Les Mémoires très Libertines de Sophie
Contribution d'Yves - Ma rencontre avec Emmanuelle
Aujourd’hui, avec les grandes chaleurs, je décide d’aller faire les courses dans les magasins de Parly 2 pour me mettre au frais. Le temps est très orageux. En rentant sur le parking, une pétasse blonde dans son monospace, me grille la priorité et s’engouffre dans les allées du parking. Je la suis, et me gare à coté de son Espace.
Madame va faire ses courses. Dans son tailleur gris BCBG et ses petits escarpins noirs, tu fais vraiment bourgeoise avec ses lunettes noires et les cheveux blonds bien tirés en chignon.
En consommateurs dociles, nous nous retrouvons ensemble dans les allées du grand magasin.
En ce début d’après-midi, les allées du magasin sont presque vides et nous nous croisons au fur et à mesure que nos caddies se remplissent. A chaque fois que je te croise, j’en profite pour te mater et je crois que tu t’en aperçois. Tu flânes dans le magasin en fouillant dans les rayons.
Après les premiers rayons consacrés aux appareils ménagers, nous entrons dans l’espace habillement, et tu te diriges vers les vêtements femme. De mon coté, je suis de l’autre coté de l’allée centrale et je jette de temps en temps un coup d’œil pour ne pas te perdre de vue. Après avoir choisi des fringues, tu te rends dans le rayon lingerie, fouilles et choisis plusieurs slips.
(…)
Je ne sais pas comment l’aborder quand, maladroitement, tu déchires le sac plein de légumes qui s’éparpillent entre nos voitures. Tu te penches en avant, dévoilant une paire de fesses dodues à damner un saint, tu ramasses ses tomates pendant que je prends le concombre. En me remerciant, tu me le prends des mains. Toutes les courses rangées dans ton coffre, nous sommes trempés et tu m’invites d’un sourire à monter dans son Espace le temps que l’averse s’arrête.
Installés dans sa voiture, nous faisons connaissance.
« Je m’appelle Emmanuelle, ce n’est pas sérieux d’harceler comme ça une innocente petite ménagère. »
D’un geste, tu retires ta veste trempée de son tailleur et te retrouves en chemisier blanc tout aussi trempé, on devine ton soutien-gorge au travers de l’étoffe. Avec un mouchoir, tu t’éponges le visage ruisselant de pluie et me le donne.
Je m’éponge le visage et, apercevant une goutte de pluie coulant le long de ton torse, je l’essuie en écartant les pans de ton chemisier. D’un doigt, j’écarte l’étoffe et je caresse la dentelle de ton soutien-gorge. Nous sommes seuls sous le déluge, dans l’habitacle de la voiture dont les vitres sont couvertes de buée, à l’abri de tous les regards. J’en profite pour sortir un sein de sa dentelle et je caresse le téton qui s’érige sous la caresse. Dans mon pantalon, je sens mon sexe qui commence à bander. Quelle aubaine ?
Je me penche et j’embrasse le téton libéré en glissant ma main sur tes cuisses.
Libérant le téton, je baise la bouche d’Emmanuelle. Maintenant, nous faisons vraiment connaissance. Ma main remonte le long de ta cuisse, arrive à la lisière de ton slip, soulève l’élastique et cherche le chemin de ton clitoris que je caresse d’un doigt.
Tu écartes les jambes et je peux te fourrer un doigt dans la chatte. Au fur et à mesure que je te caresse, je sens ta chatte qui mouille de plus en plus. De ta main, tu me guides et me fais enfoncer mon doigt de plus en plus profondément. Tu te conduits comme une cochonne et viens au devant de mes caresses. Tu soulèves le bassin et retires ta culotte que tu poses sur le tableau de bord comme un trophée. Maintenant, le chemin est vraiment libre et je te pénètre de plus en plus profond.
A chaque aller et retour, tu te cambres en gémissant. Je sens ta main qui se pose sur mon sexe que tu caresses au travers de l’étoffe. Tu dégrafes ma ceinture, baisses ma braguette et glisses ta main dans mon caleçon.
D’un doigt, tu caresses délicatement mon gland et sors ma bite de sa prison. Quelle situation, sur un parking, avec une bourgeoise qui est en train de me branler la bite d’une main experte. Pendant ce temps, l’averse s’arrête et la circulation reprend sur le parking.
