Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le soir, dans l'eau...
Dans un précédent post, je vous avais raconté la rencontre avec mon charmant voisin, Pascal. Eh bien, mardi soir, nous nous sommes revus, une fois de plus.
Ce qui est bien, c’est qu’il dit toujours « oui », quand je l’appelle. Mieux qu’un scout, toujours prêt !!!
Mardi soir, j’avais une envie terrible. Le matin même, je m’étais fait épilée, intégralement, et ç’a toujours un certain effet sur moi. Sentir la cire chaude étalée sur mon pubis, et surtout, sur le bord de mes lèvres intimes… Mhummm, c’est divin, et assez excitant. Mais je ne peux rien faire avec l’esthéticienne. Je dois donc attendre le bon moment et la bonne personne.
Une fois seule, le soir, je l’ai donc appelé, et, fidèle au poste, il est arrivé quelques minutes après. Je l’avais prévenu que je serais dans la piscine. Je l’attendais dans la nuit, l’eau était chaude... Rien que de l’attendre, l’excitation montait…
Et il est arrivé. En quelques secondes, il était nu, et me rejoignait dans l’eau. Nous nous sommes embrassé comme j’aime, les langues se mêlant, tournant, s’aspirant sans fin, de façon forte, presque brutale. D’un seul coup, il a plongé sous l’eau, et a aussitôt aspiré mon clito déjà bandé sous l’eau. J’ignorais ses capacités d’apnée, et je les ai testées avec délice ! Il restait sous l’eau un temps qui me semblait infini, me léchant bien, insinuant sa langue dans tous les replis de mon vagin. Une vraie petite bite en action, et un pur plaisir.
Mais ne voulant pas le voir se noyer, je me suis assise sur le rebord du bassin, dans l’angle, les jambes bien ouvertes, le con à la hauteur de son visage. Sans une seconde d’hésitation, il s’est jeté sur ma chatte, la dévorant comme si sa vie en dépendait ! Il est vraiment très doué, et sait me faire jouir comme il faut, à plusieurs reprises. J’ai hurlé mon plaisir à la lune, qui nous éclairait comme un spot.
Il m’ouvrait le minou à deux mains, au maximum possible, pour bien fourrer sans langue au plus profond. Puis il descendait humidifier mon petit trou, qui frémissait sous cette douce caresse. Je n’en pouvais plus, mais j’avais très envie de son beau chibre, que je voyais bander sous l’eau. Je suis descendue dans l’eau, lui ai tourné le dos, et me suis accrochée au rebord. Ce qui est bien, dans une piscine, c’est qu’on peut faire plein d’acrobaties… Je ne sais psi vous visualiserez bien la scène... Moi, accrochée au bord, le dos à l’horizontal, mes jambes enserrant son dos à lui, ou plutôt, ses fesses.
Il m’a pénétrée d’un seul grand coup de bassin. Malgré sa taille imposante, et sa belle épaisseur, sa queue est rentrée d’un coup dans ma chatte avide de lui... Je me suis sentie remplie, un vrai bonheur… Il a continué son va-et-vient puissant, me labourant le vagin au maximum. Je lâchais un « ah » de plaisir à chaque poussée de cette bite brûlante et envahissante. Il n'oubliait pas de fourrer un doigt indiscret dans mon oeillet, qui accueillait cette caresse en palpitant de plaisir...
Mais je voulais le sentir plus encore. Je me suis retournée, et à nouveau enserré son corps avec mes jambes.
Grâce à l’eau, je pouvais réellement m’assoir sur sa grosse tige, m’empaler dessus, au sens propre du terme. Je montais et descendais sur ce pieu, qui s’enfonçait encore plus en moi. J’en avais des hoquets, tant il était profond, gros et dur. Nous avons alterné ces deux positions pendant de très longues minutes (il de devait venir que quinze minutes, il est resté une heure trente…).
J’avais l’impression de n’être plus qu’un sexe, un grand sexe, bien rempli. Plus rien n’existait que cette grosse bite qui me labourait les entrailles. Nous racontions plein de fantasmes, nous imaginions à haute voix les plus gros délires. Quand je lui ai raconté la scène suivante, il a été au bord de l’explosion :
« imagine, je suis sur le dos, une femme est agenouillée entre mes cuisses, en levrette, le cul en l'air, bien ouvert, prête à recevoir son amant.
