Les Mémoires très Libertines de Sophie
Dépucelage hard de la lycéenne
Dans le blog, vous avez sans doute lu le texte « la Lycéenne perverse ». Eh bien maintenant, je vais vous raconter la toute première expérience sexuelle d’Astrid. Elle est donc lycéenne dans un lycée de premier plan de sa ville de province. Dans sa classe, orientée vers l’industrie, elles ne sont que deux filles, elle et Sylvie, pour 24 garçons.
Sylvie aimait se vanter qu'elle faisait souvent l’amour. Astrid était –encore- plutôt timide et malgré mes 18 ans, était encore vierge. Pour ne pas paraître bête, elle s’inventait de nombreuses expériences très cochonnes. Aussi, un jour où elle avait énervée Sylvie, elle a parié qu’elle était prête à faire l'amour à tous les gars de la classe qui le voudrait et obéir à leurs fantasmes.
Ne pensant pas que Sylvie prendrait ça au sérieux, elle était toute fière de lui avoir cloué le bec. Elle la vit alors écrire un mot sur un bout de papier, qu'elle fit circuler dans la classe. Elle m'avertit alors que ce bout de papier expliquait aux garçons de la classe ce qu’Astrid était prête a faire.
Elle ne la crut tout d'abord pas, sais lorsque qu’elle vit le regard lubrique des garçons de la classe se retourner vers elle, elle su que son amie avait osé l’impensable… Sur le coup, elle devint blanche de peur ne sachant plus que faire. Mais il était trop tard, elle ne pouvait plus reculer.
A la pause, un des garçons vint vers moi et me dit que les autres s'étaient tous mis d'accord pour un gang bang dans les toilettes. Transie de peur et ne sachant plus quoi faire, elle répondit que qu’elle était d'accord.
Pourtant, elle ne savait pas ce qu'était un gang bang. Elle croyait alors qu'il s'agissait d'une fellation. Sylvie la rassurait alors en lui disant que c'était un moindre sal, que sa chatte resterait vierge. Elle demanda alors à Sylvie ce dont il s'agissait. Elle lui expliqua alors qu'un gang bang, c’est lorsqu’une fille qui se fait prendre par plein de mecs en même temps. Elle n'en croyait pas mes oreilles. Elle, Astrid, vierge jusque-là, allait se faire tirer par 24 mecs pour sa première expérience sexuelle !!!
Tout alla alors très vite. Elle n'arrivait plus à réfléchir, et deux mecs de la classe l'emmenèrent aux toilettes des garçons sans qu’elle s’en rende compte, pétrifiée par ce qui l’attendait…
LE GANG BANG
En moins de 20 secondes tous les mecs étaient a poils.
Astrid qui n'avait jamais vu une bite en vrai, elle était servie : 24 se présentaient à elle... Les gars, super excites, ne tardèrent pas à lui demander d'enlever ses vêtements. Ne pouvant plus reculer elle se déshabilla alors. Des larmes lui vinrent aux yeux lorsque elle dut enlever sa petite culotte. Quand celle-ci glissa le long de ses jambes, elle vit 24 sexes se mettre au garde a vous. Cela l'excita alors un peu, elle sentit une chaleur inconnue envahir son bas-ventre. Malgré sa peur, elle commençait à mouiller.
Astrid entendait alors les commentaires fuser : « Ouahhh la salope, quelle bonne pute, j aurait jamais cru qu'elle était salope a ce point !!! on va bien la baiser, cette chienne ! »
Commença alors la baise à la chaine. Trois mecs enfoncèrent leur engin dans la bouche, dix autres pelotaient ses seins, son dos, ses hanches…. Sa peur s évanouissait et elle se mit a pomper allègrement toutes ces queues. Elle commençait à trouver cette expérience sympa...
Le plus beau mec de la classe, dont elle rêvait souvent, s'approcha et elle sentit que d'un coup sec, il enfila sa queue dans ma chatte fiévreuse et encore vierge. Elle était alors aux anges. Elle était dépucelée par l’homme de ses rêves… Elle n'était plus Astrid, la jeune file sage, mais un trou a bites, un garage a bites comme disait les garçons.
Toutes ces queues pour elle toute seule, c’était trop bon….
Elle jouissait trois fois d’affilé, les mecs se relayaient, elle ne savait même plus qui elle suçait et qui la fourrait. Cela dura un bon moment, avant qu'un gars de la classe qui se trouvait derrière moi en tâtant mes fesses, ne dise : « il reste un trou à explorer. »
Sur le coup, elle ne comprit pas bien ce dont il voulait parler. C’est lorsque d'un coup sec, il enfonça sa bite entière dans son petit trou du cul qu’elle comprit, et elle faillit s’évanouir. Elle ne sentait plus les bites qu’elle avait en bouche ou dans la chatte. Elle ne sentait plus que cet énorme pieu lui défoncer le cul. Il s'arrêta alors et ne trouva pas d'autres gars pour le remplacer. C’était une bonne chose, car Astrid ne se sentait pas capable d’en prendre une autre. Et le temps passait…
La sonnerie retentit alors. Tous les mecs sortirent des trous où ils étaient, et commencèrent a se masturber devant elle. Très vite elle fut recouverte de sperme de la tête aux pieds. Tout aussi vite, tous les mecs repartirent en cours.
Moi elle n'arrivait plus à bouger. Des spasmes parcouraient son corps.
LE PROVISEUR
Elle commençait à se remettre, quand tout à coup elle vit le proviseur, un homme de 55 ans rentrer dans les toilettes. Il avait été alerté par les cris de jouissance et l’attroupement devant les toilettes. En effet, la scène n’avait pas échappé aux autres élèves…
Il lui dit alors : »pauvre enfant » et la prit dans ses bras. Il l’amena dans son bureau. Aidé de son mouchoir, il me nettoya alors du sperme qui recouvrait son corps. Il lui demanda alors ce qui s'était passée. Il craignait certainement un viol. Elle lui racontait alors son histoire. Quand il s'aperçut qu'il ne s'agissait nullement d'un viol, son regard changea et il dit il va falloir punir la coupable.
Ce « la coupable » surprit Astrid. Il lui dit alors qu'il raconterait tout à ses parents si elle ne se laissait pas faire. Déjà prises par 24 mecs, voilà qu'il fallait qu’elle se fasse limer par un vieux !!! L'idée lui déplaisait sait elle ne pouvait dire non. Jamais ses parents ne devaient savoir ce qu’elle avait fait !
Il fit glisser son pantalon à ses genoux et elle dut le sucer. Elle s’appliquait, afin d'en avoir fini au plus vite, quand il lui dit : « Vas-y, enfonce-moi un doigt dans le cul ! »
Surprise, la jeune fille obéit, et cela dut lui plaire, car il jouit aussitôt.
Il lui tenait la tête, il jouit donc abondamment dans sa bouche, d’un sperme âcre, au gout amer.
Elle croyait son calvaire fini, mais il lui demanda de s'allonger sur le bureau.
Il enfonça un de ses doigts dans son cul et lui dit alors : « ben ma salope, il y a déjà eu du passage ici !!! »
Et il enfonça sa vieille bite déjà dure dans son cul, sans ménagement. Il la ramona alors pendant une demi-heure. Dès qu’il se sentait venir, il s’arrêtait, pour bien en profiter…. Il jouit enfin dans son cul et elle put partir. Astrid, cette fois-ci, n’avait pas joui. Elle se sentait sale, mais elle savait qu’elle recommencerait. D’ailleurs, le proviseur le lui avait promis.
Et comme vous le savez, il a tenu promesse plus tard…
Depuis cette expérience, elle est devenue une vraie cochonne et elle ne prend son pied que lorsqu’elle est prise par plusieurs mecs…
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Gangbang improvisé
Le week-end dernier, je suis allée, une fois n’est pas coutume en boite. Un des mes amants, Teddy, m’accompagnait. Je portais une robe moulante noire, mais évasée en bas, pour mieux danser le zouk.
Je ne portais rien dessous. Je voulais pleinement profiter de cette danse qui peut devenir une vraie partie de sexe… (cf mon récit : le Zouk sexe)
Alors que je dansais seule, pour une fois, une bande de trois mecs se poste derrière moi. L’un d’entre eux commence à se rapprocher doucement de mon dos, jusqu'à l'effleurer. Je me retourne en jetant un bref coup d'œil à Teddy. Il a compris le manège des trois mecs. Il me fait un signe d’assentiment… De toute façon, je m’en serai bien passé. Ce soir, j’ai à nouveau très très envie de sexe, de sexe vraiment hard. Je continue donc de danser en le chauffant un peu. L’homme s'enhardit et pose sans plus de façons la main sur mes fesses. Pour le provoquer, je me retourne, le scrute d'un air hautain et ne relève pas…
En tout cas, le pelotage devenait de plus en plus méthodique et celui qui dansait avec moi avait passé la main dans le décolleté de ma robe, me caressant allègrement la poitrine libre de soutien-gorge. A ce moment-là, teddy arriva près de nous, un verre à la main, et l’offrit au danseur.
Seulement, le mec a du prendre ça pour une invitation et me saisit maintenant par la taille, collé contre moi.
Après quelques minutes de danse, ses deux potes se sont déplacés et sont maintenant de chaque coté de moi. Je me doutais de ce qui allait se passer mais je laissais faire commençant à fantasmer sur la situation. Les deux se rapprochent encore et commencent à me toucher aussi : le ventre, puis les fesses, s'assurant du bout des doigts que je ne porte rien dessous.
Le regard de Teddy sur moi m’excitait. Je devinais qu’il commençait à bander bien dur… Il adore me voir avec d’autres mecs…
Les gars furent un peu surpris, mais ne savaient pas qui il était pour moi. Je vis que Teddy bandait nettement et son pantalon semblait bien le serrer !
Quant à moi, je massais la bosse au niveau de la braguette du danseur, puis passas à celle de son pote... et ainsi de suite. Toujours sanas savoir que Teddy m’accompagnait, un des mecs lui fit un clin d'œil en me regardant, genre « sacrée salope celle là ! »
Nous arrivâmes quelques instants plus tard sur le parking, les oreilles bourdonnantes. Ils ne me lâchaient plus ! Ils étaient visiblement très excités et avaient envie d'aller plus loin…
Arrivés à leur voiture, nous leur expliquâmes que nous étions en couple, même si apparemment, ils l'avaient tous trois déjà deviné. Le premier danseur était accolé contre la voiture, la main fourrée entre mes jambes. Quand l’homme retira ses doigts de ma bouche, j’enfonçai une des deux queues au fond de ma gorge, jusqu'a m'étrangler. D'autres personnes s'étaient arrêtées - d'ailleurs plusieurs filles curieuses également - et suivaient la situation avec autant d'intérêt que d'étonnement. Le dernier fut un peu plus long à venir. Il déboutonna le haut de ma robe afin de sortir mes seins et s'enfonça à nouveau dans ma bouche, jouant avec son bassin afin de lui faire avaler sa queue le plus profondément possible. Il la sortit de nouveau afin de lui enfoncer ses couilles dans la bouche. Il jouit la bite contre son front, laissant toute la crème épaisse couler doucement sur son visage.