« C’est peut-être risqué de rester là, me dis-tu, si nous allions chez moi, nous serons plus tranquilles. »
Tu démarres et nous quittons le parking.
Pendant le trajet, je te regarde le chemisier entrebâillé, un téton qui dépasse du soutien gorge et émoustillé, je me caresse la bite à l’abri des regards dans son monospace.
« Continues à te branler, ça m’excite de te voir te masturber… »
Après avoir passé une vitesse, tu empoignes mon sexe et me caresses la bite tout en conduisant. Nous roulons quelques kilomètres, nous nous engouffrons dans le parking souterrain d’un immeuble bourgeois. Après que tu se sois garée, nous déchargeons ses courses et prenons l’ascenseur pour son appartement.
Les courses posées dans sa cuisine, tu m’invites à m’installer dans son canapé et me proposes un café.
« Mets toi à l’aise, le temps que je prépare le café et que je me change, je suis trempée. »
Aussitôt dit, tu quittes la pièce. J’entends le café qui coule dans la cafetière et je t’attends avec impatience, des fourmillements dans le bas ventre.
Quelle surprise, tu entres dans la pièce, le plateau à la main, en jupe noire, bas blanc et chemisier blanc. Quel choc, tu es vraiment mignonne ! Que de promesses pour la suite de l’après midi…
Tu poses le plateau sur la table en se penchant et en exhibant une paire de fesses dodues à souhait, bien serrées dans ta jupe, tu sers les cafés et t’assois à coté de moi.
Je sens ma bite qui se dresse dans mon pantalon en buvant rapidement mon café. Je n’ai qu’une envie te sauter dessus. Je crois que tu as décidé de me faire lanterner car tu dégustes lentement ton café. Je pose ma tasse, ôte la tasse des mains et me penche pour t’embrasser dans le cou en écartant tes cheveux blonds. Tu tournes la tête et m’embrasses à ton tour à pleine bouche, les festivités commencent. Tu m’enjambes, t’installes à califourchon sur mon bassin. Ta jupe remonte le long de ses cuisses et découvre la lisière de tes bas. Je sens ta langue qui s’insinue dans ma bouche, je glisse mes mains vers ta poitrine, tu n’as pas remis de soutien gorge et je sens tes mamelons qui s’érigent sous mes caresses.
En même temps, tu te frottes contre mon sexe emprisonné dans mon pantalon. Je dégrafe les boutons de ton chemisier un à un, dégage tes seins, lui mordille les tétons pendant que mes mains se glissent sous ta jupe et empoignent tes fesses. Tu ne restes pas inactive pendant ce temps car je sens tes mains qui dégrafent ma ceinture, descendent ma braguette et sors mon sexe de sa prison. Tu te glisses le long de mes jambes en me retirant mon pantalon et mon caleçon et te penche vers mon bas ventre. D’une main, tu me caresses les boules et de l’autre me décalotte le gland. En me fixant avec tes yeux coquins, tu sorts ta langue mutine et me lèche le gland. Ta langue tournicote autour de mon gland pendant que ta main monte et descend doucement le long de la tige. Maintenant, tu poses tes lèvres sur mon gland et doucement le gobe, toujours en me fixant. Tu as vraiment un regard de salope. Je sens mon sexe qui cogne dans le fond de ta bouche et je prends ta tête pour donner le tempo de ta fellation. Je sens que je suis prêt à exploser dans ta bouche et tu le sens car tu arrête juste à temps sa pipe d’enfer. Maintenant, tu te relèves, retires ton chemisier et ta jupe et te retrouves en string, bas et porte jarretelles blancs. Tu es si bandante dans cette tenue. Je me déshabille à mon tour et je te couche sur le canapé. Je t’embrasse et descend vers ton bas ventre, tu écartes les jambes et me présente ton sexe. Je commence à te lécher le clitoris et glisser ma langue dans ton minou. D’un doigt, je pénètre ta chatte qui est déjà humide et entame des allers et retours dans ton sexe. Je sens ton bassin qui vient à la rencontre de mes doigts et je te pénètre maintenant avec deux doigts, ce que tu sembles apprécier de plus en plus. Je t’entends qui râle de plaisir et tu m’encourages.
« Vas y, enfonce tes doigts plus profond, c’est bon, plus vite ! »
Tu donnes des coups de bassin de plus en plus violent et te cambres de plus en plus.