Elle me dévore la chatte, m’inonde de sa salive, je lui remplis la bouche de ma mouille… Puis, elle est sodomisée par son mec qui la défonce avec application. Elle ahane, mais ne lâche pas mes lèvres gorgées de désir. Elle n’arrêtera que lorsque j’aurais joui, et lui aurais arrosé son visage d’un flot de liqueur. »
A la fin de ce petit récit, Pascal était au bord de la rupture. Il a sorti sa belle queue chaude de mon fourreau, et je l’ai branlé sous l’eau. En quelque secondes, de longues trainées blanches et laiteuses sont sorties de son gland turgescent... Elles s’effilochaient dans l’eau, en fins rubans clairs… Nous en avons ri tous les deux.
Ce fut une belle soirée de mai, comme j’aimerai en connaitre plus !
Les "premières " de Sophie
Chers amis, voici quelques petites anecdotes « croustillantes », vécues il y a quelques années. Ce sont sans doute elles qui m’ont conduite, au fil du temps, à beaucoup apprécier l’exhib, puis les relations multiples.
La première, qui m’a le plus surprise, m’avait même effrayée sur le moment. Mais que je revivrais avec plaisir maintenant !!!!
J’étais jeune fille au pair, sur le bassin d’Arcachon. Le seul moment de libre était de 13 à 15 heures, où la famille pour laquelle je travaillais me laissait deux heures de tranquillité. J’allais habituellement à la plage. Cependant, la plage la plus proche était naturiste. Je n’y allais pas avec les enfants dont j’avais la charge, mais seule, oui. Il n’y avait jamais personne.
Ce jour-là, comme d’habitude, personne. Je m’allonge sur ma serviette, nue, bien sur. J’ai mis mes jambes en crochet, les genoux relevés, mais les pieds au sol. Mes jambes sont légèrement écartées. C’est divin de sentir le soleil venir chauffer mon pubis, l’extérieur de ma chatte… Je suis dans un demi-sommeil, quand je fais un bond, comme une carpe.
Je viens de sentir qu’on touchait ma petite chatte !!!
J’ouvre les yeux, un homme est assis juste à coté de moi, les yeux brillants et souriant, ses doigts sur ma cuisse.
Je suis tétanisée de frayeur, mais aussi de la brusque excitation ressentie. Je ne sais plus quoi faire. Il me dit de me laisser faire, qu’il ne demandera rien en échange. J’hésite, mais la chaleur qui me prend est trop excitante, et ne doit plus rien au soleil…
Je lui fais « ok » de la tête, et je me rallonge, les jambes bien ouvertes, maintenant. L’inconnu me fouille doucement, ouvre mes lèvres, les écarte bien en grand… Je sens le soleil me chauffer le fond de ma chatte, je gémis de plus en plus, c’est divin, sensuel, chaud, inexprimable. Il malaxe mon clito, tantôt doucement, tantôt plus fermement. Il regarde ce qu’il fait, ca m’excite encore plus. Je ne pensais pas trouver de plaisir à me montrer comme ça. Mon sexe était encore un peu honteux à l’époque !
Tout à coup, il me dit qu’il va me lécher. Je lui réponds : « là, sur mon sexe ? » Il acquiesce. Je refuse, je lui dis que c’est sale ! (vous voyez où j’en étais à ce moment-là…) Il me dit que ce n’est pas grave pour lui, que je vais aimer. Au point où j’en étais, je me suis laissée faire. Après tout, c’était sa langue !!!
J’ai senti une humidité tiède contre mon intimité, une langue agile, douce, qui s’insinuait partout. Passée la première surprise, je me suis rendue compte que j’aimais ça. J’ignorais encore à quel point j’adorerai ça plus tard !
Il m’a fallu du temps pour jouir. Il y avait l’appréhension, la peur d’être surprise par des passants, je devais apprivoiser ces nouvelles sensations. Puis soudain, c’est venu, comme une vague dans tout mon corps. J’ai joui assez fort, comme jamais avant.
