Les Mémoires très Libertines de Sophie
Me prostituer, la suite...
Sandrine fait ses premières passes sur le trottoir de Marseille.
La voiture remonta une longue rue en sens unique et s'arrêta devant un immeuble ancien.
« C'est là que tu vas travailler. Descends Sandie. »
Je descendis de la voiture avec Catie. Alain et Roger nous laissaient seules pour aller jouer dans un club. Je suivis Catie dans le hall. L'immeuble était vétuste, un ancien hôtel borgne transformé en hôtel de passe depuis bien des années. Le couloir était sombre, un escalier en bois aux marches usées montait au premier étage et menait à un petit palier. Sur la droite et la gauche un couloir, là aussi faiblement éclairé. Devant, sur le pallier une porte était ouverte. De la lumière émanait de la pièce, ainsi que le son d'un poste de télévision. Un homme était assis sur une chaise et regardait l'écran.
« Salut Gérard, je te présente Sandie, celle dont je t'ai parlée. Elle n'est là que pour cette nuit. En principe…. »
Gérard était un grand type brun athlétique d'une trentaine d'années. Il me regarda, me dévisagea et me fit un petit signe de la tête en murmurant certainement des paroles de bienvenues que je ne comprenais pas. Je lui rendis son bonjour timidement.
« Tu fais attention à elle, elle est nouvelle dans le métier. »
Puis, s'adressant à moi.
« C'est ici que tu amènes le client. Il paye la chambre et Gérard te donne une serviette et une capote. Mais tu as aussi des capotes dans la table de nuit. C'est surtout pour leur faire comprendre que la capote est obligatoire. Tu vas dans cette chambre qui est là, à côté. Et au moindre problème tu hurles pour le prévenir.
- Je serais la, immédiatement, si tu as le moindre problème avec un client.
- Oui, tu n'as rien à craindre il viendra de suite. »
Je les écoutai avec attention. Catie me demanda de la suivre dans la chambre où je devais officier. Petite et sombre, je regardai le lit recouvert d'un couvre-lit rouge. Il y avait une table de nuit une chaise et un fauteuil usé, un paravent rouge sensé cacher un lavabo et un bidet blanc hors d'âge. C'était sombre sordide, les rideaux et les volets étaient fermés. Une lampe avec un petit abat-jour rouge au-dessus du lit contre la cloison livrait une lumière jaune et triste. Combien de débats tarifier depuis un demi-siècle sur ce lit, dans cette chambre ?
« Regarde, t'as un flacon de gel antiseptique sur le lavabo. Tu t'en sers hein ! Certains en ont besoin, en plus ça mousse et cela sent bon. Tu appuies dessus sur la pompe, tu connais ?
- Oui, je vois.
- Tu penses aussi à bien remettre en place le couvre-lit après chaque passe, et à ramasser la serviette et les capotes, que rien ne traine. Faut que la chambre soit correcte pour le suivant, tu comprends ? Enlève ton manteau je vais te prêter un blouson, viens. »
Je suivis Catie dans une autre chambre plus loin dans le couloir. Sa propre chambre certainement, car mieux aménagée avec une armoire, un semblant de décoration qui la rendait un peu moins lugubre que la précédente mais toute aussi sordide.
« C'est celui d'Andrea, elle n'est plus là. Mets-le, car avec ce que tu portes tu aurais froid. »
Je posai mon manteau qu'elle prit et rangea sur un cintre. Elle me tendit un blouson en latex de couleur rouge vif. Je le passai et me regardai dans le miroir de l'armoire. Avec la mini-jupe en latex noire les bottes, j'avais déjà l'air d'une pute mais là !… Le doute n'était plus permis. Je me regardai et me mordis les lèvres. Je me trouvai sexy, me demandai si beaucoup d'hommes voudront monter avec cette petite pute. Ma respiration s'accéléra, j'eus la frousse, un moment de panique. Catie me rappela à la réalité.
« Allez Sandie, le tapin n'attend pas.
- Je suis morte de trouille. Catie j'ai peur. J'ai honte.
- Rassure-toi, cela se passera bien, on est toutes passées par là. Tu t'es très bien débrouillée avec le routier ! Ici, c'est pareil. Evites de t'envoyer en l'air avec chaque micheton, car tu ne tiendras pas la nuit. Elle se mit à rire doucement. »
Je la suivis dans le couloir. Nous repassâmes devant Gérard qui c'était rassis devant son programme. Elle lui lança un sourire en passant. Mon cœur se mit à battre plus vite.
Nous redescendîmes les escaliers. Dans le couloir du bas je croisai une jeune femme brune avec un homme, eux montaient. Elle me regarda et nous échangeâmes un petit bonjour et un sourire qui se voulait complice.
« C'est Sabrina, elle tapine un peu plus bas avec une autre. »
Je la suivis du regard dans les escaliers ou elle disparut avec son client. La porte puis la rue, Catie se mit sur le mur de droite et me demanda de venir à ses côtés. Il ne faisait pas encore froid, mais le temps était à la pluie. La rue était en sens-unique, très longue, on voyait les voitures venir d'assez loin. Le stationnement ce faisait de l'autre côté de la rue. Il y avait quelques personnes à pied. Certains passants ou passantes changeaient, préférant le trottoir d'en face.
Catie me dit que ceux qui restaient sur notre trottoir, étaient ceux qui étaient le plus susceptibles d'être intéressés par nos services, des clients des michetons. Parmi les hommes bien sûr, je souris. Les voitures qui ralentissaient aussi, celles qui n'avaient qu'un passager masculin. Elle m'expliqua que certains avaient besoin de repasser plusieurs fois devant nous.
Trop timides, ils n'osaient pas nous aborder du premier coup. Il y avait aussi le risque des flics, d'une vérification d'identité. Je devais vite rentrer dans le couloir lorsqu'elle me le dirait. Je n'étais plus trop rassurée.
***
Je regardai les voitures qui montaient doucement du bas de la rue. Certains conducteurs, les hommes seuls le plus souvent, nous regardaient. Lorsqu'une voiture ralentissait avant d'arriver à notre hauteur, les regards étaient plus insistants. Ils nous dévisageaient un instant, et si nous semblions leur convenir, leur regard alors descendait sur nos corps pour de nouveau se poser sur notre visage.
D'autres, la plupart, passaient sans ralentir et sans même nous regarder, sans nous voir. Pour eux, nous devions être, je ne sais pas…. Par rapport à eux, Je me sentais honteuse. Il y avait quelque chose de malsain mais aussi de terriblement pervers, d'érotique, à mes yeux. J'étais devenue une marchandise. Une marchandise que l'on regarde, dont on juge la fraicheur la qualité. J'étais devenue un objet sexuel que l'on pouvait louer. Je vendais mon corps.
Des passants, des hommes seuls passaient devant nous aussi. Là aussi ils nous regardaient de bas en haut, nous souriaient et passaient leur chemin.
« Combien tu prends ? »
La question prononcée avec un fort accent magrébin me surprit presque. Je me sentis rougir. Il s'adressait à moi. Un homme basané la quarantaine ou plus, le visage brun, une petite moustache noire les sourcils épais et des cheveux noirs, habillé d'un costume gris. Il venait de s'arrêter devant moi et me regardait. Je regardai Catie, elle détourna le regard me laissant me débrouiller.
« C'est trente euros la fellation, je veux dire la pipe et cent l'amour, cent euros pour l'amour. »
Je sus que j'étais rouge de confusion. Je prononçai ses quelques mots presque à voix basse. Je n'osai pas le regarder. Je portai mon regard sur la rue, sur les voitures qui montaient.
« Tu te mets toute nue ? »
Je mordis mes lèvres, mes jambes tremblèrent. J'eus du mal à répondre. Je le regardai.
« Oui bien sûr, pour cent euros je me déshabille entièrement.
- C'est bon… viens. »
J'allais m'évanouir encore une fois. Je regardai Catie et nous échangeâmes un bref regard. Aucune aide morale à attendre d'elle. Je me vis comme dans un film. Je passai devant elle et pris le couloir, le type me suivit sans un mot. Au pied de l'escalier, Sabrina, elle redescendait avec son client. De nouveau nos regards se croisèrent. Je pris l'escalier, j'imaginai le regard du type derrière moi sur mon corps. Je fermai les yeux.
