Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le fantasme de Pierre
Je vous livre le mail reçu il y a quelques jours, de l’un de mes amants... Il a imaginé un joli jeu pour nous deux. Le voici :
Ma chère Sophie,
La nuit dernière, j'ai imaginé que nous nous retrouvions à Rennes ce week-end (il y a un salon de l'érotisme qui prends du poids ici..) et que nous nous retrouvions samedi en fin d'après-midi pour visiter ce salon avec toi, puis nous dînerions.
Enfin nous nous retrouverions de façon plus intime dans ta chambre. J'ai imaginé la présence d’un de mes amis, couvrant tes yeux et t'attachant aux montants du lit par les menottes, alors que je m'occuperai de lier tes jambes par les ceintures d’éponge de nos peignoirs.
Puis tu serais soumise à nos caresses de façon à ne jamais savoir qui fait quoi. Ton corps serait caressé comme il le mérite, et là tu aurais la récompense de ce que tu mérites pour un corps aussi offert que le tien.
Ta nuisette serait relevée, ou, mieux encore, découpée aux ciseaux, ton string arraché et nos caresses se feraient plus directes. L'un te téterait le clitoris, l'autre les tétons jusqu'à la jouissance, l'un te mordillerait les mollets, l'autre la courbe gracieuse de tes hanches.
L'un te soulèverait les fesses pour enfiler un doigt dans ton anus, l'autre te remplirait le vagin de ses doigts, et tu jouirais une seconde fois. L'un te pénétrerait de son sexe alors que l'autre caresserait tout le reste de ton corps mais il se retirerait lorsque la jouissance monterait en toi.
Une fois frustrée et laissée à l'abandon, tu serais de nouveau pénétrée (par qui?) et la tension remonterait, pour cesser tout aussi brutalement, lorsque tes gémissements laisseraient penser que tu va encore jouir.
Ton anus se verrait remplir de différents objets dont un vibro laissé en place. Nous jouerions avec toi le plus longtemps possible à faire monter et descendre ton plaisir et parfois une langue viendra prendre la place de nos sexes pour boire ton jus coulant à flot, pour téter ton clito bandé, pour mâchonner tes lèvres gonflées de plaisir et du frottement mais tu n'aurais toujours pas joui....
Alors, nous te libèrerons et l'un de nous te guidera, les yeux toujours bandés, vers le fauteuil de la chambre. Tu devras enjamber un corps et t'asseoir... sur ce corps.
Tu sentiras un sexe gonflé et dur pointer à l'entrée de ton petit trou d'où aura été retiré à l'instant le vibrateur. Tu sentiras que tu es poussée et attirée vers le bas, que ce sexe t'écarte, te remplit, s'enfonce en toi et une bouche viendra bâillonner la tienne ouverte sur la sensation entre douleur et plaisir. Tu auras du mal à savoir à qui est cette bouche qui t'a juste touchée et s'est effacée. Tes hanches seront saisies par l'homme assis, l'autre viendra par-devant jouer avec tes seins tendus, qu'il malaxera et sucera.
Tes mains auront envie de te branler pour enfin te faire éclater de jouissance mais le second homme viendra les relever autour de son propre cou. Tu sentiras son sexe pointer sur ton mont de venus. L'homme assis te tirera en arrière et, écartant ses jambes, t'obligera à faire de même. La voie sera alors libre pour qu'un sexe s'enfonce doucement, lentement en toi dans ton vagin gluant.
Tu sentiras ces deux mandrins se frayer un chemin en toi, tu sentiras ton clitoris étiré par cette pénétration, la sensation sera très forte et tu jouiras enfin en t'agitant dans tous les sens. Nous nous agiterons aussi beaucoup plus, car tes spasmes seront ressentis comme des pressions et caresses bouillantes sur nos queues… Nous jouirons en toi, y déversant des jets de sperme qui te rempliront les entrailles.
Une fois remis, nous nous retirerons, te détacherons, te porterons dans la baignoire, où tu pourras te relaxer dans un bain chaud. Un homme viendra te caresser avec un savon crémeux, l'autre ouvrira tes lèvres pour y caresser ton bouton glissant de ton jus mêlé de nos spermes.
