Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le mail de Dark
Voilà le mail que j'ai reçu ce matin... Ce texte me plait beaucoup, et correspond pile à ce que j'aime...
Chère Sophie,
Te lire m’excite beaucoup, et me donne plein d’idées… En voici, une, qui, j’espère te plaira…
Tu rentres du boulot très fatiguée, et tu allais prendre une douche pour te rafraichir, quand tu reçois le texto que je viens de t’envoyer. Je te demande de te mettre nue sur ton lit, les yeux bandés, et de laisser la porte d'entrée entr’ouverte…
Tu es un peu surprise mais tu t'exécutes, tu bandes tes yeux, et tu te mets à quatre pattes sur le lit, ton minou à l'air et les seins déjà durs d'excitation…
Un homme entre dans la pièce quelques minutes plus tard, il ne dit pas un mot. Il te caresse le dos, les fesses, ton sexe, tes seins, et t'attache les mains avec un ruban pour que tu ne bouges plus.
Il te lèche, te caresse, met ses doigts dans ta chatte toute humide. Tu commences à gémir et à bouger comme une petite cochonne qui n'a qu'une envie : qu'on la prenne à tout prix !
Il te met son sexe dans ta bouche, il est gros et tu le suces goulument. Ta chatte déborde de jus et tu te demandes que sera la suite. Tu as toujours les yeux bandés.
Il retire sa bite de ta bouche, et retourne te lécher parotut. Soudain, il enfonce son membre en toi, il en profite pour écarter tes lèvres de ses mains pour te pénétrer encore plus profondément. Les allers et retours de son sexe sont de plus en plus forts. Tu gémis et mouille de plaisir tu es a la merci de ton visiteur anonyme. Il sort de ta chatte frémissante, et recommence à te lécher et à caresser le petit trou plus foncé. Sans te demander l’autorisation, il te pénètre aussi par là, d’abord doucement pour ne pas te faire de mal, puis plus fort tout en te claquant les fesses.
Tu jouis comme une folle, en tordant on corps de plaisir. Comme il sent qu’il va venir lui aussi il se retire de tes fesses, et jouit sur ton dos.
Il te pose un baiser délicat sur la joue, te détache, puis disparait…
Tu retires le bandeau de tes yeux et il n'y a plus personne. Mais trente minutes plus tard je viens sonner à la porte, le sourire coquin aux lèvres. Pourtant, je ne dis rien ! Tu ne sauras donc pas si c'est moi qui t'aies pris ou si c'est un autre homme qui passais par là !!!
J’espère que ce scénario te plait, et que, peut-être, tu serais d’accord pour…
T’écrire tout m'a donné des envies, je vais donc allez me satisfaire seul, car je suis très dur en ce moment même !!!
Dark
Les voisins de vacances.
Chaque année, je passais mes vacances chez mes grands-parents, et cela, pendant 35 ans. Forcément, ca créée des liens avec le voisinage !!! Les vacances arrivaient donc, et je retrouvais ma famille et mes voisins…
Les deux années précédentes, nous jouions au jeu de la séduction entre voisins-voisines et je m’amusais à les allumer au maximum.
L’aîné, Philippe, m’avait dit, en partant l’été dernier, que je finirais un jour dans son lit. A ce jeu, le vainqueur n’est pas toujours celui que l’on croit.
Dès le premier jour, je les ai allumés comme à mon habitude. Pour cela, je m’étais vêtue d’une mini jupe en jean et d’un tee-shirt moulant qui laissait apparaître mes petits tétons. A la plage, mon maillot de bain était très échancré. Pendant qu’on se baignait ensemble, les mains avaient tendance à être baladeuses mais je ne m’en offusquais pas. Dès la fin de la baignade, Philippe me proposa de venir me doucher chez lui.
