Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée très enrichissante - 4ème partie
À mon réveil, je trouve au bord du lit, une robe délicatement posée, une boîte et un petit mot :
« Mademoiselle K.,
Je ne t'avais pas autorisée à te caresser dans ta chambre pendant ce qui devait être une sieste de récupération, mais j'avoue avoir pris beaucoup de plaisir à te regarder faire.
Pour te récompenser de ce nouveau moment de plaisir, nous allons sortir, je t'emmène vers une surprise.
Prépare-toi et rejoins-moi pour dix-huit heures trente en bas.
Ne sois pas en retard.
Monsieur Serge »
Comment a-t-il su que je me suis caressée tout à l'heure ? Comment l'a-t-il vu ? Je scrute les murs, le plafond et découvre quelques caméras dissimulées ça et là dans la pièce.
Au point où j'en suis... Ça ne me dérange plus vraiment.
Il ne me reste qu'une demi-heure et je file prendre une douche. Je trouve dans la salle de bain, devant le miroir, une trousse à maquillage que j'utilise volontiers pour mettre mes yeux et mes lèvres en valeur. Je retourne dans la chambre pour m'habiller. Je prends le vêtement en main et découvre une très jolie robe fourreau bleue nuit. Je l'enfile et me contemple dans la glace. Il s'agit d'une très jolie robe ras de cou, à manches longues.
Le dos nu vertigineux laisse apparaître la naissance de mes fesses, un ruban de brillants ceinture la taille et interrompt la chute des reins. Fendue très haut, elle laisse entrevoir ma cuisse à chaque pas. Je me trouve terriblement jolie et sexy dans cette tenue. Je noue à nouveau mes cheveux en chignon puis enfile la paire d'escarpin au pied du lit. Je m'intéresse alors à la boîte déposée sur le lit avec la robe. Il s'agit d'une boîte en feutre rouge, carrée, qui ressemble à un écrin à bijou.
Je l'ouvre et découvre un magnifique collier en diamants et perles.. Il se compose d'un collier de deux rangs en diamants enlacés, interrompus de cinq perles de belle taille, montés sur des anneaux de petits diamants. À la base de la perle du milieu, un petit pendant en diamant en forme d'ailes de colombes se termine par une sixième perle dans son cercle de diamant. Il semble qu'il s'agisse d'un bijou très ancien et je m'extasie devant ce splendide objet avant de l'accrocher à mon cou. Il est du plus bel effet sur le bleu nuit de ma robe. J'avoue qu'il me tarde de descendre me montrer à Monsieur Serge.
Je sors de la chambre et descends l'escalier. Je vois alors Monsieur Serge, bouche ouverte, béat d'admiration à ma vue. Il ne dit pas un mot et je peux mesurer son émoi au tremblement de la main qu'il me tend.
« Tu... Tu es.... Epoustouflante Mademoiselle K. Réellement époustouflante.
- Merci Monsieur Serge. Merci de me permettre de porter ce magnifique bijou.
- Il te va à ravir. C'est un bijou d'une grande valeur que le Tsar Nicolas a offert à la Tsarine Alexandra pour la naissance du Prince Alexis alors qu'il désespérait d'avoir un fils. Ce bijou a disparu deux ans après la naissance et n'est réapparu qu'après la grande révolution. Mon grand-père l'a acquis je ne sais comment et l'a offert à ma grand-mère pour se faire pardonner leur folle nuit sur le fauteuil. Mais trêve d'histoire, nous devons partir, retirons ce collier, tu n'en auras pas besoin. »
Je me sens soulagée de quitter enfin ce lien qui me retient à cette maison. Même si ça m'excite, je m'en suis un peu lassée.
Très galamment, Monsieur Serge m'ouvre la porte d'entrée. Je découvre une superbe voiture, luxueuse devant laquelle se tient un chauffeur. Ce dernier ouvre la portière de la limousine et je précède Monsieur Serge dans la voiture. Il me demande de m'installer sur la banquette arrière tandis qu'il s'assied fasse à moi, tournant le dos à l'habitacle du chauffeur. La voiture roule dans l'allée, lentement et nous sortons de la propriété.
« J’ai un autre bijou pour toi Mademoiselle K. J'aimerai que tu le portes.
- Eh bien donnez le moi, Monsieur Serge. »
Il sort alors d'une petite boîte devant lui, un petit objet oblong, partant en cône, se resserrant à la base puis s'élargissant pour former une sorte de socle. Il s'agit d'un petit plug anal.
« Vous voulez que ''j'enfile'' ça ?
- Oui Karine. Ou plutôt non, J'AI envie de Te le mettre. De préparer ton cul pour que tu le portes.
- Mais je croyais que nous allions dîner....
- Et alors ? Cela empêche t il quelque chose.
- Non mais....
- Pas de mais Mademoiselle K. Mets toi à 4 pattes et relèves ta robe.
- Mais.... Le chauffeur ?
- Ai-je un instant laissé présumer que tu avais le choix ? Le chauffeur est d'une discrétion sans faille, je peux bien le récompenser de temps en temps en le gratifiant d'un charmant spectacle », dit il en reprenant son cigare en bouche dans un grand sourire.
Comprenant que je n'aurais pas le choix, je m'installe donc à quatre pattes au milieu des sièges et mesure l'utilité de la vertigineuse fente de la robe puisque sans effort, mes fesses apparaissent aux yeux de monsieur Serge... Et de son chauffeur qui, dans le rétroviseur ne manque pas une miette de la représentation qui commence.
Monsieur Serge s'agenouille devant ma croupe tendue. Ses deux mains se posent alors sur les lobes et les caressent tendrement, sensuellement. Je peux sentir ses paumes chaudes, larges et douces. La chair de poule me prend. Elle semble d'ailleurs lui plaire puisqu'il redouble de caresses. J'écarte légèrement les cuisses, sentant mes lèvres se gorger de sang et s'humidifier légèrement. Mon intimité commence à me brûler. Il semble fier de son ouvrage. Je me cambre d'envie et d'impatience.
« N’est-elle pas magnifique Albert ?
- Splendide Monsieur. »
Je gémis lorsque je sens son doigt se poser entre mes lèvres et commencer un savant va et vient sur ma chair intime, jusqu'à mon clito. Je mordille ma lèvre inférieure à cet intense contact.
« Humm oui, mouille petite chienne, il n'en sera que plus facile de te mettre ce petit jouet »
.
Deux de ces doigts entrent en moi, sans sauvagerie. Je le sens écarter son index et son majeur à l'intérieur et son pouce masser doucement mon petit œillet. C'est une magnifique sensation. Je pose ma tête sur le sol, frémissante de plaisir. D'un coup, sa pénétration s'arrête. Ses deux mains se posent sur chacune de mes fesses et les écarte. Je sens alors son souffle sur mon petit trou vite suivi de son visage. Sa langue entame de le lécher. À grands coups de langue, il s'emploie à humidifier cette rose.
Lentement, mon anus cède à ses caresses et sa langue me pénètre. Malgré moi je commence à prendre goût aux compétences de cet homme, je l'apprécie de plus en plus. Serais je en train de me laisser séduire ? Un crachat me sort de cette pensée et très vite je sens son index se présenter à l'entrée. Désirant ardemment qu'il me pénètre, je pousse légèrement pour aspirer son doigt. Il glisse alors en moi sans effort. Une fois bien entrée, il entame un mouvement lent de va et vient, entrecoupé de mouvements circulaires. Je deviens folle de désir. Au bout d'une petite minute de ce traitement :
« Tu es prête maintenant. Je peux te passer ce bijou. Mais il faut le lubrifier. »
Il le présente à mes lèvres et je m'empresse de le prendre entre bouche. Sans attendre, je le couvre de ma salive.
Enfin, Monsieur Serge pose le plug sur mon anus. Ce dernier n'a maintenant aucun mal à pénétrer et il se retrouve rapidement au fond de mes entrailles. Monsieur Serge se relève, recouvre mes fesses de la robe et sans plus d'émotion se rassoie à sa place :
« Relève-toi Mademoiselle K. Et assieds-toi. »
Je reste un instant surprise de l'arrêt brutal de ce moment de plaisir, mais je reprends ma place sur la banquette.
« Ce petit jouet ne te gène pas trop ?
- Un peu, Monsieur Serge, j'espère surtout qu'il ne se verra pas sous la robe.
- Peu importe, je me fiche que les gens s'en aperçoivent. Au contraire, j'espère qu'ils s'en apercevront. Au fait, il y a une petite surprise supplémentaire.
- Laquelle ?
- Tu le découvriras bien assez tôt, dit-il en souriant, nous arrivons. »
La voiture s'arrête devant un restaurant huppé. Le lieu semble isolé mais des plus fréquenté. Un jeune homme ouvre la portière et me tend la main pour sortir de la voiture. J'ai un peu de mal à m'extirper de la voiture, de peur de perdre l'objet ou qu'il ne soit trop voyant. L'homme nous souhaite la bienvenue et nous précède sur le tapis menant à l'entrée. Il nous ouvre la porte et je sens son regard s'attarder sur moi et mon dos nu. A-t-il remarqué ce que je porte ? Je ne sais pas et je me sens quelque peu gênée. D'autant qu'il n'est pas le seul dans le restaurant à me scruter quand nous traversons la salle pleine jusqu'à notre table.
« Tu sembles avoir énormément de succès mademoiselle K. J'en suis très fier.
- Merci, monsieur Serge. Mais je me sens un peu mal à l'aise.
- Il ne faut pas mademoiselle K. »
Nous nous assaillons à notre table et un serveur nous apporte la carte. Les mets fins proposés me mettent l'eau à la bouche. Au bout de quelques minutes, le serveur revient pour prendre notre commande. Monsieur Serge commence puis me demande ce que je souhaite dîner.
« Je vais commencer par...... OHHH....... »
Je ne comprends pas ce qui se passe. Je sens une légère vibration entre mes fesses. Surprise, je regarde monsieur serge qui me sourit. La vibration s'arrête.
« Je vais commencer par la langouste aux am.......... aaaaaaaaaaaaaaaades...... Mon dieu....... »
Le serveur me regarde, surpris. Je me mords les lèvres pour étouffer le gémissement qui meurt d'envie de sortir de ma bouche. Cette fois la vibration était bien plus intense.
« La langouste grillée aux amandes très bien mademoiselle, ensuite. »
La vibration s'arrête. J'en profite.
« Le tournedos rossiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!! »
Je finis ce ''rossini'' dans un long murmure. Je deviens rouge de honte et de plaisir. Le serveur amusé regarde monsieur serge en souriant. Ce dernier lui sourit à son tour, lui faisant un clin d’œil.
« Pour la cuisson du tournedos, que désirez-vous ?
