Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée très enrichissante - la fin !
♥ Chapitre 11 ♥
Une dernière soirée tranquille
Je me lève et viens m'assoir à califourchon sur Monsieur Serge, toujours assis dans le fauteuil. Je le saisis par le menton et l'embrasse avec fougue. Ses mains, tenant toujours son éternel cigare, caressent mes fesses avec douceur, puis viennent soupeser mes seins, qu'il porte à sa bouche pour les embrasser et les dévorer. Je regrette qu'il ne bande plus. J'ai tellement envie de lui... Ma main se pose entre mes cuisses et, ouverte du plaisir que j'ai pris, j'enfourne trois doigts directement en moi afin de simuler une pénétration de M. Serge. Dans un ultime orgasme, je l'embrasse à nouveau à pleine bouche.
« Merci Mademoiselle K. Je suis heureux et profondément touché que tu acceptes que je te touche. J'aimerais te regarder prendre une douche et même si tu m'y autorises te laver moi même.
- Bien sûr M. Serge, avec plaisir. »
Je le prenant par la main, me dirige vers la salle de bain. Je monte dans la baignoire et dés que l'eau est chaude, je lui tends le pommeau de douche. Il me demande de lui tourner le dos et je sens l'eau claquer sur la cambrure de mes reins. Je l'accentue en propulsant mes fesses vers lui. Il remonte le pommeau pour venir arroser mes épaules puis ma tête. L'eau chaude dégouline en cascade sur les seins, mon dos, mes fesses, elle glisse sur mon ventre pour finir sa course entre mes lèvres encore sensibles du plaisir de mon après midi. Bientôt, entièrement mouillée, Monsieur Serge se saisit du savon qu'il fait délicatement courir sur mon corps.
Doucement, le pain effleure ma peau, il en dessine les courbes, les vallons, les plaines. Il est comme un artiste croquant le modèle qu'il convoite. Dans sa façon de me caresser, je décèle qu'il s'attache à la petite chienne qu'il a payé plus de cinquante mille euros. Je ne sais s'il a des scrupules à avoir mis entre nous cette histoire d'argent, s'il regrette que le week-end se termine, mais je sens dans son regard de la mélancolie, de l'envie, un semblant de tristesse. Ses gestes sont tendres et, les mains mousseuses, il savonne mon corps.
Mon cou, mes seins, mon ventre, mes cuisses, il évite soigneusement ma zone intime. Timidité ou envie de garder le meilleur pour la fin, je ne saurais le dire. Il continue de m'asperger d'eau. Le jet dirigé sur un sein, le téton érectile se tend ostensiblement. Il le prend en bouche et le tète amoureusement, tout en douceur. Je le laisse s'amuser de mon mamelon. Le jet descend sur mon ventre pour s'immobiliser sur mon intimité. J'écarte les cuisses et il retourne le pommeau. Le jet percute alors mes lèvres, je gémis de plaisir et écarte plus encore mes cuisses.
Le fracas de l'eau sur mon sexe est une douce torture que je me plais à subir. Je sens l'eau taper régulièrement sur mon clito. Je sens monter un feu que l'eau attise au lieu d'éteindre. J'en éprouve tant de plaisir que je ne peux tenir debout. Je m'affale sur le rebord de la baignoire, où je pose un pied pour lui laisser tout le loisir de jouer avec le pommeau. Il me regarde dans les yeux et m'embrasse fougueusement en continuant d'arroser mes lèvres. Puis au bout de quelques instants, il me demande de me mettre à quatre pattes dans la baignoire. J'obéis et écarte les jambes. Il commence à m'arroser le dos. L'eau fouette ma peau et c'est un vrai bonheur. Il fait remonter et redescendre le jet le long de ma colonne vertébrale. Je sens le jet se diriger sur mes fesses, le long du sillon. Je me crispe, et tends ma croupe.
Ses mains caressent les lobes fessiers et le jet s'insinue entre mes fesses. Je gémis de plaisir lorsque, réglant le pommeau sur le jet le plus recentré et le plus violent, il s'attarde sur mon petit trou. La violence du jet masse mon œillet qui sous ce traitement se détend et s'ouvre. Mes cuisses écartées l'incitent à venir jouer avec mon intimité. C'est d'abord ses doigts qui viennent jouer sur mes lèvres. De son index et de son majeur, il vient ouvrir mes lèvres, découvrant la chair intime et mon clitoris déjà tendu d'envie. Il vient alors arroser la partie découverte. Le battement de l'eau sur mes parties intimes me fait hurler de bonheur.
Son annulaire prend la place de son majeur pour écarter mes lèvres et ce dernier s'immisce en moi. Il me pénètre d'un doigt en arrosant mon clito. La sensation est si forte que je jouis immédiatement. Un râle de plaisir s'échappe de ma bouche et le comble de bonheur. Il se met à me doigter frénétiquement, et ce sont maintenant ses trois doigts qui me secouent pendant que le jet frappe mon clitoris. À deux autres reprises, il m'amène à la jouissance. C'est à dix-neuf heures trente que nous passons à table. Exténuée, je manque de m'endormir devant le repas. Comprenant que j'avais donné plus que je ne pouvais, il me propose de me faire raccompagner chez moi par le chauffeur, mais je n'en ai pas envie. Après ce dîner, nous nous installons dans le salon.
C'est lovée dans ses bras que je m'endors très vite.
♥ Épilogue ♥
C'est dans la chambre de Monsieur Serge que je me réveille ce lundi matin. Après le petit déjeuner, nous discutons de ce week-end. Je me prends à apprécier de plus en plus mon geôlier et même à ressentir quelques sentiments amoureux pour cet homme qui, vendredi soir, me répugnait plus que tout. Il me propose de rester avec lui encore un peu. Mon travail m'appelant, je ne peux accepter. Il savait bien que cette histoire ne serait que passagère, mais je crois qu'il s'est pris à rêver. Je lui avoue que j'aimerais le revoir mais que je ne peux pas abandonner mon travail. Je lui propose donc s'il est d'accord de venir me chercher chez moi dans quelques jours.
Après plusieurs mois d'une relation platonique mâtinée de jeux érotiques et d'intrusions d'hommes, Monsieur Serge et moi nous marrions. Mariage célébré devant tous nos amis, dont la plupart ont connu mon intimité, Marc étant mon témoin. Le repas et la nuit de noce ressemble à une soirée libertine. Depuis, je vis dans la grande demeure de Serge, et nous pratiquons toutes sortes de jeux, en France où à l'étranger.
J'étais sa chienne d'un week-end, je suis devenue sa femme pour la vie.
FIN !
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Découverte des joies du saphisme.
( Comment Lydia, une adepte des clubs libertins où elle se livre en compagnie de son mari au mélangisme, découvre à plus de trente ans les joies du saphisme).
Bonjour mon Matou coquin.
Voici la lettre promise. Comme je te le disais tout à l'heure, quand tu es venu me faire un petit coucou amical dans ma chambre sur le site coquin où je m’exhibe, j'ai eu la chance de découvrir les plaisirs charnels avec une femme ravissante samedi dernier.
Alors voilà, je vais te raconter cette découverte. Avec mon mari, nous sommes allés passer la soirée de samedi dans ce club libertin de Bourges où nous avons nos habitudes, histoire de se changer un peu les idées et surtout pour profiter ensemble du jacuzzi et hammam !
Peu après notre arrivée, nous étions tranquillement assis au bar en train de prendre un verre lorsque je me suis aperçue qu'un homme me regardait avec insistance (ce qui a le don de me mettre mal à l'aise).
J'en parle aussitôt à mon mari qui se tourne vers lui et là, ils entament la discussion. Je me dis « Mince alors ! » car ce soir-là, je n'avais pas spécialement envie de faire une rencontre.
C'est alors que l'homme se présente et me dit que son amie qui est à ce moment-là sur la piste de danse, me trouve très excitante et qu’elle aimerait que l'on fasse des jeux toutes deux.
A trente six ans, n'ayant jamais eu le plaisir de jouer entre femmes, je me sens plutôt coincée, et d'un coup je ne sais plus quoi faire alors qu’avec un homme, je suis assez entreprenante.
C'est alors qu'elle vient vers moi et se présente. Elle me propose d'aller discuter un peu toutes deux seules. J'accepte et on s'en va dans un petit salon libre à ce moment. Je lui explique que je n'ai jamais eu l'occasion d'embrasser une femme mais que j'ai envie de tenter l'expérience. Nous décidons de rester dans ce coin câlin où mon mari nous rejoint car je ne fais rien sans lui.