Légèrement excitée je m’étais caressée sous la douche, et ma chatte était bien affamée…
En ouvrant la porte de la salle de bains, enroulée dans ma serviette, Philippe, caché derrière la porte, m’attrapa et mis la main sur la bouche. Il me dit :
« Ca fait deux ans que tu m’excites… je mérite bien une petite compensation, non ? »
Je savais que cela allait arriver, et en fait, j’en avais très envie…
Il me lâcha, me conduit dans la chambre, et me fis s’allonger sur le lit. Il se dévêtit rapidement, et vint poser sa bite contre mon visage. Je me positionnais entre ses jambes et avalais sa verge déjà bien raide. Je devais bien faire mon travail, car il gémissait de plus en plus fort…
Il me proposa alors de changer de position pour qu’il me procure aussi du plaisir de sa langue. Comme la fellation m’excite terriblement, je me mis en position et Philippe me fit un cunnilingus qui me fit craquer. Je dégoulinais, tout autant de mouille, que de sa salive. Sa langue ne me laissait aucun répit, et je jouis une première fois… Il avait le visage inondé par ma mouille…
Jamais Thierry ne m’avait fait autant jouir. Philippe avait une manière de me lécher qui me fit grimper au ciel. Avant de jouir, il me présenta son sexe devant ma bouche. Pour le remercier de m’avoir fait autant de bien, j’avalais son sperme et le nettoya parfaitement. Il allait bi »n se quitter, après cette première bien agréable ! Je rentrais chez moi, nos sans avoir échangé un baiser torride…
Durant toute la journée du lendemain, il profitait de chaque occasion pour passer sa main sous ma jupe. Comme il ne faisait pas assez beau pour la plage, dans l’après midi nous sommes allés au café. Deux filles, qui étaient déjà passées dans les bras des voisins, et pas mal d’homes de la ville, étaient là.
Philippe laissa ses deux frères, Pierre et Marc, s’occuper des jeunes femmes. Elles n’étaient pas farouches et se laissaient peloter sur les banquettes avec grand plaisir.
Il était temps de passer aux choses sérieuses… Ils décidèrent de ramener les filles dans leur chambre. Philippe et moi sommes également rentrés. Mais cette fois, je les devançais et lorsqu’il est entré dans sa chambre, il me trouva nue dans son lit, les jambes écartées en train de me caresser d’un doigt impudique…
Une fois déshabillé, il m’y retrouva. Sans hésiter, il plongea sur ma chatte offerte, et y enfouit sa langue épaisse… Il n’oubliait aucun recoin de mon vagin, triturant mon clito, j’adorais, et je jouis vite, trop vite…
De temps à autre, il s’attardait sur mon œillet et ses doigts s’agitaient dans mes deux orifices. Je n’y tenais plus, j’avais envie de sa bonne queue au fond de moi. Je le poussais sur le dos, vins me mettre au-dessus de lui, et m’empalais sur son nœud dressé. Quel bonheur de le sentir en moi ! Je montais et descendais sur cette jeune bite bien ferme. Il s’enfonçait bien profond, à me labourer le fond de la chatte.
Puis, il sortit son chibre de mon con, et m’installa à quatre pattes sur le lit. J’aime être prise en levrette et je sais que la plupart du temps le mec qui me baise veut finir dans mon cul... Ce sera pareil pour Philippe. Il lubrifiait mon petit trou de ses doigts : un, puis deux, puis trois… Ils rentraient de plus en plus facilement
Je me trémoussais encore plus… C’était trop bon. Une bonne queue dans la chatte, et ces doigts qui m’ouvraient bien comme il faut… Après quelques va-et-vient, je pris l’initiative. J’attrapais son sexe et le présenta à mon autre orifice. Il s’enfonça lentement dans mon anus, presque d’un coup…. Une fois entièrement entré, il commença à me limer, fort et violemment.
J’étouffais mes cris de plaisir dans l’oreiller. Puis ce fut l’apothéose, lorsqu’il passa d’un trou à l’autre. Lorsqu’il changeait, j’avais l’impression de le sentir encore dans l’autre orifice. Il passait ses doigts dans le trou vide, pour que je me sente tout le temps bien remplie… C’était divin. Il finit par se vider dans mon cul qu’il trouve si bandant. Je restais un moment contre lui tout en caressant l’objet qui m’avait fait tant fait jouir. Il reprit vigueur très vite, et nous repartîmes pour une nouvelle partie de baise bien raide…
Dans les autres chambres, le calme était revenu également. On les retrouva dans la cuisine, les mecs en caleçon et moi en paréo. Ils nous racontèrent comment ils avaient échangé les filles pour finir à deux dans la plus dévergondée.
