Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le feu d'artifice du 14 juillet, par Fran.
Voici une nouvelle très excitante contribution de Fran.
Sandra, jolie blonde de dix neuf ans, mariée depuis un mois, vient passer quelques jours de vacances chez ses beaux-parents.
En effet, son mari Denis, est en déplacement pour affaires. Ce soir, c'est la fête du quatorze juillet, avec bal, et feux d'artifices.
Cédric, son jeune neveu, âgé de huit ans, est en vacance lui aussi chez ses grands parents. Il demande s'il peut aller voir les feux.
Les grands parents ne sont pas chauds.
« Je peux l'emmener si vous voulez, propose Sandra, c'est à quel heure ?
-Vingt heure trente, répond papy. Si tu l'accompagnes, pas de problème. »
Les voilà partis. Il fait une chaleur caniculaire. Sandra est vêtue d'une jupette de tennis, et d'une chemise nouée sur le ventre. Très appétissante. Cédric est en bermuda et polo. Ils partent de bonne heure pour être en bonne place derrière les barrières de sécurité.
Sandra, en tante protectrice, se colle contre son neveu. Une foule immense se presse derrière eux. Sandra a passé un bras de chaque côte de son neveu pour le protéger, en prenant appui sur la barrière. Après une longue attente, les lumières s'estompent. La place est plongée dans le noir. Le feu d’artifice va être tiré. La foule pousse contre les barrières.
Soudain, Sandra sent une main qui effleure son genou. Elle la repousse d'un mouvement de jambe. Avec cette foule qui se bouscule, la marge de manœuvre est limitée pour repousser un éventuel assaut. Impossible de se retourner, elle est obligée de subir.
D'autant plus que maintenant, la main est passée sous la jupette, et atteint pratiquement le haut des cuisses. Un doigt écarte même le string, rentre en contact avec le fin duvet. Sandra serre les cuisses, en vain. La main poursuit son ascension, pour atteindre les lèvres intimes. Mais de par sa position pour protéger son neveu, l'espace de la jeune femme est réduit. La main se retire. Sandra pense être sauvée.
Grave erreur d’appréciation…
L'intrus revient à la charge.
Cette fois, ce sont les deux mains qui passent de chaque côté de la jupette, au niveau des hanches. Elles saisissent l'élastique du string, et le fond glisser sur ses cuisses, puis tomber sur ses chevilles. Sandra se retrouve nue sous sa jupe ultra courte. Cette situation inédite l’excite, la fait mouiller comme rarement avant. Même son mari ne l’excite pas autant !
Une main passe devant son mont de Vénus gonflé de désir, et se plaque contre sa chatte, l'autre se forge un passage entre les fesses. Deux doigts jouent avec le clitoris entièrement décalotté, tant elle est excitée, malgré elle. Un autre doigt taquine le petit trou, et le pénètre doucement. Sandra est trempée, maintenant, tant elle apprécie ces caresses vicieuses.
Elle pousse un long soupir. Elle en veut plus, maintenant, alors elle parvient à écarter sa jambe droite, et pose le pied de l'autre jambe sur la barrière, à gauche de son neveu pour bien s'ouvrir à cette pénétration indécente.
Maintenant, elle se fait fouiller la chatte sans aucune retenue, au risque de se faire remarquer par les autres spectateurs.
Elle ressent un vague remord de tromper son mari, comme une chienne, qui se fait prendre en pleine rue, sans même connaitre son branleur…
Mais bien vite, le désir fou qui la prend a raison de sa honte.
Le majeur de la main gauche est enfoncé dans la rosette dilatée, et fait de lents va et vient. Les doigts de l'autre main branle violemment la chatte, et doigte le clitoris... Au bout de dix minutes de ce traitement de choc, Sandra jouit en plaquant ses lèvres dans les cheveux de Cédric.
- Hummmm...hummmmm..
Après quelques caresses, les doigts s'activent une nouvelle fois au fond de son vagin ravagé. Sandra devient folle de désir. Elle a envie de sexe, une envie brute, hard.
Elle sent sa mouille qui dégouline sur ses cuisses. Le petit trou, reçoit la visite d'un deuxième doigt. Elle glisse une main pour les maintenir enfoncés en elle. A sa grande surprise, elle trouve les mains infiniment petites…
« Mon dieu, se dit-elle, qui cela peut-il être ? C'est quand même pas un gamin... »
Mais son corps répond de plus en plus aux caresses Elle brule d’un désir digne de l’enfer. La main entière pénètre son conduit anal. Jamais Denis ne l’a sodomisée. Et là, cette main la fiste à fond, elle aime, elle adore. Tout son corps réclame cette pénétration infernale.
Elle tord son corps dans tout les sens. Un deuxième orgasme se prépare, terrible, puissant. Elle ferme les yeux. Son souffle s'accélère. Pour ne pas hurler sa jouissance au milieu de la foule, elle mord son avant-bras à pleine dents.
Elle râle, des mots quasi inaudibles sortent de sa gorge enrouée :
« L'enfoiré… que c'est bon… vas-y salaud… régale-moi… oui… oui… t'arrête pas... »
Elle grogne comme une cochonne en chaleur…
Comme s'il avait entendu les propos de la jeune mariée, l'inconnu continue à jouer avec le corps soumis de la jeune femme. Elle l'encourage même en poussant la main au fond de ses entrailles. Elle dégage son autre main, et l'envoie en arrière, pensant attraper sa bite pour le branler. Mais elle bute sur le torse de son agresseur.
« Le vicieux, il s'est mis à genoux pour mieux me fister... oh... putain… si au moins je pouvais bouger mon cul… oh… non... pas çà… tu me fais encore jouir... tu m'épuises... et comme tu m'encules bien ! Oui, c’est trop bon de se faire défoncer le cul comme ça... et toi ma petite chatte… comme tu te fais niquer… tu te régales… c'est bon... putain… si je pouvais gueuler... » Elle pense à voix basse, elle a envie de hurler, de se sentir encore plus possédée par cet inconnu qui la rend folle de désir, de plaisir…
Elle sent les deux mains qui se heurtent contre la fine paroi qui sépare ses deux orifices. Elle jouit une nouvelle fois, manque de tomber, tant ses jambes flageolent. Elle s’agrippe à ma barrière de métal, en serrant encore plus son neveu…
La main se retire, les doigts font rouler ses lèvres intimes, comme si elle voulait les apaiser. Elle serre les cuisses pour garder la main de l’intrus, et tous désirs qu’elle lui a octroyés.
En dépit de toute raison, de toute moralité, Sandra en veut encore, jusqu'à l'épuisement s'il le faut. On ne l'a jamais fait jouir comme çà, même son mari. Mais petit à petit, la main se dérobe, pendant que l'autre restitue le string.
Le bouquet final est tiré dans le ciel. Elle a hâte que la lumière revienne, pour voir enfin celui qui a su réveiller la cochonne qui sommeillait en elle. Elle tire un mouchoir en papier de son sac, et tente d’essuyer le flot de cyprine qui dégouliné sur ses cuisse.
Ca y est, la place s'allume. Elle se retourne, cherche dans la foule. Elle reste scotchée. En effet, là, trois mètres devant elle, elle aperçoit un nain, debout sur un banc, en train de se lécher vicieusement les doigts. Il la regarde droit dans les yeux. Elle ne peut réprimer un haut-le-cœur. C’est sa petite taille qui explique la taille des mains, et la hauteur de la poitrine…
Il la regarde en souriant, lui fait un signe de la main et se fond dans la foule.
« Le salaud, murmure-t-elle, comme il s'est amusé avec moi. Il m'a faite jouir trois fois, comme jamais avant…
- Mais à qui tu parles tata ? Et c'est quoi que tu as dans ta main ?
- Heu... c'est pour jeter mon chéri.... j'ai dis quoi ?... A oui… il m'a semblé reconnaitre quelqu'un.... Allez, rentrons. »
Pendant la nuit, Sandra n’aura de cesse d’échafauder toutes sortes de plans pour retrouver ce nain inconnu. Elle veut encore se faire prendre, mais dans un endroit où elle pourra crier tout son saoul, et se faire saillir comme la chienne qu’elle est devenue ce soir, pendant ce feu d’artifice qui n’aura jamais autant mérité son nom !!!
Ma cousine, mes chiens, et moi
Il semblerait, au vu du nombre de fréquentations, que les histoires zoophiles vous plaisent beaucoup ! Ces textes battent des records de lecteurs !
Je vous en livre donc une nouvelle ce soir, afin de vous exciter… Dites-moi ce que vous en pensez !!!
Je me présente, Sylvie, jeune fille de vingt-six ans, qui aime le sexe, mais sans plus.
L’an dernier, je revins passer les vacances au calme, dans la maison de famille, où j'avais encore ma chambre. Je pouvais ainsi me ressourcer et penser à autre chose.
Mes parents possèdent une grande maison, ainsi qu’un terrain d’un hectare, isolé, à plusieurs centaines de mètres du premier voisin.
J'étais donc arrivée deux jours auparavant, et ce matin-là, je faisais une grasse matinée, étant seule à la maison pour toute la journée. Mes parents étaient partis toute la journée.
J'étais nue sous mon drap, m'étant laissée aller à la masturbation la veille au soir en repensant à mon ancien copain, pour qui j'avais encore une attirance physique. Je m'étais donné beaucoup de plaisir avec mes doigts.
J’étais encore dans endormie lorsque, me tirant de mes rêves, je sentis un frisson de plaisir me traverser de part en part, je sentais comme une langue entre mes cuisses, je mis quelques secondes à émerger et je fini par m'apercevoir que c'était Pirate, notre labrador noir qui me lapait, sa langue parcourait toute mon intimité.
Je sursautai, le repoussant vivement de mes deux mains. Je restai sur le coup de l'émotion un instant, assise sur mon lit, puis je repris mes esprits, j'enfilai une culotte et un tee-shirt, et je descendais à la cuisine préparer mon petit déjeuner. Ma mère avait m'avait laissé du café, je m'en servais une tasse avec du lait et je m'asseyais à table. Pendant que je portai la tasse à ma bouche, Pirate revint à la charge, il colla sa truffe sur ma culotte et me renifla.
« Pirate, va t'en ! » m'écriais-je.
Je le repoussai une nouvelle fois, puis je me demandais pourquoi il était aussi excité alors qu'il m'avait vue des dizaines de fois. Je me disais qu'il sentait peut-être l'odeur de ma masturbation de la veille et que ça lui donnait des envies. Mon petit déjeuner fini, je n'y pensais déjà plus, je me levais de table pour aller prendre une douche rafraîchissante devant Pirate qui était toujours assis dans la cuisine et qui me fixait.
La douche me fit un bien fou, je restais sous l'eau ruisselante pendant un long moment.
Je sortais de la douche, une serviette autour de moi, que je fis glisser par terre, puis je remis ma culotte et mon tee-shirt.
Je regardais au loin par la fenêtre de ma chambre, le jardin donnait sur un bois dont la lisière était à cent bons mètres de la maison, je vis au loin Pirate couché au soleil, juste à côté de Cartouche, le tout jeune berger allemand du voisin qui venait souvent jouer avec son copain.