Je lui laissai payer la chambre sans prononcer un mot. Gérard me tendit une petite serviette blanche ainsi qu'un préservatif enveloppé. Je n'osai pas croiser son regard. J'eus si honte à cet instant, devant lui. J'ouvrai la porte de la chambre pour laisser entrer mon tout premier client. Je la refermai en ne faisant qu'un tour de clé comme me l'avait indiqué Catie. La porte pouvait toujours s'ouvrir de l'extérieur mais le client lui, ne le savait pas. J'étais perdue, je regardai le type qui enleva sa veste. Je dus réagir. Je déposai la serviette sur le lavabo ainsi que le préservatif. En chemise, il me tendit un billet de cent euros.
« Tiens, déshabille-toi complètement. »
Je pris le billet et le glissai dans ma sacoche que je posai sur le fauteuil. Il me regarda tout en déboutonnant sa chemise. Je me sentis rougir. Une agréable boule d'angoisses et de désirs prenait naissance au creux de mon ventre. Pour moi, la situation était aussi gênante qu'excitante. J'enlevai mon blouson et le posa sur le dossier du fauteuil. Il ne me quitta pas des yeux, tout en se déshabillant.
Je m'assis sur le lit et entrepris d'enlever mes bottes une à une, après en avoir descendu les fermetures éclairs. Le type regarda mes cuisses, ma poitrine. Il baissa son pantalon après avoir quitté ses chaussures. Je me levai et lui tournai le dos pour descendre ma mini-jupe. Je la posai sur le fauteuil, et fis descendre les bretelles du body. Je dégageai les bras du body et le baissas sur mes hanches, mes cuisses. Je le déposai sur la jupe et, me retourna. Il était nu à l'exception de ses chaussettes. Il m'attendait devant le lavabo, un habitué de ce genre de relation. Cela me rassura, je n'aurai pas su lui demander. Je m'avançai.
« Mets-toi toute nue, enlève aussi tes bas. »
Je me sentais rougir. Gênée, je murmurai :
« Excusez-moi, oui Monsieur. »
Je m'exécutai devant lui en restant debout. Je posai mes bas sur mes vêtements. Nue, entièrement je m'avançai contre le lavabo. Je dus le laver, lui faire sa toilette. Catie m'avait expliquée. Je n'avais jamais fait cela auparavant. Ce ne fut pas évident, surtout avec un inconnu. J‘étais confuse. Je pris son sexe dans la main après avoir ouvert et réglé la température de l'eau. Il s'avança au-dessus du lavabo et passa son bras sur mes épaules. Il me regarda dans le miroir. Son sexe décalotté était de couleur plus brune que son corps dans ma main, il ne bandait pas. Je le mouillai et le savonnai de l'autre main. J'essayai de m'appliquer, de faire comme Catie m'avait dit. Il caressa mes cheveux mes épaules, sa main descendit sur mon dos, mes hanches. De temps en temps, nos regards se croisaient dans le miroir. Je n'osai pas me regarder sans une certaine gêne.
La situation fut inédite pour moi. Je étais plus vraiment sure de moi, de la gêne plus que de la honte, le désir étais présent au creux du ventre. Sa main caressa mes fesses. Je me dépêchai de le rincer en le pressent doucement. Je pris la serviette pour l'essuyer, nous nous firent face. Ses mains étant posées sur mes hanches, l'une d'elles est venue sur mon bas ventre. Il me regarda, je fini de l'essuyer.
Sa caresse devenait de plus en plus précise et douce. J'eu un mouvement de recul, ma respiration me trahissait. Je voulu me reprendre, il me poussa contre le lavabo qui était contre mes fesses. Je le tenais par les hanches, le repoussai mollement. Il commença à bander, je tournai la tête pour chercher le préservatif. Il se fit plus insistant, sa caresse plus profonde. Son autre main se posa sur mon sein.
« Non, attendez s'il vous plait, non s'il vous plait… pas ici, non il faut mettre un préservatif. Non lâchez moi, ou je crie. »
Il me lâcha, je repris ma respiration. Il me regardait toujours et bandait vraiment maintenant. Le temps d'ouvrir le préservatif, je repris un peu confiance. Je pris son sexe pour lui poser le préservatif. Je n'ai pas sus, avait-il compris que la situation m'avait échappée. Ses caresses ne m'avaient pas laissées indifférente, puis j'ai eu un peu peur. Je me dirigeai vers le lit sans qu'il ne cherche à me retenir. J'enlevai très vite le couvre lit que je jetai sur le fauteuil. Un drap blanc, douteux était dessous.
« T'es jolie ? Française ? Allonge-toi écartes bien les jambes. Cela fait longtemps que tu fais cela ? T'es jeune, t'as quel âge ? »
Je m'allongeai au milieu du lit. Les ressorts du sommier ce mirent a grincer.
« Je suis Française oui, je viens d'avoir 26 ans. Je travaille là que depuis quelque temps.
- Ecarte mieux tes cuisses. Pourquoi ? »
Il s'agenouilla d'abord à mes côtés puis entre mes jambes ouvertes, le sexe tendu. J'essayai de ne pas trop paraitre émotionnée, d'être naturelle.
« J'ai vraiment besoin d'argent. Je ne trouve pas d'autre travail. Mais, c'est trop difficile de faire ça. Je ne veux pas faire cela longtemps. Je cherche autre chose. »
Il me regarda. Il se mit au-dessus de moi, en partie allongé sur mon ventre. Son corps était chaud. Il prit et présenta son sexe contre moi. Je posai mes mains sur ses épaules, ferma les yeux. Je senti qu'il était sur le point de me pénétrer. Je me tendis et ouvris la bouche pour plus d'air alors que mes chairs cédèrent sous la poussée de son membre dans mon ventre. J'ouvrai les yeux je me serrai contre lui. Je détournai mon regard du sien.
« J't'ai fait mal ? T'es sensible toi.
- Non, non ça vas… ce n'est pas ça. Enfin si un peu, oui un peu mais ce n'est pas grave. Doucement, s'il vous plait, faites-le doucement…. Oui doucement. »
Moi qui avais attendu, qui avais fantasmé sur ces instants, sur ce moment précis depuis des jours. J'étais sur le point de jouir d'avoir un nouvel orgasme. Il bougea lentement. Je fermai les yeux, essayai de repousser ce désir qui je sentais monter. Sa tête au-dessus de la mienne, il me regarda.
« Comment t'appelles-tu ?
- Sandrine,… Sandie. Je m'appelle Sandie. »
Il posa sa main sur mon sein gauche. Le pressa, la légère douleur fut agréable. Ses mouvements devinrent plus rapides, beaucoup plus rapides et forts. Les grincements cadencés du sommier devaient parvenir jusqu'aux oreilles de Gérard. Ma respiration s'accéléra, je le lâchai, écartai les bras sur le lit, agrippai les bords du matelas pour me tenir. Je refermai les yeux, contractai mon visage en une grimace de douleurs. Je ne pus retenir quelques gémissements.
Ma respiration qui se faisait plus forte et plus rapide trahissait mon état. Chaque coup de rein me rapprochait de l'orgasme que je sentis grandir. Le type pressa mes seins encore plus fort, chercha ma bouche de la sienne. Je détournai la tête à droite à gauche afin d'éviter ses lèvres sur les miennes. Je ne voulais pas qu'il m'embrasse.
« Laisse toi embrasser Sandie, les autres filles acceptent bien. »
Je sentis que l'orgasme était très proche. Il me tint la tête d'une main. Sa bouche se posa sur la mienne, j'abandonnai la lutte. Sa langue avait un gout de cigarette froide. Je serai très fort le bord du matelas. Il me donna deux à trois coups de rein encore plus forts plus appuyés, se raidi et éjacula en poussant un gémissement. Presque simultanément, l'orgasme me délivrait d'une tension devenue trop forte.
Il me fallut quelque secondes pour reprendre mes esprits. J'avais réussi de me retenir et de repousser l'orgasme presque depuis le début. Je me sentais bien, détendue soulagée. Je le repoussai gentiment. Il se releva en me regardant d'une drôle de façon. Sa verge toujours recouverte du préservatif rose contenait une quantité importante de sperme. Je me levai et le laissa se débrouiller seul. J'allai sur le bidet me rafraichir pour le client suivant.
Chacun d'entre nous se rhabilla de son côté. Il me regarda refaire le lit, remettre le couvre lit. J'ouvris la porte, il me suivit et patienta lorsque je remis la clé et la serviette à Gérard. Nous descendîmes les escaliers ensemble, il me quitta sans même se retourner.
***
A suivre...
