Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une expérience troublante...
Aujourd’hui, il me faut vous conter cette troublante expérience vécue hier…
J’avais pris rendez-vous chez mon esthéticienne, pour un soin des mains et des pieds. Rien de très extraordinaire, juste que je n’en n’avais pas fait en institut depuis longtemps.
La jeune femme me fait allonger sur une table, style table de massage, car, me dit-elle, il n’y pas de meuble de manucure. Après avoir limé mes ongles des pieds et mains, puis les avoir longuement fait tremper dans un bol d’au tiède et parfumée, elle m’annonce un gommage.
Dans un premier temps, elle applique une grosse noisette de produit granuleux, que je trouve plus tôt désagréable, car très « rugueux ». Elle masse fermement ma main gauche. Puis elle pose mon coude sur la table, la main en l’air, et la saisit entre les deux siennes. Elle enveloppe le dos de ma main avec ses paumes, et positionne ses pouces à l’intérieur de ma propre paume. Elle la masse profondément. Et là, sans que je m’y attende le moins du monde, je sens des picotements passer dans mon avant-bras, puis dans tout le bras, l’épaule, jusqu’à mes seins, qui durcissent sous cette caresse tout à fait inhabituelle ! Ils sont durs, pointent sur le fin tissu de mon tee-shirt. Je n’ai qu’une envie, les saisir pour soulager l’excitation. Je n’en reviens pas ! Comment un simple massage de la main peut provoquer une telle excitation ?
Elle lâche la paume, et se saisit de chacun des doigts, l’un après l’autre, en les étirant vers l’extérieur. Chaque pression augmente mon désir. Désir purement sexuel, même pas dirigé vers elle.
Elle change de main, et reprend son massage, avec la même pression de ma paume droite. Les frissons reprennent de plus belle, m’envahissent tout le corps, et je sens mon sexe frémir. Je « vois » mes lèvres intimes se gorger de désir, je les sens palpiter comme les ailes d’un papillon…
Je perds presque conscience de l’endroit où je suis… Je sens ce désir, cette envie tout à fait inhabituels, tels que je ne les ai jamais ressentis dans ce genre de situation !
L’esthéticienne repose ma main, et m’annonce qu’elle va s’attaquer à mes pieds.
Ce qu’elle fait aussitôt. Et là, c’est pire encore ! Son massage provoque des ondes de frissons, qui remontent le long de mes jambes, hérissent mes cuisses, et se concentrent dans ma chatte.
Je ne la contrôle plus du tout. Je la sens couler de désir, d’envie de sexe, là, maintenant, tout de suite. La jeune femme continue, totalement inconsciente de ce qu’elle provoque chez moi. Elle ne me plait pas, je ne ferai donc rien pour lui montrer mon trouble.
La porte d’entrée sonne. Elle se lève. N’y tenant plus, je porte ma main sous ma jupe, sous mon string. Je palpe avec mes doigts ma chatte chaude, humide. Le clito est tout dur, sorti de son enveloppe... Comment une telle chose peut-elle se produire, via des gestes tout à fait courants ???
La jeune femme s’attarde hors de la cabine, le téléphone a sonné. Je n’y tiens plus et commence une caresse plus vive, impatiente. Ma main va et vient sur toute la longueur de mon sexe, fouille mon con trempé, titille le clito, tourne autour, l’agace. Mes doigts pénètrent dans mon vagin comme dans du beurre. Ma grotte est de plus en plus dégoulinante…
Des images défilent dans ma tête, celles de mes récits, celles d’une autre esthéticienne très cochonne (je vous conterai plus tard…)
Très vite, je jouis, un spasme me secoue le corps. Spasme d’autant plus fort, que je ne peux pas crier, comme j’aime le faire. Je mords mes lèvres presque au sang, pour étouffer mon plaisir. Ma tête tourne, de cette jouissance forte et inattendue. Je mets ma main dans le bol où elle avait trempé plus tôt. Je ne veux pas être trahie par l’odeur de ma mouille…
Mon string détrempé s’insinue dans ma chatte, qui doit être bien ouverte…
Je donnerai cher pour une bonne langue ou une bite bien vigoureuse. J’ai joui, mais je reste sur ma faim.
L’esthéticienne revient, ignorante de ce qu’il vient de se passer. Pourtant, elle me demande si je vais bien, j’ai les joues très rouges…
Je lui demande de finir vite, je dois partir.
Quand je suis chez moi, je me jette sur mon lit, je prends mon gode, et le mets à la puissance maxi. Je veux me défoncer la chatte, toujours aussi avide depuis que je me suis branlée dans la cabine.
