Les Mémoires très Libertines de Sophie
Douce défloration
Agé de dix-huit ans depuis quelques mois, j’ai une copine Antoinette, un peu plus jeune que moi, petite mignonne aux cheveux longs châtains et aux yeux verts. Nous nous fréquentons depuis déjà quelques mois et j’avais envie d’aller plus loin dans notre relation en couchant avec elle. Malheureusement, à chaque fois que je mettais ce sujet dans nos conversations, elle l’éludait d’une pirouette, ou elle se fâchait et me quittait brusquement.
Un jour, il y a trois semaines environ, la sentant un peu plus accessible, je lui demandai pourquoi elle se refusait ainsi. Elle disait à ses copines qu’elle m’aimait beaucoup, que j’étais gentil et prévenant avec elle, bref, elle était bien en harmonie avec moi. Alors pourquoi ce blocage ?
Ce jour là, elle se confia tout d’abord timidement puis, voyant que je l’écoutais favorablement. Elle finit par me dire pourquoi elle réagissait ainsi lorsque je lui parlais de faire l’amour. Elle avait été agressée sexuellement par un de ses oncles alors qu’elle n’avait que douze ans. Profitant qu’ils étaient seuls momentanément chez lui, il lui avait caressé le sexe, lui avait ouvert sa robe et avait tété ses jeunes seins naissants.
Elle n’avait jamais rien dit à personne, même pas à sa mère. Depuis elle fuyait tout contact même amical avec les garçons de son âge. J’étais le premier avec qui elle se sentait en confiance, mais elle avait encore très peur de l’aspect physique d’une relation. Elle avait été traumatisée et n’arrivait pas à franchir le pas d’une relation sexuelle librement consentie.
Elle savait que j’avais déjà eu des aventures avec d’autres copines et des femmes plus âgées. Elle avait envie et peur de ce qu’elle allait ressentir lorsque je lui ferais l’amour. J’évitais à dessein les termes crus et quelques peu vulgaires que l’on peut employer dans de telles circonstances. Nous étions dans mon studio de la cité universitaire, Antoinette était allongée à plat ventre sur mon lit et j’étais assis dans le fauteuil de ma table de travail. Nous avions pratiquement terminé notre première année en faculté et il ne restait plus que deux épreuves partielles à réaliser la semaine suivante.
Je cherchai de la musique douce sur mon ordinateur et je vins m’asseoir auprès d’Antoinette. Je la pris tendrement dans mes bras pour l’embrasser en lui disant de se détendre et de m’arrêter si elle ne se sentait plus d’accord pour continuer. Je descendis pour l’embrasser dans le cou, je lui mordillai le lobe de l’oreille au passage. J’avais une main posée au creux de son dos et de l’autre j’ouvrais son chemisier pour atteindre sa poitrine menue.
Le chemisier enlevé sans qu’elle proteste, je lui caressai les seins par-dessus le soutien gorge et d’une main je fis sauter l’agrafe. D’elle-même elle fit glisser son vêtement dévoilant ses seins aux aréoles à peine marquées mais dont les tétons pointaient légèrement. Elle avait une très jolie paire de seins et je le lui dis et je demandai :
« Veux tu que je les embrasse ?
- Oh oui ! J’en ai envie ! »
Délicatement je posai mes lèvres sur son sein droit pour un baiser un peu appuyé, aspirant doucement le téton. Je la sentis frissonner. J’en fis autant avec l’autre sein. Sa respiration s’accélérait.
Je défis la ceinture de son jean et je glissai une main à l’intérieur. Pendant que je massais son pubis par-dessus sa culotte, elle noua ses bras autour de mon cou pour m’embrasser et me disant de continuer. Pour être plus à l’aise, j’ôtai son pantalon et mes vêtements. Je ne conservai que mon boxer et momentanément, je lui laissai sa culotte. Ma bite était bandée à mort. Depuis que nous nous étions rencontrés au « Resto U », j’étais sevré de sexe. Je lui dis ce que j’allais lui faire : lui ôter sa culotte pour découvrir son sexe et le caresser pour la faire mouiller.
Elle avait une toison peu fournie et une jolie chatte toute rose. Ma main droite passait et repassait sur son pubis, je descendais parfois plus bas en glissant un doigt ou deux entre ses lèvres qui commençaient à suinter et au passage je faisais rouler son clitoris. En me contorsionnant, je fis glisser mon boxer et je m’en débarrassai d’un geste du pied. Antoinette est alors venue prendre ma bite dans sa main en disant qu’elle n’en n’avait jamais vu en réel.
