Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les "premières" de Sophie, la suite : mon premier gangbang.
Pour continuer la série de mes "premières fois", et en attendant la suite de la Lycéenne Perverse, je vous livre le récit de mon premier gangbang. Inutile de vous préciser que j'ai adooooooooooooré !!!
Mon premier gang-bang... A cette époque, j'avais 30 ans, je croyais avoir tout vu niveau sexuel, mais j'avais appris qu'à plusieurs, cela ne fait pas de mal, au contraire !!!
Ce soir-là, je me suis rendue chez mon amant. Lorsqu'il m'a ouvert la porte quasiment nu, j'ai remarqué combien il bandait dur, avant même que je n’arrive, en voyant la bosse sous son caleçon. Il me fit asseoir et, comme à notre habitude, nous nous sommes embrassés comme des sauvages, je l'ai sucé avidement, il m’a généreusement dévoré la chatte ... La routine quoi...
Après m'avoir fait jouir une première fois, il me regarda dans les yeux et me dit :
« Va dans la salle de bains, j'arrive ! »
Je ne me fis pas prier, devinant déjà une bonne séance baise sous la douche... Il vint se frotter derrière moi, et, surprise, il avait pris mes chaussures (noires, à talons vertigineux...) et un bandeau dans l'autre main... Adorant les surprises, je lui obéis et chaussait mes talons, puis il me banda les yeux... J'étais de nouveau en train de mouiller. Il me fit faire quelques pas, et m’adossa à un mur.
« Bouge pas, je reviens... »
J'étais appuyée contre le mur, offrant sans doute une vision de rêve sur mon cul, ainsi que ma petite fleur, quand je sentis une main me caresser un téton, puis une autre appuyer sur mon clito... Pensant que c'était mon amant, je me retournais pour l'embrasser, mais une main me retint. Etrangement, j'avais 3 mains sur moi. Je me demandais ce qui m'arrivait, lorsque je sentis une 4e main sur moi. Deux sur mes seins, une autre sur mon clito et une sur mon p’tit cul. C’est sur, mon amant n’était pas seul ! J’en frémis de désir…
« Alors petite salope, on aime le cul ? T’aimes quand on te touche, hein salope !!! »
Cette voix n'était pas celle de mon amant, mais le ton que cette voix prenait m'a terriblement excitée...
« Mmmmm, comme tu mouilles toi... Matez ça les mecs ! Notre petite cochonne mouille sur mes doigts. »
Effectivement, je mouillais comme une dingue, mon clito gonflait sous la pression des mains étrangères, car il y avait maintenant plusieurs doigts qui me tâtaient la moule.
« Vas-y, faut la défoncer cette salope !!! »
Rien que de les entendre me parler comme ça, à suffit à me propulser au stade de l'excitation la plus pure...
Je sentis qu'on me forçait à m'agenouiller. Une bite bien grosse et bien dure vint fouetter ma bouche. Je m'empressais alors de prendre ce membre dans ma bouche. Je commençais par de petits va-et-vient lents, puis de plus en plus frénétiques, ensuite mes mains massèrent généreusement les lourdes couilles du parfait inconnu.
Je crus m'évanouir de plaisir lorsque je sentis une langue bien chaude venir lécher mon clito...
« Regarde-moi cette chatte de cochonne. Toute épilée, pas un poil, t'as assuré, mon pote, trop trop assuré. »
Je compris alors que mon amant avait invité ses copains, sans me prévenir, heureusement. Il y avait trois hommes dans la salle de bains, à cet instant...
Je continuais de sucer le chibre raide, pliée en deux, les fesses en l’air, pendant que l'autre me léchait copieusement, et que deux mains me titillaient les seins, lorsque tout s'arrêta.
Je ne comprenais pas, mon plaisir était à son comble, et on me privait du dessert ? Des mains plus que baladeuses m'aidèrent à me relever, et on me conduisit dans une autre pièce. Je ne voyais rien, mais sentait qu'on me regardait avec beaucoup d'excitation. Là, je fus surprise de me retrouver dans le salon (je connaissais bien l'appartement de mon amant, même les yeux fermés!)
Là, j'entendis des sifflets d'admiration, des applaudissements... Mais combien étaient-ils ? Je me sentais du coup moins à l'aise... Mais mon amant se pencha vers moi et, à l'oreille :
« T'inquiètes bébé, on n’est que 7 avec toi ce soir... »
Sept queues bien dures rien que pour moi ! Inimaginable ! Depuis le temps que j’en rêvais, c’était du bonheur à l’état pur !
L'un d'eux me poussa vivement sur le divan, j'avais les jambes écartées, et en pensant que ma vulve était offerte à la vue de ces mâles en rut, je ne demandais qu'à me faire baiser comme une chienne.
Une bite vint se frotter une nouvelle fois contre mes lèvres, et je la pris à pleine bouche pour montrer mes talents. Je sentais que le mec appréciait, vu ses ronronnements de plaisir. Ce qui m'excitait encore plus.
Une langue vint buter contre mon clito gonflé, et surprise, une autre langue vint, elle aussi, me lécher. Je savourais ces coups de langue, pendant que je suçais la queue d'un inconnu.
On s'occupait aussi de lécher mes seins, de les mordiller, et... de me pincer les tétons avec des pinces à linges !!! Je me faisais tripoter dans tous les sens, lorsque je sentis quelque chose de froid à l'entrée de mon vagin, alors que je suçais toujours la même queue.
« Eh salope, je viens de finir ma bière, je veux que ta chatte la goute aussi... »
Le truc froid qu'on m'insérait petit à petit n'était autre qu'une bouteille de bière !
Cela me fit mal au début, puis mon vagin s'écarta de plus en plus.
« C'est pour te préparer à ta double pénétration, cochonne ! »
Une double pénétration ? J’étais un peu inquiète, tout de même… Je sentais beaucoup de mains sur moi, de doigts, puis du sperme dans ma bouche, car il venait de libérer tout son jus. Je m'empressais d'avaler tout, comme une élève bien sage.
On me fit changer de position, je me retrouvais assise sur le visage d'un mec qui commença par me lécher. Deux bites se présentèrent à ma bouche, que j'empressais de satisfaire, en les léchant une par une, y compris les couilles, et en les suçant alternativement.
« Mmmm, suce bien, petite salope, on va t'en mettre pleins les trous ! »
On me changea de nouveau de position. Je me retrouvais allongée sur le dos, sur un mec, qui s'empressa de me présenter son gros calibre dans mon petit trou, qu'ils n'avaient pas préparé. Je protestais et sentis deux doigts pénétrer mon anus.
« Ca te va comme ça, hein cochonne ? »
Lorsqu'il sentit que mon trou était assez lubrifié, il me mit sa queue juste devant, mais ne fit aucun geste. Je m'attendais pourtant à me faire bien enculer, mais il ne bougeait pas. Soudain, une bite s'engouffra dans ma chatte, et je compris ce qui se passait. Ils allaient me baiser par tous les trous... En même temps.
