Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le mari cocu volontaire
Cette histoire a eu lieu il y a un mois, Greg et sa femme Melody, avaient des travaux de peinture à faire effectuer Après avoir reçu plusieurs devis, ils avaient fait appel à celui qui semblait le plus avantageux. Le peintre, M. Vidal, avait deux jours de travail pour refaire une chambre.
Le lundi matin, il arriva de bonne heure.
Le peintre a commencé son travail et Greg est allé au bureau. Sa femme ne travaillant en cette période de vacances, restait à la maison.
Le mardi soir, M. Vidal dit à Melody que les travaux étaient presque finis, et qu'il reviendrait demain après midi pour faire les dernières finitions. Et se faire payer.
Le soir, elle lui montra le courrier reçu de la banque le matin même. Ils avaient de gros soucis financiers. Jamais ils ne pourraient pas régler le reste de la somme due à M. Vidal pour les travaux.
Après avoir réfléchi ensemble, à contrecœur, mais non sans un brin de perversité, il dit à Melody : « Ma chérie, tu sais comme je t’aime, mais il ne nous reste qu’une seule solution : le payer en nature… »
Sa femme refusa tout net cette idée. Il entreprit de lui expliquer les problèmes que cela allait leur occasionner, elle fini par accepter en faisant la moue.
Le matin, avant l'arrivé du peintre, il appela son patron en prétextant un gros rhume. Ainsi, il serait là et pourrait intervenir si cela se passait mal pour sa femme.
Elle enfila un chemisier semi-transparent, bien déboutonné, et qui laissait voir ses seins nus, elle enfila une paire de bas et une jupe sans mettre de culotte, ni de string.
Quand M. Vidal sonna à la porte, il alla se cacher dans une pièce de la maison, d'où il pouvait entendre ce qu’ils se diraient.
En entrant, M. Vidal félicita Melody sur sa beauté, et lui dit aussi qu'elle était très joliment habillée. Ils allèrent prendre un café dans le salon. Elle lui avoua alors qu'il y avait un petit problème pour le règlement.
Quant elle eut fini de parler, elle posa sa main sur la cuisse du peintre en lui disant qu'elle pouvait le payer autrement….
M. Vidal demanda si Greg était au courant de ce qui allait arriver. Elle répondit par l’affirmative, et qu’il n’y voyait aucun problème. Il hésita un instant, puis accepta. Cependant, il ajouta : « Chérie, si tu veux que j’efface ta dette, tu dois faire absolument TOUT ce que je veux de toi ! »
Bien évidemment, sachant que Greg était là, elle accepta sans discuter.
Il lui demanda de se lever et de retirer tout ce qu'elle portait. Une fois nue devant lui, il lui dit : « Ma belle, tu es vraiment bien foutue... Je ne regrette pas notre arrangement ! On va bien s’amuser tous les deux… »
Greg en avait profité pour se rapprocher et regarder quand il lui demanda de venir se mettre à genoux devant lui, de lui sortir sa queue et de le sucer.
Une fois en position, elle sorti le sexe déjà en érection de la salopette, et commença à sucer le gland tout violacé d'excitation. Quand elle commença le va et vient, il prit entre ses mains sa tête, pour lui donner le rythme avec lequel il voulait ce faire pomper. Il ne la ménageait vraiment pas…
Il voyait sa femme avec cette grosse queue qui entrait et sortait de sa bouche. M. Vidal qui lui disait qu'elle suçait bien et qu’il n’allait pas tarder à venir. De voir sa femme nue et le sexe d'un autre dans la bouche, il bandait très fort, et en était tout surpris ! Greg aurait dû être jaloux, avoir la rage qui lui tordait les entrailles... Au contraire, jamais il n’avait été aussi excité !
M. Vidal n'allait pas tarder à jouir. Il se mit à baiser la bouche de elody, et lui dit : alors : « Tu va me faire jouir, elle est bonne ta bouche, t’es une bonne pipeuse... Ton mari sait que t’es aussi salope ??? »
D'un coup, dans un grand râle, il lui éjacula dans la bouche tout en continuant son violent va et vient. Il voyait le sperme couler le long de sa queue, car Melody avait entrouvert la bouche. Il continua à se branler entre ses lèvres jusqu'à ce qu’il ait débandé.
Il se leva et l’installa sur le canapé, lui écarta en grand les cuisses, et commença à lui bouffer la chatte. Greg savait à quel point elle aimait ça. Maintenant, c’était sur, elle allait y trouver du plaisir... Greg en avait le sexe encore plus dur….
Il entendait les bruits de succions, sous les coups de langue avides. Sa femme commença à bouger le bassin, il ondulait de plus en plus et elle femme poussait des soupirs de plaisir. Elle adorait ce que ce type lui faisait, sans nul doute !
Au bout d'un long moment qui lui parut interminable, le peintre lui dit : « Mais tu mouilles bien, ma cochonne, t'es bien chaude maintenant, je vais pas tarder à t'la mettre bine profond, comme je le ferai à une chienne. Tu n’es qu’une chienne qui fait cocu son mari… »
Il ce leva et présenta à nouveau sa queue à demi bandée et encore gluante de sperme devant la bouche de Melody. Sans hésiter, elle la goba d'un coup et commença de suite à la branler, la lécher, l'embrasser, la sucer. Dans le même temps, le peintre jouait avec son pouce sur le clito et la pénétrait avec ses autres doigts.
Ayant retrouvé une bonne érection, il se retira de la bouche de la femme et lui dit : « Maintenant je vais bien te baiser, bien à fond, comme ton mari ne l’a jamais fait ! tu vas jouir comme jamais ! »
Et Melody de lui répondre : « Oh, oui prenez moi ! J’ai envie de votre queue, baisez moi, vous m'avez trop excitée, je la veux bien au fond de ma chatte »
Greg était bouche bée : jamais elle n’avait pas parlé comme ça avec lui.
Il se mit en position, face à elle, il écarta en grand ses cuisses, positionna sa bite devant les grandes lèvres. Il entra d'un coup sec tout au fond, ce qui eu pour effet de faire crier Melody de plaisir.
Le mari, cocu volontaire, voyais chère et tendre les cuisses en l'air et ce mec bien monté devant elle, à genoux. Il la prend comme un fou, la pistonne comme dans un film X. Halluciné, il entend ses couilles qui claquent sur son joli cul, elle se mord les lèvres, et se caresse les seins, elle aime vraiment ça, la cochonne !!!
Elle le fait bander comme un fou, il n'en peut plus et sort sa bite de son pantalon. Il commence à se branler en regardant sa chérie qui ce fait baiser par un autre.
Il lui demande de se mettre à quatre pattes car il veut la prendre ainsi, et voir son cul aller et venir sur sa bite. Comme avant, elle s'exécute immédiatement, le sourire aux lèvres. Il la reprend avec force en levrette. Elle soupire à chaque fois qu'il entre sa queue au fond de sa chatte, elle passe ses doigts sur son petit clito et se branle pendant qu'elle se fait défoncer.
Il lui écarte bien les fesses et passe maintenant son pouce sur le petit trou et le rentre brutalement. Visiblement, ca plait à cette cochonne… Elle ondule du cul comme jamais avant. Le peintre sort sa queue et lui met devant le petit trou. Il rentre doucement pour ne pas lui faire mal. Pour la première fois depuis le début de la séance de baise, il est plus doux avec elle. Greg en crève de désir !
Une fois entré jusque la garde, il commence son va et viens lentement, puis de plus en plus vite. Il lui souffle dans l’oreille : « T’es une vrai baiseuse, j’ai de la chance d'avoir une cochonne pareil et qui aime la baise à ce point ! Ton cul est bon ! J’aime le prendre, ça m'excite grave de te prendre par le petit trou !!! Ton mari est un sacré veinard ! »
Melody lui répond en haletant : « Vas-y, baise-moi le cul, je te sens bien, je sens bien ta grosse bite ! Elle me fait du bien ! J’aime que tu me baises comme une salope !!! »
Dans un état second et tellement excité par la situation et voir sa femme avec ce mec qui la prend en levrette, Greg finit par entrer dans la pièce.
M. Vidal, surpris s’arrête net, Melody ouvre les yeux car elle ne comprend pas ce qu’il se passe. Il rassure aussitôt le peintre, et lui dit de ne pas s'en faire, de continuer de la prendre. Il ne se le fait pas dire deux fois.
Melody voit que son mari a son pantalon sur les chevilles, la queue si bandée qu’elle touche son nombril !
Elle lui demande : « Je vois que cela t'excite de me voir me faire prendre par un autre. Tu veux que je te suce pendant qu’il continue à me défoncer le cul ? »
Jamais sa femme ne lui a parlé ainsi. Il ne résiste pas une seconde, et lui présente son sexe devant le visage. Elle le gobe et se met à le sucer comme jamais. Mais c’est si bon qu’il ne va pas tenir longtemps, il le sent…
« Ne t’arrêt pas, suce-moi encore plus fort, bouffe ma queue, salope ! »
Jamais il n’a traité son épouse de salope, mais là… Il n’en peut plus.
Elle le suce encore plus fort, il la regarde s'activer sur sa queue, il zieute aussi le mec qui derrière, et qui la prend sans ménagement.
Cette fois-ci, il craque. Il envoie sa purée épaisse au fond de la gorge de sa garce de femme. Malgré tout, elle continue de le sucer jusqu'à la dernière goutte.
Greg se retire et regarde sa femme continuer de se faire baiser à fond. Il va rebander à nouveau, c’est sur !!!
Pourtant le peinte se retire du cul de Melody, et le regarde.
« Maintenant que j’ai bien défoncé ta femme, je veux jouir. Vous allez me faire jouir tous les deux, en me suçant ensemble ! »
Greg est ahuri. Jamais il n’a touché un homme. Et sucer cette queue qui sort de l’anus de sa femme…. On ne peut pas dire qu’il soit ravi… Il tente de refuser, mais le peintre se fait menaçant : « Ta femme a accepté de me faire tout ce que je voulais. Absolument TOUT. Puisque tu es là, tu es aussi obligé de faire ce que je veux. Sinon, je n’efface pas votre ardoise. ! »
Résigné, Greg, vient s’assoir sur le canapé, à coté de sa femme. Il empoigne la bite, et la porte entre ses lèvres. Il fait une grimace, mais le peintre lui agrippe la nuque et enfonce son gland dans sa bouche. Le mari cocu se trouve à moitié étouffé par ce gros pieu odorant. Melody masse les couilles du peintre. Il grogne de plaisir, baise la bouche de Greg. Soudain, il est pris de secousses, et pousse un grand râle : il a joui. Greg a la bouche plein du foutre chaud de l’artisan. Ce dernier ordonne :
« Embrasse ta femme, fais-lui manger ma crème. Salope comme elle est, elle va adorer ! »
Greg, humilié, est pourtant excité comme jamais avant. Dès le peintre partit, il se tourne vers sa femme, et la baise avec une ardeur qu’ils ne connaissaient plus ni l’un ni l’autre depuis des années !!!
Greg s’exécute, et enfourne sa langue entre les lèvres de sa femme. Il est surpris de voir sa femme avaler sans sourciller le liquide âcre, et même lui en lécher les dernières gouttes sur ses lèvres.
Le peintre remet son jouet devenu mou dans sa salopette et nous salue en nous disant qu'il aimerait bien avoir plus souvent des clients comme eux.
Mon ex femme et son amant
Nous nous sommes séparés avec mon épouse en 2006. Après 4 ans de mariage, les disputes étaient fréquentes, et pour tout dire nous ne supportions plus la vie en commun. Pourtant, nous avions partagé jusqu'à la fin de notre relation une excellente entente sexuelle.
Mon ex s'appelle Katia. C'est une femme pulpeuse de 42 ans, petite, jolie, elle a une peau mate, des cheveux auburn très bouclés, et de jolis yeux bleu outremer. Elle est plutôt ronde… Mais j’adore ses rondeurs…
Pendant l’été qui a suivi notre séparation, je suis parti en vacances dans un hôtel de Saint Kitt’s. Mon nouveau célibat m'a incité à prendre ce genre de vacances, où les rencontres sont faciles et sans grandes conséquences sentimentales.