Ce qui devait arriver arriva : le danseur sortit sa queue (de belle taille, le salaud) afin de se faire branler. Je m’en saisis à pleines mains et le masturba vigoureusement. A ce moment-là, s’approcha de moi releva d'un coup ma robe jusqu'au nombril, exposant ainsi mon sexe épilé à la vue de tous. Je ressentis une brusque montée de désir. Je devenais une vraie bombe à retardement ! L'enchainement des mains parcourant mon corps reprit de plus belle : l'un explorait ma chatte de plusieurs doigts avides, l'autre s'attelait à assouplir mon petit trou. Le danseur essaya de m'embrasser, mais je me détournai.
Je fis un clin d'œil de connivence à teddy, m'abaissa et sortis les deux autres queues pour les masturber. Plus rien n'existait alentours ! J’étais accroupie, jambes écartées, le sexe à l'air avec deux verges au niveau du visage. Le danseur lui, continuait de doigter ma petite chatte. Il en retira ses doigts et me les fourra dans la bouche.
Visiblement, le danseur intrépide n'en pouvait plus. Il lâcha un peu ma chatte pour se relever et s'astiquer frénétiquement devant mon visage. Je lâchais la première queue, et pris sa bite en bouche pour l'amener à l'orgasme. Il émit un râle sourd et se vida à fond dans ma bouche. Au même moment un des mecs avait entrepris e me branler fortement le clito, et ma vulve détrempée. Je jouis aussi, en criant, et par la même occasion, en crachant le foutre épais qui le remplissait la bouche.
Je passais instantanément à la queue d'à coté, puis à l'autre, se les passant ainsi à coups de langue. J’étais comme en transe ! Le second ne fut pas long à venir, et me gicla de longs traits de semence au travers du visage. J’invitais Teddy à se pencher pour sucer cette queue qui ramollissait, pour la nettoyer des restes de sperme. Comme d’habitude, il ne se fit pas prier. C’est plutôt le gars qui et un mouvement de recul... Mais finalement, il se laissa faire…
Je me relevais, encore avide de sexe, sans me recouvrir. J’avais du sperme partout. En me retournant, je vis qu'en autre mec s'était approché et commença à me peloter sans dire un mot. Teddy m’attrapa par la taille, et me courba en avant sur le capot. Il me fit écarter les jambes. Il s’accroupit derrière moi, pendant que le dernier homme malaxait mes seins, rendant les pointes hyper sensibles… Il me lécha, me lubrifiant encore plus. Je jouis sous cette caresse, d’autant que nous n’étions plus seuls…
En effet, au bout de quelques minutes un bon groupe d'hommes s'était agglutiné autour de nous, attendant sans doute leur tour…
Nous qui n'avions jamais abordé réellement la possibilité d'un tel plan, nous retrouvions au beau milieu de la foule, assaillis de tous cotés. Il se redressa, et je sentis son gland contre ma vulve toujours aussi affamée. Il n’hésita pas longtemps, et me pénétra d’un violent coup de reins. Le mouvement me fit tomber sur le capot. J’avais ainsi le cul encore plus relevé. Les hommes mataient de très près, certains ont commencé à sortir leurs bites pour se branler. Teddy me besognait sans ménagement, comme j’aime dans ces moments extrêmes.
Les encouragements ont commencé à fuser : « Baise-là bien, bourre-lui la chatte ! Défonce-là, cette salope ! Elle est bonne, je veux aussi défoncer son cul !!! »
Teddy jouit très vite, bien trop vite, sous les cris de nos « supporters. »
Moi, je n’avais pas encore joui. Alors, il me retourna, et me hissa sur le capot, les jambes grandes écartées. Il ne fallu qu’une seconde pour que l’un d’entre eux plongea la tête entre mes jambes. Il avala sans rien dire le sperme de Teddy. Il n’en laissa pas une goutte, me léchant la chatte en entier, enfournant sa langue au plus profond de mon vagin… Une nouvelle fois, j’eu un violent orgasme, qui a dû ameuter toute la population masculine de la boite !!!
Celui qui s'affairait sur ma chatte se releva, sortit une capote d’une poche, l’enfila, et me fit un peu glisser vers le bas. J’accrochais mes jambes sur ses épaules, et il s’enfonça en mois très fort. Le sexagénaire ne cessait de marmonner, me traitant de « petite pute, garage à bites » et autres amabilités. Il n'avait toujours pas joui. J’accélérais le mouvement pour le faire jouir
Mais une envie pressante commençait à me tenailler. Quand je jouis plusieurs fois, il m’arrive d’avoir très envie de faire pipi. Je dis au vieux que le laissais pour pisser. A ma plus grande surprise, il me dit : »fais-le sur moi ! » Ce n’est pas une chose que je fais souvent. Mais ce soir-là, vu où j’en étais, je ne pouvais pas refuser !
Le vieux alla s’allonger dans l’herbe qui bordait le parking, les lèvres ouvertes. Je me mis au-dessus de lui, légèrement accroupie. Dans le noir, je tentais de « viser » le mieux possible sa bouche. Teddy vint me caresser les seins, et sans plus attendre, je me laissais aller. Un long jet de liquide doré fusa en direction du vieux. Il eut un hoquet, mais tenta d’en boire le plus possible… Les hommes qui nous mataient semblaient hallucinés… le vieux eut tout le visage aspergé par ma pisse. Quand j’eus finis, je dis d’un air bravache à la cantonade : « je n’ai pas de papier... Qui vient m’essuyer ? »
Un des mateurs ne se fit pas prier, s’allongea lui aussi sur l’herbe, et je m’assis sur son visage. Sa langue me pénétra illico. Je me penchais en avant, pour sortir sa bite, et lui rendre la politesse. Nous avons fait un 69 d’anthologie, sous les encouragements du public… Je sentis un, puis deux doigts, qui dilataient mon petit trou, offert, il est vrai à la vue de tous.
J’étais aux anges, dans cette situation d’exhibition que j’adore. Du sexe hard, des mateurs, des baiseurs, que demander de mieux ???
Teddy repoussa le gars qui me doigtait, et vint me sodomiser violemment. Mais j’adore ! Une langue dans la chatte, une bite dans le cul… Je m’active sans relâche sur le membre durci. Autour de nous, les « encouragements », les insultes fusent à nouveau : « Vas-y, défonce-lui le cul, à cette chienne ! Baise-là, défonce-là, cette salope ! »
Je sens une vague énorme me ravager le corps, le ventre, les reins, et je jouis dans un orgasme d’une intensité rare. Je crie si fort que les voyeurs se taisent d’un coup !
Le silence se fait, pendant que Teddy se vide dans mon conduit anal,. Sa liqueur coule dans la bouche de mon lécheur, qui n’a pas arrêté de me sucer, de me fouiller pendant cette sodomie phénoménale. Il lape tout avec gourmandise, et jouit peu de temps après. J’avale le tout, pour mieux le recracher dans la bouche du vieux, qui s’est approché. Il veut sa part aussi ! Toujours bien dévorée, je pompe rapidement la bite un peu molle, mais qui crache son faible venin assez vite.
Cette fois-ci, je suis exténuée. Je crois que j’ai eu ma dose. Oh, je sais bien que demain matin, j’aurais toujours autant envie de baiser !!!
Je me lève, me dirige vers notre voiture, accrochée au bras de Teddy. Certains voyeurs protestent, ils veulent leur part aussi !
Alors, Teddy leur met un marché en main : »Sophie va s’installer sur la capot, les jambes bien écartées, elle va se branler, et vous pourrez la mater et jouir autant que vous voudrez près d’elle. »
Les hommes se concertent, et acceptent.
Je me retrouve adossée au pare-brise, toujours entièrement nue. D’une main, j’écarte ma chatte dilatée, pleine de cyprine et de sperme mélangés… De l’autre, j’introduis deux doigts au fond, je me fouille, me labouré moi-même. Je ressors mon index, pour masser mon clito hyper bandé.
Et j’admire la quinzaine d’hommes toujours présents, pantalons baissés, et qui se branlent tant qu’ils peuvent.
Teddy tente sa chance, et en approche quelque uns. Avec bonheur, l’un d’eux se laisse branler par lui, puis sucer énergiquement. Je vois mon amant en train de pomper une belle bite… Le pied ! Ca ne manque pas de me faire jouir encore, moi qui me croyais épuisée ! L’homme que Teddy suçait jouit aussi mais son foutre atterrit dans l’herbe.
Plus les mecs se branlaient, s’astiquaient, plus ils e rapprochaient de moi. En quelques secondes, ils jutèrent tous sur moi, m’offrant une vrai douche de sperme…
Cette fois-ci, Teddy déclara la fête finie. Il sorti une serviette de plage de son coffre, et la passa autour de moi. Il était urgent que j’aille me doucher !
Cette soirée, cette nuit mémorable, restera longtemps dans ma mémoire… Quelles jouissances extrêmes !!!
Le cocu humilié
C’est il y a quelques mois que nos relations avec ma femme Lucie et moi Karl n’ont plus été les mêmes. Ce jour-là, lors d’une balade sans but précis avec ma femme, nous tombâmes sur un club échangiste que nous ne connaissions pas. Il était ouvert et n’ayant rien à faire nous décidâmes d’y entrer.
Dans ce club, après les vestiaires, on passe obligatoirement par le bar. Il était impossible de ne pas voir une blonde agenouillée qui suçait un black confortablement assis dans un fauteuil. Nous nous installâmes un peu plus loin, et remarquions qu’un autre couple regardait la scène, elle une belle brune, la trentaine, et lui la cinquantaine bedonnante. Un peu plus loin, une grande rouquine ne perdait rien de la fellation.
Le noir dit quelque chose à la blonde, qui se releva aussitôt, puis fit un signe à la rouquine, qui prit instantanément la place. Sachant que l’un des grands fantasmes de ma femme est de faire l’amour avec un noir, je lui chuchotais à l’oreille : « Tu aimerais bien être à sa place, non ? »
Elle rit, et continua à siroter son whisky coca. Puis la blonde apporta un verre au black, qui lui pelota les fesses pour la remercier, une claque sur la croupe lui intima l’ordre de disparaître. Tel un pacha, il buvait à petites gorgées pendant que la rouquine suçait goulûment son énorme sexe. Il lui fit lécher ses couilles, puis sucer à nouveau sa bite. Docilement, elle exécutait tous ses caprices.
Il lui dit quelque chose, et comme la blonde, elle se releva et il fit un signe à la brune, qui se précipita pour ouvrir une large bouche. Elle engloutit ce membre qu’elle convoitait depuis un bon moment.
Comme tout à l’heure, la rouquine lui apporta un verre, il lui doigta l’anus pour la remercier, puis lui fit sucer son doigt et, d’une tape sur les fesses, lui ordonna de s’éloigner.
Comme avant, il buvait à petites gorgées, la brune le suçait avidement. Je demandais à ma femme : « S’il te fait signe, tu y vas ? »
Elle me répondit : « D’après toi ? »
La brunette s’appliquait sur sa fellation, quand ma femme me dit en souriant d’un air complice : « Demande lui s’il veut venir dans une cabine. »
Je me levais pour lui faire ma requête.