- Saignannnnnnnnnnnnnnttttttttttttttttttttttttt !!! »
Ce salopard a une télécommande !!!! Je le déteste !!!! Non je l'adore !!!!!! Récupérant le menu, les doigts du serveur caressent les miens. Il me regarde perversement en souriant. Puis nous quitte.
« Je crois que tu lui as tapé dans l'œil.
- C'est de votre faute. Vous auriez pu me prévenir tout de même.
- Et où aurait été le plaisir ? Et puis je te l'ai dit qu'il y avait d'autres surprises. Ne me dis pas que tu n'as pas aimé.
- La surprise passée, c'est fort agréaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaable !!!! »
Encore une décharge.
« Heureux que cela te plaise. »
Nous entamons une petite discussion lorsque d'un coup, il déclenche à nouveau le plug. Je comprends pourquoi en voyant notre serveur arriver avec nos entrées. Je m'agrippe à la nappe et tente de dissimuler mon plaisir.
« K. Tu ne remercie pas le serveur ?
- Mer..... Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
- Je vous en prie mademoiselle, tout le plaisir est pour moi.... »
Il nous laisse et nous commençons à manger. Monsieur serge a décidé de laisser vibrer au minimum le plug pendant toute l'entrée. Cette vibration ajoute au plaisir culinaire que j'éprouve. Monsieur Serge semble des plus satisfait de la situation. Je m'habitue à la vibration et réussi à en gérer les effets. Une serveuse vient récupérer nos assiettes et très vite le serveur vient nous apporter le plat. Monsieur Serge pousse alors le niveau de vibration et je laisse échapper un grand cri incontrôlé. Tous les clients se tournent étonnés vers notre table et la salle se couvre de murmures. Le serveur me regarde fixement, les yeux pleins d'envie avant de nous quitter.
« Tu lui plais vraiment. Tu as vu comme il bande ?
- J'avoue ne pas avoir eu la présence d'esprit de le regarder. »
Il baisse à nouveau l'intensité pour que nous profitions au maximum de nos plats. Au cours de la discussion, Monsieur Serge me demande si le serveur me plait. Je lui réponds qu'il semble charmant, mais que je n'ai pas vraiment fait attention. Ce dernier revient récupérer nos assiettes et je suis étonnée que monsieur Serge n'ait pas déclenché le plug. Peut être s'en est il lassé d'un coup.
« Prendrez-vous un dessert ?
- Moi non, mais Mademoiselle prendra un peu de crème. »
Nous le regardons interloqués.
« De la crème ? demande le serveur.
- Ta crème mon garçon. »
L'agrippant par le bras pour plus de confidentialité, il poursuit.
« J'ai très envie qu'elle te suce.
- Intéressant, mais en a t elle envie ?
- Mais elle n'a pas le choix. »
Je reste coite de stupeur. Comment ose-t-il ?
« Rejoins-nous dans cinq5 minutes dans les toilettes. »
Il me regarde encore.
« Très bien, alors à dans cinq minutes.
- Allons-y mademoiselle K. A toi de jouer. »
Je le regarde en colère. Comment ose t il me faire ça. Mais je ne peux qu'obéir.
Je me dirige alors vers les toilettes sous les yeux des personnes attablées. J'entre dans ces luxueuses latrines. Très vite le serveur me rejoint. Il se serre contre moi.
« Tu as l'air d'une sacrée petite salope toi. Et ton mec, un vieux cochon, pour te laisser sucer un autre homme. Tu en as vraiment envie ?
- Oui, j'ai envie de lui faire plaisir. »
Monsieur Serge entre alors dans les toilettes.
« Je ne savais pas que vous alliez regarder.
- Bien sûr que si, jeune homme. Je ne laisse pas une telle œuvre d'art entre les mains de n'importe qui sans surveillance. Je ne veux surtout pas qu'il lui arrive quoi que ce soit. »
Je lui souris, reconnaissante de ne pas me laisser seule avec cet inconnu. Il me demande de m'assoir sur le petit fauteuil pour être plus à l'aise et demande au serveur de sortir son sexe. Il s'approche de moi tenant son sexe en main. Je le saisis et commence à le caresser. Déjà légèrement tendu, il prend très vite toute sa vigueur et une très belle taille.
Ma langue se pose sur le gland et je commence à l'y faire tourner. D'abord par de grands cercles qui se font plus précis à mesure qu'ils se concentrent sur le méat. Je le titille du bout de la langue. Doucement mes lèvres se posent sur le gland et le le caresse doucement comme on le fait d'une sucette. Je le prends ensuite en bouche et fais tourner ma langue à l'intérieur de ma bouche.
« Hummm qu'est ce qu'elle suce bien cette chienne !!!!!
- Je vous interdis de l'appeler ainsi. Taisez-vous »
Lentement, ma bouche se fait plus entreprenante et je fais disparaître petit à petit son sexe à l'intérieur. Le pressant de mes lèvres quand il entre, le caressant de mes dents lorsqu'il en sort. Je garde toujours le gland en bouche mais avale son sexe de plus en plus loin à chaque fois. Il est aux anges. Ses mains se posent sur ma tête mais très vite monsieur Serge le lui interdit. Il croise alors ses doigts derrière sa nuque et se laisse faire.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, n'y tenant plus, il décharge son foutre chaud au fond de ma gorge dans un râle de plaisir sonore. Je me demande si toute la salle n'a pas profiter de ce cri rauque. Il se retire de ma bouche, le sexe encore tendu. J'avale la totalité de son offrande.
« C’est parfait Mademoiselle K. Très belle prestation. Marc avait raison, tu es une suceuse hors paire.
- Je confirme, surenchérit le serveur.
- Je ne vous ai pas sonné, vous, retournez servir vos clients et laissez nous. »
Il reboutonne son pantalon et nous quitte penaud, la queue entre les jambes. Monsieur Serge me tend la main pour que je me relève, et tente de m'embrasser sur la joue. Je tourne la tête, et à sa grande surprise, lui offre mes lèvres. Je lui roule une pelle magistrale, ma bouche encore souillée du sperme du serveur. Surpris, il ne peut qu'accepter ce baiser. Après tout, puisqu'il m'a obligée à sucer cet homme, autant qu'il en profite lui aussi.
« Garce, tu vas me le payer, » me dit-il en souriant.
Il déclenche le plug à sa puissance maximale. Sous ce plaisir soudain, mes jambes défaillent et je manque de m'écrouler. Monsieur Serge me soutient en m'enlaçant dans ses bras.
Nous sortons des toilettes, Monsieur Serge paie la note et glisse subrepticement un billet dans la main du serveur. Nous montons dans la voiture et retournons à la maison. J'avoue que cette petite sortie m'a beaucoup plus. Sur le chemin, je retire le plug, me blottis contre Monsieur Serge et m'endors.
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Drôles de voisins
Cette histoire a commencé pour moi par un bel après-midi du mois de juin consacré dans mon quartier à la fête des voisins. La chaleur torride nous avait contraints à une tenue plus que légère. Pour ma part, un court short et un marcel constituent mon unique vêture. Lorsque l'orage s'est enfin déclenché, la majorité des participants s'est ruée dans la pièce à vivre du plus grand logement du quartier alors qu'avec quelques autres je mets à l'abri le matériel et les denrées qui craignent l'eau.
Lorsque nous entrons enfin, mes vêtements trempés sont devenus à demi transparents et dévoilent une partie de mon anatomie que je tiens habituellement cachée. La grande majorité des participants fait mine de ne pas s'en apercevoir à l'exception d'un jeune voisin esseulé et de notre hôtesse, petite brune au physique massif et au regard autoritaire.
En fin de journée, alors que chacun rentre chez soi, cette dernière me retient sous
un prétexte futile. Commence alors une conversation d'un tour plus intime et, l'alcool aidant, quelques confidences touchant à la féminité de mes fantasmes et à mes désirs de domination féminine et d'homosexualité. Elle interrompt notre conversation pour donner un rapide coup de téléphone puis la reprend sur un ton encore plus intime. Elle est maintenant assise près de moi et touche amicalement mon bras ou ma jambe pour appuyer ce qu’elle dit. Sa tête effleure la peau de mon épaule. J’en suis quelque peu troublé.
Alors que je vais la quitter, son regard change et elle m'intime l'ordre de me dénuder. Mon cerveau s'embrume et mon pouls s'accélère brutalement. Je ne sais comment me comporter et, sans doute flatté du désir manifesté, je libère lentement mon torse, mon bassin et mes pieds de toute protection. Elle manifeste son contentement en s’étirant langoureusement. Ma totale nudité, au milieu de cet important espace libéré pour recevoir les convives, et le regard amusé de mon hôtesse, me font monter le rouge aux joues. Elle s'approche et me pousse sous un escalier. Elle se saisit d’une fine cordelette, me lie les mains levées à une rampe.
Elle commence à jouer avec mon corps et se réjouit de mon trouble grandissant. Au premier contact de sa main je hoquette d’émotion. Elle extrait d’un coffre un martinet et me fouette, avec une attention particulière pour les parties les plus sensibles. Elle visite avec délectation de sa petite main les différents orifices à sa disposition tandis que mon phallus est soumis à une tension peu commune. Elle relève sa robe et dévoile un corps étonnement harmonieux et sans entrave, d’une étonnante blancheur. Elle enfiche sa vulve chaude et humide, dépourvue de toute pilosité, sur mon sexe et se démène jusqu'à nous amener à l'orgasme. Puis elle me détache, me met dans la main mes vêtements et me jette dehors dans la plus absolue nudité.
La nuit est tombée, le sol trempé luit sous la lune car l'orage a éteint l'éclairage public. Je m'apprête à regagner mon domicile, ainsi dévêtu, le plus rapidement possible, vaguement frissonnant, lorsqu'une porte s'ouvre et qu’une main me tire à l'intérieur d’une maison. Je me retrouve face à face avec mon jeune voisin, à demi dénudé, qui me regarde avec un air d'envie. Il enlève de mes mains mon léger fardeau qu'il dépose soigneusement sur un dossier de chaise et me prend dans ses bras.
D'abord désorienté, je finis par me laisser gagner par l'excitation que provoquent ses douces caresses. À de chastes baisers succède une bouche plus vorace dotée d'une langue alerte et pénétrante. Je me sens à nouveau plein de désir et le manifeste en baissant, d’une caresse, son short à ses pieds. Mes tétons érigés deviennent sensibles à l’effleurement, mes reins se creusent et mon entrejambe s’échauffe.
Nous nous caressons mutuellement le dos, le phallus et les fesses. Il me dévore goulûment le sexe. Au bout de quelques minutes je me retrouve jambes écartées, le buste collé au plateau de la table.
Il commence alors à me pénétrer l'anus avec délicatesse, d'un doigt humide puis de deux. Son vit s'immisce doucement dans mon cul, puis s'agite de plus en plus fort jusqu'à me laisser anéanti et écartelé. Tout mon corps attend son plaisir qui semble ne jamais devoir arriver. Je suis labouré à l’extrême tandis que mon sexe frotte légèrement le dessous rugueux de plateau de la table, ce qui retarde mon envie de jouir.