L’hôtel est composé de jolis bungalows, regroupés par deux avec un petit jardin commun. J'ai vite fait la connaissance de mon voisin, un breton de mon âge, Denis, qui profitait de ses vacances et de sa séduction naturelle pour multiplier les conquêtes. Nous sommes vite devenus copains.
Je l'entendais parfois par les minces cloisons de ma chambre ravir ses compagnes d'une nuit. Il m'arrivait de faire de même, mais j'avais toutefois moins de succès que lui ! D'autre part, je gardais une certaine tristesse de ma séparation. Ce sentiment m'empêchait de faire comme lui le séducteur tous les soirs dans les boites où nous allions trainer.
Après une semaine, un matin, au sortir du petit-déjeuner Denis me dit que ce serait sympa d'assister aux arrivées hebdomadaires. Il ajouta en me faisant un clin d'œil :
« Il y aura peut-être de nouvelles jolies jeunes femmes cette semaine ! »
Nous allâmes donc boire un café au bar de l'hôtel en regardant tous ces nouveaux arrivants harassés par la longue traversée de l’Atlantique
Soudain, mon cœur s'arrêta net. Parmi les arrivants, je reconnus Katia, avec une de ses amies, Nathalie, qui m'avait toujours exaspéré. Au moment où j'allais dire quelque chose, Denis me pinça le bras : « He, mon pote, regarde ces deux elles femmes, surtout la brune, avec un si beau cul !!! »
J'étais rouge comme une écrevisse. La brune avec un « magnifique cul », c'était évidemment Katia. J'étais consterné de voir débouler mon ex sur mon lieu de vacances. Il me fallait à tout prix reprendre mes esprits. Je prétextais un besoin urgent et m'éclipsais vers ma chambre.
C'était évidemment un hasard, une pure coïncidence. C’est vrai que nous avions souvent parlé de venir ici, mais sans jamais mettre notre projet à exécution. Et il fallait qu’elle fasse, avec cette gourde de Nathalie, en plus !
Je ne savais pas comment aborder la chose, et surtout pas devant Denis, à qui je n'avais pas raconté ma récente séparation.
Je partis à la piscine... Et je croisais Katia avec ses bagages et son amie qui allaient vers leur chambre. Elles furent aussi surprises que moi. Katia avait l'air furieux. Voyant arriver l'orage, Nathalie s'éclipsa pour nous laisser parler.
« Comment se fait-il... » commença Katia. En voyant ma tête déconfite, elle comprit que je n'y étais pour rien et se calma.
« Ecoute, tu prends des vacances, je prends des vacances. Faisons comme si on était des copains de Paris qui se connaissent un peu. Ca nous facilitera la vie à tous les deux. »
« D'accord, lui dis-je. Mais essayons de nous croiser le moins possible, ça aussi ça sera plus facile... »
Elle acquiesça, et tourna les talons. Je rejoignis Denis qui m'attendait à la piscine et qui était tout surpris de voir que je connaisse les deux filles. Je lui expliquai donc que c'étaient « de vagues copines de Paris » et on en resta là.
Plus tard, alors que l'on se faisait dorer au soleil, nos vîmes les filles arriver à la piscine. Denis me poussa du coude. Il faut dire qu'elles étaient mignonnes en maillot, et surtout Katia, appétissante avec son postérieur tout dodu et ses seins généreux comprimés dans le maillot fuchsia...
Je fis comme si de rien n'était, et fis mine de me rendormir. Je surpris plus d'une fois le regard de Denis sur Katia. Il me sembla bien que mon ex-compagne jaugeait mon nouveau copain derrière ses lunettes de soleil.
Deux jours passèrent. J'avais présenté mes « copines » à Denis, qui ne manquait pas une occasion de me faire une remarque salace sur le physique d'Katia. Cela m'agaçait et je ne pouvais pas lui dire pourquoi. Toutefois, nous ne les rencontrions pas souvent. L'hôtel étant grand, il était possible de ne pas se croiser trop souvent, à part au restaurant, où je pouvais juger de son bronzage grandissant. Avec son type de peau, elle était dorée par le soleil, et pour tout dire très séduisante.
Ce soir-là, nous décidâmes, Denis et moi, d'aller dans la boite de l'hôtel. J'avais marqué quelques points auprès de Mylène, une touriste suisse que je devais retrouver dans la soirée. Denis m'accompagna.
Vers 23 h, alors que j'étais en pleine discussion avec Mylène, Katia et Nathalie firent leur entrée dans la boîte. Katia me jeta un coup d'œil inquisiteur. Elle ne se faisait visiblement aucun doute sur ce que j'entreprenais et je me sentis un peu gêné.
Elle était ravissante : maquillée, ses beaux cheveux noués, une courte jupe mettant en valeur ses jambes gainées de noir.
La bretelle du soutien-gorge contenant sa lourde poitrine dépassait de son haut et je fis un rude effort pour me concentrer sur Mylène.
Denis invitait à danser toutes les filles qu'il pouvait, et je ne me fis pas trop d'idées lorsque je le vis danser avec Katia. Quand les slows arrivèrent, j'invitai ma nouvelle compagne. Tout en dansant, je vis cependant que Denis collait Katia, la faisait danser, boire et il lui chuchotait à l'oreille des mots qui la faisait rire.
Je quittai la boite avec Mylène, que je tentai de la ramener vers ma chambre. J'obtins un baiser passionné d'adolescente, suivi d'une excuse à propos d'une « séparation récente qui la poussait à ne pas s'engager trop vite », et elle partit se coucher.
Je fis de même, un peu désappointé. Je sombrai vers 2 h. Mais vers 3 h, je fus réveillé par des rires. Mon cœur s'arrêta brusquement de battre, tout comme à l’arrivée de Katia, quelques jours plus tôt.
J'avais reconnu les voix d'Katia et de Denis. Je les entendis rentrer. Elle avait la voix un peu éméchée. Puis rien pendant un moment. Je me levai pour aller dans la salle de bain, allumai la lumière quand j'entendis se rouvrir la porte de mon voisin, puis on frappa doucement à ma porte. Etonné, j'allais ouvrir. C’était Denis : « Excuse-moi, mon pote, mais j’ai vu qu’il y avait de la lumière, et j’ai pensé que tu ne dormais pas. J’ai un petit problème, pourrais-tu m’aider ?
Je le fis rentrer. Il chuchota, l'air ravi : « La belle fille au gros cul, elle est dans ma chambre, mais je n’ai pas de capotes Tu en aurais à me prêter ??? »
Alors là j'étais éberlué. Il venait me demander de lui donner des préservatifs pour s'envoyer en l'air avec Katia. Et je ne pouvais rien dire, il m'avait « dépanné » du même service cinq jours auparavant. J'ouvrai mécaniquement le tiroir de la table de nuit. Au moment où j'allais lui tendre la boite il me désigna le tube de lubrifiant qui était à côté avec un clin d'œil : « Et ça aussi, mon frère, je vais en avoir besoin cette nuit ! »
Je lui tendis les deux objets. Il me remercia chaleureusement et me souhaita bonne nuit...
Je me recouchai en essayant de ne pas imaginer ce qui allait se passer à côté. J'étais partagé entre la raison qui me disait que c'était normal, car nous étions séparés, un zeste de jalousie et une étonnante excitation.
Je me rendis vite compte que je ne pouvais pas dormir du tout. Je sortis dans le jardin, et poussé par un mauvais instinct, je me rapprochais en catimini de la porte-fenêtre de Denis, qu'il gardait souvent entrouverte.
Il avait laissé la lumière de sa salle de bains allumée, ce qui laissait une très douce lueur dans sa chambre. Je me rendis compte que ses rideaux ne m'empêchaient pas de voir à l'intérieur, me rapprochai encore et là, je les vis. Ils s'embrassaient passionnément sur le lit. J'étais à moins de trois mètres d'eux et je pouvais les observer tranquillement sans être vu. Il y avait devant moi un petit buisson qui devenait mon allié dans l'obscurité...
Je n'ai pas une mentalité de voyeur mais je ne résistais pas au spectacle. Elle avait dénoué ses cheveux et l'embrassait avec ardeur. Je me dis qu'elle n'avait peut-être pas fait l'amour depuis fort longtemps. Elle s'arracha de sa bouche quand il commença à lui pétrir les seins en gémissant. Sa main malaxa son entrejambe à lui, elle cherchait à le masturber au travers du jean's.
Elle se leva, fit disparaître son haut, ses chaussures et sa jupe et apparut en string, soutien-gorge. Tout en la caressant il se déshabilla entièrement, puis glissa au sol pour lui embrasser l'entrejambe. Il fit tomber au sol le petit string.
Elle sourit : « Toi, tu es un coquin... »
Il se releva, recula un peu et l'admira : « Tu es si belle, Katia ! »
Elle minauda un peu
« Et toi, tu es un bel étalon » dit-elle en observant d'un air appréciateur son érection. Il avait un sexe large et long et, toujours debout, elle lui roula une pelle enamourée en le branlant lentement. Il lui caressait le dos, les fesses avec passion, et elle le poussa à s'asseoir au bord du lit. Elle s'agenouilla, ouvrit la bouche, et lentement, très lentement, engouffra son sexe entre ses lèvres pulpeuses. Il poussa un râle de satisfaction, et lui caressa les pointes de ses seins que je voyais érigées sous la fine dentelle du soutien-gorge. Elle commença à le sucer avec passion, et je savais à quel point elle pratiquait bien cet art ! Il gardait les yeux fermés et ne vit pas ce que je vis : sa main droite à elle disparut entre ses cuisses. Tout en le suçant avec art, elle se masturbait avec délice.
J'avais une vision incroyable d'où j'étais : je voyais Denis, assis sur le lit, en train de se faire tailler une pipe par mon ex-femme que j'observais de dos, son large postérieur s'agitant sensuellement pendant qu'elle se masturbait... J’avais mon short sur moi et je ne résistais pas à me caresser machinalement au travers de la toile...
Denis gémissait sous la caresse buccale, il lui empaumait les seins tout en marmonnant des phrases en italien que je ne compris pas. Soudain, il s'arc-bouta et jouit longuement. Je vis à l'accélération subite des doigts de Katia dans sa chatte, et surtout à la chair de poule qui recouvrit ses fesses, qu'elle aussi jouissait. Elle le maintint dans sa bouche et avala tout. Le foutre coulait entre ses lèves pulpeuses…
La scène était tellement érotique que je me rendis compte que j'avais joui en même temps qu'eux, en me touchant... Lorsqu'il eut fini de jouir, elle se dégagea lentement, le regarda avec un sourire ironique et lui dit : « Si vite ? Et moi, alors ? je n’ai pas eu ma part… »
Quelle menteuse ! bien sûr qu'elle avait joui ! Je me sentis curieusement rasséréné du fait qu'elle lui reproche sa jouissance rapide. Cela en faisait moins un Superman... Mais il se dressa, son sexe un peu débandé et dit en souriant : « Pas de problème, c’est ton tour, ma puce. »
Il l'allongea sur le lit, et lui écarta doucement les jambes. Il ouvrit avec ses doigts les lèvres humides et roses de désir. Il se mit à lui lécher fort délicatement le sexe en la tenant par les fesses qu'il malaxait voluptueusement. Elle se gémissait, haletait, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge pour libérer sa poitrine, s'humecta les doigts et se toucha le bout des seins. Je l'avais vue pratiquer ce type de caresses souvent par le passé, mais là, la vision était fort différente puisque ce n'était pas moi qui étais en train de la lécher...
Je suivais sur son visage la montée de son plaisir, elle s'agitait de plus en plus sous la langue de Denis. Elle prit la tête de son amant à pleine main, et la lui appuya sur le pubis en haletant. Elle se tendit comme un arc, en criant pendant qu'elle jouissait pour la deuxième fois.
Denis se redressa, son sexe avait repris une forme plus honorable. Katia, insatiable, se pencha sur lui pour le sucer encore un peu, jusqu'à obtenir une rigidité absolue...