Pendant ce temps, ma femme partit chercher une cabine libre. Ma demande l’intéressa et il dit à la fille : « Allez, c’est fini, j’ai une urgence. »
Il me suivit et je le fis entrer. Mais au moment où moi, j’allais entrer, ma femme me repoussa en me disant : « Toi, tu attends à la porte. »
Je fus surpris, c’était la première fois qu’elle me parlait ainsi, avec autant d’autorité. Nous avions eu quelques expériences de trio, mais à chaque fois je participais.
Ma femme étant directive, je savais qu’il était inutile d’insister. Un peu revenu de mes émotions, je me précipitais dans la cabine d’à coté.
Hélas, pas une ouverture, pas même un trou minuscule me permettant de voir la scène… J’entendais seulement des gémissements de plaisir.
J’attendais depuis un bon moment dans la cabine, quand je repris tout à fait mes esprits et décidais de visiter le club.
Deux cabines plus loin, j’observais une scène étrange : un homme obèse et dégarni léchait les pieds d’une femme mure encore bien conservée qui, elle-même, suçait avidement un jeune black.
En retournant vers le bar, j’aperçus la blonde et la brunette en train de se gouiner et, dans un coin du bar, la rouquine taillait une pipe au mari de la brunette. Je décidais donc de prendre une consommation au bar, pour bien mater toutes ces scènes très excitantes.
Le barman m’appris que le black, c’était un antillais qui s’appelait Dominique. Ici, c’est un dieu, toutes les femmes en sont folles. Il est capable de combler une douzaine de femmes dans la nuit. Ce n’était pas pour me rassurer. De plus, la façon dont ma femme m’avait jeté me chagrinait et je gambergeais dur.
Je décidais de retourner voir si ils avaient fini, à peine arrivé à la cabine, la porte s’ouvrait et ma femme me dit : « Nous allons au bar, commande une bouteille de champagne. »
Je revins avec un magnum et trois coupes, j’allais commencer à servir la troisième flûte quand Lucie retourna la coupe et me dit : « Toi, ton champagne, il est là… », en écartant les cuisses. Sa chatte dégoulinait du sperme de Dominique.
J’étais ébahi tellement il y en avait. Mais ma femme insistait : « Allez, lèche-moi la chatte. »
Je m’exécutais et léchais sa chatte ruisselante de foutre tiède. Quand Lucie me dit : « Alors chéri, il est bon le sperme de Dominique ? »
Mais elle m’empêcha de répondre en m’appuyant. « Continue de lécher ! Je ne t’ai pas dit d’arrêter ! »
J’étais terriblement humilié, Lucie le sentait et prenait plaisir à augmenter la dose par ses commentaires du genre : « Jamais un homme ne m’a comblée comme toi, Dominique » Ou : « J’aime bien ta façon de me caresser les seins, tu as les mains douces. »
Elle finit pas jouir sous mes coups de langue insistants. Finalement, j’aimais bien ce gout un peu âcre…
Je les entendais se bécoter quand Lucie me dit, en repoussant ma tête de la main : « Ca suffit ! Sers-nous du champagne. »
Pendant que je servais, Lucie masturbait Dominique qui appréciait car son énorme sexe gonflait à vue d’œil. Ils trinquèrent tous les deux, s’embrassèrent sur la bouche et se levèrent. Aussitôt ma femme m’intima : « Toi tu reste ici ! »
Ils disparurent vers les cabines. Tel un automate, j’obéis, une fois de plus. J’étais abasourdi : jamais Lucie ne m’avait traité comme ça.
Je ne sais depuis combien de temps j’étais assis sur le canapé quand l’obèse, sa femme et le jeune black s’installèrent presqu’en face de moi.
L’obèse tenait la main de sa femme quand celle ci se faisait baiser par le jeune black puis celui ci entrepris de la sodomiser et de se soulager dans son cul. L’obèse se contentait de regarder sa femme prendre du plaisir, et quand celle ci fût contentée par son jeune amant, elle tendit un pied. L’obèse se précipita pour lui lécher les orteils.
C’est au même instant que Lucie et Dominique revinrent. Aussitôt installée, ma femme m’ordonna : « Sers-nous encore du champagne ! » Sans plus s’occuper de moi, elle roucoulait avec son amant, le branlant amoureusement, quand ils prirent conscience de la scène qui se déroulait juste devant leurs yeux.
La femme leur adressa en riant : « Un amant vigoureux pour satisfaire votre sexualité et un mari soumis pour satisfaire vos caprices ; c’est le cocktail idéal pour nous les femmes ! »
Lucie répondit : « C’est agréable de se faire lécher les pieds ? »
« Oh, très agréable, c’est génial ! »
Aussitôt, ma femme m’ordonna d’un ton sec : « Tu as entendu, aux pieds ! »
J’étais dans un tel état de trouble que je m’agenouillai et léchai ses pieds sans discuter.
Les deux couples sympathisèrent et ma femme les invita à prendre un verre à la maison. Pendant le chemin du retour, je fis office de chauffeur, Lucie suçait Dominique sur le siège arrière.
A la maison je repris mon emploi de « domestique. » La soirée se termina tard. Pendant des heures, sous mes yeux et ceux de l’obèse, convié à mater, ils baisèrent tant et plus, les femmes réalisant tous les caprices des deux blacks. Ils les prirent dans toutes les positions, leur défoncèrent le cul avec des sodomies profondes. Dire que ma femme me l’avait toujours refusé, sous prétexte que mes 15 cms lui faisaient mal ! Là, elle en prenait 22 en criant de plaisir ! Les femmes leur offrirent un beau spectacle de 69, se léchant leurs minous dégoulinant de tout le sperme reçu de ces mâles en rut. Moi, je ne pouvais rien faire, juste me branler comme un fou devant ces scènes de sexe hard, pire que dans les films X. Ma femme était devenue une vraie salope, une chienne en chaleur, que les saillies successives ne calmaient pas du tout !
Après plusieurs heures de baise intense, ils finirent par tomber par terre, épuisés.
Ma femme m’ordonna alors: « Moi je vais me coucher avec Dominique, toi, tu dormiras dans la chambre d’amis, mais avant, tu ranges tout, et pour demain c’est petit déjeuner au lit avec pain au chocolat et brioches chaudes. »
A partir de cette soirée, tout changea entre ma femme et moi.
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Comment Barbara est devenue une femme publique
Je suis marié depuis plus de dix ans, et ma vie sexuelle avec Barbara n’est plus ce qu’elle était au début. Elle me fuit, repousse mes avances. J’ai toujours autant envie d’elle. D’autant que depuis qu’elle bosse dans cette nouvelle boite, je la trouve de plus en plus belle, de plus en plus sexy…
Ce matin-là, je me réveillais en retard, mais juste à temps pour la voir partir au travail dans une tenue que je lui trouvais assez particulière... En tout cas aguichante : un tailleur noir moulant, avec une jupe droite assez moulante et mi-cuisses... Elle qui était plutôt jean basket, je ne la reconnais plus vraiment….
Elle me jeta un regard et ferma la porte partant pour une journée de travail...
Et moi, je ne pouvais cesser de penser qu'elle partait travailler avec ce type dont elle parlait avec une drôle de lueur dans les yeux, un de ses nouveaux collègues…
Un matin, j’étais resté à la maison pur recevoir un artisan, alors qu'elle était partie depuis près d'une heure, le téléphone sonna...
« Allo ?
- Oui, bonjour, qui est à l'appareil ?
- ... Qui je suis... est peu important... je suis un collègue de votre femme... Et je vous appelle parce que je crois que vous devez savoir...
- Savoir quoi ?
- Savoir que... savoir que votre femme est une petite salope qui se fait défoncer le cul par son patron... Tous les jours et plusieurs fois. Cette salope en redemande et ne se cache pas, la chienne ! ... Il fallait que vous le sachiez ! Si vous avez un peu de dignité ou même du respect pour vous ou pour les autres...
- Mais...
- C'est une garce complètement sous la coupe de Jacques qui la baise et en baise d'autres... Il fallait que vous le sachiez, il le fallait... «
La communication se coupe brutalement, sans que j’aie pu ajouter un mot.
Je restais là, le combiné dans la main : cette nouvelle me surprenait elle réellement ?
Comme un robot, je passais une veste, et décidais de me rendre au bureau de ma femme.
Durant le court trajet en voiture, je ne voyais rien de la circulation. J’étais un vrai zombi. Qu'allais-je faire une fois là bas exactement ? Je ne sais pas. En tout cas, j'avais besoin de... savoir !
J'arrivais près de la société de mon épouse, et regardais l'immeuble qui me faisait face. Je me décidais enfin à entrer.
Dernier étage. Je sonnais la porte du bureau cossu, elle s'ouvrit sur un large vestibule où une secrétaire, du fond de son bureau, me fixait :
« Le bureau de monsieur Jacques..., dis je
- Ici monsieur, fit-elle en me montrant une porte en bois massif magnifique. Mais qui dois-je annoncer ? »
Sans me soucier de lui répondre, je me dirigeais vers ce bureau, me disant : « Dis lui que le cocu est là... »
Mais les mots restèrent dans ma tête, tout comme mes cris de surprise dans ma bouche quand, ouvrant la porte, tandis que la secrétaire criait : « Il est en réunion !!! », je découvrais la scène de mes pires cauchemars :
Jacques était là, debout, dans son splendide bureau, et ma femme était, elle, pliée en deux sur le bureau, offrant sa croupe à son patron qui lui bourrait les reins avec violence. Il lui assenait des coups de bassin violents qui la faisait bouger en cadence. Elle frottait, basculait sur le bureau, jupe retroussée au-dessus des fesses, culotte sommairement écartée pour permettre la violente pénétration.
Je restais coi devant cette scène abominable pour moi. Ma femme, elle, lâchait des râles de plaisir assez rauques, encaissant le coup de reins de l'homme en sueur qui lui gifla la fesse lui lâchant un : « grosse salope ! »
La secrétaire, à coté de moi, semblait tout aussi interloquée, mais après quelques secondes qui parurent une éternité, elle se recula et ferma la porte non sans marmonner : « Quelle salope cette Barbara ! » Elle me laissa seul fasse à ce spectacle qui bafouait la dignité de mon couple.
A nouveau, ma femme se faisait prendre sous mes yeux par ce salaud, et à nouveau j'étais là incapable de dire ou de faire quelque chose.
Le bruit de la porte se fermant a couvert celui de ses couilles butant contre les fesses de ma femme. Il attira l'attention de Jacques. Il se tourna alors vers mo, et eu un regard particulier. Il souleva un sourcil mais continua de besogner ma femme. Cette dernière n'en finissait pas de jouir de cette pénétration violente :
« Qu'est ce que tu fous là, p'tit gars? .... Tu ne vois pas que tu déranges ? »
Puis, se tournant vers Barbara toujours allongée sur le bureau, il accentua encore ses coups de reins, la faisant crier plus encore, comme jamais je ne l'avais entendue...
Elle adorait littéralement ce que lui faisait subir Jacques... J’étais totalement, irrémédiablement anéanti.
