Les Mémoires très Libertines de Sophie
Baise homo à la chaine
Ce texte étant très long, je n’en mets que des extraits. Si vous le souhaitez en entier, écrivez-moi : le plaisir973@yahoo.fr, je vous l’enverrais avec plaisir.
De temps à autre, je vais dans un sex-shop réputé pour les rencontres homos, pour trouver des hommes et me faire baiser à la chaine. Je suis pourtant marié, mais j’aime ces séances de sexe brut, hard, mâle. Cela faisait plusieurs semaines ue je ne m’etais pas fait baiser, faute de volontaires.
Ce jour-là, je m’y rendis, ayant envie de sensations très fortes.
Pourtant, en ce début d’après-midi, mis à part une fellation non complète, rien de super excitant. Je commençais à me demander s'il n'y avait pas un nouveau lieu de rencontre qui détournait les hommes de ceux où j’allais.
Un homme, que je ne connais pas, entre et se tient à hauteur de mon visage, je me masturbe en regardant le film, il se dégrafe et fait de même.
Sans mot dire, je lui saisis sa queue, pour le sucer. Pas de chance pour moi qui aime les gros sexes, il n'est pas très membré. Pourtant, je ne fais pas la fine bouche, après la période de vache maigre que j'ai connu, et le suce goulûment.
Il me dit que je suce bien et qu'il aimerait me voire sucer un autre homme et me faire prendre. Il me propose de descendre dans la salle homo pour essayer d'attirer un troisième larron. Je le suis et nous nous entrons dans un fond de couloir, il fait sombre mais assez clair pour être à la vue des hommes qui cherchent des baiseuses comme moi.
Il baisse son pantalon, je l'imite et me penche à nouveau pour l'engloutir dans ma bouche.
Enfin après un bon quart d'heure, un homme nous rejoint, et me déballe sa queue déjà bandée.
J'ai une pensée de plaisir, sa bite est superbe, plus longue de 2 cms que moi et surtout plus épaisse, 17 × 5 cms. Je me mets aussitôt à le sucer en me régalant de ses dimensions. L'autre lui dit : « Tu as vu, comme il suce bien ?
-Putain, c'est bon, il a une bonne bouche ! »
(…)
Il se couvre avec un préservatif, et me saisissant par les fesses m'approche de sa grosse queue. Je pose mes deux mains derrière moi pour le retenir de me pénétrer trop brusquement. Ainsi, je contrôle la progression de son pieu en moi, en laissant le poids de mon corps m'enfourcher sur sa queue. Il est vraiment très membré, mais j'en ai tellement envie que j'accélère la pénétration. Je sens enfin son gland toucher le fond de mon anus…
Je pose alors mes mains sur le mur devant moi, lui laissant tout contrôle de cette délicieuse sodomie. Il m'attrape les fesses et bouge sa grosse bite fougueusement, en me disant : « Elle est grosse ma queue, tu l'aimes dans ton cul, elle te fait du bien, hein ? Ca te plait, de te faire enculer ! »
Je réponds en haletant : « Oh oui, j’aime, c'est bon, encule-moi, encore, défonce-moi ! »
Il ne se gène pas, et me défonce le cul sans ménagement. Un homme passe à coté de nous, nous regarde et s'éloigne, malheureusement.
Celui qui m'encule me fait légèrement pivoter, je me tiens alors sur mes jambes, un peu penché, balancé par les coups de queue dans le cul de mon super baiseur. Enfin, un autre homme s'approche et me présente sa bite. Je la suce quelques minutes, il s'éloigne alors pour nous laisser seuls. C’est alors que je prends un super orgasme anal, le premier depuis longtemps avec un homme.
Il m’entend jouir, et après quelques derniers mouvements, se retire en me disant : « Suce-moi encore. »
Je me tourne et le prends encore dans ma bouche, je m'applique de mieux en mieux pour le remercier du plaisir qu'il m'a procuré en m'enculant. Il n'arrête pas de me dire des mots crus, jusqu'à ce que ces mots attendus retentissent : « Putain, je vais jouir, tu suces trop bien, c'est bon ! »
Il m'envahit la bouche de son jus épais, me collant son gland contre la glotte. J'avale aussi vite que je peux pour pouvoir encaisser la deuxième giclée, qui me remplit à nouveau la gorge. J’ingurgite encore tout en recevant un dernier coup de bite au fond de ma bouche, suivi d'une troisième et quatrième giclée. Je lui nettoierai le gland et viderai consciencieusement son méat avec amour pour lui dire à quel point j'ai apprécié sa sodomie. Enfin, je me redresse en lui caressant le sexe avant qu'il ne se rhabille. Le premier qui nous avait croisé repasse, et mon enculeur me dit alors : « C'est mon copain, il a une plus grosse bite que moi, ça t'intéresse ? »
« Bien sûr, » répondis-je.