Sa poitrine touche mes épaules sans s’y appesantir. Ses cuisses transpirantes émettent un bruit flasque au contact des miennes à chaque mouvement de va et vient. Ses mains emprisonnent mes poignets posés sur la table et me dissuadent de bouger. Mes fesses objets de ses coups de boutoir, mon anus soumis au frottement violent de son sexe, sont de feu et j'aspire au repos. Lorsqu’il éjacule enfin dans mes intestins, il me branle et j’explose. Il se retire alors doucement. Je suis ici aussi, dès la fin des ébats, renvoyé nu et sale à la rue sans même pouvoir saisir mon vêtement.
Épuisé je regagne prestement mon domicile et me jette au lit. Je m'endors d'un sommeil peuplé de fantasmes de toutes sortes. Souvent réveillé, je finis ma nuit couché sur le ventre, les fesses découvertes et surélevées par des oreillers tant mon entre jambe est à la recherche d’un souffle d’air frais.
Une semaine passe au cours de laquelle je retrouve ma vêture soigneusement posée devant ma porte. Le dimanche suivant, alors que je sors pour faire quelques courses, je salue quelques voisins en grande conversation. Mes deux abuseurs font partie du groupe et me regardent d'un drôle d'air. Les autres détournent le regard. Ma voisine dominante me fait autoritairement signe d'approcher. Lorsque j'arrive à leur hauteur, les deux complices éclatent de rire. La main de l'une se pose au bas de mon dos, celle de l'autre au bas de mon ventre, comme dans un geste de possession absolue.
« Comment va notre petite salope ? » dit le jeune voisin d'une voix égrillarde.
Sa main glisse dans mon short et pétrit tout ce qu'il y trouve tout en dégageant mon bassin du léger vêtement avec l’aide de la naine. « Vous pouvez toucher » dit-il aux autres en découvrant ma peau. L’un d’entre eux soupèse mes bourses en riant. Je suis rouge de honte et de plaisir, et ne sais, les fesses à l’air, comment me comporter. Je me tords sous leurs gestes.
Gênés, les témoins rentrent chez eux en nous laissant tous trois au milieu de la rue.
Mes agresseurs me poussent à l'entrée d'une cour sous un appentis et finissent de me dénuder. Je les laisse faire, partagé entre béatitude et infamie. Je vois des rideaux bouger aux fenêtres des maisons du voisinage. Je suis le jouet des uns et le spectacle des autres. Ils m’aguichent et m’enflamment puis me brutalisent. Ils m'obligent à des attitudes humiliantes et suis finalement sodomisé alors que je prends la voisine en levrette, vraisemblablement sous de nombreux regards. Ils m'attachent à un poteau, ma nudité exposée à tous vents, et s’en vont.
Je mettrai de longues heures à me libérer sans qu'aucun témoin ne me vienne à l'aide.
Le samedi suivant, le jeu prend une toute autre dimension. Alors que je fais la queue à l'épicerie, je suis rejoint par mon jeune agresseur qui me salue d'une caresse sur le ventre. Il dit alors d'une voix basse mais audible :
« quel plaisir d'avoir un cul accueillant, disponible à tout moment, dans son voisinage ! »
Et prestement, il déboucle la ceinture et la braguette de mon jean, que je porte à même la peau, et le baisse brutalement comme pour prouver ce qu'il avance. L'émotion m'empêche à nouveau de réagir pendant quelques secondes. Lorsque je remonte mon pantalon, je croise des regards gourmands ou gênés. L'épicier m’attire dans l’arrière-boutique sous un prétexte futile et, avant que je ne me reboutonne, envahit mon vêtement pour pétrir tout ce qu’il y trouve. Mon sexe se tend sous la caresse et mon anus s’échauffe.
Une employée rigolarde contemple la scène en se caressant la cuisse puis essuie d’un doigt distrait une goutte de sperme qui perle sur ma queue. Ils me raccompagnent tous deux à la porte, à demi rhabillé, leurs mains au bas de mon dos. Je perçois la respiration saccadée de quelques clients très intéressés par cette scène. Je m’ajuste en pleine rue, non sans attirer l’attention de quelques passants.
L'après-midi de ce même jour, alors que je vaque à quelques travaux d'écriture, le jeune voisin m'appelle au téléphone et m'intime de rejoindre son domicile. Je ne réfléchis pas une seconde et m'y rends, le cœur battant d'anxiété et de désir. Lorsque j'y arrive, je constate qu’il a invité plusieurs connaissances masculines du quartier.
Devant eux, il me caresse et me dévêt, puis me livre à leurs caprices. Ma bouche et mes fesses sont pénétrées maintes fois. J’ai l’impression que mille mains me recouvrent et me palpent. Des spasmes me secouent. J’ai chaud et transpire abondamment. Je m’étouffe de leurs bites et mon cul se dilate à l’extrême au point de percevoir la douceur de leurs vits. Je suis abusé dans mille positions, couché sur la table sur le ventre puis le dos, à quatre pattes sur un lit, à l’envers sur un fauteuil...
Mon corps, zébré de quelques coups par un ou deux sadiques, glue de foutre. Je suis dans un état second et, hormis mes fesses en feu, ne ressens quasiment plus rien. Lorsque ses amis rassasiés ont disparu, mon hôte me douche en prenant un soin pressant de toute mon intimité puis me colle
au mur, encore humide, pour me sodomiser à son tour sans ménagement.
Épuisé, je n’arrive plus à jouir mais en ressens un bien être enivrant.
La semaine suivante c'est le tour de ma voisine de me convoquer. Toutes les femmes de sa famille sont là, ses amies aussi. Je suis dénudé, doté d'un collier, promené en laisse dans le jardin, fouetté. Puis elles m'attachent écartelé aux montants d'un grand lit à barreaux tantôt sur le ventre pour me pénétrer de divers ustensiles, tantôt sur le dos pour venir se ficher sur mon sexe, poser leur clitoris tendus entre mes lèvres et faire lécher leurs vulves et leurs culs excités.
À la fin de ces jeux, je suis revêtu d'un justaucorps totalement transparent et prié de leur servir l'apéritif et le repas. J’adore cette tenue qui me remplit d’une confusion durable.
Mes épaules se contractent et mes mains sont moites. À chaque passage, elles caressent les parties les plus tendres de mon anatomie. Au dessert, je suis à nouveau dévêtu alors que chacune de mes compagnes dénude le bas de son corps. Je vais devoir, à quatre pattes sous la table, pénétrer leur sexe de ma langue jusqu'à ce qu'elles en soient rassasiées. Je me venge d’elles en remplissant ma tâche avec toute l’énergie qui me reste, presque avec violence.
Lorsqu'elles sont toutes parties, mon hôtesse réclame un cunnilingus anal profond, le sexe emmanché sur un godemiché aux vibrations saccadées. Ma bouche servile fait son office tandis que mes mains écartèlent ses fesses rondes et dodues autant qu’elles le peuvent.
Petit à petit, je prends l'habitude de me soumettre à ces exigences sexuelles. Je prends plaisir à ma honte et au regard que les autres portent sur moi. Le plus difficile est la soudaineté des attaques. Tous ceux qui sont au courant, et ils sont nombreux, s'autorisent à mille gestes intimes et humiliants. J'ai une chance sur deux de me faire caresser les fesses pendant que j'achète mon journal ou de me retrouver à demi dénudé dans les rayons du supermarché. On m’a même retrouvé, troussé et quasi nu, attaché aux poignets et au chevilles au rayon bricolage.
Par contre, pas une semaine ne passe sans que je ne reçoive de nouvelles invitations
à participer à des rites sexuels nouveaux. J'ai goûté, plusieurs fois, l'amour avec un charmant couple homo. Les bougres m’ont gentiment envoyé au septième ciel. Deux amants hétéros et néanmoins scientifiques m’emmènent dans leur laboratoire et filment mes réactions à de nombreuses sollicitations sexuelles étonnamment imaginatives. Le matériel utilisé m'étonne par sa diversité. Bondages divers, godes de tous genres, masturbateurs se relaient sur mon corps. Mes fesses et mon sexe en sont encore émus. Je me partage entre de charmants partenaires aux poitrines fermes et aux fesses bien dessinées, garçons ou filles, actifs ou passifs, souvent brutaux, et des hommes et des femmes d'âge mûr plus retors et plus doux.
L'avantage de tout cela est que je peux désormais vivre avec bonheur mon exhibitionnisme.
Personne ne s'étonne plus de me voir circuler plus ou moins dénudé à la condition que je me soumette aux caprices de ceux que je rencontre.
L'épicier partage mes faveurs avec la pharmacienne.
Le marchand de journaux avec la bouchère.
Le fleuriste me pousse souvent dans son arrière-boutique pour lutiner parmi les fleurs. Elle aime décorer mes orifices de plantes aux couleurs chatoyantes.
La monitrice d’auto-école m’invite parfois sur sa banquette arrière et me conduit dans des chemins discrets ou elle me fait conduire nu, les mains attachées au volant, tout en me prodiguant mille caresses.
C’est dans la chambre froide, pendu comme un goret et complètement frigorifié, que j’ai possédé la charcutière.
La coiffeuse ne m’accepte plus que dans des tenues indécentes. Elle me tond les reins, les aisselles et le bas ventre pour me rendre plus présentable à tous. Elle adore manier le rasoir entre mes fesses et autour de mon sexe. Ma respiration oppressée et de légers frémissements d’inquiétude le mettent en joie.
Quant au boulanger, il affecte de violer mon intimité au fournil. C’est donc couvert de farine, rayé de traces blanches laissées par ses mains, que je traverse le quartier en témoignant de sa prouesse. Je retrouve partout, y compris dans mon lit, la fine poussière de céréales. Pensée émue !
Deux ou trois fois la semaine, le matin vers dix heures, je me rends au café ou quelques admirateurs et admiratrices ont plaisir à me lutiner dans les positions de leur choix. Parfois ils m’installent en vitrine nu, assis, à quatre pattes ou couché sur une table, pour régaler les passants, pendant que leurs mains s’égarent sur mon anatomie. Ils aiment, lorsque je m'allonge sur le bar, pouvoir me tripoter tout à leur aise et parfois lécher ma peau recouverte d'exotiques breuvages. La plus assidue est une femme simple assez ronde, au visage ingrat, dont les doigts boudinés s’insinuent dans tous les endroits possibles et dont les lèvres agiles embrassent et enserrent ce qu’elles trouvent avec douceur.