L’homme a tenu parole, il ne m’a rien demandé, excepté, se branler devant moi. J’étais fascinée, je voyais cela pour la première fois. J’admirais sa main coulisser sur sa tige longue et rouge, le gland brillant. Il a joui, d’un long jet de sperme, qui est venu s’écraser sur le sable. Il m’a demandé si je revenais parfois, et si nous pourrions recommencer. Bien sur, j’ai dit oui !!!
Pendant un mois, deux ou trois fois par semaine, il est venu, me caresser, me lécher, me téter les seins, me faire jouir, puis se branler. Les dernières fois, je l‘ai un peu aidé, en le caressant. Une fois, un autre homme était là. Il a fini par venir me lécher les seins, puis il a aspiré le jus de mon « camarade » de jeu, lorsque celui-ci a joui sur mon ventre.
C’est sans doute l’origine des mes envies de jeux de langues, d’exhib, puis de voir deux hommes ensemble…
Quelques années plus tard, alors que j’avais entre-temps retrouvé une sexualité, plus « classique », je faisais du sport dans une salle de Bretagne. Cette salle avait la particularité d’avoir des douches, un solarium et un sauna, tous mixtes. J’y allais souvent l’après-midi, il n’y avait jamais personne, ou quelques mamies.
Ce jour-là, après ma séance de musculation, je suis allée au sauna, vide, comme d’habitude. Je me suis allongée sur la planche du haut, avec ma serviette autour de moi. Toujours les jambes en crochet, c’est ma position favorite quand je suis sur le dos. Ma serviette a glissé, mais étant seule, je n’y ai pas prêté attention. J’ai bien entendu la porte s’ouvrir, mais n’ayant vu que des femmes bien plus âgées que moi, je n’ai pas ouvert les yeux. Mais surprise, comme à la plage, soudain, j’ai senti deux doigts s’insinuer dans ma chatte. Un beau mec était assis sur la planche du bas, me fixant. Un autre était debout, un œil sur moi, l’autre regardant dehors. Bien sur, ce que je viens de vous dire sur l’anecdote de la plage m’est revenu aussitôt en tête !
Je leur ai dit que je voulais sortir, la chaleur était intenable, mais que je revenais aussitôt. Ils m’ont pourtant suivie dans la douche, et m’ont regardée me doucher, la queue à la main. Ils commençaient à se branler gentiment.
Nous sommes retournés dans le sauna. J’ai repris ma position initiale, l’un des gars, Jacques, a aussitôt posé sa main sur ma chatte, bien fournie à cette époque. L’humidité faisait perler mes poils, j’étais trempée, autant d’excitation que de sueur. Les doigts de mon « visiteur » sont rentrés tous seuls. Il allait et venait, me caressant partout, ma chatte, l’intérieur, l’extérieur, il m’ouvrait bien grand pour que son copain voit le mieux possible toute mon intimité. Il a même insinué un doigt curieux dans mon anus. J’ai sursauté, c’était la première fois ! Sensation très agréable…
Puis il a cédé la place à son ami, Daniel. Ce dernier était plus vigoureux, ses caresses plus fermes. Il s’acharnait sur mon bouton ultra sensible, j’ai joui presque aussitôt une première fois. Quand j’ai rouvert les yeux, sidérée, j’ai vu mon premier « agresseur » penché en avant, en train de sucer son copain ! Alors là, j’étais encore plus ahurie ! Je me suis demandée ce qu’ils étaient : hétero ? homo ? J’ignorais encore qu’on pouvait être bi !
A ma grande surprise, j’y ai trouvé un plaisir certain ! Nous avons dû à nouveau sortir, la chaleur étant étouffante. Nous sommes retournés sous la douche, mais là, ils ne se sont pas contentés de me regarder… L’un deux a bloqué la porte d’accès, nous ne voulions pas être dérangés…
Et là, sous l’eau, le festival a commencé…
Je me suis très vite retrouvée debout, courbée en deux, en train de sucer vigoureusement Jacques, il adorait qu’on le gobe de cette façon. Sa queue plutôt fine me rentrait en entier dans la gorge.