Il s'éloigne pour laisser la place à son ami qui me dit : « Alors, tu t'es régalé ? Elle est belle la queue de mon copain. »
En se dégrafant, il ajoute : « Tiens, regarde la mienne. »
Je n'en crois pas mes yeux, elle est vraiment encore plus grosse et un peu plus longue que l'autre. Aujourd’hui, j'ai de la chance ! Il m'appuie sur l'épaule pour que je le prenne en bouche, et je m'exécute avec beaucoup de plaisir.
Son gland est gros et très agréable entre mes lèvres. Je lui lèche le méat et l'absorbe encore pour me pénétrer à fond de ce membre superbe. Quelques géniales minutes de cette queue dans ma bouche plus tard, il me dit : « Je vais te prendre, lève-toi. » Il se couvre, je sors du gel et m'enduis l'anus.
Surpris, il me dit : « Il ne t'a pas enculé mon copain ? » Je lui réponds par l’affirmative, et que c’est meilleur avec du gel.
Il me retourne d'un coup, et me plante sans attendre sa grosse queue dans le cul. Je ne peux m'empêcher de donner un mouvement en arrière avec ma tête, en râlant d'un léger plaisir-douleur. La queue de son copain avait heureusement bien préparé le passage…
Il m'arrache déjà les premiers râles de plaisirs anaux, il glisse délicieusement dans mon cul, se reculant et, se dégageant complètement, pour me planter le cul à nouveau, je jouis comme une petite pute mâle. J’en redemande, je le désire au fond de moi de plus en plus : « encule-moi encore, défonce-moi plus fort ! » lui dis-je, en jouissant encore une fois sur sa grosse queue.
Il me répond alors en s'affairant dans mon cul : « On va se calmer, et on recommencera tout à l'heure. »
Il s'arrête progressivement, j'avoue que je suis prêt à tout, pour lui, et je lui dis que mon cul lui appartient.
Il me dit de l'attendre, qu'il va faire un tour et reviendra pour m'enculer encore.
Je me rhabille, tout excité et heureux de plaisir. Je m'assoie sur cette chaise qui m'a si bien rendu service, je me masturbe en regardant le film, et en ressassant les merveilleux moments de plaisir que je viens de connaître.
Sur l'écran, une femme se fait gicler sur le visage par trois hommes après une double pénétration. Je suis au bord de l’éjaculation, moi aussi.
Mais de nouveaux bruits signalent une autre arrivée, c'est un homme que je connais, je lui dis bonjour, je l'ai déjà sucé maintes fois. J'aimais boire son sperme, il a un goût très agréable. Cependant, il ne m'avait que rarement sodomisé, me signalement qu'il le faisait pour me faire plaisir. Mais tout ceci s'était passé, il y a quelques années. Depuis, le manque d’attrait de la nouveauté avait fait que l‘on ne baisait plus ensemble.
Je suis étonné de voir qu'il me regarde d'un air excité, et défait son pantalon pour se masturber. Je me lève, il se rhabille pourtant, tout en me disant de le suivre. J’obéis sans discuter. Nous descendons au rez-de-chaussée pour nous installer dans un recoin sombre. Aussitôt, il fait glisser son pantalon sur ses chevilles. Je me baisse très vite et enfonce sa queue dans ma bouche… J'avais oublié qu'elle était aussi grosse, un peu courte, mais vraiment très épaisse.
Il gémit de plaisir en murmurant : « Aaahh, ce que tu suces bien, petite salope ! »
J'aime bien ce type et j'aime le sucer. Je le lèche en imaginant déjà son sperme dans ma bouche. Quelques minutes plus tard, il me dit : « j’ai envie de te la mettre dans le cul, bien profond ! »
Je n'en crois pas mes oreilles, il veut mon cul, lui ! Je me redresse, lui tends une capote, qu'il revêt et lui tourne le dos. Il me propose de mettre du gel, je lui assure que cela se passera bien et me pénètre déjà de sa grosse queue. Il pousse un long râle de plaisir et se déchaîne dans mon cul. Il me sodomise comme jamais il ne l'a fait avant. Je ne le reconnais pas ! Il ne tarde pas à me donner un orgasme anal puissant, qu'il accompagne en me jouissant dans l'anus. Dans un dernier gémissement, il murmure : « Aaahh, c'est boooonnnn, je te jouis dans le cul, c'est trop bon, je jouiiiiis !!! »
(…)
Malgré ce que je viens de vivre, je n’en n’ai pas encore eu assez. Je veux que mon cul de salope déborde, soit large comme une bouteille de bière à force de sodos intenses !
