Les Mémoires très Libertines de Sophie
Franck, mon ex mari candauliste
Cela fait un moment que je veux vous raconter ma vie de mari candauliste, auprès de Sophie, mon ex-femme. Je savais qu’elle était hypersexuelle, et je me doutais bien que je ne la garderais pas pour moi tout seul très longtemps.
Ce soir-là, je sais qu’elle sort voir un autre homme… Une fois de plus.
Ca m'excite de penser que ma petite femme va se faire baiser.
Je me sens seul tout d'un coup, et mes sentiments sont complexes. Jalousie d'abord, de l'avoir vue partir si guillerette aller se faire baiser, troublé en même temps, songeant à ces mains, cette langue sûrement et ce sexe qui allaient tout à l'heure la fouiller.
Pourtant, il y a six mois encore, tu étais la femme d'un seul homme, tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte n'avaient connu que moi. Et puis il y a eu James le bien nommé. Tu avais d'abord été séduite par son efficacité, sa capacité de travail, d'analyse. Les méthodes américaines dont il usait. Tu m'en parlais le soir avec enthousiasme. J'avais une confiance absolue en toi et pas une seconde je n'ai été jaloux de votre complicité.
J'ai serré ma femme dans mes bras et j’ai chuchoté : « c'est vrai tu le désirais ? »
Tu as mis un long temps pour me répondre, et curieusement, j'ai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de ton silence. Toi-même, sans t'en rendre compte, tu l'as saisie, t'es lovée encore plus contre moi et les yeux levés soudain vers moi, tu as répondu doucement : « Je crois que oui ! » Elle s'est serrée contre moi un peu plus. J'ai dit : « Tu as senti sa queue contre toi ? » Tu as murmuré un « oui » timide. De te savoir désirée par un autre que moi te rendait plus précieuse, et c'est à ce moment, je crois, que nos jeux pervers sont nés. Je n'étais plus le seul objet de tes pensées, et ta fente aspirait à une autre bite, je le devinais. Le plus étrange était que cette simple pensée qui aurait du me rendre fou de rage avait une face excitante. « Depuis quand tu couches avec lui ? »
Tu t'es révoltée : « je n'ai pas couché avec lui !
- Alors que s'est-il passé ?
- Cet après midi, il m'a prise soudain dans ses bras et là j'ai perdu la tête, je lui ai rendu ses baisers, ses caresses, j ai laissé sa main se glisser sous ma jupe, j'ai écarté les cuisses pour faciliter son passage vers ma chatte en feu, j’ai caressé sa queue par-dessus son pantalon pendant que ses doigts s'enfonçaient dans mon vagin trempé… »
Tu es restée un moment silencieuse. J’ai insisté : « et alors ? »
« Alors il m'a faite me pencher sur le bureau, il a retroussé ma culotte, j'étais prête à me donner à lui, j'ai senti son sexe effleurer mes chairs quand soudain, nous avons entendu des pas. J’ai juste eu le temps de rabattre ma jupe. La secrétaire nous a annoncé que le patron demandait à nous voir, elle avait un drôle d'air comme si elle avait senti qu'il s'était passé quelque chose. »
Et bien, curieusement, je ne lui en voulais pas. Elle a poursuivi : « Par la suite, il m'a appelée sur mon portable, il avait réussi à se débarrasser du patron et me demandait de le rejoindre.
- Alors ?
J'ai répondu que ce n'était pas possible, qu'en fin de compte heureusement que nous avions été interrompus et que je lui souhaitais bon retour aux USA. »
J'ai vu quelle était bien malheureuse, et du fond du cœur j'ai crié : « Tu es folle ! Tu aurais du accepter !!! »
Elle a paru ne pas comprendre : « C'est toi qui me dis ça ?
- Oui c'est moi et tu vas lui téléphoner de suite pour lui dire que tu le rejoins...
- Tu deviens fou ! Toi mon mari me demander de rejoindre un autre homme !
- Oui ! Moi ton mari parce que je t'aime et que j'ai peur de vivre avec une femme qui aurait des souvenirs et des regrets dans la tête. »
Je t'ai tendu le combiné du téléphone : « Vas-y ! Téléphone-lui ! »
Tu as hésité, J'ai insisté : « Vas-y, téléphone, avant que je ne le regrette, et d'ailleurs je vois bien que tu en meurs d'envie. »
Alors tu t'es jetée dans mes bras en m'embrassant follement.
Tu as dis : « tu ne le regretteras pas c'est sur ?
- Je ne t'en voudrais pas. »
En manière d’acquiescement, tu as composé son numéro. J'avais le cœur qui battait à cent à l'heure. Tu lui as dit que tu arrivais.
Ce fut une nuit délicieuse de perversité que d'imaginer ma femme adorée entre les bras d'un autre. Là, en ce moment évoquant la première nuit adultère de mon épouse, je connais la même excitation, la même impatience.
La retrouver demain la mine fatiguée de s'être tant donnée, un peu honteuse malgré tout, mais cependant l'œil provocateur. Tu sembles m'annoncer ainsi sa nouvelle toute puissance de femme libérée.
« Tu l'as voulu, tu m'as poussée à m'offrir à un autre, je veux te f aire sentir ta condition de cocu maintenant, j'adore çà et puis cesse de parler et lèche-moi ! »
Elle disait par exemple : « viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri !» Ou alors : « qu'est ce que j'aimais sa grosse bite » cherchant par là à me diminuer. Et curieusement c'était là des paroles qui sonnaient comme de caresses à mes oreilles, tant je prenais du plaisir à me sentir rabaissé.
Un soir, n'y tenant plus, je lui ai dit : « Enfin il n'y a pas que James, sûrement que d'autres hommes te font la cour en ce moment ! »
A ma grande surprise, tu t'es jetée dans mes bras me couvrant de baisers !
« Comme tu es merveilleux mon chéri, je n'osais pas t'en parler mais depuis quelque temps mon prof de comédie me fait une drague d'enfer ! Chaque fois qu'il reprend mes mouvements il en profite pour m'effleurer, quelquefois même, me tripoter.
J'ai dit : « Il te plait ?
- Oh oui il est très mignon et justement il voulait ce soir que je le rejoigne pour finir de mettre au point mon jeu dans la pièce que nous répétons ! »
Ce qu'il y avait de mieux cette fois c'est que ce nouvel amant elle pourrait le rencontrer souvent, m’offrant ainsi à chaque fois sa chatte souillée. Il y avait une chose que j'imaginais troublante, c'était d'avoir par la suite à le rencontrer en cocu que j'étais maintenant.
C'est ainsi que je découvris son esprit pervers et hautement sophistiqué... J'étais bien "cocu" et j’en ressentais de la satisfaction, voire même une certaine fierté !!!
Même si j’étais un peu gêné pour le prof de comédie… « J'ai eu envie de lui. Je ne regrette rien, tu sais, d'autant qu'il baise bien. Ne te formalise pas pour ça. Avec lui ou un autre, quelle différence ?
- La différence? C'est un collègue de travail !
- Ne t'énerve pas. Remets-toi dans ta peau de cocu, que tu as toujours voulu être et assume. Je suis sûre que tu peux y trouver une véritable source d’excitation. »
Un soir, elle le ramène à la maison. Nous discutons au salon, comme de vieux amis. Elle se lève, tirant le prof par la main. Je les suis des yeux, déjà excité par ce qui va suivre… Quelques minutes plus tard, je monte, à poil, ils sont allongés, nus sur le lit. Les préliminaires ont commencé. Mon épouse me dit : « Tu peux nous regarder si tu veux, mais tu coucheras dans la chambre à côté, d'accord mon chou ?