Assez grande pour une femme, je suis brune avec des longs cheveux noirs que je laisse généralement libres sur mes épaules. Mes yeux verts sont toujours très légèrement maquillés mais hélas, je dois porter des lunettes. J’ai une jolie poitrine assez généreuse et très sensible avec des aréoles très foncées et je porte un bijou accroché à mon nombril. Ma toison est toujours rasée de près, surtout quand je sors en club libertin.
J’ai des hanches un peu larges (j’ai deux enfants déjà adolescents) et des fesses bien rebondies et fermes. Mon mari aime particulièrement me prendre en levrette, comme cela il peut accéder à mes deux entrées très facilement.
Ce soir, je porte un caraco sans manche en velours mauve lacé sur le devant qui met ma poitrine en valeur et laisse découvrir le bijou de mon nombril. En bas, un mini string de la même couleur avec une courte jupette en voile barrent encore mes hanches.
Céline, ma compagne est assez mince, très belle femme blonde avec de longs cheveux frisés. Un peu plus grande que moi, je pense qu’elle a environ 40 ans. Vêtue d’une jupe courte noire ainsi que d’un haut noir largement décolleté, elle était légèrement maquillée avec de très beaux yeux verts avec de longs cils presque noirs qui lui font des yeux de biche.
Elle a une poitrine plutôt petite avec des seins très fermes, qui, je l’ai senti en les caressant, sont siliconés. Elle a des hanches étroites et une taille peu marquée. Après m’avoir enlacée, elle m’embrasse langoureusement et elle m’allonge sur un des divans.
Elle me regarde et sourit en me demandant si tout va bien. Elle ajoute trouver ma bouche très sensuelle et aimer le parfum de fraise de ton rouge à lèvres demande si elle peut continuer.
Je lui souris à mon tour et lui dit que oui. Je sens tout mon corps frémir lorsqu'elle me caresse le long de mes hanches en remontant sous ma jupette. Chez moi, c’est je dois dire, une zone plutôt érogène qui a tendance à bien commencer à me faire mouiller lorsqu’on s’y intéresse comme elle le fait.
Dans le même temps, elle continue de m’embrasser en me léchant le cou derrière les oreilles. De mon coté, mes mains osent enfin se promener sur ses fesses nues et j'adore cela !
Elle fait glisser ma mini jupe le long de mes jambes et me l’enlève. Je sens ses mains qui m'effleurent le sexe et là, une sensation de bien-être m'envahit et j'ai comme des fourmis dans tout le corps.
Céline a dégrafé mon caraco, et je sens sa bouche qui suce mes tétons et ensuite, tout doucement, elle descend vers mon nombril. Sa langue tournoie autour de celui-ci, puis elle agace le creux avec la pointe de sa langue. Elle continue à descendre vers mon mont de Vénus et là, je sens une chaleur intense m'envahir.
Elle me fait un cunnilingus très doux, et moi, les yeux fermés, je m'abandonne à l'extase tout en serrant fermement la main de mon mari qui me caresse les cheveux.
Pendant qu’elle mangeait ma chatte jusqu’à bien me faire jouir, mes mains se sont baladées sur le haut de ses épaules, dans ses longs cheveux frisés. C’est tout ce que je pouvais atteindre !
Après m’avoir fait jouir, elle s’est relevée, s’est rhabillée et nous a laissés, mon mari et moi, en me disant qu'elle était très heureuse d'avoir été ma première expérience. Et moi, je n'ai pas osé lui demander ou lui faire d’autres caresses que celles dont je viens de te parler.
Dans une rencontre avec un homme ou deux, je suis plutôt active et entreprenante. Là, même si je suis restée un peu timide, j’ai beaucoup aimé qu’une femme me touche et me caresse comme l’a fait Céline.
J’espère pouvoir recommencer bientôt avec une femme mais cette fois ci je prendrai plus d'initiatives. Mais pendant tout le temps où j’étais avec Céline, mon mari et d’autres coquins jouaient les voyeurs, admirant notre couple saphique.
Un petit peu désemparée de cette aventure et heureuse de l’avoir connue, je me suis réfugiée dans les bras de mon mari. Il a baisé doucement mes lèvres en me demandant si j’étais heureuse. Je lui ai répondu par l’affirmative mais que j’avais envie de lui maintenant.
Je sentais sa bite dressée entre nous deux. J’ai passé mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille et je me suis empalée sur sa queue et nous avons basculé sur le divan où il m’a baisée comme un dieu.
Voila mon histoire, j’espère t’avoir donné cher Matou coquin tous les détails que tu attendais.
Lydia, la coquine.
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La suite des aventures de Lydia.
Mon coquin chéri !
Comme convenu je t'envoie un aperçu de notre dernière soirée en club. Tout raconter serait trop long mais j’ai passé une très bonne soirée.
Alors voilà nous sommes sortis en amoureux le weekend dernier Nous nous sommes rendus dans le club où nous avons l'habitude d'aller. Il y avait pas mal de monde à notre arrivée vers 22 heures.
On n’a donc pas trainé pour aller au jacuzzi où nous avons commencé à nous taquiner un peu devant un homme qui aurait bien voulu participer. Moi je n’en ressentais pas l'envie. Nous alternions les passages dans le bain à remous et les séances sur les matelas du solarium.
Au bout d'une bonne heure de « mise en bouche » je décide d'entrainer mon mari dans une pièce ouverte à la vue de tous et je commence à lui faire une petite gâterie comme j'aime ! Tu sais combien j’adore sucer mon homme ! Cela achève de m’exciter.
Je regarde de temps en temps autour de nous et je me rends compte que plusieurs mecs sont là en train de se toucher pendant que je m'amuse. Cela m'excite encore plus si besoin était !
Mon mari me demande si j'ai envie d'un cunnilingus. J'accepte immédiatement en lui disant que j’en ai même très envie.
Il m'enlève ma serviette et je me retrouve nue. Il m'allonge et pendant qu'il me lèche goulument, je sens une main sur mon sein droit j'ouvre les yeux et je vois un homme qui s'approche et commence à me lécher le téton puis à le mordiller. Tu sais combien mes seins sont sensibles...
J'ai ressenti une telle excitation que je l'ai laissé faire. Je dois dire que le fait qu'un inconnu me caresse en plus de ce que Patrick (mon mari) me faisait m'a rendu raide dingue. Je me suis laissé aller et j'ai eu une jouissance démentielle.
Après je me suis relevée et mon homme m'a proposé un petit massage (il y a une salle avec table de massage et huiles parfumées). Nous somme donc allé tous les deux dans la salle qui était libre. On a laissé la porte ouverte et pendant que Patrick me massait, une femme et deux hommes sont entrés.
Au bout d'un moment la femme m'a demandé si elle pouvait aider mon mari. J’ai alors répondu qu’elle pouvait y aller, qu’un massage à quatre mains, ce serait encore meilleur.
C'était très agréable. J’avais une multitude de sensations. Ensuite nous avons inversé les rôles. Je l'ai massée avec mon homme. Un autre homme s’est joint à nous. Au fur et à mesure, les choses ont commencé à se préciser.
Je me suis installée à côté d'elle et on s'est embrassées et caressées sous le regard des hommes qui continuaient à nous masser les jambes en remontant jusqu’au pubis. Je lui ai léché les seins et le pourtour du nombril. Depuis ma petite aventure avec Céline, j’étais un peu plus hardie avec une femme.
Après son compagnon l'a prise en levrette au bord de la table de massage pendant que je suçais le mien. Nous n'avons pas échangé nos hommes car je dois te le rappeler, nous sommes des mélangistes. On a continué à jouer un peu. Toute les deux nous avons sucé mon mari puis le sien dans une fellation à deux bouches.
A la fin chacun a pénétré sa partenaire car je n’en souhaitais pas plus. Elle m'a dit qu’ils aimaient les fessées et un peu de rudesse dans les joutes amoureuses. Ce n’est pas notre truc. Chacun a fini selon ses gouts.
Voilà un petit résumé. J'espère que cela t'as plu !
Gros bisous mon matou ! A bientôt ! Bonne fin de weekend.
Lydia.