Je décide de tourner un peu dans le sex-shop, et me lève. Mais à ce moment, un homme me croise, me fixe. Il me semble le connaître, mais je n'en suis pas sûr. Je descends et après avoir visité tous les endroits, je m'assois en salle homo. A l'entrée, l'homme arrive alors et se tiens à ma hauteur. Pour lui faire comprendre que je suis ok pour lui, je me frotte le sexe au travers de mon slip.
Sans hésiter, il ouvre sa braguette et déballe une bite énorme, il bat à plate couture tous les autres, sa bite mesure au moins 23 cm avec une largeur en rapport de plus de 6 cm, elle a une forme d'arc de cercle, tordue vers le bas. Sans ménagement, il me colle cette queue dans la bouche, bandant comme un taureau. Sa bite est dure et gonflée.
Il se colle au mur et m'attend, le sexe tendu à l'extrême. Une fois de plus, je baisse mon pantalon et prends sa queue dans ma bouche, je le masturbe tout en lui léchant le gland dans ma gorge. Je suis dressé sur mes jambes, plié sur sa grosse et longue bite. Un inconnu nous rejoint, le sexe déjà à portée de main, il n'est pas très membré, mais dans le feu de l'action, je le laisse me caresser les fesses. Il devine que je ne suis pas farouche et après s'être couvert, me met sa queue dans l'anus, sans aucune préparation. Il me balance fortement, m'enfonçant sur cet énorme membre dans ma gorge. A mon grand regret, il sort peu de temps après avoir commencé à m’enculer. Je me retourne pour le sucer, puis en regardant l'homme au gros sexe, je dis : « J'ai envie que tu me prennes. Baise-moi le cul !»
Je sors une dose de gel et m'enduit la raie, il se couvre lui aussi et dirige sa queue sur l‘entrée de mon cul.
Ce vicieux me plante d'un coup brutal son gros pieu. Je me cambre pour supporter cette sensation d'écartèlement. Celui qui se trouve en face, me courbe plus encore, pour que je le suce mieux. J'ai énormément de difficulté à assurer ma fellation, tant celui qui m'encule me défonce avec son énorme chibre.
Il me fait sursauter à chaque coup de bite dans mon cul, frappant extrêmement fort jusqu'a l'os au fond de mes entrailles.
J'ai mal, mais je ne voudrais pour rien au monde qu'il s'arrête… Je dois me mettre sur la pointe des pieds pour encaisser ses allers-retours. Le plaisir se mêle à la douleur anale, il me soulève à chaque mouvement de queue, un orgasme violent m'envahit. J'ai cessé de sucer l'homme face à moi, qui me tient fermement, comme pour mieux m'offrir à celui qui me sodomise. Je jouis de mon cul, cambré au maximum, sur le pieu de mon enculeur, qui se déchaîne en moi depuis vingt minutes.
Il enlève sa bite et je me retourne pour le prendre en bouche, je veux le faire jouir, je me délecte de cette queue géante, je gémis de plaisir. L'autre me prend l'anus avec ses doigts, le plus membré dit à l'autre : « Regarde, comme il s'éclate avec ma bite, il aime ça, c'est une vrai salope !!! »
Je lèche son gland et descends le long de son membre avec ma langue. Il prend sa queue et me gifle avec, puis il me baise la bouche. Il est trop gros, j'étouffe… Il prévient alors : « Je vais jouir, c'est bon. »
Il enlève sa queue et en se branlant énergiquement, déverse ses flots de sperme sur le sol.
Je le remercie avec chaleur, de m’avoir si bien baisé et humilié…
(…)
Un quart d'heure après, je descends en salle homo, et là surprise ! Je vois le plus âgé dans l'arrière salle, contre le mur, il est seul, je le rejoins et lui demande : « Ce n’était pas bien avec l'autre mec ?
-Je sais pas trop ce qu'il voulait. »
Il me caresse le sexe, le sien est déjà tendu vers moi, je me plie en deux pour reprendre ma fellation, il me félicite : « ouahh, elle est vraiment bonne ta bouche, tu suces mieux que lui, on sent que tu aime sucer, c'est excitant… »
J' apprécie pleinement cette queue, ayant décidé de ne plus attendre mes deux amis du débit de la journée. Ils ne viendront plus. Il me faut prendre vraiment le plus de plaisir possible jusqu'à mon éjaculation.
Visiblement, toutes ces aventures m'ont mis dans un état de chienne en chaleur, j'ai encore plus envie de lui que des autres, sa bite me rend fou.
Il me comble de plaisir lorsqu'il me dit : « je veux t'enculer, tu as du gel ? »
Je lui propose un préservatif, qu'il refuse : il en a déjà.