Un verre sera porté à tes lèvres, du vin très doux, sucré, comme tu les aimes... Un Sauternes ou un Vieilles Vignes d'Alsace. Un toast suivra, couvert d'un met fin, glissant sous la langue et enveloppant le palais...
Probablement un foie gras avec une touche de confiture d'échalotes. Des baisers viendront compléter les bouchées et ton masturbateur te fera encore une fois jouir de tous ces plaisirs ensembles.
Le bandeau sautera enfin pour te livrer la vue de deux hommes comblés, gourmands et très excités encore.
Avant de finir ensemble cette bouteille et le foie frais qui l'accompagne, tu devras nous dire comment tu vas nous faire plaisir à ton tour juste après et cette fois c'est toi qui décideras de tout...
Ce rêve me plait beaucoup… S’il se réalise, je ne manquerai pas de vous le faire savoir….
- Commentaires textes : Écrire
L'un de mes fantames préférés.
Parfois, j’ai encore des fantasmes non assouvis. Je vais vous raconter l’un de mes préférés.
Je suis devant la maison pour dire au revoir à mes enfants qui partent en bus à l'école. Le camion des éboueurs est arrivé juste au moment où, par mégarde, j'ai laissé tomber mon trousseau de clés. Dans la chute, l'attache s'est cassée, éparpillant toutes les clés par terre.
Je m'étais accroupie pour les ramasser une par une. Lorsque j'ai relevé la tête, le camion s'était arrêté à hauteur de notre maison.
Je me suis alors aperçue que, pendant que l'un d'entre eux se chargeait de vider notre poubelle dans le camion, les trois autres étaient devant notre portail, sans bouger, le regard pointé sur mon décolleté car je ne portais pas de soutien-gorge, juste un petit débardeur noir qui baillait. Ceci leur permettait de mater intégralement mes seins, et cela faisait bien une minute que je me trouvais dans cette position.
J'ai remonté le tissu sur ma poitrine, plus intimidée qu'en colère. Les trois hommes, surpris, baissèrent leur regard, sauf l'un d'eux qui me toisait de haut en bas, un sourire en coin.
En fait, ma position accroupie avait fait descendre mon jeans, et il pouvait mater mon string noir qui dépassait de la ceinture…
Instinctivement, j'ai jeté un regard sur son bas-ventre et je me sentis rougir car son pantalon un peu étroit laissait deviner ses parties très volumineuses.
« Eh bien, puisqu'ils sont en forme, pourquoi n'en profiterais-je pas », pensai-je !
Prenant mon courage à deux mains je les regardai droit dans les yeux, les fixais durement, la bouche ouverte et avec une moue de dédain.
« Bonjour, je sais que vous êtes des habitués de ce quartier, leur dis-je, que diriez-vous d'une tasse de café pour bien commencer la journée ? », alors que leur collègue ramenait la poubelle vide.
Les quatre hommes se regardèrent en se demandant s'ils n'étaient pas en train de rêver.
Le ventru, apparemment plus âgé que les autres, s'avança vers moi, un peu méfiant.
« Je suis le chef de cette équipe. Je m'appelle Franck. Je vous remercie madame, mais nous allons être en retard dans notre tournée. »
« Allons, allons, vous n'allez tout de même pas me dire que c'est tous les jours qu'une femme vous invite à prendre cinq minutes de pause chez elle », répliquai-je en me cambrant encore un peu plus, rajustant mes cheveux tout en me mordant légèrement la lèvre inférieure.
« C'est bon les gars, Yamin ferme le camion à clef, et toi Hassan, rentre la poubelle dans la cour, on finira après », commanda Franck sur un ton autoritaire.
« Bon et bien suivez-moi ! » dis-je en tournant les talons et en prenant bien soin de rouler les hanches.
Ils entrèrent dans le salon, retirèrent leurs combinaisons, et ne me quittèrent pas des yeux pendant que je préparais le café.