Pendant ce temps, Daniel était derrière moi, accroupi, d’abord, pour bien me caresser et m’ouvrir la chatte à grand coup de langue chaude et enveloppante. J’étais à la fois béate de plaisir, tourneboulée par cet afflux de sensations nouvelles, et un peu gênée aussi... Quelques restes de morale me disaient que ce que je faisais était mal… Mais la vague de jouissance qui m’a pris sous la caresse insistante de Daniel, sa langue enfournée en entier dans mon minou tout gonflé, a emporté mes dernières réticences.
J’étais trempée de ma mouille, de salive, de l’eau de la douche, et Daniel s’est redressé pour enfiler sa queue raide et dure comme du béton, d’un coup au fond de ma chatte brûlante. J’ai crié sous le choc, cri absorbé par la bite de Jacques qui continuait de me limer la bouche. J’avais l’impression d’être doublement embrochée. Daniel a lâché un jet de foutre bien chaud au fond de moi. (Eh oui, pas de capote à cette époque bénie…) Aussitôt, Jacques a retiré sa bonne queue de ma bouche pour se placer derrière moi. A mon grand étonnement, il a commencé par me lécher bien comme il faut ma chatte et mon clito, pour tout avaler du sperme de son copain. Encore une nouveauté pour moi, vaguement écœurante sur le moment… Depuis, j’adore voir et sentir ça !!!
D’ailleurs, je n’ai pas tardé à jouir une nouvelle fois, sous la caresse combinée des deux hommes, car Daniel avait entrepris de me caresser doucement l’œillet, qu’il pénétrait d'un doigt avec beaucoup de délicatesse. J’ai adoré cette caresse.
J’étais là, ouverte, offerte à ces deux hommes que je ne connaissais pas quelques minutes plus tôt... moi qui pensais qu’il fallait être amoureuse pour bien baiser ! Je me suis rendue compte ce jour-là que ca n’avait rien à voir avec les sentiments !
Bref, Jacques, après m’avoir bien « nettoyée » de tout le sperme de son ami, m’a aussi pénétrée bien fort. Sa queue me bourrait bien à fond, j’en perdais la tête. Surtout quand j’ai senti une autre caresse qui se rajoutait à ce va-et-vient intense. Daniel s’était assis sous moi et avait entrepris de nous lécher tous les deux bien comme il faut. Son pote n’arrêtait pas de lui dire « suce-moi les couilles, j’adoooore ».
Cela m’excitait énormément. Bien sur, il n'oubliait pas mon clito et mes lèvres gorgées d'excitation. J’ai de nouveau joui, en criant comme une démente.
A ce moment-là, des coups ont été frappés à la porte. Ca s’impatientait dehors !!! Jacques a joui sur mon dos, je me suis vite douchée, et nous sommes sortis, l’air quelque peu hagard, sous le regard plutôt horrifié de deux mamies….
Je crois que ce jour-là a signé mon dévergondage complet ! D’ailleurs, pendant quelques semaines, jusqu’à ce que je quitte cette ville, nous avons recommencé nos trios d’enfer. Nous y passions des heures, avec toutes les combinaisons possibles, les deux étant bi, totalement bi. Mais jamais de double pénétration pour moi. Je n’en n’avais absolument pas envie à l’époque. Je garde un souvenir ému surtout de deux week-ends de baise acharnée et presque non-stop, dont il nous a fallu plusieurs jours pour nous remettre !
En y repensant, j'aimerai bien pouvoir organiser un week-end comme ça, à plusieurs, de délire total, de baise sans tabou, où tout le monde pourrait se lâcher comme jamais avant.... Mais faire ça en Guyane me semble un peu utopique....
Pour ce soir, je m’arrête là… mais si vous voulez la suite de mes « premières fois », dites-le moi, je vous les décrirai avec plaisir ! Par exemple, ma première sortie en sex-shop, ou ma première exhib dans un bois de la région parisienne, ou encore ma première plage échangiste…
Ma première sortie dans un club libertin...