Il enfile sa capote, je lui tends mes fesses. Je prends sa queue et m'empale d'une traite sur elle, il gémit et en parlant fort dit : « Ouaahh, c'est bon, il est chaud, j'aime quand c'est chaud comme ça, il est génial ton cul ! »
Il me prend par les hanches et m'encule en faisant des mouvements d'une intensité moyenne, il me remplit agréablement bien le cul. Je ne peux m'empêcher de glousser de plaisir comme une salope en chaleur, il s'en rend compte et me dit : « ohh, putain, t'aimes ça, ça te plais de te faire enculer, moi, ça m'excite de t'entendre jouir ! »
Il me baise avec encore plus de passion, il me redresse pour m'embrasser tout en m'enculant.
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Vacances de rêve...
Au bout de dix ans de séjour dans cette île de la Caraïbe, je peux vous dire que son principal intérêt réside dans la perpétuelle séduction qui se joue entre les hommes et les femmes d’ici. On dirait qu’ils sont toujours prêts à se laisser aller à leurs désirs les plus lubriques.
J’ai une quarantaine d’années, mais on m’en donne en général bien moins… Sans doute grâce à mes rondeurs, qui empêchent les rides de s’installer...
Cet été, une amie m’a demandé de garder sa maison, pour éviter les cambriolages de plus en plus fréquents. Elle a une maison splendide, qui donne sur la mer turquoise, une très belle piscine orne le jardin, plein de fleurs magnifiques… Je passe des vacances de rêves, seule à la maison. Je passe une bonne partie la journée nue, au bord de la piscine à l'ombre d'un arbre du voyageur.
Pour le service de la maison, mon amie dispose de deux serviteurs. Une jeune femme qui s'occupe du ménage et de la cuisine, et un gardien qui est assis sur une chaise à la grille d'entrée. Ceci me donne l’impression d’être à l’hôtel !
Etant seule, j'ai l'habitude de circuler nue dans la maison et dans le jardin sans me soucier des deux serviteurs, lesquels trouvent cela parfaitement naturel et sont infiniment moins complexés que nous autres européens.
Chaque jour, je passe une heure ou deux, allongée sur une chaise longue, non pas au soleil bien sûr, mais à mi-ombre. Mais il faut néanmoins se protéger des rayons dardants, et c'est ce qui m'a donné l'occasion de mieux connaître mon personnel. C'est venu tout naturellement. Je voulais m'enduire de crème solaire et dans ce but, j'appelais Philomène. Vingt ans, jolie poitrine, longues jambes fuselées et un adorable petit derrière qu'elle balançait continuellement…
J'étais étendue sur le ventre, et Philomène vint s'agenouiller au bord de la chaise pour commencer à étaler la crème sur mes épaules. Elle ne disait rien et faisait son travail doucement, consciencieusement, en répandant un parfum troublant de vanille et de monoï. Je fermais les yeux et appuyais mon front sur mes avants bras pour suivre, avec ma sensibilité en éveil, les mouvements de ses doigts. Elle ne se contentait pas d'étaler le produit, elle en profitait pour faire une sorte de massage.
Je suivais avec beaucoup d'attention les trajets qu'elle empruntait avec ses mains expertes, trajets qui semblaient avoir un but précis. Elles allaient du haut vers le bas.
Après avoir terminé avec mes épaules, elle descendit sur mes hanches, et passa à plusieurs reprises sur le bord de mes seins. Etait-ce une idée ? Elle sembla s'attarder plus que nécessaire sur ceux-ci.
Puis elle arriva à mes reins qu'elle enduisit, mais de là, alors que j'attendais avec une certaine impatience qu'elle s'occupe de mes fesses, elle alla directement à mes mollets. Je l'attendais à la remontée maintenant : il faudrait bien qu'elle y vienne.
Elle y vint. Philomène m'enduisait les fesses délicieusement en les massant fermement mais délicatement, avec une certaine tendresse, dirais-je.
J'écartais mes cuisses comme pour l'inviter à n'oublier aucun recoin. Elle n'oublia rien et passa dans ma raie à plusieurs reprises. J'avais le sentiment qu'elle prenait plaisir à son travail, et moi aussi. Elle termina par mon petit trou, quand je me retournais sur le dos pour lui présenter l'autre face. C'est ce côté là qui m'intéressait le plus. C'était là que j'allais pouvoir vérifier la véracité de mon impression…
Je gardais ostensiblement les jambes ouvertes, mais elle commença aussi par le haut, par mes épaules et mes seins. Mais cette fois, elle s'attardait beaucoup plus que nécessaire sur eux.
Mon impression se confirmait. Son massage devenait une véritable caresse qui avait une autre finalité que d'étaler de la crème. Elle fit durcir les pointes de mes seins sous ses doigts. Je laissais échapper quelques gémissements de bien-être pour lui faire comprendre combien j'appréciais son massage.