Je glisse ses bras sous tes jambes, écartèle tes cuisses et me redresse. Tu es ouverte et prêtes à accueillir mon sexe qui se trouve à l’entrée de ta chatte. Je présente mon gland et écarte les lèvres de ton sexe. Il est prêt à investir la place et tu me le demandes : « Vas y, bourre moi la chatte, je suis prête, je suis ta petite salope, mets moi ta grosse queue. »
La petite bourgeoise est vraiment une belle salope. Je ne me prive pas et d’un coup, je te pénètre. Dans ta position, tu subis mes coups de butoir et tu sembles apprécier mes longs coups de queue. Tu te cambres et cries sous l’outrage. Je te ramone de plus en plus belle excité par ces gémissements.
« Attends, je veux que tu me prennes comme une chienne ! »
Et tu te dégages et te mets en position de levrette, les fesses bien ouvertes. Je me place derrière toi, écarte tes fesses et te reprends de plus belle.
En levrette, le cul à l’air, les seins qui ballottent, tu aimes ça, la salope. Les deux mains sur le cul, je t’écarte les fesses et donne des grands coups de piston. Tu gémies de plus belle et te couches, les seins écrasés sur le tapis, les fesses relevées. A chaque coup de bite, tu pousses des cris de plaisir qui, si l’insonorisation n’est pas bonne, doivent ameuter les voisins.
« C’est bon, continue, je vais jouir, bourre moi bien la chatte, je viens ! »
Tu prends ton pied et moi, je sens que ma sève commence à monter. Je me dégage et te retourne sur le ventre.
« Suce moi, j’ai envie de jouir dans ta bouche. »
Tu gobes mon gland tout en me branlant énergiquement la tige. Je sens que je suis prêt d’exploser dans ta bouche. Je lâche de grands jets de foutre dans ta bouche, des filets de sperme coulent le long de tes lèvres. Tu me branles de plus belle et les dernières gouttes de mon jus giclent sur tes seins. En me fixant, d’un coup, tu avales toute la sauce.
Epuisés et en sueur, nous nous écroulons sur le canapé. Mais, la cochonne m’embrasse, je sens sur ta langue le goût de mon sperme.
Après un moment de repos, tu me proposes une douche pour nous rafraîchir.
Tu m’emmènes dans la salle de bain et nous prenons une douche ensemble.
Je te savonne et réciproquement. Nous nous retrouvons couverts de mousse et nous nous rinçons. J’en profite pour te caresser les fesses et te titiller la petite porte d’un doigt curieux et tu me savonnes la bite délicatement qui se redresse gentiment.
Je te retourne, tu mets tes deux mains sur la paroi de la douche, cambrée, j’empoigne les seins et me frotte contre toi. Tu sens entre tes fesses ma bite raide qui s’insinue et tu te trémousses. Trempés, nous sortons de la douche et, me tenant en laisse par la bite, tu me diriges vers la chambre, où un grand lit face à une glace nous attend.
Nous commençons le deuxième round. Tête bêche, nous entamons un 69 infernal. Pendant que je te pénètre avec ma langue, tu me tètes le dard. J’empoigne tes fesses en les écartant, et je caresse ta rosace, je pose l’index humecté de salive à l’entrée de la petite porte et doucement enfonce le doigt dans le cul. Une langue dans la chatte, une bite dans la bouche et un doigt dans le cul, tu es prise de tous les cotés, mais tu aimes ça car tu donnes des petits coups de bassin pour que mon doigt s’enfonce de plus en plus profond. Je te retourne sur le coté, et me place dans ton dos, la bite raide entre tes fesses. Je me rapproche de ton oreille et te chuchote
« J’ai envie de t’enculer… »
Je te sens qui te cambre d’avantage et je t’écarte les fesses pour pouvoir embrasser ton petit cul. Je pointe le bout de ma langue autour de ta rosace et te pénètre avec ma langue. Je sens bien que tu aimes sentir ma langue qui te fouille le cul, tu écartes les fesses de plus en plus. Je vois tes doigts qui te pénètre la chatte et qui te caresses frénétiquement. Après avoir bien branlé ma bite pour qu’elle soit bien raide, je présente mon gland à l’entrée de ton cul.