- D'accord. »
Le lendemain matin, je suis le premier debout. Je suis pensif, au salon, quand ma femme m'appelle. Je monte, frappe à la porte de la chambre et entre. « Tu n'as pas besoin de frapper mon chou. Tu veux bien nous monter le café au lit, s'il te plait ?
J’obtempère, et quand je remonte, ils sont à nouveau en train de baiser comme des fous, là, dans le lit conjugal. Mon humiliation est complète.
Sophie me dit que je peux rester les regarder. Je ne me fais pas prier… Je pose le café sur la commode, et je m’assieds dans le fauteuil. Je commence à me branler devant ce divin spectacle ; Sophie chevauche Alain, sa bite bien plantée au fond de son vagin. Il lui masse les seins, les malaxe, les torture. Elle accélère le rythme, je sais qu’elle va jouir. Je me branle comme un fou furieux. Je jouis en silence juste avant qu’elle ne crie son orgasme puissant. Alain ne tarde pas à lâcher sa purée au fond du sexe de ma femme.
Alors, elle se retire de lin s’allonge, et m’ordonne d’un ton sec : « Viens me lécher, viens avaler le foutre de mon amant chéri. «
Je ne peux qu’obéir, avec un vague dégout au fond du ventre. Je m’applique, et sous le regard goguenard d’Alain, je nettoie consciencieusement la chatte souillée de ma femme…
Quelques jours plus tard, un de nos amis arrive à l’improviste à la maison. C’est Bertrand, un vieux copain de fac. Cela fait plusieurs années que Sophie et moi n'avions pas vu Bertrand. Moins d'une semaine après, nous l'invitons à manger. Il arrive en début de soirée. Après les banalités d'usage, il complimente Sophie sur sa tenue et le fait qu'elle soit toujours aussi jolie.
Nous nous retrouvons avec ma femme dans la cuisine. Je lui dis que Bertrand n'a guère changé. Elle rigole puis me dit qu'effectivement il est toujours aussi entreprenant. J'écarquille les yeux, l'air interrogateur.
« Lorsque tu t'es absenté pour aller aux toilettes, il m'a demandé aussi tôt si on pouvait se voir sans toi.
- Qu'est-ce que tu as lui répondu ? »
J'ai la bouche sèche dans l’attente de sa réponse.
« Qu'il n'y avait aucun problème. Cela te dérange ? »
Je lui demande alors si l'idée de se faire prendre par un de mes potes de fac l'excite. C'est à son tour de garder le silence, elle sourit malicieusement.
-Très bien, dans ce cas pourquoi attendre ? Va le trouver, dis-lui que c'est maintenant ou jamais. »
Sophie hésite avant de répondre. « Tu es sûr ? Ce sera la seconde fois seulement en ta présence ? Je fais le brave.
« Mais oui, mais oui. Vas-y. Je te laisse quelques minutes pour lui expliquer la situation. »
Elle me regarde, visiblement en proie à une réflexion intense. Sophie se décide, elle franchit la porte de la cuisine. J'entre au salon discrètement... Sophie est nue, debout, accoudée sur la table de notre salle à manger. Bertrand, toujours assis, lui bouffe la chatte avec énergie. Sophie, yeux mi-clos, gémit doucement. Bertrand sort sa queue, elle s'en saisit puis le branle doucement. « Viens, je veux me faire baiser dans mon lit. »
Docilement, il la suit. J'attends un moment avant d'apparaître sur le pas de la porte. Je suis hypnotisé par cette colonne de chair qui va et qui vient dans la chatte de ma femme. Comme d'habitude, je me branle. Le rythme reprend, plus rapide encore. Elle m'interpelle : « Regarde comme il me défonce bien, il m'explose le cul ! » Je garde le silence. Sophie jouit de nouveau. Bertrand aussi, dans un flot d'injures. Le corps de Sophie s'immobilise. Elle est en sueur. De petites mèches de cheveux se collent sur ses tempes humides. Ces détails qui m'échappaient auparavant m'interpellent maintenant. Je la trouve belle. Je la désire.
Après un moment, elle se retourne vers la porte et me demande : « Franck, mon chéri, nous avons soif, va nous chercher à boire. »
Je suis tétanisé. Est-ce un test ? Je prends immédiatement conscience que cette demande n'a rien d'anodine, qu'elle peut influer considérablement sur nos rapports futurs. Je ne réponds rien, je ne bouge pas. Devant mon mutisme, elle insiste plus sèche : « Eh bien, je me suis mal fait comprendre ? »
Je soutiens son regard, notre relation se joue à l'instant. Les secondes sont des minutes, j'ai chaud. Finalement je baisse les yeux, je m'incline. Je me dirige lentement vers la table de salon pas encore débarrassée. J'entends des murmures depuis notre chambre, aussitôt suivis par de petits rires. Je reviens dans la chambre, avec un verre d'eau dans chaque main. Sophie a repris le sexe de Bertrand dans sa bouche. Elle sent ma présence, elle interrompt sa fellation, d'un mouvement du menton désigne la table de chevet, et reprend son activité. Je m'exécute. Bertrand me regarde. Pas de traces de moquerie sur son visage, au contraire, je crois même y lire de la gêne. Immobile, j'observe ma femme qui aspire doucement le sexe encore flasque de son partenaire. Elle s'arrête de nouveau : « Merci Franck, tu peux sortir maintenant, et referme la porte derrière toi. »
Dans un état second, je me retire et après un dernier coup d'œil, je referme à contrecœur la porte. Je reste prostré, fixant la mince cloison de plâtre qui me sépare de Sophie et de son amant. Très vite les manifestations de plaisirs reprennent. Je colle mon oreille pour mieux entendre. Les sons me parviennent étouffés mais distincts. Sophie est en furie, Bertrand reste assez sobre et c'est sur demande de Sophie qu’il devient grossier. Il ajoute néanmoins, avant de sortir : « Sophie m'a demandé de repasser la semaine prochaine, si tu refuses je comprendrais. »
Sophie est déjà sous la douche. Je m'assoie sur le lit. Elle ressort de la salle de bain quelques minutes plus tard dans un nuage de vapeur. Elle me sourit. J'attends qu'elle me dise quelque chose, n'importe quoi. Elle n'en fait rien, elle m'embrasse le front, puis se couche. Je l’imite, j'essaie de lui parler, je veux comprendre son comportement. Mais elle refuse. Elle me méprise ouvertement.
Un soir, quelques temps plus tard, elle m'annonce qu'elle sort seule, sans autres précisions : « Ne m'attends pas, » ajoute-t-elle simplement. Je l'attends quand même, puis vers minuit, décide de me coucher, cherchant sans succès le sommeil.
Elle rentre effectivement très tard. Je fais semblant de dormir. Elle se couche, son souffle régulier m'indique qu'elle s'endort rapidement. Je la regarde, je veux vérifier quelque chose. Sophie, comme à son habitude, a revêtu une nuisette de soie. Elle dort sur le dos, il est facile pour moi de diriger ma main vers son minou et de le palper. Il est encore poisseux de foutre. Son sexe est rempli de sperme. Je m'introduis, la sensation est délicieuse. Je la baise sauvagement. Elle ne proteste pas. Ma femme chérie me laisse enfin la baiser, après que tous ces hommes la chevauchent comme et quand ils veulent. Je suis jaloux et excité…
Quelques jours plus tard, elle m’annonce qu’on va se promener… Bien sur, je n’ai pas mon mot à dire. Sophie conduit la voiture au milieu des bois. Quelques hommes sont là, seuls dans la nuit qui tombe. Alain est là aussi.