D’un anneau de ses doigts, elle fit quelques va-et-vient. Elle était de plus en plus détendue pour faire d’instinct cette caresse. Rapidement je couvris ma bite d’un préservatif en lui disant qu’après, par jeu, ce serait à elle de le faire. Je me plaçai entre ses cuisses en lui remontant un peu les genoux. Je fis quelques mouvements à l’entrée de sa chatte en lui demandant si elle était prête et qu’elle allait ressentir une petite douleur au moment où ma bite déchirerait son hymen.
« Oui, je suis prête ! Vas-y, fais de moi une femme ! »
Lentement je m’introduisis dans sa grotte d’amour toute chaude et suintante de cyprine. Un léger mouvement de recul de son bassin me fit comprendre que j’avais atteint la fine paroi que j’allais rompre. Je restai immobile quelques secondes.
« Qu’attends-tu ? Vas-y, je suis prête ! »
J’accentuai la pression sur son hymen et lorsqu’Antoinette poussa un petit cri, je su que je l’avais déflorée. Mon sexe était au fond de sa chatte. Nous restâmes sans bouger quelques minutes pour qu’elle s’habitue à me sentir en elle. Lentement je commençai les mouvements de va-et-vient en évitant de sortir de sa chatte. Au bout de quelques temps Antoinette commença à m’accompagner maladroitement en bougeant son bassin au rythme de mes pénétrations.
Je retenais ma jouissance pour tenter d’arriver en même temps qu’elle. Lors de cette première fois, il n’était pas du tout certain qu’elle jouisse. Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. C’est avec un immense bonheur que j’ai déversé dans le préservatif une belle quantité de sperme. Lentement je me suis retiré.
Quelques filets de sang ornaient la capote. Je les lui montrai en riant et en disant que cette fois-ci, elle n’était plus pucelle. Nous éclatâmes de rire et elle vint se blottir dans mes bras :
« Merci, tu as été doux, c’était bon ! »
Pour me remercier, elle me donna sa bouche. Nous fîmes une rapide toilette intime et nous nous glissâmes dans les draps, étroitement enlacés jusqu’à une heure tardive de la soirée.
Une semaine plus tard, c’est Antoinette qui me demanda de lui faire l’amour. Je l’ai prise dans la même position que la première fois et notre jouissance est arrivée en même temps. En m’embrassant amoureusement elle dit alors :
« Que c’est bon ! »
Depuis, nous faisons l’amour chaque semaine et je ne suis plus obligé de mettre un préservatif car depuis peu, Antoinette prends la pilule.
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La Baronne et la Douanière
Amandine, pulpeuse blonde de vingt-quatre ans, rentre d’un voyage des Etats-Unis. Dès son arrivée, cette jeune baronne présente son passeport à la douane. Elle est d’une beauté et d’une élégance à couper le souffle. Elle est vêtue d’un tailleur noir, un chemisier rouge, avec des escarpins assortis, ses longs cheveux blonds coiffés en chignon. Elle est prise en charge par Célia, une sculpturale black, jeune stagiaire, accompagnée de Dick, un magnifique berger allemand, qui l’invite à passer dans une pièce, pour un contrôle de routine.
Surprise, Amandine suit la douanière. Arrivée dans la salle, Célia ordonne sans préambule à la jeune baronne de se déshabiller.
« Mais enfin, dit Amandine, regardez mon passeport, je suis une baronne, pas une délinquante ! Et pourquoi ce chien ? Vous cherchez de la drogue ???
- Le traitement est le même pour tout le monde, baronne ou pas. La Révolution, c’était il y a deux cents ans ! Allez, déshabille-toi, poursuit Célia. Ne m’oblige lâcher le clébard. »
Amandine n’a d’autre choix que de s’exécuter, la jeune black sort discrètement une télécommande, et actionne ce qui semble être une caméra de contrôle. Elle se retourne et voit Amandine, en culotte et soutien gorge, une main sur ses seins, une autre entre ses cuisses, essayant de cacher sa nudité.
« Nue, gronde Célia, complètement nue… et défais-moi ce chignon ridicule. »
Amandine n’en croit pas ses oreilles, se demande à qui elle a à faire. La présence du chien, dont la langue pend sur le côté, l’inquiète. Il est certainement un renifleur de drogue. De ce côté, elle est sereine.
« Je me plaindrai à qui de droit, se plaint-elle, ça ne va pas se passer comme ça… c’est un abus de pouvoir, » tente-t-elle d’avancer.
