Les Mémoires très Libertines de Sophie
La sieste cocquine de Vanessa
Chers ami(e)s.
Je vais tenter de vous raconter comment un fantasme qui me hantait depuis quelques mois s’est transformé en une réalité bien chaude.
Mais d’abord, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, laissez-moi me présenter. Je me prénomme Vanessa, je viens de sauter le cap de la trentaine. Je suis une grande et belle jeune femme (aux dires de ceux qui ont eu le privilège de me conquérir), blonde aux yeux verts, j’ai de longs cheveux blonds qui descendent jusqu’au milieu du dos. Ma peau blanche avec des éphélides est souvent bien bronzée car j’aime le soleil et la mer. J’ai d’ailleurs fait un long voyage jusqu’en Australie et retour à bord d’un grand voilier et je ne vous dit pas comment tout mon corps était halé au retour. Je suis très fière de ma silhouette avec de beaux seins en forme de pomme, bien ronds et opulents. Je fais un bon 85.C qui remplit bien mes soutifs. Ma taille étroite s’évase sur des hanches pleines et des fesses bien galbées.
Si aux yeux de mon entourage, je passe pour une timide, je suis quelque peu exhibitionniste, j’aime vivre nue et attiser le regard des hommes quelles que soient les circonstances. J’aime danser en discothèque dans des tenues somme toute assez sages mais c’est ma silhouette et mes déhanchements qui me font remarquer. En club je n’hésite pas à me trémousser le long de la barre de pole dance. C’est aussi une des raisons qui m’ont poussé à une époque à m’inscrire sur un site érotique où je m’exhibe dans des petites prestations bien chaudes au gré des clients qui viennent me voir par webcam interposée. J’y prends beaucoup de plaisir et je suis devenue une accro aux jouets érotiques comme les boules Geisha, les chapelets Thaï, les godemichets simples ou doubles, les Plugs et autres vibromasseurs.
J’avais découvert la masturbation au cours de mon adolescence. La première fois, j’étais sous la douche, le corps enduit de mousse odorante, je me suis rendue compte qu’en passant mes mains sur la pointe de mes seins, le bourgeon s’érigeait et j’avais une sensation de chaleur dans le bas du ventre. A quinze ans le corps s’éveille ! J’ai cru naïvement que c’était ma sexualité qui naissait. Le lendemain, c’était samedi : pas de lycée ! Je flemmardais dans mon lit quand j’ai eu envie de caresser mes seins comme la veille sous la douche, juste pour voir ! A peine les paumes de mes mains posées sur mes « pommes d’amour » que les tétons s’érigeaient et je ressentais cette même boule chaude au niveau de mon pubis. J’ai conservé une main à hauteur de ma poitrine pendant que je laissais l’autre descendre le long de mon ventre et se poser sur ma vulve légèrement poilue. Surprise ! J’étais toute humide entre mes lèvres intimes si bien qu’instinctivement deux doigts sont allés débusquer mon clitoris dans son capuchon.
Là, je ne vous dis pas quelles sensations j’ai eu lorsque j’ai introduit deux doigts dans l’ouverture de ma chatte ! C’était tout gluant et chaud. J’ai fait aller et venir mes doigts dans ma vulve jusqu’à ce que je me heurte à mon hymen. Je n’ai pas forcé mais j’ai continué à me caresser jusqu’à ce que la jouissance déferle en moi pour la première fois. Peu à peu, j’ai pris l’habitude de me caresser tous les samedis matins avant de me lever et au fur et à mesure, je devenais de plus en plus experte mais avide de ces masturbations matinales qui me mettaient en forme et de bonne humeur pour tout le weekend.
Les mois ont passé et au cours des vacances estivales, j’ai rencontré un groupe de jeunes parisiens, garçons et filles un peu plus âgés que moi. J’étais une habituée du club de voile aussi j’ai aidé le moniteur à les initier à la navigation côtière sur des petits dériveurs légers. Quelle chance j’ai eu, tous étaient en couple de copains et après les séances sur l’eau, çà flirtait un peu dans tous les coins, un seul garçon se trouvait sans petite amie ! J’ai tout fait pour attirer l’attention de Serge.
Pour lui, à dix-neuf ans, je n’étais qu’une gamine à la silhouette certes agréable à regarder, mais une gamine… Mes manigances ont fini par porter leurs fruits ! Le second soir, tout le groupe s’est retrouvé à la discothèque aménagée sur la plage. Bien sur, j’étais de la sortie. C’est ce soir-là que j’ai perdu mon pucelage. Serge a été doux et si la première fois la légère douleur a pris le pas sur mon plaisir, les autres soirs, quel bonheur de sentir la jouissance m’envahir et me laisser pantelante entre les bras de mon amant. Mais ce n’était qu’un amour d’été !
J’étais désormais une femme à part entière ! J’avais repris mes habitudes de masturbation matinale et de temps à autre, je me laissais culbuter dans un coin sombre ou dans une chambre accueillante par un garçon avec qui j’avais flirté au cours de la soirée. Je dois ajouter que grâce à la complicité d’une copine plus âgée, j’avais fait l’acquisition de quelques jouets sexuels bien planqués dans le fond de l’armoire de ma chambre. Il n’était pas question que ma mère les découvre !
J’avais pris goût à ces séances matinales et aux parties de jambes en l’air ! J’attendais avec impatience les mois d’été car je savais par avance que je n’aurais que l’embarras du choix pour trouver des amants de passage. J’avais toujours avec moi un étui de préservatifs bien garni qui me permettaient d’échapper à toute transmission inopportune. L’automne de mes 18 ans, ma meilleure copine m’a invitée au mariage de sa sœur aînée. Nous devions lui servir de filles d’honneur pour le cortège. J’avais comme cavalier Kevin, un homme d’une trentaine d’années, beau comme un dieu grec, des cheveux ondulés blonds une peu longs, un teint halé éclairé par des yeux d’un bleu profond.
Quand il me regardait, j’avais l’impression de fondre. Nous avons dansé toute la soirée en bavardant sur un ton léger et badin. En fait, il me faisait la cour ! Quand nous sommes sortis dans le parc du château où avait lieu le banquet, j’ai tout naturellement glissé mon bras sous le sien pour sentir au plus près sa présence virile et marcher de longues minutes au clair de lune. Il m’a pris dans ses bras pour m’embrasser, sa langue a immédiatement cherché la mienne et je me suis collée contre lui, offerte, pantelante, prête à céder à toutes ses exigences. Ma robe bustier a bien facilité les choses. Mes seins sont sortis comme par enchantement du décolleté et Kevin a commencé à sucer mes tétons. Immédiatement, j’ai commencé à mouiller abondamment si bien qu’en moins de deux minutes mon string était trempé ! Nous savions ce qui allait se passer ! Nous allions baiser au clair de lune ! Le pied total !
Quand nous avons été bien chaud, Kevin m’a fait placer en appui le long d’un tronc d’arbre, il a remonté ma robe longue jusque sur mes reins et fait glisser mon string qu’il a empoché en disant dans un sourire amusé :
« Souvenir ! »
Il a fait coulisser le zip de son pantalon et s’est aussitôt collé contre mes fesses pour me faire sentir l’érection de son membre. C’est vrai, je m’en souviens comme si c’était hier, il bandait comme un cerf en rut. Il écarté mes fesses et s’est introduit lentement en moi. Je ne sais pas à quel moment il s’était couvert ! J’étais tellement partie que je ne me suis rendue compte de rien.
En fait, dès que je l’ai senti à l’orée de ma chatte, c’est moi qui me suis embrochée sur sa queue jusqu’à ce que mes fesses soient en contact avec son ventre. J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu retenir ma jouissance très longtemps. Kevin était toujours en moi qui récupérais de mon orgasme. Puis il est sorti ! J’ai pensé : « on va changer de position ». Mais non, ce coquin en voulait à mon autre pucelage : J’ai senti la pointe de sa bite contre mon anneau plissé qui s’est ouvert comme par enchantement face à cette intrusion. Quand j’ai été habituée à cette présence, je lui ai soufflé :
« Vas doucement, c’est la première fois ! ».
Il a commencé à me sodomiser lentement à longs traits, veillant à rester engagé dans mon petit trou puis il a accéléré ses mouvements, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de prendre une bite dans son cul ! Au moment où je jouissais pour la seconde fois, Kevin s’est lâché. J’ai senti son sexe prendre encore un peu de volume et cracher de longs jets de sperme qui sont venus s’écrase au fond de la capote. Quelques temps après nous avons regagné discrètement la salle du banquet et nous nous sommes séparés au petit matin. Depuis cette nuit-là, quand un de mes amants veut me prendre par la porte de service, je ne dis jamais non tant cette prise de possession de mon corps me fait fantasmer par avance.
Aussi agréable soit il ce job d’animatrice érotique n’est pas un fin en soi ! C’est l’occasion de me divertir et un prétexte pour me caresser comme le souhaitent les clients. Après des études d’architecte d’intérieur à Paris, je viens enfin de m’établir comme auto entrepreneur avec un associé avec lequel je travaille le matin et le soir. Généralement après 18 heures je vois nos clients chez eux car là, je suis à même de bien appréhender ce qu’ils souhaitent en matière de décoration.
