Les Mémoires très Libertines de Sophie
Pipes à la chaine
Tristan vient de découvrir ses penchants bi. Il nous raconte...
Ah les hommes, leurs queues...
Voilà plusieurs mois que je suis attiré par les hommes, alors que j’étais jusque là un hétéro convaincu… Les voir nus me trouble, voir leurs bites bandées m’excite de plus en plus. J’ai décidé de franchir le pas, et de m’accorder quelques expériences avec des hommes, même si je reste très attaché aux femmes !
Quand j’ai une relation avec un homme, elle est « brute », sans paroles ou presque, pas de douces caresses ou de baisers. Je veux du sexe pur, satisfaire mes pulsions.
C’est tout.
Mon après midi la plus excitante s'est déroulée en métropole.
Je rentrais chez mes parents où je passais les vacances, et sur la route je connaissais un lieu de drague gay.
Je m'y suis arrêté, il n'a pas fallu très longtemps pour voir des mecs me tourner autour. Il est vrai que l’on me dit souvent que je suis beau mec.
Et là, ç’a commencé. Le premier fut le bon. Il me dit : « tu cherches quoi ?»
Entre homme, c'est du direct ! Je lui réponds, tout aussi direct : « sucer une queue. »
On rentre dans les bois et, à peine cachés là, je m'agenouille. C'est ce moment là que je préfère, quand je m'agenouille devant leurs sexes et que je le découvre. Là, je lui sors sa queue de son caleçon, c'était une bonne queue avec beaucoup de veines apparentes. Bre, elle m'a énormément plu. Je commence à le sucer, lécher ses couilles, il n'a pas fallu longtemps pour qu'il jouisse sur mon visage.
Nous nus relevons, et nous partons. Je monte dans ma voiture toujours très excité. J'avais déjà fait quelques kilomètres, quand je me suis dit qu’il fallait que je continue, je n’en n’avais pas eu assez !
Demi-tour, je reviens sur l’aire de repose, et même trip, avec un gars d'une trentaine d’années. Là aussi, il a un beau sexe. Je me suis branlé en même temps. Quand il m'a vu juter une bonne dose de sperme bien épais, logique vu mon intense excitation, il à joui a son tour sur ma bouche.
Ça faisait deux bites de consommer.
Je n'allais pas m'arrêter là.
Un garçon un peu timide se présente, quarante ans environ. Il avait peur qu'on le voit, et tout en regardant partout autour de nous, je me suis agenouillé devant lui et j'ai sorti son sexe. J’étais chanceux, il avait lui aussi une belle queue comme je les aime. Mais il a joui très vite, trop vite, dès que j'ai commencé à lui sucer le gland et sous le gland.
Ca en faisait trois. Pourtant, il m’en fallait encore.
Le quatrième ce fut un vieux, qui n'osait pas s'approcher. Il se touchait au loin. Pour le mettre a l'aise, je me suis agenouillé pour qu’il me sache à sa disposition.
J'ai fermé les yeux et ouvert ma bouche, c'était très explicite !
Du coup, il n'a pas fallu longtemps pour que je sente quelqu’un mettre son sexe dans ma bouche.
C'était mon petit vieux, un petit sexe qui bandait à peine… Pourtant, je me suis régalé a lui donné du plaisir. Je regrette de ne pas avoir avalé son sperme, ça lui aurait fait plaisir...
Mais bon, je n'ai pas encore fait ce type de fantaisie… Je suis un peu frileux quant au risques de mst.
Mais le sperme ne me rebute pas. J’adore jouir dans la bouche de mes compagnes lorsque elles le désirent, et ensuite les embrasser langoureusement en jouant a ce transmettre ma semence….
Ouf d'en parler, ça me retourne : J'ADORE !
Pour finir, j’en ai sucé un cinquième. Ce fut un jeune homme de 25 ans environ, sympa mais un peu trop brouillon, trop jeune.
Mais il a quand même inondé mon visage dans un cri assez impressionnant. Nous en avons ri tous les deux...
Voilà. Ma pulsion assouvie, je me décidais à partir. Cet après-midi là fut mémorable pour moi...
Je ne demande qu’à recommencer. Alors, si ici en Guyane, il y a des mecs qui veulent se faire sucer, laissez un commentaire, ou écrivez à Sophie. Elle me transmettra vos messages.
Sophie : Je ferai la boite aux lettres avec plaisir. Et si en plus, ces hommes veulent bien que j’assiste à vos petits jeux de pipes, je serais la plus heureuse des femmes !!!
Le rêve éveillé, par Zeffir.
Sophie, rêve ou réalité ?
J'étais en train de rentrer chez moi. Je n'avais qu'une envie : me mettre à l'aise et prendre une bonne douche.
La chaleur avait été plus pénible que les autres jours, mais cette journée m'avait fait entrevoir tout plein de corps de femmes qui se dénudaient toujours un peu plus au fur et à mesure que le thermomètre indiquait une température de plus en plus chaude.
Après avoir ouvert la porte de mon appartement, j'ôtais rapidement les habits moites que j'avais du supporter toute la journée. J'étais enfin à l'aise.
Un coup d'œil rapide dans le miroir de la chambre laissait apparaître un début d'érection, je souriais...
J'ouvrais à fond le robinet de la douche, le bruit de l'eau remplissait me tête et je fermais les yeux...