Elle sort de la voiture, et Alain la fait monter sur le capot. Elle ouvre ses jambes. Elle ne porte pas de culotte sous sa jupe. Les voyeurs commencent à se masser le pantalon. Je les devine bander… Je suis excité, une fois de plus, mais aussi fier de l’effet que leur procure ma femme. Elle se caresse la chatte, l’ouvrant bien d’une main pour leur offrir la meilleure vue sur son intimité profonde. De l’autre, elle se mase le clito, passe son doigt sur le pourtour de ses lèvres épilées. Les mateurs ont sorti leurs bites, ils se branlent à qui mieux mieux. Le spectacle est grandiose. Sophie, telle une reine sur son trône, se caresse avec gourmandise, les hommes sont là, en cercle, la bite à la main…
Je la sais très excitée par cette situation qu’elle adore. Elle réclame Alain. Il vient la caresser, se penche pour lui lécher son abricot mur, près à éclater de jouissance. Elle glisse du capot, se tourne, offre sa croupe rebondie aux regards lubriques de tous. Alain sort sa grosse queue, écarte d’une main les fesses de ma femme chérie. J’ai les yeux hors de la tête. Je vais exploser. De l’autre main, il guide son pieu dans son con débordant de cyprine. Il lui laboure la chatte sans ménagement, sous les encouragements des voyeurs. Il jouit en elle, se retire, et m’interpelle : « Hé, le cocu, vient baiser ta femme, maintenant que je l’ai fait jouir… »
Je ne me le fais pas dire deux fois, et me précipite pour remplacer l’amant maudit. Jela pénètre comme je peux, englouti dans le sperme d’Alain. C’est chaud et écœurant. Je me noie dans le foutre. Pourtant, j’accélère les coups de boutoir. Sophie parle à la cantonade, en riant : « Regardez messieurs, comme il me baise bien mon petit mari. »
Je jouis de façon désordonnée, et sors ma bite du fourreau gluant. Je sais ce que je dois faire. Je soulève Sophie sur le capot, lui écarte les cuisses. Je mange des deux spermes mélangés, n’en laisse pas une trace. Autour de nous, les hommes jouissent, lâchent leurs semences dans l’herbe. Elle aime, elle jouit sous ma langue.
Puis elle se rhabille. Alain lui parle tout bas. Ils se concertent sur l'attitude à adopter à mon égard. Ils se décident, Alain me tend les clefs de sa voiture et me demande de prendre le volant. Sans réfléchir, je m'installe à la place du conducteur. Ils montent tous les deux derrière. Alain précise : « Tu nous ramènes chez moi, prends ton temps. »
Je roule, très vite. Je regarde dans le rétroviseur. Ils s'embrassent à pleine bouche. Je fais comme convenu un détour pour gagner du temps.
J'entends le souffle de Sophie s'alourdir, elle gémit. A un feu rouge, je me retourne.
Alain aspire tour à tour chacun de ses seins pendant que Sophie lui caresse les cheveux. Sa tête se renverse vers l'arrière. Sa jupe est retroussée jusqu'à la taille, dévoilant sans pudeur son intimité, ses jambes sont écartées au maximum.
Alain en profite pour la doigter. J'entends nettement les petits bruits humides qui proviennent de sa fente. Nous sommes arrivés chez Alain. Je lui rends ses clés.
Très cool, il me dit que je peux maintenant disposer, Sophie passe la nuit chez lui. Je dois apporter ses affaires de rechange demain matin.
Comme un con, je les regarde entrer dans la résidence, elle ne m'a même pas regardé. J'ai froid, je trouve une cabine téléphonique, appelle un taxi qui me ramène vers mon véhicule. Je rentre chez moi, il est très tard. Je me couche dans le lit vide.
Je me sens seul... Mais après tout, je l’ai bien cherché.
- Commentaires textes : Écrire
Très excitante contribution de Titou
Sophie, j’aime lire les récits que tu publies sur ton blog, je me masturbe souvent en les revivant, et tu habites mes fantasmes, toi et tous tes amants.Ce soir, tu m’as enfin invité à venir te rejoindre chez toi. Tu as prétexté une envie de mieux me connaitre, de me permettre de me dévoiler, et de te raconter ma bisexualité. D’ailleurs, pour me mettre parfaitement dans l’ambiance, tu m’as suggéré d’enfiler une paire de bas résilles et un string.
C’est avec un peu d’émotion que je sonne à ta porte, et je suis très excité en entendant résonner tes talons dernières celle-ci. Tu ouvres enfin, et je suis très impressionné par ta beauté, par la générosité de ta poitrine, par les tétons qui percent déjà sous le tissu léger de ta robe transparente. J’admire tes jambes longues et fines, ta croupe rebondie mais ferme. Je ne peux contenir un début d’érection, alors que je suis encore sur le pas de la porte.
Avec un sourire radieux, te me fais pénétrer dans le couloir. Il est sombre car toutes les portes sont fermées. Là, tu me déshabilles lentement, mon pantalon disparait rapidement, ma chemise est à terre, et je me retrouve en deux minutes en string, lequel est maintenant bien tendu, et en bas résilles noirs. Tu me prêtes en paire d’escarpins, et sans plus d’explications, tu me lies les mains dans le dos, et me bandes les yeux.
C’est en titubant sur les talons aiguilles que je te suis, aveugle et excité, dans une nouvelle pièce. Il doit s’agir du salon, car je pense reconnaitre au son de mes pas un tapis épais. Toujours debout, quasiment nu, je sens tes mains parcourir mon corps, pincer mes tétons, caresser mes fesses lisses, ma verge bien dure à travers mon string. Toujours sans un mot, tes mains appuient sur mes épaules pour me mettre à genoux. C’est maintenant tes fesses qui caressent mon visage, mon nez, ma bouche. Je voudrais sortir ma langue pour te gouter, mais je n’ose pas encore, et me contente de sentir les effluves de ton plaisir naissant.
Toujours à genoux et toujours aveugle, te me fais progresser jusqu’au canapé. Je t’entends bouger, et brusquement, tes mains attrapent ma tête pour la diriger vers ….
Vers ta chatte brulante. Je ne vois pas mais j’imagine ta position, les cuisses bien écartées au bord du canapé. Mon nez tombe littéralement dans ta chatte humide, et tes mains plaquent mon visage sur ton sexe. Quand je suis au bord de l’asphyxie, tu relâches enfin la pression, et je peux alors entreprendre une séance de léchage consciencieuse. Ma langue vient fouiller ta chatte profondément, je lèche vigoureusement ton clito, je t’encule avec ma langue pendant que je te baise avec mon nez. Ton bassin ondule, tes mains se font plus pressantes, et dans un cri, tu lâches de longs jets de cyprine dans ma bouche, signe d’un premier et fort orgasme.
J’ai la bouche et le visage inondé par la jouissance, et c’est le moment que tu choisis pour ôter mon bandeau. Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière, et je découvre que la pièce est loin d’être vide.
Tu as donné rendez-vous à tes amants, et ils sont nombreux à s’être régalés de cette petite séance préliminaire. Bertrand, Pierre, Marco, le plombier et le peintre, ils ont tous une bite bien dure entre les mains, se caressant sans vergogne sous nos yeux. Quel spectacle ! Les grosses côtoient les longues, mais elles sont toutes bien dures.