Pourtant, elle obtempère, de plus en plus inquiète. Une fois nue, La douanière demande à Amandine, de s’appuyer mains à plat contre le mur, d’écarter les pieds du mur, et d’écarter les jambes. Elle s’approche, passe les cheveux au peigne fin, regarde les oreilles, la bouche aux lèvres pulpeuses. Amandine sait qu’elle doit subir la fouille sans broncher. La douanière la force à s’écarter d’avantage, lui met un doigt au cul.
Lentement, les doigts glissent entre ses cuisses, remontent sur la fente, ouvrent les lèvres intimes. Malgré elle, Amandine ressent du plaisir, sent sa chatte devenir humide.
« Tu te régales salope, » dit Célia, mi–amusée, mi-hargneuse.
Célia prend les bras d’Amandine, et les lui croise dans le dos. Elle la force à se tourner face à la caméra, jambes toujours écartées. Elle se penche, et avec un air vicieux, lui décalotte même le clitoris, puis demande au chien d’intervenir.
« Allez Dick, c’est à toi maintenant, cherche mon chien… »
Amandine supplie la douanière de retenir son chien, crie que c’est sale. Trop tard, la langue du berger allemand lèche déjà la chatte baveuse, la truffe sniffe le petit trou de la jeune baronne, qui râle de plaisir
« Assez mon chien… je crois qu’on s’est trompé, on va en rester là, en fait il n’y a rien d’anormal.
- Oh non, gémit Amandine malgré elle. Il n’est pas allé assez profond ! Dites lui de fouiller encore… je suis sure qu’il a un truc de caché au fond de moi. Je suis trop mouillée peut-être… c’est pour ça qu’il ne trouve pas… allez-y… continuez… »
A grands coups de reins, Amandine fait tourner sa chatte sur le museau mouillé du chien pour l’inviter à poursuivre ses vicieuses recherches. Elle n’en finit pas de gémir. Elle a perdu toute notion de l’endroit, du bien et du mal… La jouissance monte en elle, inexorablement. Son premier orgasme se perd dans la gueule du quadrupède canin. Son cri de plaisir résonne dans la pièce.
« Hou… oui… suce mon bouton… hou… regardez comme il me fait bouger le cul… hou… hou… quel salaud… »
Célia maitrise la situation, demande au chien de s’écarter.
« Baronne ou pas tu ne vas pas t’en tirer comme ça, ma salope… tu en veux ? eh iben, tu vas en avoir !
- Oh oui, supplie Amandine. J’en veux encore ! J’ai envie de baise !
-T’en fais pas, tu vas être servie ! »
Elle ôte ses habits, et se plaque, entièrement nue, contre le corps chaud d’Amandine. On voit son opulente poitrine s’écraser sur le dos. Le tableau est sublime. La sculpturale stagiaire à la peau d’ébène qui se frotte contre la peau laiteuse de la jeune femme blanche. Elle lui prend la taille, saisit les magnifiques seins, dont les bouts sont prêts à s’éjecter des mamelons. Elle embrasse l’échine, embrasse le cou, mord le lobe de l’oreille. Une main saisit un sein, une autre va plus bas, entre les cuisses.
« Tiens, dit la jeune black, c’est vrai, j’avais oublié ce diamant sorti de son écrin, mon dieu qu’il est dur.
- C’est vous qui me l’avez décalotté… et c’est le chien qui me la fait durcir… s’il vous plait… caressez le… c’est tellement bon de se faire doigter… Allez-y…pincez-le… aie… aie… aie…
- On va jouer tous les trois, dit Célia, tu n’as pas envie de te faire saillir par un chien ? »
Amandine fait oui de la tête, toute ahurie de voir qu’elle tombe si bas.. se faire monter par un chien ! Impensable, selon ses critères de morale !
Célia lui demande de s’appuyer sur le bureau, et de replier une jambe. La fente de la jeune baronne est totalement offerte aux mains vicieuses de la douanière. Celle-ci entame les préliminaires, se penche sur elle en glissant ses doigts entre les cuisses.
Le majeur et l’index pénètrent e vagin détrempé, tandis que le pouce taquine le petit trou. Amandine gémit de plus en plus fort. Célia lui fait avouer qu’elle aime se faire gouiner par une femme, sentir des doigts la fouiller, la faire crier de plaisir. Célia se penche, et de sa langue pointue, se met à lécher le cul d’Amandine, ce qui a pour effet, de faire ressortir sa croupe. Le chien, assis sous la table, suit la scène, approche son museau de la chatte de la jeune baronne.
« Oh oui…c’est bon de se faire lécher le cul… et vous... jamais vous vous faites fouiller ? »
En disant ça, Amandine lance un bras en arrière. La chatte de la douanière est aussitôt crochetée par deux doigts.
