Les Mémoires très Libertines de Sophie
Merci à Mano, pour la 1ère contribtion photographique.
Joli cul, belle tige...
De belles images comme on en voudrait bien plus !
Merci Mano. mano_coco@hotmail.fr
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Contribution de Justin : Lune de miel
Bonjour, j’aimerai partager mon expérience avec vous. J’ai rencontré ma femme Jessica, il y a environ cinq ans, et nous avons toujours eu des rapports sexuels très torrides. Mais pour cette lune de miel, nous avions décidé de le faire un peu différemment, et de laisser libre court à nos fantasmes… Notre cadeau de mariage, en quelque sorte
Le soir de nos noces, mon épouse et moi avons passé la moitié de la soirée à danser sur des slows dans l’hôtel où nous allions passer notre nuit. Nous avons fait l’amour tous les deux, comme nous aimons, toute la nuit…
Le deuxième soir de notre lune de miel dans l’hôtel, je savais que ce serait différent… Nous nous sommes promenés un peu, et en passant près d’une salle de danse. Jessica a voulu à tout prix entrer. En entrant, nous avons trouvé une table où nous nous sommes assis. Nous avons bu nops verres en regardant les gens danser.
Quelques minutes après, un bel homme lui a proposé de venir danser avec. Je l’ai regardée danser pendant que je savourais mon vin rouge. Elle était radieuse, et cet homme semblait la serrer de vraiment près… J’ai bu pas mal de vin et de bière ce soir-là. Lorsque, j’ai commencé à ressentir l’effet négatif de l’alcool, j’ai dis a ma femme que j’allais retourner dans notre chambre. Elle ne m’a fait qu’un signe de tête, et a continué à danser langoureusement. La connaissant bien, je me doutais bien qu’elle ne résisterait pas très longtemps aux avances de son cavalier..
Un peu plus tard dans la soirée, Jessica m’a raconté qu’ils sont sortis de la salle pour se rafraichir en prenant un peu d’air frais. Mais elle n’avait pas besoin de me le dire, je le savais déjà…
Pour être plus à l’aise, ils se sont mis debout dans un coin, en s’appuyant contre la voiture de l’homme. Ils ont parlé de tout et de rien. Jessica a ri comme une folle.
L’homme lui plaisait, alors, elle a mit sa main autour de son cou. Il s’est approché et l’a embrassée profondément. Il me semblait que les baisers étaient de plus en plus passionnés. Puis il a mis sa main sur ses fesses en les pressant fortement. Il a enlevé une main de son cul et l’a posée sur ses seins. A sa grande surprise, elle ne portait pas de soutien gorge, il a alors commencé à les malaxer des deux mains. Jessica s’excitait progressivement. Elle a fermé les yeux pour mieux ressentir le plaisir qui montait dans tout son corps.
Ils se sont embrassés à nouveau, car ils croyaient que personne ne pouvait les voir, il faisait trop sombre. Pourtant, moi de ma fenêtre…
Ses doigts ont voyagé le long de son dos qui tremblait de désir, d’envie et de plaisir.
Elle a mordu sa lèvre inferieure avec ses dents.
Il a mis ses mains sous sa robe. Comme elle ne portait pas de culotte non plus, ça a été facile pour lui. Il a commencé à frotter et caresser sa chatte qui a été déjà mouillée. Leurs bouches ont été toujours en contact, ils ne se sont pas quittés, ils se dévoraient littéralement. Puis il a glissé un doigt dans sa grotte toute gluante. Il a caressé langoureusement son clito en feu. Jessica gémissait à chaque coups de plaisir qu’elle a reçu. Elle a crié sur le capot de la voiture, toute à son aise, sans savoir que je la matais d’en haut. Hé oui, j’ai regardé toute la scène par la fenêtre.
Pendant qu’il jouait avec sa chatte, elle a commencé à tirer son pantalon vers le bas, il est tombé sur ses pieds.
Sa queue a jailli droite et dure, elle était toute longue et grosse. Elle s’est mis a genoux, mettant sa bite dans sa bouche. Elle a commencé à sucer tout le long de son tronc. Elle l’a gobé de tout son long. La salope ne m’a jamais pompé le dard comme ça !
