Les Mémoires très Libertines de Sophie
Christelle et Jean - suite et fin
Cécile obéit, non sans avoir encore embrassé son amant. Une fois seuls, Victor discuta un moment avec Samir. Celui-ci ouvrit la portière de sa BMW. Il en fit descendre un énorme rottweiler qui s’étira les pattes avant aussitôt descendu du véhicule. Victor remit une enveloppe à Samir qui monta dans la voiture, démarra et quitta les lieux, suivi par les trois autres BM.
Victor rejoignit ses amis en compagnie du chien. D’abord surprises, les deux femmes se mirent à caresser l’animal qui sous des dehors menaçants, était en fait, plutôt débonnaire. Jean demanda à Victor :
« Pourquoi ce chien ? »
Victor répondit :
« Pour ta femme, cher ami. Ne m’as-tu pas toujours dit qu’elle aimait les gros chiens ? Mais qu’en appartement à Paris, ce n’était pas possible. Beaucoup de femmes ont le phantasme de se faire prendre par un toutou comme celui-ci. Christelle s’est confiée à Cécile sur ce sujet. Elle n’osait pas t’en parler. Je pense qu’elle ne m’en voudra pas d’évoquer le sujet ce soir. Je te connais Jean, je sais que tu es tolérant et large d’esprit, un vrai libertin quoi. Aussi, j’ai décidé de combler le désir de Christelle ce soir. »
Jean regardait sa femme qui lui souriait timidement, comme une petite fille qui vient d’avouer une bêtise.
« Eh bien, si c’est son choix, je n’y vois pas d’inconvénient. Je suis juste un peu déçu, qu’elle ne m’en ait pas parlé avant », répliqua Jean.
Christelle s’approcha de son mari, lui déposa un baiser sur la bouche, tout en lui disant : « Merci chéri. »
Victor annonça :
« Je vous présente Grando. Il a dix-huit mois. Samir l’a éduqué pour avoir des relations sexuelles avec des femmes. Je paye Samir pour ça depuis plusieurs mois. Pour l’instant, Grando a des rapports une fois par semaine avec une prostituée qui lui a servi d’initiatrice, bien sûr contre rétribution. Jean, comme tu as vu, j’ai offert Cécile à Samir, et ceci pour toujours. Elle lui appartient désormais. Je n’ai plus le droit de la prendre. Je peux juste me branler et uniquement si Samir me l’autorise. J’avais senti que c’était un désir enfoui en elle et dont elle n’avait même pas connaissance. Ce soir, je suis heureux que Samir et ses racailles l’aient comblée. Désormais, je vais juste assurer son bien être au quotidien et la préparer comme Samir me l’aura demandé, à chaque fois qu’il voudra la voir. J’aime Cécile et c’est la meilleure manière de la garder près de moi. Jean, pour toi, c’est différent. Un chien ne sera jamais aussi exigeant qu’un être humain, mais tu devras te conformer aux désirs de Christelle. Il faut accepter les choix de nos dames. »
Victor se retourna vers Christelle :
« Ce chien est pour toi. Il a été préparé, toiletté exprès pour toi. Il est endurant et te comblera à chaque fois que tu le désireras. Il te suffira pour cela de venir à la maison, car Grando va vivre ici. Tout au moins, tant que Jean et toi serez en appartement. »
Christelle regardait fascinée le rottweiler. Toute la soirée, elle avait envié Cécile qui s’était faite baiser, piner, tringler, sauter, bouillaver, enconner, enculer. Tous ces mots lui étaient passés par la tête quand elle regardait son amie se faire prendre par Samir. Elle s’était masturbée et avais jouis plusieurs fois près de Victor et Jean, sans aucune pudeur. C’était un mot dont elle ignorait le sens, du moins en ce qui concerne la nudité et la sexualité. La pudeur, elle la réservait pour ses blessures secrètes.
Peu de monde savait qu’à l’adolescence, un proche l’avait violée. Elle en avait peu parlé, même à Jean. Toujours ce complexe de culpabilité des victimes et la peur d’être incomprise. Elle se savait belle.
Depuis toujours, les hommes la regardaient, la désiraient. Après son viol, elle avait fait très attention à ses tenues. Plus de jupes, pas de vêtement qui mettent en valeur les formes. Ce n’est que lorsqu’elle avait connu Jean que celui-ci, petit à petit réussit à lui faire reprendre confiance en elle. Il lui avait dit que tous les hommes ne se valaient pas. Qu’une fille en jupe n’est pas une salope. Qu’une belle fille a le droit de se promener sans se faire agresser. Qu’une femme peut être sexy et ne pas avoir envie de se faire draguer et encore moins se faire traiter de pute. Et quand une femme disait non, ça ne voulait pas dire peut-être et encore moins oui.
Toutes ces évidences, Jean les rappelait souvent à Christelle. Elle avait besoin de les entendre encore et encore. Il lui avait fait découvrir le monde du libertinage, et paradoxalement, elle avait trouvé beaucoup plus de respect et moins d’hypocrisie dans ce milieu que dans le monde bien-pensant de sa famille bourgeoise.
Grando appréciait les caresses de Christelle. Il la remerciait parfois d’un coup de langue sur le visage. Il commençait maintenant à tourner autour de la jeune femme. Son odorat et son instinct lui indiquaient que la femelle qui le caressait émettait des effluves qui ne laissaient aucun doute sur son état. Il commença à fouiller avec sa truffe humide et fraiche l’entre-jambe de Christelle.
Celle-ci, assise par terre, sursauta quand elle sentit la langue du chien lécher sa fente. Bien vite, elle écarta les jambes pour lui laisser le champ libre. Elle appréciait cette langue longue et puissante qui la fouillait si bien. Elle se coucha sur le dos, remontant ses jambes jusqu’à ce que ses talons touchent ses fesses, puis que ses genoux touchent sa poitrine. Grando la suçait comme jamais, elle n‘avait été sucée. Elle avait des étoiles dans la tête tellement la sensation était agréable. Il allait si loin avec sa langue. Elle ondulait son bassin pour profiter au mieux de ce cunnilingus inhabituel. Elle se mit à jouir en tenant des deux mains la tête du chien. Après quelques instants, elle voulut s’offrir à son amant à quatre pattes.
Elle lui parla, le félicita, lui dit que c’était un bon chien, et qu’elle en voulait plus. « Tu vas me prendre. Je vais être ta chienne. Fais doucement, je n’ai pas l’habitude, tu vas être le premier. » Lui dit-elle. Elle se retourna, s’appuya sur les genoux et les paumes des mains. Grando tournait autour d’elle. Il lui mettait quelques coups de langue qui la faisaient sursauter de plaisir. Mais Cécile en voulait plus maintenant. Un feu de désir brulait en elle. Elle désirait plus que tout se faire saillir, ici, tout de suite. Elle l’encourageait à la monter, en tapotant ses fesses d’une main.
Enfin, le chien mit ses pattes avant autour de la taille de Christelle. Elle savait que cette fois, elle allait connaitre le tabou ultime, le syndrome de la belle et la bête. Elle allait être une véritable chienne. La pine du chien toute rouge sortit de son fourreau de fourrure. Grando se frotta sur les fesses de Christelle quelques secondes. Il trouva le chemin vers le sexe brulant de la splendide brune. Le coït fut violent et bestial. Le rottweiler donnait de furieux coups de reins en essayant d’aller au plus profond de la chatte de Christelle. Elle se sentait inonder de semence canine.
Elle se branlait et sentait sur ses doigts le liquide spermatique qui s’écoulait en abondance de son vagin. Grando s’arrêta brusquement. Il serrait très fort Christelle de ses pattes avant. Elle le sentait gonfler en elle. Elle ressentait également l’éjaculation ininterrompue au fond de son ventre. Le chien ne bougeait plus, seul son sexe jutait en elle. Elle hurla quand l’orgasme arriva comme un tsunami de honte, de dégout et de perversité. Elle prit la secousse de plaisir en profitant de chaque millième de seconde de cette volupté interdite. Il fallut attendre dix minutes pour que Grando puisse se retirer de Christelle. Durant tout ce temps, Christelle se sentit apaisée et sût qu’elle renouvellerait l’expérience.