« Salope, soupire Célia. Vas-y… après tout, pourquoi on n’aurait pas le droit d’être fouillées… on a bien le droit à un peu de plaisir nous aussi ! Allez ma belle salope, branle moi… bien profond… oui… petite pute… pour une baronne… tu te poses là ! »
C’est à celle qui maitrisera l’autre. Mais à ce jeu, la jeune baronne, novice, lâche prise devant l’expérience de la stagiaire black et va encore se soumettre à tous ses caprices. Le corps d’Amandine ressemble à un pantin désarticulé sur les doigts qui la fouille.
Prise de violents spasmes, elle se prend les seins, en martyrise les bouts, demande si son clitoris est toujours décalotté, pour être sure de bien se le faire doigter.
« Mais bien sur qu’il est toujours décalotté… tu ne sens pas le chien qui te le suce… Yu vas voir ma chérie… il va te le mettre en sang… tu vas être obligée d’y passer de la pommade tellement qu’il va te cuire ! Allez, mets-toi à quatre pattes… Tu vas bien te le faire mettre maintenant… Un bon coup de queue dans la chatte, un dans le cul, et après, on verra… »
Amandine regarde le chien assis sur son arrière train, elle remarque la bite en érection, le bout rouge, entièrement décalotté. Elle ne peut s’empêcher de passer sa langue gourmande sur sa bouche. Amandine se fait prendre par tous les trous. De son côté, Célia, appuyée au bureau, se doigte violemment. Soudain, elle est attirée par un cri. Elle se retourne et voit Amandine couchée en chien de fusil, cul à cul avec le berger allemand. Ils sont juste soudés par la bite de l’animal ancrée dans la chatte. Une énorme boule s’est formée dans les entrailles de la jeune baronne.
« Ah, le salaud, crie Amandine, il n’en finit pas de sa vider les couilles… ah ! Ah ! »
Au bout de dix minutes, la saillie est terminée. Le chien se lèche le zob, tandis qu’Amandine, les bras en croix, reprend sa respiration. Indifférente, Célia se rhabille, ignorant les cris de plaisir de la jeune baronne, qui se fait nettoyer la chatte pleine de mouille par le berger allemand. Le clitoris, déjà endommagé, n’est pas épargné.
« Sale cabot… que tu es salaud… tu te régales de me voir jouir… tu sais ce qu’aime les femmes… enfoiré… tu fais ça à ta chienne… tu lui bouffes la cramouille comme tu bouffes la mienne ? Tu la fais hurler de plaisir comme tu me fais hurler ? »
Célia ordonne au chien d’arrêter ses jeux pervers, demande à Amandine de se rhabiller, et de quitter la pièce. La jeune baronne obéit, dépitée, mais soumise… Cette expérience l’a anéantie de plaisir et de honte… Elle regarde sa tortionnaire, et lui demande :
« Allons-nous nous revoir ? j’ai très envie de…
- Tss tss.. Pas un mot, c’est moi qui décide ! Tu sauras en temps et en heure….
- Bien Madame, j’attendrai… »
Elle finit de rajuster son tailleur hors de prix, et sort, la tête basse.
La douanière se tourne vers la caméra, et fait un « v » de victoire avec le majeur et l’index, puis appuie sur stop.
Elle remet la K7 à zéro, pour ajouter un petit mot à l’attention d’Amandine.
« Il dépend de toi que cette vidéo ne soit jamais diffusée. Soit obéissante à Maria, ta gouvernante ».
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Fureurs nocturnes
Annabelle, jeune étudiante sage et réservée se sent toute énervée ce soir. Le soleil se couche, les ombres des arbres dessinent des formes lugubres sur les murs des maisons. Ce soir, les rues vont se remplir de petits êtres grimés en monstres menaçant de jouer de mauvais tours aux habitants du quartier.
Ce soir, c’est Halloween, Annabelle a chaud et ne tient pas en place. Toute la journée pendant les cours, il lui était impossible de se concentrer. Des idées coquines allaient et venaient dans sa tête. L’idée de ces soirées halloween dans tout le campus avec tous ces beaux jeunes hommes faisant la fête, où l’alcool coule à flot et où les esprits s’embrasent, ne la lâche pas.
Annabelle est une jolie brune toute menue, ses jupes ne sont jamais plus courtes que le bas de ses genoux, jamais de maquillage ni le moindre artifice esthétique. Le genre de jeune fille sur lequel on ne se retourne jamais, cachée derrière ses grandes lunettes et quelques mèches de cheveux rebelles. Sa tignasse noire et lourde forme un casque posée sur une petite tête perchée sur un long cou très fin. Mais ce soir Annabelle a envie de changer son image, et de laisser exploser le feu qui la consume de l’intérieur.