En récompense, elle me donne à téter les mamelons excités de son opulente poitrine. Un grand homme grisonnant, au visage austère, défoule sa perversité en mille griffures, morsures et pincements douloureux des seins et des bourses et se réjouit de mes grimaces. Heureusement il éjacule précocement dans ses vêtements et se calme. Le bistrotier imbibé ne sait que me labourer de ses doigts la raie des fesses et me pénétrer violemment l’anus à sec. Un jeune handicapé essaie de les freiner et ne cesse de me prodiguer de tendres, mais un peu baveux, baisers.
Les autres alternent les gestes au gré de leurs envies ou s’abstiennent. Mon souffle court et de petits gémissements les encouragent, parfois un cri de douleur les alerte. Pendant plus d’une heure, mon cœur cogne dans ma poitrine au gré des gestes de chacun. Pour rien au monde je ne raterais ce rendez-vous !
C’est cette activité qui a permis aux étudiants, logés à la cité universitaire toute proche, de découvrir mes mœurs et ma réputation. Avec eux, ma soumission a pris un tour nouveau, une dimension nouvelle. Je suis devenu la coqueluche de soirées libertines à la cité internationale.
La planète entière se succède dans mon cul ou enserre mon sexe sans que je n’aie plus de cent mètres à parcourir. Un ami berbère m’a offert un burnous qui me permet de me couvrir chaudement à la saison fraîche tout en pouvant rapidement me dévêtir. J’avoue idolâtrer ce vêtement qui offre à chacun la possibilité de me trousser sans entrave. J’aime ce qu’évoque le frottement de la laine rêche sur ma peau nue qui me prépare aux scènes de sexe à venir. Et puis, ces corps jeunes qui se soulagent dans mes fesses et autour de mon pénis me donnent une raison d’exister. Les garçons jouissent en me traitant de « veille pute » et les filles de « gros porc ».
C’est maintenant mon statut social et, sans doute, le petit nom dont ils m’affublent pour parler de moi entre eux, mais qu’importe ! Par beau temps, ils me promènent en laisse à poil sur les pelouses du campus et disposent de mon corps au bord de la rivière.
Tantôt on me fouette les fesses d’une badine ; tantôt on s’intéresse à mes organes. Ils restent habillés et ne dévoilent que le strict nécessaire au moment de me faire l’amour. Ils et elles ne portent généralement aucun sous-vêtement pour faciliter une relation sexuelle furtive. Lorsque le temps est gris, je dispose d’une salle de réunion dotée d’un grand miroir. Mes partenaires s’y dénudent facilement pour mon plus grand plaisir. J’adore, pendant l’acte sexuel, regarder dans la glace le mélange entre ma peau laiteuse et d’autres bronzées, jaunes ou noires.
Souvent, je suis l’objet d’une attention collective multicolore. Les africains et les arabes me lutinent souvent avec un grand respect et peu d’imagination. Les orientaux comme les perses poussent la douleur comme le plaisir à ses limites. Moment sublime ou ces nombreux corps nus s’agitent avec une indécence parfaite au service de mes sens ! Le personnel de la cité vient prélever sur mon corps le prix de son silence, notamment la directrice, artiste en vocalises amoureuses. Je la prends parfois, après la fermeture, sur le bureau d’accueil. Les ouvriers de maintenance, rois des sous-sols, préfèrent me violenter dans leur domaine, attaché à quelque canalisation.
Depuis peu, mes voisins sont devenus jaloux de ce partage. Ils sont venus me le dire d’une drôle de façon. Alors que je bricolais dans mon garage, porte ouverte, une délégation comprenant mes deux amants historiques est venue me battre et m’insulter de mille mots grossiers tout en s’essayant à mille petits sévices qui imposent à mon corps de violentes tensions aussi vite disparues. Ils finissent par me suspendre par les poignets au linteau de la porte, les jambes écartées par des liens fixés aux montants. Ils vont ensuite lacérer mes vêtements au point que seuls quelques rares lambeaux de peau sont cachés. Une pancarte clouée au mur indique « putain internationale, à violenter sans égards quelles que soient vos origines ». Je suis resté ainsi exposé de longues heures. Personne n’osait me décrocher par peur de représailles.
J’ai, quelques fois, oublié la douleur de mes muscles étirés, lorsqu’un regard concupiscent s’attarde longuement sur mon corps presque nu ou qu’une main perverse effleure une zone érogène. Au crépuscule, mes deux amants sont venus à mon aide de façon intéressée et m’ont fait passer une nuit d’anthologie. Revêtu de latex judicieusement percé à l’emplacement du visage, du bas ventre et du cul, j’ai pu à mon tour les tourmenter de maints objets, puis mes zones libres ont été envahies. Enfin dénudé au matin, ils m’ont prouvé leur amour et leur mépris au point que j’en ai encore les stigmates sur ma peau. Depuis je partage ma semaine entre les deux groupes de façon égale.
Pendant les vacances, l’un ou l’autre groupe m’emmène avec lui pour que je reste sous contrôle. En montagne, je randonne nu, sans sac, au-devant du groupe, tenu en laisse par mon suivant. Pour les randonnées à vélo, ils m’ont équipé d’une selle surélevée d’un sexe en latex qui me permet, uniquement vêtu d’un court maillot et de mes tennis, de m’enficher et de me préparer aux assauts des garçons, sexe au vent. A la mer, je suis exposé dans le plus simple appareil, lié à un tronc du sous-bois proche, offert à la convoitise des passants, sans possibilité d’esquive. Et ils sont nombreux à apprécier cette opportunité. Je voyage en robe et sans sous-vêtement pour être toujours sexuellement disponible. Dans le train toilettes et compartiments vides permettent toutes les audaces. En avion, mes sévices commencent lors de l’endormissement des passagers ou l’on m’installe nu sous une couverture. On m’enlève ma robe lors des trajets en voiture pour le plaisir des autres passagers. Parfois, lorsque quelqu’un le demande, je revêts des bas et un porte-jarretelle, mais c’est rare. La nuit, je ne peux jamais m’isoler et partage la couche qui m’est assignée en fonction des accords passés entre mes bourreaux. Son occupant me laisse rarement en repos avant une heure avancée.
Lorsque personne ne peut m’emmener, je suis confié aux bons soins d’une commandante de police lesbienne qui vient assouvir ses envies de sodomie la nuit à mon domicile et m’entrave le jour pour éviter que je m’éloigne trop. Je trouve humiliant d’aller faire mes courses quasi nu, les pieds et les mains entravés par des chaînes assez longues qui m’obligent à marcher en claudiquant, jambes écartées.
Dans mon cas, c’est aussi grotesque que provocant et engage mon interlocuteur à abuser de moi. Certains jeunes majeurs du quartier ne s’en privent pas pendant ces temps d’inactivité. Ils m’ont plus d’une fois, séquestré quelques heures dans un garage ou une cabane de jardin. Adeptes des films pornos, leur imagination en matière de sévices sexuels est limitée. Toutes leurs insultes sont effacées par leurs caresses.
Bref, mon quartier, depuis cette date, s’est érotisé. Dans ce contexte, je suis devenu une sorte de mascotte dont les orifices et organes sexuels sont à la disposition d’une collectivité gourmande et diverse. Lorsque j’effleure ma peau, je pense à eux tous sans aucun jugement.
Ma poitrine et mon dos, mes cuisses et mes bras, mon sexe et mon cul, mes mains et mes pieds, ma tête surtout avec ma langue avide, s’érotisent à l’idée qu’ils vont bientôt me toucher, avec leur sexualité à eux, parfois rude et perverse, parfois douce et enveloppante. Je les attends, je les espère, je les veux de toute ma capacité érotique, de toute ma sensualité.
Souvent mon dos se creuse, mon souffle devient court et une curieuse sensation monte de mon bas ventre. Viens que je t’accueille au plus profond de moi. Tout mon être t’attend sans tabou !
Signé : Emile
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Les jumelles coquines
Depuis notre adolescence, nous nous sommes toujours entendues pour faire de blagues à ceux qui nous côtoyaient. Ce n’était jamais bien méchant, mais nous nous arrangions pour faire marcher les copains et les copines qui tombaient régulièrement dans le panneau.
Parfois même, lors d’épreuves sportives, nous échangions nos dossards pour favoriser celle qui était la plus forte dans une discipline et inversement.
A dix-huit ans, nous sommes entrées toutes les deux à l’université, et là, c’était encore plus facile de duper nos condisciples en raison du nombre d’étudiants dans les amphithéâtres. Vraies jumelles, il a toujours été difficile de nous différencier.
Grandes blondes à l’allure sportive, adeptes de la course à pied, de la gymnastique et de l’athlétisme, nous figurions honorablement dans les épreuves du sport à l’école. Encore actuellement, nous pratiquons régulièrement la course à pied le samedi matin généralement. Un long footing de deux heures autour des lacs du bois de Boulogne ne nous fait pas peur.
Les cheveux coupés courts, le visage à peine maquillé, nous attirons les regards de ces messieurs. Le sport nous a fait une silhouette longiligne avec des muscles légèrement marqués, un bassin resté étroit et des seins assez peu volumineux mais bien ronds.
Notre grand jeu, c’était de se faire passer l’une pour l’autre, On attendait Régine, c’était Rébecca qui arrivait. Quand nous avions des rendez-vous avec des garçons, de temps à autre, nous échangions ainsi les rôles. Nos petits amis n’y voyaient que du feu.
Lors de la fête de fin d’année, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’appartement que nos parents louent pour nous. Nous y avons chacune une chambre, et le séjour nous est commun. Nous avions pas mal bu et nous étions bien chauds.
L’une comme l’autre, nous n’avions pas baisé depuis plus de deux semaines pour être bien en forme pour les examens partiels et là, l’envie de jouir nous tenaillait.
Les garçons étaient eux aussi entreprenants. Loïc m’avait coincée dans un coin de l’ascenseur et avait commencé à me peloter les seins par dessus mon sweat-shirt. Jérôme de son côté, faisait des allusions grivoises à Régine.
« Tu vas voir comment je vais te sauter. Je vais te faire grimper ! »
Quand nous sommes entrés dans l’appartement, nous nous sommes sciemment trompées de chambres après avoir dit à Loïc et Jérôme de nous attendre dans le séjour.
Peu de temps auparavant, nous nous étions rendues toutes les deux dans un sex-shop pour acheter une combinaison en dentelle qui nous couvrait presque entièrement. Seules la tête et les mains n’étairnt pas couvertes. Nous avions également acheté des chaussures à très hauts talons, avec une semelle épaisse qui allongeait encore notre silhouette.
Lorsque nous sommes revenues dans le séjour, les deux garçons sont tout de suite tombés sous le charme de notre tenue. Je me suis installée sur les genoux de Jérôme et Régine sur ceux de Loïc pour les embrasser et nous livrer à eux : nous étions tombées d’accord et nous avions prévu de changer et retrouver notre partenaire habituel en cours de soirée.