- Commentaires textes : Écrire
La croisière d'Audrey
François et Valérie, la soixantaine, invitent Arnaud et Audrey, leurs jeunes voisins, âgés de vingt-six ans, à faire une promenade en bateau. C'est Domi, le frère ainé de François, propriétaire de l'embarcation qui tient les commandes. Il est dix-huit heures quand ils quittent le port. Les hommes se défient à la pêche, pendant que les femmes font un brin de bronzette avant que la nuit ne tombe.
Arrive l'heure du diner, Arnaud donne des signes de malaises. La mer, il ne supporte apparemment pas. Valérie lui donne un traitement adapté à ce genre de situation, et lui propose d'aller s'allonger dans sa cabine.
« Te dérange pas petite, dit-elle à Audrey, je m'en occupe, j'ai l'habitude. »
Le repas terminé, Domi, ayant prévu de naviguer de nuit, décide d'aller s'allonger une petite heure. Pendant ce temps, Audrey met la main à la pâte, en profite pour débarrasser la table, elle discute avec François, mais coupe court quand la conversation se dirige sur des questions plus embarrassantes du genre :
« Fait-elle l'amour tous les jours... avale-t-elle quand elle taille des pipes... aime-t-elle se faire bouffer la chatte... doigter le clitoris... »
Questions qu'Audrey veut éviter... Elle les trouve assez indécentes, de la part d’un inconnu total !
Vers vingt-trois heures, elle décide d'aller se coucher, et rejoint sa cabine. Elle voit un trait de lumière provenant de celle de Valérie. Sans bruit, elle pousse la porte, et là, elle voit Arnaud, allongé sur la couchette, entièrement nu.
Audrey pensait que Valérie était en train de soigner le mal de mer de son époux, mais pas de ranimer un point précis de son anatomie. Sa bite, dressée au plafond, est totalement décalottée. Les doigts de la sexagénaire font des mouvements circulaires autour du gland, insistent sur le frein avec le pouce. Elle entend même les râles, certainement de plaisir, de son mari, bien qu'à moitié shooté.
« A ces hommes...tous pareils, vous pouvez pas résister quand une femme vous branle le fifre… »
Sans un mot, elle retourne à sa cabine, et se dit :
« Après tout, pourquoi pas, si ça peut pimenter notre vie sexuelle… Mai il me le paiera, d’une façon ou d’une autre !»
Entre ce qu'elle vient de voir et les propos tenus par François, une douce chaleur envahit son ventre. Soudain, les machines se mettent en route, le bateau s'ébranle. Elle enfile une courte nuisette, sans rien dessous, et monte sur le pont. Dans la cabine, faiblement éclairée, Domi est à la commande. Il est simplement vêtu d'un short.
« Alors, dit-elle, bien reposé ?
- Ca va, ça va, répond-il, et vous pas encore couchée.
- Il fait beaucoup trop chaud, et puis j'ai pas sommeil. Dites moi, ça doit pas être facile de piloter un truc pareil.
- Rien de bien compliqué, répond Domi. Surtout aujourd'hui, on a une mer d'huile. Vous voulez essayer ?
- Vous croyez que je pourrai ? Vous savez, je n’ai jamais fait ça. »
Sans qu'Audrey s'en aperçoive, Domi met le pilotage automatique. L'embarcation navigue seule au fil de l'eau. Doucement, il pose ses mains sur celles d'Audrey, et fait semblant de la diriger.
« Voilà, dit-il, tenez bien les commandes. »
Calmement, il se recule, quitte son short, et revient se coller à elle, la prend par les hanches. Audrey prend ça pour un acte amical, pour la rassurer. Elle ne s’est pas aperçue qu’il est nu….
« Si j'ai bien compris, dit-elle, c'est le volant qui actionne le gouvernail, à moins qu'il y en ait pas. »
Entre temps, Domi s'est rapproché, au point que sa bite en érection frôle la nuisette
« Mais bien sur qu'il y a un gouvernail... donnez votre main. »
Elle la lui tend dans son dos, et lui y glisse sa bite bien raide. Audrey sursaute en sentant le calibre en érection dans sa main, mes ne se débat pas trop quand Domi fait passer la nuisette par dessus sa tête.
« Après tout, avec ce que mon mari est en train de faire en bas avec la vieille, j’aurais tort de me gêner, » pense-t-elle en un éclair.
Les mains du navigateur caressent le corps entièrement nue de la jeune femme, le ventre, les seins.
« Que faites-vous, bégaie-t-elle, déconnez pas, il y a à peine trois mois que je suis mariée… Et puis rendez-vous compte... s'il y a des rochers.... vous êtes fou... si on nous voit... »
Audrey est prise d’agréables frissons.
« Vous êtes tellement belle, murmure Domi, et puis, tout le monde dort à cette heure-ci. »
Audrey capitule. Elle tend sa croupe vers la queue qui glisse entre ses cuisses légèrement écartées. Audrey envoie une main entre ses jambes pour saisir l'objet du désir. Elle est en contact direct avec le gland décalotté, puis va plus loin.
« Oh mon dieu...quelle bite...salaud...et cette paire de couilles… Allez-y... prenez moi comme une chienne... en levrette... »
Audrey se recule sur la pointe des pieds, en écartant ses jambes, cambre sa croupe, et invite Domi à la pénétrer sans attendre. Elle sent les couilles pleines cogner contre ses fesses.
« Ah... c'est bon de prendre un bon coup de manche... tu me le mettras dans le cul après... salaud... aaaaah... »
Elle glisse une main entre ses cuisses, teste la dureté des bourses, puis excite son clitoris sorti de sa peau protectrice.
« Tu te caresses le bouton salope, râle Domi, tu vas voir quand je vais te le bouffer... »
Une légère houle se lève, ce qui a pour effet de faire onduler leur corps. Audrey remercie le ciel pour cet évènement météorologique.
« Enfoiré, gémit-elle, tu ne m’avais pas dit qu'il y avait des anguilles dans le coin...
- Pourquoi... tu sens la mienne frétiller dans ta chatte, tu aimes, hein ? Petite pute... tu sais qu'elle aime se faufiler dans tous les trous...
- Tu me feras voir salaud... oh oui... je... jouis... oui... »
Elle hurle tant qu’elle peut, personne n’entend rien, vu la force du vent et le bruit des vagues. Elle crie comme jamais avant dans sa vie sexuelle. Son plaisir est intense et multiple…
La mer devient de plus en plus mauvaise, le temps tourne à l'orage. Un coup de vent expédie la nuisette d'Audrey à l'eau. Domi jette l'ancre ; et lui ordonne de rentrer dans la cabine principale que les marins appellent « le carré ». Il en ferme les portes.
« Il vaut mieux arrêter, dit-il, c'est plus prudent. Prends des couvertures dans le placard, et ouvre la couchette. Je vais rester là cette nuit, toi, descend à ta cabine. »
Dominique s’assure que tout est bien étanche, et finit par se retourner. Il constate qu’Audrey s’est allongée sur la banquette du carré, sous la couverture. Juste sa tête en dépasse.
« Mais...que fais-tu ?
- J’attends l'anguille... jubile Audrey. Allez, viens t'amarrer... regarde-toi, ta queue est toute molle... approche que je te la remette à niveau...A moins que tu aies tout juté... »
Piqué au vif, Domi s'approche de la couchette, soulève la couverture. Il plonge sa tête entre les cuisses ouvertes d'Audrey, pendant que celle-ci lui avale la bite.
« Ah ouiiii... J’ai tout juté, tiens salope... pompe-moi le dard... fais voir si tu es capable de me vider les couilles... viens te faire huiler petite garce... »
Audrey a devant elle, les glaouis énormes de Domi, ainsi qu'une vue imprenable sur le petit trou, avec une envie folle de lui introduire un doigt. Elle s'accroche aux fesses musclées du navigateur. Elle est prête de l'étouffement, quand elle sent les premières giclées de sperme. Domi s'en rend compte et soulève son bassin, ce qui permet à Audrey de garder le gland en bouche et de le nettoyer du bout des lèvres. Dans le même temps, Domi lèche la chatte noyée de mouille et de cyprine, suite au terrible orgasme d'Audrey.
« Oh mon dieu, soupire-t-elle, quelle réserve, il t'en reste encore, tu sais que j'ai un trou qui n'a pas été lubrifié, j'espère qu'il te reste de l'huile…. »
La sodomie dure un bon quart d'heure. Audrey passe sa main entre ses cuisses, saisit les testicules pleins de foutre, et les presse avec passion.