Plus tard dans la matinée, je me suis mise devant la télévision, je zappais sur toutes les chaînes pour finir par m'arrêter sur une chaîne musicale. Assise sur le canapé, j'étais perdue dans mes pensées.
Le passage d'un clip à un autre me sortit de mes songes. Face à moi, je vis Pirate, je ne l’avais ni vu ni entendu arriver, il était assis et me fixait, je baissais le regard vers son ventre, je vis son sexe en érection, il était tout rouge, d'une taille... impressionnante ! Je n’aurais jamais pensé pas qu'un chien pouvait avoir un sexe si gros, comparable à celui d'un homme. Je repensais à ce qu'il m'avait fait ce matin, et sans que je ne puisse m'en empêcher, un tas d'images me venait en tête, me voyant faire des choses avec mon chien. Je tentais tant bien que mal de me sortir ces idées de l'esprit, je me levais prestement et je filais à la cuisine, laver ma tasse à café, je n'avais pas vu que Pirate m'avait suivie.
Alors que j'étais au dessus de l'évier, je sentis à nouveau le museau du chien venir se poser sur ma culotte, il l’enfonça et huma fortement mon odeur. Je le repoussais une nouvelle fois et il passa un grand coup de langue sur ma culotte. Je me retournais vivement, Pirate se coucha sur le côté, son sexe toujours en érection, toujours en me fixant. Je le regardais un court moment, les images revenant dans ma tête, je me décidais à m'accroupir à côté de lui.
Je caressais son poitrail, et je descendais lentement, puis, après un moment d’hésitation, je passais doucement mes doigts sur son sexe. A nouveau, je saisis son fourreau entre mes doigts et je me mis à faire des va et vient. Le chien ne bougeait pas, hormis son bassin qui faisait de légers mouvements, il se laissait faire. Je continuais de le branler lorsque très vite, il éjacula. Une bonne quantité de sperme gicla de sa bite si fort que j’en avais sur mes doigts, sur le pied, sur le mollet et même sur la cuisse sans compter ce qui avait atterri sur le carrelage. J’eu un instant de dégoût, puis je retournais à la salle de bain me laver la jambe laissant Pirate où il était.
Toute la journée des pensées honteuses me vinrent à l’esprit, je me revoyais masturber mon chien et le faire jouir. Du coup, je l’imaginais même en train de me faire jouir également. J’étais complètement déconcertée et j’avais honte de voir qu’en réalité, je n’avais pas vraiment de regrets. Je me demandais même si je n’avais pas un peu perdu la tête.
Le soir, mes parents débarquèrent juste pour le dîner, je tentais tant bien que mal de cacher mon trouble.
Ils me demandèrent si ma journée s’était bien passée, je ne savais pas quoi leur répondre de peur qu’ils ne se doutent de quelque chose. Pourtant, il était impensable qu’ils s’en doutent vraiment.
Je vérifiais régulièrement du regard l’endroit où se trouvait Pirate et la plupart du temps il était assis ou couché à quelques mètres mais toujours en train de me regarder.
Exténués par leur journée mes parents allèrent se coucher assez tôt. Moi, j’étais allongée sur mon lit, je regardais un jeu à la télévision tout en me caressant par dessus ma culotte. Je ne pus m’empêcher de repenser à cette journée, je me touchais doucement en m’imaginant caresser mon chien. Puis j’écartais ma culotte et glissais un doigt à l’intérieur de ma chatte, rapidement rejoint par un second. Je fermais les yeux et en quelques caresses bien appliquées, je me fis jouir gentiment.
Le lendemain matin, je me réveillais relativement tôt. J’étais déjà pleine de pensées malsaines, je fis le tour de ma chambre du regard, Pirate n’était pas là.
Je me levais après avoir rêvassé un moment, pour aller illico m’affaler sur le canapé, mes parents étaient déjà partis travailler.
Pirate arriva quelques minutes plus tard, il s’élança vers moi et me fit la fête quelques dizaines de secondes comme il le faisait souvent. Son museau se dirigea d’un seul coup vers le bas de mon ventre, il reniflait mon odeur avec insistance. Assise sur le canapé, je repliais mes jambes contre ma poitrine, j’enlevais ma culotte que je jetais à terre et je présentais mon sexe au chien. J’écartais mes lèvres de mes doigts et Pirate vint y poser sa langue sans hésiter. Il me lécha à fond, m’arrachant un gémissement, sa langue parcourait tout mon abricot affolé, allant même jusqu'à frotter mon petit trou. Je gémissais de plus en plus et je mouillais abondamment, je me cambrais à chaque fois qu’il titillait mon clitoris, Ses coups de langue s’insinuaient partout, jusque dans ma fente que j’ouvrais des mes doigts.
Le chien se régalait de ma cyprine qui coulait de ma chatte sur mes fesses, n’en laissant pas échapper une goutte.
Ses vigoureux coups de langue eurent raison de moi, et je jouis en criant sous cette caresse indécente, mais si bonne. Jamais je n’aurais cru qu’une langue de chie soit si bonne, si puissante, mais caressante. Elle est bien plus longue que celle d’un homme, et elle ma pratiquement baisée la chatte…. Mais je n’en n’avais pas encore assez. Je me relevais et me baissais à côté de Pirate qui se coucha sur le côté. Je saisis sa pine entre mes doigts et je recommençais à le branler. Bientôt, j’eu envie d’y goûter… AU point où j’en étais, je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin !
J’approchais alors prudemment ma bouche, je déposais ma langue sur le bout rouge vif que mes lèvres vinrent ensuite encercler. La bite de mon chien était presque entièrement dans ma bouche, je m’appliquais à lui prodiguer une fellation comme je le ferais pour un homme, aspirant bien son membre.
J’étais à genoux près de lui son sexe maintenant au complet dans ma bouche autour duquel je serrais bien mes lèvres. Il ne mit encore que très peu de temps à jouir, sans que je le sente venir, son liquide se déversa à flots dans ma bouche, j’en avais tellement que j’en avalais une partie pendant que le reste dégoulinait de mes lèvres. Je dois bien avouer que la chose me plut, ainsi que le goût que j’avais maintenant dans la bouche.
De plus en plus folle d’excitation, je restais à genoux en posant mes mains sur le sol et je me présentais comme ça face au chien, il ne mit pas longtemps à comprendre ce que j’attendais de lui, il remit sa langue un instant sur mon sexe et s’éleva pour poser ses pattes sur mes épaules. Je tournais ma tête pour le regarder, il faisait des petits mouvements de bassin dans le vide, d’une main, j’attrapais son pénis que je guidais jusqu’à mon vagin. Dès l’instant où il sentit mon trou devant son sexe, il entama de grands mouvements, il me pénétra d’un seul coup et s’enfonça jusqu’au plus profond qu’il pouvait. Sous la poussée brusque, je hurlais mon plaisir, à tel point que je crains d’avoir alerté le voisinage !
J’étais devenue une chienne, une vraie ! La femelle du chien… Pirate me limait à une cadence infernale, il me faisant crier bruyamment à chaque aller et retour. Je mouillais comme jamais, j’étais tellement lubrifiée que son pénis sortait plusieurs fois de mon antre pour s’y renfoncer toujours plus fort à chaque fois.
Son sexe était encore plus gros que la veille, écartant bien mes parois vaginales à chaque passage et me procurant probablement le plus grand plaisir que je n’ai jamais eu. J’atteignis l’orgasme au moment où il déchargea tout son sperme chaud à l’intérieur de mon vagin. Il expulsa encore une quantité impressionnante de liquide qui remplit mon ventre. Il eut un peu de mal à se retirer après avoir éjaculé, et lorsqu’il y parvint le liquide s’échappa de mon sexe et coula par terre, moi je roulais sur le côté et m’étendit au sol, complètement nue, après m’être offerte à mon chien, un filet de sperme coulant encore de mon sexe que Pirate vint nettoyer de sa langue pour finir le travail.
Je me relevais et ramassant ma culotte, je prenais la direction de la salle de bain pour me nettoyer, une main sur mon sexe pour ne pas laisser tomber des traces douteuses au sol.
Après la douche, je m’étendis sur mon lit puis je m’endormis pour me réveiller en début d’après midi.
Lorsque je redescendis, Pirate était couché dehors, Il courut vers moi lorsqu’il me vit et se coucha sur le côté à mes pieds qu’il lécha, visiblement il n’était pas rassasié.
Je me baissais à ses côté et mis ma main sur son fourreau, son sexe n’était pas encore en érection, mais le contact de ma main refit émerger cet énorme pénis rouge.
Je le branlais lentement, je voulais qu’il tienne un peu plus longtemps sous mes caresses. Je me mis à genoux et j’avalais délicatement sa bite, que je me mis à sucer lentement.
Je sentis tout à coup une autre langue se poser sur ma culotte, prise par surprise, je me suis mise à pousser un cri, en me retournant je vis que c’était Cartouche, le chien du voisin qui à son tour était venu, probablement par attiré par l’odeur du sexe.
Sans même y réfléchir, je fis descendre ma culotte jusque sur le bas de mes cuisses et retournais à la fellation que j’avais entreprise.
Le berger allemand ne perdit pas une seconde pour me monter, il s’écrasa de tout son poids sur mon dos, ses griffes me faisant mal sur les épaules puis il commença à avancer son bassin lui aussi dans le vide, jusqu’au ce que seul, il trouve mon entrée déjà prête à l’accueillir.
Je me rendis vite compte que son sexe était encore plus gros que celui de mon chien, Cartouche me pénétrait de son long et épais membre, il me faisait jouir comme une dingue, pendant que j’avais le pénis de Pirate dans la bouche.
Mon vagin était tellement lubrifié que la queue de Cartouche sortait sans arrêt. Lorsqu’il entreprit de me pénétrer à nouveau, c’est contre mon anus qu’il buta. Sans faire la différence, il s’appuya une fois puis une deuxième fois sans succès, la troisième fois, quand il appuya plus fort, mon petit trou céda et libéra le passage à ce gros pénis.
Je relevais d’un coup ma tête, hurlant de douleur, je tentais de faire descendre Cartouche en le repoussant de mes mains, en tentant de me redresser, mais rien n’y faisait, il était trop lourd et il s’accrochait. J’avais si mal, mon anus n’avait encore jamais été visité, et le dépucelage était violent, je criais encore de douleur, commençant même à pleurer en continuant à essayer de faire descendre le chien.
J’abandonnais finalement et acceptais ma soumission, je le laissais me sodomiser, sa queue s’enfonçant entièrement dans mon petit trou beaucoup plus étroit que cette dernière. Il faisait de puissants va et vient, poussant à chaque fois sa queue aussi loin que possible, ses testicules butant sur mon vagin.
Peu à peu, je cessais de crier, la douleur commençait à disparaître, je recommençais à sucer Pirate qui n’attendait que ça, Cartouche me prenant toujours par derrière à une cadence infernale ce qui commençait à me donner un léger plaisir.