« Oh t'es bonne toi, dit il tout en serrant les dents et continuant ses allées et venues. Tu aimes ce que tu vois ... hein ! Je la baise bien cette salope hein !! Je bourre cette salope depuis une heure, et elle en veut encore... Son cul va fumer ! Et aspirer ma queue !!! J'ai jamais vu une telle vicieuse... »
Il s'adressait à moi, et je compris alors qu'il ne savait pas qui j'étais. Il ne me reconnaissait pas. Il baisait ma femme sous mes yeux en me demandant d'apprécier cette turpitude... et il en rajoutait dans le vice :
« Attends, regarde, » dit-il.
Il tenait alors sa grosse queue, et avec application, la sortit de ma femme, puis la remis doucement mais en profondeur. Il forçait son anus qui baillait grand ouvert, visiblement avide de cette grosse verge : il la sodomisait !!! C'était dans le cul qu'il la prenait depuis tout à l'heure ! Il lui défroissait le sphincter avec cette violence !! J’étais abasourdi !
Et elle, elle gémissait ainsi la bouche ouverte, complètement absente, submergée par le plaisir malsain que lui distillait avec force Jacques ! Etait-ce bien ma femme ? Je ne la reconnaissais plus !
Elle si prude, qui me vantait les vertus de la fidélité, des relations raisonnables, et les relations sexuelles simples à la " papa-maman ", outrée par les scènes de sexe trop explicites au cinéma, fustigeant les femmes faciles habillées comme des putes et surtout celles qui trompent leur mari ! Elle, elle se faisait enculer comme la dernière des chiennes en chaleur…
Cette femme était là, maintenant, subissant dans son délicat anus vierge de mon sexe, les assauts d'un sexe gros et noueux, qui ne cherchait qu'à la défoncer brutalement ! Que se passait-il exactement ???
Il sortit à nouveau son sexe du cul de ma femme qui soupira en écartant ses fesses d'une main et de l'autre cherchant le pieu qui la laminait :
« Remets-la !!! vite.... remets… » Ce qu'il fit dans un sourire qui m'était adressé.
C’était ma douce Barbara qui réclamait ce pieu violacé ? Je n’en croyais pas mes oreilles…
Il a alors enfoncé à fond son sexe rigide et luisant dans l'anus de Barbara offert sans résistance, ce qui ébranla ma femme. Elle se tordit de plaisir, se cambrant encore plus. Ce geste la fit regarder vers moi, la bouche ouverte de jouissance, le visage traversé de spasmes de plaisir.
Elle eut un éclair dans ses yeux embrumés par le plaisir avant de crier la jouissance qui l'électrisa par le cul... elle s'affala alors sur le bureau et dit plusieurs fois le souffle court tout en lapant l'air : « C'est mon mari, c'est mon mari... c'est mon mari… »
Jacques eut un sursaut presque imperceptible, et tout en me regardant, il tira Barbara lentement hors de dessus le bureau ... il la positionna en approchant sa tête de son sexe encore vigoureux souillé de sperme et de matières fécales...
Il força doucement ma femme à le saisir en bouche : Barbara qui, au début, me fixait et tentait de redescendre sa jupe moulante en lycra noir, n'y parvint qu'a moitié. Sous la pression de son baiseur Jacques, elle devait maintenant s'atteler à le lécher, à sucer devant moi l'énorme sexe de celui qui l'avait débauchée. Lentement, en me regardant, puis en fixant Jacques, elle finit par fermer les yeux de contentement.
« Ta femme... C’est une vrai salope, me dit il alors doucement, comme pour vouloir me ménager, mais aussi me montrer qui était le maître...
- Ce qu'elle aime c'est que je lui défonce le cul avec ma grosse bite et ensuite me la lécher... Elle adore ça, c'est comme une récompense pour elle... n’est-ce pas, grosse truie ? »
Disant cela, il la regarda : « Dis-le devant ton mari, que tu aimes ça, les grosses bites hein ! et surtout dans le cul ! »
Se tournant vers moi : « Ta salope de femme, c’est une dingue du cu,l jamais satisfaite... » "
Je contemplais Barbara avilie à ses pieds le suçant, sa bouche déformée par le pieu de chair qui ne semblait pas vouloir dégonfler. Elle s'attachait à creuser ses joues et serrer avec ses lèvres ce sexe turgescent.
Elle l'astiquait avec minutie, plaisir et délectation.
Elle ne négligeait aucune succion, ni aucun coups de langue sur la hampe de cette grosse tige chair qu'elle branlait en même temps d'une main ferme : sa science dans ce domaine me sidéra et ses mouvements lascifs de la tête pour mieux le prendre... Mais comment pouvait elle supporter que cet homme la traite ainsi et surtout devant moi son mari... mais elle ne disait rien et d'ailleurs comment l'eut elle fait avec cette énorme bite fichée dans la bouche...
Voyant que je ne disait rien, toujours ahuri de cette situation perverse, il continuait plus avant ses commentaires salaces :
« Il parait que tu n'as jamais goûté son cul… T'es vraiment un con, je comprends qu'elle te fasse cocu : ta femme aime le cul mais... vraiment le cul.... le cul tu comprends !!! Ah ah !! T'es vraiment un cocu, je l'ai baisée dans tous les sens ta femme, au point d'en avoir mal aux couilles. Et je suis pas le seul à lui avoir ouvert les fesses... Comme elle est trop bonne, je l'ai fait goûter à certain de ses collègues… Ta femme n’est que putain gratuite !
C'en était trop, je serrais les poings et avançais d'un pas vers lui. Mais il me stoppa net par ses propos :
« Tu vois, je crois que tu devrais toi aussi goûter à son cul... Pourquoi serais-tu le seul à ne pas sodomiser ta femme connard ! »
Alliant le geste à la parole, il se baissa et prit ma femme par l'épaule et la jeta sans ménagement sur le bureau et lui ordonna d’un ton sec : « Allez cambre-toi, salope. Ton mari va te défoncer l’anus… »
Elle obtempéra, se cambrant et s'appuyant sur le bureau. Elle me proposa son cul qui laissait échapper le sperme du boss.. Il coulait à l'intérieur de ses cuisses, et j'observais ainsi ma femme debout, me tournant le dos, les jambes légèrement écartées, le cul saillant vers moi. Elle attendait ma baise anale qu'elle avait toujours refusée.
Pourtant, elle tenta de protester faiblement :
« Non... s'il vous plait pas lui... pas lui s'il vous plait... »
J'étais interloqué : elle se refusait à moi, son propre mari, alors qu'elle acceptait avec grand plaisir les viols de son patron et de ses collègues.
« T'es vraiment une drôle de salop, lui dit alors Jacques. Tout le monde peut te monter mais pas ton mari ! »
C'est à ce moment que je devins comme fou face à cette situation incroyable et humiliante. Sans que je m’y attende, cette nouvelle humiliation se transforma en puissance érotique bestiale et vengeresse.
Je me suis précipité vers ma femme, sortis ma bite en pleine érection. Je la pointais en direction de ses fesses béantes et de son anus. Je la sodomisais d'une violente et profonde pénétration.
Mon sexe dur et long s'enfonçait centimètre après centimètre dans le conduit brûlant de Barbara encore visqueux du sperme de Jacques. Ses fesses serraient chaudement mon sexe tendu, ce qui avait pour effet de décalotter mon gland, et provoquant ainsi une sensibilité accrue de celui-ci.
Elle criait sous mes coups de boutoirs, mes couilles venant buter contre ses fesses si douces. Mais là, je voulais la défoncer furieusement. Elle n'était plus ma femme, mais une salope, unique objet de mon désir violent de vengeance. Mes coups de reins violents accompagnés de cris rauques, le prouvaient à Jacques. Il observait la scène sans un mot mais avec un large sourire vicieux.
Barbara lâchait le même type de cris qu'avec Jacques, cherchant désespérément de ses mains une prise sur le bureau pour supporter ma furie qui lui écartelait l'anus. Je la pistonnais tel un étalon en rut, sans tendresse, sans précaution aucune.
Dans ma furie sexuelle, je transpirais et regardais mon sexe aller et venir lentement mais fermement dans le fourreau brûlant de ma femme. Je voyais mon sexe enfiler l'anus de Barbara, frottant vigoureusement son sphincter. Il lui procura ce plaisir qui semblait la rendre folle de jouissance.
N'y tenant plus, j'accélérais mes coups de reins, et plaisir étant si grand que je lui éjaculais dans son boyau étroit dans un dernier coup de reins. Je poussais un cri de dément et de libération. Je jouis, et me vidais au fond des entrailles du cul de ma femme. Elle aussi, elle cria et fut parcourue de frissons et de spasmes...
Je sortis ma bite de son anus souillé, plein de foutre dans un bruit humide. En observant une coulée de sperme émanant du trou malmené de ma femme, je pris conscience de ce que j’avais fait : violer l'anus de ma propre femme.
Dans un geste désespéré, je pris la fuite sortant de ce bureau en courant, à peine rhabillé.
Ma femme me semblait complètement perdue. Elle était acquise et soumise à ce salaud de Jacques. Il l'avilissait dans les bras et sur le sexe d'autres hommes. Et moi, je n'avais pas su réagir comme un mari normal, sans réellement comprendre l'enchaînement des évènements qui firent de ma femme si pudique et douce cette... salope qui ne jouit qu'avec des sodomies violentes.
Ce que je ne comprenais pas, c’est le désir violent que j’avais eu pour elle, malgré l’humiliation subie. J’avais aimé la sodomiser de force. J’étais cocu, mille fois cocu, ma femme refusait de faire l’amour avec moi, pour mieux baiser avec d’autres. Et tout au fond de moi, j’aimais cette idée.
Le soir, elle rentra très tard, la tête basse. Je ne savais que lui dire. Elle vint vers moi, des larmes plein les yeux : « Mon chéri, il m’a ensorcelé. Je n’arrive plus à me passer de sa queue qui me déchire. Je n’arrive pas à refuser que les autres me baisent, car je sais qu’ensuite, Jacques viendra me récompenser, en me prenant avec encore plus de force… Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Si tu veux te séparer de moi, j’accepterai. Je ne suis plus digne d’être ta femme. Je ne suis plus qu’une femme publique, qui se fait baiser par tous et tous les trous… »
J’étais très ému par cette déclaration. J’étais partagé. J’aimais toujours ma femme, j’étais humilié au plus profond de moi-même par ce que je venais de vivre, honteux d’avoir violé ma femme, et malgré tout excité par ce que j’avais vu…
Presque malgré moi, je prononçais les mots qui allaient changer toute notre vie :
« Ma chérie, je t’aime, je ne veux pas te perdre. Mais tu ne m’humilieras plus de la sorte. J’accepte que tu te fasses saillir comme la chienne que tu es devenue. Mais j’exige d’être là à chaque fois. Je veux te voir, m’exciter sur toi, peut-être te prendre. Ne me trompe plus jamais, où je te quitterai sur le champ. »
Ma femme sembla surprise de mon offre. Elle baissa les yeux, puis me fixa, avec une lueur que je ne lui connaissais pas : « Merci mon chéri, tu ne le regratteras pas… »
Je peux vous dire qu’elle a tenu parole. Elle est la femme publique, celle que tout le monde s’offre gratuitement. Mais je suis avec elle, je la regarde jouir tant et plus, et notre vie sexuelle est la plus épanouie possible…
La Partouze d'Olga
Nous étions arrivés dans la propriété de Marie depuis quelques jours. Marie m'avait fait venir dès le lendemain, et avait été directe. Ce fut notre première partouze. Philippe s'associe à moi pour la raconter.