Sous le soleil de la Méditerranée, il est coutumier de faire une sieste en début d’après midi et je n’échappe pas à la règle d’autant que je vis aussi beaucoup le nuit. Il n’est pas rare que je me couche vers deux heures du matin. C’est justement au cours de ces siestes que des rêves récurrents viennent depuis plusieurs semaine, me troubler au point que, de plus en plus, le virtuel me hante au point d’avoir envie qu’il se transforme en réalité. Depuis qu’il fait à nouveau très chaud sous le soleil du Midi, j’ai repris l’habitude de cette petite sieste réparatrice qui dure généralement une bonne heure. A l’ombre d’un parasol ou des frondaisons des arbres selon le lieu où je me trouve, je m’endors facilement sur la chaise longue bercée par le chant des cigales.
C’est là que mes rêves surviennent, jamais la nuit (ou alors je ne m’en rappelle pas). Au début, je me souvenais m’être masturbée d’une main alors que l’autre caressait mes seins nus. Plus tard, je me faisais plaisir avec un beau godemichet que je voyais en détails, ressemblant à ceux que je possède….Lorsque le rêve devenait trop fort où que l’heure de repos était passée, je me réveillais avec la sensation que je n’avais pas rêvé, persuadée au bout de quelques temps qu’un inconnu avait versé un quelconque soporifique dans ma boisson et avait profité de mon inconscience pour abuser de moi ! En fait mes rêves étaient tellement forts et prenants que je me retrouvais au réveil avec mes tétons dressés et sensibles et ma chatte humide comme si un sexe l’avait visitée. Avec le temps, je ne m’étonnais plus. Au contraire je savourais cette délicieuse sensation qui mettait mon corps en émoi.
Mais il y a quelques jours, le rêve est devenu réalité. Comme d’habitude, j’étais allongée sur un transat à l’ombre des grands arbres de la villa où j’habite pour l’instant. Je dormais à moitié nue, simplement vêtue d’un maillot de bain deux pièces des plus réduit avec des motifs colorés. Soudain, un bruit sur le gravier et la sensation d’être observée m’ont tiré de mon demi sommeil. Quand j’ai repris pied dans la réalité, je me suis aperçue que j’avais la main droite glissée dans la culotte du maillot, mais la surprise a été de découvrir trois jeunes gens qui, à quelques mètres de moi, m’observaient avec envie. Un rapide coup d’œil au niveau de leur short m’a immédiatement fait penser qu’ils devaient me mater depuis un moment car je distinguais une belle bandaison cachée par le tissu :
« Approchez ! Je ne vais pas vous manger ! Profitez de la vue ! »
S’ils étaient excités du spectacle inconscient que je leur avais offert, j’étais tout aussi émoustillée en pensant qu’ils devaient s’être régalés de me regarder. Ils se sont approchés. Ils ne devaient pas avoir beaucoup plus de vingt ans mais ils n’avaient pas froid aux yeux car dès qu’ils ont été près de moi, il y en a un qui a fait glisser sa main entre mes cuisses jusqu’à mon sexe pendant que les deux autres me relevaient et faisaient sauter l’agrafe de mon soutif :
« OK les gars ! Je vois ce que vous voulez ! Baissez vos shorts que je vois quels beaux trésors vous cachez ! »
En moins d’une minute, j’avais sous les yeux trois jeunes bites bien bandées, dressées comme des épieux devant leur pubis, trois belles bites de taille normale avec les glands dégagés de tout prépuce comme je les aime. J’adore m’attaquer directement au champignon quand je suce une queue.
Les deux garçons qui m’avaient dépouillée de mon soutif continuaient de s’intéresser à ma poitrine en faisant rouler les tétons dardés entre leurs doigts et le troisième commençait à me manger la chatte après avoir retiré ma culotte. Waouh ! Ça démarrait fort ! J’avais sous les yeux les sexes des deux garçons et je n’ai eu qu’à tendre les mains pour les saisir. Coquine jusqu’au bout, j’en ai guidé un jusqu’à ma bouche pour le sucer et de la main droite, je branlais l’autre.
Je ne voulais pas qu’ils déchargent leur plaisir ailleurs que dans ma chatte aussi, j’ai arrêté de sucer et de branler pour prendre dans mon fourre tout les préservatifs dont je suis toujours approvisionnée ! On ne sait jamais ! Çà peut servir et là, çà allait servir ! J’étais prête car celui qui m’avait fait un cunni avait su y faire, j’avais la chatte déjà bien inondée mais je n’avais pas atteint le stade de la jouissance. J’ai relevé à moitié le dossier du transat et j’ai posé mes pieds de part et d’autre du repose-jambes. Ainsi, j’étais installée confortablement, les cuisses entrouvertes, prête à le livrer aux assauts conjugués de ce trois jeunes gens.
Celui que j’avais sucé s’est couvert le premier. Il s’est placé entre mes cuisses, d’une main il a mis son bout à l’orée de ma chatte et d’un seul mouvement, il m’a embrochée, faisant claquer ses couilles contre mon périnée. Ce coquin s’est aussitôt arrêté au fond de vulve :
« Oh ma belle, t’es trop bonne, je vais t’aimer comme une belle femme doit l’être ! »
En disant cela, il a commencé des va et vient amples, sortant à chaque fois pour mieux entrer à nouveau jusqu’au fond de ma chatte : jeune mais bon amant ! Pendant ce temps là, je suçais celui qui avait préparé ma chatte (d’ailleurs elle est toujours prête). Il avait enjambé mon buste et je pouvais ainsi masser ses couilles qui étaient bien dures. J’avais repris la masturbation du troisième de façon à entretenir le feu… Chose surprenante, j’ai joui au moment où celui qui me baisait s’est lâché dans la capote. C’est rare lors d’une première fois de jouir en même temps, il y a toujours un décalage. Il s’est retiré, a ôté le préservatif et s’est essuyé la bite avec ma culotte.
Celui que je suçais s’est retiré de ma bouche, a pris un matelas de plage et s’est allongé dessus, la queue dressée comme un mat vers le ciel en disant :
« Allez, ma belle puisque tu as envie de baiser, c’est toi qui va travailler. »
Je l’ai enjambé et je me suis accroupie pour introduire sa bite dans ma chatte. Je lui faisais face en amazone. Je faisais des mouvements de haut en bas pour faire coulisser sa queue dans ma gaine humide et chaude. Quand elle était bien au fond, je travaillais le bout de mes muscles intimes avant de remonter en veillant à ne pas le faire sortir. Je me servais de lui comme si j’utilisais un gode à ventouse. Il ne restait pas inactif, bien au contraire. D’une main il triturait alternativement mes tétons qui étaient bandés sous l’effet de l’excitation et de l’autre il caressait mon pubis ou jouait avec le bijou qui orne mon nombril.
Les deux autres garçons étaient légèrement sur le côté et faisaient des commentaires sur mon anatomie, sur mes seins volumineux, sur ma taille étroite et mes hanches et mes fesses bien galbées :
« T’as vu cette fille les seins qu’elle a ! Et ce cul qui s’ouvre à chaque fois qu’elle s’empale sur la bite ! »
C’était assez graveleux mais cela correspondait bien à l’ambiance de cette partie de jambes en l’air. Puis ils se sont rapprochés. Celui qui ne m’avait pas encore baisée m’a caressé le dos, faisant courir sa main le long de ma colonne vertébrale pour aller fouiner dans ma raie, prenant mes fesses à pleines mains pour les masser et ouvrir encore plus ma raie où je sentais mon anneau plissé palpiter d’envie. Celui qui m’avait prise en premier a enjambé le torse de son copain pour revenir se faire sucer. Je retrouvais sur sa queue le goût de son sperme et l’odeur de foutre qui emplissait mes narines. Soudain celui qui était derrière moi s’est écrié en appuyant une main entre mes épaules :
« Couche-toi sur mon copain, ton cul me fait trop envie ! Je vais me le faire ! »
Je me suis empressée d’obéir à cette injonction, comme dans mon rêve, j’allais avoir une bite dans chacun des mes trous ! Il a fait entrer un doigt, puis deux dans mon fondement pour ouvrir le passage et finalement c’est sa queue qui est entrée. Je me voyais mal protester car j’accepte rarement la sodomie sans y être préparée d’avance. En moi-même je pensais, finalement et heureusement pour moi, c’est celui qui a la bite courte et trapue comme je les aime dans mon p’tit trou qui me sodomise ! Je vais la sentir passer mais qu’est ce que je vais jouir !
Ils ont coordonné leurs mouvements, quand l’un entrait au fond, l’autre sortait en partie. C’était si bon et si bien fait que je me suis mise à penser que ces deux là devaient être des adeptes de la double pénétration. Pendant ce temps, je suçais toujours le troisième larron dont le sexe avait retrouvé toute sa splendeur entre mes lèvres. Waouh ! C’était vraiment chaud. Je sentais ma jouissance monter dans mon ventre et les signes avant coureur du plaisir fuser le long de mon dos :
« Allez-y mes cochons ! Baisez-moi bien à fond ! Profitez, ce n’est pas tous les jours où vous trouverez une nana dans d’aussi bonnes dispositions ! »
Et là, çà a été le déferlement ! Celui qui était dans ma chatte s’est mis à jouir ce qui a déclenché mon orgasme et la jouissance de celui qui me sodomisait. Je sentais les giclées de sperme s’écraser au fond des préservatifs et, quand celui que je suçais s’est dégagé de ma bouche pour gicler sur mes seins, c’est ma fontaine qui s’est déclenchée !