Elle rentre dans son appartement sans même remarquer la présence de sa colocataire de chambrée. Elle entre dans la salle de bain et se change, ou plutôt de transforme. Du volume dans ses cheveux, du noir sur le contour de ses yeux et un rouge à lèvre rouge sang pour laisser sa trace sur toutes les bites qu’elle gobera ce soir. Elle enfile une courte tunique mettant en valeur sa petite poitrine et masquant à peine sa chatte brulante. Pour la première fois de sa vie, elle sort sans mettre de culotte et cela se verra, ou plutôt se sentira.
Cette nuit sera la nuit d’Endora la sulfureuse, lâchée sur le campus pour déclencher sa fureur sexuelle sur tous les mâles qui l’ont snobée jusque-là.
Elle arrive au pied de l’immeuble des garçons en dernière année d’études. La musique bat déjà son plein dans certaines chambres. Endora décide de s’attaquer tout d’abord à la loge du gardien. Pedro, petit et bedonnant au regard vicieux, va recevoir la visite d’une tornade qui va lui laisser un souvenir inoubliable de cette nuit d’halloween.
Elle tambourine la porte qui ne tarde pas à s’ouvrir, le petit homme décoiffé se présente dans l’encadrement de la porte, Endora le pousse violement, il trébuche et se retrouve les quatre fers en l’air, proférant des injures en portugais. Elle claque la porte derrière elle et se jette sur sa proie, lui déchire son vieux t-shirt et l’embrasse à pleine bouche pour l’empêcher de crier. Elle se redresse, le laisse respirer et tire sur son pantalon trop large, baisse son slip et sort un petit sexe tout mou.
Elle le prend dans sa bouche et se met à le sucer aussi fort que possible jusqu’à le sentir enfler dans sa bouche. Pedro, hébété, reste allongé sur le sol sans rien dire. La bouche chaude et moite de sa visiteuse lui procure un plaisir qu’il avait oublié depuis longtemps. La fellation prodiguée par Endora se montre efficace, Pedro jouit bruyamment se laissant retomber mollement les yeux dans le vide.
La bouche encore pleine du sperme salé du gardien alors que son sexe revient à son état flasque du début, Endora introduit son index dans l’anus de sa première victime en lui rappelant que c’est halloween. Cette agression subite lui provoque une seconde érection qu’Endora s’empresse de chevaucher, mais à peine assise, celle-ci ne dure pas.
La colère s’empare d’elle, elle gifle Pedro qui semble aimer ce traitement et l’érection revient. Elle sent gonfler en elle le fruit de nouveau mûr de sa monture. Elle le chevauche en proférant des injures et en frappant le torse et le visage du pauvre homme qui ne tarde pas à jouir de nouveau. Endora ne compte pas en rester là, elle s’agite encore sur le membre mou de Pedro qui n’en peux plus de recevoir des coups. Il se protège comme il peut de la pluie de gifles qui s’abat sur lui.
Une Harpie est assise sur lui, la peur envahit ses veines. Endora crie de plus en plus fort, affamée de sexe et de débauche. Elle attrape son sexe à pleine main et l’agite pour en tirer encore son jus. Pris de douleur, Pedro se replie sur lui-même, la lèvre en sang. Endora se relève et s’en va laissant un être meurtri gisant et hurlant sur le sol froid de son appartement.
Brulant encore d’envie, Endora gravit quatre à quatre les marches qui la mènent au premier étage. De la musique traverse la porte qu’elle ouvre délicatement. Un groupe de jeunes font la fête, quelques têtes se retournent vers elle et la déshabillent du regard. La musique s’arrête.
« Squirt or treat ! » dit Endora. De la jouissance ou un mauvais tour.
L’annonce est lancée. Trois jeunes étudiants se dirigent vers elle, sûrs d’eux et de leur virilité. Au milieu de la foule de curieux, Endora les balance sur le canapé et s’allonge sur le premier courageux. Pendant qu’elle lui mordille les tétons, un autre relève la courte jupe découvrant une jolie chatte rasée encore humide du gardien de l’immeuble. Elle sent un doigt la visiter pendant qu’une langue lui titille le clitoris. Elle glisse sa main dans le short de sa seconde victime du jour et commence à le masturber au rythme de coups de langue qui lui caressent le sexe.
Elle entame une nouvelle fellation sur un sexe cette fois nettement plus gros et plus ferme. Les trois athlètes, excités au possible, se disputent le peu de places disponibles autour du corps de la vampiresse qui grogne de plaisir. La foule s’empresse autour du canapé, théâtre du spectacle impromptu. Les esprits s’échauffent et d’autres commencent à se caresser.