Lorsque la bite me ramonait bien à fond le vagin, l’autre commença à forcer ma rosette. Je grimaçais sous la douleur. Mais il n’en n’avait cure ! Il continuait à me besogner, pour entrer son sexe large dans mon tout petit conduit. Dans un dernier souffle de contentement, il me posséda en entier. Cette colonne de chair violait mon intimité sans ménagement, ça me brûlait, mais petit à petit, ca devint géant. Je n’étais plus qu’un garage à bites, prises de partout. Et j’adorais ça !!!
Je sentais les deux bites dans chacun de mes orifices, aller et venir violemment pendant qu'on me faisait sucer les queues restantes.
On me pétrissait les seins, toutes ces mains, ces queues me rendaient folle. Je tremblais de tout mon corps, puis me cambrait en plusieurs soubresauts. Mon corps était secoué de spasmes de plus en plus violents. J’ai perdu toute notion de temps, de bien et de mal. Je jouissais pas vague, come jamais avant. . L'autre ne tarda pas à venir et inonder mon ventre et mes seins de son liquide chaud.
« Ce n’est pas fini ma belle, y'en a encore qui ont pas eu leur part !!! »
Et pour joindre le geste à la parole, à peine le premier sorti, une bite vint se dresser contre ma chatte détrempée pour le remplacer.
Je n'en pouvais plus, mon anus était défoncé, ma chatte pareil. Je ne savais pas si j'allais encore pouvoir tenir à ce rythme-là.
Elle me pénétra sans problème et commença par me limer bien profond, ce qui attisa mon désir. J'eus alors une surprise de taille : une deuxième bite se présenta alors et tenta de pénétrer ma chatte !!! Deux bites dans ma chatte, je pensais que c'était impossible, mais les mecs m'avaient tellement préparée et ouverte, que je n'eus presque pas mal lorsque ces deux bites me défoncèrent la chatte.
« Alors tu vois que t'aimes deux bites dans ta chatte de salope ! »
Je me sentais comme la dernière des dernières, la pire salope de la terre, baisée comme une poupée gonflable, à la chaîne. Le pire est que j’aimais ça, et que j’en redemandais !!!
Ils jouirent très rapidement dans ma bouche et sur mon ventre. Je pensais que tout était terminé, j'étais un peu déçue quand j'entendis une voix :
« Et moi alors ? Vous ne m’avez même pas attendue ? Je la veux moi aussi! »
Ce n'était pas une voix masculine...
« Ah ouais un petit show lesbien, c'est le pied ! Mais vas-y te gênes pas, tu verras c'est une vraie petite salope ! Elle accepte tout, comme la pute qu’elle est ! »
Je me retrouvais étendue sur un matelas, offerte à un corps de femme, moi qui n'avait jamais couché avec une autre fille !!!
Ses mains se posèrent en douceur sur ma peau. Elle caressa longuement mes seins, l'un après l'autre, titillait et mordillait mes tétons puis les léchait longuement. Elle passa une main sur mon ventre, puis descendit jusqu'à effleurer mon clito.
Je n'entendais plus que des respirations tout autour de moi. Les mecs semblaient captivés par notre show... Il fallait que j’enlève mon bandeau. Je devais voir l’effet de notre petite scène sur ces mecs en rut.
Un doigt commença à masser mon clito, lentement, puis de plus en plus vite, pendant qu'elle continuait à me caresser les seins. Elle pénétra deux doigts, puis trois doigts dans ma chatte, les fit tourner dans tous les sens.
J'étais devenue une esclave sexuelle pour mes 8 partenaires... Huit ? Non, neuf...
Une autre bouche vint frôler ma bouche. J'embrassais alors cette nouvelle arrivante.
« Je vois que Mademoiselle aime les femmes... Pour info, tu vas te faire baiser par deux nanas, petite cochonne... Avoues que ça t'excite? »
Je ne sus que répondre, car j'adorais embrasser cette bouche, même si c'était celle d'une fille.
Je sentis alors deux langues contre mon clito, qui s'enroulaient l'une contre l'autre tout en me donnant du plaisir. Mais l'une des deux filles, se mit sur moi, en 69, pour que je la lèche à mon tour. Je n'avais jamais fait ça avant, mais en humant le parfum de cette moule bien fraiche, je n'hésitais pas et donnait de bons coups de langue, pendant que l’autre continuait de me lécher. Nous étions là, à nous dévorer la chatte, sous les regards lubriques des mecs, qui ne semblaient toujours pas rassasiés…
Les potes de mon amant faisaient cercle autour de nous. Ils étaient là, la bite à la main, tout en train de se branler frénétiquement devant le superbe spectacle que nous leur offrions…
Ensuite, je léchais l'autre chatte, tout aussi bonne que la première.
Après nous être bien léchées toutes les trois, l'une des deux se mit un gode-ceinture, bientôt imitée par sa copine.
« Tu t'es faite baiser par des bites de mecs, maintenant tu vas te faire baiser par deux filles... Tu verras que c'est aussi bon ! »
Elles me prirent alors en double pénétration, profitant de se rouler des pelles entre elles, sans m'oublier, bientôt suivies des mecs qui en redemandaient encore...
La suite ? Une orgie bien excitante... Nous avons tous baisé ensemble, dans tous les sens possibles et imaginables. Rien que de me rappeler de cette soirée me fait mouiller...
Alors, je vous laisse, vieux vicieux, et je vais me faire du bien en pensant à vous…
La surprise de Marina
Marina et Stéphane fêtent ce soir-là leurs vingt ans de mariage. Ils sont âgés de trente neuf ans tous les deux.
Pour cette fête, leur fils Romain, âgé de dix huit ans, quelques amis, et Hervé, le frère de Stéphane sont présents.
Il ya quelques semaines, lors d'une fête de famille, Marina a failli avoir une aventure avec son beau frère. Ils en étaient restés au stade des caresses, se faisant jouir manuellement. Elle avait eu des remords…
« Déconne pas, lui avait-elle dit, pense à ton frère…
- Une nuit, lui avait-il répondu, rien qu’une nuit…. »
Elle avait refusé, ils en étaient restés là, mais elle lui avait fait comprendre qu'elle n'était pas contre.
Ce soir, Marina est resplendissante de beauté, Hervé ne tarit pas d'éloges sur elle.
« Tu fais tout pour m'embarquer, sourit-elle, quel séducteur. Et si...
- Alors mon frère, tu dragues ma femme, dit Stéphane. Pense que çà fait vingt ans qu'on est ensemble !
- Je le sais veinard, répond Hervé.
Plusieurs fois dans la soirée, Hervé invite Marina à danser. Il prend même le risque de l'embrasser dans le cou. Elle ne se dérobe pas. Serait-ce pour ce soir ???
« Il me faut aller chercher du champagne, dit-elle, tu viens avec moi ? »
Quelle question ! Hervé prend çà pour une invitation. A peine arrivé dans le débarras où est stocké le champagne, il cloue sa belle-sœur contre le mur, lui prend les lèvres. Elle les ouvre pour offrir sa langue. Le baiser est torride.