- Pour fêter votre arrivée, j'ai invité ce samedi des amis, rien que des hommes, pour une grande partouze dont les vedettes seront Olga et moi. Je leur ai parlé d'Olga et ils ont très envie d'elle. Rachid, Philippe et toi vous contenterez de mater et de prendre en photo vos femelles en train de s'envoyer en l'air.
J'en ai parlé à Olga, qui était enthousiaste.
- Mon chéri, dis oui, s'il te plaît. J’en ai envie. Tu verras, j'aurai plus de succès qu'elle. Ces types viennent d'abord pour la belle Olga, pas pour Marie !
- Tu es une sacrée garce !
- Mais tu es le mari de cette garce. Tu sais bien que j'ai besoin de ces étreintes avec des inconnus. Hassan, tu m'avais promis que tu ne me priverais d'aucun plaisir…
Je suis allé confirmer mon accord à Marie, qui avait déjà tout organisé.
- Je savais qu'elle dirait oui. Elle a ça dans le sang.
Marie accueillit ses invités. Elle avait invité ce soir là une dizaine d'hommes, elle et moi étions les seules femmes.
- Mes amis, ce soir, je vous offre Olga, dont je vous ai beaucoup parlé. Et je suis à votre disposition aussi. Vous allez pouvoir sauter deux femmes enceintes. Chez Olga, ça ne se voit pas trop. Vous connaissez Rachid, mon géniteur et celui d'Olga. Je vous présente Philippe T, l'homme le plus cocu que je connaisse et Hassan Z, le vrai mari d'Olga. C’est lui qui nous la met à disposition.
- Son vrai mari ?
- Oui il l'a épousée selon son rite. Elle est sa seconde épouse.
Marie ouvrit la porte du grand salon où elle avait fait installer deux vastes lits, des tapis, des canapés. Elle voulait que toute la soirée, Olga et elle soient dans la même pièce, permettant aux mâles de passer de l'une à l'autre en fonction de leurs envies.
Olga était dans la pièce, de dos. Elle avait choisi le plus provocant de ses mini strings et de ses dessous, mettant en valeur son superbe cul. Marie était jalouse, verte de rage.
- Ouah, tu ne nous avais pas menti, dit Marie. Exceptionnel !
- Profitez en bien. Dans quelques jours, on va l'envoyer au L. pour travailler. Ca la calmera, car elle a le feu au cul. Vous pourrez féliciter Rachid, c'est lui qui a fait d'elle la putain qu'elle est devenue. Montre ton cul et ta chatte à nos amis !
Olga n'avait pas grand chose à enlever pour être nue. Marie, de son côté, s'installa sur l'autre lit et se déshabilla aussi. La compétition, la guerre non déclarée entre les deux salopes était lancée, Rachid et moi prenions les choses en main.
Olga cambrait le cul. Les hommes se mettaient à leur tour à poil, impatients de s'occuper de cette femelle. Ils avaient manifestement l'habitude de partouzer Marie, ils se devaient de s'occuper d'elle par politesse, mais c'était cette femme doublement adultère, soumise, qui en deux ans était passé du statut d'épouse sage à celui de salope et de putain intégrale, cette femme publique, que des centaines d'hommes avaient baisé, oui c'était Olga qui leur faisait envie.
- Vous avez maté ce cul, cette chatte rasée ? Vous n'avez pas idée du nombre de bites qu'elle s'est déjà prises et qu'elle continuera à se prendre !
- Pour nos amis, tu vas te masturber un peu. Remets cette combinaison et le string, ce sera plus excitant, dit Rachid.
- Oui, j'ajoutais. Ses seins changent petit à petit. Dans quelques mois, elle mettra bas.
- Oui il faut que ses seins se développent car elle allaitera. Mais sa poitrine ne vaudra jamais celle de Marie.
- Elle est très excitée. Ses tétons sont déjà bien durs !
Sans plus attendre, les doigts d'Olga traversent les quelques poils de sa toison épilée. Ils glissent vers ses lèvres déjà humides. Une fugace mais vivace décharge traverse son corps lorsque le contact se fait. Je laisse échapper une exclamation. Dans quelques minutes, la maison retentira de ses petits cris de plaisir.
Sa main droite pétrit maintenant ses seins, passant de l’un à l’autre. Un doigt s’insinue entre ses lèvres et s’invite à la fête. Elle commence à cambrer son corps et bascule la tête sur le côté pour essayer de capter son image dans le miroir voisin. Je la trouve belle dans cette position, certes impudique.
Olga ouvre les jambes. Un doigt ne suffit plus. Un deuxième le rejoint dans son antre trempé. Ils s’amusent de concert, s’écartant l’un l’autre par moments, se pourchassant à d’autres ou se réunissant dans une union de plaisir.
Les spectateurs la regardaient se masturber avec une réelle fascination. Je trouvais cela très beau. Moi Philippe, j’étais aux anges : obnubilée par les arabesques que dessinaient ses doigts sur sa chatte, excitée par la situation et reconnaissante envers cette femme qui livrait une telle part d’elle-même aux regards.
Son excitation est à son comble. Elle réunit trois doigts pour qu’ils s’assemblent comme un sexe d’homme gonflé et commence un va-et-vient qui ne tarde pas à s’accélérer. Olga est déjà au bord d’un abîme qui l’appelle : un gouffre de plaisir dans lequel elle va se perdre. Elle aimerait retenir cet instant magique. Mais, la jouissance est plus forte. Elle s’impose, massive, envahissante, imparable. Elle jouit dans des soubresauts toujours étonnants et lance au plafond un cri de victoire et d’abandon. Elle est bien, comblée.
Sans le quitter des yeux, Marie passa ses mains en coupe sous ses deux globes pâles qu’elle palpa doucement, attentive autant que possible aux réactions des spectateurs. Comme ils ne bronchaient pas, elle lécha son index et vint le faire frotter contre son mamelon qu’elle pinça avec son autre main.
- C’est bien, l’encouragea-t-il. Excite-toi un peu. Tu as envie de te toucher ?
- Oui, s’entendit-elle répondre.
- Alors vas-y, fais-le. Retire ta culotte. Montre-moi comment tu te caresses.
Elle le fit. Quand elle fut nue devant ces hommes, elle s’allongea sur le dos et écarta ses jambes face à lui.
Elle cala un coussin pour relever sa tête et pouvoir guetter les réactions. Quand Marie laissa un de ses doigts glisser le long de sa fente, elle vit que l’un des hommes avait sorti son sexe et le prenait en main, l’astiquant lentement. Il se mit à parler, d’une voix pleine, comme un acteur.
- C’est très bien, continue, l’entendit-elle murmurer. Tu es belle. J’aimerais pouvoir te caresser du bout des lèvres. Tes cuisses semblent si douces et ton ventre si chaud… Lèche ce doigt qui caresse trop rudement, qu’il soit souple et glissant comme le serait ma langue. Je voudrais tant goûter tes sèves rutilantes, écarter doucement tes lèvres qui frémissent pour m’y abreuver, me régaler de tous ces sirops liquoreux que tu laisses ruisseler. J’ai envie de te faire crier avec ma langue, l’introduire dans ton ventre que tu m’ouvrirais. Tu sens comme elle saurait trouver tes points les plus sensibles ?
- Oui, répondit Marie haletante. Je la sens…
- Alors enfonce maintenant ton doigt, tout au fond de ton sexe. Pénètre-toi pour moi.
Le majeur de Marie la pénétra lentement, lui arrachant un râle de contentement. De son autre main, elle pressa le haut de son sexe et se massa doucement tandis qu’elle enfonçait son doigt au plus profond. Son bassin ondulait de lui-même vers l’avant. En relevant ses hanches, elle écarta ses fesses, révélant son anus. Son doigt rutilant ressortit de la fente, ce fut pour appuyer sur le petit œillet et l’enduire de liqueur. Un homme, elle l’apercevait, se masturbait furieusement en la regardant faire.
- Je veux que tu te retournes et te mettes à quatre pattes, demanda-t-il.
Marie obtempéra sans interrompre ses caresses.
- Tu aimes te faire sodomiser ?
- Oui, j’adore ça, avoua-t-elle en se cambrant sensuellement.
- Et là, maintenant, tu en as très envie ?
- J’en crève littéralement.
Dans l’excitation du moment, les mots s’étaient imposés, crus autant que charnels. Alors enfonce-toi ton majeur dans l’anus, lui ordonna-t-il, et branle-toi comme tu aimes.
Marie dut alors tendre ses fesses en l’air, et laisser son doigt la pénétrer lentement. Son autre main lui caressant toujours le sexe, elle se masturba fermement par derrière sous le regard de l’homme. Elle entendait sa respiration s’accentuer, devenir plus présente. Elle ne pouvait plus le regarder, mais elle devina qu’il s’était mis debout et se massait la verge en la regardant prendre du plaisir pour lui. Le grondement d’un orgasme naissant ébranla son bassin tenaillé par deux plaisirs antagonistes, aussi opposés que complémentaires. Elle se sentait au bord de quelque chose de grand, d’absolument nouveau et dévastateur. Les ondes de plaisir lui martelaient le ventre, le sexe et les reins. Elle se sentait visible et pourtant protégée, offerte autant qu’inaccessible, soumise alors qu’au fond elle menait cette danse. Son orgasme montait comme une grosse vague. Marie avait le ventre en feu.
Les deux femelles avaient eu leur premier orgasme Mais les mâles présents n'avaient pas l'intention de leur laisser beaucoup de répit.
L'un d'entre eux, un client de Marie, un vicieux et particulièrement dominateur, s'approcha d'Olga, muni d'un gros gode.
- Salope, je vais te travailler un peu la chatte et ton fion parce qu'on va te chevaucher !
- Oui je suis une jument et vous êtes mes étalons. Vas-y, fourre-moi ça dans le cul !
- Ca rentre sans problème, son trou est béant !
- Oh oui, encore, enfonce-le bien et baise moi avec !
- Il te faut autre chose !
- Oui, ta bite. Prends-moi, j’en crève d'envie !
- Pas encore, j'ai envie d'autre chose…
- Je vois ce que tu veux, dit Rachid. Fiste la, elle adore ça !
- Avec plaisir.
- Je vais t'aider en la tenant !
- Oui fiste moi, mec. J'ai l'habitude maintenant.
Le type la fourrait de son bras avec une telle énergie que j’en avais mal moi-même. Chaque fois que son poing buttait contre le fond de son vagin, elle poussait un petit cri aigu et l’encourageait à continuer par les mouvements même de ses deux mains qui s’agrippaient à lui, de telle sorte qu’il lui aurait fallu faire un effort pour s’extraire de son sexe visqueux.