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Une soirée très enrichissante - 6ème partie
♥ Chapitre 10 ♥
Éric et Sébastien
Une douce musique s'élevant du rez-de-chaussée me sort de mon sommeil. Je m'étire sur mon lit, reprenant doucement conscience. La nuit que je viens de passer m'a passablement fatiguée, comme le week-end d'ailleurs. Mon corps me tire, me fait mal, mais c'est une douleur si agréable. J'aime ressentir ces tiraillements synonymes d'un plaisir intense. De moments passés à baiser sans retenue. M'être retrouvée attachée ainsi, livrée en récompense à ces quatre hommes pendant toute cette nuit a été une expérience si excitante, que me la remémorer provoque un désir irrésistible de me caresser.
Sortant lentement de ma torpeur, mes doigts courent doucement sur mes seins, de la pulpe de mon index, je fais doucement le tour de mes aréoles, provoquant une chair de poule agréable. Doucement mes tétons se tendent. J'aime cette sensation que me procurent mes caresses. Lentement, j'ouvre mes cuisses et plie mes jambes. Je mordille ma lèvre inférieure en gémissant. Je caresse mes seins, les prends à pleines mains, les presse l'un contre l'autre. Je me cambre à former une sorte de tunnel entre mes épaules et mes fesses.
Le plaisir que je me procure rien qu'à la caresse de mes seins ouvre irrésistiblement mes lèvres intimes. Les yeux fermés, les images de la nuit me reviennent. Ces sexes qui se succèdent dans ma bouche, dans ma chatte, dans mes mains. Ces bouches qui me fouillent et me procurent du plaisir. Je me tortille sur le lit. Ma main droite glisse entre mes seins, le long de mon ventre pour arriver à mon pubis. Mon index se fraie alors un chemin entre mes lèvres déjà humides. Sans me pénétrer, mon doigt glisse entre, venant au contact de mon petit bouton. Je gémis de plus belle. Les plaisirs solitaires m'ont toujours procuré énormément de plaisir, mais les images qui me viennent décuplent mon envie de jouissance.
Très vite, mon index entre en moi pendant que ma paume masse l'entrée de mon intimité. Lentement, le plaisir monte, mais je le retiens, je ne veux pas venir trop vite. Mon majeur rejoint mon index et c'est de deux doigts que je me pénètre. Je me souviens soudain que la chambre est sous surveillance vidéo et j'imagine que M. Serge est derrière son moniteur à profiter du spectacle que je lui offre, ce qui ajoute encore à mon désir de jouissance, désireuse de le remercier du plaisir qu'il m'a offert toute la nuit.
La tête en arrière, je remarque le traversin qui trône au sommet du lit. Je m'en saisis et l'amène sur moi entre mes cuisses par dessus ma main droite toujours collée à mon intimité. J'enroule mes jambes dessus et pose ma main gauche dessus afin de mimer un rapport sexuel avec ce semblant de corps. Fait de plûmes, sa lourdeur fait presque illusion. Je bouge mon bassin avec ardeur imaginant un homme me besognant amoureusement. Au bout de quelques minutes, je bascule sur le coté, maintenant toujours le traversin entre mes cuisses. Je les serre contre et bouge sensuellement le bassin, me penchant en arrière mes lèvres vont et viennent contre le tissu de la taie de traversin.
Je sens que Monsieur Serge me regarde, je ne sais pas pourquoi mais j'en suis persuadée. D'un mouvement nonchalant, je finis à califourchon sur le traversin. Écartant les cuisses pour être au maximum en contact avec ce mannequin de chiffon, entament un allé-venu de bon bassin comme je le ferais sur un homme. Ma main droite reprend sa caresse et joue avec mon clitoris. Ma main chauffe, court de mes seins à mes cheveux, puis sur ma bouche. Je mordille mon index, fixant du regard l'un des caméras. Je deviens folle de désir, d'envie de me faire prendre sauvagement par un homme.
Toute à mon plaisir, je n'entends pas la porte s'ouvrir. La voix de M. Serge raisonne alors et me fait sursauter.
« Tu es décidément insatiable, Mademoiselle K. Être ton mari ne doit pas être de tout repos.
- Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher.
- Au contraire, jeune femme, au contraire, j'aime ton appétit. Depuis une heure que je te regarde, je me suis rendu compte que tu aimes ça. J'ai donc appelé du renfort. Messieurs, vous pouvez entrer »
Je sursaute. Comment ça ? Il a invité des hommes ?
Deux hommes font leur entrée dans la chambre. Leur regard en dit long sur leur excitation.
« Cela fait dix minutes qu'ils t'observent et je peux te dire qu'ils ont très envie de toi. ».
À peine a-t-il fini sa phrase que les deux hommes sont déjà debout sur le lit, de chaque côté de mon corps, encore à cheval sur le traversin.
« Je te présente Éric et Sébastien, et tu peux voir qu'ils sont impatients de s'occuper de toi. »
Éric est un jeune homme brun, d'environ un mètre soixante-quinze, à peine trente ans, il semble plutôt musclé. Son charmant visage presque innocent dénote avec son comportement présent. Son regard presque violent en dit long sur son intention.
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Sébastien lui, semble un peu plus vieux. Plus mince qu’Éric, il doit mesurer un mètre quatre-vingt-dix. Émacié, il est bien moins beau que son complice. Il dégage pourtant un certain charme. À peine ai je eu le temps d'observer les deux garçons que leurs sexes tendus se dressent devant moi. Comme en dehors de mon corps, spectatrice de ce qui se passe, je me vois alors saisir ces deux membres dans mes mains et les masturber en cadence.
Mes mains glissent sur chaque sexe, les tendant un peu plus à chaque passage. Impatients, presque maladroits, les deux hommes quittent leurs chemises. Éric est le mieux bâti des deux. Ses abdominaux bien dessinés sont en harmonie avec ses pectoraux et ses bras musclés. L'absence de poil et le hâle de sa peau rehaussent la quasi perfection de son torse. Sébastien est lui tout le contraire. Sa peau blanche fait ressortir sa maigreur. Il est plutôt poilu du torse dont aucun muscle n'est dessiné.
La différence entre les deux hommes se voit aussi au niveau de leurs sexes respectifs. Éric est doté d'un sexe qui s'en être court n'impressionne pas par sa longueur. Sa largeur, par contre, me surprend puisque je ne peux en faire le tour avec ma main. Circoncis, son gland est épais, bourrelé. Je ne peux m'empêcher de penser que je vais le sentir passer. Le sexe de Sébastien est un peu comme lui. Long, très long, il est assez fin, presque sans aucun relief. La courbure vers le haut laisse présumer des levrettes absolument jouissives.
Ces deux sexes en mains et l'idée de les sentir en moi me font littéralement tremper le traversin sur lequel je continue de me caresser. Je les regarde tous les deux et croise leurs regards pervers. J'ouvre la bouche et sors ma langue. Je la dirige sous le gland d’Éric et je joue à le faire rebondir sur le petit matelas sortant d'entre mes lèvres. Il semble aux anges et gémit en basculant sa tête en arrière. Je n'en oublie pas ce cher Sébastien, que je continue à branler fermement.
Les deux hommes se sourient en se tapant dans la main. Ma langue tourne autour du gland d’Éric. Je recentre les cercles pour venir récolter le plaisir qui perle de son méat, d'un grand coup de langue. Puis je passe au sexe de Sébastien que j'emprisonne entre mes lèvres. N'en saisissant que le gland, je creuse mes joues comme pour le lui arracher. Un soupir de plaisir et de surprise s'échappe de sa bouche. Mes reins s'activent sur le traversin.
Alors que je caresse la queue d’Éric, les mains de Sébastien se pose sur ma tête et me pousse à l'avaler. Sans résister, je le laisse attirer ma tête vers lui et j'avale avec gourmandise son sexe. Arrivé à la moitié, il sent que je ne peux pas plus et relâche l'étreinte. Je recrache son sexe pour pouvoir reprendre mon souffle mais, à peine son gland sorti de ma bouche, ne m'en laisse pas le temps et tire de nouveau pour me pénétrer plus loin encore. Je manque de m'étouffer et de déglutir, mais expertement, il sait le moment où il faut ressortir pour mieux y revenir.
Éric, se sentant quelque peu délaissé, tient ma main fermement et se masturbe dedans. Après quelques va et vient du même type, c'est presque tout le sexe de Sébastien qui entre dans ma bouche. Ses testicules peuvent presque toucher mon menton. Il tient alors cette position quelques secondes, ses deux mains fermement agrippées à mon crâne, jambes légèrement pliées, le dos courbé sur moi. Il grommèle comme un ours avant de quitter ma bouche. Un filet de bave relie encore ma bouche à son sexe, quand il attrape ma tête, la tourne vers le sexe d’Éric qui s'engouffre entre mes lèvres sans attendre.