« Quelle coquine tu fais ! En plus de te faire sauter de belle manière tu nous inondes !
- Et oui ! C’est le témoigne que vous m’avez bien fait jouir ! »
Et celui qui m’avait sodomisée d’ajouter :
« J’aurais bien voulu cracher tout au fond de tes boyaux, tu aurais vu comme je suis généreux ! »
Ils se sont rhabillés et m’ont quittée rapidement. Je ne sais pas ce qu’ils étaient venus faire dans le parc ni même comment ils y étaient entrés. Mais moi, je savais que ces trois lascars m’avaient permis d’assouvir ce fantasme qui hantait mes siestes depuis le début de l’été.
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Soumis !
J'étais passé un peu par hasard dans ce petit village typique sans me poser la question de ce que je venais y faire. Ce n'est que devant la maison que je me suis rappelé y avoir connu des instants heureux plus de trente ans auparavant.
Qu'était donc devenue la propriétaire de l'édifice que j'avais perdue de vue il y a bien des années ? Sans doute avait-elle déménagé. J'allais marcher un peu vers le centre bourg pour m'y rafraîchir, lorsque la porte s'est brusquement ouverte sur une grande femme brune aux petits yeux noisette. Je l'ai immédiatement reconnue. Elle a un peu épaissi, mais peu changé.
Sa démarche est toujours aussi élégante grâce à ses épaules très droites. Je me souviens d'une incroyable chute de reins, d'adorables petits seins ronds et de plein d'autres particularités anatomiques aussi charmantes. Elle me regarde, esquisse un sourire qui prouve qu'elle m'a identifié, puis commande sèchement :
« Entre ! »
Son intérieur rustique est resté le même, si ce n'est une imposante véranda qui borde un chemin de terre et la nature, faite de champs et de bois, toute proche.
Elle m'y fait pénétrer et commande à nouveau d'une voix sèche :
« Déshabille-toi, s'il te plait ! »
Je ne sais comment me comporter. Là où je suis, n'importe qui peut me voir depuis le domaine public. J'ai un peu peur et mon cœur s’accélère. Mais elle me connaît et sait que je ne déteste pas m'exhiber. Elle répète d'une voix plus douce :
« À poil, te dis-je. Tu ne vas pas commencer à me résister aujourd'hui ! »
Mon cœur s'emballe encore et je commence à déboucler ma ceinture. Mon pantalon s'affaisse doucement vers le sol, dévoilant au passage mes cuisses dodues et mes mollets bien marqués. Comme d'habitude à la saison chaude, je ne porte rien dessous, ce qu'elle apprécie d'un sourire gourmand. Je trousse mon tee-shirt sans me faire prier. J’ôte mes sandalettes d'un geste des pieds et les dégage du pantalon avachi.
Me voici totalement nu, exposé en vitrine à la vue de deux promeneurs qui approchent sur le chemin. Mon sexe s'est redressé et j'ai honte. Mais plus j'y pense et plus il se redresse. Une étincelle traverse le regard de mon amie.
« Branle-toi ! », dit elle.
Sans que je le décide, une main monte sur mon téton tandis que l'autre commence à me caresser l'aine puis glisse sur mes bourses et mon phallus qui se redresse encore. Mon hôtesse s'est effondrée dans une bergère et ses mains se sont engagées dans la ceinture de son survêtement pour se masser compulsivement le bas ventre.
Des marcheurs, un couple, se sont arrêtés derrière la vitre de la véranda et me contemplent avec gourmandise. Je rudoie violemment mon sexe tandis que mon autre main glisse doucement vers mes fesses et les caresse un moment. Trois paires d'yeux me dévorent du regard. Je redouble d'ardeur, entre un doigt dans mon cul et me tords littéralement en sentant venir l'orgasme. Mon foutre s’éparpille au sol et je reste là, debout et indécent, à peine porté par mes jambes qui flageolent. Mon amie a les yeux révulsés et lâche un petit cri. Les marcheurs s'enfuient d'une démarche malaisée. Je n'ose bouger et reste ainsi seulement éclairé de rouge par le soleil déclinant.
Lorsque mon amie retrouve ses esprits, elle m'ordonne de la suivre dans un appentis voisin. Je dois sortir de la maison, conscient de mon absolue nudité. Elle en extrait des sangles et des chaînes dont je ne vois que trop l'usage. Quelques minutes après, me voici entravé aux chevilles, les mains liées dans le dos, affublé d'un collier et traîné en laisse. Je me courbe et avance derrière ma nouvelle « maîtresse ».
Mes entraves m'obligent à écarter les jambes pour garder l'équilibre, ce qui renforce l'indécence de mon attitude. Je suis grotesque et me sens terriblement impudique. Arrivés dans la cuisine, mes poignets sont déliés et je suis attaché, bras levés à deux chaînes qui pendent du plafond.
« Bienvenue dans ta nouvelle vie ! » me dit ma nouvelle maîtresse en riant.
A l'heure du dîner, un homme d'une soixantaine d'années entre dans la maison comme s'il y habitait. Il me contemple avec un sourire égrillard et dit à ma maîtresse :
« Je peux ? »
Sur un signe d’assentiment de la part de celle ci, il baisse son pantalon et approche sa verge tendue de mon cul. J'essaie d'esquiver l'outrage, mais il me retient par les hanches. Il hésite, mais elle insiste :
« Vas-y, il adore ça ! »
Je sens son vit s'engager doucement en moi de plus en plus profondément. A la douleur succède un étrange sentiment de désir et lorsqu'il accélère le mouvement, je suis complètement dilaté. Je sens ses couilles battre mon aine et nos deux peaux se télescoper en un claquement caractéristique. Mon cœur bat la chamade et j'ai terriblement chaud. Je pousse un long cri suraigu et mon corps s’affaisse douloureusement sur ses chaînes. Il se soulage dans mes intestins et se retire. Je me sens alors diablement mal et angoissé. Ma maîtresse me détache les poignets et m'autorise à manger avec eux à table en signe de reconnaissance pour mon obéissance.
Le soir, alors que l'amant a quitté les lieux, elle devient plus douce. Je peux lui peloter ses petits seins puis caresser son sexe et son cul. Je peux enfin la prendre dans la position du missionnaire. J'aurais sans doute pu la sodomiser si la fatigue ne m'avait provoqué une panne irréparable. Elle me lie à nouveau les mains dans le dos et accroche mes chaînes à un anneau mural. Je m'endors, près de la cheminée couché en chien de fusil. Jusqu'au petit matin, je vais rêver de sévices, tant ma position inconfortable et mes entraves induisent mes états d'âme. Vers quatre ou cinq heures, après plusieurs réveils douloureux, deux jeunes couples de retour d'une sortie nocturne me trouvent en travers de leur chemin.
De sa chambre, ma maîtresse m'ordonne de satisfaire la sexualité de ses enfants. Je prête donc ma bouche et mon cul aux mains des filles et aux vits des garçons. L'une des fêtardes torture mon cul étroit en essayant de le fister. Je me prête au tourment, mais finis par m'évanouir de douleur. Mon corps inerte ne les intéresse bientôt plus et ils me laissent enfin me reposer.
Dés le lever du jour, ma maîtresse me réveille et m'oblige à lécher chaque recoin de son anatomie pour en chasser les miasmes de la nuit. J'adore ces odeurs poivrées. Je laisse longuement traîner ma langue dans la raie de son cul au point que je réveille son désir. Je peux enfin l'enculer tout à mon aise. Elle me gratifie d'un chapelet de petits cris qui me font penser à des orgasmes multiples. Sitôt le petit déjeuner passé, elle me vêt d'une courte tunique sans manches qui me couvre à peine le bassin, me chausse de mes sandales et m'équipe d'une longue laisse. Cette tenue m'excite et j'en ressens les effets sur mon rythme cardiaque, ma respiration et une agréable sensation sur ma poitrine, mes fesses et mon bas ventre.
Nous effectuons une longue promenade dans la campagne au cours de laquelle je suis autorisé à faire mes besoins à condition de rester en vue de mon bourreau qui ne me quitte pas des yeux. Son regard exprime en même temps le mépris et l'envie. J'ignorais que ma modeste anatomie pouvait avoir de tels effets. Par jeu elle trousse ma tunique sur les épaules ce qui renforce ma sensation de gène et de plaisir. Par moments, elle m'attire contre elle et me soumet à quelques caresses intrusives.
Lorsque nous passons devant un immense jardin, où un vieil homme est occupé à nettoyer ses plantations, ma maîtresse m'ordonne de me dénuder et d'aller le rejoindre. Je m'y soumets presque avec plaisir. Le jardinier me regarde d'un œil torve et pince divers endroits de mon intimité. Mon cri de douleur lui tire un sourire et il arrache une fine badine plantée là comme tuteur. Il me fouette les fesses et le dos. J'esquive les coups autant que je peux et cela excite mon bourreau qui commence à rechercher les zones les plus sensibles. Je comprends vite que je dois me soumettre et ne bouge plus. Il s’arrête enfin et caresse doucement les blessures sur mon corps nu. Ma maîtresse me couvre à nouveau sommairement et nous partons.