Dans un même temps, le deuxième homme pinçait fermement ses mamelons et cela de plus en plus fort. Mais là encore, ce n’était pas assez fort pour elle
- T'aime ça, salope, putain on peut lui mettre la main sans problèmes! La salope, quand elle accouchera, elle ne s’en rendra même pas compte !
- Oui, vas-y ! Ohhh !!!
- Enfonce-lui plus loin. Oui, comme ça !
- Ahhh, tu me fais mal, salaud, arrête !
- Fourre lui ta queue dans la bouche pour qu'elle arrête de se plaindre !
C'était incroyable! Le type la pénétrait jusqu'au poignet. Puis il continua jusqu'à l'avant-bras. Olga se tordait de douleur et de plaisir. Elle n’en finissait pas de jouir. Le second type s'allongeait sur elle, de façon à placer son sexe bandé sur le coin de sa bouche. Il enfonçait profondément sa verge entre ses lèvres et se mit à baiser sa bouche pendant que l'autre martyrisait son con, heurtant violemment le bas de son ventre contre son beau visage.
Il ne put pas tenir bien longtemps et son sperme abondant et crémeux, bientôt gicla dans sa gorge. Elle dut, en toussant, déglutir une partie du liquide blanchâtre qui s’écoula sur la moquette. L'autre la sentait, entre ses doigts, toujours frémissante de désir, et il eut le plaisir de la conduire à un orgasme dévastateur.
Marie dans un courriel à Virginie a raconté son plaisir.
"Déjà, ma main se promenait sur ma poitrine. Caressant, massant légèrement un sein, puis l’autre. Déjà, l’humidité naissante entre mes cuisses s’accroissait avec l’arrivée de mes doigts. L’état d’excitation dans lequel je me trouvais revint plus fort encore. Mes doigts pénétrèrent mon vagin comme dans du beurre, écartant au passage mes lèvres trempées. Je pris alors le gode sur la table de nuit et l’appliquai à l’entrée de mon sexe. J’appuyai contre, sans succès, jusqu’à ce qu’une pression un peu plus forte que les précédentes ne le fasse pénétrer en moi. Un gémissement s’échappa de mes lèvres. Je le fis ressortir. Un peu. Avant de le faire entrer à nouveau, un peu plus loin. J’étais dans un état second. Le sexe par procuration allait et venait dans mon vagin tandis que des mains imaginaires me touchaient de toutes parts. Et alors que mon souffle s’accélérait, je me surpris à regretter de ne pas avoir connu cela plus tôt. Quelques instants plus tard, je retirai le gode de mon sexe et le portai à ma bouche. J’adorais le goût de mon désir. Je m’en repaissais jusqu’à plus soif à chacun de mes ébats solitaires. Mes lèvres, ma langue… ma bouche entière était imprégnée de mon liquide alors que je suçais ce sexe anonyme et sous mes ordres. Je le fis redescendre ensuite vers ma chatte folle de désir et la pénétrais cette fois sans aucun ménagement. Les va-et-vient se firent ensuite de plus en plus rapides, et malgré mes lèvres fermées pour étouffer chaque cri, un râle de jouissance plus fort que les autres perça le silence de la nuit.
Je restai quelques secondes immobile, le gode enfoncé au creux des cuisses et mes muscles se détendirent peu à peu. Je me forçai à ne penser à rien pour ne pas entraver mon plaisir de l’instant. Je refoulai tous ces sentiments de culpabilité, de regrets ou de honte au plus profond de moi. J’y parvins sans mal."
Les deux femmes ont connu leur second orgasme, encore plus dévastateur que le précédent. Olga a incontestablement dominé sa rivale, en acceptant un fist extrême.
Rachid intervient :
- Et si nos salopes vous taillaient une bonne pipe, pour continuer ?
- Bonne idée. Toi, la pute, tu vas d'abord te traîner à mes pieds, avant de me sucer !
- Oui c'est bien, chienne, cambre le cul ! Mes potes et moi on va bien te sauter tout à l'heure !
Marie elle-même s'est interrompue, fascinée par ce qu'elle voit :
- Olga, tu n'as pas honte de te comporter ainsi ?
- Non je n'ai plus honte de rien. Et si j'en juge par l'érection de tous les hommes présents, ça leur plaît vraiment !
Marie a remis un tee-shirt bleu turquoise décolleté, alors qu’Olga a seulement mis un haut indécent qui ne cache rien d'une poitrine qui commence à laisser entrevoir les premiers signes de sa maternité.
- A genoux les salopes, vous allez tailler une pipe aux mâles, on prendra le temps qu'il faut.
C'est naturellement Arthur, le type qui vient de la martyriser en lui enfonçant son avant-bras dans la chatte, qui est le premier à bénéficier de la bouche de l'épouse d’Hassan.
Le type n'a pas plus de douceur dans la fellation qu'il n'en n'avait eu précédemment dans le fistage en règle. Sa queue est énorme. Il s'enfonce jusqu'au fond de la gorge de la femme, lui tient la tête pour imprimer son rythme. Il lui impose une vitesse équivalente à celle d'un coït, en un mot, il baise la bouche d'Olga. Celle-ci s'étouffe, les larmes lui coulent mais jamais elle ne suppliera ce monstre de faire plus doucement, de ralentir le rythme infernal qu'il lui impose. Pour lui cette femme n'est rien d'autre qu'un vide-couilles, peu lui importe si ce qu'il fait lui plaît, on lui a mise à disposition, il s'en sert, un point c'est tout !
Les types se lancent dans un pari. La meilleure pipeuse sera celle qui videra le plus de bites dans sa bouche. Olga n'a pas de chance. Son bourreau est particulièrement endurant.
Olga serrait la base de sa bite comme si elle tenait une batte de base-ball, il subsistait encore une bonne vingtaine de centimètres de chair en dehors de sa bouche, mais petit à petit son chibre disparaissait dans la bouche de la chaude salope, alors qu'elle approchait la tête de son pubis.
Et maintenant, la chevelure noire montait et descendait, tandis qu'elle lui dispensait une gorge profonde, avalant sa bite animalesque loin dans son arrière gorge.
Ebahis, Hassan et moi nous vîmes les lèvres de l'adorable Olga toucher le dos de sa main serrée tout conte ses burnes, ce qui indiquait qu'elle était parvenue à avaler son monstrueux chibre dans sa quasi-intégralité, il devait être enfoncé profondément dans on arrière-gorge.
Nous pensions que c'était un véritable exploit même pour une suceuse expérimentée. Bien au contraire, nous craignions qu'elle s'étouffe s'il forçait son arrière-gorge.
Elle les surprit encore plus lorsque, enlevant sa main droite posée à la racine de sa bite, elle termina son œuvre en absorbant les quelques centimètres de chair restant, enfouissant son nez dans toison crépue.
- Ooh, oui, chérie ! …. Ohhhhh, Madame T….. Ouiiiiiiiiiii….. Ohhhhhhh chérie t'es vraiment une bonne petite suceuse ! …. haletait le type une main enfouie dans sa longue chevelure noire.
Poussant des hanches vers l'avant, il s'enfouit de quelques nouveaux centimètres s'enfonçant à l'orée de son œsophage.
Puis il sentit son ventre heurter la main de la jeune femme refermée à la racine de sa mentule.
- Enlève ta main ma chérie….. Je veux m'enfoncer entièrement dans ta gorge ! …. Allez chérie… Tu peux le faire ! …. l'encourageait Arthur.
A peine eut-elle entendu cet ordre, après un instant d'hésitation, Olga lâcha la colonne de chair sachant qu'il allait enfouir totalement sa monstruosité dans sa gorge.
Le nez planté dans sa toison crépue, notre adorable Olga frottait son visage contre son pubis.
Pendant les quelques minutes qui suivirent, les spectateurs virent qu'Olga poussait sur les cuisses de son amant comme si elle voulait extraire son énorme mentule de son œsophage.
Mais ses mains puissantes posées sur sa nuque lui interdisaient tout recul, elle toussait et crachotait alors qu'il enfonçait ses derniers centimètres dans son œsophage.
- Ah… A … A … A… Ah… Ah… Ah… Ah… Ah… Ah…. Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh…
Arthur clamait son triomphe bien installé dans la chaleur de son arrière-gorge alors que son corps frissonnait de tous ses membres.
Il devint alors évident que si elle tortillait de cette manière, alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites, c'est qu'elle évidemment incapable de respirer avec cet obélisque planté dans l'œsophage
Heureusement Arthur eut pitié d'elle et se retira de sa bouche se soulageant d'un déluge de foutre sur son menton, un fleuve de semence lui couvrit alors le visage.
De son côté, Marie était soumise également au pilonnage d'autres mâle décidés à se soulager dans sa bouche mais ils étaient moins vicieux que ceux qui avaient jeté leur dévolu sur Olga, et ils étaient moins endurants.
- Agenouille-toi salope! Tends ta main gauche et attire-le à toi...
L'ampleur de sa bite ressuscitée, Richard frémissait de plaisir, alors que les fins doigts manucurés se refermaient sur sa hampe vibrante.
Ceux qui entouraient Marie s'impatientaient.
Marie, à genoux, eut à pomper successivement jusqu'à trois types, qui lui envoyèrent de longues giclées de sperme. Marie en avait plein le visage, les cheveux et son beau tee-shirt bleu turquoise était trempé. Elle l'enleva, ce qui lui permit aussi de se caresser les seins qui étaient douloureux tellement elle était excitée.
Le suivant fut Luc, un ami de Marie. Encore mieux membré que le précédent. Marie avait fait les choses bien, elle voulait qu'Olga se souvienne de cette partouze.
- A mon tour ! Viens salope !
- Tu ne me laisses pas un instant de répit !
- Et puis quoi encore, tu es là pour ça, non ? Et mets tes alliances pour symboliser tes adultères, ça m'excite encore plus !
Le type exigea qu'Hassan et moi passions respectivement aux mains d'Olga nos alliances, symboles de son double adultère.
Voir de nouveau les bijoux qui ornaient ses doigts ne fit qu'accroître son excitation alors que ses lèvres pulpeuses étaient si proches de son gland turgescent.
La bite sortie de son pantalon, Luc contemplait la jeune femme qui le branlait tendrement, puis reprit :
- C'est bien ma chérie, et maintenant sers-toi de ta main gauche !
Luc, ravi, la vit alors se servir de sa main portant son alliance et sa bague de fiançailles pour le branler…
Et maintenant cet anneau reposait sur sa bite alors que la charmante Olga lui prodiguait des caresses qu'elle n'aurait du prodiguer qu'à son mari.
Luc n'aurait pas su interrompre cette délicieuse branlette, il luttait pour ne pas éjaculer prématurément.
Il était sur le point de jouir et s'y refusait, voulant prolonger la jouissance de ces caresses.
Olga serrait fortement la base de son sexe et se mettait à le pomper frénétiquement de sorte que le pré sperme fuyait sur sa poitrine comme un robinet mal fermé, elle se dégageait de la bouche de son amant pour gober son gland violâtre et elle commençait une aspiration puissante avec ses joues qui se creusaient en jouant avec sa langue et elle accélérait encore ses mains qui n’arrivaient pas à enrouler la tige épaisse de Luc.