Ils se rapprochent alors de nous deux. Les uns se précipitent vers ta chatte, les autres vers ma bouche. On me viole littéralement la bouche. Celle-ci n’est pas trop longue, et les mains toujours attachées dans le dos, on me baise violemment la bouche. Elle entre entièrement, butant sur mon palais à m’en faire pleurer. La tête entre les mains de mon partenaire, je sens sa queue coulisser dans ma bouche qu’il utilise comme un vagin. Parfois, d’une poussée plus puissante, il ma plaque la tête contre son ventre, ses poils entrent dans mon nez, sa bite m’étouffe. Rapidement, je sens sa bite durcir encore un peu plus, et ce sont de longs jets qui explosent au fond de ma gorge. Il ne me lâche pas, et je dois tout avaler ce sperme légèrement acre, avant de sentir petit à petit sa queue ramollir dans ma bouche.
A coté de moi, j’entends tes soupirs monter crescendo, ma chère Sophie. Tu es à coté, sur le canapé, les cuisses totalement ouvertes. Une bouche fouille ta chatte, et cela te fais du bien, cela s’entend de plus en plus fort, même si tu ne peux t’exprimer comme tu le souhaiterais, car ce n’est pas aisé avec une bite dans la bouche. La langue experte passe de ta chatte à ton cul, le mouillant toujours un peu plus, et tes coups de reins viennent la chercher le plus profondément possible. Tu ne peux plus résister, et un nouvel orgasme te secoue brusquement. Cela à pour effet de faire éjaculer la bite que tu pompes depuis plusieurs minutes. Le sperme coule dans ta bouche, et tu n’en perds pas une goutte. Tu viens alors près de moi, et dans un baiser fougueux, tu m’offres ce précieux liquide. Quel bonheur de déguster ce sperme qui est passé par ta bouche, les saveurs se mélangent et c’est délicieux.
Tu me détaches enfin les mains, et une nouvelle partie démarre. Les hommes se mettent en cercle autour de nous, les queues magnifiquement bandées. Pierre le premier me propose la sienne, pendant que Bertrand t’offre la sienne. Le plombier et le peintre se masturbent sur mes joues, j’ai des bites partout autours de moi. Nous échangeons les queues, nous passons de l’une à l’autre, nos salives se mêlent dans un pompier magistral à deux bouches et cinq queues.
Les bruits de succion se font plus forts, les hommes s’activent toujours plus dans nos bouches, nos mains s’activent autours de leurs membres turgescents et la tension devient de plus en plus palpable. Ce sont nos artisans qui craquent les premiers. Le plombier jouit dans ma bouche et le peintre dans celle de Sophie. A nouveau, tu viens m’offrir ce délicieux liquide en glissant ta langue dans ma bouche. Le sperme coule à flot, sur nos visages, dans nos bouches, sur tes seins. A chaque fois, tu me fais lécher les éclaboussures qui atteignent ton corps, et quand cela atteint mon visage, tu viens le lécher pour me le faire déguster dans ta bouche.
Cette partie a laissé quelques uns de tes amants en grande forme.
Tu te mets alors à quatre pattes sur le canapé, et me présente ta si jolie croupe. Je plonge avec délice ma tête entre tes fesses, pour te prodiguer une feuille de rose. Je sens ton anus se dilater lentement sous ma langue, et cette odeur caractéristique augmente encore la raideur de ma queue, qui ne s’est toujours pas vidée. Marco, qui n’a toujours pas jouit non plus, te donne sa bite à sucer, et il la plonge le plus profond qu’il peut dans ta bouche avide.
Tu viens bientôt t’allonger sur le dos, sous moi. J’ai ta chatte sous le nez, et je peux titiller ton clito, pendant que Marco te pénètre doucement le cul. Sa pénétration s’adapte à ton rythme, pour que tu ne souffres pas, et ma succion sur ton bouton t’aide à t’élargir. Il entre enfin jusqu’à la garde, et reste ainsi quelques secondes planté au plus profond de toi. C’est le moment que choisit une queue pour se présenter devant mon trou du cul, et d’une secousse directe, pour m’enculer profondément. La surprise est totale et la douleur aigue, mais je reste sans bouger en attendant que mon anus accepte cet engin qui doit être de belle taille. Nous sommes ainsi tous les deux avec une bite dans le cul, ma queue est au dessus de ta bouche, ta chatte luit sous mes yeux. Nos deux enculeurs ayant fait leur trou, ils commencent à s’agiter, et à nous donner des coups de boutoirs de plus en plus sauvages. Par instants, et de manière assez coordonnée, ils sortent de nos boyaux, et tu peux lubrifier la queue de mon enculeur pendant que j’en fais de même avec le tien. J’adore sucer cette bite qui sort de tes entrailles, sentir cette odeur mêlée d’homme en rut et de fondement. Cette séance dure dans tous les sens du terme, je sens la bite qui me défonce le cul durcir un peu plus, et après un dernier assaut, elle se retire pour éjaculer dans ta bouche grande ouverte. Cela procure le même effet à Marco que tu connais bien maintenan,t et qui s’autorise à lâcher de longs jets de sperme dans ton cul. Tu te précipites pour me cracher le sperme que tu as reçu dans ta bouche, avant de positionner ton cul juste au dessus de ma bouche. Je peux voir nettement tes chairs se détendre, et dans un bruit de pet, tu fais couler dans ma bouche le sperme de Marco. J’avale avec bonheur ce précieux liquide, et je me précipite pour lécher le pourtour de ton anus afin de ne perdre aucune goutte.
Cette séance vous a laissé un peu épuisés, mais en ce qui me concerne, j’ai le cul en feu et l’estomac un peu plus rempli que tout à l’heure, mais mes couilles sont toujours aussi pleines.
Mais ma chère Sophie m’a concocté une dernière surprise.
Tu m’emmènes à quatre pattes dans la salle de bain, et tu me positionnes la tête au dessus de la baignoire. Tu te places de telle sorte que tu peux entamer une terrible fellation. Je sens ta langue titiller le bout de mon gland, léchouiller mes couilles, avant de prendre ma bite au fond de la gorge. A l’entrée de la salle de bain, tes amants, une bite un peu molle à la main, font la queue. Le premier d’entre eux s’approche de moi, sa bite à hauteur de ma bouche toujours au dessus de la baignoire. Il ne semble pas décidé à me la donner à sucer. Et pour cause, je sens un jet doré fouetter mon visage, mon nez et mes yeux, puis emplir ma bouche. Il me pisse dessus, par petits jets au début qui finissent en inondation. J’avale ce que je peux, et quand il a finit, il me donne les dernières gouttes directement dans la bouche, et sa bite à nettoyer. Pendant ce temps, tu continues une fellation magistrale. Le premier homme cède à la place à ses comparses, qui se relayent pour m’inonder de leur douche dorée, plus ou moins fournie, plus ou moins odorante.
Le plombier arrive en troisième, et c’est pendant qu’il m’arrose les cheveux de sa douche dorée que tu me fais jouir dans ta bouche. Je lâche mon sperme, et j’ai l’impression de ne plus pouvoir arrêter.
Cette giclée, tu te la gardes pour toi, chère Sophie.
J’attends patiemment que tous tes amants aient fini de vider leur vessie sur mon visage, avant de m’écrouler dans le fond de la baignoire.
Merci pour cette soirée inoubliable.
Titou
t.titou93@gmail.com
Titou, c’est moi qui te remercie pour ce texte très excitant !!! Il m’a terriblement fait mouiller…
Le couple humilié
Philippe, trente ans, beau sportif d’un mètre quatre vingt, quatre vingt cinq kilos, travaille dans une société de transit comme attaché commercial.