Elle descendit sur mon estomac, et fut bientôt sur la racine de mes cuisses. Elle resta en bordure de mon pubis, contournant ma fente pour masser mes cuisses, remontant vers le pubis, qu'elle effleurait au passage.
Visiblement elle n'avait pas assez d'audace pour caresser mon abricot. J
'ai vu le moment où elle allait se relever et retourner à la maison, son travail terminé. C'est moi qui ai alors pris sa main poisseuse de crème pour la conduire à ma chatte. Elle ne résista pas à l'invitation et entreprit de me la branler avec douceur.
Elle avait des doigts merveilleusement agiles, souples et savants.
De ces doigts qui ont une longue expérience des chattes. Elle était en train de me faire gonfler le clitoris quand j'eus mon premier orgasme. Je crie quand je jouis...
Je ne sais pas jouir silencieusement, il faut que je crie. J'ai crié mon plaisir en me cabrant.
Le veilleur avait entendu depuis son portail. Il était venu assister à toute la scène, en silence. Philomène avait abandonné toute mission de protection solaire pour se consacrer à la jouissance de sa patronne et elle me fit ainsi jouir plusieurs fois de suite. D’autant que le gardien, Edmond, me matait de façon ostentatoire.
Je mouillais tant et plus. Voyant cela, Philomène s'en retourna à la maison et revint aussitôt avec dans les mains une banane plantain. Elle l’enduisit d’huile, et essaya de me l'enfiler dans la chatte, pour mon plus grand plaisir. Malheureusement le fruit, trop mûr, se cassait, s'écrasait à l'entrée de mes petites lèvres, et ne remplissait pas du tout sa nouvelle fonction.
Philomène se leva à nouveau, et se diriger vers Edmond, le gardien. C’était un grand gaillard musclé et torse nu. Elle tira son pantalon vers le bas, il ne portait rien dessous. Elle me présenta, comme elle l'aurait fait d'un fruit, une queue raide et énorme qu'elle prépara en décalottant le gland du gardien.
Puis elle le fit s'installer entre mes cuisses ouvertes et le conduisit à l'entrée de ma chatte. La scène était assez cocasse, car Philomène se comportait comme une assistante de dentiste, toujours technique, seulement technique.
Jamais de ma vie je n'avais été investie par une si grosse queue. Une énorme queue noire, raide, incroyablement horizontale, luisante, pointée vers moi, prête au service. Le double, largement, tant en longueur qu'en épaisseur, du membre de mes amants habituels.
C'est au point que le gland du gardien coinça au bout d'à peine un ou deux centimètres. La scène était drôle. J'étais là, ouverte en deux, attendant la saillie, devant mes deux serviteurs, un peu comme une jument à laquelle on présente un étalon…
Philomène donnait des conseils avec un naturel désarmant, comme si elle était en cuisine à préparer un repas. Elle me demandait de m'ouvrir encore plus. Elle élargissait ma fente avec ses doigts. Rien n'y fit, le gardien ne pouvait pas me pénétrer. Philomène s'est alors mise derrière le gardien et, employant les grands moyens, a appuyé de tout son poids sur les fesses de l'homme, dont le sexe se fraya un passage de force dans mon vagin.
J'avais les doigts crispés sur le bord de la chaise et souffrais de sa pénétration comme lors d'un accouchement. Mais une fois entrée, cette énorme bite, fut un régal pour mes sens. Il n'avait pas besoin de bouger pour me faire jouir, sa queue n'avait pas besoin de chercher à frotter mon clitoris, elle me remplissait de partout, et je ne suis pas certaine qu'il ait pu tout faire entrer.
Quand il se mit à bouger, je fus obligée de m'agripper à ses fesses. J'avais entouré ses cuisses avec mes mollets, tandis qu'il s'était mis en appui sur ses mains pour soulever son buste. S'il arrivait à Edmond de faiblir, Philomène reprenait alors ses efforts sur les fesses de mon étalon pour que sa queue reprenne son service.
Tout pour mon plaisir !!!
Il me baisa ainsi, longtemps, bien, fort , sans me laisser de répit. Il me lima, me laboura la chatte.
Philomène regardait, debout, attentive, encourageant le gardien, lui donnant des ordres, comptant mes orgasmes jusqu'à ce que Edmond se vide totalement en moi.
Comme ses couilles étaient proportionnées à sa queue, il était couru qu'il aurait beaucoup de semence à déverser.
Effectivement il mit beaucoup de temps à se vider entièrement dans ma chatte. Je fus littéralement inondée de son foutre, tandis que lui, parcouru par un frisson sans fin, s’effondrait sur moi. Pourtant, il n'en finissait plus de jouir, de se vider...