Jérôme a commencé à me peloter les seins au travers de la dentelle, réussissant même à faire passer un téton au travers et ayant trouvé l’entrée de la combinaison, de son autre main il massait mon entrejambes.
Collée contre lui, je sentais sa bite s’ériger dans son pantalon. Je me suis levée et me suis agenouillée devant lui après avoir fait glisser son pantalon et son slip jusque sur les talons.
Je retrouvais face à moi sa belle queue vigoureuse et généreuse qui m’avait fait fantasmer lorsque Régine m’en avait parlé.
Je l’ai prise en bouche le plus loin possible et en la ressortant plusieurs fois, je l’ai copieusement enduite de salive. Je masturbais sa bite d’une main et je suçais l’extrémité en me concentrant sur le gland. Du coin de l’œil je voyais ma sœur Régine et Loïc.
Elle était en levrette sur un des fauteuils, et ce coquin lui mangeait la chatte en écartant ses fesses. Loïc était entièrement nu, et il masturbait doucement sa bite tout en faisant minette à ma jumelle. Je le savais plutôt adepte des positions par l’arrière et je ne serais pas surprise s’il prenait ma sœur dans cette position.
Entretemps, Jérôme s’était débarrassé des ses vêtements avec mon aide. Entièrement nu, je lui ai dit de s’allonger sur le tapis. Sa bite était dressée comme un « I » au milieu de son pubis poilu. Je l’ai enjambé et je suis venue m’empaler sur ce sceptre dressé.
Face à lui, je montais et descendais, sa queue entrant par la fente de la combinaison. Tantôt il me caressait les seins, tantôt il me tenait par les hanches pour m’aider dans mes mouvements mais comme je l’ai dit, mes jambes de sportive me facilitaient les allers-retours.
Il me remplissait bien, et chaque fois qu’il arrivait au fond de mon vagin, je ressentais comme une décharge électrique qui montait de mes reins jusqu’à ma nuque. Je ne m’étais pas trompée : Loïc baisait ma sœur en levrette. J’entendais le claquement de son bas ventre contre les fesses de Régine.
Soudain, je ne sais pas par quel miracle, la jouissance nous a emportés tous les quatre dans le même moment. Les deux garçons se sont vidés une première fois en nous (nous étions en confiance, il n’y avait pas besoin de préservatif et nous prenions la pilule). J’ai senti au fond de moi les puissantes giclées de sperme de Jérôme au moment où le spasme du plaisir m’emportait.
Quand les deux garçons sont sortis de nous, nous avons échangé nos partenaires. Je suis allée toiletter la bite de Loïc et Régine celle de Jérôme. Lorsque nous avons terminé, toutes les deux nous leur avons posé la question :
« Avez-vous vu ou senti une différence ? »
Devant leur air surpris nous leur avons expliqué la supercherie.
« Ah ! Les coquines ! On savait que vous vous faisiez passer l’une pour l’autre mais là vous avez fait fort ! Cela ne nous dérange pas ! » s’est exclamé Jérôme.
La soirée s’est poursuivie jusque tard dans la nuit. Toujours vêtues de nos combinaisons, nous avons baisé tous les quatre une première fois avec nos copains respectifs. Nous étions allongées sur le tapis, les jambes relevées à la verticale et largement ouvertes en « V ». Loïc et Jérôme, les bras en appui de chaque côté de notre buste nous baisaient avec ardeur.
La queue longue et fine de mon copain entrait et sortait de ma chatte à une vitesse extraordinaire et il n’était point besoin de la guider pour qu’elle trouve le chemin entre mes lèvres vaginales. Jérôme avait un rythme plus lent mais en tournant la tête vers ma sœur, j’ai vu à son sourire extatique qu’elle éprouvait un plaisir intense qui l’a emportée au moment où lui-même jouissait aussi. Loïc m’a fait partir deux fois avant de se vider lui aussi lors de ma seconde jouissance.
Nous nous sommes déshabillées et, c’est entièrement nues que nous nous sommes livrées une troisième fois aux assauts virils de Loïc et Jérôme.
Ma sœur m’avait confié un jour qu’elle n’avait jamais été sodomisée et qu’elle avait envie de goûter à cette pratique.
Loïc avait ouvert ma pastille froncée il y a quelques mois, sans que j’y sois préparée. Il avait su être doux, et après les premières douleurs de l’intromission, j’avais fini par avoir un peu de plaisir, puis de plus en plus à chaque fois qu’il me prenait par le petit trou.
Nous avions renouvelé cette expérience plusieurs fois au cours des mois passés, et la dernière, j’avais joui autant que lorsque j’étais prise devant.
J’allais offrir la bite de Loïc à ma sœur pour sa première enculade.
Sur mes conseils elle avait discrètement injecté du gel lubrifiant et légèrement anesthésiant dans son sphincter anal. Comme cela, les choses seraient plus aisées.
Toutes les deux face à face sur le divan, le bassin en appui sur les accoudoirs, nous étions prêtes l’une comme l’autre. Je ne sais pas quel orifice choisira Jérôme ni s’il en changera en cours.
Loïc, lui, sait ce qu’il doit faire. Les jambes un peu fléchies, il se penche vers ma sœur, lui embrasse le bas du dos et remonte vers sa tête pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Il revient en arrière et en tenant sa queue bien raide dans sa main droite, il s’approche de la raie culière de Régine.
Quand il est au contact, je vois les yeux de ma jumelle s’écarquiller et elle ouvre la bouche en grand mais aucun son ne sort.
« Ça y est Régine, je suis au fond de ton cul, tu dois bien me sentir !
- Oui ! Vas-y doucement ! »
Jérôme a choisi ma chatte pour débuter mais il a enchainé rapidement par une sodomie en douceur. Heureusement je m’y étais préparée aussi car la taille de sa bite n’a rien à voir avec celle qui avait ouvert la voie.
Il est doux, laisse ma gaine serrée s’habituer à sa queue avant de me prendre à fond. Quand ses hanches sont collées contre mes globes fessiers, il reste de longs moments sans bouger. Puis il recule et revient vers l’avant pour me limer. Heureusement le gel facilite les choses et cette enculade est bonne, je sens un plaisir encore diffus monter dans mes reins.
Brusquement je pars ! Je ne m’y attendais pas ! Et j’exhale bruyamment ma satisfaction. Quand j’ai fini de jouir, Jérôme sort de mon cul et branlant rapidement sa bite de la main droite, il crache trois jets de sperme sur le bas de mes reins.
Loïc est toujours en train de sodomiser ma sœur. Ce coquin prend son temps comme il l’a fait avec moi lors de la première fois. Au moment où ma sœur se tétanise sous l’effet de son plaisir, Loïc lui donne une dernière estocade, violente cette fois et se vide dans son cul.
Régine et moi nous avons fait une rapide toilette de la bite de nos partenaires et nous avons gagné nos chambres respectives. C’était la première fois que nos copains finiraient leur nuit dans le même lit que nous, chacun avec sa chacune. Les retrouverons-nous après les vacances ? Si oui, je pense que nous nous offrirons encore quelques bonnes parties à quatre.
Jumelles, nous sommes partageuses, mais sous certaines conditions, vous devinez bien sur lesquelles !
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Me prostituer, fin de la seconde partie
Catie réapparue avec son client quelque minutes plus tard.
« Alors cela c'est bien passé ?
- Oui un type marié un peu timide, tiens. »
Je lui tendis le second billet de cent euro de la soirée à Marseille.
« Jean-Paul m'a appelé. La partie de poker n'est pas si intéressante, si tu acceptes, il est là dans dix minutes. »
Elle me mettait la pression et je n'aimai pas trop cela.
« Il me fait peur. Je n'ai jamais fait cela, je veux dire de cette façon.
- C'est une nouvelle expérience pour toi. Tu vas grimper aux rideaux avec lui, crois mois.
- Tu sais à qui il me fait penser ? Au type, l'adjudant le militaire qui enlevait et assassinait des jeunes de son régiment après les avoir violés. Il y a longtemps, je crois qu'il s'est suicidé en prison ? Cela avait fait beaucoup de bruit à une époque il y a dix ou quinze ans. Tu te souviens ?
- Oui je me souviens, effectivement il y a un air de ressemblance. C'est drôle, je n'avais jamais fait le rapprochement. Mais tu as raison. Mais bon Jean-Paul est moins con. Je te rassure. Il n'a encore jamais trucidé personne. Je crois ! Ou il n'a pas fait exprès…. Non je rigole.
- J'espère….
- Je lui dis de venir maintenant ? Sandie, tu passes deux heures de plaisirs avec lui dans la chambre du haut. Il ne va pas te tuer. Il a vraiment flashé sur toi. Toi qui cherches des expériences des sensations un peu fortes. Tu vas être servie là. J'ai envie de lui faire plaisirs. Tu montes avec Jean-Paul, on efface ta dette ! »
Un jeune homme blond la vingtaine s'approchait de moi en rougissant. Il avait dû attendre d'avoir assez de courage pour m'aborder.
« Je,… je peux venir avec vous ? »
Je regardai Catie a la dérobé, elle me sourit.
« Oui bien sûr, je suis là pour ça. C'est cent euro pour faire l'amour avec moi. Je me mets toute nue. Et autrement, je peux vous, te sucer pour trente euros et je reste habillée.
- Je pourrais vous touchez ? Vous embrassez ?
- Vous toucherez et embrasserez où vous voulez. Vous venez ? »
Il semblait hésiter. Catie c'était un peu éloignée pour ne pas le gêner.
« Oui, je veux bien madame.
- Venez, suivez-moi. »
Je regardai Catie, et lui dis :
« Appelle-le, dis-lui que c'est ok. »
Je pris les escaliers avec un beau jeune homme timide et rougissant. Je devinai, je sentis presque son regard, sur mes hanches mes fesses à ce moment. Essayait-il de regarder sous ma mini-jupe, avait-il envie de passer sa main sur mes cuisses pour toucher mes bas ? Je le regardai qui payait la chambre. Il avait un visage clair, un fin duvet au-dessus de ses lèvres que je j'aurais aimé gouter, mordre. J'étais presque sûr qu'il ne se rasait pas encore. Je pris la serviette et remercias Gérard d'un généreux sourire.
« Venez c'est par ici. »
Je refermai la porte sur nous deux. Il me regarda, je le trouvai beau.
« Tu me donnes mon petit cadeau ? »
Il rougissait, je m'amusai de sa gêne, de sa timidité. Je rangeai le billet dans ma sacoche et enleva mon blouson d'un geste lent en le regardant dans les yeux.
« Déshabille-toi. »
Il commença à enlever ses vêtements en me tournant le dos. J'enlevai mes bottes puis ma jupe. Lui était torse-nu et portait encore son pantalon. Je m'approchai de lui.