Je n’aurais cru que ma femme était une telle salope, de baiser avec un autre mec, comme ça, pendant le voyage de noces, sans me demander mon avis !!! Et en plus, elle y prenait un plaisir d’enfer, la garce !
Mais elle n’a pas été la seule à le faire. J’en ai bien profité moi aussi, avec la femme de ménage, Ingrid et la masseuse.
Après, qu’elle lui ait fait une pipe d’enfer, il a enfin sorti son vit de la bouche baveuse de ma femme, et il a introduit sa queue directement dans sa foune. Il l’a poussée tout au fond d’elle, en massant son point G ! Il a commencé alors à la baiser à fond, la voiture bougeait à cause des mouvements appuyés. Elle a crié son nom de temps en temps, en lui disant de la baiser encore plus vite, ce qu’il a fait sans trop de difficultés. Ce soir la, Jessica a été très chienne. Elle s’est fait baiser de plus en plus vite et elle a hurlé encore plus fort. L’homme lui donné de coup de rein féroce, c’était fou.
Soudain, Jessica s’est retournée, elle lui a dit de l’enculer sans aucune pitié, de limer à fond son trou du cul et de la défoncer a mort.
L’homme a foutu sa grosse bite d’un seul coup dans son trou du cul. Je m’aperçois que ma femme est encore plus cochonne que je ne le croyais !
Au début, il a commencé à baiser son cul lentement. Pourtant, Jessica criait de douleur, mais ensuite, lorsque son trou a été bien dilaté, il a accéléré le rythme en donnant de violents coups de bite. J’ai bien vu qu’elle a commencé alors à ressentir du plaisir et des sensations très fortes.
Après quelques va et viens répétés, ils ont joui les deux ensemble en poussant un énorme soupir. Le gars s’est vidé de tous ses fluides dans son trou du cul jusqu’à ce qu’il déborde. Je voyais la crème couler su ses cuisses de pute.
Mais je tenais ma revanche. Je sais qu’elle a revu l’homme, et qu’elle a encore baisé avec lui et un de ses potes.
Alors, pendant les trois jours passés dans l’hôtel, j’ai filmé tous mes ébats avec les autres femmes que j’ai baisées. J’ai tout mis sur cd.
Quand j’ai eu fini la gravure, j’ai dit a ma femme de la regarder avec moi, comme si de rien n’était. Quand nous avons fini de la regarder, je lui ai demandé ce qu’elle a ressenti en me voyant copuler comme un malade avec ces deux femmes.
Elle a commencé a chialer en me disant qu’elle été saoule, et qu’ensuite, elle avait perdu la tête... Bon prince, je lui ai pardonné, mais à condition qu’on fasse une partouze d’enfer avec ses deux mecs, et les deux ou trois femmes que j’avais sautées ici. Elle ne s’est pas fait prier pour dire « oui » !
Je vous raconterai ça une autre fois !
Les "premières " de Sophie, la suite.
Première exhibition publique
Voici l’une de mes « premières » expériences, un super aventure, que j’ai adorée, et recommencé ensuite à maintes reprises. Et d’ailleurs, si je pouvais le faire encore, je partirai tout de suite !
Il y a quelques années de cela, j’avais en tête des envies d’exhib… A ce moment-là, je me contentai de remonter très haut ma jupe en voiture, pour le plaisir de voir les routiers me mater, et ensuite en parler à la CB.
Je savais que ca trottait aussi dans la tête d’Hervé, mon mec de l’époque. Il me demandait souvent si je serai d’accord pour une vraie exhib, bien plus poussée. Je lui avais bien sûr dis « oui. »
Un samedi soir de printemps, quand les jours sont longs, il est rentré l’air amusé et coquin, un paquet à la main... Il me le tendit avec un large sourire. Quand je l’ouvris, je découvrais une superbe guêpière noire, avec un porte-jarretelle intégré. Malgré tout, l’emplacement pour les seins me paraissait bien petit. Elle était superbe. Et elle avait la particularité d’être une lingerie ancienne, du début du siècle (le XXème !), et de laisser les seins à l’air….