Tout à leur passion naissante, ils ne remarquent pas la présence de Romain, en train d'embrasser sa jeune voisine dans le fond ud jardin. Et comme ils sont tournés, la jeune fille ne s'aperçoit de rien. Pourtant, Romain ne manque rien de leur étreinte brulante, et redouble d’ardeur sur sa propre amie.
« On va se faire attraper, murmure-t-elle, allons-y s'il te plait.
- Prenons rendez- vous à l'hôtel cette semaine, je t'en prie, dis oui.
- Tu veux me rendre infidèle, c'est çà ? Je vais y réfléchir, je t'appelle. »
Elle est toute excitée, elle n’arrive pas à lui dire non.
La fête se termine vers minuit. Tout le monde se prépare à aller se coucher. Stéphane est déjà monté dans sa chambre. Hervé sort de la salle de bains. Il est vêtu d'un caleçon, et d'un long tee-shirt. Romain boit un dernier coca. On dirait qu'il ne veut pas laisser le couple tout seul. Marina embrasse Hervé aux commissures des lèvres, et son fils sur son front. Elle va à la salle de bains passer une nuisette, et monte se coucher. Elle a du mal à s'endormir, elle est ailleurs. Ses pensées courent vers Hervé, si loin, si proche… Elle rêve d’étreintes passionnées, comme son mari ne lui en donne plus. Elle a vaguement honte, mais l’appel des sens prend le dessus. Elle sait qu’elle va céder à son beau-frère….
Il est six heures du matin. La lumière du jour commence à filtrer à travers les persiennes.
Marina est allongée sur le dos, la jambe droite repliée à l'équerre, le genou qui dépasse du lit.
Soudain, elle sent une main qui se pose sur sa cuisse. Son mari dort à poings fermés. Ses pensées les plus érotiques vont vers Hervé.
« Mais il est fou, se dit-elle. »
La main caresse la cuisse et remonte entre les jambes. Deux doigts effleurent la fente, écartent les lèvres intimes légèrement humides. Les doigts audacieux font des va et vient, atteignent le clitoris, qu'ils décalottent. Marina s'abandonne à la caresse. Elle cambre ses reins, et écarte ses jambes pour s'offrir d'avantage.
A tâtons, Marina avance son bras. L'homme est vêtu d'un long tee-shirt. Aucun doute, c'est lui. Son cher beau-frère a enfin osé aller au bout de leurs envies à tous les deux.
Elle glisse une main entre les jambes écartées, et rentre en contact avec des bourses très dures, bien pleines. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts, puis saisit la queue en totale érection. Elle fait coulisser le prépuce, et décalotte le gland.
Elle commence une lente masturbation. Pendant ce temps, les doigts s'activent dans la chatte mouillée. Marina mord le coussin pour étouffer ses gémissements de plaisir. Mais l'orgasme est là, elle se lâche, tant pis pour les draps. Elle entend le souffle du
vicieux visiteur, et d'après les vibrations de la queue, elle le sent prêt à éjaculer. Mais les dégâts risquent d'être plus graves…
Aussi place-t-elle sa tête hors du lit, et la penche en arrière dans le vide. Le membre est là. Elle l'avale jusqu’aux couilles, et le stabilise. Elle le pompe en gorge profonde, avidement. La queue, immobilisée, a tout le temps de se vider dans la gorge de Marina. Et son temps, elle sait qu’elle va la prendre au fond de sa chatte en feu. Mais ce matin, ce sera sa bouche gourmande.
Elle reste encrée dans la bouche jusqu'à ce qu'elle ait vidé tout son jus. Après avoir avalé la semence jusqu'à la dernière goutte, Marina nettoie le gland avec la langue. Un visage se penche sur elle, et lui donne un langoureux baiser. Furtivement, une ombre s'éclipse
de la chambre. Marina est chamboulée, excitée, heureuse, coupable de ce plaisir ressenti à quelques centimètres de son mari….
Marina arrive dans le salon vers neuf heures, vêtue d'un peignoir. Elle aperçoit Hervé, en maillot, qui bronze sur la terrasse. Elle le regarde, les yeux pétillants. Romain est allé prendre une douche.
« Alors, sourit-elle, bien dormi ?
- M'en parle pas, Romain m'a réveillé à huit heures, pour me rendre le tee-shirt qu’il m'avait emprunté hier soir…. »
Marina met sa main devant sa bouche, Pour étouffer un cri de surprise et d’horreur mêlées. Elle se précipite à la salle de bains. Elle ouvre, et découvre Romain en train d'enfiler son peignoir.
« Pourquoi, mais pourquoi m'as-tu fais çà, gronde-t-elle en larmes. J'ai sucé mon propre fils. Tu te rends compte que je pourrai plus te regarder en face, qu'est-ce qu'il t'a pris?
- Tu aurais préféré que ce soit Hervé ? Je vous ai surpris dans la garage. Excuse-moi maman, répond-il tristement. »
Romain se dirige vers la porte.
« Non... non, ne pars pas mon chéri, mais ne me prend pas pour celle que je ne suis pas, et surtout, que çà reste entre nous, d'accord ? »
Romain à sa main sur la poignée de la porte. Il se retourne, et voit sa mère appuyée, la tête penchée dans le lavabo.
« Je t'en prie, poursuit-elle sans savoir pourquoi, reste, ferme à clé. »
Il s'avance et la prend par la taille. Lentement, il dénoue le peignoir qui glisse sur le carrelage. Le sien prend le même chemin. Il saisit les seins de Marina, joue avec les bouts devenus énormes, caresse le ventre. Il insère sa queue en érection entre les cuisses de sa mère, qui se surprend à écarter ses jambes.
« Tu es fou, qu'est-ce que tu veux faire à maman ? »
Marina prend le membre de son fils, et le fait coulisser dans sa chatte toute mouillée. Elle ne peut s'empêcher de pousser un cri de plaisir. Pourtant tout au fond d’elle-même, elle a une vague honte qui la dérange… une mère et son fils… C’est plus qu’immoral !!!
- Ah... salaud… tu n’as pas honte ? Vilain... vas-y... j'ai envie, gémit-elle, fait jouir ta maman… »
Sous les coups de reins de son fils, elle jouit en essayant de ne pas crier trop fort. Quelques secondes après, elle sent la semence de son fils inonder son con distendu et ravagé par l’orgasme. Ils se séparent à regret, elle se lave rapidement, et sort rejoindre son époux, comme si de rien n’était…
Marina a franchi le pas de l’interdit le plus tabou de notre société. Aujourd'hui, elle a des relations régulières avec son fils. Au fil du temps, Romain a acquis de l'expérience. C'est devenu un amant merveilleux. Hervé, lui, est rayé de l'agenda.
Histoire insolite, par Fran.
L'épouse de Michel a du s'absenter une semaine, pour aller soutenir leur fille qui est prête à accoucher. Il se retrouve donc seul pendant quelques jours, ce qui va lui permettre de surfer sur le net, à la recherche des blogs les plus chauds. Ce n'est pas qu'il soit surveillé, mais il est plus tranquille. Il peut mater à loisir les photos pornos, regarde des bonnes vidéos bien hot. Il peut même se branler devant !