Cécile fut la première à embrasser Christelle. Elle le fit avec beaucoup de tendresse. Elle la remercia pour ce si beau spectacle. Elle lui avouât qu’elle avait sucé Jean pendant son accouplement avec Grando. Jean avait éjaculé une quantité impressionnante de foutre au moment, ou sa femme avait crié de jouissance. Victor lui, avait dû se contenter de se branler et avait déchargé sur le string de Cécile qu’il avait conservé dans sa poche en début de soirée.
Sur le chemin du retour, dans la voiture, Jean caressait Christelle. Elle avait la jambe droite sur la planche de bord et les cuisses écartées. Il branlait son bouton et introduisit son majeur dans sa chatte. Il sentit le foutre de Grando qui coulait encore du vagin de sa femme. Christelle gémissait, elle lui dit :
« J’aime ce chien, promets-moi qu’on va trouver une maison pour Grando, et y vivre tous les trois. »
Jean promit.
A ce moment elle se mit à jouir dans un râle de satisfaction. Après son orgasme, elle lui sourit et bercée par le léger bourdonnement du moteur s’endormit. Jean se sentait heureux, même si, il ne saurait jamais, si la jouissance de Christelle avait été provoquée par lui ou à nouveau par Grando.
- Commentaires textes : Écrire
Une soirée d'orgie sexuelle
UNE SOIREE D'ORGIE SEXUELLE
Voici l’histoire écrite par deux auteurs de talent, Miss K. et Gérard le Matou, qui ont rédigé à tour de rôle cette splendide histoire, qui sera publiée en deux fois. Bonne lecture, et ne soyez pas trop sage !
CAROLINE
Je suis une jeune femme de trente ans, ayant récemment fini mes études dentaires. je viens de m'installer dans un cabinet avec une de mes camarades d'université. Notre cabinet trouve petit à petit sa clientèle et nous commençons à nous faire une jolie réputation. Je soupçonne certains hommes de ne venir nous voir que parce que nous sommes plutôt charmantes. Marielle est une belle brune pulpeuse, que quelques kilos superflus rendent appétissante. Pour ma part, je suis plutôt longiligne, blonde. Dotée d'une jolie poitrine, j'aime la mettre en valeur et m'en servir d'anesthésiant pour les patients qui ont souvent le regard posé dessus.
Marielle est mariée à un médecin qu'elle a rencontré pendant nos études. Femme fidèle, elle n'a jamais été portée sur la bagatelle. Je la soupçonne même de n'avoir aucune imagination sexuelle et préférer les relations classiques avec son mari.
Quand à moi, on peut dire que je suis sexuellement très délurée. J'ai la réputation d'être une fille facile mais je m'en moque. Oui, la plupart de mes professeurs et des étudiants ont eu les honneurs de mes faveurs. Et alors ? Il n'y a pas de mal à se faire du bien. J'aime le sexe et ne m'en cache pas. Je multiplie les conquêtes masculines, parfois féminines aussi et j'aime participer à des soirées libertines où les hommes m'utilisent à leur guise.
Il y a deux mois, lors d'une de ces soirées, j'ai rencontré un couple, Serge et Amélie. Le courant est vite passé entre nous. Charmants, j'aime la virilité de Serge qui n'hésite pas à faire de moi une vraie petite chienne, et la douceur d'Amélie qui bien souvent calme, de ses caresses, le feu provoqué par la rudesse de son époux. Serge sait que j'aime que les hommes me dominent, qu'ils fassent de moi tout ce qu'ils veulent. Il ne s'en prive d'ailleurs jamais.
Il y a trois semaines, je suis allée en leur compagnie dans une soirée libertine chez un de leurs amis. Après les présentations d'usage, un convive m'a emmenée dans une chambre. Alors qu'il me prenait, il m'a attachée au lit. Les hommes et les femmes se sont alors succédé entre mes cuisses, entre mes fesses, dans ma bouche, parfois même en même temps. Je remarquais une femme assise dans un fauteuil dans un coin de la chambre. Immobile, elle m'observait sans rien dire. Il me semblait qu'elle filmait toute la scène, mais je n'en suis pas certaine. Très vite, je l'oubliais au profit du plaisir de me faire prendre. Au bout de quelques heures de ce traitement, épuisée, je prenais congé de la soirée, soutenue par Serge et Amélie. Cette superbe femme blonde ne m'a pas quittée des yeux jusqu'à ce que nous franchissions la porte de l'appartement.
LOUIS
A bientôt quarante-cinq ans, je suis, sans vouloir me flatter, un bel homme de haute stature, mince sans être maigre mais aux épaules larges, mat de peau, j’ai les cheveux ondulés noirs. Depuis mon adolescence, j’ai toujours aimé les femmes et je ne me suis jamais privé d’en conquérir de nouvelles, pour une nuit, une semaine, un mois… jusqu’à ce que je rencontre Ingrid lors d’un diner. Quelques mois plus tard, je l’épousais par amour certes, mais aussi parce que comme moi, elle aimait le libertinage… Cela étant convenu, nous avons organisé notre vie pour satisfaire nos envies, chacun se racontant les expériences sexuelles faites hors du couple en toute confiance puisqu’il s’agissait uniquement de sexe, sans attachement sentimental.
Puis, à l’invitation d’un couple de libertins comme nous, nous avons participé à une soirée au cours de laquelle nous avons rencontré deux autres couples. Puis les choses se sont enchainées, et depuis, nous organisons Ingrid et moi, une soirée par trimestre où des couples et parfois des partenaires solitaires triés sur le volet se retrouvent pour se livrer en toute quiétude au libertinage le plus complet.
Bientôt, je vais enfin découvrir Caroline, une jeune femme qu’Ingrid, mon épouse, a rencontrée lors d’une soirée privée en compagnie de nos amis Serge et Amélie, des complices de longue date qui jouent aussi un peu les rabatteurs de nouveaux talents libertins pour agrémenter nos petites réunions coquines. Ingrid ne cesse de me parler d'elle depuis maintenant trois semaines. Elle l'a filmée à mon intention lors d'une soirée libertine, sachant qu'elle serait à mon goût. Je l'ai vue se faire prendre par des hommes et des femmes, et y prendre énormément de plaisir. Caroline semble être une vraie assoiffée de sexe. Elle commence à m'obséder. Je suis si impatient de baiser Caroline que c’est ma femme qui fait les frais de cette frustration. Depuis que je l’ai découverte sur l'écran, je fais subir à mon épouse mille tourments, la soumettant encore plus que je ne l’ai jamais fait en regardant la vidéo qu’elle a ramenée de sa soirée.
Il y a quelques jours, je l’ai attachée sur notre lit à baldaquin avec des liens souples. Entièrement nue, elle était à ma merci, livrée à ma concupiscence et à mes caresses. Avec un petit plumeau, je caressais ses endroits sensibles comme ses seins, son entrejambe et l’orée de son vagin. Quand je sentais son plaisir arriver, je le laissais refluer jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme. Elle ne pouvait pas parler, me supplier d’achever ce que je faisais car elle était bâillonnée. Cette nuit là, elle est restée ainsi jusqu’au matin pendant que je regardais en boucle la vidéo où je découvrais Caroline tout en caressant mon sexe dressé comme un estoc au milieu de mon bas ventre. Lorsque j’ai délivré Ingrid au petit matin, elle s’est écriée:
« Salaud ! Tu m’as laissée sur ma faim alors que plusieurs fois j’étais sur le point de jouir sous tes caresses ! Cette garce de Caroline ne perd rien pour attendre! Ma vengeance sera cinglante ! »
Ingrid et moi avons donc convaincu Serge et Amélie de convier Caroline à notre soirée trimestrielle. Je vais enfin pouvoir assouvir sur cette jeune femme mon goût pour les petites chiennes dans son genre. J’ai réellement hâte d’être à demain soir. Caroline ne sait pas ce qui l’attend! Pour elle, ce n’est qu’une nouvelle soirée coquine, mais pour moi, c'est l'occasion d'évacuer ma frustration. De plus, j'ai bien compris qu’Ingrid veut se venger de Caroline...
CAROLINE
Quelques semaines plus tard, je me suis retrouvée embarquée dans une soirée libertine par Serge et Amélie. C’était une soirée privée qui se déroulait dans les beaux quartiers de la capitale entre gens de bonne compagnie. Nous étions une vingtaine de personnes à peu près équitablement réparties entre les deux sexes. Dans ce grand appartement régnait une lumière atténuée qui ménageait des coins propices aux ébats les plus divers. Une douce musique permettant de danser était diffusée par une chaine stéréo, et dans un petit salon attenant à la grande pièce principale, il y avait un magnifique buffet abondamment garni de mets les plus fins et de boissons diverses. Différentes chambres étaient ouvertes, prête à accueillir des étreintes les plus folles.