Bien rafraîchi, je décidais de m'allonger quelques instants sur le lit.
Je repensais à ces jambes nues, ces seins tout tendus, ces lèvres moites que j'avais croisés tout au long de la journée.
Je me remémorais plus particulièrement un téton que j'avais senti durcir lorsque j'avais effleuré par mégarde le chemisier de ma voisine dans l'ascenseur.
Je n'avais pas envie de retenir cette sensation toute chaude qui grandissait en bas de mon ventre et je laissais mes pensées vagabonder sur ce téton et ces seins que j'imaginais bien fermes.
Mon sexe était du même avis car sans me demander quoique ce soit, il pointait déjà tout dur vers mon nombril. Je gardais les yeux fermés et mes pensées étaient de plus en plus troublantes, quand soudain, j'entendis la porte de l'appartement s'ouvrir.
Je me rappelais que la sœur de mon colocataire devait passer lui apporter des affaires avant la fin de la journée. Je ne prêtais donc que peu d'attention à cette intrusion qui m'avait juste un peu perturbé. Afin de réaffirmer mon excitation, je me replongeais dans mes rêves érotiques. Alors que je commençais à attraper mon sexe bien dur, la porte de ma chambre s'ouvrit d'un coup. Je me retrouvais face à face avec Sophie qui, malgré la gêne occasionnée par la situation, fixait mon sexe avec insistance.
Plutôt que de se sauver, elle rentra et referma rapidement la porte derrière elle.
« Je n'avais jamais eu l'occasion de te voir comme ça ! », me dit-elle en souria,t…
-Non... ... ..., lui répondis-je.
J'étais tellement gêné que je ne savais pas quoi lui répondre.
Je n'avais jamais fait attention à Sophie en tant que femme depuis le temps que je la connaissais. Elle avait maintenant tout juste 19 ans, et la nature lui avait effectivement fait don de quelques avantages non négligeables. Elle avait la bouche entrouverte et respirait profondément. Sa poitrine se soulevait à chaque fois et je voyais ses tétons tout durs pointer sous son T-Shirt.
« Ferme les yeux », me dit-elle.
Troublé, j'obéissais. J'entendais son corps bouger dans la chambre et je sentais qu'elle s'approchait de moi. Je sentis qu'avec deux de ses doigts elle faisait pointer mon sexe vers le plafond de la chambre. Avec deux autres doigts, elle découvrit bien mon gland. Je frémissais... de désir, d'envies... ma tête allait exploser. Tout doucement elle commença à faire glisser ses doigts sur toute la surface de mon gland. Elle salivait dessus et ses doigts repartaient de plus belle. Ses doigts frottaient cette partie de chair qui n'était pas habituée à un tel traitement. Je ne pouvais plus m'empêcher de gémir en continu.
Elle le frottait tout autour, dessus : il était tout rouge tellement il était gonflé. Ses doux mouvements étaient en train de m'emporter trop loin. Je tentais de bouger mon bassin afin de me dégager de cette étreinte, mais ses doigts se voulaient encore plus tendres et caressant et ne voulaient vraiment pas me lâcher.
Je décidais de céder à son étreinte et écartais les jambes afin de mieux ressentir ses caresses.
« C'est bien, tu en veux plus... », me dit-elle.
Je n'en pouvais plus, il fallait faire quelque chose. Comme par miracle, elle s'arrêta.
« Garde les yeux fermés... ».
Je l'entendais à nouveau bouger et entendais ses vêtements tomber sur le sol de la chambre. Je sentais alors Sophie monter sur le lit. Tout doucement elle approcha sa chatte tout près de mon visage alors qu'avec le reste de son corps elle épousait le mien.
« Lèche moi bien... », me dit-elle.
J'avais terriblement envie de la goûter. J'ouvrais les yeux pour mieux profiter du spectacle. Elle était totalement bien cambrée au dessus de mon visage et ses seins s'appuyaient contre mon bas-ventre.
D'une main elle tenait à nouveau mon sexe.
Je décidais d'explorer ses chairs. J'approchais doucement ma bouche. Mes lèvres chaudes se posèrent juste entre ses deux orifices.
A cet instant, je sentis une chaleur intense envelopper mon sexe entièrement. Sa bouche s'était ouverte et avait glissée vers le bas en l'engloutissant presque totalement : j'étais emprisonné.
Depuis le début, j'avais vraiment l'impression de ne rien contrôler du tout. Il fallait qu'elle gémisse autant que moi.
J'écartais son sexe en tirant bien de chaque côté. Ses lèvres étaient toutes rouges et brillaient de désir. Plus je les écartais, plus je voyais l'anneau de son anus se resserrer par petits spasmes.
Sa bouche me tenait encore et elle essuyait de doux petits va-et-vient.
Maintenant que sa chatte était bien ouverte, je déposais délicatement ma langue sur le côté de son orifice. Je léchais le moindre repli. Je mouillais toute la surface qu'elle m'offrait. Je me gardais bien de toucher son sexe, je voulais qu'elle ne désire que cela...
Sa chatte s'ouvrait et se refermait, son bassin insinuait de brefs mouvements. Son corps réclamait autre chose.