Seul son gland arrive à entrer dans ma bouche, écartelée par la grosseur de son sexe. Les yeux exorbités, j'ai du mal à retenir les larmes perlant aux coins de mes yeux. C'est avec difficulté qu'il profane ma bouche. Ma langue ne peut faire autrement que de caresser le dessous de son sexe ce qui semble décupler le plaisir qu'il ressent à prendre ma bouche. Il commence alors un va et vient sauvage. J'aime sentir ma bouche déformée par son sexe. Il baise littéralement ma bouche, la main enroulée dans mes cheveux qu'il tient fermement.
Mon bassin, toujours actif sur le traversin, s'électrise au contact de la main de Sébastien qui descend le long du sillon de mes fesses. Son index stoppe sa course sur mon œillet qu'il commence à caresser pour le détendre. Je m'associe à son traitement en me cambrant un peu plus et en accompagnant sa caresse par des mouvements de bassin plus précis. Je prends plaisir à être la chose de ces deux garçons. Continuant à sucer Éric, qui ne me laisse aucun répit, je sens l'index de ce cher Sébastien se frayer un chemin dans mon petit trou.
La première phalange est presque entièrement entrée en moi et d'une légère poussée, je l'aide à entrer plus avant. Il décide qu'il n'est plus nécessaire que je le masturbe et il vient se positionner à genoux derrière moi pour mieux me pénétrer de son doigt. Éric vient alors se positionner devant moi et écartant les jambes pour mieux se stabiliser, se cambrant fièrement, il me baise carrément la bouche en me tirant à lui par les cheveux. J'explose sur le traversin. Sébastien récolte le plaisir entre mes lèvres pour faciliter la pénétration de son doigt. Je le sens tourner en moi, se plier se redresser, fouiller mon conduit. C'est une telle sensation !
Profitant d'un répit laissé par Éric, sa main se pose sur mes reins pour me forcer à me baisser et ainsi ouvrir encore plus mes fesses. Éric le réprimande et comprenant où il veut en venir, s'assoie en souriant, passant ses jambes de chaque côté de moi pour que son sexe dressé puisse se trouver directement sous ma bouche ouverte. Sa main me pousse à le ravaler et c'est de plus belle qu'il m'oblige à un va et vient.
Ainsi cambrée, plaquée contre le traversin, Sébastien présente son gland sur mon petit trou. Je l'entends cracher et sens immédiatement la chaleur de sa salive sur mon œillet, que son gland vient étaler. Je le désire tellement que mon corps tremble. Mon anus palpite à ce contact et c'est moi qui viens, par un mouvement, réclamer la pénétration. C'est presque sans difficulté que son gland entre en moi. Je pousse afin qu'il entre encore plus loin. D'un grand mouvement du bassin, c'est tout son sexe qui me pénètre dans un grand râle. Il pèse alors de tout son poids sur mon corps pour me plaquer plus fort sur le traversin. Ses va-et-vient m'obligent à ressentir la caresse du tissu. Sa main rejoint celle d’Éric pour m'obliger à l'avaler.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes se retirent. Je reprends doucement mon souffle. Poussant le traversin, Éric vient prendre sa place sous moi. Son sexe tendu caresse mes lèvres gorgées de désir, dégoulinantes de plaisir. Il n'a aucun mal à me pénétrer malgré la taille de son sexe. Je m'empale sur lui avec envie et je me mets à le chevaucher avec frénésie. Les mains d’Éric, se posent sans tendresse sur mes fesses pour les écarter. Il relève la tête pour que sa bouche puisse se saisir d'un de mes seins et mordiller un téton. Il le mâchouille, l'aspire, le maltraite. Les fesses écartées par Éric, Sébastien n'a aucun mal à reprendre sa place dans mon anus, et c'est avec coordination qu'il entame un lancinant mouvement chacun de son côté.
J'explose de plaisir à cette double pénétration. J'aime sentir ces deux sexes coulisser en cadence de chaque côté de la paroi qui sépare mon vagin de mon anus. Très vite, l'orgasme monte et c'est en criant de plaisir que je m'affale sur Éric. Ce n'est pas pour autant qu'ils ralentissent, et c'est dans un mouvement frénétique qu'ils continuent leur forage de mes orifices. C'est avec plus de sauvagerie qu’Éric malmène mes seins, et me pénètre. D'un coup, sans prévenir, Sébastien se retire de mon anus. Sans ménagement, il m'attrape par les bras et me relève. Mes lèvres restent béantes de la pénétration d’Éric.
Sébastien passe mes bras autour de son cou et d'un mouvement m'oblige à me soulever de terre. Comme un bilboquet, je m'empale sur son sexe qui entre en moi sans problème. Je crie de plaisir. Ainsi pendue à son cou, il s'agenouille puis s'allonge. Son sexe, plus fin mais plus long que celui d’Éric vient buter au fond de mon intimité alors que je me retrouve à genoux sur lui. Éric saisit mon cou et me pousse à me coucher sur Sébastien. La peur me prend lorsque je sens son gland flirter avec ma petite rose pourtant détendue du traitement que m'a infligé Sébastien. C'est avec appréhension que je le sens se frayer son chemin. Je crie de douleur et de plaisir mêlés.
Mon sphincter tire, j'ai peur qu'il me déchire mais au bout de quelques instants de tous petits coups rapides, il cède et c'est avec un plaisir infini qu'il réussi à entrer presque entièrement en moi. Mes deux amants reprennent leur pilonnage intensif et c'est de nouveau que mon plaisir explose. Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir à être embrochée par deux hommes.
Le torse d’Éric se désolidarise de mon dos, saisissant mes bras, il me force à me redressée, toujours fermement empalée sur leur deux sexes. S'asseyant pour coller ses fesses à celles de Sébastien, je me retrouve à cheval sur leurs deux sexes. Leurs jambes s’entremêlent et couchés sur le dos, ils se regardent en souriant, croisant leurs mains derrière leur tête. Sébastien me sourit et je comprends que, fatigués, ils me demandent de faire un peu le travail à leur place. Je commence alors à bouger sur leurs deux sexes fichés en moi.
Je tourne la tête et sourit à Monsieur Serge. Mes mains caressent mes seins et je m'active empalée à la fois par le sexe et par l'anus sur mes deux étalons. C'est moi maintenant qui mène la danse. Et je bouge sur ces deux bites comme une ballerine. Sentant qu'ils sont sur le point de jouir, ils tentent de bouger pour reprendre le contrôle. Mais l'inconfort de la position ne leur permettant pas de bouger suffisamment, je garde les commandes et accentue le mouvement. C'est dans un râle commun qu’ils viennent ensemble dans chacun de mes orifices. Alors que je les sens convulser en se répandant leur sperme au fond de moi, une nouvelle vague de jouissance me submerge et au bout de quelques secondes, je m'affale sur Éric.
Ses mains se posent sur mes seins et les caressent. Le visage renversé, je regarde M. Serge en lui souriant. Je lui envoie un baiser suivi d'un « Merci ». Je me désunis de mes deux amants. Pendant plusieurs minutes, allongés tous les trois sur le lit, leurs mains douces et puissantes parcourent langoureusement mon corps. Rien qu'à me caresser ainsi, ils me mènent à nouveau au plaisir. C'est vers dix-huit heures que nos hôtes prennent congés.
Monsieur Serge les remercie et ils quittent la maison. Je les soupçonne d'être aussi heureux que je le suis au même instant.
A suivre...
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Une journée spéciale avec Spit
Cela faisait plusieurs mois que Monika et Yvan dialoguaient sur la toile sur un forum qui traitait de femmes désireuses de faire l’amour avec des chiens. Ils y firent la connaissance d’une jeune femme. Chloé, c’était son nom, leur semblait sympathique et équilibrée. Son expérience était particulièrement excitante. Il y a trois mois, en rentrant de la fac plus tôt que prévu, elle avait surpris sa mère à quatre pattes sous l’un des deux chiens de la famille.