« Et vous, vous avez l’air fatigués, nous dit Marc.
Philippe répondit : je ne suis contenté de ma voisine préférée… C’est une vraie bombe… «
Je rétorquais : « tu pourrais être un peu plus discret sur mes performances… Est-ce que je dis, moi, que tu es crevé, que je t’ai tout pompé ??? »
Il valait mieux que je rentre, il était tard, et je sentais quel e lendemain allait être... chargé !
Le lendemain soir, c’était la fête au village. Pour l’occasion, j’avais mis une petite robe légère. Nous voilà partis tous les quatre, rejoindre les deux filles de la veille à la fête. Nous avons bu, dansé une bonne partie de la soirée.
Vers deux heures du matin, les garçons nous ont proposé de rentrer finir la soirée chez eux. Seule Nathalie, la plus chaudasse accepta de nous accompagner. Nous avons atterri dans la plus grande chambre. Comme par hasard, Philippe s’occupa de Nathalie tandis que les deux autres m’étaient réservés. Il avait du leur vanter mes mérites…
Marc et Pierre m’entouraient sur le canapé, Nathalie et Philippe étaient sur le lit.
Déjà, les mains montaient le long de mes cuisses. Pierre fit descendre la fermeture de ma robe pour dénuder mes seins. Une bouche sur mes seins, une main entre mes cuisses, je commençais à gémir d’excitation. Je ne restais pas inactive en faisant jaillir de leurs pantalons leurs membres déjà bien raides.
Nathalie suçait déjà Philippe et je m’allongeais sur le dos pour prendre celle de Pierre en bouche. Je commençais à le sucer avec délectation, en regardant du coin de l’œil Nathalie en faire autant. Ca m’excite toujours autant de voir les autres faire l’amour tout près de moi…
Pendant ce temps, Marc s’occupait de mon minou bien épilé pour l’occasion…. Je me soulevais un peu afin qu’il puisse m’enlever mon string plus facilement.
Quelques minutes plus tard, nous étions tous les cinq, nus, sur le grand lit. Philippe prenait Nathalie et Marc s’activait entre mes jambes. Il me léchait avec application, s’assurant que toute mon intimité y passait… Il avait un don pour m’enfoncer sa langue bien loin dans ma moule trempée…
Pierre s’amusait à se faire sucer tantôt par l’une, tantôt par l’autre. Il baisait nos bouches de plus en plus fort, comme il l’aurait fait dans des vagins
Nos gémissements les excitaient d’autant plus. J’ai joui une première fois, mais mes cris étaient étouffés par la bite de Pierre qui me limait la bouche.
Les garçons nous firent nous mettre à quatre pattes côte à côte. Ils se concertèrent, et nous pénétrèrent en rythme… Nous étions ballottées par leurs coups de boutoir... Mes seins me faisaient mal. Pierre se glissa sous moi, et se mit à me téter les seins avec application… Depuis un moment, ils accompagnaient leurs coups de boutoir d’une préparation intensive de nos petits trous. Je savais que j’allais en prendre partout… Et j’en mourrais d’envie.
Après nous avoir bien préparées toute les deux, ils nous sodomisèrent comme il faut. Je sentais le membre chaud me remplir les entrailles, et je n’attendais plus qu’à une chose, que Pierre me prenne aussi la chatte…. Visiblement, Nathalie aimait ça autant que moi.
Quel bonheur d’avoir ces deux bites en moi, qui me remplissait bien, sans me laisser de répit ! je soufflais criais de plaisir.. On devait m’entendre à l’autre bout du village !!!