Mon sexe était inondé, elle me suçait bruyamment en dégageant totalement mon gland. Sa salive se mêlait à mon excitation. Au moment ou elle m'avala en entier, j'écartais encore davantage sa chatte, et ma langue appuya un peu fortement sur son clito qui n'en pouvait plus de se faire délaisser. Je l'aspirais et le sentais tout dur sous ma langue.
« mmmmhhhhh.... mhhh.... Ha !!!!!!!!!!...... », gémissait-elle.
Elle plaqua un peu plus sa chatte sur mon visage et se releva. Mon sexe était enfin libéré de sa bouche mais sa main restait bien serrée autour.
En gardant ses lèvres bien écartées, je commençais à fouiller l'intérieur de son trou avec ma langue. Sa réaction se fit sentir immédiatement : elle cambra comme jamais je n'avais vu une croupe se cambrer...
Cela eut pour effet de pousser un peu plus au fond ma langue au fond d'elle, mais mes doigts glissèrent et se trouvèrent juste à l'entrée de son petit trou. Je décidais de masser délicatement son deuxième trésor.
Elle gémit de plus en plus et me branla le sexe avec vigueur.
Je devais faire preuve d'énormément de concentration pour ne pas exploser de plaisir.
Nos gémissements se mélangeaient et on ne pouvait plus distinguer de quel corps tout ces bruits sortaient.
Sophie se releva d'un coup et me fit face. Elle était debout au dessus de moi et me regardait comme une proie. Elle regarda mon sexe.
« Je te veux en moi », dit-elle.
Tandis que son corps s'abaissait, elle me fixait du regard. Ses yeux exprimaient l'envie, le désir, la luxure. Son visage arriva près du mien, et au même moment ou sa langue pénétra ma bouche, elle s'empala d'un coup sur mon sexe.
- « Haaaaaaaaa....... », fit-elle.
Ma queue venait de la pourfendre d'un seul coup. J'étais à fond en elle. Sa langue s'activait dans ma bouche et ses fesses ne faisaient que monter et descendre le long de ma tige. Son rythme était insoutenable, je sentais la fin proche. Nos bouches se touchaient, se léchaient, parlaient un langage sensuel que eux seules pouvaient comprendre. Il n'y avait plus que bruits de bêtes, de corps et gémissements.
D'un mouvement, elle releva son buste et j'eus l'impression que je la pénétrais encore plus loin. J'avais devant mes yeux un spectacle merveilleux. Elle avait une poitrine parfaite. Elle ouvrit la bouche encore plus grand, serra ses tétons avec ses doigts.
Je sentis son vagin me serrer incroyablement et sentis mon liquide monter petit à petit le long de ma verge. Je me sentais tout raide. Dans un dernier râle, Sophie se cambra encore un peu plus sur ma queue, et nos deux corps explosèrent ensemble.
Nous hurlions tous les deux notre plaisir. Je touchais et pressais ses seins avec mes mains, j'essayais de lui attraper les tétons avec ma langue pendant qu'elle se frottait à moi. Nous étions bien et la chaleur commençait à redescendre tout doucement.
Je regardais alors Sophie dans les yeux et lui dit :
« Je n'aurais jamais imaginé tout ça...
-Je sais », me répondit-elle.
Je la regardais étonné, mais la sonnerie de la porte d'entrée me fit sursauter. J'ouvrais les yeux, Sophie avait disparue ! Je m'étais assoupi sur mon lit.
Je regardais mon sexe, il était dur.
Je me dépêchais car la sonnerie était de plus en plus insistante. Je me demandais depuis combien de temps je dormais...
J'enfilais rapidement un caleçon, en m'assurant bien que mon érection était redescendue. J'ouvrais précipitamment ma porte.
« Bonjour !!! », me dit Sophie.
Je la regardais comme jamais je ne l'avais regardée.
« Entre... »
Signé : zeffir -
Carole et l'inconnu de la plage
Mon amie Carole est venue me raconter son aventure, sur une belle plage de nos côtes équatoriales… Plage de rêve, sable blanc et cocotiers qui se balancent au vent des alizés…
Sans méchanceté, je peux dire que Carole est une femme ordinaire, cheveux aux épaules d'un brun noisette, les traits un peu tirés. Elle s'occupe de son corps en allant faire du sport en salle trois fois semaines, mange bien et prend un peu de soleil sans exagérer.
Ses yeux sont noisette, mais très rieurs. Elle travaille dans une compagnie d’assurances. Les cheveux toujours attachés pour une simple raison de commodité. Une femme comme nous toutes, qui a espoir d'une vie excitante et fantasque. Mais la vie, les responsabilités et la vision de la société viennent nous mener par le bout du nez 99 % du temps.
Un soir, après une grosse journée de travail, elle décide de sortir et d'aller se promener dans la nuit mystérieusement enivrante et torride de notre belle région.
Elle porte une jupe longue qui descend jusqu'aux pieds et un chemisier blanc mi-ouvert, légèrement transparent. Elle marche sur le bord de l'eau, en regardant le coucher du soleil qui rend le ciel d'un rose flamboyant. L'eau est d'une couleur turquoise transparente et chaude, l'implorant de mettre seulement une partie de son corps en elle. Les vagues caressent ses pieds, comme le ferait un amant gourmand et vigoureux qui la prendrait de tout son être.