Au café du village devant lequel nous passons, une jeune femme est attablée, un énorme chien fauve à ses pieds. Ma maîtresse s’installe face à elle et m'ordonne de me coucher, comme le chien, à ses pieds. A mon approche le chien grogne et je me plaque au sol en signe de soumission. Il se lève et vient naturellement renifler mon anatomie. Sa truffe humide écarte mes fesses et sa langue commence à lécher mon cul. Cette caresse met mes sens en émoi, mon cul s'échauffe et mon sexe se dresse à demi.
Le chien perçoit mon excitation et redouble d'attentions. Je soulève mon bassin pour faciliter la caresse tout en laissant mes épaules au sol. Il inonde de sa bave ma rondelle et je sens sa langue étroite qui s'engage dans mon cul. Je me tortille de plaisir. Je sens le regard des deux filles vissé sur nous dans un silence pesant. La bête ressent ce geste comme une invite et redouble de vigueur avec sa langue. Elle monte sur mon dos pour honorer mes fesses offertes et, alors que mes jambes s'écartent plus encore, mes reins se cambrent pour mieux l'accueillir.
Je sens son sexe étroit pénétrer sans résistance dans mon cul dilaté. Mon corps vibre et je hoquète de plaisir. Mon ventre se creuse. Le chien s'agite vigoureusement puis son vit grossit considérablement au point de dilater mon ampoule anale. Il descend de mon dos et nous nous retrouvons cul à cul, collés l'un à l'autre par le cul. Je me sens habité par cet amant de rencontre et j'accompagne son long orgasme de mes nombreuses petites morts. Plaisir indescriptible !
Il désenfle et me libère si brutalement qu'il m'arrache un cri de surprise. Sitôt sorti, il nettoie avec application de sa langue les miasmes de notre copulation. Je me tords à nouveau de plaisir. Lorsqu'il s'allonge enfin près de moi, je suis tiré par le collier et j'entends ma maîtresse dire sèchement :
« Ça suffit, sale chienne en chaleur ! »
Pas faux, je prends un plaisir fou à être ainsi exhibé et soumis à tous les sévices sexuels qui me sont concoctés. Nombre de villageois le remarquent et me le feront, plus tard, lourdement payer.
Le retour à la maison se fait au pas de charge et je suis prié d'étancher ma soif et ma faim dans des écuelles posées sur le sol comme une bête. Ce sera d'ailleurs presque toujours mon sort après ce jour de honte et de plaisir. Ensuite elle me conduit à la salle de bains et m'asperge et m'étrille dans la baignoire. Mais progressivement son geste se fait moins brutal, plus tendre.
D'un jet d'eau elle procède à ma toilette intime. Son insistance est telle que mon cul s'ouvre largement et que mes sens exultent. Ma maîtresse se dénude alors, me rejoint dans la baignoire, et m'offre sa croupe de déesse pour la prendre en levrette. Mes mains libérées se cramponnent à ses petits seins durcis. Nos peaux humides font un bruit de ventouse à chaque mouvement et je sens mes bourses heurter l'intérieur de ses cuisses fuselées. Ravissement !
Les jours passent et ma situation change peu. L'amant me prend de temps à autre brutalement lors de ses passages. Ils m'associent parfois à leurs ébats et j'y ai le plaisir d'avoir le cul défoncé pendant que je m'active dans le vagin ou le cul de ma maîtresse. J'aime cela et je suis plus performant ainsi. Je n'ai pas revu les jeunes. J’espère que cela ne durera pas car j'ai apprécié le contact de leurs peaux fraîches et de leurs membres vigoureux.
Aujourd'hui, c'est une journée entre filles ou je n'ai pas de rôle défini. Je reste sur mon territoire au coin de la cheminée. Mon repos est parfois interrompu par quelque caresse perverse, mais rien de plus. L'alcool coule à flots et les filles parlent de plus en plus fort. Elles évoquent leurs amours et leurs pensées cochonnes. Ma maîtresse propose une séance de lèche et me voici sous la table entouré de sexes dénudés. J'ai du mal à fournir et utilise simultanément ma langue et mes mains, ce qui me permet d'astiquer les six invitées trois par trois. Je m'agite et m'applique jusqu'à être pétri de crampes.
La variété des toisons et des formes de sexes est extraordinaire. Les sensibilités sont très différentes. J'ai du envoyer au ciel cinq fois une grosse blonde au discret clitoris alors qu’une brune épilée bien dotée m'a longuement résisté. Une fois satisfaites, mes compagnes m'ordonnent de me coucher sur la table et me font subir mille outrages. L'alcool aidant, elles finissent de se dénuder et je puis téter leurs seins, du téton à peine visible aux énormes loches. Voilà une délicieuse journée bien fatigante !
Depuis quelque temps, ma maîtresse a acheté un martinet et pris l'habitude de me fouetter le séant lorsqu'elle est mécontente. Elle accompagne ces séances d'insultes variées et peu imaginatives ou « chienne, pute, salope » et autres vocables ont une place de choix. Elle l’emmène partout. A son ordre, je dois m'installer les fesses levées, tête et genoux au sol. Elle me frappe longuement en économisant sa force. Je ne sais ce que je ressens le mieux entre la douleur du fouet sur ma peau nue et l'excitation. Il lui arrive aussi, sans raison, de me fouetter dans la rue pour affirmer sa domination et montrer ma soumission obscène à quelque villageois.
Le jour de l'abattage du cochon, je suis voué à soulager les burnes des quelques hommes qui viennent aider. J'avale des bites en série, souvent en gorge profonde et ils éjaculent sur moi. A la fin du travail, lorsque vient l'heure du repas, je suis couvert de foutre et prié de ne pas paraître dans la maison. Je rince au mieux ma peau, mes cheveux et mes pilosités, avec le tuyau d'arrosage. Le voisin m'appelle et me montre une fort jolie courgette, longue et fine. Je ne comprends pas ce qu'il veut et franchis le mur pour m'approcher de lui. Il me saisit par le collier et enfonce deux doigts humides dans mon cul. Le passage est vite assoupli. Il enfonce ensuite profondément le légume et commence un va et vient de grande amplitude entre mes fesses. Me croirez-vous si je vous dis que j'ai ressenti du plaisir ?
Bon, en plus d'être une salope soumise, me voici également légumophile. Je manifeste ma jouissance de façon tellement sonore que les faiseurs de boudin en sortent de la maison. Cela m'a valu d'être longuement et vicieusement fouetté par ma maîtresse.
Lors qu’arrive l'automne, elle me dote d'un de ces manteaux transparents issus de la recherche récente ainsi que de bas en même tissu. J'apprécie la valeur du cadeau qui me permet d'être exhibé, totalement dévêtu, dedans comme dehors, été comme hiver. Malgré l'habitude, de nombreux villageois ont plaisir à me regarder passer et à détailler mon insolente nudité. Je suis prêté régulièrement au cafetier. Je sers les clients revêtu d'un petit tablier bleu qui ne cache que mon sexe et le bas de mon ventre.
C'est pire que d'être totalement dévoilé et bien plus graveleux. A chacun de mes passages entre les tables, des mains se tendent vers mon cul. Lorsque je sers à table, elles s'engagent sous le tablier ou sur les tétons. Elles entrent dans ma bouche avide ou dans mon cul dilaté. Je suis en permanence excité et cela se voit. Je sers également de bedeau et le lubrique curé en profite pour envahir mes trous, sans ménagement, prosterné devant le crucifix de la sacristie. Il aime aussi me flageller le cul, agenouillé devant l'autel et penché en avant.
A la mauvaise saison, ma maîtresse me laisse parfois à la garde de ses enfants qui font de moi l'attraction de leurs réceptions. J'avoue que j'ai grand plaisir de voir mon cul et ma bouche pénétrés par ces jeunes organes. Les filles sont plus dures avec moi et m'humilient souvent. Puis elles culpabilisent et m'offrent leurs orifices pour me récompenser.
Au milieu de l'hiver, ma maîtresse m’emmène à la neige. Je deviens la coqueluche des salles hors sac ou je suis vu dans le plus simple appareil et souvent besogné par des inconnus. Il n'est pas rare de voir les touristes présents consommer leur frugal repas en cercle autour de mon corps découvert et impudique qu'ils ne cessent de lorgner et de palper.
Au village, ma maîtresse m'envoie souvent faire quelques courses à l'épicerie, à la boulangerie et dans d'autres commerces... A chaque fois le scénario est le même : je dois me prêter au jeu pervers de mes interlocuteurs. Le boulanger adore me sodomiser avec le manche de sa pelle à four. L'épicier a conçu pour moi un ingénieux engin de torture qui dispense 24 volts dans mes bourses ou mes fesses. Chaque décharge me met en transes et m’écartèle en des positions lubriques. Le garagiste a équipé la selle d'un vélo d'un sex-toy sur lequel je dois empaler mon cul pour me promener avec lui. J'avoue qu'au moindre faux plat, l'impression est assez géniale. Quant au plombier, il m'a confectionné un jet de massage dont l'effet lavement est intéressant. J'en ai les boyaux en folie sans que cela soit douloureux.