Ils sont lâché leur jus presque en même temps, dans ma chatte, dans mes entrailles… J’étais pleine, j’entais bien…
L’un d’entre eux ordonna à Nathalie de venir me nettoyer. Elle protesta qu’elle n’aimait pas ça. La réponse fut cinglante :
« Rien à foutre, tu es une salope, qui se fait tringler par tout le monde, tu nous obéis. Tu n’es pas à ça près…. «
Nathalie obtempéra, et vint se mettre derrière moi, qui étais toujours en levrette. Elle commença d’abord à lécher la crème qui coulait de mon petit trou… Elle avala tout sans sourciller… Les mecs se branlaient en nous regardant. Visiblement, ce spectacle les excitait beaucoup ! Quant elle eut finis, Marc me fit allonger sur le dos, et dit à Nathalie de venir « laver » ma chatte… a langue était douce, mais ferme. Elle m’ouvrait bien grand pour aller chercher tout le foutre de mon amant. Sous ca langue habile, je jouis une nouvelle fois. En plus, voir ces trois gars se branler à quelques centimètres de moi, j’étais encore plus excitée…
Elle avala tout le sperme, s’en pourlécha les lèvres, puis entreprit de s’occuper de mes seins.
Il me fallait bien lui rendre la pareille... Au grand plaisir des garçons, Je me suis alors occupée de ses seins à mon tour, tandis que mes doigts caressaient son clitoris. Deux de mes doigts l’ont pénétrée sans difficulté. Il faut dire qu’elle avait été bien limée par Philippe… Un troisième, puis un quatrième ont rejoint les deux autres. Je tentais alors d’y enfoncer le pouce. Ma main était absorbée par son sexe dégoulinant. Les gars étaient stupéfaits devant ce spectacle, ils n’avaient jamais vu une fille se faire fister. Nathalie appréciait, visiblement... Elle se tordait sur main, qui la fouillait sans ménagement. Elle cria son plaisir à s’en déchirer la gorge
Après quelques instants de ce traitement, Marc et Pierre ne tenaient plus en place, et ils en avaient assez de se branler frénétiquement. Ils voulurent faire une expérience… En prenant une pose peu orthodoxe, ils réussirent à la prendre en double pénétration vaginale. Elle y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Très excitée également, je demandais à Philippe de me baiser aussi fort que possible.
Après quelques minutes, Pierre se libéra pour se vider dans la bouche de Nathalie tandis que Marc choisit la mienne. J’avais dans la bouche la queue de Marc, parfumée au jus de Nathalie… un vrai régal ! J’avalai sa semence au moment même où Philippe éjaculait dans ma moule avide… Bien entendu, nous avons souvent recommencé nos parties de baise à cinq. Au fil de jours, nous avons convaincu les garçons de se baiser entre eux.. Du coup, les possibilités devenaient infinies… Ce furent des vacances d’anthologie…
Je me suis découvert durant ces vacances une attitude de garce, à la limite de la nymphomanie. Même durant le trajet du retour en train, je me suis laissée séduire par plusieurs militaires, qui m’ont baisée à la chaine dans les toilettes. Il faut dire que j’ai obtenu contre ça, qu’ils se sucent aussi entre eux… Ils l’ont fait avec beaucoup d’ardeur, pour mon plus grand plaisir…
Contriubtion d'Yves : L'gence immobilière
Voulant louer un appartement sur la région parisienne, j'ai contacté une agence qui proposait un appartement pouvant me convenir.
Ayant pris un rendez-vous avec un des employés de l'agence, je me présentais à ce rendez-vous avec une heure de retard juste avant midi.
L'agent étant parti déjeuner, la comptable, était seule à l'agence à ce moment-là. Elle donc s'est proposée pour me faire visiter la location, qui était dans un immeuble voisin.
La comptable était une femme de 30-35 ans, brune, portant des lunettes d'un physique agréable et habillée assez sévèrement dans un ensemble sombre. L'appartement était un petit deux pièces sans rideaux, doté d’une belle vue sur la vallée de la Marne, avec pour seul meuble un canapé (heureux hasard).
Nous avons fait la visite assez rapidement (l'appartement n'était vraiment pas bien grand) en plaisantant, et elle s'est assise sur le canapé pour sortir le contrat de location de sa chemise, pour vérifier le montant du loyer et des charges.