« Ote tes chaussures, laisse-moi faire, n'air pas peur. »
Je posai mes main sur sa ceinture et la détachas. Il sentait bon. Il regarda mon corps. Il pouvait voir mes seins mon ventre et mon sexe qui se distingués parfaitement sous la transparence du voile noir du body. Je déboutonnai son pantalon et fit descendre la fermeture éclair. Je touchais son torse. Il était chaud et doux.
« C'est la première fois ».
Je le regardai dans les yeux, sa voix était douce.
« La première fois que quoi ?
- Que je fais ça.
- Que tu fais quoi ? »
Je m'avançai, me collai à lui. Sa bouche ses yeux m'attirés, je posai mes lèvres sur les siennes. Il murmura sur mes lèvres.
« Que je fais l'amour, c'est la première fois. »
Je le poussai sur le lit. Il s'allongea, je baissai et enlevai son pantalon. Un autre boxer noir, décidément… j'embrassai son ventre son nombril. Je passai ma main sur la bosse de son sexe. Sa respiration s'accéléra. Ses yeux me regardaient, je le caressai doucement du plat de la main. Il tremblait de désirs. Je remontai la main sur le ventre et la glissai sous le boxer. Elle était là, chaude et dure. Je me penchai pour la voir, je la dégageai de la culotte, j'ouvrai la bouche pour la prendre. Il se tendait en arrière. J'enlevai entièrement sa culotte.
Je ne voulais pas qu'il jouisse dans ma bouche. C’eut été trop facile. Je montai sur lui et l'enjambai. Je me levai sur les genoux au-dessus de son ventre. Il regardait mon corps, ses mains posées sur mes hanches. Je sentis son sexe derrière moi, sur mes fesses.
« Caresse moi, n'aie pas peur. »
Je le regardai découvrir mon corps de ses mains de ses yeux. Timide au début, ses mains allaient de mes cuisses au creux de mes reins. Il pressait mes seins avec douceur, avançait la tête pour les embrasser. Je me penchai pour l'aider. Sa main passait entre mes cuisses. Il me touchait de façon maladroite comme beaucoup de débutant.
« Doucement, dégrafe le body, tu y arriveras ? »
Je le regardai faire. Je croisai les bras et relevai le body pour l'enlever par le haut. Je restai nue les cuisses écartées de part et d'autre de son torse devant lui un long moment. Lui laissant le temps de me regarder, me toucher. Il était maladroit, brusque me faisait mal, je dus freiner certaines de ses caresses et lui en interdire d'autres. De temps en temps, je sentais son sexe sur mes fesses.
Je me suis assise sur ses cuisses, pris le préservatif et le déroulai le long de sa verge tendue. Relevée de nouveau au-dessus de lui, j'ai pris et dirigeai son sexe entre mes cuisses. Il me regardait faire, me tenait par les hanches. Doucement, je me suis pénétrée. Je regardai son visage ses yeux. Je bougeai doucement je contractai les muscles de mon vagin sur son membre.
Il était si beau, je me penchai sur lui. Je sentis ses mains courir sur mon corps. Le plaisir qui grandissait dans son ventre fut presque perceptible à la vue. Son visage, ses yeux, les mouvements de son ventre, ses mains qui me serraient les hanches à m'en faire mal, sa respiration. Il se libera en fermant les yeux le visage crispé comme si il souffrait...Je restai un moment au-dessus de lui le laissant reprendre son souffle.
Je le raccompagnai jusqu'à la porte du couloir ouù m'attendait Catie. Il pleuvait, il me regarda une dernière fois avant de disparaitre.
***
La pluie venait de reprendre et ne cessait de tomber. Je tendis Catie le billet que je venais de gagner.
« Un puceau, c'est mon premier.
- Je me suis un peu doutée qu'il était puceau. C'est souvent que les garçons perdent leur pucelage avec nous.
- Les filles, c'est plus rare ! »
Nous eûmes un éclat de rire. Elle regarda le ciel et fit la grimace.
« Jean-Paul sera là dans dix minutes. »
Je la regardai.
« Comment de dire je n'ai pas trop envie de… souffrir réellement.
- Ecoute Sandie, cela va bien se passer. Tu n'as rien à craindre. Il va te faire peur, te donner quelques claques sur les fesses, t'attacher peut être, et te prendre un peu durement.
- Je ne l'ai jamais fait comme cela.
- Tout se passera bien. Tu vas découvrir la soumission. Il en pince vraiment pour toi. Je suis sûr que tu vas beaucoup aimer, et que tu en redemanderas. »
Je fis la grimace, pas vraiment convaincue par les explications de catie.
« Monte dans ma chambre et attends-nous. Je l'attends ici. Rassure toi je lui dirais de te ménager, je vais lui parler. Tu veux bien ?
- Oui Catie, tu es sympa.
- Demande ma clé à Gérard et attends-nous. Dis-lui que pour ce soir, c'est fini. Il pleut trop fort et plus personne ne viendra. »
Je laissai Catie sur le porche et rejoignis Gérard qui me donna la clé de la chambre, lui dis qu'il pleuvait beaucoup et que Catie voulait rentrer. Que pour ce soir, c'était plus ou moins fini.
J'eus la nette impression qu'elle ne désirait pas trop que j'entende sa conversation à mon sujet avec Jean-Paul. J'allai dans la chambre de Catie et m'assis sur le lit en attendant qu'elle remonte. Je ne fus pas vraiment inquiète, jusqu'ici l'expérience l'aventure se déroulait relativement bien. J'en s'avais un peu plus en une soirée sur les hommes, leurs désirs leurs fantasmes leurs vices. Leurs façons de nous regarder de nous désirer, de nous toucher. J'en savais aussi beaucoup plus sur moi. Je ne me saurais jamais crue capable de telles choses. Je m'étonnai moi-même. Je repensai au début de soirée chez moi.
Au routier, puis le magrébin, le type de Toulon qui m'avait peut-être reconnu, je n'en n'étais pas vraiment sûr. Le jeune puceau qui lui était si tendre si beau dans son innocence. Tous ses hommes qui venaient de croiser ma vie durant cette nuit. J'avais partagé avec eux des moments de tendresses, de plaisirs. L'arrivée de Catie mit un terme à mes réflexions.
« Il vient de téléphoner, il sera là dans cinq minutes, c'est lui qui te ramène, Alain et moi nous rentrons. Plus personne de viendra, il pleut à verse.
- Non, Catie pas chez moi. J'ai trop peur des….
- Attends, tu ne vas rien faire chez toi. Vous restez ici et il te raccompagnera après. Cela te va ?
- Oui comme cela je préfère.
- En plus il a payé entièrement ta dette, et même beaucoup plus. Tu ne dois plus rien et je lui ai demandé de te ménager. Il n'y a pas de problème il fera très attention.
- Je ne vous dois plus rien ?
- A Alain non c'est fini. Maintenant tu vois avec Jean-Paul. Il,… il t'a achetée. Je veux dire, il a acheté ta dette. C'est pareil, tu comprends ?
- Oui, enfin non pas vraiment. Il vient quand ?
- D'un instant à l'autre, Gérard est parti, c'est lui qui raccompagne les deux filles qui tapinaient plus bas. Je l'attends aussi pour lui donner les clés et je me sauve. Alain m'attend dans la voiture. Viens, on va l'attendre en bas. Vous aurez l'hôtel pour vous deux.
- Comment ça ? Il n'y aura plus personne ?
- Vous serez que tous les deux. Il y a de grandes chances qu'il t'emmène dans la chambre du haut. Alors, ne sois pas surprise.
- Quelle chambre du haut ?
- Celle qui est équipée pour les séances de sadomasochistes. Sandie je t'ai déjà expliqué.
- Je sors ton manteau et le laisse dans la loge. Tu ne l'oublieras pas Sandie. Garde le blouson si tu veux, c'est un cadeau. La fille à qui il appartient ne reviendra plus.
Je la suivis. Elle déposa mon manteau sur la chaise dans la loge de Gérard. Un homme montait les escaliers. Il apparut dans la lumière, mon cœur ce mit à battre plus vite. Je vis son regard en premier, ses yeux un frison parcourut mon épiderme et me donna la chair-de-poule. Grand plutôt maigre vêtu d'un costume sombre il tenait dans sa main un sac en papier. Il me regarda un court instant droit dans les yeux. J'eu subitement très froid.
« Tu es déjà là ? Je ne t'ai pas entendu venir.
- Oui ils t'attendent dans la voiture juste devant. J'avais hâte de commencer le dressage de ma nouvelle… recrue.
- Je fermerais la porte avec la clé d'Alain, tiens je te confis les miennes. Ferme bien à clé aussi.
- Ne t'en fais pas Catie de toute façon je suis là jusqu'à deux ou trois heures. Cela ne devrait pas prendre beaucoup plus de temps.
- Oui, je crois moi aussi. Bon j'y vais moi. »
Je regardai l'heure, il n'était pas onze heures. Je devrais donc passer trois à quatre heures seule avec lui ?
J'eus un moment d'inquiétude, j'essayai de ne pas le laisser paraitre. Je ne comprenais pas tout le sens des phrases qu'ils prononçaient.
« Je vous laisse les tourtereaux. Amusez-vous bien et ne faites pas trop de bruit. Au revoir Sandie et a un de ces jours je suis sûr, tu es très gentille et suis contente d'avoir fait ta connaissance.
- Au revoir Catie, moi aussi.
- Jean-Paul a demain, et vas-y doucement hein, le travail est déjà presque fait ! »
Catie descendait et me laissait seule dans l'immeuble avec Jean-Paul. J'entendis la porte se refermer et quelques instants plus tard, la serrure claquer dans un bruit métallique. Jean-Paul rentra dans la loge et prit un verre vide qui trainait sur la table. Ouvrit le sac en papier qu'il tenait, en sortit une bouteille de whisky qu'il recouvrit avec le verre. Il me regarda et me montra la bouteille.
« Pour toi Sandrine, pour t'aider… et te réchauffer. »
Je fronçai les sourcils, du whisky… pour m'aider à quoi ?
« C'est… vous qui allez me ramener à Toulon ?
- Maître, appelle-moi maître maintenant tu as compris ?
-….
- Répète ta question. »
Son regard ne me quittait pas, le ton de sa voix avait changée. J'avais lu et vu des photos, des articles qui se rapportaient aux relations sado-masochistes consenties. Je devais baisser les yeux devant lui. Ne pas soutenir son regard. Je baissai les yeux en signe de soumissions.
« C'est… c'est vous maître qui allez me ramener à Toulon… ? »
Je répétai ma question d'une voix plus douce. Une délicieuse boule d'angoisse et de désirs prenait naissance au creux de mon estomac. Je pensai que j'allais vivre des moments d'émotions et de plaisirs encore insoupçonnés. Une suite logique à mes yeux ; en cet instant ; après tout ce que je venais de vivre.