Il est en pleine « navigation », quand le téléphone sonne.
« Allo, tonton? C'est Aurore, j'ai appris que tu étais tout seul, tu viens manger avec moi ? »
Aurore est une très jolie fille de vingt-quatre ans, toujours célibataire. Elle n’a que des copains de passage. Elle est restée très proche de son oncle et sa tante. Ce sont eux qui l’ont aidée quand ses parents l'ont mise à l'écart, et ça, elle ne l'a jamais oublié.
A côté de cela, c'est vrai qu'elle a une vie assez tumultueuse. Son sport favori : le sexe. Michel l’a souvent surprise en train de lire des revues cochonnes.
« C'est gentil, ma chérie, apprécie Michel, dans une heure, ça te va ?
- D'accord, j’ai donc le temps de prendre une douche.
- J'espère que j'arriverai à temps pour t'essuyer le dos, ironise Michel. »
Il fait une chaleur caniculaire. Michel enfile un bermuda, et un polo, et se rend chez sa nièce. Celle-ci sort juste de la salle de bains, et accueille son oncle, vêtue d'un peignoir en cotonnade très légère.
« Ah, sourit-elle, tu arrives trop tard pour le dos. Dommage... Je te sers un apéritif ?
- Avec plaisir ma chérie, répond-il. Je peux me servir de ton ordi ?
- Bien sur, tu cherches quoi encore ? Un site de cul. Tu ne changeras donc jamais !
- Oh, ma chérie, tu es mal placée pour me faire la leçon ! »
Aurore s'avance, pose les boissons sur la table basse, et s'assied sur les genoux de son oncle, comme une petite fille. Michel frémit sous le poids de la jeune fille. Il commence même à bander…
« C'est quoi ce blog ? demande Aurore, » Sophie marquise de R. », une de tes relations ? Tata le sais ? Je peux lire ? Tiens, une histoire de pompiers. J’adore les pompiers, ils me font fantasmer grave… »
Un long silence s'installe. Aurore est littéralement emportée par le récit érotique. Son cul commence à s'agiter sur les genoux de son oncle. Machinalement, elle écarte ses jambes, ce qui provoque l'ouverture du peignoir. Michel aperçoit les petites lèvres de la chatte de sa nièce. Son excitation s’intensifie. Il transpire un peu. Et ce n’est pas que la chaleur de la pièce. Il se demande comment se contrôler, avec cette bombe prête à exploser sur ses genoux. Après tout, il est son oncle !
« Quelle chance a cette femme, dit Aurore, tous ces pompiers rien que pour elle. Comme j'aimerai être à sa place, c’a l'air chaud !
-Et moi, j'aimerai être à la place d'un pompier. Surtout qu'elle doit bien leur tailler de bonnes pipes aux pompiers... »
Comme par hasard, Aurore se tend en arrière pour attraper les verres. Le peignoir fini de s'ouvrir. Michel découvre l'intégralité du corps de sa nièce. Le pubis fraichement épilé, les petits seins hauts perchés.
Il se sent attiré par cette tendre chair, si appétissante… Il ne tient plus, même s'il sait qu'il va faire une énorme bêtise.
« Oh, Sophie de R. Qu'est-ce-que tu vas me faire faire, pense-t-il. »
Il pose une main sur la cuisse chaude de sa nièce. Ne sentant aucune résistance, la main progresse. Il attend la partie renflée de son sexe, qui l’hypnotise. Un doigt court sur la fente, taquine le clitoris. Aurore se retourne et le fixe dans les yeux. Elle hésite, puis penche lentement son visage sur celui de son oncle. Les lèvres s'effleurent, s'ouvrent doucement, comme si elles se testaient, puis, ce sont les langues qui se frôlent, pour finir dans un baiser sulfureux. C'est maintenant Aurore qui prend les initiatives. Lire la trop excitée : oncle ou pas, elle a envie de baiser, et il est là, juste prêt à la sauter comme elle en a envie…
Elle envoie une main entre les jambes de son oncle, et sent le membre en pleine érection sous le tissu. Elle se lève, et l'attire vers le canapé. Le bermuda et le polo, rejoignent le peignoir sur la moquette.
Aurore force Michel à s'asseoir, glisse sa tête d’autorité entre ses jambes. Elle saisit la queue entièrement décalottée, joue avec le gland massif, puis l'avale sans sourciller. Elle entame une lente fellation, tout en faisant rouler les testicules entre ses doigts.
Michel se cambre, il va jouir. Il veut la repousser, mais elle refuse. Les jets épais de sperme giclent dans la gorge de la jeune fille. Elle s'éternise sur le gland, le nettoie à coup de langue, en insistant sur le frein. Puis, elle lui gobe les couilles, comme elle le ferait avec des œufs frais.
« Sophie de R. c'est une amie ? Tu vas lui dire que tu t'es fait tailler une pipe par ta nièce ?
- Salope, sourit Michel, c'est son récit qui t'as excitée, hein ? Tu veux quoi maintenant ?
- Là, de suite ? J'ai besoin d'un bon coup de queue, tu vois comme ma petite chatte est mouillée ? Elle a envie d'un rat… ton rat. Et tu vas voir comme elle va le faire chialer. Tu vas peut être pas t'en vanter à Sophie de R… »
Aurore s'empale sur la bite qu'elle a maintenue en érection par de savantes caresses. La bite rentre comme dans du beurre, tant elle mouille. Elle ne peut s'empêcher de pousser un cri de plaisir. Elle est carrément assise sur les couilles de son oncle. La jeune poitrine d'Aurore est à portée de bouche. Il en profite pour lui mordre les bouts surdimensionnés.
« Tu me maques salaud… mon clitoris est en feu... ha... ha... c'est ma chatte qui pleure... vas-y… nique moi... oui... oui… Tu suceras mon bouton après... ce salaud… il est tout décalotté… prêt à être mangé… ha… enfoiré… Tu vas lui dire comme tu m'as fait gueuler... oh putain... comme je me le suis fait mettre... woua… oui...
- Tu vois comme un récit bien écrit peut donner des idées, fait remarquer Michel. Elle en a écrit plein d'autres, tout aussi excitants. On peut en lire un par jour si tu veux ? Ce sera l'occasion de te prendre par le petit trou. Tu n’aimerais pas que je t'encule ? J'aimerai voir bouger ton petit cul au bout de ma queue.
- Hum… si… si… je suis d'accord, accepte Aurore, la prochaine fois, je vais te mettre les couilles minables. Tu pourras lui dire. Tu pourras lui dire aussi que je passerai bien une nuit avec elle pour qu'elle s'amuse avec moi... oh... putain... Tonton... donne-moi encore... s'il te plait... c'est la faute à Sophie tout çà... elle me rend folle... ta queue… vite… oui… oui. »
Elle monte et descend sur la colonne de chair, qui s’enfonce au plus profond de son intimité. Elle branle furieusement son clito, ultra bandé. Elle a envie de jouir, mais sous la langue de son tonton chéri.
Finalement, à cause de Sophie de R., ils n'ont encore rien mangé. Du coup, Aurore invite son oncle à diner.