Il tendit la main et attrapa un préservatif qu'il déroula sur sa verge tendue et roula sur le dos... Katia se mit sur lui, guida sa verge et lentement, très lentement, se l'introduisit en elle. Elle poussa un râle de satisfaction. Elle était tellement inondée que j'entendais le doux clapotis de leur accouplement. Il la maintenait soudée à lui en lui pétrissant les fesses pendant qu'elle s'agitait en gémissant, ses gros seins totalement échappés du soutien-gorge ballottant au rythme de leur coït.
Il se dégagea doucement, la coucha sur le ventre et la pénétra ainsi. Je savais qu'elle adorait être prise comme ça et elle répondit à ses coup de reins par un roulage des fesses des plus érotiques. Tout en lui faisant l'amour, il se redressa et caressa ses fesses.
Il semblait obnubilé par cette partie de son anatomie. Il glissait de temps à autres son pouce dans le sillon fessier de Katia qui ne protesta pas, comme elle le faisait avec moi.
Il humecta son majeur et lui pénétra doucement la rosette. Elle cria « oui, oui », et eut un troisième orgasme.
Denis, rendu endurant du fait de son premier orgasme, la laissa reprendre ses esprits et, toujours en elle, tendit la main pour attraper le flacon de lubrifiant. Je voyais bien où il voulait en venir. Je m'attendais à un refus d'Katia. Elle n’aimait pas ça du tout, et ne me laissais faire que très très rarement.
Eh bien je me trompais. Visiblement, elle en avait envie, car lorsqu'elle sentit le produit couler sur son orifice anal, après un léger sursaut elle fit juste entendre un « mhumm » qui semblait me donner tort.
« Tu aimes ? » demanda Denis
« Oui, mais vas-y doucement, s’il te plait »
Il enfonça tout doucement son doigt dans son petit œillet lubrifié. Elle roulait des fesses, tendant sa croupe vers le doigt qui lui fouillait l'arrière train, et je sus que Denis n'allait pas tenir longtemps. Il se dégagea de son sexe et approcha son pénis de sa « petite porte d'entrée secrète », selon les mots de Katia. Il lui souffla à l'oreille : « Tu vas me guider en toi, je te laisse faire, décide du moment qui te semble bon…”
Je sentis monter l'adrénaline lorsque je la vis prendre le sexe de son amant et le positionner entre ses fesses charnues. Elle poussait en arrière, gémissait quand le gland pénétrait un peu son intimité anale. Elle tourna la tête vers Denis et lui dit : « S’il te plait, remet du lubrifiant, mets-en bien plus. »
Il ne se le fit pas dire deux fois, et pour le coup se recouvrit le sexe d'une généreuse couche de lubrifiant, ainsi que la « petite porte secrète » de mon ex. Ainsi préparée, elle s'introduisit sans difficulté le sexe de Denis dans ses reins. Lorsqu'il fut entré en entier elle se mit carrément à crier son plaisir. Elle se redressa sur les bras. Il commença à faire des va-et-vient dans ses fesses, d'abord doucement, puis de plus en plus vite. Elle était comme une femelle en chaleur, râlant, gémissant, hoquetant. Ses fesses tremblaient un peu sous les assauts de son mâle, ses gros seins tendus par le plaisir ballottaient. Mon sexe à moi avait la rigidité d'une statue, et je me caressais sans honte, les yeux rivés sur le spectacle de mon ex sodomisée. J’avais rarement été aussi excité que ce soir là !
Elle commença à se masturber la chatte avec ardeur. Denis, enfoncé dans ses fesses, accéléra ses mouvements face à ce spectacle charmant... Elle dit : « Oui, oui, mon chéri, viens dans mes fesses, jouis, jouis »
Accroché à ses larges hanches, il se vida en elle, en criant pendant qu'elle jouissait comme une folle, je vis les doigts de Katia s'agiter à toute vitesse entre ses cuisses charnues, et je dois avouer que moi aussi j'arrosai la végétation autour de moi de ma semence épaisse...
Apparemment repus, ils s'endormirent l'un sur l'autre. J'allais me coucher, plein de pensées très confuses. J'avais à la fois honte de m'être masturbé comme un adolescent en les matant, et j'avais un curieux sentiment de jalousie. Je me posais aussi des questions sur le désir qu'elle me procurait maintenant. Heureusement qu'elle ne savait pas que j'avais la chambre contiguë à celle de Denis...
Vers 7 h 30, j'entendis par la cloison des bruits sourds, des râles. Apparemment ils avaient remis ça. Je tentai de me rendormir, mais, exaspéré je me levai et allai prendre mon petit-déjeuner. Lorsque je revins, au moment où j'ouvris ma porte, je tombais nez à nez avec Katia qui sortait. Mon cœur battait la chamade. « Ah, c'est ta chambre, ici ? » dit-elle un peu sottement.
« Remarque, j'aurais pu m'en douter, comme tu es copain avec Denis... »
Elle était rouge de confusion, et moi aussi. Je luttai contre une érection envahissante car me revenait ses ébats de la nuit. Elle le vit, et, le regard trouble, me demanda d'une voix douce : « Tu nous as entendus ? »
« Ben... oui. »
Je ne pouvais évidemment pas lui dire que non seulement je les avais entendus, mais que je les avais matés copieusement...
Elle me sourit : « On dirait que ça t'a fait de l'effet. » Son regard désignait la bosse de mon short que je n'arrivais pas à dissimuler.
« Et toi, tu t'amuses bien ici aussi... » Elle faisait allusion à Mylène, et je ne cherchais pas à la détromper. D'autant que depuis notre séparation je n'avais pas vécu comme un saint, loin s'en faut.
« Tu sais, depuis notre séparation je n'avais pas fait l'amour. Et là, avec les vacances, c'est comme un déclic, j'en ai follement besoin. »
« C'est ton problème, bougonnai-je, tu fais ce que tu veux. »
Elle me regarda avec douceur. « Ca peut être le tien, si tu le souhaites. Il y a des choses sur lesquelles on fantasmait tous les deux et que l'on n'a jamais tentées... »
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<link href="file:///C:DOCUME~1StephaneLOCALS~1Tempmsohtmlclip1 1clip_colorschememapping.xml" rel="colorSchemeMapping" />Là, elle me sciait. On avait parfois parlé, dans les jeux de l'amour, de parties avec un troisième partenaire, mais j'avais toujours pensé que c'était un fantasme uniquement...
« Et puis... Tu me manques ! » dit-elle en me poussant dans ma chambre.
Bon sang ! Elle ne doutait de rien ! Cependant, lorsqu'elle me fit tomber sur le lit et qu'elle m'arracha mon short, mon sexe érigé ne pouvait faire mentir le désir que j'avais d'elle.
« Je te vais te soulager, mon pauvre chéri, dit-elle suavement. Et puis je vais parler à Denis. Je suis sûr qu'il est partageur, et qu'il aimerait bien que l'on joue tous les trois. Je vais organiser ça pour ce soir. Tu veux ? »
En me parlant, elle se mit à me masturber avec ardeur. Je voulus lui toucher les seins, elle me fit : « tut-tut, ce soir peut-être si tu es sage. »
Je déclarai assez vite forfait, et éjaculai à longs traits brûlants sous ses caresses insistantes
« Ne t'inquiètes pas, il dort encore, me dit-elle. A ce soir, alors… »
Je la regardai s'éloigner, songeur.
A midi, je retrouvai Denis, dithyrambique sur sa conquête de la nuit. « Elle adore que je l’encule, c’est ahurissant, mon frère, elle adore ça !!! Si tu savais comme elle est bonne ! »
Elle vint le rejoindre au dessert et lui parla à l'oreille un long moment. Je m'éloignai prendre un café. Il vint me voir, hilare : « Elle me dit que tu es sympa, et elle voudrait nous avoir tous les deux ensemble… »
Ca prenait des proportions des plus étranges. Voilà qu'un copain de vacances, amant de mon ex, me proposait une partie à trois avec elle...
Nous allâmes nous reposer à la piscine. Katia apparut, sanglée dans un maillot de bain deux-pièces qui moulait étroitement son anatomie. Elle vint nous voir, et nous dit : « Il fait un peu chaud pour rester au bord de la piscine, moi j'irai bien me reposer au frais.. » « Donne-moi ta clé, Denis, s’il te plait… »
Elle me fit un petit clin d'œil. « Rejoignez-moi dans dix minutes... »
Je ne résistai pas à lui balancer un : « je croyais que tu pouvais attendre jusqu'à ce soir ! » qui lui fit hausser les épaules. Elle s'en alla, ses hanches ondulant de manière sensuelle. Denis me dit : « Je te l’avais bien dit, elle est incroyable ! »
Difficile de lui dire que j'avais profité de ses charmes bien avant lui...
Nous allâmes la rejoindre sans mot dire. Lorsque nous pénétrâmes dans la chambre, l'ambiance était électrique, d'un érotisme intense. Elle nous attendait, allongée sensuellement sur le lit, ses jolies fesses posées sur un paréo blanc et or.
Elle roula une pelle enflammée à Denis en me tournant le dos, je lui pétris les fesses et elle attrapa ma bite bien dure. Je lui dégrafai le haut de son maillot, pendant que Denis lui faisait glisser le bas le long de ses jambes. Je lui empaumai vigoureusement ses gros seins, et elle gémit quand Denis, agenouillé, commença à lui lécher ses lèvres intimes, déjà bien humides…
Nous retrouvâmes nus comme des vers tous les trois, et je m'assis sur le lit. Elle se mit à plat ventre en face de moi pendant que Denis enfilait un préservatif. Visiblement, il ne voulait pas perdre de temps !
Elle m'attrapa le sexe et le prit en bouche. Dans le même temps, Denis, la pénétrait. J'étais fasciné, je voyais sa bouche pulpeuse sur moi pendant que son arrière-train tressautait sous l'assaut de Denis. Elle avalait presqu’entièrement mon sexe, qui bandait comme jamais. Je lui remplissais la bouche de mes va et vient puissants, plein d’excitation et de rage d’être dans cette situation inédite.
Après quelques délicieuses minutes, nous échangeâmes la position et je ne résistais pas à l'envie que j'avais de la sodomiser. Pendant qu'elle avait la hampe de Denis dans la bouche, je m’enfonçais dans ses reins avec facilité. Comment pouvait-elle être aussi ouverte ?
Elle sortit un instant la queue raide de Denis de sa bouche, et me dit d'une toute petite voix : « branle mon clitoris, je vais jouir ! » Je lui massai délicatement son petit bourgeon et elle fut agitée de spasmes violents. Au même moment, Denis déversa son sperme chaud et âcre dans sa bouche. Je me répandis à grands jets violents dans ses reins.
Elle se dégagea, et à ma grande surprise, di d’un ton nonchalant : « Ce soir, j'aimerais essayer avec vous deux en même temps... Là, il faut vraiment que j'aille dormir, je suis épuisée… »
J’étais totalement ébahi ! Comment avait-elle pu changer autant ???
Le soir nous nous retrouvâmes, toujours dans la chambre de Denis. Elle nous avait fait la totale : maquillée, de grande créoles en or aux oreilles, et bien sur, des bas…
Nous avons commence une lente dans de l’amour, nous embrassant tous les trois, sans distinction de sexe, nous caressant partout, ma main effleura même le sexe de Denis, qui ne broncha pas. Je m’enhardis, et le caressais plus fermement. Katia commença à l’emboucher, pendant que je serrais la base du vit de mes doigts. Vu la folie ambiante, je ne pus m’empêcher de poser ma langue sur le gland décalotté de mon copain. Il me regardait faire, toujours aussi « impassible ». Voilà une chose qu’il m’avait cachée !!
Malgré tout, c’était aussi une première pour moi ? J’ai aimé le contact lisse et chaud du gland, à tel point que j’ai fini par le sucer carrément, écartant Katia. Celle-ci vint poser sa chatte trempée sur le visage de Denis, qui se mit à lui laper le con avec ardeur. J’entendais le bruit de succion de sa bouche sur les lèvres pendantes. Elle gémissait, dansait que la figure de mon copain. Une vraie salope en transe ! Elle jouit une première fois, lâchant un flot de mouille sur la bouche de son amant.