C’était ma première sortie en club libertin. J’avais un peu d’appréhension, même si c’était un désir mûrement réfléchi. Bob m’entraine un vendredi après-midi, moment où les hommes seuls sont aussi acceptés.
Nous prenons un verre au bar, histoire de faire un peu connaissance avec les lieux. Il me fait visiter, les chambres ouvertes, avec des très très grands lits, une avec un matelas immense, au moins 5 mètres sur 3, les box fermés, une estrade où s’exhiber en toute tranquillité... et un sauna plus un grand jacuzzi. Je choisis le jacuzzi, l’eau est mon élément.
Je me déshabille dans le vestiaire, aidée par Bob, qui me caresse doucement en même temps. Je vois déjà des regards masculins se poser sur moi, l’œil brillant.
Je suis un peu gênée, étant plutôt ronde, voire assez ronde, je ne me sens pas toujours à l’aise dans mon corps, vu les critères exposés tous les jours dans les médias.
Je me glisse dans l’eau, assise sur le banc qui court tout autour du jacuzzi. Mon homme commence à me caresser les seins, il les tête avidement, me doigte la chatte en même temps. Ma chatte que j’ai soigneusement épilée intégralement pour ce grand jour. Je suis sur un nuage, détendue. Je gémis de plaisir….
Des ombres s’agitent autour de nous. Un couple se fait entreprendre par deux hommes. La femme est caressée par six paires de mains, qui ne laissent aucun coin de son corps inutilisé... Je commence à l’envier….
Bob me fait monter sur le rebord du bassin, les jambes écartées au maximum. Il ouvre mon minou brûlant, écarte les lèvres avec les mains, avant de pointer sa langue agile sur mon petit bouton, qui durcit de plaisir. Il tourne, aspire, croque, mordille, lèche sans répit. Le résultat ne se fait pas attendre. Je vois subitement une dizaine d’hommes se rassembler autour de nous. J’en laisse deux me sucer les seins, un me caresse aussi la chatte, autour des doigts et de la langue de Patrick. J’exulte, je ne suis plus où je suis. Je jouis plusieurs fois, sans retenue, en criant toute mon plaisir.
Loin de me laisser en paix, mon ami continue, invite un autre homme à me lécher aussi. Les autres sont là, leurs belles tiges tendues à hauteur de visage. Je n’en touche aucune, je n’en n’ai pas envie. Je suis là pour mon seul plaisir, très égoïste. Les hommes se caressent, se branlent à fond. Je ne vois que ces queues qui s’agitent autour de moi, je ne vois pas leurs visages, je suis ivre de tous ces sexes tendus vers moi, qui me désirent et à qui je ne ferai rien de rien… Certains jouissent, leur semence gicle, coule, un homme se penche vers un autre pour gouter ce jus. L’homme a un mouvement de recul, puis se laisse faire. Il y prend tant de plaisir qu’il re-durcit immédiatement sous la langue de son nouvel amant. Cette scène m’excite encore plus. J’adoooooooooooooore, et j’en redemande…
Nous sortons de l’eau, car je veux m’isoler un peu, pour reprendre mes esprits. Nous faisons l’amour doucement dans un box fermé. Je sens enfin le sexe gros et dur me labourer la chatte, me prendre, s’enfoncer en moi. Dehors, j’entends les gens, l’oreille aux aguets, qui commentent ce qu’ils entendent et ce qu’ils viennent de voir dans le bassin. Ca m’excite à nouveau, et je ne peux m’empêcher d’ouvrir la porte. Nous continuons à faire l’amour, en levrette ; je sens des mains, plein de mains sur mon corps, qui passent partout sur moi. C’est irréel et très jouissif. Jamais encore, je n’ai autant joui de ma vie.
Nous décidons de changer d’endroit, je veux une apothéose. Nous allons vers l’immense matelas repéré à l’arrivée. Je fixe mes règles. Seul mon homme me prend, aucun autre ne me pénètre. Deux ou trois me lécheront les seins, la chatte quand Bob me prendra en levrette. Les autres ne feront que regarder. Je m’allonge sur le lit, reine au milieu de ses mâles… Ca fait un peu dominatrice, ce que je ne suis pas habituellement, mais là, c’est magique, excitant au plus haut point.