Ils sont six à travailler dans la même pièce, où tous les dossiers sont traités par ordinateurs.
Il y a Sébastien, un mètre soixante dix, soixante quinze kilos, la quarantaine, et trois femmes, plus que présentables. Elles ont entre vingt-deux, et vingt-huit ans.
Dans le bureau d'à côté, il y a Claire, le chef du personnel.Philippe est marié avec Murielle, vingt-deux ans, une nymphomane bien connue du service. Elle n'hésite à se le faire mettre, dès qu'un mâle lui plait. Les collègues de travail sont un peu moqueurs envers Philippe à ce sujet.
Philippe et Sébastien sont en concurrence au travail. Philippe obtient souvent de meilleurs résultats que lui...
Deux fois par semaine, l'entreprise met une salle de sport à disposition de ses employés, pour que le personnel puisse se ressourcer.
Même dans ce domaine, Philippe est supérieur à Sébastien.
« Pourquoi vous ne vous mesurez pas tout les deux, propose une secrétaire. Amicalement, bien sur, pas de coups tordus. Vous faites une sorte de lutte romaine.
- Ce serait marrant », reprend une autre fille.
Philippe a un sourire en coin.
« C'est Sébastien qui décide, dit Philippe, pour moi, c'est d'accord.
- Qu'est-ce-que je risque, répond Sébastien, j'aurai l'excuse d'être le plus âgé.
- On arbitre, » dit Claire, péremptoire.
Les deux hommes, en short, se font face.
Sur une attaque mal négociée, Philippe se retrouve au sol. Sébastien se précipite sur lui, et le bloque en mettant un genou son dos.
« Alors, comme on fait ? Demande Sébastien.
- A poil, crient les filles.
- C'est pas con ça, reprend Sébastien. Quelle humiliation ce serait pour lui…
- Lâche moi, rouspète Philippe, tu me fais mal. »
Sébastien tape sur les fesses de Philippe, écarte l'élastique du short, et le baisse jusqu'aux chevilles.
« Fais nous voir si tu es bien monté », dit Sébastien.
Sébastien le fait rouler sur le dos, et fini de lui ôter son short.
« C'est pas terrible, constate Sébastien. Pour un homme d'un tel gabarit.
- C'est vrai, reprend Claire, on a vu mieux. C'est peut être pour ça que sa femme va se faire niquer ailleurs. »
Par réflexe, Philippe met ses mains devant son anatomie. Sébastien le prend par une oreille, le fait se lever, et se dirige vers une chaise. Il s'assied, et oblige Philippe à se coucher sur ses genoux. Et là, il commence à lui donner une fessée, come à un enfant qui vient de faire une bêtise. Curieusement, Philippe se laisse faire… Les filles sont mortes de rire. Au bout de cinq minutes, les fesses de Philippe sont toutes rouges.
Tout au long du traitement, Philippe essaie de se protéger avec les mains, et fini par supplier son collègue d'arrêter. Mais Sébastien a décidé d'aller plus loin dans l'humiliation. Les filles s'avancent en riant. Il fait se retourner Philippe, quasiment assis sur ses genoux. L’homme obtempère, il est trop excité par cette situation nouvelle. Sébastien mouille ses doigts, et décalotte le gland de Philippe.
Il glisse sa main sous le corps de Philippe, et il saisit carrément les couilles de Philippe, et fait rouler les testicules entre ses doigts, en serrant légèrement.
« Aie, aie, arrête connard, hurle Philippe, lâche moi, je le répèterai plus.
- Oh oh, on se calme, répond Sébastien, tu n'es pas en position de poser tes conditions. »
Effectivement, Philippe se calme, mais pas pour les mêmes raisons. Les attouchements de Sébastien sont plus précis, et Philippe n'est pas insensible aux caresses pourtant brutales.
« Oh, mais ta queue devient toute raide, sourit Sébastien. Tu ne serais pas en train de te régaler ??? Venez voir les filles comme je vais le traire ce vicieux. »
« Ha..ha » soupire Philippe...
Sébastien commence ses mouvements de traite. D'un doigt, il caresse même le petit trou, introduit profondément son index, puis le porte à la bouche de Philippe. Philippe est totalement soumis. Il se laisse branler la queue et forcer l’anus avec délectation. En quelques minutes trop rapides à son gout, il jouit. C'est dans un hurlement de plaisir qu'il éjacule sur le sol. Les filles applaudissent. Claire s'approche et lui relève la tête. Sébastien le fait rouler au sol. Petit à petit, la queue de Philippe s'est recroquevillée.
« Tiens, mouille-le un peu, tu auras moins mal.
- Salaud, gémit Philippe, tu veux m'enculer aussi. Vas-y. »
« Putain, comme tu m'as branlé, ha, laisse ma bite décalottée, je suis bien comme ça. Gratte moi le bout s'il te plait. »
« Tu as aimé on dirait, petite tapette. Tu as vu comme il t'a fait pleurer ton oiseau, hein ? La prochaine fois, on lui demandera qu'il t'encule. »
« Tenez, les filles, si vous voulez vous amuser, il est encore chaud. »
Philippe se lève, et essaie de s'échapper. Mais les filles l'attrapent par les parties sensibles de son corps. Sébastien s'éclipse, et colle son oreille à la porte. Il entend les éclats de rire de ses collègues, mais aussi les cris et les plaintes de Philippe. Même des pleurs. « Le pauvre », se dit Sébastien. Il se doute que les filles ne vont pas en rester là…
Philippe arrive chez lui tout penaud. Murielle, dans une tenue vestimentaire plus que sexy, est d'une beauté à coupé le souffle. Quelle chance pour ceux qui peuvent profiter d'elle à leur guise !!!
« Tu es bien triste, mon chéri, dit-elle.
- J'ai été humilié comme jamais, se plaint Philippe. Regarde dans quel état je suis. Ils ont abusés de moi. »
Il se déshabille, et montre ses fesses à sa femme, qui met une main devant sa bouche, pour ne pas éclater de rire. Le lendemain, il est quatorze heure, lorsque Murielle décide d'aller rendre visite à Claire, la chef du personnel ou travaille son mari. Elle est vêtue d'une façon qui attire l'attention.
« Oh mon chou, tu es tout rouge. Tu veux que je passe au bureau demain, je vais leur montrer de quel bois je me chauffe. »
Minijupe, petit haut, et escarpin. Une vraie bombe. Elle se rend directement dans le bureau de Claire.
« C'est quoi cette façon de traiter les employés, dit Murielle d'un air sévère. Vous voudriez que je vous en donne une, moi, de fessée, devant votre personnel ? Vous lui avez fait quoi, à mon mari ? Ses fesses étaient toute rouges, de même que ses couilles et le bout de sa queue.
- Oh là, calmez vous, répond Claire, c'était pour rigoler. Au début, il était d'accord, il n’avait qu'à se défendre. Im est tout de même assez costaud comme ça ! Quant à la fessée, il l’avait méritée… «
Elle ne finit pas sa phrase, laissant les mots en suspend.
Murielle n'a pas entendu les deux employées qui viennent d'entrer. Les deux filles attrapent chacune une de ses jambes, et la décolle du sol. Pour se maintenir en équilibre, elle est obligée de passer ses bras autour du cou de ses agresseuses. Ses cuisses sont largement ouvertes, laissant apparaitre un string rouge. Murielle se débat pour essayer de se dégager, mais elle est tenue fermement par les deux filles.