Pirate fut le premier à jouir, malgré tout ce qu’il avait lâché comme liquide auparavant, il remplit une nouvelle fois ma bouche, suivi peu de temps après par Cartouche qui déversa tout son sperme dans mon anus, limant encore quelques coups dans mon conduit anal. Après quoi il descendit de sur mon dos.
Je mis ma main sur mes fesses, examinant les dégâts, mon anus était bien ouvert, laissant échapper du liquide blanc, j’en recueillis un peu sur mes doigts que je portais à ma bouche pour voir si le goût était différent, ensuite je remis ma culotte et je filais dans ma chambre examiner une nouvelle fois mon petit trou. Je fus rassurée car il avait commencé à se resserrer. Je glissais un doigt à l’intérieur, ce qui me procurait un plaisir jusqu’alors inconnu et ce qui malgré la douleur récemment ressentie, me donnait envie de recommencer.
Ce soir-là, ma tante et ma cousine arrivèrent à l’improviste, peu après que mes parents ne rentrent du boulot. J’avais déjà en tête ma journée du lendemain que je comptais bien passer avec les chiens, mais mes plans étaient maintenant contrariés puisque je ne serais pas seule à la maison. Le soir, ma cousine entra dans ma chambre alors que j’étais assise sur mon lit.
« C’est moi Sylvie, je peux entrer ?
- Bien sur, Valérie, entre. »
Elle me rejoignit et s’assit sur mon lit. Nous commençâmes à discuter de tout et de rien, de nos copains, de nos boulots, jusqu'à ce que la conversation en vienne au sexe.
« Depuis combien de temps tu n’as plus couché avec un garçon ? Me demanda Valérie.
- Plusieurs mois, depuis que je me suis séparée de mon mec et toi ?
- Ca fait juste quelques jours, j’avais rencontré un mec au boulot, il m’a invité à boire un verre et il m’a ramené à son appartement. Et sinon, qu’est ce que c’est le truc le plus fou que t’aies fait sexuellement ? »
Je me gardais bien de lui révéler mon secret, pour la peine, je lui en avouais un autre.
« Le truc le plus fou, je ne sais pas trop, mais une fois j’ai couché avec un prof qui m’avait mis une mauvaise note, et pour ne pas rater mon examen je suis rentrée dans la salle quand il était seul, et il m’a sautée sur le bureau.
- Ah pas mal, et il a remonté ta note ?
- Bien sûr, j’ai même du être un bon coup puisqu’il m’a mis un 20. Et toi qu’as tu fait ?
- Une fois, j’ai recouvert mon sexe de miel qu’un mec à léché, j’ai aussi laissé deux mecs me sauter dans un train, en rentrant un soir. Et aussi, au boulot, j’avais emmené un gode et je me suis masturbée alors qu’un collègue était assis en face de moi. Tu as déjà essayé la pénétration anale ?
- Non jamais, j’ai peur que ça fasse mal…
- Crois-moi, si le mec s’y prend bien ça ne fait pas mal, ou alors juste un peu au début et après tu prends ton pied, c’est super. »
Bien qu’elle soit encore assez jeune puisqu’elle venait à peine de fêter ses vingt ans, elle avait déjà beaucoup d’expérience, plus que moi même.
Nous avons continué à discuter pendant une partie de la nuit, jusqu’à ce que nous finissions par être trop fatiguées. Valérie devait dormir avec sa mère dans la chambre d’amis, mais finalement elle est restée dormir dans ma chambre, mon lit étant suffisamment grand pour toutes les deux.
Quand je me suis réveillée, Valérie dormait encore, je me suis lever doucement pour ne pas la réveiller, puis j’ai enlevé ma nuisette et ma culotte. Pendant que je m’avançais pour prendre mes sous vêtements dans ma commode, je sentis une drôle de sensation. En me retournant je vis que Valérie était éveillée, elle me regardait attentivement.
« Je ne t’ai pas réveillée ?
- Non ne t’en fait pas. Tu sais que tu as un très beau corps.
- Merci. »
J’étais tout de même un peu gênée, même si elle m’avait déjà vue nue auparavant c’était il y a longtemps, quand nous étions encore petites filles.
J’enfilais mes sous vêtements quand elle me dit : « Tu as de super belles fesses, les mecs doivent être dingues que tu ne les laisse pas en profiter. »
Je souriais toujours en étant gênée. Valérie s’est ensuite levée et nous sommes allées prendre notre petit déjeuner dans la cuisine, ma tante était déjà là.
« Alors les filles, bien dormi ?
- Oui très bien. Lui répondis-je.
- Vous avez encore bavardé toute la nuit je suppose ? »
Nous la regardions en souriant, même pas la peine de répondre tellement c’était une évidence.
Alors que je prenais mon café, je vis Pirate qui passait dans le jardin, je ne pus m’empêcher de jeter un regard sur sa bite, rangée dans son fourreau. Décidée à ne pas changer mes plans, je dis à ma tante : « Je vais aller voir une amie au village tout à l’heure, j’en aurais pas pour longtemps.
- D’accord, je vais aller me laver, me répondit ma tante. »
Je remontais dans ma chambre, et enfilais un petit short en jean ainsi qu’un tee-shirt, ma cousine était derrière moi à ce moment là.
« Je peux t’accompagner ?
- Oh non, tu va t’ennuyer, c’est une vieille dame chez qui je passe de temps en temps pour lui faire des courses.
- Ok, je vais rester là », me répondit Valérie visiblement déçue.
Mon mensonge semblait marcher, je ne pouvais vraiment pas l’emmener mais peut-être que je lui raconterai un jour mon secret. Je mis mes chaussures et sortis de la maison, je m’avançais dans le jardin en direction du bois, j’appelais Pirate qui me suivit immédiatement. Bientôt, nous fûmes rejoints par Cartouche que je n’avais pas vu arriver. Je pensais dans ma tête qu’il avait du apprécier la fiesta de la veille…
J’arrivais à la lisière du bois vers lequel je m’enfonçais, déjà la tête à mes pensées cochonnes.
Je ne voyais plus la maison, avançant toujours dans le bois, je choisis de m’arrêter sur une petite parcelle d’herbe au milieu de nulle part où je ne risquais pas d’être dérangée.
A peine assise par terre, les deux chiens tournèrent autour de moi, je caressais leur pelage puis mes mains descendirent chacune sur une bite. Les deux chiens se couchèrent au même moment, chacun d’un côté, mes mains faisaient leur travail, les deux sexes étaient déjà bandés bien durs.
Je m’arrêtais un instant, le temps d’enlever mes habits, que je déposais au pied d’un arbre.
Pour la première fois, j’étais complètement nue dehors, je m’abaissais alors à côté des chiens et reprit la branlette que je leur faisais.
J’approchais lentement ma bouche de Pirate que je commençais à lécher tout en continuant de branler Cartouche. Puis je me tournais de façon pouvoir sucer Pirate pendant que j’offrais mon sexe aux coups de langue de Cartouche. Il ne tarda pas à se mettre au travail, et fourra sa langue entre mes cuisses me faisant encore trembler de plaisir.
Un bruissement m’interrompit. Je relevais ma tête, persuadée d’avoir entendu un bruit, terrifiée à l’idée que quelqu’un me surprenne. Je fus incapable de bouger, prise de panique lorsque je vis ma cousine sortir d’un bosquet en souriant. Elle venait de me surprendre, la queue d’un chien dans la bouche pendant qu’un autre me faisait un cunnilingus.
« Ah ben ça, c’est un truc que j’ai jamais fait ! me dit-elle en rigolant.
-Je… Je…, pitié… Ne dis rien, je t’en supplie… »
J’étais complètement abattue, la tête basse, je n’attendais que ses moqueries, ou pire qu’elle coure prévenir tout le monde.
« Tu me montres comment on fait ? »
Je relevais la tête, elle avait déjà posé sa main sur le sexe de Cartouche, je repris le sourire immédiatement et je la laissais faire en la regardant quelques instants.
« Quel goût ça a ? me demanda t’elle
- Tu peux essayer, tu verras ce n’est pas désagréable, » lui répondit-je, tout en mettant ma main sur sa nuque et en dirigeant sa tête vers la queue du berger allemand.
Arrivée à quelques centimètres, elle sortit sa langue, puis elle lécha timidement le bout du sexe.
J’appuyais une nouvelle fois sur sa nuque, l’invitant à prendre le bout entier dans sa bouche, ce qu’elle fit immédiatement.
Pendant ce temps, je recommençais à branler Pirate, en prenant un certain plaisir à voir Valérie sucer l’autre chien.
Il se passa moins de deux minutes lorsque Cartouche éjacula, Valérie recula de dégoût et recracha le liquide par terre.
« Tu dois bien faire les pipes, il a joui rapidement !
- A toi, essaye sur l’autre ! » me dit elle.
Je baissais ma tête et pris le pénis de Pirate d’un seul coup dans ma bouche, puis j’aspirais son sexe, une fois sa bite dans ma bouche je la léchais avec ma langue.
Pirate aussi mis moins de deux minutes à jouir, il lâcha une rasade de liquide blanc dans ma bouche, en me relevant je montrais à Valérie que j’avalais tout.
« Enlève tes affaires, ils vont te lécher si tu veux ! »
Valérie s’exécuta sur le champ, laissant tomber ses habits un par un sur le sol, en finissant par baisser un joli string noir, qui cachait sa chatte fine, arborant un joli buisson de poils noirs bien taillés.
Elle se coucha sur le dos, je saisissais ses jambes que je relevais légèrement puis je les écartai.
Sa vulve était complètement offerte, in décente, rouge, brillante de mouille. Pirate s’approcha et enfourna sa langue entres les cuisses de Valérie, il se mit à la lécher comme une friandise, la faisant gémir fortement. Elle se tordait dans tous les sens à chaque lapée, elle finit même par expulser un puissant jet de cyprine qui mouilla la tête de Pirate. J’en profitais pour caresser ses seins, qui étaient magnifiques, deux beaux obus bien fermes que je malaxais avec plaisir. Je la fis pivoter légèrement sur le côté, ce qui mit son anus juste en face de la truffe de Cartouche qui ne perdit pas une seconde pour passer sa langue dans la raie de ma cousine.
Je regardais la scène avec envie, ma cousine sur le côté, léchée des deux côtés par les chiens, prenant un plaisir monstre.
Je m’allongeais à mon tour sur le dos, jambes repliées, Pirate approcha immédiatement et colla sa langue sur mon sexe, et le parcourut en entier. Pendant que mon chien me faisait du bien, je regardais ma cousine, aux anges, pendant que Cartouche lui faisait un anulingus de folie.
Elle était en train de se caresser en même temps, insérant ses doigts dans sa chatte et le donnant à lécher au chien.
Valérie se releva, et vint s’agenouiller à côté de moi alors que Pirate était toujours occupé à me lécher. Tout naturellement, elle glissa un doigt dans ma vulve excitée, puis elle le ressortit et le lécha.
Elle reprit la même opération plusieurs fois, puis elle s’approcha de ma poitrine, qu’elle caressa à son tour.
Elle n’avait pas remarqué qu’elle était en position idéale pour Cartouche, à quatre pattes, comme la veille. Une fois de plus, il ne manqua pas l’occasion présente, je le vis s’approcher, se relever sur ses deux pattes et s’appuyer sur Valérie.