Bob commence à me caresser, les trois autres hommes choisis aussi. Leurs mains glissent partout sur mon corps, leurs langues aussi... Ce moment semble durer une éternité. Je me mets en levrette, pour exposer mon cul et ma chatte au maximum aux regards vicieux des spectateurs. Ils sont deux à me lécher la chatte, un ma rosette, qui frémit de plaisir. Partout où je regarde, je vois des hommes, au moins une vingtaine, qui se branlent, disent des cochonneries. Je ne vois que leur bites dures à la main, de toutes les tailles de formes différentes. Deux couples d’hommes se sucent, en me regardant. Je suis dans un état second.
Une belle hampe, assez grosse au gland très proéminent, m’attire, je rampe vers elle, mes amants d’un moment me suivent, ne me lâchent pas. Je pointe ma langue vers cette tige accueillante, je la butine, je l’agace avec mes dents, je passe ma langue sur toute sa longueur, elle est douce te chaude, elle frémit sous ma caresse. J’aspire les couilles lourdes et tièdes… Le type gémit de plaisir, je l’excite, je l’allume et il ne me baisera pas… Quel sentiment de pouvoir absolu…
Je retourne au milieu du matelas, prête pour le grand final. Les trois hommes, sur le ventre, s’allongent en croix, un pour chaque sein, un pour ma chatte. Les lèvres et mon clito sont hyper gonflés, d’excitation de jouissances multiples.
Mais j’en veux encore. Je me mets en levrette. Les deux hommes du haut commencent à me lécher les seins, me les malaxent, les pointes sont dures, hyper sensibles. Le troisième ouvre ma chatte en grand. Je la sens béante, impudique. Des spectateurs ont les yeux hors de la tête et se branlent avec frénésie. Il plonge sa langue tout au fond, me baise avec elle, comme une petite bite. Je jouis encore, mais je veux maintenant la bonne grosse queue de mon homme, chaude et raide.
Je suis trempée, je coule de salive et de mouille, Bob se met derrière moi, le 3ème type dessous. Il continue de me bouffer le clito avec ardeur, pendant que Bob commence à s’enfoncer à moi, lentement comme un supplice. Il accélère le rythme. Je suis folle de désir et de jouissance. Toutes ces langues qui sucent en même temps que cette bonne queue qui me bourre à fond, qui cogne et qui tape contre mon bassin. C’est l’explosion. Je jouis comme jamais. Tout le club est ameuté. Quand je reprends un peu mes esprits, deux couples sont venus forniquer à côté de nous. Je vois un homme baiser sa femme avec ardeur, à 50 cms de mes yeux. Je n’avais jamais vu ça « en vrai » d’aussi près. Ca me déclenche un autre orgasme illico. Partout où mes yeux se portent, c’est sexe, sexe, sexe.
Sexes masculins à 90%, qui sont branlés, sucés par d’autres hommes. Certains diront après qu’ils se sont laissés emportés par la folie ambiante et n’auraient jamais cru laisser un homme les toucher un jour !
Une brochette d’hommes s’est formée. Trois s’enculent allègrement, un quatrième est à genoux devant le premier de la « «brochette » et le pompe à fond. Cette vision, plus un ultime coup de boutoir de Patrick m’arrachent ma jouissance finale, encore plus forte que les précédentes. Je ne sais plus où je suis, qui je suis, je suis pantelante… L’homme qui me suçait la chatte vient avaler la crème que Bob a laissé sur mon dos, il a joui hors de moi, pour que tout le monde voit bien le spectacle. Sensation très agréable. Je suis toute propre… ;-)
Il me faudra plus de douze heures de sommeil pour récupérer de cette expérience magique, hors du commun.
Contribution de Tonio... Virée en club.
Il est minuit, j’entre dans ce club privé. Je veux m’éclater.
Sono à fond, basses lancinantes pulsant dans le sternum.
La lumière rougeâtre éclaire faiblement la pénombre enfumée.