« Tu m'encules salaud... Tu n’as pas honte… Faire ça à une jeune mariée... sans expérience... je vais dire quoi à mon mari s'il me demande qui m'a appris ça ? Qu'un jour, je me suis faite enculer dans le carré d'un bateau... enfoiré...tu te vides les couilles... vas-y, gratte moi le clito... Oh le con... oui.... oui... »
Elle oublie toute notion de temps, de lieu, et crie de plus en plus fort. D’une main, elle continue de malaxer les couilles remplies, et de l’autre, elle martyrise son clito hyper bandé. Ses orgasmes se succèdent, sans qu’elle sache quand un commence et quand il finit. Jamais elle n’a joui autant… Elle subit les coups de reins violents de son amant du soir, l’encourageant à grands cris.
Toute à son plaisir, elle n’a pas vu la porte du carré s’ouvrir, ni la tête de son mari qui la regarde, effaré. Sans un mot, il finit par refermer la porte, se disant qu’il n’a que ce qu’il mérite... vu comment il a baisé un peu plus tôt avec la femme de Domi…
Mais Domi, lui, a vu le visage décomposé d’Arnaud. Il jubile intérieurement :
« Mhum et un cocu de plus... Et une chienne de plus à mon tableau de chasse… Quelles garces, ces femmes mariées… »
Ragaillardi par ces pensées, il besogne encore plus fort Audrey, et se vide en elle dans un grand ahanement de bucheron. Audrey, elle jouit une dernière fois, en hurlant son plaisir dans le carré qui résonne, malgré la tempête.
Il jouit violement au fond des entrailles de la jeune femme, qui hurle une dernière fois son plaisir inédit… ils retombent tous les deux, comme deux pantins désarticulés et exténués.
L'accouplement est fini. Les deux amants reprennent leurs esprits dans un langoureux baiser, puis, Audrey, sans nuisette, rejoint sa cabine en essayant de passer inaperçue. Elle pénètre dans l’trois espace, et se rend compte, là, qu’elle empeste le sperme et la cyprine...
« Pourvu qu’Arnaud ne sente rien... je vais m’emmitoufler dans le sac de couchage, » pense-t-elle dans un éclair de lucidité.
Mais son mari ne dort pas, il l’a vue rentrer et s’allonger. Il est à la fois dégouté et excité par l’odeur écœurant de sexe qui est entrée avec sa femme. Presque machinalement, il sait sa queue, et commence à se branler, repassant dans sa tête les images de sa femme sodomisée à fond par ce vieux cochon. Il est de plus en plus excité, et ne peut s’empêcher d’avoir de « mauvaise » pensées… Il se lève tant bien que mal, car le bateau bouge beaucoup, avec la tempête. Il s’approche de sa femme, et frappe avec son engin bien dur le visage qui semble endormi…
N’y tenant plus, il force quasiment la bouche de son épouse. Elle ouvre de grands yeux étonnés, mais n’ose pas protester… Docilement, elle ouvre les lèvres, et gobe la bite dressée de son mari. San ménagement, il la baise comme il aurait fait avec sa chatte. Audrey tente de suivre le mouvement, tant bien que mal… Dans un gros soupir, Arnaud lâche sa semence au fond de le gorge de sa jeune femme. Elle avale tout, sans un mot, une larme coule juste de son œil droit…
Toujours ans rien dire, il va se coucher, et lui tourne le dos… le sommeil les prend tous les deux, dans une ambiance lourde et pesante…
Le bateau arrive à quai le lendemain matin. Arnaud a encore le visage décomposé… Audrey ne sait pas si c’est à cause de la tempête, ou à cause de la honte d’avoir trompé sa femme... Ou de l’avoir forcée à son retour dan la couchette… elle ignore encore qu’il a tout vu…
« J'ai prévu une sortie le week-end prochain, ça vous dit ? annonce Domi
- Non merci, très peu pour moi, répond Arnaud.
- Oh mon chéri, intervient Audrey, est-ce que moi je pourrai y aller, s'il te plait ?
- Pas de problème ma chérie, j'ai confiance en nos amis, » repond-t-il, el regard noir de sous-entendus.
Audrey embrasse tout le monde, s'attarde au cou de Domi, et lui murmure à l'oreille.
« Pense à faire le plein d'huile. »
- Commentaires textes : Écrire
Lendemain de mariage
Le lendemain de leur mariage, Charlène, vingt et un ans, et son mari Gilles, vingt trois ans, prennent le petit déjeuner dans leur chambre. Ils se lèvent juste, il est quatorze heures. Charlène est vêtue d'une jupette à carreaux et d'un sweat.
Les festivités se sont déroulées chez Marcel et Denise, oncle et tante de Gilles, âgés de quarante-cinq ans, qui possèdent une grande propriété, isolée ne pleine campagne.
« Dis, chéri, tu ne t’es pas foulé pour ta nuit de noces, fait remarquer Charlène. Un petit coup, je m'attendais à mieux.
- Je sais mon amour, j'étais fatigué, et j'avais trop bu. Ce soir, je me rattraperai, promis. Allez, viens t'asseoir sur mes genoux. Peut être qu'une grosse queue va te rendre visite, plaisante Gilles.
- Que tu es con, répond Charlène en s'asseyant, tu sais bien que tu es l'homme de ma vie !
Gilles glisse une main entre les cuisses de son épouse.
- Oh la, mais tu n'as pas de culotte, et en plus ta chatte est toute mouillée. Vivement ce soir. »
En effet, Gilles doit ramener ses grands-parents chez eux. Trois heures de route aller et retour. Ils se donnent un long baiser.
« Je vais y aller, chérie, je ne veux pas revenir trop tard. Et promets-moi d'être sage.
- Pars tranquille mon amour, et reviens en forme. En partant, pense à descendre le sac à la voiture, » dit Charlène.
Une fois Gilles parti, Charlène décide d'aller prendre une douche. En sortant, elle cherche ses affaires.
« Mon dieu, dit-elle, il a emporté mes habits de rechange ! Ils étaient dans la valise. Je me retrouve sans string, ni soutien-gorge, quel âne. J'espère que ma cousine pourra me dépanner ! »
Charlène quitte la chambre. Elle traverse la cour, et là, sous la treille, elle y retrouve Marcel et Denise. Charlène fait un signe discret à sa tante, et lui explique son souci.
« Ah bon, répond Denise, je vais voir ce que je peux faire. »
Charlène s'avance ensuite pour dire bonjour à Marcel, celui qui est devenu son oncle.
« Bonjour tonton, ça va ?
- Très bien, répond-il, et toi, cette nuit s'est bien passée ?
- Bof, pas terrible, poursuit Charlène. Gilles était fatigué. Mais au fait, ils ont empilé toutes les chaises, on s'assied où ?
- Viens t'asseoir sur mes genoux si tu veux, propose Marcel. Je sais ce que c'est, j'ai eu une fille. »
Charlène sourit intérieurement. Elle a entendu dire que son oncle et sa tante était un couple « libre », adepte du libertinage et du sexe non conventionnel.. D’ailleurs, est-il dans les convenances de demander à une jeune mariée à moitié nue de s’assoir sur ses genoux ??? Enfin, elle s'avance, puis se ravise.
« Mince, mais tu n'as pas de culotte, se souvient-elle. Ben tans pis.
- C'est gentil », dit-elle en s'asseyant sur les genoux de Marcel.
Elle passe un bras affectueux autour du cou de son oncle. Celui-ci pose machinalement une main sur la cuisse de sa nièce, l'autre dans son dos. Il remonte doucement sa main sous le sweat.
Charlène s'agite sur les genoux de son oncle, un peu troublée, tire sur la jupette pour cacher sa petite fente presque visible.
« Mais tu n'as pas de soutien-gorge, remarque-t-il.
- Gilles a emporté tout mes vêtements », bégaie-t-elle, gênée.
Le regard de Marcel se porte alors sur le haut des cuisses de Charlène. C'est vrai qu'il aperçoit presque la chatte, tellement la jupe est courte. Sa main remonte entre les jambes légèrement écartées, frôle fin duvet du pubis. Il la fixe du regard.
« Qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie ? » demande-t-il.
Charlène ferme les yeux, pose sa tête sur l'épaule de son oncle, et lui murmure à l'oreille. Presque sans se rendre compte de la portée de ses paroles, elle lui souffle :
« Caressez moi... s'il vous plait... j'ai envie... »
Surpris mais heureux et excité, Marcel caresse la fente douce, engage deux doigts entre les lèvres intime de sa nièce. Comment refuser une telle offre ? Le vieux cochon qui sommeille en lui se réveille immédiatement.