La mer, en quelque sorte, lui fait l'amour encore et encore, chaque vague vient effleurer son être profond. Le vent se mêle à sa chevelure trempée par l'eau salée, mais aussi par la sueur que son corps dégage, dûe à la caresse sensuelle du vent humide des pays tropicaux.
Quelques gouttelettes d'eau viennent se déposer sur sa chemise, et le tissu lui colle à la peau. La chaleur enveloppante vient contribuer à l'augmention de sa gourmandise et de son imagination sexuelle qui l'obsède depuis un certain temps.
Un petit coup de vent vient exciter le bout de ses seins qui transpercent le tissu de son haut. Ses lèvres se gonflent et atteignent une couleur rouge vermillon.
Elle sort sa langue très légèrement pour humecter ses lèvres, pour facilité le glissement encore et encore de ses doigts, qui valsent au gré des battements de son cœur. Tout en penchant sa tête par derrière, elle descend sa main très lentement vers son cou pour enlever la sueur mais aussi pour ressentir la sensation de son corps qui brûle sou ses doigts. Sa main descend jusqu'à l'atteinte de son buste continuant à caresser encore et encore d'un coté à l'autre.
Des palmiers qui bougent au rythme du vent chaud du sud, du sable blanc qui lui glisse entre les orteils, la senteur de fleurs exotiques qui tourbillonnent autour d'elle et un regard vigoureux au loin dans l'abandon du coucher du soleil.
Un regard qui l'attire, même si la seule chose visible à cette distance est une silhouette sombre. Pourtant, de l’apercevoir au loin, Carole ressent une passion qui l'enflamme. Elle s'avance dans un roulement de hanches, les pieds effleurant le sable humecté, allant vers l'inconnu dans la nuit qui s'annonce torride…
L'inconnu se déplace lentement vers la mer. Elle le regarde s'avancer à une vitesse qui semble prendre une éternité. Arrivé près de l’eau, l'inconnu s'incline pour s'humecter les mains. Après avoir pris de l'eau de ses mains viriles, il lève ses bras musclés pour enduire ses cheveux d'un noir ébène de ce liquide chaud et salé. Il a une tignasse tombant sur les épaules, frisée et soyeuse. Il relève d'un seul mouvement énergique tout son corps, et se tourne vers elle.
Carole distingue dans le soleil couchant les lèvres pulpeuses qui semblent l'appeler. Des yeux en formes amande d'une couleur vert émeraude projettent des éclats de lumière qui la font vibrer. Il est grand, musclé, bronzé et affamé.
Il ya comme une connexion sexuelle entre cet homme inconnu et Carole.
Elle se demande si c'est un rêve, ou si c'est vrai, si c'est une occasion unique qui ce présente… Un inconnu, une plage déserte, un coucher de soleil magique et un homme attirant sur son chemin : une seule chance de sortir de la routine exaspérante...
Arrivée à quelque centimètres de lui, les cheveux au vent, les lèvres brûlantes d'envie de le goûter, de le toucher, elle reste là, ne disant rien, et regardant le visage de cet inconnu.
Sans aucun mot, il la soulève dans ses bras, elle sent son corps entier le toucher, s'imbiber de lui. En un moment, elle perd tout sens de la réalité. Un monde de fantasmes s'ouvre devant elle.
Sans perdre un instant, il l'embrasse sur le cou avec une férocité animale. Ni tendre, ni brusque, juste avec un appétit vorace. Il veut la goûter, la sentir vibrer dans ses bras. Sentir le bout de ses mamelons en érection effleurer son torse nu. Ses grandes mains, ses bras gonflés, la soutiennent avec une douceur remarquable.
La senteur de l'inconnu vient éveiller en elle un appétit qu'elle n'a jamais connu avant, l'abandon de tous ses sens intimes. Son sexe devient moite et s'ouvre à l'attente de cet inconnu.
L'homme la reprend dans ses bras, mais cette fois-ci, pour la déposer par terre sur le sable chaud et humide. Le dos à plat sur le sable, les cheveux étalés sur la plage, ses jambes sont légèrement repliées. Une certaine réticence lui monte à la tête, mais sans façons, l'étranger s'étend sur le sable à coté d'elle, et pose ses doigts sur ses lèvres brûlantes de désir. Les doigts descendent doucement dans son cou comme elle l'avait, plus tôt dans la soirée, fait elle-même.
Il atteint son buste avec délicatesse et douceur. Elle le regarde, et remarque son jean’s d'un bleu délavé et un peu usé par le passage du temps. Au lieu d'une fermeture éclair, il y a des aboutons. Mais ceux-ci ne sont pas fermés, le pantalon est ouvert et prêt à inviter l'inconnue à le prendre de toutes les manières possible. Il a le torse nu, lisse et chaud. Le pantalon lui colle à la peau comme un gant, et tous les détails de son anatomie se présente à elle sans détours.
Elle sent au fond d'elle leur désir intense et réciproque. Elle tente de prendre le sexe du l'homme dans sa main et de savoir qu'est ce qu'il l'attend. Sans succès.
En un mouvement brusque, l'inconnu ouvre son chemisier et enfouit son visage fraîchement rasé dans le creux de ses seins. Elle laisse échapper un soupir de volupté. Un soupir de délivrance, de jouissance.