Les mecs, torses nus, les filles presque à poil, beaux corps en sueur jeunes et sensuels qui se trémoussent. Ambiance exhib et sexuelle.
La tequila est bue en rasades, dégoulinantes sur les mentons, les poitrines, et entre les seins.
Devant moi, il y a cette femme, féline parfaite, qui danse lascivement. Ses belles fesses mouvantes débordent du mini short. Sculptés par sa chemise humide, ses seins trempés balancent en rythme. Sa chevelure épaisse cadence les mouvements de sa tête renversée.
Presque collé à elle, torse luisant, son bel étalon blond déhanche dans un même mouvement son jean taille-basse qui cache mal sa gaule raidie.
Je m’approche d’eux, presque à les toucher, et m’insinue dans leur transe.
Leurs regards me jaugent avant de m’inclure dans leur corps à corps lascif, plein de promesses.
J'ai mal aux couilles, pleines à exploser, tellement je bande dans mon bermuda sans slip.
Les lèvres de la fille effleurent le tatouage maori qui orne mon biceps, puis sa langue électrise mon téton durci.
Ma main glissée dans son short épouse le contour ferme de la fesse et explore sa vulve mouillée. Le mec me susurre: « Si tu veux, on la baise ensemble, là tout de suite, et plus si affinités ».
« D’accord, mais d’abord je te suce la bite.»
« Et moi je te lèche les couilles pendant que tu tringles ma meuf. »
A genoux devant sa grosse trique, je lui tête goulûment le gland, une main moite soupesant ses lourdes couilles imberbes, l’autre malaxant ses fesses contractées.
La fille à poil, accroupie les seins posés sur mes épaules, palpe mes fesses, et s’empare de ma bite, qu’elle branle par l’arrière.
L’ambiance est survoltée, le cercle des danseurs s’est resserré autour de nous.
Pas mal de filles ont maintenant les seins à l’air, massés par des mains mâles et femelles. Des biroutes en érection sortent des braguettes et des frocs tombés sur les chevilles.
Des mains s’en saisissent et les branlent en nous matant.
J’accélère ma succion lubrique. Tout le corps de l’étalon se raidit en un spasme. La salve de son épaisse purée chaude m’inonde la bouche. Je me retourne vers la féline, cherche de la langue son clito et sa moule, que je lubrifie de foutre régurgité.
Elle guide mon phallus en folie à son con bien poisseux, et capture ma bouche gluante avec sa langue.
Je la besogne au rythme de la musique, en même temps que je branle son clito tétanisé. Elle décharge presque aussitôt en un raz de marée tiède qui m’inonde les parties.
Quelques voyeurs en rut éjaculent sur nous.
Mes burnes en feu happées par la bouche goulue de l’étalon, la tête insinuée entre mes jambes, mon derche stimulé par son doigt inquisiteur, je me lâche et vide mes couilles en spasmes saccadés au fond du vagin encore secoué de soubresauts désordonnés.
Un autre trio nous a imités et copule, un mec en sandwich entre la femme qu’il lime sauvagement, et la grosse pine d’un black qui lui défonce le trou du cul.
Le beau gosse me pousse de côté, lèche ma queue visqueuse encore bien raide à grands coups de langue gourmands, et enfourne son braquemart à nouveau dardé dans la figue encore suintante de sa dulcinée.
Une fois sa bite bien enduite de sperme, il la ressort et l’encule en longues poussées rageuses, jusqu’à découiller en un torrent obscène qui coule le long des jambes de la fille repue.
Comme le blond, je rengaine mon engin débandant et reprend la danse avec ceux qui ont retrouvé leur décence. La meuf s’est échouée sur un divan et me tend un billet.
Leur numéro de portable en poche, je pars vers la sortie et respire un peu d’air frais.
« Et plus si affinités. » Peut-être explorer ensemble d’autres approches encore plus pornos…
L'aventure du soir
Pour ce soir, juste une petite anecdote, quelques lignes pour vous raconter l’une de mes activités « sexe » préférée…
Certains des textes que vous avez lus ont été déjà été publiés sur un autre blog, avant que je ne me décide à faire le mien. Un des commentaires m’avait vraiment plu, et j’ai contacté son auteur, Pascal.