D’après Hervé, ce genre de guêpière était porté par les filles de joie. Je l’ai essayée, et savoir ça m’émoustillait beaucoup… Combien d’hommes avaient admiré une femme dedans ? L’avaient caressée, embrassée, baisée ?
Comme j’embrassais de façon sauvage mon homme, il me dit :
« Ce n’est pas la seule surprise de la soirée… Ce soir, on va au bois de Verrière. Je vais t‘y livrer aux désirs des mâles. »
J’étais à la fois ravie et inquiète… Mais pas question de me dérober !
Le bois de Verrière est au sud de Paris, moins connu que le bois de Boulogne. Il n’y a pas de professionnel(le)s, juste des hommes, de femmes ou des couples qui s’exhibent ou qui matent. Il parait que maintenant, c’est fermé aux voitures. Ce doit être bien triste !
Je m’habille donc, selon les vœux de mon mec : ma guêpière, pas de culotte, des bas noirs, retenus par les jarretelles, les seins à l’air, et un lainage un peu long. Il faut bien sortir dans la rue sans provoquer une émeute !
Nous sommes silencieux pendant le trajet. Malgré tout, j’appréhende un peu ce qu’il va se passer. Hervé me rassure : les vitres de la voiture restent fermées, et elle est prête à démarrer si les choses tournaient mal.
Nous arrivons sur place. Il y a une grande allée centrale, et plein de petites allées secondaires qui en partent. Presque dans chacune, je vois un ou une deux véhicules bien entourés…
Dans l’une d’elles, des hommes semblent attendre, et pas de voiture en vue. Hervé m’interroge du regard, je fais oui de la tête.
Nous arrivons à vitesse réduite, et j’ôte mon gilet. A peine arrêtés, une grappe humaine se forme autour de nous. Je suis un peu impressionnée !!!
Hervé commence à m’embrasser, à faire durcir mes seins. Il les tète, les pince, fait en sorte que les voyeurs voient bien que je suis excitée. Presque sans m’en rendre compte, ma main glisse vers ma chatte, déjà bien humide… Je vois de plus en plus de bites autour de moi. Je ne vois que ça. Les visages de leurs propriétaires sont quasi invisibles. De toute façon, je n’ai pas envie de voir leurs têtes !
J’essaie de compter, et je ne dénombre pas moins de 22 belles (ou moins belles) queues qui sont vigoureusement astiquées par leur propriétaire. Ca me donne le tournis. Un vrai régal pour mes yeux. Touts ces mecs qui se branlent pour moi… Mon con en bave d’envie !!!
Je supplie Hervé de me caresser. Il incline le siège, attrape un oreiller qu’il avait caché derrière, pour me le passer sous les fesses. Il faut que tout le monde voie bien ce qu’il se passe ! Mes jambes sont relevées, les pieds sur le tableau de bord. Hervé ouvre ma chatte avec ses doigts, les faufile bien partout, agace mon clito du bout de l’index. Il ne tarde pas à surgir de son capuchon, sous le traitement combiné des caresses et de la vison dantesque de tous ces zobs en furie.
Je suis là, les jambes les plus écartées possible, la chatte ouverte, qui dégouline de mouille. Certains mecs jutent sur la vitre, d’autres essuient comme ils peuvent pour se rincer l’œil à leur tour.
Hervé se penche pour me lécher ma fente, qui n’attend que ça. Il fait en sorte que le plus de gars voient le traitement qu’il m’inflige. Malgré les vitres fermées, j’entends les encouragements de certains :
« Vas-y, mon salaud, astique-là »
« Fais-la jouir, cette garce »
« Baise-là comme une chienne »
Ca m’excite plus que je ne l’aurais imaginé. Les mecs continuent de se branler à fond, ca gicle du sperme partout. Hervé se sert de sa langue comme d’une petite bite, et fini par me faire jouir. Il y a encore et toujours des mateurs, on dirait que leur nombre est inépuisable !