Les mains de l'inconnu descend du haut du buste jusqu'à chaque côté de ses sublimes seins, qui sont ni trop petits et ni trop gros, des seins que le temps a modelé.
Pour ensuite enfouir ses mains derrière son dos qui est encore collé au sable. Il la soulève doucement vers lui pour l'embrasser passionnément, d’un baiser affamé. Il lui mord tendrement le bas de la lèvre, et à son tour, elle lui lèche la bouche entière avec une faim intense. Leurs lèvres se nouent ensemble sans fin.
Les mains de l'inconnu descendent au niveau des fesses qui sont enfouies dans le sable, et la soulève d'un coup sauvage pour la remettre debout devant lui. Il enlève le chemisier, ôte la jupe, et contemple ce corps magnifique.
Voluptueuse dans ses bras, elle se laisse dévêtir sans protester. L'inconnu passe ses mains de chaque côté de ses mollets, de ses cuisses et arrivé au niveau des fesses, il remarque que Carole ne porte rien. Ni de petite culotte ou de maillot de bain, juste un sexe prêt à le recevoir. Il la soulève pour installer ses deux jambes de chaque côté de lui et l'appuie sur un palmier peu confortable, mais qui n'est rien à comparer la nuit qu'elle va passer. Il sort son sexe volumineux, et sans plus de préliminaires, lui insert le prépuce entre les lèvres de sa vulve. Il le fait glisser du clitoris à l'anus pour exciter Carole et l'entendre gémir de plaisir. Elle se trémousse dans ses bras musclés dû aux caresses infligées par son tendre inconnu. Après quelques secondes de plaisir, il décide de la monter encore plus haut sur le palmier et de savourer entièrement son sexe. Elle crie, vibre, et demande plus encore. Sur le bord de l'extase, l'inconnu l'assied sur sa bite dure et prête pour elle. Il s’enfonce en elle avec douceur, au tout début, mais il accentue ses mouvements en faisant crier Carole de plaisir. Elle me dira n’avoir jamais ressenti un tel orgasme auparavant.
Il glisse ses bras derrière de son dos et la porte pour aller la déposer sur le sable blanc, juste au bord de la mer. L'inconnu, à son tour, s'étend sur le dos, avec sa queue bien dressée et demande à Carole de lui avaler son pieu turgescent... Elle se penche en avant, se positionne entre ses jambes à lui, à genoux, écarte ses cuisses et laisse les vagues lui caresser la chatte durant qu'elle lui ravale son chibre goulûment..
Elle sent les vagues qui vont et viennent, lui caressant sa vulve excitée. Sous la seule pression de l'eau, Carole est au le seuil de l'extase quand l'inconnu décide de renverser les rôles. Il la fait coucher sur le dos, la pénètre d’un fort coup de reins... La mer les roulent ainsi, accrochés l’un à l’autre, Carole pilonnée par la grosse queue de l’homme.
Il la plaque au sol, les vagues la fouettent. Il accentue ses profonds allers et retours, la clouant au sol. Elle se cambre, son corps est secoué d’un violent spasme. Elle hurle son plaisir dans la nuit tombante, sans retenue…
L’homme à son tour, dans un ultime mouvement de bassin, crache son foutre au fond du vagin de Carole. Puis ils restent ainsi, soudés l’un à l’autre, le sperme de l’inconnu qui s »coule de son con meurtri, venant se diluer dans la mer tiède.
Pourtant, l'inconnu la fait se relever, puis coucher à nouveau sur le sable. Il écarte doucement ses cuisses, et vient la manger avec avidité, goutant le reste de sa crème, salée par la mer. Il la mange, la dévore, la lèche, lui aspire le clito qui bande à nouveau. Carole ne résiste pas longtemps à ce traitement magique. A nouveau, elle jouit sana retenu sur cette plage désertée.
Toute la nuit, ainsi, sans répit, sans fatiguer, ils feront l’amour encore et encore, usant et abusant de l’autre.
Au bout de la nuit, à l'aube du matin, fatigué et satisfait, l'inconnu se lève en l'embrassant tendrement sur le cou, et disparaît dans les premières lueurs du matin tropical
- Commentaires textes : Écrire
Nicolas vous raconte notre rencontre d'hier.
J'ai rencontré Nicolas hier, après qu'il m'ait écrit sur mon blog. Il m'a plu, et je lui ai donné rendez-vous dans un bar de la place. J'ignorais encore ce qui allait se passer... Je laisse Nicolas vous le raconter :
Nous avons rendez-vous dans un bar, près de la plage. De loin, je sais que c’est toi, tes cheveux blonds éclatent de lumière sous le soleil brûlant de midi. Il n’y a personne, le serveur vaque à ses occupations. Nous sommes seuls dans ce coin reculé de la salle.
Je m’assieds près de toi, et je te vois écarter tes cuisses, tu ne portes pas de culotte, comme tu me l’avais promis. Ta belle toison est claire et épilée. Je vois très bien une jolie fente rose. Ta main droite s'y pose et tu commences à te caresser l'entrecuisse !
Je suis subjugué par cette vision. Tu te masturbes carrément maintenant.
Pendant quelques instants, nos regards se sont croisés et tu as lu mon envie dans mes yeux. Je m'approche, et lentement, ma main est remontée le long de ta cuisse, sans lâcher mon regard.
