Si bien que très vite son corps se trouve lové autour d'un de mes seins. Son mouvement le fait le presser.
La douceur de cette caresse m'amène inexorablement à la jouissance. Je sens le reste de son corps glisser sur mes lèvres, achevant de me mener à l'orgasme. Mon spectateur jubile de me voir me caresser avec l'animal. L'orgasme passé, je reste un instant allongée, interdite et légèrement honteuse de ce qui vient de se passer. Je n'ose croiser le regard de Monsieur Serge alors qu'il récupère Boris pour le remettre dans son terrarium.
« Eh bien Mademoiselle K. tu dépasses toutes mes espérances. J'ai eu raison d'accepter la proposition de Marc.
- Pardon, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis laissée aller. Mais il n'est pas dans mes habitudes de faire ça avec des animaux et ça n'est qu'un accident.
- Rassure-toi tu n'es pas zoophile. Ça n'a rien à voir. Moi non plus du reste. Chacun ses pratiques même si celle ci ne fait pas partie des miennes. Mais j'ai pris énormément de plaisir à te voir jouer avec Boris. C'était très sensuel. Allons déjeuner. »
Il me demande de passer devant lui pour sortir de la pièce. Ses mains se posent sur mes fesses nues en montant les quelques marches qui nous permettent de retrouver le hall d'entrer. Il ne manque pas d'ailleurs de passer un doigt entre mes cuisses pour en éprouver l'humidité résiduelle. Au point où j'en suis, je ne suis plus à quelques intrusions près.
Nous nous installons à table, l'un en face de l'autre. La table en verre lui permet d'avoir une vue imprenable sur mon intimité. Il me demande de garder les cuisses pour « jouir à sa guise de ce divin spectacle''. Je ne vois aucun inconvénient à cela. Nous déjeunons en discutant de choses et d'autres. Et sa conversation s'avère d'un intérêt étonnant. Cet homme que je prenais pour un vieux pervers dégueulasse se montre être un hôte attentif et d'une grande culture. Pendant plus de deux heures nous discutons politique, art, histoire sans à un moment dériver sur le sexe. J'en arrive même à en oublier ma condition du jour, ma nudité et ce collier.
Nous échangeons avec humour et intelligence. Au bout d'un moment, il me demande de remonter dans ma chambre et de me reposer en vue de la soirée qui m'attend. À ma question de savoir ce qui est prévu, il élude en me disant que c'est une surprise. Je prends congé, et remonte l'escalier. Je sens son regard sur mon corps alors que je gravis les marches. Je tourne subrepticement la tête et le vois m'admirer, tête penchée sur le côté, un sourire aux lèvres. Je ne peux m'empêcher de sourire en disparaissant de sa vue au coin du couloir.
Dans la chambre, je m'allonge sur le lit et repense à ce que j'ai fait ce matin. Je ne comprends pas ce qui m'a pris avec cet animal et me sens mal à l'aise. Mais très vite, le plaisir de ce contact me revient et je me caresse doucement, allongée sur ce lit jusqu'à l'orgasme. Je m'endors repue de plaisir.
A suivre…
- Commentaires textes : Écrire
J'ai offert ma femme pour un gangbang.
Voici l’histoire qui vient d’arriver à notre couple en cette semaine de vacances scolaires.
Nous sommes un couple marié depuis dix ans avec trois enfants, Marjorie est une belle brune, bien ronde de quarante ans, avec une très opulente poitrine Moi, j’ai juste un an de plus. Physiquement nous sommes tous deux ordinaires… Notre sexualité est bien classique, même si je fantasme souvent sur des partouzes ou des gang bang. Mais je pense toujours que mon honnête épouse ne voudra pas…
Nous venons de nous faire livrer notre nouvelle maison, et pour fêter cet événement, nous avons profité de l’absence de nos enfants, en vacances chez leur grand-mère, pour nous organiser un diner au restaurant.
Après le repas, et dans l’euphorie de ce qui nous arrive, nous décidons d’aller en boîte pour nous y amuser, chose que nous n’avons jamais fait. Nous nous rendons dans une discothèque pas loin de chez nous, que nous connaissions de vue. Nous prenons deux entrées avec deux consommations, alcoolisées, évidemment.