Momentanément repue, elle se coucha sur le coté, me regardant pomper avec ardeur Denis, qui menaçait de jouir entre mes lèvres. Je le lâchais, pour que Katia puisse se faire sodomiser tout à loisir par Denis.
Je les matais, assis dans le fauteuil ma bite toujours aussi dure dans la main. Elle se laissa enculer un long moment. Hypnotisé, je voyais la longue queue dure de mon pote ouvrir en deux le large cul de Katia. Elle le fit se retirer, changea sa capote, et lui demanda de s’allonger sur le lit.
Elle s'embrocha d’un coup sur lui, se tourna vers moi et me dit : « Viens me prendre, doucement, tout doucement. » Ca y était, elle voulait que le la sodomise, elle voulait sa double pénétration…. Un vrai rêve pour moi…
Je m’approchai de son cul, qui ondulait sous la pression de la bite de Denis. Sa rosette était encore béante de son premier enculage. Je ne pus me retenir de lécher et d’enfoncer ma langue dans ce petit trou si appétissant…
Enfin, je mis une capote, et posais mon gland contre la rosette distendue. Sans effort, Je la sodomisai lentement. Enfoncé au fond de ses fesses majestueuses, je pouvais sentir le chibre dur de Denis !
Ce fut elle qui commença à bouger. Elle était échevelée, criait des mots sans sens. Nous étions dans une danse du sexe sans fin, bougeant en rythme de nos deux pénétrations fortes et intenses.
Puis elle annonça qu'elle allait jouir, elle me demanda de lui toucher les seins.
« Allez-y mes chéris, jouissez tous les deux en moi, j'aime, j'aime »
Nous eûmes, tous les trois en même temps, un orgasme foudroyant. Il nous laissa pantelant, ko. Mais pas pour longtemps. Quelques minutes après, le désir était là, à nouveau, puissant, dévastateur, violent. Nous cédâmes à nos envies, sans tabou, nous baisant tous les trois à qui mieux-mieux…
Nous continuâmes nos activités à trois jusqu'à la fin de notre séjour, et je redécouvris ma femme, et elle me redécouvrit.
Depuis que nous sommes rentrés, nous avons arrêté la procédure de divorce. Nous habitons encore chacun de notre côté. Pourtant, nous nous voyons presque tous les soirs. Ces étonnantes expériences sexuelles nous ont réconciliés...
Je sais que nous recommencerons, à trois, ou plus. Elle a adoré me voir baiser un homme, et veut vivre à nouveau cette expérience…
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Extrait d'un superbe blog, à visiter absolument !
Une magnifique histoire de cocufiage en règle, par Olga et Philippe
Le bureau du cocu était devenu un terrain idéal de chasse pour les exploits d'Olga, sa femme.
Elle y avait d'autant plus ses habitués que ceci se passait à la période où, poussé par Marie, j'envoyais régulièrement Olga au L... pour « travailler.»
La semaine où elle ne pratiquait pas le plus vieux métier du monde, elle se rendait sur le lieu de travail de son mari bafoué, situé lui aussi au L..
En général, ça se passait comme ça : le matin, avant que Philippe ne nous quitte pour aller travailler, Olga et moi, on lui tenait compagnie. Olga était généralement nue ou en nuisette. J'avais passé une partie de la nuit à honorer l'épouse du cocu. Insatiable celle-ci était dans mes bras, pour se faire embrasser devant Philippe. Bien souvent, elle se mettait à genoux pour me tailler une pipe, voire venait sur mes genoux pour s'empaler. Non seulement cela ne gênait pas Philippe, mais il en raffolait.
Je me contentais de l'informer:
- Au fait, on passe à ton bureau tout à l'heure, il y a des collègues à toi qui veulent baiser ta femme. Tu dois être satisfait. Je pense que tout le monde là bas t'appelle le cocu.
- Vous avez prévu que ça se passe où?
- Tu verras. Tu ne seras pas déçu. Tout sera filmé ou photographié pour que ça circule parmi tes collègues.
Nous avions demandé à Philippe de nous laisser la voiture et d'aller au travail en train. Il nous a dit ensuite que, toute la matinée, il avait subi les quolibets de ses collègues, qui parlaient d'Olga devant lui sans se gêner :
- Alors la putain vient à midi?
- Elle a été réservée par pas mal de monde. Moi j'ai fourni un certificat HIV à son mec, je vais pouvoir me vider en elle.
- Dis donc T, toujours aussi heureux d'être cocu ? On va s'en occuper de ton Olga.
Je suis arrivé comme convenu à 12 h 00 au parking. La première étape était prévue avec nos vieux complices, Paul et Jean, ainsi qu'Olivier. Ils avaient été les premiers à se taper Olga en présence de Philippe, et étaient mes relais sur place. Ils étaient devenus des amants réguliers d'Olga.
Ces trois types étaient les principaux collègues directs de Philippe. Ils avaient annoncé à grand renfort de photos porno de l'épouse adultère la venue d'Olga, et excité Philippe avec tout ce qu'ils avaient l'intention de lui faire subir aujourd'hui.
J'avais ordonné à Olga de ne porter ni slip, ni string, seulement des bas et un soutien. A la différence de ce que fera par la suite Hassan, je n'exigeais pas que sa chatte soit systématiquement épilée ou rasée.
Paul, Jean, Olivier, accompagnés de Philippe qui ne devait rien rater de son infortune qu'il avait tant souhaitée, nous rejoignirent. Ils sortirent Olga de la voiture et lui roulèrent des pelles. Leurs mains exploraient déjà la chatte de Madame Philippe T.
- Putain, elle est déjà trempée, la chienne. Allez Rachid, avoue, pendant que tu conduisais, ta main gauche s'est perdue du côté de sa chatte.
- Evidemment, comment résister? Jean et Paul, je sais que vous avez envie. Sautez-la sur le capot de la voiture de son cocu !
- Mais c'est l'heure où beaucoup sortent pour aller déjeuner.
- Et alors, c'est voulu. Comme ça plus personne ne pourra ignorer la vérité. Madame Olga T est une putain qui vient ici se faire mettre et son mari est un cocu heureux.
Jean baissa son pantalon. Il bandait déjà très fort et ne s'embarrassa pas de préliminaires. Il savait que cette salope voulait être saillie, qu'elle adorait se donner en spectacle et bafouer le mari cocu qui n'en perdait pas une miette.
Olivier et moi nous l'embrassions, lui caressions les seins, faisions des commentaires :
- Le cocu ne te branle pas, c'est loin d'être fini, ménage toi !
- Oh Rachid merci, c'est bon. Oui Jean, bourre-moi, mets-là moi bien profond. Tu aimes faire Philippe cocu, hein salopard ?
La froideur de la carrosserie, le côté sordide de l'étreinte ne la rebutait pas. La fière bourgeoise hautaine et coincée avait disparu, au profit d'une femelle éternellement en chaleur, folle de son corps.
Jean se vida dans la chatte d'Olga, arrachant à celle-ci son premier orgasme de la journée. Aussitôt Paul prenait la place. Les passants encourageaient les mâles qui besognaient Olga, insultaient Philippe et Olga. Certains s'arrêtaient pour mater, quelques uns sortaient leur queue pour se masturber ou la présenter devant les lèvres d'Olga. Les cris de plaisir de celle-ci étaient ainsi étouffés, et elle bénéficia ainsi de ses premières rations de sperme, avant même le déjeuner. L'un des hommes lui tint la tête et se branla dans sa bouche, alors qu'Olga était secouée par le coït violent que lui imposait Paul. Ils ne la considéraient plus que comme un trou à bites, c'est d'ailleurs ce qu'elle voulait en ce moment. Pas de tendresse, au contraire la brutalité de ces étreintes la stimulait.
Le type qui baisait sa bouche lui envoya plusieurs giclées dans le gosier au moment où, à son tour, Paul jouissait dans la chatte d'Olga. Le type lui ordonna de ne pas avaler et appela Philippe :
- Viens ici cocu, et roule-lui une pelle pour lui montre que tu adores qu'elle se fasse baiser devant to i!
Philippe ne se fit pas prier pour partager la semence avec son épouse adultère.
Rachid intervint :
- J'ai une autre surprise. Olga, rentre dans la voiture !
- Mais elle est couverte de sperme, ça dégouline de sa chatte. Elle va tout salir !
- Tu es incroyable Philippe. N'importe qui peut passer sur ton épouse mais pas question de salir ta bagnole. T'inquiète, le cuir ça ne tache pas !
- Entre par le côté passager. Mets une jambe du côté conducteur !
- Maintenant, tu vas descendre et t'empaler sur le levier de vitesse, Olga
Philippe essaya d'empêcher ça :
- Vous êtes fous ? Tu as vu le diamètre de ce levier ? Elle va se blesser. Fais la plutôt baiser par d'autres hommes, elle est venue pour ça, et c'est ce que j'aime. Ne la fais pas souffrir.
- Ta gueule, cocu, espèce de pédé. Tu n'as plus rien à dire. Ne t'inquiète pas, elle sera bien baisée aujourd'hui. Pour toi, il n'y a plus que ça qui compte, non? Tu seras autant cocu que tu le souhaites et que tu le mérites. Quand à ça, ce n'est pas le supplice du pal, je la fiste régulièrement, et elle adore ça. En plus le sperme qu'elle a dans la chatte et sa mouille lubrifieront ce gode improvisé
Olga coupa court aux discussions en obéissant fidèlement à mes ordres. Se tenant au tableau de bord, elle s'empala progressivement sur le levier de vitesse. Ca rentrait sans grande difficulté, ses chairs s'élargissaient. Son visage traduisait non la douleur mais le plaisir.
- Oh, oui ça rentre! Oh je suis bien remplie !
- Et bien tu vas te baiser toi même sur cette belle bite en bois. Exhibe ton plaisir devant nous !
Son sourire en disait long sur le plaisir qu’elle éprouvait. Olivier, excité, mit sa main sur son sexe qui commençait à gonfler. Olga écarta les jambes et, comme elle mouillait déjà, elle ne mit qu’un petit peu de lubrifiant. Olga, qui avait déjà été bien baisée, était bien ouverte, les grandes lèvres laissant apparaître les petites. Elle exerça tout d’abord une pression sur la partie la plus fine de l’engin, afin de le faire entrer un peu dans l’anus ; puis avec une sorte de mouvement de bascule, elle introduisit le levier dans le vagin, d’abord un peu, puis, répétant plusieurs fois le mouvement, elle l’entra tout à fait dans les deux orifices. Olga se sentit remplie comme rarement. Elle sentit qu’il lui manquait quelque chose, et souffla aux spectateurs :
— Pincez-moi le clitoris.
Jean s’exécuta et d’un geste fin, fit rouler entre son pouce et son index la tige délicate et sensible qui émergeait de son capuchon. La jouissance fut fulgurante et Olga, en quelques secondes, se sentit comblée. Tout son entrejambe n’était que plaisir et elle était totalement incapable de se rendre compte si l’extase qu’elle ressentait provenait de son anus, de son clitoris ou de son vagin, encore qu’il il lui semblât que son point G était singulièrement stimulé. Jean la laissa à son plaisir et Olga continua pendant plusieurs minutes à manipuler l’engin, à se faire du bien, recherchant les plus fines variations du plaisir à l’aide de pressions, d’allers et retours, d’accélérations puis de diminutions du rythme du coït.
Mais la partie au parking n'était pas finie. Olivier est un amateur de moto et avait envie de se taper Olga sur sa moto. Il la fit sortir de la voiture. Elle était nue, à l'exception de son haut qui avait été descendu pour que ses amants puissent triturer ses seins. Olga était enthousiaste car, d'une part, Olivier était un bon coup, et d'autre part, malgré son grand nombre d'aventures en 18 mois, jamais elle n'avait fait cela.
Olivier installa la belle sur la moto, mettant ses jambes sur ses épaules et commença à la besogner.
- Tu aimes ça, chienne ?
- Pas très confortable mais tu me remplis bien. Vas-y!
Le spectacle était torride. Olga tenait difficilement en équilibre, compte tenu des violents coups de reins de son amant. Celui ci la maintenait bien, décidé à profiter au maximum de cette femme exceptionnelle.