Black, un Danois de bonne taille la besognait avec ardeur. La mère de Chloé gémissait et poussait de petits cris. Chloé regardait, fascinée par le spectacle à la fois bestial, excitant et si puissamment érotique. Elle sentait une vague de chaleur monter dans son ventre, sa bouche devenait sèche. Malheureusement, les clés qu’elle tenait dans sa main lui échappèrent et tombèrent sur le carrelage. Sa mère s’était dégagée rapidement de l’étreinte du chien, elle s’était relevée et avait enfilé son peignoir de satin noir.
Au début gênée, elle avait décidé de parler honnêtement à sa fille. Chloé n’avait pas connu son père qui les avait abandonnées à sa naissance. Sa mère n’avait jamais eu beaucoup d’amants. Aude, la mère de Chloé expliqua à sa fille qu’elle avait découvert le plaisir canin, il y a trois ans.
Un jour, Black s’était frotté sur sa jambe alors qu’elle sortait de la douche. Elle l’avait repoussé mais il revenait sans cesse. Elle avait fini par céder, et l’avait laissé enserrer sa cuisse et se branler sur sa jambe. Quelques minutes après, il éjaculait. Elle avait du sperme sur sa jambe et son pied. Elle se rinça sous la douche. Le soir, elle repensa à ce qui s’était passé dans l’après-midi. Elle jouit en s’imaginant couverte comme une chienne.
Quelques jours après, le chien à nouveau s’excita sur sa jambe. Mais cette fois, Aude se mit sur ses genoux, et présenta à Black son derrière. Le chien se positionna sur elle, il se mit à pomper… Aude le guida dans sa chatte humide. Le chien la pénétra profondément. Il s’agitait en donnant de violents coups de rein. Aude ressentit un plaisir immédiat. Le chien s’arrêta. Elle crût qu’il était entré entièrement en elle, mais quand elle sentit qu’il forçait, elle comprit que ce qu’elle prenait pour les couilles du chien, était en fait son nœud. Elle se sentait maintenant entièrement prise. Le chien jutait sans arrêt. Elle sentait le sperme qui lui remplissait la chatte. A nouveau, elle se mit à jouir.
Elle n’avait jamais connu de tels orgasmes, et depuis, elle faisait l’amour avec son chien à peu-près une fois par semaine. Elle était même retournée acheter un autre chiot danois. C’est ainsi que Spit avait fait son apparition à la maison, il y a deux ans.
« Tu dois me prendre pour une folle ? » dit-elle à sa fille.
Chloé avait écouté sa mère, et elle aussi, lui avoua que parfois, elle touchait le sexe d’un des deux chiens, et qu’elle était même allée jusqu’à une masturbation avec éjaculation. Chloé avait promis à sa mère de chercher sur internet d’autres femmes qui étaient dans la même situation, afin de lui prouver qu’elle n’était pas folle et que son comportement n’était pas si rare que cela. C’est ainsi que Chloé fit la connaissance de Monika et Yvan.
Une première rencontre fût convenue avec Chloé dans un café du centre-ville. Au fond du bar, dans un endroit calme et discret, Monika et Yvan aperçurent la jeune femme, ou plutôt la gamine… Elle semblait si jeune, même si son maquillage et sa jupe droite fendue sur des bas anthracites, la vieillissaient quelque peu. Elle leur sourit quand ils s’assirent auprès d’elle. Ils commandèrent du champagne ; après tout, le milieu de l’après-midi l’autorisait. Chloé affichait une maturité étonnante pour son âge. Elle aimait le sexe sous toutes ses formes.
Sa mère, libérale sur ce point, l’avait incitée à découvrir son corps très tôt. Elle lui avait appris à se caresser et à laisser libre cours à son imagination pour atteindre le plaisir. Chloé était ravie de savoir que Monika désirait plus que tout connaitre l’expérience d’être prise par un chien.
Ils quittèrent le café pour se rendre dans la maison de Chloé et de sa mère. Celle-ci les accueillît avec sympathie et les mit à l’aise. Aude, la mère de Chloé était une superbe femme d’une quarantaine d’années. Elle était très sexy. Une longue robe noire et décolletée dans le dos s’arrêtait à peine au dessus de la naissance de ses fesses. Des escarpins avec des talons de quinze centimètres lui cambraient les reins et mettaient en valeur sa chute de reins.
De bas fins noirs galbaient ses jambes fines et délicates. Monika était elle en mini robe blanche quasi transparente et qui laissait deviner la pointe de ses seins. Elle avait aussi des hauts talons blancs, et ses jambes étaient gainées de bas ivoires.
« Une vrai petite mariée » avait lancé Chloé. Aude avait ajouté que le blanc ressortirait bien sous le pelage de Black. Elle ouvrit la porte aux chiens.
Spit était plus petit que Black et d’un beau pelage gris. Les deux chiens étaient bien élevés et se tenaient correctement, attendant les ordres de leur maitresse.
Du champagne fût servi et l’ambiance était de plus en plus détendu et excitante. Yvan avait posé sa main sur les cuisses de Monika et remontait doucement vers son sexe. Il lui fit écarter les jambes, et se mit à la masturber devant Aude et Chloé. Monika gémissait, Aude s’approchât d’elle et l’embrassa sur la bouche. Leurs langues s’enroulaient, se tortillaient. Chloé avait retroussé sa jupe et retiré son string. Elle le lança vers Yvan. Celui-ci le porta à ses narines et le huma longuement.
Le fin tissu était trempé, une douce odeur de cyprine s’en dégageait. Elle le regardait fixement, effrontément. Il lui fit signe d’approcher, ce qu’elle fit. Il lui demanda de se déshabiller devant lui. Elle s’exécuta lentement, sans le quitter des yeux. Elle se retrouva toute nue, ses adorables petits seins pointaient de désir.
Yvan laissa Aude s’occuper de Monika. Les deux femmes se retrouvèrent en 69, et se léchèrent mutuellement le clitoris. Les deux chiens commençaient à tourner autour d’elles. Au bout d’un moment, Aude fit mettre Monika à quatre pattes. Black se mit à la sentir et à la lécher. Monika sentît la langue puissante s’insinuer dans son sexe. Elle ressentait des ondes de plaisir dans tout le ventre.
Après plusieurs minutes, Black se mit sur le dos de Monika. Il commençait à pomper dans le vide. Sa bite frottait sur les fesses de la femme d’Yvan. Avec sa main, elle prit la queue, la branla entre ses doigts et la dirigea vers sa fente. Le chien l’enfila d’un coup. Il allait et venait en elle avec une force incroyable. Pendant ce temps Aude avait fait de même avec Spit.
Les deux femmes, l’une à coté de l’autre se faisait mettre par les deux chiens. La vision qu’elles avaient l’une de l’autre leur donnait un plaisir intense. Elles se sentaient chiennes, elles appartenaient à leurs chiens, elles étaient leurs femelles. Monika sentit le gros nœud de Black forcer son passage. Elle se sentait remplie comme elle ne l’avait jamais été. Elle se mit à jouir en sentant le sperme inonder ses parois intimes. Elle savait qu’Yvan la regardait se faire prendre par un molosse.
Aude aussi se prit des giclées puissantes de foutre, au moment où Spit s’immobilisa, tout en la maintenant fermement de ses pattes avant. Après quelques minutes les chiens se décollèrent en faisant hurler à nouveau de plaisir les deux femmes. Elles se remirent l’une sur l’autre, têtes bêches, les chattes dégoulinantes de sperme, qu’elles léchèrent avec volupté et délectation.
Pendant ce temps, Yvan baisait Chloé. Il la prenait dans toutes les positions. Ca plaisait à la jeune fille. Elle avait commencé par lui faire une fellation pendant qu’il regardait sa femme se faire prendre par le chien. Ensuite il avait sucé sa petite chatte et son petit cul. Il l’avait prise en lui relevant les jambes sur ses épaules, et l’avait pénétrée bien à fond.
La gamine s’était mise à jouir, quand il l’avait traitée de petite salope et qu’il allait bientôt l’enculer. Il la fit mettre sur le ventre, pour profiter au mieux du charmant spectacle de ses fesses bien relevées, et de sa chatte presque glabre. Sa queue avait pris ce beau petit cul. Il l’avait sodomisé pendant de longs instants, tout en lui branlant le clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau. N’en pouvant plus, il lui avait ensuite déchargé sa semence brulante sur les fesses.
Le reste de la journée se passa entre caresses et baises. Les femmes entre elles, ou avec les chiens. Yvan éjacula une dernière fois. Son sperme gicla sur la bouche, la joue et le front de Monika. Aude et Chloé se précipitèrent pour embrasser et lécher le visage couvert de foutre.