Le pharmacien m'alimente en toniques de tous genres pour que je sois endurant à la tâche. Il faut dire qu'il a des besoins sexuels hors norme et que mon anatomie est mise à rude épreuve. L'artiste peintre compose des tableaux éphémères sur mon corps. Il plante dans tous mes trous des objets décoratifs qui me font ressembler à une sculpture d'avant garde. Celles-ci m'échauffent et renforcent la sensualité de mes postures. Il les montre à tout le village puis les photographie avant destruction. Une seule consigne, ne jamais dire « non » à mes interlocuteurs même si je suis effrayé ou fatigué. Seule ma maîtresse a ce droit.
En un mot, comme en cent, mon corps ne m'appartient plus et s'est habitué à être en permanence excité et prêt à l'ouvrage. J'y ai découvert que chaque cm² de peau peut être une zone érogène. Il m'arrive de ressentir un spasme génital violent alors qu'on ne me touche que la main, la tête ou le pied. Parfois j'ai l'impression que tout mon être est un sexe. Je n'arrive que difficilement à penser par moi même et m'en remets toujours à ma maîtresse que je ne cesse de contempler avec l'admiration et la reconnaissance d'un chien. Je ne rêve que d'être fourré profondément en toute circonstance et je n'ai plus d'autre raison d'exister.
Merci maîtresse !
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Le vigile de l'entrepot de gros
Après mes courses, je me suis décidée à passer du coté d’un entrepôt de gros, où un vigile m’avait draguée la semaine dernière. Je n’avais pas le temps ce jour-là, mais sa belle gueule et son crane tout lisse était restés dans un coin de ma tête….
Me voilà donc à rôder vers midi, heure de fermeture de l’entrepôt, dans le parking. Et bingo, je le vois sortir de derrière un tas de palettes. Les vigiles n’ont pas des horaires réguliers, il aurait très bien pu ne pas être là…
Je me suis arrêtée à sa hauteur. Il m’a reconnue, et m’a souri. Ses dents sont d’une blancheur éclatante, qui tranche avec la couleur sombre de sa peau.
« Bonjour, tu vas bien ? me dit-il.
- Oui, je craignais que tu ne sois pas là.
- Ah bon, pourquoi ?
- J’ai repensé à toi, tu m’avais troublée, mercredi dernier. »
Il me fait un clin d’œil, et se penche vers moi. Avant que j’aie pu articuler un mot, il écrase ses lèvres sur les miennes, et enfonce sa langue dans ma bouche. J’accueille avec plaisir ce baiser envahissant. Cet élan a le don de m’exciter instantanément. Je me sens humide, les pointes de mes seins durcissent illico. Je le repousse un peu :
« Ouf, laisse-moi respirer... Et on ne peut pas rester là…
- T’as raison, on va trouver un endroit. Laisse ta voiture dans le coin, et suis-moi. »
Un peu intriguée, j’obéis, attrape une capote dans mon sac, et ferme ma voiture.
Il m’entraine derrière les palettes. Et là, contre le mur, je vois un autre amas de bois, fermé par un container. Il pousse quelque palette, et une ouverture apparait. Là, j’ai une vision : tout est aménagé pour faire des coquineries !
Je me rends compte que « Monsieur » a l’habitude de ce genre de choses.
Dire que je passe tous les jours devant, jamais je ne me suis doutée qu’il y avait une telle cachette là !
Bref, il y a un espace d’une dizaine de mètres carrés, un toit en tôle, une chaise, et un matelas (avec un drap propre !) posé sur un « sommier » de palettes.
« Eh bien, tu ne t’ennuies pas !
- Eh non, tu sais, on s’ennuie avec les potes, alors faut bien s’occuper ! dit-il en riant. Les nuits surtout sont longues. On amène nos copines, ou nos conquêtes dans le magasin.
- Bien joué, je suis bluffée !
- Assez parlé, tu n’es pas venue l pour ça, je pense ?
- Tu as raison, je vou… »
Pas le temps de finir ma phrase, il m’a saisie par les hanches, et hissée sur le matelas de fortune. Il me bascule sur le lit, et d’un tour de main très habile, et habitué…, il soulève ma jupe pour faire glisser mon string. Il s’est passé moins de deux minutes que je suis allongée sur ce lit, les jambes grandes ouvertes, sous le regard amusé du black.
« Au fait, je m’appelle Jason.
- Sophie, enchantée…
- Sophie, t’aimes qu’on te bouffe la chatte ? »
Il n’attend pas ma réponse, et se jette littéralement sur mes lèvres trempées. Il me lèche, me dévore, passe sa langue partout, soulève mes fesses pour aller toucher ma rosette si sensible... Il ne lui faut que quelques trop brèves minutes pour me faire jouir une première fois. Je retiens mes cris, il y a un flot incessant de passants à quelques mètres de nous…
Le temps que je reprenne mon souffle, il fourrage dans mon vagin avec ses gros doigts, et de l’autre main défait son pantalon. Visiblement, il est rompu à l’exercice !
Je me relève pour saisir la jolie tige noire qui barre son ventre. Il est dur, ferme, gros entre mes doigts. Pas très long, sans doute moins de 16 ou 17 cms, mais épais tout comme j’aime. Il me fait pivoter sur le coté du matelas, et je me retrouve la tet près du bord. Ainsi, toujours allongée, je me retrouve juste à la bonne hauteur pour le sucer. Je doute que ce soit un hasard !!!
Je l’enfourne comme je peux, son gland imposant remplissant ma bouche. Lui se penche vers moi, m’ouvre la chatte en grand, comme s’il voulait m’exposer à la vue d’autres personnes… D’ailleurs, je remarque qu’il regarde fréquemment vers une des parois. Je le sors de ma bouche pour lui demander :
« Que regardes-tu comme ça ? On n’est pas seuls ?
- Euh… souffle-t-il d’un air gêné. Non, mon collègue nous mate…
- C’est pas vrai ? Je souris, encore plus excitée. Eh bien, montre-lui tout ! »
Il m’ouvre encore plus grand, et je mouille bien plus, de savoir qu’un mec nous mate et se branle sans doute… je redouble d’ardeur pour pomper le gros mandrin. Je le lape, le lèche, le suce, le mordille, de haut en bas, je gobe les grosses couilles pleines... Il gémit doucement, et titille avec plus de vigueur mon petit bouton bien bandé. Je jouis une nouvelle fois, et j’entends le collègue dire d’une vois étouffée :
« Allez, mon pote, baise-là, elle est à point ! »
Il sourit, et se retire de ma bouche. J’attrape la capote qui était restée sous moi. Il la prend, et d’un geste toujours aussi sur, se couvre vite. Mais il s’interrompt :
« Tu veux bien que mon pote Mike s’approche un peu ?
- Oui, lui soufflai-je en état d’excitation extrême.
- Mike, approche, mais pas touche, elle est à moi ! »
Une palette bouge, et le collègue apparait, la bite à la main. Elle est bien plus imposante que celle de Jason ! A mon avis, elle dépasse largement les vingt centimètres !
Jason se positionne devant moi, soulève mes jambes sur ses épaules. Il est toujours debout.
« Tu as besoin d’être lubrifiée, ordonne-t-il. Mike, viens ici. »
Il s’approche et crache dans ma chatte D’un doigt, il fait pénétrer la salive dans ma grotte en feu. Je sursaute sous la caresse douce et ferme.
« Recule. »
Mike obéit. M’est avis que l’un est soumis à l’autre…
Jason commence à s’enfoncer en moi, écartant doucement les lèvres gorgées de désir. Il progresse lentement, sans à-coups. Près de moi, Mike branle son impressionnant pieu. Il le tient à deux mains, et le gland dépasse encore…
D’une poussée plus forte, Jason est entièrement en moi. Alors, commence son pilonnage intensif, de plus en plus fort. Il me baise au même rythme que son collègue se branle, dans un étrange ballet bien réglé…
Je suis hypnotisée par cette queue énorme, qui bouge à quelques centimètres de mes yeux. Mon amant accentue ses va et viens, il me baise de plus en plus fort. Je sens son chibre heurter ma matrice, je recule sous les poussées. Mike tend la main et branle mon clito, qui n’en demandait pas tant !
Je jouis pour la troisième fois, sans pouvoir me retenir de crier. Tant pis pour la rue !
« Je peux jouir sur ta poitrine ?
- Si tu veux, comme tu veux… je veux te voir juter. »
Il sort de mon vagin dévasté, ôte la capote, bouscule Mike et vient près de moi. Je le lèche un peu, mais il se masturbe lui-même. En quelques secondes, je vois la crème blanche jaillir et asperger mes azeroles dures.
Son collègue l’interroge du regard. Il fait « oui » de la tête… je ne sais pas pourquoi… La réponse arrive aussitôt : je le vois se jeter sur ma chatte béante, enfoncer sa langue bien profond. Il se branle plus vite, et finit par jouir sur le bois, en étouffant ses soupirs dans mes chairs trempées.
Je reste inerte, engluée du foutre épais, épuisée par ces jouissances auxquelles je ne m’attendais pas… Le temps de rependre mes esprits, Mike a disparu.
« On dirait que vous amusez bien tous les deux ?
- Ouais, il fait tout ce que je lui dis.
- Tout ?
- Oui, tout.
- Il suce les mecs aussi ?
- Oui, si je le lui demande. Mais je fais payer les hommes pour ça.
- Et si moi, je te le demande ?
- Pour toi, ce sera gratuit. Tu nous prends tous les deux, on fait ce que tu veux !
- Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Je te fais signe très vite. »
Je me rhabille, légèrement titubante.. Quel déjeuner… Je rentre vite, car mon homme m’attend à la maison. Mon nouvel amant, l’homme que j’attendais depuis toujours…
Il me voit arriver les cheveux encore en bataille, et avec une odeur très reconnaissable sur moi. Et pour cause ! J’ai pris bien soin de ne rien essuyer de la crème de Jason sur moi. A son sourie, je comprends qu’il a compris…
Il me prend amoureusement dans ses bras.
« Alors, ma chérie, tu étais où ?
- J’ai été me faire prendre par un vigile...
- Ah oui ? Il était bien ? il t’a fait quoi ? » me demande-t-il en souriant.
Je lui raconte tout ce que je viens de vous décrire. Ses yeux s’allument quand je lui dis qu’il me reste du sperme de Jason sur la poitrine.
Délicatement, il ouvre mon chemisier et se penche sur mes seins pour humer l’odeur si caractéristique...
Il m’emmène sur le canapé et m’allonge avec douceur. Il me caresse partout, relève ma jupe, vient m’embrasser là où moins de vingt minutes avant, un autre me mangeait.
Simon, mon homme, adore me voir juste après que d’autres m’aient « honorée ». Il aime le savoir, même s’il préfère encore nous regarder faire, ou nous écouter dans la pièce d’à coté.
Son ardeur est décuplée, il me lèche avidement, grogne de plaisir fourrage, dans mes chairs intimes, tant et si bien, que je jouis pour la quatrième fois en moins d’une heure. Mais là, je peux enfin hurler tout ce que j’ai retenu avant…
Simon continue ses caresses, et va maintenant déguster ce qu’il aime : les souillures d’un autre homme sur moi. Il humidifie ses doigts avec ma cyprine, et tapote le sperme séché. Celui-ci se « réhydrate » et redevient gluant…
Alors, il s’incline sur moi, et du bout de la langue, commence sa « toilette ». Il picore ma peau, mange la crème de Jason, plus lèche plus franchement. Au bout de quelques trop courtes secondes, il ne reste plus rien. Il a tout nettoyé, bien consciencieusement…
J’adore ce moment… Pour le récompenser, j’ouvre plus grand mes cuisses et lui dit devenir me prendre. En un tournemain il est nu, et vient sagement s’agenouiller devant moi. Mais là, je le stoppe :
« Non, en fait, tu avs encore me faire jouir avec ta langue… Excite-moi, caresse-moi, donne–moi toute ta salive… »
Je lui plaque le visage contre mon abricot brulant, lui laissant à peine de quoi respirer...Il suffoque un peu, mais la langue docile vient fouiller les parois intimes de ma grotte.
Consciencieusement, il me lèche, me picore, mordille mes lèvres gorgées d’excitation… J’attrape le mini gode qui est toujours posé sur la table basse. Je le lui glisse, pour qu’il fasse vibrer ma petite fleur encore avide de sensations fortes. Les vibrations couplées à sa langue font des merveilles.. Je jouis encore, une fois de plus… Je hurle à m’en déchirer la gorge.
Simon tente de se dégager de mon étreinte, mais j’en veux encore, et je le contrains à me dévorer encore… Il obtempère… Au bout de quelques minutes de délicieuses sensations, je décide de lui faire plaisir… je le libère, et lui dis :
« Maintenant, reste à genoux entre mes cuisses, et branle-toi. Fais-toi jouir ; tu vas inonder ma chatte et tout manger après…
- Oh oui, je veux jouir pour toi, t’honorer comme tu en as envie…
- C’est bien, allez, vas-y, je me crasse pour toi, là… »
Joignant le geste à la parole, j’écarte mes chairs, pour y enfoncer le gode, vitesse maximale. Je masse fortement mon clito. Simon se branle, je vois sa bite s’agiter sous mes yeux. Enfin, il crache sa purée blanche, qui coule en moi, inondant le gode au passage.
J’adore ce moment-là…
« Allez, mon amour, lave-moi, maintenant. »
Toujours aussi docile, mon homme se penche, et entreprend de lécher chaque goutte de sa liqueur… Quand je suis enfin propre, il me prend dans ses bras… nous partons pour une longue séance de câlins très amoureux….
Mais déjà, j’imagine que le vigile pourrait me prendre devant lui, et avec son aide…
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Les Incestueuses - 2. le Trio
Après une nuit des plus ardentes, notre trio trouva enfin le repos. Au matin, je me levai le premier et contemplai un instant la mère et la fille tendrement enlacées, pressées seins contre seins ; l’on eût dit deux Amants ne pouvant plus se séparer, leurs mèches emmêlées, leurs lèvres très proches attestaient qu’un ultime baiser à la nuit les avait réunies dans leurs partages incestueux.
J’allai acheter des croissants et, quand tout fut prêt, je réveillai avec bien des précautions mes deux belles Sapho ; comme elles étaient jolies et excitantes, encore toutes ensommeillées, leurs beaux yeux cernés, leurs seins dénudés aux larges aréoles émergeant du drap !
Elles me rejoignirent, provocantes, toutes deux en nuisettes vaporeuses au ras de leurs jolies fesses, derrières insolents, cuisses fermes…la mère et la fille avaient les mêmes cuisses, hanches et poitrine, ma belle-mère était remarquablement bien conservée pour ses 55 ans…
Elles s’assirent, je leur versai leur café, tendis les croissants et confiture…elles dévorèrent, belles louves aux dents mordeuses ! Je pris ma douche. Elles me rejoignirent en la salle d’eau et se douchèrent ensemble, non sans avoir auparavant embrassé et caressé tendrement ma peau fraîche les attirant… Je leur dis de ne pas trop se mignoter sous la douche, selon leur habitude, car il nous fallait prendre la route sans tarder pour parvenir en fin de journée à notre Hôtel dans le Vercors.
Ma femme termina nos sac et valise – ceux de ma belle-maman, étaient déjà prêts – et celle-ci aida sa fille à finir de remplir nos bagages, débordante de joie à l’idée de ces quelques jours d’évasion et de folie.
Ma belle-mère, assise en voiture à côté de moi avait les jambes haut croisées, mini-jupe relevée… Tout en conduisant, je dis à ma femme assise à l’arrière :
« Ma Chérie, ta douce et tendre Maman me fait délicieusement bander ! »
Ma femme répondit :
« Mais qu’avez-vous donc tous les deux, vous m’excitez ?! Ne pouvez-vous pas attendre ce soir, mes Chéris ?! »
J’envisageai même un petit arrêt éventuel en un lieu propice pour y faire quelques galipettes calmantes… Mais à part deux ou trois arrêts « pipi » pour ces Dames et un ou deux cafés, nous roulâmes si bien –conduisant à tour de rôle– qu’à vingt et une heures précises, nous arrivions à notre Hôtel pour nous installer, nous doucher, nous faire quelques tendresses, changer de tenue et dîner.
J’avais réservé deux chambres communicantes, de manière à pouvoir nous visiter à notre guise, sauf bien entendu pendant les deux jours et deux nuits que nous passerions sur les hauteurs avec le berger.
Notre dîner achevé, nous remontâmes tous trois à nos chambres, trop impatients de nous retrouver pour partager nos vicieux penchants…
De fait, quelques minutes plus tard, délicieusement nue, mais nantie d’une superbe paire de bas gris-bleu et d’un merveilleux porte-jarretelles blanc aux fines dentelles, ma belle-maman nous apparut, plus désirable et coquine que jamais… Elle savait que les bas et porte-jarretelles m’excitaient, elle avait tout prévu !
Etendu, nu sur notre lit, je commençai doucement à triquer, savourant la raideur progressive de ma queue qui s’élevait, se balançait, se tendait, mes couilles bien rondes, chaleureuses à l’extrême…
Ma belle-mère s’adressant à sa fille restée dans la salle de bains dit :
« Ma Chérie, il bande le Chéri, viens, mais viens donc ! »
Françoise se montra, finissant d’attacher un bas noir à son porte-jarretelles roue… Les Chéries, elles y avaient pensé toutes les deux ! Deux Amours prêtes à satisfaire mes désirs et me faisaient là la surprise, sachant que cela était à mon goût et avaient prévu dans leurs bagages, chacune une paire de ces ravissantes et troublantes soies qui, en effet, avaient le pouvoir de me faire ériger un peu plus, lorsque je les caressais et les frôlais perversement… Elles me rejoignirent sur le lit, nous tamisâmes la lumière – comme nous le faisions à la maison – et commençâmes à savourer nos bien incestueux et secrets ébats…
Ma femme dit :
« Mon Chéri, j’en ai envie par derrière, mets-la moi profonde et ferme ! »
Ma belle-mère s’employait à me bien sucer, gourmande, licheuse, me décalottant avec adresse et talent habituels, me pelotinant gentement les couilles, comme elle en avait l ’habitude, depuis que nous couchions tous les trois ou même tous les deux, elle et moi, en l’absence de sa fille…Mon épouse, pendant ce temps, s’était munie d’un long tube de crème, utilisée généralement avant toute sodomie et s’en enduisait généreusement l’anus, s’introduisant déjà avec délice, un médius déterminé dans le fondement…elle fermait les yeux, geignant doucement…
« Je suis prête, mes Chéris ! » lança-t-elle, « venez bien vite, prenons place, venez vous occuper de moi, j’en meurs… »
Elle se disposa alors à califourchon sur sa mère, le con offert à la langue de celle-ci. Je vins sur ma femme, verge bien ferme, pointai l’anus déjà dilaté (ce que j’aimais son fion, mes Ami(e)s !!), poussai et pénétrai le culin sans effort, la douce crème faisant son office… Délicieux ! Je glissai, tandis que les longs doigts carminés de ma belle-mère me grapouillaient gentement les couilles par en dessous, pendant qu’elle se délectait du beau con de sa fifille…
Celle-ci enculée bellement, se démenait du cul, b elle vicieuse aux bas et jarretelles tendus ; je jouis abondamment en son fondement – elle aimait à sentir ma sève chaude l’envahir ! – y déversant ma foutrine à petits jets saccadés ; je restai fiché en elle, tendant par instant ma queue, comme on l’eût fait d’un arc, ma queue que son anus retenait serrée… Délices suprêmes, elle aimait tant cette pratique que je n’aurais pu la lui refuser, d’ailleurs pourquoi l’aurais-je fait, puisque j’y trouvai moi-même un plaisir intense… Belle-maman finissait de lui laper le clitoris, langue et bouche enfouies littéralement dans le con dilaté, pour le butiner entièrement, l’aspirer, le licher, le lutiner voracement en émettant de petites plaintes de satisfaction entre chaque sucée.