Je n’en n’ai pas assez. Pour donner un meilleur spectacle, je me mets en levrette, le cul et la chatte offerts à la vue des vicieux. Je me sens totalement impudique et j’adore ça…
Hervé continue de m’introduire plusieurs doigts dans la chatte, et du pouce, il commence à masser mon petit trou. Il le lubrifie avec ma mouille et sa salive. Il rentre tout seul, tant je suis excitée. Dehors, les mecs criaient encore plus. « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope », j’en passe et des meilleures !
Hervé passe sur la banquette arrière, la bite en avant. Il bandait déjà depuis un moment.
Je le gobe d’un coup. Son gland rouge me faisait très envie ! Et je suis là, offerte à la vue de tous ces maquereaux, la chatte béante, le cul ouvert et offert, et la queue de mon homme qui me baise la bouche… Il y va fort, je m’étrangle presque avec… et toujours autour de nous, sans arrêt, des chibres, des bites qui crachent leur venin blanc. Ca semble inépuisable !
Enfin, il sort son dard de ma bouche et passe derrière moi. Enfin, je sens son pieu me remplir la moule. Il rentre comme dans du beurre, tant je suis excitée.
Il fait de grands mouvements, trop lents à mon gout. Mais il faut bien assurer le spectacle ! Mais j’accélère, je veux jouir encore, et le sentir me remplir la cramouille de son jus épais. C’est comme si je dansais sur son manche dur comme du béton. Je bouge les hanches en tous sens. Dehors, ca s’agite encore plus : les poutres, les gourdins, les zobs de toutes tailles, toutes les formes, toutes couleurs… Vraiment impressionnant !
Et c’est moi, Hervé et moi, qui les faisons bander comme ça ???
Hervé me baise de plus en plus fiévreusement. Il halète, je sens qu’il va cracher son foutre. Je jouis sous les coups de boutoir, en grands cris désordonnés.
Les voyeurs crient aussi : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »
Hervé jouit aussi, il crie comme jamais je n’ai entendu faire avant.
Il se retire, je m’assieds, et nettoie son membre des restes de sperme. Puis je m’allonge à nouveau, pour qu’il en fasse autant avec moi. Il me lèche un peu, enlève le plus gros de son jus. Soudain, il en retire avec sa main, et, stupéfaite, je le vois ouvrir la fenêtre et donner ses doigts à lécher. L’un des mecs se jette dessus, et en redemande ! Puis il supplie à travers le carreau de le laisser me toucher. Hervé m’interroge du regard.
Je ne sais pas quoi faire. Je lui dis que je veux bien voir le mec, mais en privé, car j’ai peur de ne pouvoir maitriser tous ces hommes en rut.
J’y pose mes conditions : d’abord, je veux revoir sa queue, puis son visage. Et ensuite, il me touchera, me caressera, me lèchera, mais pas de pénétration. Mon ami ouvre un peu, lui met le marché en main. Le type semble ok. Il passe de mon côté, me montre une belle hampe bien épaisse comme j’aime, toujours bien bandée. Son visage n’est pas déplaisant.
Je suis d’accord. Nous disons au type de nous suivre dans un endroit plus calme. Hervé met le moteur en marche, pendant que je continue à me caresser le minou, qui n’en n’a pas eu assez… Les spectateurs protestent, mais j’en veux bien plus, et pas avec tous ces types qui pourraient devenir incontrôlables.
Le gars « recruté » arrive derrière nous avec sa voiture. Nous repartons vers la sortie, et bifurquons dans un petit sous-bois très calme.
Hervé avait prévu son coup. Il sortit du coffre une grande serviette bain, qu’il étend dans l’herbe. Notre invité, qui dit se nommer Laurent, arrive près de nous. Il s’est rhabillé, mais je vois sa queue qui déforme son pantalon. Pas de temps à perdre, nous voulons rester seuls. Hervé me demande de m’allonger sur le dos. Il vient au-dessus de moi, et me présente son engin à pomper, tout en ordonnant à Laurent de me lécher la moule, qui n’attend que ça. L’homme se débrouille bien, me dévore avec application, avale les restes de sperme de mon mec sans sourciller. Hervé malaxe mes seins, fait durcir les pointes. Je jouis très vite, trop excitée de cette situation, en plein air, avec cette bonne langue qui m’astique bien comme j’aime. Bien que je lui ai craché mon jus dans la bouche, il ne me lâche pas, je continue à jouir, en longues saccades, j’en mords presque mon homme. Prudent, il préfère se retirer.