Je m’allonge sur le matelas, la chatte béante, j’y introduis la grosse partie du gode, bien lubrifié. Il rentre tout seul. Je positionne la petite partie vibrante sur le clito. La partie perlée tourne, ma laboure le sexe sans répit. Les oreilles de lapin vibrent au maximum et excitent mon clito. Sous un tel traitement, je ne tarde pas à jouir, violemment, en criant, cette fois, tout mon plaisir…
Si j’avais su qu’une simple séance de manucure aurait cet effet….
Ce soir, je vous raconterai ma première épilation intégrale, faite par une esthéticienne très très cochonne…
Vos commentaires
Bonjour à tous mes chers visiteurs libertins,
Vous êtes de plus en plus nombreux à visiter mon blog, et je vous ne remercie beaucoup.
Mais vous ne laissez pas beaucoup de commentaires ! Ca me ferait plaisir de vous lire, vos attentes, vos impressions, vos fantasmes... Les lire me plait beaucoup et me donne parfois des idées.. très excitantes !
Alors, lâchez-vous, dites l'indicible, ce que vous n'avez jamais osé dire avant !
Une sieste très... sexe !
Ce soir, je ne résiste pas au plaisir de vous raconter ce qu’il s’est passé il y a 15 jours, un samedi après-midi. Tout est vrai, et s’est passé dans notre belle Guyane.
Il y a quelques semaines, mon ami a appelé les pompiers pour un nid de guêpes qui s’était niché sous le toit du garage. Ils nous avaient annoncé leur arrivée pour 18h, plus ou moins au moment du coucher du soleil.
Je sais que les pompiers, ca fait un peu cliché, mais pourtant, ce qu’il s’est passé est bien réel…
J’avais laissé le portail ouvert, pour qu’ils entrent directement, l’accès à la maison étant un peu dangereux. En attendant leur arrivée, la sieste entamée avec mon ami s’était quelque peu… « crapulisée »…
Bob et moi faisions l’amour sur le canapé, qui est en face de la porte d’entrée du salon, restée grande ouverte. Nous n’avons pas de voisins, donc pas besoin de nous cacher. Après m’avoir admirablement léchée et ouverte en grand, fait jouir au moins deux fois, grâce aussi à un joli concombre (les photos du net donnent des idées…), Bob s’était assis sur le canapé, et moi, je m’étais empalée sur lui, lui tournant le dos.
Je voyais donc dehors. Je montais et descendais sur cette douce et dure colonne de chair, Bob gémissait de plaisir, j’ai eu un nouvel orgasme, car il me massait en même temps le clito.. Je fermais les yeux, en criant, comme j’adore le faire.
Et en les rouvrant, surprise, deux pompiers se tenaient juste devant moi, dans l’encadrement de la porte, un 3ème apparu ensuite. Ils étaient stupéfaits, mais pas autant que moi. Nous ne les avions pas du tout entendu arriver, il était à peine 17h.
Premier instant de surprise passé, (Bob ne les avait pas encore vus), je n’ai pas bougé et les ai regardés droit dans les yeux. Et l’inespéré s’est produit : le premier a porté sa main sur sa braguette, la main massant un sexe que j'imaginais déjà bien dur, et voyant mon sourire, il l’a ouverte et sorti une belle queue bien noire et luisante de désir. Je continuais à monter et descendre sur mon amant, qui avait toujours les yeux fermés… Les deux autres n’ont pas tardé à glisser leurs mains dans leurs pantalons. Le premier s’est agenouillé devant moi et a commencé à me lécher la chatte béante, où coulissait toujours le membre de Bob.
Il a bien sur senti la langue de l’homme. Il a sursauté et poussé un petit cri. Quand il a ouvert les yeux, il a eu un mouvement de recul, mais j’étais fermement assise sur lui, il n’a donc pas pu bouger. Il a semblé réfléchir 2 secondes, m’a regardée droit dans les yeux, et a fait oui de la tête. Et la fête a vraiment commencé. Le premier homme, appelons-le Peter, a continué à me lécher le clito, les lèvres et la queue de Bob. Il avait toujours refusé qu’un homme le touche, mais là, visiblement, ca lui plaisait beaucoup. Les deux autres, Paul et Marc, sont arrivés près de moi, ont commencé à me caresser chacun un sein. J’étais au 7è ciel. Puis ils ont sorti aussi leur sexes, j’avais une belle brochette de couleurs : noire, chabine et blanche. Toutes de taille correcte, sans être énormes. Paul et Marc m’ont présenté leur bite à lécher... je les lapais alternativement, comme des glaces, j’entourais ma langue autour, je les dégustais, je les aspirais.
Marc s‘est aussi agenouillé et a pris la place de Peter, que j’ai aussi sucé gentiment. Il avait une langue super agile, douce et ferme à la fois. Il enveloppait mon clito d'une caresse délicieuse, qui me faisais gémir de plaisir...