Une fois le café servi, ils se mirent à discuter. Je leur expliquai que je ne voyais pas grand monde et que c'était un plaisir pour moi de leur offrir une petite pause.
Un black me fit asseoir à coté de lui, et je me débrouillai de façon à ce que mon débardeur, tendu par mes mamelons érigés, frôle sa chemise. De ma main droite, je me suis mise à lui caresser sa cuisse, tout en passant ma langue sur mes lèvres…
C'est là que je m'aperçu que ce salaud avait déjà ouvert sa braguette, de laquelle dépassait son sexe déjà bien enflé.
« Je suis une bourgeoise en manque, abandonnée par son mari. Alors, pour une fois que je peux me faire doser par de vrais mâles, je suis à vous… Faites-vous une bonne salope ! »
Ce disant, je retirai mon débardeur et mon jeans, ne restant vêtue que de mon string en dentelle noire.
Hassan et Yamin, qui n'arrivaient plus à se contrôler, avaient descendu leur pantalon jusqu'à mi-cuisse et se lissaient le sexe d’une main énergique.
Je me penchai en direction de Mamadou, lui empoignant son chibre, et tirai sur le prépuce pour faire apparaître un gland rouge, gorgé de sang.
Je passai la pointe de ma langue le long du bâton dressé, et m'arrêtai sur le méat avant d'enfoncer la tige dans ma bouche pour la faire coulisser. Simultanément, la taille du membre me donna envie de vomir. Pourtant, la satisfaction procurée par les couinements qui sortaient de la gorge de l'homme, ainsi que les tremblements qui animaient ses cuisses, me faisaient supporter cette nausée.
« - Oh putain c'est pas vrai ! Vas-y salope, suce ! »
Je sentis son gland enfler et m'empressa de le recracher avant qu'il n'explose.
L'africain me saisit par les hanches pour me prendre en levrette, mais je le repoussai :
« Tout doux, tout doux mon ami, tu n'es pas tout seul, chacun son tour ! »
J'apostrophai le maghrébin :
« Tu as de belles couilles toi ! Arrêtes de te branler ! Tu as envie de te faire une belle blanche, non ? Alors va te coucher sur le divan, j'arrive. » Il s'exécuta aussitôt et je vins m'asseoir à califourchon sur lui.
Son sexe bandé pénétra sans difficulté dans ma chatte baveuse que l'excitation, de me faire bientôt ces quatre mâles bien montés, avait remplie de mouille…
Hassan m'empoigna les fesses et commença de brutaux va et vient. Je sentais les regards des trois autres sur mon cul et ma chatte dans laquelle s'enfilait profondément un gros mandrin. De me savoir ainsi matée catalysa mon excitation, et j'étais soudain pressée de vivre un premier orgasme !
« Claque-moi les couilles au cul, je suis ta femelle pour encore quelques minutes, alors vide-toi bordel ! », dis-je au Marocain.
Mes paroles produisent aussitôt l'effet escompté. Il accélère le mouvement et alors que les spasmes envahirent mon vagin, je sentis la chaleur de son foutre qui se répandait en moi.
« Allez, on va pas y passer le réveillon » dit Yamin. « Viens Mamadou, on va se la prendre à deux, cette pute. Elle veut se faire troncher à fond, elle va pas être déçue du voyage ! »
Yamin me renversa sur le coté afin que je lui fasse une pipe pendant que Mamadou, que j'avais déjà sucé auparavant, s'agenouillait entre mes cuisses pour me lécher la moule. Il colla sa bouche sur l'orifice béant, tout en plaquant ses deux mains sur mes fesses douces, avalant par la même occasion le sperme de son collègue qui dégoulinait encore de mon con.
Puis il se positionna entre mes jambes pour enfoncer progressivement son sexe dans ma vulve, et ce, jusqu'à la garde.
Il plaça ensuite ses mains calleuses sur ma chair blanche afin de m'écarteler davantage les jambes, et il commença à me pistonner violemment.