Il les fait courir de bas en haut, grattant au passage le clitoris, qu'il extrait du capuchon.
Il a le geste sûr des hommes d’expérience.
« Mais tu es toute mouillée ma chérie, constate Marcel.
- Je sais, gémit Charlène. Allez-y, faites moi du bien... Gilles n’a pas assumé cette nuit... Je sais que c’est mal, mais j’ai trop envie ! »
Charlène sait bien qu’elle est une belle garce, de se faire ainsi branler par son oncle, lui aussi marié, alors qu’elle vient de convoler la veille ! Mais son envie de sexe la domine, et elle en veut pour son compte.
Marcel intensifie ses mouvements dans la foufoune de Charlène. Le pouce frictionne toujours le clitoris. La jeune mariée se cambre sous la caresse de plus en plus vicieuse. Elle glousse de plaisir, son souffle s'accélère dans le cou de son oncle.
« Oh putain... Ne vous arrêtez pas tonton, que c'est bon ! Mhum, hum... Je vais jouir ! Allez-y, oui, ouiiiiii.... »
Charlène vide sa cyprine sur les doigts de Marcel, en gémissant de plaisir.
« Tu avais une grosse envie, dit Marcel. C'est vrai que mon neveu n'a pas assuré. Tu veux t'asseoir sur ma queue ?
- Est-ce raisonnable ? souffle Charlène. En même temps, un coup de queue, de qui que soit, n'a jamais tué personne. Et au point où j’en suis, autant faire la totale ! »
Marcel ôte son jogging. Charlène change de position, et se place dos à son oncle. Marcel la saisit par les hanches, et la fait descendre lentement, jusqu'à ce qu'elle s'empale sur sa queue en érection.
« Ha bon sang, quel machin, s'exclame-t-elle. Vous allez me déchirer ! Là, doucement tonton... »
Une minute après, la jeune chatte de Charlène coulisse sur la hampe de Marcel. Elle s'appuie sur la table, et cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Marcel caresse les petits seins pointus devenus très dur. Il est aux anges. Cette fille, si petite entre ses bras qui s'offre à lui. Il la fait monter et descendre sur sa bite à sa guise, la fait se trémousser au rythme de ses va et vient.
« Vous auriez du venir cette nuit, soupire-t-elle, qu'est-ce-que c'est bon de se le faire mettre par une grosse queue ! »
D'un coup, la porte s'ouvre. C'est Denise. Le couple contre nature s'immobilise.
« La porte de Catie est fermée, dit-elle. Il te faudra faire attention de ne pas te baisser. Mais...qu'est-ce-que tu as ma chérie ? Rien de grave j'espère, pourquoi tu ne bouges pas ?
- Avec ce que j'ai dans la chatte, dit Charlène, provocante.
- Quoi ? » reprend Denise, interloquée, en s'avançant de la table.
Denise remarque les mains de son mari sous le sweat de la jeune mariée. Elle s'approche, soulève la jupette.
« Ben dis-donc, tu ne perds pas du temps pour tromper ton mari !
Denise glisse une main entre les cuisses de sa nièce, et lui caresse le clitoris.
- Houa...mais ta petite chatte est toute mouillée, petite vicieuse... Gilles ne t'a pas assez donné cette nuit ? »
Marcel commence à grogner, il s'agite de plus en plus dans la chatte baveuse de sa nièce. Son sexe gonfle, tandis que Charlène le serre dans son fourreau vaginal. Sur, il va jouir.
« Han...han, râle Marcel. Han, han, quelle salope...
- Ha, tante, il est en train de se vider les couilles... Je le sens gicler au fond de ma chatte ! Ha, il n'en fini pas de me remplir, le salaud ! Moi aussi, je viens.... Ca fait deux fois ! Oui...oui...vous m'enculerez après tonton ? S'il vous plait !
- Et moi, je peux participer ? demande Denise.
- Mais bien sur, répond Marcel, déshabille toi. Tu vas voir, on va bien s'amuser avec elle, Hein ma chérie?
- Faites ce que vous voulez, accepte Charlène, mais je veux jouir encore et encore, j’ai trop envie. »
Denise enlève ses vêtements et se retrouve entièrement nue. Elle s'assied sur la table, jambes écartées, face à sa nièce.
Charlène a une vue imprenable sur la chatte en nage de sa tante. A l'aide de ses pouces, elle décalotte le clitoris. Elle se penche en avant, et prend le petit organe à coup de dent.
« Ha la salope ! Si tu savais ce qu'elle me fait Marcel ! Vas-y, mord le ce vilain, s'il te plait, branle moi...Whoua, que c'est bon ! Comme elle me bouffe la cramouille !
- Vous n’avez pas honte ma tante ? Vous faire doigter et sucer par votre nièce ! Et çà, vous aimez ? »
Denise hurle de plaisir, se tord sur la table. Charlène lui a carrément rentré une main dans la chatte, avec une facilité déconcertante.
« Je comprends que vous ayez un gros trou, dit Charlène. A force de prendre des coups de queue par la grosse bite de votre mari ! »
Charlène sort sa main, et libère sa tante. Elle est toujours empalée sur ma bite de son oncle. Elle pousse un « ha » de plaisir quand le calibre se retire. Elle se retourne, embrasse son oncle, et découvre enfin l'objet de tous ses désirs. Pas très long, mais très gros.
Petit à petit, Denise se remet du traitement infligé par sa nièce. Elle se permet même de la mettre intégralement nue.
« Whoua, dit Denise, quel morceau. Petit seins bien ronds, tourne-toi, joli petit cul qui demande qu'à être niqué... Hum...Tu as vu ton oncle comme il est bien monté, ton Gilles est monté comme ça lui aussi ?
- Pas tout à fait, répond Charlène. Je peux m'en servir encore ?
- Mais bien sur, qu'est-ce-que tu en dis Marcel. Si tu l'enculais, la vicieuse ? Peut être que son mari ne le lui fait pas.
- J'aimerai bien qu'elle me taille une pipe avant, propose Marcel. Tu veux bien ma chérie ? Ta tante s'occupera de ta petite chatte. »
Charlène accepte en jubilant. Ils inversent les rôles. C'est maintenant elle qui est allongée sur la table, Denise sur la chaise, et Marcel debout à côté d'elle.
Marcel avance sa queue entièrement décalottée contre les lèvres de Charlène. Celle-ci enroule sa langue autour du gland, et l'engloutit dans sa bouche. D'une main, elle palpe les bourses à nouveau pleines.
« Quelle paire de couilles, arrive-t-elle à dire. Elles ont encore besoin d'être vidées ! »
Denise passe ses bras à la jointure des genoux de sa nièce, et lui soulève les jambes en les écartant. Elle plonge son visage dans la source ruisselante de Charlène.
« Ha, râle Marcel. Regarde comme elle me pompe le nœud... Tu apprends vite, toi. Tu vas tout avaler j'espère...ha...prépare-la Denise, que je l'encule... »
Denise se relève, la bouche barbouillée de mouille. Avec deux doigts, elle lubrifie et dilate le petit trou de Charlène.
Marcel éjacule à grands jets puissant dans la gorge de sa nièce. Celle-ci a un haut le cœur, comme si elle s'étouffait. Elle réussit malgré tout à tout avaler.
Denise maintient toujours les jambes de sa nièce en l'air, jusqu'à ce que Marcel se mette en place. C’est ahurissant. Cet homme vient de jouir, et il bande à nouveau, en quelques minutes !
« Vous avez bien mouillé mon petit trou ? demande Charlène, c'est la première fois qu'on me fait ça. Vous me doigterez la clitoris en même temps ? J'aurai l'impression d'avoir moins mal.
- T'inquiète, la rassure Marcel, je ferai doucement, et je vais bien de gratter le bouton. »
Le gland de Marcel est aux portes du plaisir. Il force délicatement le petit orifice, et la pénètre totalement.
« Haaaa...qu'il est gros ! Il va me déchirer ! Tant pis, allez-y, faites-moi péter la rondelle ! Niquez-moi à fond ! »
Denise ne veut pas rester en rade. Elle s'approche du visage de Charlène, monte un genou sur la table, jambes écartées, jusqu'à ce que sa chatte soit en contact avec la bouche de Charlène.