De nouveau, j’ai joui assez fort. Ils ont été surpris par mes cris. Mais je me laissais vraiment aller.
Et là, j’ai fait mon petit chantage : s’ils voulaient continuer, je voulais les voir jouer ensemble. Ils ont semblé surpris, on a discuté un peu. Jamais aucun n’avait essayé, et en plus, ils étaient collègues. D’où sans doute un peu de gêne. J’ai juré que je les mettais à la porte s’ils n’essayaient pas. Vu leur état d’excitation, partir ne leur plaisait pas du tout. Déjà, Peter avait pas mal léché la bite de mon ami, alors, il n’était plus à ça près. Ils devaient penser que j'oublierai mes demandes...
Il s’est lancé le premier et a dit oui. Les autres ont aussi accepté.
Nous sommes allés sur le lit, beaucoup plus confortable que le canapé. Nous avons passé deux heures de folie pure. Sous leurs regards lubriques et enfiévrés, reine au milieu de sa cour, je les ai tous pris un par un. Chacun avait sa façon de faire : douce, presque tendre, parfois forte, quasiment brutale, avec des mots cochons. Ces mots grossiers m'excitent, dans certains cas. Et là, ca me stimulait. J'étais leur jouet sexuel, mais bientôt, j'allais changer les rôles...
J'ai eu très envie d'un double pénétration. Ce fut donc ma première double, avec Marc, car il avait une queue plutôt fine. Il m’a sodomisée en douceur, pendant que mon ami continuait de me labourer la chatte.
J’ai adoré être prise par ces deux sexes, qui bougeaient en rythme, sans me laisser de répit. J'ai encore joui en longues vagues qui me prenaient tout le corps.
Puis Marc a craché son venin blanc sur mes fesses. Toujours embrochée par la bite de Bob, le vagin bien labouré comme il faut, j'ai ordonné à Paul de lécher ce sperme, puis de sucer Marc. Il avait perdu de sa vigueur, il fallait que ca remonte ! Paul a d'abord refusé, mais d'un œil furieux, je l'ai enjoint à le faire. Il s'est alors exécuté, a lapé tout le sperme de mon dos, puis a embouché fermement Marc.
Peter se branlait à quelques centimètres de ma bouche. Parfois, je venais butiner le bout de son gland rouge d'excitation...
Marc a durci sous la langue vigoureuse de son copain. Alors, juste sous mes yeux, ils ont commencé un super 69, se pompant avec ardeur. Chacun avalait en entier la belle bite de l’autre. Pour une première fois, ils ont fait fort ! Peter a craché sa blanche crème dans sa main, puis est allé rejoindre ses deux potes. Marc était sur le dessus, j'ai donc demandé à Peter de lui introduire un doigt bien lubrifié dans l'anus. Il a frémi sous cette intrusion, voulant la refuser. Mais Peter a insisté, et j'ai vu la rosette s'épanouir enfin... Quel plaisir des yeux !
Ils se sont ensuite enculés mutuellement, bien sur l’un après l’autre. Mon méga tube de lubrifiant y est passé. Je ne m'attendais pas ce superbe spectacle, bien au-delà de ce que j'avais imaginé.
Ca me met dans un état d'excitation incontrôlable !
Nous avons fait tout ce qu’il est possible de faire quand il y a une femme et 4 hommes actifs entre eux ! J'ai fini en me calant bien sur les oreillers, les jambes bien écartées, la chatte plus qu’ouverte par ces traitements ardents. Je me suis branlée, empalée avec mon gode, pendant que les 4 hommes se branlaient autour de moi, les yeux exorbités par le spectacle et par ce qu’ils venaient de vivre.
Je voyais ces quatre bonnes tiges, agitées frénétiquement, qui ont fini par cracher leur belle crème blanche, sur mes seins, et celle de Bob sur ma chatte…
Et comme si Marc devinait mon envie secrète, il est venu me nettoyer de tout ce sperme, en le léchant goulument. Sa langue courrait sur la peau, aspirait au passage les tétons, les faisant durcir à nouveau. Il a fini sur mes lèvres encore gonflées et mon bouton, encore tout raide de tout ce plaisir.
Ce salaud, il a même réussi à me faire jouir une dernière fois !
Ils ont été se doucher, et fait leur boulot. Mais quand j’ai demandé si on recommencerait, ils ont eu l’air gêné... Je pense qu’ils se sont laissés aller, mais qu’ils en avaient un peu honte, surtout de leurs relations bi !
J’espère les revoir un jour ! Et avis aux amateurs, je ne demande qu’à recommencer…
Contribution de Liber
Contribution de Liber
J'imagine que la sonnerie de mon téléphone portable m'indique que j'ai un nouveau message pendant que je suis au bureau.