Je te caresse une cuisse, t'embrasse sur la bouche. Tes jolies lèvres sont chaudes et douces. Tu sens très bon, j’adore ton parfum.
Puis mes doigts ont repoussé les tiens, et se sont insinués entre les lèvres de ta chatte. Ce fut sans surprise que je la trouve trempée de son jus. Je baisse les yeux, et je te vois encore écarter les lèvres, ta chatte rose, ton clito gonflé est bien visible. Je suis trop attiré par cette belle fente humide. Mon doigt trouva ton clitoris et le branla doucement. La chaleur monte en toi et des éclairs de plaisir jaillissent de ton ventre.
Alors, je me penche, et j’y pose ma bouche tout de suite, c'est doux, parfumé. Je te lèche avec délectation, et très vite tu te mets à gémir, ondulant du bassin. Je vois que tu te caresses les seins pendant que j'écarte ta fente en grand.
Je te lèche comme un fou, et tu pousses des cris de plaisir ! Je ne pensais plus qu'à boire à cette source féminine dont j'avais si souvent rêvé la nuit Tu coules telle une fontaine de plaisir… Je suis au paradis avec toi, ma belle femelle en chaleur !
Tu t’allonges sur la banquette, les jambes écartées et je viens sur toi. Tout de suite, tu guides mon sexe dans ta chatte. C’est doux, chaud, et très mouillé, j’aime ça ! Je m'enfonce en toi comme dans un rêve, je te suce les tétons, t'embrasse à pleine bouche. Tu soulèves ton bassin pour mieux me sentir. Je ne peux plus me retenir d'autant que tu me serres avec tes jambes et soudain on se met à jouir à l'unisson. Tu pousses un long cri aigu, et je me vide en toi. Quel régal ! Tu es superbe et tu baises comme une salope !
Le serveur a fini par arriver, attiré par nos cris. Il est là, pétrifié par la vision torride que nous lui offrons. Tu lui souris d’un air engageant… Je sais que tu aimes être vue quand tu fais l’amour.
Il s‘approcha de nous, et tu lui dis : « Ca te plait ? Tu veux rester avec nous ? J’ai aussi envie de te voir là… »
Il hoche la tête, et bafouille : « Je vais fermer le bar, comme ça, on sera tranquille ! »
Il revient quelques secondes après. Entre-temps, je suis descendu entre tes cuisses, et je tête avec avidité ton clito toujours aussi gonflé. Tu gémis, te tords sous ma langue impatiente. Jules, le serveur, n’en peut plus. Je lui fais signe d’approcher : « Viens voir de près, tu le mérites bien... Elle est belle, cette chatte, non ? Tu en as envie ? Alors, viens, et suce ! »
Il ne se fait pas prier longtemps, et se jette sur toi comme un lion sur sa proie. Il te mange la chatte comme si sa vie en dépendait. Il agite sa tête en tous sens, te lape à grands coups de langue, l’enfourne entre tes lèvres blanches de mon sperme. Tu ne résistes pas longtemps à ce traitement, et tu jouis une nouvelle fois, en criant fort…
Les nageurs de la plage doivent en prendre plein les oreilles ! Je vois ta liqueur couler sur son visage, sur sa bouche. Il se relève, il bande tellement que sa queue dépasse de son pantalon. C’est un beau black, il n’a sans doute pas vingt ans. Il est encore ahuri de vivre une telle expérience…
Tu lui dis de baisser son pantalon. Il obéit, et laisse apparaitre une bite monstrueuse, longue et épaisse. Sans doute au moins de 25 centimètres, pour un diamètre proche d’une canette de bière ! Tu pousses un cri d’admiration, mais tu protestes aussi :
« Sa bite est splendide, mais elle est trop grosse pour moi… Viens m’aider à lui faire plaisir. »
Là, c’est moi qui proteste : pas question de toucher une bite, aussi belle soit-elle !
« Nico, tu sais que j’aime trop voir deux hommes ensemble. Alors, si tu veux qu’on se revoie, tu vas le sucer avec moi ! Sinon, dégage de là ! »
J’ai trop envie de la revoir, de la baiser tant et plus. Alors, après tout pourquoi pas... Tant qu’elle ne me demande pas de me faire enculer…
Elle s’assied sur la banquette, je me mets près d’elle. Jules s’approche, un peu intimidé : « Je ne sais pas trop si j’ai envie qu’un homme me suce… »
Tu lui réponds d’un ton plutôt sec : « C’est comme tu veux, mais comme je viens de dire à mon ami, si tu ne veux pas, tu bouges de là. On continuera sans toi ! »
Visiblement, l’envie de baiser est la plus forte chez lui !
Sa queue est dressée vers le plafond, et touche son ventre. Il est juste devant nous. Je vois ce pieu immense, qui me donne des complexes.
Tu commences à emboucher son gland, mais il rentre à peine dans ta petite bouche. Alors, tu fais glisser ta langue contre cette énorme colonne de chair noire.
« Fais comme moi », m’ordonnes-tu, les yeux brillants d’excitation.
Je saisis les couilles énormes du serveur. Elles sont plus grandes que ma main ! Je commence à sucer ce membre raide. En fait, ce n’est pas désagréable... C’est doux et lisse sous ma langue. Il vibre sous nos caresses combinées. Sa bite tressaute, comme dotée d’une vie autonome. Il pousse des soupirs, marmonne des sons incompréhensibles, il s’agite de plus en plus.