« Vas-y ma chérie, lèche-moi la moule... Là, ta langue, bien sur mon clito.... Ouais... Petite pute, si ton Gilles savait ça.... »
La queue de Marcel dans le cul de Charlène, le clito de Charlène doigté par son oncle, la chatte de Denise bouffée par Charlène….
Il n'en faut pas plus pour que le trio hurle de plaisir sous la treille. Entre la chatte de sa tante, et la bite énorme de son oncle, Charlène se tord comme ver sur la table. Les derniers soupirs retombés, la partouze s'arrête dans de torrides baisers.
« Bandes d'enfoirés, soupire Charlène ? Ca vous arrive souvent de faire des cochonneries pareilles ?
- Une fois par semaine avec la femme de ménage, répond Denise. Avec son consentement bien sur. Et nôtre jardinier, un beau black monté comme un taureau. Tu verrais ton oncle, comme il se régale de le voir s'amuser avec moi, m'entendre crier de plaisir… Quel salaud ! »
Soudain, on entend une voiture qui fait crisser ses pneus sur le gravier. C'est Gilles qui revient. Il est dix huit heures.
« Vite, rhabillons-nous, dit Denise. Va te rincer à la salle de bains ma chérie, je t'ai préparé une culotte propre.
- Mais, dit Charlène surprise. Je croyais que vous n'en aviez pas trouvé ! Ah, je comprends, maintenant, c'est un coup monté... Il faudra que je revienne pour m'en assurer. »
Le trio se regarde et éclate de rire.
« Alors mon amour, dit Gilles, tu n’es pas trop lasse de m’attendre ?
- Un peu mon chéri.
- Tata, est-ce qu'elle à été sage au moins ? poursuit Gilles
- Parfait, répond Marcel. Très gentille. On s'est bien occupé d'elle.
- Par contre, continue Gilles, j'ai inversé les sacs ce matin. Je t'ai laissé celui des grands parents. Il y a tout leurs médicaments dedans. il faut que je les ramène ce soir. Je coucherai là bas, je rentrerai demain matin, ça ne te dérange pas, ma chérie ?
- Mais pas du tout mon amour, on a toute la vie devant nous.
- Et nous, on aura toute la nuit, » murmure Charlène à l'oreille de Denise.
Gilles mange un morceau, et prend la route. Il est vingt heures. Lentement, le trio se dirige vers la chambre cette fois.
Akiko la japonaise
Depuis quelques années, j’avais remarqué que dans la grande ville voisine, il y avait de plus en plus d’étudiants asiatiques des deux sexes. Lorsque je suis entré à l’université et que, grâce à mon statut de boursier, j’ai bénéficié d’une chambre à la Cité U, j’en ai eu la confirmation. Dans toutes les classes, il y en avait : Chinois, Coréens, Japonais, Indochinois…
Si dans la journée, ces étudiants et étudiantes s’efforcent de parler en français ou en anglais, le soir dans les couloirs, on se serait cru en Extrême-Orient, d’autant que parfois des odeurs de cuisine exotique se répandent elles aussi dans les couloirs.
Il y a quelques semaines, je faisais mon footing autour du plan d’eau qui est situé près du campus. Je profitais de ces belles soirées d’un été indien particulièrement clément cette année pour essayer de garder la forme avant les mois d’hiver. Là, j’ai croisé deux asiatiques que j’avais déjà vues sur le campus et dans les amphis. Nous n’avions pas sympathisé particulièrement, nous contentant de nous saluer brièvement.
Ce soir là, je me suis arrêté à leur hauteur et nous avons bavardé un peu avant de reprendre tous les trois la direction de la cité U. Ce sont deux étudiantes japonaises qui après avoir suivi un cursus d’histoire dans leur pays sont venues en France pour étudier l’histoire de la Seconde Guerre mondiale vue de l’Europe. Elles se prénomment respectivement Chika (sagesse) et Akiko (enfant de l’automne).
Elles sont assez semblables avec leurs longs cheveux noirs et leurs yeux marron foncé, un petit nez légèrement épaté au dessus d’une bouche bien dessinée dans un visage aux pommettes un peu marquées complète leur portrait. Elles ne sont pas très grandes, entre un mètre soixante, et un mètre soixante-cinq, mais elles ont une silhouette longiligne que je me plais à deviner sous leurs vêtements épais.
Nous habitons deux bâtiments de la Cité U qui sont proches l’un de l’autre et lorsque nous nous quittons, je leur dit que si elles veulent bavarder en français, je peux les aider. Je peux aussi les aider en les transportant avec ma voiture sur les différents lieux de mémoire qui peuvent les intéresser pour leurs études.
Ma nuit est peuplée de rêves érotiques où je vois mes deux japonaises se partager mes faveurs, suçant à tour de rôle mon sexe turgescent. Depuis plusieurs années, je fantasmais sur ces jolies fleurs exotiques depuis que j’avais vu un film X avec une actrice franco-vietnamienne. J’imaginais leur douceur et leur savoir-faire érotique… et çà me faisait rêver.
Dimanche dernier, alors que je revenais d’être allé passer le weekend chez mes parents, j’ai rencontré Akiko dans le hall de mon immeuble.
« Je te cherchais !
- Qu’y a-t-il ?
- Nous n’avons pas de cours jeudi, peux tu nous emmener comme tu l’as proposé ?
- Bien sur mais il faut que je vérifie mon emploi du temps. »
Nous sommes montés jusqu’à ma chambre. Effectivement, j’étais libre aussi le jeudi. Je n’avais que deux heures de cours de 8 à 10 heures.
« OK ! Rendez-vous au parking à 10 heures 30 !
- Ça marche ! »
Cette jolie fleur s’exprimait avec un accent chantant légèrement nasillard que je trouvais tout à fait charmant, et je commençais à entrevoir autre chose qu’une simple relation de camaraderie. Quelle n’a pas été ma surprise lorsqu’Akiko s’est allongée sur mon lit en relevant ses bras au dessus de la tête… Dans ce mouvement, elle a bombé le torse, et j’ai vu immédiatement que cette coquine ne portait pas de soutif. Les pointes de ses seins saillaient sous le tissu fin de son sweet-shirt.
En même temps, sa jupe, très courte, est également remontée sur ses jambes dévoilant à peine son petit abricot tout rose dans la fourche de ses cuisses.
C’était une invitation sans équivoque… Je ne suis assis près d’elle sur le lit et je l’ai enlacée.
Nos bouches se sont jointes en un baiser ardent alors que ma main droite partait explorer les dessous de sa jupe. Son petit abricot aux lèvres très charnues était tout lisse mais au dessus de clitoris, il y avait une touffe de poils noirs qu’au toucher je devinai non disciplinée…
Akiko était pressée contre moi qui la serrais doucement dans mes bras. Je sentais ses seins menus mais durs et pointus contre mon torse. En la maintenant contre moi avec un bras passé autour de la taille, j’ai glissé mon autre bras sous son sweet-shirt pour aller cueillir ses tétons et les faire rouler entre mes doigts.
Je ne sais pas ce qu’elle a dit en japonais quand je lui ai prodigué cette caresse mais elle semblait apprécier. Nos baisers étaient de plus en plus chauds et mon sexe était dressé depuis bien longtemps dans mon slip. Akiko s’est défaite de mon étreinte et elle est venue me chevaucher pour être face à moi qui étais assis sur le bord du lit. Elle a mis ses cuisses de part et d’autre de mes hanches pour se frotter contre moi et sentir ma bite qui n’en pouvait plus…
Nous n’avions encore quitté aucun de nos vêtements. Akiko portait encore sa jupe plissée (quarante centimètres de haut au maximum), son léger sweet-shirt et des bottes à talon arrivant sous les genoux. De mon côté, j’vais encore mon tee-shirt, mon pantalon de jogging et mon slip. Nous avons ôté mutuellement nos hauts. Je découvrais la merveilleuse poitrine d’Akiko, menue avec des seins bien ronds et des tétons proéminents. Etaient-ils sortis ainsi par ce que je les avais caressés quelques instants auparavant ?
Je me suis mis à mon aise. En quelques secondes j’étais entièrement nu. Dans le même temps Akiko s’était débarrassée de ses bottes et allongée sur le lit. La jupe troussée autour de la taille, elle me tendait les bras.