Dans un geste maladroit, elle fit tomber son dossier et en se baissant simultanément pour le ramasser, nous nous sommes trouvés dans les bras l'un de l'autre. A partir de ce moment, tout s'est emballé, et nous avons commencé à nous embrasser.
Au bout d'un certain temps, je lui caressais la poitrine à travers son chemisier noir et cherchais fébrilement les boutons pour dénuder sa poitrine, dont je sentais les tétons s'ériger de plaisir. Son corsage se boutonnait par l'arrière et je le lui retirais rapidement ainsi que son soutien-gorge noir qui, lui, s'agrafait sur le devant entre ses seins.
Pendant que je lui tétais les bouts de ses seins, j'ai senti ses mains me prendre la taille et se glisser le long de mon torse en me caressant.
L'affaire prenait une tournure que je n'aurais pas pu imaginer en entrant dans l'agence. Dans la foulée, je déboutonnais sa jupe et passais ma main dans son collant pour lui caresser le clitoris. Je pénétrai son sexe déjà bien humide avec mon majeur.
Après quelques minutes, elle a commencé à gémir de plaisir, a dégrafé mon pantalon et sorti mon pénis de mon caleçon.
Elle l'a caressé en le décalottant délicatement. En l'allongeant, je lui ôtais son collant et pouvais enfin la pénétrer aisément avec mes doigts.
Elle s'est retrouvée dépoitraillée sur le canapé et le sexe enfin aisément accessible. J'en profitais pour me déshabiller à mon tour et m'allonger à son coté tête-bêche. Pendant que je lapais son clitoris, elle a commencé à me lécher le gland et à me pomper avec un bel enthousiasme.
Franchement, j'avais du mal à me retenir d'éjaculer à cet instant, tant j'étais excité. Au bout d'un moment, je me levais et lui présentais ma bite pour pouvoir l'admirer en train de me pomper le dard.
Après ce divin exercice, je m'allongeais sur elle et la pénétrais en missionnaire de façon tout à fait banale. Elle a jouis au bout de quelques instants en me donnant de grands coups de bassin, qui provoquèrent mon éjaculation.
Après cette première jouissance, elle a été faire un brin de toilette dans la salle de bain et est revenu contre moi. J’avais allumé une cigarette en attendant, nu, sur le canapé ouvert. En se présentant, (elle était mariée, avait deux enfants et un mari qui était en déplacement à l'étranger depuis un mois, peut-être l'explication des événements précédents), elle me caressait doucement le sexe et a réussi à me remettre en forme en quelques instants.
Après ma cigarette que nous avons partagée, elle a augmenté la cadence de sa branlette et m'a repris dans sa bouche. Elle voulait recommencer, et moi, j'étais comme tous les hommes, partant pour un deuxième round.
Nous avons recommencé à nous embrasser (sa bouche avait encore mon odeur) et à se caresser. Je frottais ma bite contre son clitoris et à l'entrée de sa chatte pour la titiller. Elle en redemandait. Je la retournais et la pénétrais couchée sur le ventre les fesses légèrement surélevées. Elle se redressait à quatre pattes et je lui pistonnais les fesses à grands coups de butoir.
Dans cette position, je voyais ses fesses et les lui malaxais à pleines mains en dilatant son cul. Après quelques instant,s nous avons changé de position, pour nous allonger l'un à coté de l'autre et je continuais à la pistonner avec entrain en lui maintenant fermement les fesses. J'ai senti ses mains me prendre les fesses et un doigt s'approcher de mon anus et me pénétrer doucement. Devant mon étonnement, elle me dit :
« - Tu n'aimes pas que l'on te caresse là ?
- Bien sur que non !
- Moi, j'aime ça ! »
Pas besoin d'être devin pour comprendre où elle voulait aller. Je n'avais jamais pratiqué la sodomie. Je mouillais mon majeur et faisais la même chose. Doucement, au début, et j'enfonçais de plus en plus mon doigt dans son cul et sentais ma bite au travers sa paroi. Elle s'excitait de plus en plus que je m'enfonçais et je la retournais à quatre pattes.
Je présentais ma bite à l'entrée de son cul (pas besoin de lubrifiant, mes doigts avait déjà humidifié le chemin).