Je ne voyais pas encore le danger, le piège dans lequel je m'étais mise seule, il a une semaine de cela en téléphonant à Roger. Piège qui venait juste de ce refermé sur moi, en faisant un bruit métallique de serrure qu'on ferme.
« Tu as compris Sandrine ?
- Oui maître. «
Le ton de sa voix était menaçant. Il alluma les lumières de l'escalier supérieur et éteignit celles de l'escalier du bas et de la loge.
« Beaucoup de choses vont changer pour toi. »
Je ne comprenais pas le sens de ses paroles. Ce qu'il voulait avant.
« Monte. Le dressage d'une jeune pouliche prend du temps. »
L'ordre m'était donné d'un ton sec. Je pris l'escalier il me suivit. Je me retenais pour ne pas paniquer. Je ne sentais pas le froid, mais je tremblai.
« Couloir de droite, porte du fond. »
Le couloir était dans la pénombre, une sorte de veilleuse jaune en était la seule source d'éclairage, disposée juste au-dessus de la porte du fond. Il éteignit la lumière de l'escalier et me rejoignait devant la porte. Il tenait la clé dans sa main. Je le regardai tourner la clé dans la serrure. La porte s'ouvrit avec un grincement qui me donna la chair de poule.
Sandrine Toulon juillet 2012
Marseille : Le piège se referme.
Fin de la 2° partie
*****
Marseille : Descente en enfer.
3° partie
La 3° partie de cette histoire, si elle est écrite, devrait en principe comporter des descriptions de sadismes et de violences.
Sa publication de ne devrait pas intervenir avant un mois et demi à deux mois.
Merci de votre compréhension.
- Commentaires textes : Écrire
La plage de Pen-Bron
Il y a quelques années, j'avais l'habitude de me rendr sur la plage naturiste de Pen Bron, près de Mesquer, en Loire-Atlantique. Dans la journée, cette plage est fréquentée aussi bien par les libertins que par les familles. Mais il est vrai qu'à ce moment-là, les coquins se font discrets... Cependant, vers dix-sept heures quand les familles commencent à rentrer chez elles, on assiste à un étrange ballet...
Il y a de plus en plus de gens à se promener le long de la mer, qui regardent ostensiblement vers la plage, et non vers l'horizon. On voit les femmes, allongées sur le sable, qui prennent des poses bien moins sages que quelques minutes auparavant. Les couples présents s'embrassent aussi de façon plus lascive, de façon plus intense…
Je ne faisais pas exception. Quand je me rendais compte que dans un rayon d'une centaine de mètres, il n'y avait plus d'enfants, je m'allongeai sur le dos, les jambes en crochet, et bien écartées... Ainsi, les hommes qui passaient le long du rivage, avaient une vue imprenable sur mon intimité.
Quand certains semblaient s'intéresser à moi, je commençais à me caresser les seins d'une façon, je dois le dire, très indécente... Je pinçais mes mamelons, je les faisais se dresser afin que nul n'ignore dans quel état d'excitation je me trouvais.
Quand le soleil commençait à vraiment tomber sur la mer, et qu'il n'y avait vraiment plus que des adultes sur la plage, les choses « sérieuses » commençaient... Je vais vous raconter maintenant l'une des expériences qui m'a le plus marquées.
Ce soir de juillet, il devait être près de dix-neuf heures, il ne restait vraiment plus sur la plage que des adultes visiblement prêts à tout.
Depuis un moment déjà, un certain nombre d'hommes, je dirais une petite dizaine, restaient non loin de moi, alors qu'un moment plus tôt, il n'y avait presque personne. Ils regardaient de façon persistante dans ma direction, et je savais très bien à quoi m'en tenir.
Je décidai de commencer ma petite exhibition. Je m'allongeai sur le ventre, m’arrangeant pour faire glisser du sable sur mon ventre afin de soulever mes hanches. Ainsi, tout le monde avait une belle vue sur mes fesses et sur ma chatte. Je glissai ma main sous mon pubis et commençai à me caresser lentement.
Il n'en fallut pas plus pour que les hommes présents s'approchent, comme des ours vers un pot de miel…
Je me cambrais encore plus, de façon à écarter mes fesses et que tous voient bien ce que j'étais en train de faire. Une chaleur intense irradiait mon bas-ventre et l'excitation montait de façon inexorable... J'adore ces moments, où je sens les regards qui se posent sur moi et le désir des hommes présents monter inexorablement.
D'ailleurs, lorsque j'ouvrai yeux, j'en vis trois ou quatre qui avaient déjà la bite bien dressée et qui me regardaient d'un air gourmand.
Parfois, quand j'y repense, je me dis que j'étais un peu inconsciente, d'être seule avec autant d'hommes qui auraient pu faire de moi exactement ce qu'ils voulaient, que je le veuille moi ou non...
Mais comme je l’ai dit parfois dans d'autres récits, à cette époque-là, et il me fallait mes doses de sexe quotidiennes, que je prenne des risques pour ma sécurité ou pas. Ce soir-là, je savais que j'allais être comblée... Les hommes formaient maintenant un cercle autour de moi, une petite dizaine je pense.
Entre leurs jambes, je voyais pas très loin, un couple qui avait commencé une levrette, et que d'autres personnes les mataient en se branlant avec vigueur... Au moins, je n'étais pas toute seule...
Pour en offrir plus à mes voyeurs, je décidai de me retourner sur le dos et m'allongeai, les bras écartés les jambes tout aussi écartées, totalement offerte à leurs yeux vicieux. Un s'enhardit, et me toucha un sein. Immédiatement, un autre en fit autant. Là, je décidai de poser mes limites :
« Eh les mecs, je suis là pour vous, mais je suis aussi là pour moi. Parmi vous, j'ai un ami. Si l'un de vous dérape, il interviendra et vous ne ressortirez pas indemne de cette plage... »
Je bluffai, bien évidemment, mais ce truc avait souvent fonctionné.
Je repris la parole :
« Je vous laisse se faire ce que vous voulez, mais quand je dis stop, c'est stop. Vous pouvez me toucher, me lécher, m'embrasser, me caresser partout, et pour la pénétration, c'est avec capote et quand j'ai dit oui. Vous êtes tous d'accord ? »
Ils semblaient tous un peu surpris de mon petit discours, en mais ils acquiescèrent tous de la tête.
« Alors Messieurs, je suis à vous, je suis votre poupée du soir... »
Ce fut le signal. En quelques secondes, il y avait des mains partout sur moi. Elles me caressaient partout, j'avais l'impression d'un ballet magique qui n’épargnait absolument aucun endroit de mon corps... Bien évidemment, ce sont mes seins et ma chatte qui avait le plus d'attention. Je sentais mes chairs intimes en étirée en tous les sens ouvertes, malaxer, le tout dans un silence impressionnant.
On écarta mes jambes un peu plus en grand. Un homme s'agenouillait entre mes cuisses, et entreprit de me dévorer férocement la vulve. Je n'attendais que ça, et mon excitation monta encore d'un cran. Au-dessus de mon visage, je ne voyais que des que bites, des sexes, des mandrins de toutes tailles, de toutes formes, bien dressés et bien durs.
Cette vision finit par me faire totalement chavirer et j'ai eu mon premier orgasme en criant tout mon plaisir dans le soir couchant...
Certains se reculèrent, un peu surpris par l'intensité de mes cris. Mais j'étais comme ça... J'avais besoin de crier pour que mon orgasme soit total.
Un homme s'agenouillait près de moi, suivit immédiatement d'un second. Visiblement, il voulait que je les suce. Je ne me fis pas prier, attrapant une bite dans chaque main et les suçant alternativement. Je les pompais avec, vigueur, d'autant plus que d'autres hommes continuaient de me dévorer l'entrejambe avec passion.
Me sentir ainsi exhibée, triturée, être aussi « salope » propulsa en moi un nouvel orgasme. Je jouis pour la seconde fois en criant tout aussi fort que la première. Il n'en fallut pas plus pour que les deux mecs que je pompai jouissent sur moi.
D'un ton autoritaire, je leur dis :
« Maintenant vous nettoyez, vous léchez… Je ne veux pas de ça sur moi. »
Un obtempéra, et l'autre s'éloigna en haussant les épaules, mais je vis avec plaisir un autre homme venir lécher la semence qui coulait sur mon sein.
« Enfin, voilà un vrai vicieux comme je les aime... »
Avec la main j'attrapais son bras et je l’amenai vers moi. Je lui dis doucement :
« Tu m'as l'air d'un gros cochon toi... Tu aimerais lécher tous les foutres qui vont couler sur moi ?
- Heu... Oui... Si vous voulez... Vous savez, je suis un peu soumis, et si vous voulez que je sois votre jouet, je serai votre objet sexuel que vous voudrez...
- O.K. tu es embauché. Alors, regarde le gars est en train de mater ton cul, eh bien tu peux aller le sucer pour me faire plaisir.
- Oui maîtresse, j'y vais tout de suite. »
Et effectivement, j'avais remarqué qu'un des hommes présents regardait plus les fesses de celui qui venait me parler en étant à quatre pattes, que les miennes... Je me dis que ce gars-la devait être soit homo, soit bi. Je savais que les homos venaient parfois dans ces regroupements autour des femmes, car ils trouvaient beaucoup d'hommes à disposition.
Il semblerait que je ne m'étais pas trompée, car le mateur se laissa gober la queue sans aucune protestation.
La, mon bonheur était complet, d’autant qu’un autre homme glissa vers moi et me dit :
« Je peux te baiser ? Ta chatte me fait trop envie.
- Oui si tu veux, mais fait en sorte que les autres voient bien ce que tu me fais. Prends mon sac juste derrière moi, il y a des capotes. Fais attention avec le sable, si tu en mets dessus, ça va me faire très mal...
- Oui je vais faire attention c'est promis tu es trop belle pour que je t’abîme… »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il attrapa dans mon sac un la boîte de capotes, en sortit une et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, il avait enfilé. Il se positionna devant moi, posant mes mollets sur son torse, il me pénétra d'un coup, et son sexe rentra en moi très facilement, tant j'étais déjà trempée par mon excitation, et mes précédents orgasmes…
Deux autres hommes avaient pris la place des précédents et je les pompais allègrement, heureuse de tenir dans ma main de gros engins bien montés. Autour de nous, les autres se branlaient plus ou moins vigoureusement. J'en voyais qui jouissaient, puis s'éloignaient, aussitôt remplacés par d'autres. De loin en loin, j’apercevais des attroupements, et j'imaginais qu'il se passait la même chose un peu partout, soit des femmes seules comme moi, soit des couples en pleine baise sauvage...
La plage était devenue un gigantesque baisodrome à ciel ouvert.