Moi, je suçais toujours Yamin, qui semblait bien maîtriser ses sensations... Sa hampe était courte mais épaisse, et son gland était râpeux et décalotté.
Que c'était bon de se faire prendre sauvagement par une grosse bite de black pendant que j'en suçais une autre !
J'étais aux anges !
Puis ils inversèrent leurs positions. Mamadou vint me coller sa bite recouverte d'un cocktail de mouille et de foutre dans la bouche… alors que Yamin m'enfilait son rondin dans mon sexe béant.
Hassan était venu s'installer à coté de nous pour ne pas perdre une miette du spectacle. D'ailleurs, ça devait lui faire de l'effet car sa hampe avait retrouvé une nouvelle vigueur.
Quant à Frank, le chef, confortablement installé dans un fauteuil derrière nous, matait la scène en s'astiquant la verge comme il devait le faire de temps en temps devant des films porno.
Après avoir excité le gland de Mamadou avec quelques coups de langue, je creusai mes joues afin d'accentuer la succion autour du membre dur, tandis que je lui caressais l'intérieur de la cuisse.
Il n'en fallu pas davantage pour que l'éboueur déverse son flot de liqueur que je m'appliquai à avaler, alors qu'une longue plainte sortait de sa gorge. Yamin, voulait aussi jouir dans ma bouche et s'installa sur le canapé. Je m'agenouillai devant lui pour l'engloutir… exposant en même temps mon arrière train à la vue de Franck, que cette perspective stimula.
« On ne lui a pas encore exploré le sens interdit, dit-il. Ton mari t'encule parfois ? » Ayant la bouche pleine, je ne pus lui répondre que j'étais vierge de ce coté là…
Mais déjà, il m'avait attrapé par les hanches et je sentais son gland qui me forçait la rondelle élastique sans ménagement, afin de s'immiscer dans l'étroit passage. Une fois la porte franchie, il continua sa progression, me procurant un mélange indéfinissable de douleur et de plaisir, sensation toute nouvelle pour moi.
« Tu es belle, bordel, et qu'est-ce que tu es bonne ! »dit-il.
« Ton cul est bien étroit, il n'a pas du être visité souvent. Attends un peu, je vais te roder tout ça ! »
Je me sentis humiliée d'être ainsi à la merci de ce rustre, mais cela m'échauffa en même temps les sens.
Le sexe de Yamin toujours en bouche, j'ouvris les mâchoires pour pousser une série de cris perçants, jusqu'à ce que Franck se cambre en arrière, les ongles plantés dans la chair de mes hanches. D’un coup, il déverse sa semence dans mon intime orifice, m'arrachant ainsi des sensations jamais ressenties auparavant. Cela provoque illico un second orgasme.
Puis il se relâcha, la respiration et les jambes coupées, et retira son sexe, le regard dans le vide, vexé de ne pas avoir été plus endurant.
« Sale roulure, si j'étais ton mari tu recevrais une sacrée volée, je te le garantis, espèce de salope ! dit-il d'un ton vengeur. Il faut se manier un peu les gars, sinon on va réellement se mettre en retard. Toi, la chienne ne bouge pas ! »
Jamais personne ne s'était adressé à moi sur ce ton là ! Ce serait le premier et dernière fois !
« Mamadou, je suis sûr que tu n'as jamais pris une femme par le cul. Viens remettre le couvert ! La place est chaude et la voie est tracée. «
Connaissant la dimension du sexe du noir, j'eus soudainement peur qu'il ne me déchire et voulus me dégager.
Mais le chef me tint fermement pendant que l'africain se précipita pour prendre la place de son compère. Il saisit son sexe de la main droite et me l'introduit dans le conduit rectal. Il m'arracha un hurlement de douleur qui me fit contracter les muscles anaux afin d'expulser cet énorme intrus. Mais ces contractions se transformèrent progressivement en un étrange plaisir qui me fit perdre toute inhibition.
« Sale putain de blonde ! » éructa-t-il. « Ca te plait de te faire enculer par un black, avoue ! » Quelques va et vient suffi ent pour qu'il se vide dans un dernier coup de reins et en poussant un grognement sourd, la mâchoire crispée. Puis il extirpa son sexe et recula, encore abasourdi par sa jouissance.