Le cul de ma femme dansait à nouveau sous les coups de langue brefs, précis, répétés, experts de sa mère, belle lesbienne à la pointe de la langue comme un aspic agité recherchant son trou… Le ravissant et rose corail de Françoise était ainsi visité de la plus ardente manière. Les mains chaudes de sa mère me maintenaient par les hanches pour que je me colle plus étroitement au cul de sa fille que j’avais enfigné. Ce n’était plus que glougloutis, succions, plaintes, grognements de plaisir, nous n’étions plus que ces trois forcenés débauchés aux vices pleinement satisfaits.
Je me retirai du cul de ma femme, celle-ci quitta sa position à cheval sur le visage de sa Maman, laquelle gloutonnement entreprit d’engouler aussitôt prestement ma bite et ce à fond de gorge, caressant couilles et anus de son gendre ; une gourmande licheuse déchaînée… Françoise était à présent entre les cuisses ouvertes de sa mère et satisfaisait à son tour ainsi le vice lesbien de cette dernière qui lui abandonnait toute sa belle et rose conine ; ma femme croquinait le clitoris maternel bien bandé, appliquée suceuse, mèches dans la figure, rouge, grognant de plaisir, cul en l’air…
Ma belle-mère interrompant un court instant sa fellation sur ma queue murmura :
« En cul, mon gendre, en cul, je la veux en cul maintenant qu’elle est fin prête cette belle branline dont je suis folle !! »
Elle arrêta donc sucée et branle de mon vit et se disposa à quatre pattes ; qu’elle était belle ainsi, reins et hanches cambrés, bas et jarretelles tendus, son petit fossé culin ombreux et profond garni de beaux poils bruns frisés cachant le trou de mes délices !…
Je m’enfouinai en elle… elle attendait, vibrante… Comme je bandais !! Son coup de cul fut magistral, elle m’engloutit de son beau figne de femme mûre et ardente, adepte sodomistique des plus attentives à se faire bien pénétrer… Elle aimait vraiment cela, la Belle « Fessineuse » (comme je l’appelais en secret !), tant son cul généreux en plénitude voulait ainsi être pris et repris par un ardent sodomite comme son gendre. Ses fesses étaient moelleuses à souhait, fermes, fossettées, rondes et galbées, son, petit orifice était accueillant, rose-brun, délicieusement pincé, mais sachant si bien s’ouvrir au moment opportun… J’y menai grand tapage, y enfonçant ma fouteuse de queue avec délectation…
Ma belle-mère jouit bientôt comme une furie, dominée, enfignée, je ne me contenais plus et donnais des coups de vérin de cette queue ô combien raide, tant cette femme m’excitait ! D’ailleurs, qu’elle soit nue, jarretée, « minijupée », elle avait le don de me faire bander avec sa façon de croiser et décroiser les jambes qu’elle avait magnifiques, elle était aussi baisante que sa fille ! Quel bonheur j’avais là, ces deux Amantes vicieuses et complices se donnant à moi avec un égal plaisir et une recherche dans les vices que nous partagions ainsi, depuis déjà quelques années maintenant et ce toujours dans le plus grand secret !
Je finis ma semence. Nous passâmes en la salle de bains ; nous nous baisâmes amoureusement tous les trois en bouche, nous souhaitant la bonne nuit, étroitement enlacés dans notre lit, ma belle-mère ayant demandé à rester avec nous pour la nuit.
Le lendemain matin, nous partîmes pour les hauteurs où le berger nous attendait avec impatience.
Nous quittâmes l’Hôtel après un copieux petit-déjeuner et prîmes le télésiège pour monter à plus de mille six cents mètres et goûter non seulement à la paix majestueuse des hauts plateaux du Vercors, mais aussi aux délices qui nous y attendaient, mes deux femmes attendant avec impatience le moment de pratiquer une zoophilie des plus débridées avec les animaux de leur choix : bouc, âne et chiens du troupeau et ce, en toute clandestinité, entre ciel et monts…
A suivre...
signé : le Marquis de Chair
Une soirée d'orgie sexuelle - suite et fin
LOUIS
Quand j’ai eu fini de la baiser, Caroline est allée faire le tour des différents groupes et quand elle est revenue dans le grand salon, Sarah, la copine d’Ingrid d’à peine 20 ans, était en train de me faire une fellation. Bouche grande ouverte, elle allait et venait sur mon sceptre de chair bandée.
Je lui ai fait signe d’approcher et, délaissant un instant Sarah, je me suis allongé sur le tapis, les épaules relevées par des coussins et la bite dressée vers le plafond comme un ''I''. Je l’ai faite mettre en amazone face à moi. Plus encore qu’en levrette, je sentais ma queue fichée en elle, au plus profond de sa chatte.
« Vas-y ! Laisse toi aller, baise-toi sur ma bite ! »
Je suis resté complètement immobile. Elle devait faire les mouvements de bas en haut sur ma bite pour l’amener à cracher encore une fois au fond de son vagin. Sarah s’est agenouillée au niveau de mes épaules en faisant face à Caroline. Pendant que je lui léchais la chatte, elle embrassait ses lèvres ou ses seins et caressait doucement mon pubis et le capuchon du clitoris de Caroline.
Empalée sur mon sexe bandé à fond, Caroline montait et descendait, la tête parfois rejetée en arrière comme en extase puis elle revenait vers Sarah. Elle savait vraiment y faire! Quand ma bite était tout au fond de sa chatte, Caroline pressait mon gland avec ses muscles internes. Dieu que c’était bon! Ça faisait quelques temps déjà que je n’étais pas tombé sur une belle chienne comme celle qui était en train de se baiser sur ma queue qu’elle utilisait comme elle aurait utilisé un gode à ventouse.
Nous étions à nouveau le centre d’intérêt et plusieurs couples enlacés observaient notre copulation à trois. Je me suis retenu de jouir le plus longtemps possible jusqu’au moment où j’ai lâché de belles giclées qui ont noyé son vagin au moment où j’avais amené Sarah à la jouissance par le cunnilingus que je lui avais prodigué en même temps.
A ce moment-là Ingrid est arrivée près de nous et sur un ton sans équivoque elle a interpelé Caroline:
''Garce! Tu t’es bien faite baiser! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur! Tu vas encore en prendre! J’ai deux candidats qui ne demandent que çà: TE BAISER!''
CAROLINE
À peine Louis a-t-il joui en moi que quatre mains attrapent mes bras. La voix d'Ingrid raisonne, narquoise
' »Garce ! Tu t’es bien fait baiser ! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur! Tu vas encore en prendre! J’ai deux candidats qui ne demandent que ça : TE BAISER ! »
Je tourne la tête en me sentant soulevée. Deux hommes m'ont saisie. Ils sont charmants, jeunes. Leurs visages en disent longs sur le désir qu'ils ont de me prendre. Me tenant chacun par un bras, leurs secondes mains se posent sous mes cuisses et, tenue comme un sac de linge, me voici transportée vers une autre pièce. Les deux hommes me posent alors délicatement sur le lit. Ils restent debout, en appui sur un genou. Leurs mains caressent tendrement mes cuisses, descendent sur mes genoux, mes mollets, mes chevilles. Elles remontent le long de l'intérieur de mes cuisses.
Ils évitent soigneusement mon intimité encore luisante et dégoulinante du sperme de Louis. Ils ne veulent visiblement pas y toucher. Ce contact m'électrise et me frustre. Je me mords les lèvres en fermant les yeux. Je sens leurs mains puissantes se saisir de mes chevilles et écarter mes jambes. Mes pieds nus ne tardent pas à sentir la dureté de leurs sexes au travers de leurs pantalons, et ils s'amusent à se masturber avec la plante de mes pieds. Je ne me fais pas prier et appuie avec plaisir pour éprouver leur érection. Ouvrant les yeux, je les vois sourire avec perversion alors qu'ils accentuent encore la pression de mes pieds sur leurs sexes.