Inutile de vous préciser que la fin des vacances fut torride, au point que Philomène se joignit à nos ébats, et me fit découvrir les délices de Lesbos…
Karen et son mari Paul, le cocu volontaire
Voici publié, in extenso, le témoignage de Paul, un mari candauliste, à propos du trio qu'ils forment avec son amant Tony.
Ce témoignage est accompagné de photos sur le toujours sublime blog : http://philetolga.erog.fr
Karen et moi sommes mariés depuis 15 ans et dès le début ma femme, avec mes encouragements, a des amants.
Elle est très exhibitionniste. L'an dernier, en vacances, elle s'était mise nue dans une dune qu'elle pesait déserte. Tony, un homme marié de 30 ans l'a découverte. Ils ont très vite sympathisé et, dès la première fois, fait l'amour sauvagement. Sans lui demande son autorisation ni la mienne, Tony l'a prise tout- de suite sans préservatif.
Il domine complètement mon épouse, qui est très amoureuse de lui
Quelques semaines après cette rencontre torride, Tony est venu à la maison pour sauter ma femme.
Tony a fini par accepter ma présence lors de leurs ébats.
Tony avait pu se libérer pour un soir, ce qui n’est pas chose aisée, vu qu’il est marié. Comme prévu, il est arrivé en début de soirée, nous devions manger ensemble, et il devait passer la nuit à la maison. Lorsqu’il est arrivé, Karen était en train de finir de préparer le repas, elle s’était déjà habillée de façon sexy, en sous vêtements. Ses intentions étaient clairement affichées…
Il l'a prise dans ses bras, l'embrassa longuement et la félicita pour sa tenue. Karen était heureuse et amoureuse.
- Tu es magnifique chérie. Enfin je vais te prendre devant ton cocu.
Lorsqu’elle a eu fini, nous nous sommes installés dans le canapé, tranquillement, afin de prendre l’apéro. Mais celui-ci tourna court, car, nous nous sommes mis à la caresser partout. Elle ne peut résister à ce traitement. Elle nous embrassait à tour de rôle, c’est un moment très excitant que les préliminaires.
Nous avons commencé à la déshabiller, à lui retirer son string, son haut et son SG. C’est surtout son amant qui agissait. Moi, la plupart du temps, je me contentais de l’aider ou de regarder en me masturbant. Il la lécha et la doigta.
Elle était trempée d’excitation. Au bout d’un moment, elle n’y tint plus, il fallait qu’elle se fasse prendre, et demanda à Tony de la baiser. Ce qu’il s’empressa de faire.
Il la fit s’allonger et il introduit son pieu dans le sexe de ma femme. C’est une sensation incroyable. Il se mit à la pilonner. Elle commençait à pousser des cris de plus en plus forts.
Cela dura un moment, puis il lui demanda de changer de position, et se mit en levrette, toujours avec sa tête sur mes genoux et le dos bien cambré afin de présenter son sexe pour une meilleure pénétration. De temps en temps, elle avait la bonté de me prendre en bouche.
Que c’était agréable…
Son amant s’est activé en elle avec beaucoup de vitalité, au point de jouir dans sa chatte dans un grognement. J’étais moi aussi sur le point de jouir. Mais je me retins encore un peu. Ce fut mon tour de la pénétrer. Ceux qui l’ont déjà savent quelles sensation cela procure de passer derrière l’amant de sa femme, avec la chatte pleine de sperme de celui. C’est une sensation incroyable. Cela glisse tout seul, on ne sent presque rien.
Au bout de quelques aller-retour dans cette fournaise, ce fut mon tour de jouir dans sa chatte. Quand je sortis ma bite de sa chatte, un écoulement de sperme se rependit sur le canapé.
Voilà comment notre apéro s’est passé…
Nous nous sommes rhabillés et nous sommes passés à table. Karen avait remis son string, mais elle ne portait qu’une nuisette pour le haut et sa mini jupe. Pendant le repas, nous passions de temps en temps près d’elle afin de lui caresser la poitrine, histoire de la maintenir sous tension. Une fois la dernière bouchée avalée, nous sommes montés nous coucher.
Dans un premier temps, nous avions convenu de faire un câlin tranquille sous la couette dans le lit conjugal. Mais comme pour l’apéro, cela dégénéra et très vite, elle se retrouva nue (avec juste ses bas) en train de nous branler, de nous sucer et nous à la caresser.
Comme pour la fois précédente, ce fut son amant qui introduisit son sexe en premier. Et pour ne plus en sortir.
Au bout d’un moment, je sentis que j’étais de trop et que je ne pouvais rien apporter à ma femme, qu’elle avait déjà tout ce qu’elle souhaitait.