« Ah !! Mais qu’est ce qu’il fait ! Dis-lui de descendre, il est trop lourd !
- Non attends tu va voir c’est bon. »
A peine ai-je dit ces mots que Cartouche enfourna son pénis dans le vagin de ma cousine qui couina de plaisir. Elle se laissa prendre, comme une petite chienne et elle semblait adorer, tout en faisant monter mon envie de me faire prendre également. Je me mis également à genoux, la tête posée sur l’herbe et j’invitai Pirate à venir me prendre. Je n’eu pas besoin de guider son sexe qui trouva l’entrée immédiatement.
Les deux chiens étaient en train de prendre leurs femelles, toutes deux jouissant à l’extrême, faisant un bruit pas possible.
« AH ! AH ! OH, c’est bon! Mhummm, le bon chien, encore, baise-moi ! »
Valérie exprimait vraiment son plaisir !!!
Elle fut la première à avoir un orgasme géant, elle se crispa au sol et expulsa une nouvelle fois du liquide vaginal. Les deux chiens déchargèrent leur semence presque au même moment au fond de nos vagins.
Valérie s’allongea dans l’herbe, sa belle touffe engluée dans le mélange de sperme et de mouille, que je vins lécher, puis elle fit de même avec moi et nettoya tout le contour de mon sexe.
« Oh, c’était vraiment trop bon ! Je regrette pas, me dit Valérie.
- Oui, j’ai adoré aussi !
- J’ai déjà envie de recommencer !
- C’est vrai ? Remets-toi à quatre pattes, c’est Pirate qui va te prendre ! »
Valérie s’exécuta, une fois offerte, j’appelais Pirate qui approcha rapidement, il comprit aussi vite ce qu’il devait faire et d’un mouvement vif du bassin, s’enfonça dans son sexe en entier.
Il la lima de longues minutes lui faisant prendre beaucoup de plaisir, puis je mis ma main sur le bassin du chien pour l’arrêter, je pris son pénis en main afin de le diriger droit vers l'anus de ma cousine.
« Non, Sylvie p... »
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, le sexe de Pirate s'enfonça dès qu'il sentit la résistance du petit œillet qui cédait facilement ! Le sexe anal était certainement pratiqué plus d'une fois par Valérie.
Le pénis allait jusqu'au bout, quasiment sans difficultés. Je voyais Valérie prendre son pied comme une folle, elle haletait, donnait des petits coups de bassin vers l'arrière pour faciliter la pénétration.
Le chien ne tarda pas à déverser son jus dans le cul de Valérie, il se retira et s'éloigna, laissant ma cousine dans sa position, l'anus plein de sperme bien chaud.
« Oh Sylvie, si tu savais comme j'ai aimé !
- Ne t'en fais pas, j'ai vu ça. Et les chiens ont aimé aussi !
- A toi, mets-toi par terre qu'il te sodomise !
- Non, Cartouche me l'a fait hier, c'était ma première fois et j'ai encore mal.
- Alors la prochaine fois promis ?
- C'est d'accord. »
Nous nous rhabillâmes puis nous nous mîmes en route vers la maison.
« Tout va bien les filles ? Nous dit ma tante.
- Oui, très bien !
- Allons qu'avez vous encore fait, c'est quoi ces mines réjouies ?
- Oh rien, on s'est juste promenées... »
Nous nous sommes regardées toutes deux d'un air malicieux et nous sommes montées jusque dans ma chambre.
Inutile de vous dire que la fin des vacances s’est passé dan une orgie perpétuelle, avec nos deux chiens, baiseurs sans fatigue, qui nous ont donné un max d’orgasmes, comme peu d’hommes savent le faire !!!!
Chris baise sa belle-mère, devant sa fille !
Ma chère Sophie, voici la suite de mes aventures avec mon ex belle-mère, puisque aujourd’hui, je suis séparé de Sandy.
Après cet épisode de la grange à foin, avec ma belle-mère, je me demandais comment j’allais expliquer à Sandy cette aventure. Mais la vieille est revenue vers moi, m’a dit de ne pas m’en faire, qu’elle ne dirait rien à sa fille. Elle a alors posé sa min sur mon sexe, et elle l’a caressé à travers mon jean.
Les deux jours suivant, elle était de très bonne humeur. C’était à tel point que Sandy et moi nous posions des questions… Mais en fait, moi, je me doutais bien de la raison de cette joie soudaine…
Un samedi matin, je me lève tranquillement vers 7 heures. Je descends à la cuisine faire mon café. J’étais torse nu, en short. Elle me salue joyeusement. Je suis fatigué, et comme elle me demande la raison, je lui réponds : « Je n’ai pas bien dormi.
- Tu m’étonnes, tu as baisé ma fille plusieurs fois, vous m’avez réveillée ! »
Sandy est arrivée à ce moment-là, et l’a interpellée : « Oh toi, tu n’as rien à dire ! Tu te fais baiser comme une salope dans le hangar. Tout le voisinage parle de toi ! Je crois que, de nous deux, c’est moi qui fais le moins de bruit ! En plus, je n’y peux rien, si Chris a une bonne grosse queue. Parfois, elle me fait mal à la pénétration…
- Ah bon, elle te fait mal ? Eh bien, tu n’es pas très douée, ma fille !
- Espèce de salope… »
Elles se sont engueulées comme pas possible, j’ai préféré quitter la pièce en douce pour m’habiller.
Leur dispute a duré plus d’une demi-heure. Quand Sandy est revenue, elle m’a dit que tout était réglé. Le soir venu, quand nous sommes montés nous couchés, sa mère nous a dit : « Si vous baisez ce soir, je vais vous déranger, moi, je veux dormir ! »
Alors, nous avons décidé de ne rien faire…
Pendant un mois, ce fut le statu quo, plus personne ne parlait de rien.
Un samedi matin, il fallait aller chercher du bois en foret. Sandy qui travaillait de nuit, ne voulait pas venir. Avec sa mère, nous avons donc attelé la remorque au tracteur, et nous sommes partis dans les bois. Elle était assise contre moi, et elle me regardait en souriant. Je roulais doucement à cause des trous dans le chemin.
J’ai fini par lui demander pourquoi elle me regardait comme ça…. Elle a souri encore plus largement, puis passé la main sous son tablier. « Tiens, tu veux savoir pourquoi ? », dit-elle ne me fourrant ses doigts sous mon nez.
L’odeur de sa chatte ma sauté aux narines. Elle a soulevé son tablier, elle était nue en-dessous.
J’étais troublé, mais j’ai continué jusqu’au tas de bois. Je suis descendu du tracteur, et lui dit qu’elle était gonflée d’être dans cette tenue !
« On a du boulot, et toi, tu me fais sentir ton jus, et tu montres ta chatte en feu ! Tu me fais bander, alors qu’on a du travail à faire !»
Elle était vexée, car je ne lui ai pas sauté dessus tout de suite. On a chargé la remorque, et nous sommes rentrés sans un mot. Sandy nous attendait avec des boissons fraiches.
Tout mon corps me démangeait. Ma femme a pensé que j’avais été piqué par des chenilles processionnaires. Je gonflais de plus en plus, et elle m’a emmené chez le médecin. Il m’a prescrit une semaine d’arrêt de travail, vu mon état. Il ma aussi donné une pommade à appliquer trois fois par jour. En rentrant, je continuais à gonfler, je ne supportais aucun vêtement. C’était horrible.
Le soir, ma belle-mère est venue pendant que Sandy me mettait de la crème. Elle semblait sincèrement désolée de mon état. Sandy lui dit : « Tu sais, maman, même son sexe est atteint ! »
Je rougis un peu, sur ces paroles.
Le week-end est passé, et le lundi, Sandy devait aller travailler. Elle a demandé à sa mère de me passer la pommade dans le dos à sa place.
Je me suis levé vers 8 heures, Sandy était déjà partie. Sa mère m’a dit de venir, pour mettre la crème. Je suis allé m’assoir que le canapé, et elle a commencé à étaler la pommade sur mon dos.
Quand elle a eu fini, elle me dit de me tourner. Je lui répondu que c’était inutile, je peux le faire seul.
Elle m’a répondu que sa fille lui a bien précisé de tout faire bien. Alors, je lai laissée faire. Elle a mis de la crème partout, en insistant bien sur mon sexe. Il a même commencé à bander. Mais ca me faisait trop mal. La vieille s’est donc arrêtée avec un soupir de regret…
Le manège a recommencé pendant deux jours. Le soir, c’était ma femme qui le faisait.
Le mercredi matin, j’allais beaucoup mieux. Comme les autres jours, ma belle-mère a mis ma crème. Elle a bien insisté sur mon sexe, puis a fait coulisser ses mains entre mes cuisses, heurtant mes couilles à chaque remontée. Bon sang, ca commençait à m’exciter dur ! Bien sur, elle a remarqué que ma queue durcissait. Mais elle n’est pas montée à la verticale… Et la vieille s’est arrêtée, toujours sans un mot. Drôle de jeu que le nôtre…
Deux heures plus tard, elle m’a appelé pour remettre de la crème. Je me suis déshabillé, et suis allé tout nu dans le salon. Elle est pourtant restée bouche bée quand je suis arrivé : « Mais tu es nu !
- Oh, ne fais pas de manières, tu adores voir ma queue !
- Euh..oui, j’aime la voir… Mais si je mets de la crème dessus, je ne pourrais jamais la sucer ! »
Sa dernière phrase m’a fait bander illico ! Elle s’est mise à genoux devant moi, pour masser mes jambes. Elle avait juste ma bite à hauteur de son visage. Je l’ai saisie pour l’ôter de sa figure. Mais elle m’a dit dans un souffle : « Oh non, Chris, ne fais pas ça, mets-la moi dans la bouche ! »
J’étais trop excité, et je n’ai pas hésité : d’un coup, je lui ai fourré mon membre au fond de la gorge.
Elle m’a sucé comme elle le fait si bien. Elle m’aspirait, elle me pompait le dard comme une chienne. Je n’en revenais pas qu’elle suce aussi bien ! Je gémissais de plaisir, j’allais jouir, quand elle a sorti ma bite de sa bouche pour me branler à fond.
C’est à ce moment-là que Sandy est arrivée ! Elle nous a surpris comme ça, sa mère en train de me branler…
S’en est suivi une dispute monstrueuse, où Sandy nous a traités de tous les noms, nous injuriant tant et plus. Il ya eu deux heures de cris et de hurlements.
Je me suis dit que je n’avais plus qu’à faire ma valise. Je suis monté dans la chambre, et Sandy m’a rejoint, un peu calmée. En fait, sa mère a tout pris à son compte, disant que c’était entièrement de sa faute. On s’est réconcilié. Le soir même, un peu par provocation, Sandy a proposé de me mettre la crème dans le salon. Sa mère était dans la cuisine. Elle a commencé à me masser, sans oublier mon sexe. Elle prenait un malin plaisir à me masser la bite. Sandy me dit alors : « Ma mère, elle t’a mieux branlé que moi ? »
J’étais gêné, je lui ai bien sur répondu que non. C’est alors que sa mère a passé la porte et a demandé ce que Sandy venait de demander… Elle était là, plantée près de nous, Sandy, ma bite dans sa main.