Il vient devant moi, pousse Laurent, relève mes jambes sur ses épaules, et s’engouffre à fond dans mon con qui crie encore famine. Laurent passe à coté de moi, et vient se branler sous mes yeux avides de ce spectacle. J’ai aimé voir toutes ces bites tout à l’heure, mais il y avait la vitre entre nous. C’était frustrant. Là, je le vois à 20 cms de moi. Un vrai régal.
J’entends du bruit. A quelques mètres, deux types sont là, les yeux hors de la tête. Hervé les voit aussi, et leur crie de ne pas approcher, sinon, il sévira (il faut dire qu’il fait 1.90m et 100 kilos de muscles... ça impressionne !). Les gars demandent à mater de loin, je suis ok. Alors, ils restent. Ca me met dans un état second. Je demande à Hervé de me prendre en levrette, Laurent dessous pour me lécher le clito en même temps. En bon petit gars, Laurent obtempère. Il s’allonge à angle droit sous moi, et entreprend de me lubrifier le con, qui n’en n’a pourtant plus besoin ! Hervé me pénètre lentement, mais à fond. Il gémit aussi, car Laurent lui bouffe les couilles, les aspire.
Sa grande langue nous lèche tous les deux en même temps, je suis au 7ème ciel. Nos voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’est plus très loin. Je les vois se masturber frénétiquement, puis ils se le font mutuellement. S’ils se sucent, je serai aux anges. Hélas non… Mais je les vois cracher leur sperme dans l’herbe. Sous un ultime coup de langue sur mon clito hyper sensible, je jouis en hurlant sous les arbres mon plaisir. Hervé en fait autant, et jute plus dans la bouche de notre compère que dans mon vagin. Laurent semble apprécier, car il continue de me « laver » consciencieusement. Il nous demande de le regarder se branler. On ne peut pas le lui refuser ! Je reste allongée en me caressant les lèvres intimes, pour continuer de l’exciter. Il ne tard pas aussi à cracher son foutre, en longs jets saccadés.
Nous nous relevons, épuisés. Je jette un coup d’œil à la voiture... Elle est couverte de sperme ! J’en suis ahurie !!! Il nous faudra passer au lavage avant de renter à la maison….
J’ai tellement adoré cette soirée, que nous avons recommencé 2 ou 3 fois par mois, pendant près d’un an. A chaque fois, nous « recrutions » un volontaire … Ah, si je pouvais recommencer….
Un baiser magique
Ce soir, il me faut vous relater l’aventure particulière qui m’est arrivée ce matin. Cette fois-ci, ne cherchez pas du sexe pur et dur, c’est très différent….
Pour mes activités professionnelles, je devais me rendre dans plusieurs entreprises locales. Je commence donc ma tournée dès sept heures. Je vais dans l’une, et je trouve porte close. Cela m’étonne, ils m’avaient dit qu’ils seraient ouverts, mais nous sommes en plein « pont ». Je continue mes visites, mais décide malgré tout de revenir chez MT. A nouveau, portes et portails clos. Pourtant, il me semble entendre du bruit venant de la cour. Je tente de pousser le vantail, et il s’ouvre. A l’intérieur, je vois une silhouette à contre-jour, qui charrie de la terre. Il me fait signe de m’avancer, ce que je fais sans plus attendre.
Quand je vois cet homme pour de bon, j’ai un coup au cœur. Il est exactement comme j’aime qu’un homme soit. Pas très grand, bien fait, les bras musclés (les bras, c’est ce que je regarde toujours en premier chez un homme !), et surtout un regard noir, brillant et pénétrant. Je lui indique le but de ma visite, mais son boss n’est pas là. Il m’interrompt brusquement, car l’eau déborde d’un pot, où il vient de planter un splendide palmier bleu. Hormis le sexe, j’ai une passion pour les pantes d’ici et les palmiers en particulier. Tout naturellement, la discussion se porte sur ces arbres. J’en vois certain que je ne trouve pas dans le commerce. Mais son patron ne les vend pas, Ou plutôt, il les vend aux personnes pour qui il fait des jardins complets.