Il finit par la faire changer de position.
Olga se mit assise sur la moto. Olivier vint derrière elle, lui demanda de soulever les fesses et vint la prendre en levrette. Olga était au paradis. Elle était entièrement nue. Elle était une cavalière, une walkyrie, une dame du Moyen-âge que son cavalier honorait sur son destrier.
- Oh oui, encore, je suis une jument. Je veux être saillie par un maximum de mâles. Mon hongre (un cheval châtré, elle parlait de Philippe naturellement) n'était bon à rien, je me rattrape, vous êtes mes étalons!
Olga reste passive, un peu détachée des évènements, sa tête est ailleurs. Olivier l’enlace, l’embrasse passionnément
Comprenant que le dénouement approche, elle enjambe le bassin masculin et vient mettre en place l’outil qu’elle a affûté. Il entre sans peine dans le conduit graissé. Dressée sur ce pal, elle monte et descend, soutenue par les mains masculines qui se sont emparées des seins et les triturent. En peu de temps ils éclatent, Olivier se vidant longuement dans ce corps désiré depuis si longtemps. Il me fit promettre de lui prêter Olga un dimanche afin de la promener ainsi en rase campagne. Naturellement je lui dis que je suis d'accord !
Après cette mise en bouche il est temps d'aller au restaurant.
Pour ce faire, Rachid a choisi une tenue classique, en apparence. Olga porte une jupe qui n'est pas excessivement courte, mais si elle a remis ses bas, elle n'a ni culotte ni soutien et son vêtement est bien décolleté…
J'ai choisi une jupe qui moule bien les fesses d'Olga. En outre, le sperme a laissé des traces sur les bas et le maquillage est défait sur le visage. La femme qui accompagne ses amants au restaurant d'entreprise est une débauchée, nul ne l'ignore plus et, comme la dernière fois, malgré ou à cause de la présence du cocu, les types ne se gênent pas pour embrasser publiquement Madame T, lui poser les mains sur les fesses, faire comprendre qu'elle n'a ni culotte, ni soutien.
Le repas se passe dans la salle des fêtes et se déroule sous forme de buffet, où les personnes se servent et vont s’asseoir autour de grandes tables posées sur des tréteaux. Olga sentait des mains inquisitrices sur ses fesses, dans la cohue cela ne se voyait pas, elle se retourne et vois un black, tout aussi noir que mon ami Mamadou (je vous en parlerai plus tard, il a beaucoup besogné Olga.) Il est nettement moins grand mais plus trapu. Philippe fait les présentations :
— Je vous présente Selim, un collègue africain du Togo.
— Enchanté lui dit Olga lui tendant la main. Il avait une poignée de main bizarre plutôt caressante qu’amicale.
Qu’est-ce que Philippe lui a dit ?
Après l’apéritif tout le monde a été s’asseoir et Olga s'est retrouvée coincée contre le mur de la salle entre les collègues, Philippe et d’autres personnes en face de nous. Au cours du repas, Selim tout en parlant avec d’autres personnes en face ou à côté, passa sa main gauche en dessous de la table posa sa main directement sur le pubis d'Olga et délicatement déboutonna sa jupe, et commença avec ses doigts agiles de lents travaux d’approche sur son clitoris et son sexe.
Elle n’osait pas réagir, car en plus cela ne se voyait absolument pas. Elle parlait avec les autres pendant ce temps là, à certains moments sa voix n’était plus aussi limpide mais on pouvait le mettre sur le compte de l’alcool. Puis elle sentait sur sa gauche une autre main qui se rejoignait avec l’autre. Jean inséra sa main et força Olga à rouvrir, elle regardait Selim qui innocemment tout en parlant à son mari la caressa aussi et grattait à l’entrée de sexe mouillé. Olga a eu un réflexe instinctif, buvant un verre de vin rouge l'a laissé tomber et le pauvre Selim même en faisant un bond en arrière en reçu une bonne partie sur son pantalon et sa chemise.
— Oh ! Excusez-moi lui dit Olga confuse je vais essayer de le nettoyer, venez avec moi, j’ai vu un robinet pas très loin.
Elle s'est levée en prenant soin de rattacher sa jupe et a conduit à l’écart, avec une serviette et de l’eau a épongé ou plutôt essayé de réparer sa bévue. Mais plus elle frottait plus cela s’étalait, en désespoir de cause elle ne pouvait pas le laisser dans un état pareil.
Olga lui promit de s'occuper spécialement de lui.
Là dessus le gérant du restaurant d'entreprise appela Olga :
- Madame T, votre tenue et votre conduite sont inqualifiables. Venez dans mon bureau. Monsieur T et vous,jeune homme, vous pouvez être présents.
- Maintenant trêve de plaisanterie. Salope, mets-toi accroupie, et pompe-moi à fond, devant ton cocu et ton souteneur !
L'homme fit signe à un de ses aides de filmer la scène.
Olga prit la verge dans sa main.
Elle était chaude, douce, raide et souple à la fois. Une hampe large, beige, marbrée de fines veines bleues, avec un gland rosé, propre et orné, au méat, d’un peu d’humidité luisante. Les doigts en collier d'Olga en faisaient à peine le tour. Elle saisit la verge en bas de la hampe, près des testicules légèrement velus, puis laissa sa main remonter en desserrant doucement. Olga commença à masturber lentement ce sexe, mais elle aurait aimé un peu de lubrifiant, si possible naturel. Sachant très bien comment tout cela allait se terminer, elle déposa un baiser sur le bout du gland. Il sentait bon. L’envie de goûter était trop forte. Léchant d’abord la hampe sur toute la longueur, elle la mouilla jusqu’à la base, et sa main put glisser agréablement. Elle continua alors à branler ce sexe, mais en le posant sur sa langue. Le gland frottait doucement. C’était chaud, c’était doux, c’était bon… Elle sentit croître une envie de sentir cette verge s’enfoncer, de la garder en elle, bien au chaud dans sa bouche, de la masser avec sa langue, de jouer avec en la faisant pénétrer chaque fois plus profondément.
Elle l’enfourna alors et activa ses lèvres et sa langue sur le gland, tout en branlant la hampe d’un mouvement vrillé. Tantôt suçant le bout comme pour l’aspirer, tantôt tendant sa langue vers les testicules en avalant la verge, elle sentait un plaisir croissant distendre ce sexe qu’elle contrôlait. La queue changea de goût une première fois, mais Olga la retint en la serrant plus fort dans l’anneau formé de son pouce et son index. Elle entendit l’homme gémir. Elle s’appliqua d’autant plus. Oscillant la tête d’avant en arrière, elle massait de ses lèvres le bourrelet du gland, la verge glissant sur sa langue, sa bouche déjà pleine du goût naissant. Elle le suça longtemps sans le laisser jouir, s’enivrant des saveurs suintantes. L’homme grognait de plaisir. Le goût devint plus fort, musqué, plus enfiévrant. Quand Olga décida du moment libérateur, elle se concentra sur le gland et ferma les yeux pour savourer les longues gorgées crémeuses qui lui remplirent la bouche.
Olga gagna ensuite le bureau de Philippe où l'attendaient ceux qui se l'étaient réservée. Elle m'obéit et gagna le bureau par l'ascenseur, nue vêtue uniquement de ses bas et d'un string que j'avais accepté de lui donner. J'aurai voulu qu'elle soit sautée dans l'ascenseur, comme le premier jour où je suis devenu son amant mais ce ne sera pas pour cette fois.
Olga a commencé par s'exhiber, puis les hommes se sont succédés pour la prendre sous le regard de Philippe. Parfois ils étaient deux en même temps, comme ces deux types qui ont voulu préserver leur anonymat, vie de couple oblige !
Jean-Marie, le chef direct de Philippe a terminé la série, en prenant longuement en levrette la femme adultère que ce bon père de famille, chrétien pratiquant, insultait :
- Tu es un démon, femelle !
- Si tu veux, cureton mais arrête de causer et baise moi. Oui comme ça !
Olga fit sensation en étant amenée chez Henri le directeur, dans la tenue où elle avait passé l'après-midi.
- Ma chère Madame T, vous savez que vous êtes un grand scandale ici ?
- Je le sais Monsieur le Directeur. Et bien ce scandale, vous avez envie de le baiser, je me trompe ?
- Salope, penche-toi, tu vas couiner !
C'était incroyable cette capacité d'enchainer les rapports et les orgasmes.
- Madame T, je couvre vos frasques ici et je prends de grands risques.
- Monsieur le Directeur vous en profitez pour me passer dessus, il me semble. Ca ne me déplait pas d'ailleurs…
- J'ai un service à vous demander. De très bons clients vous ont vu entrer dans mon bureau et m'ont fait savoir, par le canal de ma secrétaire que nos affaires étaient conclues s'ils pouvaient vous baiser. Naturellement, j'ai dit oui.
- Vous me prostituez Monsieur le Directeur !
- Pas de grands mots. Mais vous êtes devenue une prostituée, gratuite ou non, selon les moments, ma chère. Une dernière chose, ces Messieurs, qui sont trois, connaissent bien votre mari, et veulent que ce soit lui qui vous offre à eux.
Il nous faudrait quand même signer ce contrat dit Marie-Claude, la collaboratrice d'Henri. Voyons les conditions.
Olga, maligne, comprend qu’il va y avoir des compensations qui ne sont pas énoncées dans le document. Pourtant elle ne laisse rien paraître. Henri s'adresse au chef de la délégation :
— Tu sais Bertrand, il est rare de trouver une perle comme Olga. Et en plus, elle est discrète, et surtout très belle.
Nous y voila, pense l’intéressée. Philippe intervient :
— Je puis t’assurer que son corps est magnifique. D’ailleurs, je suis sur qu’elle ne verra pas d’inconvénient à te le prouver.
Et joignant le geste à la parole, il s’approche.
— Regarde ces magnifiques seins, et je te jure qu’ils n’ont pas besoin de soutien. Et ses fesses. Tiens, la preuve.
Saisissant les mamelons il les présente.
— Constate toi-même, tu verras si j’exagère.
Le mari cocu s’est avancé et a pris les seins en main, les soupesant puis les caressant franchement. Olga a fermé les yeux, autorisant le manège, mimant le plaisir. Olga simule une faiblesse, les deux hommes la prennent dans leur bras, la dépose sur un grand canapé. Ils reprennent immédiatement leurs caresses. Olga, les yeux fermés, n’a plus à feindre. Le plaisir monte.
Quelqu’un prend sa main et la pose sur un membre bien tendu.
— Bertrand, ne sois pas incorrect, ne force pas notre amie.
— Mais elle est tellement belle, je veux lui montrer à quel point j’apprécie.
— Mais laisse-lui au moins le choix.
L’intéressée savait quel piège on lui tendait et a décidé de jouer le jeu, un contrat dans ces conditions ne se refuse pas. Elle saisit le membre, le caresse, l’attire vers son visage, entrouvre les lèvres, et l’absorbe.
Elle s’active toujours sur le membre qu’elle suce. Ses efforts sont efficaces car bientôt on le lui retire. Dans un ballet bien orchestré, l’homme vient prendre place entre ses cuisses et s’enfonce dans un pot de miel. Une bouche vient lécher les bourses, nettoyer le liquide qui s’échappe, et titiller la pastille brune. Un doigt s’aventure dans cette zone interdite. Loin de fâcher l’intervenant, elle l’incite à poursuivre ses efforts.
Chacun des trois hommes a longuement honoré Olga, qui a eu droit à un vrai gang bang.
La longue journée de plaisir d'Olga n'était pas finie car elle avait encore à honorer sa promesse envers les deux blacks du service, Sélim et Mohammed
Sélim ne parvint pas à attendre d'être arrivé chez Olga
Olga avait changé de vêtement. Sélim l'obligea à enlever sa jupe et se mit à la caresser dans un square, pas loin d'une gare, faisant profiter les badauds incrédules de l'exhibition de cette femme.
Sélim retourna ensuite à la voiture et imposa à Olga une longue fellation.