« Eh bien, ma fille, tu es une belle cochonne, de branler ton mari ici !
- Maman, va t’en, laisse-nous ! »
Elle a couvert ma bite avec une serviette. Sa mère eut l’air dépité, et a tourné les talons. A ma grande surprise, Sandy m’a regardé, et rappelle sa mère !
« Maman, viens voir par là. » La vieille est revenue tout de suite.
Sandy a descendu la serviette, et a recommencé à me branler sous les yeux de sa mère. Cette dernière a fait comme si elle me voyait pour la première fois avec une telle érection…
« Bon sang, Chris, comme ton sexe est beau et gros… »
Elle s’est assise devant nous. Sandy me branlait de plus en plus vite. Je gémissais de plaisir. C’était si bon. Jamais je n’aurais pensé éprouver autant de plaisir à être branlé par ma femme devant sa mère !
La belle-mère s’est penchée pour mieux voir, et Sandy a fini son travail. Au moment où j’allais jouir, elle a incliné ma queue vers sa mère. Et là, j’ai joui, j’ai joui comme un fou. Un grand jet de sperme est parti dans sa figure. Ma belle-mère en pris plein la tête ! Tout est parti en pleine face. Elle a eu un cri de surprise, et s’est levée pour se laver.
Sandy était morte de rire : « Maman, tu devrais voir ta tête ! » Mais elle eut aussitôt un air de dégout quand cette dernière a léché sa main, où du sperme était tombé… « Mhummm , il est bon, il est délicieux… Il est trop bon, le sperme de Chris…»
Sandy eut l’air choqué : « Maman, comment peux-tu dire une chose pareille ??? Arrêtes un peu, on dirait que tu veux le sucer aussi !
- Si tu veux, je le fais, » répondit-elle.
A mon grand regret, Sandy n’a pas dit oui. Elle lui a juste répondu qu’elle avait vu ce qu’elle voulait voir, et que c’était suffisant.
La soirée s’est finie normalement, nous sommes allés nous couchés. Sandy m’a alors demandé : « Tu as envie que je te fasse jouir devant sa mère ? Tu vois, je t‘avais dit que c’est une grosse salope.
- Oui, ma chérie, j’ai un peu honte, mais j’ai aimé ça. En fait, je voudrai jouir sur ses gros seins.
- Mais Chris, tu es fou ! tu ne coudrais pas la sauter, tant que tu y es ???
- Ben, après tout, je ne serai pas contre… Mais je t’ai toi, ma grande, alors, ca me suffit. »
Nous avons passé une bonne nuit, et le lendemain, Sandy est partie travailler comme d’habitude, sa mère était allée en ville. J’ai donc passé la journée seul, tranquille. Le soir venu, Sandy me dit en rentrant : « Ce soir, à table, je vais parler cul, on va voir commet ma mère réagit… »
Bien entendu, j’acquiesce.
Ma chérie entame la conversation, sa mère nous raconte quelques galipettes qu’elle a faites dans le passé. Et subitement, elle lui dit : « Maman, ca t’a plu hier soir, avec Chris ? »
Elle répond, un peu gênée : « Euh oui, j’ai bien aimé…
- Maman, tu sais Chris voudrait te voir à poil !
- Mais non, ce n’est pas possible ! Chris, tu as Sandy, elle est jeune, moi, je suis vieille !
- Oui, mais j’ai envie de te voir nue, la vieille ! » répondis-je.
Nous avons tous ri, et fini de diner sans en reparler. Après le repas, Sandy est montée se laver, je restais là, sur le canapé avec ma belle-mère. Elle était en pyjama deux pièces. Nous avons regardé le journal en silence, puis elle m’a demandé de changer de chaine, de mettre de la musique. J’a changé, et elle s’est mis à danser devant nous, car Sandy était revenue.
« Maman, mais que fais-tu ?
- Chris voulait me voir nue, non ? Eh bien, je vais faire un strip pour lui ! »
Joignant le geste à la parole, elle a commencé à ôter son pyjama, morceau par morceau.
Quand elle a montré ses seins, j’ai poussé un cri d ‘admiration. Elle était vraiment belle. J’ai commencé à bander.
Bien sur, ma femme l’a remarqué. « Coquin elle te fait bander ! Tu n’es qu’un salaud ! »
Quand son bas est tombé, ma queue est devenue dure comme du béton. J’ai demandé à Sandy de la sortir et de me branler. Elle a tout de suite obéi. J’étais là, à regarder ma belle-mère se tortiller comme une chienne, ma femme en train de me branler. Situation plus qu’excitante.
A ce moment-là, la vieille s’est mise à se caresser les seins, et à fouiller sa chatte de ses doigts. Sandy eut l’ai un peu choquée, mais elle ne dit rien. Je passe ma in entre ses cuisses. Elle mouille tant qu’elle peut !
Elle ne quitte pas sa mère des yeux, qui se baisse de plsu en plus. Elle est penchée en avant, les mains posées sur la table basse. J’ai juste sous mes yeux son abricot qui ressort et son trou du cul qui s’écarte…
Sandy lui dit : « Reste comme ça, ne bouge plus. Vas-y mon chéri, lèches-là ! »
Je ne me le suis pas fait dire deux fois, et j’ai commencé à lui bouffer la chatte avec ardeur. Je n’oubliais aucun endroit. Elle gémissait, poussait des cris de plaisir. Elle m’a crié : « Chris, vas-y, baise-moi ! »
Sandy lui a ordonné de se mettre à genoux, comme une chienne en chaleur, le cul bien sorti. Elle mouillait beaucoup, la cyprine coulait sur ses cuisses. Ma femme m’a ensuite intimé l’ordre de la baiser, de la sauter comme une pute.
Je me suis mis au-dessus d’elle, et je me suis enfoncé d’un coup sec, violemment, sans aucune précaution. Elle a hurlé comme une chienne, elle criait, je gémissais aussi. J’accélérais mes vas et viens. Je la défonçais au maximum.
La vieille jouissait à répétition. Sandy, elle se caressait la chatte à fond, elle coulait aussi de plaisir. Je voyais ma femme se masturber, en me regardant baiser sa mère ! Hallucinant !
Je sentais que j’allais jouir. Je me retirais, puis éjaculais sur son corps, pour éclabousser ses seins de ma crème épaisse.
Sandy a joui aussi, les doigts plein de jus d’amour. Elle a souri et m’a dit : « La prochaine fois, c’est moi que tu baises devant ma mère !!! »
Voilà comment on fait un ménage à trois, baisant tous ensemble tant que nous pouvions !!!
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Expérience de "safe-sex"
Il me faut vous raconter ma petite expérience de masturbation-exhibition faite samedi… J’adore ce petit jeu de « safe sex ». Aucun risque n’est pris par les deux partenaires, et le plaisir et maximum.
Eric, un de mes « camarades de jeu » habituels, est passé me voir à l’improviste samedi après-midi. Vu la chaleur, j’étais dans ma piscine, nue comme il se doit. Quand il est arrivé, il m’a fait un smack sur les lèvres, s’est allongé sur un coude, au bord du bassin, habillé, et me fait part de l’objet de sa visite, sans intérêt pour le récit.
Le sujet évacué, il a commencé à jouer avec sa main dans l’eau et me dit :
« L’eau fait un super effet sur tes seins. Ils paraissent encore plus gros et appétissants…
- Vraiment ? » lui demandai-je.
Pour toute réponse, il tendit la main vers moi, et commença à me caresser un sein. Ce genre de caresse, associé à un regard lubrique, à le don de provoquer en moi une excitation immédiate !
Ceci se manifesta par un durcissement ultra rapide de mon mamelon. Sans hésiter, Eric plongea son autre main sur l’autre sein. Il les emprisonnait fermement, les pressant, les malaxant, effleurant les pointes érigées. Elles seules sortaient de l’eau. Je me penchais en avant, et en léchait le bout moi-même. Eric manifesta son désir avec ses mots :
« Putain, tu me fais bander dur ! J’ai trop envie de toi, de te faire du bien ! »
Je lui demandais de me rejoindre dans l’eau, mais visiblement, il ne voulait pas. Et comme moi, je n’avais pas envie non plus de sortir, il a fallu trouver un moyen…
J’avisais le tuyau d’arrosage, qui remplissait la piscine.
« Si tu veux, je vais te montrer comment je me fais jouir avec le tuyau… »
Il acquiesça et vint se positionner face à la sortie d’eau. Je pris une pose un peu acrobatique, les mollets agrippés sur le rebord du bassin, la tète posée sur une « frite. »
Eric me retint un peu les pieds, pour que je n’aie pas d’effort à fournir. Dans cette position, j’avais le corps allongé, la chatte juste sur la ligne d’eau. Je saisis le jet d’eau, et pinçait le bout du tuyau, pour que le jet soit plus puissant. De l’autre main, j’écartais mes lèvres intimes, déjà bien humide. Et de cyprine, pas d’eau, comme me fit remarquer Eric, qui fouillait aussi avec ses doigts dans mon intimité largement exposée à son regard vicieux.
Avec le jet puissant, je balayais mon clitoris, en un va et vient rapide, pour l’exciter encore plus. Eric m’ouvrait la moule de plus en plus, m’écartant au maximum. J’y faisais pénétrer le flux puissant, qui venait cogner au fond de mon vagin. Eric m’encourageait de la voix :
« Vas-y ma puce, branle toi bien, c’est beau, ta chatte est superbe, tu baves de plaisir… Tu m’excites grave, mais je veux te voir jouir d’abord… »
Il fouillait de ses doigts mon con qui s’agitait de plus en plus. J’ai vu son regard encore plus allumé, la grosse bosse de son jean, et un ultime coup de jet sur le clito m’a arraché les cris d’un profond orgasme. Mais le voisin passait en voiture. Eric me fourra sa main dans la bouche pour étouffer mes cris. Je lui ai mordu sauvagement le coté de la paume. J’étais en rage qu’il m’ait volé une partie de mon plaisir !!!
Son geste m’avait ramené sur terre, brutalement, en plein orgasme de rêve.
Il me rassura bien vite : « Sors de l’eau, je vais te faire jouir encore mieux… »
Je sorti de l’eau, me séchais rapidement avec l’aide du chaud soleil de Guyane. Nous sommes allés dans ma chambre. C’est à ce moment-là qu’il m’a annoncé qu’il n’avait pas de préservatif. Moi non plus. Il était donc hors de question de baiser comme ça….
Nous avons donc fait avec les moyens du bord. Je sortis mon dauphin vibrant, et ma petite tige de boules. Ce sont une dizaine de boules de tailles différentes, fixée sur une fine tige flexible, en silicone, espacées entre elles d’environ 2 cms.