« On lira une histoire après, tonton ?
- Vicieuse, répond-il, tu veux que je te donne encore ? »
Michel quitte l'appartement vers quatre heures du matin, Aurore dort. Il lui laisse un petit mot :
« Voici la marche à suivre pour aller sur le blog de Sophie de R. Quand tu es chaude, tu m'appelles… Je viendrais te baiser comme tu le mérites, ma petite salope. Tu feras bien juter ton oncle préféré… »
Le cauchemar de Francine
Vous avez été encore nombreux à demander la suite des aventures sexuelles de Francine… En voici donc un nouveau volet !
Vous avez été encore nombreux à demander la suite des aventures sexuelles de Francine… En voici donc un nouveau volet !
Michel se doute qu'il se passe quelque chose. Sa femme n’est plus comme avant. De plus, il a aperçu plusieurs fois la voiture de sa femme dans la cour de la maison de Guy. Pourtant, il fait comme si de rien n'était.
Mais il sait. Il sait que sa femme le trompe. Il le sent dans ses tripes.
Il fait preuve d'une maitrise, et d'une patience incroyable. Il attend qu'elle avoue sa relation avec son pire ennemi. Et là, il ne lui passera rien. Elle payera l’humiliation qu’elle lui inflige. Et cher.
Francine elle, n'est pas dans son assiette depuis qu'elle a visionné le DVD. Elle dort mal. Quand elle fait l'amour avec Michel, elle est ailleurs. Elle rêve du couple maudit, de Guy et Mireille. Elle se voit en train de se soumettre au couple dominateur.
En plus, il est hors de question d'accepter la proposition indécente de Mireille, concernant la participation de son mari. Cette dernière lui avait « suggéré » de tout lui raconter, pour qu’il se joigne à eux. Cette garce veut que Michel voit comme sa femme le fait cocu, et avec plaisir, en plus !!!
Il ne lui jamais venu à l'esprit de lui poser la question. Elle est très mal. Dès que le téléphone sonne, c'est elle qui décroche… On ne sait jamais. Il faut absolument qu'elle trouve une solution pour sortir de cette impasse.
« Tu as l'air fatiguée, ma chérie, dit Michel, va te coucher si tu veux.
-Je crois que c'est ce que je vais faire, répond-elle. Bisous mon amour. »
Le comprimé qu'elle a pris ne tarde pas à faire effet. Elle s'assoupit dans un sommeil de plomb.
Pourtant, là, au milieu de la chambre, Guy et Mireille, entièrement nus, la regardent. Le couple s'approche lentement du lit, et Guy s'allonge à côté d'elle.
« Alors ma chérie, dit-il en caressant son corps, ca va ? Contente de me voir ? Je suis venu pour te donner ta dose.
- Oh mes amours ! Je vous attendais, je suis impatiente de me faire mettre par tous les trous ! J’ai besoin de vous, que vous me baisiez comme une chienne… .
- Et Michel, demande sèchement Mireille, il va respecter nôtre accord j'espère ?
- Il se prépare, il ne va pas tarder ma chérie, répond Francine. Viens m'embrasser… »
Mireille s'approche, vérifie si la chatte est bien épilée, et décalotte le clitoris. Il surgit de son fourreau, dur, insolent, prêt à vibrer sous les caresses torrides de la femme. Elle le branle violemment, le pince entre ses doigts. Francine gémit sous cette agression brutale. Mireille sourit d’un air mauvais, et enfonce fortement trois doigts au fond du vagin de sa victime. Cette dernière hurle, mais se tord de plaisir. Elle jouit une première fois, arrosant copieusement la main de Mireille...
Pour la « punir », elle l’attrape par les cheveux, et la force à venir lui faire minette. Francine se jette sur la chatte de sa tortionnaire, et la dévore à pleine bouche. Elle lape, suce, titille sans relâche la chatte baveuse de Mireille.
Alors que sa femme gouine la dominatrice, Michel fait irruption dans la chambre, vêtu d'un peignoir. Il est aussitôt accueilli par Mireille.
« Tu t'es enfin décidé, dit-elle, tu vas voir comme on va bien s'amuser. Si tu savais comme on joue avec ta femme quand elle passe nous voir, comme je lui bouffe la chatte à cette salope. Et les coups de queues que mon mec lui met !!! Si ut voyais comme il l'encule. Elle t'a fait voir le DVD ? Un régal. Du grand art ! D’ailleurs, je songe à le commercialiser ! Tu l'entendrais gueuler... Et je te fais grâce des pipes. On dirait que de niquer la femme de son pire ennemi, permet à Guy d’atteindre des performances insoupçonnées !
D’ailleurs, regarde comme ta pute me lèche bien la foufoune… une vraie pro ! »
Mireille se dégage de la bouche de Francine, et ôte le peignoir de Michel. En connaisseuse, elle soupèse les couilles et lui prend la queue entre ses doigts experts.
« Fais voir ce qui pend entre tes jambes… Bof, J'ai vu mieux. Je comprends que ta femme te fasse cocu ! Mais bon, on n’est pas là pour comparer ! »
Quand ils se retournent, Francine est empalée sur l'énorme bite de Guy, jusqu'aux couilles. La bite lui perfore l’utérus, elle monte et descend sans faiblesses. Le pieu coulisse dans le vagin bouillant. Michel, halluciné, voit sa femme se faire défoncer à quelques centimètres de lui.
Elle est installée dos à son amant, pour bien se faire caresser, mais aussi pour que son mari ne perde rien de la scène. Qu'il voit bien comme elle se fait prendre comme une chienne en chaleur….
« Oh… mon chéri, gémit-elle… Viens voir ce qu'il fait à la petite chatte de ta femme. Tu me le fais pas aussi bien, toi. Comme il est monté… Il a une bite d’âne. Je l’adore ! Tu devrais l'essayer, tu sais ! »
Michel rougit, et baisse la tête.
Mireille n'est pas mécontente de voir la tournure que prennent les évènements, d'autant que Michel n'a pas repoussé l'offre. Du coup, elle en profite pour glisser un doigt entre ses fesses pour atteindre le petit trou. Sans hésiter, elle le pénètre légèrement. Michel facilite l'accès en écartant les jambes. Il devient ausis une pute à baiser… comment en est-il arrivé là ???
« Mon chéri, crie Francine… je vais jouir... viens me soutenir… s'il te plait… Embrasse mon petit bouton… »
Michel ne sent pas le piège. En mari soumis, il se baisse pour atteindre le clitoris de son épouse.
C'est le moment que choisi Francine pour éjecter le gros mandrin qui la pilonnait. Guy se cambre, et enfonce sa queue dans la bouche de Michel, jusqu'à ce que ses couilles heurtent les lèvres. Francine le maintient par la nuque.
« Allez mon chéri, dit-elle, régale-toi, c'est bon d'avaler le jus de son ennemi juré, hein ? Tu es gentil, tu vas bien lui vider les bourses. Et si tu es sage, qui sait... Il défoncera ton cul de salope !