Nous nous sommes offerts deux autres verres chacun, et je dois dire que ma femme était plutôt extravertie à partir de ce moment, notamment sur la piste de danse. Elle s’éclatait plutôt pas mal, pendant que moi, je préférais regarder en buvant mon dernier verre. A vrai dire, elle avait comme on dit, un coup dans l’aile !
C’est vers minuit, que j’ai été abordé par un type d’environ trente ans de type maghrébin qui se pointe à notre table pendant que ma femme dansait toujours. Avec une bouteille de whiskies à la main, il me dit, pour résumer, qu’avec deux de ces copains présents à une autre table, il nous a remarqué, nous a trouvé plutôt sympathique, ma femme assurant un spectacle qu’ils trouvaient soi disant sympa etc. Et qu’ils souhaitent nous offrir à boire.
Moi, naïf, je trouve ça plutôt cool, et accepte l’invitation. Nous nous retrouvons à cinq à la table à boire la fameuse bouteille, et chose à laquelle je n’ai pas fait attention, surtout ma femme et moi buvions. Plus tard dans la soirée, la voici franchement ivre, chose que je n’avais jamais vue car elle sait d’ordinaire se contrôler, et moi, j’étais bien parti aussi.
A un moment, ma femme était partie danser accompagnée par les deux copains, celui qui se faisait appeler Hocine me fit remarquer que ma femme s’éclatait pas mal avec ces copains et qu’elle avait l’air très libre. Devant mes yeux, je voyais maintenant ma femme se faire draguer ouvertement par les deux autres, presque se faire peloter sans qu’elle ne trouve rien à redire.
J’ai été à la fois choqué par son comportement, et excité. Je pense que l’alcool aidant, c’est l’excitation qui a pris le dessus. Et Hocine me dit alors, en résumé toujours :
« Elle semble être franchement chaude et doit s’éclater souvent !
- Non, ce n’était pas le genre de la maison !
- Je parie tout ce que je veux que tu te trompes.
- Mais non, continuais-je d’affirmer. Jamais de la vie !
- T’as de la merde dans les yeux ! Tu sais, je connais un pote qui peut te prouver que tu ne connais pas ta femme, et qu’elle est capable d’être une vraie salope ! »
Je n’étais plus en état d’être choqué par des termes aussi crus sur ma femme de la part d’un type que je ne connaissais pas, et lui dis « Alors là, je demande à voir, si elle est d’accord, bien sur ! »
Et là, la soirée bascule, il passe un coup de fil et me demande de les suivre en voiture, sachant que je n’ai rien obtenu de ma femme de concret tellement elle était dans son état second. Elle était toute contente de voir qu’on s’intéressait à elle dans une soirée, en plus de l’alcool qui faisait son effet euphorisant.
Nous nous arrêtons sur le parking d’un foyer de travailleurs, et entrons dans une chambre avec son lit, sa table, sa chaise, sa télé. C’est tout ce dont je me rappelle du décor. Un black, locataire des lieux semble-t-il, nous sort une bouteille pour trinquer à l’amitié et je ne sais plus quoi d’autre.
Youssouf commence alors carrément à lui peloter les seins comme si je n’étais pas là. D’ailleurs, j’ai bien remarqué qu’à ce moment, je n’existais plus pour le groupe des quatre !
Youssouf, le black, et les trois maghrébins rencontrés à la discothèque sont là maintenant, à vouloir s’occuper de ma femme…. Hocine me dira juste à ce moment précis : « Tu vas voir ce que je t’ai dis… »
Et là les choses se sont accélérés, Youssouf a vigoureusement retiré le pull de Marjorie assise sur le bord du lit, puis tout aussi furieusement le tee-shirt, laissant apparaître sa grosse poitrine dans son soutien-gorge rouge, un peu juste pour elle. Il donna un ordre que je ne compris pas à l’un des trois autres, qui quitta la chambre. Puis il lui enleva son soutien gorge pour laisser exploser sa poitrine au grand air, sous le regard de tous les hommes présents dans le chambre.