Serge et Amélie qui semblaient bien connaitre le maître de maison m’ont présentée à lui à notre arrivée :
« Voici Caroline, la femme dont nous t’avons parlé. Vous verrez, je pense que vous serez satisfait de sa docilité. »
Je regarde Serge avec surprise. J'ai l'impression d'être tombée dans un traquenard.
« Enchanté, Caroline, je suis Louis, le maître des lieux. Et voici ma femme, Ingrid.''
- De même, enchantée. Très bel appartement. J'adore. »
Louis est un homme d’une quarantaine d’années, d’une haute stature, à l’allure décidée et autoritaire. Ses yeux gris lui font un regard perçant qui vous déshabille littéralement quand il se pose sur vous. Son épouse Ingrid est une suédoise d’origine, de quarante ans également. Grande blonde longiligne, devant son mari, elle semble effacée, je ne pouvais m'empêcher de penser que nous nous ressemblions toute les deux. Je faisais mine de rien, mais j'avais immédiatement reconnu la femme de Louis.
C'est elle, cette splendide créature qui m'observait l'autre soir. Que devais-je comprendre ? Amélie et Serge m'auraient-ils amenée ici dans un but précis ?
Délaissant son épouse et nos amis visiblement communs, Louis m'entraînait avec lui. Après m’avoir présentée aux convives que je ne connaissais pas encore, il m’a invitée à danser pour une série de slows. Je me suis retrouvée coincée dans ses bras puissants, littéralement collée à lui. Je sentais une des ses jambes qui cherchait à s’insinuer entre mes cuisses et contre mon bas ventre l’impérieuse pression d’un sexe de forte taille bandé à fond. Je me laissais porter par la musique et guider par mon danseur.
Plus le temps passait, plus je sentais la pression contre mon ventre. Ses mains étaient descendues à ma taille puis, l’une d’elle a remonté le bas de ma mini-robe. J’avais les fesses à l’air, simplement barrées par le cordon de mon string. J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mais je crois que c’était le but poursuivi, et ce n'était pas pour me déplaire. J'aime être au centre des attentions lors de ces soirées. Je sentais les regards sur mon corps, les murmures bruissant tout autour de nous. La douceur des mains de Louis, caressant mes fesses, m'électrisait et je commençais irrémédiablement à sentir mes lèvres s'ouvrir et s'humidifier.
Quand la série de slow a pris fin, Louis, le maître de maison m’a guidée vers le buffet où nous avons bu une coupe de champagne. Alors que nous finissons notre breuvage, Louis me prend soudain par le bras pour me guider vers un angle du grand salon me plaquant au mur, son corps contre le mien, il insinue sa main entre mes cuisses et la plaque sur le tissu de mon string. Il me regarde en souriant et se penche à mon oreille en me disant :
« Humm, tu mouilles déjà. Ma femme avait raison, Serge aussi. Vien s! Ce soir tu vas être MA CHIENNE ! »
M'attrapant de nouveau par le bras, il me guide sans ménagement à travers la salle. Quand nous arrivons près d’un fauteuil de style, il me tourne assez brusquement face à lui et dit sèchement pour que tout le monde entende :
« A genoux ! Comme la petite chienne que tu es. Désormais tu vas faire tout ce je te demanderai ! »
Serge s'approche de moi et souriant me dit :
« Pardon Caro, j'avais oublié de te dire. Louis adore dominer surtout lorsqu’une nouvelle fille entre dans le cercle libertin de son salon. Mais je suis sûr que ça ne te dérange pas, bien au contraire. Tu aimes ça aussi ! Donne-moi ton string que je sente ton odeur de femelle en chaleur ! »
Excitée par la situation, je m’empresse d’obéir en faisant glisser le mince triangle de tissu le long de mes cuisses et sous mes genoux pour le lui tendre. Après l’avoir reniflé, il le met dans une de ses poches. J'ai très envie que cet homme me domine et fasse de moi ce qu'il veut.
« Retire mes chaussures et lèche mes pieds ! »
Je m'exécute immédiatement. Dés que ses pieds sont nus, je me penche au maximum et commence à embrasser et lécher sa peau. Dans cette position, ma robe très courte, remontée sur les fesses permet à tout le monde de voir ma fente et mon petit trou plissé. D’ailleurs, j’aperçois les jambes de plusieurs personnes, hommes et femmes qui s'approchent pour nous regarder en silence.
« Ça suffit ! Ouvre mon pantalon et suce-moi la bite ! »
Cet ordre claque comme un coup de fouet. Je me relève et toujours sur les genoux, je fais glisser la fermeture du pantalon puis sors du slip un membre aux dimensions plus que respectables. Ce que j’avais senti lors de la danse n’était pas un mythe. J’ouvre la bouche et je gobe immédiatement le gland rouge du sang qui y bat. Mes lèvres se referment pour caresser ce gland d'une douceur incomparable. Je ne passe pas pour avoir une petite bouche, mais j’ai un peu de mal à gober ce phallus qui ne tarde pas à être triomphant, envahissant ma bouche jusqu’au fond. Je m’applique à bien le pomper mais surtout éviter de faire sentir mes dents, ce qui aurait constitué une faute impardonnable.
Ma langue palpite doucement dans ma bouche. Les gémissements que Louis laisse échapper me confirment le plaisir que je lui procure. Sortant son sexe de ma bouche et le tenant fermement en main, je le lèche, le claque sur ma langue. Je caresse les testicules qui sous mes doigts se tendent. Louis semble aux anges. Je retourne à son gland que j'avale et entame un va et vient pour faire disparaître entièrement son sexe dans ma bouche.
« Debout chienne ! Tu vas me déshabiller ! Et gare à toi si tu ne le fais pas dans le bon ordre ! »
L'ordre single toujours comme un coup de fouet, sec et impératif, dans un langage étonnant dans un milieu aussi huppé.
Je me lève. J’ôte en premier la veste, la cravate, la chemise puis je défais la ceinture du pantalon que je fais descendre jusque sur les chevilles. Me prosternant de nouveau aux pieds de Louis et relevant les yeux, je m’adresse à lui, totalement entrée dans son jeu de domination.
« Levez vos pieds Monsieur, que je puisse retirer entièrement votre pantalon. »
Louis soulève successivement ses deux pieds. Le pantalon rejoint les autres vêtements retirés que j'ai soigneusement plié sur une chaise à portée de moi comme l'aurait fait une femme de chambre.
« Retire ta robe et ton soutif ! »
Je fais glisser les fines bretelles de ma robe sur mes épaules et elle tombe au sol. Passant mes mains derrière mon dos, je fais sauter l’attache et ma poitrine apparaît aux yeux de tous quand le soutien gorge s'envole. Je suis tellement excitée de ce que je suis en train de vivre que mes tétons sont dardés au milieu de mes aréoles bistre. Je sens une chaleur sourde dans mon ventre et j’ai l’impression que ma chatte dégouline de cyprine. Je termine le déshabillage de Louis en retirant son teeshirt et son boxer. Nous nous retrouvons nus tous les deux au milieu d’un cercle de convives voyeurs. L’érection de Louis n’a rien perdu de sa superbe pendant tout ce temps. Sa bite longue et d’un diamètre de près de 6 cm au moins se dresse fièrement au milieu de son pubis rasé et ses couilles battent entre ses jambes à demi écartées.
« A genoux sur le fauteuil ! Chienne ! Je vais te baiser à fond ! Mais, si tu jouis, je ne veux pas t’entendre ! »
Je me mets immédiatement à genoux sur l’assise du fauteuil, les bras en appui sur le dossier, mes seins ronds pendant sous mon buste. Je suis devenue le centre d’intérêt de la soirée. Presque tout le monde se regroupe en cercle autour de nous. Je sens tout d’abord des claques pas trop appuyées sur mes fesses puis de plus en plus fortes. Mes fesses me cuisent. Soudain les claques cessent et c'est l’estocade. Louis présente son gland à l’entrée de ma chatte et il y pénètre d’une seule poussée violente. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Heureusement que je suis excitée et trempée de mouille car je l’aurais sentie passer. Mais je la voulais en moi dés lors que je l'avais eu en bouche.