Tiens un sms de Sophie, je le lis attentivement : « envie d'une bonne langue tout de suite » (ça tombe bien la mienne est prête à tout et adore ça). Je lui réponds : « OK », elle m'envoie alors un lieu de RDV.
J'attrape mes clefs, file à ma voiture et me rends à l'adresse indiquée, un hôtel dans un cadre champêtre. Je me dirige vers la chambre. L’excitation me gagne, la porte est entrouverte, je rentre.
La pièce est apparemment vide, mais elle sort à ce moment là de la salle de bain, nue, avec cette lueur lubrique dans les yeux qui indique qu'elle sait ce qu'elle veut. Elle me fait signe de ne pas parler et de m'allonger sur le lit, après m'être déshabillé.
Je m'exécute. Elle s'avance, et me rejoint sur le lit.
Elle vient se positionner au dessus de ma tête et approche délicatement sa chatte bien épilée de ma bouche. Je commence par l'embrasser avidement puis débute un cunnilingus, en parcourant de ma langue ses lèvres, son clito. Lentement, elle se colle de plus en plus sur ma bouche. J'augmente moi aussi la cadence, je sens son humidité me couler sur le menton et dans le cou…
Quelle agréable sensation ! Je continue jusqu'à sa première grosse giclée, qui lui arrache des cris de plaisir. Elle relâche son étreinte. J'en profite pour lui écarter les lèvres et y introduire profondément ma langue puis un doigt, deux doigts experts.
Son jus, si délicieux à boire, continue de couler. Elle s'allonge à côté de moi et relève les jambes. Je me mets sur le côté et continue mon travail de pénétration manuel, tout en continuant à la lécher, descendant jusqu'à son petit trou, dans lequel j'enfonce également un doigt après l'avoir abondamment lubrifié.
Pendant ce temps-là, elle caresse les tétons, les pince, me caresse la verge, le gland et m'humidifie mon petit trou. Je fais de même, et m'enfonce également un doigt presque au même moment que moi.
Elle jouit de nouveau en pleine bouche... Quel délice ! Je me mets à genou devant elle et commence à m'astiquer le manche, à me caresser le gland en regardant sa chatte ouverte et ses seins dont les tétons durcissent. Elle m'encourage et je ne tarde pas, après tant d'excitation, à envoyer une belle giclée de sperme chaud sur son ventre et ses seins. Elle m'invite à venir la lécher, je m'exécute et je lape tout le foutre qui est sur elle.
Nous faisons une pause. Pause bien méritée, où, allongés et enlacés dans un tendre câlin, avec pleins de caresses, nous évoquons nos fantasmes. Chacun à son tour en raconte un, réalisé ou non.....
Et puis les caresses se font de plus en plus pressantes. Elle écarte les jambes pour que je puisse à nouveau venir butiner son clito encore gonflé des plaisirs précédents.
Je n'avais pas remarqué que la porte était restée entrouverte, et qu'un homme (qu'elle connaissait visiblement) était rentré et s'était déshabillé. Il se masturbait en nous regardant. Elle lui fit signe de venir, me demanda de lui laisser la place.
Il continua de la lécher, elle me fit alors venir et m'allonger à côté d'elle, nos têtes côte à côte. Elle demanda à son deuxième amant de se mettre en position 69, il continuait de la sucer avidement tout en la pénétrant avec ses doigts… Elle gémissait de plaisir. Elle lui prit la queue en pleine bouche et l'astiqua joliment. Moi allongé, à côté, je me masturbais en jouissant de ce spectacle.
Ma tête étant à côté de la sienne, elle m'invita à prendre sa suite dans la fellation de notre nouveau partenaire. Je commençais à lui lécher le gland, avant de l'astiquer profondément. Elle demanda à son autre amant de me masturber, tout en continuant à lui astiquer sa chatte dégoulinante de plaisir. Elle jouit, et cria de plaisir, puis s'assit sur le lit, me laissant pomper encore et encore la belle queue de l'invité surprise, jusqu'à ce qu'il me jouisse en pleine bouche. Elle commença alors à me masturber frénétiquement, pour que je jouisse dans sa main, elle fit lécher ensuite mon foutre à notre partenaire de jeu.
Elle me demanda alors de partir, ce que je fis après avoir pris une bonne douche.
En repassant par la chambre, je les vis continuer leurs ébats, sa langue était collé à son petit bouton à ce moment-là… Je l'embrassais et m'éclipsais.
En quittant l'hôtel, je croisais dans les escaliers un homme dont le regard trahissait une certaine excitation.
Allait-il les rejoindre ???
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Je vois que tu sais ce qui est bon