Pour se faire pardonner, il me fit allonger sur le dos, bien calée dans mes oreillers, les jambes grandes ouvertes. Il s’allongea devant moi, entre mes cuisses. Il prit appui sur ses coudes, et entre prit de m’ouvrir les lèvres encore gonflées de désir. Puis, sans hésiter, il plongea sa langue tout au fond de mon con, toujours aussi affamé et frustré. Il passait la langue partout, de haut en bas de gauche à droite, n’oubliant aucun recoin de mon intimité de plus en plus humide. Il agaçait avec ses dents mon petit bouton érigé. Il n’oubliait pas mon petit trou, qu’il humidifiait consciencieusement...
A un moment donné, il enfonça un doigt dans mon anus, qui s’ouvrit sans peine à ce geste doux. De l’autre main, il fourrageait dans mon vagin, avec deux doigts puissants. Il me dit sentir ses doigts se toucher travers la fine paroi qui sépare les deux orifices. Quelques coups de langue sur le clito m’achevèrent, et me procurèrent un nouvel orgasme puissant. Cette-fois-ci, je jouis sans limite, en criant tant que je pouvais… Je sais qu’il n’aime pas la cyprine, mais là, comme pour se faire pardonner, il buvait le jet qui sortait de ma chatte excitée…
Je savourais cette caresse admirable, regrettant juste de ne pouvoir le voir faire. La prochaine fois, je filmerai !!!
Il cessa un court instant, mais il ne comptait pas en rester là ! Il attrapa mon dauphin. Mouillée comme je l’étais, le petit nez vibrant se faufilait sans peine au fond de mon vagin. Je me tordais sous les vibrations de plus en plus fortes. Éric ne me laissait aucun répit.
Il chercha de l’autre main ma tige de boules, entreprit de la lubrifier avec le tube qui est toujours dans ma table de nuit. Il me fit relever les cuisses sur ma poitrine, et commença à enfiler une à une les perles de silicone dans mon petit trou. Elles rentrèrent sans peine, me ravageant délicieusement les entrailles. Quand la moitié fut rentrée, il commença de lent aller et retour, tout en continuant de stimuler ma chatte avec le dauphin vibrant.
Vu mon état d’excitation, je ne pouvais rester insensible à un tel traitement. Pour la troisième fois en moins d’une heure, je jouis puissamment, je me cabrais sous les caresses perverses, en criant encore plus fort que la fois précédente. Eric en sursauta. Il était habitué à mes cris, mais là, il en fut si surpris qu’il craint de m’avoir fait mal !
Il me laissa pantelante sur le lit, je n’avais plus de jambes, j’étais comme vidée… Il retira doucement les perles, et j’eus l’impression d’un grand vide. Mais dans le même temps, je sentis que mon désir n’était pas mort… Je dis à Eric :
« Tu sais, j’ai encore envie… Je suis morte, mais j’ai encore envie… Branle-toi, je veux te voir faire, je veux te voir juter… »
Il ne se fit pas prier. Il s’allongea près de moi, mais tête-bêche. Ainsi, j’avais sa belle queue à auteur de mes yeux. Il empoigna fermement son membre bandé, et commença à faire coulisser sa main sur la colonne de chair, noir charbon. Il se massait aussi les couilles, de l’autre main. Elles étaient grosses, pleines de ce jus que j’avais envie de voir sortir… Je m’en léchais les lèvres…
Je ne restai pas inactive. J’avais aussi repris mon fidèle dauphin, et je me caressais doucement ma chatte en feu, brulante de ces orgasmes à répétition. Pourtant, elle coulait toujours de désir…
A quelques centimètres de mes yeux, la belle bite s’agitait de plus en plus fort. Il se massait, se branlait de plus en plus vite. J’adore voir ce geste, de l’homme se branlant vigoureusement, son regard fixé sur mes propres caresses… Il articulait des motrs snas suite :
« C’est beau, c’est bon, t’as une belle chatte de salope, j’aime ta grosse chatte… Ma bite va t’arroser.. tu vas en prendre plein partout… tu va recevoir mon jus sur tes seins de cochonne… putain, je vais jouir, ca vient ahhhhhhhhhh !!!!!!!!!! »
Il joint le geste à la parole, et un gros jet de foutre tiède vint s’écraser sur mes seins toujours bandés. Presque dans le même temps, je jouis une dernière fois, certes moins fort, mais plus longtemps. De longues vagues me secouaient le corps, me faisaient me cabrer, comme si je recevais des décharges électriques à répétition….
Bon sang que c’est bon de jouer comme ça ! Il finit notre petit jeu en léchant soigneusement tout son sperme, étalé sur mes seins. Il n’en laissa pas une goutte…
Je ne souhaite qu’une chose : recommencer très vite !!!
un anniversaire de mariage très spécial
Il est dix heures du matin, en pleine vague de chaleur, début août, je suis au boulot, il fait déjà chaud, la météo a prévu 38°C pour l'après midi.
Le téléphone sonne, c'est ma femme au bout du fil.
« Oui, je peux rentrer ce midi. »
Elle m'a juste demandé de rentrer manger ce midi. Comme je suis à quelques minutes, cela ne me pose pas trop de problème et puis il faut dire qu'en plein mois d'Août par cette chaleur, ma motivation n'est pas au top.
J'arrive à la maison à midi juste, sa voiture est déjà là.
C'est plutôt silencieux da ns la maison,
- Les enfants ne sont pas là ?
"Je les ai laissés au centre aéré pour la journée" me répond-elle avant de venir m'embrasser.
Je découvre ma femme en minijupe et jolie chemise assez ouverte pour laisser apercevoir son beau soutien-gorge aubade.
Elle est resplendissante.
« Bon anniversaire chéri » me dit-elle ensuite.
Je mets quelques secondes pour réaliser qu'effectivement cela fait tout juste 9 ans qu'on est mariés.
« Avais-tu oublié ? »
Je n'ose pas lui faire croire que j'y avais pensé.
« Désolé chérie…
- Te souviens-tu de notre accord ? me demande-t-elle.
- Euh ! Celui sur le fait de ne pas oublier une fête ou un anniversaire ?
- Parfaitement mon chéri, et je te rappelle qu'en cas d'oubli, l'autre à droit d'exiger un gage."
- Je ne pensais pas que ce pari s'appliquait aux anniversaires de mariage, ma douce, lui dis-je en essayant de l'embrasser pour me faire pardonner.
- Comment ça ? » Dit-elle légèrement énervée en se reculant pour échapper à mon étreinte.
Pour calmer le jeu, j'abonde dans son sens :
« D'accord chérie, j'accepte. Quel est ton gage ?
- M’obéir sans protester toute la journée, dit-elle
- Original comme gage, qu'est-ce tu manigances ? Tu as l'air d'avoir une idée en tête.
- Tu l'acceptes oui ou non mon gage ? » Insiste-t-elle.
Je la regarde, elle est ravissante aujourd'hui… A accepter, je risque d'avoir à faire cuisine, de passer l'aspirateur ou de devoir mettre une cravate la prochaine fois que l'on va chez ses parents !
Mais bon si cela lui fait plaisir et peut contribuer à me faire pardonner.
« Ok mon amour, j'accepte ton gage.
- Bien à partir de maintenant, tu me parles que quand je te le demande et tu répondras en disant : oui maîtresse. Au bout de 9 ans il est temps de commencer le dressage !"
- Ok, chérie comme tu veux.
- Tais-toi, ça commence mal, on dit oui maîtresse."
- Oui maîtresse, dis-je amusé.
- Bien, c'est mieux, il fait chaud on va manger dehors à l'ombre. Tu vas mettre le couvert.
- J'y vais maîtresse.
- Tais-toi, je ne t'ai pas dit de parler et je n'ai pas fini de donner mes consignes. D'abord, comme il fait chaud, tu te mets tout nu ! Et pendant que tu y es, déshabilles-toi avec un peu d'érotisme et plie tes fringues ! Cela changera des vêtements balancés en boule sur une chaise ou en vrac par terre. »
Je suis estomaqué !
Je ne m'attendais pas du tout à ça, mais bon je trouve ça rigolo et comme tous les voisins sont en vacances, je ne risque pas grand chose à me balader à poil dehors.
Je m'exécute donc en essayant même de refaire comme dans les films en faisant tourner ma chemise et tout !
Assise dans le canapé elle me regarde faire. Elle a notre appareil photo numérique dans les mains !
« Tu ne vas pas quand même me prendre en photo tout nu !
-Tais-toi, ton impertinence commence à bien faire ! single-t-elle.
C'est plus hard que je le pensais. Elle me mitraille et avec une capacité de 250 photos, elle peut en faire des photos…
Je suis maintenant tout nu et commence à plier mes affaires, elle continue à me prendre en photo.
Elle s'est levée pour me prendre sous différents angles. Passés les premiers instants de gêne, je suis maintenant plus et l'aise et même une certaine excitation me gagne.
Ce qu'elle ne tarde pas d'ailleurs à remarquer…
« Est-ce que cela t'excite mon beau mâle d'être photographié tout nu par ta femme ?
- Oui
- Oui, maîtresse.
- Oui maîtresse.
- Montre-moi ta belle queue qui gonfle. »
Bien sûr, ça ne loupe pas, ces dernières paroles m'excitent encore plus et bientôt je bande comme un taureau. Elle fait quelques gros plans sur mon sexe en érection puis me dit : « Allonge-toi sur la table du salon. »
J’obéis.
Elle m'administre alors plusieurs fessées.
« Tiens c'est pour t'apprendre à mieux obéir. »
Certaines sont gentilles, mais une ou deux font un peu mal. Je proteste faiblement :
« Qu'est ce que tu fais, ça fait mal !
- Silence !
- Tu n'as pas l'air d'avoir compris que tu étais mon esclave pour la journée, alors, je vais te le faire comprendre ! »
Elle me donne alors une fessée.
« On dit merci maîtresse.
- Merci, maîtresse, » dis-je.
Je reçois pendants plusieurs minutes d'autres fessées que je dois ponctuées à chaque fois par un « merci maîtresse. »
« C'est mieux esclave. On obéit aux ordres et on se tait est-ce compris maintenant ?
- Oui, maîtresse.
- Retourne-toi ! »
J'obéis à nouveau sans moufter.
Elle saisit alors ma queue encore toute raide et commence à me branler :
« Aimes-tu ça que je te branle ?
- Oui, maîtresse. »
Sur ma réponse elle accélère.
« Quand tu approcheras de l'orgasme, tu me préviendras, est-ce compris ?
- Oui, maîtresse. »
Je sens l'orgasme monter rapidement…
« Je sens que ça vient maîtresse.
- Ok mon ange. »
Là dessus elle s'arrête, sort un bandeau noir de sa poche et me bande les yeux. Elle avait tout prévu la garce !
« Mets-toi debout et suis-moi. »
Je n'ai pas le choix, de toute façon, car elle a attrapé ma queue, toute gonflée, à pleine main, et me dirige ainsi un peu partout histoire que je ne sache plus où je vais.
Elle me lâche soudain.
« Branles toi et préviens-moi juste avant d'éjaculer, je souhaite immortaliser ça ! »
A la luminosité qui filtre derrière le bandeau je pense que l'on est dehors !
Elle me demande de me masturber dehors devant elle en plein jour, chose que je n'ai jamais faite !