Olga s’abandonna complètement. Se déshabilla aussi, à la hâte également. Et lui procurant à son tour mille caresses fabuleuses. L’homme sentait contre son corps ses seins gonflés de désir, tandis que sa bouche cherchait la sienne. Elle s’agenouilla entre ses jambes. Et sa bouche ne chercha plus que son sexe, tendu et gonflé à bloc.
Ses lèvres glissèrent autour de son gland, doucement, puis descendirent le long de la hampe. Et elle fit alors aller et venir sa tête autour de sa queue, tout en lui caressant vivement les burnes. Il essaya de maintenir le volume de ses gémissements de plaisir. Elle continua ainsi, quelques minutes, et son rythme alla croissant. Mais il dut l’arrêter, menaçant sinon de lui exploser dans la bouche. L'homme voulait davantage.
Je laisse Olga raconter car elle était seule avec les deux garçons :
Arrivée sur le pas de la porte, je me suis arrêtée ébahie : dans cette pièce, Philippe avait installé un grand matelas pour faire office de lit d’appoint, et sur ce matelas les deux garçons nus comme des vers étaient allongés sur le dos leur sexe à la main. Je ne répondis pas, mes yeux éberlués allaient d’un corps à l’autre, d’un sexe à l’autre, d’un visage à l’autre, aussi souriants et ravis de me faire une bonne blague.
Devant mon absence de réaction, extérieure mais pas intérieure car je mouillais beaucoup, ils se sont levés, ils ont enlevé ma ceinture déboutonnée ma robe dégrafée mon soutien-gorge et baissé ma petite culotte. Je me suis laissée faire, je n’avais aucune réaction, j’étais dans un autre monde. Me prenant par la main, ils m’ont couchée sur le lit entre les deux lascars. Ils me caressaient partout, prenant chacun un sein dans la bouche ils me suçaient divinement. Selim partit à la recherche de mon corps avec ses lèvres, elles descendaient doucement sur mon nombril et en passant mit la pointe de sa langue à l’intérieur. Descendant toujours plus il embrassa mon ventre puis toujours plus bas arriva sur mon pubis rasé, je desserre les cuisses je sens sa chevelure bouclée à l’intérieur de mes cuisses.
Il se met maintenant à genoux entre mes jambes, m’attire, m’installe sur lui, et en mettant ses mains sous les fesses, me positionne à sa hauteur son visage sur mon sexe.
Mohammed, la bouche sur un sein, la main sur l’autre, ou sur mon ventr,e ou mon clito, faisait aussi son travail de sape.
Selim aspira avec sa bouche mes lèvres et du bout de sa langue, titilla mon clitoris ou essaya d’aller le plus profondément de mon corps, j’ai eu des sensations très fortes et un orgasme fulgurant me traversa. Un torrent dévalait de mon sexe.
— Qu’est ce qu’elle mouille, c’est une vraie fontaine !
Il me reposa et je vis son membre énorme, je le pris dans la main je ne faisais même pas le tour, avec mes doigts, elle est très grosse pas très longue mais une circonférence inouïe. Jamais elle ne va rentrer ! Je pris son gland le positionna à l’entrée de ma grotte et d’une seule poussée son membre a été aspiré, humide comme j’étais cela n’a pas posé trop de problèmes, j’ai eu une sensation divine de remplissage toutes les parois intimes sont en contact avec son sexe, il va m’éclater, il me laboura en ahanant, je sentais beaucoup son gland promeneur dans mes entrailles.
À grands coups de reins, il pistonnait fort, à chaque poussée son bas ventre claquait sur mon pubis, ses poils aussi bouclés que sa chevelure et drus chatouillaient mon clito et me procuraient des sensations agréables. Je sentais le plaisir arriver encore.
Les mouvements de Selim se ralentissaient, son gland se mit à grossir et son membre à plusieurs reprises gicla dans mon vagin, je fus pris de tremblements et l’orgasme ou plutôt plusieurs orgasmes m’ont traversé. Il ne retira pas son sexe était aussi gros. Tiens les noirs ne débandent pas après l’amour ? J’étais aux anges jamais plaisir ne fut plus intense, toujours ma fringale sexuelle ?
Il s’en alla quand même et Mohamed repris le relais. Sans préambule mais y en avait-il besoin ? Il me retourna me mit en position de chien de fusil (position que j’affectionne d’habitude avec Rachid car on gagne 3 centimètres par derrière, il paraît) et il me transperça, quelle différence entre les deux hommes je pouvais faire la comparaison, Mohamed très long et Selim très gros, qu’est ce que je préfère ? Tous ont leur charme, depuis ce matin j’ai pu tester tant de mâles et aucun n’est pareil ! C’est beau la diversité humaine. Il me pistonna et buttait toujours au fond de ma grotte, c’est divin. Il se retira, pourquoi ? J’allais le comprendre. Il prit le sperme de Selim et de ma mouille qui sortait de mon vagin avec sa main et me badigeonna mon sexe qui n’en avait pas besoin trempé comme il l’était et remonta dans le sillon fessier et s’arrêtant son mon petit œillet rose, son index tournoya autour le mouilla et s’engouffra dans mon cul.
Son doigt tournait dans mon cul, je me suis cabrée, mais Selim de l’autre côté me tenait plaquée contre son ventre, et ses bras autour de mon corps bloquaient mes bras, il inséra sa jambe entre mes cuisses pour les maintenir écartées, j’étais prisonnière de ces deux noirs. Mohamed faisait la navette entre mon sexe et mon cul pour le mouiller encore et à chaque arrêt il forçait mon anus. Ainsi maintenue, je ne pouvais rien faire, même mes cris ne leur faisaient pas arrêter leurs manœuvres. Je ne sentis plus son doigt, mais je sentis l’arrivée de son membre contre mon cul, il s’arrêta se positionna à l’entrée.
— Détends-toi ! Tu vas voir c’est peut-être dur au début mais après c’est le pied et trempée comme tu l’es, tu ne vas même pas t’en apercevoir.
Mes muscles anaux se sont relâchés, puisque je ne pouvais rien faire autant l’accepter. Son membre aidé par la mouille intense commença à pénétrer mon cul, il s’avança petit à petit, je remerciais intérieurement Mohamed pour sa gentillesse. L’introduction de son engin fut un peu pénible au début mais beaucoup moins que je ne l’appréhendais, une fois le gland passé il poussa plus fortement et m’investit complètement, il s’arrêta.
— Je ne bouge plus, habitue-toi à ma bite me dit-il.
— Merci cela va bien et je crois même que je commence à apprécier lui répondis-je.
Ses doigts se sont mis sur ma vulve et caressaient mon sexe et le creux des cuisses. Selim de son côté s’est écarté de moi, me pelotait les seins et m’embrassait en remuant sa langue autour de ma langue. Mohamed se remis à bouger et à me pistonner le cul, je ressentais son membre très loin, il va me défoncer, tout le bien que cela me faisait ! En m’immobilisant les bras autour de mon corps il s’allongea sur le dos et me ramena sur lui toujours emmanchée, le dos contre son ventre et les cuisses bien écartées. Je faisais face maintenant à Selim qui se positionna entre mes jambes, les prit par derrière et les souleva légèrement et Mohamed l’aidait tout en soulevant mes fesses pour me défoncer encore.
Selim se mit sur moi et son sexe qui bandait à mort me perfora, je n’avais jamais vu cela, une double pénétration avec ces deux monstres je ne le croyais pas possible. J’ai eu une sensation fabuleuse j’étais remplie de partout toutes ces bites qui me ramonaient c’était prodigieux, je voulais en aucun cas que cela s’arrête. Envahie par tous les orifices le monde s’arrêta, je n’étais plus qu’un corps abandonné à son plus bas instinct animal, le ballet amoureux se mis en place, Mohamed qui limait de bas en haut et de haut en bas, Selim d’avant en arrière et d’arrière en avant, et moi au milieu de tout cela dans une danse effrénée dans tous les sens.
Combien de temps çà a duré, je ne le sais pas mais je ne ressentais qu’orgasmes sur orgasmes, et quand les deux hommes ont déchargé ensemble, quelle belle synchronisation ! Je me suis presque évanouie et endormie. Le monde s’était arrêté, et je suis réveillée à cause de chatouillis sur mes seins. J’ouvris les yeux et je vis mes deux fabuleux baiseurs, un pinceau à la main dessiner des ronds sur le bout des seins avec du produit pris dans des petits flacons de sa mallette érotique.
J’ai eu un sursaut ! Mon gynéco la semaine prochaine !
— N’aies pas peur ! Ce n’est qu’une décoction de fleurs avec un peu de henné pour la coloration, ça partira au premier ou deuxième lavage.
Ils continuaient à peindre des fleurs ou des motifs sur mes seins et le bout fut peint en rouge. Ils descendirent vers mon sexe le nettoya avec mon slip posé par terre et se mirent à le décorer aussi, les lèvres et le clito en rouge vif et avec d’autres couleurs dessinaient sur mon pubis rasé.
— Regarde ! Me dirent-ils en souriant.
Je me redresse ,et regarde les chefs-d’œuvre, c’était joli mais j’espère que cela va partir car les gros sexes dessinés de chaque côté des lèvres vont faire bizarre chez mon gynéco. Ils m’avaient signé un gros sexe noir énorme d’un côté et de l’autre Mohamed avait dessiné un sexe en forme de serpent, ils peaufinaient en mettant du rose sur le bout. Puis nous nous sommes levés, le départ approchant et après une douche bien réparatrice et bien sur après le repassage des vêtements de Selim en route !
Je m’étais habillée avec toujours ma petite robe mais ils n’ont pas voulu que je mette de slip (j’étais bien contente car cela me brûlait) ni de soutien-gorge.
— Oh non ! Un peu de repos quand même !
Mohamed me l’a laissé en souvenir dit-il et aussi un pot de crème pour apaiser mes parties sensibles. Au moment du départ mes deux amants m’embrassant sur les joues me dirent merci pour mon hospitalité c’était quand même la moindre des choses et l’un après l’autre en me saluant passa la main entre deux boutons de ma robe à hauteur du pubis mais pris dans la foule cela ne se voyait pas et ils caressaient mon minou et me murmuraient à l’oreille :
— Merci pour tout !
Mohamed me mit dans la main un morceau de papier.
— C’est l’adresse de ma cousine Jacqueline à Paris tu devrais y aller ! C’est le paradis pour les femmes.
Rentrés à la maison ; je me suis couchée immédiatement, mais avant j’ai mis le papier de Mohamed dans mon sac, on ne sait jamais.
Mais comme mes baiseurs me l’ont dit " »baiser avec une femme blanche ce n’est pas un péché », j’ai juste changé femme blanche par homme noir.
Une semaine après, je me suis rendue chez mon gynécologue, un homme pas mal d’une quarantaine d’années, très anxieuse car les dessins sur les seins n’étaient pas partis, malgré les promesses de mes deux lascars. Heureusement que ma toison a repoussé un peu elle cache les dessins obscènes. Que vais-je lui dire ? Toute nue sur sa table il a bien sur remarqué les dessins !
— C’est très joli ! me dit-il en souriant
— Ce sont des tatouages provisoires que j’essaye avant les vacances pour la plage, lui mentis-je !
Vous pouvez retrouver ce texte avec des photos sur le superbe blog d’Olga et Philippe :
Pour changer un peu, une petite touche d'humour...
Pour changer, quelques histoires drôles, qui sont parfois contre les hommes…
Ne m’en veuillez pas, Messieurs, qui savez pourtant nous procurer tant de plaisirs !!!
POURQUOI LES CONCOMBRES SONT MEILLEURS QUE LES HOMMES ?
1. Le concombre moyen fait au moins 18 cm de long. a) une autre femme. b) un autre homme. c) un autre concombre.
23. Vous pouvez toujours savoir où votre concombre a été. a) est marié. b) prend des anti-infectieux. c) préfère votre sœur.
2. Les concombres restent durs pendant au moins une semaine.
3. Un concombre ne vous dira pas que la taille n'a pas d'importance.
4. Les concombres savent garder leur calme.
5. On peut palper un concombre au supermarché… pour savoir s'il est assez ferme, avant de le ramener à la maison. Et quelque soit votre âge, vous aurez toujours droit à un concombre frais si vous le désirez.