« Viens ! Depuis que je suis en France je n’ai plus fait l’amour ! J’ai envie de toi ! »
Comment résister à cette invitation ? Depuis bien longtemps j’ai toujours dans mes affaires une provision de préservatifs. On ne sait jamais sur quelle bonne fortune on va tomber et cela sert parfois pour dépanner des copains…
Je me couvre rapidement et d’une seule poussée lente et progressive, je m’introduis dans le fourreau humide de ma jolie japonaise. Heureusement que je vais doucement : Oulla ! Qu’elle est étroite ! Je n’ai pourtant pas un sexe surdimensionné mais là, je suis serré comme si je baisais une pucelle.
Lorsqu’Akiko est habituée à ma présence au fond de sa chatte, je commence les va-et-vient, tout doucement puis au fur et à mesure que je sens sa jouissance monter, je vais de plus en plus vite dans un mouvement ample en veillant à ne pas sortir de son conin. Là encore elle prononce des mots sans suite dans sa langue ou en anglais où elle exprime son plaisir. Soudain elle pousse un cri strident au moment où son corps se tétanise de jouissance.
Je me suis retenu de jouir car je veux profiter le plus possible de cette fille qui s’est offerte ainsi. Je reste fiché dans sa chatte étroite et chaude et avant de reprendre mes mouvements, je la laisse récupérer un peu en lui disant des mots doux au creux de l’oreille.
Et elle me répond :
« Fais-moi encore l’amour ! Fais-moi jouir comme ça encore une fois ! »
Oh bien sur, je vais recommencer ! Je redresse mon buste pour moins peser sur elle et je reprends mes mouvements alternatifs. Mais là, à chaque fois je sors de sa chatte pour mieux y entrer à nouveau. Elle est tellement humide que c’est très facile de faire coulisser ma bite dans sa chatte, même si elle est étroite. Elle ferme les yeux et ramène ces longs cheveux sur son visage. Je ne vois plus que sa bouche aux lèvres si délicatement dessinées, entrouvertes laissant voir ses dents d’une blancheur absolue.
Bientôt la jouissance nous emporte en même temps et je lance quelques jets de sperme au fond du préservatif et je reste plusieurs minutes ainsi, savourant mon plaisir. Nous nous désunissons et nous nous glissons dans les draps. L’étroitesse du lit fait qu’Akiko se blottit dans mes bras, nos jambes mêlées, pubis contre pubis et nous nous endormons ainsi jusqu’au petit matin.
---====o====---
Depuis cette nuit mémorable, je revois régulièrement Akiko. Nous nous sentons bien ensemble et presque chaque fois, nous faisons l’amour et passons la nuit ensemble. Elle m’a présenté à plusieurs de ses copines asiatiques :
« Mon amant français qui me fait si bien jouir ! »
Elle voudrait faire profiter ses copines de mon sexe ? Et bien, elle se trompe. C’est elle que je préfère… au point que j’ai entrepris d’apprendre sa langue pour aller finir mes études au Japon.
- Commentaires textes : Écrire
Marvin et sa mère - suite et fin
La vie à repris son train-train quotidien, moi la fac, et ma mère son boulot et ses messes. Mais je remarquais que les vendredis soir, ma mère rentrait plus tard que moi, et je la surprenais à foncer dans la salle de bain dès qu’elle arrivait à la maison. Pour en avoir le cœur net, je décidais de la suivre dès le vendredi suivant, mais bon, vélo contre voiture, je ne faisais pas le poids !!
Un vendredi soir, j’étais au campus voir un ami dans sa chambre Universitaire, il était tard, j’enjambe mon vélo et en traversant le campus, je crois reconnaître la voiture de ma mère parquée, je m’approche, et le m’aperçois que c’est bien sa voiture. Elle n’était pas là. M’aurait-elle suivi ? Je ne comprenais rien... Je décidais donc d’attendre sa venue devant la voiture... les seuls passants étaient des hommes de toutes âges qui se rendaient vers le parc du campus de Metz, très réputé pour ses rencontres gays. Je commençais à sérieusement m’inquiéter, et ne sachant pas quoi faire, je décidais de m’aventurer dans le parc au cas où ma mère aurait eu des ennuis à cause de ses « idéologies anti homos ».
Je marchais à côté de mon vélo, prêt à bondir sur ma selle aux moindres problèmes.
Des bruits sourds arrivaient de sous le pont, il faisait trop sombre pour distinguer quoi que ce soit, je n’ai pas honte de dire que j’avais la frousse.
Je m’approchais de plus en plus, et il était toujours impossible de distinguer quoi que ce soit !! Mais les bruits ressemblaient de plus en plus à de petits gémissements… Je suis maintenant sous le pont, mes yeux tout doucement s’habituent au noir, et je guide mon regard vers les sons que j’entends. Là, j’aperçois un très vieux monsieur, le pantalon aux genoux, se faire prendre par derrière par un jeune mec…
Je ne souhaite pas aller plus loin, mais une voix féminine m’arrête, ça venait d’un peu plus haut, sous les autres arcades. Il y a les lampadaires de la route au dessus qui éclairent. Enfin, la visibilité est meilleure, je m’approche tout doucement et je m’arrête net, qu’avait-il fait à ma mère !!
Elle était à genoux, seule à moitié nue, les seins à l’air, couverte de pisse et de sperme, je voulais foncer mais un détail m’a retenu, ses vêtements (du moins ce qui en restait), c’était une très vieille robe qu’elle ne mettait plus, je l’ai même surprise un jour à l’utiliser comme ramasse poussière !! Je décidai de faire demi-tour et de foncer à la maison, elle est rentrée près d’une heure après moi et comme d’habitude, elle a foncé dans la salle de bain.
Et la semaine est passée, le vendredi suivant je décidai de retourner au parc et d’attendre dans un endroit reculé mais où j’aurai une bonne visibilité.
« Bonsoir ! »
J’ai sursauté, un type à côté de moi continua à m’apostropher :
« Ah ah faut pas avoir peur je ne mords pas !! »
Il était noir et grand, et parlait avec un petit accent Africain.
« C’est de plus en plus rare de voir des noirs ici, tu sais, lui répondis-je.
- Oui mais je suis black, mais je ne viens pas pour ce que tu crois !
- Pourquoi alios ? » lui demandais-je en riant.
C’est à ce moment là que je vois ma mère arriver, se placer sous le pont et faire les cent pas.
« Ah je vois tu viens mater la mama salope, me dit il avec son accent. C’est un coin pour nous ici, pas pour elle !!
- Tu la connais ?
- Non, mais j’ai jamais vu de salope comme elle ! Et je viens de là-bas ! Hi, hi hi ! Elle vient ici juste pour se faire baiser ! »
Un homme s’approche de ma mère qui continue à marcher de long en large. Il reste contre le mur, ne bouge pas, il sort sa queue, il a l’air bien monté, vu le long va et vient de sa main, et il est maigre. Je ne pouvais rien distinguer de plus. Ma mère elle, s’approche timidement, deux pas en avant, un pas en arrière, l’homme ne bouge pas, elle s’approche doucement, et arrivée à sa hauteur, elle se met à genoux. Un instant se passe et l’homme urine sur son visage…
« Elle ouvre la bouche ! » me dit mon voisin. Elle adore ça et elle se caresse mais ce qu’elle préfère, c’est sucer !! Comme nous… »
Au même moment je sens sa main me caresser le sexe à travers le pantalon :
« ça fait longtemps que j’ai pas sucé une bonne bite de chez nous, ici elles manquent de saveur... mais la tienne… mmh je suis sur que non !! Et les blancs le savent bien, ils courent après nous pour nous sucer... Et je n’ai pas attendu les blancs pour savoir que les nôtres elles sont bonnes ! »
Tout en me parlant, il avait dégrafé mon pantalon et entré délicatement ses doigts dans l’ouverture de mon caleçon pour y faire sortir ma queue toute molle, il me dit :
« J’adore quand elles grossissent dans ma bouche… »
Et il se mit à genoux et commença à me sucer, je m’étonnai de m’être laissé faire aussi facilement mais je sentais sa langue, grosse et rappeuse, je sentais surtout ma queue se gonfler dans sa bouche, après ma mère, on ne m’avait jamais sucé comme ça…
Oh oui ma mère !... Je regardais de nouveau, toujours le même homme qui se masturbe au dessus de son visage, ma mère attend à genoux, ooh qu’est ce qu’il me suce bien, je me retiens de ne pas jouir en même que l’inconnu de ma mère qui se rhabille et s’en va.