- Hummmm… hummm… se plaint Michel en se débattant vainement. »
Mais la semence de Guy afflue dans sa gorge, en jets interminables, comme s'il avait gardé tout son sperme pour lui. Il le repousse brutalement, et le prend par les cheveux. Puis il plaque sa queue toujours en érection, sur les lèvres de Michel.
« Ta femme me nettoie, elle, dit-il. Allez, vas-y connard, lèche. Après, je vais bien te sodomiser ! »
Michel s'emploie à nettoyer avec application la bite énorme de son agresseur. Des larmes de rage perlent sur ses joues.
Sur le lit, Mireille entreprend à nouveau Francine sans ménagement. Une main entière enfoncée dans la chatte, elle a deux autres doigts dans le cul. La soumise aime, gémit, crie son plaisir…
Sur la moquette, Michel, à quatre pattes, se fait prendre en levrette. Il n’a pas eu le choix. Il balance entre dégoût et excitation. Voir sa femme se faire prendre l’excite. Les doigts dans son cul le font mouiller comme jamais. D'une main, Guy le masturbe violemment.
« Oh ma chérie, gémit-il… Regarde… il m'encule... il me branle… ha… que c'est bon… salaud…
- C'est bon de se faire ramoner le cul par une grosse bite, dit Francine. Hein ? Dis-le à ton chéri.
- Tu as entendu ce qu'elle a dit, gronde Guy, dis le, tu attends que je te donne une fessée ?
- Oui mon chéri... vas-y... râle Michel. Branle-moi… fais-moi jouir… ha... ha... je crache... salaud…
- Je te tiens par les couilles, sourit Guy. Tu sens comme je t'ai décalotté, espèce de lopette ?
- Quelle conne je suis, dit Mireille, j'ai oublié le caméscope ! »
Michel lâche sa purée sur le sol, à la grande fureur de Mireille. Elle jure de le lui faire payer plus tard dans la nuit…
Guy se vide aussi dans les intestins de Michel. Le sperme coule entre les jambes de l’enculé.
Les quatre acteurs de cette nuit de folie, hurlent de plaisir. Mais le couple dominateur en veut encore. Ils aiment le sexe hard, et le font savoir à leurs victimes de plus en plus consentantes…
Michel va être le jouet sexuel de Guy, son garage à bite. Il se soulage à plusieurs reprises dans l conduit anal de plus en plus dilaté… La purée le lubrifie bien, il élargit sans cesse le boyau… On pourrait maintenant y glisser une canette !
Mireille saisit Francine par le bras, pour se faire gouiner une fois de plus.
« Non… non, supplie-t-elle. Assez... assez... »
« ...assez… assez... lâche moi ! »
Francine se réveille en sursaut, toute en sueur, secouée par son mari. Elle vient de se piéger.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ? questionne Michel.
- Mon dieu… mon amour, quel cauchemar, pleure-t-elle, prends-moi dans tes bras, s'il te plait.
- C'est quoi ce délire ? Guy…Mireille… partouze… soumission… Je veux une explication, et vite. »
Vaincue, trahie par elle-même, mais sans rentrer dans les détails, Francine avoue ses relations libertines avec le couple.
Quinze jours plus tard, elle s'installait chez ses parents. Michel n’a pas supporté que sa femme la trompe avec son pire ennemi. Encore moins qu’elle soit leur jouet sexuel. Il en conçoit une haine féroce contre ce couple maudit. Il compte bien un jour leur faire payer cher la faillite de son ménage…
Quant aux diaboliques, ils n’en n’ont pas fini avec Francine. Ils ne l’ont pas encore offerte à leurs amis, comme ils l’avaient pourtant promis…
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Chris, toujours sa belle-mère, et son meilleur pote.
Un jeudi soir, à la fin du mois d’aout, j’ai décidé d’aller à la pêche. J’ai préparé mes affaires de pêche, et Sandy m’a aidé. Je lui ai dit que nous irions au lac vert. J’ai précisé que je voulais y passer la nuit. Elle a refusé, car il y aurait aussi mon ami Jean-Jacques. Elle ne peut pas le voir, elle le trouve trop con.
J’ai insisté pour qu’elle vienne avec nous au moins jusqu’au soir. Elle a fini par accepter, et nous avons prévu de faire un barbecue pour le déjeuner.
Le soir même, elle est allée faire les salades avec sa mère, pendant que j’allais me coucher. Quand elle est venue me retrouver, elle m’a annoncé que sa mère viendrait avec nous. Elle n’a jamais été à la pêche à la carpe, et elle a envie de connaitre. Je dis à Sandy que nous devons nous réveiller à 3h30, pour un départ à 4h. Elle acquiesce, et va prévenir sa mère. Elle est à peine revenue que la vieille rentre dans notre chambre, et me dit qu’elle ne sait pas si elle restera la nuit. Je lui ai répondu de ne pas s’en faire, que j’avais prévu un lit pliant pour elle, au cas où. Ainsi, elle aurait le choix.
Le matin venu, nous sommes partis à l’heure prévue. Les femmes ont dormi toute la route. A notre arrivée, Jean-Jacques était déjà là. Quand nous sommes sortis de la voiture, il a fait une drôle de tète en voyant les deux femmes. Il n’aime pas trop Sandy non plus.
Nous avons installé les cannes, puis les tentes. Ma belle-mère avait l’air de bien apprécier. Par contre, elle n’a pas aimé que mon copain ne lui dise pas bonjour à notre arrivée. Sandy l’a appuyée, en affirmant aussi que c’est un vrai con. Et que c’était la raison pour laquelle elle voulait rentrer le soir même.
Sur ce, elles sont allées s’allonger sur un drap de bain, les seins nus. Quand Jean-Jacques a vu ça, il s’est aussitôt approché pour bien les mater.
Ma belle-mère, le voyant faire l’a interpellé : « He mon gars, tu viens mater ma fille ? T’es qu’un gros con. Casse-toi, tu devrais avoir honte de bander comme ça ! »
Moi, j’ai éclaté de rire. En fait, elle avait bien raison. La journée s’est bien passée, mais le soir venu, Sandy a dit qu’elle partait. Mais sa mère elle, a décidé de rester avec nous. Ma femme nous a annoncé qu’elle revenait le dimanche. Nous avions déjà bien péché, au moins 15 carpes, et après son départ, nous en avons encore attrapé plus. Mais vers 22h30, plus rien, pas un poisson. La vieille était très étonnée, tout comme mon copain.
Alors, je me suis levé pour aller pisser. A mon retour, elle ma demandé de l’accompagner, elle avait peur d’aller aussi pisser seule. J’ai accepté, et nous sommes partis à dix mètres de là.
Elle s’est accroupie, et a juste carté sa culotte. J’entendais couler son urine, et ca ma donné une érection immédiate ! Je me suis tournée vers elles, pour la regarder, et elle a bien vu que je bandais comme un taureau. Elle s’est relevée, et a posé sa main sur ma bite. Je lui ai demandé d’arrêter, je bandais trop, j’avais trop envie de la baiser, là tout de suite. Mais il ne fallait pas que mon pote nous voie.