Nous commençons alors un tour de ses productions. Il me donne des conseils, me renseigne sur l’entretien de mes bougainvillées qui piquent du nez. Je suis de plus en plus troublée. Son regard est clair, tranché, il me transperce de ses yeux d’ébène, me met à nu. J’ai presque du mal à le regarder dans les yeux, tant j’ai peur de bafouiller ou de rougir. En quelques minutes, nous sommes passés au tutoiement. Il me dit s’appeler Mathias.
Nous passons près d’un palmier bien particulier, dont, dans l’émotion, j’ai oublié le nom. J’ai le même chez moi, qui dépérit. Il m’explique quels soins lui apporter. Puis il se baisse, en attrape un, et me le tend. Je suis surprise.
« C’est ma propre production, tu sembles tellement triste pour le tien, je t’offre celui-là. Je suis sensible aux gens qui aiment sincèrement les plantes ».
Je suis quelque peu interloquée, et lui réponds :
« Mille mercis, mais comment te remercier ? »
La réponse ne se fait pas attendre : « Fais-moi la bise… »
Je dépose le palmier au sol, mets ma main sur son bras, comme je le fais souvent quand je fais une bise, et embrasse sa joue. Mes lèvres sont en plein milieu de sa joue, qu’il a très douce. J’ai envie que ca dure… Mais je me recule, il me retient alors par le bras, et me fait aussi une bise, très tendre, sur la joue aussi. Il n’y pas un mot.
Nous sommes sous les arbres, qui nous abritent du soleil qui tape fort ce matin. Il y a de l’électricité dans l’air.
Nous nous écartons légèrement, ses yeux plantés tels des lames dans les miens. Mes tempes cognent, comme si mon cœur s’y était logé. J’ai presque le vertige.
Mathias n’a pas lâché mon bras, mais il passe son autre main dans mon dos. Je reçois une vraie décharge électrique. Il me tétanise. Pendant quelques secondes qui sont une éternité, nos visages sont à quelques centimètres, nos regards se noyant l’un dans l’autre. Je ne sais plus ce que je dois faire. Cette émotion intense, cette tension palpable n’ont rien de sexuel. Il a dû m’envouter, me jeter un sort.
Après quelques instants (secondes, minutes ? je ne saurais le dire…), il baisse son visage près du mien, ses lèvres sont à quelques millimètres des miennes. Son souffle se mêle au mien. Je suis tendue comme un arc, j’attends la délivrance d’un vrai baiser.
Enfin, ses lèvres effleurent les miennes, comme une plume se poserait sur le sol. Durant un long moment, il les bouge, caresse à peine les miennes. C’est presque intolérable. Je commence aussi à jouer avec sa bouche, nous ne faisons qu’explorer le tour des lèvres, nous touchant à peine. Ce moment dure, dure, dure…
Mon cœur se lance dans une course folle.
Puis il pointe sa langue, très lentement, aux commissures de ma bouche, qui s’entrouvre un peu. Nos corps n’ont pas bougé. Ma main est toujours sur son bras, l’un des siens m’entoure le torse, sa main me tient l’épaule.
Il resserre un peu son étreinte, mon bras resté libre remonte près de son cou. Sa langue se fait plus insistante. Et d’un coup, les vannes d’une folle passion s’ouvrent.
Mes lèvres s’ouvrent sous cette pression ferme, nos langues se mêlent, se cherchent, s’enroulent sans fin. Nous nous embrassons comme si notre vie en dépendait. Nos corps se sont collés, comme liés par un aimant puissant. Pourtant, je ne sens rien de purement sexuel, pas de frissons dans le pubis ou de seins qui pointent.