Je lui demandais si elle souhaitait que je les laisse, elle m’a répondu par l’affirmative. Je me suis donc éclipsé discrètement pour aller me coucher dans le lit de la chambre d’ami, juste à côté. Je laissais la porte de ma chambre bien ouverte afin de pouvoir continuer à suivre l’évolution de la situation. J’avoue que je n’ai pas réussi à dormir, on se demande pourquoi !!!
Les gémissements de ma femme n’arrêtaient pas de me faire bander et je me branlais avec frénésie. C’est incroyable, elle prenait énormément de plaisir à cette situation. Tony finit par jouir encore une fois en elle.
Après quelques minutes de récupération, ils vinrent me souhaiter bonne nuit et sont repartis se coucher dans le lit conjugal.
J’ai eu un peu de mal à m’endormir. J’avais peur de manquer quelque chose. Trois quarts d’heure plus tard, alors que j’avais fini par m’endormir, je fus réveillé par notre lit qui grinçait avec une cadence régulière. Je compris tout de suite de quoi il s’agissait, ils avaient remis le « couvert ». J’entendais à nouveau ma femme gémir dans la chambre d’à côté. Je me mis à bander immédiatement. Cela dura près de 20 minutes. 20 minutes pendant lesquelles je les imaginais faire l’amour, j’imaginais la bite de Tony en train de labourer la chatte de ma femme. Je n’en pouvais plus. Je me branlais pendant tout ce temps là. Au bout d’un certain temps, j’entendis le grognement de libération de Tony qui se vidait dans le vagin de ma femme. Je jouis également dans ma main en l’entendant. Puis tout redevint calme, comme si rien ne s’était passé. J’avoue qu’à l’issue de cet ébat, j’aurai bien aimé que ma femme m’appelle pour que je lui nettoie la chatte. Car nul doute qu’il avait joui en elle. Elle n’en fit rien, tout au bonheur de l’étreinte qu’elle venait d’avoir dans notre lit.
Pensant que cette fois, ils étaient fatigués et que je ne risquais pas de louper grand-chose, je me rendormi plus facilement.
Vers 6 heures du matin, je me réveillais, doucement, normalement en espérant que je n’avais rien loupé. Mais le silence régnait dans la chambre d’à côté. Je restais donc tranquillement dans mon lit à attendre la suite des événements.
Je dus juste attendre une petite demi-heure, je commençais à entendre des chuchotements, avant que le lit conjugal ne se remette à grincer. Pratiques, ces lits qui grincent… Mais cette fois, au bout de quelques minutes, ma femme m’appela afin que je vienne les rejoindre. Ce que je fis avec empressement pour voir où en était la situation.
En fait, j’avais l’impression de ne pas les avoir quittés depuis tout ce temps, car je les retrouvais à peu près dans la même situation qu’avant que j’aille dormir, c'est-à-dire qu’il avait sa bite dans la chatte de ma femme.
A croire qu’il avait dormi avec son sexe dedans. Il la limait tranquillement allongé sur le côté et elle sur le dos. Je m’empressais de mettre ma main sur le sexe de ma femme afin de bien sentir les mouvements de cette bite, et aussi de branler le petit clito de ma femme. Visiblement, elle prenait beaucoup de plaisir à s’exhiber devant moi en train de se faire baiser. Elle prenait un immense plaisir à me faire cocu.
Au bout d’un moment, ils passèrent à une autre position, ce fut elle qui vint sur lui. Ce que c’est excitant de voir son petit cul monter et descendre avec vivacité pour s’empaler sur ce sexe tendu... Comme son amant commençait à fatiguer et il me demanda de prendre la relève, ce que je fis avec empressement, en faisant mettre ma femme à quatre pattes, afin de pouvoir la prendre en levrette.
Tony avait tenu à ce qu'elle mette ses bas et des jarretelles.
C’était très agréable de passer derrière son amant. Je me mis à la pilonner avec conviction. Son amant, lui, caressait le clito et elle finit par jouir. Moi, je continuais mon travail de sape, pendant qu’elle prit le sexe de Tony en bouche, avec une main qui lui malaxait les couilles. Je voyais ce spectacle qui me plaisait beaucoup. Au bout d’un moment, son amant finit par lui jouir dans la bouche.
Ce qui déclencha également mon orgasme. Je jouis à mon tour dans la chatte de ma femme. Auparavant, Je lui avais demandé de garder le sperme de son amant en bouche, afin qu’elle puisse venir m’embrasser après. Ce qu’elle fit.
Nous étions tous les trois repus, repus de sexe et fatigués. Son amant devant retourner au travail rapidement, nous descendîmes prendre notre petit déjeuner tranquillement autour de la table.
Nous étions dans une ambiance très particulière de bien être, car tout le monde s’était fait plaisir et avait pris son pied. Tony nous quitta vers huit heures
En se promettant de nous revoir très prochainement…
Rêve ou réalité ? A vous de décider...