Il la fit se coucher sur le lit, lui enleva ses chaussures, ses chaussettes, puis son pantalon noir. Marjorie se trouvait en quelques instants allongée en slip sur ce lit. Le slip rouge aussi, ne resta pas longtemps à cacher son sexe. Youssouf, qui menait tout depuis notre arrivée, lui enleva vivement. Quant à moi, je n’intervenais pas, incapable de bouger par ce que j’étais en train de vivre.
Marjorie était maintenant nue sur ce lit, essayant de se cacher les seins, la chatte offerte à tous. Mais son état de lui permettait de ne rien faire…Youssouf baissa son pantalon et son slip, laissant apparaître une belle queue déjà en érection. Il sauta littéralement sur le lit, puis écarta les jambes de ma femme pour la pénétrer sans aucun préliminaire d’aucune sorte, à sec comme on pourrait dire. J’étais positionné du côté du pied du lit, et ne voyais donc pas le détail de la scène, mais j’ai entendu le cri étouffé de Marjorie qui venait de se faire pénétrer. Cri de douleur ou de plaisir ? Je ne le saurais jamais !
Je ne sais pas combien de temps il a limé ma femme, mais pendant tout ce temps, elle gémissait, se tordait sous l’imposante masse. Il a finit par éjaculer en elle, et en se relevant, tout en remettant sa queue dans son pantalon, il dit à Hocine : « Elle est prête, vas-y. Tu verras, elle est bonne ! »
Je n’avais encore rien vu de ce qui allait se passer. Ce fut au tour de Hocine de se taper ma femme. Je suis certain d’avoir entendu à ce moment le bruit que fait une chatte bien mouillée quant on la lime. Est-ce qu’elle prenait son pied, ou était-ce le foutre de Youssouf ???
Toujours est-il que cette pensée me fit bander aussi sec.
Hocine lui remplit aussi la chatte. Puis se fut au tour de son copain d’en faire autant dans les mêmes conditions, sauf que lui était plus rude que les autres, il arrivait par moments à lui malaxer les seins sans douceur, en lui parlant crument…
A ce moment, la porte s’est ouverte, tous sont sortis sauf Hocine qui me demande de rester. Et lorsque j’ai vu entrer un mec que je ne n’avais pas encore vu, mon érection a doublé, car je venais de comprendre ce qui allait se passer.
Ma femme allait être livrée aux assauts d’un certain nombre de locataires du foyer. En fait, ils ont été neuf, en plus de Youssouf, de Hocine et de son copain. Le quatrième avait depuis longtemps disparu, certainement pour gérer la file de ces travailleurs en manque de sexe féminin.
Pendant ce défilé d’hommes en rut, j’ai tellement bandé, tout en étant super excité par ce que je voyais, que je me suis éjaculé dessus sans avoir besoin de me toucher. Je n’avais jamais connu ça avant.
J’avais offert ma femme a un tas de mecs, elle devenait la vedette involontaire d’un gang bang inoubliable… Et ca m’excitait comme jamais avant.
Certains mecs ont tenté de se faire sucer, mais la seule chose que pouvais faire Marjorie avec sa bouche, c’était gémir. Ils se sont tous vidés en elle ou sur elle. Elle était couverte de sperme gluant… Et je n’avais qu’une envie, la baiser à fond, couverte de ces souillures de mâles !
Une fois le groupe passé, le copain de Hocine lui est retombé dessus avec la même violence dans les gestes et la façon de la baiser. Cette fois, il s’est vidé sur son visage.
Ils m’ont ensuite très vite expédié dehors, avec ma femme à moitié habillée, et m’ont demandé de ne jamais rien dire à personne.
Quant à Marjorie, elle était tellement ivre, que je n’ai eu aucun mal à lui faire croire qu’elle s ‘était tapée volontairement les trois mecs de la boîte, à sa grande honte.
Je ne vous dis pas le lendemain l’état de sa chatte ! J’avais vaguement honte, mais je ne souhaitais qu’une chose, lui faire revivre ça en plein état de conscience, pour la faire jouir comme jamais…
Alors, Mesdames, Mesdemoiselles, faites attention à ne jamais trop boire quand vous êtes dans un lieu public, on ne sait jamais ce qu’il va vous arriver, avec ou contre votre volonté…
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Quel merveille ce récit!!! Je n'ai jamais partousé, mais je m'y suis cru. Tellement excité que j'aurais volontiers joué tous les rôles même celui du vieux?