Tout à coup, elle sent une verge passer le petit anneau de son anus, dans la douleur, elle mord le sexe étant dans sa bouche jusqu’au sang, mais ne lâche pas l’objet de désir. L’homme allongé sous elle hurle de douleur, mais tout le monde pense que c’est le plaisir qui le met dans cet état. Le jeune homme dans son anus lâche au même moment son jus, aussitôt suivi par celui qui lui léchait le minou en se masturbant.
Le sang sortant de sa bouche affole la foule alentour, Endora grogne comme une bête enragée sans lâcher son « diner ».
Sa seconde victime s’évanouit, elle libère enfin sa mâchoire pendant que tout le monde s’enfuit de l’appartement.
Endora rajuste sa jupe, sort de l’appartement et se dirige vers l’escalier et continue à monter vers les étages supérieurs.
Elle arrive à un nouvel appartement, se plante dans l’entrée grande ouverte, la bouche ensanglantée, l’anus encore dégoulinant. Elle est accueillie par des acclamations et des cris de joie.
« C’est le meilleur déguisement de la soirée !!!! »
Elle lance d’une voix rauque et caverneuse
« Squirt or treat ! »
Un géant aux bras puissants lui répond :
« Oui ma belle, viens, on va s’éclater… »
Le colosse s’approche d’elle, la soulève de terre en l’attrapant par la taille. Elle l’enlace de ses jambes tout en sortant son sexe de son short et s’empale dessus. La monstrueuse verge s’enfonce en elle avec difficulté malgré les sécrétions des précédents visiteurs. La sensation de plénitude accroit encore son désir. Serrant plus ses jambes, elle enfonce totalement le dard en elle. Il la pose sur une table et entame un va et vient puissant qui enfin lui procure du plaisir. L’homme lui dit :
« Ta chatte est si étroite que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
- T’as pas intérêt ! » lui répond-elle.
Il la retourne pour la prendre en levrette pendant qu’un autre lui présente son sexe qu’elle s’empresse de prendre de sa main libre. Il la secoue à grand coups de reins. Chaque mouvement lui arrache un petit cri. Elle ferme les yeux et jouit intérieurement du moment présent. Sentant monter le plaisir, il accélère ses heurts, Endora lui dit :
« Non, non, pas maintenant ! »
Trop tard, le colosse se lâche en elle et inonde son vagin. La colère monte en elle au moment où il se retire. Elle se retourne, descend de la table et attrape la verge encore dégoulinante de sperme et la suce de toute ses forces. Il rigole en clamant haut et fort qu’il est un si bon coup qu’elle en réclame encore, mais cette assurance se transforme en inquiétude voyant qu’elle ne lâche pas prise.
L’orgasme se transforme en douleur. La bouche ensanglantée d’Endora ne cesse de monter et descendre le long du glaive encore à moitié dur de son gladiateur qui tombe sur ses genoux et hurle de peur comme un jeune premier. Elle le suce si fort qu’il en éjacule du sang. Devant ce spectacle « gore », la pièce se vide et tout le monde s’enfuit en hurlant dans les couloirs. La harpie insatisfaite se redresse, laissant une proie pleurante sur le sol et entreprend de visiter les étages suivants.
La nuit va être longue et douloureuse pour tous les coquins qui croiseront sa route et oseront affronter sa furie sexuelle. Endora laissera-t-elle de nouveau sa place à la discrète Annabelle au lever du jour ? Trouvera-t-elle l’orgasme et le plaisir recherché ? En tous cas, certains entendent encore résonner « Squirt or treat » dans les couloirs du bâtiment des garçons...
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Ma soirée d'Halloween
Une année, je fus invitée à une soirée donnée pour fêter Halloween. Me prenant au jeu, je décidai de revêtir un costume de charmante sorcière : une longue perruque noire, un bustier magnifique qui affinait ma taille et rehaussait ma poitrine.
Pour le bas, je choisissais simple et léger : des collants résilles et un simple string de satin noir.
J’ajoutai une paire de bottes à talons hauts et je recouvrai mon charmant déguisement d'une longue cape de velours.
Le rendez-vous était donné dans un manoir digne des films d'horreur. La décoration était parfaite, même si, rien que de part son architecture, cette bâtisse donnait froid dans le dos... Un cimetière était disposé devant la demeure et on avait du mal à savoir s'il s’agissait de vraies ou fausses tombes...
A l'intérieur, l'ambiance était déjà bien festive. Un cocktail orangé à base de vodka était servi à volonté, et pas un seul convive n'avait de verre vide...