Doucement, je l’enfonce dans ton fondement qui, sous la poussée, se dilate. Je vois ma queue qui s’enfonce doucement alors que sous la douleur tu mords les draps.
L’entrée est vraiment étroite et mon sexe écartèle doucement les chairs. Mon gourdin est entré entièrement, et mes couilles butent contre tes fesses. La place est prise et, les deux mains sur tes fesses, je commence des mouvements de piston dans ton cul. A grands coups de reins, je te défonce le cul. Le mouvement s’emballe et tu geins de plus en plus fort. Les reins cambrés, tu t’offres comme une chienne. Je sens que je vais bientôt gicler
Et une fois sortie de ton cul, tu frétilles devant ma bite encore raide.
Tu caresses mes couilles avec tes fesses.
Arrivé à ce moment, je projette une giclée de foutre sur tes fesses dodues
Aspergée et crémeuse, voilà ce que tu voulais cet après-midi. Epuisé, je m’écroule et tu essores ma bite pour en tirer les dernières gouttes de sperme.
Allongée sur le lit, tu te colles contre moi, une main sur ma queue et me proposes de feuilleter ton album de souvenirs sur ton micro. Tu vas chercher ton ordi portable que tu installes sur le lit. Après quelques clics, tu ouvres ton site et me montre tes exploits. A la vue de toutes tes photos, je sens l’excitation remonter.
« Si tu veux, je te propose de faire partie de mon album. J’adore me faire baiser devant mon photographe et je sais par expérience que cette situation excite au plus au point mes partenaires. Ca vous excite de baiser la femme d’un autre devant lui. Et moi, j’aime être désirée par tous les hommes. J’aime me retrouver offerte à plusieurs hommes et sucer des queues l’une après l’autre. Je suis sûre que tu es partant et je te propose de nous revoir pour concrétiser mes phantasmes après avoir fait plus amples connaissances. »
Rendez-vous à prendre au plus vite pour de nouvelles aventures.
Le chauffagiste
Cette histoire a été écrite à quatre mains, avec Christophe.
Voilà, je suis Christophe, chauffagiste-installateur sanitaire. Et vous avez un aperçu de mes « charmes » dans la photo ci-contre…
Mon patron m’a appelé dans son bureau un lundi soir, juste avant de finir la journée, pour me donner une adresse et un numéro de téléphone.
Il me dit d’appeler pour savoir quand je peux aller chez cette cliente, pour faire les travaux de réparation. Je lui répondis que ce n’était pas mon job, car je suis installateur, pas réparateur.
Il s’est énervé, a haussé le ton et m’a ordonné de le faire. J’ai pensé très fort : « Tu fais chier, gros con », mais je n’ai pu que dire : « Ok, je vais le faire ! »
J’ai donc pris mon téléphone pour appeler la cliente. Elle avait une voix charmante, et m’a tout de suite demandé de venir le surlendemain, pour huit heures.
Le mercredi matin, je me rends donc à l’adresse indiquée. Je sonne à plusieurs reprises, sans succès. Personne ne répond. Un peu en colère d’être venu pour rien, je m’apprête à partir, quand une voix venue de la porte demande : « Qui est là ? - C’est le réparateur, nous avions rendez-vous ce matin ! - Ah désolée, je vous avais complètement oublié ! Attendez deux minutes, s’il vous plait, j’arrive. »
Elle finit par ouvrir la porte. Et là, miracle pour mes yeux, je vois une très belle femme, encore toute endormie, et qui ne portait qu’une chemise de nuit assez courte. Je me suis dit que j’avais bien de la chance de voir une telle merveille de si bon matin.
Elle me dit d’entrer, ce que je fis sans me faire prier. Je saisis ma caisse à outils et entrais. Elle me dit qu’il y a plusieurs réparations à faire, et me montre en premier les toilettes du rez de chaussée. Arrivée dans le petit local, elle se baisse en avant pour me monter le siphon qui fuit.
Quand elle se penche, j’ouvre grand les yeux : elle ne porte pas de culotte ! Je vois ses fesses, et son petit abricot qui ressort en dessous. Une vision de rêve. Elle a un très beau cul !
A mon grand regret, elle se redresse, et m’annonce qu’elle va me monter les autres réparations à effectuer.
Je la suis dans la salle de bain, et là, rebelote, elle se courbe en deux pour me montrer ce qui est cassé.