Ingrid s'approche de nous. Elle ne porte qu’une guêpière de dentelle noire, un string assorti et des bas fins à couture. Perchée sur des talons très hauts, elle tient en main une sorte de martinet fait de lanières de tissu assemblées sur un manche court.
« Alors salope ! Depuis le temps que Louis entend parler de toi, il peut enfin te soumettre et te baiser ! Mais moi, je vais te punir car tu l'as fait attendre trop longtemps et c'est moi qui devais subir sa domination. »
Elle commence par me pincer les tétons puis malaxe brutalement mes seins d'une main. Dans le même temps, les lanières de tissu me fouettent mes reins. Je n’ai pas mal et bien au contraire, être ainsi fustigée aux yeux de tous accentue encore ma soumission. Louis me pistonne à grands coups de reins, sortant parfois de ma chatte pour mieux y rentrer en force. Je sens ma chatte écartelée par ce membre impressionnant. Chaque nervure glisse en moi, provoquant une vague de plaisir que je dois taire. Je me mords les lèvres pour ne pas exprimer la jouissance que je sens monter en moi. Que c’est bon d’être soumise ainsi aux caprices d’un homme. Soudain Louis colle son pubis contre mes fesses et je sens un flot de sperme envahir le fond de ma chatte. Je mords toujours mes lèvres pour ne pas exprimer l'orgasme qui me submerge au moment où l’éjaculation arrive. Waouh ! Qu’elle était généreuse !
Louis reste quelques minutes en moi. Je ne bouge pas avant qu’il m’en donne l’ordre. De lui-même il se retire :
« Nettoie ma bite ! »
Sans me faire prier, je quitte le fauteuil et m'agenouille léchant son sexe afin de retirer nos sécrétions. Je sens le foutre dégouliner de ma chatte, j’en ai plein le haut des cuisses.
A suivre...
- Commentaires textes : Écrire
Christelle et Jean
Jean venait de garer la Mercédès dans la cour de la grande maison bourgeoise. Quatre BMW étaient déjà stationnées. Trois de ces voitures n’étaient pas de modèles récents et semblaient fatiguées. La quatrième était neuve.
« Les vitres fumées noires et les jantes en alliage chromé ne sont pas du meilleur goût », pensa Jean.
Christelle vérifia dans le miroir de courtoisie, que son maquillage ne nécessitait pas de retouche. Satisfaite du résultat, elle sourit à Jean et ouvrit la portière. L’automne commençait à devenir frais en ce mois de novembre. Christelle, simplement habillée d’une courte robe noire échancrée dans le dos et d’un simple gilet, frissonna en sortant du véhicule. Les talons de ses escarpins s’enfoncèrent dans les graviers de l’allée.
Sur le perron, leurs hôtes les accueillirent avec sourire et sympathie. Ce n’était pas leur première soirée chez Cécile et Victor. Mais cette fois, Victor avait promis de la nouveauté et des surprises pour ses invités.
Au salon, un feu crépitait dans la cheminée en marbre. Cécile s’en approcha. La chaleur lui fit du bien. Victor servit du champagne. Il apportât une flute ambrée à Cécile.
« Ma chérie, tu es très en beauté, ce soir. » lui dit-il.
Il lui caressa le dos, et sa main descendit jusqu’à la naissance de ses fesses. Une fois encore, Christelle frissonna, mais cette fois de plaisir. Ils s’installèrent sur les deux canapés qui se faisaient face. Les femmes sur l’un, les hommes sur l’autre. Victor en levant sa coupe, déclara :
« Avant de commencer cette soirée j’aimerais, en tant que maitre de cérémonie, que ces dames nous montrent ce qu’elles portent sous leurs robes. »
Jean acquiesça en ajoutant :
« Si elles portent quelques choses en dessous !
- Ne sois pas cynique Jean. » répondit Cécile qui, en même temps commençait à soulever sa robe de mousseline ivoire.
Lentement, en prenant plaisir à voir les regards intéressés des deux hommes, elle remontait sur ses cuisses gainées de bas couleur chair, la mini robe. Enfin, elle dévoila une fine étoffe blanche et quasi transparente qui masquait à peine son mont de Vénus. Jean demanda :
« String ou culotte ? »
Cécile se mit alors à genoux sur le canapé, tournant le dos aux deux hommes. Elle recommença à soulever sa robe. Elle découvrit entièrement ses fesses. Elle aimait exposait son corps callipyge aux regards concupiscents des hommes. Un minuscule triangle de satin ornait le bas de ses reins. Cécile fit glisser le string le long de ses jambes, le retira et le lança vers les deux hommes. Il atterrit sur les genoux de Victor qui le prit et le huma en envoyant un baiser à sa femme de la main. Jean exprima son contentement par un sifflet d’admiration. Satisfaite, la jeune femme aux cheveux blond platine coupés courts porta à ses lèvres son verre de champagne.
Les regards des deux hommes se portèrent alors vers Christelle. Elle se mit debout, leur tourna elle aussi le dos, puis fit glisser une à une les bretelles de sa robe. Celle-ci tomba à ses pieds. Les deux hommes restaient sans voix, devant une telle perfection plastique. Ses jambes semblaient encore plus interminables avec ses bas gris anthracites et ses talons qui lui cambraient les reins. Ses fesses nues et galbées étaient une invitation à la luxure. Son dos, ses seins et ses épaules étaient en harmonie avec le reste.
Le tout dessinait un corps parfait. Son port de tête aristocratique mettait en valeur les traits fins de son visage. Ses cheveux bruns qu’elle n’avait pas lissé, tombaient en ondulant jusqu’à sa poitrine et ses omoplates. Elle était indécente, non pas, par sa nudité mais par sa beauté. Même Jean ne se lassait pas de contempler son épouse. Cécile qui s’était relevée, glissa à l’oreille de Christelle :
« Tu es vraiment splendide petite garce. Embrasse-moi ! »
Les deux femmes s’embrassèrent avec tendresse et sensualité, mélangeant à leurs salives le champagne que Cécile avait malicieusement glissé dans sa bouche avant le baiser.
Victor annonça que la soirée maintenant pouvait commencer. Il les invita dans la pièce adjacente. La salle était presque obscure. Une dizaine d’hommes, attendait sur des sofas. Eux aussi buvaient du champagne et discutaient assez bruyamment. Ils se turent quand le trio fit son entrée. Tous ces hommes étaient noirs. Victor annonça : « Mesdames, je vous présente vos mâles pour ce début de soirée. Cécile, tu connais déjà Samir. Nous avons déjà passé plusieurs soirées ensemble. »
Cécile acquiesça et sourit à Samir. Elle aimait se faire prendre par cet homme d’un mètre quatre-vingt-quinze aux épaules larges et au membre sur dimensionné. Victor poursuivit :
« Cette fois, j’ai demandé à Samir de venir avec des amis de sa cité. Christelle et toi, vous commencerez par vous gouiner et vous gamahucher devant eux pour bien les chauffer. Ensuite, Samir et ses hommes pourront baiser Cécile et uniquement Cécile. Cela se fera sur cette table ronde que vous pouvez voir au milieu de la pièce. Quant à toi Christelle, tu seras aussi prise dans la soirée, mais plus tard et pas par eux, ni par ton mari, ni par moi. Ce sera la surprise de notre réunion. Tu nous rejoindras, Jean et moi, lorsque Cécile sera conduite sur la table. »
Puis s’adressant à sa femme, il lui dit :
« Emmène Christelle sur le sofa et commencez à faire l’amour devant nos amis. Jean et moi, assisterons à tous vos ébats depuis ces confortables fauteuils en cuir. »
Les deux femmes s’embrassaient et se câlinaient langoureusement devant les hommes. Elles n’avaient gardé que leurs escarpins et leurs bas. Cécile caressait le clitoris humide et gonflé de Christelle. La femme de Victor s’arrangeait pour montrer ostensiblement, la chatte ouverte et trempée de sa compagne, car Christelle mouillait beaucoup, se sachant observée par tous ces mâles.
Elles se mirent ensuite en 69. Christelle au-dessus de Cécile qui continuait à lui écarter la chatte au maximum et plongeait sa langue au plus profond de son intimité. Les noirs se déshabillèrent. Leurs corps puissants et musclés apparurent aux deux amies. Leurs queues étaient dressées, et on sentait chez ces hommes jeunes l’impatience à venir copuler. Ils se masturbaient en regardant les amours lesbiennes de ces deux tribades déchainées. Cette situation déclencha un orgasme chez Christelle.