Monika et Yvan prirent congé de leurs hôtesses, en toute fin de journée, non, sans promettre de se revoir très rapidement.
Sur le seuil de la porte, au moment de partir, Monika s’agenouilla pour caresser la grosse tête de Black. Elle le remercia de l’avoir fait jouir. Comme si il comprenait, le chien lui lécha le visage. Il semblait lui dire :
« Reviens bientôt, petite chienne ! »
Signé : Marc F.
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Le Cirque
J'ai toujours aimé le cirque et par chance, il en vient encore dans ma ville, au moins deux par an.
Quand j'étais enfant, aller au cirque était une récompense donc j'attendais de voir les affiches annonçant la date de passage et, par le plus grand des hasards, je devenais le plus « gentil » garçon du monde !
Habitant une grande ville, les cirques restaient une dizaine de jours, mes parents ne m'emmenaient au spectacle qu'une fois, mais j'avais la possibilité d'aller voir la ménagerie tous les jours, ce dont je ne me privais pas à la sortie de l'école.
J'étais fasciné par ce monde si particulier, adolescent j'avais compris qu'en allant voir la ménagerie, cela me permettait aussi de voir les coulisses du cirque.
La ménagerie proprement dite m'intéressait moins que tout ce qui gravitait autour, je me souviens m'être glissé sous le chapiteau pour voir les artistes répéter, personne ne venant me demander ce que je faisais là.
Les répétitions n'avaient rien à voir avec le spectacle, les artistes se parlaient normalement et pas toujours en Français, les tenues n'étaient pas les mêmes non plus, exit les costumes de scène chatoyants et bigarrés, chacun faisait son travail dans une partie de la piste, du « ring », comme disent les artistes.
Une année, la plus jeune sœur de ma mère est venue vivre chez nous durant un mois, une série d'examens médicaux l'obligeant à se rendre au CHU tous les trois jours.
Elle avait vingt ans, j'en avais presque dix-neuf, nous nous entendions très bien sur tous les plans, habitant la campagne, elle ne rêvait que d'une chose, venir vivre « à la ville », comme elle disait.
Pendant son séjour, un grand cirque est resté une dizaine de jours, je l'ai bassinée pour qu'elle m'accompagne visiter la ménagerie. Ne comprenant pas que je veuille y aller tous les jours, j'ai fini par la convaincre qu'il y avait d'autres choses à voir. Je savais, pour l'avoir déjà vu, que les artistes s'entraînaient ou mettaient au point de nouveaux numéros, s'il n'y avait pas matinée. Aucune surveillance ne s'exerçant autour du chapiteau, il nous était facile de nous glisser rapidement par une ouverture.
Un après midi, nous avons eu la chance de pouvoir assister à une répétition équestre, une femme menait six chevaux blancs splendides. Cette jeune femme d'une grande beauté, faisait évoluer les chevaux avec une grande cravache et un fouet qu'elle faisait claquer au dessus de leurs têtes, sans les toucher bien sur.
La répétition terminée, un lad s'est occupé de rentrer les chevaux, la dresseuse s'attardant avec une trapéziste qui venait de terminer son entraînement. Avant de sortir du chapiteau, elle nous repère dans les gradins et nous interpelle en Français avec un accent à couper au couteau et sur un ton pas très amical.
« Le spectacle vous a plu ? »
Nous étions scotchés sur nos bancs par la façon dont elle venait de nous parler, en infraction il m'est venu à l'idée qu'on allait nous foutre dehors mais personne n'est venu nous dire de partir. Certainement émue par notre désarroi, s'avançant vers nous un sourire aux lèvres, elle nous invite à la suivre. Ma cousine s'est levée la première, j'étais fasciné par cette femme qui me tendait la main pour m'aider à descendre.
Saisissant la main qu'elle me tendait, la dernière marche descendue je me suis retrouvé plaqué contre sa hanche.
Elle officiait en tenue d'écuyère, pantalon de cheval, bottes et redingote sur un chemisier à volants et chapeau claque. Elle me tenait la main, je ne l'ai pas lâchée et nous sommes sortis du chapiteau. Je sentais son parfum qui se mêlait à l'odeur si caractéristique des chevaux.
Nous avons traversé la zone ménagerie, sommes passés entre des camions pour arriver aux caravanes.
La femme ne disait pas un mot, ma cousine m'interrogeait du regard, je lui répondais en haussant les épaules. Nous entrions dans le monde des gens du cirque, une cité cosmopolite grouillante de vie, les gens s'interpellaient dans toutes les langues, riaient par ci, chantaient par là, quelques jeunes enfants jouaient à imiter leurs parents.
J'étais heureux et inquiet à la fois, je ne comprenais pas ce que nous venions faire en ces lieux, d'autant que notre guide ne disait rien, se contenant de répondre de la main aux saluts qu'on lui adressait.
Ma cousine devait être dans mon cas, je la sentais tendue et nerveuse, regardant sa montre d'un geste saccadé du bras. En croisant mon regard elle tape sur sa montre pour me faire comprendre qu'il est l'heure que nous partions. Nous arrivons à la caravane de notre écuyère qui m'invite à entrer, ma cousine restant en bas des marches.
L'extérieur de ce mobile-home est austère, mais l'intérieur est chaleureux et bien agencé. Elle me regarde en souriant et prend sur une étagère une photo d'elle avec ses chevaux et la dédicace.
« Comment t'appelles tu petit ?
- Dorian madame...
- Mais c'est un prénom d'artiste de cirque ça ! Tu as aimé mon spectacle ?
- Oh oui madame...
- C'est ta sœur ?
- Non madame, ma cousine...
- Tu aimes les chevaux ?
- Oui madame, beaucoup...
- Je suis Carla, dans le monde du cirque tout le monde s'appelle par son prénom et se tutoie... Tu peux revenir demain ?
- Oh oui !
- Alors je te montrerai ma troupe, ce sont des Lipizzans fabuleux... Demain, c'est Jeudi vient de bonne heure, vers deux heures ça ira ?
- Oui Carla... »
J'avais le cœur qui battait la chamade, Cécile, ma cousine s'impatientait devant la caravane, je lui ai montré ma dédicace.
« Tu vois, elle l'a faite pour moi ! »
Nous sommes rentrés à la maison, je ne lui ai rien dit pour le lendemain mais il allait falloir que je la joue fine pour pouvoir partir si tôt et sans elle. Je me suis bien débrouillé, ma mère ne s'y est pas opposée, j'ai du battre le record du monde de course à pied pour rejoindre le cirque.
Devant les caisses, je me suis aperçu que je n'avais pas un sou pour payer l'entrée de la ménagerie, j'ai eu beau dire au contrôleur que je venais voir Carla, il ne me croyait pas.
Je trépignais d'impatience, devant mon insistance il est allé voir à la caisse, la femme a passé un coup de fil, en revenant il était tout sucre et m'a laissé entrer en me saluant.
J'ai filé directement à la caravane dont la porte était entrouverte, j'entendais Carla fredonner, j'ai frappé trois petits coups brefs sur un carreau.
« Entrez, c'est ouvert... Ah c'est toi Dorian... Assieds-toi, je m'habille... Si tu veux boire, il y à du coca dans le frigo, les verres sont sur la table. »
Elle était nue, mais je n'ai eu le temps de voir ses fesses que très furtivement avant qu'elle entre dans sa chambre.
Cette vue m'avait émoustillé, je me suis servi un demi verre en l'attendant.
« C'est bien que tu sois venu... Aujourd'hui je ne travaille pas, il faut laisser les chevaux se reposer un peu... Nous irons les voir plus tard... »
J'avais une autre personne assise devant moi, habillée en tenue de ville, peu maquillée, elle me regardait en souriant.
« Alors comme ça tu aimes les chevaux ?
- Oui Carla, j'aimerais même faire votre... ton métier...
- Dresseur de chevaux ce n'est pas un métier Dorian, c'est une vocation et une passion. Mon grand père l'était, mon père l'était et je le suis devenu naturellement...
- Que dois-je faire alors ?
- Faire des études d'abord, puis te diriger vers les filières spécialisées, par la suite tu pourras opter pour ce qui te plaira le mieux. Le cirque c'est un autre monde Dorian, nous sommes des artistes... »
Je gobais ses paroles, sans pouvoir détacher mon regard de l'opulente poitrine qui gonflait son chemisier tendu à craquer. J'avais une main sur la table sur laquelle s'est posée une des sienne. Ce contact m'a fait frissonner en me provoquant la chair de poule.