6. Un concombre vous respectera toujours le matin.
7. On peut aller au cinéma avec un concombre… et voir le film.
8. Un concombre ne demandera pas : « Je suis le premier ? »
9. Un concombre n'ira pas dire aux autres concombres que vous n'êtes plus vierge.
10. Un concombre n'en a rien à faire que vous soyez encore vierge ou non.
11. Les concombres ne vous demanderont pas de réaliser un de leur fantasme.
12. Vous pouvez avoir autant de concombres que vous voulez, et même en même temps !
13. Si vous en avez envie, vous pouvez aussi manger un concombre.
14. Les concombres ne sont pas jaloux : un concombre ne vous fera jamais de scène parce qu'il y a d'autres concombres dans le frigo.
15. Un concombre s'en fout de savoir où vous en êtes de votre cycle.
16. Pas la peine de s'excuser avec un concombre.
17. Les concombres n'irritent pas la peau avec de la moustache, ne s'endorment pas sur votre poitrine, ne bavent pas sur l'oreiller, et ne ronflent pas.
18. Les concombres peuvent rester debout toute la nuit
19. Les concombres ne mangent pas tout ce qu'il y a dans le frigo et ne boivent pas d’alcool
20. Les concombres ne laissent pas leurs vêtements sales n'importe où.
21. Avec un concombre, le siège des toilettes est toujours comme vous l'avez laissé...
22. Un concombre ne vous quittera jamais pour
24. Vous ne découvrirez jamais plus tard que votre concombre :
25. Les concombres n'attendent jamais de vous d'avoir des petits concombres.
26. C'est vraiment facile de laisser tomber son concombre.
27. Les concombres ne vous laissent pas un drôle de goût dans la bouche.
28. Un concombre ne rentre pas bourré après avoir passé toute la nuit avec ses potes concombres.
29. Un concombre ne prend pas toutes les couvertures et reste avec vous jusqu'au matin.
Dieu dit à Adam : J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi Adam, laquelle veux-tu connaître en premier ?
Adam répond : Dites-moi la bonne d'abord.
Dieu dit : Je vais te donner un pénis et un cerveau. Grâce à cela, tu auras beaucoup de plaisir et beaucoup de raisonnement.
Adam répond : Merveilleux ! Mais quelle est la mauvaise nouvelle ?
Dieu dit : C'est que ta pression sanguine ne te permettra que de faire fonctionner un des deux organes à la fois…
La maîtresse demande un jour aux enfants : Avec quels fruits peut-on faire de la compote ?
Les mains se lèvent :
Avec des pommes,..... avec des poires,.... avec des pêches, etc. Et un petit garçon qui dit :
- Avec des moules, maîtresse !
La maîtresse lui demande :
- Es-tu sûr de toi ? Les moules, ce sont des fruits de mer, et je ne crois pas qu'on puisse faire de la compote avec. Sais-tu comment on le fait?
Le petit garçon : « Ben.... je ne connais pas la recette, mais ma mèr,e quand elle se lève le matin, elle dit toujours :
- J'ai la moule en compote ! »
Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin, quand tout à coup le curé dit :
- Que tous ceux qui ont commis le péché d'adultère s'avancent.
La petite vieille, un tantinet dure d'oreille, demande à son voisin :
- Qu'est-ce que vient de dire monsieur le curé ?
Ce dernier, pour plaisanter, répond :
- Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille à la menthe s'avancent.
La petite vieille, chancelante et s'appuyant sur sa canne, se lève alors avec peine. Le curé lui lance, offusqué :
- Vous ? Madame ? A votre âge, vous n'avez pas honte ?
- C'n'est pas parce que je n'ai plus mes dents que je ne suis pas capable d'en sucer une de temps en temps, vous savez!
Proverbe :
Si au crépuscule
Tu as quatre testicules
Ne te prends point pour Hercule...
C'est quelqu'un qui t'encule !
Un chameau et un éléphant se rencontrent pour la première fois.
L'éléphant, étonné devant pareil animal, demande :
- Pourquoi t'as les nichons sur le dos ?
Réponse du chameau :
- Culottée comme question pour quelqu'un qui a la bite au milieu de la figure !!!
Les 4 miracles de la femme :
- Elle peut mouiller sans toucher d'eau
- Elle peut saigner sans se blesser
- Elle peut donner du lait sans manger d'herbe
Mais surtout, elle peut casser les couilles sans y toucher...
Pensée : Les hommes sont comme... les pruneaux. Tu les suces le matin, et ils te font chier toute la journée.
Pourquoi les femmes préfèrent-elles le sexe au bowling ?
- Parce que les boules sont plus petites, et qu'il n'y a pas besoin de changer de chaussures.
C'est une petite fille qui part à l'école le matin avec son petit chat dans les bras. Son frère lui dit que c'est interdit et qu'elle va se faire punir, mais elle refuse de laisser l'animal.
Le chauffeur du bus lui rappelle la même chose, mais elle refuse toujours de lâcher l'animal.
Arrivée à l'école, la maîtresse surprend la petite fille et la gronde, mais même à ce moment, elle refuse de laisser l'animal. La maîtresse lui demande pourquoi....insiste... et la petite fille dit:
- Ce matin quand je suis sortie de la salle de bains, j'ai entendu papa dire à maman : dès que la petite est partie à l'école, je te bouffe la chatte...
4 h du matin... Yvan rentre au domicile conjugal un peu torché...
- Putain, elle ne va pas encore être contente, je vais déjà me faire un jus de citron pour masquer l'odeur d'alcool...
Le matin, Sonia l'engueule :
- t'as encore bu comme un trou hier !, t'es rentré complètement naze !
- Mais euh.... non, comment peux-tu dire ça ?
- Le canari, écrasé dans le presse-citron, il s'est suicidé ???
Un homme et sa femme s'affairent dans le jardin derrière la maison. Le mari dit à sa femme :
- WOUAH .... ton derrière est aussi large que le barbecue !!!
La femme ignore la remarque désobligeante. Le soir venu, le couple est au lit et l'homme commence à se coller à sa femme. Elle le repousse et lui dit calmement :
- Si tu penses que je vais faire chauffer le barbecue juste pour une si petite saucisse, tu te trompes !!!
Les 7 nains qui vont voir le Pape :
« Nous avons trois questions à vous poser, mais on préférerait que ce soit Simplet qui les pose.
- Aucun problème, répond le Pape, je t'écoute Simplet.
- Votre Sainteté, est-ce qu'au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs ?
- Oui Simplet, au pôle Nord il y a des bonnes sœurs.
- Est-ce qu'au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs noires ?
- Oui Simplet, au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires.
- Votre Sainteté, est-ce qu'au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires et naines ?
- Ah non Simplet, il n'y a pas de bonnes sœurs noires et naines.
A ce moment-là, les 6 autres nains crient en chœur :
- Simplet y s'est fait un pingouin ! Simplet y s'est fait un pingouin ! »
Un petit garçon de cinq ans et sa mère vont au Mc Donald's.
Le petit garçon regarde la caissière et lui dit :
Suce ma quequette, j'ai une grande bite.
La caissière embarrassée regarde la mère du petit garçon.
Le p'tit remet ça :
« Suce ma quequette, j'ai une grande bite. »
Mais cette fois-ci la mère du garçon intervient... Enlève ton bonbon de la bouche quand tu parles !!
Le petit garçon :
Six Mc Nugget’s et une grande frite !!!
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Vacances à Sainte Lucie
Une fois par an, je m’évade de ma vie de famille, pour être un peu seule, et m’éclater vraiment…
Comme d’habitude, je vais à Sainte Lucie. J’y ai mes marques, je connais bien la plage, je vais sur la plage, faire le lézard, sous mon palmier favori, dès sept heures du matin.
Cette année-là, pour une fois, je suis allée à l’hôtel, et non pas en gite.
Le premier soir, un homme m'a draguée au cours de la soirée de fête des nouveaux arrivants. C’était le voiturier, qui outrepassait-là ses fonctions, et son devoir de réserve face aux client(e)s… Il était plutôt beau gosse, et parlait très bien français.
Il m'a emmenée dans sa chambre, qu'il partageait avec deux amis, saisonniers comme lui.
Il m'a dit, tout en me prenant par la taille, que ses deux copains allaient rester toute la nuit à danser et à draguer les nouvelles clientes, avides d’aventures, tout comme moi...
Sans autre forme de procès, il m’a embrassée, et j’ai répondu passionnément à ses baisers invasifs. Il a peloté mes seins à travers mon haut, puis a passé sa main dessous pour caresser ma poitrine nue. Je sentais son sexe durcir, là, tout contre ma cuisse.
Je portais une jupe courte, légère, et des bas, car j’avais envie d’être sexy ce soir-là.
Il a rapproché deux lits, le troisième était un peu plus loin. Nous nous sommes retrouvés allongés sur le lit, sa main droite tripotant mes seins, sa main gauche sous ma jupe, caressant le haut de mes cuisses. A travers l’étoffe de son jean, je caressais son sexe et je le sentais durcir de plus en plus.
Quelques minutes plus tard, il avait déjà enlevé ma culotte et mon tee-shirt. J’étais presque nue sur le lit, la tête de l’homme sous ma jupe, entre mes cuisses. Il envahissait ma chatte excitée de sa grosse langue baveuse.. je me tordais de plaisir sous cette caresse adorée…
Après ces quelques préliminaires, nous sommes allés sous la douche et de nouveaux jeux ont commencé. Il me fit un délicieux massage avec le gel douche, puis ce fut à mon tour de m’occuper de son corps. Il avait le sexe rasé intégralement, tout comme moi. Je préfère les hommes épilés…
Fellation, caresses, massages, l’eau chaude a coulé sur nos corps pendant plusieurs minutes… Puis nous nous sommes séchés mutuellement aevc de grandes serviettes moelleuses.
Direction le lit, où nous nous sommes écroulés de fatigue. Il avait cependant une grosse érection. J’ai pris son sexe dans ma main, et je l’ai caressé et butiné pendant qu’il me suçait le minou. Il a joui dans ma paume, et nous nous sommes endormis, nus en travers du lit. J’étais repue, ravie de ma première soirée. Ca laissait augurer d’excellentes vacances, remplies de sexe, comme je les adore…
En m’endormant dans les bras de mon amant du soir, je n’imaginais pas encore à quel point je pensais vrai !
Nous avons été réveillés bien plus tard par des bruits dans la salle de bain : les deux autres étaient rentrés et sortaient de la douche. Ils étaient bien énervés. Ils ont allumé la lumière et quand ils m'ont vue, toute nue, leur sexe s'est rapidement dressé. J'avais maintenant affaire à trois jeunes hommes bien excités, surtout les deux derniers. Ils n’avaient pas conclu avec des touristes, qui les avaient pourtant bien allumés. Inutile de vous dire dans quel état ils étaient !!!
J’ai pu constater qu’eux aussi étaient intégralement rasés.
Sans dire un mot, et surtout, sans me demander mon avis, ils ont rapproché le troisième lit, m'ont allongée sur le dos en travers, m'ont obligée à replier et écarter mes jambes. Que pouvais-je dire ? Voir ces trois beaux mecs, bandé&s comme des ânes, a instantanément rallumé mon désir… Je me suis donc laissée faire avec bonheur.
J'ai vite senti la chaleur d'un baiser fougueux entre mes cuisses, une langue très agile qui fouillait mon minou, et ses endroits les plus intimes, des doigts qui m’exploraient.
Pendant ce temps, l'autre garçon avait pris mon visage entre ses mains et m'avait obligée à cabrer ma tête en arrière, sur le bord du lit. Il pouvait ainsi introduire son sexe dans ma bouche et l'enfoncer au fond de ma gorge. Ses testicules plaqués contre mes yeux, je ne voyais rien, je ne pouvais respirer que par le nez. Son gland me ramonait le fond de la gorge, j'avais l'impression d'avaler un manche à balai. Ses mains pétrissaient mes seins sans relâche.
J'avais entre les cuisses des sensations délicieuses. Par contre la fellation était vraiment "virile", et même si j’avais du mal à respirer, j’y prenais un certain plaisir.