Elle jouit dans la bouche de Cécile, l’inondant de sa cyprine. Les hommes de plus en plus nerveux, se rapprochaient du sofa. Samir, chercha Victor du regard. Celui-ci lui fit un signe d’assentiment. Le grand noir prit alors dans ses bras Cécile, et la déposa sur la table ronde.
Il prit le temps d’enfiler un préservatif. Cécile était maintenant allongée sur le dos, les jambes relevées sur le torse du colosse. Il lui rentra sa bite énorme dans la chatte. Elle gémit de plaisir et de douleur. Elle sentait les parois de son vagin se distendre sous la poussée de ce pieu phénoménal. Elle adorait être prise à la hussarde, mais là heureusement, sa partie de galipette avec Christelle l’avait bien lubrifiée, et lui permettait le passage de cette pièce d’exception.
Samir la prenait sauvagement, avec de violents coups de reins. Il était debout. Un de ses bras tenait fermement les jambes de la blonde contre lui. Son autre main lui caressait les fesses et il forçait avec son pouce l’entrée du petit trou de Cécile. Il la pilonnait avec force. Elle sentit la main d’un autre homme lui tourner le visage. Il se mit à frotter son sexe sur ses lèvres. Elle le prit en bouche et se mit à le sucer avec délectation. D’autres mains se promenaient sur son corps, de son clitoris à ses seins.
Les hommes se relayaient dans sa bouche et entre ses doigts manucurés. Seul Samir restait dans sa chatte. C’était lui le chef, il passait donc en premier et ne cédait pas sa place. Au bout de quinze minutes, des gouttes de sueur perlaient sur le front du géant. Il fit dégager ses hommes qui s’étaient massés autour de Cécile en déclarant :
« Foutez le camp, je veux me la finir seul, cette salope. »
Lorsque les hommes se furent éloignés, il se retira du sexe trempé de Cécile. Samir enleva son préservatif. Incrédule, elle le vit la pénétrer à nouveau mais, à cru cette fois. Il s’approcha du visage de Cécile et lui dit :
« Alors, ça te plait le bois d’ébène ? Tu aimes la sentir, ma bite de black dans ta chatte de bourge bien éduquée? Désormais, tu es ma pute. Je vais cracher mon foutre au fond de ton vagin, et cela, devant ton cocu de mari. »
Samir ne lui avait jamais parlé comme ça. De plus, il l’avait toujours prise avec préservatif. Elle ne savait que penser. Le géant ajouta :
« Avec un peu de chance, je vais pouvoir te faire un gosse. Ton mari m’as dit que tu ne prenais plus la pilule. »
Cécile le regardait dans les yeux, interloquée. Comment Victor avait-il pu dire cela à Samir ? Elle se sentait trahie. Elle voulut mettre un terme à cette situation, mais en même temps, elle était transcendée par ce que lui disait son baiseur. Il continua :
« Je vais bien me vider les couilles en toi et ensuite je te laisserai avec mes négros. Quand ils t’auront bien envoyé leur foutre sur tout le corps, je reviendrai pour t’enculer. »
Malgré elle, elle sentait l’excitation redoubler. Les mots de Samir résonnaient dans sa tête.
« Me vider les couilles, te faire un gosse, foutre de noirs sur tout le corps… »
La chaleur dans son ventre la taraudait. Samir reprit :
« A partir de maintenant, tu m’appartiens. Embrasse-moi petite pute pour montrer à tous comme tu es à moi. Dis-le que tu m’appartiens ! Vas-y, dis-le ! »
Cécile haletait d’émotion et de contentement mélangés. Elle s’entendit dire, sans croire que ces mots pouvaient sortir de sa bouche :
« Je t’appartiens ! »
Elle le répétait même, et de plus en plus fort, jusqu’à le crier pendant que Samir accélérait ses mouvements pelviens :
« Je t’appartiens, je t’appartiens, oui, je suis à toi ! Baise-moi, fais de moi, ce que tu veux, fais-moi un enfant si tu veux, donne-moi tout ton sperme ! »
Elle l’embrassa fougueusement, elle s’offrit à lui totalement, comme jamais. Elle le voulait entièrement en elle. Son bassin ondulait de plus en plus rapidement. Elle contractait les muscles de son vagin autour de cette queue qu’elle désirait ardemment faire juter. Elle fut terrassée par la jouissance quand Samir, dans un dernier coup de queue, s’immobilisa et éjacula en grognant.
Elle sentait les flots de semence jaillir dans son ventre. L’orgasme la fit se tendre, arc boutée. Seules ses épaules touchaient la table. Son autre point d’appui étant la verge de Samir, qui la maintenait fermement contre lui.
Quand elle reprit ses esprits, Samir se retira d’elle. Il dit à ses hommes :
« Elle est à vous. Amusez-vous, mais interdit de lui baiser la chatte et de l’enculer. Je suis le seul à pouvoir faire cela. Vous pouvez vous branler sur elle, et décharger dans sa bouche, si vous voulez. »
Aussitôt, les hommes se précipitèrent vers Cécile. Des mains parcoururent son corps à nouveau. Des bites biens raides se relayèrent dans sa bouche. Elle les accueillit presque tous. Ils jouirent pour la plupart entre ses lèvres. Ils étaient tellement excités que quelques secondes sur la langue de Cécile suffisaient à les faire juter. Son visage fût vite recouvert de foutre. Certains, trop impatient d’attendre leur tour, se branlaient au-dessus d’elle et éjaculaient sur ses seins ou son ventre. Quand le dernier se déversa dans sa bouche. Cécile qui se doigtait, jouit en sentant le sperme de Samir qui peut être, en ce moment même la fécondait.
Quelques temps après, Samir la fit descendre de la table.
« Mets-toi à quatre pattes ! » lui dit-il.
Elle s’exécuta. Elle savait que Samir venait honorer sa promesse. Il venait la sodomiser. Il lui cracha sur le cul, lui rentra un doigt, puis deux. Il s’agenouilla derrière elle et présenta son sexe tendu à l’entrée de sa rosette. Contrairement à tout à l’heure, il prit son temps. Il la pénétra doucement, mais sans reculer. Il mettait sa main autour de sa bite pour contrôler sa pénétration. Il commença par des va et viens très lents, afin de laisser le temps au cul de Cécile de s’élargir à la dimension de son membre.
Au fur et à mesure, il accélérait la cadence. Cécile se sentit à nouveau emporter par une vague de plaisir. Appuyée sur les coudes, le visage encore couvert du sperme des hommes de Samir, elle se cambrait au maximum, les fesses relevées bien haut. Elle se donnait entièrement à celui qui maintenant était son maitre.
Les coups répétés des couilles de Samir sur ses fesses lui déclenchèrent son troisième orgasme. Il fut moins intense mais dura plus longtemps que les précédents. Elle s’écroula quand Samir eut déversé son sperme dans ses entrailles, tout en lui tenant la taille, de ses deux mains immenses.
Peu après Samir se rhabilla. Victor le remercia, lui et ses hommes. Il les accompagna à l’extérieur. Cécile vint dire au revoir à Samir dans un baiser passionné.
« Tu reviens bientôt ? lui demanda-t-elle.
- Victor m’a donné une clé. Je peux venir te sauter quand je veux. Je pense que je ne tarderai pas à revenir faire un tour », répondit le géant noir en lui souriant.
Victor dit à celle qu’il venait d’offrir :
« Rentre, ma chérie, tu vas attraper froid. »
A suivre...
- Commentaires textes : Écrire
La vie intime de Lydia - 3ème partie
3. Comment j’ai sauté le pas
Vous me connaissez déjà. Je continue de raconter ma vie de femme épanouie, mère de famille libertine qui aime le sexe, chaude comme la braise et qu’un rien excite au plus haut point !
Je suis Lydia, celle qui, à près de trente-cinq ans, a découvert les joies du saphisme dans les bras d’une coquine dans le club que je fréquente régulièrement avec mon mari depuis plus de trois ans. Comment en sommes nous arrivés à fréquenter ainsi ces endroits coquins ? Tout simplement parce que nous avions envie de pimenter un peu notre vie de couple. Dans des revues spécialisées, nous avons passé des annonces pour rencontrer des couples ayant les mêmes envies. Pour plus de facilités, nous nous sommes donné rendez-vous dans ce club où nous faisions plus ample connaissance.