J'étais dans un état second, et je sentis à peine le premier homme jouir en moi. De toute façon, il se retira et fut aussitôt remplacé par un autre qui attendait son tour, la queue couverte de son latex, pour me prendre aussi. L'un après l'autre, les deux hommes que je suçais ont aussi joui sur mes seins. Mon nouveau soumis, qui regardait la scène tout en aspirant vigoureusement le mateur, cracha la bite, et vint se jeter sur le sperme fraîchement émis, comme un chien sur un os.
Il nettoya tout avec application, n'en laissant pas une goutte. Puis il retourna vers le sexe toujours dur du bi qui attendait patiemment.
Moi, je me laissais besogner sans fin avec l’autre mec qui, en plus, caressait mon clitoris bien sorti. Avec bonheur, je vis un homme se pencher vers moi et le lécher en même temps que la pénétration continuait.
En peu de temps, mon baiseur jouit aussi et fut aussitôt remplacé par un troisième.
De voir ce mini gang-bang qui s'organisait décupla mon excitation, si c'est encore possible… La langue agile qui me triturait le clito me fit décoller pour la troisième fois. Je criais encore plus fort tant les visions que j'avais autour de moi m'excitaient à mort.
Des hommes qui se branlaient, un peu plus loin des couples qui baisaient comme des fous, un homme en suçant un autre, moi qui me faisais défoncer allègrement, le tout en plein soleil et sur la plage... Tous mes souhaits étaient réunis, tous mes plaisirs favoris étaient là...
J'avais enfin tout le sexe je voulais... Je savais que ça pouvait durer des heures... Mais je n'attendais que ça.
À un moment, un homme prit la parole :
« Messieurs, il faudrait passer aux choses sérieuses, la dame n'a que deux trous occupés. »
Ce langage cochon contribuait à maintenir mon excitation. Aussitôt, les hommes encore présents approuvèrent bruyamment.
« Ouais, ouais, il faut aussi lui défoncer le cul... »
J'attendis que celui qui me baisait avec force finisse de jouir pour me retourner, et me mettre en levrette. Je sortais de mon sac un tube de lubrifiant et une nouvelle boîte de capote.
Avant que j’aie eu le temps de dire quoique ce soit, un homme s'était allongé entre mes jambes, et me bouffait la moule sans vergogne. Je tressaillis, car je ne m'attendais pas à une telle attaque mais j'appréciais, d'autant qu'un autre avait pris le tube de lubrifiant et commençait déjà à me travailler ma petite rondelle avec un doigt bien lubrifié.
D'autres doigts continuaient d'ouvrir ma chatte. J'adorais cette sensation d'être totalement impudique, ouverte de partout, offerte de partout... Ma fleur était béante des différentes pénétrations et mon cul n'allait pas tarder à l'être aussi …
Je sentais plusieurs doigts bien graissés tenter de rentrer dans mon conduit anal, qui s’ouvrait petit à petit. il ne m'en fallait pas plus pour jouir une nouvelle fois. L’homme qui me léchait émis un grognement de plaisir :
« Mhummm elle coule, la garce, elle mouille comme une chienne... Comme ça coule... J'adore ça ! »
Juste à côté de moi, mon nouveau soumis avait fini de pomper l'homme qui s'était éloigné. Il revint près de moi et me dit à l'oreille :
« Vous savez maîtresse, si vous voulez, je peux aussi me faire enculer devant vous...
- Oui vas-y, je t'autorise, mais j'espère que tu as ton lubrifiant, parce que moi, je n'en n’aurais pas assez.
- Oui maîtresse, j'en ai toujours dans ma sacoche. Au fait, je m'appelle François. »
Je pris à nouveau la parole pour tous ceux qui étaient présents :
« Messieurs, certains de vous n'étaient pas là tout à l'heure... Je vous répète ce que j'ai dit tout à l’heure à vos prédécesseurs. Je suis à votre disposition, mais si je dis non, c'est non. En plus en, si certains d'entre vous le souhaitent, il y a mon soumis à côté de moi qui veux bien se faire enculer... Après tout, un cul est un cul, alors si vous voulez, il est à vous... Ah, et aussi, pas une seule pénétration sans capote. Le premier qui ose tenter ça, il n'en sortira pas indemne »
Il y eut de petits rires, et un homme vint immédiatement près du jeune homme. Je le savais, il y a toujours des amateurs pour ce genre de chose, même si beaucoup d'hommes s'en défendent. Peu osent avouer leur penchant bi, avouer leurs envies de sodomiser sauvagement un autre homme. Après tout, c'est juste un signe de pouvoir absolu d'un être humain sur un autre…
Ce dernier ne s'embarrassa pas de précautions : il encula à quasiment à sec François, qui gémit sous l'assaut brutal. Je suis toujours surprise de voir à quel point les hommes peuvent être brutaux entre eux….
Le jeune homme était en levrette, et un autre larron, sans doute lassé d'attendre son tour avec moi, vint se positionner devant lui, et lui enfourna la queue au fond de la gorge, sans aucun ménagement. Il la lui baisa comme il l’aurait fait avec un con. François avala l’engin en entier, sans protester. Il était doué pour les gorges profondes, on dirait…
Une fois de plus, j'avais juste sous les yeux mon spectacle favori : un homme en train de sucer un autre, et de se faire défoncer allègrement. D'autant que je sentais que la même chose n'allait pas tarder à m'arriver...
En effet, l'homme qui me léchait se retira et un autre va titiller mon anus avec sa bite couverte de latex. Il enfonça d'abord son doigt bien lubrifié, afin de me garnir copieusement pour ne pas que je n'ai mal. Lentement, il entama sa progression dans mon intimité, s’embrochant au plus profond de mon cul. J'accompagnais son mouvement de mes hanches, afin de rythmer la pénétration à ma guise. Les autres l'encourageaient de la voix, et continuaient de se masturber de plus en plus fort.
Voulant rester maître de mes émotions, je refusai de sucer un autre homme. Du coup, il se rabattit vers François. Il se retrouvait avec deux chibres à pomper alternativement. Mais visiblement, il y trouvait un plaisir certain.
La queue était maintenant bien fichée dans mon cul tendu vers le ciel, et il entama des aller et retours qui me firent me dilater au maximum. J’hurlais sous cette caresse profonde et intense. En même temps, des doigts fouillaient ma chatte, pressaient mon clito, j'étais comblée...
Pour la je ne sais combientième fois, je jouis en criant à gorge déployée, d'autant que rien ne m'obstruait les lèvres. Mon enculeur accéléra le rythme, et je sentis la chaleur de sa crème à travers la mince paroi de latex. Il se retira, et je sentis le vent frais rentrer dans mon intérieur. Délicieuse sensation...
Il ne se passa pas une minute sans qu'un autre vienne prendre sa place. Si mes souvenirs sont bons, ils furent cinq à se succéder ainsi dans mes entrailles.
Je jouis à plusieurs reprises, tant cette sensation d'être traitée comme une salope m'excitait au plus haut point. J'avais enfin tout le sexe « hard » dont j'avais besoin ce jour-là...
Mais genoux commençaient à me faire mal, aussi, quand le dernier eut fini, je me retournai sur le dos et demandais grâce quelques minutes. Certains n'étaient pas prêts à me laisser tranquille, mais en toute gentillesse. Avec douceur, ils continuaient de me caresser tout le corps, mangeant mes tétons, enfouissant leurs doigts dans mon vagin distendu. L’un vint se pencher à mon oreille et me murmura :
« Est-ce que tu envies d'un fist ?
- Non pas vraiment mais si tu veux, tu m'écartes la chatte bien à deux mains j'adore ça... »
Il obéit aussitôt, se positionna entre mes jambes, et avec ses deux mains, écarta ma chatte en grand. Je sentais l'air pénétrer mon intérieur et je voyais les hommes qui se penchaient pour me regarder avec attention. Il semblerait que certains n'avaient jamais regardé aussi profondément l'intimité d'une femme... Des exclamations fusaient :
« Mhummm, quelle chatte…
- oh, qu’elle est belle…
- muhummm, ca donne envie…
- putain, la garce, quel cul elle a !
- je veux la baiser encore ! »
Certains m’auscultaient comme l'aurait fait un gynécologue. Et j'aimais ça, et j'aimais tellement ça... Il n'y a rien de plus que j'aime autant que d'être ouverte, écartelée au maximum et que des hommes viennent me regarder de partout....
Soudain, je sentis un objet dur qui rentrait dans ma chatte béante. Je soulevais la tête et je vis un concombre, tenu par une femme que je n'avais pas vue arriver.
« Alors ma belle, on se fait défoncer ? Si tu veux j'en ai d'autres pour toi...
- Si tu veux, mais n'y vas pas trop fort mon vagin n’est pas si grand que ça...
- Tu me laisses te faire ce que je veux ?
- Oui tout, » soufflai-je dans un soupir d’aise…
Comme certains le savent, je ne suis pas particulièrement bi, mais vu l’ambiance si sexuelle de cette soirée, je ne pouvais pas dire non…
Elle se mit à quatre pattes, offrant une croupe très généreuse aux yeux des hommes présents. Certains devaient déjà l'accompagner car elle était à peine dans cette position, qu'un mec vint la prendre assez rudement.
Elle me besognait sans fin avec le cucurbitacée, et se penchait de temps à autre pour aspirer mon clitoris. Les hommes s'étaient un peu écartés et faisaient cercle autour de nous. Ils admiraient le spectacle de cette femme se faisant défoncer allègrement, et qui en même temps, baisait mon intimité avec un gros concombre.
J’ordonnais alors à François de lâcher ses hommes et de venir me sucer les seins. Là encore, j'étais au paradis : caressée, léchée, pénétré de façon magistrale, et tous ces hommes qui se branlaient juste au-dessus de moi...
Ils éjaculaient les uns après les autres, et à chaque fois qu'un jet s'écrasait sur moi François lâchait mes seins pour aller le gober. Cela dura un temps infini… Je jouis plusieurs fois, je suis incapable de dire combien.
Le soleil s'était couché derrière l'horizon, et la nuit commençait à tomber. Nous étions de moins en moins nombreux, et seuls restait la femme, celui dont j'appris plus tard qu'il était son mari, François mon nouveau soumis et moi-même. Pendant encore un long moment, nous nous sommes tous câlinés, embrassés, baisés, enculés, mordillés...
Bref, nous avons fait tout ce que quatre personnes peuvent faire entre elles. La nuit était bien noire quand nous sommes retournés à nos voitures, épuisés mais heureux de cette partouze magistrale...
J'ai souvent renouvelé cette expérience même si elles n'ont pas toujours été aussi « complètes » et intenses que cette fois-là. Je regrette que dans ma région actuelle il n'y ait pas d'endroit où l'on puisse en faire autant... Ce sont des endroits bien plus cachés, où ça arrive vraiment par hasard, et non pas quasiment institutionnalisé...
À très vite, pour vous raconter mes anciennes expériences vécues...
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