Après quelques échanges de mail, nous nous rendons compte que nous sommes voisins. Divine surprise !
Sans plus attendre, il me propose de nous voir dans les minutes qui suivent. J’hésite un peu, après tout, c’est peut-être un satyre, un pervers avec de mauvaises intentions…
Et ce soir-là, j’ai des envies très égoïstes : je veux juste me faire bien lécher, caresser, doigter, mais pas de me faire prendre.
Je lui dis ce dont j’ai envie, en précisant que je refuse une pénétration, si on se voit le soir même. Il me jure qu’il fera ce que je veux. Je me décide à prendre le risque.
Dix minutes plus tard, nous nous retrouvons dans le chemin, vous savez, celui où personne ne passe…. Il est là, dans son grand 4x4. C’est la pleine lune. On y voit comme en plein jour.
Beau gars, air gentil, œil très allumé. Je suis à peine arrivée, qu’il a déjà la main sur son pantalon. Il se masse le sexe à travers la toile. Il me dit qu’il bande depuis un bon moment déjà. Je lui demande de me le prouver… ;-)
Aussitôt dit, aussitôt fait, il déboutonne son jean, et une belle bite de bonne taille surgit par la braguette. Voir cette flamberge au vent renforce immédiatement mon envie de sexe…
Il abaisse la porte de son coffre, il y a une couverture déjà prête. Je m’allonge dessus, la jupe relevée. J’ai négligé de porter une culotte, ca me semblait tout à fait superflu, vu les circonstances…. Me voilà allongée sur le dos, les jambes écartées au maximum. L’alizé vient agréablement chatouiller mon clito bien dressé. Pascal n’attend pas très longtemps, et se jette sur ma chatte offerte. Il a une langue d’enfer !
Elle passe partout, me mouille, me détrempe, elle est chaude, ferme, dure et douce. Il va du clito à mon petit trou, il ne néglige aucun endroit. Ses doigts viennent aussi me fouiller bien profond, m’écarter au maximum, de façon totalement impudique.
C’est vraiment ce que je préfère ! A mon grand regret, je ne tarde pas à jouir assez fort. Regret, car j’aurais voulu en profiter plus encore.
Pascal semble avoir compris, et ne lâche pas mes lèvres inondées. Mais après la jouissance, je suis hyper-sensible. Chaque mouvement de langue m’arrache un cri de plaisir. Je n’en peux plus, et finis par lui demander grâce. Il s’arrête, mais pour mieux se branler.
Je m’assieds, il a son pieu dans la main, juste sous mes yeux. Je ne rate pas une miette de superbe spectacle : une bonne branlette au clair de lune ! Je regarde sa grosse queue, à quelques centimètres de moi. Je ne peux m’empêcher de porter ma main sur ma chatte toujours dégoulinante. Il se branle fort, de plus en plus vite, il halète, fixe mon con tout ouvert pour lui. Il finit par lâcher un long jet de foutre, qui va se perdre dans l’herbe. Ca m’a excité de nouveau, j’ai toujours autant envie de sexe brut, comme ça.
Je le dis à Pascal, et bien sur, trop gentil, il se rue à nouveau sur ma fente baveuse. Il ne lui faut que quelques trop brèves minutes pour me faire avoir un super orgasme.
J’ai la tête qui tourne, je suis complètement molle et vidée… Je dois rentrer, on m’attend à la maison. Je peux à peine marcher, tant le plaisir a été fort et violent…
Bien sur, nous avons recommencé plusieurs fois. C’est trop bon, d’avoir un voisin discret, mais toujours prêt à baiser !!!
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Bon alors cette fois c'est décidé donne l'adresse et je déménage dès le mois prochain pour être ton nouveau voisin car chaude comme tu l'es Pascal (le pauvre veinard) vas avoir besoin d'aide
Comment as-tu fait avec le préservatif dans l'eau ????Je me mèle de ce qui ne me ragarde pas, mais fait gaffe; sinon comme d'hab je bande, bande à ton histoire.