Au bord de l'apoplexie, je voulus me relever, mais déjà Hassan se positionnait derrière moi pour, lui aussi, explorer la partie la plus intime de mon corps. Frank me prit par les cheveux pour me forcer à rester en position pour le recevoir. J’avais toujours la bite de Yamin dans la bouche, qui m’étouffait à moitié…
Mon cul encore vierge il y a quelques instants était maintenant un large boulevard lubrifié par les vidanges des deux premiers visiteurs. Il reçut donc sans difficulté le manche du troisième larron. Ce devait être une découverte pour lui, les musulmanes ne pratiquant que très rarement la sodomie.
« C'est ce que tu voulais, hein ! Lime bordel, montre ce que tu as entre les jambes, si tu n'es pas un minable, » lui dis-je provocante !
Fou de désir et de rage, il me saisit par les hanches et les coups de boutoir ont commencé à pleuvoir, de plus en plus rapides et de plus en plus forts, me martyrisant le fragile intestin.
Franck, qui était à coté, l'encourageait avec de paroles salaces.
« Vas-y, défonce lui le cul, à cette chienne, cette bourgeoise qui joue les mijaurées ! Vas-y à fond, mets-la lui profond pour qu'elle se souvienne longtemps encore de notre passage. »
Instinctivement, j'imprimai le même rythme à la succion de la bite de Yamin, qui ne résista pas longtemps à ce traitement et me déchargea en de longs jets brûlants, sa purée âcre, au fond de la gorge.
Puis, le contact avec ma langue lui devenant trop insupportable, il se retira de ma bouche et partit s'installer dans un des fauteuils.
Le marocain en profita pour changer de position et me demanda d'empaler ma rondelle sur son chibre d'ébène.
En quelques coups de reins, il fut à nouveau en action dans mon cul.
Ses coups de bite s'accélérèrent. Il haletait, soufflait. Puis, brusquement, il se pétrifia, et se vida en plusieurs giclées puissantes au fond de mes entrailles.
« Bon, ben, on va peut-être y aller maintenant ! », déclara Franck, en enfilant sa tenue d'éboueur.
« Toi, salope, je crois que l'on va se revoir bientôt. Mon beau-frère travaille comme contremaître, sur un chantier, dans la zone industrielle. Les ouvriers viennent de partout, seuls, et logent dans des baraquements sur place. Je suis sûr que tu vas m'appeler bientôt au centre technique pour que je t'emmène jouer l'inspectrice des travaux finis sur place. Je t'attends. J'imagine déjà leur tête quand tu te pointeras.
- Ca, c'est moi qui décide ! Répliquai-je, en tapotant la joue du jeune Marocain.
- Ah j'oubliais, s'exclama Mamadou en passant la porte, encore merci pour le café ! »
Les regardant partir, je fis le bilan de ce petit intermède : j'avais eu trois orgasmes et pris trois salves dans mon cul vierge jusqu'à ce jour, j'avais avalé deux fois et m'étais fait inonder la chatte de litres de sperme….
Pas mal pour une première expérience du genre… En attendant de me rendre au chantier !
Contribution de David : L'exhib qui tourne... bien !
Il est 23 heures, je suis avec ma femme dans le restaurant dont on m’avait dit qu´il s´y passait souvent des choses. Nous allons ensemble au bar, et nous asseyons chacun sur un tabouret. C’était un dimanche de carnaval, ici, en Guyane. Il faisait très chaud, et je remarque le manège d’un homme qui s’est installé sur le tabouret voisin de ma femme. Il regarde ses jambes d’un regard admiratif et gourmand.
Sa courte robe laisse apercevoir des cuisses bronzées et fermes. Il reste bouche bée de surprise, car elle lui sourit. Ma femme, Eva, a les cheveux blonds, un corps parfait avec des seins volumineux, fiers et arrogants. Elle est instinctive, sensuelle et très amoureuse de moi. J’aime aussi profondément sa femme. Et surtout, la voir prendre beaucoup de plaisir, avec moi, ou avec d’autres.