Nous sommes revenus vers la tente, où il nous attendait. Il nous a dit qu’il allait se coucher. Moi, je décidais de boire une bière près du feu. Janine, ma belle-mère, m’a suivi et s’est assise près de moi.
Elle m’a demandé si mon copain allait bientôt dormir ou pas. Je lui ai répondu qu’en général, il se couche, et dort deux minutes plus trad., comme un loir.
Janine est allée voir de ses yeux s’il dormait ou pas. C’était bien le cas.
Nous sommes donc retournés pour dormir dans notre tente. Je venais de m’allonger, quand elle me demanda tout bas : « Hé, Chris, moi je dors toujours nue, et toi ?
-Euh, moi, c’est avec mon slip de bain.
-Ah ok, et bien moi, je n’ai rien sur moi. »
Et pour preuve, elle me lança sa culotte sur le visage. D’un coup, je l’ai reniflée, et à nouveau, ca m’a fait bander come un turc. Putain, elle m’excite toujours autant, la vieille !!!
Bien évidemment, j’ai commencé à me branler, je ne pouvais pas rester comme ça. Janine a du m’entendre, car elle me dit : « Chris, tu fais quoi ? Tu ne serais pas en train de te branler ? Tu as aimé l’odeur de ma culotte ? »
Je n’ai rien répondu, trop occupé à m’astiquer le chibre. Janine est venue s’allonger près de moi. Elle a attrapé ma queue et à commencer à me branler bien fort. C’était trop bon, comme d’habitude. Elle sait y faire, la vieille chienne !
Je n’en pouvais plus, et je lui ai demandé de se tourner, pour que je lui bouffe le minou. Elle ne se fit pas prier, et se mit à quatre pattes, en 69 sur moi. Je commençais à lécher avec ardeur sa bonne chatte. Elle sentait un peu la pisse, mais surtout la mouille.
En même temps, elle me suçait super bien, en faisant coulisser ses lèvres le long de mon sexe dur.
Nous étions en plein 69 d’enfer, quand un détecteur d’une de me cannes à pêche s’est mis en route. Ma belle-mère a sursauté et j’en ai profité pour me lever. Nu, bien sur. Janine est sortie aussi, mon maillot à la main : »Chris, met ton maillot ! Si to copain sort, on est mal ! »
Mais c’était trop tard, il arrivait déjà. Il a vu ma belle-mère me lancer mon slip de bain. Il se mit à plaisanter : » Oh lalala, faut pas que je regarde ! Tu as de la chance, elle n’a vu que tes fesses... Et pas de près, encore ! »
J’ai tenté de l’enfiler aussi vite que je ai pu, mais il a bien vu que je bandais encore. Il rit un bon coup : « Dis-donc, mon pote, tu t’es branlé, ou quoi ? »
Je niais en prétendant que ce n’était qu’un rêve. A ce moment-là, la vieille est arrivée, en nuisette. Avec la lampe, elle devenait transparente. Il me souffla à l’oreille : « T’as vu, elle est à poil dessous !
-Normal, non ? Tu dors habillé, toi ?
-Chez moi, non, mais ici, oui !
-Tu as peur que quelqu’un te voie ?
-Non, mais tu vois bien, la canne a sonné, et toi, tu étais nu et ta belle-mère a failli te voir. «
Janine lui répondit : « Et alors, tu coirs que c’est le premier homme que je vais voir nu ??? »
Jean-Jacques ne répondit rien, et s’absorba dans la sortie de la carpe de l’eau avec moi.
Nous sommes ensuite partis nous coucher, mais sans continuer nos galipettes.
Le matin, dès 5 heures, je partis chercher du pain au village. En revenant, Jean-Jacques me signe de venir pour un gros poisson. Nous étions en train de le sortir, quand Janine nous a rejoints, toujours en nuisette. Moi, ca me fait à nouveau bander… Il me dit « : « Putain, elle est bonne, elle est encore meilleure en plain jour ! »
A ces mots, elle a souri, et demandé i on parlait d’elle. Elle a regardé Jean-Jacques, et, d’un coup, elle a soulevé sa nuisette, puis l’a baissée tout aussi vite. Mon copain a rougi comme un ado.
« Alors, on dirait que tu n’as jamais vu une femme nue ! »
Je riais et dit à Janine : « Tu sais, il a un gros sexe ! »
Elle s’approcha de lui, et lui assena : « Oh, je ne vais pas te niquer, te sucer me suffira ! »
Il ne savait plus quoi dire : « Heu, je ne sais pas, j’ai une toute petite tente…. »
Je lui répondis d’aller dans la mienne. Ils y entrèrent aussitôt. Quelques minutes après, je suis allée voir. Ca m’excitait dur de savoir ce qu’il se passait à quelques mètres de moi.
Mon copain avait les jambes écartées, Janine, pliée en avant, le suçait à fond. Je soulevais sa nuisette, et vis son abricot tout mouillé. Je n’y tenais plus. J’ai sorti ma queue de mon short, prêt à me branler, mais ma belle-mère me cria : « Non, te branle pas, baise-moi ! Je veux ta grosse bite au fond de ma chatte de salope ! »
Sans hésiter, je mis derrière elle, et présenta mon sexe devant sa foufoune trempée. Je n’eus pas à forcer beaucoup pour entrer. D’un bon coup de rein, je m’enfonçais en elle. Elle continuait de sucer Jean-Jacques au rythme de mes coups de boutoir. Elle a joui une première fois, en agitant le bassin encore plus vite. J’ai accéléré la cadence, pour la bourrer à fond. Je prenais un énorme plaisir à voir ma queue entre et sortir de cette chatte brulante. Jean-Jacques me regardait baiser Janine, les yeux hors de la tête. Il le pouvait plus se retenir, et jouit à grands jets épais dans sa bouche. Elle avala tout, continuant de gémir sous mes coups de rein. Elle voulait continuer de le sucer, mais il se recula. Car il avait débandé. La vieille criait : « Oh oui, Chris, baise-moi, baise-moi à fond ! Défonce-moi la chatte ! Bourre-moi le con !!! »
Bien sur, j’obéis, et la défonçait au maximum avec ma grosse tige, heurtant son bassin avec le mien sans tendresse. Elle n’arrêtait pas de gémir. Mon pote nous regardait, et s’est à nouveau rapproché. Elle lui saisit sa bite molle, pour le sucer. Mais rien à faire, il ne bandait plus.
Ses cris m’excitaient, et je sentais que j’allais venir. Je le lui dis, et elle me répondit : « Attends, jouis pas, viens te vider dans ma bouche. »
Je ne me le fis pas dire deux fois, sortit de sa chatte dégoulinante, et enfournais ma bite dans sa grosse bouche à pipe : « Vas-y, cochonne, mange ma sauce, espèce de salope ! »
Tout a giclé dans sa gorge. Comme tout à l’heure, elle a tout avalé avec gourmandise. Mon copain était scié de voir comment je m’étais vidé dans ma propre belle-mère !
Nous sommes repartis vers nos cannes, sans rien dire, et la vieille est rentrée dans la tente.