Bref, la soirée battait son plein...et je commençais à avoir chaud, l'alcool aidant... Je décidai donc de laisser tomber ma cape, et en quelques instants, je sentis les regards braqués sur moi... enfin surtout sur mon postérieur !
J'avoue que je me sentais flattée mais aussi désirée, et j'eus soudain une très grosse envie de me donner corps et âme...
Toutefois, il me fallait être sage... cette fête était donnée par une amie à moi, la seule personne que je connaissais ici d'ailleurs, et je ne voulais pas passer pour une je ne sais quoi.
Je commençai à m'ennuyer lorsque mon amie vint me rejoindre. Elle voyait bien que je ne m'amusais pas et me dit de la suivre, qu'elle avait quelque chose d'amusant à me montrer...
Je la suivais donc sans me faire prier. Nous montions à l'étage lorsque j'entendis soudain des gémissements au loin. Mon cœur battait de plus en plus fort. Au bout du couloir, plusieurs personnes étaient debout, uniquement des hommes, le visage dissimulé derrière des masques de fantômes, de vampires et autres monstres, le sexe dans la main...
Je m'approchai doucement et je vis, dans un salon, plusieurs femmes, peut-être sept ou huit, nues, la peau blanche comme de la porcelaine. Leurs visages étaient blancs, les yeux charbonneux et les lèvres d'un rouge sang. Je remarquais leurs canines, bien plus longues que la norme et je trouvais alors leur déguisement de vampire tout à faire réussi ! On aurait presque dit des vraies...
Ces »vampires » se mêlaient les unes aux autres, se caressant, se léchant, se donnant du plaisir avec parfois un petit peu d'animosité... j'avoue que c'était très excitant de les voir là. Et à en juger aux érections de mes voisins, je n'étais pas la seule à penser cela...
Soudain une petite voix me murmura de les rejoindre... C'était mon amie. je reculai alors et lui dis que non, qu'à cet instant, c'est d'un homme dont j'avais besoin ! D’une bête même ! Et alors, je sentis un air glacial me chatouiller la nuque. Je me retournai, et au fond du couloir, je vis cet homme, déguisé en vampire, un ami de ces demoiselles surement parce qu'il était plus vrai que nature !!
Il m'attirait, c'était indéniable. J'étais comme hypnotisée, envoutée, mais je ne pus soutenir son regard et me sentis soudain très mal à l'aise... Je dis à mon amie que je ne me sentais pas bien et que j'allais donc rentrer...
Au rez-de-chaussée, je récupérai ma cape et à ma grande surprise, la petite fête d'halloween s'était transformée en véritable orgie ! Les gens baisaient de tous les cotés ! J’avais les yeux écarquillés ! Ces gens qui paraissaient si sages et ennuyeux peu de temps avant, s'étaient transformés en vraies machines à sexe !
Pour reprendre me esprits, je m’offris un verre de ce cocktail orange et marchais vers la porte.
Une fois sur le seuil, je sentis de nouveau cet air glacial dans ma nuque et je me sentis très attirée vers le fameux cimetière...
Mon cœur tapait si fort que j'eus l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine. Je sentais la chaleur augmenter entre mes cuisses... Que m'arrivait-il ? Entre panique et désir, je ressentis un vertige et m'apprêtais à tomber à terre lorsque je sentis deux bras m'enlacer et me maintenir debout. Je me sentais comme une poupée de chiffon, molle et sans appui. Le corps qui me serrait était froid mais dégageait quelque chose de très érotique. J’avais peur, mais je le désirais...
Il m'allongea sur une tombe et me donna un baiser sur le front. Il était d'une beauté à couper le souffle. De lui émanait une chose indescriptible... J'avais envie de lui, j'avais envie qu'il me prenne là, mais je n'arrivais pas à parler, ni a bouger. Toutefois, ma petite chatte fonctionnait bien puisque je me sentais très humide et que cela ne faisait qu'empirer. Je me sentais proche de l'orgasme, c'était fou ! Cet homme arrivait à me faire grimper au septième ciel sans même me toucher ! Il me fixait de son regard sombre, sans avoir la moindre expression sur son visage...
Soudain, il se jeta à mon cou, et là je vis défiler dans mes yeux clos le pire scénario de film d'horreur ! Je l'imaginais mordant ma chair et aspirant tout mon sang… Mais non, il vint se serrer contre moi, me donna quelques baisers et se redressa.
Du bout de ses doigts, il vint caresser le contour de mon visage puis parcourut toute la longueur de mon corps étendu et offert. Je n'arrivai toujours pas à bouger. Le seul mouvement que je pouvais exécuter, était celui de ma poitrine, se gonflant sous ma respiration haletante.