Un autre homme plutôt obèse qui était apparemment un « habitué », sort son pénis et urine sur ma mère à genoux, elle n’a pas l’air surprise et se tourne pour ouvrir grande sa bouche, elle est maintenant pratiquement en face de moi, sa robe pleine de pisse laisse transparaître ses énormes seins.
Je sens que je vais jouir… Heureusement qu’il s’est relevé, j’en avais presque oublié que c’est un mec qui me suçait, je me tourne vers lui et il me sourit. Il tient sa queue dans sa main.
« Elle est grosse hein, me dit il. Regarde ! »
Il prend ma main et la pose sur son sexe, c’est vrai qu’il est gros, le plus impression est la taille de son prépuce. Même en érection, il couvre son sexe et est très gros et sa forme qui n’est pas droite mais qui tend vers le bas comme si son sexe faisait un virage !!
C’est la première fois que j’ai le sexe d’un autre dans les mains.
« vas y branle moi plus fort, » dit-il en soulevant son t-shirt pour se pincer les seins du bout de ses doigts.
Il avait de beaux abdominaux et la peau vraiment très noire. Je lève la tête vers ma mère, et je ne vois plus l’homme obèse mais deux jeunes hommes qui s’embrassent et se caressent pendant que ma mère les suce à tour de rôle.
Elle s’applique et on voit qu’elle aime ça ...
Alors, tout en gardant un œil sur ma mère, je me lance et je me penche doucement vers le sexe de mon nouvel ami, et comme ma mère, je le branle doucement.
Puis je glisse ma bouche tout aussi délicatement, malgré le fait de me dire que ma bouche ne sera jamais assez grande… Il est vrai que cette sensation de chaleur est vraiment agréable.
« T’aime ça !! Hein ? Te faire bourrer... négresse ! »
A ces mots je me tourne et ma mère était avec ces deux hommes mais cette fois, un la prenait par derrière à quatre pattes, et l’autre lui baisait la bouche. J’étais outré, pourtant toujours à quatre pattes devant ce gros sexe bizarrement fait mais agréable. Il agrippa ma tête avec ses deux mains, pour y fourrer dans ma bouche son énorme queue et me dit en riant :
« Toi t’aurais jamais sucé ? Mon cul, oui, allez… suce négro, suce !! »
Il tenait tellement fort que je ne pouvais rien faire, il faisait des va et vient avec beaucoup de force dans ma bouche, je croyais que j’allais étouffer.
« Écoute-là, l’autre négresse, elle met tous les petits blancs au pas ! »
Et il avait raison en entendait ma mère gémir de plaisir et là ce fut pour moi la révélation. il me lâcha la tête et dans un grand râle, déversa sa foutre partout sur moi, il était très très opaque, j’en ai surtout sur le visage et... dans la bouche.
Je ne sais pas pourquoi, mais une forte excitation est montée en moi, et j’ai éjaculé sans même toucher mon sexe, mais mon initiateur n’en su rien il était déjà loin. Je décidai de partir quelques minutes plus tard, laissant ma mère par terre entourée des deux hommes debout lui pissant dessus.
Les journées passèrent et j’ai remarqué sur mon pc des fichiers temporaires de site érotique de vieilles femmes blacks se tapant des mecs, de transsexuel black, ou bien même des sites incestueux. Je ne regardai plus ma mère de la même façon… Et dire que mon beau frère, une fois, m’a dit que ma sœur devenait aussi prude que ma mère… eh ben s’ils savaient.
Deux semaines plus tard on était Vendredi soir, je me poste au même endroit, mon initiateur était déjà là, la queue à la main en train de se branler tout seul. Je n’ose pas m’approcher, et fais mine de faire demi-tour.
« Attends, ne part pas !! »
Le continue ma route, m’arrête et enfin, décide de revenir vers lui, sa queue m’obsédait, il fallait que je la tienne encore une fois dans les mains. Elle était belle, grande et douce. Arrivé à sa hauteur, il prit ma main et me tira vers lui pour m’embrasser, je n’ai pas trop aimé, je me suis reculé et regardé sa queue.
« T’es comme les blancs toi... hein !! C’est tout ce qui t’intéresse ! » me dit il avec son accent me tendant sa queue.
Sans répondre, je me suis penché vers sa queue pour vite la mettre dans ma bouche, elle était toujours aussi agréable mais elle avait un goût bizarre… Je décidai d’innover, et de lui lécher sa queue et ses boules. Mais il se tourna et me montra son cul pour me faire comprendre qu’il voulait que je lui lèche l’anus, je lui embrassais les fesses et c’est tout, je ne pouvais pas y mettre ma langue !
« c’est très agréable tu sais, tourne-toi je vais te montrer ! »
Sans protester, et j’ai obéi, j’ai senti sa langue parcourir mon anus, ensuite quelque chose de frais, je sentis quelque chose de frais entrer dans mon cul...
Il me dit :
« Penche-toi !
- Non je ne veux pas !
- Ne t’inquiète pas, j’ai mis de la vaseline et je porte une capote… tu vas aimer, négro… »
Et j’ai obéis, sans moufter. Je ne me reconnaissais plus !
« Penche toi plus, à quatre pattes... sinon tu vas avoir mal ! »
Et là, j’ai senti son énorme queue essayer de se frayer un chemin dans mon nus bien fermé..
« Arrête j’ai mal !
- Mais non tu verras…
- Attend arrête, arrêêête !! »
Je l’ai senti rentrer tout doucement, un frison m’a parcouru tout le corps, plus il bougeait et plus la sensation était grande, j’avais l’impression de jouir et d’éjaculer sans érection, c’était bon finalement. J’avais la tête entre mes épaules, je n’ai pas fait attention que quelqu’un arrivait.
J’ai senti soudain sur ma nuque un liquide chaud et je reconnu l’odeur, c’était de la pisse, j’étais écœuré, mais quand je levais la tête, c’était elle, ma mère. Je compris plus tard pourquoi la queue de mon initiateur avait ce goût, n’ayant trouvé personne, il avait jeté son dévolu sur le cul accueillant de ma mère, lui disant que j’étais un petit voyeur sans se douter un instant que j’étais le fils de cette grosse salope.
De cette petite chatte très bien rasé, s’était arrêtée de couler l’urine, elle laisse tomber sa fine robe comme une serpillère et s’allonge devant moi et me présente sa chatte, mes coups de langue suivent le rythme de celui qui s’acharne sur mon cul, sa chatte puait, l’urine mais ça ne me dérangeait pas, c’était trop bon. Elle ne semblait pas m’avoir reconnue…
J’ai senti ensuite que mon cul se vidait. Mon bienfaiteur venait de quitter mon anus pour venir juter sur mon visage. J’étais tellement excité que je mis son gland dans ma bouche, et j’ai senti tout son foutre chaud remplir ma gorge.
Ma mère s’est relevée pour m’embrasser, et là, elle vit qui j’étais. Elle eut un moment d’arrêt, la surprise se peignit sur son visage. Pourtant, elle m’embrassa, puis elle s’allongea sur le sol. Sans hésiter, nous lui avons pissé dessus.
Je suis parti sans me retourner. Elle est rentrée une heure après mois, souillée de pisse et de sperme. Elle ne le parla pas de la soirée.
Cette histoire a déjà quelques années mais je n’ai jamais osé la raconter à personne, surtout qu’après tout ça j’ai eu un demi-frère…
Eh oui ma mère s’était laissé embobiner par ce beau parleur, celui qui me faisait le sucer dans le parc (quelle tête il avait fait quand il a su que j’étais le fils de cette salope), mais bon, le petit est là, et tout le monde l’aime. Bien sur, jamais je ne pourrais lui dire que son père m’a enculé.
Parfois encore aujourd’hui dans le dos de ma mère, je vais le voir, mais cette fois seulement pour le sucer, (et oui il l’a quittée comme les autres, et aujourd’hui, je comprends mieux pourquoi je n’ai jamais connu mon père)
Il m’arrive parfois de payer de jolies transsexuelles rien que pour pouvoir les sucer car elles sont vraiment très belles à Metz. Mais bon. Mon seul souci reste que ma mère n’avait rien voulu faire avec moi pendant ses mois de grossesse et ça reste aujourd’hui encore un de mes fantasmes !
Merci encore de m’avoir aidé en me laissant poser mon histoire sur papier, c’est vrai que ça m’a fait du bien.
Marvin.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Elle a de la chance, la gamine. putain de cadeau de mariage ! dommage que personne dans ma famille est comme son tonton et sa tata.. je me ferais bien bouffer la moule comme elle !