Quelques heures plus tard, Jean-Jacques est venu à coté de nous , pour nous demander si cela faisait longtemps que nous baisions ensemble.
Sans se démonter, Janine lui dit : « Sors ta belle queue, je vais te la sucer bien à fond, et ensuite, je te répondrai ! »
Cet imbécile lui répond qu’il n’est pas encore prêt !!! Moi, bien sur, je l’étais, et elle le savait, la garce. Mais c’est mon copain qu’elle voulait, pas moi. J’étais déçu : « Pourquoi tu veux sa bite et pas la mienne ?
-Elle est trop bonne, sa queue !
-Mais pas la mienne ?
-Si, j’aime la tienne, mais la sienne est plus petite, et je peux la mettre entièrement dans ma bouche. Comme ça, je ne perds pas une goutte de son sperme. Alors qu’avec toi, je ne peux pas. Tu es trop gros, et je ne peux pas tout avaler. Ta bite est belle, mais trop grosse pour que je la bouffe en entier… »
Je suis donc reparti vers mes cannes, avec une grosse envie de baiser. Dans la soirée, je suis allé retrouver mon copain, pour lui demander de venir avec nous. Il refusa d’abord, mais je finis par le convaincre.
Janine était toute excitée de le voir arriver. Elle s’est levée pour mettre une tenue plus légère. En fait de tenue légère, elle s’est habillée de sa nuisette, et nous a rejoint. Jean-Jacques bandait déjà. Son short était déformé par son sexe dur. Avant qu’il ne puisse dire un mot, elle s’est approchée de lui, a sortit sa bite du short, et l’a branlée comme si tout était naturel.
Je les regardais, en bandant aussi bien dur. Je me suis déshabillé, et je me suis approché d’elle. Elle m’a branlé de l’autre main. Elle était là, entre nous deux, sans gène, une bite dans chaque main.. Quel spectacle !
Elle s’est penchée pour sucer à fond mon pote, qui n’e pouvait déjà plus. Elle l’aspirait en entier, ses lèvres butaient contre son pubis. Je la regardais, fasciné. Elle continuait de m’astiquer le manche. Je bandais comme rarement. Elle a lâché le chibre de mon copain, et lui as dit « : « Allez, viens me sauter ! Baise-moi à fond ! Défonce-moi la chatte ! »
Il s’est placé derrière elle, toujours courbée en deux. Il l’a prise par derrière, d’un violent coup de rein. Dans le même temps, elle s’est mise à me pomper comme si sa vie en dépendait. Sa bouche l’aspirait au rythme des coups de boutoir de mon pote. Quelques minutes plus tard, elle dit à Jean-Jacques de s’allonger au sol, sur le dos. Il obéit, et elle vint s’empaler d’un coup sur lui. Ses grosses mamelles se balançaient dans le vide. Je regardais ça en me branlait à toute vitesse. La vieille me dit alors : « Chris, mon chéri, viens me défoncer le cul. Je veux vos deux bites en même temps ! »
Moi, je n’avais jamais fait ça, une double pénétration. J’étais un peu mal à l’aise. Je me suis mis derrière elle, je voyais en gros plan sa rondelle foncée qui s’ouvrait et se fermait sous la force de la pénétration vaginale. Je mis un doigt, pour l’ouvrir mieux. Il s’enfonça comme dans du beurre. La chienne, elle devait faire ça souvent ! J’ai demandé à mon ami de se retirer quelques secondes, que je la pénètre plus à l’aise. Il obtempéra, et je positionnais mon gourdin sur le vagin, pour me lubrifier la queue... Je m’enfonçais d’un violent coup de rein. Elle cria un peu, mais tout de suite, accompagna mes va et vient. Une fois bien mouillé par sa cyprine, je me retirais, et laissais à nouveau la place à mon copain.
Aussitôt, elle s’empala à nouveau sur Jean-Jacques. Je me mis ma queue devant la rosette, et poussais doucement. Au fur et à mesure que je m’enfonçais, elle criait un peu, de douleur. Son trou était très étroit, je n’y arrivais pas. Je le lui ai dit, et pour toute réponse, elle me cria : « Vas-y défonce-moi, déchire-moi le cul, j’en ai très envie ! »
Ca m’a redonné de la force, et je pris un élan, pour m’enfoncer d’un coup dans ses entrailles. J’avais peur de lui faire mal, mais elle voulait out prix que je la défonce à fond. Alors, j’ai continué.
Nous la baisions enfin tous les deux, en rythme, chacune de nos bites la défonçant à mort. Elle criait, gémissait, jouissait à répétition. Je n’ai pas tenu trop longtemps, hélas. Je lâchais ma purée dans son anus, qui déborda presque aussitôt. Jean-Jacques jouit aussi, et nos spermes se sont mélangés sur ses cuisses.
Nous sommes retirés d’elle, elle s’est allongé e sur le coté. Mon pote est reparti dans sa tente, complètement ko. Quelques minutes après, Janine me disait : « Mon Chris, t’as bien baisé mon cul ! Il me fait encore mal, mais j’ai adoré. Tu m’as bien défoncée ! Mais je n’en n’ai pas encore assez. Je ne suis pas satisfaite ! Baise ma chatte, tu veux bien ? Ton pote baise bien, mais je n’ai pas trop senti sa queue, elle est trop courte pour ça.
-Je veux bien, mais fais-moi bander, je suis trop mou.
-Pas de problèmes, viens, je vais te sucer. »
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle s’est approchée, et a enfourné ma bite dans sa grande bouche de suceuse. Elle me malaxait les couilles et il ne me fallu pas trios minutes pour bander comme un cerf.
Je l’ai mise à quatre pattes, et je l’ai baisée comme une chienne en chaleur. Elle n’est que ça, une chienne toujours prête à se faire mettre. Je l’ai bourrée à fond, elle criait sous mes coups de reins. Je ne prenais aucune précaution, aucune tendresse. Je voulais lui en donner, pour la calmer….
Elle jouissait, la garce, elle a joui plusieurs fois, et je l’ai limée pendant plus de trois quart d’heure. Elle est un vrai garage à bites ! Sa mouille coulait sur mes cuisses, je donnais des coups de bite plus violents que jamais. Une vraie défonce totale !
J’ai fini par jouir, en criant comme jamais. Elle s’est retirée, retournée, et a avalé mon chibre rouge et dégoulinant. J’étais exténue.
Nous nous sommes endormis, et quand Sandy est arrivée le lendemain, en nous voyant, elle s’est bien doutée que nous avions baisé comme des malades.
« Eh bien mon chéri, on dirait que vous avez profité de la nuit…
-Euh, oui... Et Jean-Jacques aussi. Il a bien baisé ta mère… »
Sandy a ri, et nous avons remballé nos affaires…
Si vous voulez la suite de nos aventures, dites-le moi, je vous les raconterai avec plaisir !
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un gangbang sa me tenterai bien bon il faux dejas trouver de bon partenaire en plus a nos jour il faux faire tellement attention avec toi je pense qu'il y aurai pas de blem pour ton amant il faudrait qu'il te prévienne en plus il sont un peut trop brutale moi je préfère la tendresse