Ce texte a été écrit pour être publié sur un blog de sexe hard :
http://mots-crus.over-blog.com/
A vous de savoir si je décris la réalité, ou une fantsmagorie, selon le terme employé par mon ami sur son site...
Aujourd’hui, je les attends. Mes deux étalons vont arriver. Je sais ce qui m’attend. Je vais être baisée, saillie, chevauchée comme la dernière des dernières. Je mouille depuis des heures, je me branle pour soulager le feu qui me ravage depuis que je sais qu’ils vont venir me monter.
Ils arrivent, ils sont là. Ils entrent dans ma chambre. Pas un mot.
Ils se déshabillent rapidement. Leurs bites sont là, dressées contre leurs ventres, dures, insolentes, massives. De vrais pieux, qui me semblent encore plus grands, vus par en-dessous. Je n’aime pas trop les gros sexes. Mais là, j’en bave d’envie.
Je suis une femelle en chaleur, qui va être saillie par ces étalons blacks. Je suis allongée sur le lit, un s’agenouille près de mon visage, et m’enfourne l’énorme mandrin dans la bouche. Il la baise come une chatte, sans ménagement. Je pleure du manque d’air. Il n’en n’a cure. Il force ma bouche, ma gorge.
L’autre fouille ma moule sans ménagement. Il fourrage de ses doigts, m’écartèle, rit en voyant le fond de ma chatte exhibé, impudique, gynécologique. Il enfile une capote, crache sa salive dans ma moule qui frémit. Je suis tétanisée, tant par le manque d’air que par la vision de ce chibre de 24 cms de long, qui me fait peur. Je n’en fais pas le tour avec me doigts. Il est énorme…
L’autre queue viole toujours ma bouche. Ils rient tous le deux. Je ne suis qu’une poupée entre leurs mains. Le second met son énorme gland violacé contre ma chatte. Il s’enfonce d’une seule poussée, sans ménagement. Il heurte le fond de mon vagin. Je crie de douleur. Il s’en fiche, il me lime sauvagement, pour son seul plaisir.
Et, curieusement, être traitée comme une chienne m’excite ce soir. Je jouis d’un seul coup, sans m’y attendre. L’orgasme me secoue à tel point que j’éjecte les deux membres qui me besognent. Le premier crahce son foutre épais sur mes cheveux. Le second s’enfonce à nouveau, en me triant de tous les noms : « Salope, je vais te baiser, et t’enculer, tu n’es qu’une chienne à bites, un vide-couilles pour de vrais hommes… »
Celui qui a joui se branle avec vigueur à 10 cms de mes yeux exorbités. Il durcit en quelques trop courtes minutes.
" On va te prendre à deux, m’assènent-ils, deux dans ta chatte de pute."
Deux ??? Ce n’est pas possible, je suis déjà au bord de la déchirure. Il se retire, s’allonge sur le dos, me force à m’empaler sur le pieu qui ne débande pas. De nouveau, ce monstre est comme une lame qui fend mon vagin distendu.
Je me courbe en avant sous la poussée brutale de l’autre. Il pousse son pote, écrase sa bite d’un coté de ma moule déformée. Et s’enfonce. Je suis écartelée, déchirée. C’est comme si j’accouchais. Ces deux bites me défoncent au sens propre du mot. Et j’aime ça ! Un nouvel orgasme phénoménal me prend toute entière. Je hurle comme jamais. Je hurle de plaisir et douleur mélangées.
Ils jouissent presqu’ensemble. Le foutre déborde des capotes comprimées. Ils se retirent, l’un a pitié de moi. Il essuie ma chatte violentée avec un mouchoir, et vient poser sa langue, comme pour me panser.
Entre deux coups de langue, il dit les paroles qui tuent : « quand un animal a bien servi ses maîtres, on le caresse pour le récompenser. »
J’étais ça, une chienne, une jument qui a servi ses maitres en se faisant saillir. Maintenant, on me récompense d’une caresse.
Suis-je vraiment tombée si bas ?
Le manège recommencera deux fois. Trois saillies par deux étalons en une journée.
Bon score.
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je suis partant
Ce pourrait être une idée ! je meurs d'envie de le voir sucer par un homme. Mais si tu as tant envie que ça de sucer une bonne bite, j'en ai une autre à disposition pour toi... De bonnes dimensions aussi !
tu pourrais l'atacher, lui bander les yeux et je viendrais le sucer, elle est belle sa queue
Hélas, à mon grand regret, il ne veut toujours pas qu'un homme le suce... Je ne désespère pas de le convaincre un jour !
salut bel engin j'aimerais l'avoir en bouche, je suis bi et porte aussi sous vetement de femme, serait il possible de se rencontrer