« Connasses, gronde Murielle, lâchez-moi, vous avez compris ??? »
Claire prend des ciseaux dans le tiroir du bureau, et s'approche de Murielle. Elle lui enroule la minijupe autour de la taille, et coupe d’un coup précis les deux côtés du string.
Murielle se retrouve l'entrejambe à découvert. Claire retourne à son fauteuil. « Avancez que je m'amuse avec elle, ordonne Claire, mettez-la toute nue.
- Qu'est-ce-que vous allez me faire, demande Murielle.
- Tu vas aimer, répond Claire, tu vas voir. »
Avec deux doigts, elle décalotte le clitoris, et l'excite avec un ongle. La fente de Murielle commence à s'humidifier, malgré elle. Claire met un peu de mouille sur son majeur, et le fait tourner sur le petit organe.
Elle glisse un doigt entre les lèvres offertes, les caresses.
« Arrêtez, je ne suis pas une gouine, dit Murielle.
- Eh bien, tu vas le devenir. On ne s’en prend pas à moi sans conséquences ! », reprend Claire.
« Tu mouilles, ma salope, remarque Claire, tu commence à te régaler, hein?
- Oui, putain, comme vous me doigtez bien, gémit Murielle, ne vous arrêtez pas, s'il vous plait….
- Mettez la à genoux, les filles, dit Claire, jambes bien écartées. Elle va se faire mettre bien comme il faut ! Je veux l'entendre crier cette pute.
Claire enfonce ses doigts dans la chatte bien humide, elle finit par y mettre quatre doigts. Murielle se tord de plaisir sur le bureau, impudique, offerte à tous… Claire appuie sur le clavier du téléphone, et ouvre l’interphone connecté dans le bureau voisin.
« Oh, que vous me faites du bien à mon petit abricot, je jouis, allez-y oui..oh oui !!!.
- Tu vois bien que c'est bon, sourit Claire. A partir d'aujourd'hui, je veux te voir une fois par semaine, minijupe, sans rien dessous, c'est clair ?
- Je ferai ce que vous voulez », soupire Murielle.
« Tout le monde dans mon bureau. »
Murielle est toujours à genoux, inclinée en arrière, en appuie sur ses mains. C'est Sébastien qui arrive le premier.
« Tiens, mais c'est la nympho de l'autre tapette », dit-il.
Il se déshabille vite fait, et enjambe la poitrine de Murielle. Il l'a maintient par la nuque, et lui trempe sa queue en érection dans la bouche.
« Vas-y, mon trésor, turlutte celui qui va sodomiser ton mari après, tu veux bien ? »
Murielle secoue sa tête affirmativement.
Elle ne s’est jamais sentie aussi salope, et elle adore ça…
Le reste des employés arrivent. Philippe veut intervenir, mais il est pris à partie par deux filles qui, le ramènent à la raison. Pour cela, elles tirent sur son pantalon, et saisissent, l’une ses couilles, l’autre sa bite enclore flasque. Le résultat ne se fait pas attendre, et Philippe bande autant qu’il peut, avec sa petite queue. L’un des filles se met à genou devant lui, et le pompe tant qu’elle peut. Le spectacle est saisissant : lui, en tain d’être sucé, et sa femme, sur le bureau, en train de pomper une autre bite. Chose rare que de voir un couple devenir les esclaves sexuels d’un groupe de collègues...
« Ah, ah, la pute, elle m'avale, whoua, vas-y salope, ha... ha. c'est de la queue çà, hein ?? » crie Sébastien.
Murielle est toujours doigtée par Claire. Dans un cri, elle a un deuxième orgasme.
Les filles ont délesté Philippe de ses vêtements, et l'obligent à s'appuyer sur le second bureau, fesses écartées.
Sébastien, toujours en érection, s'avance et place son gland contre le petit trou de Philippe. Il donne son majeur à sucer à Philippe. Celui-ci le fait, comme il pomperait une bite. Sébastien travaille sa rondelle sans ménagement. Quand il juge le résultat satisfaisant, il présente son gros gland devant l’anus dilaté. Il le pénètre doucement.
« Aie, aie, gémit Philippe, salaud, tu m'encules.
- Dis bien haut ce que tu m'as dis tout à l'heure, ordonne Sébastien. Que tout le monde entende, allez, vas-y.
- Que tu pourrais niquer ma femme quand tu voudrais, même devant moi , répond Philippe.
-Tu entends Murielle, poursuit Sébastien.
- Prends-moi tout de suite, supplie-t-elle, fais-lui voir comme on donne un vrai coup de queue à une femme. Fais-le cocu. »
Sur l'autre bureau, les deux filles jouent avec Claire, entièrement nue.
« Enfoirées, hurle Claire, qui pourtant se laisse faire, vous gouinez votre responsable !
Regardez comme ma chatte mouille, je vais jouir… »
Sébastien empale Murielle, toujours à quatre pattes sur le bureau. Devant elle une des collègues de son mari s’est allongée, et elle lui bouffe la chatte avec ardeur, au rythme des coups e boutoirs qu’elle reçoit.
Claire et les deux autres se grouinent, se lèchent à qui mieux-mieux. Philippe, avec sa petite bite, trouve quand même le moyen de baiser la dernière, en levrette. Quand Murielle jouit, Claire se sépare des deux autres, et ordonne à Sébastien de la baiser. Il obéit, et la baise sauvagement, le cul en l’air. Elle accroche ses mains sur Murielle qui vient de se relever. Dans cette position, son visage est juste à la hauteur de la chatte de Murielle. Comment résister ? Elle fourre sa langue au plus profond du vagin, avalant au passage la cyprine odorante…
L’orge est totale... les deux hommes ne savent plus où donner de la bite, sollicités par les six femmes présentes.. Ca suce, ca lèche, ca baise dans tous les coins… Bref, une orige dans les règles de l’art….
A partir de ce jour là, tout ce petit monde se retrouve une fois par semaine, pour une partouze, mais avec des accessoires, pour compenser le manque d’hommes…
- Commentaires textes : Écrire
Nathalie se fait son premier black
Aujourd’hui, je viens vous raconter l’aventure arrivée à ma meilleure maie, et tout aussi coquine que moi, Sabine. Elle était venue me voir ici, et découvrait avec ravissement les plaisirs multiculturels…
Elle dormait à l’hôtel, car je n’avais pas assez de place pour la recevoir ici. Celui lui laissait aussi une plus grande marge de manœuvre pour assouvir son grand appétit sexuel… Voici donc ce qu’elle m’a raconté de sa dernière nuit.
« Tu sais, hier, tu m’as dit que je ne pouvais rester chez toi (j'avais en effet mon amant qui était là, et il me voulait pour lui seul…), et je devais avoir la tête de quelqu'un qui s'ennuie, car un des maîtres d'hôtel, que je voyais tous les jours, un type très baraqué, 1,90m, 100 kgs, Allan, s'inquiète de ma tête et commence une longue conversation avec moi.
Puis je remonte dans ma chambre vers 22 heures pour prendre ma douche et regarder la télé. Il me vient alors l'idée de faire monter un cocktail pour me consoler d'être seule. J'appelle la réception et je passe ma commande. On me dit que le nécessaire va être fait, comme je connais les délais de prestation dans les hôtels, je décide de passer en vitesse sous la douche, ce que je fais en un quart d'heure, passe un string de dentelle et un soutien-gorge assorti. Lorsque je sors de la salle de bain, je pousse un cri : Allan est là, un plateau à la main, mon verre joliment posé dessus. Il me dit :
« N'ayez pas peur, j'ai vu votre commande et j'ai décidé, avant de partir, de vous la porter moi même. »
Il pose le plateau sur le guéridon. Se retourne et s'approche de moi, à moitié nue au milieu de la pièce !