C’est extrêmement sensuel. Nos bouches sont collées, rien ne semble pouvoir nous séparer. Nos langues n’en finissent plus de s’entremêler, de s’aspirer, de se lécher… il m’enfonce la sienne au plus profonde possible de ma gorge, j’en fais autant, nous sommes littéralement en train de nous dévorer. Une danse linguale sans fin se joue dans nos bouches closes l’une par l’autre. Il nous reste l’éternité devant nous, pour que ce baiser torride et envoûtant ne s’arrête jamais…
Je serai bien incapable de dire avec précision combien de temps ce baiser a duré, peut-être plus ou moins 10 ou 15 minutes. Un quart d’heure lèvres soudées, souffle court, tête et cœur à l’envers, avec un trouble intense et puissant. De l’érotisme à l’état pur.
Pourtant, à aucun moment, nos corps n’ont bougé. Pas de mouvement de bassin suggestifs, pas de sexe qui bande. C’est incroyable. Ils étaient tout aussi soudés que nos bouches, mais pas une ondulation ne venait nous distraire de baiser magique.
Jamais je n’ai reçu –et donné- un tel baiser. Je tremble comme une feuille. Rien ne semble devoir arrêter ce moment hors du temps, hors de toute logique.
Mathias me soutient de ses bras puissants, quand mes jambes se dérobent sous moi. Mais il ne lâche pas mes lèvres, nos langues sont toujours envoûtées l’une par l’autre.
Et d’un coup, le charme qui nous entourait est brisé. Quelqu’un tousse près de nous. Le stagiaire, dont j’ignorais la présence dans les lieux, nous regarde d’un œil à la fois surpris et égrillard.
Mathias lui dit de dégager, qu’il arrive bientôt. Le charme est rompu. Nous nous écartons, l’air hébété, comme si nous étions en train de nous réveiller d’un très beau rêve. Pas un mot ne peut sortir. Alors, il m’embrasse à nouveau, baiser d’adieu, cette fois-ci. Court, mais encore très intense, brûlant, dévorant…
Il s’écarte, me saisit la main en silence, et m’accompagne à la voiture. Aucun de nous ne parle. Pour dire quoi ? Tous les mots sembleraient vains, après ce qu’il vient de se passer.
Arrivés près de la voiture, il tire un carnet de sa poche, griffonne un numéro de téléphone, toujours dans un silence total. Je suis tout aussi incapable de prononcer le moindre mot, moi la bavarde invétérée.
Je m’en saisis, le regarde au plus profond de lui. Un dernier baiser passionné nous soude encore quelques minutes. A nouveau, plus rien n’existe, ni les passants, ni les clients, ni le personnel.
Il faut que je parte, je le sais. Je m’écarte, toujours nos yeux accrochés l’un à l’autre, comme des noyés à une bouée. Je m’assoie dans la voiture. Brusquement, toujours silencieux, il tourne les talons et part en courant dans la cour, tire le portail. Je ne le vois plus.
Je reste encore un long moment assise, le regard dans le vide. Les pensées s’agitent dans ma tête. Je ne sais plus que penser. Cette expérience est unique.
Je ne sais comment la qualifier. Il faudrait que je voie d’autres entreprises. Mais j’en suis incapable. Je prends le chemin de ma maison. Toutes mes pensées dirigées vers ces instants extraordinaires, au vrai sens du terme « extra » ordinaire. Je « sens » encore ses lèvres sur les miennes. C’est toujours le cas, plus de huit heures après.
Le reverrais-je ? Vais-je l’appeler ? Je n’en sais absolument rien. Je vous le dirai plus tard, si cela vous intéresse !!!
Tout ce que je sais, c’est que ce baiser était magique, pareil à nul autre, et qu’il restera gravé dans ma mémoire à jamais, marqué au fer rouge dans mon cœur.
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unbien jolie récit et quel bonheurquece moment de la lune de miel
qui enserait devenue une lune de fiel , fluide breff de la juissance de par tous et partout
merci de ce moment et que de plaisirs solitaire a vous lire
merci aussi a notre Hote de nous parager ce quelques conte raconter par eux ici
merci
jimjim