Elle est vêtue d´une petite robe courte de coton rouge avec des talons aiguilles de même couleur. Vu la chaleur du moment, elle ne porte rien sous sa robe d’été, ni soutien-gorge, ni culotte. La pointe de ses seins se dessine très nettement à travers le fin tissu. Elle est terriblement provocante. Elle croise et décroise ses jambes en faisant remonter la robe sur ses cuisses. On distingue parfaitement la fente de sa vulve et elle dévoile les lèvres de son sexe totalement rasé sous le léger tissu. Je me rends compte à quel point le spectacle est excitant
Elle me dit : « Ça t´excite aussi, mon chéri ?
- Oui, bien sûr, pas toi ? »
Elle continue à faire son exhibitionnisme, à montrer à l'inconnu sa chatte que j´imagine trempée depuis le temps qu’elle allume le voyeur.
L´homme, la quarantaine, très bien habillé, sportif et un sourire craquant, se met à nous parler. Cela commence par des banalités. Les présentations faites, je sens à sa façon qu’il a de regarder ma femme, de lui parler, qu’il la trouve très jolie, qu'il a envie d´elle. Mon épouse, excitée, frissonne.
Je bande à cause du spectacle qu'elle donne. Je n’en peux plus, je sens mon sexe prêt à exploser, j’adore voir les mecs qui reluquent ma femme. Je demande à l'inconnu s'il veut nous suivre. Nous allons jusqu’à ma voiture garée près de la Crique, ce n’est pas loin. J’ouvre la porte de la voiture et nous entrons tous les trois. Ma femme et l’inconnu s'assoient à l'arrière. Ils commencent à se caresser. Il se sent encouragé et il relève carrément la robe pour reprendre ses caresses. Je préfère passer devant, et démarrer pour trouver un coin plus tranquille. Nous allons à la pointe Buzaré, déserte en ce dimanche de carnaval.
Je les mate dans le rétroviseur, la queue en feu.
L’homme a placé ses mains sur les hanches de ma femme, puis les fait glisser lentement sur les fesses qu’il malaxe avec nervosité. Je suis incroyablement excité par cette scène. Nous sommes arrivés, enfin !
Alors, je commence à me caresser à travers la toile de mon pantalon. L'homme dégrafe les boutons de sa braguette, défait la boucle de son ceinturon puis fait glisser l’ensemble jusqu’aux genoux. Il en fait de même avec son slip, ce qui libère un formidable engin déjà en érection, une verge longue et épaisse, nervurée au diamètre supérieur à la mienne, et une grosse paire de couilles. Il prend la main de ma femme et la pose sur son membre. Je vois les doigts de ma chère épouse, après un instant d’hésitation, se refermer sur l´objet de son plaisir et commence à le branler. D’abord doucement, puis de plus en plus vite.
Les yeux fermés, elle embrasse son tourmenteur, et le branle à deux mains, lui massant les couilles velues, remontant sur la hampe gonflée, excitant le gland de ses ongles, pour redescendre et recommencer son manège.
Je vois ma femme prendre dans sa bouche le sexe d’un autre homme que moi, elle arrondit les lèvres et les fait coulisser sur la queue de cet homme tout en continuant à lui masser les bourses d´une main.
Et ça m’excite terriblement. Je me branle tant que je peux, L’homme gémit, puis la repousse, elle le suce pendant un temps qui me semble très long, il doit être au bord de la jouissance. Il pointe son gland à l´entrée de la chatte de ma femme, puis la pénètre presque brutalement. Eva gémit lors de cette pénétration intense, et des premiers mouvements de la grosse queue. J’entends clairement son ventre frapper les fesses de ma femme en cadence. Je la vois possédée devant moi par cet inconnu qui lui pelote les seins sans relâche. Au bout d'un moment, les signes que je connais bien apparaissent : ma femme gémit de plus en plus fort, bouge de plus en plus vite. Elle jouit, pendant que l’homme, bien sûr, accélère le mouvement afin de donner des coups de bite encore plus puissants dans sa chatte.