Comme j'hésite, ça ne loupe pas elle m'interpelle.
« Allez, on s'astique le manche, esclave ! »
Je commence à me branler.
Drôle de sensation, je fais le vide dans ma tête pour ne plus être gêné, je me lâche, j'imagine qu'il n'y a personne. J'accélère le rythme .
« C'est entrain de monter maîtresse. Ça vient, ça vient, oh! Oui oh! oui, aaahhh, aaaahhhh, aaahhhhh, aaahhhhhhhh !!! »
Je sens jaillir de ma queue de longs flots de sperme. « Bouge pas mon beau mâle, reste où tu es ! »
J'entends une bouteille de champagne qui est débouchée, puis, un peu plus tard :
« Tiens prends ta coupe. »
Elle me donne une coupe de champagne : « Santé ! Mon beau male ! À nos 9 ans, cul sec!"
Je bois d'un coup ma coupe de champagne, elle a un goût et une consistance bizarre.
« Pas mal mon cocktail non ?
- Étrange mais bon.
- Veux-tu ma recette ?
- Oui maîtresse.
- 2/3 champagne, 1/3 de cointreau et… une bonne dose de sperme tout juste tiré ! »
J'ai un haut le cœur
« Ne fais pas ta mijaurée mon ange, toi qui me demandes souvent de finir dans ma bouche quand je te suce ! En plus tu as de la chance, il est dilué, moi je trouve que cela rehausse pas mal le champagne. A la tienne ! »
Et elle me ressert un verre que je suis bien obligé de boire.
« Enlèves ton bandeau et vas mettre le couvert dehors pendant que je finis la préparation du repas. »
Je l’enlève, et je constate alors que suis bien au milieu du jardin, tout nu, une toile cirée parsemée de sperme à mes pieds disposée sans doute là pour les besoins du cocktail.
Je me retrouve donc à faire des allers et retours entre le jardin et la cuisine nu comme un vers.
Et comme le coin à l'ombre est au fond du jardin, je dois tout le traverser à chaque fois !
J'ai un peu peur à chaque traversée que quelqu'un me voie, comme le facteur arrivant à l'improviste avec un recommandé, ou un voisin rentré plutôt que prévu. Je guette chaque bruit suspect, mais tout est calme. Étrangement calme, comme si la vague de chaleur avait endormi tout le monde.
Une fois la table mise, elle arrive avec deux énormes langoustes mayonnaises.
« Ressers du champagne" me dit-elle. Pour le temps du repas, entracte. Tu as le droit de parler mais tu restes tout nu. »
Tout en dégustant nos deux langoustes, nous parlons de choses et d'autres, des neuf ans déjà passés ensemble, des bons souvenir des enfants, de nos projets, mais pas un mot sur ce qui vient de se passer !
La chaleur est étouffante, et finalement je ne suis pas mécontent d'être nu. La fin du repas est arrivée, elle me fait un gros bisou langoureux puis me dit :
« Fin de l'entracte ! Tu débarrasses tout et nettoies la toile cirée sur laquelle tu as éjaculé. Quand tu seras prêt, tu me préviendras, je vais faire une sieste sur la chaise longue. »
J'obéis, et un quart d'heure plus tard je la préviens que tout est fait.
« Ok, mon agneau, viens par ici. »
Elle écarte alors ses cuisses, j'aperçois son sexe, car elle n'a pas de slip…
« Viens me lécher ! »
Je m'exécute, à genoux, son sexe est fraîchement épilé ! Pas un poil pour arrêter mes doux baisers.
Je parcours lentement tout son sexe, m'attardant sur son mont de venus avant de plonger sur son clitoris. Elle gémit, cela m'encourage et je continue à la lécher tout doucement.
« Plus fort esclave ! »
J'accentue mes caresses, j'insiste plus sur son clitoris que je finis par gober. Je relève la tête pour la regarder et je m'aperçois quelle est encore entrain de me prendre en photo !
Je ne peux me retenir de lui demander : « qu'est ce que tu comptes faire des photos ?
-Tais toi et lèches !
-Pour ta gouverne mon chou, je vais me faire un dossier sexy perso sur l'ordinateur à coté de celui où il y a toutes tes femmes à poil ! Eh oui ! Pas de bol mon chou… je suis tombée dessus ! Remarques que cela ma donné des idées ! "Cela monte doucement, continues à me lécher… »
J'accélère, et j'accompagne du mieux possible ma femme dans sa jouissance.
Je sens rapidement du liquide couler, j'hésite un peu à continuer à la lécher. Elle met ses deux mains sur ma tête et me la recolle fortement sur son sexe.
« Ce n'est pas fini, lèche tout mon jus ! »
Mon nez est collé à l'entrée de son vagin, j'ai un peu de mal à respirer, mais je m'attelle doucement à la tâche. Elle gémit et se détend un peu.
La pression sur ma tête baisse, je peux enfin dégager mon nez et respirer. Mon visage est plein de sa cyprine, je continue à la lécher doucement et je la nettoie petit à petit.
Son jus est douceâtre, légèrement parfumé. Goûter au jus de sa femme est une chose mais lui nettoyer son sexe en entier je ne l'avais pas encore fait !
J'arrive, au bout de quelques minutes, à avoir tout nettoyer sauf mon visage !
« Merci chéri, rhabille-toi, essuie-toi le visage et fonces au boulot tu es déjà en retard et ne te fatigues pas trop car ce soir il faudra que tu sois en forme. Eh ! Avant de partir, tu m'enfiles ça... » Et elle me tend un string…
Encore une première, je n'en avais jamais encore mis un seul. Résultat, je la fais éclater de rire car je me trompe et l'enfile mal, une cuisse à la place du bassin !
Bien sur la séance photo est de rigueur…
Finalement après 3 tentatives j'y arrive. Il faut dire qu'il est vraiment string de chez string !
Je l'embrasse.
« Avec ton string qui te rentre dans le cul, je suis sûr que tu vas penser à moi tout l'après midi. »
Sur la route du travail, je repense à ce qu'il vient de se passer, quelle surprise, je n'avais jamais vu ma femme aussi déchaînée, aussi érotique.
Je ne sais pas ce que sera la soirée, mais une chose est sûr, c'est qu'elle avait raison concernant le string.
Acte II
L'après midi est particulièrement chaude, on dépasse les 40° dehors et plus de 34° dans mon bureau non climatisé. Je suis en sueur, le string me colle au cul et cela me gêne pas mal.
Je ne sais pas si on s'y fait, mais en tout cas si le but recherché est de ne pas oublier de penser à sa chérie, ça marche plutôt bien !
Le soir venu, de retour à la maison je suis accueilli par un gros bisou.
« Alors, as-tu pensé à moi ?
-Oui, avec le string, je ne risquais pas d'oublier, et toi ?
- Oh! Moi, tu verras de soir, me dit-elle avec un grand sourire. En attendant mets-toi à l'aise et entracte jusqu'au coucher des enfants. »
Il est 22 h, le soleil commence à se coucher et la température doit être encore autour de 32 ° !
Les enfants sont couchés mais vue la chaleur, ils ne dorment pas encore.
« Chéri, c'est reparti ! Esclave, tu vas prendre une bonne douche et te raser tout le sexe, je ne veux plus voir un poil ! N’oublie pas tes fesses ! Quand tu seras prêt, tu m'appelleras ! »
Dans la série innovation, on continue !
Je me suis souvenu elle m'a déjà rasé les bourses et la queue, c'est plus sensuel pour moi et plus agréable pour elle lors d'une fellation mais c'est bien la première fois qu'elle me demande de me raser intégralement ! Je commence par le rasage en m'appliquant pour ne pas me couper. Une bonne douche bien tiède, limite froide ensuite cela fait du bien. Me voilà tout nu, sans poil sur le sexe, ni l'entrejambe, ni sur le pubis.
Je me regarde dans la glace, je trouve le résultat plutôt sympa. J'avais peur de ressembler à un petit garçon, mais ce n'est pas du tout le cas. Ma belle queue est plutôt mieux mise en valeur ainsi, que noyée parmi les poils.
J'entrebâille la porte de la salle de bain et glisse un « je suis prêt chérie. »
« Ok, viens me rejoindre dans le jardin et ne t'inquiètes pas, les enfants dorment. »
Je me retrouve donc de nouveau nu dans le jardin, la nuit est tombée mais le gros spot qui éclaire la moitié du jardin est allumé.
« Viens ici me montrer le résultat » me dit-elle.
Stupeur ! Elle a troqué l'appareil photo contre le caméscope numérique, et elle est entrain de me filmer, la garce !
« Pas mal, tourne-toi ! »
J'obéis.
« Ecarte les jambes et montre-moi tes fesses ! »
Je ne sais pas si elle continue à filmer, je crois bien que si.
« Bien, prend l'arrosoir, remplis-le au récupérateur et va arroser le parterre de fleurs. »
Avec le récupérateur d'eau de pluie qui récupère toute l'eau du toit, on peut toujours arroser malgré les restrictions.
J'obéis donc, et me voilà à arroser des fleurs dehors en plein été, de nuit, mais éclairé par un puissant spot, tout nu, le sexe rasé et ma femme me filmant.
L'évocation de cette situation me donne à moitié la trique, ce que remarque bien sur ma femme.
« Tiens, tiens cela t'excites ce petit jeu. Branle-toi un peu, et n'arrête pas d'arroser les fleurs pour autant ! »
Elle tourne autour de moi et me filme sous tous les angles tandis que je m'exécute.
Une fois l'arrosoir vide pour la troisième fois, elle me dit :
« C'est bon pour les fleurs, maintenant viens par ici mon beau jardinier. Prends ce flacon d'huile et enduis-toi tout le corps avec. »
C'est notre huile de massage "maison", parfaite pour les massages en tous genres, mélange d'huiles d’amande douce, d'abricot et de germe de blé. Je débouche le flacon et commence à m'en mettre sur le buste et les bras.
« Huile-toi et caresse-toi avec un maximum de sensualité, me dit-elle en me filmant au caméscope. Je te préviens, si je ne suis pas satisfaite de ton érotisme, tu retournes à la docche, et tu recommences.
J'étale doucement l'huile sur mon corps. Je commence par la main gauche, l'avant-bras avant de remonter sur l'épaule. Je change de main au niveau de la nuque, redescends sur le bras droit jusqu'à la main. Je parcoure ensuite mon buste de haut en bas, puis le dos en descendant progressivement vers mes fesses. Je reprends de l'huile pour les masser le plus sensuellement possible, je regarde ma femme, elle a l'air d'apprécier.
« Pas mal, continue, penches toi un peu pour que je puisse bien filmer ton beau petit cul », me dit-elle
J’obéis, massant encore pendant quelques instants mes fesses avant de descendre le long des cuisses jusqu'aux pieds. Je reprends de l'huile pour remonter le long des genoux, puis mes cuisses pour finir par faire le tour de mon sexe. Ma femme s'approche pour me filmer en gros plan.
« Reprends de l'huile et caresse-toi !, je veux voir ta queue grossir petit à petit. »
Je verse directement une bonne quantité d'huile sur mon sexe, puis je commence à me caresser doucement. Sans les poils, c'est très agréable notamment le passage sur le pubis. Tellement agréable que je ne mets pas longtemps avant de rebander ferme.