« Et bien dit donc, tu es sensible !
-C'est que je...
-Je 'quoi ?
- Je te trouve très belle Carla...
- Dis-donc Dorian, c'est pour mes chevaux ou pour moi que tu es venu ?
- Les deux Carla... J'ai rêvé de toi cette nuit...
- Alors toi, tu ne perds pas le nord ! Mais rassure-toi j'aime ta franchise. Je n'ai jamais eu d'enfant et malheureusement je n'en aurais pas, mais j'aurais aimé avoir un fils. Trêve se sensiblerie, allons voir les chevaux... »
Elle m'a présenté un à un les chevaux, les six juments devrais-je dire et le seul mâle, nommé septième.
« Tu vois, ce cheval travaille seul, je ne peux pas le faire travailler avec les six juments, tu comprends pourquoi...
- Non...
- Dorian, c'est un male entier. Il ne peut pas travailler avec les juments si l'une d'elles ou plusieurs étaient en chaleur...
- Ca veut dire quoi « entier » ?
- Qu'il n'a pas été castré... Qu'il peut se reproduire, septième est un étalon... Castré ce serait un « Hongre »... Tu as déjà entendu ce mot ?
- Oui, dans les commentaires des courses hippiques...
- Tu as tout compris... Un cheval en présence d'une jument en chaleur peut s'exciter et développer son membre, tu vois le tableau dans le ring... Tu as déjà vu un cheval en érection ?
- Oh oui, plusieurs fois. Je vais en vacances chez mes grands parents à la campagne. J'ai même assisté à une saillie il y a trois ans...
- Ah bon ?
- Un après midi, dans un pré, un cheval est monté sur une jument, je passais juste au bon moment...
- Comment as-tu dit ?
- Je passais juste au bon moment...
- Tu as raison, c'est un moment merveilleux qui dure trop peu de temps malheureusement. Raconte-moi, ça t'a fait quelque chose ?
- Pas vraiment... Enfin si, mais j'étais avec ma cousine et j'ai du me contrôler...
- Te contrôler ?
- Oui... ça m'avait excité et j'ai senti mon sexe devenir tout dur...
- Tu as quel âge Dorian ?
- J’aurais dix-neuf ans dans quinze jours...
- Donc tu avais seize ans... Dorian, est ce que tu as... comment dire... déjà eu des rapports sexuels avec une fille ?
- J'ai une petite copine, mais nous ne faisons rien tous les deux, elle ne veut pas...
- Elle ne veut pas quoi ?
- Elle ne veut rien faire, même pas me toucher !
- Et toi, tu la touches ?
- Oh non ! On se promène main dans la main, quelques petits bisous et c'est tout !
- De ton côté, tu as déjà eu des relations sexuelles avec une fille ?
- Deux fois... Avec une amie de ma mère...
- Avec une amie de ta mère ? Mais c'est incroyable ça...
- Tu sais, je n'ai jamais été dupe...
- Comment cela, pas dupe ?
- Parce que je sais que tout a été manigancé par ma mère...
- Ta mère aurait commandité ton dépucelage par une de ses amies ?
- Je les ai entendues en parler, à leur insu, quelques jours après, son amie faisait même des commentaires sur ma prestation !
- Et alors, ces commentaires ?
- Carla, ça me gêne...
- Dorian, nous ne faisons que parler...
- Elle disait avoir passée des moments merveilleux, et qu'elle n'avait jamais joui comme ça !
- Et bien mon cochon, tu dois être fier de toi, non ?
- Oh oui...
- Et vous avez recommencé si j'ai bien compris...
- La semaine d'après. Cette fois, c'est moi qui l'ai provoqué, mais ça tombait mal...
- Pourquoi ?
- Elle avait ses règles...
- Et alors ?
- Alors nous avons fait comme la première fois sauf que je ne l'ai pas prise par devant...
- Evidement, il y avait un bouchon !
- Je ne savais pas qu'on pouvait faire ça...
- Et bien maintenant tu le sais... »
Tout en parlant, elle passe sa main sur la croupe de Septième qui balaye ses fesses avec sa queue, à chaque caresse la peau frissonne. Légèrement sur le côté, je peux voir la fabuleuse paire de couilles noires lorsque la queue s'écarte.
Carla ne me regarde plus, ses yeux sont posés sur la croupe et sa main comme attirée par le dessous de la queue, il m'a même semblé la voir toucher furtivement la paire de couilles.
Se ressaisissant elle me prend par le bras et nous quittons le box de Septième.
J'ai le temps de me retourner pour voir le sexe se développer sans devenir raide, un grand bout noir et flasque pend sous son ventre. Carla se retourne aussi et nous voyons septième se mettre à pisser une urine trouble et odorante.
La main de Carla cherche la mienne et la serre très fort, sa poitrine se soulève plus vite, sa lèvre supérieure se retrousse un peu, deux gouttes de sueur perlent sous son nez.
Elle se retourne vers moi en me fixant dans les yeux, sa main libre se pose sur mon sexe raide et le masse un peu.
« Toi aussi ça t'excite de voir la pine d'un cheval, hein ?
- Oui Carla...
- Tu aimerais le voir bander vraiment ?
- Oh oui...
- Alors fais le guet, s'il vient quelqu'un tu tousses... »
Elle s'avance vers septième dont le sexe et rentré, sa main va directement sous la queue et descend sur les bourses qu'elle empoigne à pleine main. Après un petit malaxage, la pine se déploie lentement d'abord puis devient raide et remonte pour taper sur le ventre.
Carla se recule pour mieux voir, je suis juste derrière elle.
De ses mains elle fait remonter sa jupe à mi cuisses, puis sa main droite se glisse entre ses cuisses, l'autre tenant la jupe relevée. Elle se masturbe jusqu'à ce que le sexe du cheval débande et regagne son fourreau, je me suis touché aussi mais en m'arrêtant avant de jouir.
La séance n'a pas duré trois minutes, Carla reste immobile un instant puis en rabaissant sa jupe, elle se tourne vers moi.
« Tu as aimé ? Quelle pine n'est ce pas ? Partons Dorian, on pourrait venir... »
Nous regagnons la caravane comme s'il ne s'était rien passé, je suis étonné par le signe que lui fait une femme qui se contorsionne sur une sorte de tatami le long de sa caravane.
« Carla, la femme dehors, elle t'a fait un signe, ça veut dire quoi ?
- Ca ne veut rien dire de spécial, juste un signe d'amitié. Dorian, tu as vu, je me suis touchée et maintenant, je suis excitée... Et toi, tu bandes ? »
Je me lève pour lui montrer la bosse qui gonfle mon pantalon.
« Si tu veux te masturber, fais le devant moi j'adore ça...
- Carla, je n'ai pas envie de faire ça...
- Tu veux me baiser ?
- Non Carla, te faire l'amour...
- Que tu es mignon ! Dorian, on ne me fait pas l'amour, on me baise ! Je n’en ai rien à foutre des sentiments, je baise pour jouir et accessoirement pour donner du plaisir. Mais avec toi je veux bien faire une exception, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie de te sucer... Sors ta queue... »
Je baisse à la fois slip et pantalon, je me déchausse et envoie le tout promener.
« Dorian !
- Oui Carla...
- Ce n'est pas possible... Tu es un monstre !
- Pourquoi ?
- Ta queue... Tu es sur de n'avoir que dix-neuf ans ?
- Oui, j'en suis sur !
- Je crois que je n'en ai jamais vue d'aussi grosse ni d'aussi longue. Je comprends pourquoi l'amie de ta mère faisait des éloges sur toi, et tu l'as prise par derrière, elle à du déguster !
- Non... J'étais aussi bien que devant...
- Et bien, elle doit s'en prendre un max ! Elle fait quoi dans la vie ?
- Infirmière...
- Dorian... Je ne vais pas tourner autour du pot, j'ai envie de baiser avec toi, mais nous allons devoir faire vite, j'ai une réunion importante dans trois quarts d'heure. Essaie de ne pas jouir trop vite quand même, tu vas d'abord me prendre par devant et après tu pourras jouir dans mon cul...
- Carla, je jouis quand je veux...
- Comment ça quand tu veux ?
- Si je veux jouir vite, ça peut se faire en trente secondes, mais si j'ai le temps, il m'arrive de ma masturber pendant une heure sans jouir...