C'est à ce moment qu'Ingrid entre dans la chambre suivie de plusieurs couples. Son petit martinet à la main, je lis dans son sourire qu'elle n'a pas décidé de laisser sa punition de côté :
« Attendez, n'allez pas trop vite messieurs !! J'ai des choses à récupérer avant que vous puissiez vous occuper d'elle… »
Alors que les deux hommes continuent leur masturbation pédestre, Ingrid s'installe à genoux à côté de moi. Elle se penche et m'embrasse. Nos bouches se confondent et nos langues se mêlent. C'est dans un baiser fougueux que je sens les franges du martinet tomber sur mon ventre. La caresse des fines lanières de tissu me donne la chair de poule. Je les sens remonter entre mes seins. Bientôt elles se concentrent sur l'un d'eux. Déjà tendu d'excitation, le téton pointe encore plus, à presque m'en faire mal. La sensation me rend folle et je dévore la bouche d'Ingrid. Sans autre forme de procès, elle abandonne promptement la bouche. Surprise, je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle vienne se placer entre les deux hommes, face à mon intimité.
Elle s'en approche et posant les lanières du martinet sur mes lèvres gonflées et très sensibles, s'amuse à les caresser. Je gémis de plaisir et de frustration. Je me tortille d'envie, me cambre de désir. Le tissu quitte soudain mes lèvres et c'est maintenant la dureté du manche qui le remplace. Au niveau de mes pieds, je ressens la même sensation puisque les deux garçons ont extrait leurs membres de leurs pantalons et utilisent mes pieds comme s'il s'agissait de mains. Ingrid a, elle, entreprit de caresser mon intimité à l'aide du manche du martinet. Écartant mes lèvres de ses doigts, elle passe avec perversion le manche en bois contre mes chairs intimes, imprégnées des sécrétions de son mari et des vestiges de ma jouissance. C'est une douce sensation que ce contact. Je la regarde dans les yeux. Elle me dévisage d'un sourire pervers. Que va t elle faire? Je le sais pertinemment. Et c'est sans attendre que le manche du martinet entre en moi.
C'est avec soulagement que je l'accueille. Lentement, Ingrid fait tourner le manche, triture l'intérieur comme pour l'imprégner de ce que je recèle. Au bout de quelques secondes, elle le ressort. Nos regards se croisent et elle porte l'engin à sa bouche. Sa langue s'enroule autour du manche et elle récolte avec gourmandise le mélange de sperme et de cyprine. Elle semble s'en délecter. Très vite, n'y tenant plus elle se rue entre mes cuisses et commence un cunnilingus comme jamais aucun homme ne m'avait donné. Sa langue entre en moi, fouille mon intimité. Elle récolte à nouveau les lambeaux de jouissance de son homme.
Elle aspire mon intimité, boit à ma source. C'est un tel plaisir qu'elle ne tarde pas à me mener à l'orgasme, me faisant oublier les deux hommes qui jouent avec mes pieds. À peine suis je sortie de la torpeur de cet orgasme que je l’entends invectiver les deux mâles passablement excités par le spectacle saphique qui leur a été donné :
'' Vous pouvez y aller messieurs, elle est propre maintenant. Elle est toute à vous.''
Les deux gaillards quittent précipitamment leurs costumes et montent sur le lit comme deux enfants pressés de se servir du jouet qu'ils ont reçu à noël. Je leur souris, moi aussi excitée à l'idée d'en découdre avec eux. Sans me faire prier je saisis dans chacune de mes mains leurs sexes tendus. Ils sont si durs, si épais. Je les attire à ma bouche et, faisant presque se toucher leurs glands, mes lèvres et ma langue passent de l'un à l'autre.
Ils gémissent de plaisir lorsque le bout de ma langue s'attarde sur le frein. C'est un vrai délice pour moi. Leurs mains jusqu'alors affairées sur mes seins, descendent de concert sur mon ventre pour se retrouver sur mon intimité. Et c'est alors un festival de dix doigts qui pianotent mes lèvres, mon clitoris. Je gémis lorsque deux index pénètrent ma chair intime. Ouvrant ma bouche, l'un des deux étalons en profite pour y entrer dans un grommèlement de satisfaction. Je l'aspire avidement alors qu'il prend possession de ma bouche, interdisant par là-même l'accès à son partenaire. On peut même dire qu'il l'éjecte carrément puisqu'il se couche littéralement au dessus de mon visage et entame un mouvement de bassin vertical pour prendre ma bouche.
Surprise, je lâche le sexe de son acolyte. De frustration, il entreprend un va et vient rapide et violent de ses doigts en moi. Ma main tâte dans le vide à la recherche de se sexe que j'ai involontairement lâché, mais je ne le trouve pas. Les doigts de mon assaillant quittent mon vagin et je sens deux mains passer sous mes genoux, vite suivies des avant-bras pour me soulever. Je sens les cuisses de mon second amant contre mes fesses. Il m'attire à lui et c'est sans difficulté qu'il pénètre ma chatte ouverte d'excitation.
Posant mes jambes sur son torse, il se penche en avant, prenant appui sur ses poignets et entreprend une pénétration calquée sur celle de son camarade. C'est synchrone que chacun prend possession de ma bouche et de ma chatte. À cet instant, je suis aux anges. Mes deux amants me comblent au delà de ce que j'aime. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes ayant besoin de reprendre leur souffle... moi aussi d'ailleurs, ils se relèvent.
J'en profite pour sauter et me retrouver à quatre pattes, face à celui qui me prenait et dos à celui que je suçais. Amusé de la situation, celui qui me fait face s'assoit et, écartant les jambes, le sexe dressé comme un obélisque, me fait signe qu'il est prêt à recevoir les faveurs de ma bouche. Je prends appui sur mes coudes et avale son chibre avec gourmandise. Ma croupe ainsi surélevée, il ne faut pas plus de temps à l'autre pour entrer en moi. C'est à grands coups de reins qu'il me pousse à avaler le sexe du premier. Je sens la caresse de ses mains sur mes fesses. Ses mains légèrement caleuses m'électrisent et je sens un de ses pouces caresser mon petit trou. Ne lui opposant aucune résistance, il comprend qu'il peut aller plus loin et c'est avec une grande délicatesse qu'il entreprend de pousser sa première phalange dans ce petit œillet plissé.
C'est avec un immense plaisir que je l'accueille. Il pénètre plus avant et c'est bientôt son pouce entier qui se retrouve fiché en moi. Il commence à le tourner, à le plier pour assouplir le conduit qu'il souhaite, je pense, assaillir prochainement. Ainsi prise, j'avale avec plus de ferveur encore le sexe que j'ai en bouche. Me sentant prête à le recevoir, l'autre retire son pouce de mon anus et son sexe de ma chatte pour bientôt présenter son gland à mon petit trou. C'est sous les murmures de l'assistance qu'il s'introduit entièrement en moi en une seule poussée. Je gémis de douleur et de plaisir, étouffée par la queue qui obstrue ma bouche. Après deux ou trois allées et venues lentes, c'est sans douceur qu'il commence à pilonner mon arrière-train.
Les murmures se font plus nombreux et, embuée dans mon plaisir douloureux, je ne comprends pas un traitre mot de ce qui se dit. L'homme que je suce décide qu'il est temps de changer de place et d'accord avec son compère, il me relève sans que ma sodomie ne cesse. Je me retrouve allongée sur mon enculeur, les pieds sur ses genoux. L'autre se présente alors face à moi, tenant fièrement son membre qu'il ne tarde pas à faire entrer dans ma chatte sous les hourra du public. S'engage alors une double pénétration sauvage. Les deux hommes m'écrasant contre leurs corps perlant de sueur. Je hurle mon plaisir d'être ainsi possédée. Il ne leur faut que quelques minutes de cette frénésie pour déverser un flot de sperme dans chacun de mes orifices.
À peine repus de leur plaisir, Ingrid leur ordonne de me laisser ainsi sur le lit. Je suis incapable de bouger, saoulée de sensations délicieuses. Je pensais mon divin supplice terminé et pouvoir me reposer, mais Ingrid s'approche à nouveau de moi, accompagnée de Sarah. Les deux sylphides sautent sur le lit, telles des lionnes prêtes à dévorer leur proie. Sarah m'écarte alors les jambes et sans plus de précaution commence à récolter la semence dégoulinant de mes deux orifices souillés. Ingrid elle se positionne au dessus de mon visage et plaque son intimité contre ma bouche.
« Lèche-moi ! » me dit-elle.
Je n'en peux plus et c'est au rythme des doigts que Sarah introduit en moi pour en sortir le précieux nectar qu'elle convoite que, résignée, je prodige mes soins à l'intimité excitée d'Ingrid. Très vite, la sensibilité accrue de mes orifices permet à Sarah de me mener à la jouissance. Ingrid n'y tenant plus, elle arrose rapidement mon visage d'un plaisir qu'elle ne peut retenir plus longtemps.
« Je crois que tu m'as payé ta dette au centuple Caroline », me dit-elle en s'allongeant à côté de moi. Elle se love contre moi, et nous nous câlinons alors que le public quitte la pièce excité par le spectacle que nous lui avons offert. Alors qu'Ingrid et moi entamons une discussion, nous entendons les chairs se donner du plaisir dans les pièces voisines. Petit à petit Ingrid et moi faisons plus ample connaissance.
Signé Miss K. et le Matou Libertin.
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