Elle pose le caméscope, est il encore entrain de filmer ?
Pour venir parcourir mon corps de la tête aux pieds de ses mains douces. Elle remonte ensuite vers mon sexe. Elle l'empoigne d'une main et me masturbe doucement tandis que son autre main caresse mes fesses. J'aime !
« Très agréable ce corps imberbe à caresser, j'abuserais bien de toi tout de suite mais la soirée ne fait que commencer ! » dit-elle.
Là-dessus, elle arrête ses caresses, je n'étais pas loin du point de rupture ! Je n'ose pas imaginer la suite si j'avais éjaculé dans sa main…
Elle me place un bandeau sur les yeux, me fait tourner plusieurs fois sur moi-même puis d'une main elle saisie mon sexe.
« Suis-moi »
Ai-je le choix ?!
Et voilà ma femme qui me promène en me tenant fermement par la queue, par un
soir d’Août, tout nu dans le jardin, le sexe rasé, le corps huilé, chose impensable pour moi pas plus tard qu'hier !
Je ressens un mélange de stress et d'amusement pour cette situation avec, en fond, toujours l'appréhension que quelqu'un nous voie. Elle, elle a l'air de s'amuser comme une folle aussi j'essaye de m'oublier, de me relâcher et de jouer le jeu à 100 % pour la soirée soit parfaitement réussie.
Brusquement je reçois une fessée
« La promenade est terminée, mets-toi à genoux. »
Elle me lâche alors et me met dans les mains le flacon d'huile.
« Comme tu as l'air d'être au point au niveau massage, tu vas me masser délicatement tout le corps et pour que cela soit plus sensuel, tu garderas les yeux bandés amis d'abord déshabille-moi. »
Je lui enlève sa chemise, son soutien gorge puis sa jupe. Je cherche ensuite son slip mais elle n'en a pas !
Je ne résiste pas à lui poser la question :
« Depuis quand as-tu enlevé ton slip ?
-Je ne l'ai pas remis après avoir joui ce midi, je suis restée ainsi tout l'après-midi, c'était plutôt agréable ! Mais ça suffit, penches-toi. »
Je reçois alors plusieurs fessées.
« On ne parle pas sans mon accord, allez, au travail mon beau jardinier. »
Elle s'allonge sur le ventre. Je lui masse délicatement le corps en commençant par le haut du dos, la nuque avant descendre doucement vers ses fesses aux formes bien arrondies reconnaissables entre toutes. Elle roucoule !
J'attaque ensuite à ses jambes, des cuisses jusqu'à la dernière extrémité du petit orteil.
Elle se retourne et je procède de même du coté pile sans insister sur son sexe et en massant délicatement ses beaux petits seins en forme de poire.
« Occupes toi maintenant de ma petite fleur mon jardinier, viens la butiner avec ta langue. »
Mais comme j'ai toujours le bandeau sur les yeux, elle guide ma tête entre ses cuisses.
« Maintenant, au travail jardinier, butine-moi! »
Je commence à lui lécher doucement son mont de vénus avant d'aller explorer un peu plus bas son sexe tout mouillé. Je prends mon temps et effectue plusieurs fois le tour avant d'aller à la rencontre de son clitoris. Je le lèche doucement, le suce, puis l'aspire dans ma bouche. Je sens ma femme onduler doucement, je continue à la lécher en accélérant doucement le rythme.
Bientôt son ondulation s'accélère, son souffle aussi, je suis son rythme.
« Ca monte, ça monte, ça monte, maintenant viens me rejoindre, viens me pénétrer avec ta belle queue »
Je la pénètre doucement, hum ! Que c'est bon !
C'est tout doux, nos deux pubis se frottent l'un contre l'autre. Quelle agréable sensation de sentir mon pubis rasé glisser doucement contre le sien aussi lisse que le mien.
Je sens rapidement son orgasme monter. Je sens sa cyprine couler contre mon sexe, je continue doucement à lui faire l'amour, le plus voluptueusement possible.
Après plusieurs minutes et elle me dit :
« Merci mon beau jardinier, que c'était bon ! As-tu éjaculé en même temps ?
- Non chérie.
- Vas me lécher maintenant, lèche-moi comme ce midi tout mon jus ! »
Je redescends entre ses cuisses et commence à goûter timidement sa cyprine avant de petit à petit, me lâcher totalement et lui lécher son sexe à fond !
Elle jouit ainsi rapidement, et mouille encore plus que la fois précédente !
« Lèche-moi bien et viens me faire goûter. »
Je rentre ma langue le plus profondément possible en elle, puis viens l'embrasser.
L'échange est fougueux !
« Redescends. »
J'obéis, elle se retourne et m'offre ses fesses.
"Lèches moi maintenant mon petit cul."
J'entame du bas de ses reins un long parcours avec ma langue, tournant autour de
son petit trou.
A chaque tour, je me rapproche du centre, j'y arrive enfin et je commence à le lui lécher doucement.
« Plus fort, je veux sentir ta langue ! »
Décidément, elle qui est souvent timide de se coté là… J'obéis, lui empoigne ses fesses à deux mains pour bien les écarter, et j'introduis ma langue le plus profondément possible. Elle ne met pas longtemps à réagir
« C'est bien mon beau jardinier, continue, lèches mon petit cul à fond. Réalises-tu que tu es filmé ! »
De surprise, j'arrête de la lécher.
« Je n'ai pas dit d'arrêter continue ! Après t'avoir bandé les yeux, j'ai placé la caméra sur son trépied dans un endroit bien situé qui me permet de tout filmer. Quel film érotique je suis entrain de faire ! Bien meilleur que ceux que tu as dans ton armoire n'est ce pas ?
- Je ne sais pas, je ne voie rien.
- Ne t’inquiète pas ! On aura l'occasion de le voir ensemble et il faudra que tu me montres comment faire un montage sur l'ordinateur et inclure les photos de ce matin.
Tu rêvais d'une femme épanouie et libérée, et bien tu vas être servi mon amour ! »
Je continue toujours à lui lécher ardemment les fesses en pensant à tout ce qui a changé en moins d'une journée. C'est à la fois étrange et plaisant, mais je n'ai pas le temps de m'attarder dans mes pensées que j'entends :
« J'ai encore envie de toi, viens mon jardinier me labourer mes fesses, je veux sentir ton soc en moi dans mon petit cul. Amène-moi ta queue que je l'enduise de lubrifiant, pas question d'avoir mal ! »
Elle s'est emparée de ma queue, me branle un peu et je sens bientôt un liquide froid dessus.
« Aller viens, mais attention, pas question que t'éjacules dans mes fesses, OK ?
- Oui chérie. »
Je guide avec ma main mon sexe tendu vers son petit trou, comme je ne vois rien, j'ai du mal à trouver l'entrée, rapidement je sens sa main venir à la rescousse, et placer ma queue à l'entrée de son petit cul. Je le pénètre doucement mais profondément.
Elle est bien serrée, qu'il est bon son petit cul ! Après quelques instants, je commence à bouger doucement et progressivement j'accélère le rythme.
Elle m'encourage : « Vas-y mon chéri, accélère, prends-moi mon cul ! »
Je sens mes couilles venir buter contre sa main venue je pense caresser son clitoris.
Elle gémit, me crie : « Plus vite, plus fort, vas-y laboure-moi, fais-moi jouir ! Oui ! Comme ça, allez ! »
J'accélère encore et je l'encule à fond de plus en plus vite. Je sens les spasmes accompagner la jouissance de ma femme, j'ai le plus grand mal à ne pas exploser moi aussi !
Je souffle, je me relâche tout en gardant le rythme ! Faire du sport, ça aide !
Son orgasme est passé, je diminue mon rythme doucement, bientôt je fais de grands aller-retour lentement, le plus doucement possible, avec mon sexe gonflé, prêt à exploser, elle doit bien me sentir !
« Ah, merci mon amour, c'était génial, je n'ai jamais aussi bien jouis avec mes fesses. Tu en es où, toi ?
- Prêt à exploser, maîtresse.
- Ça te ferait plaisir de venir m'asperger le visage ? »
Je n'en reviens pas, elle qui me le refusait tout le temps, me propose de réaliser enfin un de mes fantasmes.
« Bien sur que oui, tu le sais bien maîtresse, lui dis-je.
- Enlèves ton bandeau, viens t'asseoir sur mon ventre et branle-toi ! »
J'obéis avec plaisir. Je ne mets pas longtemps à jouir ; Un premier jet puissant atterrit sur son front, les suivants s'éparpillent sur son nez, sa joue, dans sa bouche grande ouverte et les derniers tombent sur son menton et coulent doucement le long de son cou.
Elle me regarde avec un grand sourire.
« Viens m'embrasser. »
Je viens lui déposer un doux baiser chaste sur la bouche un peu rebuté, je pense, comme beaucoup de mecs, par mon propre sperme quand, d'une main, elle me saisit le cou et me roule un patin d'enfer avec encore mon sperme dans sa bouche.
J'ai du mal, mais une tape sur mes fesses me rappelle que le jeu n'est pas fini, je me relâche et participe sans retenue à ce baiser. Elle rompt le baiser en premier et me dit :
« T'as peut-être mis ton sperme partout mon petit jardinier mais ce n'est pas fini. Comme tu n'as pas été au top sur ce bisou, tu vas maintenant me lécher tout le sperme que t'as mis sur moi ! Je veux sentir ta belle langue nettoyer mon visage et mon cou ! Au boulot ! »
Je reçois en même temps une fessée. Je commence par un tout petit amas, un peu réticent. « Allez, tu as voulu finir comme çà, maintenant tu nettoies et quand t'auras fini, tu viendras m'embrasser. »
Je n'avais jamais goûté mon sperme avant, mis à part ce midi bien dilué dans du champagne, j'ai du mal au début mais ces ordres, appuyés par quelques fessées, finissent par me faire obéir.
Je lui lèche doucement les sourcils, le front. D'un grand coup de langue j'avale une longue traînée de sperme sur sa joue droite. Je lui bisouille le menton, puis le cou avant d'aller lui nettoyer son sein gauche où quelques gouttes ont atterri.
J'ai du mal à finir mais j'y arrive, visiblement elle, elle adore sentir ma langue la lécher doucement et me regarder faire !
Je viens finalement l'embrasser, l'échange est toujours aussi sauvage !
« C'est bien mon beau, tu vois ce n’était pas si difficile ! Je suis sûr maintenant que tu apprécieras mieux les fellations où j'avale ton sperme. Rien de tel que des expériences partagées pour mieux apprécier. D'ailleurs ça me donne des idées mais je les garde pour un autre jour. Le jeu est fini, viens. »
Elle ramasse ses affaires, éteint la caméra et on part tous les deux reprendre une douche.
Peu après nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Avec juste ces derniers échanges avant de sombrer dans le sommeil :
« Bonne nuit mon amour, je pense que tu n'oublieras pas de sitôt nos 9 ans de mariage !
- Bonne nuit chérie et bon anniversaire de mariage. »
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