Je ne regarde rien de ce qu’elle m’indique. Je suis hypnotisé par ses fesses exhibées juste sous mes yeux… Comme je ne réponds pas à ses questions, elle finit par me demander :
« Jeune homme, il y a un problème ? »
Je lui réponds en bégayant : « non, non aucun problème. »
En riant, et en me regardant droit dans les yeux, elle me dit : « Ca vous dérange que je ne porte pas de culotte ? »
Je finis par lâcher en rougissant : « Non, mais vous savez, je suis qu’un homme, et un homme a parfois des envies… »
Elle répond à coté de ma remarque : « Bon, c’est tout pour le moment, je n’ai rien d’autre comme job à vous monte. Je vais me rafraichir le visage. ».
Je suis tellement excité, que j’imagine qu’elle va se laver là, devant moi. Mais non, bien sur…
Elle sort, et me propose un café. J’accepte, et quelques minutes plus tard, elle me convie au salon prendre le café.
Elle est déjà sur le canapé quand j’entre, et me prie de m’assoir aussi, sur un fauteuil, face à elle. J’obtempère, et, à peine installé, elle entrouvre ses jambes !
Je ne peux que fixer la vision splendide que j’ai devant moi. Sa chatte est ouverte, elle semble déjà humide…
Elle me demande : « Est-ce que je vous plais ? »
Que répondre à cette question ??? Oui, bien sur !
Elle reprend : « dans la salle de bain, j’ai vu que tu bandais déjà… Ca me plait… »
A ce moment-là, je bande comme un taureau. Je sens ma queue prête à exploser ! Alors, le miracle se produit. Elle s’approche de moi, et ouvre le bouton de mon pantalon.
Elle semble apprécier ce qu’elle voit : « Mhumm, bel engin, tu bandes comme j’aime… »
Elle prend ma bite dans sa main, et commence à me masturber. Elle se relève, et attrape ma main, pour la poser sur sa chatte. Elle est humide, comme je l’imaginais.
Je lui enfonce un doigt curieux dans ce fourreau chaud. Bon sang, que c’est bon ! Elle mouille beaucoup sur ma main. Sans que je m’y attende, elle se baisse à nouveau, et enfourne ma queue dans sa bouche. Elle doit avoir faim, car elle l’avale presqu’en entier ! Jamais une femme me n’a sucé comme ça ! Je ne résiste pas à ce traitement très longtemps, et explose dans sa gorge. Elle avale tout, et se lèche même les lèvres... : « Ton jus est bon, j’en voudrais bien encore plus… Tu as joui trop vite ! »
Je suis un peu mal à l’aise, elle m’a pompé bien comme il faut, et moi, je n’ai rien fait pour elle.
Je lui proposais donc de finir vite mon travail, et de la retrouver ensuite. Ainsi, nous pourrions « jouer » bien plus longtemps…
Je crois que, jamais de ma vie, je n’ai travaillé si vite !!! J’ai mis une heure trente pour un travail de trois heures, habituellement. Je continuais de bander, en pensant à elle. En plus, elle passait tout le temps près de moi, nue, en souriant. Je n’en pouvais plus d’excitation.
Quand j’eu finis mon travail, elle me dit de prendre une douche. Je pensais qu’elle voulait me prendre quand je serais propre. Mais ce n’était pas seulement ça. A peine la douche ouverte, elle entra dans le bac, pour me rejoindre.
« Fais ce que tu veux de moi, je suis à toi, » me dit-elle...
Jamais une femme ne m’avait fait une telle offre !
Nous nous sommes caressés sous la douche. Avec le savon, les mains glissent, les corps sont lisses, c’est divin. Je passais mes doigts partout sur elle, sur ses seins durcis par mes caresses, dans son con ouvert, dans sa rosette frémissante... Je n’oubliais aucune partie de son corps. Nous avons fini par sortir de la salle de bains, pour nous retrouver dans la salle à manger.
Elle recommença à me sucer, mais je l’interrompis, la soulevais et la posais sur la table. Elle était là, allongée, nue, offerte, un vrai cadeau du ciel. Cette femme était tout ce qu’ j’avais toujours rêvé : une femme aussi affamée de sexe que moi !