C'est alors qu'il passa les doigts entre les mailles de mes collants en résille et que d'un coup sec, il les déchira. Dans son élan, il me griffa profondément, mais malgré la douleur vive ressentie, je ne pus émettre le moindre son. Il se mit à caresser l'intérieur de ma cuisse et l'écartait afin qu'il puisse accéder à mon intimité. Sa main était froide mais j'aimais ça. Il passa délicatement un doigt sous mon string pour l'écarter légèrement et se mit à jouer avec mon clitoris...
De temps à autre, il insérerait son doigt dans mon vagin afin de s'imprégner de mon fluide bien chaud. Il écarta davantage mes cuisses et se mit face à moi, puis mit sa tête là où j'en rêvais, et de sa langue me fit atteindre l'orgasme en quelques secondes. Je n'arrivais même pas à gémir, tant l’émotion, le plaisir étaient intenses. Mais des larmes ont coulé, c'était si extraordinaire ! J’eus l'impression de n'avoir jamais joui avant cela...
J'en voulais encore, je voulais que cet instant ne s'arrête jamais... Et comme s'il m'avait entendu le supplier, il ouvrit sa braguette et en sorti sa queue, dure et fière et prête à m'empaler là, sur cette tombe qui je l'espère était bien fictive...
J'eus l'impression d'être déchirée... il me pénétra avec violence mais ce fut la plus belle violence qu'il m'ait été donné de subir ! Il donnait des à-coups très secs et j'aimais ça ! Oh oui j'aimais vraiment ça ! Et puis il s'arrêta, repassa sa main le long de mon visage, puis passa son bras sous ma nuque afin de me redresser et de m'attirer vers lui... Il fit tomber ma perruque et laissa apparaitre ma longue chevelure couleur de feu. Il passa sa main dedans et me fit basculer le visage en arrière. Je me noyais dans ses yeux noirs... C'était si fort...
Il m'allongea délicatement de nouveau et reprit ses va et vient mais avec bien plus de délicatesse. Enfin, je sentais mon corps à nouveau. mes mains étaient engourdies mais je sortais de la paralysie. Soudain une lumière rouge envahit le lieu, et je sentais mon beau vampire venir à moi. Je sentais son sexe gonfler en moi et je me sentais venir moi aussi. Je voulais crier tellement c'était bon, la lumière s'intensifiait, et il se mit à accélérer et je sentais à nouveau les larmes me monter... Puis il stoppa net, encore quelques légers à-coups puis stop. Il se pencha au dessus de mon visage et je vis également des larmes sur le sien...
Il se retira et s'en alla san un seul mot...
J'aurais voulu le rejoindre, mais j'étais encore engourdie et je fus prise d'un vertige que je ne pus contrôler.
Soudain une voix familière m'appela. Lorsque mes yeux s'ouvrirent, je voyais le visage de mon amie au-dessus du mien :
« ca va mieux ? me dit-elle. Tu as abusé du cocktail à la vodka ma chérie ! Tu es tombée comme une crêpe sur le canapé et tu as dormi toute la soirée ! »
Je n'en croyais pas mes oreilles ! Ce n'était pas possible ! Tout ca était si réel ! Je n'avais pas pu rêver... non, c'était impossible ! Mais elle me soutenait que je n'avais pas bougé du salon et que j'avais passé la soirée à dormir !
Il me fallu un peu de temps pour reprendre mes esprits. j'étais assise, la tête entre mes mains. j'ouvris les yeux et je vis une griffure à l'intérieur de ma cuisse... Et soudain, je sentis un souffle froid dans ma nuque... lorsque je relevais la tête, je le vis au loin, un sourire en coin...
Milady
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Coup de folie, par Chloé
Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis sept ans et suis toujours restée fidèle.
Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses...
De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.
En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était 22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.
Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».
Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté ma journée à mon mari Benjamin. Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.
Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.
En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour. J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais gênée par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me regardait.
Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.
Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégrafé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.
Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori, ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses intentions.
Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90 C, « en poire », comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.
Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.
Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendues vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.
Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.
Au fur et à mesure, alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentis une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a portée à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis sept ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à trente-trois ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.
Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.
Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...
Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.
J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.
J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.
Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.
Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.
J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui aie commencé à bouger les fesses. Doucement, il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après cinq bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.
Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour dix jours...
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Super récit, j'ai vraiment bandé en le lisant.
J'adore ce texte, il est super excitant !!! Je me vois tout à fiat dans cette situation. Le réel, le virtuel tout en meme temps... Quel bonheur !!!