J'essaie de cacher une partie de moi-même avec mes bras, mais il n'y en aura jamais assez !
« Madame que tu es belle !! », me dit-il.
Et il approche encore de moi, ses mains touchent mes épaules, m'agrippent, me tirent vers lui, j'avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller :
« Mais je suis mariée !! Laissez-moi !
- Tu as déjà eu un amant noir ? Lance-t-il.
- Non et je n'en veux pas, attention je vais crier. »
Il continu sa manœuvre et je me retrouve collée à lui, sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi. Ma résistance faiblit dangereusement. Sentant que je deviens consentante, il s'enhardit et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment s'attarde sur le soutien-gorge qu'il dégrafe et fait tomber. Il recule d'un pas pour admirer ma poitrine opulente, ferme et tendue. Ses mains prennent possession des mamelons qu'il pétrit, sa langue toujours fichée dans ma bouche. Ses lèvres épaisses étouffent ma rébellion, qui est de plus en plus discrète.
Il me pousse vers le lit où je m'écroule, sur le dos, sa masse imposante sur moi. Je sens son pubis se frotter sur le mien et c'est sans ambiguïté qu'il exprime à travers les duretés de son bas ventre le désir que je lui suscite ! Il me caresse, m'embrasse, suce mes seins, s'attaque à mon entrecuisse, lève mes jambes et fait glisser mon string, dernier et fragile rempart de ma fidélité ! Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue s'active sur ma chatte, mon clitoris. Bien évidemment, je ne peux résister plus longtemps aux caresses, mes reins ondulent, il voit mon accord implicite pour cet accouplement qu'il veut ardemment. J'essaie pourtant de résister encore, un peu pour le principe :
« Non arrêtez Allan, laissez-moi, je ne dirai rien à personne.
- Si madame, laissez-vous faire, vous avez envie de connaître une queue de noir, vous allez aimer, comme toutes les blanches. »
Je ne peux que gémir pour toute réponse et il en profite pour accentuer sa prise de possession. Il se redresse, tenant mes jambes levées à 90°, d'une main, pendant que de l'autre, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis de me lâcher et de se déshabiller normalement, il lâche mes chevilles et me demande de garder les cuisses écartelées afin de pouvoir admirer ma chatte. Il ne s'en prive pas, et je suis là, impudique offrande au désir du mâle. Je vois tomber le pantalon et bientôt le slip, libérant un sexe tendu et disproportionné par rapport à ce que je connaissais d’habitude.
Mais là, sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 6 cm de diamètre, toute noire velouté. Ses couilles, très grosses semblent bien lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin : « Alors Madame, je n'avais pas raison ? Tu vas aimer ! »
Je ne sais pas quoi répondre, surtout inquiète pour l'introduction. Il s’écroule sur moi, fait glisser son engin sur mes poils pubiens et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils s'accrocher aux miens.
Il continue d’embrasser mes seins, à les pétrir, à prendre ma bouche. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes. Il glisse doucement sur mon bas ventre où je sens glisser son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma grotte en feu. D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con. Je le sens s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins prend entièrement possession de moi. Je ne peux que pousser un : « Oh ! ouiiii » outragé. Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, esclave consentante au black si puissant.
« Oui vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette, m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et longue que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s'allonge à coté. Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore. Que pourrais-je faire ??? Au bout d'un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :
« Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche ! »
Je m'exécute, et grâce à une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, il redevient un homme. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme.
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Il me fait mettre à quatre pattes et s'installe derrière moi, je m'attends à être prise encore en levrette, mais je comprends vite qu'il en veut à mon petit trou. Je lui dis :
« Tu es trop gros, pas par là.
- Si, je veux te prendre complètement, tu seras à moi, comme toutes les autres ! »
Je n'ai guère le temps de discuter davantage, qu’il glisse un puis deux doigts mouillés de ma cyprine sur ma rondelle. Je sens que je me dilate, que je m’offre à cette caresse. Il s’enfonce plus profondément, élargit encore mon conduit. Quand il juge l’ouverture suffisante, il fait passer son gland dans mon anus qui se dilate encore plus. Je sens son mandrin continuer la progression, m’ouvrant encore plus. Bientôt il est installé au fond de moi, victorieux. Il commence à me labourer de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris de plaisir plus que de douleur …
Ses couilles battent sur mes grandes lèvres dilatées par le précédent assaut. Il frotte ainsi mon clito, ce qui me provoque à nouveau un violent orgasme. Quel plaisir d’être ainsi sodomisée par cette grosse queue, qui me défonce comme jamais avant !
Il se penche en avant, et branle avec vigueur mon clito, et en quelques secondes, je jouis encore une fois en toute impunité, sous le joug de ce maudit homme.
Je sens enfin les battements de sa queue qui annoncent que ses couilles se vident en moi, au fond de mes intestins. Nous restons liés un moment, puis il se libère de moi et va se laver dans la salle de bain. Il revient et se rhabille, satisfait d'avoir maté une blanche de plus. Il m'embrasse encore une fois et s'en va. Je me précipite sous la douche, car je transpire comme jamais…
Nous recommencerons sans doute ce genre de petite sauterie, avant que je ne quitte ce coin de paradis qu’est la Guyane. »
Et elle a tenu parole, car ce soir, je la rejoins à l’hôtel pour retrouver Allan et un de ses amis. Une bonne partie à quatre nous attend donc cette nuit. Si vous me le demandez, je vous raconterai peut-être…
Le quatuor
L’un de mes amis, Franck, est aussi un partenaire régulier de « jeux », et a toujours de bonnes idées… La dernière en date est récente, et il me faut vous la décrire en détail…
Il m’a invitée à être comblée lors d’une soirée avec trois hommes, lui, et deux de ses amis…
Je suis donc arrivée de bonne heure chez Franck, chez qui était présent un ancien amant Thierry, et un inconnu, JP. Nous avons bu quelques verres, pour détendre l’atmosphère. Puis j’ai commencé par me mettre à l’aise sur le canapé en retirant mes chaussures. Thierry vint vers moi sans tarder, et me massa doucement les pieds. JP n’hésita pas à s’approcher de nous, mais il préféra passer directement à l’action...
Il mit sa main droite entre mes cuisses et les caressa de haut en bas. Franck, lui, préférait d’abord nous regarder…
Thierry demanda à JP de lui laisser une petite place. Il me dit de me mettre sur le coté de façon à pouvoir partager. Thierry était devant moi, et commença à me découvrir la poitrine. Il malaxait mes seins entre ses doigts, et de temps en temps, il en prenait un et en mordillait le bout. Avec ce traitement, l’excitation montait en moi, lentement, mais surement...
Pendant ce temps, JP était toujours en train de me caresser les cuisses. Il finit par mettre sa main à la hauteur de ma chatte et jouait avec mon string. Il le tripotait tant et si bien, qu’il finit par craquer sous les doigts puissants. Il put alors tout à loisir titiller ma chatte afin d’ouvrir mes lèvres.
Il faisait des cercles afin de trouver mon clito et l’exciter. Thierry était tout excité par nos petits jeux. Il ouvrit sa braguette et sa belle bite en sortit brusquement.