Je relevais ses jambes, et commençait à explorer sa jolie fleur avec ma bouche. C’était bouillant, son jus d’amour me coulait dans la gorge. Très vite, elle se crispa, et jouit une première fois. Alors, je me suis redressé, et lui saisis les cuisses. D’un fort coup de reins, je rentrais dans cette chatte qui m’appelait depuis ce matin. Un pur bonheur !!!
Je la limais profondément, rentrant toute ma queue au fond de cette moule avide. Mes couilles cognaient contre son petit trou. J’étais au bord d’exploser, quand elle me dit :
« Arrête, je veux que tu baises mon cul… »
Je stoppais net, interloqué. Jamais je n’avais sodomisé une femme. Toutes mes conquêtes refusaient. Je n’en croyais pas mes oreilles. Cette magnifique femme voulait que je lui défonce le cul !!! !
Je finis par lui avouer que je ne l’ai jamais fait. Alors, elle me dit de mouiller mon doigt avec sa cyprine, et de l’enfoncer dans son petit trou.
J’obéis immédiatement. C’est étroit, chaud, elle se contracte. Sa rosette s’ouvre sans difficulté. Je rentre deux, puis trois doigts. A ce moment-là, elle me dit d’arrêter, se tourne, et m’offre son cul bien ouvert.
Je présente mon gland contre l’anneau foncé, et commence à le pénétrer. Ca rentre facilement. Elle doit en avoir l’habitude ! Je suis bien serré, emprisonné dans l’étroit conduit. Je dois rêver, tant c’est bon ! L’extase, en tout point de vue !
Elle se contorsionnait sous mes coups de boutoirs, de plus en plus profond. Elle gémissait de plus en plus fort, et finit par crier très fort son plaisir. De l’entendre je n’ai pu me retenir, et lâchait ma semence au fond de ses entrailles.
Ce que j’ignorais, c’est que ce n’était que le premier round. Nous avons passé la journée à baiser comme des fous, dans toutes les positions possibles. Elle ne voulait jamais arrêter, moi non plus. J’ai dû jouir plus de sept fois !
Le portable me rappela à la réalité. C’était mon patron, fou furieux.
« Où es-tu ? Tu aurais dû rentrer depuis longtemps ! Je t‘attends tout de suite au bureau ! »
En partant, je lui demandais si on pourrait se revoir, mais elle a refusé : « Je ne veux pas m’attacher à mes amants. Alors, on s’amuse une fois, mais ensuite, c’est fini…»
Jamais je ne pourrais oublier une telle femme !!!
Cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai. Alors, Mesdames, si vous voulez que je vienne travaillez chez vous, écrivez-moi !
- Commentaires textes : Écrire
Cette photo vous plait-elle ?
Une vision de rêve... |
J'ai reçu cette nouvelle photo de Brou, dont vous avez déjà eu un aperçu des charmes dans ce blog....
Son auteur attend avec impatience vos commentaires, pour lui dire si vous fantasmez sur sa femme...
Alors, à vos stylos ! (enfin, à vos claviers...)
Petite annonce d'un couple de libertins
Voici ma femme de 22 ans, moi, j'en ai 27. Nous cherchons un jeune couple mignon pour passer des soirées kokines en Guyane... Contactez-nous à cette adresse : couplexxl@live.fr
Nous vous répondrons avec plaisir, mais uniquement si vous nous envoyez une photo de vous !!!
Lire les commentaires textes
Cela doit etre super sympa de jouir comme ca hum
ou est le couple qui aimerais faire ca entre midi et deux?
Une vraie partie de plaisirs partagée à trois. Chacun a joui de ses fesses, ça a du être très très bon, pas de jaloux!! Dommage que les photos soient si petites, mais un vrai régal.
Cher Titou, moi, ce sont vos commentaires qui me font fantasmer, surtout celui-ci ! J'en rêve !!!
Je crois que, définitivement, ce sont ces situations à trois qui m'excitent le plus !
Chère sophie, voila des photos bien interessantes.
Je n'ose imaginer, une bite dans mon cul, et ma queue dans votre bouche. Vous léchez tellement bien que l'effet ne tarde pas à venir. Je lache ma semence dans votre bouche, au moment où mon enculeur se lache dans la mienne. Nous nous embrassons alors fougueusement, échangeant ce liquide poisseux si gouteux. Finalement, vous me crachez dans la bouche les restes de mon sperme, et j'avale tout.
Quel bonheur de consulter votre blog, cela permet de fantasmer plus que de raison.
Merci