Ma bite forçait le passage en provoquant un petit cri de douleur, je m'arrêtais net. En constatant mon arrêt, elle s'est retournée, et m'a dit de continuer. Je la pénétrais lentement jusqu'à la garde, malgré ses plaintes et faisait des va-et-vient délicatement dans son cul dilaté. Au bout de quelques allers et retour, elle imprimait elle-même la cadence de plus en plus vigoureusement, et je suivais sa cadence en lui claquant de plus en plus fort les fesses contre mon bassin.
Au bout d'un moment, elle avait les fesses rougies par les chocs et moi, j'étais au bord de l'extase. Au moment de décharger, je sortais et lui aspergeais copieusement l'arrière-train, et m'écroulait sur elle, complètement vidé. Je n'ai jamais su si elle avait pris son pied à ce moment, mais pour moi, ce fut le paradis !
Après ces instants de folie, nous nous sommes rhabillés et sommes descendus à l'agence. Là, comme l'appartement m’intéressait vraiment, elle m'a fixé un rendez-vous le lendemain pour signer le bail avec l'agent en charge de la location.
A la signature, j'ai fait remarquer à l'agent que c'était grâce à Claudine que j'avais choisi cet appartement. Il a alors décidé de lui reverser une part de la commission.
Après mon emménagement, Claudine montait de temps en temps me voir entre midi et deux heures, et elle a été ma maitresse pendant l'absence de son mari….
- Commentaires textes : Écrire
Mon rêve de la nuit dernière
Cette nuit, j’ai fait un rêve plus qu’érotique. Jamais je n’avais été aussi loin dans un rêve. Il était tellement réel que je me suis réveillée avec mes lèvres intimes gonflées et trempées…
C’est un soir de pleine lune, on y voit comme en plein jour… Je m’habille sexy très court, me maquille beaucoup, et je prends ma voiture direction l’autoroute. Je m arrête sur une aire de repos fréquenté par les routiers.
Je ne cache pas mes intentions, je veux de la queue et je le fais savoir. J’ouvre la porte de ma voiture, un pied sur l’accoudoir, ce qui a pour effet de dévoiler ma chatte à peine cachée par un mini string. La lune m’éclaire comme un spot. Je passe un doigt lascif sur le fin tissu, l’écarte, pour mieux leur montrer mon excitation naissante.
Sur le parking, les mecs me regardent de loin, l’air interrogateur. Un plus hardi que les autres m’approche, il me prend pour une pute, et me demande mes tarifs. Cela me fait rie. Mais il faudra que j’y pense… me faire payer pour baiser, ca doit être top ! Le beurre, et l’argent du beurre. Ou plutôt de la crème !
« Mon gars, c’est gratuit si tu me fais jouir bien comme il faut. Toi, mais aussi tes copains… »
L’homme n’en croit pas ses oreilles. On n’a pas une telle occasion tous les soirs !
Il appelle ses collègues et leur annonce la couleur.
Comme il fait vraiment très clair, nous nous éloignons un peu du parking pour être un peu à l’abri des regards. Mais pas trop. Je veux que d’autres routiers profitent de moi… Il faut que l’on sache que ça baise dans ce coin de l’aire de repos.
Ils me pelotent les seins sans ménagement. L’un s’attaque à mon con déjà bien mouillé. Il fouille mon vagin sans ménagement. Je sors les trois bites de leur pantalon, les unes après les autres, et je commence à les sucer et les branler.
Ils bandent comme des taureaux, leurs queues sont différentes.
Comme ça, je vais avoir des sensations variées… ! Je pompe encore et encore leurs bites comme une chienne affamée.
L’un deux, prévoyant, a apporté une couverture. Il la pose au sol, et s’allonge dessus, le chibre dressé vers le ciel. J’ai trop envie d’être prise. Je me retrouve bientôt à chevaucher son puissant dard, tout en continuant de sucer la bite d’un autre. Ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche. J’avale je jus âcre, et sans s’attarder, il range sa pine et s’en va.