Les premières fois, nous ne sommes pas allés plus loin dans ces rencontres pour différentes raisons. Mais, avec Patrick (mon homme) nous avons profité des installations et plus spécialement du hammam et du jacuzzi que j’apprécie particulièrement. C’est tellement bon de sentir les remous masser mon corps aux formes quelque peu généreuses, de sentir les bulles courir entre mes cuisses, remonter le long de ma vulve, agiter le petit bijou de mon nombril et s’épanouir entre mes seins ! Lorsque nous étions bien détendus, nous passions dans la salle des massages où après nous être séchés, Patrick enduisait mon corps d’huiles odorantes avant de me faire l’amour.
Longtemps, nous avons rencontrés des couples qui comme nous préféraient le mélangisme à l’échangisme. Le cadre accueillant de l’établissement avec ses coins coquins discrets, son grand salon avec la perche de pole dance, la cage dorée, le lit podium, la salle de massages, tout cela était fait pour nous satisfaire dans une ambiance conviviale. De voir un couple se caresser auprès de nous, cela nous excitait au plus haut point et quand Patrick me baisait je prenais un pied d’enfer tant j’étais chaude ! Progressivement nous nous sommes enhardis, nous avons commencé à échanger des caresses avec un autre couple, d’abord des attouchements aux endroits sensibles, des baisers sur les seins, etc. mais il n’y a jamais eu d’échanges de partenaires. Cela nous suffisait.
Puis il y a environ un an, j’ai découvert le saphisme dans les bras de Céline, une grande et belle femme blonde aux longs cheveux frisés. Âgée d’environ 40 ans, c’est elle qui m’a initiée ce soir là. Je n’avais pas précisément envie de faire une rencontre. Avec Patrick, nous voulions profiter du hammam et du jacuzzi et nous prenions un verre au bar avant d’y aller quand un homme est arrivé près de nous en disant que sa compagne me trouvait très excitante !
Puis une autre fois, nous sommes allés plus loin. J’étais dans la salle de massage avec mon mari quand une femme et deux hommes sont arrivés pour se joindre à nous. Là, je me suis montrée plus entreprenante avec la femme en l’embrassant et en la caressant aux endroits sensibles. Nos compagnons nous ont prises toutes les deux en levrette, nous étions face à face de part et d’autre de la table de massages et nous nous embrassions sur la bouche ou dans le cou. Au final, nous avons sucé les hommes à deux bouches pour les faire gicler sur nos seins. Le troisième homme s’était contenté de nous mater en se masturbant.
Mais il y a quelques semaines, nous avons rencontré au bar, peu de temps après notre arrivée, une couple très sympathique avec lequel nous nous sommes tout de suite sentis bien. Karine et Serge devaient avoir sensiblement le même âge que Patrick et moi, autour des 35 ans.
Ce soir-là je portais pour la première fois une tenue très légère de couleur rose fuchsia faite d’un bandeau de tissu couvrant tout juste mes seins opulents et une jupette ultra courte. Les deux étaient réunis par une large bande de filet à mailles serrées. Je portais des bas de même couleur. Bien que la tenue comportât également un string, je ne l’avais pas mis.
La femme était une métisse, antillaise vraisemblablement, à la peau d’une couleur brun pale avec des cheveux coupés très courts d’un noir très dense, elle avait d’immenses yeux de biche marron et des lèvres un peu proéminentes sous un nez très légèrement épaté. Plus grande que moi de quelques centimètres, elle avait des formes sculpturales mais assez menues, des seins ronds en forme de poire, des hanches bien galbées sous une taille étroite et une cambrure des reins digne de la reine de Saba ! Elle était simplement vêtue d’un paréo aux couleurs chatoyantes drapé sur ses seins et une ceinture faite d’un cordon doré à la taille.
Ils allaient bien ensemble, le mec grand et brun de peau également mais visiblement sans traces négroïdes, devait être soi un sportif soi un adepte de la musculation car sous son t-shirt moulant on pouvait apercevoir sa musculature bien dessinée. C’était la première fois que nous les voyions dans le club. Ce couple était la cible de tous les regards et en moi-même, j’étais assez fière qu’ils nous aient choisis comme compagnons pour débuter la soirée.
Quand nous avons achevé de faire connaissance et terminé notre verre de cocktail, nous sommes passés dans le grand salon où deux filles très jeunes se trémoussaient dans la cage et se déshabillant mutuellement devant un parterre de voyeurs des deux sexes. Nous nous sommes ensuite dirigés vers le local du jacuzzi où il n’y avait personne. Nous avons achevé de nous mettre nus, les hommes ont retiré leurs t-shirts et leurs boxers pendant Karine et moi, nous nous ôtions nos derniers vêtements avant je glisser dans le bouillonnement du bassin. L’un comme l’autre nous n’avions pas de string. J’ai découvert sa chatte avec la toison épaisse et frisée taillée en ticket de métro. C’était véritablement une belle fille et même si je ne suis pas franchement bisexuelle, j’avais envie d’elle.
Dans le jacuzzi nous nous sommes placés côte à côte, Patrick à la gauche de Karine et Serge à ma droite. Nous étions collés les uns contre les autres bien qu’il y ait eu suffisamment de place pour accueillir encore au moins deux couples. Dans un ensemble bien réglé, nos mains se sont retrouvées dans la fourche de nos jambes. Ma main droite avait saisi le sexe déjà turgescent de Serge et ma gauche cherchait le bourgeon d’amour de Karine qui en faisait autant avec le mien. A voir l’expression de bonheur béat de Patrick, je supposais alors que l’autre main de Karine devait lui faire une gâterie. Jusqu’à ce moment-là, nous ne nous étions pas encore embrassés.
Soudain Karine s’est levée, à pris ma main et m’a entraînée hors de l’eau pour me guider vers un des matelas de plage épais et confortables se trouvant à proximité. Nous nous sommes séchées rapidement et là, elle m’a dit :
« Viens Lydia, tu me fais trop envie ! J’ai envie de ta chatte lisse et des tes seins. Je vais te croquer les tétons.
- Oh oui ! Cette caresse m’excite, tu ne peux pas savoir.
- Mets-toi sur le dos que je m’occupe de toi ! »
Elle a écarté mes cuisses et elle a commencé un cunnilingus savant, frappant mon clitoris de coups de langue rapides et répétés puis en léchant ma fente pour ensuite darder sa langue au plus profond de ma chatte qui commençait à ruisseler. Ce n’était que les prémices. Elle a abandonné ma fourche pour remonter vers mes seins qu’elle a embrassés et mordillés, faisant saillir mes tétons. Dans ce mouvement elle frottait sa fourche intime sur une de mes cuisses. Je sentais l’humidité sourdre de sa vulve. Elle a continué de ramper ainsi sur mon corps jusqu’à ce que nos bouches se rencontrent dans un baiser ardent où nos langues se sont livré une sorte de duel humide, c’était à celle qui envahirait la bouche de l’autre !
Quand nous nous sommes mises en 6 9, Serge et Patrick sont sortis de l’eau. D’un regard, j’ai vu que ces deux coquins bandaient comme des cerfs, certainement excités par le spectacle qui s’offrait à leurs yeux ! La surprise a été totale quand Serge a proposé à Patrick de baiser sa femme. Depuis que nous venions en club, l’un et l’autre nous avions caressé d’autres partenaires, j’avais sucé d’autres hommes, mais jamais nous n’avions été jusqu’à changer de partenaire :
« Vas-Y Patrick, je sais qu’elle te fait envie ! »
C’est vrai que c’était un fantasme de mon homme : faire l’amour avec une femme noire ou asiatique. Là il allait pouvoir assouvir cette envie. Karine s’est relevée en appui sur ses genoux pendant que Patrick se couvrait pour la prendre en levrette. Quand il l’a prise un peu sèchement en faisant claquer ses cuisses contre les fesses, j’ai ressenti le choc de cette pénétration virile au travers du corps de Karine qui continuait de m’embrasser. Serge s’était allongé près de nous, le bassin à la hauteur de nos bouches, offrant un sexe long et fin pour que l’une ou l’autre le suce. En fait, nous lui avons offert une pipe à deux bouches qu’il a semblé apprécier. Pendant que j’avais sa pine dans la bouche, Karine lui léchait le mat et les bourses qui battaient entre ses cuisses. Waouh ! C’était chaud ! Je continuais à sentir les coups de boutoir que Patrick assénait à sa partenaire qui soudain me dit à l’oreille :
« Je vais partir, quelle bite il a ton homme, il m’emplit la chatte ! »
Pourtant, je ne la trouve pas surdimensionnée, juste à la bonne taille. Elle m’avait à peine dit cela qu’elle se tétanisait, foudroyée par la jouissance qui au même moment emportait Patrick. Ce grand coquin a savouré jusqu’au bout son plaisir, restant de longues minutes dans la chatte de Karine qui reprenait son souffle. Puis ils se sont désunis, Karine roulant sur le dos d’un côté pendant que son homme s’était mis sur le dos de l’autre. Il avait la bite dressée comme un mat vers le ciel et semblait attendre, entretenant sa bandaison d’une main négligente quand Patrick m’a dit :
« Regarde ! Elle est pour toi ! Elle n’attend plus que ta chatte !