En d’autres circonstances, je n’aurais pas accepté, mais loin du travail, de la famille, l’anonymat aussi…
Au bout de quelques minutes qui me parurent aussi longues que le pénis de mon assaillant, je ressentis une accélération dans les va-et-vient, et l'homme éjacula une énorme quantité de sperme au fond de ma gorge.
La première giclée coula si loin dans ma gorge que je n'eus pas à l'avaler. Cependant, il se retira légèrement, tout en continuant à jouir en éjaculant de longs jets de sperme, ce qui eut vite fait de remplir ma bouche.
D'une main, je me mis à masser la bite encore secouée de spasmes, tout en suçant le gland entre mes lèvres, comme pour en sortir tout le jus.
Maintenant je pouvais ouvrir les yeux, j'avais un panorama sur les testicules du garçon et je pouvais constater de visu la longueur de son sexe. Pas étonnant que j'eusse la gorge un peu irritée ! Je promenais son gland le long de mes lèvres, tout en gardant le sperme dans ma bouche.
Quand ce fut fini, il s'agenouilla près de moi pour bien me regarder, j'ouvris grand la bouche et il me dit :
« Avale tout. »
Ne pouvant pas tout avaler d'un coup, je suis restée la bouche grande ouverte, me délectant de ce qui se passait entre mes cuisses, puis je me mis à avaler par petites gorgées. L'homme alla me chercher un verre d'eau et je pus me redresser pour boire, tandis que l'autre continuait à me sucer.
Ils échangèrent ensuite les rôles : celui qui venait de jouir dans ma bouche s'installa entre mes jambes, l'autre fit le tour du lit, m'attrapa par les cheveux pour m'obliger à m'allonger de nouveau, et vint présenter son sexe au-dessus de ma tête. A voir son état d'excitation, je compris qu'il était inutile de le contrarier.
Le troisième avait remis son sexe dans ma main droite et je le massais lentement. Il bandait fort et je compris vite qu'il allait lui aussi demander sa part de plaisir brut
Pour l'instant, je devais gagner du temps et, de l'autre main, je saisis le sexe dressé au-dessus de mon visage, pour le caresser, masser ses testicules, le branler et le serrer dans ma main.
L'homme aimait mes caresses et il se retourna dans l'autre sens, à califourchon sur ma poitrine, les jambes de chaque côté de mon visage. Il me prit la tête entre ses mains et j'ouvris la bouche pour gober ses testicules, l'un après l'autre, en passant ma langue dessus. De la main gauche, je lui faisais une branlette au ralenti. Son sexe grossissait encore et encore, ma main qui l'enserrait paraissait toute petite. Il se cabra et me fit comprendre qu'il voulait se faire lécher l'anus.
Tout en le suçant, je le branlais de plus en plus vite, il se recula et me fit ouvrir la bouche, mais une première giclée m'aspergea le visage avant que je n'arrive à placer son énorme queue dans ma bouche. Il continua alors à déverser des flots de sperme dans ma bouche. Quand il eut fini, il se releva, se retourna pour reprendre sa position initiale, ce qui lui permit de m'enfoncer son sexe loin au fond de la gorge, comme l'avait fait son copain.
Je n'ai pas pu éviter ce deuxième assaut, j'ai juste eu le temps d'avaler tout, pour vider ma bouche. Il avait gardé une belle érection qui lui permettait d'enfoncer son gland très loin, j'avais l'impression qu'il me transperçait la gorge. Ce n'était pas qu'une impression, d'ailleurs. C'était interminable.
Il finit par jouir une seconde fois, directement au fond de ma gorge. Il s'écoula encore au moins une minute avant que son sexe commence à dégonfler, je sentais ma gorge se libérer. Je le fis lentement sortir tout en le suçotant...
J'avais toujours la bite du troisième dans la main droite. Comme je le craignais, il eut lui aussi envie d'une gâterie, mais avant, il eut la bonne idée de venir faire des bisous sur mes seins, ce qui, ajouté au plaisir que me donnait cette langue qui explorait mon sexe, me fit jouir très fort.
Remise de mes émotions, je vis au-dessus de mon visage le sexe du troisième homme en pleine érection, son gland vint contre ma bouche. J'allais ouvrir la bouche, quand ils décidèrent de changer de position.
Il s'assit au bord du lit, le sexe bien raide, et il me fit mettre à genoux devant lui, pour que je le suce. Il s'allongea sur le dos, bien installé sur le lit, m'offrant son sexe que je commençai à masturber d'une main, pendant que je lui caressai les testicules et l'anus avec l'autre main.
Je sentis alors des doigts écarter mes fesses et fouiller mon petit trou, puis le doux contact chaud d’une bouche, une langue qui me léchait l’anus et qui s’aventurait aussi entre mes petites lèvres, parcourait ma fente, c’était délicieux.
Cette bouche experte me fit jouir, rapidement, et c'était la première fois que je jouissais tout en suçant un autre mec. Je reçus une lampée de liqueur tiède dans la bouche et l’homme qui venait d’éjaculer se retira et continua à m’arroser le visage de longues giclées de foutrre crémeux. Il me força à rouvrir la bouche, et y remit son sexe secoué de spasmes de plaisir.
Trois fellations « musclées » : je n’avais plus soif !!!
Chacun passa sous la douche et il était tard, il ne restait plus beaucoup de temps pour dormir. Je me suis rhabillée rapidement et, rentrée dans ma chambre, je m'endormis très vite.
Nous décidâmes de nous retrouver pour diner le lendemain soir.
Je n’eus pas de trop de ma journée à la plage pour me remettre de mes émotions et de ma fatigue !
A table, j'avais hâte que le repas se termine. Mais ça ne faisait que commencer. Quand je suis rentrée à ma chambre, ils m'ont suivie, me demandant un strip-tease. Comme ma chambre était petite, ils me conduisirent dans la leur, bien plus grande.
Bien sûr, j'aurais pu refuser, mais j'avais envie de m'éclater pendant cette semaine de vacances (en plus, je le leur avait dit).
Ils se mirent nus, s'installèrent pour prendre un verre et me firent disparaître sous la table, avec l'ordre de leur sucer la bite et les couilles. Ils discutaient entre eux de leur journée de travail, pendant que je m'occupais du sexe de ces messieurs, à genoux, la tête entre leurs cuisses. Je les ai faits jouir dans ma bouche, l'un après l'autre.
Quelques minutes passèrent, leurs mains me caressaient les jambes et les cuisses. Ils me firent mettre à genoux pour mieux disposer de mon corps. Ils ôtèrent ma robe et continuèrent à me caresser sans retenue, à me tripoter les seins, les fesses, le sexe. Je vis qu'ils bandaient de nouveau. Pourtant, ils venaient d'éjaculer dans ma bouche une demi-heure avant et ils avaient joui plusieurs fois la veille, ils auraient dû être rassasiés...
Ils me firent mettre à quatre pattes sur la table et s'offrirent chacun une bière. Bien installés, ils m'explorèrent du regard sans retenue et commentèrent chaque partie de mon corps.
J'étais un peu honteuse, exhibée ainsi devant eux, livrée à leurs fantaisies, me demandant si je pourrais me soumettre à tout ce qui leur passait par la tête. J'avais été parfaitement épilée juste avant de partir, mais ça ne faisait qu'augmenter l'impression de totale nudité.
Heureusement, ils n'eurent pas d'idées trop sadiques, ils s'amusèrent seulement à me tripoter partout, les cuisses, les seins, le minou et même l’anus. Ces petits jeux durèrent assez longtemps et j’y pris plaisir. Cependant, je fus heureuse quand ils cessèrent, car la position était inconfortable et humiliante.
Ils m'allongèrent ensuite sur la table, sur le ventre, jambes écartées et l'un d'eux s'installa sur une chaise, au bord, de façon à avoir mon sexe à portée de ses mains et de sa bouche. Il s'occupa surtout de mon petit trou, qu'il suça goulûment, pendant que les deux autres, à l'autre bout de table m'enfonçaient leur sexe dans la bouche, l'un après l'autre. L’homme parcourait mon entrejambe avec sa langue : le minou, l’anus, le minou… C'était très bon et la position était assez confortable, j’adorais ce traitement délicieux…
Ensuite, ils me retournèrent sur le dos et me dévorèrent jusqu'à me faire jouir rien qu'avec leurs langues et leurs doigts. C'était très agréable, très long, au moins une heure à être sucée ainsi, car chacun a voulu me faire jouir à sa façon.
Je sentis aussi un sexe s’introduire entre mes fesses, mais sans aucune pénétration, comme pour dire « J’ai plein de choses à faire avant... ».
A l'autre bout de la table, j'avais la tête renversée et deux bites entraient dans ma bouche. Je sentis du liquide chaud couler sur mon minou et quelques instants après, les deux autres inondèrent mon visage. J'étais couverte de sperme et je me suis enfuie dans la salle de bain pour prendre une interminable douche et me détendre un peu...
J’étais ko, repue, rassasiée, mais pas eux, visiblement…
Ils inventèrent un jeu : ils m'attacheraient sur une chaise, les mains dans le dos et les chevilles liées aux pieds de la chaise.
Chacun d'eux se présenterait nu devant moi et introduirait son sexe dans ma bouche. Je devrais tour à tour leur sucer la bite pendant une minute, puis ce serait au suivant, et ainsi de suite. Il y aurait une punition pour le perdant. Interdiction pour moi d'arrêter de sucer. Interdiction pour eux d'interrompre la fellation, même s'ils étaient prêts à éjaculer. Le premier qui jouirait dans ma bouche serait le perdant.
Le jeu s'est déroulé comme prévu.
Ils m'ont longuement pelotée, avant de m'attacher sur la chaise, ce qui les a excités encore plus, si c’était possible !
Le premier s'est présenté, le sexe dressé, m'a dit d'ouvrir la bouche... et il m'a planté sa queue dedans. J'ai tout de suite commencé à le sucer du mieux que je pouvais. J'étais juste à bonne hauteur, mais ce n'est pas facile, une fellation sans les mains. Je m'appliquais de mon mieux pour qu'ils jouissent vite, mais eux devaient, au contraire, ne pas se laisser exciter trop vite. Une minute ça passe parfois vite, mais c'est long quand on a une grosse bite, qui va et vient dans la bouche.
La minute écoulée, le second vint remplacer le premier...
Au bout du cinquième tour, ce qui faisait déjà presque quinze minutes de fellations au total, l'un d'eux n'a pas pu se retenir et a joui dans ma bouche. Il a pourtant essayé de se retirer, mais trop tard : j'ai reçu une giclée de sperme dans la bouche et le reste est arrivé sur mes seins. C'était le perdant...
Les deux autres sont venus réclamer leur plaisir, car ils bandaient et avaient envie de jouir dans ma bouche. Ils m’ont détaché les mains, pour que je puisse mieux les caresser, et ils ont éjaculé dans ma bouche. J’étais bien obligée d’avaler à chaque fois.
On me détacha. Il était convenu que je choisirais la punition du perdant.
Pour me venger des sévices qu’on m’avait infligés, même si j’étais consentante, j’ai choisi le fouet. Je n'avais rien pour fouetter le perdant, j’ai donc pris la ceinture de son pantalon. Cinq coups de fouet sur les fesses, cinq autres sur la verge. Il criait de douleur, mais j’y trouvais un plaisir nouveau, quasi sadique…
Enfin il demanda grâce et les deux autres garçons acceptèrent que j'arrête. D’ailleurs, tous ces ébats nous avaient tous crevés, et nous ne pensions plus qu’à dormir.
Je me suis rhabillée et je suis rentrée à ma chambre, épuisée.
Les vacances sont continué à ce rythme : plage dans la journée, baise d’enfer le soir, avec eux, ou certains de leurs amis. Mais ils n’étaient jamais moins de trois. J’avoue que j’ai pris ma dose de sexe hard pour plusieurs semaines !!!
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on en veut encore je ba;;;nde
Voila un récit plus qu'excitant, et surtout la fin.
Quel plaisir de pouvoir sucer une queue à deux langues avec sa femme, surtout que cette queue sort de son cul.
Et pouvoir ensuite s'echanger le sperme dans un baiser fougueux.
Quel pied.