Elle est épuisée, mais elle continue à monter et à descendre sur le pieu qui lui transperce le ventre.
« Attends, je n’ai pas joui, moi. Il faut me finir ! » dit l’homme.
Il la met en levrette et la pénètre à nouveau brusquement. Il lime furieusement sa chatte béante. Et tout à coup, il se retire.
« Ca y est... Je jouis... je jouis... prend mon sperme... oui... tiens, prends tout, cochonne ! »
Les longs jets gluants et blancs arrivent sur les reins et les fesses de ma femme. J’ai cru qu’il n’en finirait pas de jouir, les jets se succédant sans pouvoir s'arrêter, mon épouse est couverte de sperme.
Pourtant, elle se retourne, et plonge de nouveau vers le sexe dressé et entreprend de le sucer, elle l'avale le plus possible. Visiblement, elle n’en pas encore eu assez ! Elle donne de savants coups de langue, l’engloutit, le ressort, lèche toute la hampe. Il durcit à nouveau, comme s’il ne venait pas de jouir.
Alors, sans ménagement, il la remet en levrette, passe un doigt humide de salive sur la rosette offerte. Il la doigte un peu, dilate le petit trou frémissant de désir et de crainte. Sans prévenir, il pénètre son anus, la verge entre de moitié au premier coup de bourre. Cramponnant ma femme aux hanches, il donne un deuxième grand coup de reins. La bite est maintenant entrée toute entière dans le cul étroit, il va et vient dans sa rondelle dilatée. Eva est au bord de l’évanouissement. Elle ne peut même plus de crier. Elle supporte la sodomie à moitié affalée sur le siège arrière de la voiture.
Au bout d´un moment, et après l'avoir faite gémir de jouissance, il se retire. Sa queue est souillée. Puis, je vois le gros membre forcer à nouveau les entrailles de ma femme, sans relâche. Comment peut-elle recevoir entre les fesses un sexe aussi gros ? Elle ne me quitte pas des yeux tous en donnant des coups de croupe violents qui font rentrer la bite au plus profond de son cul encore plus fort.
Je n’en plus. Depuis tout ce temps, je me branle comme un fou, totalement subjugué par ce spectacle.
Je viens de l’autre coté de la voiture, m’agenouille sur la banquette et présente ma bite écarlate de ma branlette devant sa bouche. Elle me gobe la hampe d’un coup, comme jamais avant. Eva est là, embrochée par le cul et par la bouche. Ses lèves m’aspirent au rythme des coups de boutoir de l’inconnu.
Il donne d’ultimes coups de reins, qui font que ma queue est totalement engloutie dans la gorge de ma femme. Elle suffoque, au bord de la nausée. L’homme jouit et déverse son sperme au fond de ses entrailles...
Il se retire, s’essuie la queue dans un mouchoir, et repart sans rien dire. Je finis par jouir dans la bouche d’Eva. Je me retire à mon tour, et je la contemple, couverte du sperme de l’inconnu, et du mien.
Il est urgent de rentrer chez nous !
Dommage que l’homme soit parti si vite. S’il se reconnait, qu’il nous écrive !
Lire les commentaires textes
Ravie que ca te plaise... j'aime bcp Phoenix, qui est un garçon génial.. Et qui apprécierait sans nul doute ce traitement que tu lui réserverais !
Quant ua rasage, je te le recommande sans faute ! mais n'oublie pas de lui faire faire des gommages, sinon, la peau va démanger à la repousse... ;-)
Je l'ai montré à mon partenaire, comme moi il aime la 4 eme en pensant à l'effet que ça ferait en se la mettant ds la bouche puis sans bouger, attendre que ça gonfle jusqu'à la sentir arriver au fond de la gorge, tés belle queue bien rasée que l'on a envie de dévorer, superbe. Merci à vs, je vais raser mon mari comme vs car c'est trés jolie à regarder et désirable ainsi, le reste chez vs me plait aussi car je préfére les hommes imberbes