- Allez, ma belle, couvre moi la queue et empale toi en amazone ! Face à moi que je savoure la vison de tes seins ! »
Puisque Patrick avait baisé Karine, je n’avais aucun scrupule à me faire prendre par Serge ! Je l’ai enjambé aussitôt en me penchant vers lui pour qu’il embrasse mes seins déjà sensibilisés par les attouchements de sa femme. Lentement, j’ai guidé sa longue bite dans ma chatte et quand le gland a été introduit, je me suis laissé descendre jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son pubis. Rien qu’en sentant l’extrémité frapper ma matrice, j’ai eu plusieurs frissons qui sont remontés jusqu’entre mes épaules. Même en jouant avec mes godes, je n’étais allée si loin dans ma chatte et c’était bon ! Pendant que je montais et descendais sur ce pieu de chair qui me fouillait les entrailles Serge jouait avec mes seins, les frôlant d’une caresse enveloppante ou en triturant un bourgeon entre ses doigts. Je mouillais comme jamais, j’avais l’impression de ruisseler et d’inonder mon partenaire de mes sécrétions.
A côté de nous, à genoux sur le matelas, Karine nous faisait face, Patrick collé contre son dos lui caressait les seins d’une main et fouillait sa chatte de l’autre. Ces deux coquins n’en avaient pas eu assez ! Ils étaient encore en train de se chauffer. C’est vrai aussi que pour notre premier échange de partenaires, nous étions bien tombés : deux coquins très sexys qui savaient y faire pour donner du plaisir à l’autre ! Nous avons poursuivi la soirée tous les quatre en baisant encore une fois en changeant de partenaire en cours de route. Dès que Patrick est sorti de Karine, il a ôté le préservatif pour finir dans ma chatte. Pour moi, il n’y a rien de plus excitant en fin de baise que de sentir les puissants jets de sperme venir frapper le fond de mon vagin ou de mon cul ! A chaque fois, ça me faire partir dans une jouissance démente.
Voila comment nous sommes passés du mélangisme à l’échangisme. Il suffit parfois de trouver les bons partenaires pour sauter le pas ! Mais personnellement je préfère avoir deux hommes pour s’occuper de moi, Patrick et un autre d’une manière générale.
…….. à suivre.
- Commentaires textes : Écrire
Sulfureuse Sabine
Sabine est une femme d'une cinquantaine d'années, qui a eu une vie plus que débridée, au point de se perdre litteralement dans le sexe le plus extême, et d'etre exploitée sexuellement par ses amants et son mari. Elle nous raconte son histoire, via les courriers que nous avons échangés.
Introduction
Chère Sophie,
Tu avais publié sur ton blog le récit abrégé de ma condition de femme soumise aux désirs sexuels des blacks, au point de ne plus être moi-même, de me perdre dans cet état. Je n’avais plus de prise sur rien.. Te parler, et voir mon histoire publiée m’avait permis d’ouvrir les yeux sur moi-même, et de rependre en main le cours de ma vie, de devenir celle qui décide, et non celle qu’on utilise…
Je t’avais promis de te raconter ce qui m’est arrivé depuis que tu m’as ouvert les yeux.
J’aime toujours mon mari mais nous sommes séparés de fait ; nous avons décidé d’un commun accord d’une séparation après ce que j'ai appris et il est en mission à l’étranger pour encore dix mois. L’homme noir que ma belle-mère avait placé chez nous est reparti au Sénégal.
J’ai déménagé et suis allée avec mes filles qui sont au lycée, vivre à Lyon, mes deux aînées sont toujours dans la région aixoise, l’une est maman de deux petites filles métisses adorables, l’autre en ménage avec un jeune homme plus blanc que la neige du Mont-Blanc, les deux du milieu une est en fac à Aix et l’autre est venue avec moi (la quatrième) en fac à Lyon.
J’ai beaucoup parlé avec ces deux dernières car je ne voulais pas qu’elles deviennent comme moi. Tu avais raison, elles ont su pour moi par des copains dont les amis, parfois des parents, cousins ou frères, m’avaient prise au temps où j’étais avec les groupes dont je t’avais parlés. Mais en parlant, en leur disant cet irrépressible besoin, et que c’était un choix aussi d’une femme ayant déjà eu des enfants, et qu’elles étaient trop jeunes pour connaître cela, j’espère qu’elles ont compris que j’avais été abusée et utilisée et que j’avais perdu le contrôle même si j’avoue que j’ai souvent (toujours en fait) joui lorsqu’ils me prenaient. Ma troisième m’a avoué avoir déjà fait avec deux hommes mais qu’elle préférait avoir un copain. La quatrième a préféré venir avec moi et j’en suis très heureuse, cela nous a rapprochées, elle avait eu un copain black qui l’avait prise avec deux amis plusieurs fois et elle aimait, mais ce que je lui ai dit l’a fait réfléchir.
Quant à moi, et bien j’ai suivi tes conseils. J’ai recommencé à travailler à Lyon, mais en ménageant mes mercredis et mes weekends. Mes filles sont grandes maintenant, je peux m’absenter du vendredi au dimanche si je veux. Mon mari me donne la moitié de ce qu’il gagne en mission, ce qui me permet de faire des petites folies relatives à mes besoins car il me reste de mes années où j’étais prise tous les jours et souvent par plusieurs, des envies quasi permanentes. Par contre, rien au travail. J’ai appris en parlant beaucoup avec celui qui m'avait offerte à des groupes très nombreux que je rapportais de l'argent et à lui et à mon mari (le principal motif de mon divorce en cours, tu avais raison, ils m'ont prostituée).
Donc, je vais parfois à Paris, parfois dans d’autres villes, et j’ai des amants noirs surtout à Paris, mais aussi à Marseille et Dijon, que je vois régulièrement, parfois à plusieurs car je ne peux pas m’en passer (je suis incorrigible, tu vas me dir,e mais c’est comme une drogue). Mais par rapport à avant, je ne fais plus des groupes aussi nombreux, sauf pour mon anniversaire, là j’ai réuni une dizaine d’hommes rien que pour moi.
A Lyon, j’en vois aussi mais uniquement quand je veux et ils ne savent rien de moi. J’en vois parfois avec une amie que je me suis faite en sortant dans des lieux fréquentés par les blacks, elle a dix ans de moins que moi, bi très douce, et quand je lui parle de ce que je faisais, elle est toujours surprise avec un peu d’envie quand même. Je lui ai bien expliqué qu’il valait mieux contrôler les situations, car moi, je n’avais plus aucun sens des réalités. J'ai même un amoureux ivoirien, mais je ne peux pas me passer d'avoir des relations avec d'autres, c'est ma bouffée d'oxygène.
Sinon, je n'arrive toujours pas à mettre de dessous après vingt-deux ans à ne pas en mettre, je n'y arrive toujours pas…. rires.
Si tu le désires, je pourrai écrire certaines de mes rencontres. Je suis plus adepte de jeux de rôles et de déguisement maintenant.
Je t’embrasse. Je ne te remercierai jamais assez.
Sabine
1.
A Lyon, j’ai rencontré un français d’origine ivoirienne de quarante ans dans un café un soir où il y a souvent beaucoup d’africains. J’y étais allée un mardi pour trouver un amant d’un soir.
On discute, il m’offre un verre, j’étais habillée sexy mais pas trop, disons moins que d’habitude quand je pars à la recherche de ma queue nocturne. Jean était charmant et drôle, pas mal physiquement, je lui donnais trente-cinq ans avant qu’il ne me dise son âge.