D’ailleurs il empoignait les cheveux de la femme surexcitée et se mettait à lui baiser la bouche, Olga experte en la matière lâchait son sexe et empoignait ses fesses pour accompagner le mouvement de baise en bougeant sa tête de gauche à droite afin de faire passer le gland partout dans sa bouche et avec l’épaisseur de la tête du pénis.
Ses joues se déformaient tellement que Luc pensait qu’elles allaient se déchirer mais Olga avait du métier et regardait l'homme avec passion et elle le rassurait en lui saisissant ses poignets afin d’augmenter le rythme. Après cinq minutes de ce traitement, elle entamait des prises profondes de son gland et elle avait de la marge car, elle bloquait à la moitié du sexe.
Olga se faisait cogner le bout du gland dans la gorge en se détendant car elle avait fermé ses yeux et soufflait par le nez, elle empoignait les cuisses du type et se forçait elle-même à faire pénétrer le sexe entier dans sa bouche, elle rentrait millimètre par millimètre à force de volonté, elle rouvrait ses yeux et constatait encore un bon dix centimètres, même avec ses lèvres en avant, elle regardait Luc qui transpirait de plaisir et elle lui prenait la jambe à son tibia pour lui poser le pied sur le lit.
Luc faillit tomber de surprise du geste d'Olga, mais il saisissait fermement ses épaules et ils se plaçaient confortablement sur bord du lit. Olga se posait sur ses genoux sans laisser sortir un centimètre de viande de sa bouche, elle voulait absolument tout rentrer dans sa bouche, voulant montrer le plaisir de la gorge profonde.
Dans cette position cela était plus facile pour Olga, elle pouvait mettre sa tête entre les jambes de Luc en relevant son menton pour donner un accès direct dans la gorge, elle se soulevait afin de buter encore le fond de son gosier, elle pivotait sa tête de façon à voir la raie du cul de Luc, d’ailleurs il commençait à fléchir sur sa jambes au sol, histoire de pousser aussi dans la bouche de sa sœur qui répondait avec des gémissements encourageants.
Il sentait le fond de sa gorge, son pré sperme coulait toujours autant et de là où il était, il voyait le menton et le bout de langue de la femelle rentrer et sortir, et après quelques minutes de se forage endiablé, le nez d'Olga se nichait dans les fesses de Luc pour buter son bout du nez sur le trou du cul de l'homme et ses couilles lui servaient de moustache car suite à leurs assauts, la gorge d'Olga se dilata pour enfourner entièrement le sexe dur comme de la pierre de son amant.
Olga, toujours les yeux fermés et dans les fesses de son amant ne bougeait plus sauf sa langue qui tournoyait toujours assidûment sur la base du sexe. Elle était heureuse car elle avait réussi à avaler l'un des plus longs sexes de sa vie (car elle mesurera plus tard son engin et sera stupéfaite qu’elle ait avalé vingt quatre centimètres sur cinq de diamètre aussi dur que du marbre). Sa salive et le pré sperme coulaient sur ses joues.
Ils restèrent dans cette position pas plus de deux minutes interminables de plaisir car Olga le trayait avec de grandes aspirations et soufflait par le nez, ce qui faisait monter tout le sperme de Luc qui bouillonnait, Olga commençait à sentir le pré sperme changer de goût, elle savait d’après son expérience qu’il allait gicler.
Et justement, Luc entre son souffle saccadé de plaisir qu’il allait vraiment se vider si elle continuait comme ça, Olga ronronnait des plus gros huuummm, huuummmm, elle encerclait de son bras la cuisse qui était sur le lit et posait l’autre main au sol, ses lèvres se verrouillaient plus dures et elle sortait sa tête des fesses de son bourreau pour laisser échapper quelques centimètres pour se la remettre, en poussant sur le sol et tirant avec son bras, au plus profond possible en rebondissant son front sur ses fesses.
Luc ne tenait plus, Olga le pompait trop fort, il sentait son sperme prêt à éclater, Olga se baisait la bouche pas plus de trente secondes et elle sentait les contractions de sa verge, les veines de Luc gonflaient et augmentait le diamètre de sa queue.
Olga serrait tellement ses lèvres qu’elle avait très mal, le jus de Luc se mettait à sortir avec puissance, il frissonnait de la tête aux pieds, il explosait comme un volcan en éruption, il pensait ne jamais s’arrêter.
Olga avait enterré ses lèvres dans ses poils pubiens et donnait quelques brèves rotations en faisant un joint à la base de son pénis, elle appréciait tellement les filets de sperme lui descendre directement au ventre, cela était interminable pour les deux.
Au moins une minute après cette vidange, Luc était devenu sensible du gland et sortit sa verge bouillante du puit buccal de cette salope, ma femme, la femme de Hassan, la femme publique. Il la regardait qui finissait d’avaler son sperme en passant sa langue sur lèvres. Olga, ses cheveux noirs tombant sur ses épaules, lui souriait avec ses belles dents blanches.
Les choses avaient été loin, très loin, car Olga perdit même brièvement connaissance, à moitié étouffée.
- Oh, mon Dieu….. Mon Dieu….. Ohhhhhh, ….. grommelait le 5ème type à se faire tailler une pipe par Marie alors que celle-ci pointait sa langue sur son méat si sensible.
Marie emboucha la bite entre ses lèvres pulpeuses.
Le type saisissait la nuque de sa ravissante baiseuse, et prenait un plaisir évident entre les pulpeuses lèvres de la charmante Marie.
Marie suçait la bite avec une indéniable ardeur alors qu'il lui malaxait lascivement les nichons.
Puis le mâle se mit à émettre des grognements sourds, rauques, alors que d'épais flots de foutre épais et crémeux emplissaient la bouche de la jeune beauté, quelques filets blanchâtres suintant aux commissures de ses lèvres serrées sur l'épaisse hampe. Marie était fière d'elle, elle venait de faire jouir un cinquième homme grâce à son art consommé de la fellation.
- Maintenant, ne croyez vous pas Messieurs, qu'il est temps que vous baisiez ces dames, elles l'ont mérité, je crois.
- A ton service, petit gars. T'inquiète pas, vous serez bien cocus. Elles ont le feu au cul, surtout la brune.
- Comme convenu, on leur passe dessus sans capote.
- Oui on vous connaît et en plus, pas de risques, elles sont déjà fécondées !
Arthur s'approcha d'Olga.
- Ah moi l'honneur salope, je vais te la mettre en levrette!
L'épaisse colonne de chair s'enfonçait irrémédiablement dans sa cramouille affolée, il l'élargissait quasiment au point de rupture.
- Oh oui, tu vas m'ouvrir en deux!
Arthur était ravi de posséder son enivrant corps blanc.
- Oh madame T! …. Ah, oui… Je vais dévaster ta chatoune ! …. Tu ne sentiras plus que ma grosse bite après ça ! ….. Tu ne sentiras plus jamais plus la rachitique saucisse de ton cornard de mari lorsqu'il voudra te posséder! ….. sifflait Arthur.
- Owwwww… Owwwwwwwww….. Ohhhhhhhhhh….. Nonnnnnnnnnn… criait Olga.
Témoins du viol de notre épouse, Hassan et moi nous branlions frénétiquement.
Arthur nous offrait un véritable spectacle, extrayant d'abord ses 32 cm de la chatoune dévastée avant de l'enfouir à nouveau dans ses profondeurs intimes.
Marie de son côté, s'était offerte à deux hommes, elle taillait une pipe à l'un, pendant que l'autre l'enfilait en levrette.
Olga était étendue sur le lit, jambes en l'air, grandes écartées. Arthur voulait lui bouffer la chatte, retarder le moment du plaisir. Elle haletait :
- Que… Que me faites-vous? …. Je vous en prie….. S'il vous plait….. J'ai trop envie….. Prenez-moi…… J'en ai besoin! ….
- Je vais tout d'abord te bouffer ton enivrante petite chatte rasée! ….
- Ohhhhhhhhhhhhhhh… Mon DIeuuuuuuuuuuuuuuuuuuu… miaula-t-elle toute à son émoi.
Elle empoigna ses cheveux et serra ses cuisses nacrées sur son visage pressant son visage contre sa chatte, notre adorable femme se cambrait de plaisir pour mieux éprouver les caresses habiles de la langue se promenant dans sa cramouille affolée.
- Oh mon Dieu….. Oh, mon Dieu…… Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu…… rugissait-elle affolée.
- Oh oui….. Oui….. Lèche ma foufoune….. Mange moiiiiiiiiiiiiiiiii….. Oh mon Dieu….. Oh, oui…… Que c'est bonnnnnnnnnnnnnnn… gémissait-elle alors que son corps et son esprit succombaient à un premier orgasme fracassant.
Les cris de plaisir des deux femelles en chaleur se confondaient.
Arthur avait laissé Olga pour s'occuper de Marie.
Marie se mit à caresser sa musculature dorsale de ses petites mains manucurées de près, alors que ses cuisses se firent accueillantes, elle ne tarda d'ailleurs pas à les verrouiller dans son dos, s'arquant pour mieux profiter de sa vigueur.
Les cris étaient maintenant remplacés par des suites de halètements extasiés.
- Faites-moi l'amour….. Aimez-moi… Plus profond….. Encore plus profond….. Plus vite… Plus vite……
Une union frénétique se tenait sur le lit conjugal, seulement ce n'était pas entre mari et femme :
- Je voudrais t'engrosser salope! … Je vais t'engrosser sur le lit que tu partages habituellement avec ton mari !
- Ahhhhhhh….. Ahhhhhhh….. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiisssssss….. miaulait alors la ravissante beauté.
Puis à voir l'énorme bite profondément implantée en elle, les muscles du fessier de l'homme se crisper et se tordre, il fut évident que le solide gaillard emplissait sa chatoune distendue d'un torrent de foutre chaud.
Gémissements, gloussements, comme les autres hommes présents nous nous dirigeons vers la chambre où se trouve Olga. La chambre est au fond du couloir, la porte est entrouverte, je découvre la scène. J’ai d’abord du mal à distinguer, je ne vois pas en direct mais grâce au miroir qui orne le mur… Je pense d’abord à un homme en train de prendre ma femme en levrette. Mais le nombre de bras ne colle pas, puis tout devient clair…
Il y a un homme allongé sur le lit, elle le chevauche, un autre est au-dessus d’elle, il la chevauche. Ils doivent avoir la bonne quarantaine, pas des athlètes mais ils ont l’air d’y aller de bon cœur. De son côté, elle n’a pas l’air gênée de sentir ces queues s’agiter en elle. En fait, elle a l’air d’aimer ; je distingue ses paroles, elle en demande plus, plus fort, à fond.
Il y a bien longtemps que je ne suis plus jaloux, je ne suis pas triste, je ne me sens pas trahi. Je n’ai pas de rage, pas d’amertume. Je suis excité.