Je sais qu’il va jouir, mais je n’ose pas me retirer. Tu te délectes toujours de ce chibre monstrueux. Tu le lèches de plus en plus vite, tu le branles aussi énergiquement. Pas étonnant qu’il ait envie de jouir ! Un spasme secoue sa verge, un jet puissant en sort. Un jet se sperme comme je n’en n’ai jamais vu de ma vie ! Son foutre épais va s’écraser sur le miroir qui est derrière nous. Il éclabousse la glace, et rejaillit sur nous. Une éjaculation pareille, c’est phénoménal ! Le sperme continue de sortir par saccades de son sexe toujours aussi bandé. Ca semble ne jamais vouloir d’arrêter. Tu es hypnotisée par ce torrent de foutre, dont la blancheur contraste fortement avec le noir de sa peau d’ébène.
Il recule, et tombe comme une masse sur une chaise.
Tu ris aux éclats : « Tu as vu comme il a joui ! C’est super, j’adore voir ça ! Mais ca m’excite, j’ai encore envie de toi…»
Moi aussi, sucer ce sexe majestueux m’avait donné de nouvelles envies de toi… Je crevais d'envie de te pénétrer. Tu t’étendis sur moi tête-bêche et je tendis les lèvres vers ta grotte inondée d'une liqueur au parfum suave. Ma langue glissa entre les lèvres de ta chatte pour y laper, à nouveau, toute la liqueur féminine qu'elle pouvait y trouver, tandis que ta langue s'enroulait autour de mon sexe, durcit par cette nouvelle expérience. Tu me suces goulument, tu m’aspires, m’agace de tes dents. J’en fais autant, et je te sens mouiller de plus en plus. Tu as un nouvel orgasme, fort, car tu m’inondes aussi le visage. Tes cris sont étouffés par mon vit qui te remplit la bouche. Jules est tout prés de nous. Il n’a pas débandé, et se branle avec énergie. Sa main monte et descend inlassablement sur sa queue énorme.
Tu recraches ma queue, et me supplie presque : « Nico, bourre-moi avec ta queue, fais-moi jouir encore, baise-moi à fond ! »
Comment résister à une telle invitation ? Je me relève, et viens enfoncer ma bite dégoulinante de ta salive tout au fond de ta moule béante…
Je vais et viens de plus en plus vite et tout à coup, sans que nos yeux se quittent, ton corps se tend comme un arc et tu cries encore de plaisir. Je sens ta chatte qui mouille de ta jouissance et ton jus coule le long de ma queue. Mon plaisir monte et sentant ma jouissance toute proche, tu te retires pour porter ta bouche près de ma queue. Tu me branles, et j’enfonce mon gland entre tes lèves ouvertes. C'en est trop et je décharge tout mon jus au fond de ta gorge. Tu pompes tout, jusqu'à la dernière goutte.
Presque en même temps, Jules jouit aussi, son foutre jaillit et explose sur tes seins.
Tu lui dis alors « Tu es un vilain garçon, tu m’as salie... Viens me laver maintenant… »
Ne comprenant pas, il fait mine d’aller vers le bar.
Tu le rappelles : « Non, je veux que tu me laves de ton sperme avec ta langue ! »
Il a une moue de dégout, mais vu le regard d’acier que tu lui lances, il sait qu’il n’a pas le choix…
Il s’agenouille près de toi, et avec sa langue, à la dimension de son sexe, impressionnante, suce tes seins avec application. Leurs pointes est dure, érigée. Il n’en laisse pas une goutte… et je le vois quémander des yeux une dernière faveur…
Tu hoches la tête, il te bascule sur la banquette, et de nouveau, te dévore la chatte remplie de cyprine et de mon sperme. Il ne débande pas, et pour le stimuler je ne peux m’empêcher de le branler... Mais que m’arrive-t-il ? Tu me rends fou ! Jamais je n’aurais imaginé avant ce jour avoir envie de branler un homme ! Il est à angle droit avec toi, tu tournes la tête, et tu me vois le masturber. Visiblement tu aimes cette vision !
Sa langue est tellement longue qu’il arrive à te pénétrer comme il le ferait avec un sexe. Mes yeux sont fixés sur cet organe qui te baise profondément.
Pour la dernière fois, tu jouis un hurlant encore plus fort qu’avant. Jules ne résiste pas, et éjacule encore, inondant mes doigts de son foutre chaud. Je suis un peu dégouté, et vais me laver les mains au bar. Je te vois, allongée, pantelante, épanouie, heureuse..
Je reviens vers toi, et tu me dis : « Merci pour cet après-midi inoubliable... C’était géant, tu es un bon amant, et je veux que nous recommencions à baiser comme ça… »
Elle ajoute, en regardant Jules : « Si tu as aimé, je t’inviterai, pour baiser vraiment. J’ai des amies qui adoreront ta splendide queue noire ! »
Il dit oui, bien sur, et griffonne son numéro de téléphone sur un papier. Tu te rhabilles comme si de rien n’était, déposes un baiser léger su mes lèvres, et tu files vers la sortie. Jules t’ouvre la porte, et tu disparais dans la chaleur moite de ce jour magique.