Il commence à m’effleurer, je l’ai encouragé, si bien qu’après le deuxième verre, je l’avais embrassé et que sa main connaissait bien mes cuisses et qu’il avait remarqué que je n’avais rien sous ma jupe.
J’ai accepté de changer d’endroit, et après, d’aller dans un hôtel, ne voulant pas aller chez lui et encore moins à la maison.
La nuit fut courte niveau sommeil, longue niveau sexe, j’avoue avoir joui même si j’ai utilisé des préservatifs. Il a utilisé toutes les possibilités que j’ai offertes de bon cœur, sa queue me plaisant autant que son propriétaire. Bon amant, il a éjaculé plusieurs fois, ce que j’adore comme tu sais, me régalant dans la bouche ou couvrant mon corps. Il était dominant mais pas trop pour cette première fois, et quand il m’a sodomisée en me fessant, j’ai joui, et il l’a remarqué, plus fortement que les autres fois.
Normalement, je ne donne pas suite, même si cette règle a des exceptions comme je te l’ai écrit l’autre jour (de plus en plus nombreuses, il va falloir que je fasse attention, rires). Je consens à lui donner mon numéro. Une semaine se passe, et je reçois un appel de lui. C’était le mardi matin, je n’avais rien prévu car comme je te l’ai dit, je me suis organisée avec mes filles pour vaquer à mes occupations « sportives en chambre » le mercredi et les weekends.
Il me demande si je veux passer chez lui et qu’on sorte ensuite manger ou se faire un cinéma, ajoutant qu’il a un test HIV négatif.
Vu le souvenir de ma nuit de la semaine d’avant, j’ai fait semblant d’avoir à décommander quelque chose mais que cela serait difficile, et je l’ai appelé en fin de matinée donnant mon accord. A dix-neuf heures, je sonne chez lui, cette fois un peu plus sexy que la première mais bien habillée tout de même, en jupe, talons et joli haut. Charmant comme à son habitude, on discute un peu, me raconte ce qu’il fait (il travaille dans une banque comme informaticien), ce qu’il aime, me présente son chien, Idéfix, et me fait visiter son appartement (je ne sais pas si tu connais Lyon, il est à Saint Jean). Il a une petite terrasse, où il laissa le chien, c’est un danois.
Après ces diversions, j’ai fondu quand j’ai senti ses mains sur moi, et j’ai connu son salon à quatre pattes. Il a joui en moi et j’ai joui tout court. Après s’être remis, et moi réarrangée, nous sommes sortis manger et faire une ballade dans le Veux Lyon. Durant la ballade, son sperme coulait de ma chatte, je n’avais pas de culotte comme toujours et j’avoue que j’étais très excitée. Nous sommes revenus chez lui vers 22h30. J’ai encore passée une nuit fabuleuse, le laissant encore jouir en moi, dans mon vagin et mon anus ainsi que ma bouche.
Il travaillait le mercredi et m’a réveillée en me léchant, me reprenant sauvagement comme j’aime. Il m’a dit avant de partir de fermer la porte en la claquant et a ouvert la terrasse en m’apportant un café fumant. Nue sur le lit, je me suis rendormie sur le ventre cuisses ouvertes.
A un moment, j’ai senti une langue me lécher, je ne savais pas combien de temps il s’était écoulé et je pensais qu’il s’agissait de lui qui n’arrivait pas à partir. J’ai ouvert encore plus les cuisses sous l’effet des coups de langue. Dans un semi sommeil, j’étais excitée comme une puce lui parlant croyant avoir affaire à Jean. Au bout d’un moment je me tourne la tête car il ne me répondait pas et je vois le danois en train de lécher la raie de mes fesses et ma fente toute ouverte Jean avait éjaculé en moi (et je coulais un peu). Je voulais me retirer sidérée de m’être laissée lécher par un chien, je ne l’avais jamais fait. Mais d’un autre côté, c’était vraiment bon. J’ai voulu voir si j’arrivai à jouir, j’étais seule dans l’appartement et personne n’en saurait rien, n’ayant aucune envie de le raconter à qui que ce soit et surtout pas à Jean. J’ai pratiquement joui sous les coups de langue du chien.
A un moment, j’ai machinalement levé mes fesses : me retrouvant cul ouvert devant sa gueule, appuyée sur mes genoux et mes épaules, il a arrêté de me lécher et j’ai senti qu’il bougeait puis j’ai senti ses pattes avant sur mes épaules, je me suis mise en levrette tout en me disant que j’étais complètement folle. Je ne devais pas être la première car il savait ce que cela voulait dire … mais j’ai dû le guider en moi car il bougeait dans le vide. Sa queue était grosse et il est entré d’un coup dans mon vagin encore ouvert des assauts de Jean et rendu trempé par les coups de lèche d’Idéfix.
Il m’a baisée comme il aurait fait d’une chienne, j’ai senti une explosion de semence en moi, une partie coulant en dehors de ma chatte poilue, collant mes poils et se mélangeant à celui de son maître. Une fois retiré, il a léché sa queue rougie et s’en est allé comme il était venu, repartant sur sa terrasse, me laissant cul en l’air, souillée mais à ma grande surprise dévastée par un orgasme très fort. J’ai mis dix minutes avant de m’allonger, souriant de cette rencontre inopinée et surprenante, tant du chien que du maître. J’ai pris une douche avant de partir.
J’ai quitté son appartement en claquant la porte, prenant un bain à mon arrivée, les filles étaient absentes, en cours pour la journée.
J’ai revu Jean, en fait tous les mardis soir je suis chez lui depuis le 11 septembre, et tous les mardis soir je suis son amante qu’il remplit allégrement, n’ayant que moi comme « déversoir ». Il est un peu amoureux d’après ce qu’il me dit. Je n’ai encore rien dit sur ce que je fais avec Idéfix ce mercredi là ni les suivants car j’ai continué, au début par jeu, maintenant par goût, j’adore qu’il me prenne après que Jean l’ai fait avant de partir travailler. Je ne sais pas si je dois aborder le sujet, même s’il voit qu’Idéfix me reconnait et parfois renifle mon entrejambe pendant que Jean m’embrasse. Mais il le sort à chaque fois très rapidement. J’ai aussi des questions sur Jean, car son chien à mon avis n’en est pas à sa première amante, si tu vois ce que je veux dire.
Voilà, c’était la chose que je voulais t’avouer. Je suis en train de m’enticher de Jean et de son chien comme une midinette, car Jean est adorable, un peu dominant mais attentionné et charmant. Je ne dis pas grand-chose sur moi, mais instinctivement je sais que c’est un homme bien. Il me laisse du temps et n’est pas pressant même s’il veut me voir plus et plus longtemps. Même si j’ai décelé des côtés dominants, au lit, j’aime cela, étant soumise. Mes ving-deux ans de vie précédente ne s’effacent pas facilement même si je ne suis plus ce que j’ai été et qui me rendait heureuse du moins jusqu’à ce tu m’aide à comprendre bien des choses.
Jean voudrait que je vienne plus souvent mais j’ai d’autres amants. Je lui ai dit que j’aimais beaucoup les jeux de rôles et les déguisements, sans par contre parler que j’adore à trois ou quatre. Nous avons fait quelques jeux, notamment je me suis déguisée en soubrette, et j’ai adoré. Une autre fois, il m’avait donné rendez-vous dans un bar me demandant de m’habiller très bcbg, alliance au doigt (je l’ai toujours même si je ne la porte plus), me draguant ouvertement au su et vu de tous, nous avons fini chez lui. J’étais terriblement excitée, là encore
.
Mon désarroi vient du fait que j’aime être prise par les deux, que savoir que Jean a éduqué son chien, que ses amantes précédentes ont dû être celles d’Idéfix me laisse un peu désemparée, remplie de questions et de doutes, je ne sais pas comment lui avouer, ni pour son chien ni pour tout ce que j’aime sans me dire qu’il va prendre ses jambes à son cou, me prendre pour une nymphomane ou alors en profiter, j’avoue que ce que j’ai subi avec mon deuxième mari me rend prudente. Mais j’ai besoin d’un homme dans ma vie, qui malgré tout, me laisse libre.
Je pars le rejoindre, il a prévu de me bander les yeux ce soir et peut être plus mais je ne sais rien de ce plus, je te dirai.
- Commentaires textes : Écrire