Les spectateurs, de plus en plus nombreux, bénéficient d’une vue extraordinaire… Je distingue clairement sa chatte et la queue qui s’y trouve fichée… Un beau membre à la couleur sombre, veiné et luisant de sa mouille à elle. Sa chatte est gonflée, ce qui m’étonne à moitié, je suis derrière la porte depuis environ dix minutes et elle n’a cessé de se faire prendre. Je la connais et je devine donc son état d’excitation… Puis plus haut, il y a cette autre queue, qui me semble plus fine… Plus fine mais néanmoins plantée dans son cul. J’estime que le mec est rentré en elle à moitié, qu’il peut encore aller plus loin. J’ai envie de l’encourager car je sais qu’elle aime être mise bien profondément;
Soudain, ils décident de changer de position, j’entends des bruits de draps froissés, des murmures, des gémissements et un ’oooohhhh’ qui me fait relever la tête. Je découvre alors que les deux hommes ont inversé les rôles… Celui qui était dans sa chatte est passé dans son cul, sa queue est imposante, il est en train de la ressortir lentement, complètement. Le gland apparaît, énorme, violacé, il revient s’appuyer contre l’anus d'Olga qui se dilate et l’absorbe, le gobe, la queue disparaît, entièrement, il sait comment la prendre, elle gémit de plaisir. Je constate qu’aucun des deux n’a de capote.
Ils semblent avoir de la pratique à trois, ceux-là. Surtout celui qui est en train de la sodomiser, lui, il y va franchement, il a deviné ce qu’elle aime et comment elle l’aime.
En attendant, celui qui la sodomisait est en train de se vider en elle, et vu la façon dont il est planté en elle, il y a peu de chance qu’une seule goutte s’échappe, il se retire, ainsi que l’autre, qui vient lui aussi se finir en elle pendant que son acolyte, allongé, les yeux fermés, se fait sucer la queue par Olga qui y met tant de bon cœur que je la soupçonne de vouloir un second round… Celui qui est dans son cul s’active de plus en plus, sa queue fait un bruit de succion à chaque mouvement, puis d’un seul coup, il s’affale sur elle dans un long râle, il reste fiché en elle quelques instants, puis va lui aussi se faire nettoyer la queue…
Marie semble se rendre compte que sa rivale est la reine de la partouze et met les bouchées doubles, en s'offrant à trois hommes en même temps.
Rachid, lui, était dans le salon, en train de mater Marie. Celle-ci râlait, non pas un râle de souffrance, mais un râle de jouissance, de plaisir.
Marie était entourée de trois hommes. Jean la voyait habillée comme jamais elle ne l’avait été pour lui : soutien-gorge balconnet, bas avec porte-jarretelles, bottes et string largement écarté puisque cette dernière à quatre pattes était en train de se faire enculer.
Les râles de Marie n'étaient pas continus, puisque cette dernière alternait des fellations en suçant les deux autres queues.
Les commentaires allaient bon train sur la disponibilité de cette pute, de cette salope qui n’avait sans doute jamais été aussi bien baisée. Rachid était excité et effondré de voir sa Marie redoubler d’ardeur après de tels commentaires.
Elle se frottait maintenant le visage de ces queues tendues et sa croupe rebondie allait au-devant de la grosse queue de Grégoire, l'un des trois types :
- Oui, c’est bon mes bébés, disait-elle. Faites moi plaisir, prenez-moi, je suis à vous.
Et les hommes de demander si leurs queues étaient bonnes, si elle allait avaler leur sperme. Ce qui choqua le plus Rachid c’est que spontanément Marie fit allusion à lui, son propre mari. Elle leur dit que jamais, avec Rachid, elle n’avait connu autant de jouissance, que chacune de leur queue valait mille fois la sienne.
Rachid était pétrifié. Il assista anéanti au changement de position des quatre protagonistes : Benjamin s’allongea sur le tapis du salon. Marie vint au-dessus de lui et prit sa queue en main pour se l’introduire dans la chatte. Vincent vint immédiatement se placer derrière elle et, comme pour un mécanisme bien huilé, s’introduisit dans son postérieur avec une facilité déconcertante. Les deux hommes entamèrent un va-et-vient parfaitement cadencé où pénétrations de concert succédaient aux pénétrations alternées.
Marie leur dit en gémissant que c’était bon de les sentir à nouveau en elle en même temps… à nouveau !
Perdu, dans un état second, Rachid ne vit même pas Grégoire présenter son postérieur poilu à Marie pour qu’elle lui lèche son petit trou ! La scène était saisissante : voir cette belle trentenaire ainsi prise en sandwich en train de lécher et d’introduire sa petite langue rose dans le trou du cul velu de ce quinquagénaire était digne des meilleurs films pornos.
Les quatre compères prirent leur pied en même temps, Vincent et Benjamin se vidant dans Marie, Grégoire se déversant dans sa bouche gourmande. .
Ils s’allongent chacun d’un côté du lit. Olga au milieu, à quatre pattes, la croupe offerte passe d’une queue à l’autre. Son anus est boursouflé, du sperme suinte et s’écoule le long de ses lèvres turgescentes et trempées de la mouille qui goutte de sa chatte. Un troisième homme se joint à eux, le cul d'Olga est à une cinquantaine de centimètres de lui, il se lève, la saisit par les hanches, elle relève la tête surprise, vérifie les deux queues qu’elle est en train de sucer avec tant de ferveur qu’elles sont de nouveau turgescentes. Olga se retourne légèrement juste au moment ou d’une poussée, le troisième homme l’encule… En la sodomisant, il trempe sa bite dans le sperme chaud laissé par ses amants quelques instants à peine auparavant…
Olga demande aux autres :
- Portez moi et empalez moi sur sa queue ! Oui, comme ça !
Olga suce celui qui a la plus grosse queue, l’homme au gland violacé, son enculeur poursuit son œuvre en elle, le foutre chaud coule sur ses couilles, il ressort complètement d’elle, admire son cul ouvert, dilaté, un appel à la luxure. Je savais Olga anale mais pas à ce point !
Hassan lui aussi, n'en pouvant plus de se contenter de mater, est intervenu. Je le laisse raconter.
Je regarde l’homme au gland violacé, sa queue est sensiblement de la taille de la mienne, un signe suffit, il glisse sous elle, elle se relève, le guide vers sa chatte mais il se la fait remonter… Il ne veut pas de sa chatte, nous nous sommes bien compris… Elle s’empale de nouveau sur cette queue que son cul connaît bien. Après quelques mouvements, il ressort légèrement, assez, pour que je puisse venir revendiquer moi aussi son orifice anal, elle semble comprendre ce qui va se passer et c’est tant mieux pour elle, je la sais capable de ça. Prenant ma queue à pleine main, je viens placer mon gland juste contre la queue de l’autre et je pousse, lentement mais sûrement, à chacun des mouvements de l’autre, je gagne quelques millimètres, elle crie « non » tout en cambrant encore plus les fesses, je sens la résistance de son anus, je sens cette résistance diminuer puis ma queue se fraye un passage dans son cul, nous sommes deux, nous sommes deux et nous la sodomisons, elle grogne de plaisir, affalée sur son partenaire, le visage tourné vers celui qu’elle suçait, qui se relève pour admirer le spectacle en se masturbant et qui, n’en pouvant plus d’une telle débauche, retourne décharger sur elle le contenu de ses couilles, il zèbre son visage et ses lèvres de traînées blanchâtres qu’elle tente de récupérer avec sa langue. Je la sens se masturber furieusement, je la devine au bord de l’orgasme et je jouis, je sens ma semence jaillir, exploser, je sens mon partenaire se contracter lui aussi et nous la sentons, elle, elle crie, se contracte, un orgasme fulgurant…
Marie a été abandonnée par ses amants. Malgré le plaisir qu'elle leur a donné, tous n'ont qu'une envie : se faire Olga.
- Mais vous allez où ?
- Ecoute, Marie, on a été sympa, on s'est occupés de toi, maintenant ça suffit, on est venus pour Olga. D'ailleurs, je te rappelle qu'on a payé pour ça ! Cher mais ça vaut la peine.
- Bande de salauds !
- En plus objectivement, Olga est bien plus belle, plus bandante, sensuelle, bien plus chaude que toi.
- Oui regarde toi, regarde tes fesses, tu grossis Marie. En plus tes nichons, à chaque grossesse, c'est pire, de vraies pis de vache. N'insiste pas, c'est Olga qu'on veut.
Pour calmer sa rage, Marie, blême de colère, n'a qu'une solution. Elle interpelle Rachid :
- Ne reste pas là à rien faire, toi. Viens me baiser!
Sans dignité, Rachid s'exécute. Il sait faire jouir Marie dont il est follement amoureux. Les cris de plaisir de Marie ressemblaient à des vagissements entrecoupés de miaulements.
- Aahh….. Ahhh…… Aahh….. Aahhh! ….. grognait Marie alors que l'énorme queue de son amant coulissait dans son vagin.
- Oh… Oui….. Oui…… Plus vite… Encore….. Baise-moi en profondeur! ….. l'encourageait-elle tendrement.
Elle se tortillait sur son lit conjugal au rythme des allées et venues de l'énorme monstruosité de son mâle dans sa cramouille embrasée.
Mais une fois satisfaite, Marie se réfugia dans sa chambre, en pleurs, furieuse que tous ces mâles ne soient attirés que par la seule Olga. J'ai vu le regard de haine de Marie vis-à-vis d'Olga. J'ai eu froid dans le dos, cette femme hait Olga et ne lui pardonne pas d'être plus belle, plus sensuelle, plus chaude et amoureuse, car Olga a rencontré l'amour en même temps que le plaisir.
Toute la nuit, les invités de Marie se consacrèrent à Olga. Ils multiplièrent les jeux pervers comme celui qui consistait à se faire sucer à tour de rôle par Olga alors qu’elle, les yeux bandés, ne pouvait savoir à qui elle taillait une pipe. Olga fut baisée, sodomisée sans répit, toute la nuit…
Olga a eu énormément de plaisir cette nuit là. Quand les types furent enfin partis, Hassan et moi avons du porter notre femme jusqu'au pavillon du gardien où vivaient Hassan et Olga. Elle était couverte de sperme, sur tout le corps, ça lui coulait de la chatte et du cul, ces deux trous étant béants. Mais le lendemain, il fallut affronter la colère de Marie, folle de rage, qui exigeait une punition sévère pour Olga, qui ne s'était pas "tenue" qui l'avait humiliée aux yeux de ses amis et qui devait "le payer cher". Hassan avait mis le doigt dans l'engrenage, laisserait-il Olga subir la vengeance de Marie ?
Là encore, vous retrouverez l’intégralité de ce texte avec les photos sur le blog de Philippe et d’Olga : http://philetolga.erog.fr/
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Moi aussi, j'ai adoré, d'autant que ce n'était pas prévu... Plus le temps passe, plus dje deviens insatiable !!!
Quel récit à nouveau. J'aurais adoré être ce vieux récomponsé par ta pisse, j'aurais adoré recevoir une bonne douche de sperme également.
Ce récit a vraiment réveillé ma queue.
Merci
Bjr Sophie
Magnifique histoire très très exitante, Chloé a adoré égalment