Il est bien sur inutile de vous préciser que j'ai adoré ce moment torride, plein de tout ce que j'aime... ;-)
Avis aux amateurs...
La masturbation, par Zeffir
Ce matin, précipitation pour m'habiller : je n'ai enfilé qu'un bas de jogging sans rien mettre d'autre.
Je suis tout seul dans le bureau, et, machinalement avec une main dans la poche, j'attrape mon sexe et de l'autre je navigue sur le net.
Je consulte mes mails, les actualités, et je passe la main directement sous le jogging : sensation agréable... Mon sexe est légèrement moite, il n'est pas encore tout à fait dur. Il est juste assez élastique pour le tordre dans tous les sens. Je sens que j'aime ça : il durcit trop... J'enlève la main... pour faire descendre la sensation de plaisir qui commence à m'envahir...
De toute manière, le mal est fait, ça va être très difficile de faire partir les idées cochonnes que je commence à avoir en tête... Le téléphone sonne... sauvé...
Le temps de la conversation, tout revient à la normale, je raccroche.
J'ai encore comme souvenir le contact de mes doigts sur mon sexe : je me demande si ce serait toujours aussi bon... ma main replonge... mmmmmmmhhhhh.....
Mes doigts tirent ma peau en arrière... Je sens le gland se découvrir... la paume de ma main l'effleure. je recouvre le gland avec la peau et je retire en arrière... c'est trop bon il faut que j'arrête... je ne dois pas faire ça maintenant !
Sentiment contradictoire : en me raisonnant, je cherche également la manière avec laquelle je pourrai être le plus excité...
Est ce cela l'excitation suprême ??? Refuser le plaisir qui vient mais vouloir quand même y tomber dedans sans savoir si on va pouvoir résister ou pas ???
En tout cas, ma main est ressortie avec la ferme intention de ne plus y retourner...
Je reprends ma consultation des infos sur le net, mais avec mes yeux sur l'écran et ma main droite sur la souris pendant que ma main gauche... est attachée mentalement au bureau !
Je fais une concession : ma main gauche ne passe pas dans le jogging, elle caresse seulement mon sexe a travers le fin tissu...
Pffffff, trop tard, la main est repassée dessous... J'ai envie de délirer davantage... Je sors mon engin, je le cadre avec l'appareil photo du portable et prend mon érection en flagrant délit. J'envoie la photo à ma femme avec un petit commentaire : "La matinée s'annonce dure et longue..."
Je me force à prendre le temps d'attendre sa réponse...
J'attends la main sur mon sexe... Qu'est-ce que c'est calme ce matin !!!
Le téléphone sonne... je ne pense plus à rien pendant quelques minutes... Il est déjà midi, je dois partir...
Pause déjeuné terminée...
Je consulte machinalement mes mails et ce que je lis me rappelle une partie de la matinée :
« Ta matinée a été très dure et longue... c'est ce que je vois j'aime tout ce que tu fais,
continue à m'en mettre pleins les yeux..
PS : j'aurais aimée être avec toi ce matin et prendre ta queue en bouche... (tout ce que tu n'aimes pas !!!)
bisous, je t’aime »
La même sensation est réapparue dans mon entre jambe... Elle veut que je continue à lui en mettre plein la vue ? Elle veut en voir davantage ??? Que veut-elle exactement ?
Ca y est, mon sexe est tendu au maximum... mmmmmmhhhh... Ma main a retrouvé le chemin tout chaud de ma queue, et mes doigts s'activent tout le long du membre... Le gland apparait, disparait, réapparait, etc.
Il me faut un moment pour reprendre mes esprits... Je pense donc à lui envoyer d'autres photos... J'aimerais qu'elle me voie me branler, qu'elle voie le sexe qu'elle aime bouger de tous les côtés, vibrer sous mes caresses.
Je ne peux lui envoyer que des clichés statiques lui montrant ma queue emprisonnée par ma main ou bien le gland tout gonflé entre mes doigts. Verra-t'elle que je mouille ?
Par la même occasion, je lui demande si elle sait ce qu'elle aimerait voir de plus.
Elle m'a répondu... Elle me dit que je devrais savoir ce qu'elle veut...
En effet, je m'en doute bien ! elle aimerait que je prenne mon outil et que je le mette dans ma bouche, et que je m'en mette partout... difficile à réaliser, faute de souplesse !
Que cette situation lui plaise m'excite énormément... j'aimerais lui faire plaisir et pouvoir me le prendre à pleine bouche.
Je pense que je vais quand même essayer de lui faire plaisir en lui montrant mon sexe se gorger de plaisir et lécher tout le jus qui en sortira...
Tous ces écrits ne font que conforter mon érection et j'ai tellement envie de lui faire plaisir avec quelque chose de spécial...
Mes doigts serrent de plus en plus fort mon sexe et je sens que... hhhhhhmmmmmhh... tout mon jus coule sur mes doigts, c'est chaud... j'approche mes lèvres et je lèche mon sperme... jusqu'à la dernière goutte... mmmmmmmmmm
Va-t'elle aimer ???
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A TUNIS SI VOUS VOULEZ?
je rêve d'avoir le courage de faire comme lui et sucer des queues à la queue leuleu!
Un rêve..un fantasme...une envie....!!!