- Si en plus d'avoir une grosse pine tu ne jouis pas, ce n'est pas autour des chevaux que tu dois faire carrière, mais dans le porno ! Et tu n'as baisé que deux fois ?
- Oui Carla...
- Alors ne perdons pas de temps...’
A peine termine-t-elle sa phrase que quelqu'un frappe à la porte.
« Réunion dans dix minutes Carla !
- Merde je me suis trompée... Dorian, s'il te plait, tu vas me prendre vite, je dois jouir sinon je vais être exécrable durant la réunion... »
Elle m'entraîne sur son lit et s'agenouille en relevant sa jupe.
« Vas-y Dorian... bourre moi... »
J'entre d'un coup dans sa chatte inondée et je la pistonne vite, les yeux baissés, je mate son petit trou dans lequel j'enfonce mon pouce.
« Tu veux m'enculer salaud... Essaie mais je ne sais pas si je vais pouvoir te supporter... »
Mon gland posé sur la rosette, je pousse doucement, ma pine est comme avalée et j'entame un pistonnage rapide.
« Oui Dorian, encule-moi... Oh quelle queue ! Je vais jouir... Ne t'arrête pas... »
Son orgasme la prend si brutalement qu'elle se laisse tomber sur le ventre, je reste debout la pine raide, mon gland est un peu maculé.
« Excuse-moi... La salle de bain est derrière toi, je vais devoir y aller mon chou. C'était merveilleux, j'en ai au moins pour deux heures, tu claques la porte en partant... »
Elle s'essuie dans les toilettes, rabaisse sa jupe et part en courant sans même me donner un baiser. Décontenancé, je n'ai même pas envie de me finir, je lave ma bite et me rhabille, avant de partir j'avale un grand verre de coca et je sors.
La contorsionniste est toujours sur son tatami, debout, un pied par terre et l'autre posé sur la caravane en grand écart. En me voyant sortir, elle me fait signe d'approcher sans changer de position.
J'avance au bord du tapis et je me retrouve nez à nez, si je puis dire, avec son entrejambes écartelée dont le slip tendu à rompre, épouse la fente, je pourrais presque compter les poils tant le tissu est plaqué sur son pubis
« Je parie que tu viens de baiser cette salope de Carla... Mais tu bandes encore dis donc... Tu n'aurais pas cinq minutes à m'accorder ?
- Si... »
Elle se remet sur ses deux pieds et roule son tatami qu'elle fourre sous la caravane.
« Suis moi, j'ai quelque chose à te montrer... »
Nous entrons dans sa caravane, copie conforme de celle de Carla, en me prenant par la main elle m'entraîne dans sa chambre.
« J'ai vu que tu regardais ma chatte écartée, ça t'a plu ?
- Oh oui... »
En me regardant dans les yeux, elle enlève son slip qui cache un string, devant mon étonnement elle m'explique le pourquoi de la chose.
« Tu sais, en faisant des mouvements comme ceux que tu m'as vu faire, quelques fois l'entrejambe se décale un peu, il n'est pas question que je montre ma chatte au public ! Moi, ça ne me gênerait pas au contraire, mais je ne suis pas sure que tout le monde apprécierait ! Dis-moi, si tu bandes encore, c'est que tu n'as pas joui, je me trompe ?
- Non, je n'ai pas eu le temps...
- Moi, j'ai le temps... Quelle est ta position préférée ?
- Comme tu veux...
- Alors, je m'agenouille sur le lit, reste debout derrière moi... Allez, déshabille-toi ! »
Deuxième déshabillage, je ne me presse pas en observant sa réaction.
« Oh mon dieu, ce n'est pas vrai ! Mais tu es monté comme un cheval, ma parole !
- Quand même pas...
- Comment le sais-tu, tu as déjà vu un cheval en érection ?
- Une fois, à la campagne... »
Je ne vais pas lui dire que je viens de vois septième bander.
« Tu veux que je te suce ou tu me baises tout de suite ? Oh la vache, je ne pourrais même pas te sucer, » dit-elle en prenant ma pine à pleine main, ses doigts ne se joignent pas...
Sa chatte n'a rien à voir avec celle de Carla, les lèvres sont serrées son clitoris n'est pas visible.
Je crache dans ma main pour humecter mon gland puis je le pose au milieu de la fente et je pousse doucement, les lèvres s'écartent, mon gland pénètre un peu.
« Vas-y pousse, baise-moi... »
Je pousse doucement, ma queue entre sans problème puis je fais quelques mouvements en m'enfonçant de plus en plus loin.
« Ouah, quelle pine ! Je la sens jusque dans mon utérus... Bourre-moi et fais-moi jouir... »
En la cramponnant aux hanches je la baise vite et fort, sa chatte serrée me provoque de bonnes sensations.
« Je vais jouir ne t'arrête pas... »
Ce n'est pas mon intention, moi aussi j'ai envie de jouir mais avant, je pose mon pouce sur son cul et je l'enfonce.
« Oui, c'est bon, mais tu ne m'encules pas... ça, je le réserve à mon ami... »
J'ai envie de passer outre, je sors ma bite pour la poser sur la rosette.
« Non ! Je t'ai dit que je ne voulais pas... »
Heureusement qu'elle ne voulait pas, c'est elle qui s'est emmanchée en reculant et je me suis enfoncé jusqu'aux couilles d'un seul coup !
« Bon, puisque tu es dedans, bourre-moi le cul... Je voudrais que tu jouisses en même temps que moi... »
Je sentais monter mon orgasme, je ne me suis pas arrêté avant qu'elle jouisse et j'ai déchargé. J'avais l'impression de lui pisser dans le cul tellement je déchargeais, ça n'arrêtait plus !
Je me suis retiré doucement, son cul ne se refermait pas, mon gland était net de souillures, sauf un filet de sperme que j'ai coupé d'un doigt.
Allongée sur le ventre, elle ne bougeait plus, je me suis allongé sur le dos à côté d'elle.
« Et bien mon vieux, tu fais un sacré baiseur ! Cette salope de Carla a le chic pour trouver des gens comme toi... C'est quoi ton prénom ?
- Dorian...
- Moi c'est Olga... Oh, mais tu bandes encore !
- Je n'ai joui qu'une fois...
- Ah bon, parce qu'en plus tu dois jouir plusieurs fois pour débander ?
- Oui...
- Si elle n'était pas à la réunion, je t'aurais présentée une copine... Elle est mariée mais son mari est d'accord pour qu'elle se fasse baiser devant lui...
- Olga, je ne vais pas baiser tout le personnel du cirque quand même !
- Je connais même deux ou trois hommes qui aimeraient bien s'en prendre un bon coup, de ta superbe pine ! Tu as déjà baisé un homme ?
- Non, jamais...
- Carla, tu l'as connue comment ?
- Hier en venant voir la ménagerie, j'étais avec ma cousine et nous avons vu sa répétition avec les chevaux...
- Et tu l'as draguée, comme ça ?
- Non, j'aime les chevaux, nous avons parlé et elle m'a invité à venir voir les siens...
- Donc elle t'a montré Septième...
- Oui...
- Et elle l'a fait bander, je parie ?
- Heu... Non...
- Mon œil, je connais Carla ! Rassures toi, j'y vais aussi voir Septième, de temps en temps, j'aime bien voir cette grande et grosse pine qui lui claque sur le ventre, je fantasme là-dessus de puis longtemps...
- Tu l'as déjà touché ?
- Oui, une fois, mais tu sais, avec septième il faut se méfier, c'est un cheval entier et pas dressé pour ça. Ses réactions peuvent être brutales et dangereuses. Tu es attiré par ce genre de chose ?
- Oui... J'ai déjà eu une érection en voyant une saillie dans un champ...
- Dorian, il va falloir que tu partes mon ami va arriver...
- Il est jaloux ?
- Pas du tout... Mais je n'ai pas envie qu'il voie ta queue, ça le ferait mourir de honte !
- Il en à une petite ?
- Non, une belle pine dont il est très fier d'ailleurs, mais bien moins grosse que la tienne ! Habille-toi et sauve-toi... Dorian, tu revois Carla ?
- Nous n'avons pas eu le temps d'en parler...
- Nous repartons après demain, et demain il y a matinée...
- Alors ce sera une autre fois... Merci Olga...
- C'est à moi de te dire merci. Dorian, tu m'as démoli le cul mais j'aime ça... »
Je sors de l'enceinte du cirque, le contrôleur me salue encore ; comme si de rien n’était…
A suivre...
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