Le troisième prend sa place dans ma bouche, je le suce goulûment. Il est plus gros que l’autre, et me baise littéralement la bouche. J’en perds le souffle. Celui que je chevauche me bourre la chatte à grands coups de queue, puis il jouit en moi et se retire brusquement. Je suis encore affamée, je n’ai pas joui. Ils vont trop vite.
Je me retrouve seule à sucer le dernier mec quand soudain deux autres lascars arrivent, et nous interpellent : « Alors il parait qu’une chienne en chaleur veut de la bite ?
Et ben salope, on va te faire la totale, tu vas en avoir de la queue espèce de putain. » Il est brutal dans ses paroles, il va l’être dans ses gestes. Mais ce soir, je veux tout. Ses mots m’excitent, et je jouis en me branlant la chatte. Le troisième jouit sur mes seins. Sa bite était trop grosse, je ne pouvais plus la sucer…
L’un des deux derniers arrivés m’attrape les cheveux, et me fourre sa bite dans la bouche. Il m’insulte violemment : « Suce, grosse putain, suce ma bite ! »
Il me bourre la bouche de son noeud épais. Je suis en apnée, tant il me l’enfonce profondément.
Il apostrophe son copain : « Encule cette chienne, vas-y, bourre-lui le fion ! »
J’ai soudain un peu peur. Je n’ai été que rarement sodomisée, et encore, avec beaucoup de précautions. Là, aucune. A peine un doigt enduit de salive qui me laboure rapidement le petit trou.
Je crie de douleur : une grosse bite viens de me prendre et me tringle sans ménagement. La douleur s’efface, et laisse place à une chaleur intense. Je gémis de plaisir en continuant de bouffer la queue qui me baise la bouche. Je mouille comme une chienne et je m’en prends plein le cul ! Celui que me défonce sort brusquement, et jouis sur mon dos.
L’autre éjacule à grands jets épais sur mes joues. J’ai jouis sous leurs assauts, j’ai eu ce que je voulais. Il est temps de partir. Mais impossible : le bouche à oreille a fonctionné et trois routiers s’approchent de moi, la queue à la main. Ils veulent me sauter, me baiser, m’enculer… Cette situation m’excite à nouveau. Que puis-je dire ? Oui !!!
Ce soir-là, le mot était passé : sur l’autoroute, une salope en chaleur voulait de la bite.
J’ai été plus que servie.
Quand je me suis réveillée, j’étais si excitée que j’ai du me caresser. J’ai pris mon petit œuf vibrant, l’ai calé bien au fond de ma chatte mouillé, et je l’ai mis en marche. Je me suis caressée les lèvres, le clito bien bandé. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour jouir, d’un bon orgasme du matin, comme je les aime…
Lire les commentaires textes
Bonjour Sophie
je veux bien être celui qui vient pour réaliser ton phantasme selon ce scénario.
.
A bientôt quand tu le voudras
biseXXXX
Henri
Voici un fantasme très excitant.
J'ai moi même dialogué sur Internet avec quelqu'un qui me proposait le même fantasme :
Rendez-vous à une heure précise dans ma chambre d'hotel, dont je devais laisser la porte entrouverte pour lui permettre d'entrer.
Je devais l'attendre à genoux devant le lit, les fesses bien en évidence, la tête sur le lit pour être certain de ne pas le voir, un plug dans le cul, et son apéro servi sur la table de chevet.
Il serait rentré brusquement, m'aurait mis un bandeau sur les yeux avant de siroter son apéro tout en me flagellant les fesses.
Ensuite, il m'aurait retiré le plug pour m'enculer sans manière jusqu'à la garde. Après cette sodomie musclée, il m'aurait à nouveau fessé et fouetté.
Finalement, il m'aurait conduit dans la salle de bain, m'aurait attaché les mains dans le dos. A genoux dans la baignoire, il m'aurait fourré sa bite dans la bouche, et m'aurait pissé dedans, par petits jets afin que j'avale tout.
Il serait enfin parti, me laissant seul dans ma baignoire, sans que j'ai même entendu le son de sa voix.
Ce fantasme m'avait beaucoup excité, mais malheureusement, il ne s'est jamais présenté.
Dommage !!