Je décidais de la prendre entre mes lèvres et de la lécher avec gourmandise. Il se débarrassa vivement de ses vêtements pour être plus à l’aise. J’empoignai sa grosse queue et fit des va et vient avec ma bouche. Elle avait un tel volume que j’avais un peu de mal à reprendre mon souffle. Sous les caresses de JP, je frémissais et me tordais du plaisir qui montait. J’explosai sous ses doigts, lui inondant la main de ma mouille…
« Regarde cette cochonne, elle est une vraie fontaine ! Il va lui en falloir beaucoup plus que de simples petites caresses ! », dit-il, en souriant largement.
Thierry acquiesça, et baisa ma bouche encore plus fort.
Franck lui s’était déshabillé et se masturbait sur le fauteuil en nous regardant. Sa hampe était bandée comme un arc. Il lâcha dans un souffle : « Je tiens plus, faut que je te baise !!! Mais ut vas me sucer d’abord, comme la bonne petite garce que tu es…»
Il s’approcha de nous, et présenta son gland humide d’excitation sous mon nez…
« Tout ce que tu veux, lui dis-je, tu sais que j’adore sucer de belles tiges comme les vôtres… je vais me régaler ! »
Et me voilà à genoux, deux belles queues à pomper, une dans chaque main... Je les suce à tour de rôle, j’adore ça, en tenir une dans chaque main…
Mais j’aime trop être prise, avoir une bite bien calée au fond de ma chatte gourmande.
J’ai interrompu quelques secondes mes fellations, pour demander à JP de venir me prendre.
« JP, vient me prendre. Je veux ta bite au fond de mon con. Viens me remplir de ton pieu… Il est trop appétissant pour le laisser dehors ! »
Il n’hésita pas deux secondes ! Pour que je puisse continuer à sucer les deux autres, il s’est allongé par terre, et je suis venue m’empaler sur son chibre bien dur. J’étais si excitée qu’il est entré d’un coup…
Enfin, j’avais une bonne bite au fond de mon vagin !!! Assise sur ce pieu qui me fouillait, je repris les deux autres queues pour continuer de les pomper bien comme il faut… Un pur bonheur…
Je me sentais une vraie salope, et j’adore ça, dans ces moments-là… J’étouffais littéralement, la bouche pleine de ces nœuds prêts à exploser. D’ailleurs, Thierry ne tarda pas à jouir sur mon menton. Le sperme dégoulinait sur mes seins…
En haletant, je lui demandais de venir le lécher... après tout, ça lui appartenait !
A ma grande surprise, ce fut Franck qui sortit de ma bouche, et vint lécher le foutre de son copain.
JP continuait de me pilonner le ventre sans répit. Un vrai marteau-piqueur ! Pour m’aider à jouir, Thierry se plaça devant moi, et me caressa le clito. Cette nouvelle caresse me fit gémir un peu plus... Mais je voulais sa langue !
« Couche-toi, et viens me sucer le clito ! » lui ordonnai-je.
Il refusa : « Surement pas, car si je te lèche, je vais aussi avoir la queue de JP sous ma langue !
-mais tu vas aimer, j’en suis sûre. Si tu ne fais pas, j’arrête tout ! »
Les deux autres lui rétorquèrent : « Allez, tu vas pas en mourir, on fera pareil si tu veux ! Mais on n’a pas fini de la baiser, cette salope !!! Il faut qu’elle en prenne dans tous les trous. Elle en a trois, on est trois… Alors, vas-y, lèche ! »
Il finit par obtempérer, s’allongea sur le coté, et commence à me lécher le clito. Vu les soupirs de JP, il n’oubliait pas de lui sucer la bite ! Sa langue passait partout, mordillant mon petit bouton dardé. Sous ce traitement d’enfer, je jouis très fort, mais beaucoup trop vite à mon goût. JP déchargea presque en même temps son foutre au fond de mon sexe. Thierry ne s’arrêtait pas pour autant, et continuait de nous sucer, et de laper le sperme qui s’écoulait de ma chatte… Du coup, je jouis une nouvelle fois. Ca, c’est tout ce que j’aime !!!
Franck n’avait pas encore joui, et entendait bien me le faire comprendre :
« Ma cochonne, tu vas en prendre plein le cul, maintenant… »
Il m’aida à me relever, et me fit mettre en levrette. Les deux autres continuaient de nous mater, la queue encore molle à la main. Mais je savais qu’ils allaient bientôt bander à nouveau comme des taureaux.
Franck commença à me rentrer deux doigts dans l’anus. C’était très étroit, alors il prit du lubrifiant pour mieux me pénétrer en douceur. Il faisait des va et vient avec ses doigts, afin de bien m’ouvrir le cul. J’adorais cette sensation, même si j’avais un peu mal. Franck, sans me prévenir, enfonça sa queue, assez violemment. Il introduisit son gros mandrin sans ménagement, d’une seule poussée. Il ahanait sur mon dos, accentuant la cadence de ses pilonnages. Le spectacle ne tarda pas à faire de l’effet aux deux autres. JP vint présenter sa queue à nouveau dressée devant ma bouche, et l’enfourna au fond de ma gorge.
Thierry, lui aussi, bandait à nouveau comme un fou.
« Franck, bouge de là, je vais la baiser par la chatte, et toi, tu continueras à l’enculer ! »
Il s’allonge sur le tapis, et je viens sans hésiter m’empaler sur la queue dure comme du béton.
« Ah, c’est trop bon !!! J’adore ta bite !!! Franck, vient m’enculer, viens défoncer mon cul de cochonne !!! »
Voilà, j’ai enfin ce que je voulais depuis le début de la soirée : je suis prise par tous les trous…
« C’est bon, baisez-moi ! Défoncez-moi, videz vos couilles dans tous mes trous… Je veux du foutre partout ! BAISEZ-MOI !!! AHHHHHHHHH !!! »
Ils n’étaient pas en reste, pour ce qui est du langage hard : « T’aimes ça, grosse cochonne, qu’on te tringle comme une salope ! T’aimes la bite, tu es un vide-couilles, un seau à sperme… tu vas en prendre partout, on va tous te baiser jusqu’à ce que tu demandes grâce ! On va t’éclater le cul, la chatte, la bouche, tu seras traitée comme la truie que tu es !!! »
Je sens que je vais jouir, ca monte, ca monte… Leurs insultes m’excitent encore plus. J’explose dans un grand cri, les trois bites enfoncées en moi. Malgré mes cris, JP continue de baiser ma bouche comme si c’était un vagin... Il gicle au fond de ma gorge, c’est âcre, c’est bon !
Les deux autres en font de même, et je sens le sperme me remplir, déborder de tous mes trous…
Cette fois-ci, c’est Franck qui est venu tout nettoyer. J’étais couchée là, du foutre partout, et mon ami qui me léchait sur tout le corps…
Pourtant, je n’en n’avais pas eu assez…
« Les mecs, on continue ? Mais je veux aussi vous voir entre vous… Voir un homme en pomper un autre, ca me met hors de moi… »
Ils ont eu un bref moment d’hésitation, mais la partie a continué… Pendant toute la nuit, on a baisé comme des chiens, tout le monde prenant tout le monde, par tous les trous. Plus aucun des hommes présents n’avaient de tabous.
L’atmosphère de la pièce était saturée d’une odeur forte et enivrante de sperme.
Nous étions vraiment des animaux en rut, assoiffés de sexe hard !
Cette nuit a été l’une des meilleures de ma vie !!!
Lire les commentaires textes
Vous vous emmerdez pas bande de salaud pendant ce temps moi je fais quoi hein....
Bref ça c'est un plan de A à Z le top niveau.
A vivre.
tres bandant ton blog
bien titou, tu as osé